#Molette
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Myriatober Part 4, the comeback of the return of the sequel.
I like finding title like that.
Themes themes :
16 : Harp : Yeah, It happens that I wanted and excuse to draw an Astérix Character. Just got into it recently. Have a Cacofonix.
17 : Carrot: Who miss the Rabbit power up in Super Mario ? No one since there's a lot of equivalent, honestly. It's just that find this neat.
18 : Loop : Sanic. Because the last remaster is apparently pretty neat if you haven't played the original.
19 + 20 : Roleplay and Pencil : Because my Goblinettes are pretty found of role-play. Niki said it helps for future quest to get in character. Molette just enjoy the mood, and Satia got to mess with the game as much as she likes too.
Characters (c) to their respective creators
Goblins OC made by me
#MyriaTober#Myria Edition#Asterix and Obelix#Cacofonix#assurancetourix#Carrot#Super Mario Land 2#Sonic Generations#sonic x shadow generations#Classic Sonic#Goblins#Goblinette#OC#Niki#Satia#Molette#original characters#digital art#illustration#artwork#digital illustration#character design#sketchbook#illustration digital#digitalart
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Refuge Les Molettes | © Yann Allègre | Financial Times
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Souris Gaming sans Fil Razer Basilisk V3 Pro
La Razer Basilisk V3 Pro est actuellement disponible avec une remise de 6 % sur Amazon. Profitez de cette souris gaming sans fil ultra performante pour améliorer votre expérience de jeu.

Souris Gaming sans Fil Razer Basilisk V3 Pro - LaRevueGeek.com
#souris gaming#sans fil#Razer Basilisk V3 Pro#molette inclinable#capteur optique#éclairage Chroma#boutons programmables#ergonomique#HyperScroll#HyperSpeed
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W-w-w-w-wwelcome to M-O-L AM, the ONLY show that tells the Underking to go <pig noises> himself. I’m your host DJ Flimsy Steve, broadcasting LIVE from an undisclosed location south of Nunya and west of Poundsand. No guests tonight, just me and Gabbysaurus.
Hello! It’s me!
It’s Gabbysaurus! How you doin’, Gabs?
Doing great, Flimsy. It’s a beautiful day here in the underground. No sunlight, absolutely no air flow. Perfect day to party.
Perfect day to <cheering noises> PARTYYYYY. How goes it out there in the Big Below, moles, molettes, molefriends? Check in! I haven’t heard from Sector 2 in a while, how you doing over there?
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Il y a quelques jours, j'ai reçu la tablette Artist pro 14 gen 2 ! Merci beaucoup @xppen_fr pour ce bel objet ✨ J'ai pour habitude de travailler en tradi, scanner puis passer à la couleur avec ma petite tablette sans écran qui commence à fatiguer. Je ne pense pas abandonner le tradi, mais je compte sérieusement faire plus d'illustrations/chara designs de A à Z sur la tablette. Le gain de temps est fou ! Je me familiarise encore avec la tablette, mais je peux déjà vous dire que : - la finition est très propre. La tablette a de l'allure et elle trône fièrement sur mon bureau. - L'écran affiche une belle précision des couleurs et réagit au stylet instantanément. C'est fluide et ça fait plaisir ! - La surface anti-empreintes de l'écran fait bien son travail. Parfait pour garder une surface immaculée. - La télécommande de raccourcis personnalisables est fort pratique et sa molette de zoom est très agréable à utiliser. - L'étui à stylet est stylé 🙃 . Là encore le design est sobre et soigné. Mon seul regret : le câble 3-en-1 n'est pas livré avec la tablette et, sans lui, je ne pouvais pas la faire fonctionner. @xppen_fr m'a envoyé le câble pour régler le problème, mais c'est dommage qu'il ne soit pas fourni avec le reste. J'ai dû ronger mon frein en attendant de le recevoir. :) Pour le reste rien à signaler. XP Pen propose une très bonne tablette avec un rapport qualité/prix solide. Musique : Drag - Unknown Mortal Orchestra
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Jó akkor tisztázzuk a dolgokat, attól mert egy hapsi nem kedveli a molett lányokat attól még nem kicsi a fasza. A lányok elvárják hogy a fiúk tiszteljék a molett, sovány, szeplős, kapa fogú lányokat de a lányok állandóan bántják a normális fiúkat. ( Nyilván ez nem azokról a fiúkról szól akik szándékosan bántanak egy telt lányt és elmondják hogy milyen undorítóak az ilyeneknek tényleg kicsi a fasza)
A lényeg, hogy nem minden férfi, fiú egyforma, ahogy vannak kutya nők úgy vannak kutya férfiak is csak meg kell találni a sok koszos kavics között a gyémántokat.
#magyar#idézetek#gondolatok#saját#magyar idézetek#szerelem#magyar tumblisok#tumblr#szakítás#magyar tumblr
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...Yeah, let's... let's get you over to the plex...
Or if you, for some reason, don't want to, I can go to where you are, yeah?
Heyy, heard you and eclipse had a but of a falling out? You okay babes? -💖Miku💖✨
@tsbs-miku-confessional
I'm... fine.
Yes, I'm fine. Nothing about it is worrying me. Everything's alright.
I can fix this.
#🔧 'Je jure devant Dieu que si cela s'avère être une sorte d'acte visant à entrer dans mon pantalon- je vais te battre avec une clé à molette#🔧 'I think I have a negative bias towards blue people.' 🎤 (Miku Tag)#🔧 'What do you need?' (Reblog Tag)#tsbs confessionverse
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Ayant ENFIN retrouvé le contrôle de mon photoshop (la dernière maj a ajouté un truc qui arrêtait pas de clignoter à chaque clic, c'était atroce), je vais pouvoir regrapher un peu 🥰. Et puis c'est les congés donc je profite.
Et au cas où : si vous avez ce soucis de cadre autour de chaque calque effleuré et la mise en couleur des calques dans le panneau dédié - vous comprendrez de quoi je parle si vous le vivez, on peut pas le manquer 😂 - ça se règle dans les paramètres, la molette en haut au centre, en décochant les "afficher les limites de claque en survole/du survol à partir des calques"
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Fragment #116 bis – Je vous jure que c’est presque vrai
Un soir banal. Un mardi, je crois.
Je vais chez C., ma compagne. Elle a fait une omelette aux champignons.
Classique. Des œufs, des girolles, une salade, un baiser.
Je l’embrasse, je rentre. 22h30. Au lit.
Dodo. Rideau.
Et là, le lendemain matin, coup de fil.
Une secrétaire médicale, ton classique cocktail voix douce + clavier mécanique :
— Monsieur ? Une place vient de se libérer. Une chance exceptionnelle. Le Docteur Maboul peut vous recevoir.
…
Le Docteur qui ?
— Maboul. Docteur Maboul.
Blague ? Pas blague ? Mon cerveau hésite.
Flash. Enfance. 8 ans.
Le jeu. Le nez rouge qui clignote. Le corps ouvert. Les pinces.
Le pied en plastique.
La petite clé à molette dans la clavicule.
Je ris.
Je lui dis : Vous êtes sérieuse ?
Elle me répond : Très.
J’accepte. Curieux. Intrigué.
Un médecin avec un blaze pareil, ça mérite au moins un tour de consultation.
Je me pointe à son cabinet.
Sobre. Pas de néon rouge, pas de grelots.
Un homme, 60 balais, blouse blanche.
Mais dans ses yeux… un truc.
Un éclat. Une étincelle.
Un je-ne-sais-quoi de… cartoonesque.
Il m’ausculte, normal.
Et puis soudain, il me regarde avec un sourire immense :
— Vous avez reconnu mon nom ?
Je bredouille.
— Le jeu… c’était vous ?
Il hoche la tête.
— Inventeur. En 1975. J’étais interne. On manquait de matériel à la fac de médecine. J’ai bricolé un truc avec une pince à épiler et une boîte de camembert. C’est devenu Hasbro, plus tard. Mais tout est parti de là. Du pied dans l’oreille. Et de la crampe dans le foie.
Et là, je commence à me dire que cette omelette…
Elle était chelou.
La pièce commence à vibrer.
La blouse du médecin se transforme en pyjama de clown.
La table d’examen devient un damier.
Je vois passer un papillon avec la tête de C. qui me dit Tu veux du dessert ?
Le Docteur Maboul, lui, me tend une pince.
— Allez-y, sortez-moi la clé du sternum, c’est à votre tour de jouer.
Je m’exécute. Sérieux comme un moine.
La pince touche le bord.
BZZZZZZZZ.
Le nez rouge s’allume.
— Raté, dit-il. Mais vous êtes guéri.
Je me réveille chez moi, trempé de sueur.
Le four est allumé.
Une omelette aux champignons refroidit dans l’assiette.
Et sur mon portable :
“Rendez-vous confirmé – Dr Maboul, jeudi 10h30.”
⸻
#drmaboul#texte libre#blog#texte français#texte#docteur#Spotify#fra#fragment116bis#tumblr français#johnotaku1977.com#champignon
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la mécanicienne et le glaçon ll ft. sunghoon



Quand on me demande ce que je fais dans la vie, j'aime me décrire comme une mécanicienne de l'être humain. Dit comme ça, ça pouvait paraître bizarre mais je n'étais pas très loin de la vérité. Après tout, mon travail consistait techniquement bien à réparer les gens.
Là où ils avaient des clés à molette pour démonter des carrosseries, je n'avais que mes deux mains pour retaper des squelettes endoloris. Mais pas besoin de clé de douze quand on avait de l'huile de coude et qu'on connaissait les deux-cents six os qui composaient notre corps sur le bout des doigts. Néanmoins, j'aimais définir mon métier comme celui d'une garagiste pour humains. Faire rouler les mécaniques internes d'un seul geste, dénouer les tensions avec quelques mouvements précis. Dans un sens, c'était presque un art. Savoir où se trouvaient exactement les organes qui nous remplissaient et pouvoir les manipuler sans même les voir n'était pas donné à tout le monde. Et plus que ça, j'aimais pouvoir me dire que j'étais capable d'apaiser la souffrance des autres, que je pouvais les accompagner sur le chemin de la guérison.
Les véhicules dont je m'occupais étaient divers et variés, chacun avec leurs propres soucis. Parfois, ce n'était qu'une simple pièce à remonter ou à bouger pour la remettre à son emplacement d'origine. Un moteur à faire ronronner plusieurs fois et à différentes vitesses pour le décrasser et lui permettre de rouler à nouveau, en toute sérénité. D'autres fois, c'était plus compliqué et il fallait soulever le capot pour vérifier s'il n'y avait pas d'autres problèmes en profondeur. Réitérer les séances de mécanique pour trouver où se trouvait la faille et la réparer en douceur, un outil après l'autre. Et ce n'était pas toujours facile. Au contraire. Néanmoins, s'il y avait bien un mot pour me décrire c'était la persévérance.
Même si parfois, il y avait des engins plus complexes à diagnostiquer.
Comme le jeune homme qui me faisait face et m'observait intensément depuis bien cinq minutes. Le tout, sans avoir ouvert la bouche une seule fois depuis qu'il avait mis un pied dans le cabinet.
« Il ne parle pas ? » je m'enquiers auprès de l'homme qui l'accompagne, les lèvres étirées par une grimace. Celui-ci laisse échapper un rire avant de donner un léger coup d'épaule au plus jeune. « Sunghoon ? » Oh. La statue de glace qui se trouvait dans la chaise à ses côtés s'appelait donc Sunghoon. « Il n'est pas muet. A vrai dire, il est même plutôt bruyant quand il s'y met. » C'est à mon tour de pouffer, une main couvrant ma bouche. L'objet de notre discussion fronce les sourcils avant de croiser les bras sur son torse. « Je vous entends, vous savez. » bougonne-t-il à voix basse et mes lèvres frémissent à nouveau. Je pose mon menton sur le dos de ma main, mes yeux parcourant les contours de son visage. Il semblait comme taillé à la serpe, avec des traits délicats mais indubitablement masculins. « Enchantée, Sunghoon. » je souffle, avec un sourire avenant. Il me jette un coup d'oeil furtif avant de porter son attention sur l'aquarium installé dans un coin de la pièce. « Dr Eu-nil n'est pas là ? C'est lui s'occupe de moi, d'habitude. » m'interroge-t-il du bout des lèvres, observant le mouvement des poissons dans leur cage de verre.
Je vois. Il avait décidé de jouer les récalcitrants. Très bien. S'il pensait que ça allait m'atteindre, il pouvait se fourrer un doigt dans l'oeil. Même si je pratiquais pas depuis longtemps, j'en avais connu des plus coriaces. « Il est en arrêt maladie pour une durée indéterminée. C'est moi qui reprends ses rendez-vous pendant son absence. Pourquoi ? Ça pose un problème ? » je demande avec un rictus amusé. Tout en le fixant sans ciller. Il doit sentir le poids de mes iris dardés sur lui parce qu'il se risque à une nouvelle œillade dans ma direction avant de plisser les lèvres. « Aucun. » Je souris plus franchement, me redressant sur ma chaise avant de taper mes mains l'une contre l'autre. « Alors c'est parfait ! D'ailleurs, je ne me suis pas présentée. Je suis Y/n. » Il ne bronche pas et ça ne fait qu'approfondir mon amusement. « Tu permets que je te tutoies ? Il paraît qu'on va passer un bon moment ensemble, toi et moi. » Ses yeux sombre croisent à nouveau les miens, insondables. « Si vous...Si tu veux. » Mes paupières se plissent et je me demande un instant s'il y a quelque chose chez moi qui le gêne. Il ne semblait pas mal à l'aise à proprement parler, mais j'avais l'impression qu'il restait sur la défensive sans savoir quelle en était l'origine. J'allais avoir largement le temps de creuser, de toute façon.
Je baisse enfin les yeux sur le dossier ouvert sur mon bureau. Park Sunghoon. Né le 8 décembre 2002. Activité : patinage artistique de compétition. Un frisson remonte le long de ma colonne vertébrale et je ferme les yeux une seconde avant de reprendre ma lecture. Syndrome fémoro-patellaire et élongation de la cuisse gauche après une chute. Antécédents d'abutement à la hanche. Des termes qui m'étaient familiers et qui me tirent une nouvelle grimace. « Ça ne doit pas faire du bien. Tu peux encore marcher ? » je lance à son intention, penchant la tête sur le côté. À priori, je n'avais pas remarqué de béquilles quand ils étaient entrés dans la pièce mais ça ne voulait pas dire qu'il ne peinait pas à mettre un pied devant l'autre. Il était très facile de faire comme si tout allait bien. J'en étais le premier exemple. Sunghoon hausse les épaules, le dos bien droit. Il se trouvait de profil et je note la présence d'un grain de beauté sur le côté de son nez pointu. Il hoche la tête pour acquiescer et je note quelques informations sur mon calepin.
Charmant mais pas très bavard. Doit souffrir le martyr mais ne laisse rien paraître.
Je continue de l'interroger sur ses antécédents pour obtenir le plus de données possibles, cochant des cases ou non sur mon dossier en fonction de ses réponses. J'aimais avoir une estimation générale du patient qui se trouvait en face de moi avant toute autre chose et ça me permettait de le cerner avant d'en arriver à la partie pratique. De pouvoir agir en prenant tout en considération, pour que la séance se passe le plus mieux possible pour tout le monde. De toute façon, peu importe que les mots puissent être manipulés, le corps finissait toujours par dire la vérité. Alors autant que l'on parte sur une base de confiance, vu que nous allions nous revoir à de nombreuses reprises.
« Très bien, je crois que j'ai tout ce qu'il me faut. » je reprends, en tapotant mon calepin sur le bord de la table avant de le repousser en son centre. Puis je lève les yeux vers son entraîneur. « À priori, je pense qu'on en aura pour moins d'une heure. Je vais faire un examen global pour voir s'il n'y a pas autre chose qui se cache là-dedans et je vous le rends. » j'explique, en désignant Sunghoon d'un geste de la main, le tout additionné d'un clin œil malicieux. « Après ça, on pourra établir un diagnostic et voir ensemble pour programmer les prochaine séances. » Il hoche la tête avant de me confier le jeune homme et de prendre la sortie pour effectuer des achats pendant que je m'occupe de son poulain.
Nous nous retrouvons tous les deux seuls et je recule dans ma chaise, la faisant rouler sur le sol pour contourner mon bureau. Enfin, le bureau d'Eu-nil. Qui était devenu le mien, pour le moment. Lui n'avait pas bougé d'un pouce. Ses mains étaient nonchalamment posées à plat sur ses cuisses mais son regard n'était pas aussi détendu que le reste de son corps. Je sentais ses yeux me suivre au moindre mouvement et je m'arrête en plein milieu de la pièce. « Je vais me laver les mains et on pourra commencer. Tu peux aller t'installer tranquillement sur la table, en attendant. » Je me lève de mon siège, grimaçant à la sensation lancinante qui tiraille ma hanche gauche. Elle était devenue familière, avec le temps mais ça ne voulait pas dire qu'elle n'en était pas moins douloureuse. L'instant d'après, mon visage a retrouvé son expression habituelle et je disparais dans la pièce de l'autre côté pour me désinfecter.
Je reviens une poignée de minutes plus tard, les manches de ma blouse désormais relevées au niveau des coudes et je constate qu'il en a profité pour suivre ma directive. Il se tenait toujours aussi droit et je ne peux pas m'empêcher de me dire qu'il y a quelque chose de profondément princier chez lui.
Ce n'était pourtant pas quelque chose d'inhabituel quand on pratiquait le patinage artistique. Les entraînements portaient autant sur la pratique des figures et la maîtrise de la glace que sur la prestation scénique. Savoir effectuer un triple axel était, certes, impressionnant mais ça n'avait jamais autant d'effet que lorsqu'il était réalisé avec grâce. Ceux qui réussissaient n'étaient pas les plus doués au niveau technique, mais ceux qui avaient compris qu'il fallait allier celle-ci avec une élégance certaine pour éblouir tant le public que les juges.
Et Sunghoon semblait l'avoir intégré. Ou peut-être que ça faisait simplement partie de sa personnalité. Je n'en savais pas suffisamment à son propos pour pouvoir affirmer quoi que ce soit.
J'approche, attrapant mon tabouret à roulettes pour me rasseoir dessus et je me poste à côté de la table. « Je vais commencer par la partie inférieure, vu que c'est la raison pour laquelle tu es là. Si tu ressens une gêne, une douleur ou quoi que ce soit d'inconfortable, fais moi signe, d'accord ? » je déclare à son intention, la tête penchée sur le côté. Il hoche la sienne, acquiesçant à mes paroles. « Pardonne-moi mais ça risque d'être un peu frais. En tout cas au début. » je rajoute, avec une grimace. Ses yeux se dirigent vers mes mains, les miens suivant sa trajectoire et je ne peux pas m'empêcher de serrer les poings par réflexe. Mais je secoue la tête, me redressant sur ma chaise. « Est-ce que tu peux te remettre debout un instant ? » Il s'exécute, toujours sans un mot.
Je débute mon inspection, mon cerveau repoussant aussitôt toutes les questions que je me posais à son sujet pour se concentrer sur l'essentiel. Aussi intrigant soit-il, mon objectif principal était de déterminer s'il n'y avait pas autre chose à traiter, en plus du reste. J'accompagne mes gestes de commentaires pour le prévenir de mes intentions ou pour le faire se mouvoir d'une manière précise, afin d'observer ses mouvements. Je gardais néanmoins un œil sur son visage, à l'affût de la moindre crispation.
Une fois allongé sur la table, je survole ses jambes et je prends le temps de tester toutes ses limites. Flexion, extension, torsion. Quand je me penche pour vérifier qu'il n'y a pas de fissure quelconque au niveau du bassin, plusieurs choses se produisent simultanément.
Mes doigts se posent sur sa taille, effectuant volontairement une pression plus forte sur le côté droit et mon souffle se coupe aussitôt lorsque quelque chose rentre en collision avec mon sternum. Je recule de quelques pas à cause de la puissance de l'impact, les yeux écarquillés et j'ai l'impression de manquer d'air. Mes mains se posent sur ma poitrine et j'essaye d'inspirer tant bien que mal. Mais tout ce que j'arrive à faire, c'est imiter le poisson hors de l'eau, des larmes de douleur perlant au coin de mes yeux. « Doc ? Doc ? » La voix de Sunghoon me paraît lointaine, comme étouffée. Il s'était redressé sur la table de massage, les yeux écarquillés et une profonde inquiétude s'affichait sur son visage. « Je suis désolé, je ne voulais- » Je secoue la main devant lui, ma tête suivant le même mouvement. J'aimerais lui dire que ce n'est pas grave, que ce n'était qu'une réaction de son corps face à la douleur mais je suis incapable de lui répondre par des mots en cet instant. Calme toi, y/n.
Je ferme les yeux, pinçant les lèvres et je pose une main sur mon ventre. « Qu'est-ce que- » Sans le regarder, je lui fais signe de ne pas bouger de l'autre main. Puis j'essaye de faire redescendre le peu d'air contenu dans mes poumons vers mon diaphragme avant d'inspirer un court instant et de répéter le processus jusqu'à ce que mon souffle revienne à la normale. Ce qui se produit après de longues secondes, mes paupières se rouvrant d'elles-mêmes lorsque je retrouve enfin la paix. « Est-ce que...ça va ? » m'interroge Sunghoon, le visage plissé par la culpabilité. Je déglutis, avançant pour m'appuyer contre le bord de la table. « Je... » je débute, la voix enrouée après avoir manqué si subitement d'air. « Ça va. Enfin...Je crois. » Puis je ris, sans pouvoir m'en empêcher. Le jeune homme qui me fait face m'observe comme si une corne s'était mise à pousser sur mon front et ça fait redoubler mon hilarité, mes gloussements pareils à des bris de verre. J'essuie les larmes qui étaient venues naître au coin de mes yeux avant de reprendre mon souffle une seconde fois. « Désolée. Je me disais simplement que notre rencontre aura été percutante. » je plaisante, levant le nez dans sa direction. Il rougit aussitôt, déviant les yeux avant de plisser les lèvres. « Je... Je suis désolé. Pardon. » Je souris devant son air profondément gêné, tapotant gentiment son tibia. « Ce n'est pas grave, Sunghoon. C'est même un très bon indicateur de ta condition, dans un sens. » Si il avait réagi comme ça, c'est que la blessure était importante. « Mais je crois que je vais quand même éviter de réitérer l'expérience. Question de survie. » Une fois suffisait. Si ça avait été plus brutal, je n'étais pas sûre d'avoir tenu sur mes deux jambes. « On va y aller plus doucement, d'accord ? N'hésite pas à me dire si j'appuie trop fort. » Il hoche la tête et je lui fais signe de se rallonger. Puis nous reprenons la séance en douceur, mes doigts se faisant plus légers contre sa peau.
Néanmoins, je sens ses muscles se tendre ici et là sur mon passage. « Est-ce que tu peux enlever ton haut ? » je demande, en le faisant se rasseoir sur la table après un certain temps. Il se raidit et je vois ses pommettes rosir. « Mon quoi ? » demande-t-il, les yeux légèrement écarquillés et je retiens de justesse le petit rire qui menaçait de passer la barrière de mes lèvres. « Ton haut. Est-ce que tu peux l'enlever ? Ça sera plus facile pour moi, pour travailler. » Il mâchonne sa lèvre intérieure pendant un instant et j'en profite pour étudier son profil de plus près. Puis il marmonne de manière indistincte avant de relever les bords de son pull fin pour le passer au-dessus de sa tête. Je ne peux pas m'empêcher d'admirer les muscles sec qui roulent sous sa peau pâle à mesure de ses mouvements. Comme la plupart des patineurs, il était tout en longueur et il avait été affûté pour le mouvement et la vitesse. Préparé à subir des sauts et diverses pirouettes, à retomber sur ses pattes avec élégance et à ne faire qu'un avec le mouvement de balancier qu'imposait ce sport.
Sunghoon avait posé ses mains sur ses cuisses, ses yeux regardant absolument partout sauf dans ma direction. Et je n'arrivais à le décrire autrement que comme adorable. « Respire, Sunghoon. » je souffle, non sans dissimuler mon amusement. « Je vais juste vérifier l'équilibre de ta colonne. Histoire de voir s'il n'y a pas quelques vertébrales ou des dorsales qui se sont déplacées. C'est assez fréquent à cause des réceptions à répétition. » je lui explique, avant de contourner la table pour me placer dans son dos. « Je vais partir des épaules et descendre petit à petit. » Mes gestes suivent aussitôt mes paroles et je suis le chemin indiqué, débutant par la haut de son torse avant de presser mes doigts le long de sa colonne, disque après disque.
Il devient raide quand je m'attaque aux lombaires et je me stoppe aussitôt, avançant ma tête au-dessus de son épaule pour apercevoir son visage. « Tu as ressenti quelque chose ? » je demande, les sourcils froncés. Mais il secoue imperceptiblement la tête et je fais la moue, dubitative. « Alors qu'est-ce qu'il y a ? » Il gigote et j'aperçois ses poings désormais serrés. « Tes mains. » murmure-t-il et je hausse un sourcil. « Mes mains ? Qu'est-ce qu'elles ont ? » je l'interroge, en baissant les yeux sur mes dix doigts. Il semble vouloir dire quelque chose avant de se raviser, d'essayer encore et de ravaler ses paroles à nouveau. « Elles sont...froides. » finit-il par lâcher après un certain temps et je pouffe, frottant mes paumes l'une contre l'autre. « Désolée. » Il secoue les épaules sans un mot et j'attends d'avoir les mains plus chaudes pour reprendre mon inspection. « C'est mieux comme ça ? » Il marmonne une réponse dans sa barbe et j'en conclus que ça devait faire l'affaire parce qu'il ne bronche pas davantage.
Je termine l'auscultation de son dos avant de le faire se rallonger pour m'occuper de la partie cervicale. Assise sur mon tabouret, je glisse sur le parquet pour me retrouver au niveau de sa tête et je glisse mes deux mains sous celle-ci pour la prendre en coupe. Ses cheveux soyeux chatouillent ma peau et je pose mes pouces à la naissance de sa mâchoire. « Tout va bien ? » je murmure, en baissant la tête vers lui. Ses yeux croisent les miens une seconde et il hoche la tête sans un mot. « J'imagine que oui. » je réponds, avec un léger sourire. Je poursuis alors mon travail en commençant par sa nuque, ses paupières se fermant très vite sous la sensation.
Un frisson le traverse lorsque j'entame le haut des cervicales, disque après disque et mes lèvres frémissent à cette vue. Puis sa voix brise le silence qui s'était instauré jusqu'à présent, mes mouvements s'arrêtant presque aussitôt.
Tu as pratiqué le patinage artistique ?
Le temps semble se figer. Ou s'allonger. Je n'arrivais pas vraiment à le savoir. Sa question semble résonner encore et encore dans la pièce, rebondissant entre les quatre murs. Et je prends une profonde inspiration, mes doigts immobiles entre les mèches épaisses à la base de son cou. « Qu'est-ce qui te fait dire ça ? » je demande, en passant ma langue sur mes lèvres. « Tu as l'air d'en connaître beaucoup sur cette discipline. Plus qu'une simple kinésithérapeute, en tout cas. »
Son ton était égal mais sans le moindre jugement. Et je sentais une pointe de curiosité dans sa voix, des questionnements simples et désintéressés. À mon plus grand étonnement, ça suffit à apaiser la morosité qui pointait le bout de son nez à chaque fois que j'évoquais cette partie de ma vie. Il ne me connaissait pas. Encore moins celle que j'avais été avant et ça avait quelque chose de rassurant, dans un sens. « J'en ai fait pendant quasiment onze ans. » je finis par confier, mes dents triturant ma lèvre inférieure. « Pourquoi est-ce que tu as arrêté ? » m'interroge-t-il, après une poignée de secondes. Un triste sourire étire le coin de ma bouche et je regarde fixement le mur devant moi. « Si ça ne tenait qu'à moi, je serais encore sur des patins. » je débute, avant de laisser échapper un rire que j'aurais aimé moins cynique. « Mais la vie a décidé que ce n'était pas fait pour moi. Alors je fais du mieux que je peux pour aider ceux qui en ont encore la possibilité. »
Je me rends compte à cet instant des cheveux sombres entortillés autour de mes doigts et je déglutis avant de leur rendre leur liberté. L'instant d'après, mes yeux croisent ceux de Sunghoon.
Débordants de nouvelles questions, de réflexions et de tant d'autres choses encore. Il n'était pas bavard mais son regard exprimait tant d'émotions à la seconde qu'il était facile de s'y perdre.
« Est-ce que ça te manque ? » Son interrogation apporte avec elle son lot de souvenirs et je soupire. « Parfois, pas du tout. Mais il y a des jours où c'est douloureux de ne plus pouvoir faire ce que j'aimais le plus au monde. » J'avais rarement remis les pieds dans une patinoire, depuis mon accident. Parce que ça aurait été comme se trouver devant la vitrine d'une pâtisserie sans pouvoir goûter le moindre gâteau. Et que je n'avais pas la moindre envie de m'infliger ce supplice. « Comme si j'avais perdu l'un de mes membres, tu vois ? Une sorte d'extension de moi-même. » je poursuis, avec un air très certainement nostalgique. « Après, il y a des choses plus graves au monde. J'ai fini par l'accepter, avec le temps. Et mon métier actuel me convient très bien. » je termine, en haussant les épaules. « Je fais des rencontres étonnantes et je me prends des coups de genou dans le sternum ? Que demander de plus ? »
L'humour, ma marque de fabrique pour changer subtilement de sujet. Enfin, je n'étais pas certaine que ce soit si subtil que ça mais il a la délicatesse de ne pas rebondir dessus, se contentant de plisser les lèvres à la suite de ma remarque.
Son entraîneur réapparaît à la porte un peu avant la fin de mon examen et nous le rejoignons une fois que celui-ci est terminé, Sunghoon rhabillé et toujours assis aussi droit sur sa chaise. Je fais un résumé de mes observations suite à la séance et elles ne sont pas bien longues. Outre les problèmes indiqués au préalable sur son dossier, il n'y avait pas grand chose à remettre en place. Mais le plus important allait mettre un certain temps à être traité correctement, s'il voulait pouvoir gambader à nouveau sur la glace. « Tout s'est bien passé ? » me demande le plus âgé et je pouffe, une main devant la bouche. Nous échangeons un regard avec Sunghoon, qui ne passe pas inaperçu de son accompagnateur et celui-ci fronce les sourcils. « Comme sur des roulettes. » je réponds, en retenant une furieuse envie d'exploser de rire. À la place, je m'accoude au bureau et je pose mon menton sur mes mains entrelacées. « Je dirais même que c'était à couper le souffle. » je rajoute, avec un large sourire. Sunghoon, lui, m'envoie des éclairs avec les yeux avant de reprendre une expression tout ce qu'il y a de plus composée en apercevant le regard suspicieux de son entraîneur. « Je ne sais pas si j'ai envie de savoir ce qui s'est passé, en fin de compte. » Je presse mes lèvres l'une contre l'autre, amusée. « Rien dont vous n'avez à vous inquiéter, promis. » Petit clin d'oeil en direction de mon patient, qui fronce les sourcils et croise les bras sur son torse. « On a terminé ? » lâche-t-il avec une moue contrite. Je pousse le planning que j'ai griffonné à la main dans leur direction, élaboré en fonction du nombre de séances que j'estime nécessaires pour le soigner correctement. « Je vous laisse coordonner ça avec son emploi du temps et me contacter pour poser les prochains rendez-vous. »
Je me lève de mon siège avec une grimace, m'appuyant imperceptiblement au bord du meuble pour soutenir mon poids. Puis je désigne Sunghoon d'un geste du menton. « Si vous constatez la moindre aggravation dans sa démarche, ligotez-le et amenez-le moi, d'accord ? » Nouveau regard meurtrier de la part du concerné et je glousse devant son air contrarié. « Ou passez-moi un coup de fil et je me débrouillerai pour faire le déplacement. » Son entraîneur hoche la tête, complice et ils se redressent à leur tour, rejoignant la porte de mon cabinet. Je contourne le bureau pour aller à leur rencontre.
Et mon cœur tressaille involontairement en sentant une nuance dans la poignée de main de Sunghoon. Celle que j'avais reçu à son arrivée avait été froide et vite expédiée. Là, ses doigts étaient tièdes contre les miens et ils restent plus longtemps que la première fois, insufflant une douce chaleur sur ma peau. Nos regards se croisent à nouveau et je vois des choses que je n'arrive toujours pas à interpréter dans ses sombres iris. Sa main effleure la mienne en se retirant, faisant naître un frisson à la base de mon dos. Sa haute stature se détournant pour quitter la pièce à la suite de son entraîneur, s'éloignant petit à petit le long du couloir.
Mais la sensation de ses doigts pressés contre les miens persiste bien après son départ. Et je me dis qu'en fin de compte, « percutante » était peut-être bien la définition adéquate pour définir ma rencontre avec Park Sunghoon.
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Didn't have a lot to share recently, I'm currently working on stuff I cannot show yet...
But there's some stuff I can show ! So, in the meantime, enjoy some Goblinettes !
Niki's design has been updated, here's the final version for the future project about them. Code Colors for her outfits have been simplified, and she's slightly more muscular, it help with the dynamic between Molette and Satia. (Buff, Skinny and Chubby)
You see, goblins have the bad reputation at being low leveled enemy, and Niki wants to prove them wrong ! She want to become the first 100lv Goblin by adventures and quest.
Her relationship with Molette has been solidified. They're total lover dorks in almost every situation.
Molette is a goblin genius. It means that she have absolutely no idea or plans when she build things. If it works, yay ! If it doesn't, meh, we'll make it work somehow. She does have blueprints of some of her favorite engine once she know she wants to creates more, but most of the time, it's really just random. She made explosive soap one time !
Satia is... Satia, right ? She's not at all interested in any romantic relationship. Food and friends are simply better for her. She's not the morning kind, and needs a lot of coffee and breakfast to start a day.
Anyway, there is it for now, I hope I can show you more soon ^^ !
Artwork and Character made by me.
#Goblin#Goblin girl#OC#original characters#digital art#illustration#artwork#digital illustration#character design#sketchbook#digital#webcomic#Niki#Molette#Satia
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hi! i know the matthew tournament ended a while ago but i heard about the reception regarding moletthew's design and i got around to redesigning him slightly to be less unsettling to look at. i kinda like this design more, honestly! it's both easier to draw and easier to express with tbh
Finally… 🧪 Moleacle Moletter
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> Wally: "It's not bring your child to work day."




>Cred:
^{Rainbow Factory WH_AU belongs to: Yourinternetmom in TikTok}^
^{Welcome Home ARG belongs to: Clown_Shaped_Coffin in Twitter or "X"}^
>Characters:
>Andy, Molly, and Wally.
>Andy Kokoni and Molette Kokoni/My OCs/
>Walden Darling or Wagner(?) /Yourinternetmom's character/
>Note: ={No, Molly isn't Andy and Wally's kid. Only Andy's from a fling.}=^
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Aujourd'hui, dévidons le fil d'une épopée mécanique, celle du Garage St Christophe, un foutu nom pour un endroit où les miracles sont aussi rares que l'amour dans un mariage de cinquante ans. C'est ici qu'officiait autrefois Gérard, un artiste de la clé à molette, dont le génie résidait dans sa capacité à confondre une bougie d’allumage avec une bougie parfumée. Un jour, Robert, un aventurier de l'asphalte, s’y arrête avec sa voiture qui crachote comme un tubard à la réforme. Gérard, le genre de type à te vendre un parapluie en plein désert, diagnostique un changement de pneu. Robert en reste comme deux ronds de flan : « Vous plaisantez ?! Ma bagnole a la bronchite, et vous voulez changer ses godasses ? ». Gérard, pas démonté pour un sou, lui répond : « Tout est connecté mon cher, c'est le papillon qui bat des ailes à Pékin et provoque une tempête à New-York ». Robert, déboussolé par tant de poésie, finit par hocher la tête. Gérard s’attelle à la tâche avec la précision d'un boxeur dans une cristallerie. Résultat ? La voiture est toujours là, sous un amas de pièces et de revues de mécanique datant des années 70. Ici, les clients venaient avec l'espoir d'un miracle, mais repartaient souvent à pied. Dans le village, chacun.e avait une histoire à raconter sur ce garage. « Tu vois cette bagnole ? Gérard a essayé de la réparer avec une vieille chaussette et du fil de fer. Elle a roulé trois mètres et elle a pris feu. » Au bar d’en face, le comptoir avait une forme incurvée tellement Gérard s’y accoudait. « J'ai ressuscité une vieille Renault aujourd'hui. » « Ah ouais ? Et elle roule ? » « Non. Mais maintenant, quand tu tournes la clé, elle fait 'vroum' avant de mourir. Pourquoi réparer ce qui va finir par se casser de toute façon ? Le mouvement perpétuel, c'est pour les horloges suisses, pas pour les bagnoles. » Entre deux lampées, il laisse échapper un rire qui se perd dans le brouillard de la fumée de cigarette. Une voiture, finit-il par dire en allumant une autre clope, c'est comme un alibi. Ça tient la route jusqu'à ce que les choses se mettent à chauffer.
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A Bors annyira meglepődött a kendőzetlen véleményen, hogy meg is kereste Hajdú Pétert, vajon csak a vágó hibája-e, hogy a beszólás bennmaradt a beszélgetésben. „A véleményem elhangzott a kamera előtt, és egy pillanatig sem gondolkodtam el azon, hogy ne kerüljön adásba, hisz most is ugyanezt gondolom Havas Henrikről. Ő egy wannabe stand-upos, aki a saját történeteit meséli el szórakoztató formában, de riporternek elképesztően rossz. Igaz, ez az én szubjektív véleményem. De tényleg javaslom, hogy keressenek rá néhány interjújára, és nézzék vissza. Hogy mást ne mondjak, élő adásban sértett meg egy molett hölgyet, de a példák sora végtelenítve is játszható, ha csak szakmai szemmel figyeli az ember.
Szóval innen a vasárnapi ebéd mellől nézve is, Havas Henrik riporterként vállalhatatlan.
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M. Szarka : Ma' ? Eh bien… C'est un peu difficile pour moi d'en parler. Elle était la seule mécanicienne de notre ville et a réussi à rouvrir le garage fermé quelques années plus tôt. Donc elle était occupée. Elle travaillait dur, tous les jours sauf le dimanche. Mais ça n’avait pas dû être facile, de travailler autant et d’élever seule deux garçons. Je pense qu’elle a fait de son mieux, en y repensant ; Je veux dire, je n’étais pas l’enfant le plus facile à gérer. Mais son meilleur n’était pas toujours… agréable.
M. Szarka : Pourtant, elle s’assurait que j’étais nourri. M'a soigné quand j'étais blessé. M'a appris les voitures et les machines dès que je savais tenir une clé à molette. Elle a essayé d'élever un bon catholique à partir d'un petit enfant maigre qui ne savait parler que de robots.
M. Szarka : Oui, cette dernière partie n’a pas très bien fonctionné.
M. Szarka : …
M. Szarka : Je ne lui ai pas parlé depuis longtemps.
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