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#Monnet
doks-aux · 11 months
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*steeples fingers* Perhaps... Monty and Glamrock Bonnet?
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willowbythelake · 1 year
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𝑶𝒑𝒉𝒆𝒍𝒊𝒂 💐♡︎
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uwmspeccoll · 3 months
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Cannupa Hanska Luger, New Myth, Future Technologies, 2021
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Dana Claxton, Headdress-Jeneen, 2018
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Teresa Baker, Hidatsa Red, 2022
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Raven Chacon, For Zitkala Sa Series, 2019
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Caroline Monnet, Echoes from a near future, 2022
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Marie Watt, Skywalker/Skyscraper (Calling Sky World), 2021
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Anna Tsouhlarakis, The Native Guide Project, 2019
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Meryl McMaster, Harbourage for a Song, 2019
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Marie Watt, Companion Species (Calling Back, Calling Forward), 2021
Staff Pick of the Week
An Indigenous Present proposes that a book can be a space for community engagement through the transcultural gathering of more than sixty contemporary Indigenous and Native artists. Published by BIG NDN Press and Delmonico Books in 2023, An Indigenous Present was conceived of and edited by Mississippi Choctaw and Cherokee artist Jeffrey Gibson (b. 1972) over the course of nearly two decades. 
In Gibson’s own words, “An Indigenous Present celebrates the work of visual artists, musicians, poets, choreographers, designers, filmmakers, performance artists, architects, collectives, and writers whose work offers fresh starting lines for Native and Indigenous art. But the book does not attempt comprehensiveness. Rather, those included here are makers I admire, have collaborated with or been inspired by, and who’ve challenged my thinking. . . . These artists and what they make will guide us to Indigenous futurities authored by us in unabashedly Indigenous ways.”  
An Indigenous Present features over 400 pages of color photographs, poetry, essays, and interviews resulting in a stunning visual experience for readers and a shift towards more inclusive art systems. The front cover art shown here is by Canadian artist Caroline Monnet entitled Indigenous Represent. 
View other posts from our Native American Literature Collection.
View more posts featuring Decorative Plates.
View other Staff Picks.
– Jenna, Special Collections Graduate Intern 
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retrogeographie · 1 year
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Struthof.
Le memorial national de la déportation.
Archi: Bernard Monnet. Construit en 1955;
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directedbywomen · 2 years
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Celebrating Merata Mita! "Merata Mita is a key figure in the story of Māori filmmaking. Through documentaries, interviews and her only dramatic feature Mauri, she was a passionate voice for Māori, and an advocate for social change." Read more on NZ On Screen's biography of Merata Mita: Director, Writer, Producer [Ngāti Pikiao, Ngāi Te Rangi].
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Mauri (1988) "When she made Mauri, Merata Mita became the first Māori woman to write and direct a dramatic feature. Mauri (meaning life force), is loosely set around a love triangle and explores cultural tensions, identity, and changing ways of life in a dwindling East Coast town."
Read more on NZ On Screen.
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Patu! (1983)
"...across different games in different cities, filming is a kinetic and almost desperate navigation of space; the camera is almost continually in motion, attempting to capture as much as it possibly can. With synchronised audio impossible, wild sound is layered into the mix to orient or disorient the action on screen. The chaos of real life violence becomes chaos on screen."
Read more in The Spinoff's The incredible legacy of Merata Mita’s Patu!.
Learn about Merata Mita's life and work by watching Merata: How Mum Decolonised the Screen (2018) directed by her son Heperi Mita. Watch the trailer:
youtube
Her legacy continues to be honored through Sundance's Merata Mita Fellowship, “created for Indigenous women-identified artists poised to direct their first feature film.”  This week Caroline Monnet was named the 2023 Fellowship recipient. Explore Merata Mita's filmography on MUBI:
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disco-troy · 2 years
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Hi I found the secret official official cover to Nightwing 100
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poesiecritique · 6 months
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Demain le silence, Kate Wilhem, Le passager clandestin, 2022 (1970), trad. Michèle Valencia
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Ce livre est petit, 45 pages en poche, c'est une nouvelle, éditée ici seule, pas dans un recueil, ni une anthologie, c'est une nouvelle élue pouvoir devenir livre, c'est une nouvelle qui a été publiée en 1970, sous le titre "The Chosen, l'élu, traduit par Michèle Valencia, peu d'informations sur elle, si ce n'est qu'elle a traduit, beaucoup, d'auteur.ices de langue anglaise, et plutôt de langue australienne et américaine. Kate Wilhem est américaine. Elle a vécu 89 ans, est morte en 2018. Kate Wilhem a 34 ans quand Rachel Carson publie, en 1962, le Printemps silencieux, le constat d'un anthropo-phonocène, une capacité du groupe humain d'affecter la qualité sonore du monde. Cette information est rappelée dans le petit commentaire biographique et contextualisant de l'écriture et la publication de cette nouvelle, The Chosen, Demain, le silence. Personne ne signe ce petit commentaire, fidèle au nom de la maison d'édition, le passager clandestin.
Le silence c'est le silence d'un monde découvert, dont on pense qu'il a été découvert comme un monde parallèle à l'aide d'une technologie en élastique de voyage dans le temps, ou inter-dimensionnel. C'est flou comme un rêve, nécessairement. Comme un désir. Comme ce qui doit être deux choses contradictoires en même temps : flou, brouillé, enneigé, silencieux pour que la projection de l'autre advienne sur ce que l'on ne veut pas dire, ce que Wilhem ne veut pas, dans une logique narrative, tout de suite dévoiler. Mais à vrai dire, ce n'est pas ce qui me plaît autant dans cette fiction. Ce n'est pas ce qui me déplaît le moins non plus. Ce qui me plaît le plus c'est la description d'un monde sans bruit, qui est objectivement tout à fait bruissant (le vent, la neige, les chutes d'eau, les marais, la pluie, l'orage) et tout en même temps, complètement atone subjectivement. Quels sont les bruits que nous entendons, et que nous qualifions tels ? Le bruit est-ce la parole humaine incessante que l'on entend dans un appartement aux murs trop fins, ou la parole reste-t-elle parole, audible, tangible et rassurante ? A cette question, rien ne tient comme réponse que la norme, et ce que la norme sociale imposera. Si le ressort final de Wilhem m'indiffère c'est qu'il ne va pas au bout de la description du monde sonore de l'hôpital psychiatrique qui contraint au silence ceux considérés comme les plus dangereux, en même temps qu'il permet un flot incessant de paroles pour ceux jugés doux, inoffensifs. Ce que Wilhem décrit du premier monde ne se déploie pas dans le second. Si ça reste une nouvelle, 5 pages configurent le second espace sonore, dont une demi, seulement, pour ce que y vit, une fois que le retournement a eu lieu, le protagnoniste.
Ma seconde remarque est à l'endroit du genre.
Dans l'opposition qui se joue sous nos yeux, c'est bien un homme qui, hyper-sensible, va avoir un désir de résistance, de rébellion à un ordre décrit comme oppresseur, et oppressif à son endroit. C'est une figuration classique, où la femme est associée à la pérennisation du modèle social. Nicole-Claude Mathieu analyse la possibilité de ce phénomène (assourdissant) du maintien de l'oppression comme moyen de survie par les opprimé.es dans L'anatomie politique. L'hypersensibilité (dont les représentations sociales nous conduisent à considérer comme qualité féminin mais il faut penser à tous les poètes maudits, leur sensibilité exacerbée, et parmi lesquels les femmes sont bien rares à avoir été autorisés aux mêmes perditions) de cet homme est soulignée par Wilhem qui lui donne un prénom de genre neutre en américain, Lorin. Son hypersensibilité lui fait percevoir avec acuité, chez lui, que "Des enfants jouaient dans les couloirs et hurlaient." (p.43) Une première question est à l'endroit de l'absence de prise en compte de l'hypersensibilité que peuvent avoir des femmes assignées aux tâches domestiques, à la prise en charge des nourrissons et des enfants qui leur font des trous dans les oreilles. Dans Demain, le silence le trouble de cet homme qui désire du silence apparaît, socialement et donc littérairement, plus justifié - à comprendre comme comme collant plus à une réalité sociologique (que nous sommes bien en droit de vouloir renverser).
A l'hypersensibilité s'ajoute la naturalisation de la parole des hommes, et la figuration du désir de bavardage des femmes. Ce paradoxe est rendu possible par un sexage du travail de socialisation de la parole qui revient à la femme (comme le montre, d'un point de vue féministe C. Monnet dans La répartition des tâches entre les femmes et les hommes dans le travail de la conversation (1998), et d'un point de vue masculiniste Kleist dans De l'élaboration progressive des idées par la parole). D'une certaine façon, Wilhem prend ce paradoxe en compte en prénommant la protagoniste féminine Jan qui est de genre neutre en américain - et que la traductrice s'est bien gardé de francisée en Jeanne, ou même Jane. Mais Kate Wilhem le souligne également par la description des prises sonores des hommes et des femmes de cette société : "Des femmes poussaient des cris aigus, les hommes juraient", puis une litanie de bruits urbains. Ainsi, dans la trame sociale de ce monde (qui ressemble fort au nôtre), la naturalisation de la parole des hommes induit qu'ils continuent à être dotés de la parole même dans leur forme encolérée à l'inverse des femmes, des enfants - et des objets. S'ils sont en colère, c'est grave et réflexif, pas aigüe et sans sens comme la nature des femmes. A cela, s'articule, en miroir négatif, le désir de socialisation permanente de Jan, sa femme, dans toute la première partie de ce livre - même dans le sommeil, elle souhaite dormir à proximité des autres, à l'intérieur du navire. Ce désir permanent de socialisation avec d'autres peut aussi être une forme de refus d'un isolement dans une relation exclusivement duelle. Les violences de genre, sexistes et sexuelles, sont en effet accrues par l'isolement, et peut-être moins celui physique que celui social caractéristique d'une relation d'emprise, où tous les réseaux sont abandonnés au profit d'un espace-temps dédié à cette relation devenant unique. Si Jan semble, d'un certain point de vue, répondre parfaitement à cette société, d'une certaine façon cette société la protège peut-être de ce type de relations (bien que les bruits décrits par Wilhem soient moins un tissu relationnel qu'une somme de bruits, mais encore ici, malgré tout, rendus à l'aune de la perception de Lorin).
Mais outre le désir de silence ou de parole, le genre du silence est présent par devers les genres neutres des prénoms, l'hypersensibilité de Lorin, et avec le désir de bruit qu'à Jan. Quand Lorin, sur la planète, désire plus que tout y vivre, et y emmener Jan, il le dit mais ne détaille jamais ses affects, tout au plus son plan :"Jan, essaie de me comprendre. Nous pourrions avoir la belle vie ici. Nous pourrions avoir des enfants qui auraient de l'espace pour courir, jouer dans la forêt, nager dans la rivière… (…) Tu t'habituerais au calme…" (p.18) Il essaie de convaincre Jan, ce qui le ferme à entendre les émotions de Jan, mais de plus, Lorin ne lui dit jamais sa propre nécessité qu'il a du silence : il évoque des désirs d'enfants, soit le contraire du silence. Par ailleurs, Jan réagit typiquement par un silence genré à la promenade, qui se déroule sur un temps de plus en plus long, en ne disant pas son refus. Comme dans notre monde, les femmes, dotée ou non d'un prénom neutre en terme de genre, ne semblent pas avoir reçu cet apprentissage fondamental qui est de savoir exprimer le refus, autrement que par le silence.
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t0rschlusspan1k · 9 months
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A realistic depiction of violence also serves to show that even if you do survive a war, you probably won’t feel like a hero. In fact, the impact of combat can be so traumatic that the toll it takes on your mental health can end up destroying exactly what you thought you’d protect, and leave you as a mere shell of your former self that’s neither heroic, nor victorious over evil, nor death-transcending. War don't ennoble men. It turns them into dogs. What is important to remember is that in hero systems, violence and suffering can be redeemed as long as they serve a greater purpose. As Becker wrote; “What man really fears is not so much extinction, but extinction with insignificance.” And so when we’re discussing the cinematic depiction of combat and trauma, this nuance is precisely the reason why many war films stumble in their message. One popular war film that exemplifies this is Saving Private Ryan. The film opens with the invasion of Allied soldiers at Normandy. The 20 minute or so sequence, which is filmed in a realistic-looking documentary style, features graphic violence, terrified soldiers, and the overall chaos and destruction of combat. But after that, as Agnieszka Monnet explains in her essay “Is There Such a Thing as an Anti-War Film?”, the conventions of Hollywood storytelling re-emerge and ultimately frame the violence and cost of human life as heroic, and renders it all meaningful. This is most notably demonstrated as our main hero falls at the end, which could have left us wondering if the sacrifice to save Private Ryan was worth it or not. But instead, the film provides us a clear answer with its epilogue in which Ryan lives to be a good man and beloved grandfather, who remembers and honors the men who died for his sake. In doing so, we are reassured that all is well, that all the sacrifices eventually served a heroic purpose, and death has successfully been transcended to achieve greater significance. To emphasize; this doesn’t make Saving Private Ryan a bad film, but it does make it a comfortable one, and as such, it greatly detracts from its effectiveness as a true anti-war statement. In his review, David Walsh also draws attention to the film’s heroic leaders. “The implicit stance taken by the film” – he writes - “is that only the authorities in Washington concerned themselves with ideological matters, while the men in the field were unthinkingly doing the dirty work.” By looking closer at the representatives of what we could see as the film’s hero system, we indeed see that they are portrayed as righteous, rational, and deeply concerned with the suffering of soldiers and their loved ones. The point is not so much if leaders were actually like this or not, but that it doesn’t at all question the hero system that is driving the violence. The film states the sacrifices were costly, but then assures us they were laid upon the altar of freedom. And this sentiment of meaningful suffering echoes throughout the entire film, and in doing so, redeems it. What it comes down to is that despite showing the gritty reality of combat, war films can still romanticize instead of criticize if they do not question the general function of their hero systems.
— Like Stories of Old, Lies of Heroism. Redefining the Anti-War Film
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lascitasdelashoras · 7 months
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Henri Cartier-Bresson, ANNE-MARIE MONNET RANGE SES MANUSCRITS, 1946
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earthpiecevii · 2 years
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Caroline Monnet, Juno I, 2017, Hair, Tar, Oil Paint
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oldfilmsflicker · 1 year
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new-to-me #513 - Tshiuetin
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garadinervi · 1 year
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Micah Lexier, Two Circles, Arts Brookfield, Brookfield Properties, Toronto, 2017. Designed by Emma Wright at Monnet Design
Video about the creation of 'Two Circles' [artwork created under the City of Toronto’s Percent for Art Program; winner of a Toronto Urban Design Award of Excellence, 2017]
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fangirlshameblog · 1 year
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"The EU flag has 12 stars. Each star, an hour on a clock face - a throwback to signing the Treaty of Rome in 1957 when Paul-Henri Spaak asked Jean Monnet what time it was, to which he responded, "It's Europe-time, bitches!"
The flag represents that it's now "Europe-time", 24/7."
Tom Moylan, EU historian.
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first-stricture · 2 years
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Mindy's Ink
tattoos: Jean-Luc Monnet
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retrogeographie · 25 days
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Saint-Etienne, le lycée jean Monnet, quartier de la Métare.
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letterboxd-loggd · 1 year
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The Moon in the Gutter (La Lune dans le caniveau) (1983) Jean-Jacques Beineix
June 17th 2023,
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