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#QUATRE MOIS bon sang
touchlikethesun · 11 months
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je travail même plus là-bas mais j'ai proposé de faire des traductions bénévolat pcq... j'aime bien traduire, je peux les aider, et ca me fait une tache sympatoche et tranquille pourquoi pas ? mais on vient de m'envoyer un document à traduire et... est-ce le doc final ??? je le crois pas, ca se lit comme un brouillon, un premier brouillon, et j'ai envie de tout récrire sauf que j'en ai ni le temps ni le statut qui me permettrais à faire ce qu'il faut et grrrrrrr j'suis trop gêné
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selidren · 8 months
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
2/15
Elle y a retrouvé un ancien camarade de classe de la faculté de médecine qui a travaillé au dispensaire français à Londres, un certain Armand Pradin (ou Pradier, je ne sais plus). Il a été appelé en qualité de chirurgien au début de la guerre. Elle n'avait jamais vraiment parlé de lui avant, mais j'ai cru comprendre qu'ils étaient plus ou moins amis, et qu'il a assisté de très près au pire horreurs quand notre vaillante armée a repoussé les envahisseurs à Verdun.
Transcription :
Armand « C’est incroyable de te retrouver par hasard après toutes ces années. Cela fait au moins… quatre ans depuis la faculté. »
Rose « En réalité, nous nous sommes revus au gala pour le dispensaire français à Londres. Tu étais assis près de moi pendant la représentation au Gaiety. Je crois que tu ne m’as pas reconnue. »
Armand « Vraiment ? Tu m’en vois désolé. »
Rose « Ce n’est rien tu sais. Il y avait une célébrité sur scène à ce moment. Et si mes souvenirs sont bons, tu étais bien plus intéressé par les jeunes femmes célibataires qui pouvaient croiser ta route, alors que j’étais accompagné de mon mari. As-tu finalement trouvé une femme qui veuille bien de toi ? »
Armand « On peut dire que tu n’y vas toujours pas par quatre chemins. En effet, je me suis marié un mois avant la guerre. Elle s’appelle Cécile, et elle doit supporter mon caractère puisqu’elle a dis oui de son plein gré. Quand ce sera fini, je devrai te la présenter. Et tu pourras me présenter ton mari. »
Rose « A vrai dire, Zéphir est décédé en Meuse l’année passée. Mais je serai ravie de rencontrer ta Cécile. »
Armand « Bon sang, je suis désolé. Et dire que je me moque de toi alors que je suis toujours aussi indélicat. »
Armand « D’ailleurs, à ce propos… je suis vraiment désolé pour le reste. »
Rose « Désolé pour quoi ? »
Armand « Tu sais… tout le reste. Tout ce pour quoi je ne me suis jamais excusé avant. J’étais un jeune crétin. Non pas que cela m’exonère de quoi que ce soit… Ce que je veux dire, c’est que quand j’y repense… je suis mortifié. »
Rose « C’est vrai que cette période n’a pas été facile. Au moins tu le reconnais. »
Armand « Je n’ai pas vraiment de mérite. Ma Cécile est médecin aussi. Tout ce que tu as vécu, elle l’a vécu aussi. C’était la petite jeune femme blonde qui était deux années en dessous de nous. »
Rose « Ah oui, la petite chose qui gardait les yeux baissés dès qu’un étudiant ou un professeur s’adressait à elle. A elle aussi ils lui ont fait la mauvaise plaisanterie de lui tourner le dos pendant toutes les premières leçons ? »
Armand « Oui... »
Rose « La pauvre. Je n’ai jamais vraiment eu l’occasion de parler avec elle et je le regrette. Moi au moins, quand j’étais à sa place, j’avais mon mari… enfin il était mon fiancé à cette époque. Il a toujours compris, et il n’a fait que m’encourager. Je pense que je lui doit en partie d’être allée jusqu’au bout. »
Armand « Comment était-il ton mari ? »
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duxvonzazer · 1 year
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🔴 Berzé-le-Châtel, un castrum du Xème siècle en Bourgogne
Constitué d’un donjon primitif en bois et d’une chapelle carolingienne en pierre, le castrum de Berzé est attesté dans un cartulaire de Cluny datant de l’année 991, en faisant la plus ancienne baronnie du Mâconnais.
Intégré au réseau de défense de l’abbaye de Cluny dès le Xème siècle, le château prend une importance considérable au XIIIème siècle. En 1229, le sire Hugues de Berzé bénéficie d’un prêt de l’abbaye lui permettant de transformer le château en place forte. Berzé devient ainsi en l’espace de quelques années la plus grande forteresse militaire de Bourgogne du Sud, principal château de défense de l’abbaye. Cluny est alors à son apogée et accueille près de mille moines à l’année.
Au cours de la guerre de Cent ans, le château devient un enjeu disputé et convoité entre les Armagnacs et les Bourguignons. Donné aux Bourguignons en 1417, il est pris par les Armagnacs en 1420 lors de leur attaque du Mâconnais. Après quatre ans d’occupation, il est finalement repris par Philippe le Bon grâce à la présence d’un tunnel souterrain reliant le château à une tour de garde située sur une colline voisine. En 1471, il est à nouveau la cible d’une attaque royale, celle de Louis XI, cette fois infructueuse.
Durant la renaissance, le rôle militaire de la forteresse devient plus secondaire, cette dernière se trouvant pourtant au cœur du conflit déchirant alors le royaume : la guerre des ligues. Catholiques et protestants s’affrontent à travers des escarmouches mettant le pays à feu et à sang. Le duc de Nevers à la tête de la ligue catholique porte un assaut considérable en 1591. Forte de 1100 hommes, 100 chevaux et d’une série de canons portatifs, l’armée du duc vient à bout des défenses de la forteresse qui cède après deux mois de siège.
Après l’attaque de la ligue et l’expulsion de ses propriétaires, le château est laissé à l’abandon pendant près de deux siècles. Lieu de pâturage pour le bétail durant la révolution française, il est malgré quelques dégradations relativement épargné par les vagues de destructions révolutionnaires. Déclaré tout comme l’abbaye de Cluny bien national, il entre dans la propriété de l’Etat mais n’est pas réinvesti. Le château subit alors les affres du temps…
En 1817, les descendants des anciens propriétaires rachètent le château, celui-ci redevenant alors un bien privé. Ayant subi de nombreuses dégradations de par son inoccupation prolongée, le château nécessite alors de nombreuses restaurations : charpentes, toitures et planchers doivent être rénovés afin d’assurer la sécurité du lieu. La famille Thy de Milly agrandit peu à peu les fenêtres, rénove le logis seigneurial et entretient les jardins, permettant bien des années plus tard de l’ouvrir au public afin de partager et donner à voir ce monument remarquable du patrimoine.
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fallenrazziel · 2 years
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Les Chroniques de Livaï #553 ~ L'INSOUCIANCE NE S'IMPROVISE PAS (septembre 846) Hanji Zoe
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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J'en ai déjà ligoté quatre ! Ca marche très bien tout ça ! Bon, d'accord, je m'emballe un peu, ça ne marche pas si bien que ça dans les faits. Les câbles ne sont pas encore assez solides et les machines sont trop lourdes à manoeuvrer. Mais si on les fabriquait plus légères, les titans les feraient voler en éclat ! C'est un vrai dilemme ! La visée est parfaite par contre, on a raté quasiment aucune cible. J'aimerais tellement faire des observations, des tests, des...
Oh non... en voilà un qui va se libérer. Encore... C'est si rageant de voir ces spécimens vivants se carapater ! J'ai trop de choses à régler avec les captureuses, j'ai pas le temps de m'en approcher... Bon, le prochain, on fera connaissance !
Le titan se débat un peu dans les liens qui l'enserrent et finit par s'en débarrasser ; les filins sont intacts et peuvent être rembobinés pour un nouveau lancer, ils sont exceptionnels. Ils ont bien tenu quand même, j'ai compté une bonne demi-heure. Il se relève sur les genoux et cligne des yeux comme s'il se réveillait. Il a pas l'air menaçant, juste étonné. Mmh... Abel ! Vise-le, je veux le garder celui-là ! Encore un peu sur la gauche ! Vite, avant que Livaï le voit !
Evidemment, j'ai parlé trop tard... Un éclair aveuglant éblouit mes lunettes et ce gentil titan s'écroule au sol devant moi, sans que j'ai rien pu faire. Le nain vient se poser sur le cadavre fumant et me toise de toute sa petitesse. Mon sang ne fait qu'un tour. T'es fier de toi, pas vrai !? Je voulais le garder celui-là, il avait l'air docile ! Tu peux pas t'en empêcher, hein !?
Il bougonne comme à son habitude en frottant sa lame avec sa cape. Le corps s'évapore enfin et il revient tourner autour de moi. Ca suffit, tu m’gênes, là ! Y a aucun danger, on s'occupe de ces titans ! Je peux pas travailler si tu déglingues tous les bons spécimens qui se pointent ! Erwin t'a ordonné de m'aider, pas de m'embêter !
Il rétorque que tout ce qui va m'arriver, c'est de me faire bouffer le nez par un de ces monstres. Ca te plairait, hein ? Il répond qu'il s'en fiche mais qu'il voudrait que j'épargne la vie de mes subordonnés. Ben voyons ! Erwin sera très mécontent de toi quand je lui dirais que tu m'as empêchée de travailler ! Il nous regarde là-bas, tu sais ? Il voit comme tu te comportes maaaaal !
Le nain renifle, comme si mon coup bas semblait l'atteindre. Ok, on va faire un marché. Tu vas m'amener le plus beau titan du coin, me laisser l'examiner, et je lui dirais rien ! Attention, je veux pas voir tes lames effleurer un seul de ses cheveux ! Allez, sois docile et obéis un peu ! Sinon, va voler ailleurs, oiseau de malheur !
Il semble s'incliner cette fois, et décolle en douceur pour passer derrière moi. Je le suis des yeux, scrutant ses pirouettes inutiles dans les airs entre les arbres. Erwin lui a si souvent dit d'arrêter de se la jouer, il use son gaz pour rien... Bah, si un titan s'avisait d'avaler cette demi-portion indigeste, il serait foutu de s'étouffer avec...
Oooh, c'est si dommage, pour ce titan... Allez, Livaï, apporte-m'en un avec de beaux yeux, et un joli sourire !
Tandis que je me morfonds à attendre une prise, Moblit et Nifa ramènent les câbles dans la machine afin de la préparer pour une nouvelle capture. Aucun d'entre eux n'a peur, ils me font confiance. Ils comprennent l'importance de cette mission. Je ne suis pas dupe, je sais bien qu'Erwin avait plus d'une idée en m'autorisant cette sortie, mais je compte bien lui en donner pour son argent !
J'entends un doux chuintement dans les branches et les deux nouvelles recrues du grincheux se posent près de moi. Ils reviennent de leur inspection au nord. Ah, c'est vous. Je vous en veux pas pour celui que vous avez tué tout à l'heure, il était vraiment menaçant ; mais celui-là, il avait l'air gentil... C'est sans doute pour ça qu'il l'a massacré, ce rat ! Euh... Hum ! Oubliez ça ! Puisque que votre chef est parti, pourquoi ne pas rester pour m'assister dans mes recherches un petit moment ? Je vais en capturer un autre et je compte bien l'observer dans le détail ! Moblit, tu peux préparer ton carnet de croquis !
Bernon s'assoit en tailleur, l'air vraiment intéressé, mais Krys reste sur le qui-vive. Relax, tout se passe bien, les équipes font leur travail comme il se doit ! Oh, vous entendez ? Je crois que le prochain arrive ! Livaï a du en dénicher un ! J'espère qu'il est pas trop gros !
Un petit bonhomme débouche dans notre clairière, l'air perdu ; le bruit du gaz de Livaï résonne dans la pénombre mais je ne parviens pas à le voir. Il l'a attiré ici et maintenant il cherche à le désorienter. Il est fort, ce petit c... Le titan tourne la tête dans tous les sens, fait quelques pas en avant, les mains tendues... Oh, il est beau ! Et presque à portée ! Nifa, tiens-toi prête ! Quand il passe dans le viseur...
Elle se cale derrière la machine, tend le bras, prête à l'abaisser au moment opportun. Moblit, juste à côté, se prépare à actionner la manette... Encore un peu... Juste quelques mètres... Le titan s'immobilise, cherchant toujours Livaï des yeux. La main de Nifa bouge, s'abaisse, les câbles sifflent dans l'air... viennent se ficher dans le corps tout mou de la cible. Le titan sursaute, tourne sur ses pieds, secoue la tête, essaie de courir, mais ses mouvements l'entravent davantage dans les fils d'acier. Il se retrouve bien vite saucissonné et tombe par terre avec un petit pof comique ! Ouuuii ! Parfait, Livaï ! Il a la taille idéale, un peu plus de cinq mètres !
Mais tandis que je me réjouis de notre succès, les failles de ce système me sautent de nouveau aux yeux. C'est efficace pour étudier sur place, mais je ne peux emmener le titan nulle part. Si nous coupons les câbles, ceux-ci perdront leur tension et le titan se libèrera instantanément. Mais tant qu'ils restent accrochés à la machine, impossible de nous déplacer avec notre prise ! Même si j'avais un moyen de le transporter, ce serait un vrai casse-tête. Et encore me faut-il trouver ce moyen ! Les titans ne sont pas aussi lourds que le laissent présager leur taille, les tirer avec des chevaux serait envisageable... Dans des grands chariots peut-être... A condition qu'ils se tiennent tranquilles ! C'est beaucoup trop hasardeux et dangereux, Erwin acceptera jamais !
Sofie va devoir se creuser la tête pour me trouver un système qui projette cette nasse de câbles à distance, pour que je puisse déplacer mes prises. Un genre de filet peut-être... C'est embêtant, car ça demandera de reprendre de zéro. Elle finira par m'envoyer balader si je lui en demande trop... C'est rageant de ne pas y avoir pensé avant le test sur le terrain !
Enfin, tout n'est pas perdu. Cette version peut être utile à d'autres fins, je pense...
Un doigt timide tapote mon épaule. Le visage doux de Bernon se tend vers moi et m'indique du menton le titan étrangement calme qui attend quelques mètres en bas. Tu as raison, je vais aller faire connaissance avec notre ami ! Je saute à terre, puis sautille vers le titan capturé qui garde ses yeux fixés sur moi. Ooh, ils sont beaux, tes yeux ! Comme je les voulais ! Tes globes oculaires sont aussi gros que ma tête, on dirait ! Et ces cils ! Regarde, Moblit, ils sont aussi longs que mon doigt !
Il se précipite à mes côtés pour tenter de me retenir. Tu ne vas pas t'y mettre aussi ! Mais enfin, il est inoffensif ! Il a l'air fasciné par nous... Je lève les yeux, et aperçois Livaï, assis sur une branche, les lames au clair, une jambe pendant nonchalamment dans le vide. Il attend l'occasion d'intervenir... Pas un geste, toi ! Il est à moi, tu me l'as offert ! Donc je vais lui parler un peu. Si ça t'ennuie, tu peux partir. Je suis sûre que le reste de ton escouade a besoin de toi quelque part.
Il lève le pouce et indique une direction juste derrière son épaule. Krys semble prêt à décoller mais Bernon soupire... Ils veulent rester là, on dirait. Evidemment, ce que je fais est fa-sci-nant ! Bon, mieux vaut ne pas discuter avec lui, obéissez. Vous trouverez une autre occasion d'observer les titans de près. Les deux frères s'éloignent vers le nord à contrecoeur tandis que Livaï prend la direction du sud, et tous finissent par disparaître de ma vue.
Enfin seuls, mon bébé ! Allez, montre-moi ton nez ! Et tes dents ! Est-ce que je peux prélever une dent ? Oh, et attend, je veux essayer de prendre des cheveux ! Ca va, tu n'es pas trop mal installé ? Ses paupières clignent sur ses grands yeux humides. Dis, tu comprends ce que je dis ? Allez, ouvre la bouche, tire la langue ! Des échantillons de salive, oui ! Moblit, va me chercher des fioles dans nos sacs !
Il proteste que je suis beaucoup trop près, qu'il ne va faire qu'une bouchée de moi. Mais non, il est bien tranquille ! Il va se prêter au jeu, pas vrai ? Un claquement sonore vibre à côté de mon visage et le souffle chaud du titan me renverse presque en arrière. Keiji dégaine ses lames et je dois l'arrêter avant qu'il ne commette l'irréparable ! Noon ! Stop, il m'a rien fait, il a juste claqué la mâchoire ! C'est peut-être une façon de... dire qu'il m'aime bien ! Moblit sue de peur et Nifa tremble sur pieds. D'accord, vous êtes pas si rassurés que ça, en fait... Moblit, arrête de transpirer et dessine-le ! Je vais prélever des tissus dont j'espère qu'ils vont tenir le voyage.
Calme-toi, mon beau, doucement... Je vois, je suis la seule qui te veut pas de mal ici. Pourquoi personne ne veut essayer de comprendre ce que je fais !? Je vais te chatouiller un peu, tu devrais dormir en attendant. Dormir... oui, c'est une bonne idée... Les endormir ! Comme des patients qu'on opère ! Mais il faut plus que du chloroforme... Mais oui, cette plante, dont j'ai tiré le narcotique si puissant ! Elle poussait dans les terres inconnues, mais il n'y a aucune raison que je ne puisse pas en trouver dans les Murs ! Je n'ai jamais vraiment cherché... Je me souviens de leur forme et du type de terrain sur lequel elles poussent, je pourrais les reconnaître. Oui, ce serait la solution, je pourrais mener mes recherches tranquillement, en amenant les titans endormis dans un avant-poste peut-être ! En attendant de pouvoir les amener derrière Rose... Ne rêve pas, Hanji, les parlementaires voudront jamais... Ces crétins sans imagination...
Moblit me présente une éprouvette que je place sous la bouche de notre ami afin de récupérer de la bave bien épaisse. Son autre main, serrée sur mon épaule, prête à me tirer en arrière, reste réconfortante malgré l'excitation que je ressens...
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nelielombrelune · 2 years
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Eldarya ANE Episode 17 - Avis
J'étais tellement énervée par cet épisode que je n'ai pas pu m'empêcher de poster un commentaire sur le forum alors que j'avais dit que je ne perdrais plus mon temps et mon énergie à essayer d'être constructive quand nous n'avons jamais aucun retour de Beemoov...
°~ Salut ~°
Bon je ne vais pas y aller par quatre chemins, j'ai beau chercher à adoucir mon verdict je ne trouve pas vraiment d'arguments en votre faveur. Clairement, je n'ai pas aimé.
Pas "je n'ai pas aimé" dans le sens "le développement de l'histoire ne va pas où je voudrais". Non, j'ai pas aimé dans le sens je ne comprends pas ce que je fous là.
Que s'est-il passé dans cet épisode ? Rien. Que s'est-il passé dans l'épisode précédent ? Rien.
Nous sommes à quelques épisodes de la fin de la saison et vous perdez votre temps et surtout le notre dans des errances vides de contenu et de sens.
Si encore ces apartés étaient riches de développement des personnages, de leurs relations et évidemment de la romance désormais pré-mortem avec le CDC.
Mais non. Pas de contenu, juste du blabla dans le vent, des digressions WTF (sérieux vous imaginez Chrome Nevra et Lance danser sur du flutiau (ou quoi que cela puisse être) à l'EVG de Chrome ?) Je ne veux pas tomber dans le cliché de la beuverie obligatoire et virile mais à un moment faut arrêter. Si vous êtes incapables d'imaginer un lore propre à votre univers vous ne pouvez pas copier des traditions bien connues et ne pas en respecter un minimum les codes. Chose que vous semblez avoir parfaitement intégrée avec l'EVJF de Karen (et c'est bien dommage) et son strip-tease fantasmé bien malaisant.
Bref, j'ai pas aimé.
J'ai pas aimé être encore une fois obligée de subir les incohérences scénaristiques ("oh la la je suis débordée comment je vais faire ?" => "tiens si j'allais méditer avec Leiftan et Koori"), surtout que je ne peux blairer ni Chrome ni Karen quels que soient les changements que vous ayez tenté d'apporter à leurs personnages dans ANE. Leur développement dans TO était tellement catastrophique qu'en ce qui me concerne il leur collera à la peau jusqu'à leur mort (si seulement).
Je n'ai pas aimé me faire encore raquetter pour une tenue sans aucun intérêt (sérieux la tenue Sand Walker était incroyable, pourquoi vous nous ressortez une pauvre robe-remake de la robe Shiny Lady on voit bien que vous n'avez fait strictement aucun effort).
En fait je crois que j'ai eu l'impression de jouer un mauvais spin-off pour les fan de Chrome et Karen dont je ne fais pas partie. Episode : intérêt 0 Tenue : intérêt 0 Moment avec le CDC : intérêt 0.
Je vois bien que vous essayez de contenter les joueur.se.s qui déplorent depuis une quinzaine d'épisodes l'absence flagrante et plombante de f*cking ROMANCE mais vous faites complètement fausse route.
Pas que je me plaigne d'avoir des scènes de c*l hein loin de là SI ENCORE ELLES ETAIENT BIEN ECRITES. Mais là pardon mais qu'est-ce qu'on se fait ch*er.
Pour moi toutes ces scènes sont indifférenciables les unes des autres. On pourrait les superposer, les mélanger sans que personne ne s'en rende compte. Je finis par me dire que vos scénaristes devraient trainer sur des forums -18 pour s'inspirer un peu parce que là désolée mais on s'em**rde.
Pas de frisson, pas de tension, pas de frustration, les clefs d'un moment vraiment torride. Comme tout le reste c'est plat, lourd, redondant. On finit par cliquer sans vraiment lire ces bribes de phrases. De quelques mots. Sans aucune alternance de rythme. Qui cassent complètement l'immersion. On clique. Encore.
Encore une fois je ne me plains pas qu'on ait droit à des scènes de s*x mais ce qu'on vous demande c'est du CONTENU b*rdel je le dis à chaque commentaire j'ai envie de pleurer. Du développement des personnages, de leur background, de voir l'évolution de leurs sentiments, de leur relation !!! BON SANG mais qu'est-ce qu'il faut qu'on fasse ?? Je suis désespérée de toute façon à ce niveau de l'histoire je pense que c'est peine perdue mais ce que ça peut m'énerver !
Je suis sur la route de Lance et on ne sait RIEN de lui, de son cheminement sur les 7 années qui se sont écoulées, de son évolution, BON SANG les Redemption Arc offrent tellement de potentiel de développement, ce sont les persos les plus riches ! Et vous en faites une potiche plantée là pendant qu'on demande aux purrekos combien de litres de punch on veut pour cet EVG MAIS ON S'EN F*UT P*TAIN "Merci d'être resté avec moi gnagnagna" mais c'est pas ça qu'on veut ! On veut de la profondeur on veut voir son côté tourmenté sa culpabilité sa noirceur ses doutes GNIIIIIII vous m'énervez vous pouvez pas savoir ce que vous m'énervez.
Le prétexte du mariage (même si je m'en fous) offrait plein de possibilité d'avoir une vraie conversation avec le CDC, de faire le bilan de leur non-relation (clairement c'est plus un plan c*l qu'un couple), de parler de leur éventuel avenir, de la façon dont chacun peut se projeter dans le futur à court ou long terme, de leurs projets de leurs envies enfin de se connaître quoi, plutôt que de se regarder dans le blanc des yeux et de finir inlassablement par b*iser le soir, dans une chambre, dans un lit, comme un vieux couple qui a jeté l'éponge, bon sang qu'est-ce qu'on s'ennuie.
Bref. J'ai pas aimé.
Vous nous proposez des épisodes tellement en dent de scie que je finis par me dire que vous êtes des sadiques et que ça vous fait marrer de massacrer à grand coup d'incohérences et de platitude votre propre création et de nous voir encore nous battre pour tenter d'en sauver les petits morceaux qui pourraient valoir le coup.
Je ne sais pas où on va. Ca sent encore la fin bâclée et WTF avec un réveil miraculeux des pouvoirs d'Aengel de Leiftan et de la gardienne pile au bon moment vraiment on le voyait pas venir (cf l'évolution conjointe et aberrante du seifaun et du draflayel dans l'épisode précédent).
Ce qui m'atterre le plus c'est que je vois des commentaires positifs. Je dois vraiment pas être au bon endroit.
Allez on se voit au mariage hein, je serai la meuf avec une robe démodée qui picole au bar.
°~ RIP ~°
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mmepastel · 1 year
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Le titre original est : Les Bouchers… pas sûre que j’aurais été attirée…
Mais des choses étranges se produisent. Qui eût cru qu’une légende irlandaise au sujet de l’abattage de bœuf m’aurait intéressée sur plus de trois cents pages ?
Il faut dire que l’écrivaine est douée, et qu’elle a habilement troussé son récit, en lui donnant la forme d’un mystère, teinté de sang, un genre de polar rural en quelque sorte qui prend à la fin une résonance légendaire.
Et surtout, on suit des personnages terriblement attachants : la jeune Ùna, sa mère, Davey et son père Fionn, qui habitent tous dans la campagne au nord de l’Irlande, sans que ce soit l’Irlande du Nord. La toile de fond est l’Irlande de 1996, qui subit, avec retard, les répercussions de l’épidémie de vache folle, dans une contrée où l’élevage est crucial ; le père d’Úna appartient à un groupuscule étrange qui perpétue une tradition sensée prévenir le pays de la famine, en se fiant à un légende, celle de La malédiction de la veuve du Boucher. Ils parcourent les fermes et procèdent à l’abattage du bœuf avec un rituel précis, quasi religieux. On les considère comme des arriérés, et accessoirement, la vie de famille de ces huit hommes en prend un sacré coup aussi puisque cette méthode requiert leur présence sur les routes de longs mois. La mère d’Úna trouve le temps long, et sa solitude pèse sur son équilibre.
Chez Davey, jeune homme passionné par les mythes (dont celui du Minotaure -évidemment -), ce n’est pas la joie non plus, sa mère, Eileen est gravement malade, et son père ne lui inspire que mépris, depuis longtemps, et notamment depuis qu’il trempe dans un trafic douteux qui tente d’exploiter le « boom du bœuf celtique », le bœuf irlandais non contaminé par le virus anglais. Ces êtres sont liés, vous le devinez, mais on ne saura comment que progressivement.
Il s’agit d’observer le pays en mutation à travers ces quatre personnages, et de mesurer le poids des clichés et des croyances, le penchant rétrograde de ce pays si particulier. Et la mutation de Úna, qui dans l’année de ses douze ans, perd ses rêves et ses illusions, mais découvre sa vocation, pour le moins spéciale.
Encore une fois, tant que le style est bon, on peut m’amener à peu près partout ; j’ai donc suivi les pérégrinations de ces bouchers particuliers, l’émancipation de Davey, et la mue d’Úna avec plaisir et curiosité. L’écriture est précise, souvent piquée de détails crus doux amers, alliée à cette mélancolie désabusée qu’on retrouve souvent chez les auteur.es irlandais.es. La construction du récit est implacable.
Un livre étonnant.
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ayanna-tired · 2 years
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Not a fucking princess
Il était une fois, une femme et un homme qui avait un bébé, ce bébé s'appelait Ayanna ; super-princesse aux super pouvoirs, elle était promise à un super destin. Elle était née un mardi du mois de Juin, en l'an 1239, au Pays des démerveilles. Son enfance fut mouvementée, elle jouait avec des dragons roses à pois violet (les plus dangereux), elle dormait sur des petits pois, et elle avait des cheveux super longs et super multicolores. Pour l'anniversaire de ses 33 ans, ses parents (qui avaient divorcé mais qui avaient gardé bon contact et étaient resté ami-e-s) lui firent une petite boum surprise. Le beau prince crapaud du royaume de St la Croûte sur Endive y était convié, et Ayanna en devint super amoureuse d'un coup de foudre super lover tout rose à la What Dizney. Mais c'est alors que... Végéta (le prince des supers guerriers de l'espace) lui avoua son amour ! Que faire ? Car il faut le dire : Végéta c'est un beau mec super musclé et super prince (friqué donc. Et bien hétéro !)
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Ayanna se tortura l'esprit très longtemps, et, 21 ans plus tard, alors qu'elle croyait avoir enfin fait son choix : elle rencontra le cousin de Casimir. Et là... ce beau dinosaure ténébreux et mystérieux de mystères lui fit fondre les coeurs... (oui parce qu'elle en avait deux puisqu'elle avait un peu de sang des Seigneur du Temps par son père) le choix lui paru évident à ses yeux et il brisa le coeur de Végéta : Elle plaquait tout le monde pour se rendre en ex-Ugoslavonie Pondorienne libre. Ayanna fit un super grand safari plein d'aventures où elle vit plein d'animaux sauvages. Ces animaux étaient des plus banales : des singes dorés à plumes roses, des manchots stériles d'Afrique du Sud-Ouest, des ours bi-polaires et un couple de tongues vertes. Ayanna se révéla être super bonne chasseuse d'Oliphans et elle ramena dans son studio princier un joli trophée en tête de mammouth Tolkinien. Mais quelle ne fut pas sa stupeur de constater de ses yeux zébassourdis que la tête d'Olyphan ne rentrait pas par la porte du garage !!! C'est alors qu'elle eu l'idée d'appeler son vieux copain Sherk à la rescousse ! Celui-ci se ramena avec Pinoclito et quatre souris blanches. Ayanna laissa les mecs bosser (ben oui quoi, c'est une délicate princesse après tout !) et elle décida de faire de la compote de pommes empoisonnées de chez "Belle-Maman". Tout le monde bâfra et se tapa une bonne indigestion. Ayanna soupirait en repensant à Végéta... mais elle avait prit sa décision et ne pouvait se mentir à elle-même ! C'est pour cela qu'elle enfourcha son meilleur sanglier et qu'elle s'envola pour le Pays des Démerveilles. Arrivée chez ses vieux (qui s'étaient réconciliés sur l'oreiller depuis belle lurette) elle apperçu une jolie éponge avec des gros yeux... le charme de cette grattoir ne put la laisser de glace... elle s'envoya en l'air avec Bob jusqu'à ce que Coït s'en suive... mais c'était sans se douter que le cousin de Casimir passait par là et avait vu toute la scène... Le coeur gros et lourd et brisé et fendu et... tout triste, il alla se cacher dans une boîte à outil géante (qui lui servait de maison) et se suicida en mangeant une clef à mollette.
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Ayanna décida de ne pas se marier avec Bob la plonge et de vivre dans le péché toute sa vie, d'aller voir son amant exorciste Soubarou et de se taper le beau Roi Mustang-Mercedes. Elle n'eut jamais d'enfant et mourute un jour de soleil rose avec la satisfaction du travail pas fait et d'une vie pleine et riche de coïtes à répétition.
Zi end
Not a fucking PRINCESS
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Ayanna
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comme-du-monde · 5 months
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Gadin 20 Réponse de la centurionne Amis Adzervi
Tribun,
L’été dernier, j’ai reçu ma nouvelle assignation. On m’envoyait diriger une centurie de l’armée de terre, déjà stationnée à’ marche chéiroptérienne. À ce moment-là j’tais postée à Loyokser, faque vous pouvez imaginer le déracinement que ça implique pour moi pis ma suite. J’aurais ben aimé y aller direct, mais j’ai à mon service dix aides de camp, deux cooks, un dépouilleur tout frais sorti du séminaire, pis un écomètre. Des subalternes de confiance, mais aucun hastúl là-dedans. C’tait évident qu’y nous faudrait marcher.
Le plan initial c’tait de quitter les vieux pays par les routes impériales, une expédition de quatre mois selon mon écomètre – contre une semaine si j’avais simplement volé, mais bon, on a le miel qu’on se jabote, han? J’ai avisé la cohorte de notre date d’arrivée. Ça le faisait pas pour eux. Le légat-primipile m’a répondu que si j’tais pas en poste au premier jour de la nouvelle année, ch’rais rétrogradée pour refus d’obéir à un ordre.
En brainstormant, mon dépouilleur a mentionné une autre route, une que pus personne emprunte de nos jours : le chemin Tirmeos. Y s’agit de remonter un peu le fleuve, traverser le désert jusqu’à’ vallée thakissienne pis ensuite suivre les rivières intérieures, pour un total de deux mois et demi de marche, ce qui rentrait dins temps. L’écomètre lui a vite fermé le clapet en disant que c’te route-là avait été déclaré « écométriquement insuffisante », mais tsé, une trompe se trompe. Faque j’ai demandé au dépouilleur si les sols étaient assez favorables pour quitter le pavé. Y m’a répondu qu’on arrivait en saison sinistre pis que le mycélium nous ferait la vie dure dins rivières. Tsé ce qu’y disent : ignore l’écomètre, ignore le dépouilleur, mais ignore jamais les deux. Contre toute recommandation, j’ai élu de passer par la vieille route.
Après trois semaines de chemins de terre, on s’est engagés dans le désert. Je pensais avoir toute planifié parfaitement – les réserves d’eau pis de bouffe, les bivouacs, les antivenins pour nos mammifères, mais j’avais pas calculé le facteur camélien.
C’est là qu’y nous ont embusqués. Des Fosomdarun. On a rien vu venir. En plein milieu de la nuitte, me su ramassée une lame à’ gorge à genoux s’a dune avec ma suite. Y devaient être cinquante, soixante peut-être, des Caméliens flambant nus sauf pour leurs couvre-bosses d’albâtre pis leurs coiffes de bronze. Le genre d’accoutrement qu’on voit juste dins vieux contes préconquête.
J’avais un aide de camp qui était Camélien. Y chignait, y’implorait pour sa vie pis y gesticulait vers nos ravisseurs. Y devait penser qu’y’aurait droit à un passe-droit, mais si y’a de quoi, c’est lui que les Fosomdarun avaient l’air à haïr le plus. Les Syeb-Rinta se vêtissent de Syeb-Sana, après tout. Ça m’apparaissait évident qu’y’allait se faire égorger dins secondes qui suivraient, faque je me su parée à l’attaque, mais mon dépouilleur m’a faite des gros yeux. C’est vrai que j’tais la seule dans’ gang qui avait de l’expérience au combat. Si je faisais quoi que ce soit, je condamnais tout le monde. L’aide de camp s’est vidé de son sang pis son corps a dévalé la dune. Suivi de trois autres : deux serpentiens pis l’écomètre.
Y nous ont trainés en chaines à travers le désert pendant des semaines. Au moindre son, au moindre ralentissement du groupe, y nous frappaient, nous sliçaient, nous arrachaient un doigt, un membre, une antenne. Chaque fois qu’on passait par un campement, les désertiques locaux nous accueillaient avec une haie d’honneur de matraquage. Au début je me demandais c’tait avec des os de quel animal qu’y nous frappaient, pis un manné j’ai reçu un coup de défense.
À ce que je calcule être le huitième jour, la chélonienne s’est affalée pis a nous a toute faite débouler la dune. Al’arrivait clairement pus à trainer sa carapace au soleil. Ça nous a pris des heures pour la remonter s’a crête, pis quand qu’on est arrivés, nos ravisseurs l’ont détachée pis passée au cimeterre. Mon dépouilleur avait l’air en tabarnac, mais tsé, on peut pas toute baigner dans’ gelée royale.
Ça a pris une autre semaine avant qu’on arrive à une oasis. Ayanif était en plein midi. À ce moment-là, on en avait perdu trois autres à cause de plaies infectées. Y restait moi, mon dépouilleur, un aide de camp formicien pis les deux cooks, des fongiens qui au final semblaient vraiment plus dérangés par la déshydratation que par les sévices.
Y nous ont tirés jusqu’à une structure troglodyte, une sorte de butte de roche avec une dizaine de balcons sans rampe faisant face à l’oasis. Arrivée à mon balcon, j’ai vu la fosse qui m’attendait en bas. Les pieux avaient déjà faite la passe à plusieurs autres prisonniers. Une Camélienne en robe verte m’attendait. A psalmodiait des vers dans sa langue mâchonnée. Y semblait se passer la même chose s’es autres balcons, je le voyais aux regards de la foule qui se promenaient de haut en bas. Après ça, j’ai entendu des claquements de mandibule, avant qu’un corps de fourmi me passe dans’ face.
Mon dépouilleur, à autre balcon, s’est mis à argumenter. Je l’entendais leur dire qu’y connaissait des trucs pour irriguer les sols les plus sableux, qu’y pourrait leur être utile pour consacrer leurs morts pour qu’y trouvent la paix dans l’après-vie. Toutes ces affaires-là. À travers toute ça, lui, y’avait jamais catché que nos ravisseurs parlaient pas hiryal. Anyway, je l’ai vu rejoindre l’aide de camp dans le pit. Les cooks pis moi on allait y passer bientôt.
La prêtresse s’est avancée vers moi, a m’a détachée pis du bout de son cimeterre a m’a poussée dans le vide. Faque chu rentrée à Loyokser.
Comme on dit par chez nous : pourquoi regarder la danse si on sait déjà ’est où la bouffe? Depuis, je prends ça relax. J’ai encore un mois off avant de rejoindre mon nouveau poste.
Bref, toute ça pour dire que mon dépouilleur pourra pas dire la messe à l’enterrement de votre cousine. J’espère que vous en trouverez un autre à temps.
Une bonne journée à vous,
Centurionne Amis Adzervi
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Cacheté par le Bureau du Tribun, Elurmurd
J2-S3-M4-A4-L2-C20, Ère de Syeb
Traduit de l’hiryal par le Jorneau
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thelightofmeridian · 5 months
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Choisir son groupe (& son camp secret)
Bonsoiiir tout le monde ! Ce soir, je vous présente le sujet explicatif des groupes. Bonne lecture ♡
TW : violence, trahison, mensonges, attaques, tensions politiques, discriminations raciales, inégalités.
IMPORTANT :  Il s'agit là de choisir son groupe public, principalement lié aux origines de votre personnage. Vous pouvez gérer ce détail comme bon vous semble. Cependant, si vous souhaitez rejoindre un groupe (top-)secret, n'hésitez pas à contacter par mp THE LIGHT pour plus d'informations Que votre futur personnage soit plutôt pro-Phobos ou pro-Reine Weira, veillez à ce que l'information ne soit pas connue des autres membres puisque à l'inscription, tous les personnages sont considérés comme neutres. Une partie spéciale pour magouiller avec vos camarades vous sera accessible une fois l'appartenance à un camp validée par le staff. GROUPE "PUBLIC" (lié aux origines)
Escanors — La majorité des personnages de ce groupe sont les descendants des premiers humains envoyés à Meridian. Parmi eux, on retrouve des membres de l'actuelle Dynastie Escanor ou encore des descendants des quatre chevaliers légendaires : Grendal, Didier, Hoel et Brandis. Encore à ce jour, toute personne affiliée à l'une de ces grandes familles est considérée comme noble, avec ou sans titre de noblesse. Au fil des siècles, la plupart d'entre elles se sont unies avec les habitants originels du royaume : les Galhots. De ce fait, la notion de pureté du sang (personnages exclusivement humains) n'existe pas, même au sein de la famille royale. C'est même ce mélange qui a progressivement introduit la magie chez ces derniers. MOTS CLÉS : Dynastie Escanor, famille royale, ascendance humaine majoritaire, noblesse.
Galhots — La majorité des personnages de ce groupe sont les descendants des habitants originels de Metamoor. Rien n'empêche une famille Galhot d'accéder aux hautes sphères du royaume ou bien de faire partie de la noblesse. Tout comme le groupe Escanors, il n'existe pas de personnages exclusivement meridianites puisque ces derniers coexistent avec les descendants humains depuis de nombreuses générations.  Cependant, du fait de leur ascendance meridianite majoritaire, certains traits physiques peuvent être plus marqués. MOTS CLÉS noblesse, habitants du royaume, ascendance meridianite majoritaire.
GROUPE SECRET (lié au camp politique)
Murmurants — Fidèles au Prince Phobos dans sa quête du pouvoir, ils ont été façonnés de sorte à en faire des serviteurs fiables à sa cause. Le mouvement étant à ces débuts, son fonctionnement même reste encore très flou et une grande partie de la population ignore son existence. Des rumeurs se propagent d'ores et déjà au sein de la capitale et ne tarderont pas à atteindre les régions avoisinantes. Un climat de méfiance s'installe progressivement alors que les espions de Phobos peuvent être n'importe où, prêts à lui rapporter vos moindres faits et gestes. GROUPE SECRET à ne surtout pas évoquer dans vos fiches de présentations ou sur le forum en général ; merci de contacter THE LIGHT pour plus d'informations.
Rébellion — En réponse aux menaces de son fils, la Reine Weira a pris les dispositions nécessaire pour que la lumière de Meridian soit en sécurité ; celle-ci aurait dû être transmise à l'héritière, la Princesse Elyon, une fois en âge de régner mais rien ne semble pouvoir freiner les ambitions du prince. Au palais, les conseillers du couple royal tentent d'étouffer l'affaire, en vain. La Princesse Elyon, âgée de quelques mois, n'a pas été aperçue depuis un bon moment et le peuple commence à se poser des questions. GROUPE SECRET à ne surtout pas évoquer dans vos fiches de présentations ou sur le forum en général ; merci de contacter THE LIGHT pour plus d'informations.
Voilà, j'espère que ça vous a plu ! Si vous avez des questions, remarques etc, n'hésitez pas à me contacter ici ou sur discord ! Quelle annexe aimeriez-vous découvrir la prochaine fois ? 👀 L'annexe de la chronologie est divisée en 3 chapitres : 1) l'histoire du royaume en général, 2) les périodes importantes, 3) l'écoulement du temps.
L'annexe du royaume est divisée en 4 chapitres : 1) Metamoor et ses régions, 2) habitants du royaume, 3) mode de vie, 4) lois magiques de l'univers.
Pour rappel, l'annexe du système de jeu est déjà disponible ✨ Merci et à très vite 🌹
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franckdoutrery · 6 months
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Résumons-nous : c’est le printemps
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C’est un mois qui commence par un sac à malices, où chacun peut puiser selon son âge et son humeur. Il est étiqueté « poissons d’avril » en capitales d’imprimerie. L’employé de bureau y cherche un gros cabillaud en papier bristol, qu’il accrochera au veston du directeur. Lequel fera semblant de ne pas avoir remarqué la distinction taquine. Il circulera même plus que d’habitude dans les couloirs et les étages, où il ne rencontrera qu’amusement et euphorie. Même le trésorier et la caissière, d’ordinaire si réservés, ne pourront réprimer un sourire, quand il aura le dos tourné. 
Et que fait la presse ? Comme chaque année, elle s’ingénie à inventer quelque fausse nouvelle. Laquelle doit tout de même rester assez vraisemblable pour que l’abonné crédule morde à l’hameçon. Rien ne servirait d’exagérer le bobard improbable, qui serait tout de suite pris pour ce qu’il est. C’est ainsi qu’on écrirait en vain que le gouvernement va supprimer le contrôle fiscal, que telle vedette de l’écran ne boira plus que de l’eau claire, voire que le pape s’est marié en grandes pompes. Voilà en effet des dépêches teintées par trop de vraisemblance contrariée. (Notons que certains journaux à gros tirage n’attendent pas le premier avril pour publier ce genre de bobards.) En revanche, qu’on rédige un entrefilet sur le prix de l’essence qui baissera de vingt centimes, un autre sur le cannabis qui sera bientôt en vente libre ou un troisième sur la Marseillaise, qu’on ne chantera plus en souhaitant « qu’un sang impur abreuve nos sillons », et voilà le lecteur plongé dans les abysses du doute. 
C’est sur ces farces et attrapes bon enfant que démarre le quatrième mois de l’année. Le soleil n’arrête plus de darder. Il flotte dans l’air une odeur de prairie humide, de terre labourée, de fringale et de pénitence. Les jardins se parent des taches jaunes dues aux genêts, forsythias, jonquilles et narcisses. Bientôt aussi aux mimosas, millepertuis et pissenlits. Dans les branches prêtes à la feuillaison, moineaux, mésanges charbonnières et rouges-gorges se hâtent de construire leurs nids. Résumons-nous : on a beau faire, le printemps sonne aux portes. Il est temps de lui ouvrir. 
Si tous ces phénomènes arrivent à point nommé, il n’en va pas de même pour Pâques, qui est fête variable. Depuis le Concile de Nicée (325), elle doit tomber le dimanche qui suit la première pleine lune du printemps. Mais comme la lune est notoirement fantasque, il peut se passer plus de quatre semaines entre la Pâques la plus précoce (le 22 mars) et la plus tardive (le 25 avril). Si bien que le jardinier perplexe se met à douter des dictons les mieux établis. Car si on est au balcon à Noël (fête fixe), comment être sûr qu’on sera aux tisons à Pâques (fête mobile) ? De même, comment suivre sans scrupule le conseil « après le carême, bois ton vin sans baptême », si l’année dernière, à la même date, on n’était encore qu’à Laetare ? Et si le dimanche des rameaux tombe tantôt en mars, tantôt en avril, comment en conclure que le vent ne changera pas de sitôt ? Malgré ces décalages, l’homme profitera des rameaux pour faire bénir sa branche de buis. Il en plantera de petites tiges aux quatre coins de son champ d’orge, qui va de ce fait prospérer à vue d’œil. Il en accrochera aussi au crucifix de la salle à manger et au portrait de l’oncle Jules, tombé au Chemin des Dames en 1917.
Or, avril est aussi voué au Bélier et au Taureau, deux signes qui favorisent à la fois les heureux événements et les catastrophes. Parmi ces dernières, rappelons que c’est un 14 avril que le Titanic heurta un iceberg et fut envoyé par le fond emportant quelque mille cinq-cents passagers. Sachons aussi qu’Abraham Lincoln fut assassiné un 15 avril. Et qu’un 16 avril, dans la fosse 9 d’Hersin-Coupigny (Pas- de-Calais) un coup de grisou tua quarante-deux mineurs. Enfin et surtout, que c’est depuis le 26 avril 1986 que l’homme sait situer Tchernobyl sur la mappemonde. Quant aux heureux événements, parmi lesquels en compte souvent les naissances, on fêtera volontiers celle de Mahomet (le 22) ou de François d’Assise (le 29), mais on hésitera d’en faire autant pour Hitler (le 20) ou pour Lénine (le 22). Comme l’Évangile le fait dire à Jésus parlant de Judas : « Il eût mieux valu pour lui qu’il ne fût pas né ! » Encore qu’appliqué à nos deux Attila modernes, il faudrait nuancer ce propos. Ce n’est pas tant pour eux qu’il eût mieux valu ne pas naître, mais pour leurs innombrables victimes.
Notons d’ailleurs qu’il n’y a ni honneur ni honte à naître au mois d’avril. Car c’est un berceau où on trouve de tout. Et à toutes les époques. Il y a du Marc-Aurèle et du Charlemagne, du Léonard de Vinci et du Kant, du saint Vincent de Paul et du Landru. Mais le dessus du panier, c’est tout de même l’infatigable traceur du profil de l’homme, j’ai nommé Alexandre Vialatte, qui naquit le 22 avril 1901 à Magnac-Laval (Haute-Vienne).
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christophe76460 · 9 months
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RÉVÉLATION DIVINES SUR L'ENFER Par Kenzo Atshushi N° 2
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Aujourd'hui, je peux vous dire, celui qui meurt sans Christ, sera transporté par un grand nombre de créatures noires qui ressemblent à des anges. L'ange de la mort est une Principauté. Il commande une légion d'anges noirs ressemblant à des ombres. Ces démons agissent comme des moissonneurs. Leurs fonctions sont de transporter les âmes en Enfer. Des millions de ces faucheurs agissent aux quatre coins du monde.
Quand j'étais en Enfer, le prince de la mort m'avais laissé là-bas. Il est le chef de ces moissonneurs. Lui-même s'était chargé de prendre mon âme. J'avais très peur de lui comme il m'avait traîné. Il me laissait dans une vallé sombre où les flammes de feu brûlent des gens jusqu'aux os. Mais les os ne se désintègrent. Je me suis sentis seul, condamné. Une femme que je connaissais, marchait dans cette flammes. Elle errait pour toujours en Enfer. Le feu brûlait son corps. Cette femme travaillait dans la même entreprise pour laquelle j'avais travaillé auparavant. C'était une marchande. C'était triste pour moi de voir son corps consumé. Elle était nue et n'avait plus la gorge a crier, seul des larmes coulaient de ses yeux.
ROUGE À LÈVRES
L'ange de Dieu est venu vers moi parce que mon espoir de salut était terminé. Je me disais que je resterais à cet endroit pour toujours. L'Ange du Seigneur m'avait conduit dans le complexe industriel de l'enfer où j'avais vu des démons fabriquer des rouge à lèvres à travers le sang de chauve-souris de l'enfer. Ce sang de chauve-souris bouillait dans les chaudrons de l'enfer. Des barres rouges sont sortie des chaudrons, et pour changer la couleur des barres, ils ont ajouté quelque chose d'autre dans les chaudrons remplis de sang.
POUDRE POUR LE VISAGE
Les démons firent la poudre aux yeux avec de la boue pourri de l'enfer, des boues extraites des puits infernaux. Ils ont pris des liquides de métaux qui coulaient des volcans de l'enfer. Ces liquides était utilisés pour fabriquer des boucles d'oreilles, des bracelets, des colliers et des chaines.
VÊTEMENTS SEXY
Je vis également des usines de mini-jupes, shorts pour hommes et femmes, robes sexy et collées, jupe sexy avec de grandes coupes au milieu. Les démons ont fabriqué ces vêtements avec des poils de l'enfer et des soies d'insectes infernaux, des chemises sans manches pour hommes et femmes, des chemises de sport aussi ! Après que les démons aient fini de fabriquer tous les vêtements, ils sont monter sur terre. Ils ont inspiré leurs modèles utilisant des fabricants de vêtements, des satanistes et les hommes d'affaires des industries textiles, ont ordonné aux travailleurs de produire. Puis les démons retournèrent en Enfer heureux ! L'un d'eux déclara : "Lorsque ces nouveaux modèles de vêtements et d'accessoires de maquillage seront fabriqués sur terre, chaque église utilisera nos marques et nous conduirons tous les chrétiens en Enfer pour avoir utilisé ce qui nous appartient. >> Satan s'est manifesté et a dit : << Bon travail, c'est merveilleux de voir comment les églises ouvrent les portes du monde, nous entrons et nous leur enlevons leur âme facilement. Elles nous livrent leur âme quand elles laissent le péché entrer dans leur vie. >>
JOUETS EN FORME DE SEXE
Je vis des gens en Enfer, des hommes et des femmes qui portaient des prothèses en plastique à l'intérieur de leurs corps pour se faire belle. Je vis aussi ceux qui ont eu des rapports sexuels avec des objets et des fruits, je vis aussi ceux qui achetaient des produits en plastique dans la boutique sexy en tant que produits de consommation féminins et également des consommateurs masculins. Je vis que ces produits sont fabriqués en Enfer. Si vous êtes célibataire, n'achetez pas ses produits. Si vous êtes marié, ne les achetez pas non plus. Ce sont des œuvres sataniques. Ce n'est pas du fantasme. Ce sont les moyens par lesquels Satan a cherché à entrer dans leurs vies à posséder leurs corps et à les mener en Enfer. Ceux qui achètent ces produits et ont des relations sexuelles avec ces accessoires ont des rapports sexuels avec des démons.
Je vis aussi un jeune chrétien en Enfer. Il était utilisé par Dieu, mais une chose avait condamné ce jeune homme, il avait une poupée gonflable avec laquelle il avait des relations sexuelles tout les jours. La vérité est que derrière cette poupée, il y avait un démon qui s'y cachait, ce jeune homme avait eu des relations sexuelles avec un démon à travers cette poupée. Je vis un homme en Enfer pour avoir pratiqué le sexe comme des animaux...
À SUIVRE....
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akaiuchiha · 10 months
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Chapter 3 (French): Leaving Whiskey Peak, days at sea, time not stopping
"Chef Zeff on est tous là."
Tout l'équipage se tenait devant Zeff après que ce dernier ait envoyé un des serveurs à la recherche de tout le monde. Ils devaient savoir comment leur voyage allait se dérouler jusqu'à la prochaine île.
"Parfait. Comme vous pouvez le voir  ces quatre personnes vont nous guider jusqu'à Alabasta notre prochaine destination. Je n'accepte pas les remarques et si vous êtes pas contents, vous pouvez rester ici et espérer que quelqu'un vous emmène à East Blue. C'est compris ?
-Oui ! Dirent-ils en coeur.
-Mh. Bon présentez vous parce que je ne vais pas le faire à votre place. Vous avez intérêts à vous rappelez de leurs prénoms si vous ne voulez pas devenir de la nourriture pour monstres marins!"
Le petit groupe s'echangea quelques regards jusqu'à ce que la fille aux cheveux rose soupir et prit la parole.
"Ils ont le tract quand il s'agit de parler devant une foule. Je m'appelle Tara, elle c'est Eri, celui qui fait la moue derrière moi c'est Yan et le dernier avec des yeux de chiot battu c'est Kehos."
Suite à une telle description, il était aisé de dire que Yan n'était pas ravi.
"Je ne fais pas la moue.
-Si, tout le temps. Mais c'est bon tu as toujours été ronchon. dit Eri avec un sourire narquois."
Yan laissa échapper un bruit de frustration et se mit à bouder. Kehos les salua de la main avec un sourire timide et Tara se contenta de soupirer. Zeff fit de même et se reconcentra sur les événements.
"Le Log pose est quasiment rechargé. Passez le reste du temps sur le bateau et ne le quittez pas. Je ne veux pas avoir à vous courir après quand on lèvera l'ancre et si vous n'écoutez pas eh bien, vous savez ce qui vous attend. Déguerpissez maintenant."
Sur ces mots, ils s'éparpillèrent. Certains pour mettre sur le bateau ce qui était sur la terre ferme et d'autres pour se rendre directement à bord.
Le petit groupe les regarda faire puis rejoignirent Zeff et se mirent à lui poser beaucoup trop de questions.
"Qu'est ce qu'on va faire de notre bateau ??
-Vous n'êtes vraiment QUE cuisinier ?
-Et si vous essayez tous de nous manger ?
-Nan ça c'est juste idiot comme question, Yan.
-T'es mal placé pour parler imbécile de chien.
-Au moins je ne suis pas nul socialement parlant, sourit Kehos en tapotant la tête de son ami.
-Vous êtes insupportables les gars. Mais c'est vrai, qu'est ce qu'on va faire de notre bateau ? Peut on l'attacher au votre ? Demanda enfin Tara en ignorant complètement les exclamations des deux hommes.
-Oui faisons ça maintenant."
Ils retournèrent à leur bateau pendant que Zeff cherchait une corde. Quand ils arrivèrent au niveau du Baratie, ils travaillèrent tous ensemble afin d'attacher leur bateau au restaurant. Une fois fait, ils rejoignirent le cuisiner.
"Vous êtes parvenu à voyager avec un tel navire ? Je suis impressionné. dit Zeff en regardant le petit bateau attaché au sien.
-On a grandis sur Grand Line, on n'a pas peur de la mer, répondit Kehos."
Le moment de quitter Whiskey Peak arriva rapidement. Le Baratie prit le large et quitta l'île aussi silencieusement que possible qu'un équipage composé de cuisiniers au sang chaud le permettait.
Quand l'île fut assez loin et le navire dirigé dans la bonne direction, la majorité du personnel se détendit et se mit à cuisiner pour tout le monde. Tandis qu'ils avaient enfin la possibilité de se reposer, Zeff sentait l'anxiété le gagner. Les jours passaient, ils avaient quitté East Blue deux jours plus tôt et le soleil se couchait. Ses hommes étaient épuisés et ils étaient encore bien loin de leur destination, ce qui faisait que Zeff doutait d'y parvenir à temps.
Il devait parvenir à rejoindre l'équipage au chapeau de paille. Il avait le devoir de mettre au tapis son imbécile de fils, de mettre une raclée à son horrible père biologique et cuisiner des pâtes aux fruits de mer afin de réconforter le cornichon.
Eri vint à côté de lui et attendit jusqu'à ce qu'elle ait son attention.
"On ne dirait pas un pirate habituel.
-Parce que je ne suis pas un pirate. Je suis cuisiner, point barre.
-Vous avez une jambe de bois."
Zeff leva un sourcil, quelle réflexion idiote.
"Gamine, n'importe qui peut avoir une jambe de bois et toujours être un pirate. Bon sang tu ne lis pas le journal ? Un des empereurs a un bras en moins et il est toujours un des plus forts.
-Si vous le dites. Mais si vous n'êtes qu'un cuisinier, qu'est que vous faites ici avec votre restaurant ?
-Tu poses beaucoup trop de questions."
Zeff commençait à partir quand il s'arrêta net et regarde Eri d'un air sérieux.
"Au fait, n'osez même pas gaspiller de la nourriture sur ce navire, je suis intransigeant à ce sujet. Si vous gaspillez, je vous remet toi et tes petits amis sur votre bateau.
-Vous ne feriez pas ça, vous avez besoin de nous."
Toute cette situation ennuyait Zeff. C'était une mauvaise blague, non ?
"Si tu penses que je n'en suis pas capable, tente et tu verras. Ne soyez pas en retard pour le dîner."
Il quitta le pont en laissant derrière lui une Eri ahuris.
Trois jours étaient passés depuis cet échange. Ils naviguaient toujours vers Alabasta et Zeff vérifiait si leur stock de nourriture tiendrait jusque là. Quand le petit groupe était venu manger, il n'avait pas été surpris de les voir suivre ses règles. Une bonne chose pour eux à vrai dire, il n'allait pas s'amuser à nourrir des gens ingrats.
Et pourtant, il ne parvenait pas à ignorer son anxiété qui menaçait de sortir à la lumière du jour. Tout se déroulait bien pour le moment, la mer était calme et ils devraient atteindre Alabasta dans un maximum de cinq jour, ils ne devraient donc pas manquer de nourriture d'ici là.
Il décida de faire une pause et il s'assit avec ses papiers en main. Kehos, Yan, Tara et Eri allaient bientôt les quitter et Zeff devra reprendre la recherche d'un navigateur sur Grand Line. Il devait aussi s'assurer que personne ne tombe malade puisqu'il n'était pas médecin.
De la fièvre ? Un doliprane et une serviette froide sur le front. Une jambe cassée ? Une hémorragie interne ? C'était la mort assurée.
Il entendit des voix en provenance de la pièce voisine et soupira. La tranquillité était difficilement accessible sur ce bateau et c'était quelqu'un qui possédait ses propres quartiers qui disait cela.
"Monsieur on a reçu le journal."
Il tourna la tête et regarda les deux cuisiniers qui se dirigeaient vers lui. Ils ne semblaient pas stressés donc le journal be contenait probablement aucune mauvaise nouvelle.
"Passe le moi."
Ils lui tendirent le journal et retournèrent à leur discussion. Il l'ouvrit et se mit à chercher une quelconque information sur la situation de son fils. Pour l'instant, rien de nouveau. Les invités étaient en route vers Totoland et apparemment les Vinsmoke étaient enfin tous réunis. Zeff dû se contrôler pour ne pas froisser le journal entre ses mains. Comment est ce qu'une personne personne pouvait traiter avec autant de cruauté et d'indifférence quelqu'un d'aussi formidable, il ne comprenait pas ce principe et il avait été pirate bon sang !
Quelqu'un prit place à côté de lui et attendit patiemment. D'un coup d'oeil, il vit sue c'était Kehos qui lui souriait gentiment, ce qui le mit grommeler. Il n'avait pas besoin de leur pitié.
"Dégage gamin."
Kehos secoua négativement la tête et tendit la main afin de lui remettre un bout de papier. Zeff pouvait voir un nom et un lieu écrits dessus.
"J'ai entendu dire que vous cherchiez un médecin. Malheureusement on ne passe pas par le Royaume de Drum mais je connais un très bon médecin à Alabasta. Je suis certains que si vous lui expliquez vôtre situation il vous suivra."
Il déposa le papier sur la table, lui fit un dernier sourire et quitta les lieux. Zeff prit le papier soigneusement et le rangea dans sa poche.
Peut-être l'espoir existait encore.
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shalomelohim · 1 year
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- Bon Yom Kippour profond et réfléchi -
“G’mar Hatimah Tovah” “May you be sealed in the Book of Life” “Soyons scellés dans le Livre de Vie”
Pardonner ne nous est pas naturel  ; mais Elohim, Lui, pardonne.
La Bible l’affirme :
“ Mais toi, tu es un Elohim de pardons, faisant grâce et miséricorde. ” (Néhémie 9:17)
“ Que le méchant abandonne sa voie, et l'homme injuste ses pensées ! Qu'il retourne à YHWH : il aura compassion de lui. Qu'il retourne à notre Elohim, car il pardonne abondamment. ” (Ésaïe 55:7)
Mais la Bible affirme aussi que la repentance est la condition du pardon.
Deux conditions sont nécessaires pour recevoir le pardon :
d’abord, le retour vers Elohim, c’est ce qu’on appelle « Techouva » de la racine « Chouv » : revenir, en désirant réformer ses voies ;
ensuite, la confession des fautes commises, individuellement ou par la collectivité.
Personne ne mérite le pardon d’Elohim. Il nous est accordé comme une grâce obtenue par le sacrifice de Yahshua sur la croix, sur le mérite de l'alliance de son sang.
Alors,
“ Si nous confessons nos péchés, Elohim est fidèle et juste pour nous pardonner. ” (1 Jean 1:9)
Père, Pardonne nos péchés et accorde-nous l’expiation de nos fautes. Au nom de Yahshua, Amen.                            
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Le thème du pardon est souvent abordé dans la Bible.
Le mot “pardon”, ou les mots contenant la racine pardon, se retrouvent cent quatre-vingts fois dans la version Segond.
D’autres mots comme : “grâce”, ou encore “miséricorde” sont également employés de très nombreuses fois pour développer la même idée.
Le pardon est l’un des aspects essentiels du ministère de Yahshua. Non seulement Il a enseigné ses disciples au sujet du pardon, mais il a également pratiqué le pardon à diverses occasions, et en particulier envers ses bourreaux, à l’heure de la crucifixion.
La première fois où le mot pardon est employé dans la version Segond, c’est dans le livre de la Genèse au Chapitre 18, lorsqu’Abraham intercède pour la ville de Sodome.
“S’il se trouve cinquante justes dans la ville, ne pardonneras-tu pas ?… S’il se trouve cinquante justes… je pardonnerai” (Genèse 18:24-26).
Certainement qu’Elohim a fait grâce, et a usé de patience, pendant des siècles, avant cet épisode. 
Cependant, la série de questions qu’Abraham va poser à Elohim, dans cette circonstance, est intéressante, car elle nous renseigne sur la capacité de pardonner qui est en Elohim.
“S’il y avait dix justes, je ne détruirai pas la ville” (Genèse 18:32).
Nous comprenons qu’Abraham n’ait pas osé baisser la barre encore une fois, aussi nous restons avec une interrogation : La capacité de pardon qui est en Elohim pouvait-elle aller encore plus loin ?
D’autres textes de l’Ecriture nous renseignent sur l’immense capacité qu’Elohim possède pour pardonner.
Le psalmiste nous rappelle cette grande vérité concernant Elohim : 
“ Mais le pardon se trouve auprès de toi afin qu'on te craigne. ” (Psaume 130: 4)
Quel que soit notre passé, Elohim est prêt à nous pardonner. Pour cela il faut venir à lui, se repentir et lui demander pardon : 
“Pardon Seigneur”.
C’est ce que David a fait après avoir gravement péché, il est venu vers Elohim, il lui a fait connaître son péché, et il a été pardonné :
“ De David. Cantique. Heureux celui à qui la transgression est remise, A qui le péché est pardonné ! Heureux l'homme à qui l'Éternel n'impute pas d'iniquité, Et dans l'esprit duquel il n'y a point de fraude ! Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, Je gémissais toute la journée ; Car nuit et jour ta main s'appesantissait sur moi, Ma vigueur n'était plus que sécheresse, comme celle de l'été. - Pause. Je t'ai fait connaître mon péché, je n'ai pas caché mon iniquité ; J'ai dit : J'avouerai mes transgressions à YHWH ! Et tu as pardonné mon péché.” (Psaume 32:1-5 - Le bonheur du pécheur pardonné)
Êtes-vous accablés par le poids de vos fautes ? Traînez-vous un boulet de culpabilité qui rend votre vie insupportable ? Vos péchés sont-ils constamment sous vos yeux, jour et nuit ?
Si c’est votre cas, sachez vous repentir afin de trouver le pardon auprès d’Elohim. 
Il vous cherche et vous attend.
Revenez à l'Eternel afin de faire partie de la Famille d'Israël spirituelle et participer à l'alliance éternelle de miséricorde et de paix.
" Ils habiteront le pays que j'ai donné à mon serviteur Jacob, et qu'ont habité vos pères ; ils y habiteront, eux, leurs enfants, et les enfants de leurs enfants, à perpétuité ; et mon serviteur David sera leur prince pour toujours.  Je traiterai avec eux une alliance de paix, et il y aura une alliance éternelle avec eux ; je les établirai, je les multiplierai, et je placerai mon sanctuaire au milieu d'eux pour toujours.  Ma demeure sera parmi eux ; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. " (Ezéchiel 37-25-27)
Source : Faitesdesdisciples.com
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NSBC • Chapitre 20
Ça fait longtemps que nous sommes ensemble, avec Tetsu. Oh, bien sûr, mes parents ne le savent pas, même ma mère… et avant, ça avait l’innocence de l’enfance, mais ce n’est plus le cas maintenant. J’ai donc eu envie de l’annoncer officiellement à ma famille. De vraiment présenter Tetsu comme mon petit-copain. Papa arrêtera de me parler de filles, déjà… Bref. Quoi de mieux pour cela que le mariage de mes parents ? Il y règne déjà une ambiance romantique, c’est une occasion en or ! Je décide donc d’aborder le sujet avec Tetsu, une fois éclipsés dans ma chambre. On n’en a jamais vraiment parlé mais je ne vois pas pourquoi il serait contre !
« On… On descend annoncer à ma famille que… enfin… pour nous deux ? »
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« Euh… Je ne sais pas, Gaby…
— Mais t’inquiète pas, ils vont pas te manger ! Ma mère l’a accepté sans problème, alors mon frère, mon père et ma tante ça sera pareil, je suis sûr !
— C’est pas ça… »
Je sens mon cœur rater un battement.
« Comment ça ? Qu’est-ce qu’il y a ? »
Tetsu se lève en bredouillant un vague : « je dois partir ». Pardon ?
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« C’est quoi ton problème, à la fin ? Je te trouve bizarre depuis une semaine !
— Gaby… »
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« T’aimes pas ma famille en fait ? Qu’est-ce qu’il y a ? Tu ne m’aimes plus ? L’évolution de notre relation, depuis l’enfance jusqu’à maintenant, ça ne compte pas ? C’est ça ? Ou alors tu m’as trompé ? Qu’est-ce que tu-
— Je m’en vais, Gabriel.
— Comment ça, tu t’en vas ? Je suis en train de te retenir, j’te signale. Tu m’écoutes ?
— Non, tu comprends pas. Je m’en vais. D’Oasis Springs. Demain. Je ne retournerai pas au lycée.
— … Quoi ? »
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« Ma mère a un boulot qui l’amène à bouger beaucoup. Et je savais qu’on allait partir bientôt. Je t’ai rien dit, pardon. J’avais peur de… de gâcher le peu de temps qu’il nous restait ensemble. »
Mon sang ne fait qu’un tour. La colère monte d’un cran, comme jamais auparavant.
« Tu te fous de moi ?! C’est quoi cette histoire encore ?! »
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« Tu te rends compte que tu me largues comme une vieille chaussette, là ? C’est tout ce que j’étais à tes yeux ?!
— Mais non, Gabriel, bon sang… Tu sais bien que je t’ai- »
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« Ne prononce pas ces mots. Casse-toi. J’veux plus te voir. »
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« … J’ai jamais voulu te faire de mal, Gaby… »
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« C’est pareil. Va-t-en. »
Alors que je discutais gaiment avec Victoria des différents arrangements qu’on pourrait apporter au laboratoire, j’ai vu Tetsu descendre en trombe les marches de l’escalier et claquer la porte d’entrée. Est-ce qu’il… pleurait ?
« Gabriel… ! »
Je monte quatre à quatre les marches, aussi vite que me le permet ma robe de mariée, et trouve mon fils en train de pleurer sous les draps de son lit. Mon bébé…
« Gabriel… »
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« … Maman… ?
— Mon chéri… Qu’est-ce qu’il s’est passé… ? J’ai… J’ai vu Tetsu partir en courant… »
Gabriel s’extirpe tant bien que mal de sa couette, essuie vaguement ses larmes et tente de se mettre debout. Il tangue, je le rattrape.
« Tu sais que tu peux m’en parler, hein ? »
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Il renifle. Je ne l’ai jamais vu comme ça, si… dévasté.
« Je viens de me faire larguer, maman…
— Oh non… Pourquoi ?
— Je sais pas… Sa mère part travailler loin, alors il doit la suivre et déménager… Mais il m’en a jamais parlé, alors que ça fait longtemps qu’il le sait… J’ai l’impression de… de m’être fait avoir…
— Je vois…
— Tu sais, j’avais l’impression que c’était la personne avec qui je passerais le restant de mes jours. »
J’ai un pincement au cœur en entendant cela. Certes, Gabriel est jeune, mais une peine de cœur n’est jamais à minimiser. Alors je l’ai enlacé, comme doit le faire une mère.
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J’entends sa voix se briser alors qu’il continue.
« On a tout partagé, maman… Toutes… toutes nos premières fois… Les premières farces… Les premiers alcools… Les premières soirées… Les premiers sentiments… Le premier baiser… La première f- … »
Mon étreinte se ressert autour de lui alors qu’il éclate en sanglots.
« Mon chéri… »
J’aimais bien Tetsu. Jusque là, il m’avait toujours été sympathique. Mais alors pourquoi ai-je l'impression que ce gentil jeune homme vient de détruire mon fils… ?
Je suis redescendu après cela, décidant que je devais laisser Gabriel seul avec ses pensées. En me lavant les mains après un rapide tour aux toilettes, je réfléchis à la stratégie à adopter avec lui. Je ne peux pas le laisser broyer du noir indéfiniment… Il faut que j’en parle à Edward. Mais après le mariage, profitons de ce qu’il reste de bien dans cette journée.
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my--wonderland · 1 year
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Welcome home.
Abigail Filch, debout dans l'escalier, observait les photos accrochées au mur. Elles étaient tantôt animées, tantôt figées, et représentaient la famille Archer. Les parents à leur mariage, leurs enfants bébés, leurs vacances... En observant ces clichés, la jeune fille ressentait un drôle de pincement au coeur. La famille de son meilleur ami était si chaleureuse, si drôle, si unie. Les liens du sang se complétaient de liens du coeur, malgré les disputes inévitables. Et Abby trouvait ça beau. Elle n'avait pas eu beaucoup l'occasion de fréquenter les Archer, mais la Serpentard était persuadée que c'étaient des gens bien, à l'instar d'Headley. Celui-ci, au salon, parlait à ses parents de sa situation et de l'aide dont elle aurait besoin pour échapper à son père et à sa violence. La jeune fille avait voulu l'accompagner, mais Headley l'avait priée de l'attendre ailleurs. Alors, Abigail stationnait dans les escaliers, à regarder des fragments de souvenirs figés dans le temps, et fixés au mur.
- Tu fais quoi ? demanda une voix d'enfant, mais très sérieuse et posée.
Abigail se retourna. Ne voyant personne, elle baissa les yeux. Devant elle se trouvait Shel, le petit frère d'Headley. Âgé de quatre ans, c'était déjà une grosse tête. Son ami de Serpentard lui avait dit qu'il avait déjà plus lu en quatre ans que lui-même en quatorze. Et Abby le croyait volontiers.
- Je regarde les photos. Et toi, petit gnome, tu fais quoi ? - J'allais à ma chambre depuis la bibliothèque.
La jeune fille fit un demi-sourire, puis ricana.
- Alors comment ça se fait que tu n'aies pas de livre en main ? Je t'ai grillé, Archer n°2, t'étais en train d'espionner tes darons et ton frangin. Je ne suis pas à Serpentard pour rien, le gnome !
Shel se renforgna.
- Bon. J'avouerais si tu arrêtes de m'appeler le gnome. - OK. - J'avoue. - C'est bien, le gnome.
Exaspéré de s'être fait avoir, le petit garçon regarda attentivement Abigail.
- Tu l'aimes bien mon frère, hein ? C'est ton meilleur ami ?
La Serpentard ne répondit pas, comme prise la main dans le sac.
- Ouais. Tu vois... Il est aussi chiant que génial. - Wow. - Comme tu dis. Allez, va lire, le gnome, avant que je te fasse faire des roulés-boulés dans les escaliers.
Shel fronça le nez, passa devant Abby et rejoignit sa chambre. La Serpentard allait recommencer la contemplation fébrile des photos, quand la voix d'Headley l'interpella.
- Abigail ?
Il ne l'appelait que par son prénom complet lorsque l'heure était grave. La nommée pivota, cachant des tremblements d'appréhension.
- Alors ? demanda-t-elle d'une voix détachée, comme si elle avait d'autres solutions.
Headley sourit.
- Ils ont accepté, Byby ! Bienvenue chez les Archer !
Des larmes de gratitude perlèrent aux yeux de la jeune fille, qui les refoula.
- Alors, comment ça se fait que je ne t'ai pas encore entendu hurler de joie ? - Peut-être parce que... je n'en ai pas envie ? - Mon oeil, tu te retiens de pleurer, ouais.
En vérité, c'était elle qui avait les larmes aux yeux. Headley le remarqua et passa une main gênée dans ses cheveux. Le duo n'était pas très doué quand il s'agissait d'exprimer ses sentiments. Le jeune homme finit par ouvrir les bras, dans lesquels Abigail se réfugia sans pouvoir articuler un mot. Leur étreinte dura longtemps, et lorsqu'ils s'écartèrent, la jeune fille lâcha :
- Head', tu... tu es vraiment le meilleur ami qu'on puisse avoir.
Un sourire fendit le visage du Serpentard, qui rétorqua :
- Je sais. J'aurais bien aimé m'avoir comme ami moi aussi.
Abby leva les yeux au ciel.
- A mon avis, tu t'adores tellement que ça dépasse le stade de l'amitié. - Tu me connais bien, Byby !
Ils échangèrent un sourire complice, puis Abigail passa aux choses sérieuses :
- Bon, qu'est-ce-qu'on mange ?
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kurerisama · 1 year
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(i7) La Danse Macabre - Acte 1 Scène 6
Episode 6: Le Miracle de l’Ange
traduction française
Note: Cet event ayant été entièrement doublé, vous pouvez suivre la traduction en même temps que le jeu pour une meilleure compréhension.
Episode 6-1
à la Surface
Arme: Uwaa !! Un lapin ! C’est un lapin ! C’est la première fois que j’en vois un vrai… C’est bien plus rond que je ne le pensais. Blanc… Et rondouillet…
Libel: …
Arme: Est-ce que je peux le caresser ?
Libel: … Non. Tu vas tomber malade si tu touches des animaux sauvages.
Cura: Ahah, il sait vraiment rien, le p’tit gars. Il est mimi.
Fuga: Moi, j’l’aime pas du tout. Il agit si naïvement sans même sans se rendre compte qu’on est là.
Cura: Hey, c’est pas dérangeant. On va mettre quelques jours avant d’arriver au repaire. C’est mieux qu’il soit comme ça plutôt qu’il soit bloqué dans la déprime. Et c’est pas comme si on venait de le kidnapper. Plus il s’amuse, moins j’me sens coupable.
Fuga: Qu’est-ce que tu dis ? Y a pas besoin de se sentir coupable. C’est la faute de l’Ark après tout, c’est eux qui nous ont toujours opprimé !
Cura: …
Fuga: Il s’amuse sans même savoir ce qu’il nous a fait subir pendant tout ce temps, ça m’agace. J’ai simplement envie qu’il prenne conscience de la situation…
Cura: Mh, je comprends ce que tu veux dire… Mais bon, dans tous les cas, je pense que lui expliquer quelques trucs ne peut pas être une mauvaise chose. Hey, Libel, p’tit gars ! Venez par ici un moment.
Libel: …?
un peu plus tard
Cura: Donc oui, la différence entre la situation de l’Ark et la Surface est inquiétante, presque désespérée. Ici, y a pas assez de ressources pour tout le monde, alors on s’entretue, tandis que l’Ark peut vivre en paix de façon prospère. Et malgré tout, l’Ark ferme les yeux et fait mine de ne rien savoir. Même si bon, je pense qu’ils n’en n’ont rien à faire tout court. Ça fait un moment qu’on essaie de les contacter pour qu’ils puissent nous aider. Mais ils continuent de nous ignorer.
Arme: Je… Vois…
Cura: Du coup, euh… C’est un peu difficile à avouer, mais…
Libel: C’est pour ça qu’on t'a enlevé. On pensait qu’en prenant en otage quelqu’un d’aussi important que toi aux yeux de l’Église, alors on pourrait finalement avoir un dialogue.
Arme: Aaah ! Je comprends ! Vous êtes vraiment clairvoyants !
Cura: … Il va finir par me rendre fou.
Arme: Hmm… C’était donc pour ça. Excusez-moi, je ne savais vraiment pas que la Surface était devenue ainsi.
Cura: En même temps, t'as dis toujours avoir été enfermé dans ta chambre, nan ?
Arme: Oui. Je suis l’Ange, alors j’ai toujours vécu en sachant être le symbole de l’Église, de l’humanité et de l’espoir. Je me contentais de me présenter devant les fidèles une fois tous les quatre ans, et en voyant leurs yeux s’illuminer pour moi, je savais que j’étais une source d’espoir pour eux. Ma vie se résume à cela.
Fuga: C’est ennuyeux, ça, nan ? A part ce jour précis, les jours se répètent.
Arme: Ahah. Je suppose que l’ennui ne se ressent pas si tu n’as jamais rien à quoi le comparer. Et puis, je lisais. Ce n’est pas comme si je n’avais personne à qui parler non plus. Je pensais juste que c’était comme ça que les choses devaient être.
Fuga: Mmh…
Libel: Arme…
Episode 6-2
à la Surface
Arme: Malgré tout, je comprends. Même si, bon, imaginer qu’un endroit aussi magnifique que la Surface se détruit peu à peu…
Fuga: Mais bon sang ! Qu'est-ce qu’il y a de “magnifique” ici !? Tout est détruit !
Arme: …! Si je vous ai énervé, je m’excuse… Mais… C’est vraiment ce que je pense. A mes yeux, la façon dont la terre, les végétaux et même les animaux s'accrochent si désespérément à la vie, ça semble vraiment magnifique.
Fuga: … Qu’est-ce que tu baragouines…
Libel: Moi aussi, c’est ce que je pense.
Arme: Bien évidemment, vous qui m’avez enlevé pour votre survie, vous êtes tout aussi resplendissants !
Fuga: Où est-ce que tu veux en venir, gamin ?
Cura: Ahah… T’es sérieusement un p’tit gars étrange, toi.
Arme: Je me suis décidé… Je tenterai, moi aussi, de leur demander. S’il y a quoique ce soit qu’ils puissent faire pour la Surface, alors…
Cura: … Pour de vrai ?
Arme: Pour de vrai ! Je demanderai directement à Eternea-sama. Même si, je ne sais pas si ma parole sera d’une grande aide…
Libel: Eternea… Le dirigeant de l'Église de Nerve ?
Arme: Oui. Eternea-sama est vraiment un homme très gentil !
Cura: Ça nous aiderait énormément ! Ça rendrait les négociations bien moins difficiles.
Arme: Vraiment !? Je suis heureux de l’entendre…
Cura: Dans tous les cas, on doit quand même rentrer au repaire pour pouvoir contacter l’Église. Mais ton aide va beaucoup me soulager…
Libel: Merci, Arme.
Arme: A-Aah ! Ce n’est pas grand chose, Libel !
Fuga: Bien, si ça peut nous aider, alors ça me va.
Arme: Ah, c’est vrai… Il y a quelque chose qui m’intrigue un peu.
Cura: Qu’est-ce que c’est, p’tit gars ?
Arme: Mmh… Peut-être que vous n’êtes pas les personnes à qui je devrais poser la question, mais… Pourquoi y a-t-il des ressources sur l’Ark ? Il n’y en a pas à la Surface, mais il y en a dans le ciel…
Libel: …?
Fuga: Hein ? Qu’est-ce-que tu racontes ?
Arme: Pourquoi le peuple de l’Ark ne connaît-il pas la faim ? Moi aussi, je mangeais tous les jours. Même si la Surface meurt de faim, pourquoi n’y a-t-il des ressources que dans le ciel ? Alors que nous n’avons ni sols ni rivières…
Fuga: Nan, mais pourquoi c’est toi qui pose la question ?
Arme: Hein ? Que voulez-vous dire ?
Fuga: Comment ça “que voulez-vous dire” ?
Cura: C’est pas grâce… “au miracle de l’Ange” ?
Arme: Comment ?
Cura: Mais le fait que l’Ark flotte dans le ciel ! Que là-bas, il y a de la lumière même dans les nuits sans étoiles…! Et que les gens ont bien assez de nourriture pour vivre…!! C’est pas censé être les miracles de l’Ange qui béni l’Ark !?
Libel: C’est ce qu’on nous a dit, à nous, peuples de la Surface.
Arme: Miracle… Qu’est-ce que… Je ne sais rien de tout ça… Je…
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