Tumgik
#Un Cess Carry
Text
If you became super rich and could design your own house, but could only add THREE unnecessary/random/expensive home additions (like how people will have bowling alleys, movie theatres, closets with museums of shoes, car display rooms, spa rooms, wine cellars, etc. in their mansions) - what three would you choose?
#I think I would have: an indoor pool (but like heavily customized with a faux weather system so I could get the feeling of swimming in#rain or fog or snow etc.). a very small arcade consisting only of skee-ball and DDR machines. and an old Library Room with authentic#historical furniture/interior design to store old books/tapestries/study room equipment/whatever other antiques I'd collect. It'd be#like some fully intricate movie set or something that would feel completely like stepping into another world/time.#Though I might would trade out the arcade for a roller skating rink.. i DO love skating....#And I wouldve put rock climbing gym because I love indoor rock climbing but.. as I understand it they have to change out the rock things#on the walls every once in a while so that you can have new routes and it doesnt get boring. and I'd rather have an activty room thats like#self sustaining and doesnt require me to hire some person to come switch things around once every month. Otherwise I would#totally do that instead.#I'm also personally not counting ''craft'' type stuff like having a pottery room kiln sort of thing because#that doesn't count as 'unnessecary' to me. since stuff like that would not at all be just a hobby I 'happen to#do sometimes for fun'#but would definitely be a career sort of thing. Like if I had the money for a fully stocked sculpture room and and a sewing room#with a good machine and etc. then I would literally be professionally selling pottery and designing clothing and etc.#so I wouldn't count it as 'just a random side room I dont need' etc.#The same way that if I played tennis professionally or as a very intense hobby that takes up most of my life/time#then I wouldn't count having a tennis court in your house to practice in as 'unncesscarry' etc.#wow that is the worst I have ever spelt that word ghbjh#Un Cess Carry#ALSO would obviously have an underground bunker of some sort with food and emergency supplies which also does not count as unnecessary to m#since it's literally like... survival.. And I thought most health organizations literally reccomend that even#the common person has a small 'go bag' prepared in their house. and like an evacuation plan in case of fire or other things#It WOULD be an unnecessary rich person thing to have a full on undergRound village or something stocked with 9000 guns and#whaetever. but I think just a basic emergency room with basic supplies could still be counted under the 'not unnecessary' requirement.#Like I would say that a sprawling courtyard of flower gardens and fountains and hedge mazes that takes up like a hundred thousand#dollars a year in maintenance would count as one of the three 'unnecessary and expensive' things. But having a small garden in the#back yard with a few planters in a little greenhouse or whatever would not. The 'excessiveness' of the thing matters lol#ANYWAY!!!#Just curious what other peoples Three Main things would be... hrrmm
7 notes · View notes
already-14 · 2 years
Photo
Tumblr media
La Photo Minuit : légende du Nouveau Roman
Sont présents de gauche à droite – et de droite à gauche tant la photo n’est jamais présentée dans le même sens, le négatif se trouvant sans cesse inversé d’une anthologie l’autre – : Claude Ollier, Nathalie Sarraute, Samuel Beckett, Robert Pinget, Jérôme Lindon, Claude Mauriac, Claude Simon, enfin, conversant avec Alain Robbe-Grillet qui ferme la marche et le cadre.
En définitive, cette photo Minuit, si elle s’imprègne des présupposés néo-romanesques et néo-baroques, apparaît comme une entrée possible dans le labyrinthe du Nouveau Roman, et non une sortie… Ce cliché ouvre et met en lumière des liens incidents avec le XVIIe siècle, entraîne dans un vertige baroque de l’image et de l’histoire que les faits n’épuisent pas. L’ecphrase se voit alors soulevée par une hypotypose dans laquelle la photo en vient à prononcer le roman du Nouveau Roman et du Baroque. Comment se saisir alors des corps du Roi de Michon si on en passe pas par cette relecture de la photo Minuit ? Le texte prend alors la pose et voudrait dire : le génie de la littérature passe aussi dans sa photogénie.
Michel Butor, Claude Mauriac, Claude Ollier, Robert Pinget, Alain Robbe-Grillet, Nathalie Sarraute et Claude Simon, Nouveau Roman – Correspondance 1946-1999, édition établie, présentée et annotée par Carrie Landfried et Olivier Wagner, Gallimard, 336 p.
(via La Photo Minuit : légende du Nouveau Roman)
4 notes · View notes
lefeusacre-editions · 4 months
Text
ELLIOT RODGER, ICARRIE, par Ulrich Conrad
"La Bête", le nouveau film de Bertrand Bonello sorti en salles le 07 février, fait remonter à la surface, dans l'une des époques que traverse son récit, un spectre vieux de dix ans : celui d'Elliot Rodger, l'adolescent responsable de la tuerie d'Isla Vista en mai 2014. L'occasion pour le Feu Sacré de revenir sur la dernière vidéo postée par le tueur juste avant sa virée sanglante. Portrait et analyse de ce Carrie au masculin.
Tumblr media
Assis confortablement au volant de son coupé BMW 328i noire, funeste studio motorisé de ses vlogs en série, Black Maria de 193 chevaux au point mort, garée en ce 22 mai 2014 face à la plage de Santa Barbara, Californie, où il attend que le soleil finisse de s’évanouir derrière l’horizon, Elliot Rodger enclenche la prise de vue sur l’écran tactile de son iPhone dernier cri qu’il vient de poser sur le tableau de bord. Venait-il de répéter dans les grandes lignes les principaux points de son oraison filmique avant de lancer l’enregistrement ? Ou bien avait-il si religieusement potassé son script, My Twisted World, ce « manifesto » mis en ligne dix minutes avant son carnage (141 pages de démence misogyne), qu’il avait toute confiance en le flonflon de son flow erratique d’improvisateur guindé et maladroit ?
Pour son dernier prêche, l’image full HD restera légèrement floue : décidément sa patte visuelle – son volant en amorce ayant toujours déréglé la mise au point automatique de l’appareil. Son ultime trouvaille de mise en scène, logique pour ce spectateur privilégié et complaisant de son propre malheur de gosse de riche : un crépuscule dorée digne d’un spotlight géant d’Hollywood – où son père travaille, du reste – qui, à travers le pare-brise, surcadre et irradie le visage de l’adolescent, qui a dû penser, cette veille de son passage à l’acte, que le soleil complice et révérencieux s’éclipsait juste avant lui.
Les ombres des voitures et des passants au loin qui se projettent sur sa bouille de mauvais acteur arrogant forment un obturateur urbain intermittent du plus somptueux effet, épousant son tempo particulier : lent, serein, souverain. Le dispositif de sa vidéo (lui en pleine lumière, les autres réduits à des silhouettes noires) ne laisse plus aucun doute : jusque dans sa résolution meurtrière, Rodger aura infléchi le paysage à ses soliloques de grand prince charmant psychotique. Il aura été au bout de cette victimisation de l’homme bon, doux, raffiné, aimant et oublié qu’il s’ingéniait à modeler ; au bout du revers brutal de son romantisme pleurnichard et châtié qui, arrivé à bout de patience, sera celui du châtiment sans pitié : Elliot Rodger’s Retribution, intitulera-t-il son pamphlet. Sept minutes de monologue sur fond orangé, réitérant l’incompréhension dont il dit avoir été l’objet depuis de trop nombreuses années, et qui devaient l’amener à la nuit rouge et sanglante d’Isla Vista où il fera parler la poudre. Roger, Elliot Rodger !
Ce retournement, seul un homme pathologiquement esseulé en était capable, pour qui son monde, LE monde, pour lui permettre un temps d’y subsister, et au final de lui donner la force de faire périr ses semblables, devait lui donner l’impression qu’il ne tournait que pour lui. S’il s’était détesté avec une répugnance aussi farouche que celle qu’il vouait à la terre entière, il n’aurait jamais commis ses crimes. Contrairement à ce qu’il n’a eu de cesse d’haranguer, ce n’est pas sa haine incommensurable des autres qui lui a fait prendre les armes, mais bien son amour immodéré de lui-même. En marge des coups de feu tirés au hasard au volant de son corbillard bling-bling, de sa mission punitive à la sorority house de l’Université, sa Christine entre les mains, il percutera une dizaines de piétons, de cyclistes, de skateboarders, avec la même inconséquence aveuglée d’ego divin qu’un joueur de GTA. « Well, now I will be a god compared to you, you will all be animals », disait-il d’ailleurs au climax de son selfie d’adieu.
Comme toutes les vidéos qu’il avait publiées jusqu’ici sur sa chaîne YouTube, il avait commencé son laïus plaintif par un sempiternel : « Hi, Elliot Rodger here ! » – sorte de « This is the Zodiac speaking » du tueur anonyme le plus célèbre du nord de la Californie – puis, comme souvent là aussi, ce fut la beauté toxique du monde environnant qui l’avait incité d’abord hypocritement à ouvrir la bouche. Un panorama luxuriant, au choix, d’un parking VIP, d’une vallée, de son quartier, d’un cour de golf, d’un parc ou d’un coucher de soleil – parfois un délicieux vanilla latte de Starbucks en main, et une paire de lunettes Giorgio Armani, elle, invariablement accrochée au col de sa chemise. En une dizaine de complaintes filmées, Rodger a circonscrit la topographie paradisiaque de son grand alibi.
Car son excuse, bien qu’il n’en fit mention nulle part, c’était donc justement son train de vie d’enfant de star pourri gâté qu’il étalait à tout bout de champ. Il faut avoir vu le contenu de son compte Facebook (depuis clôturé) : un autel mégalo et clinquant asphyxiant ; une pornographie narcissique et huppée débridée. Dans son esprit, ce devait être parce qu’il ne lui manquait strictement rien qu’il pouvait alors légitimement s’ériger avec intransigeance et sévérité en chantre du manque, faire de l’amour son caprice suprême ; et parce que sa vie de rêve n’intéressait personne voudra-t-il transformer celle des autres en un cauchemar macabre. Que les autres puissent s’accommoder de vivre sans lui, voilà sans doute ce qu’il leur enviait tant, ce qui lui était invivable – ce qu’il appelait à tour de spleens vidéographiés « a better life ». « Indeed, a too much wonderful life ! » Un scénario digne de Capra filtré par le prisme du ressentiment, ce film préféré des fêtes de Noël aux États-Unis dans lequel un homme sur le point d’en finir (interprété par James Stewart) se voit offrir l’opportunité d’assister à la vie de ses amis s’il n’était pas né. La chance du premier devint l’injustice du second ; le miracle de l’individu, un individualisme destructeur. Au renoncement à la suppression du personnage de Stewart se substitua l’imposition violente de Rodger. L’hiver new-yorkais fit place aux vents chauds de la côte ouest. A l’ombre des palmiers s’écrivait un nouveau chapitre du mariage du Ciel et de l’Enfer…
Tumblr media
Son drôle de biopic est dorénavant un spectre qui hante depuis maintenant dix ans les tréfonds de la grande Toile – son compte YouTube ayant été conservé, amputé seulement de son apothéose ; un film éculé, rébarbatif, segmenté en séquences brouillonnes et pseudo-méditatives, encadré par deux ponants, laissant à loisir de se replonger en boucle dans cette tournée d’adieu d’éphèbe gâteux, de son improvisation sans pudeur à l’improviste de son geste criminel. Un mélo soigné qui doit son carton post-mortem à son dénouement bâclé, amateur et suicidaire.
La seule compagnie que l’on a pu croiser dans l’une des vignettes de son ego-trip, c’était celle de son demi-frère : Jazz. iPhone à la main, il le suivit occupé à dessiner au sol avec un bout de roche calcaire du haut d’une colline surplombant leur quartier, l’Overlook (sic !), puis, sur son consentement, à jeter l’ustensile rudimentaire en direction des habitations. On entend qu’il lui parle, sans que l’on puisse toutefois distinguer ses mots, le vent qui soufflait en rafale ce jour-là faisant crépiter la membrane du micro intégré de son portable, tel un bruitage naturel et modulable de mitraillette semi-automatique sur cette toile d’ennui pavillonnaire, rendant quasi-inaudible ce moment intime d’une exception, du coup, presque douteuse. Jazz s’éloignait et Elliot le laissait partir dans le fond du plan, panoramiquant plein cadre vers le soleil au zénith au-dessus d’eux pendant une poignée de secondes avant, ébloui et les pixels grillés, d’interrompre la prise. Un malaise sourd, depuis, en revoyant les images… Peut-être ses allers-retours rapides de caméra subjective sur le paysage… Réflexe de tueur inquiet d’être épié… Un côté Hitchcock à la petite semelle : la scène dans Soupçons où Cary Grant veut faire admirer le récif vertigineux (où, endetté, il planifie en réalité de s'y jeter en voiture) à une Joan Fontaine déjà bien suspicieuse… Et ce Icare, n’aimant pas les happy-ends, de confirmer plus tard sur son laptop, dans son mémoire, qu’il prévoyait effectivement après la tuerie de supprimer ce concurrent qui, un jour ou l’autre, lui aurait fait de l’ombre.
S’il prétendait diriger sa vindicte sur tout ce qui l’entourait, le cercle gynophobe étroit de Rodger avait bien un centre, un foyer où bouillait en silence sa rage revancharde, une fillette de dix ans à l’époque qui, à ses yeux, se sera rendue bien plus coupable qu’il ne se le rendra lui-même : il s’agit d’une certaine Monette Moio, mannequin dont le père, comme le sien, officie également à Hollywood. Son père, Peter Rodger, réalisateur de seconde équipe sur le premier volet de la série Hunger Games, en a filmé des ados et leur compétition féroce déguisée en fable bien proprette, leur âme de matamore prête à tout édulcorer en jeu de cirque insurrectionnel. L’élève a dépassé le maître. Le fils a dépassé le père. Et les monstres égotistes, s’ils font une priorité absolue (et impossible à assouvir) qu’on les aime plus qu’ils ne s’aiment déjà eux-mêmes, ne sont en revanche jamais avares d’imputer la faute de leur monstruosité à ceux qu’ils désignent comme plus monstrueux qu’eux. Le véritable monstre est d'abord un incurable irresponsable. C’est pourquoi tout ce qui est innocent lui retourne les tripes. L’innocence est une humiliation qu’il reçoit comme une moquerie indélébile, une provocation permanente. La rivalité entre Rodger et les femmes découle de ce schéma-là. Avec sa peau lisse, l’orbe poupin de son faciès, ses lèvres charnues, à la croisée des genres et des sexes, imberbe comme une fille, combien il devait lui être extatiquement insupportable de contempler son visage dans la glace ! Que cherchait-il en le scrutant et le photographiant sous tous les angles pour ensuite l’archiver minutieusement ? L’horreur de l’hormone… Ce miroir qui devait lui renvoyer une image en creux de l’ennemi et qu’il portait sur sa figure comme une filiation irréversible. La Mort qui prend la relève de la puberté pour lui façonner son masque orgueilleux et psychopathe de minet efféminé. Cette Mort qui travaillait à le faire ressembler à ce qu’il détestait. Si « awesome », « magnificent », « sophisticated », « superior » ! Ce sera son verdict… Le brun corbeau comme couleur de l’eugénisme chic ! Toutes ces blondes crâneuses, pulpeuses, superficielles et grotesques de Californie… Lui aussi, l’« alpha male », revendiquait au fond le droit à être une pétasse comme les autres ! « Quick, un Glock 34, un SIG Sauer P226 pour me refaire une beauté ! » COUIC ! Plus fleur bleu que ces fleurs du Mal dont le soleil semble être passé dans les cheveux, qui lui faisaient dresser la tige ; la reine de bal a toujours une cartouche supplémentaire à jouer, il faut le savoir désormais, dans la chambre de son flingue 9 mm… « Elle m’aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout… PAN ! »
Pour la postérité, ce bully badigeonna de jaune son dernier autoportrait, à mi-chemin entre un fond de teint à la carotène de soleil trop mûr et un Bonnard effrayant. Il avait dû préparer toute la journée, encore et encore, son petit rire démoniaque, sa marque de fabrique surjouée qu’il se plaisait à glisser en conclusion de ses punchlines les plus aguerries. Assurément, son rictus stylé devait toujours se lire sur son visage quand on retrouva sa gueule de puceau angélique étalé sur le revêtement pur cuir de son auto cabossée. Le sang avait remplacé la feuille d’or. Les cavalières ne dansaient plus mais gisaient sur le sol. La palabre s’était finalement interrompue. Ce soir-là, la drague avait été mortelle.
Elliot Rodger, ça aura été Carrie au pays du Spring Break.
Tumblr media
Illustrations : Guillemette Monchy.
1 note · View note
Text
youtube
SAMEDI 15 AVRIL 2023 (Billet 1 / 3)
« THE QUIET GIRL » (1h 36)
Nous commençons tout de suite notre « compte-rendu » sur ce film par l’avis d’un critique que nous aimons bien… et qui publie dans un journal dont nous partageons la plupart de leurs positions, tous domaines confondus.
Mais ne ratez pas le dernier petit paragraphe de ce Billet, beaucoup plus nuancé…
________________________
Un (premier) film de Colm Bairéad, avec Catherine Clinch, Carrie Crowley, Andrew Bennett, Michael Patric, Kate Nic Chonaonaigh…
Elle a 11 ans, et elle ne laissera personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. Dans sa famille, elle n’existe pas. Il y a trop de frères et sœurs. En plus, sa mère attend encore un bébé. Cait (Catherine Clinch) se tait, baisse les yeux, croise les mains sur son ventre. Elle attend quelque chose qui n’arrivera peut-être jamais. Le père siffle des pintes au pub voisin. Il est brutal et colérique. La mère n’a de temps pour rien. Cette famille est un cauchemar. À l’école, ça n’est pas mieux.
Ses parents ne savent pas quoi faire de cette gamine taciturne. La solution consiste à l’expédier chez des cousins pour l’été. Son père la dépose dans cette ferme comme on se débarrasse d’un colis encombrant. Dans cette campagne du Waterford, les choses sont différentes. La femme l’accueille comme si elle constituait un miracle. Tout de suite, elle lui donne un bain chaud. À la façon dont Cait considère cet événement, on voit bien que cela ne lui est jamais arrivé auparavant. L’élégante Eibhlin la coiffe en comptant les coups de brosse. Sean, le mari, est plus sauvage, renfermé. Le couple n’a pas d’enfant. Il y a pourtant ces vêtements qui sont à la taille de leur visiteuse, cette chambre au papier peint orné de trains. « Il n’y a pas de secret dans cette maison », assure la femme. Elle lui parle, lui sourit, l’appelle « Chaton » ou « Trésor », admire ses cheveux qui lui descendent jusqu’au bas du dos.
Que se passe-t-il ? Elle n’existait pas. Nul ne la regardait. Là-bas, du côté de Dublin, tout le monde faisait comme si elle n’était pas là. Le changement est radical. On s’occupe d’elle, la considère. Elle n’a pas l’air d’être un poids. Même Sean se déride, lui montre comment nourrir les animaux. On chronomètre le temps qu’elle met pour aller chercher le courrier à la boîte aux lettres. Elle bat des records, respire enfin. L’étang est si clair qu’on peut boire son eau. Elle aurait des vertus pour la peau. On lui sert du lait frais. Sean dépose pour elle un cookie sur la table. Elle lit « Heidi » avant de s’endormir, prépare de la confiture de groseilles. Des voisins viennent jouer aux cartes dans la cuisine.
Évidemment, aucune nouvelle de ses parents. Cela vaut mieux. Cait s’épanouit, ne fait plus pipi au lit, cesse de cadenasser ses émotions. Tout lui paraît neuf. Tout lui semble inédit. On ne lui reproche pas ses silences. Elle découvre la chaleur, la tendresse. Ces denrées existaient donc ? Elle vivait dans la grisaille et l’indifférence. L’univers prend soudain d’autres couleurs. Les vacances auront une fin. Cait ne sera plus la même. Elle aura appris tellement de choses. Sa mémoire ne sera pas assez vaste pour se souvenir de tout.
Tiré d’une nouvelle de Claire Keegan, tourné en gaélique, « The Quiet Girl », le premier film de Colm Bairéad, est touché par la grâce. Ce drame muet flotte, aérien. Attention infinie aux détails, sobriété absolue, présence de la nature, beauté de tous les instants, il a déjà la patine d’un classique. On sait gré au réalisateur de cette modestie, de cette discrétion. Il ne triche pas, ne filme jamais pour rien. Pâle et fragile, pleine de douleur contenue, Catherine Clinch déroule toute une cohorte de sensations, avec la dignité blessée d’une grande personne qui en a vu d’autres. Elle est toute jeune. Elle a déjà trouvé le rôle de sa vie. Un ange est passé…
(Source : « Éric Neuhoff – critique au Figaro »)
_____________________________
Nous y sommes allés hier après-midi, vendredi, et il y avait pas mal de monde dans la salle du Pathé Convention où ce film était projeté. Beaucoup de femmes.
Vous dire tout de suite que ce n’est pas du tout un film que nous recommanderions à tout le monde. Tout d’abord Marina ne l’a pas beaucoup aimé, elle l’a trouvé très lent, qu’il ne s’y passait pas grand-chose et n’a été émue que dans la toute dernière scène.
JM, au contraire, a tout de suite été séduit. Il s’était documenté avant, bien sûr ne s’attendait pas du tout à un énième épisode d’« Indiana Jones » et s’est concentré sur les cadrages, la mise en scène ; tous les non-dits et l’extrême pudeur du scénario, la direction des acteurs… et la présence incroyable de la très jeune actrice, quasiment de tous les plans. Se doutant de l’issue finale, il a tout de suite été en empathie totale avec elle et le couple qui l’a accueillie durant le temps d’un été.
Un film pour cinéphile, certes, mais de l’avis de JM, nettement moins ch…t que certains Bergman.
Marina lui a donné ❤️❤️,8 et JM, ❤️❤️❤️❤️ sur 5.
Un petit post scriptum pour finir : la langue irlandaise (le gaélique) n’a strictement rien à voir avec l’anglais. Nous n’avons reconnu aucun mot. D’ailleurs le film, dans le monde anglo-saxon, est sous-titré en anglais. Voir quelques exemples ci-dessous trouvés sur Wikipédia :
« Bonjour » se dit « Hello » en anglais et « Maidin mhaith » en gaélique
« Bienvenue » se dit « Welcome » en anglais et « Fáilte » en gaélique
« Au revoir » se dit « Bye » en anglais et « Slán » en gaélique
« Comment vas-tu ? » se dit « How are you ? » en anglais et « Conas atá tú ? » en gaélique
« Je vais bien » se dit « I’m fine » en anglais et « Tá mé go maith » en gaélique
« Je suis désolé » se dit « I’m sorry » en anglais et « Tá brón orm » en gaélique
1 note · View note
rhabiha · 2 years
Text
Sexless in the city
I'm back el hamdoul Illah! Certains évènements dans la vie d'une Musulmane sont normalement synonymes de joie, lorsqu'ils deviennent chaos il faut parfois faire des choix difficiles. Dans cette rubrique on abordera ces sujets... et bcp de joie of course !
On se souvient toutes de la fameuse série qui ne cesse de nous sortir des reboots à ne plus finir (perso je préfère toujours l’original à la copie) et cette nouvelle série d’articles m’a justement été inspirée par la la fameuse Carrie. On vit malheureusement dans une société qui maltraite toujours les femmes, que ce soit verbalement, émotionnellement ou physiquement. Certain(e)s diront que c’est…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
histoireettralala · 4 years
Text
“Que les relations d’un homme du peuple comme Oudinot avec ses soldats aient été basées sur la confiance, l’affection, l’estime réciproque, rien d’étonnant! Mais comment ne pas admirer que cet état d’esprit se soit répandu jusque dans les corps étrangers de la Grande Armée, jusque dans les plus hautes sphères des états-majors alliés. Un Poniatowski, puissant seigneur, presque roi de Pologne, usait avec ses troupes de la même familière simplicité que le fils du brasseur de Bar-le-Duc. Il maintenait une exacte discipline parmi les soldats d’une nation naturellement indisciplinée et s’en faisait adorer tout de même. Il était fier de l’une et l’autre chose. “Vous savez, j’espère, disait-il à sa nièce, que nous avons traversé Moscou au milieu des trésors abandonnés, l’arme au bras; pas un des miens n’a quitté les rangs.” Après la retraite, un grand nombre de survivants voulurent lui remettre les aigles qu’ils avaient sauvés. Blessé, il se fait porter dans la cour. Entouré, acclamé, il voit s’entasser à ses pieds les glorieux insignes; il les compte et constate avec attendrissement qu’il n’en manque qu’un seul. Aussitôt, les hommes se récrient: “Il est là, le coucou, mais comme il a eu la tête emportée par un boulet, notre camarade est tout honteux de le présenter dans ce piteux état!” Les rangs s’écartent, on pousse en avant avec de joyeux éclats de rire un garçon de vingt ans qui porte un bras en écharpe. On le gratifie d’affectueuses bourrades, on l’encourage: “Allons, allons, approche-toi, ce n’est pas ta faute.” Enfin il tire de sa poche déchirée l’emblème mutilé, et le pose à côté des autres coucous. Ce faisant il s’excuse de le ramener ainsi accommodé, et ses compagnons expliquent au prince: “C’est qu’il est encore jeune, le camarade; il allait toujours en avant!” Violemment ému, étourdi par le mouvement de cette foule et par les cris sans cesse répétés de Vive la Pologne! Vive notre Chef! Vive la Patrie! Poniatowski tourna vers ces braves un visage mouillé de larmes. Tous se méprirent et crurent que le général pleurait la perte d’une partie de l’armée et surtout de l’artillerie. Pour le consoler, ce fut à qui lui annoncerait l’arrivée prochaine de ses canons. “Ne vous inquiétez pas, assurait-on,  ceux qui les ramèneront n’ont pas pu faire diligence comme nous. Car, voyez-vous, c’est beaucoup plus lourd! Mais ils viendront dans quelques jours, soyez tranquille. Nos chevaux morts ou mangés, nous nous sommes attelés nous-mêmes à nos canons [...] Rétablissez-vous seulement et vous verrez que tout ira bien! Nous nous battrons, nous nous vengerons! Et nous vous suivrons, fût-ce en enfer!” Quelques-uns le suivirent tout au moins jusque dans les eaux de l’Elster où s’engloutirent avec lui les derniers espoirs de la Pologne opprimée.”
Louis Chardigny, Les Maréchaux de Napoléon, Bibliothèque Napoléonienne, P. 249-251
From: Mémoires de la comtesse de Potocka (1794-1820)
Tumblr media
“That a commoner like Oudinot had with his soldiers a relationship based on trust, affection, mutual esteem, no wonder! But how can we not admire that this state of mind has spread to the foreign corps of the Grand Army, even to the highest spheres of the Allied headquarters. A Poniatowski, powerful lord, almost king of Poland, used with his troops the same familiar simplicity as a brewer's son from Bar-le-Duc. He maintained exact discipline among the soldiers of a naturally undisciplined nation and was loved by them all the same. He was proud of both. "You know, I hope," he said to his niece, "that we have crossed Moscow in the midst of abandoned treasures, l'arme au bras; not one of mine has left the ranks. " After the retreat, many survivors wanted to hand over to him the eagles they had saved. Wounded, he is carried to the courtyard. Encircled, acclaimed, he sees the glorious insignia piled up at his feet; he counts them and notes with tenderness that there is only one missing. Immediately, the men exclaim: "He is there, the coucou, but as his head was carried away by a ball, our comrade is quite ashamed to display him in this pitiful state!" The ranks move apart, they push forward with joyful laughter a boy of twenty who has an arm in a sling. He is rewarded with affectionate shoves, he is encouraged: "Come on, come on, come closer, it's not your fault." Finally he takes the mutilated emblem from his torn pocket and places it next to the other coucous. In the process, he apologizes for bringing it back so damaged, and his companions explain to the prince: “That's because he is still young, our comrade; he was always going forward! ” Powerfully moved, dazed by the movement of this crowd and by the ceaselessly repeated cries of Long live Poland! Long live our Chef! Long live the Fatherland! Poniatowski turned a face wet with tears towards these brave men. Everyone was mistaken and thought that the general was mourning the loss of part of the army and especially of the artillery.To console him, it was to whom would announce the upcoming arrival of his guns. "Don't worry, they said, those who'll bring the cannons back couldn't be speedy like us. Because, you see, it's much heavier! But they will come in a few days, don't worry. When our horses were dead or eaten, we harnessed ourselves to our cannons [...] Just recover and you will see that everything will be fine! We will fight, we will take revenge! And we will follow you, even in hell! ” Some at least followed him into the waters of the Elster, where the last hopes of oppressed Poland were swallowed up with him. ”
24 notes · View notes
Text
Carrie, la vengeance : un film d’horreur à voir !
Adepte de films d’horreur, consultez « Carrie, la vengeance », une œuvre adaptée du roman de Stephen King. L’histoire tourne autour d’une adolescente qui se fait sans cesse martyriser dans son lycée.
Tumblr media
0 notes
vignaniasacademy · 4 years
Text
05th June 2020 Current affairs & Daily News
SpaceX’s Dragon spacecraft with two NASA astronauts successfully docked with the International Space Station (ISS) after a historic launch from the Kennedy Space Center in Florida, marking the dawn of a new age in commercial space travel
Tumblr media
About: The SpaceX Crew Dragon spacecraft, carrying astronauts Behnken and Hurley, lifted off atop the company’s Falcon 9 rocket from Launch Complex 39A at NASA’s Kennedy Space Center. The crew will be welcomed aboard the ISS, where they will become members of the Expedition 63 crew, which includes NASA astronaut Chris Cassidy. The rocket, named Falcon 9, which carried the spaceship into the orbit, was built by SpaceX, a company founded by billionaire entrepreneur Elon Musk who also heads Tesla Motors which produces new-age automobiles. The mission was called Demo-2, in keeping with the fact that it was still only a ‘test flight’, which if successful, would lead to more missions in the coming months.  Important Info : Significance With the liftoff, SpaceX became the first private company to launch people into the orbit, a feat achieved previously by only three governments: the U.S., Russia and China.This is the first time that astronauts have been launched from US soil since the STS-135 mission on July 8, 2011, following which all astronauts were flown to the International Space Station in Russia’s Soyuz Capsule.  Source : Indian Express (Science & Technnology) Daily Current affairs and News Analysis The Union Cabinet in its meeting held on 3rd June, 2020 took several landmark decisions for helping India’s farmers while also transforming the agriculture sector
Tumblr media
1) Cabinet approved historic amendment to the Essential Commodities Act With the amendment to Essential Commodities Act, commodities like cereals, pulses, oilseeds, edible oils, onion and potatoes will be removed from list of essential commodities. This will remove fears of private investors of excessive regulatory interference in their business operations. The freedom to produce, hold, move, distribute and supply will attract private sector/foreign direct investment into agriculture sector. But in situations such as war, famine, extraordinary price rise and natural calamity, such agricultural foodstuff can be regulated. However, the installed capacity of a value chain participant and the export demand of an exporter will remain exempted from such stock limit imposition so as to ensure that investments in agriculture are not discouraged. 2) Cabinet approved 'The Farming Produce Trade and Commerce (Promotion and Facilitation) Ordinance, 2020'. Under it, farmers and traders will enjoy freedom of choice of sale and purchase of agri-produce. It will also promote barrier-free inter-state and intra-state trade and commerce outside the physical premises of markets notified under State Agricultural Produce Marketing legislations. The ordinance also proposes an electronic trading in transaction platform for ensuring a seamless trade electronically. The farmers will not be charged any cess or levy for sale of their produce under this Act. It will thus pave the way for creating One India, One Agriculture Market. 3) Cabinet approved ‘The Farmers (Empowerment and Protection) Agreement on Price Assurance and Farm Services Ordinance, 2020’. It will empower farmers for directly engaging with processors, wholesalers, aggregators, wholesalers, large retailers, exporters etc., on a level playing field without any fear of exploitation. This eliminates intermediaries resulting in full realization of price for Farmers. Sale, lease or mortgage of farmers’ land is totally prohibited and farmers’ land is also protected against any recovery. Source : PIB (Economy) Daily Current affairs and News Analysis Following an AYUSH Ministry advisory, several states have recommended Arsenicum album 30 for preventive use against Covid-19, although there is no evidence that it works
Tumblr media
About: Arsenicum album 30 is a homoeopathic drug. It is made by heating arsenic with distilled water, a process repeated several times over three days. It has less than 1% arsenic. It is considered to correct inflammation in body and takes care of diarrhoea, cough and cold. Important Info : The Covid-19 context There is no scientific evidence that the drug works against Covid-19, a fact stressed not only by medical scientists but also by some homoeopathic practitioners themselves.No clinical trial or large-scale study having been undertaken anywhere to scientifically validate the use of Arsenicum album 30 as a preventive medication.  Source : Indian Express (Health) Daily Current affairs and News Analysis The National Centre for Polar and Ocean Research (NCPOR) predicts that there would be a 24% increase in the expansion of Ameri Ice Shelf (AIS) boundaries by 2021 and another 24% expansion by 2026 from its 2016 positions
Tumblr media
About: The floating sheets of ice called the ice shelves play a multi-faceted role in maintaining the stability of a glacier. Ice shelves connect a glacier to the landmass. The ice sheet mass balance, sea stratification, and bottom water formation are important parameters for the balancing of a glacier. Latent and sensible heat processes do play important roles here. The Ameri Ice Shelf (AIS) is one of the largest glacier drainage basins in the world, located on the east coast of Antarctica, at about 70ºS Latitude, 70ºE Longitude. The AIS dynamics and mass balance help in understanding the changes in the global climate scenario. Important Info : The National Centre for Polar and Ocean Research, (NCPOR) is an autonomous Institution of the Department of Ocean Development (DOD), Ministry of Earth Sciences, Government of India. It was established in 1998 and is situated in Vasco da Gama, Goa.  Source : PIB (Grography) Daily Current affairs and News Analysis The World Economic Forum (WEF) will adopt a new twin-summit format for its next annual Davos meeting in January 2021, by bringing together leaders from across the globe for in-person as well as virtual dialogues with a theme of 'The Great Reset'
Tumblr media
About: The gathering of the world's rich and powerful, held every year in Davos, the Swiss ski resort town, will also open its doors virtually for everyone across the world online and through a network of more than 400 hubs globally. 'The Great Reset' will be the theme of this unique twin summit in January 2021. In the run-up to the main annual meeting, the WEF will also host a virtual series, The Great Reset Dialogues.  Important Info : The World Economic Forum (WEF), based in Cologny-Geneva, Switzerland, is an NGO, founded in 1971. The WEF hosts an annual meeting at the end of January in Davos, a mountain resort in Graubünden, in the eastern Alps region of Switzerland.  Source : Times of India (International Relations) Daily Current affairs and News Analysis Union Minister for Road Transport & Highways announced the development of a new Greenfield connectivity to Amritsar City from Nakodar via Sultanpur Lodhi, Goindwal Sahib, Khadoor Sahib as part of Delhi-Amritsar Expressway
Tumblr media
About: Under it, the road from Amritsar to Gurdaspur will also be fully developed and made completely signal free. With this, there will be options to travel to Gurdaspur onwards from Nakodar either via Amritsar or via This greenfield alignment will not only provide shortest and alternate express connectivity to Amritsar city but also to other religious centres of Sultanpur Lodhi, Goindwal Sahib, Khadoor Sahib as well as the recently developed Dera Baba Nanak/Kartarpur Sahib International Corridor in Punjab. Once the project is completed, the travel time from Amritsar to Delhi International airport will reduce by about four hours. Ministry of Road Transport & Highways have taken up development of Delhi Amritsar Katra Expressway under Bharatmala Pariyojana.  Source : All India Radio (Economy) Daily Current affairs and News Analysis The International Day for the Fight against Illegal, Unreported and Unregulated Fishing iss being observed on 5 June, 2020 About: On 5 December 2017 the United Nations General Assembly declared 5 June as the International Day for the Fight Against Illegal, Unreported and Unregulated (IUU) Fishing which was celebrated for the first time on 5 June 2018. The date was selected because 5 June is the date, in 2016, when the first international treaty designed to end illegal fishing – the FAO Port State Measures Agreement – entered into force. The UN Food and Agriculture Organization (FAO) is the lead agency for the new international day. This international day is an important opportunity to highlight efforts to combat illegal fishing.  Important Info : According to the FAO, illegal, unreported and unregulated fishing activities are responsible for the loss of 11–26 million tonnes of fish each year, which is estimated to have an economic value of US$10–23 billion.To curtail this impact, Target 4 of Goal 14 of the Sustainable Development Agenda adopted in 2015, urges to “effectively regulate harvesting and end overfishing, illegal, unreported and unregulated fishing and destructive fishing practices” by 2020.  Source : United Nations (Enivronment) Daily Current affairs and News Analysis World Environment Day is being observed on June 5, 2020
Tumblr media
About: Objective of the day: World Environment Day is the United Nations day for encouraging worldwide awareness and action to protect our environment. Date of observance: Every year on 5th of June. Why June 5? To mark the first day of The United Nations Conference on the Human Environment which was held in Stockholm, Sweden from June 5–16 in 1972. First year of observance of WED: The host: Every World Environment Day has a different host country, where the official celebrations take place. This year's host is Colombia in partnership with Germany. Theme: In 2020, the theme is biodiversity–a concern that is both urgent and existential. Source : United Nations (Environment) Daily Current affairs and News Analysis Union HRD Minister and Minister of Housing & Urban Affairs Shri Hardeep. S. Puri jointly launched `The Urban Learning Internship Program (TULIP)’
Tumblr media
About: Objective: TULIP is a programme for providing internship opportunities to fresh graduates in all Urban Local Bodies (ULBs) and Smart Cities across the country. Eligibility: Any graduate who have completed B. Tech, B. Arch, B. Plan, BSc etc. can apply within 18 months from date of its graduation. Benefits: This will not only help the interns get hands on experience in the vast activities of urban local bodies but will also help to create a resource upon which the industry can draw easily for hiring. Background: TULIP has been conceived pursuant to the Budget 2020-21 announcement by the Finance Minister Smt. Nirmala Sitharaman under the theme ‘Aspirational India’. Bodies involved: Technical support for the platform shall be anchored by AICTE and the programmatic non-technical support shall be anchored by Minister of Housing & Urban Affairs (MoHUA) over a period of 5 years. A Steering Committee under the Chairmanship of Secretary, MoHUA will review the progress of the program on a periodical basis.  Source : PIB (Education) First ever India-Australia Virtual Summit was held between PM Modi and his Australian counterpart Scott Morrison
Tumblr media
Key Highlights: India and Australia have committed to elevate the bilateral Strategic Partnership concluded in 2009 to a Comprehensive Strategic Partnership (CSP). It is in line with India's increasing engagement in the Indo-Pacific region through her Indo-Pacific vision. Both countries have committed to a new phase of the Australia - India Strategic Research Fund to promote innovative solutions for responding to and treating COVID-19. They agreed to broaden defence cooperation by enhancing the scope and complexity of their military exercises and engagement activities. They also agreed to boost cooperation in the maritime domain.  Important Info : It was the first time that PM Modi is holding a bilateral virtual summit with a foreign leader.  Source : All India Radio (International Relations) Daily Current affairs and News Analysis Best IAS Coaching institutes in Bangalore Vignan IAS Academy Contact Vignan IAS Academy Enroll For IAS Foundation Course from Best IAS / IPS Training Academy in Bangalore Latest Current Affairs: Read the full article
0 notes
i-need-u · 4 years
Photo
Tumblr media
Meghan X || ft. Stéphanie Beatriz, Sophia Bush, Natalie Portman... (négociable) 
LE PERSONNAGE || Je vois bien Meghan avoir longtemps vécu au Bronx, avoir dû se battre pour faire des études. Avoir entre temps appris à se battre, et peut-être qu'elle a eut des soucis à cause de ça. Mais dans tous les cas, une fois qu'elle a réussi à s'en sortir, elle est devenu éduc spé pour remettre en place les petits idiots qui...Non, plutôt pour montrer à ceux en difficulté, qu'ils peuvent quand même s'en sortir. La preuve, avec elle. Après ça, elle aurait bizarrement très vite monté les échelons, parce qu'elle serait relativement intelligente, et serait actuellement gérante de l'administration d'un foyer pour ados en difficulté.Et de ce fait elle serait ainsi la supérieure hiérarchique de Matthew, qu'elle ne cesse de taquiner !
LE FORUM || S'asseoir à la table d'un café cinq minutes et prendre le temps de déguster une boisson chaude en observant les gens qui passent devant nous dans la rue. Fermer les yeux un instant en sentant une odeur caféinée nous titiller les narines. Cette odeur pour laquelle on serait capable de traverser une ville remplie de zombies pour pouvoir la humer de nouveau juste une micro seconde. Il n'y avait aucun doute : une bonne journée est sur le point de commencer, au milieu des sons de klaxons et des bruits de pas précipités. C'est la ville, la Grande Pomme, la belle New-York. Celle qui en fait fantasmer plus d'un avec son rêve américain, celle qui ravit les fashionistas prêtes à se lancer corps et âme sur les pas de Carrie Bradshaw ou bien encore celle qui en surprendra beaucoup avec ses découvertes à chaque coin de rue
PLUS D’INFOS || http://waitaminute.forumactif.com/t503-f-au-choix-superieure-hierarchique-un-brin-trop-taquine
0 notes
whileiamdying · 4 years
Text
Nina Simone, la solitude d'une femme du blues
La chanteuse noire américaine est morte lundi 21 avril, à Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône), à l'âge de 70 ans. Cette artiste fut l'interprète de standards comme "My Baby Just Cares For Me" ou "Ne me quitte pas".
Publié le 22 avril 2003 à 12h28 Mis à jour le 22 avril 2003 à 12h28
Large , grande, magnifique, Nina Simone jouait du piano habillée en peau de panthère ou coiffée d'un turban. Femme noire longtemps exploitée par les hommes de son entourage, traitée par le milieu musical comme il se devait à l'époque de ses débuts - c'est-à-dire très mal -, Nina Simone avait changé les paroles du classique de Jacques Brel, Ne me quitte pas, car elle ne supportait pas que quiconque, et surtout pas une Noire, prononce des mots aussi dégradants que "Laisse-moi devenir l'ombre de ton chien". Nina Simone n'avait pourtant pas rompu avec une sorte de masochisme primaire qui voulait qu'elle retombe dès que l'essor était pris. Née à Tryon (Caroline du Nord) en 1933, la chanteuse qui avait appris le piano classique et aurait pu devenir concertiste si elle n'avait pas été noire, avait décidé de prendre les armes par le biais de ce qu'elle considérait être la musique classique des Afro-Américains, le jazz.
Parfois Nina Simone s'agaçait : elle avait fait des tubes planétaires, qu'on lui demandait sans cesse de chanter, My Baby Just Cares For Me, qu'elle interprétait cependant avec le même swing, la même voix confondue d'espoir et d'impossibilité à échapper au destin depuis sa création en 1959. Ombrageuse, rieuse, garce, tendre, Nina Simone l'écorchée fut aussi une grande artiste qui chercha sans cesse à rebondir. L'impossibilité opposée à une carrière de concertiste l'avait mise, avouait-elle, dans les chemins de la création, du succès. Le blues et la chanson l'avaient contrainte à prendre la parole, notamment aux côtés de Martin Luther King dans la campagne pour les droits civiques.
Derrière Nina la star, il y eut toujours Eunice Waynon, la jeune Noire née d'un père barbier et prédicateur méthodiste. Son histoire est celle d'un sacrifice, celui de la jeunesse, passée dans l'étude du piano. "Je suis devenue ce que ma mère et Miss Massinovitch -la professeure de piano qui lui donna ses premières leçons dès l'âge de six ans-, ont voulu que je sois. Je n'ai pas eu le choix." "Miss Mazzy" enseigne Bach et Beethoven à l'enfant. Plus tard, elle récolte des fonds par voie de presse pour qu'Eunice puisse préparer le concours d'entrée du prestigieux Curtis Institute of Music de Philadelphie. Elle fut recalée. "Je n'en suis pas encore revenue, et je n'en reviendrai jamais. Toutes ces années pour rien. C'est comme si mes professeurs, ma communauté, mes parents m'avaient menti, trahi."
DONS HYPNOTIQUES
Au début des années 1950, Eunice s'enfonce dans le destin obligatoire du musicien noir. Par admiration pour Signoret, elle adopte le nom de Simone. Trois ans plus tard, Nina Simone, avec ses dons hypnotiques, ses drôles d'arrangements au piano et sa voix poignante, enflamme les clubs. I Love's You Porgy, My Baby Just Cares For Me : les tubes s'enchaînent, Nina a vingt-quatre ans. La jeune et gracieuse jeune fille qu'elle fut avant d'adopter des courbes de madone nègre s'engage dans la bataille pour les droits civiques aux Etats-Unis, avec ses chansons rebelles : Young, Gifted and Black, Mississippi Goddam (pour les quatre enfants noirs morts dans un attentat raciste en Alabama en 1963), Why (pour l'assassinat de Martin Luther King). "Mes amis -Stokely Carmichael, Malcom X-, tous morts ou en exil. (...) Si j'avais le choix, j'aurais été une tueuse, j'aurais rendu coup pour coup", disait-elle.
Elle a des hallucinations et un mari escroc. Au bout du rouleau, Miss Nina retourne en Afrique, au Liberia. Révoltée sans rémission, comme au temps de l'acerbe Backlash Blues (le blues du réac), avec son drôle de chignon et son caractère de chien.
Elle ne renonçait jamais à son tempérament orageux, et son désespoir fut masqué par les galères d'argent, les ennuis de star, les tourments d'amoureuse.
Nina Simone précisait qu'elle se sentait totalement africaine, qu'elle avait déserté les Etats-Unis par conviction. "En 1974, j'étais complètement écœurée des Etats-Unis. Mon mari et manager, Andy -Andrew Strand-, était parti. Nous avions divorcé, c'était très dur, financièrement aussi. L'Amérique que l'on avait voulu construire dans les années 1960, dans le combat pour les droits civiques, n'était plus qu'un mauvais rêve, avec Nixon à la Maison Blanche et la révolution noire transformée en disco. Ma fille de douze ans, Lisa, et moi étions revenues des West Indies, de Barbados. Je n'avais plus rien.
" Myriam Makeba -chanteuse sud-africaine, interprète de Pata Pata, exilée aux Etats-Unis et fer de lance de la lutte contre l'apartheid- était dans le secteur. Elle me demande : "Nina, es-tu prête à rentrer à la maison ?" Je lui dis oui. Après avoir réglé quelques affaires, nous sommes parties directement en Afrique. C'est elle qui a choisi le Liberia, car elle y connaissait du monde, elle devait y donner un gala, c'était à l'époque du gouvernement Tolbert. Et puis c'était un pays riche, plein d'hommes riches... Et elle avait pu deviner que je m'y plairais. De plus, le Liberia était symboliquement important dans l'histoire de l'esclavage", déclarait-elle au Monde en 1991 à la veille d'un des nombreux passages qu'elle fit à l'Olympia.
Elle n'y restera pas, minée par des problèmes de cœur "et de lit", précisait-elle, avec son compagnon, C. C. Dennis, un homme politique libérien. Quatre ans plus tard, elle revient en Europe. "J'ai eu un jour de cafard l'idée stupide de partir sans rien dire en Caroline du Nord, demander conseil à ma mère. C. C. Dennis ne m'a jamais pardonné cette absence. J'ai encore vécu deux ans au Liberia, mais sans le revoir. Puis j'ai pris le chemin de la Suisse. J'ai su plus tard que son fils avait été fusillé pendant le coup d'Etat de 1980, attaché à un cocotier sur la plage. C. C. Dennis est mort deux semaines après son fils, le cœur brisé, sans que j'aie pu lui dire mon attachement. J'ai conçu de ce silence une culpabilité qui ne m'a pas quittée jusqu'à aujourd'hui", confiait-elle encore au Monde.
Nina, portée sur l'alcool et les paradis artificiels, fut lâchée et lâcha tout le monde, entama un chemin de croix solitaire, borné d'humeur et d'envies, de petits escrocs amoureux qui partaient avec la caisse. Des humeurs, des envies... Elle eut de brusques illuminations qui la faisaient abandonner les salles de concert au désespoir de tous.
BREL ET BRASSENS
D'autres, belles et profondes, qui lui firent porter des stades et des salles vers le swing et la chaleur. Nina Simone était aussi une voix, spéciale, inimitable, grave, avec la quelle elle pouvait chanter aussi bien My Way, I Love's You Porgy, ou un classique du blues.
Nina, l'Américaine en exil volontaire, aura tout compte fait traversé les âges, les styles, sans s'y perdre. C'est, disait-elle encore parce que "j'écoute de la musique classique et j'utilise des rythmes africains". En 1994, elle publiait un album au titre significatif, A Single Woman, panaché de standards (The More I See You), de compositions originales telle que The Folks who Live on The Hill, dédié à un ami, un amour, qui fut premier ministre de la Barbade ou encore Papa, can you hear me ?, (appel poignant à son père mort). Nina Simone avait chanté Brel, mais aussi Brassens - Il n'y a pas d'amour heureux, évidemment.
Nina Simone n'était pas formatée pour l'industrie discographique planétaire. Elle en faisait à sa tête. Mais elle a aussi beaucoup travaillé. Le piano évidemment, mais aussi ses chansons et ses interprétations ultérieures. Dans les années 1980, un ami lui avait offert une cassette de Jacques Brel. "J'étais à New York, je l'écoutais et à chaque fois que Brel disait : "Ne me quitte pas", je pleurais. Puis, je suis partie en Suisse et j'ai appris la chanson avec un professeur. Je l'ai répétée pendant trois ans avant d'oser la chanter."
Trois ans pour comprendre exactement ce que les mots voulaient dire, parvenir à les prononcer.
Véronique Mortaigne
Du jazz à la pop
21 février 1933. Naissance d'Eunice Kathleen Waynon, à Tryon (Caroline du Nord). Elle prend le nom de Nina Simone à ses débuts de pianiste de club.
Les années 1940. Pianiste précocement, elle reçoit une bourse pour faire des études classiques à Asheville (Caroline du Nord) puis est admise à la Juilliard School of Music, la prestigieuse institution new-yorkaise. Sa famille s'installe à Philadelphie (Pennsylvanie).
1950-1953. Elle rate le concours du Curtis Institute of Music de Philadelphie, qui lui aurait permis de poursuivre la carrière de concertiste dont elle rêve.
1954. Engagée comme pianiste dans un club de jazz d'Atlantic City (New Jersey), elle commence à chanter des standards de gospel, de blues et de jazz.
1957-1959. Premiers enregistrements en trio pour la petite compagnie phonographique Bethleem.
En 1959 elle grave My Baby Just Cares for Me, qui deviendra sa chanson symbole et I Loves You Porgy,extrait de Porgy and Bess.
Les années 1960. La période de l'apogée de sa gloire. Elle enregistre pour les maisons Colpix, Philips et RCA, s'éloignant peu à peu du jazz pour devenir une artiste de rhythm'n'blues et de chanson soul. Tournées mondiales, nombreux enregistrements. Impliquée dans les combats pour les droits civiques, elle compose Mississippi Goddam en 1963, après l'incendie criminel qui a coûté la vie à quatre jeunes filles dans une église de Birmingham (Alabama), Why ? The King of Love Is Dead,en 1968, après l'assassinat du pasteur Martin Luther King et Young Gifted and Black, hymne identitaire de la jeunesse afro-américaine.
Début des années 1970. Nina Simone s'est tournée vers un répertoire pop. Elle chante les Bee Gees, les Beatles, Dylan... En 1972 elle connaît un ultime succès avec sa version de My Way,accompagnée aux bongos.
1974. Elle quitte les Etats-Unis pour La Barbade puis le Liberia.
1984. Après des années d'errance en Europe et d'oubli, elle est engagée au club Ronnie Scott's de Londres. Début de sa deuxième carrière pour un public nostalgique.
1987. My Baby Just Cares For Me, qu'elle refuse de jouer en concert, est utilisé par la publicité pour un parfum Chanel.
0 notes
lescritiqueschelous · 4 years
Photo
Tumblr media
Chez Disney, il serait peut-être grand temps de procéder à l'entretien d'évaluation de Kathleen Kennedy. La productrice à la tête de la franchise Star Wars n'aura eu de cesse depuis 5 ans de nous allumer avec des idées plutôt attrayantes pour ensuite systématiquement faire machine arrière dès lors que la pression se faisait trop forte ou Film Twitter trop oppressant. Cette année, KK fait particulièrement fort puisqu'elle choisit de renier totalement l'episode précédent, Les Derniers Jedi, superbe blockbuster disruptif de Rian Johnson et unique authentique réussite du studio. Belle époque qui voit les vociférations de quelques fachos d'internet dicter au plus grand conglomérat audiovisuel mondial la façon dont elle doit diriger ses films.
À la réalisation, on retrouve donc un J.J. Abrams contraint, pas passionné, fort ennuyé. Lui, qui avec Le Réveil de la Force était parvenu brillamment à communiquer l'enthousiasme du gosse réalisant son rêve, évoque plutôt ici le gamin vomissant sur l'écran le trop-plein de bonbons qu'on lui avait pourtant bien dit de ne pas manger. Tout est bâclé, bébête, entassant dialogues peu inspirés ("Je suis l'espion !"), macguffins génériques (c'est simple, on aura passé 67,3% de cette trilogie à chercher des cartes au trésor menant à de vieux croulants), manipulations numériques glauques (mais foutez la paix à Carrie Fisher, bon Dieu !)... Bref, pléthore de nigauderies dont la limite de 2200 signes d'Instagram rend vaine toute entreprise d'énumération un tant soit peu exhaustive. 
Regardons désormais avec nostalgie la prélogie de George Lucas, qui en son temps nous inspira certes quelques amères râleries (les midichloriens ?! Anakin amoureux dans un champ de blé ?! Liam Neeson est un mauvais acteur ?!) mais dont les manifestations prouvaient au moins que Star Wars faisait toujours battre notre coeur. Dans ce nouveau film — rien qu'écrire le titre m'emmerde — Rey pourrait bien sortir une baguette magique pour désarmer l'Empereur d'un Expelliarmus bien senti qu'on ne serait pas plus choqué que ça. On s'en fout et c'est bien là le plus terrible des crève-coeurs.
Restons positifs : on pourrait presque choisir d'y voir un geste punk, un gros doigt d'honneur à cet aréopage de prix nobels qui constitue le coeur nucléaire (et radioactif) des fans de Star Wars : "Les Derniers Jedi ne vous a pas plu ? Vous voulez de la merde ? On va vous en donner." Mais le pire, c'est que ça risque de leur plaire.
0 notes
Text
La Chine et son conflit civil.
Tumblr media
     La Chine ne cesse de cumuler les “faux pas”, elle est à l’origine d’un des plus  important mouvement de contestation qu’elle a connu ces dernières années. Susceptible de remettre en cause toute une gouvernance, retour sur un conflit civil qui dure depuis 5 mois. 
     Tout commence le 6 juin 2019, alors que le gouvernement de Hong Kong révèle son projet de loi ayant pour but d'autoriser l'extradition judiciaire de la région indépendante vers la Chine, en plus d’une censure de la presse ou encore du contrôle total des aller et venue des personnes sur le territoire. Une loi que la population craint, puisqu’elle permet à la région d’envoyer n’importe quel prisonnier vers la Chine, qui procède à des traitements douteux sur ses prisonniers. La population Hongkongaise va alors manifester pour ses droits, en commençant par les avocats. 
     Car en effet, la Chine n’est pas un pays ayant la même notion des droits que les autres. Menant depuis maintenant quelques années une politique de répression massive, elle utilise “la sécurité national” afin de soumettre tout le pays à la censure. Elle considère les journalistes, les travailleurs d’ONG, les travailleurs sociaux, les hommes d’affaires ou encore les pasteurs (toutes personnes qui réfléchit en dehors du régime) comme criminels. Toutes personnes travaillant pour la justice ou la liberté est vu comme dangereuse et est par la suite punit. Cette loi constituent un réel danger pour la conservation des libertés de la population de Hong Kong. 
     Ces manifestations vont prendre une ampleur considérable en quelques jours, rassemblant plus de 1 millions de personnes dans les rues de la ville. Comme ils l’avaient faits quelques années auparavant, les manifestants vont même jusqu’à envahir le parlement local. 
     Ce n’est pas la première fois que la ville se réveille pour ses droits.Les mouvements d’aujourd’hui font écho à ceux de 2014, avec le “Mouvement des parapluies”. Des occupations pacifiques au coeur du coeur financier et politique de la ville, pour des raisons similaire, qui avait duré 79 jours.
      Le 1er juillet, la police interviendra réellement pour la première fois,  avec des gaz lacrymogènes. A partir de cet instant, la violence dans les manifestations ne va qu’augmenter, notamment avec des hommes qui vont commencés à frapper les manifestant anti-gouvernement avec une violence inouïe. 
     Peu à peu, le mouvement de contestation va s’élargir jusqu’à la contestation de la cheffe du mouvement: Carrie Lam, à qui on reproche principalement une gestion médiocre de son gouvernement et de trop grandes violences policières. Car si le mouvement de manifestation augmente de plus en plus, la violence dont les policiers font preuvent et elle aussi accablante. Le 11 août, une journaliste est éborgné par les policiers lors d’une manifestation, elle va devenir le symbole des violences policières, qu’on dénoncera en manifestant en se cachant un oeil.
     Quelques jours plus tard, la Chine décide d’intervenir, en commençant par des démonstrations de forces avec le défilé de camions militaire et tank à Shenzhen. Depuis les manifestations ne vont cesser de faires des victimes.
     De nouvelles lois sont mises en place afin de restreindre le pouvoir des manifestants. Comme l’interdiction des ports des masques dans les manifestations, permettant aux belligérants de s’assurer l'anonymat, la sécurité mais aussi la protection contre les gaz lacrymogène ou autres. Toutes personnes qui transgresse la loi et passible de “prison”. La population qui défilent dans les rues de Hong Kong à donc décider de manifester le visage grimé de peinture, ou cacher par des parapluies. Les transports publics on été bloqué dans la ville et les personnes recensées comme manifestant sont empêchés de quitter le territoire. 
    La violence policière à aujourd’hui pris des proportions démesurées, avec entre autres, des passages à tabac perpétuels pour les manifestants arrêtés.  Comme le témoigne un manifestant ayant été arrêté pendant les manifestations:  “J’ai senti quelque chose de très dur me frapper aux jambes. Puis, un [policier] m’a retourné et a appuyé ses genoux sur ma poitrine. J’ai senti la douleur dans mes os et je ne pouvais plus respirer. J’ai essayé de crier, mais je ne pouvais ni respirer ni parler”. 
     Mais en plus, de lourde représaille sont infligées pour ceux qui serait placé en garde à vue. Des coups de poings, de matraque, mais aussi de menace alors inutile sont perpétrés. Ce ne sont pas seulement des coups qui sont donné mais de réels tentatives de meurtres. Des personnes sont humiliées par policiers les obligeant à subir des fouilles dégradantes, d’autres sont très sévèrement frapper et ainsi handicapées pendant de longues périodes.
     Toute une population est réprimé par la force des coups d’un états, pour s’être battu pour revendiquer leur liberté, pourtant naturelle. Encore maintenant, des personnes sont détenu et maltraitée par les forces policières voulant réduire aux silence une nation entière, sans la moindre préoccupation des médias occidentaux, indifférent à la situation. 
0 notes
vincentdelaplage · 5 years
Photo
Tumblr media
"JE FAIS SOUVENT CE RÊVE ÉTRANGE ET PÉNÉTRANT" (VERLAINE)
MUSIQUE de Jean-Baptiste Lully (1632-1687) - "Le Roi danse" - Idylle Sur La Paix (Air pour Madame la Dauphine) https://youtu.be/ZqMIUoeubLI Compositeur, musicien, danseur et chorégraphe, Jean Baptiste Lully a résolument marqué la musique de son temps. Tout son génie repose sur la fusion des traditions musicales italienne et française.
UN PEU DE LITTÉRATURE Mon rêve familier
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Car elle me comprend, et mon cœur transparent Pour elle seule, hélas ! Cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.
Est-elle brune, blonde ou rousse ? Je l'ignore. Son nom ? Je me souviens qu'il est doux et sonore, Comme ceux des aimés que la Vie exila.
Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
Verlaine Poèmes saturniens À l'âge de 22 ans, Paul Verlaine (1894-1896) paraît son premier recueil de poésies, intitulé "Poèmes saturniens". La fluidité du style émerveille et on remarque indéniablement l'influence baudelairienne, avec un langage imagé et la présence marquée de symboles. Durant les deux décennies suivantes, Paul Verlaine publie ses oeuvres les plus connues, au nombre desquelles "La Bonne Chanson", "Romances sans paroles" ou encore "Jadis et naguère".
PEINTURE de Philippe Mercier (1689-1760) - "femme portant un chat" C'est à peine si l'on peut considérer Philippe Mercier comme un peintre français. Né à Berlin, il s'y forme auprès d'Antoine Pesne, lequel, Français de naissance, a lui-même fait presque toute sa carrière en Allemagne. À une date incertaine (1711 selon les uns, 1716 pour d'autres), il se fixe à Londres et y passera le restant de son existence. On assure qu'il aurait rencontré Watteau au cours du séjour que fit ce dernier dans la capitale anglaise, autour de 1720. Mercier est mal représenté dans les musées français ; c'est à Londres qu'il faut aller l'étudier, à la National Gallery et à la National Portrait Gallery.
https://culturejai.fr/
#Couleurs #Mots #Poésie #Peinture #ArtQuiNourrit #ArtQuiEleve #ArtQuiRechauffe #ArtAPartager #Beauté #Sensibilité #Intériorité #Créativité #Mélancolie #TransformationDesEmotions #Storytelling #HistoiresDeFemmes #VieDAuteure
0 notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
LE SÉROSYNDICAT exige que les ministres de la justice METTENT UN TERME à la criminalisation injuste du non-dévoilement du VIH et appelle à la solidarité de la part des chercheurs et de la société civile. 
Manif éclair : vendredi 7 avril, 12 h 30 - 13 h 30
Hôtel Bonaventure : 900 rue de la Gauchetière O, Montréal, QC H5A 1E4
(Aire d’inscription de la salle des congrès)
Même lorsqu’il n’y a pas transmission, que le risque de transmission est négligeable ou non-existant et que l’intention de causer préjudice n’est pas présente, les personnes vivant avec le VIH continuent d’être accusées d’agressions sexuelles graves – l’un des chefs les plus sérieux du Code criminel canadien. La ministre de la justice et procureur général du Canada a dénoncé l’application excessive de la loi criminelle canadienne en admettant que « la surcriminalisation de la non-divulgation du VIH alimente la stigmatisation à l’égard des personnes vivant avec le VIH/sida et décourage bien des individus de se faire dépister et d’entamer un traitement. »
Pourquoi le Québec continue-t-il donc d’intenter des poursuites injustes à l’égard des personnes vivant avec le VIH? Alors que la pression ne cesse de monter au niveau fédéral, nous devons faire pression sur le gouvernement provincial! Ses acteurs sont chargés d’appliquer ces lois et nous joignons notre voix à celle de milliers de personnes séropositives, de chercheurs, de militants, d’alliés et de citoyens concernés afin d’exiger la cessation immédiate de la criminalisation disproportionnée et violente du VIH.
Nous faisons écho aux demandes du Ontario Working Group on Criminal Law and HIV Exposure et exigeons qu’elles soient aussi mises en place au Québec.
Nous appelons la ministre de la justice du Québec, l’honorable Stéphanie Vallée, à :
1. Décréter un moratoire immédiat sur l’ensemble des poursuites liées au non-dévoilement du VIH afin de permettre l’exploration de différentes pistes de réforme juridique et le développement de directives en matière de poursuites avec l’apport de la communauté   dans le but de limiter l’usage abusif et exagéré actuel de la loi criminelle.
2. Déclarer publiquement que le ministère de la Justice du Québec est voué à mettre terme à l’application excessive de la loi criminelle pour ce qui est du non-dévoilement du VIH et de revoir la manière d’approcher ces poursuites au Québec.
3. Prendre part à des dialogues francs et constructifs avec les personnes vivant avec le VIH  et les experts scientifiques lors de l’élaboration de directives en matière de poursuites et de diverses réponses en lien à cet enjeu.
Pendant plusieurs années, des membres de la communauté ont mis en lumière les injustices prenant place et souligné la réalité inacceptable que ces poursuites affectent les personnes vivant avec le VIH les plus marginalisées et vulnérables de façon disproportionnée. Le moment est venu pour le Québec de se tenir debout et de faire preuve de véritable leadership. Les poursuites injustes et pernicieuses doivent cesser MAINTENANT!
Twitter: @SeroSyndicat 
SÉROSYNDICAT demands Ministers of Justice END unjust criminalization of
HIV non-disclosure; calls for solidarity from civil society, researchers
Flash demo: Friday 7 April, 12:30PM-1:30PM
Manif éclair: vendredi 7 avril, 12H30-13H30
Hôtel Bonaventure: 900 Rue de la Gauchetière O, Montréal, QC H5A 1E4
(Conference concourse / Aire d’inscription de la salle des congrès)
People living with HIV continue to be charged with aggravated sexual assault — one of the most serious offences in Canada’s Criminal Code — even where there is no intent to cause harm, no transmission occurs and the risks of transmission are negligible if not zero. Canada’s Minister of Justice and Attorney General of Canada has denounced the overly broad use of the criminal law in Canada, acknowledging that “the over-criminalization of HIV non-disclosure discourages many individuals from being tested and seeking treatment, and further stigmatizes those living with HIV or AIDS.”
So why does Quebec continue to unjustly prosecute people living with HIV? As pressure increases at the federal level, we must pressure the provincial government! They are responsible for carrying out these laws, so we stand with thousands of HIV positive people, researchers, activists, allies, and concerned  citizens to demand the immediate cease of the overreaching and violent criminalization of HIV.
We echo calls from the Ontario Working Group on Criminal Law and HIV Exposure and demand the same for Quebec.
We call on the Minister of Justice of Quebec, the Honorable Stéphanie Vallée to:
1. Impose an immediate moratorium on all HIV non-disclosure prosecutions, while law reform options are being explored and sound prosecutorial guidelines are being developed – in conjunction with the community – to limit the current misuse and overextension of the criminal law.
2. Publicly state that the Quebec Ministry of Justice is committed to ending the overly broad application of the criminal law in cases of alleged HIV non-disclosure and to reviewing Quebec’s approach to these prosecutions.
3. Engage in meaningful dialogue with people living with HIV and scientific experts when developing prosecutorial guidelines and other responses to this issue.
For many years, community members have highlighted the injustices taking place and conveyed the unacceptable reality that such prosecutions are having a disproportionate impact on the most marginalized and vulnerable of persons living with HIV. It is time for Quebec to show true leadership. Unjust and harmful prosecutions must end NOW!
#HIVisnotacrime #libérezlesSéroPos #décriminalisezleVIH #CAHR2017
TWEET!
Please help us by sending tweets demanding accountability and action today!
Québec:
Français: #LibérezlesSeroPos #HalteAuxPoursuites #décriminalisezleVIH
Imposez l’immédiate #HalteAuxPoursuites de non-divulgation du VIH! Ni prison ni stigmatisation n'empêchent la transmission @ValleeStephanie
Dénoncez: Cessez les accusations criminelles contre les personnes séropositives au QC! #libérezlesSéroPos @ValleeStephanie
réévaluez les approches de @justicequebec aux poursuites des personnes accusées de la non-divulgation du VIH @ValleeStephanie #LibérezlesSeroPos
Consultez: PVVIH + scientifiques pour développer des interventions saines et justes pour tout le monde! @ValleeStephanie #LibérezlesSeroPos
#LibérezlesSeroPos #HalteAuxPoursuites
#decriminalisezleVIH #HIVisnotacrime
English:
Impose an immediate moratorium on all HIV non-disclosure prosecutions! Stigma and prison both increase transmission @ValleeStephanie
End overly broad application of criminal law in alleged HIV non-disclosure cases and review QC approach to prosecutions @ValleeStephanie
Engage with PLHIV + scientific experts to develop just prosecutorial guidelines & other responses to this issue @ValleeStephanie
Ontario:  #Hivisnotacrime
@Yasir_Naqvi Impose an immediate moratorium on all HIV non-disclosure prosecutions! Stigma and prison both increase transmission
@Yasir_Naqvi End overly broad application of criminal law in alleged HIV non-disclosure cases and review ON approach to prosecutions.
@Yasir_Naqvi Engage with PLHIV and scientific experts to develop just prosecutorial guidelines & other responses to this issue
Canadian Association for HIV Research/l’Association canadienne de recherche sur le VIH (ACRV):
@CAHR_ACRV
#HIVISNOTACRIME #LIBÉREZlesSÉROPOS
FRIDAY 7 APRIL 12:30PM at HOTEL BONAVENTURE MONTRÉAL,
900 de la Gauchetière O.
2 notes · View notes
profenscene · 7 years
Text
Vendredi 10 février
Tumblr media
“Je n’y arrive pas.”
Je ne cesse de le répéter, je radote encore aujourd’hui et tant pis : le jour où je deviendrai Maître Suprême de la Création, et donc aussi de l’Éducation Nationale, ma première action, consistera, après avoir ressuscité Debbie Reynolds, Carrie Fisher et David Bowie, à apprendre aux profs, jeunes et moins jeunes que dire cette phrase est essentiel. Pas grave. Mais essentiel. Avec “C’était le gros dawa dans ma classe aujourd’hui”, “Mes élèves m’ont mis le zbeul.” et “Si je dois retourner faire cours, j’assassine quelqu’un ou je me suicide.”
C’est bien connu, la légende veut que, en France, une fois le cours commencé, le prof soit le seul maître à bord de son cours. Sur ses épaules, repose la responsabilité de faire des 55 minutes qui lui sont attribuées un petit havre de paix, dans lequel les élèves apprendront de façon novatrice, épanouissante et surtout silencieuse parce que l’insonorisation dans les bahuts est dans le même état que la probité chez les candidats à la présidentielle.
Mais parfois ça ne marche pas. Parfois, on fait face à des chiards qui n’ont qu’une envie, celle de nous foutre la misère. Qui profitent qu’on soit nouveau, ou contractuel, ou fatigué, ou avec la braguette ouverte pour se montrer infects. Parfois, on ne maîtrise pas un point de cours pourtant basique et on raconte n’importe quoi. Parfois, on a perdu des copies.
Alors en salle des profs, on sourit. “Ralala, ils étaient sportifs, les 4èmes aujourd’hui !” “Dis donc, ils sont en forme, tu trouves pas ?” “Non ça, va, je suis un peu fatigué en ce moment.”
Et puis après, on se rend compte que tel collègue n’est pas venu en cours depuis deux semaines. Les mots “burn out” circulent, c’est plus chic et moins condescendant que dépression. Et puis après, au hasard de navigations sur internet, on tombe sur des blogs où la souffrance s’écrit, mensuelle, hebdomadaire, quotidienne.
Il faut le dire. La honte se nourrit de silence et de peur. La peur du jugement, de la moquerie et du grand méchant inspecteur. Elle prend naissance dans la poitrine et ne disparaît plus. Tout ça au nom de cette sacro-sainte autorité. Cette peur de ne pas posséder ce qui apparaît comme une grâce divine, et de déchoir auprès de ses collègues, discours que certaines formations nous collent sous le crâne. On finira par accepter des trucs qui nous font nous sentir indignes, par négocier avec un môme insolent. Juste pour avoir la paix. Pour se donner l’illusion d’un semblant d’autorité. Alors que cette putain d’autorité n’est qu’une construction qui se fait petit à petit, par l’échange.
Et puis réussir à chasser cette image toxique, nocive, du prof ridicule, transpirant, débordé par sa classe. Cette classe dans laquelle on était élève. On avait un peu pitié de lui, mais on se disait qu’il l’avait un peu mérité aussi. Et qu’on ne serait jamais comme ça. C’est une image de môme de treize ans. Il est temps de grandir. Tu n’es pas ce prof, cette image de ton adolescence, elle ne t’enchaîne pas. 
Alors même si sur le moment ça parait impossible, ça parait l’apanage des plus anciens ou des plus stables, toujours le dire, toujours essayer de trouver l’oreille, en salle des profs ou ailleurs : “Je n’y arrive pas. Tu as des idées ?”  Parce que ce sentiment d’impuissance est l’une des choses les plus partagées dans la profession. Et que le jour où l’on en parlera aussi facilement que la qualité du café dans les machines (sérieusement. Il y a FORCÉMENT un comité qui se réunit dans un château des Carpates pour décréter quel mélange le plus infect on injectera dans les distributeurs de caféine des établissements scolaires), on aura fait un pas de géant.
12 notes · View notes
kiirex · 3 years
Text
Tumblr media
Vu du Parc Knole, à 22h27 (heure de Londres), la lune gibbeuse croissante dominait le ciel étoilé et les sept chênes du parc. Le corps de John tomba à terre et James se mit à ses pieds. A pleurer. A déjà regretter son geste surtout en ayant entendu cette dernière phrase. Elle lui revenait sans cesse en tête : Je t’ai aimé pourtant.
A Londres, notre ancienne Première Ministère avait toujours les larmes aux yeux. Les bras de son mari ne suffisaient pas à la calmer et encore moins à l’apaiser. Les bras de ses enfants ne suffisèrent pas non plus à apaiser le manque d’occuper toujours le bureau du 10 Downing Street.
A Moscou, Valentin Ivanov, l’entraîneur de l’équipe Torpedo Moscow se réjouit encore de la victoire remporter grâce à ses joueurs Yuriy Tishkov et Aleksandr Gitselov sur le terrain de Football contre l’équipe française de Monaco où Arsène Wenger s’était énervé quant à lui sur toute l’équipe sauf à Ramon Diaz qui avait réussit à marquer un but à la quatre-vingts troisième minute.
Dans un cinéma de Canberra, George Hawkins et sa femme découvrent pour la première fois la beauté et la qualité de jeu de Julia Roberts, qui joue une prostitué de luxe, au coté de Richard Gere.
A Toledo, Mia Niako était tombé amoureuse de Pette qui avait une magnifique carrure et un corps digne d’un sportif. Il l’avait demandé à danser sous les arbres de Lubaantun. Son odeur était un détail en plus qui confirma l’amour qu’elle avait pour lui.
A Vancouver, un pétard éclata au visage du petit Lucas de onze ans qui perdit son œil. Sa demi-sœur, Naomi voulait le lancer dans le jardin mais ne voyant que l’objet enflammer n’avait pas exploser instantanément il avait décidé de le rallumer avant de comprendre que la mèche venait de finir son trajet afin d’atteindre l’artifice.
A Auckland, Fransseca Marsoller venait de mourir sous les coups de son mari parce que cette fois-ci elle avait osé lui dire qu’elle ne voulait plus qu’il l’a touche.
A Viti Levu, un adolescent de treize ans découvre les premiers plaisirs solitaires. Il acheva sa cinquième masturbation de la journée dans un t-shirt blanc où ses premières pensées étaient pour Maria, une femme qu’il avait vu il y a maintenant quelques mois mais dont il oublia sans doute jamais le visage.
A Nassau, Monsieur Shally, un homme très respecté dans sa ville venait de mourir d’une crise cardiaque.
A Bridgetown, Michael Fenty roulait en vélo en direction de la plage avec Mariah Rockberry joint à la main. Le coucher du soleil illuminé leur beau visage déjà bronzé.
John Hatfield, sous extasie, participe à un concert à Glasgow où son frère alcoolisé hurla pour avec le public pour que le nouveau groupe de rock qui venait de monter sur scène depuis quelque minute rechante une dernière chanson pour finir la soirée en beauté.
Carrie Ailse, une vieille femme de quatre-vingt quinze ans, qui se trouvait dans l’hôpital Royal Victoria de Belfast depuis maintenant une semaine à cause d’un cancer aux poumons se demandait si elle pourrait passer le prochain nöel avec ses enfants et son nouveau petit-fis Anthony.
Au 10 Downing Street, l’homme qui s’assit derrière son nouveau bureau de travail découvre qu’il contient plusieurs tiroir à clé dont une en double fond et caché secrète. Les clés avaient été déposé sur la base de la lampe qui éclairer maintenant la pièce et le visage du nouveau Premier Ministre ainsi que les papiers administratifs pour préparer son nouveau gouvernement.
Entre Antigua-et-Barbuda, le bateau de Stephen Codrington est en train de couler entre les deux îles. Trois adolescents avaient planifié de le voler depuis quelque mois. Mais ne sachant pas naviguer, ils ont percutés une roche en pleine mer. Ils n’ont pu l’évité.
A Ocho Rios, Victoria, chantait Jamaica, Land we love, doucement sous sa douche pour éviter que sa grand-mère ne l’entende à l’autre bout du couloir alors qu’elle s’était déjà endormi depuis maintenant une heure.
Sa Majesté la Reine Elizabeth II, pensive, stylo noir à la main, relisait à voix haute son Christmas Broadcast. Elle hésitait encore entre certains mots et n’était pas sûre de certaines formulation. Elle éteignit sa lampe de chevet et retravaillerait dessus dès le lendemain lorsqu’elle aura y réfléchit pendant la nuit.
Dans un vol entre Cardif et Londres, Christopher Towncoat était en sueur se demandant s’il survivrait au turbulation de l’appareil où s’il était en train de vivre s’est derniers moments de sa vie.
Sarah Furgeon mourrait dans son bain après s’être fait électrocuter lors de la chute de la radio qui diffusait I will survive lorsqu’elle voulu se relevé pour sortir de l’eau. Son livre A Single Man de Christopher Isherwood commençait à brûler dans sa main gauche.
John et son fils faisaient le trajet ensemble à pied jusqu’à New Sandy Bay Village. Les deux pensaient à Luna. Chacun se demandait si l’autre savait.
Dans le quartier de Saint-Peter Basseterre, Timothy Seaton mangeait tranquillement un caribbean tuna tartare et regardait ZIZ TV.
Neville Chastenet venait de démissionner de son travail à Castries car sa patronne Lucy l’insultait à chaque erreur qu’il commettait.
A Honiara, Manasseh Vunagi continuait de reconstruire sa maison qu’il avait perdu lors du cyclone tropical en 1986.
Patrick quittait Alexia lorsqu’elle lui annonça qu’il allait être papa. Des assiettes spéciales de l’Etat de Tuvalu avaient volé dans la cuisine et Patrick s’était pris la dernière dans les côtes.
Sir Rabbie Namaliu songe à envoyer une lettre à la reine pour démettre Sir John Eri, gouverneur général de Papouasie-Nouvelle-Guinée, de ses fonctions à cause d’une affaire de corruption.
A Sevenoaks, Léanna Afelis rangait les dernières vêtements que sa mère, Louisa, lui avait mis sur le bord du lit. Elle retrouva un vieux pull rouge troué qu’elle n’avait pas porté depuis l’anniversaire chez Antoine.
Antoine, quant à lui, révisait encore dans sa chambre avec cinq livres sur la chimie organique ouvert devant lui, hésitant encore s’il était bon de continuer à faire des études où si tout cela était une foutaise.
Le Révérend de l’Église St-Nicholas emballait un cadeau de noël qu’il donnerait à son neveu juste après le discours de la reine.
A cet instant précis, William Partinson franchit les portes du The Chequers où Tom Freastalay le reconnu immédiatement lorsque celui-ci lui demanda une pinte de bière. Un ami qu’il s’était fait lors d’une course de chevaux dans les Cornouailles. Il se demandait au moment de le servir si ce jour-là il avait parier sur un chevaux et s’il avait gagné.
A quelques rues de là, Rebacca et Isaac regardèrent la télévision.
A quelque mètres de là encore, le corps de John ne respirer plus depuis déjà treize minutes. En vain, James essaya de le réanimer. Mais il était déjà trop tard, il fallait maintenant faire disparaître le corps.
0 notes