Tumgik
#aimer un homme de 75 ans
roihangbe · 1 year
Text
retour de l'être aimé en 1h - retour d'affection témoignages
Retour affectif sérieux- retour affectif qui fonctionne, Medium d’amour sérieux et rapide, Comment faire un retour d’affection rapide, Rituel de retour affectif sérieux en 24h, Comment faire revenir mon ex, Comment jeter un sort d’amour, Retour d’affection rapide, Faire revenir l’être aimer, Comment reconquérir mon ex, comment rendre mon homme amoureux, comment faire un rituel d’amour efficace,…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
christophe76460 · 2 years
Text
Tumblr media
J’ai vécu un culte d’action de grâce à l’église pour honorer mon beau père qui fut simplement magnifique j’ai découvert une facette de cet homme que j’ai su aimer et qui m’a touchée , » il était discret timide , , il avais ces idées ,ne sachant pas toujours bien exprimer ces pensées , il faisait des vagues mais revenait toujours à la surface , j’ai entendu par ses frères et sœurs sa bonté , « et son amour merveilleux pour notre créateur , il a mis en action sa foi , toute sa vie 💕💕🔥,en donnant et en offrant aux autres 💕💕je vivais trop loin pour le comprendre🔥mais je remercie le seigneur pour ce cadeau 💝 merci seigneur d’avoir offert cet homme à son église « fidèle « il a vécu 75 ans sans jamais sans détourner « c’est un joli témoignage « pour nous qui restons derrière lui 🔥il était drôle et il rendait service à tout le monde , il était moniteur de l’école du dimanche et beaucoup d ‘enfants ont été touchés par sa gentillesse ,et l’instruction qu’il a pu donner🔥il a témoigné son amour pour son seigneur 💕💕il a vécu 10 pasteurs , il,disait de lui , j’ai usé 10 pasteurs , et j ai entendu des pasteurs dire « merci seigneur pour Paul karrer 🔥🔥
0 notes
o-anna-o · 5 years
Photo
Tumblr media
Quoi ? Le Rolling Thunder Revue de Martin Scorcese emprunte les voies du documenteur sans nous révéler l’ampleur du forfait ? Quoi ? Le réalisateur, par ailleurs grand admirateur de Dylan (à qui il a déjà consacré un documentaire quasi-définitif), nous la fait plus Spinal Tap que Gimme Shelter ? Il faut se rendre alors à l’évidence (le magazine Rolling Stone s’est chargé de nous mettre les pièces à conviction sous le nez) : mythe et vérité cohabitent dans ce Rolling Thunder Revue : a Bob Dylan Story, film-fleuve de 2h30, consacré à la tournée éponyme de Dylan et sa troupe de talentueux allumés qui sillonnèrent l’Amérique entre 1975 et 1976. La fiction entre par effraction et  nous n’y voyons que du feu, malgré des indices dispersés par ce petit malin de Scorcese – par exemple, cette vue Méliès (un tour de magie comme il avait l’habitude d’en filmer) en introduction aurait dû nous mettre la puce à l’oreille quant à l’entreprise de mystification à l’oeuvre. Lumière Vs Méliès : Scorcese prend parti et donne le ton...
Pour notre défense, Scorcese avance des bobards de premier choix : Sharon Stone, repérée à cause de son tee-shirt Kiss ? Invitée à suivre le barnum musical et poétique de Dylan ? Qui repasse les chemises de Joan Baez, le soir dans sa loge ? Géant, mais du flan. Quid de cet improbable réalisateur, au passé porno soft prêtant à sourire, qui revendique les images tournées en 1975 ? Improbable, justement, c’est le mot. Quant au sympathique sénateur Tanner qui se voit offrir des billets de concert par Jimmy Carter, oublions-le, un comédien (Michael Murphy) qui reprend un rôle joué 30 ans plus tôt devant la caméra de Robert Altman…
«Efforcez-vous, ici, de paraître fidèle / Et je m’efforcerai, moi, de vous croire telle» (Molière, Le Misanthrope, Acte III, scène 4). Tant pis pour nous, devant le cinéma de Scorcese nous ne valons pas mieux que ces grands amoureux vaincus qui s’étourdissent de beaux discours et d’illusions romanesques, pas rancuniers le moins du monde à l’égard du baratineur, au contraire on l’en remercierait presque de nous faire sentir aussi vivant. Cinéphile tout autant que cinéaste, Scorcese se réapproprie un pur mantra de cinéma, délivré autrefois par André Bazin – “le cinéma substitue à notre regard un monde qui s’accorde à nos désirs” –illustré en son temps par John Ford - “Quand la légende dépasse la réalité, imprimer la légende”, et que l’on finissait par trouver un poil «vintage», convenons-en : soudain sous nos yeux le voilà revivifié par Scorcese. Nous en apprécions de nouveau tout le suc, et toute l’histoire du cinéma qu’il contient en son sein…
Bidouille et confusion se trouvent déjà dans le matériel d’origine ; les images d’époque ( en grande partie filmées par Dylan lui-même en vue de son film Renaldo et Clara) relèvent de régimes hétéroclites (difficile de séparer le spontané et le mis en scène) et façonnent des séquences un peu dingues, impossibles à identifier, comme cet hallucinant moment où Ginsberg déclame sa poésie enragée, dans une salle des fêtes plus Bingo- que Beat-Generation, devant un parterre de bonnes dames fort perplexes. Pas étonnant que cinéaste et témoins s’arrangent avec la réalité et enfoncent le clou du mythe 40 ans plus tard. Tous ces mensonges n’altèrent en rien le plaisir que l’on prend à plonger dans l’épopée Rolling Thunder Revue. Car il y a plus basique aussi et plus sincère, le bonheur tout bête, de croiser la faune d’une époque, l’émotion au bout du coeur, Joni Mitchell, Sam Shepard, le roi Ginsberg ou encore (une vraie révélation) la violoncelliste Scarlet Rivera et d’autres sublimes fantômes de cette abracadabrante aventure, réunis autour d’une légende (ou du moins un chanteur qui se donne comme tel), Bob Dylan…
Le tour de passe-passe convient au cas Dylan. En 50 ans de carrière, celui-ci aura eu la fâcheuse tendance à nous la faire à l’envers à plusieurs occasions et ce n’est pas dans ce film qui prend ses aises avec la vérité qu’il va virer droit, ce serait malvenu... Complice de Scorcese, Dylan ne cille pas quand il avoue que son maquillage de scène était inspiré par Gene Simmons, le leader de Kiss (en réalité, un hommage au mime Deburau des Enfants du Paradis). Avec le même aplomb, il fait l’éloge de la jeune Sharon Stone (« At that time, she was a nice kid »… tu parles !). Même coupée aux boniments, on goûte la parole rare de Dylan. Mais, pour une authenticité brute, on repassera… ou alors on se tournera vers les séquences de concert : en 1975, Dylan n’a jamais aussi bien chanté et dès qu’il se lance dans les premiers accords de One Cup of Coffee, on s’en tape un peu de savoir si oui ou non une folle nuit en compagnie de Manitas de Platas a inspiré la chanson.
Aux deux-tiers du film, une scène accoude Joan et Bob à un bar. Ils discutent boulot, compo, un peu maladroits, un peu timides… un souvenir de vie commune s’échappe des non-dits. On la connaît l’histoire : ils se sont aimés 15 ans plus tôt, puis Bob est parti épouser Sara (en 75, il est en instance de divorce), parti sans même avertir Joan, la laissant à son chagrin… On dirait le résumé d’un soap... “Oh Bob” lâche la jeune femme, en actrice de mélo qui s’ignore… Devant la caméra, Bob joue la victime et demande à son ex-compagne pourquoi elle s’est mariée. Un peu pathétique, Dylan, n’est carrément pas à la hauteur du moment, il prend la pose du gosse boudeur, au fond il n’est qu’un ingrat. Elle, en revanche, reste majestueuse, surtout quand elle répond qu’elle a épousé un homme qu’elle croyait aimer. Moment beau et juste de cinéma dont on se refuse à questionner la sincérité. « Je lui pardonnais tout quand je voyais Bob chanter », avoue Joan Baez et nous avec.
0 notes
lauracreer · 6 years
Text
Changer de vie partie 3
- tu dois te rendre à quel cours ?
Je réfléchis et détourne le regard pour regarder le sol derrière lui
- croquis...?
il rigole, il n'a pas l'air de se moquer... enfin je crois.. de toute facon je prends tout mal je suis toujours sur la défensive.
- Suis moi, je suis là personne qui s'occupe de ce cours
Alors que j'ose croiser un instant son regard il me fait un clin d'oeil... ok ne plus le regarder dans les yeux. C'est trop compliqué de toute facon.
- d'accord, merci c'est vraiment gentil de votre part
Il sourit et entame le pat, je le suis en trotinant un peu et regarde son dos... il avait l'air sympa. Pourquoi il ne le serait pas de toute facon... tout les prof ne sont pas comme madame Mergaux !
nous arrivons devant une porte ouverte qui donne sur une grande salle. Il y a des chevalets qui sont placé en cercle avec des personnes assise sur une chaise autour. A au milieu un socle avec rien du tout dessus et un peu plus loin un bureau et une étagère avec du matériel. La pièce est plutôt bien eclairait...... et tout les regards se tournent vers nous. Merde... voilà pourquoi je ne supporte pas être la dernière !!! Le professeur me fais signe de m'installer à la place libre, ce que je fais en vitesse et je pose mon carnet de croquis A3 sur le chevalet.
Tout le monde se tait alors que le prof se racle la gorge. Il y a de tout en âge dans mon groupe, c'est spéciale mais sympa. Après tout nous ne sommes plus au collège ni au lycée.
- Je m'appelle Dévlin Winchester et je serais votre prof de dessin en générale. On se verra dans les cours de croquis, d'anatomie et dans le cours sur la peinture.
Plusieurs filles gousses,elles semblent ravies ! Moi j'écoute et je serre mon sac contre moi.
- Comme vous aurez pu tous le remarquer nous avons plus ou moins le même âge alors nous allons faire simple et nous tutoyer. Alors s'il vous plaît pas de monsieur Winchester, Dévlin ça sera très bien.
ils sont plusieurs à rires dans le groupe,moi je souris,c'est vraiment sympa de sa part de nous mettre sur un pied d'égalité.
-avant de commencer à dessiner quoi que ce sois je vous propose d'écrire votre non sur une feuille blanche que vous allez plier en deux et poser sur le haut de votre chevalet... et puis nous allons faire un petit tour pour que chacun se presente
Monsieur Winchester fait le tour et nous donne à tous une feuille machine A4. Je le remercie et sort un feutre noir de ma trousse one piece pour commencer à écrire mon prénom bien visiblement. Je le pose ensuite sur le devant de mon chevalet et jette un oeil sur tout le monde. Notre prof s'est assit sur le socle au milieu et ils nous observe.
Quand tout le monde a fini,quelques uns commencent à parler entre eux,ils ont tous l'air de connaître quelqu'un.. sauf moi je ne connais personne. Allez on respire Laura tout vas bien se passer. Tant que je ne dois pas m'exprimer en première .
Dévlin : -Alors qui veut commencer ?
une blonde qui a plus de maquillage sur son visage que de peinture sur une palette lève la main. Elle est mince,bien habillé... bref le genre de filles que les mecs aiment... elle se présente,apparement elle aurait déjà exposé et vendue... a la fin elle se dit même célibataire ce qui fait rire le prof. Je roule des yeux intérieurement et écoute la suite.. dernière ça me va, il semblerait que je sois la seule timide du groupe...
En fin de compte ce n'était pas une aussi bonne idée de vouloir passer en dernière,tout le monde semble avoir une vie de ouf.. et ils ont aussi beaucoup d'expérience. Qu'est ce que j'allais bien pouvoir raconter ? ... la tension monte de plus en plus pour moi au fur et à mesure que chacun passe. Et puis s'est enfin à moi.... tout les regard se tournent sur moi... Je prends une grande inspiration et je me force à sourire. Je triture mes doigts nerveusement et je me focalise un instant sur le prof avant de regarder mes mains.
-Bon et bien... moi s'est Laura.. j'ai 24 ans et... hum je suis sur Lyon depuis 5 ans. Je suis Belges et Réunionnaise, oui je sais s'est un drôle de mélange.
J'arrive à les faire rire, ça me detends un petit peu.
- au collège/lycée j'étais en section art et ensuite assistance aux métiers de la publicité, j'ai obtenue mon diplôme et puis j'ai tenté St Luc en Belgique. J'ai réussie l'examen d'entrée mais je n'ai pas pu continuer... bref.... ensuite je suis arrivé ici j'ai bossé chez mac do et me voilà.
- Haha ce n'est pas un marathon Laura tu pouvais prendre ton temps.
Il me souris.. ça me fait craquer.
- euh oui... désolé je ne voulais pas déranger.
Déranger deranger... c'est vrai que les autres en avaient dit encore plus...mais bon l'horloge avait tourné et le cours été fini avant la pause.
-Bon et bien sur ce derniers mot vous pouvez partir en pause, je retrouve ceux qui on pris l'option anatomie juste après la pause.
Tout le monde range leurs affaires. Moi je prends mon temps,je ne sais pas ou je vais aller,il y a sans doute un réfectoire ou pas.. mais comme je commence à connaître cette pièce je m'y sens en sécurité.. alors j'aimerais ne pas en partir.. en plus monsieur Winchester.. est super sympa !!!
* Je relève les yeux un instant. Ça m'etonnerais que je puisse rester là. J'ouvre la bouche quelques instants puis la ferme vu qu'il allait me parler*
- Tu peu rester la si tu veux,c'est la même salle pour le cours suivant
Il lisait dans mes pensées c'était merveilleux. Merci Merci merci.
-Merci beaucoup je n'osais pas vous demander
- Hey pas de vouvoiement, je vais paraître plus vieux que je ne le suis.
- d'accord.. pardon..
Je fini par rigoler et il s'approche de moi.
- Tu as des dessins dans ton carnet ?
- euh oui...
Il se permet de prendre mon carnet et d'y jeter un oeil. Je le regarde faire. Ce n'es pas terrible terrible ce que je fais.
- tu as bien fais de t'inscrire à mon cours
Je tire la langue ce n'est pas faux, ce n'est pas ma tasse de thé tout ça.. m'enfin.
Je devrais le prendre mal en fait,vous... enfin tu veux dire que je ne dessine pas bien ?
Il lève les mains au ciel. Et alors que je vais pour recommencer à discuter avec lui... la jeune blonde de plus tôt rentre dans la classe. Elle n'hésite pas à le tutoyer...Je soupire intérieurement et me met sur mon téléphone. Ils sortent de la classe. Elle allait se le faire s'est clair...
Je passe la pause sur mon téléphone du coup. Et le cours reprends ensuite. Un modèle masculin vient poser pour nous. Il est en boxer mais Dévlin nous dis qu'au cours suivant tout serais enlevé, que là c'etait pour habituer les plus timide. Je ne sais pas pourquoi mais quand il dit ça il me regarde. Je suis grillé... Je rougie*
En fin de compte ce n'est pas si nul que ça les cours. J'arrive quand même à discuter avec une fille et un homme qui sont dans le même cours que moi.
Je rentre avec le sourire aux lèvres d'ailleurs et quand je monte dans ma chambre je n'arrive même pas à rp... Je suis allongée sur mon lit à regarder le plafond. J'avais tellement hâte d'être à demain.
Nous sommes au mois de février , je continue d'aller à mes cours et je suis un peu plus sur de moi. J'ai perdu beaucoup de poids à cause de mon traitement. Je pèse 75 kilos et pour la première fois de ma vie Je me sens bien dans ma peau. Quelques garçons on essayés de me draguer.. et ... mais non ils ne m'intéressent pas du tout.. Je n'ai d'yeux que pour mon professeur.. hélas je le vois toujours au bras de nana différentes... toutes plus belles les unes que les autres. Je n'ai aucune chance s'est clair.. mais je garde un espoirs au fond de mon esprit.
Je viens de ranger mon crayon et mes affaires avant de me lever et de saluer monsieur Winchester.
- bonne fin de journée
Je souris,il me sourit et me fais un signe de main avant de finir de ranger ses affaires. Je n'ai pas encore le permis alors je prends encore le bus. Il pleut énormément dehors,je n'ai pas pris de parapluie et je vais attendre prêt de l'arrêt de bus. Tout le monde s'est agglutinés en dessous... et moi comme je n'aime pas me presser aux autres je préfère rester dehors à me tremper. J'allais le regretter c'est sur.
le temps passe,le bus n'arrive pas et j'entends quelqu'un annoncer qu'il y a grève des bus. Merdé !!!! Qu'est ce que j'allais faire.. ce n'était pas mon père qui allait venir me chercher en ville.. la poisse !!! La panique me prends et la je ne sais pas quoi faire. Alors que tout le monde est partit je m'appuie contre le poteau .... Je n'arrive pas à réfléchir... crise d'angoisse....puis... Je ne sens plus l'eau sur moi.. Je relève les yeux et je le vois là à mettre son parapluie au dessus de moi... mon professeur... Je ne sais pas se qui me prends mais je fond en sanglot et saute dans ses bras. Il semble surprit mais me frotte doucement le dos.
- Hey ça va aller... Je vais te ramener chez toi,tu ne vas pas rester sous la pluie comme ça.. tu habite à Vernaison s'est ça ? Ça tombe bien parce que j'habite à Charly.
Ohhhhhhh mon sauveur.. Charly s'est juste à côté de chez moi. Quand je réalise se que je fais je me recule en s'excusant.. il me sourit encore et toujours.
- Je suis garé là bas
Il me pointe sa voiture du doigt . C'est une renaut Mégane bleu,rien de très chic mais frenchement je m'en contre fou . Je le suis,il m'ouvre la portière et je m'asseoie..
-Merci beaucoup... Je ne savais vraiment pas quoi faire...
- j'aurais été un monstre si je t'avais laissé là
Il rigole et moi aussi puis il démarre. Bon sang j'avais vraiment de la chance.. ou pas ? Qu'allez dire sa copine si elle me voyait avec lui. D'ailleurs ou etait-elle je les voyait souvent à la sortie ensemble... Je tente de poser la question.
- votre copine n'est pas là?
- tu as vraiment du mal avec le concept de tutoiement on dirais, on es sur le même pieds, rapelle toi...
Il prends un temps puis continue.
- Je n'avais pas envie de la voir.
Je hoche de la tête et commence à lui raconter que je n'aimais pas beaucoup cette ville à la base... mais qu'il me l'avait fais aimer grâce à ses cours.
- Vraiment ? Quand même pas, je ne suis pas si bon prof que ça,si ?
Il rigole et je rougie encore plus.
- très bon professeur même ! J'ai appris énormément de chose en peu de temps et .. enfin je sais pas votre cours est beaucoup plus sympa que les autres... disons que les autres professeurs sont ennuyeux et déprimant.. mais il ne faut pas le dire !
1 note · View note
theoppositeofadults · 6 years
Link
«Libération» est allé à la rencontre des plus de 75 ans pour tenter de percevoir comment on vieillit dans une société qui vous invisibilise. Dans le premier volet de cette enquête, des femmes et des hommes évoquent leur rapport à un corps qui faiblit.
Il n’a pas pu faire autrement, le maquettiste : on lui a demandé d’illustrer un livret sur la vieillesse, il a dessiné un homme courbé. Sauf que «la plupart des vieux ne sont pas comme ça», se désole Marie-Françoise Fuchs, qui s’emploie à nous mimer le dessin du fascicule édité par un organisme travaillant sur l’adaptation des villes aux personnes âgées. Présidente de l’association Old Up, à 86 ans, elle se tient encore bien droite. Mais dans l’imaginaire collectif, un vieux, ça doit souffrir. Penché, une main sur une canne, l’autre sur sa hanche, le vieux souffle, râle, car il est victime, suppose-t-on, d’une douleur diffuse et continue.
Pourtant, la majorité des octogénaires sont «plutôt en forme», explique Jérôme Pellissier, docteur en psychogérontologie. «Il y a une confusion permanente entre la vieillesse et la maladie, notamment Alzheimer. Or il y a une minorité qui va mal et qui est très visible, mais la majorité va bien.» Parmi la vingtaine de personnes, âgées de 76 à 97 ans, rencontrées au cours de cette enquête, la plupart sont certes diminuées, mais encore vaillantes. Pour tout dire, on a même vu des teints hâlés, des lèvres lisses, des peaux qu’on présumait douces, des mains puissantes, des dos droits, entendu des voix dotées d’une certaine force et senti de l’énergie. A 94 ans, Robert Desplan «se réveille le matin et n’a mal nulle part», à 90, Odette Lévy fait encore son ménage toute seule et à 97, Claude Moureaux tient encore bien debout, gesticulant sans cesse.
Passé 80 ans, on pourrait même encore parfois se sentir bien dans sa carcasse. «L’autre jour, j’étais à un concert de musique tzigane, une femme est venue me trouver pour danser, raconte Françoise Sauvage, 88 ans. Je pense que je donne encore le sentiment d’aimer la vie», dit-elle en riant, un peu fière. Quelques jours après, elle a prévu d’aller au théâtre avec des amis. Suivra ensuite un dîner, qui la mènera dans son lit vers 2 heures, tient-elle à indiquer avec l’air espiègle d’un enfant ayant bravé un interdit.
Comme les jeunes donc, les vieux peuvent faire la bringue, un peu. Ils leur arrivent aussi de ressentir du plaisir, parfois même du genre de ceux qu’on penserait leur être interdit. «La femme, elle peut jouir jusqu’à la mort, s’amuse Laure Brandt, 84 ans. Toutes ces sensations du corps… le plaisir des yeux, tous les sens que nous avons, je pense qu’on peut les exploiter. Ça dépend des gens, moi j’aime beaucoup les massages. C’est quand même une relation avec quelqu’un, il y a déjà de l’érotisme. Ça, ça reste possible pour les personnes âgées.»
Tumblr media
Réputée pour son effet sur les rhumatisme, la station thermale de Balaruc-les-Bains (Hérault) accueille des retraités. Photo Yann Castanier. Hans Lucas.
«Des pompes tous les matins»
Un bémol, toutefois, à ce dessin du vieux en forme : il faut se forcer pour être bien, travailler à son maintien. «Se faire violence pour trouver du plaisir», nous dit Françoise Sauvage, «se remuer», répète en boucle Claude Moureaux. «Quand je me remets debout, je me rends compte que les jambes sont moins solides [il dit «les», comme on parlerait d’une pièce mécanique]. Donc je remue beaucoup.» Pour faire de l’exercice, il scie des morceaux de bois («ça m’oblige à faire marcher les muscles»), quand Robert Desplan, dont on peine à comprendre comment il tient debout tant sa tête est en avant, fait «des pompes tous les matins» : «C’est ridicule, mais il faut essayer de se maintenir en forme. On peut toujours faire des progrès dans certains domaines, il suffit de s’appliquer. Je suis au défi avec moi-même.» On voit, en le regardant, que rester en vie demande un effort. Il s’agite, il gesticule, comme s’il menait un combat perpétuel pour être présent.
Car si la vieillesse n’est pas une maladie contagieuse, il faut bien l’admettre, elle consiste à perdre. Souvent, ce sont les jambes qui ne tiennent pas, les genoux qui n’y arrivent plus. «On apprend que le corps, c’est très important, alors qu’on n’en a pas conscience quand on est jeune», raconte Robert Desplan. Ce corps qui, tant qu’il marche bien, ne se fait pas sentir, devient alors très concret. «On ne peut pas l’oublier, il se manifeste par des douleurs, des douleurs de fond»,décrit Laure Brandt.
«J’ai peur de ne plus pouvoir me relever»
Comme une allégorie de cet effondrement, la peur récurrente, chez toutes les personnes interrogées, c’est celle de la chute. On tombe et alors quelque chose lâche, s’éteint, quand une autre s’installe : l’anxiété, l’angoisse de s’écrouler à nouveau. Ces chutes, ils les racontent souvent précisément, les décrivent comme des souvenirs marquants, donnant l’air de les revivre en les évoquant. «Ma chute, je pense qu’elle m’empoisonne un peu la vie dans la mesure où je la visualise et je la ressens, raconte Nancy de La Perrière, 89 ans. J’étais sur un trottoir, je suis tombée la tête la première, mon bras, je ne sais pas où il était. Une femme a mis un linge entre le trottoir et ma figure. C’est une angoisse que ça recommence.»
La peur empêche, quand ce n’est pas le corps qui ne suit plus. Vieillir, c’est vouloir sans pouvoir, se sentir empêtré par soi-même. On le voit à la façon de tenir un couteau pour découper une tarte, on le comprend quand on nous raconte qu’on adorerait faire des randonnées, comme avant, ou simplement marcher. «Il n’y a qu’une chose qui vraiment m’embête, c’est que j’ose plus prendre de bain. Moi, j’aimais prendre des bains… Et j’ai peur de plus pouvoir me relever. Alors je prends des douches, mais c’est pas pareil», raconte Odile Lévy. «C’est une souffrance constante, je ne peux pas faire ce que j’aimerais faire, des mouvements qui paraissaient naturels», témoigne Annie Mallet, 87 ans.
«J’ai mes jambes qui frétillent»
Même ceux qui se jugent en forme n’échappent pas au poids de ces limites. «Ce qui est difficile, c’est de ne pas pouvoir faire ce qu’on a envie de faire parce qu’il y a quand même une forme de tonus intérieur qui demeure, explique Nancy de La Perrière. J’ai fait beaucoup de ski dans ma vie, de temps en temps j’ai mes jambes qui frétillent. Il y a un décalage entre cette espèce de pulsion de mouvement, de plaisir corporel et l’impossibilité de le faire.» L’affaissement est progressif, «peut-être une façon de pouvoir l’accepter plus facilement», suppose-t-elle, mais jalonné, pour beaucoup, de «coups». «Mon corps a changé d’un coup, décrit Annie Mallet. Ma colonne s’est tassée, tout a changé, a basculé, toutes les facultés m’ont lâché.»
Esthétiquement aussi, tout «fout le camp», pour reprendre une expression souvent utilisée. Comme un signal de cette mécanique qui s’enraye, la couleur des yeux se ternit en même temps qu’ils se ferment, les peaux se ramollissent, des dentiers se barrent, remis en place par un rictus assorti d’un coup de langue. Les hommes, souvent, sont minces, très minces, donnant l’impression qu’ils flottent dans leurs vêtements, comme si une partie d’eux n’était déjà plus là, du moins le superflu. «Je ne suis pas attirée par le corps d’un homme de mon âge, explique d’ailleurs Laure Brandt. Ça me renvoie à ma vieillesse. Moi, ça, j’en souffre. J’ai la peau des bras qui est épouvantable, toute fripée, j’ose plus les montrer.» Le temps prend d’abord son temps pour s’inscrire sur les corps, avant d’accélérer à un point tel qu’on a parfois du mal à se reconnaître. «Je me revois quand j’avais 15 ans et qu’un jour, tout d’un coup, dans ma chambre, j’ai découvert mon corps de fille avec des seins, mais je ne me revois pas plus tard. A 30, 40 ans, il faut que je regarde une photo. Le vieillissement, pour la femme en particulier, c’est une épreuve.» «On a l’impression que votre physique ne donne pas l’idée de ce que vous êtes», estime Robert Desplan, pour la version masculine.
«Je suis le rythme des pommes»
Que faire, sinon supporter ? «Perdu, c’est le mot de la vieillesse. On n’arrête pas de perdre et c’est ça qu’il faut accepter, sinon, on va s’empoisonner la vie», juge Paule Giron, 89 ans. Elle ne peut plus se baisser, se couper les ongles des pieds, tant pis. «Ce qu’on apprend en vieillissant, c’est de ne jamais être tout à fait dans le même état. Le corps bouge à une vitesse grand V. Il faut accepter ces manques qui vont nous arriver au fur et à mesure. On n’a aucun moyen de les refuser et quand on essaie, on tombe très vite dans le ridicule.» Aidée par deux cannes pour se mouvoir, elle a accueilli cette perte, comme on dirait dans un manuel de bien-être. «Un truc typique des vieux, c’est la lenteur. Je ne vis pas ça comme une frustration, c’est un autre cycle. Maintenant, je suis vieille, et quand je vois mes filles par exemple, je suis totalement admirative ce qu’elles arrivent à faire dans une journée, mais je ne les envie pas. J’aime être totalement adaptée à ce mouvement naturel. Le corps est intelligent, je n’ai pas envie de brusquer ça. Je ne suis pas quelqu’un qui va se révolter contre le temps. Pour moi c’est vécu comme une évidence. Ça me ramène à l’écologie, ça me fait penser que je fais partie de la nature, donc je suis le rythme des pommes, qui tombent. Et alors ?»
D’une certaine façon, le désir s’adapte à la capacité, s’accorde avec les nouvelles limites du corps. «Moi, je suis fatiguée, donc je me rends compte qu’il y a des choses qu’on ne veut plus faire», nous explique une femme dans un Ehpad. «Il y a un ressort qui est cassé», justifie une autre.
«La tête, elle, ne vieillit pas»
Reste aussi «un plaisir d’être vivant sans objectif particulier», explique Nancy de La Perrière. Et dans la dégringolade, pour certains, il y a même des gains, bien que le mot jure avec les paragraphes ci-dessus. «Il faut accepter ce qu’on perd pour jouir de l’acquis, constate Marie-Françoise Fuchs, 86 ans. Mon mari aimait le tennis, il faisait des simples. A partir de 55 ans il perdait contre ses adversaires. Ça le mettait de mauvaise humeur. Puis il a décidé de jouer en double et il a découvert un autre plaisir. C’est fou, le potentiel qu’on a si on l’utilise.» Presque toutes les personnes interrogées s’accordent aussi sur le fait qu’on gagne plus qu’on ne perd sur le plan intellectuel. «Ma curiosité est infinie, cette faculté, je l’ai toujours», juge Laure Brandt. «Côté culturel, j’ai jamais eu autant de temps pour me développer. Tant qu’on a sa tête, c’est dommage de se plaindre car la tête, elle, ne vieillit pas», abonde Paule Giron. Tout de même y a-t-il des «trous» ? De temps en temps, au cours d’une conversation, il faut rappeler où l’on en est, ou chercher avec l’autre le nom propre qui nous échappe. Ainsi, Marie-Françoise Fuchs aura rebaptisé le député Gilles Le Gendre, qu’elle venait de rencontrer, «Gilles Machin». «J’ai des distractions»,s’excuse-t-elle. Le mot est adéquat, car souvent réémerge ce qui échappait. «Ça, la mémoire, ça m’étonne, explique Robert Desplan. On oublie des choses qui vont ressurgir avec des événements, mais pourquoi ?» Il y en a d’autres en revanche qui ne disparaissent jamais. Pour lui, «la description de Madame Verdurin» ou «une fable de La Fontaine». «Sur quel critère ? Je ne sais pas… Mais de toute façon, la nature a horreur du vide : si vous perdez quelque chose, vous avez quelque chose d’autre en remplacement. On perd la mémoire, mais ça fait aussi de la place dans la tête pour changer les fichiers.»
Vient un moment, cependant, quand arrive la perte de l’autonomie tant redoutée par toutes les personnes interrogées, où il n’est plus possible d’optimiser, de s’efforcer. «Retomber dans la dépendance qui est quelque part la dépendance de l’enfance, dont on a eu tant de mal à sortir, ça, ça fait peur», s’inquiète Laure Brandt. Oui, c’est dur, confirme Maryane Aillaud, 76 ans seulement mais victime d’un AVC qui l’a condamnée à cette dépendance. «Il faut être à disposition des gens», explique-t-elle, et notamment pour la toilette, souvent vécue comme une épreuve. Quand même lire devient compliqué, difficile de parler de «bénéfice». «Je vois à peine, là, je vous entrevois, nous explique Geneviève Peltier, 97 ans. Qu’est-ce que vous voulez que je fasse ? Je ne peux plus regarder la télé, lire, écrire…» Ainsi, la perte des capacités finit par isoler et on a un peu l’impression, en observant certains des plus âgés, que la vie les quitte progressivement. A moins qu’il ne reste une forme d’«énergie», revenant par secousses, comme l’explique Nancy de La Perrière : «C’est plus qu’une remémoration, c’est quelque chose qui réside encore en soi, en ses fibres corporelles. C’est peut-être cette espèce de pulsion de vie qui est un plaisir en soi…»
25 notes · View notes
wellnessproject · 3 years
Photo
Tumblr media
FAUT IL CHOISIR UN SEUL SPORT ?
Oui oui oui et oui. Je commence par le sport. Pas la nutrition, pas le lifestyle. Encore que, vous n'êtes pas (si vous avez bien suivi) obligés de lire les articles à la suite. Guide de lecture n'est pas loi c'est pas le IV Reich du fitness ici. Donc oui, on va parler sport dès maintenant histoire d'évacuer le sujet au plus vite.
Surtout, je dois malheureusement annoncer une mauvaise nouvelle assez rapidement sur le site. Le sport et l'activité physique est un point crucial dans la réussite de l'épreuve.
La sédentarité (manque d'activité physique) est considérée comme le quatrième facteur de risque de décès dans le monde (6%). On estime par ailleurs qu'elle est la cause principale de 21 à 25% des cancers du sein ou du colon, de 27% des cas de diabète et d'environ 30% des cas de cardiopathie ischémique. Les adultes âgés de 18 à 64 ans devraient pratiquer au moins, au cours de la semaine, 150 minutes d’activité d’endurance d’intensité modérée ou au moins 75 minutes d’activité d’endurance d’intensité soutenue, ou une combinaison équivalente d’activité d’intensité modérée et soutenue. Pour pouvoir en retirer des bénéfices supplémentaires sur le plan de la santé, les adultes devraient augmenter la durée de leur activité d’endurance d’intensité modérée de façon à atteindre 300 minutes par semaine ou pratiquer 150 minutes par semaine d’activité d’endurance d’intensité soutenue.
OMS
Qu'on se comprenne bien. Pour vivre tel l'être humain que la nature a conçu : il faut faire du sport 20 min par jour MI-NI-MUM. C'est le fonctionnement vital, celui pour ne pas tomber malade. Pour être en bonne santé, pour s'optimiser et pour pouvoir améliorer et prolonger ces bénéfices, on passe à 45 min. Et ceci mes amis : à vie.
Vous êtes enfermés à vie avec cette contrainte. Alors la seule chose qui reste à faire : tourner cette contrainte en plaisir.
Un sport ? Plusieurs sports. La réponse est (vous commencez doucement à comprendre) plus complexe. La réponse dépend de vous. Vous êtes plutôt coté fenêtre dans le train ? Pour pouvoir vous accouder à la fenêtre, ne pas être dérangé ? Ou côté couloir ? On surveille les entrées sortie, on pas besoin de l'autre pour aller au wagon bar, se dégourdir les jambes, téléphoner ou aller au WC. Il y a des statistiques, les places coté fenêtre partent plus vite mais encore une fois, c'est comme on préfère : pas de règle. Tout ça pour dire deux choses : oui, on n'y coupe pas sans le sport, oui on peut maigrir sans en faire, mais ce n'est pas pérenne et surtout, ce n'est pas le but de la méthode. Ici ce n'est pas être fit qui nous importe, c'est être en bonne santé. La deuxième chose : choisir un sport ou en choisir plusieurs, c'est s'adosser les services de puissants alliés dans cette guerre de tous les jours. Plus vous prenez du plaisir dans un ou plusieurs disciplines, plus vous avez de chance d'aimer pratiquer une activité physique, moins vous allez avoir l'impression de faire des efforts.
Pour parler de mon experience personnelle, j'ai commencé avec la course à pied. Pourquoi ? Parce que c'est le sport qui vous aidera le plus à perdre. Par pitié ne venez pas me jeter à la figure des articles putassiers de blogs / sites qui vous expliquent que nager ou marcher brulent autant voire plus de calories que la course à pied. La course à pied est un sport non porté à impact, forcement il vous fait vous dépenser plus. Comparer les sports entre eux c'est stupide, tout depend du niveau d'intensité avec lequel il est pratiqué et ce niveau d'intensité dépend de beaucoup trop de facteurs (aisance, structure musculaire, appétence ou attrait spécifique) pour être résumé par un 'journaliste' qui avant de vous dire que le Yoga était plus efficace que le crossfit, écrivait sur les 10 tendances de l'été en matière d'épilation ou les 5 recettes de soupes à ne pas manquer pour thanksgiving. La course à pied a été salvateur pour moi. Déjà car même si j'ai toujours été un grand sportif (à 27 ans j'avais derrière moi 12 ans de foot et 3 ans de boxe et de MMA) j'ai toujours détesté le cardio. J'étais le boxeur cuit au 3e R et l'ailier qui se faisait remplacer à la 75e. Je me souviens encore des ces tours de terrains grugés en me cachant derrière les tribunes. Courir vite et court oui, longtemps et doucement JA-MAIS. Et comme il ne faut jamais dire jamais, c'est bien ce sport que j'eu choisis pour parfaire ma panoplie de jeune homme prêt à me remettre en forme. Si je dois être tout à fait franc, c'est plus compliqué que ça.
Du jour au lendemain, mon choix passait de "Pas de sport hormis le pauvre urban foot bi-annuel" à "3 à 4x par semaine". La structure était simple : 3 fois salle de muscu le midi et samedi matin cardio. Mo programme à la salle était plutôt simple : 15min de cardio 15 min de musculation 15 min de Hammam / Jaccuzi (merci petit centre sportif de Levallois, à jamais dans mon coeur). Le samedi, c'était 30 à 40 min de footing. À l'époque je faisais 93kg pour 1m70 autant dire que mes genoux ont rapidement commencé à parler allemand face à la charge. Car oui, c'est la premiere excuse que vous allez trouver : vos genoux. Oui vous avez mal et un medecin de famille vous a même surement dit un jour que à cause de votre genou / Hanche / pied le sport c'était proscrit. Qu'il aille au diable. Des footballers reprennent le chemin des clubs pro après avoir vu leur jambe cassée en 4 par un tacle assassin, des skieurs reprendre les super G avec avoir vu leur genoux fonctionner dans le sens contraire. Ne me faites pas linker les vidéos atroces de ces moments. Alors c'est pas votre genou / pied / hanche douloureux qui va vous empêcher de le faire. Quand on veut on peut. Si votre douleur vous empêche de le faire, pas la peine de lire une ligne de ce site de plus, vous n'êtes pas prêt.
Pendant environ deux ans, je me suis attelé à ce programme. Je l'ai un peu allongé, de 15 à 20 de tapis de course mais au lieu de faire 2,5km en 15 min j'en ai fait 3 puis 4 en 20 puis 5 en 20. Et la musculation au lieu de porter des haltères en developper couché de 12 kg je suis passé à 16 puis 18 puis 22. Aujourd'hui si je faisais cet exact training, j'en serai à 6km en 20 minutes et des haltères de 32kg.
En terme de sport pur et dur, en 7 ans, je me suis diversifié : vélo, natation, crossfit, boxe, escalade, apnée, foot,... Je pratique tout ce qui m'intéresse et plus je suis en forme, plus il est facile de commencer un nouveau sport à un assez bon niveau, on se prend vite au jeu.
Pour répondre à la question initiale je vais dire : il n'y a pas de bonne méthode, pour choisir un ou des sports voici la checklist de questions à se poser :
Est-ce que j'aime ou j'aimerai ce sport si je devais le pratiques plusieurs fois par semaine pendant des mois et des années ?
Y a t-il des gens de mon entourage qui le pratique également avec lesquels je peux en parler ou m'entrainer ?
Y a t-il une fédération, une mouvance, des événements (salon, compétition, colloques,..), qui me permettront d'animer mon entrainement et casser la lassitude éventuelle ?
Ce sport me permet-il de m'épanouir en avançant des échelons (du 5km au marathon pour la course à pied, des ceintures pour les arts martiaux, des certifications pour le crossfit) ?
Ai-je les moyens financiers, de temps, d'aménagement pour le pratiquer dans les meilleurs conditions ? (abonnement /proximité de la salle, prix de courses exorbitant, achat de matériel, ou tout simplement volume minimal d'entrainement qui peut varier de 1 à 10h min hebdo selon les sports)
Est-ce que je vais prendre du plaisir ? Est ce que je vais aimer en parler, me prendre en photo ?
Peut il devenir un mode de vie ? Me donner envie de me surpasser, de me lever plus tôt, de me coucher plus tôt, de voyager, de discuter, de partager ?
Course à pied, cyclisme, marche nordique, musculation, on s'en fiche. Le plus important c'est de se faire plaisir, si le sport que vous avez en tête coche les cases , GO. Si ce n'est pas le cas, pas de panique, il en existe des dizaines d'autres !
Conseil 1 : Variez les sports.
Pour moi, la découverte du triathlon a été un renouveau car quand un des sports devient rébarbatif, on peut se fondre dans un autre et ainsi de suite. Idem en cas de blessure ou de gène. On est libre !
Pour finir avec mon propre exemple je pratique tous les jours : le renforcement musculaire, le vélo (hometrainer ou exterieur) et la course à pied (tapis, piste, ville ou trail). Tous les mois au moins : la boxe, le MMA et le JJB, la musculation en salle ou poids de corps, la natation (libre ou piscine). Tous les ans au moins : le foot, l'escalade de bloc,
Conseil 2 : Choisir un / des sports à variation
En effet, COVID ou pas, le mieux c'est un sport que l'on peut pratiquer de manière différente. La course à pied ? On peut la faire sur tapis et faire des entrainements / courses virtuelles. On peut courir en foret, on peut courir en pars et dans les rues, sur piste, partout. On peut courir vite sur des courtes distances de quelques minutes, ou faire des ultra trails de plusieurs heures. Idem pour le vélo ou la musculation.
Conseil 3 : Kiffez !
0 notes
lecturesdefemmes · 6 years
Text
JOUR 52 - Faiminisme, Quand le sexisme passe à table, Nora Bouazzouni
Un bref essai mené tambour battant avec un ton ironique et des piques tout à fait réussies. Le postulat de Nora Bouazzouni ? Sexisme et nourriture ont de nombreux points d’intersection. L’oppression des femmes se constate de manière flagrante dans notre rapport à l’alimentation.
« Quel rapport entre le patriarcat et une entrecôte ? Où se cachent les cheffes ? L’agriculture est-elle une affaire de mecs ? Avec ce livre, nous tentons d’expliquer par le menu comment nourriture, sexe et genre féminin demeurent intimement liés et comment l’alimentation a toujours permis d’asservir les femmes. »
À grand renfort d’études, de chiffres, d’articles, d’émissions TV et d’anecdotes personnelles, Nora Bouazzouni aborde ainsi une série d’enjeux de société hyper-actuels autour de notre rapport à la nourriture. Elle démonte une bonne série d’idées reçues et de clichés en rappelant des faits et chiffres d’études récentes (a-t-on vraiment besoin de viande ? les hommes ont-ils besoin de manger plus ? y a-t-il une “touche féminine” chez les cheffes ? les femmes ratent-elles leur mayonnaise quand elles ont leurs règles ?) et ça fait du bien de le lire. Parmi les thématiques qu’elle passe au crible de son ton mordant : 
- la proportion et la représentation des cheffes par rapport à leurs homologues masculins dans la haute gastronomie :
« En 2007, Anne-Sophie Pic obtenait trois étoiles (au Michelin), ça n’était pas arrivé à une femme depuis Marguerite Bise en 1951 ! Pourquoi la série documentaire de Netflix Chef’s Table ne consacre-t-elle que cinq épisodes sur vingt-deux à des chefs ? Pourquoi le critique gastronomique de L’Express François-Régis Gaudry mettait-il à l’honneur, en novembre 2013 quinze « jeunes pousses en tablier, qui mènent, tambouille battante, une singulière révolte gastronomique, tous des hommes ? »
- Le rôle des femmes dans l’agriculture, et leur simple accès à la terre.
« D’après l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), les femmes constituent environ 43% de la main-d’oeuvre agricole dans le monde (le chiffre faire entre 20 et plus de 75% selon les pays). Problème : moins de 20% des propriétaires fonciers sont des femmes. (…) En Inde par exemple, 4è surface agricole mondiale et alors que l’agriculture est le premier employeur du pays, seulement 10% des femmes travaillant dans ce secteur possèdent des terres. Elles travaillent pourtant 3300 heures chaque saison, contre 1860 pour les hommes. (Oxfam India, Rapport 2014-2015)»
- Le fait que la manière dont nous nourrissons de manière différenciée filles et garçons (plus de viandes pour ces derniers, qui en auraient génétiquement « besoin ») s’inscrit et prolongerait une oppression systémique millénaire des femmes.  
« Il paraît aussi que les hommes ont besoin de manger plus que les femmes. Faux, on a tendance à confondre apport calorique et quantité de nourriture. Le problème c’est que les femmes - et a fortiori les mères - ont intégré cette idée. De nombreuses études montrent qu’elles ont tendance à remplir davantage l’assiette de leur fils et donc à exercer une discrimination nutritionnelle inconsciente (ou consciente, quand elles-mêmes ont un rapport névrotique à la nourriture) sur leur fille. »
- La notion d’écoféminisme, ou pourquoi écologie et féminisme sont peut-être intrinsèquement liés. Et même, allons plus loin, végétarisme et féminisme. Carnisme et sexisme seraient-ils deux facettes d’une même idéologie oppressive arbitraire ?
« Féminisme et antispécisme ont en commun la volonté de déconstruire un système millénaire et institutionnalisé et s’inscrivent en cela dans une lutte contre des schémas normatifs. Or, toute déviance à la norme (homosexualité, végétarisme, polyamour, monoparentalité) est considérée comme une menace pour la société. » 
  - L’oppression du corps féminin, l’éducation des femmes pour paraître frêle et non-menaçantes, qui mène aux diktats pesant sur le corps des femmes. Si être gros, pour un homme, a longtemps signifié être riche ; ou musclé être viril, a contrario « une femme imposante, grosse ou musclée, est moins féminine, puisqu’elle s’impose les privilèges masculins : l’espace, la force et/ou le pouvoir. Pire : elle rejette les injonctions de féminité formulées par la société et l’image sexualisée que lui impose la culture visuelle acquise au male gaze, le regard masculin. En cela, puisque les grosses, a l’instar des lesbiennes, en sont donc pas des vraies femmes, elles deviennent les concurrentes des hommes, notamment dans la sphère professionnelle (une femme validée physiquement par les hommes est disqualifiée d’office, ne pouvant être à la fois sexy et compétente) et non plus des candidates à leur désir. »
- Corrolaire de ces diktats, elle passe au crible les troubles alimentaires, et la grossophobie : « Le/la gros-se reste stigmatisé-e puisqu’on part du principe qu’il/elle ne fait aucun effort pour maigrir. C’est comme les pauvres, qui restent pauvres par déficit de volonté. Et cela ne s’accord pas avec les vertus que prône notre société occidentale, dont la discipline et l’obéissance. » 
Et l’autrice d’ajouter, quelques pages plus loin, son propre témoignage qui fait sourire jaune : «  À 8 ans, la boulangère m’a dit : « Un pain au chocolat, c’est dix secondes dans la bouche, dix ans sur les hanches ! » Si on m’avait donné un euro à chaque fois que j’ai entendu cet adage, j’aurais une résidence secondaire. Au bord du lac Léman. »
- Analysant ces diktats de beauté qui deviennent des diktats dans l’assiette (healthy food, fitness challenge), l’autrice évoque combien aujourd’hui les mouvements de body positive ont une portée éminemment politique. 
« Aujourd’hui, le gras est plus que jamais politiques. C‘est d’ailleurs le nom d’un collectif français (graspolitique.wordpress.com) qui lutte contre la grossophobie, notamment dans le milieu médical. Aux États-Unis, la résistance s’organise. Contre la tyrannie de la minceur et les défis qui font l’apologie de la maigreur extrême (…), le mouvement « body positive » invite toutes les femmes, quelle que soit leur corpulence, à se dévoiler sur les réseaux sociaux pour rendre visible la diversité des morphologies et, le plus important : aimer son corps. »
C’est drôle, vif (mention spéciale à l’analyse des réactions outrées face au « supposé « lobby végétarien » (qui verse sans aucun doute des pots-de-vin aux puissant-e-s sous forme de falafels) ») et ça dresse un portrait à charge d’une bonne série de névroses alimentaires systémiques que notre société est encore loin d’avoir résolues. Certaines parties m’ont laissée, si j’ose dire, sur ma faim - passant en revue tant de sujets et de débats en à peine plus d’une centaine de pages, les arguments sont nécessairement parfois rapides. Ça donne donc envie d’aller creuser les nombreux textes originaux cités et décortiquer plus finement les argumentations avant de pouvoir les reprendre pleinement à son compte. Et somme toute, c’est plutôt très bon signe qu’un essai suscite cette envie d’aller plus loin et de creuser par soi-même les pistes évoquées. C’est même précisément ce qu’on attend de ce type de lecture.
Stimulant, facile à lire et enlevé, une lecture à mettre au menu de toute personne qui a, de près ou de loin, un problème avec la nourriture et l’envie d’y réfléchir et d’en discuter.  
G.C.
Faiminisme, Quand le sexisme passe à table, Nora Bouazzouni. Éditions Nouriturfu, 2017. 
Nora Bouazzouni est journaliste et traductrice freelance. En 2017, elle a publié "Faiminisme – Quand le sexisme passe à table" (Nouriturfu).
Tumblr media
26 notes · View notes
stephaniechermont · 3 years
Text
À bientôt 75 ans, Yann Arthus-Bertrand a tout entendu sur ses actions. On l'a traité de "nunuche", de naïf et même d'utopiste. Mais ce que cet homme engagé pour la planète a vu depuis ses débuts, c'est l'importance de l'humain, la force de l'amour et de l'entraide. Avec ses films et aujourd'hui grâce à sa Fondation Good Planet, cet activiste lance encore un message fort : aimons-nous, malgré tout.
Stéphanie Chermont - 16 mars 2021
0 notes
listofsecrets · 3 years
Text
Exemples de secrets que vous pouvez donner à votre personnage
Ci-dessous, vous trouverez une liste de secrets possibles pour votre personnage.
La liste a été tirée et traduite de ce site.
𝐅𝐀𝐌𝐈𝐋𝐋𝐄
1) Je déteste ma mère/belle-mère ; elle n’était/n’est jamais là pour moi.
2) Je déteste ma mère/belle-mère ; le divorce est de sa faute.
3) Je déteste ma mère/belle-mère ; elle a abusé de moi/abuse de moi.
4) Je déteste ma mère/belle-mère ; elle veut tout contrôler/est obsessionnelle mais personne ne semble le remarquer.
5) Je déteste mon père/beau-père ; il n’était/n’est jamais là pour moi.
6) Je déteste mon père/beau-père ; le divorce est de sa faute.
7) Je déteste mon père/beau-père ; il a abusé/abuse de moi.
8) Je déteste mon père/beau-père ; il veut tout contrôler/est obsessionnel mais personne ne semble le remarquer.
9) Je déteste mon frère/demi-frère/ma sœur/demi-soeur ; il/elle n’était/n’est jamais là pour moi.
10) Je déteste mon frère/demi-frère/ma sœur/demi-soeur ; le divorce est de sa faute.
11) Je déteste mon frère/demi-frère/ma sœur/demi-soeur ; il/elle a abusé/abuse de moi.
12) Je déteste mon frère/demi-frère/ma sœur/demi-soeur ; il veut tout contrôler/est obsessionnel mais personne ne semble le remarquer.
13) Ma famille à moi sommes soumis au programme de protection des témoins.
14) Mes parents ont du mal à être fiers de moi car j’ai plus de succès qu’eux à leur époque.
15) Je cumule plusieurs boulots pour subvenir aux besoins de ma famille car mes parents ne le font pas.
16) Mes parents se sont rencontrés dans une émission de type Le Bachelor.
17) Mes parents sont recherchés par la police/le FBI.
18) Mes parents me prostituent.
19) Mes parents prostituent mes frères et sœurs.
20) Mes parents prostituent mes frères et sœurs et moi.
21) Mes parents ont essayé de me prostituer quand j’étais plus jeune.
22) J’ai deux mères.
23) J’ai deux pères.
24) Je suis adopté(e).
25) J’aimerais être adopté(e)
26) Je recherche mes parents biologiques depuis que j’ai 14 ans, mes parents adoptifs l’ignorent.
27) Je vis avec mes grands-parents, je n’ai jamais connu mes parents.
28) Je suis le seul enfant biologique de mes parents, mes frères et sœurs ne savent pas qu’ils sont adoptés.
29) J’ai fait adopter mon bébé il y a des années, maintenant je le vois tous les jours.
30) J’aimerais être enfant unique.
31) Je déteste mon jumeau/ma jumelle plus que tout au monde.
32) J’ai encouragé mon frère/ma sœur à fuguer, elle/il l’a fait.
33) Je suis un enfant de substitution : mon frère/ma sœur est mort(e) un an avant ma naissance.
34) Ma petite sœur/mon petit frère est en réalité mon enfant.
35) Je sabote les projets de mes frères et sœurs pour avoir l’air de l’enfant parfait.
36) Je regrette d’avoir emmené mes frères et sœurs à l’hôpital à temps.
37) Je regrette d’avoir emmené mes parents à l’hôpital à temps.
38) Je me mutile à cause de ma famille.
39) Mon enfant ne sait pas que je suis sa mère/son père.
40) Mon enfant est mort et c’était de ma faute.
41) Je n’aime qu’un de mes deux enfants.
42) J’ai deux enfants et je n’ai que seize ans.
43) Je suis amoureux/amoureuse de mon demi-frère/ma demi-sœur.
44) Je suis amoureux/amoureuse de mon beau-père/ma belle-mère.
45) J’ai séduit mon beau-père/ma belle-mère pour qu’il/elle couche avec moi.
46) J’ai couché avec ma demi-sœur pour rendre ma copine jalouse mais maintenant elle est enceinte.
47) J’ai vu ma mère tuer mon père.
48) J’ai vu ma mère se faire violer et tuer.
49) J’ai convaincu ma mère/mon père de se suicider.
50) Ma mère s’est enfuie avec moi quand j’avais 8 ans pour échapper à mon père. Nous sommes toujours en fuite et vivons de fausses vies.
51) Mon père a tué ma mère quand j’avais 4 ans et j’ai tout vu.
52) Mon père est un boss de la mafia.
53) Je suis l’enfant d’une star.
𝐌𝐎𝐑𝐓
54) Je suis suicidaire.
55) J’ai raté une tentative de suicide.
56) J’ai été internée après avoir tenté de me suicider mais tout le monde pense que c’était pour des problèmes de santé.
57) J’ai encouragé quelqu’un à se suicider.
58) Je n’ai pas empêché une personne de se suicider.
59) Je ne prévois pas d’atteindre mes 20 ans.
60) Je prévois de me suicider avec des médicaments.
61) Je prévois de me tirer une balle.
62) Je suis volontairement rentré dans un arbre avec ma voiture.
63) Je suis rescapé(e) d’un incendie mais j’aimerais ne pas avoir survécu.
64) J’ai déjà planifié mon enterrement.
65) Je dis à tout le monde qu’il s’agit d’un meurtre mais c’était un suicide.
66) J’attends sa lettre de suicide.
67) Je me fiche si il/elle meurt.
68) Ma meilleure amie/mon meilleur ami a fait une overdose et n’est pas mort. Je suis heureux car elle/il avait besoin d’un déclic.
69) Je lui ai donné le pistolet.
70) J’ai tiré.
71) J’étais le conducteur ; c’est de ma faute si il/elle est mort(e).
72) Je l’avais dans mes bras quand il/elle est mort(e).
73) J’aurais pu empêcher le tueur de le/la tuer mais je ne l’ai pas fait.
74) Je suis un meurtrier.
75) J’ai rêvé que j’étais un meurtrier.
76) Je tue des animaux pour résister à mon envie de tuer des humains.
77) J’ai tué un de mes professeurs.
78) J’aimerais être mort à sa place.
79) Je fais des cauchemars de la mort de mon frère/ma sœur.
80) Je suis témoin d’un meurtre mais je ne peux en parler à personne.
81) J’ai vu ma meilleure amie/mon meilleur ami tuer quelqu’un et maintenant elle/il menace de me tuer si j’en parle.
82) On m’a fait porter le chapeau pour un crime que je n’ai pas commis.
83) Personne ne m’a informé de la mort de quelqu’un car j’avais besoin de l’héritage.
84) Mon frère/ma sœur et moi avons toujours été rivaux ; je ne sais pas quoi faire depuis sa mort.
85) Je l’ai laissé partir et il/elle a été percuté et tué.
86) Je protège quelqu’un qui a commis un crime. 
𝐀𝐁𝐔𝐒
87) Mes parents abusent de moi émotionnellement.
88) J’ai été battue par mes parents/beaux-parents.
89) J’abuse de mes parents émotionnellement.
90) Je bats mes parents/beaux-parents.
91) Mes frères et sœurs abusent de moi émotionnellement.
92) J’ai été battue par mes frères et sœurs.
93) J’abuse émotionnellement de mes frères et sœurs.
94) Je bats mes frères et sœurs.
95) Mon copain/ma copine me bat.
96) Je bats mon copain/ma copine.
97) Mon père bat mes frères et sœurs mais pas moi. Est-ce que ça veut dire qu’il ne m’aime pas ?
98) Je suis dans une relation abusive mais je ne veux pas partir.
99) Il est la raison pour laquelle j’ai fait une fausse couche.
100) Il/elle me fait pleurer tous les jours.
101) Mon professeur m’a déjà frappé.
102) Je la laisse me frapper car je sais qu’elle partira si je ne la laisse pas faire.
103) Mon copain me manipule pour coucher avec moi.
104) Le père de mon copain/ma copine me frappe mais je l’aime trop pour le lui dire.
105) Elle me fait du chantage pour que je couche avec elle.
𝐑𝐄𝐋𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒
106) Je n’ai jamais embrassé personne, mais je mens et laisse tout le monde penser que je suis une salope.
107) Je couche avec des inconnus sans lendemain car j’ai peur de m’engager.
108) Je l’aime et je sais que ce n’est pas réciproque.
109) Je suis amoureux/amoureuse de mon prof.
110) J’ai une liaison avec un homme de 15 ans de plus que moi.
111) Je couche toujours le premier soir.
112) Notre relation pourrait l’envoyer en prison même si on a que 2 ans d’écart.
113) Je ne couche avec lui que parce que j’ai peur qu’il ne m’aime plus sinon.
114) Il cache notre liaison à ses amis.
115) Je lui ai promis qu’on serait juste sex friends mais je suis tombée amoureuse de lui.
116) On se déteste plus que tout mais on finit toujours par coucher ensemble.
117) Je ne comprends pas ce qu’il y a de mal à dire à plusieurs personnes qu’on les aime.
118) J’ai peur de ne jamais pouvoir aimer quelqu’un.
119) Je ne le/la quitte pas car je sais que je ne trouverais pas mieux.
120) Je ne peux pas lui dire que je l’aime.
121) Je ne l’aime pas.
122) J’aimerais qu’il/elle ne m’aime pas.
123) Je ne suis jamais tombé(e) amoureux/se.
124) J’ai peur d’être aimé.
125) On s’aime mais on ne pourra jamais être ensemble.
126) Je suis l’amant(e) de ...
127) Je le déteste plus que tout mais je n’arrête pas de penser à lui.
128) Je ne l’aime plus mais j’ai peur de ce qu’il/elle fera si je le/la quitte.
129) Mon copain/ma copine me trompe mais ça ne me dérange pas.
130) On ne fait que se disputer mais ça m’excite.
131) On fait comme si on se détestait pour cacher qu’on sort ensemble.
132) Je suis amoureux/se de son frère/sa sœur.
133) Je suis amoureux/se de mon meilleur ami/ma meilleure amie.
134) Je suis amoureux/se du meilleur ami de ma copine.
135) Je suis amoureux/se du jumeau/de la jumelle de mon copain/ma copine.
136) Je suis amoureux/se du frère/ de la sœur de mon copain/ma copine.
137) Je suis avec lui seulement parce qu’il me donne tout ce que je lui demande.
138) Notre relation est basée sur un mensonge.
139) Je suis marié(e) mais je suis encore au lycée.
140) J’ai été marié trois fois et je n’ai que 19 ans.
141) Je suis dans un mariage arrangé.
142) Il/elle a trompé mon frère/ma sœur avec moi.
143) Je sors avec trois personnes en même temps.
144) Je me suis fait passer pour mon jumeau/ma jumelle pour séduire la personne qu’il/elle convoite depuis trois ans.
145) Je suis sorti avec une star qui a mal tourné.
𝐒𝐄𝐗𝐄
146) Je suis suspecté d’avoir violé quelqu’un, mais ce n’était moi.
147) J’ai été violé(e) par mes parents/mes frères et sœurs/mes enfants/les parents de mes meilleurs amis/les frères et sœurs de mes meilleurs amis/mes beaux-parents/mes demis-frères et demi-sœurs/un ami.
148) Mon viol a été filmé et diffusé sur internet.
149) J’ai tiré sur mon copain car il m’a violé.
150) Je suis enceinte.
151) Je suis enceinte et mon meilleur ami gay est le père.
152) Je suis enceinte et je ne sais pas qui est le père.
153) Je suis enceinte du frère de mon meilleur ami.
154) Je suis enceinte du père de mon meilleur ami.
155) Je suis enceinte du meilleur ami de mon copain.
156) Je suis enceinte du frère de mon copain.
157) Je suis enceinte du père de mon copain.
158) Je suis enceinte mais je ne l’ai pas dit à mon copain car il ne veut pas d’enfants.
159) Je suis enceinte et je ne l’ai pas dit à mes parents.
160) Je suis volontairement tombée enceinte pour ne pas qu’il me quitte.
161) J’ai dit à mon copain que j’étais enceinte pour qu’il ne me quitte pas ; en vérité, c’est faux, je n’attends pas d’enfant.
162) J’ai avorté trois fois en deux ans.
163) Je suis prête à tout pour qu’il soit ma première fois.
164) Je lui ai dit que je prenais la pilule parce que je veux un enfant de lui.
165) J’ai volé le copain/la copine de mon meilleur ami/ma meilleure amie pour le sexe.
166) Je paye pour du sexe.
167) Je suis une prostituée.
168) Je suis une strip-teaseuse.
169) J’ai couché avec presque tout le monde au lycée.
170) J’ai été diagnostiquée nymphomane l’année dernière.
171) Mes parents pensent que je suis une fille pure et innocente mais je ne suis plus vierge depuis que j’ai 14 ans.
172) J’ai du coucher avec mon responsable pour avoir mon emploi.
173) Je suis contre l’avortement mais je vais perdre mon travail si je garde mon bébé.
175) Nous avons couché ensemble et c’était consenti. Le lendemain, j’ai prétendu que c’était un viol.
176) J’ai moins de 20 ans et je viens d’apprendre que je suis stérile.
177) Je suis escort boy.
178) Je suis Drag Queen.
179) J’ai posé nu(e) lors de ma jeunesse.
𝐒𝐄𝐗𝐔𝐀𝐋𝐈𝐓𝐄́
180) J’ai couché avec une personne du même sexe dans un camp de vacances religieux.
181) J’ai changé de sexe.
182) Je dis aux gens que je suis bi pour qu’ils pensent que je suis cool.
183) Je sors avec elle car elle ne veut pas que les gens sachent qu’elle est lesbienne.
184) J’ai été expulsé de chez moi après avoir été surpris avec un garçon/une fille.
185) Je suis gay et ma meilleure amie est lesbienne mais on couche ensemble pour avoir un enfant, nos partenaires ne sont pas au courant.
186) Je couche avec ma demi-sœur quand nos parents ne sont pas là.
187) Mes parents sont homophobes ; ils ne peuvent pas savoir pour moi.
188) Je suis amoureux de mon demi-frère hétéro.
189) Je déteste ma mère car elle a épousé une femme, j’ai essayé de la tuer.
190) Je suis amoureux d’elle mais elle est lesbienne.
191) Je suis la fille du prêtre mais je suis lesbienne.
192) Ma mère ne sait pas que son copain est gay et que je couche avec lui.
𝐌𝐀𝐋𝐀𝐃𝐈𝐄𝐒 / 𝐓𝐑𝐎𝐔𝐁𝐋𝐄𝐒 𝐌𝐄𝐍𝐓𝐀𝐔𝐗 / 𝐀𝐃𝐃𝐈𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒
193) J’ai un cancer.
194) Je suis schizophrène.
195) Je suis nymphomane.
196) Je suis cleptomane.
197) Je suis cliniquement dépressive.
198) J’ai une MST incurable.
199) Je suis séro-positif.
201) Je suis fasciné par la mort.
202) Je suis accro au porno.
203) Tout le monde pense que je vais aux alcooliques anonymes, je n’y vais pas.
204) Je suis alcoolique.
205) Elle est morte par ma faute et maintenant je bois pour oublier.
206) Faire la fête est la seule chose qui me maintient en vie.
207) Je suis accro à la cocaïne.
208) J’étais un accro à la cocaïne.
209) Je suis accro à l’héroïne.
210) Je prenais de l’héroïne mais maintenant je prends de la meth.
211) Je prends des somnifères toutes les nuits.
212) Je vends mes affaires pour me payer de la drogue, et je n’ai bientôt plus rien à vendre.
213) Je vis pour le sport et je me dope pour être performant.
214) Elle est morte d’une overdose ; je lui ai donné sa dernière ligne.
215) Je prends autant de pilules que possible car j’aimerais être mort.
216) Je prends de l’ecstasy jusqu’à perdre connaissance.
217) Mon copain me déteste car je l’ai dénoncé ; il est maintenant en centre de désintox à cause de moi.
218) Tout le monde pense que je suis allée en Espagne mais j’étais en désintox.
219) J’ai rendu mon copain/ma copine accro.
220) Mon petit frère/ma petite sœur est mort/e car je l’ai rendu accro.
221) J’ai tué quelqu’un pendant que je planais.
222) J’ai été arrêté pour possession de drogue.
223) J’ai de gros tocs.
224) Je prends de l’héroïne pour être mince.
225) Je prends de la drogue pour être cool.
226) Je suis sous anti-dépresseurs depuis des années.
227) Je suis accro à la chirurgie esthétique.
228) J’ai commencé à me droguer pour me rebeller mais maintenant je ne peux plus arrêter.
229) Je suis mythomane.
230) J’aime attirer des problèmes aux gens.
231) J’aime faire souffrir les gens.
232) J’aime me faire souffrir.
233) Je suis anorexique car ma mère m’a dit que j’étais grosse.
234) Je suis boulimique.
235) Je suis atteint d’un symptôme (Peter Pan, Alice au Pays des Merveilles, Stendhal, etc). 
𝐀𝐔𝐓𝐑𝐄
235) Tout le monde aime mon blog mais ils ne savent pas que c’est le mien.
236) On a braqué une banque et on s’en est sortis indemnes.
237) J’ai fait de la prison pour un crime que je n’avais pas commis.
238) Je joue dans des films porno.
239) Je remplis le bonnet de mon soutien-gorge pour attirer l’attention des garçons.
240) J’ai survécu à un attentat.
241) Je suis à l’origine d’un attentat. 
242) Je fais partie d’une secte. 
243) J’ai été espion. 
244) J’ai été SDF. 
245) J’ai été échangé à la naissance. 
246) Mon visage a entièrement été reconstruit. 
247) J’ai falsifié le testament d’un membre de ma famille pour récupérer l’héritage. 
0 notes
cheapshoesggdb-blog · 5 years
Text
Golden Goose V Star Homme Six des meilleures habitudes pour la mobilité financière
Je veux dire, allez, tout ce que j'ai à faire, c'est d'obtenir UN, juste deux personnes qui croient, même si c'est le cas - que les experts prétendent DÉSIR une chance Golden Goose Pas Cher articulière qui peut simplement constituer un mode de vie acceptable en utilisant la maison, comme je Faites, et je suis sûr [NOUS sommes] dans ce genre de Flynn, quiconque qui est le cauchemar Flynn est vraiment ou était. : O) Alors, j'y vais, cueillir mes 25 smackers bien mérités et miser quoi! 'Je me sens bien, comme si Partner savait qui je voudrais' [ouais, l'homme que Roy B m'a joué lui a dit ça]. Alors, oui, je me sens vraiment de bonne qualité. Je me sens bien dans la région de ce programme, et les personnes que je prends ont fait votre propre collecte financière très précise et raisonnable. Premièrement, les acheteurs devraient avoir un produit avec des objectifs à court, moyen et long terme. N'importe quel plan devrait probablement répondre aux questions particulières. De qui suis-je souvent? À qui je parle le matin? Les choses que ma femme et moi voulons qu'elle livre? Que pourrais-je aimer récolter? Comment écris-je envie de le faire? Si vous rencontrez peut-être les bonnes réponses à ces questions, vous serez moins susceptible de perdre votre temps sur votre Internet actuel et de trouver votre personnel vous garantissant une amélioration rapide. Le RSS a toujours été une stratégie assez simple pour classer les fichiers comme un moyen à ce jour et pour appeler votre site ou votre sujet préféré. Produire en restant averti est facile tout en offrant aux directeurs de sites / blogs un moyen quotidien d’utiliser la majeure partie de leur contenu. Un acheteur d'excavation retournait chez nous après un assortiment d'une très longue période. Elle a dû endurer une solide création technique et un bon gestionnaire qui l’avait fait en ligne pour des biens immobiliers tangibles. Pendant les 4 années où votre femme a passé toute la maison, mon ami était impliqué dans des activités universitaires, l’Université de la plupart des galeries d’Iowa organisant des événements sportifs ainsi que des collectes de fonds et des affaires pour des organisations vertes à Detroit. Rester à la maison Beaucoup de mères ne font pas que très peu. Nous avons utilisé ses outils pour prendre note des choix de pigistes et la mettre en forme grâce à un VolunteerMatch qui peut connecter les filles à ce réseau mobile approprié pour sécuriser le travail. Mon épouse et moi-même examinons toujours ce qui pourrait être construit sur ce qui est réellement pertinent pour le personnel. Ces femmes rivalisent avec celles qui rencontrent un travail plus contemporain et découvrent qu’elles sont vraiment des femmes enceintes sur le marché d’aujourd’hui dans un contexte déjà très difficile. Que les utilisateurs paient des économies pour votre maison sans quoi ils ne paient rien, votre prêt de résidence principale vaudra exactement le même prix pour une année donnée, des années différentes, 10 ans et 30 années. Il est généralement vrai que si le maintien du personnage a augmenté, vous obtiendrez un retour avantageux sur le sujet de l'investissement, qui est normalement indépendant du retour de tout votre investissement. Ou même ce fait a le plus de doutes, c'est tout simplement un autre article. Le talent est probablement un talent. Au cas où vous auriez la Golden Goose assise dans une entreprise quelque part, ornez-la dent à main levée. Le capital d'une personne ne peut que votre avantage principalement précieux ne crée pas ce que la situation principale. Savez-vous que tout le monde a besoin de Golden Goose V Star Homme ieillir, d’être malade et de mourir? Ce qui est généralement la vie! Typiquement la réalité! Les clients sont-ils vraiment préoccupés par les problèmes qui touchent le plus et pourrait-il être négligé? Les statistiques ne montrent pas que les hommes meurent en moyenne, âgés de 75 mois ou plus, et les femmes à environ 85 ans. Leur élégance varie en fonction du droit et de votre vie.
0 notes
Text
Golden Goose Francy Femme Six grandes habitudes en matière d'autonomie financière
Je veux dire, allez, toute ma famille et moi devons en faire un, juste une personne pour vous assurer que vous croyez en vue que je peux faire - tout désir une chance particulière qui peut simplement faire une vie superbe depuis la maison, Golden Goose Francy Femme omme Oui, et mon entreprise est [WE] comme Flynn, la personne que le terrible Flynn est ou serait en général. : O) Alors, j'y vais vraiment, cueillir vos 25 smackers bien mérités, et parier quoi! «Je me sens bien, comme si mon mari et moi savions quand je le ferais» [ouais, un homme en particulier, Steve B, a fini de l'admettre]. Alors, oui, je commence vraiment par me sentir super. Je suis vraiment bon dans la région de ce programme, et quand je mange, faites votre propre privilège et votre pensée financière brillante. Premièrement, ils devraient rechercher une solution avec des objectifs de recherche à court, moyen et long terme. Le plan le plus important ré Golden Goose Francy Femme Soldes ondra idéalement souvent aux questions, Exactement, qui suis-je? À qui suis-je? Les choses que mon mari et moi voulons que vos enfants fassent? Que pourrais-je aimer acquérir? Comment réunis je souhaite vraiment l'offrir? Dans le cas où vous vous retrouvez avec des points honnêtes sur ces questions, les propriétaires seront souvent moins enclins à errer sur votre Internet actuel et à trouver les personnes qui vous encourageront pour leur rapidité. RSS est une stratégie très simple de mise à jour et à la portée d'un nouveau site Web ou d'un sujet favori. Il est toujours facile de ne pas mentionner le fait que cela reste recommandé, car cela donne aux professionnels de sites / blogs un moyen simple de diffuser leur contenu. Un de nos clients arrivait ensuite sur le marché du travail, un assortiment d’une très longue période. Elle a fait l’objet d’un éditeur et d’un rédacteur technique tout à fait novice qui a découvert que le marketing avait été fait pour un domaine normal. Il y a six ans, Lindsay était chez elle. Elle avait besoin d'activités universitaires, d'une université du musée de l'Iowa qui organisait des événements, collectait des fonds et réunissait en ligne une poignée de professionnels de l'environnement à Chicago. Les mamans qui restent à la maison ne réussissent incontestablement pas. Nous avons orienté ses capacités pour rencontrer des entreprises indépendantes et la concurrencer à travers un VolunteerMatch qui peut connecter la femme au mainframe de droite pour retrouver son travail. Vous regardez toujours ce qu'ils peuvent aussi construire en ce qui concerne ce qui est positif pour le personnel. Ces nombreuses femmes éprouvent des difficultés avec nous, qui en présentons plus, avons déjà une expérience de travail spécifiée et déjà très difficile d'être un individu sur notre marché actuel. Que vous payiez des ressources pour votre maison personnelle et que vous payiez quasiment rien du tout, votre produit de prêt immobilier vaut parfois exactement le même prix en 1 an, 8 ans, 20 ans et 30 ans. Il est également vrai que si vous continuez de partir, vous obtiendrez un rendement prometteur sur votre investissement, même s'il est normalement indépendant de l'arrivée de tous vos investissements. Pourtant, ce fait laisse planer beaucoup de doutes, ce n’est pourtant pas un autre article. Talent, ce n'est que du talent. Si vous avez sûrement la Golden Goose assise dans un bureau quelque part, montez-la sur le clou à dents de votre enfant. Votre capital est votre résidence la plus précieuse, ne faites pas quoi quelle situation. Savez-vous que tout le monde doit établir son âge, s'effondrer malade et donc mourir? C'est certainement la vie! C'est la réalité! Est-ce que vous prenez la thérapie d'activités qui vous dérangent le plus, alors vous négligez-vous de les associer? Vous ne fournissez pas toujours et / ou écran de statistiques que principalement les hommes pourraient mourir avec 75 ans ou plus et les femmes à environ 80 ans, bien sûr, cela peut varier en comptant même si vous restez en vie et votre style de vie.
0 notes
reseau-actu · 6 years
Link
La parabole du bon Samaritain ne saurait s'appliquer au phénomène de l'immigration de masse, argumente l'essayiste Édouard Tétreau.
«Et qui donc est mon prochain?» À l'heure où l'Europe est traversée par des vagues migratoires venant d'Afrique et d'Orient, cette question, matricielle pour un chrétien, revêt une actualité particulière. À 75% (selon le sondage réalisé par Odoxa voilà quinze jours), les Français ont répondu clairement que leur prochain ne faisait pas partie des 58 personnes recueillies par le désormais fameux bateau Aquarius.
Cette réaction massive et sans appel de la population française, qui traverse les clivages politiques, culturels et religieux, fait-elle de nous des monstres d'égoïsme se désintéressant du sort de l'humanité? Les soutiens de l'ONG SOS Méditerranée tout comme les aficionados de la repentance et de la culpabilisation des peuples semblent l'affirmer. Ainsi, un récent «Manifeste pour l'accueil des migrants», lancé par les médias Regards, Politis et Mediaparten appelle à une valeur cardinale de l'Europe chrétienne: le partage, cité à deux reprises. «L'ordre et l'autorité écrasent la responsabilité et le partage. Le chacun pour soi l'emporte sur l'esprit public. […] La migration n'est un mal que dans les sociétés qui tournent le dos au partage.» Amen: la messe est dite.
Là est la double impasse de l'immigration de masse : parce qu'elle est anonyme, elle ne permet pas la rencontre avec l'autre. Et parce qu'elle est massive, elle empêche la charité individuelle et concrète
Que peuvent dire les chrétiens, face à une telle interpellation culpabilisante - qui fait d'ailleurs écho à la question posée, comme un piège, par le pharisien de l'Évangile (Luc, 10. 25-37): mais qui donc serait ce fameux prochain à aimer comme moi-même, censé me garantir la vie éternelle?
Le Christ ne répond pas par l'idéologie ou un discours moralisateur. Mais par une parabole: une histoire d'hommes et de femmes, de chair et d'os. «Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits ; ceux-ci, après l'avoir dépouillé, roué de coups, s'en allèrent en le laissant à moitié mort.» La suite est connue: le prêtre et le lévite, les censeurs moraux de l'époque, passent leur chemin. Mais le bon Samaritain sauve et soigne le malheureux, et laisse un crédit illimité à l'aubergiste pour s'occuper de lui: son prochain.
Notre «prochain» n'est pas une abstraction, une idée de personne à sauver, sans visage ni identité. Un concept d'homme qu'il conviendrait de prendre d'autant plus en pitié, et en pension, que nous ne le connaîtrions pas. Et que nous n'aurions pas les moyens de sauver, d'héberger. Or, là est la double impasse de l'immigration de masse: parce qu'elle est anonyme, elle ne permet pas la rencontre avec l'autre. Et parce qu'elle est massive, venant éprouver des pays à l'unité fragile, criblés de dettes, démographiquement saturés comme un service d'urgences de l'hôpital public, elle empêche la charité individuelle et concrète. La prise en charge de l'autre. L'effondrement sous nos yeux de nos infrastructures de santé, de logement, d'éducation, de sécurité en est le signe cruel: la France, contrairement au bon Samaritain, n'a pas de crédit illimité pour sauver le monde de la guerre et de la misère.
Sans aller les chercher frénétiquement en mer, nos prochains sont déjà là, sous nos yeux, à portée de main
Et pourtant, sans aller les chercher frénétiquement en mer, nos prochains sont déjà là, sous nos yeux, à portée de main. Nous les croisons chaque matin, dans nos villes, nos quartiers et nos campagnes, et nous les avons abandonnés à la sauvagerie du temps présent, et de notre propre pays. Celle dont a été victime cet adolescent de 16 ans à Garges-lès-Gonesse, filmé voici deux semaines en train de se faire tabasser à mort, à coups de barres, par une meute d'animaux auxquels on donne encore le nom d'hommes.
Notre prochain fait partie des trois millions d'illettrés, des neuf millions de pauvres dont 4,7 millions de femmes seules, en France - et d'un nombre au moins équivalent qui ont peur du déclassement social, de la chute, pour eux-mêmes ou leurs enfants. Notre prochain, c'est l'agriculteur qui va se suicider en France (un tous les deux jours) parce que nous n'avons pas su le protéger de la violence de notre économie financiarisée. Ce sont les familles de Maliens et de Syriens, logées dans des conditions sordides le long des aéroports et des autoroutes, attendant que notre vieux pays, criblé de doutes et de mauvaise conscience mal placée, leur fasse une place ou les achemine vers un pays plus proche de leurs origines, leur culture, leur mode de vie.
Le moment est venu de mettre un terme à l'étrange aventure de l'Aquarius et de cesser de privilégier ceux qui s'occupent davantage d'une idée et du soulagement de leur conscience que de leur prochain
Le moment est venu de mettre un terme à l'étrange aventure de l'Aquariuset de cesser de privilégier ceux qui s'occupent davantage d'une idée et du soulagement de leur conscience que de leur prochain. Comme des soldats perdus livrant une guerre qui n'a plus lieu d'être, ils furent, sans le vouloir, les idiots utiles des mafias de passeurs, se lavant les mains du destin des personnes qu'ils débarquaient.
Et de tous ceux qui, à terre, ont la lourde charge de s'occuper d'eux pour de bon, dans la durée. Ils furent aussi les auxiliaires de la fuite des talents de pays accablés par le malheur, qu'ils ont, au nom d'une générosité mal placée, contribué à dépouiller davantage. Ce sont en effet les plus habiles qui peuvent payer les passeurs et envisager un avenir loin de leur patrie qu'ils abandonnent.
Il est temps de mettre cette énergie au vrai service de nos prochains. Le tissu associatif français en a un besoin urgent. De la Fondation Pierre Claver au Secours catholique, en passant par les si prometteuses écoles Espérance Banlieues et Espérance Ruralités, la liste est longue des initiatives concrètes, patientes, difficiles, sans gloire médiatique ni trompettes méditerranéennes, mais si efficaces, pour aider en France les naufragés de la terre. Sans distinction de race, de religion et de culture. Nous y arriverons à condition d'abandonner l'illusion collective dangereuse que symbolisait l'Aquarius.
Tumblr media
0 notes
rollingstonemag · 7 years
Photo
Tumblr media
Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/paul-mccartney-sa-tournee-ses-rituels-avant-de-monter-sur-scene-et-la-poesie-du-rap/
Paul McCartney : sa tournée, ses rituels et la poésie du rap
Paul McCartney offre des conseils aux jeunes musiciens et clarifie certains mythes des Beatles
En moyenne, un concert de Paul McCartney en 2017 dure près de trois heures et comprend environ 37 chansons qui couvrent six décennies de musique qu’il a écrite et jouée avec les Quarrymen, les Beatles, les Wings ou en solo. Mais cela n’impressionne pas l’artiste de 75 ans aussi endurant qu’un homme deux fois plus jeune. « Je fais ça depuis longtemps et mon corps y est habitué », déclare-t-il en riant.
McCartney était d’une humeur affable lorsqu’il a appelé Rolling Stone tout en conduisant sur les routes d’Angleterre en mai dernier. « Bonjour, c’est Paul. … Paul McCartney. Vous attendiez mon appel ? », demande-t-il, nonchalant.
Il y a quelques jours, l’auteur-compositeur a débuté la nouvelle partie nord américaine de sa tournée One on One qu’il a commencée l’année dernière. Il explique que ce nom décrit ce qu’il espère accomplir durant la tournée. « La vérité, c’est que quand je suis en concert, j’ai en quelques sortes l’impression de parler à quelqu’un comme moi dans le public. Je m’identifie à ces personnes et quand je joue, j’imagine que c’est moi qui écoute ce groupe, ce gars sur scène. Dans des critiques, les gens ont dit que même si je joue dans un grand stade, c’est très intime avec les écrans qu’on utilise et la façon dont on les utilise. Même si vous êtes dans les gradins du fond, on fait tout pour que ce soit intime. Comme je l’ai dit, c’est moi, en tête à tête avec chaque personne du public ».
Une proximité qu’il ne prend pas pour acquise. Tout au long de cette interview d’une demie heure, il nous explique comment cette sensation le fait reprendre la route.
A quoi doivent s’attendre les fans pour cette nouvelle tournée ?
Avec un peu de chance, à une joyeuse soirée. … C’est tout ce que j’essaye de faire. On monte sur scène, on essaye de passer un bon moment et de faire en sorte que le public passe un bon moment parce que je sais ce que c’est d’être à leur place.
Allez-vous faire quelque chose de différent pour cette partie de la tournée ?
En gros, on fait des concerts de One on One et on change certaines petites choses. C’est une version rafraîchie. Nous n’avons jamais joué [pendant cette tournée] dans la plupart des endroits dans lesquels on se produira.
Vous vous êtes toujours décrit comme quelqu’un de compétitif. Êtes-vous compétitif quand vous êtes en tournée en essayant de donner le meilleur concert possible ?
Je pense que n’importe qui, lorsqu’il fait un boulot, essaye de faire de son mieux. Donc ouais, j’imagine que je suis compétitif. Pas d’une façon délirante : si quelqu’un fait mieux que nous, je ne rentre pas chez moi en pleurant. C’est juste quelque chose de naturel.
Avec les Beatles, on a toujours essayé d’être le meilleur groupe de Liverpool. On a ensuite essayé d’être le meilleur groupe d’Angleterre puis le meilleur groupe au monde. C’est un réflexe. Mais je pense que ce à quoi vous devez vraiment penser, c’est à ce qui se passerait si vous n’étiez pas dans cette optique. Vous feriez du travail bâclé. Vous vous diriez « Est-ce que c’est important ? Je vais faire deux-trois trucs ce soir et personne ne s’en rendra compte ». J’imagine que ça fait de moi une personne qui a l’esprit de compétition.
Est-ce que c’est difficile de s’approprier l’espace tous les soirs ?
Pas vraiment. On se prépare et on fait une balance audio avant le concert donc on s’approprie l’espace. Mais une fois qu’on est devant le public, on y est vraiment. On est dans la zone et même si vous trouvez ça difficile, c’est facile. Il n’y a nulle part d’autre où aller. Vous êtes là et vous n’avez qu’à…donner le meilleur de vous-même. Donc non, ce n’est pas trop dur.
Vous interprétez près de 40 chansons chaque soir et vos concerts durent en moyenne trois heures. Quel est le secret pour avoir autant d’énergie ?
Je pense que c’est la même réponse. Une fois que vous êtes devant un public…vous êtes rechargé. Ça recharge vos batteries, c’est génial. C’est différent tous les soirs et on joue quelques chansons différentes tous les soirs. On essaye toujours de bien faire les choses et de s’amuser. On en parle après : « On a presque réussi, il n’y a que deux-trois choses qu’on fera mieux la prochaine fois ». Les gens se disent « Je ne vois pas de quoi vous parlez ». Personne d’autre ne remarque les erreurs qu’on remarque. Vous essayez à nouveau, vous êtes enthousiaste et l’énergie continue de circuler.
Votre groupe solo actuel existe depuis plus longtemps que les Beatles ou les Wings. Qu’est-ce qui fait que ce groupe fonctionne depuis si longtemps ?
Je sais, c’est fou. On n’y pense pas trop, mais ouais. On sait juste comment jouer ensemble, on aime jouer ensemble et le public semble aimer aussi. Il ne semble donc pas y avoir de raison pour ne pas continuer. C’est ça le truc.
« Prendre sa retraite de quoi ? », a déclaré Willie Nelson. « C’est ce qu’on fait », a affirmé Ringo. Ce groupe est vraiment simple. Ses membres jouent très bien. On essaye tous et on veut juste que ça soit génial. Je pense que c’est ça qui fait que le groupe fonctionne depuis si longtemps. On ne se dispute pas, ça aide. On se querelle un peu parfois, « Oh, j’aurais aimé ne pas faire ça » ou « S‘il te plaît, ne fait pas ça demain », mais c’est tout.
A part les balances audio, quel est votre rituel avant de monter sur scène ?
Je pense qu’on en a tous. J’ai une routine pour me préparer. Si je suis au Japon ou en Europe, on m’appelle une heure avant le concert et j’ai une session de 20-30 minutes avec un traducteur pour essayer d’apprendre des phrases locales pour pouvoir interagir un peu plus avec le public. Ensuite, je fais des échauffements. Je fais certaines petites choses qui sont devenues des rituels. Ce n’étaient que des choses à faire pour essayer de préparer un concert mais c’est devenu une sorte de routine. Une fois que j’ai fini, je vais voir les membres du groupe et on a des habitudes avant-concert.
Qu’est-ce que vous faites avec eux ?
On vérifie certaines choses. On teste nos accords. On chante ensemble et juste avant de monter sur scène, on se rassemble et on se transmet nos bonnes ondes pour le concert. Là on est prêts et on monte sur scène.
A part les instruments de musique, qu’est-ce que vous amenez avec vous sur la route ?
J’amène toujours beaucoup de choses dont je n’ai pas besoin. J’ai toujours un sac avec des trucs dont je ne vais jamais me servir, mais si je ne les prends pas, il va y avoir quelque chose, une démo que je veux jouer à quelqu’un, un script que je veux lire ou une lettre à laquelle je veux répondre. Du coup je prends tout. J’ai un sac et pas grand chose d’autre. Parfois on a des amis, nos femmes ou des membres de nos familles avec nous, ce qui est bien, mais à part des amis, des membres de ma famille et un sac, je n’ai rien.
C’est bien d’être minimaliste.
Qu’est-ce qu’on a besoin de plus que d’amis, de membres de notre famille et d’un sac ? [Rires]
Qu’est-ce que vous faites pour vous détendre en tournée ?
Si c’est un jour de concert, on se lève, on prend un petit-déjeuner et on va à la salle de sport. Si on a le temps, on va faire une balade à vélo, on visite la ville et ses alentours puis on rentre et on se fait faire un massage. Le truc, c’est que je suis conscient en disant ça que je devrais dire « Yo, mec. Je m’assois. Je joue aux cartes, je bois de la tequila, je fume des joints et je joue de la guitare. Tout l’après-midi ». Ce n’est pas le cas aujourd’hui. Donc ouais, je fais ça et puis je me fais faire un massage, je mange quelque chose, je me lave et je vais au concert.
C’est assez ennuyeux, vraiment. Ce n’est pas un comportement légendaire du rock & roll, mais ça me va aujourd’hui. J’aime ça. Je ne le ferais pas si je n’aimais pas le faire et ça me permet de jouer pendant trois heures. Ce qui est drôle, c’est l’énergie du public. Vous pouvez vraiment être dynamisé au lieu de vous fatiguer. A mesure que vous avancez, vous ressentez de plus en plus d’énergie. Ça me surprend.
Les filles dans le public disent « Il ne boit même pas ! ». Vous imaginez les Beatles qui s’arrêtent « Excusez-moi, deux secondes les gars » et glou glou glou ? On ne le faisait pas, je n’ai pas été élevé à l’école de « l’hydratation ». Je bois avant et après le concert mais une fois que je monte sur scène, je n’ai pas besoin de boire.
Si ça fonctionne pour vous, c’est génial.
Mon ingénieur du son me dit « Bois plus d’eau, mec. Bois plus d’eau », mais je n’ai pas le temps.
J’imagine aussi que vous faites plus de sport que quand vous étiez avec les Beatles.
Ouais. Les exercices sportifs sont probablement la chose la plus importante à faire sur la route. Bien manger aussi. Il y a des gens qui s’exercent 10 fois plus que moi mais j’en fais juste assez. Je fais ce que j’aime et ça me permet de rester en forme.
Quand j’étais enfant, je détestais les exercices physiques. Je me disais « Oh, c’est tellement ennuyeux ». Avec les Beatles, on ne faisait pas ça. On était jeunes, on n’avait pas à penser à ça. Ça ne faisait pas partie de notre répertoire. Aujourd’hui, ça l’est. Beaucoup de personnes qui n’allaient pas à la salle de sport y vont aujourd’hui et aiment y aller. Vous vous sentez bien quand vous réalisez des choses que vous pensiez impossibles.
On dirait que vous changez de setlist fréquemment. Qu’est-ce que vous avez aimé jouer en concert ces derniers temps ?
On joue « Hard Day’s Night » qu’on n’avait jamais jouée avant cette tournée. Cet accord d’ouverture est toujours un enchantement. J’aime bien la jouer. J’aime interpréter « Temporary Secretary » parce que c’est un défi et qu’elle a un bon battement électronique. C’est cool. J’aime bien jouer « Band on the Run », « Live and Let Die » et « 1985 » de l’époque des Wings. J’aime interpréter la ballade que j’ai écrite pour [ma femme] Nancy, « My Valentine ». J’aime aussi jouer « For the Benefit of Mr. Kite ».
Avec « Mr. Kite », le truc c’est que c’est une chanson stimulante parce que la ligne de basse va là où la voix ne va pas. C’est comme si vous deviez vous séparer en deux et envoyer une moitié chanter et l’autre jouer de la basse. C’est assez difficile à faire.
J’ai lu que John Lennon a écrit ces paroles en s’inspirant d’une affiche. Qu’est-ce que vous en pensiez lorsque vous les avez lues pour la première fois ?
Eh bien, ce qui est génial c’est que tout le monde dit « John Lennon a écrit les paroles »…. John et moi avons écrit les paroles. Je suis allé chez John, et je n’ai pas l’impression d’être paranoïaque en défendant mon bout de gras, mais la vérité c’est qu’on s’est assis et on s’est dit « Okay, qu’est-ce qu’on va écrire ? ». Il m’a répondu « Tu as vu cette affiche ? ». On a donc tiré une grande partie des paroles de cette affiche mais on l’a fait ensemble.
C’est pour ça que je la joue en live, parce que même si John était le chanteur principal sur cette chanson, j’aime le morceau et j’ai l’impression que parce que je l’ai écrit avec lui et que j’ai été dans la pièce où ça s’est passé, c’est une bonne chanson à jouer. Mais ouais, on a été inspirés par cette vieille affiche de cirque.
Maintenant que le fantastique coffret Sgt. Pepper’s est sorti, est-ce que vous allez interpréter plus de chansons de cet album en concert ?
Eh bien, on en fait quelques unes. On interprète la chanson « Sgt. Pepper’s ». Je déteste dire ça mais il n’y a que trois surprises dans les concerts et je suis en train de les révéler.
J’essaye de faire en sorte que les gens se disent « Oh, je ne savais pas qu’ils allaient jouer celle-là ». Donc ouais, il y en a une ou deux, mais aujourd’hui, avec Internet, on ne peut pas avoir de surprise après le premier concert. Il y en a quelques unes.
Quels sont les meilleurs concerts d’autres artistes que vous avez vus récemment ?
Ce n’est pas récent mais j’ai vu Jay-Z et Kanye. J’ai vu le dernier concert de U2 [Innocence + Experience] que j’ai aimé. J’ai aussi aimé James Taylor. C’est très émouvant pour moi parce qu’on a une histoire ensemble. On a fait son premier album ensemble, alors c’est comme si je voyais un vieil ami. J’ai vu pas mal de monde mais quand on va quelque part comme aux Grammys cette année, on voit pas mal de gens.
Qu’est-ce qui vous a impressionné chez Jay-Z et Kanye ?
C’est drôle. Beaucoup de personnes écoutent du rap et se disent « Ah ouais, c’est beaucoup de grossièretés et beaucoup de jurons », mais en fait, c’est beaucoup de poésie. J’étais impressionné. Je pense qu’en assistant à un concert entier, vous avez une meilleure idée de ce qu’ils font. J’ai aimé le concert.
C’est de la poésie urbaine. Quand vous assistez à un concert, vous avez un peu de temps pour considérer les chansons, les sujets qu’elles traitent et leur signification. Les jeunes en concert, ils savent déjà. Ils savent tous exactement ce qui se passe. Ils connaissent toutes les paroles. Pour moi, le rap c’est plus que ce que certaines personnes disent. C’est une éducation. J’aime ça.
Quels conseils donneriez-vous aux jeunes musiciens qui débutent ?
Jouer beaucoup. Jouer dans les bars et jouer encore plus. Plus vous jouez et plus vous apprenez. Et ça vaut pour tout ce que vous faites : si vous êtes DJ, pratiquez beaucoup. Si vous jouez de la guitare, jouez-en beaucoup. Si vous êtes dans un groupe, jouez beaucoup. C’est comme ça qu’on apprend. C’est comme ça que vous apprenez à être bon, que vous apprenez qui vous êtes et que vous vous améliorez. Avec un peu de chance.
Par Kory Grow / Traduit et adapté par Mélanie Geffroy
0 notes