#article finale

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L'Art robotique , un renouveau de la créativité contemporaine

 

Pour le thème "Art et numérique", j'ai choisi comme sujet l'Art robotique. L'Art robotique désigne ici l'utilisation de robots ou d'autres objets électroniques afin de parvenir à une création artistique. J'ai choisi d'aborder plus précisément les robots, car je trouve que cela était en parfaite concordance avec le thème. De ce fait, c'est à partir des années 1960 et 1970 qu'a émergé l'utilisation robotique. Les pays notamment à forte utilisation du numérique sont le Japon et les États-Unis. Afin d'illustrer l'Art robotique, j'ai décidé d'évoquer différents artistes : Sun Yan et Peng Yu, Paul Tresset, et Charlie Brooker. Tout d'abord, Sun Yan et Peng Yu sont deux artistes chinois qui aiment transmettre leur art à travers l'utilisation du numérique et des médias. Par la suite, Paul Tresset, quant à lui, est un artiste bruxellois qui aime utiliser les robots pour démontrer les évolutions technologiques et leurs atouts. Enfin, nous avons Charlie Brooker, scénariste et animateur britannique, connu notamment pour sa célèbre série "Black Mirror". 

Nous pouvons ainsi nous demander : en quoi l'Art robotique permet-il un enrichissement et un engagement de l'Art contemporain ? 

Dans un premier temps, nous avons les artistes Sun Yan et Peng Yu. Ils ont réalisé une œuvre très célèbre à New York, nommée "Can't Help Myself", signifiant en français "Peux pas m'en empêcher". Cette œuvre célèbre nous présente un robot se situant dans une pièce en verre, qui balaye un liquide de couleur rouge. Les auteurs ont voulu démontrer à travers cet instrument robotique la surveillance des populations dites "incontrôlables". Le liquide rouge ferait ici référence à du sang, et le robot aux instruments numériques.  

Ce que j'aime beaucoup dans cette œuvre, c'est le message qu'elle renvoie. Elle permet de montrer la dépendance de l'homme et de notre société aux outils numériques. L'être humain devenu accro aux nouvelles technologies ne pourrait presque plus vivre sans cela. On constate ici une perte de contrôle avec une impression de tourner en boucle face aux évolutions technologiques croissantes. Je trouve ainsi cette œuvre très enrichissante et constructive. Cela nous permet notamment de réfléchir sur les conséquences du numérique et les évolutions futures. 

Nous avons ensuite la seconde œuvre qui est tout aussi enrichissante. 

En effet, par la suite, nous pouvons évoquer le robot "Paul". C'est également ici une œuvre très célèbre réalisée par Paul Tresset. Paul est ici un instrument robotique qui réalise des portraits sur papier.  

https://www.ouest-france.fr/normandie/calvados/paul-un-robot-qui-vous-dessine-bien-4329774

Ce que j'aime beaucoup dans cette œuvre, c'est que c'est assez troublant. On a en effet l'impression d'être face à un véritable être humain, notamment grâce à la créativité que Paul renvoie. On remarque également que l'auteur a donné son propre prénom à sa création robotique, donnant l'impression que ce serait lui, mais dans une autre dimension, autrement dit sous un autre angle. Il permet de fonctionner grâce à une caméra qui va venir scanner les visages à illustrer, puis un algorithme qui va donner l'ordre à Paul. J'ai ainsi choisi cette œuvre qui, pour moi, permet de présenter les effets positifs des nouvelles technologies. On comprend ici l'évolution majeure et grandiose de la technologie. De ce fait, le robot serait presque prêt à surpasser l'homme dans tous les domaines. On verrait ici comme un clone humain. La créativité et l'inspiration seraient ici d'une folie sans nom. On remarque ainsi que l'homme peut utiliser les nouvelles technologies à son avantage, en exprimant sa créativité et en apportant une nouvelle réflexion et une nouvelle autonomie à l'Art. C'est ici une interaction assez spéciale et surprenante entre l'homme et le numérique. 

Puis nous avons aussi une œuvre qui exprime d'autres aspects de l'Art robotique. 

Finalement, la série dystopique "Black Mirror" de Charlie Brooker. De ce fait, cette série nous démontre un monde parallèle au nôtre, avec l'utilisation numérique. J'aimerais évoquer notamment l'épisode 5 de la série intitulé "Metalhead", signifiant "tête en métal". Dans cet épisode, nous remarquons notamment des robots, qui sont des chiens de couleur jaune, qui ont été créés pour surveiller, traquer et tuer les humains. Ce serait ici un épisode symbolisant le désespoir total, mais qui démontre la volonté de s'en sortir. 

Ce que j'ai beaucoup aimé dans cet épisode, donc dans cette œuvre, c'est que cela permet de démontrer les conséquences du numérique sur notre société. Comme pour la première œuvre que j'avais évoquée, c'est ici l'aspect incontrôlable des nouvelles technologies. En effet, l'homme en voulant montrer sa supériorité et sa créativité en vient à créer tout ce qu'il peut, mais en vient également à perdre le contrôle et à ne plus se retrouver. 

Pour conclure, la robotique permet de démontrer un nouvel engagement artistique de l'homme. On remarque ainsi que l'homme, du fait de sa créativité, peut réussir à dépasser ses engagements et à enrichir les nouvelles technologies. Le numérique, bien qu'il laisse la place à une nouvelle autonomie et de nouveaux aspects, ne doit néanmoins pas être utilisé à des fins abusives. 

Bensal Sarah

[bi-disaster-kit-herondale]

and they’re so right for this i can’t lie

link

[laser-tripwires]

Leverage + How To Tell If You're In A Raymond Chandler Story

[sunderwight]

What if the plant body hadn't worked out, and the Holy Mausoleum solution had actually taken a long time to sort of "fix" Shen Qingqiu's body and fully call his soul back to it, so that hundreds of years passed and civilization in PIDW/SV world progressed to the point of something like the "modern era"?

Imagine Luo Binghe trying to delicately introduce his shizun to such strange concepts as smart phones and credit cards, while Shen Qingqiu is just desperately trying to figure out how dumb he should play this. Would it be believable for him to get everything on the first try? There have to be some differences between what he knows and this world's versions, right, because of the demons and cultivators and things? Right?? But it's not like any of this actually IS difficult for him to grasp!

Luo Binghe: Shizun already discerned how to type using a keyboard...?

Shen Qingqiu, sweating bullets: what, like it's hard?

[areyouscaredyet]

following his assassination, it was made illegal to speak his name :o(

[why-the-heck-not]

me, a responsible being, working on the coding project as I should vs. me, a dysfunctional shithead, getting distracted by reading about brains (once aGAIN damnit (it's my favorite "I need to study my field but bc I should do that it's an impossible unthinkable feat now, so I'm reading about something else to fool my brain I'm still being productive"-topic))

[guzmanstark]

oliver watching buddie edits in the shower:

[reunitedinterlude]

dnp's best friends club

[hoovesandfloorpaws]

"That said, both Styles and his therapist have questioned why he cares quite so much about being likeable. This is one of the things he thought about a lot in his big pandemic reflection. In part, it's a choice, he explained. He recalled moving to London after The X Factor and hearing tales of petulant celebrities screaming because someone got their coffee order wrong and deciding to never be that guy, to never give someone a petty reason to bad-mouth him. But more recently he's come to worry that the drive for approval came from a more complex place, a place of caution, fear, control." "Styles said he often spent interviews terrified about saying the wrong thing until he stopped to question what abhorrent belief or bizarre opinion he was scared he'd accidentally reveal and realized he couldn't think of anything."

"And he thought about the cleanliness clauses in the contracts he used to sign, which would dictate that they would be null and void if he did anything supposedly unsavoury, and about how terrified that used to make him. And about when he signed his solo contract and learned that the ability to make music would not be affected by personal transgressions, he burst into tears, a reaction he still seemed shocked by, retelling it to me now, years later. "I felt free," he explained."

"When Styles began therapy about five years ago [so in 2017], he was reluctant initially, feeling it was a music industry cliché. "I thought it meant that you were broken," he said. "I wanted to be the one who could say I didn't need it." He returned to the home theme that has underpinned our conversation, explaining that therapy has allowed him to "open up rooms in himself" that he didn't know existed, allowed him to feel things more honestly, where before he had tended to"emotionally coast.""

"Recently Styles began to work through issues related to intimacy, dating, love. "For a long time, it felt like the only thing that was mine was my sex life. I felt so ashamed about it, ashamed at the idea of people even knowing that I was having sex, let alone who with," he said."

"You look back, especially now there's all the documentaries, like the Britney documentary, and you watch how people were abused in that way, by that system, especially women. You recall articles from not even five years ago, and you're like, I can't even believe that was written."

He has been thinking a lot recently about autonomy, ownership, privacy. About what he should be able to keep to himself, what he should be able to simply communicate through his music without follow-up questions or prying. Around the time of Fine Line, he faced scrutiny around his sexuality. People became incredulous that he wore dresses, waved Pride flags, and yet hadn't clarified with precision, publicly to a journalist or on social media, the specifics of who he'd slept with, how he defined. This expectation is, to him, bizarre, "outdated." "I've been really open with it with my friends, but that's my personal experience; it's mine," he said.

Despite the acceptance that some things could, should, have been different, he still feels lucky every day, he said, lucky to make music, lucky to do what he loves.

"You can't win music. It's not like Formula One," he said. "I was like, in my lifetime, there will be 10 more people who burst onto the scene in that way, and I'm only going to get further away from being the young thing. So, get comfortable with finding something else that makes you happy. I just found that so liberating."

"I just want to make stuff that is right, that is fun, in terms of the process, that I can be proud of for a long time, that my friends can be proud of, that my family can be proud of, that my kids will be proud of one day," he said.

-- original interview link, Better Homes And Gardens Magazine 26 April 2022 (remake of this post)

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Au-delà des frontières de la communication: la télépathie numérique bouleverse nos interactions 

Imaginez un monde où les frontières entre nos pensées et la technologie s'estompent, où la communication devient une fusion d'idées entre l'humain et la machine. Nous allons découvrir ici la télépathie numérique, un concept fascinant qui émerge à l'intersection de l'art et du numérique.

La télépathie numérique va au-delà  des limitations du langage et de la communication traditionnelle Elle nous permet de partager nos pensées, nos rêves et nos émotions de manière directe . C'est une expérience profondément personnelle et collective à la fois, où chacun peut se connecter avec les autres à un niveau plus profond, au-delà des mots et des images. C'est une exploration de l'esprit humain, de sa capacité à créer, à communiquer et à se connecter avec les autres. 

Comment la télépathie numérique a émergé dans notre société actuelle ? 

Cette fusion entre l'art et le numérique ouvre de nouvelles perspectives sur notre relation à la technologie et à nous-mêmes. Elle nous invite à réfléchir sur la nature de la communication, sur la façon dont nous percevons le monde. Elle nous mène a nous questionner sur plusieurs problématiques.

Comment la télépathie numérique influence-t-elle nos interactions sociales et notre perception de la communication ? Quel est l’impact de la télépathie numérique sur notre société actuelle? 

La télépathie numérique influence notre société à travers des avantages. En effet, elle  pourrait permettre une communication instantanée et directe entre les individus, sans avoir besoin de mots ou de langage. Cela pourrait faciliter la transmission d'informations complexes et de pensées profondes. 

Par exemple, Grâce à une équipe de chercheurs en Californie, Une petite fille sourde, muette et aveugle parvient pour la première fois à échanger des mots avec son enseignante grâce au langage des signes tactile.Elle peut désormais communiquer à nouveau, malgré les lésions neurologiques causées par un AVC. Elle a retrouvé l'usage de la parole grâce à un avatar. Ce sont des électrodes placées sur le cerveau détectant l'activité neuronale, puis des algorithmes la transforment en mots. Elon Musk possède une start-up « Neuralink » qui travaille sur la connexion du cerveau à un ordinateur via un implant cérébral. Son objectif est non seulement de pallier les défaillances, mais aussi d'offrir au grand public une amélioration des capacités cognitives. À nous de réfléchir collectivement aux limites que nous souhaitons fixer à ces avancées technologiques pour nos cerveaux traditionnels. 

Je trouve ce concept bénéfique et révolutionnaire pour améliorer la qualité de vie de certaines personnes avec un handicap ainsi que leur autonomie et leur inclusion dans la société. 

De plus , de nombreux artistes explorent ces significations profondes derrière des oeuvres captivantes tel que l’oeuvre d’art: "Telepathic Dreams" par Rafael Lozano-Hemmer qui est un artiste multimédia . Cette installation interactive utilise la technologie de l'EEG (électroencéphalographie) pour permettre aux visiteurs de visualiser et d'interagir avec leurs propres ondes cérébrales. Les participants portent un casque EEG qui capte leurs signaux cérébraux et les transforme en motifs visuels projetés sur un mur. Cela crée une expérience artistique immersive où les participants peuvent littéralement voir leurs pensées prendre forme devant eux.

Mais encore, il a crée une autre oeuvre nommé « Third Person » (Shadow Box 2) qui est la deuxième pièce de la série ShadowBox d'affichages interactifs avec un système de suivi informatisé intégré. Cette pièce montre l'ombre du spectateur révélant des centaines de petits mots qui sont en fait tous les verbes du dictionnaire conjugués à la troisième personne. Le portrait du spectateur est dessiné en temps réel par des mots actifs, qui apparaissent automatiquement pour remplir sa silhouette. Le collectionneur peut choisir d'afficher les mots en anglais, en espagnol ou en français, ou une combinaison des trois langues.

Nous avons aussi, "Pulse Spiral" qui est une installation artistique en forme de spirale tridimensionnelle composée de 400 ampoules. Ces ampoules sont disposées selon les équations de Fermat, ce qui crée une distribution spatiale efficace le long de la surface de l'installation. Cela rappelle l'arrangement des feuilles et des cellules dans les plantes. Ce qui rend cette pièce encore plus intéressante, c'est qu'elle enregistre et réagit à la fréquence cardiaque des participants. Ils peuvent tenir un capteur en dessous de l'installation pour interagir avec elle. L'installation a été commandée pour l'ouverture du Centre de culture contemporaine à Moscou, dans le garage de bus du constructiviste Bakhmetevsky. C'est une manière unique de mêler art, science et histoire architecturale. 

C'est vraiment fascinant de voir comment la technologie peut permettre une communication sans paroles et à distance. On a l’exemple de l'homme paralysé qui a pu contrôler un ordinateur, un téléviseur et un robot par la pensée grâce à une micro-puce implantée dans son cerveau est incroyable. L'article du New York Times mentionne le professeur John P. Donoghue et ses sondes contenant des électrodes minuscules. Une fois implantées dans la région du cortex moteur responsable du mouvement du bras, le patient était connecté à un ordinateur. En imaginant le mouvement de son bras, il pouvait déplacer le curseur d'une souris, lire ses e-mails, jouer à des jeux vidéo, dessiner à l'écran, contrôler un robot, changer les chaînes et régler le volume d'un téléviseur. Je trouve que c'est un bon moyen pour explorer ces modes de communication et d'interaction pour permettre aux personnes "emprisonnées" dans leur propre corps de s'exprimer enfin. C'est une perspective passionnante qui pourrait ouvrir de nouvelles possibilités pour la communication humaine. 

Fred Murie et Flavien Théry ont élaborés une création appelé « La mer est ton miroir ». Ils travaillent sur le développement d'une installation  qui permettra aux visiteurs de plonger leur esprit dans un océan virtuel. Pour cela, ils ont combinés des données électro-encéphalographiques avec une modélisation informatique des mouvements de la mer. Les visiteurs porteront un casque EEG qui leur permettra d'animer la surface de l'eau en fonction de leurs différentes ondes cérébrales. Les ondes inconscientes créeront une houle, tandis que les ondes conscientes se traduiront par des vagues rapides et de faible amplitude. Ils auront la possibilité de maîtriser cette expérience ou simplement se laisser porter par la contemplation. Chaque pensée aura instantanément un effet sur la surface projetée, créant ainsi une boucle immersive et interactive. Je trouve cette idée vraiment fascinante et  unique pour explorer notre monde intérieur de manière visuelle.

Cependant, il existe aussi des inconvénients. La télépathie numérique soulève des questions de vie privée et de sécurité, car nos pensées les plus intimes pourraient être exposées. De plus, l'utilisation constante de la télépathie numérique pourrait entraîner une dépendance excessive à la technologie. Cela pourrait nous rendre moins aptes à communiquer de manière traditionnelle et à développer des compétences sociales essentielles. Il est important de noter que ces inconvénients sont seulement des hypothèses car la télépathie numérique n’est pas expérimenté totalement.

Par exemple, Sherry Turkle dans son livre "Seuls ensemble", explore l'impact des technologies de communication sur nos relations et notre capacité à être vraiment présents les uns pour les autres. Elle souligne comment notre dépendance excessive à la technologie peut nuire à notre capacité à nous connecter authentiquement et à communiquer de manière significative. Bien que Turkle ne parle pas spécifiquement de la télépathie numérique, ses idées peuvent être appliquées pour réfléchir aux implications sociales et psychologiques de cette technologie. Elle met en évidence les risques de perdre notre intimité et notre capacité à communiquer de manière profonde. Elle constate également que les individus sont de plus en plus isolés dans nos sociétés en raison des nouvelles technologies. Son livre "Seuls ensemble" explore comment les nouvelles technologies ont redéfinies nos vies  et de notre intimité. Turkle a étudié pendant quinze ans nos relations avec les objets technologiques et a observé chez les utilisateurs de robots de compagnie une tendance à les considérer comme vivants, ce qui peut conduire à se laisser duper par leurs réactions programmées. Personnellement, j'ai trouvé très intéressant les questions soulevaient sur notre relation avec la technologie et comment elle peut impacter nos relations humaines. Cela m'a fait prendre conscience de l'importance de déconnecter de temps en temps pour vraiment être présent dans nos relations.  

Également, recevoir des pensées et des informations directement dans notre esprit pourrait entraîner une surcharge de savoir. Cela pourrait être accablant et perturber notre capacité à traiter et à filtrer les informations de manière efficace ou encore de la manipulation et piratage comme toute technologie. Des individus malveillants pourraient essayer de manipuler ou de pirater les pensées des autres, ce qui pourrait avoir des conséquences néfastes sur la vie quotidienne et les relations.

Ce phénomène peut mener à de la « technophobie ». C’est le fait que certaines personnes ne peuvent pas se passer de leur téléphone portable, tandis que d'autres paniquent à l'idée d'en avoir un. Ce sont souvent les mêmes qui détestent les ordinateurs, les tablettes numériques et les nouvelles technologies en général. On les appelle les technophobes. Ils ont peur du progrès et de l'inconnu, et pensent que les technologies aliènent l'homme et détruisent les liens sociaux. Leurs craintes peuvent être très spécifiques, comme la peur des ordinateurs pour les cyberphobes ou la peur des appels téléphoniques pour les téléphonophobes.

Personnellement, je pense que chacun a le droit d'avoir ses propres préférences et opinions. Les technophobes ont leurs raisons de craindre les technologies, même si cela peut sembler étrange pour certains. Il est important de respecter les choix même si nous ne les partageons pas. L'essentiel est de trouver un équilibre entre l'utilisation des technologies et le maintien des relations sociales et du bien-être.

Personnellement, je trouve que la télépathie numérique est une idée fascinante. Pouvoir communiquer instantanément avec les autres à un niveau plus profond pourrait vraiment renforcer les liens entre les individus. Cependant, il est important de trouver un équilibre entre les avantages de cette technologie et les préoccupations liées à la vie privée et à la manipulation de l'esprit. En fin de compte, je pense que la clé est d'utiliser cette technologie de manière responsable en veillant à ce qu'elle améliore notre vie tout en préservant notre humanité. 

Hamidi Inès

[pedripics]

😭😭😭

[larrylimericks]

17Mar25

The formula’s never finessed: Insta moots, dodgy pics, trashy press. The Sun shouts “Exclusive!” Which means it’s conclusive: Strictly business and strictly BS.

[the-sea-anemone]

occasionally i encounter posts about people using like. language learning apps and figuring out their reading level and it's like okay yeah that probably is easier than going on internet archive sorting by language picking an article and/or textbook that seems interesting and then pausing every two seconds to look up words but i've chosen the hard road and i'm sticking with it 👍

[angelosearch]

Did I just post my fake academic article about GF-use? Yes. Should have I been studying/doing homework instead of doing this? Also yes.

[gaypeople]

[trek-tracks]

Space, the final frontier.

That is the question:

Whether 'tis nobler in the mind to explore

The strange new worlds of our outrageous fortune,

Or to take arms against a five-year mission

And, by opposing, end it. To go—to seek,

Once more; and by “to seek” to say we find

The new life and new civilizations

Where man has gone not: 'tis a consummation

Devoutly to be wish'd. To go, to seek;

To seek, perchance to find—ay, there's the rub:

For in these voyages what dreams may come,

When we have boldly gone whence we have not,

Must give us pause—there's the respect

That makes a mission of so long a life.

For who would bear the Enterprise of time,

The starship’s wrong, admirals’ contumely,

The pangs of dispriz'd love, the law's delay,

The insolence of office, and the spurns

That patient merit of th'unworthy treks,

When he himself might make his voyage on

With a bare warp core? Who would tribbles bear,

To grunt and sweat under a weary life,

But that the hope of something to be found,

The undiscover'd country, from whose bourn

We travel and return, puzzling our will,

And makes us wish to solve those ills we have

And fly to others that we know not of?

Thus conscience makes explorers of us all,

And thus the native hue of resolution

Is glistened o'er with the stars of thought,

And Enterprises of great pith and moment

With this regard their currents warp ahead

And seize the name of action.