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#ben oui ça peut arriver quoi
marie-swriting · 5 months
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Ramener Votre Cœur À La Vie - TASM!Peter Parker
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Résumé : Ta mère et May ont arrangé un rendez-vous entre toi et Peter en pensant que vous étiez fait l'un pour l'autre, toutefois vous penser que ça ne marchera pas.
Warnings : mention de la mort de Gwen et d'Oncle Ben, mention de relation toxique (pas de détail), anxiété, un peu d'angst, fin heureuse, ditees-moi si j'en ai loupé d'autres.
Nombre de mots : 3.4k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Electric Touch par Taylor Swift Feat. Fall Out Boys (Taylor's Version) (From The Vault)
Tes vêtements sont éparpillés de partout dans ta chambre. On dirait un véritable chantier, mais ça ne t’arrête pas pour autant. Tu continues de fouiller dans ton placard à la recherche de la tenue parfaite. Enroulée dans ta serviette de bain, le désespoir prend un peu plus possession de ton corps. Tu n’aurais jamais dû écouter ta mère. Au moins, tu ne serais pas dans cette situation. Tu pousses un grognement de frustration quand on frappe à ta porte de chambre. Tu invites la personne à entrer et ta mère apparaît.
-Tu n’es toujours pas prête ? Il va arriver dans une trentaine de minutes !
-Oui, maman, je sais ! rétorques-tu, sèchement avant de prendre une voix plus douce. Désolée. Je sais pas quoi mettre, j’en ai marre. 
-Mets quelque chose dans lequel tu te sens bien.
-Plus facile à dire qu’à faire ! Je ne trouve que des défauts à tous mes vêtements. Je sais même pas pourquoi je t’ai écouté, en fait. Je le connais même pas et on a déjà un rendez-vous. Ça se trouve, ce gars est quelqu’un d’horrible, commences-tu à déblatérer en faisant les cent pas. Enfin, tu le connais pas réellement non plus. Tu sais juste ce que ta collègue, May, t’a raconté. Peut-être qu’elle a embelli la réalité ! 
-Je ne connais peut-être pas Peter personnellement, mais je l’ai déjà vu plusieurs fois et tu l’as aussi vu une fois, je te rappelle. Tu l’as même trouvé mignon.
-Je l’ai vu cinq minutes il y a deux ans, ça ne compte pas vraiment. 
-Je suis sûre que Peter est quelqu’un de gentil, affirme ta mère en caressant ta joue pour te calmer. Pour te le prouver : quand May oublie d’amener son repas, il l'emmène toujours avec un grand sourire et un bisou sur la joue. Il l’accompagne souvent au travail quand il fait nuit. Et toutes les fois où je lui ai parlé, je l’ai trouvé très poli. Tu crois vraiment que je t’aurais arrangé un rendez-vous avec le premier venu ? J’ai de l’instinct, ma puce.
-Je ne suis toujours pas convaincue. On s’est à peine échangé trois messages et c’était juste pour s’assurer que c’était toujours bon pour aujourd’hui. Et puis, ça se trouve, je ne vais même pas lui plaire. Et même si ça fonctionne ce soir, qui dit que ça durera dans le temps ? Mes histoires se finissent toujours mal. C’est bon, je vais annuler, c’est mieux, déclares-tu en tentant de prendre ton téléphone, mais ta mère te l’enlève de tes mains.
-Tu ne vas pas annuler. Respire, détends-toi, ça va aller, dit-elle avec douceur. Écoute, je sais que ta dernière relation avec George s’est mal passée et que tu en as beaucoup souffert, mais tu ne peux pas continuer à fermer ton cœur à de nouvelles rencontres, car tu penses que tu vas retomber sur une autre version de lui. Et puis, même si le courant ne passait pas entre toi et Peter, ce dont je doute, tu aurais au moins fait un pas en avant. Tu n’as pas à avoir peur. Allez, enfile ça et tu verras, tu seras belle et à l’aise dans tes vêtements, ajoute ta mère en te donnant une robe mi-longue. Je dois aller au travail. Préviens-moi quand tu es rentrée, d’accord ? Faites attention à vous. Ça va aller, ma puce, j’en suis sûre.
Ta mère t’embrasse une dernière fois sur le front avant de quitter ta chambre. Tu pousses un long soupire puis, tu finis de te préparer. Pendant que tu fais ton maquillage, tu ne peux t’empêcher de regarder ton téléphone, attendant un potentiel message de Peter t’informant que le rendez-vous est annulé. Ta mère avait réussi à faire descendre ton anxiété, mais tes peurs ont vite repris le dessus une fois seule à nouveau. Pour toi, ce rencard peut se terminer uniquement de deux seules façons : soit ça finit mal et tu as le cœur brisé, ce qui est probable, soit il se finit bien et ton cœur peut enfin guérir, ce dont tu doutes. Tu te demandes si Peter est dans le même état que toi.
La réponse est simple : il est encore plus en panique que toi. Il a seulement accepté ce rendez-vous pour faire plaisir à Tante May. Depuis la mort de Gwen, il s’est beaucoup renfermé, mais, à présent, il veut faire des efforts. Toutefois, parmi ces efforts, il n’avait pas inclus “sortir avec d’autres personnes”, surtout si c’est pour mettre une autre personne qu’il aime en danger. Il ne veut pas reproduire ce qui s’est passé avec Gwen. Au début, il avait essayé d’y échapper, mais May a tellement insisté qu’il a fini par céder. Pour lui, ce rencard est une ultime tentative pour voir si sa vie amoureuse peut marcher tout en étant Spider-man. Il aimerait que ça fonctionne pour une fois, mais il ne peut s’en empêcher d’être pessimiste.
Sachant que votre rendez-vous est en fin de journée, Peter a décidé de faire sa patrouille quotidienne un peu plus tôt. Il n’y a pas grand-chose qui sort de l’ordinaire, par conséquent, il arrive à rentrer chez lui pile à temps pour se préparer. Au moins, même si ce rendez-vous est catastrophique, il est sûr qu’il sera à l’heure. 
En entrant dans sa chambre, il enlève vite sa tenue de Spider-man et se jette sous la douche. Dans son placard, il prend d’abord la première tenue qui lui tombe sous la main puis, il commence à paniquer. 
“C’est un premier rendez-vous, je peux pas mettre n’importe quoi”, se dit-il. 
Il s’apprête à se changer quand il se demande pourquoi est-ce qu’il se casse tant la tête alors que ça ne va pas aboutir. Il ne va sûrement pas te plaire ou vice-versa. Alors, il renfile son tee-shirt noir et se regarde rapidement dans le miroir. Sa tenue est décontractée, peut-être un peu trop pour un premier rendez-vous. Il devrait peut-être ajouter une veste. Il ne voit pas vraiment quelle différence ça fait. Il n’arrive pas à deviner si sa tenue va. Après tout, il ne veut pas faire trop d’effort, mais d’un côté, il a envie d’en faire un peu. Tu mérites d’avoir un rencard avec un mec à peu près présentable. Il finit par troquer son tee-shirt noir pour un bleu foncé. C’est un peu moins triste, n’est-ce pas ? Quand il regarde l’heure, il voit qu’il n’a pas le temps de réfléchir plus longtemps et s’occupe de ses cheveux en faisant sa coupe habituelle. May l’interrompt rapidement pour lui signaler qu’elle part au boulot.
-T’es mignon comme ça, je suis sûre que Y/N sera de mon avis.
-J’sais pas, marmonne Peter en se tournant vers May.
-Crois-moi, c’est déjà le cas. Sa mère m’a dit que tu lui avais tapé dans l'œil, affirme-t-elle avec un grand sourire. 
-Ça ne veut pas dire que ce rendez-vous sera bien. Je ne suis même pas sûre de vouloir sortir avec quelqu’un d’autre, Tante May.
-Peter, je sais que la mort de Gwen a été compliquée pour toi, mais tu ne peux pas rester enfermé dans une boucle où Gwen est encore à tes côtés, commence May en posant ses mains sur les épaules de son neveu. Tu dois avancer. Ça ne veut pas dire que tu vas l’oublier. Gwen sera toujours dans ton cœur et c’est normal, mais ça ne veut pas dire que personne d’autre ne doit rentrer. Et puis, ce rendez-vous n’est pas obligé de se finir sur une relation amoureuse. Peut-être que tu te feras une nouvelle amie et ça, ça sera déjà un grand pas. Je suis déjà fière de voir que tu t’autorises à avancer, malgré la douleur.
-Elle me manque, murmure Peter en regardant le sol.
-Je sais, mon grand.
-Tu crois que la douleur s’arrête un jour ?
-Je crois que ça devient plus facile de vivre avec, répond May délicatement. Tu sais, maintenant, j’arrive à penser à ton Oncle Ben sans avoir mon cœur qui se déchire complètement. J’arrive à penser d’abord aux bons souvenirs avant de me rappeler qu’il n’est plus là. Ça ira bien pour toi aussi, Peter. J’en suis sûre. 
Peter fait un dernier sourire à sa tante alors qu’elle quitte la pièce. Quand Peter est prêt, il regarde son téléphone et voit que tu n’as pas annulé à la dernière minute, il n’a donc pas d’autre choix que de partir prendre le métro. Logiquement, il devrait arriver à sept heures pile chez toi pour que vous puissiez aller au diner à une quinzaine de minutes de ta maison. 
Dans le métro, Peter commence à stresser de plus en plus en pensant à ce qu’il pourrait te dire. Après tout, il ne te connaît pas. Vos conversations seront sûrement vides et si c’est le cas, le rendez-vous va être très, très long. Alors qu’il réfléchit à une question qu’il pourrait te poser pour briser la glace, le métro s’arrête abruptement. Peter regarde par la vitre et voit qu’ils ne sont pas arrivés à une station. Soudain, une voix interrompt les interrogations de Peter et des personnes à côté de lui en informant : 
“Chers voyageurs, nous vous informons que nous avons actuellement un problème technique. Nous faisons tout pour régler la situation au plus vite. Nous nous excusons pour ce désagrément.” 
Peter soupire en entendant l’information. Il risque d’être en retard. Super. Il sort son téléphone pour te prévenir, mais bien évidemment, son téléphone n’a pas de réseau. 
Pour lui, cette panne sonne comme un présage, il n’aurait pas dû accepter ce rencard. Même si toute cette histoire ne se termine pas comme avec Gwen, le fait est que ça ne marchera pas, c’est sûr. Il aimerait ne pas souffrir à nouveau, mais Peter a l’impression d’être allergique au bonheur. 
Peter tente de calmer son anxiété en repensant aux mots de Tante May et range son téléphone avant de prendre son mal en patience jusqu’à ce que la situation soit réglée. 
De ton côté, tu attends Peter, assise sur le canapé du salon. Il est bientôt sept heures, il devrait arriver d’une seconde à l’autre. Une fois de temps en temps, tu jettes un coup d'œil par la fenêtre, mais tu ne le vois pas arriver. Plus les minutes passent et moins tu arrives à tenir en place. 
“Respire, détends-toi, ça va aller”, la voix de ta mère résonne dans ta tête en vain. 
Tes yeux voyagent entre la fenêtre et ton téléphone, les deux ne t’apportent aucune nouvelle sur l’arrivée de Peter. Tu commences à te mordre la lèvre en t’imaginant les pires scénarios. Il t’a peut-être posé un lapin ? Non, ta mère t’a assuré qu’il était gentil donc il ne l’aurait pas fait. Tu as peut-être donné la mauvaise adresse ? Tu regardes tes messages et découvres que tu n’as pas fait d’erreur. Peut-être que tu as mal compris le jour et l’heure ? Tes messages prouvent que tu ne t’es pas trompée. Il lui est peut-être arrivé quelque chose de grave, alors ? Non, tu ne peux pas commencer à imaginer des choses horribles. Il a juste du retard, rien d'autre. N’est-ce pas ?
Tu attends encore un peu et quand la demie est passée, tu lui envoies un message pour savoir où il est. Tu n’obtiens pas de réponses. Tu commences à ronger tes ongles alors que ton cœur bat de plus en plus vite, le stress devenant trop important. Tu n’arrives pas à comprendre et tu commences à douter de tout ce rendez-vous. C’était clairement une erreur, tu n’aurais jamais dû accepter. Tu aurais aimé que ça marche pour une fois, mais tu sembles être maudite. Tu avais raison, tu vas avoir le cœur brisé et ce rencard va mal se finir - si Peter finit par arriver.
Après plus de quarante minutes bloqué dans le métro, Peter descend enfin à ta station. Il se faufile entre les gens en courant, ne voulant pas être plus en retard. Cinq minutes plus tard, il voit enfin ta maison au loin. Quand il passe devant la fenêtre de ton salon, tu le vois courir telle une furie. En regardant ton téléphone, tu vois que c’est huit heures cinq. Il a plus d’une heure de retard, à cette réalisation, tu lèves les yeux au ciel. Il a intérêt à avoir une bonne excuse. Tu as déjà donné dans les mecs qui ne sont pas ponctuels, tu n’as pas besoin d’un de plus ! 
Quand il est devant ta porte, il passe rapidement une main dans ses cheveux, prend une profonde inspiration avant de frapper. Il patiente un instant avant que tu ouvres la porte. En te découvrant, Peter est subjugué par ta beauté alors, il reste planté, là, à ne rien dire. Quand tu lui lances un regard, il reprend ses esprits avant de parler.
-Je suis terriblement désolé pour le retard. J’étais bloqué dans le métro et…
-Un message n’aurait pas été de trop, l’interromps-tu sèchement.
-J’avais pas de réseau. J’en ai eu quand je suis enfin arrivé à la station. En temps normal, je suis ponctuel, je te promets. Je suis désolé de t’avoir fait attendre. Tu as sûrement pensé que je t’avais posé un lapin et c’est normal, mais ce n’est pas mon genre. J’ai essayé de faire au plus vite quand le métro a redémarré, explique Peter et tu sens qu’il est sincère. Tout est ruiné, n’est-ce pas ? Ce n’était pas mon but. Je comprendrais si tu ne voulais plus qu’on sorte ce soir.
-Je veux bien qu’on sorte. Le métro est tombé en panne, ce n’est pas de ta faute, assures-tu en souriant. 
En entendant ta phrase, Peter te fait un sourire. Même s’il n’avait pas forcément hâte pour ce rendez-vous, le fait est qu’il s’est engagé avec toi et il met un point d’honneur à tenir ses promesses. 
Tu prends ton sac à main et fermes la porte de chez toi. Peter te laisse passer en premier et vous marchez en direction du diner. Sur le chemin, tu demandes à Peter de te donner un peu plus de détails sur la panne du métro, ignorant par quel sujet commencer la conversation. 
Quand vous êtes installés à votre table, vous continuez d’échanger des banalités. Juste en vous regardant, on peut deviner que vous n’êtes pas à l’aise, vous ne savez pas comment agir avec l’autre. Aucun de vous n’ose commencer une conversation profonde, comme si vous aviez oublié comment agir lors d’un premier rencard. Tu contemples même l’idée d’inventer une excuse pour partir. La discussion reste embarrassante jusqu’à ce que vous commandiez à manger. Après avoir évoqué une énième banalité, Peter lâche un soupire avant de prendre la parole : 
-Je suis sûr que cette situation est aussi gênante pour toi que pour moi. C’est ta mère et ma tante qui ont organisé tout ce rendez-vous, mais ça n’a pas à être aussi embarrassant. Je ne sais pas pour toi, mais c’est mon premier rencard depuis un moment et je suis un peu rouillé. Ma dernière relation s’est terminée… de manière tragique, disons et donc, on a pas forcément besoin de se mettre de grandes attentes pour ce soir. On devrait juste apprendre à se connaître sans s’attendre à quelque chose en particulier et juste voir où ça nous mène, si ça te convient. 
-Ça me convient, acceptes-tu en poussant un soupir de soulagement. Ma dernière relation s’est mal terminée également. C’était assez toxique, et j’avoue que j’ai du mal à être à l’aise.
-Alors, allons-y doucement. Pas besoin que ça soit un grand rendez-vous romantique, apprenons simplement à être à l’aise avec une nouvelle personne. Qu’est-ce que tu en dis ? 
-Je suis d’accord avec toi. 
À partir de ce moment, la tension quitte votre table, vous laissant vous découvrir tranquillement. Peter te pose quelques questions sur le livre que tu as lu dernièrement et rapidement, vous parlez de vos centres intérêts, qu’ils soient communs ou non. 
Finalement, vous arrivez à passer un bon moment. Tu rigoles plusieurs fois, suite à des remarques de Peter. On ne t’avait pas fait rire de cette façon depuis longtemps. Peter est tout de suite sous le charme de ton rire, adorant la manière dont ton visage s'éblouit. Peter te parle un peu plus de lui et tu dois avouer que tu apprécies de plus en plus sa personnalité. Ta mère avait raison, Peter est quelqu’un de réellement gentil. À certains moments, vous rentrez un peu plus en détails de vos anciennes relations, sans trop vous attarder, certaines blessures encore trop fraîches, mais vous comprenez que l’un comme l’autre, vous avez encore un peu de chemin à faire, mais vous n’êtes pas contre l’idée de le faire ensemble. 
Après avoir mangé, vous restez encore un peu au restaurant, ne voyant pas les minutes défilées. Quand vous finissez par partir vers les vingt-deux heures passées. À peine dehors, tu as un frisson à cause de la fraîcheur de la nuit. Peter le remarque et te propose sa veste. Tu essayes d’abord de refuser, mais il insiste et tu finis par accepter. Alors qu’il te la mets sur tes épaules, sa main droite frôle ta peau et tu frissonnes à nouveau, mais pas à cause du froid, ton cœur bat également plus rapidement, mais pas à cause de l’anxiété. Son toucher était comme électrique et en relevant la tête, tu vois Peter proche de toi et tu te dis qu’il est encore plus beau à cette distance. Tu essayes de ne rien laisser paraître alors que vous commencez à marcher vers chez toi.
Sur le chemin, vous continuez à discuter et tu aimerais que ce moment n’ait jamais de fin. Tu n’aurais pas pensé que tu aurais pu te sentir autant connecté avec un autre homme aussi rapidement. Pour Peter, il n’aurait jamais cru qu’il arriverait à s’autoriser à regarder une autre femme que Gwen. Tante May avait raison, Gwen est toujours dans son coeur, mais il n’est plus aussi contre de laisser quelqu’un d’autre rentrer. Peut-être pas tout de suite, mais si tu devais le faire, il en serait content.
Quand vous êtes devant ta porte d’entrée, tu redonnes la veste à Peter et tu espères secrètement toucher sa main, mais le vêtement t’en empêche. Tu souris à Peter alors qu’il finit de parler du début de sa théorie sur le multivers. 
-C’était vraiment bien ce soir. Je ne pensais pas passer un aussi bon moment, sourit-il.
-Moi non plus. J’avais beaucoup d’appréhension. 
-Je te comprends. 
-Tu sais, je ne serais pas contre l’idée de refaire quelque chose dans le genre, commences-tu en évitant son regard. Je serais contente de voir où ça nous mène, même si on prend notre temps.
-J’en serais content aussi. Est-ce que tu crois que ça serait trop rapide si je te disais que tu es très belle ? J’y ai pensé toute la soirée et je me suis dit que je devais te le dire avant de partir et de regretter d’avoir rien dit. 
À son compliment, tes joues se mettent à chauffer alors qu’un sourire prend place sur ton visage que Peter trouve plus que mignon. Savoir qu’il t’a fait sourire réchauffe son coeur. 
-Ce n’est pas trop rapide, j’apprécie le compliment. Tu es mignon également. Et tu crois que ça serait trop rapide si je t’embrassais la joue ? demandes-tu et Peter se fige. Tout de suite, tu regrettes ta question et tu ne sais plus où te mettre. Désolée, je suis allée trop loin, je n'aurais pas dû le dire.
-Je m’y attendais pas, c’est tout, mais ça me dérangerait pas.
Légèrement embarrassée, tu te rapproches de Peter et poses ta main sur sa joue avant d’embrasser sa joue droite. En sentant ce contact sur sa peau, Peter ne respire plus pendant une seconde. Il ne pensait pas que ton toucher serait aussi éléctrique contre sa peau. Le baiser était court, mais il l’a en mémoire. Il sait qu’il va y repenser chaque seconde de la journée. Quand tu t’éloignes, tu souhaites une bonne nuit à Peter avant de rentrer chez toi. Peter reste planté jusqu’à ce que ta porte soit totalement fermée puis, il quitte ton porche, un grand sourire aux lèvres. 
Tous les deux, vous repensez à cette soirée avec tendresse. Vous savez que ce n’est que le tout début, mais vous savez déjà que l’un comme l’autre saura ramener votre cœur à la vie. Vous avez déjà envie de vous revoir et peut-être que ça vous prendra un peu de temps avant de vous autoriser à tomber amoureux à nouveau, mais ce n’est pas grave. Pour une fois, vous savez que ça va bien se passer.
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swedesinstockholm · 5 months
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23 avril
encore une journée de rêve dans la vie de lara w., ce matin je me suis entrainée à chanter you still believe in me au piano en essayant de trouver les bons accords, et puis vu que j'arrivais toujours pas à écrire je suis de nouveau partie me promener dans un endroit que je connaissais pas, cette fois j'ai pris le bus jusqu'à la gare cents/hamm et en arrivant devant une église j'ai vu le plus GROS avion que j'avais jamais vu, juste au dessus de ma tête, on aurait dit un de mes rêves catastrophe sauf que personne n'est mort et aucun avion ne s'est écrasé, j'ai juste perdu l'équilibre sous le choc et parce que j'avais la tête en l'air. en baissant les yeux j'ai vu un bac à fleurs à étages qui ressemblait à une pièce montée ou à une fontaine et je me suis dit à cet instant précis que voir des gros avions passer dans le ciel était une très bonne raison de ne pas mourir et que je pourrais peut être remplacer les trajets à la pierre plantée dans la voiture de h. par des excursions à proximité de l'aéroport. de là je suis descendue dans une vallée par la forêt, j'y étais déjà allée mais pas de ce côté-là, j'ai reconnu l'odeur de l'alzette. je l'ai longée pendant une éternité en marchant sur une petite route déserte sans savoir où j'allais, puis j'ai pris un petit chemin dans la forêt et au bout d'un moment je suis remontée et j'ai atterri dans des champs de colza à bonnevoie. magique. j'ai marché jusqu'à la gare et je suis rentrée en bus. à la maison j'ai mangé du pain grillé avec du beurre de cacahouète et une demie pomme et puis au lieu d'écrire j'ai ouvert instagram où tout le monde avait l'air particulièrement prolifique, f. s. avance bien dans son roman, c. b. fait une performance aux halles de schaerbeek demain et r. est trop occupé par la pièce de sa soeur pour écouter les morceaux que je lui envoie. mais en ce moment ça va avec lui. ça va!!!
25 avril
j'écoutais l'interview d'un humoriste qui vient de réaliser son premier film à la radio et il racontait qu'avant il était cuisinier (je crois) et puis ses parents lui ont LOUÉ une salle à AVIGNON pour qu'il puisse faire son spectacle, ça leur a coûté 10000 euros et ils ont dit au pire on perd 10000 euros, ben oui, et puis un soir un producteur de laurent ruquier ou je sais pas quoi était dans la salle etc etc. autre histoire entendue à la radio: la fille d'un photographe connu qui était agente d'artistes et puis elle a lu un livre sur la botanique et la permaculture et elle est devenue maraichère mais elle préfère dire food gardener et maintenant elle adore sa vie. et moi hier soir pendant que je faisais mon lit je pensais à r. et à sa soeur qui font tous les deux les métiers que j'aimerais faire, même si soyons sérieuse deux minutes je serai jamais musicienne, et je pensais à a. qui me disait de faire des études de biologie marine, et je me demandais pourquoi j'assumais pas de dire aux gens que je voulais faire du spectacle vivant. enfin si je sais pourquoi, mais en plus de ça c'est un monde qui m'est totalement opaque et j'ai aucune idée de comment me lancer là-dedans. et si je retourne à l'école pour devenir bibliothécaire j'aurai pas le temps de m'occuper de ma carrière dans le spectacle vivant. est-ce que je m'en occupe maintenant que j'ai le temps? non, mais une fois que je me serai lancée dans ma carrière de bibliothécaire ce sera définitif. je préfère rester flotter dans le limbo des possibilités.
hier soir j'étais de nouveau sur le site du magasin de musique de sandweiler à choisir un micro et tout ça en calculant combien ça me coûterait en tout avec le synthé, mais j'ai l'impression que j'arriverai jamais à franchir le pas 1. parce que j'ai peur de dépenser de l'argent et 2. j'ai trop peur d'être nulle et d'avoir gaspillé de l'argent pour rien. j'ai peur de prendre des risques. je me fais pas confiance. quand j'ai dit à r. que je voulais faire du stand-up il a dit go! le monde a besoin de toi lara et je sais pas pourquoi ça m'a énervée. c'est un peu comme quand on me dit que je suis forte, dans le sens courageuse. go fuck yourself je suis tout sauf courageuse et le monde a pas besoin de moi. j'espère qu'il aura jamais le malheur de me dire que je suis forte parce que je risque de lui mettre une gifle.
27 avril
à la philarmonie ce soir j'ai eu des pensées très bizarres en écoutant l'orchestre jouer et plus particulièrement pendant le boléro de ravel, je pensais à mon fantasme de cuisiner avec r. et sa fille dans sa petite cuisine et je me disais c'est quoi ce fantasme de vie domestique là? qu'est-ce que ça veut dire? aurais-je envie... de fonder une famille?? et puis je me suis imaginé...tomber enceinte de r.??? est-ce que j'ai envie d'avoir un bébé?? et puis je me suis dit non il a déjà une fille, je peux très bien me contenter d'une belle-fille et j'ai commencé à m'imaginer en famille recomposée avec lui et c'était bien et j'avais pas du tout envie de me rappeler que ça n'arrivera jamais. et puis j'ai pensé à la naissance de sa fille, au moment où sa copine a du partir à l'hôpital, ou peut être qu'elle a accouché à la maison, à l'état dans lequel il devait être, à sa joie, à son excitation, à sa terreur dans doute, et puis au rêve qui tourne au cauchemar, et je me suis de nouveau demandé ce qui s'était passé pour qu'on lui enlève la garde de sa fille pendant deux ans VAZY c'est pas r. qui m'envoie mille photos de sa fille en me demandant si je trouve qu'elle lui ressemble (non) alors que j'étais en train de parler de sa naissance dans mon journal?? c'est quoi cette sorcellerie?? ils passent le weekend chez sa mère à la campagne. demain ils vont réparer son vélo et faire une tarte aux pommes.
BON. autres pensées de la philarmonie ce soir: pendant la fin du boléro de ravel j'avais envie de crier des trucs par dessus la musique et je me suis dit qu'il faudra que je le propose à r., de crier des trucs par dessus sa musique. j'ai aussi beaucoup pensé à mon livre, je l'ai enfin repris cette semaine et je me pose beaucoup de questions sur le style. j'arrive pas à décider si je pars plus dans la poésie ou plus dans le journal. pendant les danses polovtsiennes de borodine j'ai tranché pour le journal, you do you, ça sert à rien de se renier, et puis je me suis rappelé de rebeka rebeka qui est du journal et qui est un texte tout à fait légitime. mais j'ai vraiment du mal à m'y mettre. j'ai passé l'après-midi à regarder parlement dans mon lit cet après-midi. je sais pas pourquoi je me suis prise de passion pour les institutions européennes, à force de passer devant le parlement à bruxelles et de voir le grand drapeau européen flotter à la fenêtre tous les lundi soirs à la chorale. la série est ultra romancée et caricaturale mais elle satisfait mon envie de contenu eurocratique. lundi dernier à la chorale il manquait un ténor et quelqu'un a dit wilfried est à strasbourg, comme si c'était un truc qui allait de soi, et ça m'a fascinée, et maintenant que j'ai regardé la série ça me fascine encore plus, alors que bon y a vraiment pas de quoi être fascinée.
c'est pas vrai il est une heure et demie et j'ai mon cours de lux demain matin mais r. m'a flingué mon sommeil une fois n'est pas coutume alors que j'ai littéralement failli m'endormir pendant le début du boléro parce que c'est leeent et moi j'aime quand c'est rapide et surtout quand c'est FORT, j'aime le bombastique, surtout dans la musique classique, mais dans les autres musiques aussi, j'aime quand ça explose et quand ça crie et quand ça fait du bruit, et r. il m'impose que du doux tout le temps, du doux du doux et de l'ultra doux, ultra zacht en néerlandais, comme le pq, et j'aime l'ultra doux aussi, mais au fond du fond je suis pas une ultra douce, je suis une bombastique. une grandiloquente. une pompeuse. et pendant moussorgski je pensais au concert/dj set de rebeka warrior à bruxelles hier soir et je pensais à ma vie de retraitée avant l'heure et même si j'adore les concerts à la philarmonie et que j'avais des frissons tout le temps, presque tout le temps, ça m'aurait quand même plus dit d'aller percer mes tympans chez rebeka. j'ai de nouveau commencé à me creuser la tête pour trouver une solution à tout ça, j'espérais que moussorgski m'aiderait à avoir une illumination soudaine avec sa musique pompeuse, musique pompeuse pour fille pompeuse, mais à part mes fantasmes familiaux et mon envie de crier, aucune idée ne s'est présentée à moi.
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gerceval · 2 years
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Le Choix - chapitre 3
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
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- Oui bon bah c'est pas non plus la peine de faire la gueule.
- Mais je ne fais pas du tout la gueule, sire.
- C'était la solution la plus logique, c'est tout, et pis c'est pas comme si on s'était jamais retrouvés à partager un lit non plus Lancelot, faites pas votre mijaurée.
Arthur n'aimait pas beaucoup les manières de Lancelot. Avec le sortilège merdique qui venait de leur tomber sur le coin du pif, ils avaient quand même d'autres chats à fouetter que de s'inquiéter de savoir si leurs doigts de pieds risquaient de s'effleurer pendant la nuit. À bien y réfléchir, c'était même limite vexant.
- Je n'ai aucun problème avec ça sire.
- Eh ben alors ?
- Eh ben alors je m'inquiète simplement des conséquences de cette situation, et si dormir ensemble ce soir ne risque pas d'ajouter des noises à notre moulin ?
Il n'avait pas tort, et le problème avait bien sûr traversé l'esprit d'Arthur, mais quelle autre possibilité s'offrait à eux ?
- Nan mais ça va, il suffit d'essayer de se réveiller tôt et de s'arranger pour croiser personne demain matin, vous en faites pas pour ça. Et pis de toute façon on a du pain sur la planche, il faut qu'on élabore une stratégie pour remédier à la situation, ça va peut-être nous prendre jusqu'au lever du soleil.
Surtout si vous continuez à faire la gueule, se retint-il d'ajouter.
- Et votre femme ?
- Quoi, ma femme ?
- Ne va-t-elle pas s'inquiéter de votre absence ?
- Oh vous savez, vu comme elle pionçait quand je suis parti, y a de grandes chances qu'elle se soit même pas rendue compte de mon départ, et puis bon, il a pu arriver deux ou trois fois que je me barre au milieu de la nuit pis que je revienne pas, ya pas de raison qu'elle en fasse un cake.
Il regretta d'avoir trop parlé. C'était encore l'effet irrésistible du fait d'être affalé dans un lit qui le poussait systématiquement à bavasser sans réfléchir ; avec la fréquence à laquelle il se retrouvait au plumard avec un de ses chevaliers, il fallait qu'il commence sérieusement à tenir sa langue. Mais Lancelot ne répondit rien. En voyant son propre visage reflété devant lui, Arthur s'interrogea. Était-ce vraiment à ça qu'il ressemblait quand il se retenait très fort de faire un commentaire ?
- Bon, alors. Qu'est-ce qu'on fait ? Vous pensez qu'on en parle à Merlin en priant pour qu'il arrive à régler le problème avant que ça en devienne un vrai ?
Mais Lancelot n'avait pas l'air d'avoir la tête à l'action. Il avait toujours les bras croisés, et semblait pensif. Il finit par répondre, les yeux légèrement plissés.
- Vous pensez que le sort nous a vraiment transformés en répliques exactes l'un de l'autre ? Je veux dire exactes exactes ?
- Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise moi, j'en sais pas plus que vous.
- Mais vous êtes pas curieux ?
Arthur était pris de court par la question.
- Ben... Je vois pas pourquoi ce serait pas exact, je veux dire... vous m'avez l'air plutôt... plutôt moi quoi, mais c'est difficile à dire.
Lancelot garda à nouveau le silence pendant quelques instants.
- Je sais pas, peut-être que si on se rendait compte que c'est pas exact-exact ça pourrait nous donner un indice. Par exemple, est-ce que vous avez des signes distinctifs un peu subtils, comme un grain de beauté ou une tache de naissance, je sais pas...
- Un indice de quoi ?
C'était au tour d'Arthur de plisser les yeux. Lancelot sembla rougir dans l'obscurité.
- Ouais nan mais vous avez raison, ça n'a pas de sens. Je sais pas pourquoi je... Du coup, Merlin.
- Ouais, je me disais que si on se lève un peu tôt et qu'on se dépêche d'aller le tirer du lit, on peut s'arranger pour qu-
Soudain, des pas retentirent dans le couloir. Il ne pouvait pas être plus que trois heures du matin, qui pouvait bien se balader dans cette partie du château à cette heure-là ? La réponse ne tarda pas à venir : c’est la voix de Guenièvre qui se fit entendre, en un chuchotement forcé et enfantin, en même temps que deux petits coups rapides contre le bois.
- Y a quelqu’un ?
Et sans attendre plus d’une seconde, Guenièvre ouvrit la porte.
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frisquette27 · 2 years
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Je crois qu'il faut vraiment que je me fasse soigner quand je vois les idées qui me trotte dans la tête franchement. Enfin bref, toujours avec les notes des choses les plus débiles que j'aurais du ecrire dans une autre histoire. Voici le chapitre 2 :
UN PHILTRE SANS PHILTRE (PARTIE 2)
Guenièvre avait entrainé plus loin le seigneur Perceval, de un plus loin car déjà elle avait dû mal à ne pas rire en voyant la tête de son mari et de deux surtout plus loin car elle était décidée à ce que le chevalier comprenne les intentions d’Angharad. Sa suivante était amoureuse du chevalier depuis tant d’année cependant leur relation n’avait pas évolué depuis. Aujourd’hui elle avait la ferme intention de dire tout ce qu’elle pensait et peu importe les conséquences. Elle qui était si réservée d’habitude.
« Seigneur Perceval je suis désolé de vous déranger et surtout de me mêler de ce qui ne me regarde pas ! Où en êtes-vous avec Angharad ? »
« Angharad mais je ne l’ai pas vu aujourd’hui ma Reine, franchement je sais pas ou elle est »
« Où en êtes-vous côté sentiments »
Vu l’expression du chevalier, elle devait être plus directe si elle ne voulait pas y passer la nuit.
« Bon est ce que vous l’aimez ? »
« Heu à vrai dire je l’aime bien »
Elle souffla, elle n’était pas rendue avec lui.
« Non est que vous l’aimez d’amour, vous savez comme un couple qui s’aime, enfin vous savez bien les choses de l’amour et tout ça »
« Ah comme vous et le Roi ? »
Elle éclata de rire.
« Non non non surtout pas comme moi et …mon époux, le contraire plutôt »
« Ben vous et le Roi vous vous aimez d’amour »
« Non mais c’est pas vraiment le sujet-là »
« Vous n’aimez pas le Roi ? Mais il vous aime, lui »
« Bon on vas pas y arriver, le Roi ne m’aime pas mais vous est ce que vous aimez Angharad car elle vous aime et elle attend désespérément que vous l’épousiez »
« Elle voudrait devenir ma femme vraiment ! Mais est ce que je peux épouser la suivante de la Reine j’ai le droit de faire ça »
« Oh que oui vous avez le droit d’épouser qui vous voulez »
« Ah et du coup faut que j’aille lui demander maintenant c’est ça »
« Enfin si vous le voulez bien sûr ! vous savez quoi, oui allez lui demander maintenant c’est une très bonne idée »
« Bon j’y vais mais qu’est-ce que je lui dis ? »
« Essayer avec Epousez moi, cela devrait suffire »
Le chevalier fit ce qui devait certainement dans sa tête ressembler à une révérence et se dirigea d’un pas assuré vers le château. Alors qu’il avait à peine fait trois pas, le seigneur Perceval se retourna.
« Ma reine vous vous trompez le Roi il vous aime, il ne le sait peut-être pas encore mais il vous aime »
*******
Dans le laboratoire, les deux enchanteurs se disputaient une nouvelle fois, et cette fois au sujet du rangement ou plutôt du non-rangement des affaires de Merlin.
« A un moment donné soit vous me virez illico presto toutes vos cochonneries de cette table soit je vous les mets dans la tronche »
« OH mais euh ! c’est mon laboratoire à la base quand même »
« Peut-être mais comme je suis obligé de cohabiter avec vous, vous allez me ranger ce bordel car je ne sais pas travailler dans ces conditions »
« Oui ben il y a pas que mes affaires là, vous allez pas me dire que c’est pas à vous cette fiole »
Elias prit la potion que Merlin lui tendait.
« Effectivement celle-là, c’est bien la mienne vu quelle est étiquetée correctement et qu’à priori elle ressemble à une vraie potion »
L’enchanteur l’examina, puis ses yeux s’agrandir de terreur.
« Attendez c’est la potion pour la Reine, dites-moi je vous en supplie qu’il ne vous manque pas une de vos saletés »
« Oh tout de suite ! Elle a dû partir effrayé par tous vos cris c’est tout ! »
« Je l’espère pour vous parce que sinon on n’est pas dans la merde moi je vous le dis »
« Pfff »
Les deux hommes se défièrent du regard quand soudain en même temps ils pensèrent à la même potion.  Oh non pourvu que non, ben si elle était plus là.
« Vous l’avez jeté bien sûr »
« Non »
« Ah ben on est mort ! »
********
Guenièvre de plus en plus joyeuse croisa sa mère dans un couloir, comme ivre elle lui sourit contente de la trouver sur son chemin. Sourire qu’elle perdit immédiatement dès que sa mère s’adressa à elle.
« Mais comment vous vous êtes attifé aujourd’hui, vous ne pensez quand même pas que ce sont des façons pour une Reine, c’est votre mari que vous devez affoler pas l’ensemble de la gent masculine de ce château »
« Mais je l’aime bien ma robe »
« Ah c’est sur quand il s’agit de faire des conneries vous êtes pas la dernière, Allez-vous changer »
« Non j’ai pas envie »
« Ah mais je vous demande pas votre avis »
« Je vous le donne quand même, je m’habille comme je veux, je vais où je veux et je fais ce que je veux ! Et comme vous savez si bien me le faire remarquer je suis la REINE donc si ça vous plait pas vous allez qu’à rentrer en Carmèlide voir si j’y suis »
Soulevant légèrement sa robe, la tête haute, Guenièvre planta sa mère dans le couloir poursuivant son chemin. Si ce qu’elle faisait ne plaisait pas aux autres, tant pis pour eux. Les effets de la potion s’accentuaient, ses émotions avait dépassé le stade de l’euphorie.
******
Arthur n’en revenait toujours pas, sa femme avait osé lui faire des allusions en dessous de la ceinture, non il se trompait, il avait les idées mal placées. Sa femme était bien trop prude et puis jamais elle ne se moquait de lui. Elle était gentille avec lui, beaucoup trop gentille pensa-t-il. Et cette robe qui ne laissait peu de place à l’imagination, pourquoi portait-elle une robe aussi …non non il devait penser à autre chose qu’au buste de sa femme, d’ailleurs elle avait une magnifique poitrine, ah non il devait réellement penser à autre chose. Le seigneur Karadoc lui tenait la jambe dans le couloir, il ne l’écoutait pas du tout d’abord car cela devait être totalement inintéressant et puis il était beaucoup trop absorbé dans ses pensées. Il n’avait même pas entendu la femme du chevalier les rejoindre.
« Donc vous comprenez avec ma femme on pensait que cela vous dérangerez pas si on reste encore un peu histoire de trouver un quartier général »
« Hein de quoi »
« Sire, vous comprenez avec les enfants nous ne pouvons pas vivre dehors »
Elle le regardait droit dans les yeux avec défi, il l’avait éjecté du trône, de son lit, il n’allait quand même pas la foutre dehors en plus. Beaucoup trop rancunière, elle pensait déjà à sa vengeance et a sa gourdasse de femme qui en ferait les frais. Le Roi la regarda un peu perplexe, il avait dû renoncer à cette femme qu’il pensait aimer et pourtant elle était là devant lui et son cœur ne s’affolait plus, pire il se rendait compte que mise à part l’interdit, il ne la trouvait plus si intéressante alors certes elle lui rappelait les romaines dans son attitude et par son intelligence. Elle savait ce qu’elle voulait, il avait toujours aimé les femmes de caractère mais cette femme avait voulu l’homme ou le Roi. Il connaissait déjà la réponse et elle ne lui plaisait pas.
« Ah mais voilà nos grecs ! »
Guenièvre venait de faire son apparition dans le couloir. Au son de sa voix Arthur avait instinctivement tourné son regard vers elle, elle était vraiment magnifique avec ses cheveux lâchés et son petit air revêche, depuis quand la trouvait il aussi jolie, ah oui, déjà quand il l’avait délivré sur le camp de Lancelot, il l’avait trouvé magnifique sans tout son attirail de reine et quand elle avait posé sa main sur joue il avait eu un petit coup au cœur mais bon maintenant tout est redevenu comme avant non. Ben non a priori son cœur avait l’air de pensait le contraire.
« Des Grecs ? Où est qu’il y a des grecs Ma Reine »
Karadoc avait été le premier à réagir, Guenièvre se rapprocha de lui et en lui posant la main sur son bras, elle lui sourit.
« Voyons seigneur Karadoc vous n’êtes pas Grec ? Parce qu’à priori votre femme, elle est Grec bon d’après mon mari »
« On vient de Vannes, nous ! »
« Ah ben il a dû se tromper ou alors c’est moi qu’il trompait tout simplement mais vous n’avez pas de coutume particulière en ce qui concerne les baisers dans les cuisines, je ne sais pas moi pour dire bonjour peut être »
« Dans les cuisines moi je mange, en même temps je mange un peu partout »
« Aaaah Alors les baisers c’est un peu partout »
Arthur n’arrivait pas à suivre la conversation saugrenue trop obnubilé par la main de son épouse sur le bras de Karadoc. Une colère sourde grimpait en lui, pourquoi avait-elle la main sur lui et pourquoi elle ne la retirait pas. Ses poings se serrèrent, il devait contrôler cette colère sinon son poing allait partir tout seul dans la tronche de son abruti de chevalier.
« Je ne voudrais surtout pas enfreindre le protocole en ne respectant pas vos coutumes »
Œil pour œil dent pour dent, avec un sourire carnassier, elle se redressa sur la pointe des pieds et se rapprocha dangereusement du seigneur Karadoc. Elle posa délicatement ses lèvres sur ce dernier, moins d’une seconde mais ce baiser fit vriller totalement le Roi, d’abord la bouche ouverte, il ne réagit pas, puis il hurla.
« NON MAIS VOUS AVEZ TOTALEMENT PERDU LA TETE !!! »
Ignorant les cris de son mari, elle sourit au chevalier.
« Bonne journée seigneur Karadoc » puis se tourna vers la femme qui la regardait estomaqué « bon vous je sais pas comment on dit bonjour en grec quand au baiser mon mari s’en ai déjà occupé »
Et sans attendre son reste, elle reparti comme elle était venu. Laissant son époux dans une rage folle, elle avait embrassé l’autre quiche, lui il n’avait pas le droit de gouter à ses lèvres, qu’il l’attirait tellement et elle, elle avait embrassé un autre homme. Ah non, elle n’allait pas se barrer comme ça, il la poursuivit dans le couloir en hurlant.
« NON MAIS EN PLUS VOUS ALLEZ PAS VOUS BARRER, REVENEZ IMEDIATEMENT…..GUENIEVRE JE PLAISANTE PAS …GUENIEVRE »
« Vous avez comprit de quoi elle parlait vous, avec la cuisine et tout »
« Laissez tomber, mon ami, laissez tomber »
Elle s’était mise à courir en riant, semant son époux qui se demandait depuis quand sa femme était-elle devenue aussi rapide. Elle était devenue folle, il n’y avait pas d’autre explication, elle avait embrassé Karadoc. Non mais il ne pouvait pas le croire, c’était quoi cette audace, depuis quand elle était aussi audacieuse et pourquoi elle ne l’avait jamais essayé de l’embrasser lui d’abord. Ah oui il ne voulait pas qu’elle l’approche, et pourtant si elle avait osé lui faire ça, comment aurait il réagit, non non il dérapait total.
*******
Guenièvre avait semé facilement son mari, au détour d’un couloir, elle connaissait tellement ce château à force d’y errer si souvent. Parce qu’il fallait être honnête ses journées n’était pas vraiment rempli, de la broderie, des discussions avec sa mère, et de temps en temps elle pouvait donner son avis sur les jardins. Enfin donner son avis était un bien grand mot, d’ailleurs en parlant de jardin, une idée lui traversa l’esprit. Riant de son idée, elle opéra un demi-tour direction les jardins et au pas de course.
Elle avait trouvé deux jardiniers, et leurs demanda d’arracher tout le jasmin d’hiver jaune.
« Ma Reine, c’est le Roi qui avait donné l’ordre de planter ce jasmin »
« Oh oui je sais pour les amours inavoués, enfin il ne l’est pas resté longtemps inavoué son amour !! »
Les deux hommes ne comprenaient rien à ce que la Reine pouvait raconter, ils se cantonnaient de secouer la tête devant le débit de parole de leur souveraine. Elle avait l’air bien agitée aujourd’hui, elle remuait les bras dans tous les sens et parlait de plus en plus vite et de plus en plus fort.
« Alors il pense certainement que je sais pas ouvrir un bouquin, mais bon quand j’ai appris que c’était lui qui avait demandé que l’on plante ses fleurs, ben moi je me suis dit c’est pas normal d’habitude il s’en fout du jardin ..hein vous comprenez…en plus moi je voulais des fleurs rouge..au début j’ai pensé Ah ben oui c’est comme d’habitude il veut me faire …enfin vous voyez quoi ….d’ailleurs j’aurais du me méfier mais bon comme je suis la Reine des GOURDASSES ..ben j’ai pas compris …donc j’ai découvert le jasmin d’hiver, alors oui ce machin-là, c’est pour les amours inavoués …non mais arrêtez de secouer la tête bêtement. »
« Oui ..oui Ma reine »
Elle souffla, essayant de ralentir sa respiration, elle était beaucoup trop énervée, elle ne maitrisait plus vraiment. Après quelques secondes, elle reprit plus calmement.
« On vas faire simple, vous m’arrachez tout ce truc jaune, ordre de la REINE, et vous me le faite livrer enfin déverser complètement dans la chambre du seigneur Karadoc, c’est bon, c’est clair !»
« Oui, oui ma Reine » dirent les deux hommes à l’unisson.
« Bon parfait »
Elle repartit vers le château, en croisant un garde, elle lui expliqua la mission des jardinniers et lui demanda de bien veiller à que tout soit fait selon ses ordres.
« D’ailleurs je vais vous donner un mot à déposer avec, c’est important de laisser un mot quand on offre des fleurs à une femme »
*******
Arthur avait l’impression d’avoir fait tout le tour du château et pourtant il ne trouvait pas sa femme, ce n’était pas vrai, il n’avait pas le temps de jouer à cache-cache avec elle.
« Sire »
Ah non il n’avait pas le temps pour ça non plus ! D’ailleurs pourquoi Merlin faisait cette tête, oh cela sentait les conneries.
« Qu’est ce que vous avez encore fait !»
« Tout de suite ! »
« Pourquoi vous avez pas fait une connerie peut être »
« Heu enfin ça dépend !  Vous avez vu la Reine aujourd’hui »
« Je la cherche justement..attendez mais oui c’était pas normal son attitude, qu’est ce que vous lui avez fait espèce de pignouf »
« Son attitude, elle a quoi d’inhabituel l’attitude de la Reine » demanda l’enchanteur tout penaud
« Disons qu’elle est ..enfin elle est plus ..Non mais sérieusement qu’est-ce que vous avez foutu..encore »
Merlin entreprit d’expliquer la visite de la Reine dans son laboratoire, son mal de tête, la dispute avec Elias et la malencontreuse erreur de potion. Plus l’enchanteur se perdait dans les détails, plus la patience du Roi était mise à rude épreuve.
« Et du coup cette potion foireuse elle doit faire quoi exactement »
« Celle d’Elias devait rendre les personnes moins coincées, plus désinhiber un truc dans le genre »
« Ah la vache! Il marche le machin! Pour être désinhibé, il y a pas de problème et pourquoi la vôtre elle est foirée »
« D’après l’autre j’ai forcé sur les ingrédients mais bon j’avais raison elle fonctionne du coup »
« Combien temps ça fait effet ? »
« Aucune idée, quelques heures, un jour ou peut être plus mais c’est pas irréversible »
Après avoir laissé son mot au garde, la Reine voulut se rendre dans la salle des archives, elle mourrait d’envie d’emprunter tous les livres qu’elle voulait et cette fois l’autre cureton n’allait certainement pas lui interdire l’accès. C’était complétement fou, que tout le monde se ligue contre elle, après tout pourquoi ne pourrait-elle pas se cultiver un tant soit peu , personne ne la respectait dans ce château, elle était juste de la décoration et encore au vu de ce que pensait son mari, elle était plutôt de la décoration moche.
« Ah il manquerait plus que cela !»
*******
La porte était fermée à clef, elle jouait de malchance. Elle se rappela qu’il y avait une réunion de la table ronde, voilà ou devait se trouvait l’autre grand machin, tant pis elle allait déranger tout le monde.
Elle rentra sans frapper, tous les chevaliers se tournèrent vers la porte, persuadé que c’était enfin le Roi qui daignait les rejoindre. Quelle fut leur surprise quand ils virent la Reine s’avancer dans la salle et s’assoir directement dans un siège.
« Ben alors Messieurs, c’est quoi ces têtes, de quoi vous discutiez » dit elle avec un sourire à éclairer toute la bretagne.
« Vous pouvez m’expliquer clairement ce que vous faite là, c’est pas un salon de thé ici et puis c’est quoi cette tenue, vous avez croisé votre mère aujourd’hui »
« Oh père je sais bien que c’est pas un salon de thé et puis d’abord c’est pas vous que je suis venue voir »
Elle se tourna vers le père Blaise
« Vous avez fermé la salle des archives, j’ai besoin d’emprunter des livres »
« Afin pourquoi vous voulez emprunter des livres ? »
« Bah pour lire »
« Sinon vous avez qu’à m’ignorez tant que vous y êtes, votre robe là, votre mère la vue »
« Ben quoi ma robe, elle est jolie ma robe, qu’est ce vous en pensez seigneur de Rinel »
« Vous êtes magnifique ma Reine »
« Merci, ben vous voyez »
« Non mais ça compte pas »
« Pourquoi ça compte pas »
« C’est un con »
« Et alors je pensais que finalement c’était une compétence demandée pour être chevalier à la table ronde, d’être con »
« Alors je vous rejoins on a quand même une belle bande d’abruti mais de là à dire que c’est une prérogative pour le recrutement »
« Il y a quoi se poser des questions non ? »
Léodagan sourit à sa fille, depuis quand sa gamine se permettait d’être insolente, cela lui plaisait bien du coup.
« Et sinon vous savez où il est votre pignouf de mari ? »
« Houla , je suis incontestablement la moins bien placé pour y répondre, certainement avec une de ses maitresses ou avec la femme de l’un d’entre vous »
De plus en plus amusé par l’attitude de sa fille, le Roi de Carmèlide continua
« Sinon votre mère vous l’avez croisé ? »
« Oui d’ailleurs si vous la cherchez elle doit être en Carmèlide »
« Hein »
« Bah oui pour voir si j’y suis voyons « 
Léodagan éclata de rire, les autres chevaliers regardaient perplexe cet échange.
« Et du coup vous parliez de quoi avant que j’arrive »
« Ma reine, nous échangions sur la quête du Graal en attendant que le Roi arrive » répondit poliment le seigneur Bohort
« Ah mais oui d’ailleurs vous ne l’avez toujours pas trouvé ce bidule »
« Ma Reine la quête est des plus complexe, nous cherchons encore à savoir si le Graal est une coupe ou un récipient »
« Non vous êtes sérieux, parque une coupe ce n’est pas un récipient peut être !  Bon ben moi je vous laisse à mon avis le Graal il pourrait être dans les cuisines que personne ne le trouverait »
« Ah ben s’il était dans les cuisines je l’aurais trouvé » répliqua le seigneur Karadoc
La reine se dirigea vers le père Blaise et tendit sa main ouverte vers lui.
« La clef s’il vous plait »
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Cette journée à Ben Tre fut excellente ! On commence par un petit tour en canot (ou "kanauy" selon l'orthographe dictée par Clémentine) au milieu des palmes géantes, c'était très reposant (enfin pour nous, pas pour celui qui ramait).
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Le pauvre monsieur a pas mal galéré au début, le canal était étroit (et on repoussait les plantes qui tapaient le bateau peut être un peu trop fort, il y a moyen qu'on ait complètement déséquilibré ce pauvre homme au lieu de l'aider...) mais c'était bien plus simple ensuite, malgré les deux parasites dans sa barque :)
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On a trouvé de nombreux fruits pendant la balade, on aurait dit des fleurs en bois, c'était très joli ! Les différentes parties se séparent, on a vu pas mal de graines germées flotter dans l'eau, ça a l'air de se disséminer comme les noix de coco.
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On est ensuite parties sur notre scooter de location brinquebalant pour essayer de trouver la fabrique de "papier de riz" que la responsable de notre auberge nous avait indiquée sur la carte. Après être rentrées comme des fleurs dans une usine ouverte aux quatre vents qui faisait en fait (a priori, on n'a rien compris à ce que nous disait l'ouvrier) un genre de fertilisant à base de noix de coco, nous nous sommes finalement décidées à demander à toute personne pointant son nez dans la rue s'ils connaissaient ladite fabrique. Après quelques jeux de marionnettes avec les main (qui veulent dire "pas ici", c'est aussi utilisé pour dire qu'on ne peut pas manger là, ou qu'ils n'ont pas un objet qu'on cherche à acheter par exemple), une vendeuse adorable nous dit qu'elle va nous montrer le chemin (le tout à grand renfort de Google trad, que c'est beau la technologie) ! Et elle nous emmène à quelques centaines de mètres de là, en face d'une MAISON (avec une grille et tout, une maison quoi), hurle par le portail un équivalent de ce qu'on suppose être "VOUS AVEZ DES TOURIIIIIIISTES", nous fait un grand sourire, et repart. Après un bref instant de solitude, un homme arrive, ouvre le portail, et on le suit en se demandant si on va ressortir de cette histoire avec tous nos organes. On est très vite rassurées : une bande de femmes gloussantes nous accueille, nous fourre une espèce de feuille ronde un peu épaisse dans les mains, et nous regarde.
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Après un nouveau bref instant de solitude et d'incertitude, on commence par déchirer un bout de papier (tout va bien, elles ne nous regardent pas comme si on était folles), l'approcher de notre bouche (ça a l'air d'aller), on l'enfourne .... Et c'est en fait super bon ! Ce n'est pas du papier, mais plutôt un genre de galette très fine à base de manioc (oui, pas de papier ou de riz dans l'histoire finalement, allez savoir comment la dame à compris où on voulait aller ...), De durian, de canne à sucre et de lait de coco. C'est très sucré mais super bien ! On a le droit d'assister au processus de fabrication : ils étalent la pâte sur des rabanes, la passent dans une machine qui découpe de jolis ronds, enlèvent la partie inutile, et font sécher au soleil.
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Ensuite, ils n'ont plus qu'à décoller la galette de la rabane et à l'emballer, facile !
Après les avoir remerciés chaleureusement, on part cette fois-ci en direction de deux petites îles sur un des bras du Mékong (on est dans son delta). C'est très joli, mais pas moyen d'y trouver un endroit pour manger, on repart donc vite (vous aurez dans un deuxième poste une petite vidéo du chemin, on ne peut pas en mettre deux dans le même post).
Une fois de retour sur le continent, nous nous sustentons, puis partons trouver une "usine" de fabrication de bonbons à la noix de coco. Ils extraient en fait la crème de coco en l'écrasant (le jus gras sort de la chair) : sur la photo, la crème dans le seau à droite, la pulpe sèche dans le bol.
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puis font réchauffer ça à la marmite pour lancer le processus de caramélisation (bonjour Maillard !), le four étant bien sûr alimenté avec la fibre de coco.
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Ca donne un genre de caramel goût avec un arrière goût de coco, une tuerie. Ils vendaient aussi de l'alcool qui m'a un peu trop rappelé les bronzés font du ski.
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Note : on tombe en face sur une fabrique de chocolat, Clémentine craque donc totalement pour une plaquette ... Qui sera dévorée dans la soirée (Mais oui mais ça fond sinon, c'est pas pratique !), lui tartinant joyeusement la figure au passage.
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On est aussi passées dans une maison où ils tressaient les matelas, mais on est arrivées en fin de journée, ils n'ont pas continué au delà de la trame. Tant pis !
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Bref, une nouvelle excellente journée 🥰
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swaponloupet · 4 days
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Des gars et des toits - 6
Les gars
Stivenne : une chance qu'il n'y a plus de tours vu que j'aurais pas le temps de toutes les entretenir. Ni vous non plus. Douze, c'est en masse, ça nous tient occupés toute la gagne de gars de nos amis et, quand même, c'est pas des travaux forcés, on y va à notre vitesse et avec nos possibilités.
Heurbi : téka, merci de m'avoir fait une place parmi vous. Je me sens en meilleure santé que quand je restais tout le temps à l'intérieur à enrager dans le beurre.
Pawolo : je te cré pas presquement que tu enrageais, crime, tu es toujours souriant même quand il tonne, qu'il grêle, k'y fait froid… et meme quand tu flyes à terre, tu ris.
Heurbi : tu as raison… c'est vrai que même quand je me sens pas bien, chu en vie… pis surtout, chu avec vous.
Quelques jours plus tard…
Piterre : si tu veux, dans la coloc où on est avec Pawolo, il reste une chambre, juste à côté de la nôtre, ainsi, tu serais encore plus avec nous…. ça te tente tu ça ?
Heurbi : Pawolo le sait que tu m'offres ça ?
Piterre : ben oui, c'est même lui qui m'y a fait penser. Il semble un peu bourru, Pawolo, mais il a un coeur d'or. Faut juste apprendre à l'écouter même quand il dit rien. Il est fin pas d'allure, Pawolo.
Heurbi : tu m'aides tu à déménager chez vous ?
Piterre : ben oui. C'est pas trop forçant notre manière de vivre à toute la gagne. On a rien à nous à part notre linge. Ça se déménage bien ça mon cher. Reste assis, je vais les remplir les sacs… le seul travail je te demande, c'est de me faire la jasette.
Heurbi : une chance qu'on était amis toi et moi… j'aurais fait quoi sans Piterre qui m'aide tous les jours de la vie ? Déjà à l'école, tu me soutenais même dans les présentations pour nous dégêner devant toute la classe. Tu étais là pas loin, toujours. Toujours.
Piterre : t'es comme ma famille, Heurbi. Avec Pawolo… et Stivenne asteur. Pis on s'entraide tous. Tu as vu. Toi t'es bien meilleur en calcul que nous tous… tu t'occupes de la comptabilité de Stivenne. Et son affaire, ça roule en crime ! Moi, le calcul, je vaux rien. Mais j'ai des bons bras et je peux aider qui a besoin de moi. Pawolo, lui, un peu comme toi pour ça, il est heureux quand on est ensemble, les gars, alors il va travailler si on travaille, nettoyer quand y faut, il aide les gens de notre coin entre les tours, ceux qui ont besoin qu'on leur fasse leurs commissions parce qu'ils peuvent pas ou sont pris avec des bébés ou des personnes âgées… Il aide souvent pour peinturer des balcons… Y est bon là-dedans.
Heurbi : je pensais que vous viviez ensemble tout le temps.
Piterre : la majeure partie oui, mettons, quand on est pas occupé par autre chose. Et pis y a les soirées et de grosses portions de nuit et là c'est vrai qu'on est ensemble. Des fois il va patenter de quoi sur une autre tour que où je suis moi. C'est juste bon, ça nous fait des sujets de conversation. Sinon, on passerait notre temps à se dire des affaires comme «ah ben rgordonc, la nuit est bien claire» ou «on a pelleté en grande talleure…» pis l'autre répondrait «wan pis la douche ça urge, on sent le diable, mon chum». Ça deviendrait redondon.
Heurbi rit : t'es comique.
Et les effets de Heurbi sont déjà tous empaquetés et Piterre aide Heurbi à entrer dans l'ascenseur et ils arrivent bientôt dans le bâtiment court sur patte mais tout en longueur qui abrite leur coloc. Y en a quelques uns comme ça où les gars ont leur chez-eux. Souvent, il s'y fait des repas en commun cuisinés par l'un d'entre eux et un ou deux autres s'occupent de l'approvisionnement. Tout le monde fournit sa part et tout le monde est content.
Heurbi : je vais être un encombrement pour vous.
Pawolo : eille la machine à calcul, t'es notre ami et ça se peut pas un ami encombrant. Enlève-toi ça du cerveau.
Heurbi rit : crime me vlà une machine à calcul.
N'empêche, qui est-ce qui va s'occuper qu'il ne manque jamais rien dans le chapeau des contributions et qui va aller chercher ce qui manque chez qui a oublié que l'on ne vit pas de l'air du temps ? Et il va devenir indispensable, très vite.
Piterre : encombrant, t'es sûr ?
Heurbi : vous aviez raison. Je vais cesser de me rabaisser tout le temps, j'cré ben.
Suite, demain
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grompf3 · 5 months
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Une communication de chiottes peut (hélas) être efficace
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Je pars d'un exemple précis pour vous rendre attentif à un truc.
Un mécanisme FONDAMENTAL quand on cause de désinformation.
Là, c'est une histoire de tracts de merde déposés dans des chiottes. Je vous les montrerai un peu plus bas, pour que vous jugiez sur pièce. Mais en gros c'est de la merde. Et, en plus, magnifique symbole, ça a été déposé (anonymement) dans des chiottes.
On a envie de se marrer, hein ?
Vous avez peut-être vu passer qqch sur les RS, j'y reviens. Mais ce n'est pas tant l'affaire en elle-même qui devrait vous intéresser, mais bien un mécanisme vicelard (et donc dangereux).
Trop souvent je vois des gens qui racontent vraiment de la merde et d'autre gens qui ricanent en mode "LOL, il (ou elle) se ridiculise" ou "Pfff ! C'est n'importe quoi !".
Or, des gens arrivent parfois à leurs fins en racontant de la merde.
Venons en à notre exemple. On parle des REC, les Rencontres de l'Esprit Critique.
Je n'y étais pas. Je ne vais donc pas vous dire si c'était bien ou pas.
Mais j'ai vu passer un tas de commentaires très enthousiastes de la part de participants. Je vous en mets 2-3 exemplaires ici.
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Je pourrais continuer. Plein de témoignages comme ça.
J'insiste. Je me répète. Plein de gens, qui sont allés aux REC, qui ont parlé du contenu, parlé des rencontres qu'ils y ont fait, etc.
Il y a aussi eu quelques échos dans les médias.
Je n'y étais pas. Peut-être que vous, là, qui me lisez, vous y étiez. Peut-être que vous avez trouvé ça super. Ou peut-être que vous avez de très bons arguments pour dire que non, ce n'était pas si bien, pas si intéressant. Voire que c'était nul. Je ne sais pas.
Donc, plein de gens s'y sont exprimés à ces REC, des journalistes, des chercheurs, des vulgarisateurs, des YouTubers, etc, dans le cadre de conférences, de tables rondes, plus les rencontres informelles.
Et plein de gens en ont parlé sur les RS, comme dans les tweets ci-dessus.
Et il y a une histoire de tracts dans les chiottes, donc.
C'est grotesque. C'est nul. Et on a envie de se marrer : une comm' de merde diffusée dans les chiottes.
Ils sont là les tacts, vous pouvez les lire :
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De la merde donc. Je ne vais même pas me faire chier à creuser ce gros amalgame de pédanterie, d'accusations gratuites et d'hommes de paille.
D'autant mois qu'on y repère, entre autres, un petit truc vicelard consistant à critiquer un discours que l'on de désigne pas vraiment. Qui a dit telle chose ? Et où ? Et quand ?
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Qui, par exemple, a prétendu ne pas avoir de croyances ? Concrètement, ça veut dire quoi ici "refuser tout positionnement politique" ? Etc.
Bref, ne nous y attardons pas, c'est de la merde. Regardons le mécanisme vicelard.
Parce que, pendant que vous vous êtes là à ricaner sur ces tracts de merde déposés dans des chiottes, voici comment parle du REC un YouTuber très connu, conférencier, auteur de livres, etc, sur son compte Twitter à 232'000 abonnés :
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Ben oui. Le coup des tracs dans les chiottes a suscité 2-3 commentaires. Du coup, certaines personnes ont suspecté un groupe qui avait critiqué le REC l'année passé, groupe qui semble totalement hors de cause. Et l'organisateur s'est senti obligé de communiquer sur le sujet pour dire que, non, le groupe suspecté n'est de toute évidence pour rien dans cette histoire de tracts de merde.
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Donc, du coup, le compte à 232'000 abonnés, résume le REC à des histoires de luttes de pouvoir, de dramas, etc. Pas un mot sur les témoignages des participants, ni sur le contenu.
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Les organisateurs et les participants se retrouvent donc avec une sale étiquette collée sur la tronche... par le simple fait que certaines personnes ont décidé de les salir.
Le fond des attaques (relisez les tracts) c'est de la merde. C'est nul. Et on a envie d'en rire d'autant plus que la manière (des tracts anonyme déposés dans les chiottes, encore une fois, c'est juste extraordinaire comme symbole) colle parfaitement au contenu.
Mais cette comme de merde a été efficace.
On pourrait reprocher à l'organisateur d'avoir tweeté sur le sujet. Mais que pouvait-il faire, dans la mesure où l'anonymat des tracts a généré des discussions qui jetaient la suspicion sur des personnes innocentes ?
Et soyez bien attentif au mécanisme ici. On ne discute pas sur les accusations, sur le contenu des tracts. Mais c'est pas grave. Le but n'était pas d'amener des arguments solides.
Le but était de foutre la merde.
Et le but a été atteint.
La comm' a été efficace.
Pour une des plus grosses chaînes francophone de vulgarisation sur YouTube, le REC, c'est juste des drama, des "influencers" qui traînent des shitstorm, etc. RIEN à dire sur les participants. RIEN à dire sur les rencontres, les conférences, les tables rondes. AUCUNE attention portée aux témoignages des gens qui y étaient.
Je vous avais parlé d'un mécanisme FONDAMENTAL quand on cause de désinformation.
Quand on cause de désinformation, quelle que soit la forme, le but n'est généralement pas d'être cru. Le but c'est de semer la confusion, de décourager les gens de chercher à distinguer le vrai du faux, de pourrir le débat, de faire douter de tout, y compris, et surtout, des faits vérifiables, de salir.
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Vous remarquerez aussi le mécanisme de "la jupe trop courte". Les organisateurs du REC sont salis par une campagne qui semble grotesque, risible... Mais au final, ce sont eux qui sont ciblés par les reproches. Ils ont dû faire quelque chose de mal dans leur comm'. Forcément. S'il y a ces polémiques, c'est qu'ils ont forcément dû faire faux. Des tracts dégueulasses, dont la dégueulasserie est en partie masquée par une forme particulièrement pédante et l'invocation de grandes et nobles causes, déposés dans des chiottes. Et ce sont les personne visées qui, au final, devraient rendre des comptes, seraient coupables de quelque chose. Si on dit du mal de vous, c'est forcément que vous avez quelque chose à vous reprocher.
Ils devraient se remettre en cause, merde !
Ça marche.
C'est efficace.
Les organisateurs et les participants des REC sont coupables de la merde qu'on leur jette dessus.
Alors je critique un peu ce YouTuber, dont j'adore pourtant la chaîne. Je vous propose un exercice de pensée. Imaginez que ce YouTuber se retrouve visé par des accusations aussi gratuites que dégueulasses (niveau tracts de merde déposés dans les chiottes).
Et imaginez que des personnes ou des organisations ayant beaucoup plus d'audience que lui, décident de s'en faire l'écho : "Un YouTuber dans la tourmente", "Polémique autour d'une chaîne YouTube", etc.
Par exemple des grands médias, des personnalités très connues.
Parce que oui, Bruce Benamran, avec son compte Twitter à 232'000 abonnés et sa chaîne 2-penser à 1'114'000 abonnés, a beaucoup plus d'audience que les REC et que n'importe lequel ou laquelle des personnes y ayant participé.
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Et imaginez que le résultat soit que des tas de gens en parlent, de cette "tourmente", de cette "polémique".
Imaginez que LA MAJORITÉ des gens qui se retrouvent à parler de notre YouTuber n'aient JAMAIS regardé une seule de cette vidéo, ni lu aucun de ses écrits, ni vu aucune de ses conférences. Imaginez que la majorité des gens qui parlent de lui, ne se réfèrent que "au gars qui serait impliqué dans un scandale, on sait pas trop, lui dit que c'est pas vrai, mais bon, moi je sais pas, mais bon, il a sûrement dû faire quelque chose pour se retrouver là-dedans". RIEN sur tout son taff' accompli depuis des années.
Vous imaginez ?
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Donc, oui, il y a une petite critique de ma part à l'égard d'un vulgarisateur dont j'apprécie beaucoup la chaîne. C'est qu'il a utilisé son compte Twitter à 232'000 abonnés pour favoriser ce qu'il dénonce au final. Il fait de la pub à un drama, il ne parle que d'un drama... pour dénoncer qu'on ne parle que des dramas !
La communication de chiottes, sous forme de tracts de merde, a été efficace, je me répète.
Depuis que je m'intéresse à la désinformation, je revois souvent ça. On voit des trucs grotesques, nuls. On rigole. Mais on a tort. Parce que ça marche.
Les gros délires antivax c'est ouvertement débile. Et quand ça tient la route en apparence, il suffit de gratter un peu pour repérer les embrouilles. Mais il n'empêche que ces gros délires ont convaincu des gens d'aller harceler, menacer, voire agresser des journalistes, des médecins, des chercheurs (...à qui on reprochait parfois de ne pas savoir communiquer assez bien, comme s'ils étaient responsables de la haine qui les visaient). Et au delà des comportements extrêmes, on a des gens très ordinaires qui ont douté. Douté suffisamment pour qu'une femme enceinte ait peur de se faire vacciner, par exemple. Parce que "on n'est pas sûr", "on entend des trucs", "il y a peut-être quelque chose", etc.
Les arguments climato-sceptiques tiennent-ils la route ? Non. Des hoax. Des pétitions en ligne à signer par n'importe qui. Des sophismes. Mais peu importe. Au final, des tas de gens retiennent que "il y a des controverses", "il y a des débats", "on ne sait pas", "les scientifiques ne sont pas d'accord entre eux".
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Je lisais que la comm' outrancière d'un Donald Trump, et les campagnes de hoax et de calomnies de ses partisans ne visaient pas forcément à convaincre les gens de voter pour lui. Il s'agissait surtout de convaincre celles et ceux qui ne voteraient jamais pour lui de ne pas se rendre aux urnes.
Etc
Je répète ici ce que j'ai dis plus haut. Quand on cause de désinformation, quelle que soit la forme, le but n'est généralement pas d'être cru. Le but c'est de semer la confusion, de décourager les gens de chercher à distinguer le vrai du faux, de pourrir le débat, de faire douter de tout, y compris, et surtout, des faits vérifiables, de salir.
Et amener les gens à une posture du type "je sais pas et je veux pas savoir" peut être une grande victoire.
Je conclus avec quelques bons conseils de Tonton Grompf
Ne vous moquez pas des arguments pourris, des méthodes de comm' grotesques. Souvent, ça marche.
Ne vous sentez pas obligés de vous exprimer sur chaque sujet d'actu, sur chaque polémique, sur chaque buzz.
Si vous vous exprimez publiquement sur un sujet, donnez vous la peine de vous informer et soyez disposés à, éventuellement, rectifier, nuancer, voire changer complètement de propos.
Méfiez-vous comme de la peste des personnes qui vous enjoignent à vous positionner sur tous les sujets (surtout si en parallèle elles vous enjoignent à ne pas vous informer sur le sujet en question, exigeant de vous que vous croyiez sur parole).
Méta-communiquez. Communiquez sur la communication. Démontez les mécanismes. Débunker et dénoncer les mensonges, le bullshit, la calomnie, le harcèlement et toutes les formes de manipulation, c'est bien. Mais mettre en évidence les stratégies utilisées et les conséquences, c'est encore plus important.
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PS :
Vous remarquerez que je ne me suis pas prononcé sur l'origine des tracts. Des commentaires circulent. Certains évoquent une curieuse concomitance entre ces tracts et le contenu d'une vidéo diffusée par une personnalité publique. Je ne vais pas me prononcer et c'est pas le but ici.
Sincèrement je ne sais pas. Je n'ai même pas vu le contenu de la fameuse vidéo dont on cause.
Mon but est de vous rendre attentifs à certains mécanismes vicelards que vous retrouverez dans plein de circonstances.
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castiel-jane-as · 8 months
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Chapitre 2: L'intégration
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J'ai raccompagné Castiel jusqu'à la porte et on s'est dit au revoir. Ouf, quelle journée , vraiment. J'engloutis des pâtes en vitesse avant d'aller me coucher. Vraiment, c'étais une grosse journée. Démone est montée sur le lit pour dormir en boule à côté de moi. Je me suis endormi en passant  à la journée d'aujourd'hui. 
PDV Jane
DRING! DRING!
Jane:ta g*ule *appuie sur snooze*
DRING! DRING!
Jane: Ah , c'est pas vrai *appuie encore*
DRING! DRING!DRING! DRING!
Jane:grrrr*le débranche*
DRING! DRING!DRING! DRING!DRING! DRING!
Jane: Quoi? C'est quoi ça? Je l'ai débranché. Alors, si c'est à ça que tu veux jouer.... PDV Castiel J'étais arrivé devant la maison d'la gamine. Ça faisait une éternité que je sonnais sans réponse. Si ça se trouve, elle doit déjà être partie. Et là, je vis un réveil tombé de la fenêtre et attertir à côté de moi. Nan.... mais elle est folle. Je continuai à sonner. PDV Jane Jane: Ca t'apprendras à vouloir jouer à ca avec moi
DRING!
Jane: o.o , c'étais pas le reveil c'était la porte. rooohhh, fais ch*er! Qu'est-ce que vous voulez? Il faut jamais me demander de réfléchir le matin. Je dégringolai les escaliers pour aller ouvrir la porte. Quel crétin peut sonner à une heure pareil?
Jane:*ouvre la porte et surprise* Castiel?! Cast: le seul et unique Jane: Qu'est-ce que tu fous ici? Cast: ben...j'apporte les trucs pour ta chienne Jane: ah, c'est vrai...t'aurais pu passer plus tard, non? Cast: nope...et vu comment tu m'accueilles, j'ai bien fait de passer *sourire pervers* Jane:hein?
J'ai mis un peu de temps pour comprendre ce qu'il voulais dire pas la. Et puis...merde... J'étais habillé en soutien gorge et avec un TRÈS mini short. Faut dire qu'il faisait chaud cette nuit, alors. Je rougis instantanément.
Cast: Quel accueil parfait pour un dieu comme moi Jane: tais-toi. Bon entre, je reviens.
Je courus au premier pour me préparer. Aujourd'hui, je mis un un chandail à spaghetti noir et mauve avec une jupe carreautée noire. Je portai des talons et était maquillé légèrement.
Jane: chuis prête Castiel:ben..on y va J'ai fermé la porte et commencé à marcher quand Castiel m'interpella.
Jane: quoi? Castiel: euh...j'suis pas à pied Je me suis retournée pour lui faire face. Jane: T'es en quoi, en bicyclette,je présume? Cast: non...en moto. J'admirais la moto que Castiel me pointai. Elle était rouge et noir. Wow!
Cast: tiens, un casque. Jane: ok...*met le casque* Castiel a embarqué sur sa moto et je me suis assise derrière lui. Nous sommes arrivée au lycée en 5 minutes. Castiel a garé sa moto, puis nous sommes partis en direction de nos amis. Pendant qu'on se dirigeait vers l'arbre pour aller voir nos amis, je sentais le regard noir de certaines filles sur moi. C'est quoi leur problème, j'ai rien fait!
Jane: Salut Rosa: Salut, vous deux. Depuis quand vous arriver en même temps? Cast: Depuis que je suis allé là chercher ce matin Jane: Bon il faut qu'on aille en classe, là On avait français avec Mme Fourleau. Elle me faisait bien rire, elle étais tellement désordonnée  La fin de l'avant-midi approchai.
Prof: Bon, dans quelques cours vous devez faire un poème et vous allez le réciter devant la classe. ???: Est-ce que le sujet est aux choix? Prof: oui, mais il y a des limite, hein Bon il manquait plus que ça: un poème et un oral. Pfffff! Bon, vu que l'avant-midi est fini, on peut aller diner. Comme d'habitude, Rosa nous parlait de tout et de rien
Rosa: Dites les filles, on pourrait aller magasiner demain Iris: Je peux pas, j'ai du retard à rattraper Mélodie: J'ai de la paperasse à régler avec Nathaniel Violette: je peux pas..désolé Rosa:  oh ok, et toi Jane? Jane: ben...ça me dérange pas, là Rosa: cool, \^.^/, demain à 13h devant la crèmerie Jane: Ok noté Après le diner , on était en math et j'étais assi à côté de Castiel.
Cast: *en assoyant* ça va, gamine Jane: ouais, ca peut aller et toi Cast: correct, pour l'instant La prof de math n'arrêtait pas de me fusiller avec un regard noir. Faut dire, qu'elle a pas oublier pour hier. Elle cherchait un moyen de m'humilier à tout prix
Prof:Mlle Fletcher, redressez-vous sinon vous finirez par vous endormir Avant que je puisse lui en placer une, la directrice a fait irruption dans la classe. Ils sont où mes lunettes  ''anti-rose'' quand on en a besoin.
Dirlo: Bonjour, les élèves. Je viens vous parler d'un événement spécial. On approche à grand pas de la fin du mois. Alors, le comité a décidé d'organiser un bal de la rentrée. Participation obligatoire pour tout le monde sous peine de 10 jours de colle. Un bal? bof...moi et les bals
Dirlo: Vous devez vous trouver un cavalier ou une cavalière. Il y aura aussi l'élection du roi et de la reine du bal. Ah la galère. Faut que je trouve un cavalier. Et qui j'vais inviter j'connais à peu près personne. Ah oui, je peux demander à Natha-machin. Je suis sûre que ça lui dérangerait pas et puis...
Cast:*coupe mes pensées*toi, t'y vas avec qui? Jane: En quoi ça te concerne, piment rouge? Cast: La vache, ta vraiment un sale charactère Jan: Regarde qui parle Cast: pff, donc tu répond? Jane: Oui, j'y vais avec nath, nath, Nathaniel, c'est çà! Cast: ah Jane: En quoi, il y a un probème? Cast: non, rien Je pris mon cell pour regarder l'heure, vu qu'il n'y avait pas d'horloge dans ce local. Bon, un cours et c'est finit. PDV Castiel J'allais lui demander , mais elle y va déjà avec l'autre conn*rd. pfff...qu'est qu'il a de plus que moi? Bon, c'est pas grave, c'est pas les nanas qui manquent *plus tard* PDV Jane Je finnissais avec le cour d'Histoire. Quand la cloche a sonné, Castiel n'était pas là. Peut-être qu'il voulait sécher? PDV Castiel J'étais parti sur le toit, je voulais plus aller en cours. Cette file, elle me perturbe vraiment. Au même moment, j'ai senti quelque chose vibrer dans ma poche.Ttiens, c'est le portable de Jane. Qu'est qui fout là? C'est un messge de sa mère
De:Maman
À: Jane
Salut, ma chérie. Je t'écrivais juste pour te demander, si tu vas bien. De mon côté, ça gallère donc ca se peut que ça prendra plus de 6 mois, ce voyage. Je te laisse.
bisou,bisou
Maman
Hein? Sa mère est en voyage d'affaire. Pendant 6 mois, voilà pourquoi ses parents étaient pas là? Et son père? Bon, faudrait que je lui rende..... Ou...bien...bien j'attend qu'elle se rende compte qu,elle l'a perdu. Bon, je me casse. PDV Jane Les cours étaient finis, j'ai pris mon stock pour mes devoirs et me suis dirigée vers la cour. Castiel est toujours pas là. Il se comporte différemment depuis tout à l'heure. Je vais demander à Lysandre, peut-être qu'il sait quelque chose. Tiens, le voilà.
Jane: Et Lysandre!
Il ne m'a pas attendu, alors je me suis mise à courir vers lui
Jane:Lys! Lys: oui Jane: J'peux te poser une question Lys: oui Jane: c'est à propos de castiel Lys: plait-il? Jane: Euh...voila, est-ce que tu sais pourquoi Cast est parti Lys:il m'a dit qu'il se sentait pas bien jane:ah, est-ce que j'aurais fait quelque chose de mal? Parce qu'il m'évite depuis l'après-midi. Lys: Cela ne me regarde pas, mais peut-etre que tu devrais lui demander en personne. Jane: ouais, j'avoue Bref, ça veut dire que je rentre à pied aujourd'hui. Je suis retournée à la maison. C'étais vendredi enfin! Demain, je vais maganiser avec Rosa. Tiens, le téléphone sonne. (conversation téléphonique) Jane:allô ???: allô, c'est Rosa, pourquoi tu réponds pas? Jane:hein? Rosa: oui, sa fait plus de une heure que jt'appelle sur ton portable Jane:... Rosa: alors Jane:euh..jte rappelle, ok? Rosa: ouais, si tu veux Où est-ce que j'ai foutu ce portable? Après dix minutes de recherche , j'ai abandonné. Peut-être que je devrais l'appeler ainsi je saurai où est-ce qu'il est? Ça sonnait au téléphone, mais nulle part dans la maison, bizarre, et puis quelqu'un décrocha.
???: Allô, je me demandai combien de temps t'allais prendre pour t'en rendre compte. Jane: Castiel? Cast: Ou ton dieu si tu préfère Jane: non je préfère pas et qu'est que tu fous avec mon portable? Cast: euh, tu la laisser traîner et je l'ai ramassé jane: bon, tu comptes me le rendre quand? Cast: Qui a parlé de te le rendre Jane: castiel... Cast:*raccroche* Non mais, quel effronté ce mec. Si c'est comme ça, moi j'vais aller chez lui. Mais, j'connais pas son adresse. Ah, j'vais appeler Lysandre.
Jane: Allô, Lys Lys: oui Jane:tu peux me donner l'adresse de Cast Lysandre: pourquoi? Jane: je voudrais aller récupérer quelque chose  Lys: ok, attend , jte la donne Je notai l'adresse sur un bout de papier. J'enfilai un chandail et attacha un pull à ma taille, il va faire froid ce soir. Pas très féminin, amis au diable la féminité quand il s'agit aller chercher mon cellulaire.
J'arrivai devant chez Castiel en moins de cinq minutes. Qui sait ce qu'il peux faire avec mon portable? Faut dire qu'il habite pas loin. J'ai sonné...
Cast: oh...gamine, t'es là en quel honneur Jane: rends-le-moi Cast: De quoi tu parle Jane: De mon portable Cast: Ça je sais pas, je l'ai pas Je suis rentré en le poussant et me suis dirigée vers sa chambre. Elle était assez classique. Je me suis mis à fouiner dans ses tiroirs
Cast: Oh la, qu'est que tu fais Jane: Je cherche mon cell J'ai vu que j'avais commencé à l'énerver, tant mieux. 
Cast: Cherche ou tu veux tu le trouvera pas
Il avait raison. Pendant que je continuai à le chercher, un sourire moqueur se dessina sur son visage. Rah...il m'énerve!
jane:Il est où Cast:... jane: Bon...qu'est-ce tu veux? Cast: euh...un bisou Jane: Cours toujours Cast: bon , j'en connais une qui va chercher longtemps Jane:*soupir* Cast: alors? Jane: rah...tu m'énerve, ok. il s'approcha de moi tandis que je reculais vers le mur. La je pouvais pas y échapper. Nos lèvres se touchèrent.  les siennes étaient douces et avait un goût légèrement fruité.
Jane: *rougit et regarde, ailleurs* mon portable Cast:* rouge aussi* T-tiens le voilà.
Il sortait mon portable de sa poche. Rah...j'aurais dû m'en douter, quel cruche je suis.
Jane:*invente une excuse* Bon, je dois y aller ma mère doit m'attendre à la maison Castiel: Ca m'étonnerait qu'elle puisse t'attendre Jane:quoi? Castiel: ben... elle en voyage d'affaire, non? jane: oui et comment tu sais sais ca? Castiel: ben... tu as reçu un texto de sa part, et je l'ai lu Quoi? Il a tripoté mon portable! Grrrrr! J'en reviens pas. Gardons son calme.
Jane:Ta quoi? ah, pis laisse faire. ok, j'y vais
Je cherchai mes clés dans mes poches, mais les ne les trouvais pas.
jane: Et merde Castiel: quoi? Jane: j'ai laissé mes clés à la maison. Castiel: et alors Jane: chez moi, la porte se ferme automatiquement, alors... Cast: bon..alors t'as qu'a squoitter chez moi. jane: hein?  Cast: ben...à moins que tu veuilles geler dehors jane: ok..c'est bon Un malaise s'installat. Après deux minutes, Castiel a rompu le silence.
Cast: ta faim jane: euh..oui Cast: pizza Jane: oui! Après une attente interminable, la pizza arriva. On a mangé.
Jane: on regarde un film Castiel: ouais, mais je choisi Jane:pourquoi? Castiel: parce que de un :tu skoite chez moi et de deux: j'ai pas envie de me taper un film genre Twilight. jane:....ok*boude* Castiel: J'ai Scream 4 à moins que ta peur des films d'horreur jane:pfff...moi non!(OUI!!!) Castiel: Si tu le dis Castiel a mis le DVD. On a écouté le film. Sans m'en rendre compte je me suis réfugiée dans son chandail, pendant les scènes de peur. À la finf du film Castiel semblait tout rouge
Jane: Ça va Cast: oui Puis, je remarqua que j'étais toujours collée contre lui et agripper à ses bras. Je le lâcha et me sentis un peu gêné.
Jane.oh là là Cast: quoi? Jane: c'est vraiment j'ai pas mon pyjama Castiel: ben...c'est pas grave, tu peux toujours dormir en soutif *sourire pervers* jane: ah,non! Castiel: Je te niaise *part et reviens* tiens un t-shirt Jane:merci Castiel: J'ai pas de pantalon à ta taille donc... Jane: Ça va. Ta une couverture et un oreiller supplémentaire Castiel: Pourquoi? Jane: ben...je dors sur le canapé Cast: Non , tu peux dormir avec moi jane: non, ca va Je m'installa sur le canapé. Castiel, dans la chambre. Pourtant, je n'arrivais pas à dormir à cause du film d'horreur. Je me suis dirigé vers la chambre
Jane: Cast, je te dérange? Castiel:beh...oui je dormai, qu'est-ce que tu veux? Jane: Ton film, il m'a traumatisé, je peux dormir avec toi? Cast: Tu deviens raisonnable Jane:... Castiel: Viens, t'inquiète, je te ferais rien...du moins pas tant que tu sera pas endormi *souris pervers* de Castiel
Jane: Crétin
Je me suis allongé dans son lit. J'étais encore perturbé donc je bougeait beaucoup. Castiel, m'a alors pris dans ses bras pour que j'arrête de bouger. Quelque minutes plus tard, j'étais endormis dans ses bras. ------------------------------------------------------------------------------ J'espère que ça vous a plus. J'veux vos commentaires!
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andaloulover · 1 year
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6 _ Drame et premiers doutes
Je suis donc sur le point d'envoyer ma première image IA en commentaire sur FB. Hé ben non, raté, j'explique. Figurez vous que ce crétin de pseudo-journaliste responsable du groupe facebook 'TV art culture' (ou alors c'est encore un intérimaire mal payé qui a écrit avec les pieds) a crée une publication dans laquelle on ne peut pas joindre d'image, seulement un commentaire brut ! Comme j'aime recouper les possibilités de façon scientifique, un peu comme pour chercher l'origine d'une panne, je change de navigateur, puis d'appareil, en passant du tel au pc. Rien a faire. Le problème ne vient pas de moi, mais bien de la publication. Entre temps, des commentaires ont fleuri, étonnés, amusés, sarcastiques, indignés, du simple « ça ne fonctionne pas, peux pas mettre l'image » à « vous êtes vraiment des ânes, vous demandez une image et vous créez une publication pourrie ou on ne peut pas la coller, on fait quoi de notre image maintenant, faut changer de métier !!! » c'est Facebook quoi, on est habitué. Je ne me suis bien sûr pas gêné pour ajouter mon commentaire, un peu entre ces deux eaux. Mais bon, il me semble qu'ils n'ont pas corrigé le tir et récolté un tollé de remarques (c'est que j'avais cherché une nouvelle publication, rien n'est venu. C'est que je voulais la coller, moi, ma première image de peinture de tour Eiffel!), mais je ne peux pas leur enlever le mérite d'avoir essayé et d'avoir informé les gens, et pour ma part, je suis vite retourné sur craiyon, qui existe toujours aujourd'hui, changé la phrase de 'prompt', sorti plusieurs autres sortes d'images, avant d'être appelé par d'autres activités et obligations plus pressantes, rappelé par les contraintes et réalités de la vie. Mais pour ma part, le pli était pris, j'étais ferré, mordu, contaminé, et je venais de comprendre que j'avais sous la main, ainsi que le reste du monde, un jouet incroyable qui allait marquer une étape notable dans le traitement de l'image.
Par contre, très vite et avant même que l'excitation de la découverte soit retombée, un souci est venu me titiller le cerveau, une petite sonnette au fond de ma tête, un relent de bonne conscience. Est-ce normal que ce site demande de générer et de publier des images ressemblant aux peintures de Chagall ? N'y a-t-il pas un problème qui se pose en créant des œuvres dans le style de grands peintres ? Ai-je vraiment le droit de produire avec un logiciel du semblant de Picasso, de Gauguin, de Matisse ou de Clint... et surtout de le publier librement partout sur les réseaux ? Bref, vous m'avez compris, sans parler tout de suite de droits d'auteurs, de lois, comment prendre en compte le coté éthique de la chose, même en temps qu'artiste amateur ? Est-ce uniquement un problème de bonne conscience ? Faut-il préciser que l'image présentée à été crée artificiellement par un programme ? J'avais saisi spontanément que ça allait coincer de ce coté-là, Ce problème se posera réellement dans les communautés AI et dans la législation très rapidement, et 8 mois après, même si quelques tentatives de cadrage ont été posées (j'y reviendrais), et on est toujours bien dans le flou a débattre stérilement contre les anti-AI réfractaires, (oui, ils arrivent bientôt) tout comme 2 catcheuses essayant de s'agripper dans une mare de boue. 8 mois après, on entend tout et son contraire, mais quoi qu'il se passe, la machine ne pourra plus être stoppée.
A suivre.... 2ème image
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jade-curtiss · 1 year
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L'affaire c'est que mon fucking shit d'hier était fucking vrai (jusqu'à ce que pète un cable sur une chose complètement en parrallèle mais y'a des genres de choses que j'tolère mal (le pire c'est que j'ai même pas vraiment lu, sauf en extrème diagonale juste pour voir, pis non, ça passait po le cap de ma tolérance. Comme c'était plus un gros reveal sur le pourquoi du comment je parle à personne à moins qu'on me dérange: j'ai pas trop envie de dealer avec les ti counes qui font comme "la personne est fucking folle check ça 😂" surtout si la personne prétend être au desus de ça. Criss moi ça hors de ma calice de face, que ce soit n'importe-qui. À moins que ce soit controlé des deux partis pis encore, juste des snips pertinent avec un contexte, autrement décalisse, comme surtout que le trope du "crazy ex" ou de la relation qui vire mal c'est probablement une des choses les plus misogyne (avant ils appelaient ça l'hystérie, pis je vais toujours appeler ça misogyne peu importe le genre impliqué, car en fait, ces techniques là c'est souvent juste pour réduire les femmes au silence, c'est tellement crasse, comme on s'en criss de tes sentiments blessé, get the big picture, si y fallait que j'fasse ça avec mes ex vous verriez que moi aussi j'ai été profondément blessé par des po fineries pis du cringe, t'es pas fucking spécial, au pire bois ta criss de bière pis farme ta yeule) et capacitiste (pas besoin de faire un dessin, comme juste lire la bio d'Alyss Robi pour un exemple du bagage que ce trope puisse avoir, comme tes sentiments blessé pis ton désir vindictif, c'est surtout de ça qu'on devrait se moquer ouvertement (tk moi j'me gêne pas faut craire) donc oui, mettons que chu genre calissement pu capable du monde qui parle au travers de leur chapeau pour s'avérer dégueulasse comme les autres. Mais bon, yep, j'aurais peut-être pas du, les deux choses, pas par convention sociale, mais oh non...va vraiment que je change de téléphone (pas par paranoia, j'veux dire, j'voulais juste tester le concept de la paranoia pis ouain, finalement, comme c'est rendu que c'est pu trop passif comme truc (faudrais j'montre ce qui arrive en temps réel, mais j'pas certain non plus de catcher c'est quoi ça veux dire, mais comme ça me fait la même notification que si j'envoyais une commande vocale (c'est pour ça que ça me stress pas, c'est pas vraiment comme si y'avaot de quoi de croustillant de ce coté là) pour m'envoyer dans un panel de tag (pis non, c'est pas sur tumblr, toute, mais comme, toute, quand je dis toute, toute me fait ça, même les apps ou ça aucun fucking rapport (la joke c'est surtout les apps de musique qui me le font, pis autant que je trouve ça creepy, c'est surtout crissement irritant)
Pis moi, comme un cave, à jeun cette fois, j'continue de chialer parce-que rendu là j'ai pu trop rien à perdre pis en fait quoi qui arrive je sais pertinament que ma contribution en ligne et surtout sociale (lol) est zéro compromettante sur rien, donc j'me demande juste pourquoi y stalk du monde aussi plate que moi. Non, y'a probablement aucune entité physique qui check mes patentes, ça doit juste tomber dans un algorithme quelconque, comme j'sais même pas si y se passerait réellement de quoi si j'disais de quoi de mal, tout ce que je sais c'est que ça flare up quand j'ai parlé du fait que j'pensais pas survivre le mois, contextuellement c'est vraiment à partir de ce moment précis que c'était pu si passif (et voilà le pourquoi c'est dangereux d'aborder le suicide, pour vrai, chu un habitué des conséquences). C'est juste...vraiment...envahissant.
Ok peut-être juste un seul poste qui semble compromettant, mais, c'pas de ma faute si comme y'a des timings vraiment hasardeux dans vie pis ça comme totalement rien à voir avec moi anyway. C'était juste, ben, y'a des gens qui vivent des mauvaises journées. C'est pas chacun son tour.
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the-best-of-tatu · 1 year
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Chapitre 5  (Suite)
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                               « Les filles, j'ai entendu mes parents dire qu'ils allaient sortir se soir au restaurant puis en boîte quand nous serons couchées ! »
« Moi je sais pas si je dort ici... » dit tristement Yulia.
« T'inquiète Yul, ma mère demande toujours les invitées après le manger de dormir ici, c'est sur se soir tu dort là ! »
« Génial ! Bon alors c'est quoi ton plan ? » chuchota Lena.« Quand ils seront partis, on va invitées des amies, pas de gars que des filles, et ils y aura sûrement toutes les filles qui seront lesbienne, c'est des amies du lycée et des amies à Mina aussi, si vous voulait invitées des potes, mais de préférence pas des gars ils vont être choquées (mdr pove mecs) ! »
« Ben on vous laisse invités nous ont s'occupe de les accueillir ! » assurèrent Yulia et Lena.
« Ok. Alors c'est, dès qu'ils seront plus là, en avant la méga fête du siècle ! »
« Ouais !! » crièrent les trois filles à Ludmilla.
La fête du siècle oui, mais la raclée aussi du siècle si les parents ce la ramène avant que la fête ne soient finie... Un vrai carnage si cela arriverait, enfin bref, dans les histoires tout peut arriver... Pourvu que les amies lesbiennes seront parties avant que les parents ne rentrent, que au moins il n'y en est pas une qui dorme dans la baignoire...
« Les filles à table ! » cria la mère de Lena d'en bas.
Elles s'activèrent à la seconde même où la mère avais signaler l'heure de dîner, elles descendirent les escaliers en file indienne, pour enfin s'installer confortablement à table, Yulia à côté de Mina, Ludmilla à côté de sa sœur, et chacun des deux parents en bout de table, les quatre amoureuses étaient l'une en face de l'autre, se jetant des regards complices, car toutes avaient un plan en tête et était pressées que cette fête commence.
« Alors Yulia, j'espère que tu ne nous en veut plus trop d'avoir était si odieux avec toi ? »
« C'est déjà oublier m'sieur ! »
« Appelle moi Sergey. » assura-t-il.
« D'accord. »
Ils continuèrent à manger tranquillement, Yulia se sentait bien, comme si elle était chez elle, et puis elle adorer regardait sa chérie se battre avec sa viande qui lui résistait toujours et encore. Mina elle, faisait maintenant comme partis de la famille pour les Katina, elle venait souvent ici pour être avec Lu, et ses parents avaient fait depuis longtemps la connaissance de ceux de Lena. C'était une ambiance chaleureuse, tel une famille réunie après tant d'année de séparation.
« Dis moi Yulia, tu comptes rester dormir ici j'espère ? » questionna la maman tout a avalant un verre d'eau.
« Et bien, si ça ne vous dérange pas et si mais parents sont d'accord, je veux bien rester. »
« Fort bien. Vous avez tellement de temps à rattraper toi et Lena ! »
« Oui, maman beaucoup de temps ! » fit Lena tranquillement.
Le repas s'acheva enfin, Ludmilla tout en se levant de table demanda à ses parents :
« Vous sortez se soir ? »
« Bien sûr que non Lu, pourquoi cette question ? »
« Je sais pas, comme ça ! » s'exclama-t-elle.
Elles quittèrent la pièce dans des chuchotements mystérieux. Tout en essuyant la table, la mère de ma famille confia à son mari :
« J'ai l'impression qu'elles nous cachent quelque chose. »
« Ne t'inquiète pas, elles font toujours ça pour que l'ont s'inquiète, tu ne te souviens pas quand elles étaient petites nos deux filles ? »
« Il y en à trois Sergey, sauf que la troisième est partit... »
« Ne parlons plus de ça ma chérie. » rassura-t-il en lisant son journal.
« Allez, je vais me changer. »
Elle passa à côté de lui, lui embrassa longuement le front et partit sous le sourire affectueux de son mari. Dans la chambres des filles, ont se parler de tout et de rien, de nos rêves, nos vies, nos souvenirs d'enfance, Yulia au cotés de Lena et Mina au coté de Ludmilla, couchées confortement sur leurs lits.
« Tu crois qu'ils se doute de quelque chose ? » s'inquiéta Lena en regardant le plafond.
« Il ne faut pas que tu t'inquiète ma rousse. »
« Yulia, tu sais que quand on étaient petites, je l'appeler Rox ? » se rappela Lu.
« Oui, Lena m'as parler vaguement de se surnom qu'elle n'avait compris, et que lorsque vous avez regarder le dessin animée, elle avait enfin compris et elle a même pleurer. »
« Ben quoi, il était triste se dessin animés. Au fait pourquoi je l'ai pas gardé ce surnom ? »
« Heu, bonne question, oublier avec le temps ! Hum... »
« Mmh, alors Lena tu es ma petite Rox à moi... » chuchota Yulia en s'approchant de sa belle.
« Aucun problème. »
Elles s'embrassèrent toujours avec passion, toujours plusieurs baiser, chaque fois que leurs lèvres s'entrechoquaient cela devenait plus intense, plus fort.
« Hey ! Nous aussi ont peux faire ça ! » déclara Mina.
« Ben ouais ! »
« Allez viens là ! »
Ludmilla lui sauta dessus et l'embrassa, mais là c'était plus chaud que les deux plus jeunes, elles avaient introduit leurs langues dans un petit bisou. Tout en se caressant les cheveux, elles étaient lèvres contre lèvres, se qui était sur c'est que la langue faisait partie du show.
« Tcheu ! On peut aussi le faire avec la langue ! » frima Yulia pour rigoler.
« Bon hop c'est pas un concours, maintenant on va dire bonne nuit aux vieux et faire style de s'endormir ok ? » annonça Ludmilla prête à l'action.
« Ok ! » cria toute la troupe.
« Yulia, j'ai prévenu tes parents ils sont d'accord, tu dois juste prendre le pyjama de Lena, ça ne te gène pas ? » expliqua le père à Yulia qui était venu pour dire bonne nuit.
« Non pas du tout. Merci beaucoup. »
« De rien, allez bonne nuit ! »
« Bonne nuit papa ! » ajouta Lena.
« Bonne nuit m'sieur ! »
« Sergey ! » cria gentiment son père au bas de l'escaliers que les deux filles avaient déjà finit de monter.
Après s'être préparée pour dormir, les filles se couchèrent dans leurs lits respectifs, Yulia sur un lit de camp au bas du lit de Lena et Mina pareil sauf qu'elle était au bas de celui de sa chérie.
« Bonne nuit les filles. »
« Bonne nuit. »
La mère ferma la porte doucement, et descendit les escaliers assez rapidement pour rejoindre son mari qui c'était préparé pour la soirée. Ils firent alors semblant d'allez se coucher.
Lena tenait la main de sa chérie qui était plus bas, Yulia allait bientôt la rejoindre mais elle devait attendre.
Des pas rapide, des chuchotements que l'ont peut à peine entendre, une porte qui s'ouvre, une voiture qui démarre, ça y est, ils sont partis pour de bon. Dix heures et demi, il était temps d'appeler les amies. Yulia était monté sur le lit de la rousse, pour pouvoir profiter de l'instant de solitude qu'elles n'avaient pas encore eu depuis un bon bout de temps.
« Mina est avec ta sœur pour appeler leurs amies, nous voilà seules. »
« Enfin. » soupira Lena.
« Je t'aime ma Rox... »
« Je t'aime mon Rouky... »
« Je suis Rouki le chien et toi le renard c'est ça ? »
« Mouis. » marmonna la renarde en embrassant sa louve.
En même temps qu'un baiser, Yulia en profita pour le rendre plus fougueux, elle mit sa main sous le tee-shirt de sa petite amie et faufila sa langue dans la bouche de Lena, qui n'eu pas de réaction, qui se prêter aux jeux. Quand leurs langues se rencontrèrent un frisson les parcourut, Lena avait la chair de poule, Yulia la faisait tremblait avec sa main qui parcourait son corps essayant de la réchauffer, de la faire se sentir bien. Lena c'était mis sur la brune tout en se décollant de ses lèvres pour les reprendre plus avidement. Soif de désir Yulia lui enleva le tee-shirt, même si Lena avait pris le dessus, c'est la badgirl qui avait le contrôle, Lena se laissait faire, désirer, aimer.
Cette fois, de ses deux mains Yulia les posa sur les hanches de Lena, essayant de se relevais pour être corps à corps avec sa bien-aimée, celle-ci enleva alors le tee-shirt rapidement en embrassant chaudement le nombril de Yulia. Toutes les deux en soutif, elles s'embrassaient profitant du maximum de temps qu'elles passaient ensemble, décidant de ne pas allez plus loin, elles continuaient comme même à se rencontrais par des baisers, à se retrouver.
Quand Mina entra dans la chambre, Lena était sur Yulia la tête poser sur son épaule, la moitié de son corps reposer sur la fine silhouette de la brune. Des douces paroles, précieuses comme du cristal, Mina les regarde, elles n'ont pas encore remarqué sa présence, elle sourit et referme la porte sans bruit.
« Elles sortiront de la chambre quand elles auront envie. » songea-t-elle.
« Où était-tu mon amour ? »
« Dans ta chambre, j'ai vu ta sœur poser sur Yulia, les yeux fermer, ceux de Yulia aussi, elles sont vraiment mignonnes. »
« J'espère que ça va durer... » dit Lu en mettant une pizza dans le four.
« Oui moi aussi. Alors ses invités ? »
« Elles arrivent d'ici 10 à 15 minutes, le temps du trajet. »
« On à le temps, mmh... »
« Mmh ? »
Ludmilla avait compris mais elle aimer faire semblant de ne rien savoir, elle s'approcha de son amour et l'embrassa, dévorant ses lèvres chaque fois qu'elle pouvait les goûtés.
Yulia suivit de Lena descendirent au rez-de-chaussée, puis allèrent au salon, allumèrent la télé rapidement et tombèrent sur un pub assez chaude avec pour slogan « Gini la plus chaude des boissons froide.*» La pub consister à montrer un mec et une fille dans une voiture en sueur s'embrassant passionnément profitant du plaisir à deux. Yulia rigola et lança à Lena :
« On devrait faire ça, dans une voiture en été ! »
« Coquine va ! »
« Moi j'aurais aimée que se soi deux filles ! » fit Ludmilla en s'appuyant contre la porte qui servait d'entrer au salon.
« Ouais mais bon, ça en aurait choquée certain. »
« Pff, ouais de toute façon ça choque tout le monde que deux filles s'embrassent... »
Bouteille de bière à la main, Ludmilla en dégusta un peu, et laissa échapper un soupir, Mina la rejoignit embrassant tendrement son cou.
La sonnerie retentit, Lena éteignit la télé, et se précipita avec sa sœur à l'entrée, quand elle ouvrit la porte un groupe de filles entra toute excitée comme des puces. Parmi ses filles Yulia reconnu Klara avec effarement, celle-ci la regarda et fit un signe de la main, Yulia ne savait plus quoi faire... Figée sur place...
Elle regarda autour d'elle, Lena était avec sa sœur parlant à d'autre fille, Mina était occupée à mettre de la musique donc Yulia avait le temps d'allez chez Klara, elle l'as pris à part...
« Mais qu'est ce que tu fout là ? »
« Qu'est-ce qui te prend ? On m'as inviter, enfin c'est mon amie Mina qui m'as invitée, je n'allait surement pas refuser, et j'ignorais que tu était là ! »
« Bon ok, mais je ne veut pas que Lena me voit avec toi, alors on va faire comme si nous ne nous connaissions pas d'accord ? »
« Si ça peut te faire plaisir. Qui est cette Lena ? »
« La sœur de Ludmilla la petite amie a Mina. »
« Mais non ! Je veut dire pour toi ? »
« ...Ma petite amie... » fit d'un trait Yulia.
« C'était donc elle... Mmmh, charmante... »
« Je t'interdis de l'approcher, j'ai gagné son cœur et je ne le perdrais pas à cause de toi ! »
« C'est bon là, t'affoles pas petite, c'était une plaisenterie, tu sais se que c'est ? »
« Hum... Désolé, j'ai tellement peur de la perdre. »
« C'est normal. Bon je te laisse. »
« Ok, et n'oublie pas, tu ne me connais pas ! »
«  T'es qui déjà ? » plaisanta Klara.
Yulia lui fit un sourire amusée, et s'en alla, Klara prit un autre chemin et se dirigea vers la cuisine. La brune rejoignit la rousse qui était avec sa sœur sur le canapé.
« Bon, je vous laisse je vais voir se que fait mon bébé. » assura Lu en se levant.
« D'accord. »
Les deux filles restèrent un moment assise sans se dire un mot regardant les autres dansaient. Lena était bizarre, peut être qu'elle avait vu Yulia avec Klara, peut être qu'elle avait cru qu'elle draguait, elle eut alors une boule dans l'estomac.
« Tu veux... danser ? » proposa Yulia ne sachant quoi dire.
« C'était qui cette fille ? » demanda tristement Lena.
« Une amie sans plus. »
« Tu es sûre ? »
Yulia se leva la regarda droit dans les yeux et lui chuchota à l'oreille :
« Viens avec moi... »
Elle lui prit la main, et d'un pas rapide alla à l'escalier, puis arrivait dans sa chambre, elle referma la porte, se tourna vers Lena qui ne comprenez pas.
« Je t'aime Lena. »
Celle-ci voulut répondre mais les lèvres de Yulia l'avait déjà emporter dans un autre monde, Lena était si bien dans les bras de sa louve, elle l'embrassa comme si c'était le dernier jour de leur vie. Petit à petit Lena s'allongea sur le lit suivit de Yulia, celle-ci était sur sa belle brûlante de désir, même si elles avaient décidaient d'attendre, les baisers suffirait.
« Allons rejoindre les autres à la fête... » lui sussura Yulia entre quelques bisous.
« Mmh, je suis bien ici... »
« Moi aussi, mais profitons de la fiesta, ça serait égoïste de laisser Lu et Mina organiser la fête seule. »
« Oui... J'te suis ! »
« Votre fête est géniale les filles ! » cria une fille qui dansait.
« Merci ! » firent les quatres en dansant comme des folles.
Dans la cuisine, il y avait plusieurs bouteille de vodka, de l'alcool, de la smirnof, certaines fesait des coktails se croyant super pro mais elles finissaient toujours pas faire tomber la bouteille par terre ! Yulia était contre Lena, la main poser au bas de son dos, dansant avec ardeur, un regard plongeant dans le sien, et quelques fois des bisous torride. Parmi la fête il y avait encore Klara mais elle ne dansait pas, Yulia l'observa un moment et vie une fille assez mignonne se dirigea vers elle et s'en allait dans un coin.
« Je reviens. » dit Yulia.
« Reviens moi vite. »
« T'inquiète ! »
Elle l'embrassa pour lui assurais que son retour ne sera pas long et s'en va, curieuse de voir où menait cette mystérieuse fille qui envoutée Klara.
L'endroit fit le jardin, assise sur un banc elles discutaient, Klara se conduisait parfaitement bien et l'autre fille à côté paraissait un peu saoul. La brune les espionna à partir d'un buisson, après quelque minutes dans le froid assez supportable, elles s'embrassèrent enfin, et s'allongèrent sur le banc, Yulia décida de les laissait éspérant que cet amour d'un soir dur.
Elle savait que se qu'elles allaient faire sur se banc ou ailleurs ne serait pas un signe d'amour.
Yulia alias Rouky (lol), finit par rejoindre sa Rox, cette derrnière était dans la cuisine en train de boire d'une traite un verre de vodka, elle s'installa à côté d'elle et lui fit un bisou sur son front.
« Tiens Rouky, tu m'as manquer. Je suis en train de faire un concours. »
« Je vois ça. »
Mina contre Lena, toutes les deux déjà soul, mais Lena avala le dernier verre se tenant encore très bien debout, puis se fut au tour de Ludmilla d'être contre sa sœur, Mina était à côté, à chaque fois que Ludmilla avaler un verre elles s'embrassaient avec la langue, et oui parce que la langue se voyait. Yulia préférait faire des smacks à Lena pour qu'elle garde les pieds sur terre, même si elle commencer à voir double. La brunette c'était en même temps que le concours de sa chérie descendu quelques verres de smirnof. Puis quand elle voulut allait au toilette, elle se retrouva face à face avec deux filles en train de s'enlever les habits...
« Oh, pardon hips ! »
Elle referma la porte, et retourna encouragea sa nana. Après avoir fait un concours assez amusants les organisatrices décidèrent de s'occuper de la musique, Yulia eut la bonne idée de faire un karaoké, ça tomber bien les parents de Lena en ont un dans le placard murale.
Plusieurs filles chantaient à deux, ou en groupe,  des casseroles la plupart du temps. Lena voulut alors se lancais et forca Yulia a venir avec elle.
« De toute facon on ne peut rien te refuser à toi ! »
Elles se préparèent à la scène sous les encouragements de Mina et Lu.
« Heu, problème quand je suis ivre je chante pas bien. »
« Yulia on s'en fout c'est pour déliré ! »
« Okay ! »
Pour la chanson elle avait choisi une chanson russe accompagnée d'un piano, Yulia s'y installa avec joie. Quand Lena commenca à chanter, tout le monde écoutais, Yulia était sous le charme, mais elle aussi devait chanter, et quand se fut son tour, elle donna le meilleure d'elle-même. Une voix moins aigu que Lena mais tout de même magnifique, tout le public fut emportais quand elles chantèrent toutes les deux ensemble.
A la fin de la chanson c'était devenu des stars pour les filles de la fête.
« Une autre, une autre ! » crièrent la foule.
« On va s'arrêter là, parce que ont n'est crevée ! » rigola Lena.
« Mais ont vous aimes nos fans !! » plaisanta Yulia.
Tout le monde les applaudirent, et les encouragèrent criant qu'elles chantaient bien.
« Tu m'avais jamais dit que tu chantait aussi bien ! »
« Toi non plus ! »
Il était déjà 1 heure du matin, les invitées commencèrent à rentrés, certaines filles c'était endormi dans des endroits insolites, Mina les réveilla, jusqu'à que tout le monde rentra, elles étaient toutes les quatre affaler sur le canapé épuisaient. La tête de Lena sur les genoux de Yulia et Mina dans les bras de Lu.
« Quelle soirée ! » soupira Mina.
« Tu l'as dit ! »
« Je crois que y en à plus d'une qui ont fais des choses dans cette maison. »
« Ouais, et dire que nos parents n'aime pas les homosexuelles, y en à eu une cinquantaine dans la maison, trop fort ! » rigola Lena sans s'arrêter.
« C'était plus grande fête de lesbiennes au monde ! »
« J'avoue que oui ! »
« Bon, fit Yulia en se levant, on va devoir nettoyer... »
« Pff, pas maintenant ma Yuli... »
« Si tu me fais un bisou je me lançe pas. » taquina la brune.
« Pas de problème, viens là, mmmh... »
Yulia l'embrassa et s'allongea sur le canapé, les quatres fit s'installèrent,  l'une sur l'autre, elles étaient tellement fatigués que en quelques minutes, elles s'endormirent...
Deux heures du matin, les parents rentrent enfin à la maison, essayant de ne pas faire de bruit, le problème c'est que en rentrait isl faisaient un calin, ils décidèrent de s'installaient sur la canapé, la lumière n'est pas allumer, ils ne voient rien, s'oriente comme ils peuvent, puis quand la mère essaye de se coucher sur le canapé, et touche la main de Mina, cette dernière se réveille, la mère pousse un hurlement, le père s'affole, Mina crie a sont tour et reveille les trois autres, quand le père allume la lumière tout le monde se met à crier, croyant que ce sont des voleurs...
Il faisait les cents pas, les filles sur le canapé en rang d'oignons, la mère chercher un quelconque objet suspect, l'homme était fatigué, la sueur coulait sur son visage énervée, épuisé de cette soirée mouvementée.
« Comment avait vous pu faire une fête sans notre permission ? »
« Papa, on est jeunes et... » s'expliqua Lena.
« Non ! coupa-t-il, la jeunesse n'as rien a voir la dedans, vous vous rendez compte que les voisins aurez pu appelez les gendarmes ? »
Personne ne voulut répondre, elles baissaient la tête, elles n'étaient pas très fières de ce qu'elles avaient faits, mais elles étaient satisfaites de l'effet que cela avait pu faire.
« Chéri, c'est bon, je n'est pas trouvé de préservatifs, elles n'ont donc pas enfreints la règle de la maison, par contre, pour l'alcool elles ont abusées... » fit la mère en les regardant.
« D'où ramener vous toutes ses bouteilles ? » questionna le père.
« C'est nos amies qui l'ont ramener elles... »
Lena donna un coup de coude à Ludmilla pour ne pas franchir plus loin que le elles.
« Elles ? »
« Oui elles et ils nous l'ont proposer, hum. »
« Je vois, bon allez vous couchées ! » ordonna-t-il.
Elles s'exécutèrent très vites, en se couchant, elles se mirent à rire.
« Moi qui croyait à la raclée du siècle ! »
« Ouais, j'aime trop ta mère, 'je n'ai pas trouver de préservatifs', franchement, comme si deux filles avaient besoin de ça ! » s'exclama Mina.
« Ah, les parents... Bon c'est vrai, on a abusé sur la vodka !! » avoua Lu.
« VODKAAAAA ! »
« Chut Lena ! Hihihi ! » se marra Yulia.
Quand la maman entra dans la chambre, elle s'assura que les filles se couche au bon endroit, puis referma la porte calmement. Le silence prit place dans la chambre, un silence calme, apaisant, qui prit toute la dimension de la pièce, ont entendait seulement le respiration des filles, Yulia se décida à grimper dans le lit de Lena, essaya de trouver ses lèvres et quand elle le trouva elle ne les quitta pas.
« Hey les filles ! Faites pas trop de choses, ni de bruit d'ailleurs ! » chuchota Mina en s'amusant.
« Ouais t'as peur qu'on te batte hein ?! »
« Sûrement pas, bande d'amatrices ! » souffla Ludmilla.
« Ouais allez bonne nuit ! » essaya d'articuler Yulia en rigolant.
« Bonne nuit. »
Lena pris Yulia dans ses bras, la serrant de toutes ses forces, lui susurrant des « je t'aime », une nuit romantique jusqu'au petit matin, elles avaient dormit l'une contre l'autre, Mina et Lu pareil.
Une journée inoubliable, marquante à vie, le jour où un amour invincible avait était enfin réunies, le jour où de âmes n'avait fait plus qu'une, le jour où l'amitié fit place à l'amour, le jour où il y a eu dans un hôpital, une passion... un baiser...
*J'espère que tout le monde connaît cette pub.                                            
#Posté le vendredi 21 juillet 2006 12:35
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gerceval · 1 year
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Le Choix - chapitre 12
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
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- Non mais vous y croyez, vous ?
Arthur faisait les cent pas dans le laboratoire de Merlin, se frottant la tête après s’être cogné dans une poutre dont il avait mal estimé la hauteur. Il va sans dire que cela n’avait pas amélioré son humeur.
- Que quoi, déjà ?
Merlin était en train de farfouiller dans un tas de fioles, l’air distrait.
- On s’emmerde à élaborer un système, à créer des règles, à faire ci et mi pour que ça se passe pas trop merdiquement, et lui il m’ordonne de me barrer à l’autre bout du bled ! Il m’ordonne des trucs déjà, si on veut commencer par là !
- Ben oui j’y crois.
- Quoi « ben oui » ?
- Ben il est roi le gars, vous avez beau faire des règles et des contrats il fera ce qu’il veut.
- Et ce qu’il veut c’est que je me barre.
- Ah ben ça, après…
Ça y est, c'était acté. Lancelot était en train de vriller. Le sortilège avait donné l'occasion de se réveiller à ses envies de pouvoir les plus ridicules. Il était en train de commencer à faire n'importe quoi. S'il voulait déjà l'envoyer dans une mission absurde en Cornouailles et complètement modifier la situation géopolitique du monde connu (s'était-il vraiment entiché d'une princesse Viking ?), qui savait quelles autres règles il avait l'intention de briser. Merlin reprit la parole pour enfoncer le clou :
- Et pis d'après ce qui se raconte dans les couloirs depuis la réunion d'hier, ça va picoter quand vous allez récupérer votre corps, hein.
- C'est-à-dire ?
- Ben ce petit sortilège est pas exactement en train de faire du bien à votre réputation.
Merlin avait cette expression si particulière à mi-chemin entre la gêne de devoir colporter des bruits de couloirs et l'excitation ravie d'être celui qui avait la possibilité de colporter des bruits de couloirs. Arthur le laissa continuer.
- Je crois que c'est ça sa stratégie. Il veut que vous deveniez le plus impopulaire possible pour pouvoir en profiter à l'avenir. Pas plus tard que ce matin il a lancé une stratégie militaire contre les Saxons complètement à la ramasse, enfin moi j'y connais rien mais les gens qui ont l'air de s'y connaitre se paient bien sa tête. Enfin votre tête du coup. Et pis bon, ces histoires de Vikings... Enfin moi après je veux pas m’immiscer.
- Eh ben mon cochon, si c’est comme ça, on peut être deux à jouer à ce petit jeu. À partir de maintenant, vous pouvez compter sur moi, le seigneur Lancelot sera officiellement un glandu immature dont tout le monde se fout. Et sa mission il peut se la carrer où je pense !
La sorcière d’Aberystwyth fut ainsi abandonnée à ses potions, et tant pis pour les paysans gallois. Aux remarques qu'on lui faisait sur le fait qu'il n'était pas encore parti, Arthur se mit à répondre de diverses manières, affirmant qu'il était fatigué, ou bien qu'il avait tout simplement oublié, se frappant le front de manière théâtrale, ou encore qu'il avait la colique (il ne s'arrêtait à rien) et qu'il préférait ne pas partir en voyage dans ces conditions. Il ne fallut pas beaucoup de temps avant que ces réponses arrivent jusqu'aux oreilles de Lancelot, qui, bien sûr, comprit immédiatement de quoi il retournait. Il n’insista pas sur la mission, mais aux provocations d'Arthur, il se mit à rétorquer par des propositions de plus en plus fantasques aux réunions de la table ronde, forçant le trait du progressisme que tout le monde reprochait à Arthur jusqu'à tomber dans le ridicule, tout en n'hésitant pas à mettre les pieds sur la table ronde et à se gratter les parties en séance de doléance. Arthur, furieux, cessa de se laver les cheveux et commença à faire des siestes un peu partout dans le château. Presque tous les jours, il se rendait au laboratoire de Merlin pour se plaindre de Lancelot et râler que le druide n’avançait pas assez vite pour trouver un contre-sortilège, et Merlin s’agitait, l’air catastrophé et impuissant.
Un jour, peu de temps après cette histoire de sorcière, Lancelot parada dans les couloirs du château le cheveu en bataille et affublé d’un immonde foulard aux motifs traditionnels vikings, et répondit à tous les regards interrogateurs des gens qu’ils trouvaient par un désinvolte « Quoi, je suis le roi, je fais bien ce que je veux ! ». Léodagan eut l’air de se dire qu’il pourrait sérieusement envisager un coup d’état s’il n’était pas si épuisé par toutes ces conneries. Le lendemain, Arthur descendit aux cuisines à l’heure du deuxième casse-croûte nocturne de Karadoc, et avant que ce dernier eût le temps de dire « ah Seigneur Lancelot, qu’est-ce que vous faites debout à cette heure », il piqua la gigantesque tartine que Karadoc s’apprêtait manifestement à manger et s’en alla avec. Les hurlements de Karadoc ce soir-là réveillèrent tout Kaamelott. Il a vraiment lâché la rampe, le Lancelot, entendit-il un jour au détour d'un couloir, pour sa plus grande satisfaction.
Mais à vrai dire, deux servantes passèrent devant lui dans le même couloir à peine quelques instants plus tard, en murmurant quelque chose qui ressemblait à : Allez s’il te plait c’était déjà à moi de faire la chambre du roi hier, j’en peux plus ces derniers temps, ça empeste et il laisse traîner des trucs et en plus il est désagréable mais j’ai toujours su qu’il avait un mauvais fond etc etc. Bon, il exagérait peut-être un peu. Mais il était vrai que ses retours subreptices dans sa chambre étaient devenus de plus en plus désagréables, comme si Lancelot faisait exprès de souiller l’air le plus possible par un procédé qu’Arthur ne parvenait pas à s’imaginer. Il se demandait bien ce qu’en disait Guenièvre ; il ne lui avait pas parlé depuis le soir de la transformation, préférant de plus en plus souvent errer dans le château jusqu’à trouver une chambre vide.
C’est ainsi qu’un peu plus d’une semaine plus tard, il ouvrit une porte au détour d’un couloir, et tomba sur Lancelot et Guenièvre vautrés l’un sur l’autre, en bonne voie vers la nudité. Bon, ça allait peut-être aller, maintenant. Est-ce que c’était vraiment à ça que ressemblaient ses propres fesses ?
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omagazineparis · 2 years
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Interview de Seemone pour son premier album éponyme (2/2)
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Dans cette deuxième partie, la chanteuse Seemone évoque le Covid, Destination Eurovision et ses futurs projets. Découvrez la suite de notre entretien. Ô Magazine. Par rapport au Covid, comment s'est organisée la sortie de l'album et la promo ? Pensez-vous faire une tournée ? Seemone. Oui, bien sûr ! C'est un peu particulier parce que je suis une artiste en développement. Mon projet n'est pas encore installé. Tout le monde ne connaît pas mon travail et le projet. Donc c'est vrai que ça a été compliqué de le sortir en cette période. Pour la promo, on a beaucoup de chance, ça s'est un petit peu calmé. On a pu participer à quelques interviews et faire quelques lives. Pour la tournée, on se pose vraiment la question de savoir si ça va être possible avec les mesures sanitaires. Mais on a un tourneur qui s'appelle Thierry Cornolti. Il croit en nous et effectivement, la tournée serait envisagée, une fois qu'on aura le feu vert pour pouvoir vendre des places de concert et être certain que les salles ne ferment pas deux semaines plus tard. Ce serait vraiment un beau gâchis ! On va attendre trois mois, le temps de la promo, pour voir si l'album plaît au point de faire des concerts. Et très rapidement, on fera des concerts dans des salles en veillant à ne pas prendre de risques. Surtout faire en sorte que les gens puissent y assister de manière sûre. Sans être remboursé parce que le concert ne peut pas avoir lieu ou sans devoir tout annuler au dernier moment. Nous voulons faire ça bien. Mais en tout cas, c'est sûr que je serai sur scène le plus rapidement possible. J'ai vraiment de la chance d'avoir un tourneur qui croit en nous et qui attend juste que les choses reviennent un peu plus à la normale. Ô Magazine. Le Covid n'a donc pas impacté le jour de la sortie de Seemone ? Seemone. Non, il n'était pas prévu plus tôt. C'est vraiment un choix de le sortir à l'automne. C'est un album qui, de manière assez évidente pour tout le monde, est un album automnal. Ce n'est pas un album qu'on écoute mi-juillet sur la plage. On savait que cette saison se portait plus à écouter ce genre de musique. C'était un vrai choix de notre part de le sortir après la rentrée. Une fois qu'on a repris un petit rythme dans sa vie, que l'on arrive doucement vers la saison où il fait peut être un peu moins beau et où on reste chez-soi. On a envie d'écouter un peu de musique avec un bon thé chaud et une couverture. Donc on savait que c'était plus propice pour cet album de sortir début octobre. La crise du Covid n'a pas changé notre date de sortie. Crédit : AKATRE Ô Magazine. Vous avez fait Destination Eurovision en 2019. Comment s'est présentée cette opportunité et comment avez-vous vécu cette expérience ? Seemone. Alors Destination Eurovision, c'est un peu un coup de chance. En fait, on a composé une première chanson Fabrice et moi qui s'appelle Tous les deux. C'est le premier single qui est sorti. On a composé cette chanson et écrit le texte. Nous nous sommes dit que ça fonctionnait bien quand on travaillait ensemble. C'était la première fois qu'on écrivait une chanson ensemble. On l'a faite écouter aux gens qui travaillaient avec nous. Ils nous ont dit qu'elle était super belle et qu'il y avait quelque chose. Et puis Fabrice me dit un jour : « Ben tu sais quoi ? On n'a qu'à essayer de l'envoyer à l'Eurovision. » Je lui réponds étonnée : « Ah bon ? » Puis il me dit : « Ben oui ! Ça peut être un bon moyen de faire connaître le projet et puis c'est un joli objectif. » J'étais d'accord. Moi, j'avais comme image de l'Eurovision Céline Dion et France Gall. Ces femmes qui ont fait l'Eurovision et pour lesquelles ça a apporté beaucoup en matière de notoriété et d'exposition. On a proposé cette chanson : on s'est rendu compte que ça se faisait par le biais d'une émission. Alors que trois ans auparavant, on envoyait des chansons. Elles étaient choisies en interne et on était envoyé directement à l'Eurovision. On a donc passé ce premier casting en envoyant la chanson pour Destination Eurovision. Il se trouve que le directeur de casting s'occupe aussi du casting de The Voice ! Il m'avait déjà contacté deux ans en arrière pour que j'y participe. Je n'ai pas voulu : je n'étais pas prête. Et je ne n'avais pas envie d'interpréter des chansons d'autres artistes, avant de pouvoir, moi, artistiquement défendre mon projet. C'était un peu prématuré. Je préférais d'abord défendre mon projet et donc, à travers Destination Eurovision, c'était vraiment une bonne occasion. C’était ma chanson et autre chose à défendre. On s'est donc retrouvé lors de ce casting. Comme il aimait beaucoup ma voix et qu'il a adoré la chanson, il m'a sélectionné avec les 17 autres candidats. J'ai participé à l'émission. La demi-finale s'est super bien passée. Je suis arrivée première avec les points du jury et des téléspectateurs. Et puis, lors de la finale, on a fait un superbe score. La chanson a beaucoup plu et Bilal Hassani a gagné. J'ai terminé deuxième. Ô Magazine. Ce qui est une belle performance ! Seemone. On était ravi parce qu'en plus de ça, c'était une expérience de dingue. Et puis ça m'a permis de comprendre où est-ce qu'il fallait aller artistiquement pour ne pas dévisser. Pour rester soi-même et que cela paye toujours finalement. Ô Magazine. Entre l'émission et votre album, il s'est écoulé un an et demi à peu près. Vous avez pris le temps de construire votre projet ? Seemone. Oui, complètement ! J'ai pris énormément de recul après cette émission. Je pense qu'un album, ce n'est pas le même travail que d'écrire une chanson. C'est un autre travail et il fallait que je sache de quoi j'avais envie de parler dans cet album. Cela voulait dire savoir qui j'étais et pour savoir qui on est, il faut, à mon avis, prendre du temps. Mais aussi s'éloigner un peu et réfléchir différemment. Tout ça m'a pris du temps, de faire un petit bilan sur ma vie et de me dire : « Qui je suis et qu'est-ce que j'ai envie de raconter dans un album ? » Crédit : AKATRE Ô Magazine. Avez vous d'autres projets pour l'avenir ? Musicaux ou autres ? Et pourquoi pas revenir vers le théâtre ? Seemone. Je ne suis pas fermée à l'idée de faire du théâtre ou du cinéma. Mais je n'en fais pas ma priorité. J'ai vraiment envie de défendre l'album sur scène pour l'instant. Ce sont mes projets les plus proches. Et puis j'adore l'idée de découvrir mon métier un peu plus chaque jour. Je ne suis fermée à aucune proposition que je trouverais artistiquement intéressante. Globalement, je vais me concentrer sur la musique avec cet album. Je vais le faire vivre du mieux que je peux pour le partager avec un maximum de personnes et puis, surtout, surprendre. Merci Seemone pour cette belle interview ! Découvrez sans plus tarder le premier album de cette jeune artiste au talent soigné et authentique. Read the full article
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6.3 Transcriduction
This translation is inspired by Charles Bernstein’s contribution to Chain 10, which used a source text culled from an email from his Chinese translator, and translated that into multiple languages. It is also of course inspired by the final procedure in Mónica de la Torre’s Repetition Nineteen which translates a conversation by group of translators collectively translating de la Torre’s Equivalencies/Equivalencias into Russian. Outranspo is also currently preparing a transcsritranslation of their translation of the Chinese poem “Lion-Eating Poet in the Stone Den” (pp.)
Materials.
• A text for translation, ideally something that will inspire conversation.
• A transcription surface (pen and paper or computer); alternatively the conversation can be recorded and transcribed later, but there is also something interesting about what the transcriber hears and is able to translate. 
Players.
• Translators, at least two.
• A transcriber, at least one. 
Steps
• Translators translate, talking through their choices, doubts, hesitations etc. as they go.
• The transcriber transcribes what they hear
• The group collectively rereads the transcription, potentially editing.  
Examples
This example is taken from a workshop I lead in 2020 with the participants in the Diplôme Universitaire pour les animateur.ice.s des aterliers d’écriture creative, a University certificate program at the Université Paul Valéry Montpellier 3 that trains creative writing workshop guides. 
Traduire « Equivalencies/Equivalencias » de Monica de la Torre
Atelier de traduction créative du 30 septembre, 2020 
dans le cadre du DU d’animateur.ice.s d’ateliers d’écriture créative
Est-ce qu’il y a quelqu’un qui arrive à lire ça
One silence flare 
Flare c’est quoi
J’ai pas compris
On lit les deux phrases 
Qu’est-ce que ça veux dire flare
C’est le nez
Ça c’est une traduction créative
C’est l’intuition
C’est appeler 
On va regarder sur internet
Mais c’est féminin
C’est féminin un flare
Il y a des mots qui sont féminins en espagnol et en français
Une fusée ils disent
Attend je vais vérifier
Tu as regardé sur DeepL ?
Non sur Google Translate
C’est peut-être un appel
Un appel ?
Ben voilà
On n’est pas obligé de traduire
Un appel un silence
Une fusée une éclatée
J’ai pas envie de traduire
Est-ce que le but c’est de traduire de façon créative
Je mets juste hakuna matata
Je vais prendre les notes là
T’es sur Deep Lie ?
Qui c’est qui sait ce que veux dire un flare
J’ai un truc avec le cancer
C’est un quoi un sin
C’est un vice
Un vice de café c’est bizarre
Je comprends rien
Un un silence 
C’est 
Un sin of coffee
A sip c’est une gorgée de café
Avant qu’il soit amer
Avant que ce soit amer
Une gorgée de café avant qu’il soit froid
ou amer
enfin caféine
La flare je trouve une poussée
Moi je veux pas traduire
Je veux pas faire ça
Un silence une lueur
Ah bon
Si Google arrive pas j’arrive pas
La réaction de llamarada en parenthèses flare
Quand tu traduis en français c’est une poussée
Se manifeste par tumorale
Il faut voir le sens qui se recouvre avec l’espagnol
Burning light
Attract attention in an emergency
Bright burning light 
Une fusée éclairante. Ou bien une flambée 
Une fusée
On continue à traduire la suite et on choisira 
Mais ça fait vachement longue
avant l’amertume
Un soupçon peut-être
Toute la question c’est est-ce qu’on est créatif ou est-ce qu’on est fidèle
On peut dire c’est un trou
Un trou c’est rigolo
Un espace dans un trou
Un gouffre
Faut trouver un autre mot à part trou 
J’aime bien trou
Translate
Un truc dans un machin 
Un trou dans un trou 
Une lacune dans un trou
C’est bien un trou dans un trou
Oui mais ça appauvri par rapport à l’original
C’est pas sûr
C’est prétentieux
Et en espagnol
Un espace un écart
C’est vraiment un espace
Ça fait plus un espace dans un trou
DeepL il dit une lacune dans un trou
Une lacune
Ça peut être un manque 
Oui ça peut être un manque 
On met quoi
Mais on met tous collectivement quelque chose
Un manque dans un trou je préfère parce qu’il y a deux mots différent
Un manque dans un trou c’est assez joli
Ça me plait 
Un manque dans un trou pourquoi pas
Ou un trou dans un manque
Le trou fait débat
Il nous reste flare
Mais non c’est lueur
C’est soit lueur soit éclat
Un silence un éclat
Un un silence un éclat
C’est à la fois la lueur et une poussée
Un un silence un éclat
On s’était pas mis d’accord
Après ça peut être un soupçon de café 
Toi tu dirais avant l’amertume
Avant qu’il soit amer
De sens
Soit amer quoi
Je garderais ça
Ça complète le sens 
On vote
La dernière vous avez dit quoi
Je trouve ça pas très jolie
Un trou dans un manque
Ah ben non
L’original c’est l’espagnol ou l’anglais en fait
C’est pas hoyo
J’arrive pas à lire 
C’est quoi on sait pas là 
Hoyo c’est trou
C’est un trouillot dans un trou
Un rouillot a dentro
T’as le g qui vient dessus
C’est quoi la lettre
Rouillot ou trouillot
La dernière strophe du poème peut nous aider
Et oui on ne l’a pas même pas lu en entier
Ah ben on est obligé de traduire
J’arrive pas à traduire là
Je comprends pas ce qu’il faut traduire
Moi je reste en mode médiéval 
Je vais ramener mon phlegme
C’est une bouée dans un trou
Une oreille l’hoyo
Je vais essayer de traduire la suite
Espace
C’est les yeux oyos
Espace en espagnol
C’est un h
Ben oui c’est un h
Un trou dans un trou
Un trou dans le vide
Les deux
Un trou dans le vide ça vous va pas ?
Comment dire espace en espangol ?
Agujero c’est quoi ?
Alors le vide c’est vraiment très créatif
Il n’y a rien rempli
Un trou dans le néant
En espagnol il y a des o partout
Il y a un vide dans ton cours
Un trou dans le vide c’est pas mal ça
Un silence un un silence
Du coup gap c’est pas vraiment trou c’est écart distance intervalle l’omission le vide
Ça c’est joli
Alors ce serait un espace dans le vide
S’il y a vide
Vide intervalle manque
Vide dans un trou
Les deux mots veulent dire trou
Ah vous voulez créer ben si vous voulez créer
Je trouve que le mot intervalle est joli
Un intervalle dans le vide
The gap between intervalle entre
Ecart un écart dans le vide
Un espace sinon
Les trous dans le vide c’est joli 
Trou dans le vide est mieux que l’espace dans le vide
Mais c’est moche le mot trou
Moi je préfère trou dans le vide
Alors on vote
Ce sera plus rapide
Alors on vote
Ça vide dire trou vide
Venez on vote sinon on va rester quatre cents ans
Attends on vote entre quoi et quoi
Il y avait un manque dans un trou 
C’est super glauque 
Il y a un trou dans un trou
Un espace dans le vide
Un manque dans un trou
Il y avait quoi je ne me souviens plus
Un intervalle dans le vide
Dans le vide ? Toujours dans le vide
Ben il y avait trou
Là tu tombe là
Là on fait un écart en plus
Bon allez c’est l’espace dans le vide qui a gagné
C’est fossé aussi
Qui s’oppose à l’espace dans le vide
Moi je m’oppose dans un manque dans un trou
C’est la majorité qui gagne
Allez ça marche
C’est un peu tirer sur les cheveux
C’est le coffee le coffee trou le trou noir
Le coffee trou
C’est pas dans le vide ça peut être dans le vide
Oui mais on est créatif donc on passe par le vide parce que ça sonne mieux
Alors on vote sur le ou un ?
En français on dit le on dit pas un
Un grand vide ça fait répétition c’est pas très joli
C’est ce qu’elle fait elle répète
Ça contient un truc super
Dans les deux ce qu’elle fait c’est répéter
On est d’accord soyons fidèles
On ne sait pas
Dans le sens espagnol
Oui
Alors ça donne quoi
Un espace dans le vide un espace dans un vide
Si on met un espace au vide ça va pas
Espace vide voilà
Café amer on se dépêche
Ça donne quoi
J’ai un. Un silence. Je ne sais pas. Un éclat
Oui un éclat
Une gorgée de café avant qu’il soit amer ou avant l’amertume
Vous préférez un soupçon
Ah non ah non je ne suis pas d’accord
Ah oui c’est mieux un soupçon une gorgée ça n’a pas le même sens
Un zeste !
Qui gorgée !
Qui veut gorgée de café ! 
Qui veut soupçon
Ben c’est proche
On n’a pas compté
Non ben on a gagné
Avant l’amertume !
Ah non avant qu’il soit amer !
Avant qu’il ne supprime l’amertume !
Ah ça c’est poétique
Un café avant la mer avant la mer et la montagne
Qu’il soit amer j’ai l’impression
Moi seule
Ensuite on remonte
J’ai juste une question 
J’ai juste une question à Lily, on fait une traduction littérale ou on fait une interprétation
A mon avis le plus simple c’est de faire une traduction littérale parce que si on fait une interprétation le consensus sera beaucoup plus difficile
C’est le verbe être au passé ?
Après taste il y a l’idée du gout
Ça veut dire supprime
Avant qu’il ne supprime l’amertume
C’est lourd
Ben non c’est DeepL
Quoi non
Je ne sais pas pourquoi il traduit comme ça
Il y en a qui disent ça
Bon on a tout
Non pas du tout
Je ne sais toujours pas
Moi c’est l’amertume
On a dit qu’on soit fidèle au texte
Ça n’existe pas la fidélité au texte
Ne supprime pas
Qu’il avait un gout amer
Avant qu’il ait un gout amer
Oui mais Google
C’est plus français
C’est supprime
C’est pas un l c’est un i
Dans la poésie ça suggère ça dit pas mot à mot le truc
Un poème c’est censé être un peu joli quand même
Je vous lis pour voir si ça fait un peu de sens
Avant qu’il je trouve que ça cloche
Mais il y a pas le gout amer
Mais on s’en fiche on adapte
C’était plus fluide
Avant l’amertume
On a le taste on a tout
C’est pas mal
Moi je trouve qu’au niveau du rythme c’est plus fourni
L’amertume c’est un peu sec
Vous préférez un deux ou trois
C’est le troisième l’amertume
En anglais before it tasted il n’y a pas que que que
C’est à l’oreille
Qu’est-ce qui nous plaît
Je crois que chacun
Il faut voter
Je refais
DeepL Translation into English
Is there anyone who can read this
One silence flare 
What is flare
I don't understand
We read the two sentences 
What does flare mean
It's the nose
This is a creative translation
It's intuition
This is calling 
We'll look it up on the internet
But it's feminine
It's feminine a flare
There are words that are feminine in Spanish and in French
A rocket they say
Wait, I'll check
Did you check on DeepL?
No on Google Translate
Maybe it's a call
A call?
Well, that's it.
We don't have to translate
A call a silence
A rocket a burst
I don't want to translate
Is the point to translate creatively
I just put hakuna matata
I'll take the notes here
Are you on Deep Lie?
Who knows what a flare means
I got a thing about cancer
It's a what a sin
It's a vice
A coffee vice is weird
I don't get it
A silence 
It is 
A sin of coffee
A sip is a sip of coffee
Before it is bitter
Before it's bitter
A sip of coffee before it is cold
or bitter
finally caffeine
The flare I find a push
I don't want to translate
I don't want to do that
A silence a glow
Oh well
If Google doesn't come I don't come
llamarada's reaction in flare brackets
When you translate in French it is a push
Is manifested by tumoral
It is necessary to see the sense that overlaps with the Spanish
Burning light
Attract attention in an emergency
Bright burning light 
A flare. Or a flare 
A flare
We continue to translate the rest and we will choose 
But it is really long
before the bitterness
A hint maybe
The question is whether we are creative or faithful
You can say it's a hole
A hole is funny
A space in a hole
An abyss
You have to find another word besides hole 
I like hole
Translate
A thing in a thingy 
A hole in a hole 
A gap in a hole
It's a hole in a hole
Yes, but it's poorer than the original
It's not safe
It's pretentious
And in Spanish
A space a gap
It's really a space
It's more like a gap in a hole
DeepL it says a gap in a hole
A gap
It can be a gap 
Yes it can be a gap 
We put what
But we all collectively put something
A gap in a hole I prefer because there are two different words
A lack in a hole is quite nice
I like that 
A lack in a hole why not
Or a hole in a hole
The hole is debated
It remains us flare
But no, it's glow
It is either glow or glare
A silence a glare
A silence a glare
It's both a glow and a push
One silence one burst
We didn't agree
Afterwards it can be a touch of coffee 
You would say before the bitterness
Before it was bitter
Of sense
Be bitter what
I would keep this
It completes the meaning 
We vote
The last one you said
I find it not very pretty
A hole in a gap
Oh no
The original is Spanish or English in fact
It's not hoyo
I can't read it 
What is it we don't know 
Hoyo is hole
It is a hole in a hole
It's a hole in a hole
You've got the g on it
What is the letter
I'm not sure if it's a hole or a rouillot
The last stanza of the poem can help us
And yes we haven't even read it all
Ah well we are obliged to translate
I can't translate it now
I don't understand what to translate
I'll stay in medieval mode 
I'll bring my phlegm
It is a buoy in a hole
An ear the hoyo
I'll try to translate the rest
Space
It is the eyes oyos
Space in Spanish
It is an h
Yes, it's an h
A hole in a hole
A hole in the void
Both of them
A hole in the void doesn't suit you?
How to say space in espangol?
What is Agujero?
So the void is really very creative
There is nothing filled
A hole in the void
In Spanish there are o's everywhere
There is a void in your course
A hole in the void that's not bad
A silence a silence
So gap is not really hole it's gap distance interval omission the void
That's nice
Then it would be a space in the void
If there is a void
Void interval lack
Void in a gap
Both words mean hole
Ah you want to create well if you want to create
I think the word interval is nice
An interval in the gap
The gap between interval between
Gap a gap in the void
A gap otherwise
The gap in the void is nice 
Hole in the void is better than space in the void
But it's ugly the word hole
I prefer hole in the void
So we vote
It will be faster
So we vote
It means empty hole
Come on, let's vote or we'll stay four hundred years
Wait, we vote between what and what
There was a gap in a hole 
It's super creepy 
There's a hole in a hole
A space in the void
A gap in a hole
There was what I can't remember
A gap in the void
In the void? Always in the void
Well there was a hole
There you fall
There we make a gap in addition
Well, it's the space in the void that won
It's ditch too
Who opposes the space in the void
I oppose myself in a lack in a hole
It is the majority which wins
Go it works
It is a little drawn on the hair
It is the coffee the coffee hole the black hole
The coffee hole
It's not in a vacuum it can be in a vacuum
Yes but we're creative so we'll go with the void because it sounds better
So we vote on the or a?
In French we say le we don't say un
A big empty space that makes repetition it is not very pretty
That's what she does, she repeats
It contains a super thing
In both what it makes it is to repeat
We agree let's be faithful
We don't know
In the Spanish sense
Yes
Then it gives what
A space in the void a space in a void
If we put a space in the void it will not go
Empty space, that's it
Bitter coffee we hurry
What does it look like?
I have a. A silence. I don't know. A burst
Yes, a burst
A sip of coffee before it's bitter or before the bitterness
You prefer a sip
Ah no ah no I don't agree
Ah yes, it's better a sip a sip doesn't have the same meaning
A zest!
A sip!
Who wants a sip of coffee! 
Who wants a sip
Well, it's close
We didn't count
No well we won
Before the bitterness!
Oh no, before it is bitter!
Before it removes the bitterness!
Ah that's poetic
A coffee before the sea before the sea and the mountain
That it is bitter I have the impression
I alone
Then we go back up
I have just one question 
I have just one question for Lily, do we do a literal translation or do we do an interpretation
In my opinion, it's easier to do a literal translation because if you do an interpretation, the consensus will be much more difficult
Is it the verb to be in the past tense?
After taste there is the idea of taste
It means to remove
Before it removes the bitterness
It is heavy
No, it's DeepL
What no
I don't know why he translates like that
Some people say that
Well, we have everything
No we don't
I still don't know
I'm bitter
We said we would be faithful to the text
There is no such thing as being faithful to the text
Do not suppress
That it had a bitter taste
Before it had a bitter taste
Yes but Google
It is more French
It's deleted
It's not an l it's an i
In poetry it suggests it doesn't say the thing word for word
A poem is supposed to be a little pretty
I read you to see if it makes sense
Before I find out it's not right
But there's no bitter taste
But we don't care, we'll adapt
It was more fluid
Before the bitterness
We got the taste we got it all
It's not bad
I think that the rhythm is more complete
The bitterness is a bit dry
You prefer a two or three
It's the third bitterness
In English before it tasted there is not that that
It is to the ear
What we like
I believe that each one
It is necessary to vote
I do it again
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randomnameless · 3 years
Note
Bonjour ! J'espère que la question n'est pas gênante / déplacée mais, qui est la "worst mom" ? Sothis ? Et pourquoi vous ne l'aimez pas ? Désolé si la question a déjà été posée et que je ne l'ai juste pas trouvé, je suis juste curieuse d'entendre votre point de vue.
Non non, pas du tout!
Oui, c'est bien Sothis!
En très grande partie parce que même après que son amnésie soit levée, ben elle n'en a pas vraiment grand chose à faire de ses enfants.
Le pire reste quand même CF, où elle peut se "marier" avec Billy juste après avoir démonté Rhea avec sa colonne vertébrale, et ça ne lui fait ni chaud ni froid.
Les développeurs ont pensé à lui mettre un dialogue alternatif spécial pour CF, mentionnant la gemme emblématique cassés, mais rien sur, ben, sa fille dont le crâne vient d'être fendu en deux avec sa colonne vertébrale. La scène du soutien de rang S est vraiment bizarre, Sothis dit en gros qu'elle adore Billy etc etc... alors qu'à ce moment là, elle sait qui elle est, qui est Rhea et en gros tout ce que Billy a fait pendant sa petite virée avec Edel et son discours anti-reptilien.
Après ça reste CF, et donc les choses bizarres et le scénar foireux, ça peut s'expliquer par le fait que les développeurs voulaient vraiment avoir le beurre et l'argent du beurre, donc on se marie avec Edel même si le continent est plongé dans le chaos.
Je ne sais pas vraiment quand est ce qu'elle cesse d'être amnésique, ou quand elle retrouve la mémoire - au moment de la super fusion avec Billy, elle semble se souvenir de tout, d'être la Déesse et d'avoir un job bâclé, mais apparemment elle s'est bien amusée, donc ça passe? (non!)
Elle semble se souvenir de la berceuse que chante Rhea à un moment, elle se souvient l'avoir écrite et chantée pour quelqu'un, mais ne sait pas pourquoi Rhea la connait, veut émettre une sorte d'hypothèse mais, si je me souviens bien, Billy s'effondre.
Or CF, on reste encore sur le petit problème de Sothis qui est encore dans Billy, mais ne dit rien. Rien par rapport aux Reliques de Héros qu'on récupère au cours du jeu (alors que là, elle n'a plus aucune amnésie), par rapport à Rhea qui est emprisonnée par les dingues qui ont déjà transformé ses frères en piques à bigorneaux ou même, dans VW, quand Nemesis et ses amis reviennent d'entre les morts.
Je pense vraiment que dans le jeu lui-même, le principal reproche que je lui fais (mais c'est aussi de la faute des développeurs!) c'est d'être un partenaire romantique de Billy, ce qui la fait techniquement survivre pendant toute la période "guerre" où elle n'intervient pas, le seul moment où elle revient, c'est pour dire à quel point le joueur est merveilleux et qu'elle veut finir sa vie avec lui.
Le pire c'est le chemin SS, où Rhea se lamente que sa mère, qu'elle voulait juste revoir une dernière fois, a légué ses pouvoirs à Billy et s'en est allée - et on sait que non, Sothis est là! Sothis pourrait lui dire quoique ce soit, une boutade, un câlin, un truc quoi! Et non!
Il faut que Billy ait un rang de soutien S avec Rhea pour qu'enfin, la réunion tant attendue arrive (off screen, bien entendu) et que Rhea dise qu'elle s'est entretenue avec sa mère (pour ensuite demander à Billy si elle devrait mourir... je ne sais pas ce qu'elle se sont dit, mais wow).
Il y a aussi les petites piques gratuites pendant la partie académie du jeu qui, avec le bénéfice d'un new game +, paraissent vraiment acerbes et déplacées ; je crois qu'il y a un moment où elle reproche à Rhea de ne pas avoir su déceler que Tomas était un agent double (oui, le même Tomas qui est en fait Solon, mais Solon utilise un... euh, costume, pour se faire passer pour Tomas, et est à Garreg Mach depuis un certain temps!) alors que Sothis elle-même s'est battue contre les Agarthains (agarthais?) et n'a apparemment pas réussi à tous les éliminer, si Thales et compagnie sont encore là.
Il y a aussi le petit passage, dans son paralogue, où elle et Billy se rendent à Zanado, ils se font attaquer par des monstres, les élèves viennent les aider, et à la fin, Sothis trouver un morceau d'acier noir, et pense que c'est quelque chose qui leur sera utile pour la suite. Le drame, c'est que l'acier noir, c'est le matériau qui est utilisé pour réparer les Reliques de Héros, dont le matériau principal, ben c'est du Nabatéen. Donc soit Sothis a ramassé l'orteil d'un de ses rejetons et pense que ça sera utile plus tard pour forger un truc (sans savoir que c'est un orteil!), soit les développeurs n'y ont pas vraiment pensé, mais vu que lorsqu'on gagne de l'acier noir lorsqu'on vainc un Nabatéen dans le jeu, je pense quand même qu'il y a un lien.
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Après il y a aussi les apparitions dans les jeux dérivés - dans FE Heroes, pendant le dernier lot de personnages d'Halloween il y avait une Rhea d'Halloween, et une Sothis d'Halloween. Généralement les développeurs font un mini-scénario avec les personnages, et Sothis mentionne qu'elle est la divine ancêtre, donc techniquement, elle sait (?) qu'elle a des enfants, et que peut-être la réunion tant attendue entre Rhea et sa mère peut enfin avoir lieu...
Mais non, Sothis demande à Billy de mentir pour ne pas révéler à Rhea qui elle est et on en revient au point de départ, Rhea qui meurt d'envie de revoir sa mère, et sa mère qui n'en a rien à faire.
Je trouve ça franchement moyen.
Dans le dernier Smash Bros, Billy est un personnage jouable et pour sa cinématique d'entrée, il y a une petite cinématique où apparaît Sothis. Billy fait une vanne, Sothis trouve ça très rigolo et lui donne des armes, parce que Billy l'amuse, pour aller se battre contre les Mario, Pikachu, Rondoudou et compagnie. Le souci, c'est que ces armes, ben c'est les Reliques de Héros des Lords (+ Aymr qui n'est techniquement pas une relique) dont 2/3 sont faites à partir des os de ses enfants...
Alors est-ce que le développeur de smash bros, en faisant cette vidéo, ignorait tout du scénario de 3 Houses et ne savait pas ce que c'était ces armes bizarres? Peut-être, néanmoins, ce développeur (Sakurai) étant un grand fan de la série et un fan en général, j'en doute.
Quelqu'un avait posté il y a quelques temps que même si ce n'était pas l'intention des développeurs, et qu'on est pas vraiment sûrs de ce dont Sothis se souvient, le jeu est quand même, pour partie, centrée sur Rhea qui est dans le rôle d'une enfant qui veut revoir sa mère après leur séparation brutale et que Sothis la reprenne dans ses bras... et Sothis qui ne s'en souvient pas, qui participe à l'épouvantail "mais Rhea c'est peut-être une méchante!!" dans la première partie du jeu, qui ne veut rien avoir à faire avec elle et qui semble se méfier d'elle, bref, d'une mère qui ne veut pas s'occuper de son enfant.
Loin de moi de faire une généralité sur l'instinct maternel et tout ça hein, je penserais la même chose de Gilbert si Gilbert n'était pas déchiré par sa culpabilité d'être un chevalier raté et de refuser de voir sa fille et sa femme parce qu'il pense qu'il leur causera du tort, mais qui malgré tout pense à elles tout le temps et a fait des petites poupées en bois pour Annette, qu'il n'a jamais eu le courage de lui envoyer.
Mais on est quand même sur une relation Rhea/Sothis très très bancale.
La série Fire Emblem nous a habitué à mieux!
Dans le sens inverse, dans le 7ème opus, il y a un enfant, qui ne se souvient pas du tout de son père, qui ne peut s'empêcher de pleurer quand ce dernier meurt.
Dans le 8ème opus, Myrrh est obligée de se battre contre son père, transformé en zombie... et s'accorde quelques lignes pour le pleurer.
Dans le 10ème opus, même s'ils sont dans des armées différentes, un père ne va pas se battre contre sa fille (je ne sais pas si Brom déserte ou si juste, ils ont une conversation mais le menu de combat n'est pas disponible). Dans le 5ème opus, plusieurs fois, les parents de Mareeta ne vont jamais riposter quand elle les attaque.
Bref, dans cette série, pour moi, le point fort ce sont les personnages, et si les parents attaquent très rarement leur progéniture, quand des membres d'une famille se tuent (ou un membre de la famille est tué en off screen), il y a généralement des lignes ou quelque chose. Là ? Il n'y a rien. Rhea pourrait être la dame d'accueil du guichet de La Poste d'à côté que Sothis n'y prêterait pas plus attention.
Rhea se venge et élimine l'homme qui a tué sa mère.
Sothis épouse l'homme (ou la femme) qui tue sa fille.
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