Tumgik
#c'est une image
perdrelacellule · 3 months
Text
Je sais plus si je l'avais dis ici mais je suis un cours sur l'IA de IBM et un des intervenants a 15 ANS et ça me révolte genre d'où tu es spécialisé dans un domaine à 15 PIGES, moi je suis quasi sûre que je mangeais encore mes crottes de nez à cet âge-là.
21 notes · View notes
andresylupin · 6 months
Text
Bonjour j’adore Pirates des Caraïbes, et j’adore en particulier la VF de Pirates des Caraïbes du coup j’ai voulu faire une petite étude en dilettante de la VF sur les quatre premiers films (FLEMME du cinq).
C’est plus une compilation de passages de la VF que je trouve intéressants, drôles, étranges, etc, que vraiment quelque chose de poussé : j’ai fait ça pour le fun et pour revoir la quadrilogie ✌
Comme c'est quand même long, ça va être là-dessous :
Avant toute chose, j’aimerais faire une remarque globale sur la VF de PotC : il y a deux différences fondamentales avec la VO, qui font qu’on « perd » quelque chose d’essentiel de l’univers de PotC. Il s’agit des accents et du vocabulaire pirate : pour les accents, même si les accents dans la francophonie existent également, il serait très compliqué de faire des équivalences directes avec les accents de l’anglophonie. De fait, ces accents sont des marqueurs géographiques et sociaux propres à la langue anglaise, qui s’inscrivent dans un contexte culturel étranger à un public francophone. Il s’agit donc de nuances qui soit ne seront tout simplement pas transmises par la VF, soit se retrouveront plus ou moins dans des tentatives de localisation. Je ne me suis pas vraiment intéressée aux accents ici, mais je trouvais important de le souligner.
Deuxième aspect donc, le vocabulaire pirate : il s’agit d’un corpus linguistique très ancré en anglais ; je ne suis pas experte, mais je pense que le « parler pirate » évoquera bien plus de choses à un anglophone qu’à un francophone. Il y a tout un dictionnaire de termes spécifiques pour les pirates anglais qu’on ne retrouve pas en français, où les pirates évoqueront plutôt un vocabulaire maritime plus global (non pas que le parler pirate anglais soit si séparé que ça du parler maritime anglais, mais j’ai quand même l’impression qu’il y a une distinction et un imaginaire bien plus forts chez les anglais que chez nous sur ce vocabulaire).
Du coup, via ces deux aspects, y a pas mal de mots d’argot, de vocabulaire spécifique, de tournures du XVIII, etc, qui sont intéressants à regarder mais je ne les citerai pas tous, parce que ça serait trop long, et parce que je n’aurai pas forcément toujours plus intéressant à dire que « eh bah ils ont traduit ça comme ça, voilà ». J’ai dit plus haut qu’avec la VF on « perdait » ces aspects, mais je vais nuancer mon propos : il s’agit tout simplement de différences culturelles inhérentes aux deux langues, et on sait bien que le rêve de la traduction directe et absolue est inatteignable (et c’est ce qui rend cette discipline si fascinante !).
Dernière petite chose avant de commencer, la version française de Pirates des Caraïbes a été réalisée par Dubbing Brothers, avec Hervé Bellon comme directeur artistique et Philippe Videcoq sur l’adaptation. Je vais surtout parler ici du texte même de la VF, mais l’interprétation fait tout autant partie de l’expérience pour moi, et je vous invite donc à aller consulter la liste des fantastiques comédiens de doublage ayant travaillé sur ces films.
Sur ce préambule beaucoup trop long, on peut commencer avec La Malédiction du Black Pearl :
J’aimerais qu’on s’arrête sur le titre 2min, pour commenter la décision de ne pas avoir traduit le nom du bateau (ce ne sera d’ailleurs pas le seul dans ce cas-là) : la raison la plus probable est que le navire est souvent désigné en VO par « the Pearl » et qu’en VF il y avait risque de confusion entre le genre masculin de bateau/navire/vaisseau, et le genre féminin de perle ; du coup le nom du bateau reste en anglais tout le long de la VF. Cela dit j’aurais quand même apprécié que la traduction du nom soit dite à un moment ou un autre, parce que « La Perle Noire » sonne tout aussi chouette en français. D’ailleurs nos amis québécois ont, comme à leur habitude, traduit directement le nom dans le titre du film, et je serais curieuse de savoir si c’est le cas dans la VQ du film entier ? S’il y a des québécois qui lisent ceci 👀
Bon et maintenant on peut vraiment commencer (globalement dans l’ordre chronologique du film) :
Tumblr media
Juste un petit point idiomatique (prenez un shot dès que je ressors ce mot), rien d’extrêmement foufou, mais j’aime cette différence ouvrir son cœur/speak one’s mind, qui donne une tournure tout de suite plus romantique à Norrington en VF (si on avait voulu rester proche de la tournure anglaise, peut-être « dire le fond de sa pensée » ? Mais ça a une connotation presque agressive je trouve, moins cohérent dans le contexte et plus long, donc bof). Je trouve aussi que la formulation même de la VF, où Norrington s'adresse directement à Elizabeth trois fois (!) dans sa phrase, participe à cet effet romantique plus poussé.
Tumblr media
J’adore le choix imagé d’expression de la VF, 10/10, ils ont vu l’opportunité et ils l’ont saisie, vive la traduction (⁠ノ⁠◕⁠ヮ⁠◕⁠)⁠ノ⁠*⁠.⁠✧
Tumblr media
Echange iconique bien sûr, je voulais juste souligner ici que la VF se retrouvait un peu coincée – difficile de traduire « the worst pirate » de façon littérale avec « le pire pirate »… – et que l’alternative choisie est vraiment chouette (limite plus méchante presque) ! Petit détail, je trouve curieux que le « ever » passe à la trappe, on aurait pourtant pu avoir « dont on m’ait jamais parlé » mais peut-être que c’était chaud niveau synchro labiale.
Tumblr media
Peut-être encore une histoire de synchro labiale mais je trouve rigolo la façon dont « wickedness » devient « débauche et perversité » : le français, cette langue dramatique !
Tumblr media Tumblr media
J’ai mis ces deux-là ensemble, puisque dans les deux cas, c’est définitivement un souci de synchro labiale qui nous emmène sur une traduction erronée. En effet « excellent form » est un compliment sur la qualité d’épéiste de Will, et non pas sur son énergie comme dans la VF. On va dire que l’esprit du compliment reste globalement le même.  Quant à « Ta » on est bien sûr sur un « merci » de la part de Jack (sa passe d’armes avec Will lui a permis de se retrouver en direction de la porte), mais ça ne colle pas au niveau des lèvres, et donc on se retrouve avec un « Ah » de satisfaction !
Tumblr media
Petit exemple de ces histoires de vocabulaire dont je parlais en intro, « bonny lass » qui devient « demoiselle en détresse » : très compliqué de rendre l’effet en VF, puisqu’on est sur des mots de moyen anglais/écossais (et même français en fait au départ) et scandinave, qui font partie de l’imaginaire d’un film d’époque avec des pirates pour les anglophones. La traduction fait donc comme elle peut, rien à redire, même si elle met Elizabeth en position plus vulnérable que la VO. Peut-être « bonne amie » aurait pu fonctionner ? On retrouvait cet aspect un peu vieillot du coup.
Tumblr media Tumblr media
Comme pour le point précédent, on est sur deux histoires de vocabulaire et contexte culturel : « aye » et « avast » sont sans doute deux des mots les plus clichés auxquels on peut penser lorsqu’on veut évoquer l’univers de la piraterie (ou marin en général), et même si la VF est tout à fait exacte sur la signification, elle transmet beaucoup moins l’impression de ridicule qui se dégage de Will alors qu’il tente sa meilleure imitation de pirate (d’où les soldats qui se foutent de sa gueule après et Jack qui lui lance un bombastic side eye). Quant à « savvy », un autre classique du vocabulaire du XVIIIe, et une expression que Jack Sparrow affectionne particulièrement, il est ici impossible de traduire directement sa signification, et on va donc se contenter d’un « ça te va ? », qui reviendra régulièrement au long de la saga, avec des variantes de traduction telles que « compris ? » ou « pas vrai ? ». J’aurais bien tenté un « Tu piges ? » mais à cette époque « piger » n’était pas encore associé à la notion de compréhension.
Tumblr media
C’est, très sincèrement, une de mes répliques préférées du film : je trouve que la VF qui insiste sur « Ils NOUS ont volé le navire ! » rend la phrase bien plus drôle, et l’intonation de Constantin Pappas est vraiment dans ce registre de « papaaaa il m’a pris mon jouet :(( >:((( », bref, un moment extrêmement qualitatif pour moi dans cette VF 💖
Tumblr media
Petite remise en contexte, Jack a demandé à Will ce qu’il pensait du doux et enivrant parfum de Tortuga, et Will répond ceci. Je trouve cette traduction intéressante car très directe, et pas du tout dans l’allusion de la VO. Alors certes, ce qui sera subtil dans une langue ne peut pas forcément l’être dans une autre (tbt les sous-entendus grivois d’Agents très spéciaux…), mais je me demande si ce n’est pas aussi symptomatique de cette honnêteté brutale dont apparemment nous français serions pourvus, d’après les états-uniens ? Si on trouve que ça schlingue, on va pas se gêner pour le dire ¯⁠\⁠_⁠(⁠ツ⁠)⁠_⁠/⁠¯
Tumblr media Tumblr media
Gibbs est probablement l’un des personnages utilisant le plus d’argot et de vocabulaire pirate/XVIIIe, et ce n’est jamais simple de traduire ce genre d’expressions idiomatiques. J’ai pris ces deux premières, à savoir « Mother’s love! » et « Blast! » pour l’exemple, et aussi parce que le « T’es malade !? » pour « Blast! » revient plusieurs fois pendant la saga. Je trouve d’ailleurs que c’est un choix un poil trop moderne pour un mot comme « blast », mais je n’ai pas d’alternative à proposer alors 🤷... Quelque chose comme « Sacrebleu ! » aurait sans doute sonné trop ridicule à des oreilles francophones, donc pourquoi pas « t’es malade » finalement, qui est dans une tonalité plus comique. Notons aussi que la VO réveille simplement un homme, alors que la VF réveille un ami ! Je ne saurais expliquer cette différence, par contre j’apprécie ce que cela apporte à la relation entre Gibbs et Jack, surtout qu’en VF Gibbs vouvoie Jack, ce qui correspond bien à la différence de statut dans leur relation, mais du coup je trouve ça chouette que leur premier échange mentionne l’amitié.
Tumblr media Tumblr media
J’ai mis ces deux-là ensemble car ils sont dans le même registre un peu dicton/proverbe, qui, comme pour l’argot de Gibbs, sont durs à retranscrire car très souvent idiomatiques. Autant je trouve qu’on s’en sort bien sur le premier, avec un bonus rime en prime (même si la signification est légèrement altérée), autant je trouve que le deuxième fait malheureusement lourd et maladroit. Certes on garde la même structure, avec la même répétition pour « behind » et « place » mais la VF ne sonne pas du tout naturelle dans la première moitié, et en plus « ne pas rester à sa place » rajoute une ambiguïté je trouve. Mais là non plus pas sûre d'avoir beaucoup mieux à proposer 😅 J’essaye de trouver une autre proposition avec « Tout homme à la traîne… » mais pour l’instant impossible de trouver la deuxième partie. A revisiter une prochaine fois ! Surtout qu’il faut penser au fait que l’expression est reprise plus tard par Will pour expliquer l’absence de Jack, et là effectivement le « laissé sur place » fonctionne très bien.
Tumblr media
Ressortez vos verres à shot, c’est le point idiome ! Je trouve rigolo que les moutons se transforment en œufs, voilà c’est tout (⁠◍⁠•⁠ᴗ⁠•⁠◍⁠) non en vrai c’est pas tout, au-delà de ça, c’est intéressant de voir qu’en VO l’insulte est en rapport avec la bêtise supposée d’une personne, alors qu’en VF c’est plutôt un intellectualisme trop zélé qui est critiqué (on remarque au passage que « tête » s’est substitué à « crâne », sans doute pour éviter de penser à l’usage plus courant de l’insulte pour la calvitie). On se prend d’ailleurs une balle perdue juste après, puisque la VO nous affirme que « That would be the French. » alors que la VF nuance juste un brin : « C’est sûrement les Français. »
Toujours dans la catégorie insulte, je rajoute un petit bonus sans image pour rappeler que la synchronisation labiale continue d’avoir son importance et qu’il ne faut pas la sous-estimer dans les choix de traduction : plus tard dans le film, Gibbs s’adresse à son équipage comme ceci en VO : « Do it, you gobs, or it’s you we’ll load into the cannons! ». En VF, cette phrase devient : « Exécution Gobs, ou c’est toi qu’on chargera dans les canons ! ». Donc d’une adresse générale avec une insulte, on arrive à un ordre donné à un pirate spécifique, dont l’insulte est devenue le nom. Et la synchro labiale est la seule chose qui explique ce choix !
Tumblr media
C’est pas grand-chose mais j’aime beaucoup ce choix de traduction qui fait ressortir la personnalité d’Elizabeth voilàààà ✌️ vraiment « jpp » avant que ce soit cool.
Tumblr media
Que dire, si ce n'est : 🐓🥖🥐🐸🍷
Tumblr media Tumblr media
Bon alors ça c’est vraiment pas de chance, mais évidemment à l’époque les traducteurs ne pouvaient pas prévoir que Davy Jones deviendrait un antagoniste principal de la saga, et que donc ça aurait été plus pertinent de garder son évocation dans la VF, même si ça parle beaucoup moins à un imaginaire francophone. On ne leur en voudra donc pas d’avoir choisi des équivalents mythologiques.
Tumblr media
Nous sommes ici face à un choix de la part des traducteurs d’omettre la référence initiale, probablement parce qu’ils ont jugé qu’un public français serait moins familier avec l’expression ? Cette réplique (extrêmement stylée) de Barbossa s’inspire en effet de cette caractéristique des cartes médiévales où lorsqu’on arrivait dans des territoires inconnus et donc non cartographiés, on pouvait marquer « Hic sunt dracones » donc « Here be dragons » car il était d’usage de dessiner des créatures dangereuses dans ces terres non explorées. Cette expression est passé dans le langage courant en anglais (enfin courant… ça reste niche, mais en tout cas c’est quelque chose qui peut se dire) alors qu’en français… « hic sunt dracones » n’a jamais vraiment eu d’expression française traduite qui aurait pu prendre de l’ampleur (d’ailleurs selon wikipédia en fait il n’y aurait que deux cartes connues où cette histoire de dragon serait marquée ; généralement les cartographes utilisaient « hic sunt leones ». Bref). Quoi qu’il en soit, on perd totalement cette référence en VF, ce qui est un peu dommage, mais compréhensible vu le contexte. En contrepartie, je trouve que la VF sonne bien plus menaçante : tu es piégé sur cette île où tout le monde veut te tuer Jack !
Et voilà qui conclut ce premier post sur la VF de Pirates des Caraïbes 😊 comme je le disais dans l'intro, ce n'est pas exhaustif, j'essaye quand même d'avoir des petites choses à dire pour chaque traduction que je prends, et des fois ça ne va pas au-delà de "oooh intéressant ils l'ont traduit comme ça !" donc pas vraiment la peine de l'inclure (après si vous êtes obsessif comme moi sur ce genre de sujet, revoyez tout simplement le film en VF avec les sous-titres anglais, ça fait très bien le taf 👍)
J'espère que ça vous a intéressé, que c'était suffisamment lisible, et j'espère mettre moins longtemps à faire les trois autres maintenant que je suis lancée !
7 notes · View notes
moinsbienquekaworu · 2 months
Text
I'm going to Give The Fuck Up
#okay i'm writing the rest in french 1) for spyld purposes because it's 1am but still#and 2) so i can pull that post out next time i'm seeing a therapist and maybe they'll take me seriously#donc je suis censée avoir fait un essai et une présentation pour demain (enfin. dans genre 8h)#et j'ai un autre exposé pour vendredi#j'ai rien commencé j'y arrive pas je peux pas#je suis au bout du bout j'arrive pas à me forcer à le faire je peux pas#c'est comme si ça faisait 4 ans que je courrais et qu'on me demandait de faire un sprint final#genre j'ai encore de l'énergie. mais bien sûr. je suis encore debout et c'est un miracle mais oui grave je vais sprinter#je vais aller en cours demain je vais dire au prof que je peux pas et que j'ai pleuré dessus plusieurs fois (ce qui est vrai)#et lui demander ce que je peux faire parce que là c'est pas possible#et on va voir!#je suis au bout de ma vie je n'en peux plus#plus le temps passe plus je me dis que ça vaudrait le coup d'abandonner et de rater mon année juste pour que ça s'arrête#ça fait des ANNÉES qu'à chaque période d'exam j'ai l'impression d'être un tout petit animal#qui s'est replié dans un coin de la pièce parce qu'un prédateur se rapproche#je suis dos au mur y a nulle part où aller et la menace se rapproche encore et encore et je peux rien faire#et je suis hors de moi tellement j'ai peur et je suis stressée#des mois et des mois que j'ai cette image de moi en toute petite souris qui gratte frénétiquement le mur derrière elle#parce que je peux pas aller devant moi. c'est là qu'y a le prédateur et je peux pas! je peux pas!!!#je peux pas fuir par là mais c'est la seule sortie et je vais pas y arriver et il faut que je parte il faut que je m'en sorte#si je reste là je vais mourir mais y a nulle part où aller et je suis pas en état de prendre une seule décision logique#je suis juste en train de paniquer et je peux rien y faire et il faut que je sois ailleurs où que ce soit mais pas ici pas ici pas ici#et toutes les fois où j'ai réussi à me mettre aux devoirs j'ai réussi à esquiver les conséquences mais pour combien de temps?#j'ai une semaine de répit. deux peut-être. et des fois ils faut que je le refasse immédiatement après et j'ai plus ce qu'il faut#si j'arrivais pas à me détacher de ça je serais paralysée toute la journée et je pleurerais au moins deux fois par jour#je mangerais pas je boirais pas je me doucherais certainement pas je parlerais à personne et je ferais absolument rien#rien qui me fait plaisir rien qu'y faut que je fasse rien rien rien. je serais figée tellement je suis stressée#du coup j'ignore et on dirait plus ou moins que ça va de l'extérieur mais je fais des crises de nerfs toutes les semaines#wow i have a ramble tag now
3 notes · View notes
ficuscircus · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
"Parce qu'entre nous c'est lentement" : le ✨ rota ✨
J'associe tellement de chansons à cette fic que je voulais en garder une trace ! En voici un aperçu : elles correspondent parfois à des ambiances, parfois à des passages précis... Et elles me ramènent toujours aux blorbos. Bonne lecture et bonne écoute 🤗
💕 Fic par l'incontournable @bourbon-ontherocks 🎼 Modèle par Freepik
11 notes · View notes
meirimerens · 9 months
Note
Cheeky soirée relecture de Pierrot sur le rivage ce soir psqu'il pleut et que j'ai mon petit mug de soupe et tout donc il fait un temps de fou pour se retaper les classiques<33 mm anon que la derniere fois btw shdkkf jvoulais juste the tenir au courant de ma consommation régulière de tes ouvrages BREF jtm j'adore to taf etc etc le mur mes mains le sang tmtc
SALUT BESTIEEEE HONORÉ DE TE SAVOIR DE RETOUR SUR LE GRIND..... J'EN SOURIS j'en rougis... j'en fait battre mes petons en l'air en étant couchée sur le ventre etc. mains sous le menton et tout.
en vrain honoré pour vrai de vrai que PSLR te plaise.... j'en aurais pleuré du sang pcq j'avais complêtement perdu l'habitude d'écrire en français... et je sais que je le répète à chaque fois mais c'est pcq ça me touche vraiment beaucoup que les [checks notes] 2.5 francophones de mon audience le lisent..... rougissement + petit rire coquet + etc. amuse-toi bien.... à 2h du mat? tu relis pierrot à 2h du mat? honnêtement je respecte le grind.
2 notes · View notes
thehermitsacedia · 2 years
Photo
Tumblr media
Je me rappelle Qu’il me parlait aussi, que la lumière est belle ! Je l’aime d’être bon, moi qui suis le mauvais. Oh ! le temps d’un éclair, hélas ! si je pouvais Au fond de mon chaos voir son ombre apparaître ! Je l’adore, ô terreur, plus que Jephté son prêtre, Plus qu’Amos son prophète et David son chanteur.
34 notes · View notes
wariocompany · 1 year
Note
j'aime bien comment c'est toi qui ramasses toutes les questions à propos du débat sur les crayons alors que c'est moi qui ai fait le sondage (je me plains pas cela dit mdr)
C'est que je suis un arbitre neutre qui est neutre au point qu'il peut même prendre un parti.
4 notes · View notes
evergardenwall · 1 year
Text
just finished reading kakeochi girl and i am emotional 😭 this manga was so beautifully drawn and the story was so. intense. et bravo les lesbiennes...
4 notes · View notes
ordalya · 11 months
Text
Cette semaine, j'ai vu 2 fournisseurs différents au boulot. Il y avait 3 femmes sur 4 intervenants. Ça fait du bien de discuter avec autre choses que des bonhommes de temps en temps. Et ça me fait dire que pour mon prochain boulot, j'aimerais bien avoir des collègues et des chefs qui ont une meilleure répartition homme/femme.
Parmi le groupe de travail régulier où les chefs sont là, je suis la seule femme (sur 10 participants !), sur les techniciens, 2 femmes sur 7. Ça ne me dérangerait pas que la répartition soit plus équilibrée. Il y en a un qui veut faire réunion sur réunion ; un autre est tellement fort en délégation que je ne sais pas ce qu'il fait de son temps libre ; y en a un autre qui ne dit rien et un autre encore qui dort, seulement réveillé quand on parle €€€. Parfois quand ils sont tous en forme, la réunion tourne à celui qui a la plus grosse, tout en disant des âneries.
0 notes
Des scènes de violence incroyables aujourd'hui à Paris. Ici on lynche et brûle une statue/un pantin à l'effigie de Salluste, ministre des finances.
Tumblr media
0 notes
papyjeanmarry · 2 years
Video
youtube
Papy Jeanmarry LES MURS PORTEURS #0001512guitar #000331513song
0 notes
mithridas · 2 years
Link
Les ramifications puantes derrière les dicours des transphobes suite à la polémique sur le Planning familial.
0 notes
soeurdelune · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
The Angry Sheperd, l'auberge des malfrats, sur Concrete Jungle
Vous êtes cordialement invité·e·s par @rollinginthedeep-swan et moi-même à venir installer vos personnages les plus grigous et scélérats au Angry Sheperd. Imaginez une auberge pour les grands vilains, le mélange incongru entre l'hôtel Continental dans John Wick et une taverne victorienne... Refuge de la lie et des bandits de passage, terrain neutre où s'échangent les bonnes (et mauvaises) adresses, le bar est poisseux de whiskey, les ex voto accrochés aux murs semblent juger les crimes commis, peut-être commencerez-vous une partie de fléchettes avec des faussaires ou des tueuses en cavale...
Votre personnage y croisera assurément Walter ou Alexandria, les maîtres de l'auberge, et peut-être se liera-t-il d'amitié avec les autres forbans locaux 👀
Pour résumer, si vous aimez les city sombre et que vous cherchez un endroit où installer votre personnage sans prendre un pl ou un scénario, on sera plus que ravies de vous réceptionner au Angry Sheperd. Les clients sont dorlotés (non c'est faux), les chambres sont un tantinet miteuses, mais vous ne risquerez pas de vous ennuyer ♡
☞ crédits moodboard: Swan (images 1, 4 et 5) + lune (images 2, 3 et 6)
76 notes · View notes
lilie-stuffs · 27 days
Text
Partage
Hello ! Je vois de plus en plus de créateur-ices partager leurs ressources via les tableaux pinterest. Je vais donc faire de même et surtout tâcher de les maj régulièrement. J'ai tendance à enregistrer directement sur mon pc, mais les avoir tout ça dans un tableau c'est bien aussi. Voici donc les principales ressources / techniques photoshop et sources d'inspiration que je peux utiliser, ou pas xD : •• ressources graphiques •• techniques photoshop •• inspiration graph
Je précise que rien ne m'appartient, tout revient de droit aux auteurs originaux des images et tutoriels, comme toutes les photos que nous utilisons des célébrités.
Voilà voilà !
46 notes · View notes
Photo
Tumblr media
C'est fou comme les gens ont de moi cette image de femme sophistiquée, glaciale. C'est une telle erreur, c'est tellement mal me connaître.
- Catherine Deneuve on herself in Belle de Jour (1967)
In anticipation of a new film this summer by Catherine Deneuve called ‘Bernadette’ where she plays Bernadette Chirac, the wife of French Jacques Chirac, I’ve been re-watching some her back catalogue of films. She’s done over 64 films and at almost 80 years old she’s still going strong. And yet out of her many films I’ve always been drawn back to one film which has become a cult classic. Watching it and re-watching it and even gorging on books on its making, new intriguing details reveal themselves about this landmark French art house classic - Belle de Jour (1967).
I once had the privilege of having dinner with her - or rather sat around the same table - through a Parisian host and his lovely wife who had gathered an eclectic group of friends across generations together. I was too self-conscious to talk about her film career directly. I was on surer ground when we indulged in small talk where she was perfectly down to earth and very pleasant. I felt it would be rude to go all fan girl on her and pepper her with questions about Belle de Jour in particular as she’s known to be very ambivalent about her experience of the film - a film that really defined her in the eyes of many people.
But it didn’t mean she didn’t recognise its cultural importance though as she was quite happy to amuse us with a funny story about Belle de Jour. A newly restored 35mm version was funded by the fashion house Saint Laurent back in 2018. Deneuve always had a close relationship with Yves Saint Laurent and also the fashion house. She was the one to introduce Buñuel to Saint Laurent. So the fashion house had a glitzy premiere in New York. But they didn’t count on many of their guests being late. Most of the guests were stuck in the New York traffic and the rain. However Martin Scorsese was the only one to get out of cab and run like a mad man through the pelting rain and huge traffic. A true cinephile, he was so desperate to see the film restored to its former glory that he would go to any lengths to see it.
Tumblr media
In Belle de Jour, Catherine Deneuve, whose limpid beauty is capable of sustaining any interpretation, is a perfect Severine and demonstrates a remarkable control in progressing, with enormous economy of gesture and movement, from frigidity to physical warmth as the bored housewife who indulges in part time sex work.
“I felt they showed more of me than they’d said they were going to,” Catherine Deneuve remarked to Pascal Bonitzer in 2004, about the making of Luis Buñuel’s 1967 Belle de jour. “There were moments when I felt totally used. I was very unhappy.”
The story of Séverine, a deeply disenchanted haute bourgeois Paris housewife who finds erotic liberation through byzantine psycho-sexual fantasies and part-time work at an upscale brothel, Belle de jour certainly made extreme demands of Deneuve: her character is flogged, raped, and pelted with muck, among other assaults. But despite her objections to the way she was treated and her difficulties with Buñuel, Deneuve’s performance in Belle de jour turned out to be one of her most iconic.
Tumblr media
Deneuve, who had become a star only three years earlier, as the melancholy jeune fille in Jacques Demy’s 1964 all-sung musical The Umbrellas of Cherbourg, was just twenty-three when Belle de jour came out; notably, Buñuel’s film was released in France less than three months after Demy’s radiant, MGM-inspired musical The Young Girls of Rochefort, starring Deneuve and her real-life sister Françoise Dorléac.
But Belle de jour, more than any other film from the first decade of her career, defined what would become one of the actress’s most notorious personae: the exquisite blank slate lost in her own masochistic fantasies and onto whom all sorts of perversions could be projected. (Deneuve as deviant tabula rasa was first seen in Roman Polanski’s 1965 Repulsion, in which she plays a damaged beauty plummeting into psychosis; but Belle de jour doesn’t portray its heroine as mad, instead remaining deliberately ambiguous about the origins of her unconventional desires - and presaging the bizarre libertines she would later play in such films as Marco Ferreri’s Liza, 1972, and Tony Scott’s The Hunger, 1983.)
Tumblr media
Buñuel was at a very different stage of his career from his young star, but Belle de jour represented a peak for him as well, the greatest - and most successful - film of his extremely rich late period. These works, bookended by 1964’s Diary of a Chambermaid and 1977’s That Obscure Object of Desire (his final film), were made mostly in France - where Buñuel had begun his filmmaking career with the incendiary, surrealist Un chien andalou (1929) - following the exiled Spanish director’s two decades in Mexico.
Many of these late projects were cowritten with Jean-Claude Carrière and focus intensely on sexual perversion (a theme that recurs throughout Buñuel’s work). Belle de jour certainly falls into that category, and also, typically, skewers the entitled classes. Yet it stands out as the director’s most intricate character study—but of a protagonist who resists definition; the heroine, frequently trussed up and mussed up, retains an odd, opaque dignity in her debauchery.
Tumblr media
In that same interview with Bonitzer, Deneuve was judicious enough to distinguish her experience of making Belle de jour from the final product, calling it a “wonderful film.” But her first meetings with Buñuel hinted at the duress that was to follow. According to John Baxter’s 1994 biography, Buñuel, it took time for the director to “warm to” his star: “He felt, with some justice, that she had been foisted on him, first by the Hakims [Belle de jour’s producers], then by her lover of the time, François Truffaut.” After dining with Buñuel at his house, the book recounts, Deneuve “left with little more than an impression that he disliked actors in general and was reserving his decision about her. The only advice he offered was the advice he had always given actors: ‘Don’t do anything. And above all, don’t . . . perform.’”
Though Deneuve deferred to her director, she was no puppet; Belle de jour is as much hers as Buñuel’s. The filmmaker, famously resistant to “psychological” interpretations of his work, stuffs Belle de jour with his trademarks, confounding any attempt to parse meaning: the surrealist blurring of fantasy and reality, fetishism, sexual perversion, blasphemy.
But as Séverine, Deneuve, despite operating in the nebulous realm between dream and waking, imbues the film with irresistible and very real lust - and luster. Sporting the chicest Yves Saint Laurent finery, Deneuve revels in the peculiar desires of her character while always inviting our own. As Buñuel himself acknowledges in his 1984 autobiography, My Last Sigh (published a year after his death), Belle de jour “was my biggest commercial success, which I attribute more to the marvelous whores than to my direction.” (Per Baxter, after the filming of Belle de jour, he would finally admit of his star, “She’s really a very good actress.”) Deneuve’s gift was to update the world’s oldest profession for her still-expanding résumé.
Tumblr media
The director had some modifying to do as well. Buñuel, who adapted Joseph Kessel’s 1928 novel with Carrière, assessed the source material dryly in My Last Sigh: “The novel is very melodramatic, but well constructed, and it offered me the chance to translate Séverine’s fantasies into pictorial images as well as to draw a serious portrait of a young female bourgeois masochist. I was also able to indulge myself in the faithful description of some interesting sexual perversions.”
Tumblr media
He wastes no time in establishing those bizarre erotic proclivities. In Belle de jour’s opening scene, Séverine and her doting husband of one year, Pierre Serizy (Jean Sorel), a handsome, dutiful surgeon, are snuggled close in a horse-drawn carriage; he interrupts the tender moment with the lament “If only you weren’t so cold.” She pulls away, defensive. The sound of horse bells, which has been increasing in volume from the film’s first shot - and will indicate Séverine’s dreams or fantasies throughout - stops. Pierre orders his wife out of the cab; when she refuses, he and the two drivers remove her by force. She is gagged, bound to a tree, and whipped by the coachmen, who are then instructed by Pierre to rape her. When one begins to ravish her, Séverine appears to be in ecstasy.
This carnal reverie is soon interrupted by the Serizys at home, preparing for their usual chaste bedtime ritual. Pierre, in white pajamas, asks his pale-pink-nightie-clad wife, under the covers in a separate bed, what she’s thinking about: “I was thinking about you . . . and us. We were out for a ride in a carriage”—a scenario Pierre has heard before.
Tumblr media
The fantasy clearly belongs to Séverine alone; she finds erotic thrills in her secret thoughts of debasement and humiliation, her florid imagination compensating for her sterile, sexless existence. Her most private desires will soon be realized at 11, cité Jean de Saumur, the address of the boutique bordello run by Madame Anaïs (Geneviève Page), given to Séverine by Pierre’s louche friend Husson (Michel Piccoli).
At Madame Anaïs’s, Séverine - now going by the nom de pute Belle de jour, a reference to her two-to-five shift (she insists on being home when Pierre returns from his workday at the hospital) - is horrified at first but proves to be a quick study. A burly Asian client scares off her two seasoned colleagues with his mysterious, buzzing lacquered box, but she is absolutely transfixed; after the john leaves, she, lying prone on the bed, lifts her head, her luxuriant mane of blonde hair disheveled, to reveal a woman still drunk on orgasmic pleasure.
Tumblr media
The contents of the box are one of the film’s many mysteries (when asked what is inside, Buñuel would reply, “Whatever you want there to be”). Yet the greatest enigma is Séverine herself: why does she recoil from the slightest sexual advance from her husband yet lose herself, both in fantasy and in her new line of work, in elaborate masochistic tableaux? “Pierre, it’s your fault too. I can explain everything,” Séverine insists to her husband in the opening fantasy sequence, as she’s being forcibly removed from the landau. But of course, she can’t - and won’t.
As in Repulsion, there are flashbacks to possible childhood trauma in Belle de jour. In one, a man appears to touch a young Séverine inappropriately; in another, she stubbornly refuses the Blessed Sacrament. But unlike in Repulsion, whose final, prolonged shot of a menacing family photo is offered as the root of Carole’s pathology, these scenes in Buñuel’s film are almost non sequiturs, presented not as psychological explanation but as blips in a baroque sexual surrealism.
Tumblr media
As Séverine’s reveries and job demands become stranger and more mysterious - in one daydream, she is pelted with thick black mud by Pierre and Husson, who call her “tramp” and “slut”; a ducal client solicits her in the bois de Boulogne to perform in a necrophilic rite - Deneuve retains her porcelain, celestial inscrutability, while simultaneously transforming into an earthbound debauchee, delighting in her own defilement. Madame Anaïs (whose early, shameless flirtation with Séverine - who eventually reciprocates - is the first of the many moments in Deneuve’s filmography that would cement her status as a lesbian icon) touts her new employee’s regal bearing to prospective customers: “[She’s] a little shy, perhaps, but a real aristocrat.”
Séverine’s coworkers, Charlotte (Françoise Fabian) and Mathilde (Maria Latour), are constantly remarking on the impeccable cut and style of her ensembles. Yet what this seemingly untouchable goddess craves most is the brutality of her latest john, the thug Marcel (Pierre Clémenti), a rough with metal teeth, a walking stick that doubles as a shiv, and fetishwear (shiny boots of leather with matching overcoat) that could have been dreamed up in an atelier overseen by Kenneth Anger and Pierre Cardin.
Tumblr media
Séverine’s relationship with Marcel will lead to Pierre’s ruin - or does it? The ambiguous ending of Belle de jour suggests that everything that preceded it may have existed only in the heroine’s cracked dreamscape. Like the buzzing box, the film’s final scene is whatever you want it to be.
Yet one thing is certain: Deneuve transcends kink. And despite her misery during the Belle de jour shoot, she would return for even more bizarre treatment three years later in Buñuel’s Tristana, losing both her virtue and a leg.
Almost 55 years after it was made Belle de Jour continues to be a compelling film. It takes on greater curiosity for me as I live in Paris and there are Séverines aplenty that I come across. But the film also speaks to a non-French audience even today as it remains a shrewd commentary on the hypocrisy of social relations and sexual politics. Buñuel invites us to ponder the transgression of a socially respectable woman secretly being a prostitute in the afternoons, but I don’t think he bothered to pose the question why a socially respectable gentleman should be secretly visiting a prostitute in the afternoons - which happens more than one might think and that behaviour is normalised. Something to think about.
152 notes · View notes
awonaa · 10 months
Text
Older faceclaim (directory & resources)
STATUT : ouvert, pour plus d'info, c'est par ici.
Dès que l'on souhaite jouer un personnage plus âgé·e, le choix se réduit drastiquement en terme de faceclaims. On voit toujours passer les mêmes têtes, qui sont très souvent des hommes cis ou des personnes blanches et les ressources se font rares, en général.
À notre échelle, @angemorose et moi voudrions contribuer à lutter contre ce constat !
En créant ce directory, on aimerait offrir de la visibilité à des célébrités plus âgées que ce que l'on voit généralement et en profiter pour rassembler des ressources pour les graphistes et leur permettre de créer sur ces faceclaims.
Ce directory est en cours de construction, on réfléchit, on le met en place, on rassemble des noms, des ressources... Sont inclus pour le moment les infos sur chaque faceclaim ainsi que des liens directs vers des avatars, gifs et galeries de photos.
On espère vous le partager au plus vite, mais pour ça, on a besoin de vous !
Vous voulez nous aider ?
On a commencé le gros du travail, mais il nous manque encore beaucoup de contenu et nos deux cerveaux ne suffiront jamais à offrir un aussi large choix qu'en mettant en commun nos trouvailles !
Envoyez-nous des noms de célébrités nées avant 1980. On aimerait aussi prioriser les faceclaims racisé·es, trans, non-binaire et féminins !
Partagez-nous vos galeries, ce qui nous permettra de mettre à disposition des images pour les graphistes et créer plus de ressources sur ces faceclaims.
Que ce soit en mp, en ask ou en commentaires de ce poste, on notera consciencieusement vos contributions !
On espère que ce projet vous plaira, on a hâte de le publier pour de bon ! Et si vous avez la moindre remarque ou question, n'hésitez pas, on est dispo pour en discuter. 🔥
102 notes · View notes