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#comment séparer deux personnes rapidement
paul123love · 3 months
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RITUEL POUR CONGELER LE NOM DE QUELQU’UN, CONGELER UNE RIVALE
Vous cherchez un moyen efficace pour congeler le nom de quelqu’un un rituel amoureux qui marche ? Découvrez nos meilleures solutions pour donner une touche magique à vos relations amoureuses. Beaucoup de couple se séparent de nos jours malgré que l’amour existe toujours entre eux. Les histoires de couples ne durent plus car il devient difficile de pardonner en amour. Vous désirez éviter de telle…
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maraboutbadou · 7 months
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Rituel à distance pour briser une relation de couple
Comment briser une relation à distance vise à ce que deux personnes s’éloignent physiquement et spirituellement l’une de l’autre. Il s’agit généralement d’un couple, mais il peut concerner également d’autres catégories (des membres d’une même famille, amis, collègue de travail… ). Par ailleurs, notez que ce rituel puissant de magie noir pour briser un couple est destiné à mettre fin…
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toffavoyance · 11 months
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Jeter un sort pour séparer un couple rapide, grand maitre professeur TOFFA, Whatsapp: +229 91 72 86 02
Autre rituel de magie noire pour faire rompre un couple, vengeance pour séparer un couple, faire rompre un couple n’est par un travail d’un simple marabout. Il faut de l’expérience; de l’efficacité et de la compétence pour faire le rituel pour rompre un couple ou une relation amoureuse. C’est ce qui explique le bon nombre de clients insatisfaits qui ne trouvent pas le bon maître marabout…
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assogba · 2 years
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Comment Réaliser pour briser un couple a distance- briser 1 couple a distance.
Comment Réaliser pour briser un couple a distance- briser 1 couple a distance. Comment Réaliser pour briser un couple a distance,comment séparer un couple rapidement,prière puissante Afin de séparer un couple,comment briser 1 couple a distance,payer quelqu’un pour briser un couple,rituel pour briser un couple de suite,comment briser un couple via Facebook,rituel de l’œuf pour séparer un…
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roihangbe · 2 years
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Rituels de magie noire. Sortilège de vengeance, sort de séparation
Rituels de magie noire. Sortilège de vengeance, sort de séparation. Ce puissant rituel de magie noire vaudou vous permettra de vous venger d’une personne et d’attirer la malchance sur la personne visée par le sortilège.
Rituels de magie noire. Sortilège de vengeance, sort de séparation. Ce puissant rituel de magie noire vaudou vous permettra de vous venger d’une personne et d’attirer la malchance sur la personne visée par le sortilège. Si il y a quelqu’un qui vous a fait du mal, vous pouvez vous venger de ce dernier à l’aide de ce très puissant rituel de vengeance de magie noire, envoûter quelqu’un à distance,…
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marie-swriting · 4 months
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Perte De Temps - Jake "Hangman" Seresin [1/2]
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Top Gun Maverick Masterlist
Emails I Can't Send Masterlist
Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Tu n'arrêtes pas de repenser à ta relation avec Jake, malgré votre rupture.
Warnings : angst, fin triste, Jake est un connard, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2k
Chanson qui m'a inspiré : Things I Wish You Said par Sabrina Carpenter
Assise sur ton lit, tu tiens ton téléphone en face de toi avec la photo de contact de Jake sur l’écran. Tu as un grand sourire à l’idée d’enfin pouvoir lui parler. Tu es actuellement en déploiement donc tu n’as pas pu communiquer avec ton petit ami ces derniers jours. 
Après quelques secondes, tu découvres le visage de Jake et tu vois qu’il est sur son canapé. 
-Hey, je suis désolée de ne pas t’avoir appelé avant, c’est la folie ici, t’excuses-tu.
-C’est pas grave, je suis bien placé pour comprendre que ça peut être compliqué d’appeler.
-Bon, qu’est-ce que tu as me dire de beau ? 
-Pas grand chose, c’est assez calme, dit Jake en évitant rapidement ton regard. En fait, je voulais te parler.
-D’accord, tu veux me parler de quoi ?
-Je… Écoute, commence-t-il, nerveusement et tu te redresses, craignant la suite, je ne sais pas comment le dire alors je vais le faire d’un coup, on devrait se séparer.
-Quoi ? Qu’est-ce que tu racontes ?
-Ce n’est pas toi, je te le promets, c’est moi. 
-C’est quoi cette excuse de merde ! t’énerves-tu, perdue. Tout va bien entre nous. Je ne comprends pas pourquoi tu veux tout arrêter. J’ai fait quelque chose ?
-Non, comme j’ai dit, ce n’est pas de ta faute. C’est juste que je veux me concentrer sur ma carrière et…
-Et quoi ? Je suis une distraction ? Tu peux pas avoir une relation et travailler comme un grand garçon ? rétorques-tu, agacée. 
-Je comprends que tu puisses être énervée, mais c’est mieux comme ça, répond calmement Jake, ce qui a le don de te rendre encore plus en colère. 
-Clairement. 
-Y/N, tu es quelqu’un de bien, je ne veux pas que t’en doutes pendant une seule seconde.
La phrase de Jake qui se veut réconfortante te braque un peu plus. Tu ne regardes même plus ton téléphone, un million d’émotions traversant ton corps. Tu n’arrives pas à savoir si tu es plus énervée ou dévastée. Comprenant que ça ne sert à rien d’insister, Jake soupire avant de parler une dernière fois : 
-Je vais te laisser tranquille.
Tu reposes les yeux sur ton téléphone, t’attendant à ce que Jake dise quelque chose d’autre, mais rien. Jake n’ajoute même pas un “désolé” avant de raccrocher, te laissant dans ta chambre, seule et dans un silence lourd. Tu gardes les yeux rivés sur ton téléphone, toujours sous le choc par ce qui vient de se passer. Tu n’arrives pas à comprendre. 
Tu as rencontré Jake il y a environ quatre mois et tout s’est fait rapidement, mais ça ne semblait pas vous déranger. Certaines personnes avaient bien essayé de te prévenir en te parlant de la réputation de Jake avec les femmes, mais tu les avais ignorées. Jake et toi, vous vous étiez tout de suite bien entendus et c’était ce qui comptait. Et puis, tu ne vas pas mentir, il a su te rendre accro en une conversation. Tu avais l’impression que c’était pareil pour lui, que Jake était autant attaché à toi que tu l’étais à lui, maintenant tu en doutes. Ce qui te perturbe le plus dans cette histoire, c’est que votre relation devenait de plus en plus sérieuse, jusqu’à maintenant. Vous vous voyiez dès que vous pouviez, vous aviez même parlé de prendre une maison ensemble. Vous aviez commencé à imaginer un futur ensemble et un coup de fil, Jake vient de tout jeter aux oubliettes. 
Ce soir-là, tu n’arrives pas à lâcher une larme. Tu te dis que tu as sûrement rêvé ce coup de fil. Cependant, le lendemain, quand tu ne te réveilles pas avec le message habituel de Jake te souhaitant une bonne journée, tu prends conscience de la réalité et tu fonds en larmes lorsque tu finis ta journée. Jamais ton cœur n’avait connu une telle détresse, n’ayant rien vu arriver. 
Cinq mois se sont écoulés depuis ce sinistre appel. Tous les soirs, votre dernière conversation tourne dans ta tête, tu repenses à ta relation avec Jake, à la recherche de ce que tu as pu faire de mal et plus tu réfléchis, plus tu réalises que tu as toujours mis plus d’énergie dans cette relation que Jake. Maintenant, tu te trouves idiote pour avoir espéré quelque chose de beau alors qu’on t’avait prévenu que Jake ne savait pas s’engager. Tu pensais être différente. Tu ne l’es pas. Tu te trouves encore plus pathétique car Jake est toujours dans ta tête. Même quand il n’est plus avec toi, il arrive encore à te faire perdre ton temps. 
Ce soir en est encore une preuve. Tu as recroisé Jake lors d’une soirée spéciale pour la Navy. Tu as malheureusement revu Jake et te voilà maintenant allongée dans ton lit à repenser à lui et à cette soirée, mais surtout au moment où tu l’as vu dans le parking en partant, un moment qui ne quittera pas tes pensées pendant plusieurs jours.   
Tu t’es rendue à cette soirée, sans grande conviction. Tu as été accompagné par ton nouvel ami Scott que tu as rencontré lors de ta dernière mission. 
Au début, tu n’avais juste aucune envie d’être là, puis tu as vu Jake et à la seconde où tu as reconnu son rire au loin, tu as voulu fuir la soirée. Scott, en bon ami qu’il est, est resté à tes côtés et a su te divertir. Il a réussi à te faire rire, même si intérieurement, ton cœur se brisait à nouveau. Tu n’as pas parlé de Jake toute la soirée. En fait, tu ne t’es pas approché de lui, tu l’as évité comme la peste. Enfin, jusqu’à ce que ça devienne acceptable de quitter la soirée. À la seconde où la soirée a commencé à se conclure, tu as vite quitté les lieux. En marchant vers ta voiture, tu es tombée face à face avec Jake. Au début, vous êtes restés là, à vous regarder dans le blanc des yeux sans vous parler, puis n’étant pas prête à le confronter, tu as commencé à te diriger vers ta voiture quand Jake t’a retenu.
-Est-ce qu’on peut parler, s’il te plait ?
-Je n’ai pas grand chose à te dire, Jake, avais-tu dit, sur tes gardes. 
-J’imagine que me parler est la dernière chose que tu veuilles faire, mais j’ai besoin de te dire quelque chose.
-Tu en as assez dit la dernière fois, avais-tu déclaré en te tournant pour aller dans la direction opposée à lui.
-Justement, je n’en ai pas assez dit. Tu mérites que je m’excuse.
À sa phrase, tu t’es retournée, choquée. Avoir des excuses de Jake était bien la dernière chose à laquelle tu t’attendais. Tu t’es mis face à lui, les bras croisés sur ta poitrine afin de montrer que tu ne te laisserais pas attendrir facilement alors qu’en réalité, ça te demandait un effort surhumain.
-Je suis désolé d'avoir rompu de cette façon en donnant si peu d’explications. Je suis désolé d’avoir sorti la carte du “c’est moi, ce n’est pas toi”. Ce n’était pas réglo. Et je suis…, avait soupiré Jake, tu mérites de vraies excuses, mieux que celle-ci, mais je me devais de te dire au moins ça. Peut-être que je vais aller trop loin, mais je serais ravi de me faire pardonner comme il faut si on se revoyait un de ces quatre. 
-Jake, je ne pense pas que ça soit une bonne idée, avais-tu refusé en baissant les yeux pendant une seconde. Mais merci pour ce que tu m’as dit, ça fait du bien de l’entendre.
Suite à ta phrase, tu pensais que la conversation était finie alors tu as sorti tes clés de ton sac quand la voix de Jake a résonné à nouveau dans le parking : 
-C’est à cause du gars avec qui tu étais ce soir que tu refuses ? Ça fait longtemps que vous êtes ensemble ?
-Scott ? C’est un ami. 
-La manière dont il t’a fait rire…, avait dit Jake en riant jaune, ce n’est pas l’impression que j’ai eue.
-Pourtant, il n’y a rien, avais-tu répliqué, sur la défensive. Et puis, pourquoi ça t’intéresse ? On est séparés, c’était ta décision, je te rappelle.
-Et c’était con. Tu me manques, putain ! s’était-il exclamé avec un air coupable sur le visage. Tu n’as pas idée. Le moindre détail me fait penser à toi. Quand une de tes artistes préférées passe à la radio, je te revois en train de chanter les paroles, un grand sourire au visage. Qu’est-ce que je donnerais pas pour revoir ce sourire ! avait-il ajouté plus faiblement. Encore maintenant, quand je suis dans la voiture, il m'arrive de tendre le bras pour le poser sur ta cuisse puis, je réalise que tu n’es plus là parce que j’ai merdé. Je m’assure toujours d’entendre tes derniers exploits. J’ai toujours su que tu étais une pilote hors pair et tu continues encore à m'impressionner. J’aurais dû réaliser la chance que j’avais de t’avoir avant de la gâcher. Je n’arrive pas à avancer et je n’arrive même pas à m’imaginer aimer une autre personne que toi, avait avoué Jake avant de faire un pas vers toi. 
Quand tu l’as vu proche de toi, tu n’as pu t’empêcher de regarder ses lèvres, ses lèvres qui t’ont tant manqué. En le regardant avec plus d’attention, tu as bien vu que, lui aussi, il avait voulu te toucher. Ses mains étaient prêtes à prendre les tiennes, mais il s’était retenu, ne voulant sûrement pas ruiner ce moment en agissant encore plus impulsivement. Entendre la confession de Jake a presque réussi à te faire craquer et à te faire oublier la douleur qu’il t’avait causée. Toutefois, tu es restée mutique, sachant que si tu ouvrais la bouche, tu n’aurais su lui résister. D’une voix désespéré, Jake a tenté le tout pour le tout en déclarant une dernière fois :
-Je te jure que si tu me laissais une nouvelle chance, je saurais mieux agir avec toi. Je saurai être l’homme que tu mérites, je ne te briserai pas le cœur. J’ai appris de mes erreurs, je te le promets.
-Jake, tu m’as fait du mal, avais-tu dit d’une voix faible. 
-Je comprends, mais si tu changeais d’avis, je serais toujours libre. Encore une fois, je suis désolé. 
Sur cette dernière excuse, Jake t’a laissé tranquille et tu es monté dans ta voiture, les larmes aux yeux. Tu les as retenues jusqu’à ce que tu aies quitté le parking. 
Malheureusement, ça ne s’est pas passé de cette manière. 
Tu as bien croisé Jake sur le parking, mais il est resté mutique. À un moment, tu as pensé qu’il allait te dire quelque chose, mais il a juste quitté les lieux, un air coupable sur le visage. 
Et te voilà, maintenant, dans ton lit à imaginer les choses que tu aurais aimé qu’il te dise. Malgré ces cinq mois de séparation, tu es toujours aussi désespérée pour son amour. Malgré la douleur qu’il t’a causée, tu te languis d’excuses de sa part, mais surtout, tu voudrais qu’il te veuille encore et même si dans le scénario que tu as rêvé, tu as refusé de revoir Jake, tu sais qu’en rentrant chez toi, tu l’aurais appelé. Tu l’aimes encore et tu souhaiterais que ça ne soit plus le cas. Il joue encore avec tes sentiments alors qu’il ne te parle plus. Ton cœur complote contre toi en te torturant et en te faisant imaginer un Jake qui saurait réparer ses erreurs et être l’homme que tu mérites. Cependant, ça ne sert à rien. Jake ne changera jamais et s’il revenait, ça serait juste pour jouer un peu plus avec tes sentiments avant de te jeter à nouveau. Tu perds ton temps sur des choses futiles. C’est une perte de temps d’espérer qu’il change, c’est une perte de temps de penser aux choses qu’il aurait pu te dire et aux choses qu’il ne te dira jamais. Jake est une perte de temps et tu t’en veux de dédier autant ta vie pour un homme qui ne pense plus à toi depuis longtemps. Tu espères juste qu’un jour tu arriveras à avoir l’esprit plus léger, loin de Jake et de tes sentiments pour lui.
Partie deux
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RETOUR AFFECTIF PUISSANT: RETOUR DE L'ETRE AIMER EN 24H
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RETOUR AFFECTIF PUISSANT: RETOUR DE L'ETRE AIMER EN 24H Retour affectif puissant, retour de l'être aimer en 24h
Retour affectif puissant:retour de l'être aimer en 24h retour affectif rapide et efficace du voyant Professeur ONI KOLEDEHOU Ces deux statuettes magiques , représentant une femme et un homme sont spécialement conçuent avec le tronc de l’arbre IROKO, qui est d’ailleur un arbre fétiche très puissant et reconnue par les maîtres de l’univers et des formules très anciennes pour ramener vers vous ou pour retenir toutes personne qui vous est chère. Exemple: votre femme,mari,copain(e),partenaire,conjoint(e), et toute personne que vous désirez de tout votre coeur.Une fois que cette personne sera avec vous, vous n’allez plus perdre cette personne et plus rien ne pourra vous séparer sauf que vous même ,vous auriez décidé de la séparation. Il suffira d’invoquer son nom ,prénom et sa date de naissance y compris son signe astrologique et vos souhait afin de lui jeter un sort lors des rituels en prononçant des paroles perdue et formule magique d’amour très ancienne baser sur les pratique secrete du cute vodoun tout en l’attachant avec une corde magique pour lier les deux statuettes. Après vous le jetterez dans le lac ou la rivière ou encore dans l'eau qui dort. Les deux tètes de statuette réunies. Plus rien ne pourra vous diviser et votre union sera comme vous l’auriez souhaité depuis toujours.
Votre compagne est courtisée par un autre homme ou votre compagnon par une autre femme que vous. Vous sentez que votre partenaire prend de distance de vous pour "aller voir ailleurs", cette méthode le fera revenir près de vous: Le rituel d'attachement avec statuette vodoun puissant, cadenas et miel très efficace . Ce rituel de retour d'affection est spécialement fait dans le cas où votre conjoint ou conjointe ne vous revient pas malgré toutes les tentatives pour le soumettre à vous. Ce rituel de retour affectif d'amour du voyant Professeur ONI KOLEDEHOU est un rituel très puissant qui se pratique avec 2 statuettes représentant l'homme et la femme. Les statuettes sont attachées avec le cadenas pour jeter un sort d'amour le retour de votre compagnons avant de fermer avec la clé le cadenas. Par un fil imprégné dans le miel et en attachant les statuettes des paroles de formule magique sont prononcées pour sceller l'esprit des deux personnes ensemble pour la vie. Les résultats son satisfaisant les précision son très surprenant. Quelque soi la tête que votre partenaire vous fait, quelque soi cette envoûtement qui l'attire dehors vers autres personne, il vous reviendra très rapidement et votre amour tel le miel est sucrer sera remplie de bonheur et il ne pourra plus se détourner de vous. Puissant maître marabout voyant Professeur ONI KOLEDEHOU , Grand prêtre spirituel du divinité vodoun retour affectif sérieux en 24h, retour affectif immédiat gratuit en 72h, rituel retour affectif a faire sans conséquence, retour affectif rapide efficace, comment savoir si un retour affectif fonctionne, retour affectif immédiat, rituel d'amour vodoun retour affectif,
CONTACT: Tel: +229 94372948 Numéro whatssapp: +229 94372948 email: [email protected] SITE WEB: https://voyance-rituel-magie-rouge.com/
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mediumhounkpe · 2 years
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Comment briser le couple de mon ex: briser un couple à distance.
Comment briser le couple de mon ex: briser un couple à distance. Comment briser le couple de mon ex: briser un couple à distance.. Si vous lisez cet article, il est probable que votre ex a entamé une relation de confort juste après avoir rompu avec vous. Je comprends que cela doit vous choquer beaucoup et vous faire sentir blessé, en colère ou trahi. Elle a commencé à voir quelqu’un trop tôt……
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Comment séparer un couple à distance avec du citron - rituel de séparation avec le citron, Voyant Compétent ALLOGNON
Comment séparer un couple à distance avec du citron – rituel de séparation avec le citron, Voyant Compétent ALLOGNON
Comment briser le couple de mon ex rapidement, Comment séparer deux personnes Rituel puissant pour briser un couple rapidement Comment séparer un couple à distance- rituel pour briser un couple rapidement- Faire rompre un couple n’est par un travail d’un simple marabout. Il faut de l’expérience, de l’efficacité et de la compétence pour faire le rituel pour rompre un couple ou une relation…
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maraboutbadou · 2 years
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Comment séparer deux personnes, Rituel puissant pour briser un couple
Comment séparer deux personnes, Rituel puissant pour briser un couple Comment briser un couple rapidement- La définition du bonheur dépend d’une personne à une autre. Certains seront heureux en ayant le dernier modèle d’un véhicule à la mode pendant que d’autres souhaiteront juste avoir auprès d’eux la personne qu’elles aiment le plus. Hélas, même si cela semble plus facile à avoir, il est des…
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toffavoyance · 11 months
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Rituel pour briser un couple, professeur TOFFA; Whatsapp: +229 91 72 86 02 .
Comment briser un couple rapidement, magie noire pour briser un couple, séparer un couple avec une photo, si vous pensez que votre relation ne répond plus à vos attentes, vous pouvez y mettre un terme par le mysticisme. Nous ne voulons jamais de rupture soudaine, tout le monde aime une séparation en douceur. C’est pour cette raison que je vous propose ce rituel gratuit de magie rouge pour être…
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assogba · 2 years
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Rituel de séparation avec photo,rituel pour rompre une relation a distance.
RITUEL POUR BRISER UN COUPLE RAPIDEMENT RUPTURE SORT ENVOÛTEMENT DE MAGIE NOIRE VAUDOU SÉPARATION Grace à ce Puissant Rituel Vaudou du Grand Maitre Marabout ASSOGBA , provoquer une rupture devient un jeu d’enfant avec le rituel de séparation avec photo. Il n’est pas question ici d’une simple cassure qui peut se raccommoder. Il s’agit d’une rupture franche et nette sans possible retour en…
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roihangbe · 2 years
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Separer deux personnes avec du vinaigre - Rituel pour séparer ou détruire un couple
Separer deux personnes avec du vinaigre - Rituel pour séparer ou détruire un couple. L'un des sorts les plus recherchés par les gens sont ceux des sorts pour Separer deux personnes avec du vinaigre.
Separer deux personnes avec du vinaigre – Rituel pour séparer ou détruire un couple. L’un des sorts les plus recherchés par les gens sont ceux des sorts pour Separer deux personnes avec du vinaigre. En effet, les conflits sociaux, les désirs refoulés ou les prétentions personnelles vous amènent généralement à prendre des décisions drastiques pour obtenir ce que vous voulez vraiment.Les sorts…
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tayebot · 3 years
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Onze ans - Le Nuevo Che
Le dernier soir de tes dix ans, alors que je venais te donner le bisou du dodo, et avant d'aller livrer une cargaison de chatouilles commandée par ta sœur dans la chambre d'à côté, je t'ai informé que je comptais te congeler pendant la nuit, pour que tu aies dix ans toute ta vie. J'ai promis de te sortir du congélateur une fois par mois pour une partie de FIFA, d'Assassin Creed Origin ou de Hitman 3.
— Il faut juste que j'achète un plus grand four micro-ondes, pour te réchauffer plus rapidement, ai-je prononcé sur un ton pensif.
— Nul, as-tu juste rétorqué.
Tu grandis trop vite. Mes blagues de daron ne fonctionnent plus autant qu'avant. Heureusement, et à ma grande satisfaction, elles provoquent encore le doute, parfois, et j'entends alors, souvent en provenance du continent de la banquette arrière, l'interrogation existentialiste qui me mets en joie, de ta voix de petit gars : "C'est vrai papa ?".
Tu grandis trop vite, je persiste. D'autant qu'on nous vole un peu ces années sans hormones et sans crises. Je voudrais que tous les soirs des trente prochaines années tu me demandes un câlin à l'heure du coucher.
Tu poursuis le tennis les mercredi après-midi et tu as ajouté le ping-pong le samedi matin. Tu es fier parce que le prof t'a félicité pour tes appuis de revers. Tu veux une nouvelle "palette" — tout aussi fier de nous apprendre qu'on ne dit pas "raquette" pour le tennis de table. Evidemment, tu insistes pour que nous acquérions une table de ping pong, dommage que notre maison de ville ne soit pas assez large pour qu'elle puisse y entrer. Tu n'as pas le sens des proportions. Tu dessines des plans sur papier quadrillé, tu découpes des formes en papier pour me démontrer qu'un trampoline, un jacuzzi et une table de ping-pong tiendraient dans le confetti qui nous tient lieu de jardin. Tu commences à maîtriser les conjugaisons, du plus-que-parfait au futur antérieur, tout en refusant de faire tes devoirs sans moi, histoire que je te confirme les terminaisons. Tu hais les -ai, les -ais, les -ait et les -aient. Ton école de hippies a choisi le thème de la défense (au sens large) pour traverser cette année COVID. Tu as visité le Palais de Justice de Bruxelles (en travaux depuis 1984), rencontré en classe un avocat puis un repris de justice. Tu me transmets ses conseils pour survivre en zonzon. Depuis trois semaines, tu dissèques des cœurs de bœufs parce que ton instit' est fils de boucher. Il y a longtemps que j'ai abandonné l'idée d'appréhender la logique du fil pédagogique de cette école.
Tu t'es enfin mis à lire. Des mangas. Je t'accompagne sur Naruto, pour que nous ayons des lectures communes, des discussions sur les enjeux et les héros. Tu as quarante volumes d'avance sur moi, et tu en dévores deux par jour, si on te laisse faire. Et, oui, on te laisse lire tout ton saoul pour que jamais tu n'entendes ce que ma mère me lançait en râlant: "tu lis trop !".
Tu as souhaité un kit de crayons pour apprendre à dessiner comme un mangaka mais je doute un peu de ton assiduité comme de ta persévérance. Tu me ressembles, curieux de tout, embrasé par des passions aussi subites que brèves, fainéant, aussi, comme je le suis toujours. Gentil avant tout.
Pendant le premier confinement, alors que les écoles étaient fermées, les nouveaux apprentissages suspendus et que ta sœur et toi passiez vos journées dans le parc le moins surveillé du quartier, tu as, dans des circonstances qui demeurent mystérieuses, traversé une lucarne en plexiglas et chuté de plus de deux mètres dans les sous-sols d'une école primaire pour atterrir sur les fesses. Deux policiers appelés en renfort, armés de la grande échelle du concierge, t'ont permis de ressortir. Plutôt sympas, ils nous ont emmené aux urgences dans leur voiture de patrouille, sans enclencher, hélas, ni les sirènes, ni le gyrophare. On pouffait, toi et moi, à l'arrière, parce que tu avais marché dans une crotte de chien — le parc le moins surveillé du quartier étant, en toute logique, celui où les maîtres ramassent le moins les déjections de leur clébard — et que ça sentait très très fort le caca de chien dans la voiture. L'hypocondriaque en moi se taisait, je me répétais in petto qu'il s'agissait d'un vrai moment entre père et fils. La doctoresse de garde nous a joliment enguirlandé, les keufs et moi, parce que nous n'avions pas appelé les pompiers et que personne n'avait sécurisé ta nuque. Deux heures d'examens, de prises de sang et de radio pour conclure que tu avais eu une chance de pendu. Tu n'as jamais rien lâché sur le pourquoi du comment de cette chute, si c'était un défi entre gosses du parc (comme nous le croyons) ou un malencontreux faux pas depuis la rambarde à trois mètres de là (comme tu voulus m'en convaincre).
Cette saloperie de COVID nous priva de nos vacances chez les Hobbits et de la *République éphémère indépendante des enfants* que tu décrètes chaque été avec tes cousins et cousines du côté de ta mère. Plus d'un an sans les voir. A la place, nous passâmes tous les deux des heures infinies dans l'univers de Red Dead Redemption II. J'y pris un plaisir immense, multipliant les défis annexes du jeu pour ralentir ma progression et ne pas le terminer trop vite, tandis que tu te concentrais sur les quêtes principales. Nous discutions de nos aventures de hors-la-loi vieillissant dans l'Ouest américain de moins en moins sauvage, des mérites des différents chevaux, des personnages, des flingues et des défis. Tu me donnais tes trucs et tes astuces pour que je progresse plus vite. Nous nous retrouvons maintenant sur Assassin's Creed Origin.
Les fous rires dont je me souviens, à ton âge, en écoutant les cassettes de Coluche ou Thierry Le Luron piquées à mes frères, tu les vis sur You Tube en regardant les sketches d'Artus et consort. Pour pallier l'interruption de nos sorties ciné, et après avoir épuisé les épisodes du Mandalorien, nous avons regardé ensemble Tenet. Tu as adoré, comme moi, sans tout comprendre. Nous avons en commun cette sympathique fainéantise qui nous caractérise et nous fait accepter bien des licenses poétiques dans ces aventures cinématographiques plus grandes que nos vies sous couvre-feu. Et comme tu me le disais encore, alors que tu me voyais taper sur mon clavier :
— Nous, tout ce qu'on voudrait, c'est pouvoir jouer au tennis.
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Ta sœur et toi êtes inséparables, chamailleurs, taquins, sans cesse l'un sur l'autre et jamais l'une sans l'autre. On parvient à vous séparer, parfois, jamais pour très longtemps. Nous regardons Koh Lanta ensemble, le vendredi soir, le seul rendez-vous télévisuel de notre famille. Nous n'avons pas les mêmes samedis soirs que ceux de mon enfance, quand nous, les quatre enfants, subissions le choix du programme parmi ceux proposés par les trois chaînes de télé (en général : Champs-Elysées avec Michel Drucker). J'essaie de recréer cette ambiance avec un film choisi en commun. Ça nous prend des plombes. Tu ne proposes que des James Bond, Pirates des Caraïbes ou la saga des Marvel - tout ce qui soi-disant fout les jetons à la Nueva Frida - en plus, elle n'aime pas Star Wars. La recherche du consensus aboutit parfois à des séances un peu molles, une cinématographie du navet. On en discute.
Tu écumes Netflix et Disney Plus, trouves des soluces sur YouTube, colorie encore avec un bout de langue qui dépasse. Tu détestes que l'on interprète tes pensées ou tes propos, que l'on juge sans savoir. On ne peut pas deviner ce qui se passe dans la tête d'un petit garçon de onze ans, il nous faut nous rappeler de poser la question, de ne pas préjuger. Tu nous prodigues ces leçons en boudant, jamais longtemps. Nous appliquons la règle d'or de ne jamais nous coucher fâchés.
De temps à autre, alors que je télé-travaille, que les réunions Zoom, Webex, Skype s'enchaînent, tu te glisses dans le bureau que je me suis aménagé, tu te poses sur la banquette avec un Naruto, tu lis sans un mot. Quand nous avons de la chance, notre chien, reconnu comme mammifère domestique le moins démonstratif de tout l'univers, vient poser sa tête sur tes genoux. On échange un regard. On se sourit. Tu m'enseignes le moment présent, tu partages avec moi l'éternité de ton enfance.
Le Nuevo Che a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans, sept ans, huit ans, neuf ans (mais je n’ai rien posté), dix ans.
La Nueva Frida a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans (mais je n’ai rien posté), sept ans, huit ans.
Le FILF a eu quarante-cinq ans.
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pauline-lewis · 4 years
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People are their principles
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J’ai beaucoup pensé à deux choses pendant le confinement : à l’engagement, et à Barbra Streisand. À Barbra parce que j’ai regardé une bonne partie de sa filmographie, que j’ai écouté sa voix douce, grave et veloutée. J’ai été soufflée par la force de ses personnages et l’énergie pure qui émane de tout son jeu. Qu’elle soit Dolly, Fanny ou Yentl, elle inonde l’écran d’une force vitale. Les après-midis avec elle ont accéléré le temps. Il y a quelque chose dans sa joie et dans sa tristesse qui m’a parlé au-delà des mots. Sa manière d’être au monde, dans les films, m’a vraiment inspirée. (j’espère que ça donnera un zine chouette bientôt)
Totalement indépendamment de Barb, j’ai aussi pensé à l’engagement. C’était souvent une réflexion paradoxale. Parce que dans le fond, j’avais resserré les vis de mon existence sur ce que je tiens très près de mon cœur : mon mari, ma famille, mon chat et ami·es proches, mes disques, mes films, mes livres. J’ai été sans cesse travaillée par cette envie très forte d’emballer tout ça dans un petit baluchon et de le délocaliser loin de Paris, loin du monde, far from the madding crowd.
Et en même temps comment ne pas avoir un œil ou même plusieurs dehors ? Alors j’ai aussi été travaillée par cette envie de m’engager. De porter mes principes plus haut. Est-ce que des articles, des idées, des lectures suffisent ? De mon point de vue, non. Non, plus maintenant. Ce n’est pas parce qu’on resserre l’amour plus fort qu’il ne faut pas aussi ouvrir grand ses fenêtres et faire partie du monde, profondément. Essayer de le changer, autant que l’on peut.
Et ces deux réflexions, sur la force de Barbra Streisand et l’engagement se sont alignéews en un film parfait, The Way We Were de Sydney Pollack. Il y a toujours, vraiment toujours, un film.
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The Way We Were de Sydney Pollack (1973)
Dans le cadre de ma rétrospective Barbra Streisand, j’ai majoritairement vu ses comédies musicales : Yentl, On a Clear Day You Can See Forever, A Star Is Born, Funny Lady. Et puis j’ai découvert The Way We Were de Sydney Pollack qui m’a vraiment retournée comme une crêpe (la Bretagne me manque vraiment).
Le film raconte l’histoire d’amour entre deux personnages que tout semble séparer : Hubbell Gardiner (Robert Redford) et Katie Morosky (Barbra Streisand). Nous faisons leur rencontre en 1937, alors qu’ils sont étudiants. Katie est une jeune femme juive et communiste ayant grandi dans une famille pauvre qui essaie d’éveiller les consciences sur les dangers du fascisme et d’insuffler un désir de révolution. Hubbell, lui, s’amuse avec ses camarades de classe dépolitisés (#teamKatie, en gros). Nous voyons très rapidement cependant que cet homme blanc privilégié qui semble vide de substance a un talent caché pour l’écriture. Pendant le cours de littérature, le professeur lit son devoir, une nouvelle sur le fait d’être un homme blanc aux États-Unis. Cette conscience de sa situation et de ses privilèges le rend soudainement plus intéressant aux yeux de Katie.
À la fête de fin d’année, Hubbell et Katie dansent ensemble et se parlent brièvement. L’histoire aurait pu s’arrêter là. Mais voilà qu'à la fin de la guerre ils se retrouvent par hasard dans un bar. Ils semblent à un moment décisif de leur existence et ils passent une nuit assez triste ensemble où il est complètement saoul tandis qu’elle semble déjà amoureuse de lui.
Le film suit ainsi leur relation entre la fin des années 30 et les années 50 tandis que leur vie amoureuse se noue et se dénoue au rythme de l’intensité de leurs convictions politiques. La capacité d’Hubbell à faire des concessions sur tout, étant toujours protégé par son privilège d’homme blanc, met sans cesse leurs liens à rude épreuve. (#teamKatie, I said what I said) Hubbell s’adapte à tout : au monde hypocrite d’Hollywood, au maccarthysme sur lequel il accepte de fermer les yeux, à ses amis riant de tout comme si rien n’avait d’importance.
Katie, elle, ne cesse de défendre avec passion ce qui lui tient à cœur : la justice, l’égalité, la nécessité de ne pas se taire peu importe ce que cela lui coûte de parler. Elle est prête à tous les sacrifices individuels. Manifester enceinte contre les ravages du maccarthysme ? S’il le faut, elle le fait. People are their principles crie-t-elle à Hubbell pendant l’une de leurs disputes. Bien évidemment, le personnage de Katie m’a particulièrement émue, par sa passion et sa manière bien personnelle de sans cesse vouloir le meilleur pour ses proches, quitte à paraître over the top. J’ai l’impression qu’être intransigeant·e, ne pas faire de concession sur ses principes, être politisé·e sont souvent des caractéristiques associées aux personnages masculins. Comme il est plaisant de voir ce cliché se retourner complètement.
Peu importe ce que pense Hubbell, il n’influence pas Katie. Elle fait ce qu’elle doit faire et l’amour qu’elle porte à son conjoint n’y change rien. Et cette passion et cette énergie pure que je mentionnais dans mon introduction pour parler de Streisand explose à l’écran dans ce film.
Sydney Pollack filme magnifiquement bien ce couple (d’ailleurs j’adore tous les couples que Streisand forme au cinéma, je trouve qu’il y a quelque chose de magnétique dans son jeu qui fonctionne vraiment bien dans les face-à-face), leurs moments de symbiose, dans les bras l’un de l’autre, comme ceux où ils se déchirent dans l’ombre d’un bar. Il filme superbement bien les illusions d’Hollywood, la mer et la plage sur lesquelles on se dit que tout est possible malgré les apparences...
The Way We Were est une vraie réflexion sur l’engagement et la passion (politique et amoureuse) qui ne m’a pas vraiment quittée depuis.
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Ryan’s Daughter de David Lean (1970)
J’ai profité des jours fériés du mois de mai pour rattraper les films de David Lean qui durent plus de 3 heures : Docteur Jivago, Lawrence d’Arabie et Ryan’s Daughter. Ce dernier parle aussi, à sa manière, de l’engagement. (les trois en fait mais je ne vais pas vous accabler)
Ryan’s daughter se déroule dans une petite ville irlandaise pendant la Première Guerre mondiale. Au début du film la fille de l’aubergiste, Rosie Ryan (Sarah Miles), déclare sa flamme à Charles, l’instituteur du village (interprété par Robert Mitchum). Charles est très honnête avec elle : il pense qu’elle ferait mieux d’aller voir ailleurs, qu’elle va s’ennuyer si elle l’épouse. Elle lui tient tête, ils se marient et force est de constater que l’ami Charles avait pourtant raison. Au bout de cinq minutes avec lui elle en a déjà marre de son obsession pour Beethoven et elle trouve légèrement redondant de broder en le regardant corriger ses copies. Quant au sexe, David Lean n’a pas son pareil pour infuser toute la tristesse du monde dans cette première scène de pénétration sans préliminaires de dix secondes qui imprime en lettres capitales sur le visage de la jeune femme is that all there is. Le plus triste étant que cette scène se déroule pendant leur nuit de noce et que dehors les clameurs de la foule donnent une teinte ironique à la terrible désillusion qui se joue dans la chambre à coucher.
Il ne faudra donc pas plus que l’arrivée dans ce village figé dans le temps d’un jeune officier britannique en plein stress post-traumatique pour que Rosie décide de vivre cette vie aventureuse dont elle rêvait. Leur première rencontre est à l’inverse de sa vie avec Charles : rien n’est théorisé dans la relation, presque aucun mot n’est prononcé, tout passe par le corps et est rythmé par le désir. Avec l’officier britannique, elle vivra des heures passionnées dans des décors presque surréalistes au cœur de la nature.
Sauf que dans le village, les officiers britanniques ne sont pas les personnes les plus populaires de la terre et rapidement la relation va faire scandale. Plus d’ailleurs auprès des habitants qu’auprès de Charles, grande figure sacrificielle du film. L’arrivée de Tim O’Leary, leader de la Fraternité républicaine irlandaise, va achever de mettre le feu au poudre. Le film travaille profondément les questions de la loyauté (sous toutes ses formes) façon Roméo et Juliette au temps de l’IRA et de toutes les manières dont les êtres humains communiquent. Et de l’engagement, donc. Jusqu’où doit-on aller pour respecter ses convictions ? Quels sacrifices peut-on ou doit-on faire ? Où se termine le privé et où commence le politique ? Quelle place les individus ont-ils dans les guerres qui déchirent les nations ? David Lean a parfois des positions complexes sur la question, notamment dans son portrait assez négatif de O’Leary.
Quelque chose d’un peu bancal dans la construction du film laisse entrevoir le tournage compliqué traversé par le réalisateur et ses acteurs·trices (je vous conseille cet article si vous voulez en savoir plus, ft des fun facts sur Mitchum). Pourtant la grande mélancolie de Ryan’s Daughter et de ses personnages brisés par la vie que David Lean filme de loin, perdus sur ces plages infinies, m’a profondément touchée. Sa manière de jouer avec les tempêtes, le soleil, le vent pour donner corps aux émotions de ses personnages n’en finit jamais de me passionner.
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Odd Man Out de Carol Reed (1947)
J’ai terminé ma triplette autour de l’engagement sur un dernier film sur l’Irlande, Odd Man Out, qui encore une fois ne prend pas un parti franc pour les indépendantistes et s’éloigne un peu du contexte historique pour s’intéresser à l’errance d’un homme.
Johnny McQueen (James Mason) est le leader d’un groupe irlandais. Fait assez étrange, ce groupe n’est jamais identifié comme l’IRA. Un message au début du film explique que l'action se déroule en Irlande du Nord mais que le but du scénario est de s’intéresser au conflit “dans le cœur des personnages” plutôt qu’aux tensions entre les organisations illégales et la loi. Cela n’empêchera bien sûr à personne d’identifier clairement que le personnage de Mason est lié à l’IRA et que le film se déroule à Belfast.
Donc Johnny s’est échappé de prison et il s’apprête à organiser un vol pour récolter de l’argent pour son organisation. Mais voilà qu’il souffre, lui aussi, d’un stress post-traumatique qui le paralyse alors même qu’il allait s’échapper avec l’argent. Il est donc contraint de tuer un homme pour sauver sa vie et il est gravement blessé à l’épaule. S’en suivent des heures d’une cavale lente pendant laquelle il est balloté d’un groupe à un autre. Dans ce Belfast noir et crépusculaire filmé dans une pénombre magnifiée par Carol Reed, McQueen rencontre toutes sortes de personnages étranges. Au même moment, la jeune fille chez qui il était caché, Kathleen (Kathleen Sullivan), qui est clairement amoureuse de lui, part à sa recherche.
Odd Man Out est aussi à sa manière une réflexion sur l’engagement et sur le prix à payer pour nos convictions. Avons-nous le droit, pour suivre nos idéaux, de commettre un crime ? C’est avant tout un beau film sur la foi et toutes les formes qu’elle prend. La foi en l’art du peintre que croise Johnny, qui veut absolument capter l’essence même de l’humanité dans ses tableaux et pense ainsi trouver le sens de la vie. La foi de Kathleen, qui pense que l’amour est plus fort que tout et l’exprime dans un bouleversant monologue. Et la foi en sa propre vie, sur laquelle Johnny réfléchit tout au long de sa nuit. Tout le film prend la forme d’une dernière confession, où se mêlent les visages de ceux et celles qu’il a connu et des souvenirs de son enfance. Dans ces séquences Carol Reed explore de nombreuses pistes visuelles passionnantes, des hallucinations expressionnistes au fond d’une cave ou des visages qui apparaissent dans les bulles d’une flaque de bière étalée sur la table d’un bar.
Et on se laisse avec la voix de Barbra. Évidemment.
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manotelier · 4 years
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Note : Ces personnages m’appartiennent ainsi que l’univers. Aucune correction n’a été faite après l’écriture de ce petit extrait. Veuillez m’excuser des fautes que vous risquez de trouver. 
   La cuisine reflète l’âme d’une personne.
C’est ce que son père lui répétait souvent, une cuillère de sauce brûlante dans la bouche. À travers les plats et les saveurs, on pouvait exprimer tellement de choses, de paroles et de pensées. Cela pouvait être un acte d’amour comme un acte de regret ou bien de pardon, on pouvait même utiliser la cuisine pour montrer son pouvoir, sa puissance ou sa bravoure. La cuisine avait plusieurs personnalités, elle pouvait être très épicé et chaude dans le sud comme très douce et légère dans le nord. On pouvait la consommer avec les doigts ou bien la fourchette et on dit même que le peuple de Kasma utilise des baguettes, oui vous avez bien lu des baguettes ! N’est-ce pas incroyable ?
   La jeune femme glissa son foulard de couleur orangé dans ses cheveux noirs et bouclés avant de passer ses mains sous l’eau glaçante, se débarrassant de tout microbe qui pouvait être nocif pour l’être humain. Elle jeta un coup d’oeil dehors, le ciel était bien noir et le soleil n’avait toujours pas montré le bout de son nez. Aucun bruit ne se faisait entendre dehors, pas même le chant des insectes ou les petites querelles entre chats, tout le monde était plongé dans un profond et doux sommeil. Mais les cuisiniers ne dormaient pas. 
    Il fallait commencer à vérifier les ustensiles, nettoyer la salle puis la cuisine, commencer la préparation des légumes et noter ce qu’il manquait. Il fallait aussi faire l’inventaire et vérifier si il n’y aurait pas un manque de viande pour les deux services. On ne pouvait pas faire une grasse matinée quand on était chef du restaurant de la ville. Non, on ne pouvait pas s’offrir ce luxe. Noor attrapa tout doucement une feuille où se dressait de nombreux noms de légumes qu’il fallait avoir pour le service d’aujourd’hui. On trouvait de tout : des poivrons, des choux de bruxelles, des poireaux, des navets.. Le restaurant familial proposait une bonne liste de repas traditionnels que les habitants aimaient consommer. Il arrivait même que le père de Noor s’absente car les villes voisines demandaient de ses services quand on recevait des gens importants. Malheureusement, à part les chefs de tributs, personne de haut nommé venait dans la ville. Mais ça importait peu à Noor qui elle, était plus intéressé, par les marchands étrangers qui venaient une fois dans l’année, pendant un mois. Elle découvrait tellement de choses différentes et surtout elle pouvait s’acquérir des ingrédients qui étaient introuvable dans Aman.
   Après avoir nettoyer la salle, Noor se laissa tomber sur une chaise et retira le foulard qui tenait ses boucles qu’elle détestait tant. Souvent, elle se demandait même pourquoi elle était la seule à avoir les cheveux aussi secs quand ses soeurs avaient soit de beaux cheveux bouclés, soit des cheveux lisses. Mais il n’y avait pas de réponse et elle le savait très bien. Noor laissa son regard se balader un peu partout dans la pièce avant de déposer son regard sur la grande fenêtre qui donnait vu sur la grande place où on l’on retrouvait absolument tout ce qui était important à la ville. La seule chose qui n’était pas là était le palais de la Reine, celui-ci était situé plus haut aux pieds des montagnes abandonnées. On y trouvait là-bas un Vizir, quelques conseillers et les quatre chefs des Ksours de la ville. En réalité, le Vizir n’avait pas autant de pouvoir que les quatre chefs. Lui était seulement là pour envoyer des rapports à la cour de la Reine mais tout ce qui se passait dans Ifey venait des chefs, c’est eux qui décidaient des affaires du peuple. Ils n’avaient pas vraiment besoin de ce vizir mais ils étaient forcés d’accepter sa présence. Il représentait l’autorité de la Reine.
   La place abritait de nombreux magasins aux stands différents. Épices, légumes, fruits, maquillages, bijoux.. On retrouvait à peu près tout ce dont on avait besoin dans ce seul endroit. Bien sûr il arrivait que d’autres magasins se trouvaient un peu partout dans Ifey mais tout était principalement dans la grande place. Ifey était une grande oasis mais n’avait pas un nombre énorme de citoyens alors tout le monde se connaissait ici, tout le monde pouvait être victime des petites rumeurs. Tout se répandait très vite ici. Il était mieux de rester loin de ces rumeurs et de ne rien faire qui pourrait être le sujet du soir autour d’un verre de thé chaud et de cacahuètes. Le soleil venait seulement de se lever et on entendait déjà le bruit des installations des stands. Aujourd’hui était Vendredi, un jour un peu plus spécial que les autres jours. On ouvrait les magasins plus tôt, le café de la place avait déjà posé ses chaises sur la Terrace et le patron attendait ses clients assis au comptoir, le journal à la main. Les enfants se rendaient à l’école en chantonnant et les adultes se préparaient pour partir prier. C’était un jour que Noor appréciait particulièrement car le restaurant était deux fois plus rempli que d’habitude puisqu’il n’ouvrait qu’à partir de dix sept heures. La ville devenait fantôme après la deuxième prière et ne reprenait vie qu’à la fin de l’après-midi. Noor salua son père qui venait de rentrer dans la salle, le sourire aux lèvres. Il déposa sa main sur sa tête et la tapota tout doucement, la remerciant de son travail. Grâce à elle, son père pouvait dormir toute la matinée. L’âge commençait à se ressentir et il ne trouvait plus la force de se lever très tôt pour préparer tout ce qu’il fallait faire. Noor avait vu ça comme un exercice, un devoir qu’elle devait remplir pour se rendre fière mais aussi rendre son père fier. 
   — Haj Abdelwafi n’est pas très malin d’ouvrir si tôt. 
    Noor posa ses yeux sur le café puis haussa les épaules en souriant.
— Tu sais très bien que pour lui ce n’est pas vraiment du travail, juste quelque chose pour passer le temps. 
— Alors que pour nous.. 
Les deux se regardèrent en souriant puis chacun quitta la salle. Noor monta à l’étage du restaurant et se rendit dans une petite pièce qui servait de salle de repos pour toute personne travaillant ici. Il n’y avait encore personne puisque le service ne commençait que tard dans l’après-midi. Elle avait encore le temps de pouvoir faire ce qu’elle voulait. Noor attrapa le coffre caché derrière le miroir et sortit la clef de son tablier. Elle ne rentrait pas souvent chez elle, préférant rester au restaurant ou chez ses grands-parents. La jeune femme avait installé un coffre où elle avait déposé des affaires de rechange, un caftan, des gandouras et un haïk. Elle fronça les sourcils en voyant un track rouge entre les tissus et l’attrapa. Son coeur commença à battre en voyant les inscriptions sur le papier et elle regarda autour d’elle, se demandant comment ce papier avait pu arrivé ici. L’avait-elle oublié dans une de ses manches ? Non ce n’est pas possible.. Quelqu’un avait donc forcé le coffre et déposé ce papier. La jeune femme glissa le papier dans son tablier et attrapa son haïk. Une pièce d’étoffe blanche en grande dimension qui était soit confectionné en l’aine pour l’hiver ou en coton pour l’été. Elle enroula le tissu autour d’elle de sorte à ce qu’on ne voit plus  que le début de ses bras. Elle quitta rapidement le restaurant puis se fondit dans les rues. On ne voyait plus son visage, seulement une petite ouverture du drap blanc pour pouvoir voir où elle mettait les pieds. Noor continuait de marcher assez vite, le coeur qui battait toujours autant fort. Elle ne s’arrêta que quand elle arriva dans une petit cour où elle trouva un groupe de plusieurs femmes. L’une d’elles se tourna vers Noor et aborda un très grand sourire en s’approchant d’elle.
— Noor ! Quel plaisir de t’avoir ici.
— Bouchra, c’est quoi ce message ? 
La jeune femme attrapa le bras de Noor et lui fit signe de parler moins fort.
— Nous devons agir aujourd’hui. C’est aujourd’hui qu’il se rendra au Fileg. 
— Mais on est Vendredi tout le monde sera là..
Boucha fronça les sourcils et serra plus fort le bras de Noor qui lâcha un petit grognement de douleur. Elle comprit qu’elle n’avait pas le choix et qu’elle devait s’exécuter au risque d’avoir des répercussions. Noor regarda les autres femmes, elles étaient au moins dix, portant exactement la même tenue. Il fallait donc se séparer en deux groupes afin que le plan fonctionne. Noor attrapa le paquet d’affiches en pinçant ses lèvres puis elle fait signe au premier groupe de la suivre. Il fallait être rapide et ne pas se faire prendre. Noor regarde de gauche à droite avant de cacher tout son visage avec le tissu blanc qu’elle portait. La jeune femme se tourna vers le groupe de femmes derrière elle qui n’attendaient que le signal de Noor. Quand elle leva sa main en l’air, elles s’avancèrent chacune assez rapidement, dépassant même Noor qui n’avait toujours pas bouger. Les femmes se plaçaient devant des stands, commençaient à discuter avec les marchands en faisant un gros brouhaha afin d’attirer l’attention sur elles. Noor vérifia une dernière fois s’il n’y avait aucune présence militaire et s’engagea dans la rue où elle commença à glisser des prospectus dans la poche des personnes, accompagné d’une autre jeune femme qui lui glissait le prospectus dans la main. Sa main était si rapide qu’il était difficile pour le duo de fonctionner en même temps, Noor était plus rapide que sa cadette et elle devait des fois attendre devant un stand, faisant semblant d’être intéressé par les gros sceaux d’épices diverses.
— C’est pas possible d’être aussi lente. grogna Noor en regardant sa camarade arriver vers elle en trébuchant presque. 
Noor soupira une nouvelle fois avant de tendre sa main libre pour attraper les papiers mais c’est une autre main qui rencontra la sienne. Une main bien plus grosse et plus forte que sa camarade. Elle n’avait même pas le temps de relever les yeux qu’elle se fit tirer dans une ruelle sous les yeux impuissants de la jeune cadette. Noor commença à traîner des pieds, tirant violemment sur son poignet afin de se libérer des mains de cet personne qui devait sûrement être un militaire. Son cœur battait très vite, elle savait très bien ce qu’il allait lui arriver si elle se faisait attraper en train de distribuer des tracts à objet politique.. Elle perdrait tout; son statue, l’honneur de sa famille et sa place dans le restaurant. 
— Noor ça suffit!
Alors qu’elle était sur le point de jeter la pierre sur l’homme, Noor s’arrêta en pleine action quand elle entendit la voix rauque qu’elle connaissait par coeur. Une voix qui avait murmuré tant de mots doux dans son oreille; une voix qui lui apportait sécurité et amour, une voix qu’elle adorait entendre depuis son petit âge. Noor lâcha brusquement la pierre qui tomba en même temps que le drap qui couvrait son visage. La jeune femme déposa son regard dans les prunelles du jeune homme qui n’avait pas vraiment l’air ravi de voir la jeune femme ici.
— Safwan... disait-elle d’une petite voix, honteuse de s’être fait attrapé en pleine action.
Le jeune homme n’avait même pas le temps de répondre qu’il poussa délicatement la jeune femme contre le mur et posa son doigt sur ses lèvres pour qu’elle ne fasse plus aucun bruit. Il tourna le regard vers la gauche et regarda les hommes armées en train de crier. Noor retenait sa respiration, ses yeux ne quittaient pas le visage du jeune homme qui examinait la situation. Son coeur continuait de battre très vite mais pour une raison complètement différente cette fois-ci. Elle n’avait pas vu Safwan depuis ci- longtemps et même si elle savait qu’elle allait passer un mauvais quart d’heure, elle ne pouvait s’empêcher d’être heureuse. Noor déposa sa main sur le bras droit du jeune homme qui posa enfin son regard sur elle. Sous ses longs cils abordait un regard dur et en colère, ses sourcils étaient froncés et sa mâchoire serré. On pouvait voir une barbe naissante sur ses joues et des cernes qui séjournaient sous ses yeux d’automne. Safran avait un visage mûr, marqué par la difficulté de son poste. Après tout être chef de tribu à seulement vingt sept ans était plutôt difficile. Safwan lança un dernier coup d’oeil sur la rue avant de se reculer et de déposer sa main sur son sabre. 
— Tu peux m’expliquer ce que t’étais en train de faire? 
— Je peux tout expliquer !
— Tu es une rebelle Noor ?
Elle ouvrait grand les yeux, ne s’attendant pas du tout à cette question. Bien évidemment qu’elle n’était pas une rebelle ! Enfin, c’est ce qu’elle se disait ! La jeune femme secoua ses mains en s’approchant du jeune homme et lui attrapa ses mains. Elle serra celles-ci comme pour le convaincre du contraire. Elle venait de se faire prendre en plein flagrant délit de propagande et pas par n’importe qui. Par un chef de tribu et surtout, par son fiancé. 
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