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#demain tu te maries
garadinervi · 4 months
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Francs-tireurs et partisans - main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI) – Groupe Manouchian, Fort Mont-Valérien, Paris, February 21, 1944 / 2024
Celestino Alfonso (27 years old), Olga Bancic [Pierrette] (32) (deported to Stuttgart and decapitated on May 10, 1944), Joseph Boczov (or József Boczor; Ferenc Wolff) (38), Georges Cloarec (20), Rino Della Negra (20), Thomas Elek (Elek Tamás) (18), Maurice Fingercwajg (19), Spartaco Fontanot (22), Jonas Geduldig (26), Emeric Glasz (Békés (Glass) Imre) (42), Léon Goldberg (19), Szlama Grzywacz (34), Stanislas Kubacki (36), Cesare Luccarini (22), Missak Manouchian (37), Armenak Arpen Manoukian (44), Marcel Rayman (21), Roger Rouxel (18), Antoine Salvadori (24), Willy Schapiro (29), Amedeo Usseglio (32), Wolf Wajsbrot (18), Robert Witchitz (19)
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«21 février 1944, Fresnes Ma chère Mélinée, ma petite orpheline bien-aimée. Dans quelques heures, je ne serai plus de ce monde. On va être fusillés cet après-midi à 15 heures. Cela m’arrive comme un accident dans ma vie, je n’y crois pas, mais pourtant je sais que je ne te verrai plus jamais. Que puis-je t'écrire ? Tout est confus en moi et bien clair en même temps. Je m'étais engagé dans l'armée de la Libération en soldat volontaire et je meurs à deux doigts de la victoire et du but. Bonheur à ceux qui vont nous survivre et goûter la douceur de la liberté et de la paix de demain. Je suis sûr que le peuple français et tous les combattants de la liberté sauront honorer notre mémoire dignement. Au moment de mourir, je proclame que je n'ai aucune haine contre le peuple allemand et contre qui que ce soit, chacun aura ce qu'il méritera comme châtiment et comme récompense. Le peuple allemand et tous les autres peuples vivront en paix et en fraternité après la guerre qui ne durera plus longtemps. Bonheur ! à tous ! J'ai un regret profond de ne t'avoir pas rendue heureuse, j'aurais bien voulu avoir un enfant de toi, comme tu le voulais toujours. Je te prie donc de te marier après la guerre, sans faute, et [d'] avoir un enfant pour mon honneur, et pour accomplir ma dernière volonté, marie-toi avec quelqu'un qui puisse te rendre heureuse. Tous mes biens et toutes mes affaires. Je [les] lègue à toi et à ta sœur, et pour mes neveux. Après la guerre, tu pourras faire valoir ton droit de pension de guerre en tant que ma femme, car je meurs en soldat régulier de l'armée française de la Libération. Avec l'aide de mes amis qui voudront bien m'honorer, tu feras éditer mes poèmes et mes écrits qui valent d'être lus. Tu apporteras mes souvenirs, si possible, à mes parents en Arménie. Je mourrai avec 23 camarades tout à l'heure avec le courage et la sérénité d'un homme qui a la conscience bien tranquille, car personnellement, je n’ai fait [de] mal à personne et, si je l'ai fait, je l'ai fait sans haine. Aujourd'hui, il y a du soleil. C'est en regardant au soleil et à la belle nature que j’ai tant aimée que je dirai adieu à la vie et à vous tous, ma bien chère femme et mes bien chers amis. Je pardonne à tous ceux qui m'ont fait du mal ou qui ont voulu me faire du mal, sauf à celui qui nous a trahis pour racheter sa peau et [à] ceux qui nous ont vendus. Je t'embrasse bien bien fort, ainsi que ta sœur et tous les amis qui me connaissent de loin ou de près, je vous serre tous sur mon cœur. Adieu. Ton ami, ton camarade, ton mari. Manouchian Michel P.S. : J'ai quinze mille francs dans la valise de la rue de Plaisance. Si tu peux les prendre, rends mes dettes et donne le reste à Armène. M.M. On va être fusillés cet après-midi à 15 heures. Cela m'arrive comme un accident dans ma vie, je n'y crois pas, mais pourtant je sais que je ne te verrai plus jamais.» – Missak Manouchian (or Michel Manouchian) (Միսաք Մանուշեան) to Mélinée Manouchian (Melina Assadourian or Soukémian) (Մելինէ Մանուշեան), Fresnes, February 21, 1944
(image: Missak Manouchian (or Michel Manouchian) (Միսաք Մանուշեան), Lutte, Translated from the Armenian by Archag Tchobanian, «Les Lettres françaises», August 16, 1946. Bibliothèque nationale de France, Paris)
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tournevole · 8 months
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On s'est rencontrés dans le bureau
de mon éditeur italien
Marco l'agité
moi
je revenais à Milan après une longue lecture à Sarzana
et une nuit au volant
pour éviter la canicule
Stoppé net par un seul sourire
On a parlé italien ou presque
et ces yeux incroyables (qui disent regarde-chéri-naissance-et-mort-c'est-la-vie)
Plus tard, au restaurant avec les types du bureau
le vieux serveur sans dents fredonnait une version barjot de -
manquait plus que ça - Deep in the heart of Texas
je ne faisais que te regarder
tu ne faisais que sourire
et nous mangions le même al pesto
Presque avec violence - devant tout le monde
à mes risques - des mots affolés voulaient sortir de moi
(Jésus Marie Mère de Dieu
il faut que je t'embrasse que je lèche tes seins
que je t'épouse demain matin si tu as un moment)
Mais
au lieu de ça
habilement
pour sauver la soirée
je t'ai demandé le pain
au lieu de ça
Un amour d'Italie, Dan Fante in De l'alcool dur et du génie, 13e Note éditions
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marie-swriting · 1 year
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À La Maison À Nouveau - Bucky Barnes
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Marvel Masterlist
Résumé : Ton mari, Bucky, est appelé pour aller à la guerre, laissant votre fils, Michael, et toi derrière lui, mais il te fait la promesse de te retrouver à nouveau. Cependant, Bucky était loin de s'imaginer que "à nouveau" signifiait "soixante-quatorze ans".
Warnings : commence dans les années 40, angst, mort de personnage, mention des traumatismes de Bucky, perte d'une père, mention de la guerre, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.8k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : We'll Meet Again par Vera Lynn
Ton dos collé au torse de Bucky, vous êtes installés sur votre canapé. Tu tiens sa main gauche contre ta poitrine, tu caresses doucement l’anneau sur son annulaire et parfois Bucky amène vos mains à sa bouche pour embrasser la tienne. De son autre main, il tient Le Hobbit pendant qu’il lit à voix haute. Comme souvent, quand votre enfant Michael âgé d’un an fait sa sieste, vous profitez de ce moment de silence pour vous allonger et lire. Même s’il vous arrive de changer de roman, vous relisez très souvent l'œuvre de Tolkien. Bucky est celui qui te l’a fait connaître donc c’est un peu devenu votre livre. Bucky continue de lire, te berçant délicatement avec sa voix, comme à son habitude. Une légère brise venant de la fenêtre ouverte du salon arrive jusqu’à vous pour chasser la chaleur de l’été. Bucky est au milieu d’une phrase quand vous entendez frapper à la porte. Il marque la page avant de refermer le livre et tu l’informes que tu vas ouvrir. Tu quittes les bras de Bucky, embrasses rapidement ses lèvres et te diriges vers la porte. En l’ouvrant, tu découvres un homme vêtu d’une tenue de l’armée. Tu comprends en un instant quelle nouvelle il va annoncer.
-Mes hommages, Madame Barnes, te salue-t-il en faisant un signe de tête, est-ce que le Sergent James Buchanan Barnes est ici ?
-Oui, il est là, informes-tu. Buck, peux-tu venir, s’il te plait, chéri ? appelles-tu ton mari.
Tu entends Bucky poser le livre sur le canapé et marcher vers toi. Quand il arrive, tu te décales pour qu’il puisse être face à l’homme. En remarquant que c’est un homme de l’armée, Bucky fait tout de suite le salut militaire avant d’écouter les informations. Tu regardes l’interaction, même si tu as l’impression de ne plus être là mentalement. La conversation n’arrive pas clairement à tes oreilles, à l'exception d’une phrase “vous partez demain matin.”. Les derniers mots continuent de résonner dans ta tête en réalisant que dans quelques heures, Bucky ne sera plus à vos côtés, toi et votre fils, jusqu’à un jour indéterminé - s’il revient à la maison en sécurité. Quand tu vois Bucky faire le salut militaire à nouveau, tu dis rapidement au revoir au commandant alors que Bucky referme la porte. Une fois de nouveau seuls, un long silence pesant vous fait face. Bucky analyse ton visage, tentant de comprendre tes pensées qui fusent à mille à l’heure. Il s’apprête à te dire quelque chose quand les pleurs de Michael te sortent de ta transe. 
-Je vais aller voir ce qu’il a. Tu devrais aller te préparer, tu dois aller retrouver Steve dans peu de temps.
-Hey, mon coeur, dit-il d’une voix douce en prenant ta main, tu sais que tout ira bien pour moi, hein ?
-Je n’en doute pas, souris-tu en caressant sa joue gauche et embrassant la droite. 
Tu te sépares de lui et montes retrouver ton fils. Tu vois qu’il pleure car il a perdu son doudou, tu prends Michael dans tes bras avant de récupérer son ours en peluche et de le lui rendre tout en essayant de le calmer. En le berçant doucement, tu poses tes yeux sur son visage et détailles ses traits si proches de ceux de Bucky et tu sens des larmes monter à tes yeux, malgré toi. Tu savais que ce n’était qu���une question de temps avant que Bucky ne soit appelé à la guerre, tu espérais juste avoir un peu plus de temps avant son départ. Tu retiens tes larmes, ne voulant pas que Bucky voit tes yeux rouges. Tu dois rester forte pour lui jusqu’au lendemain, quand il sera parti. Il est celui qui va à la guerre, tu ne dois pas être celle qui pleure. Mais tu ne peux t’en empêcher. La peur de perdre Bucky au combat s’est agrandie au moment où tu as ouvert la porte. 
Pour la dernière soirée de Bucky, vous la passez à la Stark Expo avec Steve et Michael. Vous profitez un maximum de ce dernier moment ensemble. Bucky a les étoiles plein les yeux en regardant les différentes inventions pendant que tu essayes de mémoriser Bucky étant heureux. Seul Dieu sait dans quel état tu retrouveras Bucky à la fin de la guerre. Tu le regardes interagir avec votre fils, cette vue réchauffe ton coeur, surtout lorsque Michael lâche des petits rires face aux singeries de Bucky. 
Cependant, ce moment est devenu un vieux souvenir lorsqu’avec Bucky et Michael vous êtes arrivés sur le quai, attendant le moment où il devra officiellement vous quitter. Le début de matinée d’été permet de rendre cette journée un peu moins horrible. Le soleil brillant semble vouloir te donner un peu d’espoir pour le futur de Bucky. Mais le soleil a beau être lumineux, ça n’efface pas ton anxiété. Même la vue de Bucky tenant votre fils dans ses bras, profitant de ce dernier instant ne réduit pas ta peur. Il continue de te parler, espérant te changer les idées. Même si tu fais de ton mieux pour cacher tes émotions depuis l’annonce de son départ, Bucky voit bien la tristesse dans tes yeux. Toutefois, s’il devait être honnête, en faisant ceci, ça lui permet également d’éviter de penser aux horreurs de la guerre dont il va être témoin. Il essaye de faire bonne figure devant toi, mais au fond de lui, il a peur de ne pas revenir, de te faire veuve et de laisser votre fils sans père. 
Quand les soldats sont officiellement appelés, tu prends Michael dans tes bras et Bucky se saisit de son sac. Tu ne regardes pas Bucky dans les yeux, de peur de craquer en face de lui. Il positionne ses doigts sous ton menton et relève ta tête.
-Tout va bien aller, mon coeur. Je serai de retour en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, t’assure-t-il avec un sourire réconfortant.
-Bucky, on ne sait pas si…
Ta phrase reste en suspens, n’osant pas évoquer à voix haute la possibilité de perdre Bucky pendant que tes yeux se remplissent de larmes.
-Hey, on se reverra. Je ne sais pas quand, mais je sais qu’on se reverra car je reviendrai toujours vers toi et vers lui, affirme Bucky en posant sa main droite sur ta joue et la gauche sur celle de Michael. Tu verras, ça sera une journée ensoleillée comme celle-ci et on pourra rattraper tout le temps qu’on a perdu. Je reviendrai, peu importe combien de temps ça prendra. C’est promis. Tout ira bien pour moi. 
-Fais quand même attention à toi. Je te veux en un seul morceau, déclares-tu avec un sourire triste.
-Tu me connais, je fais toujours attention, te rappelle Bucky en embrassant ta main gauche, sur ta bague de mariage. Prenez soin de vous.
-Comme toujours. 
Bucky et toi continuez à vous regarder dans les yeux jusqu’à ce que l’annonce d’un dernier appel avant le départ interrompt votre moment.
-Je dois y aller. Je vous aime. 
-T’aime, papa, tente de dire Michael. 
-Je t’aime aussi, Mikey, lui répond Bucky en embrassant sa joue. Papa sera de retour bientôt. Sois sage avec maman. Je vous écrirai tous les jours, promet-il.
-Tu as intérêt, sinon je ferai comme Steve et je ferai tout pour essayer de rejoindre l’armée, affirmes-tu, faisant rire Bucky.
-Cet imbécile a une mauvaise influence sur toi.
-C’est ton meilleur ami. Tu ne peux blâmer que toi, blagues-tu avant de prendre un air sérieux. Je t’aime, James.
Tu n’utilises pas le prénom de Bucky souvent, seulement durant les situations critiques. En entendant son prénom sortir de ta bouche, Bucky sait tout ce que tu sous-entends dans ce “je t’aime” : “fais attention à toi, je t'attendrai, reviens vers nous, je t’aime.”
-Je t’aime aussi, Y/N. 
Tout comme ta phrase, elle semble simple, mais elle cache une signification plus profonde. Derrière le “je t’aime” de Bucky se cache “Je ferai tout pour revenir vers toi, je ne vous abandonnerai pas, toi et Michael, je ferai en sorte d’être le plus en sécurité possible, je t’aime.”
Bucky t’embrasse une dernière fois pendant qu’il caresse doucement le dos de Michael. Quand il brise le baiser, il pose à nouveau ses lèvres sur la joue de votre fils avant de partir. Tu le regardes partir, les larmes coulant déjà à flots. Tu n’arrives plus à les retenir. Tu gardes tes yeux sur Bucky jusqu’à ce qu’il disparaisse sur le bateau. Tu restes encore sur le quai jusqu’à ce que le bateau quitte le port. Quand Bucky est officiellement loin de toi, tu baisses les yeux sur Michael qui te regarde avec des yeux curieux, ne comprenant pas la situation. Tu essayes de lui sourire en essuyant tes larmes d’une main. Tu contemples ton fils, la seule partie de Bucky qui est avec toi maintenant, jusqu’à ce que l’homme que tu aimes rentre de la guerre.
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Soixante-quatorze ans plus tard, tes yeux sont encore posés ton fils, seulement son visage a bien vieilli depuis le départ de Bucky, tout comme le tien. En regardant Michael, tu peux avoir une idée de à quoi aurait pu ressembler Bucky si la guerre ne te l’avait pas volé. La perte de Bucky a été la plus terrible des épreuves que tu as pu vivre. Tu te rappelles encore le cri de douleur que tu as lâché, mais également le déchirement dans ton cœur en apprenant la nouvelle. Ton fils était alors âgé de trois ans, donc tu as dû gérer le chagrin au mieux pour que Michael ait une vie heureuse et complète, malgré l’absence de son père. Tu t’es assurée à ce que Michael n’oublie jamais qui était Bucky. Tu lui as raconté toutes les histoires possibles de Bucky, et aussi d’oncle Steve, en plus de disposer toutes les photos que tu possèdes pour qu’il se souvienne toujours du visage de Bucky. Si on demandait à Michael si tu es une bonne mère, il dirait que tu as fait un travail exceptionnel, car même s’il n’a pas de souvenir, il a l’impression de réellement connaître son père grâce à toi. 
Quand tu es devenue vieille, Michael s’est occupé de toi, comme tu l’as fait toute sa vie. Cependant, à cause de l’âge, c’est devenu de plus en plus compliqué pour Michael de prendre soin de toi, mais il ne voulait pas te laisser seule alors il a fait en sorte d’être dans la même maison de retraite que toi. Il vit même dans la chambre à côté de la tienne. De plus, le moment où Steve est sorti de la glace, il s’est assuré à ce que vous ayez le meilleur établissement.
Actuellement, tu es dans ta chambre, décorée par tes différents souvenirs dont une photo de Bucky sur ta table de chevet datant de votre mariage. Michael est assis sur le fauteuil à côté de ton lit pendant que ta petite-fille Allison est installée sur ton lit. Les rayons du soleil remplissent de lumière ta chambre, la chauffant juste assez. Allison vient vous rendre visite presque tous les jours et une fois de temps en temps, ton arrière-petite-fille, Claire, vient également vous voir. Toutefois, selon Allison, elle ne vous rend pas visite assez, ce à quoi tu lui réponds toujours le même type de phrase :
-Claire a vingt ans. Elle est jeune, elle a raison de sortir. Et puis, elle nous appelle presque tous les jours. Laisse-la vivre, cette petite.
-Je sais, mais elle était censée venir aujourd’hui. 
-Elle pourra venir demain, lui assure Michael, faisant soupirer Allison. 
Elle s’apprête à ajouter quelque chose quand quelqu’un frappe à la porte. Avant qu’elle puisse se lever, Michael se rend à la porte. Il ouvre et tu entends la personne dire quelque chose, même si tes vieilles oreilles t’empêchent de comprendre. Michael ne bouge pas pendant une seconde, comme s’il était en état de choc. Ne voyant pas qui est à la porte, tu commences à t’inquiéter : 
-Mikey, qui est-ce ?
Pour simple réponse, Michael se décale, les yeux grands ouverts, te permettant de découvrir Bucky encore jeune, bien qu’avec des cheveux plus longs et une barbe, face à toi. Tu n’oses pas bouger, ayant peur que ce soit le même rêve que tu fais depuis soixante-quatorze ans. Quand tu réalises que ton Bucky est bien là, tu commences à t’agiter. Tu essayes d’enlever ta couverture et ordonnes à Allison de t’aider à te lever, cependant à ton âge, c’est presque mission impossible. En te voyant réagir, Bucky accourt vers toi, ne voulant pas que tu quittes ton lit, de peur que tu te fasses mal. Quand il est à tes côtés, tu n’attends pas avant de te jeter dans ses bras.
-Tu es là. Tu es revenu, murmures-tu en pleurant.
-Je t’avais dit que je reviendrais. Un jour ensoleillée, c’était ça, non ?
-Tu m’as tellement manqué.
-Toi aussi, tu n’as pas idée.
-Comment c’est possible ? On m’a dit que tu étais mort ! Et comment peux-tu être encore aussi jeune ? questionnes-tu en tenant son visage dans le creux de tes mains.
-Tu te rappelles de l’histoire de Steve ? demande-t-il et tu hoches la tête. C’est plus ou moins pareil. 
-Je n’arrive pas à y croire. Mikey, il est de retour ! t’exclames-tu en direction de ton fils qui a les yeux larmoyants. 
-Je suis si heureux de te revoir, fils. 
Bucky se tourne vers Michael en le regardant avec un sourire triste. Trop ému, Michael n’arrive pas à sortir un mot. Il prend seulement Bucky dans ses bras tout en pleurant. Tu vois Bucky resserrer l’étreinte, appréciant le contact de son fils qui a tant changé depuis la dernière fois qu’il l’a vu. Après quelques instants, Michael brise l’étreinte, mais garde ses yeux sur Bucky.
-Papa, commence ton fils en s’éclaircissant la gorge et montrant Allison, voici ma fille, Allison.
-On est grands-parents ? s’enquiert Bucky, sous le choc.
-Arrières-grands-parents, même ! réponds-tu avec un sourire. Tu as une arrière-petite-fille, elle s’appelle Claire.
-J’ai l’impression que j’ai tellement de choses à rattraper.
-On serait heureux de tout te raconter, le rassure Michael en tapant gentiment l’épaule droite de Bucky. 
Et c’est ce que vous faites. Toute la journée, vous expliquez à Bucky différentes anecdotes familiales et répondez à toutes ces questions. Parfois, vous essayez de lui en poser, mais il évite toujours le sujet, ce que tu ne manques pas de remarquer. Bucky est assis à côté de toi sur le lit, vos mains enlacées, bien que ses gants empêchent un contact direct. Sa veste sur son corps t’évite également de voir ses bras. Tu n’arrives pas à comprendre pourquoi Bucky semble vouloir garder une certaine distance. Tu te fais un rappel de le questionner une fois que vous serez seuls. Il écoute attentivement Michael raconter le premier Noël d’Allison alors que tu regardes Bucky avec plus d’attention. Même s’il est très proche du Bucky qui est parti à la guerre, tu remarques les cernes et l’absence de l’étincelle qui était autrefois dans ses yeux. Son visage a à peine vieilli. C’est presque imperceptible, mais tu as observé les anciennes photos de Bucky trop souvent, alors tu trouves ces petits changements en un regard.  
Quand le soir arrive, Allison rentre chez elle après avoir aidé Michael à retourner dans sa chambre. Bucky est toujours à tes côtés. Après avoir supplié les infirmières pendant plusieurs minutes, elles ont accepté de te laisser manger dans ta chambre en plus d’autoriser Bucky à rester avec toi pour la nuit. 
Un silence apaisant flotte dans l’air pendant que vous vous regardez. Bucky détaille ton visage - qu’il trouve toujours aussi magnifique, il est heureux d’avoir pu le voir plus âgé, mais triste de ne pas avoir été témoin de son vieillissement. Il embrasse ton annulaire gauche sur ta bague de mariage, comme il le faisait autrefois et tu souris face à ce geste. Bucky remarque que l’anneau est toujours le même ; et même si tu avais tous les droits de te remarier, il est content de voir que tu ne l’as pas fait. Pour ta part, tu ne peux éviter d’être frustrée de ne pas sentir ses doigts, il n’a toujours pas enlevé ses gants, ni même sa veste.
-Tu n’as pas chaud ? Tu as gardé cette maudite veste et ces maudits gants toute la journée, t’exclames-tu avec agacement.
-Essayerais-tu de me déshabiller ? rigole Bucky avec un faux air choqué. Enfin, Y/N, une infirmière pourrait venir à n’importe quel moment ! 
-Bucky, soupires-tu, tu sais très bien ce que je voulais dire. Je ne t’ai pas vu pendant soixante-quatorze ans, j’aimerais pouvoir au moins toucher tes mains. 
À contre-coeur, Bucky enlève son gant droit et le met dans sa veste. Il regarde sa main faite de chair avant de te la tendre en tentant de faire un sourire rassurant.
-Et l’autre gant ? demandes-tu en arquant un sourcil.
-Je… Je préfère le garder.
-Je suis vieille, pas malade. Tu risques pas de choper de microbe, plaisantes-tu, faisant sourire Bucky.
-Je sais, dit-il sans rien ajouter de plus. 
Tu prends la main droite de Bucky dans les tiennes, appréciant enfin son aspect calleux. Le visage de Bucky prend un air triste alors qu’il enlève doucement sa main des tiennes pour la poser sur ta joue. 
-Je suis désolé de t’avoir fait attendre autant, chuchote Bucky. Ce n’était pas ce que j’avais prévu.
-On est réunis, c’est le plus important, lui assures-tu avec un sourire sincère.
-Certes, mais j’avais peur que tu sois…
Tout comme toi quand il a dû partir pour la guerre, il laisse sa phrase en suspens, n’osant pas exprimer à voix haute la possibilité de ton décès.
-Il faut croire que mon corps savait que tu étais encore vivant et qu’il attendait que tu me reviennes.
-Sûrement.
Bucky continue de caresser ta joue alors que tu poses ta main gauche sur la sienne, approfondissant un peu plus le contact.
-Tu comptes me dire la vérité, maintenant qu’on est seuls ? requiers-tu avec une voix douce.
Sachant très bien de quoi tu parles, Bucky se tend, retirant sa main de ta joue pendant que sa gauche se cache instinctivement dans la poche de sa veste.
-A propos de quoi ? feint-il de ne pas comprendre.
-Bucky, je te connais, malgré ces années de séparation. Et puis, la façon dont tu as dit que “plus ou moins” la même histoire que Steve t’était arrivé me confirme qu’il y a quelque chose que tu ne me dis pas. Qu’est-ce qui t’es arrivé pendant la guerre ? Comment ça se fait que tu sois aussi jeune et que tu aies survécu à cette chute ? 
Réalisant que son semi-mensonge ne t’a pas convaincu ne l’étonne pas. Tu le connaissais par cœur avant qu’il parte à la guerre, bien évidemment que tu peux encore le lire en lui comme un livre ouvert. À cet instant précis, il pense même que tu le connais peut-être mieux qu’il ne se connaît lui-même. Cette pensée lui pince légèrement le cœur. Il reste silencieux, ignorant quoi répondre quand ses yeux tombent sur un livre sur ta table de chevet.
-Tu l’as encore ? 
En entendant Bucky changer de sujet, tu roules des yeux alors qu’il se saisit de ton roman, à côté de sa photo. Il ouvre votre ancien exemplaire du Hobbit, maintenant abîmé à force d’être lu, et découvre des annotations qui n’étaient pas là la dernière fois qu’il l'a lu. Vous n’avez jamais annoté les livres que vous avez lu. Cependant, après son départ, tu avais reprit ta lecture du livre de Tolkien en annotant les commentaires que Bucky faisait à chaque lecture pour avoir l’impression de toujours le lire avec lui. Bucky sent son coeur se serrer en pensant aux nombres de fois où tu as dû lire Le Hobbit en cherchant un peu de réconfort.
-Je m’en sépare jamais, informes-tu. Tu ne vas pas me dire la vérité, n’est-ce pas ?
-Peut-être un autre jour.
Bucky sait qu’il ne devrait pas te cacher ce qui lui est arrivé. Tu risques de le découvrir d’un jour à l’autre, il devrait être celui qui te raconte son histoire, mais il veut le faire un autre moment. Il ne veut pas que ses retrouvailles avec toi soient gâchées. Tu es si heureuse de le retrouver, il ne veut pas te briser le cœur en t’expliquant que pendant soixante-dix ans, il a été torturé et utilisé comme une arme, en plus d’avoir perdu tous les souvenirs qu’il avait avec toi et Michael, jusqu’à ce que Steve le retrouve. Bucky a enfin une chance d’être avec toi après toutes ces années, il ne peut pas tout ruiner avec son histoire. Il a dû confronter d’horribles moments pour arriver à ce moment, il doit s’assurer que ce moment soit un souvenir joyeux. Depuis le Wakanda, il a le droit à une deuxième chance et il ne compte pas la gaspiller. Non, tu n’as pas besoin de savoir tout ce qu’il a traversé et fait. Tu n’as pas besoin de savoir à quel point il peut encore être fragile mentalement. Il est de nouveau à tes côtés, c’est tout ce qui compte.
-Pourquoi ne viens-tu pas t’allonger à mes côtés et me lire Le Hobbit comme avant ? finis-tu par proposer.
-Avec plaisir, mon coeur. 
Bucky t’aide à te positionner correctement dans ton lit avant de te rejoindre. Quand vous avez trouvé une position confortable, tu essayes de lui prendre sa main gauche, mais il se dépêche de tenir le livre de cette main et de te tendre la droite. Tu fronces les sourcils face à son geste. Tu lui tenais toujours la main gauche quand vous lisiez. Tu essayes de ne pas chercher le pourquoi du comment et caresse sa main droite alors que Bucky commence à lire les premiers mots. En entendant la voix de Bucky, tu  as l’impression de faire un bon dans le passé où tout allait bien, où vous étiez jeunes et loin des horreurs de la guerre dans votre petite maison de Brooklyn avec Michael faisant sa sieste paisiblement à l’étage. Tu prends une profonde inspiration, l’odeur de Bucky remplissant tes narines comme autrefois. Pour la première fois en soixante-quatorze ans, tu es enfin à la maison à nouveau. Un sourire paisible prend place sur ton visage. 
Fatiguée par les différentes émotions de la journée, tu t’autorises à t’endormir doucement en continuant d’écouter la douce voix de Bucky, tes caresses sur sa main devenant de moins en moins régulières. Grâce à son ouïe de supersoldat, Bucky sent ta respiration ralentir, l’indiquant que tu tombes dans les bras de Morphée. En tournant la page, Bucky embrasse le haut du crâne. Il continue sa lecture, écoutant attentivement les battements de ton cœur. Il termine de lire le chapitre deux quand il entend ta pulsation devenir de plus en plus faible jusqu’à ne plus être perceptible. Bucky s’arrête dans sa lecture quand il est confronté au silence. Il lui faut quelques secondes avant de réaliser que tu viens de le quitter. Instantanément, ses yeux se remplissent de larmes. Il pose le livre sur la table de chevet et pose son regard sur toi. Délicatement, ses mains trouvent leur chemin sur ton visage où il peut voir l’ombre d’un sourire. Bucky commence à pleurer en le voyant, car même si tu es partie heureuse et sereine à ses côtés, il t’avait promis de te retrouver, mais aussi de rattraper tout le temps perdu et une journée n’est pas suffisante. 
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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valentine1994 · 2 years
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Demain rentrée des classes et mes règles sont en retard, je sais que c’est une question de stress parce que je suis pas la Vierge Marie, bref je me connecte vite fait pour dire que je vais mal. J’ai pas envie de rencontrer mes « camarade de classe » j’ai pas envie de me faire d’amies, amies avec un E parce que quand t’étudies les langues tu te retrouves qu’avec des meufs et j’aime pas l’ambiance, c’est ma minute misogyne, et puis j’ai vu les photos des vacances de mes cousins et je suis jalouse, c’est moche la jalousie c’est super moche, alors je suis là assise dans mon lit à me morfondre parce que j’ai l’impression d’avoir le corps d’une femme de 80 ans à cause du stress, et mon acné devient sérieux genre il faut que j’aille consulter, bref mon plus gros problème c’est que je me sens moche, et pendant ce temps là mon corps fait le max pour survivre, il survit super bien même, j’ai vraiment pas à me plaindre, mais c’est pas assez apparemment. J’ai 10 heures pour tuer la partie de moi qui vit pour la compétition
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juyub · 1 year
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Collectionneurs
Satisfait, Jacob Vacaasno se prélassait dans le grand lit français quand son téléphone portable s'est mis à sonner sur la table de nuit.
Mon bien-aimé, es-tu toujours au travail ? Je pense toujours à toi et je me languis de toi !
Avec un sourire amusé, il a répondu en tapant à la hâte au SMS de la femme qu'il avait demandée en mariage hier à genoux.
Oh, mon seul véritable amour, comme je t'aime. Je viens de rentrer à la maison et j'ai juste besoin de me reposer, je te contacterai demain.
Dans le grand miroir au-dessus du lit, notre Roméo, une fois son message accompli, se regardait avec satisfaction, ainsi que l'épouse somnolente de son meilleur ami, qu'il avait bien baisée dans le lit conjugal. Quant au grand amour qu'il venait de déclarer, Vacaasno songea avec amusement à l'efficacité de la demande en mariage auprès de la bimbo coincée pour l'attirer définitivement dans son lit. Elle n'était pas vraiment une bombe, mais elle avait de l'argent. Eh bien, il est temps de passer à l'étape deux et d'étriper cette idiote comme une dinde de Noël.
"Mon Dieu, que tu es belle !"
"Oh merci !"
L'épouse peu fidèle avait surpris dans son demi-sommeil les propos admiratifs de son amant et y avait réagi avec plaisir.
Jacob se contrôla péniblement pour ne pas éclater de rire. Cette stupide garce s'est en effet attribuée l'exclamation narcissique, alors qu'il s'admirait dans le miroir. Quelle putain de salope ! En fait, il s'était juste ennuyé et avait voulu faire la nique à son pote qui faisait le malin. Eh bien, les seins étaient tout à fait corrects. Peut-être qu'il l'annoncerait au mari trompé avec des remords feints, du genre 'elle m'a séduit'. Ce type était en effet un homme très féminin et le plus faux des amis se réjouissait déjà de le voir pleurer et de se délecter des jérémiades de la sensible Blanche-Neige.
A cette idée, la libido de l'impie Jacobus s'est fortement accrue et il a décidé de s'en prendre une nouvelle fois à son objet sexuel actuel.
*
Vacaasno s'est assis devant son ordinateur en riant, alors qu'il vérifiait l'un de ses nombreux faux profils sur Shinder.
Pour les dames en quête de contact sur le marché des portails de rencontre virtuels, notre loverboy jacobin s'appelait Scammy Fraudinski - un bel homme d'affaires fortuné qui cherchait le grand amour sur le net. Ce faisant, notre grand amoureux se concentrait sciemment sur des femmes qui ne correspondaient pas trop à l'idéal de beauté temporaire, mais dont les moyens financiers leur conféraient une certaine attractivité à ses yeux de cupide misogyne. Pour ce faire, il pratiquait une sorte de phishing et vendait les données ainsi obtenues à des partenaires commerciaux nigérians, qui arnaquaient ensuite les malheureuses dames par toutes sortes d'escroqueries via Internet. Notre gigolo virtuel se sentait parfois tenté de piller directement les comptes des dames, mais c'était trop dangereux pour lui.
La raison de cette explosion d'hilarité était les effusions d'amour limite débiles d'une dame médiévale du nom d'Anne Nala, qui appartenait plutôt à la lie intellectuelle de l'Absurdistan, mais qui occupait une position de pointe en tant que chef du service extérieur dans la direction du Teutonistan GmbH. C'était d'autant plus étonnant que cette femme inculte représentait pour ainsi dire le fanal des bimbos naïves en pain blanc, dont les capacités cognitives laissaient supposer qu'elles étaient trop stupides pour aller au puits. Au vu des déficiences mentales évidentes de certaines parties de la gent féminine en quête d'amour, certains collègues nigérians de Jacobs pensaient que cela était lié aux sortilèges vaudou des chamans mandatés, car aux yeux des Africains, plutôt réalistes, il était impossible que quelqu'un soit aussi profondément stupide.
Au moins, Vacaasno s'est bien amusé à voir cette noix sourde de responsable des relations extérieures présenter les lieux communs les plus triviaux comme une sagesse profonde. Eh bien, le Teutonistan Ltd., autrefois florissant, était de toute façon bien mal en point à cause de sa direction déjantée, qui remplaçait le manque de compétence par une indicible hubris. Outre l'aspect involontairement comique, notre grand coureur de jupons appréciait tout à fait les informations hautement explosives et précieuses que son amour d'Internet en mal d'écriture lui envoyait au passage pour s'en vanter. Mais au moins, cette fanfaronne aussi vaniteuse que stupide était une source d'argent abondante, puisque le chef du marketing Genrich Jagoda de la société Eastern Murder Inc. payait les prix les plus élevés pour les données obtenues.
Intéressé, le gigolo virtuel a découvert une nouvelle demande :
Bonjour !
tes photos sont superbes ! Je m'appelle Lisa Bathory et je suis toujours à la recherche d'un partenaire qui puisse me donner ce dont j'ai besoin. Rien qu'en pensant à lui, je tremble d'excitation.
Peu m'importe que tu sois beau ou laid, riche ou pauvre, instruit ou inculte. Je cherche le véritable amour, celui qui se donne corps et âme avec sincérité.
Pour que tu saches à qui tu as affaire, je t'envoie une photo de moi.
Si tu es intéressé(e), appelle-moi au 0190 666.
Quelle pute, il la baiserait comme elle en a besoin. L'image de cette femme visiblement en manque d'amour était un rêve macho et humide - rien que ses seins !
Le galant enflammé a rapidement pris une culotte à portée de main dans sa vaste collection de trophées, composée de sous-vêtements usagés de ces dames qui, pour leur malheur financier ou autre, se sont laissées faire par notre Don Juan pour pauvres. Jacobus le renifleur aspira avec délectation le mélange d'eau de pisse et d'autres parfums, afin de se mettre dans l'ambiance pour son prochain exploit érotique.
Vacaasno s'est emparé de son smartphone doré de marque Poser XL, autrefois financé par une maîtresse abandonnée depuis longtemps - la malheureuse payait encore les factures de téléphone exorbitantes de son grand amour en raison d'un contrat signé à la légère. Le numéro fut rapidement composé.
"Château Bran, Vlad Alucard à l'appareil".
Une légère confusion s'insinua dans l'appareil mental du gigolo téléphoniste, pour être remplacée par une cupidité naissante. Un château ! Il y avait certainement quelque chose à récupérer.
"Euh, je voudrais parler à Mme Lisa Bathory !"
"Désolé, Domnule, la maîtresse dort encore !"
"Désolé, vous me confondez avec quelqu'un d'autre. Je m'appelle Scammy Fraudinski et non Domnule. Votre maîtresse m'a écrit pour me demander de l'appeler" !
Légèrement déconcerté, l'appelant jacobin a pris connaissance du rire guttural de son interlocuteur, qui lui a ensuite répondu sur un ton enjoué.
"Vous ne pouvez pas le savoir, mais Domnule signifie 'mon seigneur' dans ma langue maternelle, mon seigneur. D'ailleurs, vous avez là un pseudonyme original. Cela peut vous surprendre, mais puis-je vous demander quel est votre groupe sanguin ? Je devrais peut-être aussi vous faire remarquer que la maîtresse vous récompensera richement si vous êtes à la hauteur de ses exigences".
Quel drôle d'énergumène, mais pour une riche récompense, il fallait accepter de faire quelques sacrifices.
"Groupe sanguin AB négatif, espèce d'oiseau. Qui êtes-vous maintenant ?"
Notre menteur notoire avait bien sûr triché, puisqu'en tant que zéro de caractère, il disposait également du groupe sanguin adéquat.
"Je suis en quelque sorte un serviteur".
"Ah, le mari !"
"Mancarea aime plaisanter. Non, plutôt une sorte de majordome. La maîtresse vous contactera ce soir. Réjouissez-vous ! Si vous êtes puissant, votre récompense dépassera vos rêves les plus fous. Puis-je connaître votre numéro de téléphone ?"
"0049 110 espèce de petit mac !"
"Adieu !"
Il avait vraiment raccroché ! Cette conversation vraiment bizarre a fait que notre Loverboy a pensé un moment à renoncer à cette connaissance. Mais comme pour beaucoup de gens, la cupidité l'a emporté sur la raison.
*
Les miaulements du téléphone portable n'en finissaient pas. Furieux, Vacaasno retira le masturbateur de ses parties les plus méridionales et remonta son boxer. Comme il détestait ces interruptions de son bodybuilding unilatéral du soir.
"Vacaasno, oui s'il vous plaît ?"
"Ah, mais pas Fraudinski ! C'est Lisa Bathory" !
Oups, dans la précipitation, il avait effectivement oublié qu'il s'agissait de son téléphone portable pour les victimes potentielles d'arnaques. De plus, le ton ironique de son interlocutrice le déconcertait.
"Euh, c'est vraiment Scammy Fraudinski. Vacaasno est mon surnom. En effet, j'attendais maintenant l'appel d'un ami et je me suis donc présenté ainsi".
Le rire pétillant d'érotisme de l'appelante rendit à son tour l'impie Jacobus légèrement confus et eut un effet stimulant sur la partie du corps précédemment entraînée, qui se redressa de manière exigeante.
"Tu n'es pas sans humour, Scammy Vacaasno ! Mais assez de plaisanteries douteuses ! Pour faire court : J'aimerais faire ta connaissance et t'inviter à un dîner. Si le courant passe, nous pourrons peut-être devenir plus intimes et envisager une relation à long terme. Au moins, je te récompenserai pour tes performances comme tu ne peux pas l'imaginer dans tes rêves les plus fous" !
Il y a de quoi rester bouche bée. Il n'avait encore jamais vécu cela dans ses relations d'exploitation avec le monde des femmes. Cette petite pute devait vraiment en avoir besoin, mais après tout, il y avait visiblement beaucoup à gagner avec cette nana ; il allait vraiment l'étriper.
"Eh bien, je ne suis pas vraiment un homme d'un soir et je ne suis pas du genre matérialiste, mais avec toi, je sens une certaine affinité. D'habitude, je suis très timide, mais d'une certaine manière, un sentiment profondément ancré dans mon âme m'attire vers toi. C'est presque comme si je te connaissais d'une vie antérieure".
La pute donnait certes une impression matérielle, mais Jacob pensait connaître le calibre. Après tout, il ne voulait pas seulement se taper cette salope en chaleur contre rémunération, mais aussi la plumer comme une oie de Noël. Son discours pseudo-romantique avait jusqu'à présent fonctionné avec chacune de ses victimes. Il fut d'autant plus surpris par le fou rire qu'il reçut en réponse et qui fit s'effondrer sa verge gonflée.
"S'il te plaît, ne ris pas, je vais peut-être pleurer".
Ces hommes-femmes adoraient les mauviettes pleurnichardes, peut-être qu'il s'en sortirait avec ce stratagème. A la rigueur, il restait le numéro macho, dans lequel il ferait passer certains passages de la conversation pour une blague masculine idiote.
"Tu es vraiment très amusante. Je me serais certainement souvenu de toi, mais arrêtons de jouer. Mmmh, à quelle heure le soleil se couche-t-il demain ? Tu n'as pas besoin de répondre, c'est juste une question rhétorique, si tu sais ce que cela signifie. Donc, vers 21 heures, heure de Transylvanie, tu seras à l'entrée sud du cimetière central. Un de mes serviteurs viendra te chercher et te conduira à l'hôtel particulier de ma ville, rue Morgue. Bon, je m'arrête là, il faut que je boive d'urgence un jus d'orange sanguine".
Perplexe, Vacaasno tenait le téléphone portable désormais muet dans sa main. Mon Dieu, cette nana était encore plus tordue que la stupide Galadriel dans une adaptation bâclée de Tolkien. Mais qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour de l'argent, et il semblait y en avoir beaucoup.
*
"Voilà, maître, nous sommes à l'entrée sud. J'aimerais bien savoir ce que vous faites là ? Vous êtes maintenant le troisième que je dépose ici cette semaine. Ça fait 16,66 euros !"
Eh bien, cette garce excitée semblait vraiment en avoir besoin ! Le visage impassible, Jacob paya le chauffeur de taxi au centime près, car ce type et son attitude impertinente l'avaient déjà fortement agacé dès qu'il était monté.
Mal à l'aise, le callboy jacobin regarda la grosse gargouille qui, à la lumière de néons froids, au-dessus de la porte fermée du cimetière, observait les visiteurs d'un regard de pierre.
Oups, c'était un grognement ? 
"Monsieur Vacaasno, je m'appelle Fenrir Kerberos. Ma maîtresse m'envoie, si vous voulez bien me suivre" !
Surpris, l'interpellé fit un tour sur lui-même et recula inévitablement d'un pas en apercevant l'énorme homme de couleur en tenue de cuir. Par la queue de Jupiter, le type était poilu - le plus pur des visages de fourrure. Comment cet ogre pataud avait-il réussi à s'approcher de lui presque sans bruit ? Un peu effrayant !
"Euh, je dois encore passer un coup de fil confidentiel et urgent. Vous n'êtes pas obligé de m'attendre. Dites-moi simplement le numéro de la maison, j'ai une excellente application de navigation".
Est-ce que le type avait aboyé ? C'est bizarre !
"Je suis désolé, ma maîtresse a donné des instructions détaillées. Sinon, on me remettra la laisse. Téléphonez tranquillement, je n'écoute pas" !
Ma gueule, la tante devait vraiment être complètement perverse. Pas seulement le SM, mais aussi le pet-play ! Mais au vu de la prospérité évidente de son hôtesse, Loverboy, soucieux de ses finances, a balayé ses doutes.
"Bon, je peux aussi téléphoner plus tard. Alors, allez-y" !
"Très bien, monsieur. Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous manger".
Pourquoi ce type riait-il si bizarrement ?
*
Après 10 minutes de marche, ponctuées par les halètements occasionnels de Kerberos, les joyeux randonneurs ont finalement atteint leur destination.
Comme par magie, le magnifique portail de la villa s'est ouvert - je laisse à l'imagination du lecteur avisé le soin de décrire exactement à quoi elle ressemblait, car je n'ai pas envie de décrire la construction pour le moment.
"Comme c'est gentil, une télécommande et la cabane n'est pas mal non plus. Votre patronne a l'air d'être assez fortunée" ?
"Télécommande ? C'est vrai, ma cabane est déjà assez exquise et la chaîne en or pur. Si vous souhaitez entrer, ma maîtresse vous accueillera ensuite dans la salle de réception. Vous devrez malheureusement renoncer à ma compagnie, je vais maintenant me faire une petite chasse au goûter".
Chasser un Snack ? Jacob ne savait pas vraiment quoi répondre - quel malade ! Après que Fenrir eut quitté les lieux en un clin d'œil, notre loverboy entra dans le domaine bathorien avec un soupir de soulagement. La maîtresse de maison ne pouvait pas être plus bizarre que son serviteur poilu.
Le luxe de ce véritable palais a rendu Vacaasno littéralement fou de cupidité ; il pouvait vraiment faire de l'argent ici !
"Bienvenue, mon cher ! Je suis content que tu sois venu".
Oui, est-ce qu'elles se sont toutes faufilées ? Sur le côté, sans qu'il s'en aperçoive jusqu'à présent, se trouvait une dame d'un attrait époustouflant - les amis, l'idéal de beauté temporaire est dans l'œil de celui qui regarde, c'est pourquoi, et comme je suis parfois vraiment paresseux, je laisse à mon aimable lectorat le soin d'imaginer les détails. En ce qui concerne les circonstances visuelles, le gigolo entreprenant était sûr de pouvoir se réjouir de la dame même sans incitation financière. Bon, la robe de brocart ancienne et le verre de vin de forme étrange qu'elle tenait à la main avaient un air un peu bizarre, mais on pouvait passer outre ce genre de choses avec ces salopes d'élite dégénérées quand elles avaient visiblement de l'argent comme de la merde et qu'elles étaient manifestement la baise du siècle.
"Lisa Bathory, je présume ?"
"Non, je suis la femme de chambre. Idiot !"
Cette petite garce était déjà impertinente, mais il finirait quand même par l'avoir.
"Pardonnez-moi, je suis irréfléchi. Vos photos chez Shinder ne sont qu'un pâle reflet de votre extraordinaire beauté. Je ne peux pas m'en empêcher, mais je dois avouer qu'il émane de vous quelque chose de rayonnant, qui illumine même la pièce la plus sombre. Presque quelque chose de magique..."
Le rire bref et perlé de son hôtesse interrompit le flot de paroles de l'imitation de Roméo.
"Délicieux, je pourrais te manger tout de suite. Mais chaque chose en son temps. Alors arrête tes bêtises et bois ça. Ne t'inquiète pas, ce n'est que du vin avec un petit ingrédient".
Cette garce a été très directe ! Il n'avait donc pas besoin de s'adonner à la douceur et devait plutôt compter sur ses capacités athlétiques.
"Tu ne bois pas ?"
Encore ce rire étrange, mais que ne supporte-t-on pas pour le travail et le plaisir.
"Plus tard, c'est garanti ! Je bois..."
Jacob l'ignorant remarqua l'étincelle moqueuse dans les yeux de son hôtesse, tandis que celle-ci restait silencieuse quelques secondes.
" ...pas de vin ! Mais maintenant, descends-le et d'un seul coup".
Il montrerait à cette pute arrogante quand il l'aurait attrapée. Avec un faux sourire, Vacaasno saisit le verre qu'on lui tend et le boit avidement.
"Il est excellent ! Je peux deviner ? C'est un Beerbocus 360 de 2023 ! Euh, qu'est-ce que..."
Le monde de Loverboy a commencé à tourner d'un seul coup. Cette satanée garce l'avait-elle empoisonné ? Avant que Morpheus ne le prenne gracieusement dans ses bras, Jacob entendit le rire joyeux de sa bien-aimée.
*
"Tiens, Kérberos, le dîner s'est réveillé !"
Se réveillant confusément de son rêve avec 99 vierges juste avant la défloration au paradis des machos, le loverboy jacobin a eu droit à un spectacle plutôt réjouissant. Entièrement dévêtue, la maîtresse de maison se tenait devant lui. Distrait par son corps parfait, Vacaasno, lui aussi nu, n'enregistra d'abord que peu de choses de son environnement, pour autant qu'il parvienne à le distinguer en position horizontale.
La salope aimait jouer, il allait donc lui montrer. Cependant, la tentative de se lever qui suivit immédiatement échoua lamentablement.
"Crétin, tu es enchaîné et tu es sur le banc de torture de mes ancêtres !"
Ce n'est qu'à ce moment-là qu'il y a eu une sorte d'élargissement de la conscience concernant le lieu de l'action en cours. Apparemment, il se trouvait dans un cachot intime qui avait le charme discret des salles de torture de l'Inquisition espagnole au début de l'ère moderne. Eh bien, peut-être un peu de SM hardcore ? Certes désagréable, mais il s'en sortirait d'une manière ou d'une autre. La chatte voulait donc jouer à la dominatrice avec son serviteur poilu, qui se trouvait manifestement hors de son champ de vision. D'accord, il savait ce que ces salopes malades aimaient.
"Domina, j'ai manqué à l'appel. S'il te plaît, punis-moi aussi durement que je le mérite".
Peut-être qu'un tel verbiage servile a contribué à ce que l'impérieuse hôtesse renonce à la partie brutale et aille droit au but, de sorte que l'esclave jacobin plein d'espoir n'a subi que des blessures mineures.
"Eh bien, Kerberos, je crois que notre invité n'a pas bien évalué la situation. Sois gentil, va donc chercher la collection".
"Oui maîtresse !"
Petit à petit, Vacaasno s'est rendu compte que quelque chose n'allait pas du tout. Il semblait vraiment être tombé entre les mains de vrais psychopathes. La seule chose à faire était de rester calme et d'attendre. Peut-être qu'il pourrait répondre aux tendances perverses de ces deux-là et s'échapper d'une manière ou d'une autre.
Au bout de quelques minutes, le serviteur poilu, également dévêtu, apparut enfin dans le champ de vision de l'homme allongé. Cependant, le cri d'horreur de Jacob ne s'adressait pas au corps extrêmement laid de Kerberos, mais au contenu de la vitrine d'exposition mobile qu'il poussait devant lui.
"Tais-toi ou je te coupe la langue !"
Face au changement de situation et à la vision inhabituelle, Jacob la crut sur parole et préféra ne plus exprimer verbalement sa panique.
"Ceci, mon cher, a d'ailleurs entendu Kérberos avant que je ne le transforme pour le prendre à mon service !"
La Bathory désigna le plus grand des nombreux organes sexuels masculins qui se trouvaient dans des bocaux de préparation remplis d'alcool à l'intérieur de la vitrine.
"Il a eu moins de chance ! C'était un beau grec que je voulais empailler, mais j'en ai tellement dans mon salon. Alors je n'ai pris que l'essentiel et j'ai jeté le reste à la poubelle. Il n'avait aussi que le groupe sanguin B positif et ne valait pas la peine d'être transformé. Qu'est-ce que je vais faire de toi ?“
Oh, mon Dieu, des assassins malades mentaux ! Loverboy ne pouvait plus réprimer sa panique.
"S'il vous plaît, ne faites pas ça, je ferai tout ce que vous voudrez, mais épargnez-moi".
"Dis-moi : je veux mourir et te donner tout mon sang !"
C'est avec une profonde horreur que Jacob réalisa que cette femme tueuse d'hommes littéralement était  supérieure à lui sur le plan intellectuel. Le macho en détresse se mit à pleurer à chaudes larmes comme une petite fille, sans trop savoir s'il avait plus peur de sa mort potentielle ou de la castration.
"Pleurer ne te sert plus à rien maintenant. Mais tu commences à m'ennuyer. En fait, je n'aime pas trop les pleurnichards comme toi, mais en raison de ton groupe sanguin rare, je vais quand même t'accepter dans la communauté des damnés. Tu pourrais faire un bon bouffon et nettoyer les latrines en même temps. Je vais te goûter !"
Les pleurs se transformèrent en cris stridents lorsque d'énormes crocs poussèrent sur la tortionnaire, que Lisa la Vamp planta rapidement dans le bras droit de Jacob, lié par les liens de l'amour. Dégoûtée, la Bathory abandonna sa victime après les premières gorgées et recracha le peu délicieux breuvage.
"Beurk, groupe sanguin zéro ! Je les déteste ! Sale bâtard, tu vas payer pour ça ! Kerberos, il est à toi. Mais s'il te plaît, mets ses restes dans les ordures ménagères".
Pendant que la vampire quittait le donjon, Jacobus le mordu a pu assister à la transformation d'un humain en loup-garou, ce qui a bien sûr augmenté le niveau sonore technique des cris de quelques décibels.
Finalement, Jacob Vacaasno, son roi macho et loverboy de la pire espèce, s'est fait vraiment manger par une créature masculine un peu poilue.
© 2023 Q.A.Juyub
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Donc c'est vrai😭😭😭😭😭 ce matin j'ai lâché un très grand cri, très fort de mes entrailles en voyant ça la première publication sur laquelle suis tombée.
Quelle surprise, quelle leçon, qu'elle douleur, qu'elle....😭😭😭😭
QUI SOMMES-NOUS?
Aaah Qui sommes-nous Seigneur Jésus-Christ au devant de ta face, de tes choix et de tes décisions ?
Qui sommes-nous? quand nous allons nous coucher et nous lever en pleine vie.
Qui sommes-nous? quand chaque jour Tu renouvelles notre souffle de vie. Effectivement, nous nous rendons compte que c'est une grâce de dormir et de se réveiller.
Qui sommes-nous de croire par la folie des hommes quand nous allons dormir nous nous réveillons par nous-mêmes et non par ta grâce?
Qui sommes-nous de ne pas fléchir genoux chaque jour pour te rendre divinement grâce.
Qui sommes-nous de ne pas toujours compter sur ta grâce pensant que nous avons le monopole de tout?
Qui sommes-nous de croire que parceque nous sommes chrétienne une longévité nous est assuré sans compter sur la grâce de Dieu?
Qui sommes-nous de croire qu'avec le SALUT reçu nous pouvons tricher et revenir te demander pardon car nous avons encore la certitude que demain nous pouvons nous repentir?
Qui sommes-nous de croire a l'incensé que nous pouvons être prêt avant ta venue en remettant ton SALUT a demain?
Qui sommes-nous comme une plume légère detttache du Plumage d'un oiseau qui s'envole et qui court au rythme du vent et finit par se déposer sur un courant d'eau qui l'engloutit.
Oui, Qui sommes-nous....?
Papa Jésus-Christ, quand le monde entier y compris moi crions concernant la douleur d'un de tes enfants, réponds-nous, Dieu, notre justice ! Toi qui nous libères de la détresse, pitié pour nous et ton serviteur, écoute notre prière ! Et fortifie ton enfant. Amen
Pasteur marcello tunasi Soyez forts et tenez bon, ne craignez pas et ne tremblez pas devant le choix et la décision de Dieu, car c'est le Seigneur LUI-MÊME, notre Dieu qui a toujours marché au devant de vous, qui continue et continuera de marcher au devant de vous, vos enfants et votre ministère : Il ne vous délaissera pas et ne vous abandonnera pas » Courage et que le Saint-Esprit vous restaure.
Maman Blanche Tunasi, Zele en feu pour le Seigneur, jeûne mais parti très tôt.
Repose-toi dans le sein de ton Pere où la lumière divine luira sur toi éternellement. Tu étais une femme forte, de principes, de caractère et a travers ta vie d'épouse au près de ton mari et étant servante de Dieu a la fois tu as enseigne plusieurs d'entre nous au travers de ta vie, de ton style d'habillement et de prière. Va Maman Blanche Tunasi et repose en paix éternellement. Amen
Toutes mes condoléances à toute la famille de l'Homme de Dieu, Serviteur de Jésus-Christ Pasteur Marcello tunasi, leurs enfants biologiques, leur proches et toute la famille spirituelle. 🙏🏽🙏🏽🙏🏽🙏🏽
❤️❤️GCFL🔥🔥la Fille choisit et distinguée de Jésus-Christ.
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christophe76460 · 13 days
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Beaucoup de fois nous stressons et perdons notre paix à cause de notre manque de patience. Dieu n’est jamais dans la précipitation ou un enthousiasme excessif. Quand la présence du Seigneur se manifeste, le premier fruit qui se dégage c’est la paix. Tout est paisible dans Sa présence. Dans Ses projets, Dieu n’est pas précipité, Il n’a pas le besoin ardent que tout s’accomplisse demain matin. Alors pourquoi le sommes-nous? Tu me diras « Dieu est éternel, moi je n’ai qu’une courte vie! » Oui mais tu sais, vouloir aller vite est la chose qui nous ralentit le plus. Doucement mais sûrement dit-on non?
C’est dans le calme et la confiance que sera votre force nous dit Esaïe. La calme et la tranquillité de l’esprit accompagnent toujours l’oeuvre de Dieu dans notre coeur et dans notre vie. Alors enlève de ta tête toutes les dates limites que tu t’étais donné : avant mes 30 je dois être marié, avant la fin de l’année je dois être promu, d’ici 3ans je dois devenir pasteur. C’est ça qui te cause du stress et te frustre. Enlève aussi les dates limites que tu as imposé au Seigneur : Dieu, avant le mois de juin je dois rencontrer mon mari ! Seigneur, ça fait trop longtemps que ça dure, avant la fin de la semaine je dois recevoir une réponse !
D’ailleurs plus tu Lui donnes des délais et moins Il les respecte, car Il veut t’enseigner à faire les choses selon Son calendrier et non selon ton impatience.
Laisse à Dieu le temps et donne-toi le temps. Que tu te maries à 25 ou 35ans, l’idée est d’être bien marié, de rester marié et d’être heureux dans ton mariage ! Que ton entreprise fleurisse demain matin ou dans 6ans, l’idée est qu’elle perdure et prospère afin de laisser un héritage à ta descendance après toi. Apprenons à vivre selon une perspective d’éternité en sortant de nos limites temporelles. Apprenons à construire pour l’avenir et non juste à obtenir une satisfaction qui ne durera qu’un instant.
Pasteur Maïsha Nerplat
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eimcastel · 20 days
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Comment pourrais je me débarrasser de ce poids.
Toi qui fut un jour mon toit, tu pèse aujourd'hui le poids d'un toit sur moi. 
Est-ce que tu l'es vraiment, peut-être pas peut-être que ça changera. C'est quoi être vraiment ? 
Toi vegan aujourd'hui le seras-tu demain et si demain tu voulais plus l'as-tu été un jour.
Toi footballeur aujourd'hui le seras-tu demain et si tu ne l'ai plus l'as tu déjà été un jour.
Toi drogué aujourd'hui le seras-tu demain si non, l'as tu déjà vraiment été.
C'est quoi être alors? 
Je suis qui je suis sur le moment où je te parle, mon futur est incertain tout autant que le tien alors parlons du présent prends-moi celle d'aujourd'hui pas celle d'hier ni celle de demain.
Oui j'étais quelqu'un, j'aimais quelqu'un, aujourd'hui je suis le même quelqu'un mais j'aime un autre quelqu'un, alors ne m'aimera tu plus? 
Une phase? Ça va passer? 
Peut-être que ça peut changer dans le futur, comme tu peux changer de vision politique, mais ça n'effacera jamais le moment et la vérité du mome t passé. Non ce n'est pas une phase et non ça ne passe pas, ça peut changer, comme toi tu as changé de mari. Comme ton mari à changer de toi pour etre avec un mari. Tu n'as pas été pour autant une phase pour lui. Tu as été un moment vrai dans sa vie. Une partie de son histoire.
Ce n'est pas correct, ce n'est pas bien, ce n'est pas un normal. 
Disons que tu as raison. Pourquoi s'acharner sur ce sujet, il y en a tant d'autres, qui engendre de la violence, de la haine, de la peur, la mort même parfois.
Ici, il n'y a que des gens qui s'aiment n'en vous déplaise. 
Pourquoi un combat contre les gens qui s'aiment et pas plutôt diriger votre énergie contre des vrais injustices, crimes et préjudices. 
Et nos enfants et leurs futurs? Quelle terre allons nous leur laisser? Notre espèce sera menacé...
Et le MacDo que tu vas chercher tout les mercredi après midi? Et le coca qui rempli ton frigo? Et l'extinction de 70% de la faunes sur terre a cause de la viande a 1euro que tu achètes a Aldi? 
Et le tri que tu ne fais pas ? Et l'avion que tu prends 3 fois par an, et la voiture indispensable a tout tes trajets? Et les chaussures fabriqué ne Chine avec des matériaux pollueurs que t'achète a 7,99euro à la halles aux chaussures? 
Et tes tupperwear en plastic ? 
Tes vêtements commandés chez wish ou shein?
Penses tu finalement vraiment au futur de tes enfants menacé par l'amour entre deux personnes.
Il y a bien des hommes qui se marient avec quatre femmes alors, pour la reproduction de notre race ne t'inquiètes pas. Il y a bien des femmes qui font 8 à 12 enfants, alors pour la reproduction de notre race ne t'inquiètes pas. Il y a bien des hommes qui ne prennent pas le soin de mettre des préservatifs avec leur coups d'un soir, et laissent à la mère de leurs enfants bien des KINDER surprises, alors pour la reproduction de notre espèce ne t'inquiètes pas.
Et dieu? 
Dieu entre lui/elle/eux et moi, une grande histoire mais je ne t’en parle pas. C’est à moi.
Dieu, 
Disons que c’est péché..
Toi tu mens moi je préférer faire l’amour 
Toi tu voles, moi je préfère aimer
Toi tu es avare, moi je préfère donner plein de baisers sur le corps d’un être que j’aime et que je cheri.
Tes pêchers sont nombreux, les miens aussi. Les tiens peut être moins, les miens peut etre moins. Mais alors, je ne suis pas ton dieu, je ne tien pas le compte de tes faux pas. Je ne te fais pas passer sur le fil Sirat almustakim, alors ne me fais pas passer devant ton jugement dernier. 
Car tu n’es pas mon dieu non plus.
Laisse moi vivre comme il me plaît, comme il me va, comme il me dit, me chante, me danse, m’envole et m’enterre. Sous terre enfin, la vérité viendra à moi, et je l’accepterai comme je t’accepte. Toi monsieur-madame different.
Tout cela en me mettant dans tes bottes et ta pensée disant que cet amour est anormal.
Mais qui es tu ? 
Cet amour est anormal.
En Chine, leurs plats à base de viande de chat, de serpent, de peau de porc, de sauterelles : anormal pour toi.
En Thaïlande, les ladyboy faisant partie de la culture thaï depuis des décennies: rigolo quand tu les croise en touriste mais anormal pour toi.
Au Myanmar, les femmes au long cou pour être plus belles: anormal pour toi.
En Ethiopie, les femmes à plateaux labiaux, perdant leurs deux lèvres pour y placer des disques de bois: anormal pour toi.
Anormal pour qui? Selon qui?
Mais qui. est. tu.
Mais qui es tu?
Que comprends tu de ce que je te dis la? 
Ne vois tu pas que tu es différent. 
Sait tu que nous mourrons tous, que notre futur n'est finalement que poussière, nous sommes et serons poussière. Et que laisserons nous derrière?
Peut être un monde où chacun accepte l'autre. Accepte d'être différent de l'autre.
Toutes les civilisations qui ont existé par le passé ne sont-elles pas morte déjà à travers l'histoire et la connaissance de celle-ci.
Pourquoi cherchez-vous l'Éternel, il y a l'histoire. L'éternel est déjà là. C'est la culture, c'est l'écriture de ce présent qui deviendra passé, un jour ou l'autre.
Ne vois tu as que tu es different?
Ne vois tu pas que quelqu'un tout comme toi peut être une minorité ailleurs et être traité par des gens aussi ignorant que toi, de la plus horribles des manières? 
Tu vois que l'autre est différent.e mais c'est parce que tu reste à ta place, c'est ta vision. Mets toi a sa place, comment lui te vois? Tu es différent.e.
Alors vais-je juger ton voile? Et t'obliger à boire de ma bière pour être "comme moi", pour t'accepter dans, ma famille, ma communauté, mon pays? 
Alors vais-je juger ton teint? Et t'obliger à prendre place dans un bus pour les gens de ta couleur, ne pas utiliser mes toilettes, ne pas t'as soir à ma table, car non toi tu ne sera jamais "comme moi", car tu ne peux changer ta couleur, alors tu ne seras jamais accepté, par ma famille, ma communauté, mon pays.
Ou vais-je juger ton poids? Malade ou pas, ton corps ne parle pas, je vois devant moi quelqu'un qui n'es pas "comme moi", ni comme la majorité de "nous", ou de ce qu'on aime penser être la majorité.
La liste et longues pour ne pas dire infini. Ça nous n'avons pas la même pilosité, la même grandeur des mains, les mêmes nombres de doigts. Nous n'avons pas tous deux jambes, ni la même forme de nez, le mollet, d'ongles, ceci pour l'apparence.
Car nous n'avons pas le même dieu, et certains ont en plusieurs et d'autres pas du tout. Nous ne mangeons pas tous avec la même et pas tous sur des chaises sur une table. Nous ne nous marions pas tous aux même âges, ni le même nombre de personnes ou le même nombre de fois.
Nous ne voyons pas les mêmes choses, ni les même couleurs, nous ne voyons pas tous.
Nous ne construisons pas nos maisons de la même manière ni avec les même matériaux. Nous ne vivons pas dans le même lieu, le même nombre d'années, mais. Nous vivons. 
N'est ce pas merveilleux, nous vivons, la je respire et toi aussi.  Je te vois sans mes yeux je te vois et t'accepte, ma promesse est d'essayer de t'accepter toujours comme tu es, comme tu as décidé d'être. De te laisser vivre.
Vivre sans chaînes mais sans enchaîner l'autre, vivre sans haine et sans haïr l'autre. Vivre sans jugements, sans violence, mais sans les faire subir à l'autre.
Vis comme tu l'entends sans faire du mal à l'autre. 
Ça paraît simple sur le papier et dans nos têtes, mais ces un combat intérieur, que de s'y tenir. 
Je fais la promesse devant notre mère terre, devant ses volcans et ses rivières, devant l'immensité de ses océans et mers et devant l'infinité de l'univers, d'accepter.
Il y a bien des jours ou j'étais tellement fatiguée, j'ai voulu tirer ma révérence. Une insulte pour ma planète et l'univers qui me donne beaucoup, mais ces humains me reprennent tout.
Oui c'est lâche et facile, c'est aussi courageux et difficile. Mais il arrive un moment où quand on n'est plus celui qui écrit le livre de sa vie, on a envie d'y apporter la fin. Au moins la fin sera écrite par soi.
J'aime la vie, je l'aime tellement, dans mes yeux.
J'aime l'odeur du bois, j'aime l'eau, les rivières, la mer, l'océan, moins la pluie car c'est elle qui décide de venir à moi. Un petit problème de contrôle évident mais inévitable.
Je l'aime cette vie, cette faune, cette flore, cette vapeur s'accumulant au-dessus de nos têtes, qui se déplace au grès du souffle de planète terre et ses couches d'air.
J'aime ces volcans, et leurs générosités, j'aime ces montagnes majestueuses et humbles. J'aime beaucoup de choses.
J'aime la poignet de personnes sincères qui m'entourent. Ma famille, génétique et choisie.
C'est pour eux que je reste, mais aussi beaucoup a cause d'eux que mon esprit est lourd, que mon coeur et meurtrie et que ma main est faible.
Je n'ose pas être le pinceau qui dessine une toile qui déplaît. 
Si je suis partie, si je suis entourée dans un lit d'hôpital, inconsciente ou ne pouvant m'exprimer.
Ma soeur, mon coeur, n'en veut pas à maman. 
N'en veut pas à celle qui m'a donné la vie, mais m'empêche de la vivre. Elle ne sait pas. 
Nous ne vivons pas tous la même vie, nous ne comprenons pas les mêmes choses. 
Je ne lui trouve pas d'excuses, mais c'est moi. C'est moi qui n'a pas eu le courage de dire, pas eu le courage de vivre et de confronter. Tu peux m'en vouloir à moi. Car j'accepte. 
J'accepte la vie. J'accepte la mort. J'accepte tes reproches et ta colère. Dirige la vers moi, ma soeur qui sait aimer mais ne sais pas le dire. Ma soeur qui pour moi, a décider de moins confronter et qui a décider de plus se conformer. 
Peut être que je me mets au centre d'événement qui ne me concerne pas. Mais tes derniers choix, me réjouissent, te réjouisse, mais je ne peux m'empêcher d'y voir, une contrainte. Ma contrainte, que je te fais porter ma soeur. Mais plus maintenant.
Je t'offre ta liberté, tu es là liberté. Mais ne la laisse te brûler. 
Ne lui en veux pas à ta mère, ma soeur, mon coeur, tu ne bats plus en moi, mon coeur, mais je battrais à jamais en toi. Je suis là pour toujours.
Je suis dépressive, 
Parce que je dois tout le temps mentir, car je ne peux pas vivre la vie que j'ai choisi de vivre pour et a cause de ceux qui ont choisi de me donner la vie.
Ce que je me raconte.. Je m'énerve à me lamenter sur mon sort, quand il y a des sorts pire que le mien. J'aurais voulu vivre ailleurs ou c'est l'un des pire crime, qu'on me tue et qu'on en finisse. Le pire dans tout ça c'est que j'aime aussi les hommes, j'aurais pu être avec un homme, je le peux toujours. Mais je n'ai pas choisi cela et je ne veux y être contrainte. Si ça doit se faire j'aimerais moi même faire ce choix. 
Quel tourment. Est ce ça la vie ? Vraiment? 
Quel bonheur? Quel est le bonheur, des gouttes d'eau en pleine sécheresse, qui semble apaiser une seconde un instant pour ne ressentir que plus intensément cette soif. Cette soif de bonheur. 
Le bonheur. Une invention humaine il me semble. Pour nous donner un autre but que ceux des animaux, la survie.
Se nourrir, ne pas mourir, procréer, ne pas tombé malade. La peur. La survie. Pas de vie. Il n'y a pas de vie. Même pas pour les plantes. On survie tous avec quelques moment de répit de repos. 
La fatigue constante. J'aimerai vivre pour moi ou mourir pour moi. Et je ne peux faire ni l'un ni l'autre a cause de toi. De vous. L'enfer c'est les autres, la phrase la plus vrai que l'humain a pu dire, écrire. L'enfer c'est vous. Le paradis c'est l'absence. Le néant.
J'aimerais être une poussière d'étoile, si j'étais obligée d'être. C'est cela que j'aimerais être. Un espèce de cailloux qu'on ne peut voir tellement il est petit. Auquel personne n'accorde d'importance. Et puis il est la. Il est juste la. Il existe pour lui. Il flotte, il est léger, presque inexistant.  
J'accepte pourtant,
J'accepte tant bien que mal ton hypocrisie, ou juste ton humanité : tes cinq prières par jours, alors que tu ne peux t'empêcher à toutes occasions les ragots sur les plus proches de toi. Des choses que mon oreille entend et que ma bouche vomit. Une intoxication instantanée. Une intolérance. Mais j'accepte. Je t'accepte. 
J'accepte pourtant, ta cousine ou la mienne, qui un temps s'est prostituée dans une société archaïque, réactionnaire et patriarcale. Pourtant aujourd'hui, voilée, mariée, rangée, multi-multipare, malade, tout est oublié. 
J'accepte pourtant ta cousine, hors mariage dans cette même société, tombée enceinte, enfuie de chez elle cachant ce centre qu'ils ne sauraient voir. Revenue, marié de force ou pas à son amant. Peut-être que ça finira en divorce, certainement, ou au pire, au mieux, en mariage malheureux. Tout est où oublié grâce à ce petit papier, ce petit contrat, fait de fibres végétales, inscrit dessus à l'encre, deux prénoms, deux noms, liés désormais administrativement.
J'accepterai même l'oncle jamais marié, jamais travaillé, vivant au dépend de ses parents et ses soeurs et frère. Cet oncle qui invite dans le lit charitable quand la demeure de ses parents, des filles prêtes a se vendre par détresse et par misère.
Dans la demeure de ses parents, lui en haut, en bas son père, détruit et changé au plus haut niveau par la maladie d'Alzheimer. Nageant peut-etre dans sa pisse, dans ses selles.
Son père, mon papi aux bisous au cou qui pique. Les poils de sa moustache et sa barbe naissante qui plonge dans les pores de la peau d'enfant, d'adolescente, d'adulte. Ces poils, une mélancolie poivre et sel. Le sel de la vie.
En fait non, ça non, je n'accepte pas. Je n'accepte pas. Ce papi, ce papa, méritait une fin digne de sa bonté. Des enfants aussi attentionné envers que lui l'a été envers eux. Il a eut toute l'attention de ma mère, de sa belle-fille, aussi de Lidy, cette charmante ivoirienne qui savait le faire rire et danser. Un peu de mes deux tata, d'un autre de mes oncles et un peu de moi quand j'étais là.
Alors ça oui j'ai du mal, j'avoue, à l'accepter. 
Accepter l'amour, accepter l'ingratitude. Que préfères-tu? Qui es tu?
Et puis je pourquoi comparer. Je ne veux pas me comparer a quelqu'un. Surtout pas quelqu'un qui fait quelque chose de malveillant.
Je ne fais qu'aimer moi. 
Mon amour, est grand est immense comme l'ocean que je vois dans le bleu de ses yeux.
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yes-bernie-stuff · 5 months
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Les chansons, le cinéma, la télévision, parlent souvent de l’amour au passé. « Nous nous sommes tant aimés » est le titre d’un film, mais l’amour au passé est aussi la triste réalité d’un bon nombre de couples. Ils ne peuvent conjuguer le verbe « aimer » qu’au passé ! Ils vivent dans la nostalgie d’un temps révolu, ou dans l’amertume de voir que ce temps n’existe plus dans le présent !
Ennui, tristesse, regrets, remplissent-ils votre présent ? Ne pouvez-vous plus dire : « Je l’aime, tu m’aimes, il m’aime » ? N’abandonnez pas l’espoir de pouvoir conjuguer à nouveau le verbe « aimer » au présent. Approchez-vous de Dieu dans l’humilité et la vérité, et il vous aidera à entrer dans le renouvellement d’un amour présent.
D’autres conjuguent le verbe « aimer » au futur, sans le vivre au présent. Ils assortissent ce futur d’un conditionnel : « Si tu changes, si tu es gentil(le), si tu fais ceci ou cela, alors je t’aimerais ». Ils considèrent que l’autre ne remplit pas les conditions nécessaires, pour qu’il soit aimé. Lorsqu’un tel comportement s’invite au sein d’un couple, d’une famille, c’est la porte ouverte au déclin de l’amour.
Rêvez-vous d’un mari idéal ou d’une femme idéale, que vous pourrez aimer, lorsqu’il (ou elle) entrera dans vos critères ? Vous risquez d’attendre longtemps, et de ne pas pouvoir aimer ! Changez d’attitude, aimez-le (aimez-la), tel qu’il ou elle est, l’amour d’aujourd’hui peut produire le changement demain.
Dieu, qui aime dans le présent, n’a pas attendu que nous soyons aimables pour nous aimer. Mais son amour a changé notre vie !
« Seigneur, nous te prions pour que dans chaque famille de chrétiens l’amour soit vécu au présent. Pas un amour au conditionnel, pas un amour au passé, mais un amour renouvelé chaque jour. Comme ton amour inconditionnel a changé nos vies, nous te prions pour que l’amour inconditionnel, renouvelé au quotidien, bénisse chaque famille de ceux qui confessent ton nom. Au nom de Jésus, amen ! »Avec amour, Paul
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fallenmalek · 7 months
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Dans ma vie, Allah m’a retiré les choses que j’aimais le plus pour m’apprendre. M’apprendre que tout ceci est tangible, qu’aujourd’hui, j’ai une chose entre les mains et que demain elle pourra m’être enlevée. En vérité rien ne nous appartient, tout est destiné à périr, sauf la face d’Allah
Aujourd’hui tu as un mari, de l’argent, des enfants, une bonne santé. Tu crois que ces choses t’appartiennent, qu’elles ne te quitteront jamais, mais tu te trompes. Dans ta tombe plus personne ne sera là. Ni ton mari, ni tes biens matériels ne te sauveront. Tu seras seul à rendre des comptes..
Ne courons pas après ce monde. L’essentiel est de gagner l’agrément d’Allah, le reste n’a aucune importance
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journalintimedemimi · 7 months
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09/11/2023
je reviens encore après un an , je pense que là ma limite de patience pour vider mon sac deja tout rempli a atteint son maximum .
Il est 2h30 demain je bosse et jarrive pas a dormir . JE COGITE.
En fait, pour lavancement de ma vie tout roule bien vers le positif : jai actuellement une voiture , je passerais lexamen daptitude professionnelledans pas longtemps et pour ma soeur elle va mieux .
OR J'ecris la ce que jose dire à personne . En fait , je me sens instable dans ma relation avec Z
Cote personnalité : apres 3ans de redécourverte je kiffe toujours pas plusieurs traits de la personnalité que j'ai en face de moi et jarrive vraiment pas à les négliger .
Je sais que cet état m'arrive souvent par période et que poyr revenir là dedans j'ai besoin de detester mon passé ( ne plus comparer parceque yavait rien qui allait c'était que du pipo ) et puis de me rappeler les trucs positifs en lui .
Toutefois, cela ne semble pas si facile à appliquer . Cette fois il est venu en congé et je remarque pleins de petits changements defzuts qui font quils meloignent encore plus de lui .
Il a ses propres blagues qui ne sont vraiment pas droles et les miennes il nen est pas receptif complicité zero . Coté discussions, chansons et interets tu ressens que chacun ne valide pas les choix de lautre et ne sys integre pas meme en faisant des efforts .
Il prend tout a la rigolade et ne repond a absolument rien serieusement . Il est pas romantique tas besoin de vraiment lui tirer les verres du nez pour quil puisse te dire un truc mignon qui fait plaisir . Alors que pour critiquer se moquer emettre une remarque negative il est present.
Or ceci ce qui me gène le plus cest qu en le choisissant comme mon mari je sacrifie un tas de trucs que javais : un homme sociable charismatique sur qui compter bah lui cest un enfant immature qui est entrain de prendre de lage et dacquerir plus de responsabilite chaque jour.
Il veut ni voiture ni appart pour le moment et le convaincre est une lourde tache puisquil ne fait quaa sa tete .
Le mec est dans un autre pays narrivant pas a assumer deux loyers ne veut pas de credits immobilier a entreprendre a deux je ne vois pas comment estce quon vivra stable . Cest de limmaturité et tbrhich.
Les moyens quil a permettent dacheter des trucs en or et de voyager et encore on ne sait pas donc lr monsieur na rien et ne compte pas en avoir jusqua ce quil epargne .
Lasituation a distance fait qu on se dispute quon critique lautre et quon est devenus comme des potes qui se respectent pas et ya que le moment j ou on est amoureux alors quon doit en effet rester a vie chose quest un mythe.
Et ce choc là en le vivant je me sens comme si je vais me marier en etant pas vraiment convaincus de touts ces choix de sacrifice est ce quils valent la peine ?
Je suis deja en etat de Stinzaf émotionnel et physique vis a vis de la vie je suis deja fatiguée et lassé de la vie je ny éprouve aucun plaisir et jattendais sa venue pour peut etre me sentir mieux or que chaque journée qui passe je la finis en etant pas épanouie avec le sentiment que je prends sur moi juste parceque cest une personne qui en premoer lieu aide ma soeur et qui en deuxieme lieu je connais par coeur et pour qui jetais le premier amour et moi je sais ce que cest le 1er cest celui ou tu te perds et ou tu peux tout accepter a vie et que tout ce que tu y vis est multiplie fois 10 .
Je l'aime mais est ce que lamour seul est suffisant ? Et arrivant là a se poser des question sur ce que cest lamour de base ? Cet état mest deja arrivé et j en suis sortie grandie et murie et je dois me rappeler de pourquoi je me suis remisavec lui apres cette periode et cest la tout le secret pour me convaincre . Je creuserai mon méninge avant de dormir et jespere que pour laprochaine écriture les choses iront de mieux en mieux .
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allerplusloin · 9 months
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Deux semaines de toi.
Lundi 17 juillet.
J’ai admiré ton courage du soir pour endormir Rémi. Je t’ai entendu ronfler dans la pièce d’à côté. Alors je t’ai proposé d’aller dormir… il était encore tôt mais on était très fatigués. J’ai aimé discuter avec toi dans le lit et te sentir près de moi pour m’endormir.
Mardi 18 juillet.
Je t’ai remercié mentalement ce matin, très très fort, quand tu t’es occupé de Rémi qui pleurait. C’est bête, j’aurais dû te remercier à voix haute. Ils ont de la chance de t’avoir comme papa. Ta patience, ton calme et ton self contrôle compensent mon impulsivité, mon agressivité, ma colère. Je veux changer, tu sais. J’aimerais devenir un peu plus comme toi… Laisser couler, ne pas crier. J’espère un jour y arriver :) merci de ne pas (trop) me juger ❤️
Tu viens de passer dans la chambre, tu m’as vue posée sur le lit les fesses à l’air, ça t’a fair hésiter à redescendre travailler 🤣 j’ai envie de toi mais pas comme ça. Tellement hâte de retrouver un peu de confort pour profiter de ton corps…
Mercredi 19 juillet.
Je suis fière de toi ! Tu travailles dur pour ton festival, tu ne lâches rien malgré les difficultés. Je suis fière d’être ta femme. J’ai envie de passer plus de temps avec toi, juste toi. Mon homme, mon mari, mon amoureux.
Jeudi 20 juillet.
Merci de t’être réveillé avec les enfants ce matin. Merci d’avoir préparé le repas de ce midi. La situation est difficile mais tu me la rends un peu plus légère.
Vendredi 21 juillet.
On a bien parlé ce soir. De ton festival. Ça m’a fait plaisir d’enfin en parler avec toi plus en détails. C’est fou, tu organises un festival, et moi je le réalise à peine alors que je vis avec toi. Je suis dépassée par ma propre vie, j’ai beaucoup de mal à me projeter dans la tienne… pourtant parfois je regrette de ne pas pouvoir être plus présente pour toi. Je suis heureuse de te voir t’investir dans ton projet. Petit à petit, tu arrives là où tu as toujours rêvé d’aller. Je me souviens de toi, à nos débuts, qui m’expliquait que ton rêve était de créer un centre culturel/pédagogique au Congo. J’ai le privilège de voir tes rêves se concrétiser sous mes yeux. Je suis là, je te vois, demande-moi si tu as besoin de moi. J’ai très peu d’énergie à t’offrir pour le moment mais je suis avec toi.
Samedi 22 juillet.
Je ne pensais pas t’écrire ce soir, mais me voilà. J’ai été horrible avec Raphaël. Je m’en veux terriblement. Il était si content d’être rentré à la maison, et je lui ai gâché sa joie avec ma mauvaise humeur et mes accès de colère. Il a été dormir tout triste, en pensant qu’il aurait mieux fait de rester avec mamy :(
Je vais te parler de tout cela demain. Je veux vraiment arrêter toute cette violence envers les enfants. Mais j’ai besoin d’aide…
Mardi 25 juillet.
2 jours sans t’écrire… tu as mal aux dents 😥
Tu es courageux mon amour, je ne sais pas comment tu supportes cette douleur…
Sinon : tu es beau, tu es charmant, si je t’avais pas pour mari je te prendrais comme amant ❤️
Samedi 29 juillet.
Merci pour ta patience avec les enfants. Merci de te réveiller avec eux. Merci d’être ce papa si dévoué.
Dimanche 30 juillet.
C’est toujours quand tu n’es pas là que je me rappelle à quel point j’aime ta présence.
Lundi 31 juillet.
Tu as pensé à notre anniversaire de mariage ce matin dans le lit, même pas encore tout à fait réveillé. Ça a refait ma journée 🥰
On n’aura pas notre resto ce soir mais promets-moi qu’on rattrapera ça bientôt. On a besoin de temps pour nous, amoureux. Les quelques sorties qu’on a faites ensemble récemment m’ont donné envie de profiter, profiter, profiter avec toi.
Je t’aime Rudy ❤️☔️💍
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hits1000 · 11 months
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100 Songs in French from the 70s
100 Songs in French from the 70s 100 Songs in French from the 70s, including: Joe Dassin - L'Amérique, Johnny Hallyday - Deux Amis Pour Un Amour, Michel Polnareff – Gloria, Michel Sardou - Les Bals populaires, Mike Brant - Laisse Moi T'aimer, Sheila – Julietta, Danyel Gérard – Butterfly and many more!!! Subscribe to our channel to see more of our content! 1. 1970 Jacques Dutronc - L'hôtesse de l'air 2. 1970 Joe Dassin - L'Amérique 3. 1970 Johnny Hallyday - Deux Amis Pour Un Amour 4. 1970 Marc Hamilton - Comme J'ai Toujours Envie D'aimer 5. 1970 Michel Polnareff - Gloria 6. 1970 Michel Sardou - Les Bals populaires 7. 1970 Mike Brant - Laisse Moi T'aimer 8. 1970 Sheila - Julietta 9. 1971 Danyel Gérard - Butterfly 10. 1971 Esther Galil - Le Jour Se Lève 11. 1971 Gérard Palaprat - Fais-moi un signe 12. 1971 Joe Dassin - La fleur aux dents 13. 1971 Johnny Hallyday - Oh ma jolie Sarah 14. 1971 Les Poppys - Non Non Rien N'a Changé 15. 1971 Michel Delpech - Pour Un Flirt 16. 1971 Michel Polnareff - Nos mots d'amour 17. 1971 Michel Sardou - Le Rire Du Sergent 18. 1971 Patrick Topaloff - J'ai bien mangé, j'ai bien bu 19. 1971 Ringo - Elle, je ne veux qu’elle 20. 1971 Salvatore Adamo - J'avais oublie que les roses sont roses 21. 1971 Séverine - Un Banc, Un Arbre, Une Rue 22. 1971 Sheila - Les Rois Mages 23. 1971 Stone & Charden - L'avventura 24. 1972 C. Jérôme - Himalaya 25. 1972 Claude François - Le Lundi Au Soleil 26. 1972 Frédéric François - Laisse-moi vivre ma vie 27. 1972 Gérard Palaprat - Pour la fin du monde 28. 1972 Julien Clerc - Ce n’est rien 29. 1972 Michel Fugain - Une Belle Histoire 30. 1972 Michel Polnareff - Holidays 31. 1972 Mike Brant - C'est ma prière 32. 1972 Mort Shuman - Le Lac Majeur 33. 1972 Patrick Juvet - La musica 34. 1972 Ringo - Trop belle pour rester seule 35. 1972 Stone & Charden - Il y a du soleil sur la France 36. 1972 Vicky Leandros - Après Toi 37. 1973 Anne-Marie David - Tu Te Reconnaîtras 38. 1973 Christian Vidal - Angélique 39. 1973 Claude François - Chanson Populaire 40. 1973 Crazy horse - Et surtout ne m'oublie pas 41. 1973 Joe Dassin - La Complainte de l'heure de pointe 42. 1973 Johnny Hallyday & Sylvie Vartan - J'ai Un Problème 43. 1973 Marie Laforêt - Viens, viens 44. 1973 Michel Fugain - Chante comme si tu devais mourir demain 45. 1973 Michel Sardou - La Maladie D'amour 46. 1973 Michel Sardou - Les vieux mariés 47. 1973 Mike Brant - Rien qu'une larme 48. 1973 Mike Brant - Tout Donné Tout Repris 49. 1973 Stone & Charden - Le prix des alumettes 50. 1973 Stone & Charden - Made in Normandie 51. 1974 Au Bonheur Des Dames - Oh les filles 52. 1974 C. Jérôme - C'est Moi 53. 1974 Claude François - Le Mal Aimé 54. 1974 Claude François - Le Téléphone Pleure 55. 1974 Gérard Lenorman - Quelque Chose Et Moi 56. 1974 Richard Anthony - Amoureux de ma femme 57. 1974 Sheila - Ne Fais Pas Tanguer le Bateau 58. 1974 Sylvie Vartan - Bye bye Leroy Brown 59. 1975 Alain Barrière & Noëlle Cordier - Tu T'en Vas 60. 1975 Dave - Vanina 61. 1975 Il Était Une Fois - J'ai Encore Rêvé D'elle 62. 1975 Joe Dassin - L'été Indien 63. 1975 Johnny Hallyday - La Terre Promise 64. 1975 Martin Circus - Ma-ry-lène 65. 1975 Michel Fugain - Les Acadiens 66. 1975 Michel Sardou - Le France 67. 1975 Mike Brant - Dis-lui 68. 1976 Gérard Lenorman - Gentil dauphin triste 69. 1976 Gerard Lenorman - Voici Les Clés 70. 1976 Jeane Manson - Avant De Nous Dire Adieu 71. 1976 Johnny Hallyday - Derrière l'amour 72. 1976 Johnny Hallyday - Gabrielle 73. 1976 Michel Sardou - Je vais t'aimer 74. 1976 Sheila - Patrick Mon Chéri 75. 1976 Sylvie Vartan - Qu'est-ce qui fait pleurer les blondes 76. 1977 Dave - Est-ce par hasard 77. 1977 Joe Dassin - A Toi 78. 1977 La Bande A Basile - Les Chansons Françaises 79. 1977 Laurent Voulzy - Rockollection 80. 1977 Marie Laforêt - Il a neigé sur Yesterday 81. 1977 Marie Myriam - L'oiseau Et L'enfant 82. 1977 Michel Delpech - Le Loir Et Cher 83. 1977 Michel Sardou - Dix ans plus tôt 84. 1978 Claude François - Alexandrie Alexandra 85. 1978 France Gall - Viens, je t'emmène 86. 1978 Grace Jones - La Vie En Rose 87. 1978 Hervé Vilard - Nous 88. 1978 Johnny Hallyday - J'ai oublié de vivre 89. 1978 Michel Sardou - En Chantant 90. 1978 Michèle Torr - Emmène Moi Danser Ce Soir 91. 1978 Mirelle Mathieu - Santa Maria De La Mer 92. 1978 Nicolas Peyrac - Le vin me saoule 93. 1978 Plastic Bertrand - Ça Plane Pour Moi 94. 1979 Alain Chamfort - Manureva 95. 1979 Christophe - Aline 96. 1979 Dalida - Monday, Tuesday... Laissez-moi Danser 97. 1979 Daniel Balavoine - Le chanteur 98. 1979 Éric Charden - L'été s'ra chaud 99. 1979 Françis Cabrel - Je L' aime À Mourir 100. 1979 Johnny Hallyday - Le bon vieux temps du rock 'n' roll #hitsof1970 #chansonsenfrançais #chansons_des_années_70 #hitsof1970to1979 #hitsof1970s #hitsof1970songs https://www.youtube.com/watch?v=rEbk3HAQmic
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moocportedoree · 11 months
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Réponse à une visiteuse
Petite sœur,
J'ai bien reçu ta lettre où tu me racontes ta visite à l'exposition coloniale avec ton sale bourgeois de mari.
Vois-tu, quand tu me dis qu'il est fier que la France ait apporté la civilisation aux nègres sauvages, je sais bien qu'en 1914 Môssieur était bien planqué à Paris, son gros derrière sur une chaise, à, comme il dit, organiser le ravitaillement. Faut-il donc être si malin pour compter des boîtes de singe et des sacs de fayots ?
Dans ma section, quand Firmin est arrivé, on a bêtement commencé par l'appeler "Blanche-Neige". Je peux te dire que quand l'obus des boches est tombé à côté de la tranchée, il n'y avait plus de nègre, plus de blanc, juste de pauvres gars qui voulaient sauver leur peau.
Avec son drôle d'accent, Firmin nous parlait du Soudan français, de Bamako, de sa famille. Ces gars-là, ils sont comme nous. Ton imbécile de mari te dira sûrement qu'avant que l'on s'y installe ils se faisaient la guerre entre eux avec des massues. Et nos guerres, avec les canons, le gaz moutarde qui ronge les poumons, croit-il quelles soient plus civilisées comme il dit ?
J'aurais encore plein de choses à te dire à propos de cette exposition, mais ce soir je suis fatigué et demain je me lève tôt, je rentre de la réunion de cellule avec les copains et demain je vais distribuer des tracts sur le marché. Je sais que ça l'embête bien que je sois communiste, si il te gronde dis-lui que quand je le croiserai je lèverai le poing encore plus haut et que je crierai "Alors, beau-frère ? On a peur de la sociale ?"
Ton grand frère qui t'aime
Bébert
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plumedepoete · 1 year
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J’écrirai sur le ciel - Alain Girard
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J’écrirai sur le ciel. Alexandrins à Marie-Andrée   Si ma vie à tes pieds se prélasse et s’invente En ces mélancolies mêlées à mon sommeil C’est bien que le jour naît et que rien ne l’évente Ainsi qu’à l’infini toute chose est vermeille Auprès des jours anciens et que j’ai tant aimés Lorsque fut la passion de ton rire à mes yeux, Ces choses que la vie s’en va, par là, semer, Et comme inattendu, bénies des mains de Dieu ! « J’irai par la forêt * » près des arbres géants Comme de vieux clochers mais qui sonnent encor, J’évincerai la foudre et puis tous les néants Pour, sans misogynie, juste effleurer ton corps ! Si mon âge s’étonne en mes vers d’aujourd’hui Rien ne pourra jamais éteindre ma mémoire Et l’hier, le demain en eux même déduits, Tu seras mon îlot en mon propre grimoire ! Oui j’ai le cœur battant et l’âme universelle Au bord de ta présence, espérant tes pensées Comme si ma guitare était un violoncelle… Dans le bois de ma vie ne fais pas que passer ! Et quand le jour viendra me mettre de côté J’écrirai sur le ciel mes poèmes épris Tant, tant, tant, tant de toi, ma belle liberté, Et tu liras ton nom… Ce si beau nom : Marie ! Alain Girard Copyright. * Victor Hugo : Demain dès l’aube Read the full article
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kenovele · 1 year
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Bog’s blog 27
J’ai passé une super semaine. 
Elle a commencé dans la voiture pour Te Aroha. Le concept du lundi matin a un peu perdu de sa signification depuis plus d’un an. Cependant, c’est une matinée plus que toute autre, où je n’aime ne pas me brusquer. Et quoi de mieux que de remplir les thermos, enfiler sa doudoune et descendre vers le sud ? C’est l’occasion pour Kate d’avancer dans son tricot et pour nous d’eux d’écouter les différents vocaux qu’on a pu recevoir au cours de la semaine précédente. Cette fois-ci l’aller et le retour y ont été consacré et on n’a même pas eu le temps de faire un « podcast de la semaine » (ça devrait venir demain). Paul Florin, Marie, maman, Kopitz et les amis d’humanité (Egon, François et Ludo) ont chacun eu une écoute puis la réponse associée. Une fois sur place, je vis la vie d’employé de bureau pour 2 jours avec des interruptions pour faire des visites de chantier. J’ai repérer la semaine d’avant qu’il y avait un appareil à croque donc pour la première fois (pour moi), on a pris tout ce qu’il fallait pour piqueniquer. Comme dessert on a mangé une gaufre de Liège fourré au bâton de chocolat. Elles étaient siiii bonnes. Je m’étais vraiment surpassé. J’en ai refait ce dimanche mais ce n’est pas le même niveau. Mais, retour au passé, on a continué à se faire plaisir en allant au pub après travail. C’est un pub qui vient d’être réouvert après rénovation et c’était chouette de pouvoir continuer notre tournée des point d’intérêt locaux. On a commandé des « loaded fries » (frites chargées) avec une pinte d’Hazy beer pour arroser le tout. Ces loaded fries se situent très haut sur le rapport qualité-prix et gras-plaisir. Et pourtant c’était fort gras ! En tant que belge je pense qu’on n’exploite pas assez ce concept. On met trop souvent la frite en cage. Les amoureux de mitraillette sont trop souvent jugés. Je pense pouvoir dire « objectivement » que c’est pas la meilleur des innovations mais ils méritent un point bonus pour sortir des sentiers battus. Le succès de la mitraillette montre que les belges n’ont pas froid aux yeux quand il s’agit de se bourrer la panse (/gueule ?). C’est pourquoi, je vais essayer de faire des frites-chili con carne. Je vous dirais quoi dans 2 semaines. Ne compatissez pas trop pour Kate. Elle vient de Pukekohe où se sont tous des amateurs de patates et d’oignons. Elle survivra. 
Je voulais également revenir rapidement sur la bière en NZ et particulièrement les hazy. C’est une bière avec des arômes très fruités. En général elle est trouble. Certaines sont même opaques et denses/visqueuses. Ce sont les meilleurs. Ça change de la Chouffe mais on ne perd pas trop trop au change. En parlant de la Chouffe, ils vendent de la MC Chouffe, chouffe blanche et de la Chimay bleu au supermarché de Pukekohe. C’est 8$ la bouteille (5euro) ce qui est presque le prix top rock quand j’y pense. Je n’ai jamais essayé la MC chouffe mais je tenterais peut-être l’expérience quand je serai plus riche. En tout cas papa, tu sais que tu ne mourras pas de soif quand tu viendras nous dire bonjour. Ça ne veut pas dire que tu ne peux pas apporter quelques cartouches de réserve. 
On essaie de ne pas boire quand on est juste nous deux avec Kate mais on aimerait quand même pouvoir accueillir nos inviter comme il se doit à l’avenir. C’est pourquoi, on aura toujours des bières au frais à la tiny et du pisco dans l’armoire. A bon entendeur, … 


Lundi soir on a appelé Jamie parce que son pickup avait été car jacké dans la nuit de dimanche à lundi. Il reste en ville chez une amie en ce moment parce qu’il fait des petits boulots là-bas. Le voleur s’est fait surprendre par un voisin et a pris la fuite sans avoir pu volé quoique ce soit. S’il était parti avec les outils ça aurait vraiment fait mal au c… Malheureusement il a complètement défoncé la bagnole. L’habitacle est ravagé. L’endroit avec les outils est une cellule séparée qui a étonnement résisté au pied de biche. Jamie pense qu’il voulait pas trop faire de bruit et que ça l’aurait ralenti. Il a juste volé les cigarettes pour finir (ce qui en NZ, représente beaucoup d’argent). L’assurance va réparer le pick up mais la franchise est de 2100NZD (=1300€). Il était un peu emmerdé mais semblait de bonne humeur. Il se déplace donc maintenant avec son van. Il dit que ça le peine un peu d’utiliser le « white pearl » (le nom de son van) pour le travail. 
Son road trip est encore repoussé de quelques jours/semaines parce qu’il fait beaucoup de dépenses  en ce moment (assurance + tatouage + impression de vêtement pour Floyd’s wood) et il a plein d’offre de boulot donc il a décidé de saisir cette opportunité-là. Il a encore besoin de mon aide/ envie d’un partenaire de travail donc je serai à ses cotés la seconde partie de cette semaine. 


Mercredi, jeudi et vendredi, il y avait enfin une fenêtre de beau temps pour que je puisse traiter le bardage de Dougal et Naiomi (le boss de Kate et sa compagne). Je me faisais un bon croque dès le réveil puis je travaillais toute la journée sans interruption. Le trajet jusque-là était super agréable. La campagne Néo-Zélandaise baignée dans la luminosité automnale semblait si bucolique. L'heure de navette (aller-retour) passait en clin d’œil. J’ai mis mon podcast « introduction au bouddhisme dans mes oreilles et je me suis activé. J’avais le module « mort et renaissance » à terminer puis entamer le module sur « le karma ». C’était vraiment incroyable. J’adore le concept fondamental de culture du positif et de suppression du négatif dans un but purement altruiste. Après une longue session d’écoute, les enseignements imprègne ma vie journalière et je l’en trouve améliorée. J’ai pas encore implémenté la méditation dans ma routine mais ça ne devrait tarder. Kate est en train de me coudre un cousin de méditation. 


Mercredi et jeudi soir ont été passés en compagnie de Grant qui descendait de sa ferme d’Ahipara pour rendre visite à ses parents. Il était très impressionné du boulot qu’on avait fait dans la tiny. Il a eu droit à une visite guidée VIP étant donné sa participation dans l’approvisionnement en bois de bardage. C’était de chouette soirée mais sans détails crousti-croquant donc je passe vite dessus. 


Vendredi Jamie était chaud aller grimper. Il ne fallait pas me le dire deux fois. J’ai donc surfer sur cet élan de motivation pour retourner finalement à la salle d’escalade. Malheureusement Kate s’était empêtré dans un plan pourri de son coté et n’a pas pu être de la partie. Je pense que Jamie a surkiffé. Il nous a révélé hier qu’il avait en tête d’acheter des chaussons toute la semaine ! Il a le physique idéal pour la grimpe (comme sa sœur). La dessus tu rajoute une bonne musculature grâce à son boulot et un évaluation du risque complètement tronquée (mais bizarrement en accord avec la réalité ?) et c’est le cocktail ultime pour tout débutant. Donc c’est logique qu’il aie eu de bonne sensation dès le début. De l’autre coté du spectre, il y a les gros. Ils persévèrent contre tout bon sens. Même s’ils se font des énormes steakos aux doigts. Leur peau encore vierge a du mal à encaisser les contrainte colossal imposée par la gravité. Si ils sont là à la deuxième séance, ils ont tout mon respect. En plus de tout, ils doivent apprendre à taper leurs doigts. Ils ont vraiment tout mon respect. On est allé se manger un bout après la séance (des loaded fries avec une hazy pour changer) et puis chacun est reparti de son côté avec la banane. 


Le weekend c’était tiny tiny tiny et tiny. On a rien mangé de la journée samedi parce qu’on s’est pas arrêté. Il fallait finaliser les travaux, déplacer tous les affaires et les arranger. Par miracle, tout est rentré mais, de prime abord, ce n’était gagné. Kate a dit une quinzaine de fois qu’elle avait trop de vêtement. Par contre elle n’a pas dit une seule fois qu’elle avait trop de chaussure. Pourtant, j’ai pu dénombrer une bonne trentaine de pair. La dernière fois que j’ai regardé ses pieds, je n’en n’ai vu que deux mais je vais recheck. 
 Je ferais bien de ne pas être trop cheaky avec choupette parce qu’elle a accepté de mettre le damier de grand-ma sur la commode de la chambre. 
On a fait plein de chose pour la première fois vis-à-vis de la tiny ce weekend : - Faire la vaisselle - Cuisiner (gaufres et pâtes) - Doucher - Dodo - Popo Il y a quelque chose que j’aimerai vraiment faire mais que Kate m’a pas encore laissé faire : - SIESTER 
Le canapé est en place, les hamacs peuvent être installé en deux en trois mouvement mais l’occase ne s’est pas encore présenté. Je pense devoir faire ma sieste en sous-marin. 


On a fait une expédition chez Kmart samedi soir. Ils vendent plein d’aménagement d’intérieur. Ils sont ouverts 24/24 et sont littéralement 3 fois moins cher que la concurrence pour beaucoup de chose. Ils vendent des appareils à croques pour 6 euro. Comment? me diriez vous. Etant donné que 99% des choses qu’on achètent sont manufacturées en Chine et que la qualité des produits de chez Kmart n’est pas ridicule par rapport à la concurrence, la vrai question c’est : où va la différence de prix? Si c’est dans la poche des travailleurs, il vaut mieux éviter kmart. Si c’est dans la poche des intermédiaires (ce qui est plausible), alors moins de regret. L’idée de payer pour l’image de mark m’est désagréable. En consommant, nous payons les pubs qu’on nous bombarde au visage. Une chose est sûre, chez Kmart, c’est que la plupart du prix reste dans ma poche et cette certitude a son côté rassurant. Ce n’est cependant surement pas très bon pour mon karma de ne pas payer le fair price pour les choses que j’achète. Je pourrais essayer de calculer le fair price des choses que j’achète et reverser la différence à une association contre les enfants au travail. Ça serait une bonne façon de rééquilibrer mon karma. A méditer …   On a acheté plein de chouettes bazars dont on avait « besoin » pour faciliter le quotidien. On a déjà constitué une deuxième liste pour notre seconde escapade. Vous aurez l’occasion d’admirer toutes ces petites merveilles lors de mon tour final de la tiny en vidéo. Je ne sais pas quand j’aurai l’occasion de le faire parce qu’on est suuuuper occupé cette semaine (en journée et en soirée) + on va au lac vendredi soir. 


Oufti, encore un long blog. Je pense que j’accélère un peu dans mon écriture par rapport au premier blog donc ça me permet d’étoffer un peu mes histoires. Comme j’ai dit au début, la semaine était chouette et variée. Je suis hyper méga super heureux d’être retourné grimper. La salle d’esca s’est fortement améliorée depuis la dernière fois. Ils ont refait tout l’espace bloc et ils ont investi dans plein de nouvelles prises. On y retourne mercredi avec Jamie, Kate et Jasper !! Trop hâte. 

Plein de bisous à tous mes petits belges amateurs de mitraillettes sauce Bicky et les autres ! 
ciao
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