Tumgik
#et qu'il avait d'autres choses à faire genre
perduedansmatete · 5 months
Note
Vas y j'ai pitié j'te raconte un peu ma vie. Mon lycée c'était un château. J'veux dire, littéralement. Y avait une grille immense à l'entrée, un château entouré de douves et nous on allait en cours dans des bâtiments qui, en soi, étaient construits sur ce qui devaient être les jardins du truc. Dans le château y'avait toute la partie administrative du lycée + quelques logements de fonction dont celui du proviseur du lycée. On passait sous le château pour passer de l'autre côté par une espèce de grande arche, et pour passer les douves on passait sur un pont qu'on appelait le "pont-bite" parce qu'il avait littéralement une forme de teub c'était hilarant. Le dernier jour de ma terminale, un gars s'est jeté dans les douves parce que c'était le dernier jour et que fallait marquer le coup (visiblement). Je crois qu'il a eu des plaques rouges quelques temps après ça, je sais plus. Y'avait des animaux aussi : des ragondins dans les douves, des renards parfois, un âne à un moment mais surtout des oies qui venaient nous bouffer le cul quand on s'approchait trop. Tous les ans les pions et quelques profs organisaient une fête de la musique c'était trop bien, j'ai participé à l'une d'elle à la batterie dans un groupe de covers rock aussi éphémère qu'éclaté. Y'avait un prof d'histoire il était trop bizarre. Entre nous on le surnommait "sans les mains" parce qu'un jour il est allé pisser aux pissotieres des élèves dans la cour et des élèves l'ont vu pisser les mains derrière la tête en mode détente en remuant le bassin wtf. J'ai eu un prof de physique, je crois qu'il était autiste. Meilleur prof ever. Il était A CHEVAL avec le calme et l'autorité, a commencé l'année en mode militaire en excluant élève sur élève. À la fin il faisait un basket avec nous dans la cours, incroyable. J'y ai rencontré mon ex et mon meilleur pote dans ce lycée. J'y ai aussi rencontré un gars avec qui je suis resté collé une année entière en mode amitié fusionnelle. On avait les mêmes délires, le même humour, je croyais avoir trouvé mon alter ego. Il est parti en S et moi en L et il m'a... Ignoré. On s'est perdus de vue. Encore aujourd'hui j'me dis que c'était un gros connard parce qu'on aurait pu vivre tellement de trucs ensemble. J'ai redoublé ma seconde, à ma demande. C'est une année que j'ai passé à esquiver les cours pour boire des bières sur le parvis du lycée avec mon meilleur pote. Avec mes facilités je devais avoir un genre de 11 ou 12 de moyenne générale donc on m'a dit ok passe en 1ere ça va, et j'ai dit non je veux redoubler sinon je vais rien piger l'an prochain j'ai trop rien foutu je suis juste une arnaque. J'ai aussi eu 0 à l'écrit à mon TPE pour le bac. En fait j'étais en binôme avec un gars qui glandait rien, et nos forces maléfiques se sont unifiées pour faire émerger une idée diabolique : l'épreuve est facultative, si on a 0, on perdra pas de point et on n'aura pas à faire ce truc de merde. Le 0 était pas encore éliminatoire à cette époque pour cette epreuve. J'ai eu mon bac avec mention assez bien en ayant fait ça et sans bosser spécialement pour avoir mon bac alors que mon ex et d'autres potes avaient bossé comme des taré.e.s pour décrocher une mention et l'ont pas eue (je suis une arnaque j'ai dit). Ha oui et je me suis aussi inscrit à l'option musique en facultatif parce qu'une pote suivait le cours. J'y suis jamais allé en me disant "je lirai ses cours et ça ira". Elle m'a filé ses cours, j'ai rien pigé, je suis allé à l'épreuve au culot j'ai eu 9/20 sans jamais rien apprendre. J'pense si je creuse j'ai encore d'autres choses mais j'ai plus le temps mdr, j'espère que ça t'aura divertie un peu (si t'arrives à tout lire). Bon courage pour tes douleurs quand même.
j'ai tout lu comme une nouvelle et j'ai adoré ça avait l'air très cool ces années lycée et tu étais trop fort surtout, merci merci!!! (et merci pour les douleurs mdr <3)
j'aimerais juste savoir quel était le sujet de votre fameux tpe à 0 ça m'intrigue...
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nvminnd · 1 year
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Je classe les chevaliers du moins aro-ace au plus aro-ace
Parce que mine de rien la plupart des persos ont de grosses vibes aro-ace je trouve, donc voilà
ARTHUR
La plupart des merdes qui se passent à Kaamelott, on les doit au fait que not' bon roi pense 83% du temps avec son coeur (et son épée). Bi-king, peut-être. Mais clairement pas aro ou ace.
CALOGRENANT
De tous ceux qui ont une femme, c'est le seul que j'arrive à imaginer vraiment aimer consommer son mariage. Pis bon le coup de la ceinture de chasteté, ça fait très hétéro je trouve.
BOHORT
Bohort est si gay. En tous cas, il est pas aro. Ace, je pourrais le voir quelque part sur le spectre. Mais je l'imagine plus à réfréner son attirance pour les mecs qu'à ne pas (ou peu) ressentir d'attirance. (On sait toutes et tous ce qu'il pense de Léodagan hein)
LÉODAGAN
Bon là on commence déjà à aborder les persos que je pourrais voir sur le spectre aroace. Oui Léo est marrié. Oui il a 2 enfants. Mais pour un gars qui est censé être le stéréotype du chevalier bourrin, il est quand même pas hyper porté sur la chose. Il est à priori fidèle à Séli alors qu'il ne doivent pas s'éclater souvent au lit, et il le dit lui-même, les gonzesses qui dansent à moitié à poil, c'est pas son truc.
YVAIN
Yvain aime Gauvain. Que Gauvain. Ça fait très demiromanrique. Je le mets avant Gauvain parce qu'il a quand même tenu à avoir une maîtresse, même si je pense que c'est plus pour faire genre que parce qu'il est attiré par Démétra.
GAUVAIN
Gauvain aime Yvain. Que Yvain. Personne d'autre. Demi demi demi.
GALESSIN
Galessin, lui, n'aime personne. L'amour ça l'interesse pas des masses, le sexe non plus, mais bon il dit pas non à l'occasion s'il rencontre la bonne personne, peu importe son genre. Sûrement quelque part sur le spectre aroace, lui-même ne sait pas exactement où.
LANCELOT
Bon là c'est canon que Lancelot n'aime et n'a aimé QUE Guenièvre. Mais il avait pas l'air hyper demandant niveau joyeusetés quand il l'a eue que pour lui. Demiromantique, ace.
HERVÉ
???? Pour tomber amoureux ou plus si affinités, faudrait déjà qu'il ait conscience un minimum de son environnement, et c'est pas gagné. Il a déjà dû se retrouver dans une ou deux situations comprométantes suite à des malentendus, mais jamais de sa propre volonté. Après, il dit pas non. Il s'en fout, en fait.
KARADOC
Là encore c'est assez canon qu'il voit pas l'interêt de faire des cochonneries sous les draps. 100% ace, peut-être demi romantique...et encore la bouffe passera toujours au premier plan. Cake Ace.
PERCEVAL
Notre aro-ace king par excellence. L'amour platonique est le plus important, et pour lui, la meilleure éclate qu'on peut avoir au lit c'est une discussion philosophique sur les étoiles avec ses amis les plus proches. Space Ace.
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bluepallilworld · 8 months
Note
I don't know what to say, but go ahead and talk about one of your ocs.
(And maybe later translate cause I don't know French XD)
Woooo one opportunity to ramble in french!!!!
Ok, bon.
Est-ce que tu te rappelles de ce gars-là? ↓
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Je l'ai créé à base d'un picrew puis j'ai décidé de le garder. Par contre, j'ai complétement oublié quel nom j'avais choisi pour lui... :/
Mais!
Niveau histoire!
Tu vois Toddh ? Vieillard qu'il est, il a eu le temps de vivre pas mal de choses. Et "monsieur poissons" ci-dessus fut un de ces amis le plus proche. Un ami d'enfance.
Il n'a malheureusement pas eu la même longévité que Toddh TwT
Donc oui, c'est un oc qui appartient à une timeline du passé :]
Niveau espèce, c'est un hybride entre deux espèces de monstres (dont une avec une longévité assez courte) ce qui lui donné une vie peu ou prou semblable à un humain niveau durée.
Il a connu Toddh avant que ce dernier ne se rende compte de sa trans identité, et aussi sous un autre nom.
Ces deux-là sont originaires du même petit village dans un recoin d'un univers non fini. Ils ont fait les 400 coups ensemble et des deux, monsieur-j'ai-oublié-son-nom-donc-il-faut-que-j'en-trouve-un-neuf fut davantage raisonnable et a stoppé Todhh de faire des sacrées gaffes.
Ils ont grandi ensemble.
Se sont disputés.
Ont pris des chemins différents.
Se sont retrouvés et réconciliés.
Pour repartir une nouvelle fois chacun de leur côté.
Finalement, il a fondé une famille et s'est éteint paisiblement.
Todhh continue à veiller secrètement sur sa famille tout en veillant à ne pas s'y attacher...
Niveau magie, il pouvait invoquer des poissons 🐟🐟🐟 qui servaient de projectiles.
Il se débrouille bien avec du textile et a une fascination pour les rubans qu'il collectionne.
Il avait l'habitude d'utiliser Toddh comme manequin pour les vêtements qu'il fabriquait lui-même. Des designs assez complexes la plupart du temps, personne d'autre que Toddh n'était vraiment partant pour les porter.
L'amour de Toddh pour les tenues un peu bizarre et compliquées vient de là.
Il est du genre à se concentrer sur un objectif à la fois et oublie parfois que manger et dormir ne sont pas des choses optionnelles...
Aime un peu trop les câlins et se faire porter quand il est épuisé, fait qu'il déniera totalement une fois son énergie régénérée.
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wubblesred · 24 days
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Ghoulcy week day 1 NSFW
Bonjour, cette fois on se retrouve avec le thème NSFW du jour 1. Ce thème est Proximité Forcée. Personne mineure ne pas interagir merci. J'espère que ça vous plaira. Cette histoire est aussi poster en anglais sur mon compte. Bonne lecture.
De toutes les merdes qui pouvaient leur arriver, il fallait que ce soit celle-là. Cooper s'était fait avoir comme un bleu, deux cents ans à parcourir ces terres, à connaître toutes leur magouilles tout ça balayer par Lucy foutu MacLean et son foutu cœur d’artichaut. Il lui avait dit qu'elle faisait une connerie en allant aider ces gens, qu'il y avait un truc pas net dans leur histoire mais non mademoiselle avait insister et il n'allait pas la laisser y aller seule. La petite tueuse était devenue une obsession pour lui au départ pour finir par devenir quelqu'un d'important pour lui depuis qu'ils voyageait ensemble, il ne lui avouerait pas cela bien sûr. Bon sang comment allait-il tenir en étant attaché à elle ainsi ?
Cooper allait la tuer c'était sûr. Ils commençaient enfin à se faire confiance, à échanger à propos de leur passé, de leur vie et comme une débile elle avait tout envoyé valser. Il lui avait pourtant prévenu de ne pas suivre ces gens et les aider mais non elle n'en avait fait qu'à sa tête et les voilà maintenant kidnappé et attaché. D'ailleurs qui attachait les gens ainsi, la goule était ligoté à une chaise tandis que Lucy avait été positionnée assise sur ses genoux ligoté à l'homme. C'était une posture fort embarrassante surtout au vu des réactions de son corps. Elle se souvient avec effroi des rires de ces sadiques à leur réveil, ils avaient pris sa réaction indignée pour du dégoût envers son camarade et s'était moqué qu'elle servirait bientôt de repas pour goule, apparemment tout ce que méritait une « pétasse qui kiffe la chair décomposée » dans son genre. Il fallait absolument qu'elle les sorte de cette situation avant qu'il ne comprenne que c'est tout sauf du dégoût qu'elle ressent. Elle commença donc à se dandiner en avant et en arrière afin de délier leur liens.
« Lucy » Entendit-elle grogner à son oreille. « Arrête de bouger ainsi par pitié. »
L'utilisation de son prénom ainsi que l'intonation de la voix de l'homme l'a fit se stopper d'un coup. La frustration la gagna quand même, ils ne pouvaient rester ainsi donc autant qu'ils travaillent ensemble, c'était sûrement leur seule chance.
« On doit trouver un moyen de se libérer. Si on travaille ensemble, on pourra y arriver. »
« Et ta solution c'est de te frotter à moi ? Crois-moi, petite tueuse, ça créera quelque chose mais certainement pas ta solution. »
« Hein ? Ça n'a pas de sens. Et puis moi au moins j'essaie de nous trouver une solution. »
Un coup de hanche provenant de la goule colla leur deux bassins. Tout en expirant un soupir de surprise, Lucy senti l'entrejambe dur de Cooper contre la sienne.
« Maintenant tu comprends le sens, poupée ? »
Tout s'embrouillait dans l'esprit de la jeune femme, elle savait qu'elle était prisonnière tout comme lui et qu'ils devaient se dégager de ce problème au plus vite mais ce coup de rein avait embraser ses sens et elle en voulait plus. Elle savait que c'était profiter de la situation si elle répondait à cette action, l'homme avait probablement eu une réaction naturelle et ne ressentait pas ce qu'elle ressentait. Cependant l'habitante d'abri n'en pouvait plus, elle avait déjà été attirer par Cooper en voyant ses films avec son père alors quand elle a mieux connu la goule et qui il était, son béguin était revenu et les voilà à présent lier l'un contre l'autre, leur souffle se mélangeant l'un à l'autre. La brune décida de lâcher prise, tant pis pour les conséquences, elle ferait l’égoïste, elle avait besoin de Cooper, un mouvement de sa part avait réussi à lui faire perdre pied, elle se demanda si il lui en accordera d'autres. Une seule façon de le savoir et Lucy tenta sa chance. Elle voulu commencer doucement mais son désir pris le dessus et les mouvements sensuels qu'elle voulait faire devinrent rapidement des balancement désespérés. L'homme face à elle était figé, elle qui aurait voulu que celui-ci prenne le contrôle et la fasse encore plus vibrer, ça avait l'air d'être loupé. Tant pis, la jeune femme était parti trop loin pour s'arrêter maintenant, elle assumerait les conséquences plus tard.
« Cooper » Ne put-elle s'empêcher de gémir tout en essayant de chasser son plaisir dans ses mouvements contre l'homme.
Ce son sut débloquer la goule qui commença à répondre aux avances de la jeune femme. Lucy foutu MacLean, comme si c'était pas assez de lui avoir fait ressentir de nouveau du désir et des sentiments après deux cents ans de simple pure vengeance, non il fallait que la brune éprouve le même appétit sexuel que lui. Pourtant, en la voyant et l'entendant prendre son plaisir, Cooper se dit que cela valait bien deux siècles d'attente. Il maudissait leur situation, il voulait pouvoir la toucher, la déshabiller et se perdre en elle sans qu'il n'y ait personne autour. Cette femme n'était et ne devrait être qu'à lui. Rien à foutre de son père ou de l'autre débile en armure avec qui elle était, il lui ferait oublier jusqu'à ce que seul lui ne réside dans son cœur, dans son corps. Si seulement ils n'étaient pas ligotés, ce qu'il ferait subir à son corps, si la jeune femme était déjà dans cet état rien qu'avec des frottements de bassins, il l'enverrait toucher les étoiles avec le bout de ses doigts.
Lucy devenait de plus en plus frustrée malgré la réponse de l'homme contre elle. Elle voulait qu'il la possède entièrement, personne ne l'avait jamais fait ressentir ainsi. Pas même Monty ou Maximus. Elle était déjà complètement trempée mais ce n'était pas assez, elle désirait ses mains, sa bouche sur elle, que leur corps ne fasse plus qu'un. Elle tenta à nouveau de se débattre contre leur liens mais ce fut un nouvel échec ce qui la poussa un lâcher un sanglot de frustration.
« Lucy... Lucy... Détends-toi... Continue de bouger contre moi, fais-toi plaisir, poupée. »
« C'est pas assez... Coop... J'en veux plus. » Gémit-elle.
« Ah oui ? Je ne te donne pas assez de plaisir ainsi ? » Ricana la goule
« Nooon. »
Ressentant la même frustration que Lucy, l'homme lui ordonna de se préparer à l'impact avant de propulser en arrière brisant la chaise en bois dans la collision. Quand ce fut fait, il enleva leur liens desserrer et plaqua la femme contre le sol. Il l'embrassa à perdre haleine tout en abaissant la tirette de sa combinaison. Ses mains s'insinuèrent dans celle-ci laissant une traînée de frissons sur le corps de l'habitante d'abri. Cette dernière rendit avec autant d'émotion le baiser et aida Cooper à la déshabiller tout en retirant après son manteau et sa chemise. Une des mains de l'homme finit sa course dans les sous-vêtements de Lucy, ses doigts glissant lentement contre ses lèvres, frôlant son entrée sans jamais y pénétré dans le but de titiller sa douce camarade pour la punir de ces derniers jours où il aurait pu l'avoir sans le savoir. Néanmoins un seul regard vers le sien empli de larmes le poussa à entrer son doigt en elle, son pouce venant se poser sur son clitoris où il imposa un mouvement circulaire pour lui faire perdre de plus en plus pied. Lucy n'avait jamais été aussi belle qu'en cet instant, perdue dans le plaisir, Cooper avait penser que la jeune femme fut sublime devant le Super Duper Mart mais ce ne fut rien face à la beauté qu'il avait face à lui.
Lucy n'avait jamais senti autant de plaisir, c'était comme si Cooper et elle étaient connectés. L'homme venait touché les endroits qui lui procuraient le plus de sensations, les allers et retours de ses doigts en elle lui faisait perdre la tête. Trois doigts dorénavant entrait et sortait de son corps afin de la préparer à recevoir le sexe de Cooper. Elle le voulait tellement, elle s'impatientait même, elle souhaitait ne faire qu'un avec celui qui lui faisait ressentir autant de sentiments. Ses mains cherchèrent son compagnon pour l'attirer à elle et lui murmurer qu'elle le désirait en elle. Comportement qui fit rire ce dernier mais il accéda tout de même à la demande de sa belle. Le plaisir qu'elle ressentit quand leur corps furent enfin lié fut tellement intense qu'il lui donna un orgasme.
Après plus de deux cents ans sans coucher avec quelqu'un, Cooper revivait en allant et venant en Lucy. Sa petite tueuse était vraiment un cadeau venu du ciel, ciel qu'il pensait l'avoir abandonné et qui était revenu tout lui donner. Une piste pour retrouver sa fille et Lucy MacLean pour venir raviver son cœur et panser ses plaies. Son corps et ses gémissements étaient divins et malgré qu'elle soit déjà venu une fois, la goule voulait encore lui donner des orgasmes. Que ces vas et viens leur fasse atteindre ensemble le septième ciel. Que cette première fois soit mémorable au point d'oublier les autres et qu'elle continue d'être à lui. Sentant le plaisir monter davantage en lui, Cooper accéléra ses mouvements et amena à nouveau sa main vers le sexe de la jeune femme pour stimuler son clitoris et leur faire atteindre ensemble l'orgasme. Le moment étant imminent pour tout les deux, l'homme repris possession de la bouche de sa compagne, il voulait que chaque gémissements et sons de Lucy aille jusqu'au plus profond de son âme. Celle qu'il pensait perdue jusqu'à ce que l'habitante d'abri vienne la raviver et la garder pour elle parce que Cooper, même si il n'oserait jamais lui dire, savait qu'il appartenait à cette femme. Et il voulait qu'elle lui appartienne en retour pensa-t-il avant de se répandre en elle.
Les deux individus ne s'étaient pas encore détacher l'un de l'autre malgré les minutes qui furent écoulées depuis leur jouissances. Ils ne voulaient pas briser leur moment et séparer leur corps qui s’emboîtaient si bien. Durant leur plaisir, ils n'entendirent pas les cris de douleur de leur ravisseurs ni les bruits de luttes qui avait eu lieu dans la pièce d'à côté. Leur surprise fut donc grande quand la porte s'ouvrit non pas pour montrer leur geôliers mais la silhouette d'une goule femelle. Cooper s'empressa de couvrir Lucy avec son manteau tout en la plaçant derrière lui.
« Eh ben on s'amuse bien le vieux. » Fit la goule que Cooper reconnu comme Camille, une habitante d'un village de goule dans lequel il avait déjà résider quelques fois. Camille était ce que Lucy considérerait comme une « amie ».
« Oh ferme là Camille. » Cracha l'homme
« Drôle de façon de remercier la personne qui vous a sauvé pendant que vous preniez votre pied. Aller rhabillez vous, tu pourras m'expliquer en chemin comment t'en ai venu à te taper une peau douce le vieux et elle pourra avoir une dose de RadAway. » Dit la goule avant de sortir de la pièce en sifflotant.
Malgré la gêne qu'elle ressentait, Lucy apprécia la douceur dans les gestes de l'homme pendant qu'il l'aidait à s'habiller. Quand ils furent prêts et debout, Cooper attira la jeune femme à lui pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres avant de prendre sa main et l'amener en dehors du bâtiment. Cette action fit sourire Lucy, ils étaient peut-être fort atypiques et un couple que beaucoup n'auraient pas vu venir mais la brune, elle, était de plus en plus persuader qu'ils étaient destiné à être ensemble.
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isamajor · 9 months
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Nanu/Archer WIP [French]
Pour me motiver et m'encourager à continuer, je poste le début de ma fic Nanu/Archer. L'idée de cette fic est venue d'une discussion avec @istadris. Je sais que je devrais aussi finir "Quand l'espion se met à table" et aussi plein d'autres fics en cours T^T.
Enfin bref, enjoy ! (2430 mots pour l'instant)
/!\ Attention au langage, Nanu n'a pas envie d'utiliser un vocabulaire des plus soutenus :P /!\
C'était un pari stupide, il était trop vieux pour ce genre de conneries, pensa Nanu. C'était venu dans la conversation, comme un genre de défi, de bravade, pour titiller l'autre et le pousser dans ses retranchements. Et évidemment, impossible de se débiner. Plutôt crever, même. Nanu se sentait bien contrarié de la tâche imposée, la seule chose qui le consolait, c'était la propre tâche qu'il avait assigné à Giovanni. Ce n'aurait pas été drôle si la balance ne penchait que d'un seul côté, après tout.
Cela n'empêchait pas Nanu de fulminer. La tâche pouvait sembler simple. Archer. Ce chien dévoué à son maître. Giovanni lui proposait de le dévoyer. Oh, c'était effectivement tentant. Mais il sentait que la tâche serait ardue. Le chiot avait des crocs. Et une fidélité sans faille à Giovanni qu'il idolâtrait tel un dieu, ou presque. De plus, il ne fallait pas se fier à son visage glabre, presque poupin. Il était plus âgé et plus retors qu'il en avait l'air, après tout, il n'était pas le numéro 2 de la Team Rocket pour rien. Le laisser s'égarer entre ses bras, lui faire abandonner volontairement, ne serait-ce qu'un instant, sa dévotion à Giovanni... Là, la tâche sera compliquée. Giovanni le savait lorsqu'il avait avancé le nom d'Archer, avec un petit sourire satisfait.
Nanu tourna et retourna dans tous les sens les informations qu'il possédait déjà sur le type en question. Il lui fallait trouver un angle d'attaque. Quelque chose qui ferait chanceler l'esprit d'Archer et lui permettrait de glisser la possibilité d'essayer autre chose. Lui annoncer simplement que c'était la volonté de son maître ne suffirait pas, il trouverait la chose beaucoup trop absurde. Si on lui demandait son avis, Nanu retoquerait aussi qu'il trouvait ça débile et absurde. Que se satisferait-il de ce roquet alors qu'il avait Giovanni, tout en charisme et puissance ? Et comment pousser ce jouvenceau dans les draps d'un vieux schnock tel que lui ?
Il hocha la tête tout à ses pensées. Il ne voulait pas le contraindre. Archer devait se livrer de lui même. Sinon cela ne compterait pas. Le vieux flic se gratta la commissure des lèvres, pensivement. Il fallait utiliser l'évocation de Giovanni pour appâter Archer. Lui donner envie de toucher au jouet favori de son maître. Lui montrer la différence de niveau entre eux deux. Nanu eut un petit rictus amusé à cette pensée. C'était décidé, il allait s'en occuper le plus rapidement possible, se débarrasser de cette tâche encombrante. Il prouverait ainsi à Giovanni que ce n'était pas grand chose, alors que le flic était certain que ce dernier galérerait avec celle qui lui avait assigné.
•••
Quelques jours plus tard, à une heure tardive de la soirée, on pouvait retrouver Nanu se faufiler habilement à travers les couloirs d'un QG de la Team Rocket, évitant les caméras de sécurité et les gardes postés ici et là, avec la facilité d'un gars qui connaît les lieux comme le fond de sa poche. Ce n'était pas ardu pour lui d'exploiter et de contourner les failles du système de sécurité. Comme si elles étaient présentes pour qu'il puisse se promener en ces lieux à sa guise, ou presque...
Il lui fallut peu de temps avant d'arriver devant la porte du bureau d'Archer. Nanu sortit une carte magnétique de sa poche et déverrouilla sans peine la porte de la pièce. Il eut une petite moue déçue. C'était trop facile. Ça ruinait l'ambiance et son humeur, quasiment. Le vieux flic se glissa silencieusement dans le bureau à peine éclairé par les écrans imposants de l'ordinateur sur lequel Archer travaillait. Ce dernier semblait absorbé dans son travail.
A pas de velours, Nanu s'approcha du jeune homme de dos, jusqu'à lui poser la main sur l'épaule. Archer ne sursauta pas. A la place, la pointe d'un couteau vint l'accueillir, prête à se planter dans la main de l'importun. Nanu ricana. Okay, Archer marquait un point là. Il appréciait la petite menace en guise de bienvenue. Giovanni avait bien dressé son toutou, il semblerait. Le regard bleu acier d'Archer se reflétait dans les écrans de contrôle de l'ordinateur. On ne pouvait y déceler qu'un léger agacement. Nanu se sentit un peu piqué dans son orgueil. Quoi, sa venue pour jouer les troubles-fête n'était plus qu'une vague incommodité pour la Team Rocket ?
Nanu n'eut pas loisir de s'exprimer à ce sujet que déjà, Archer rangeait son surin et demanda, d'un ton un brin las, sans même se retourner, que lui valait l'honneur de cette visite tardive. Nanu ne put s'empêcher de lâcher un soupir. Il regrettait déjà d'être là. Il n'était plus aussi sûr de son plan maintenant qu'il se trouvait là et qu'Archer en plus de ça, avait un peu ruiné son effet de surprise.
« C'était toi que je venais voir. », annonça finalement Nanu.
Archer haussa un sourcil. Dans le reflet de l'écran, Nanu pouvait voir toute l'exaspération du jeune homme. Il pouvait même entendre les pensées d'Archer qui certainement vociféraient dans son petit crâne un truc du genre « Mais pourquoi il vient me faire chier ce type ??? ».
Archer se contenta de répondre un simple « Et... ? », l'invitant sans aucun enthousiasme à poursuivre. Nanu appuya fermement sur l'épaule d'Archer, peut-être inconsciemment dans l'intention de le faire un peu plus réagir que ça. Il se sentait un peu nerveux. Cela ne lui ressemblait pas du tout. Ce défi ne devait être qu'une formalité. Il baisait Archer et rentrait au bercail. Un truc simple. Normalement.
« En fait, ton cas m'intéresse. Jeune et presque à la tête de la Team Rocket. Tu as la confiance de Giovanni. Alors que du lait sortirait presque encore de tes narines si je les pressais. », finit-il par articuler.
Archer soupira en se massant les tempes. Puis pivota son siège pour enfin faire face à son interlocuteur.
« Tout ce chemin pour venir me dire ça. Magnifique. » dit-il, la bouche pincée d'exaspération contenue.
Soit Archer n'arrivait pas (plus?) à le prendre pour une réelle menace, soit il jouait vraiment bien son rôle. Dans tous les cas, ça lui déplaisait. Et Nanu devait faire quelque chose pour reprendre la main. Quitte à désarçonner Archer avec une vérité crue, nue.
« Tout ce chemin pour baiser ton petit cul, plutôt. J'voulais être plus subtil, mais tu me forces la main, là, gamin. »
Oh, quel regard mauvais dans les yeux d'Archer ! Nanu se délectait d'avoir marqué une touche et de reprendre un petit avantage. Maintenant, le tout était de l'intéresser à la chose et de l'amener à la faute.
Nanu continua sur sa lancée.
« Sérieusement, à part ton joli minois, je me demande ce que Giovanni te trouve. Tu es un chiot aux dents émoussées qui s'aplatit devant son maître à chaque instant. Jamais pu te trouver plus de personnalité qu'une carpette. Alors je me suis dit que sans doute tu suçais bien ou un truc du genre, tu vois... »
La lame du couteau vola, rapide et silencieuse, pour faire taire le vieux flic. Il eut à peine le temps de voir le mouvement d'Archer et ne se décala par instinct qu'au dernier instant, sentant le métal lui frôler une mèche de cheveux le long de sa tempe. Nanu ricana devant le regard noir que lui lançait Archer.
« Doucement, je vais finir par t'apprécier sinon... »
Archer expira longuement. Il rajusta ses manches, comme pour se redonner contenance et effacer toute trace de la vive émotion qui l'avait traversé peu auparavant. Puis il refit pivoter son siège pour faire à nouveau face à ses écrans, prêt à continuer son travail, tournant délibérément le dos à Nanu. Ce dernier sembla l'espace d'une seconde soufflé par l'audace d'Archer. A moins que ça ne soit de l'inconscience pure et dure ?
Non... Archer avait son côté fourbe et roublard. Il n'aurait pas si bien prospéré au sein de la Team Rocket sinon. Et puis lui aussi, malgré son apparence jeune et lisse, prenait de l'âge et de l'expérience. Nanu esquissa un sourire en coin : Archer lui rappelait presque ses jeunes années en fait. Il était arrogant et ambitieux à l'époque, lui aussi. Il usait et abusait de moyens peu recommandables pour arriver à ses fins au sein d'Interpol...
« Fais pas semblant de bosser. Je sais que tu me z'yeute du coin du regard. »
Il avait voulu ajouter « Tu sais que je suis un type dangereux » mais ça coulait de source. Giovanni ne s'entourait pas de jouets inoffensifs. L'ambition et la volonté de plaire à Giovanni pouvait rendre Archer extrêmement menaçant, Nanu le savait et l'avait déjà expérimenté. Que ne ferait-il pas pour l'approbation de son Boss ?
« Difficile de se concentrer quand il y a un tel pitre dans la pièce, je l'avoue. » finit-il par répondre à Nanu. Après une courte pause, il ajouta : « Sérieusement. Pourquoi cette visite ? Devons-nous couvrir une débâcle d'Interpol ? Un souci avec une de vos mouches? »
Nanu trouva les questions d'Archer sensées, mais il était tellement loin du compte. Il l'avait pourtant énoncé clairement. Il était là pour le baiser et lui faire aimer ça.
« Tu m'écoutes pas ou tu le fais exprès ? J't'ai déjà dit pourquoi j'étais là. Faut que je te fasse un dessin? »
Il voyait dans le reflet de l'écran le jeune homme se masser le front et l'arrête du nez, comme si les projets de Nanu lui donnaient mal à la tête. Nanu pouvait presque l'entendre supplier Arceus et lui demander qu'est-ce qu'il lui avait fait pour mériter ça. Cela se lisait sur le visage d'Archer. Après une longue minute, ce dernier finit par poser une question.
« Dans l'optique que cela soit le réel motif de cette visite... Pourquoi ? Qu'est-ce que cela vous apportera ? »
Nanu se passa par réflexe la main sur la nuque, son regard oscillant du sol au plafond. Il avait commencé par cracher le morceau, mais une partie de lui hésitait encore à tout déballer. Peut-être parce qu'énoncé platement, ça sonnait d'une stupidité extrême. Et d'une puérilité indigne du Boss de la Team Rocket et d'un ancien officier d'Interpol, sans doute. Un pari. Bon sang, qu'il se sentait très con, là, à cet instant. Il vit Archer hausser un sourcil, comme intrigué par la mine un peu décontenancée qu'il devait afficher.
Nanu soupira longuement, fatigué soudainement par la tournure que prenait les choses. Il était décidément trop vieux pour ce genre de conneries. Mais comme il avait opté pour lui dire la vérité, dans toute sa crudité, il ne pouvait pas faire marche arrière.
« Bah... J'aurai gagné mon pari. »
Le silence et le ronronnement des ordinateurs lui répondit. Nanu ricana. Au moins la révélation avait fait son petit effet. Et à voir le reflet du visage d'Archer dans l'écran, Nanu pouvait imaginer ce qui se passait à l'intérieur de son crâne, à triturer ces informations pour en déceler le vrai du faux, et décider si son précieux patron pouvait vraiment être à l'origine de ceci.
« Je sais que c'est compliqué pour toi d'imaginer que ton Boss puisse faire des pari sur ta belle petite gueule, mais voilà, le fait est là. »
« Si tout ce que vous me racontez est vrai, pourquoi accepterais-je ? Après tout, si je marche dans votre combine, cela ne ferait que perdre le Boss. », rétorqua t-il levant les yeux au ciel, comme si Nanu avait dit la chose la plus stupide du monde.
Nanu ferma les yeux, et expira une longue bouffée d'air dans un sourire crispé. Décidément, Archer n'était qu'un chien loyal à son maître et rien d'autre. Il était désespéré pour la moindre parole d'approbation de Giovanni. Il imaginait Archer se galvauder intérieurement d'être un défi impossible pour Nanu, choisi judicieusement par son Boss pour sa fidélité ultime à sa personne. Ce qui n'était pas faux, Nanu ne le niait pas. Mais il espérait retourner la situation à son avantage. Les coups bas, bien tordus, c'était plutôt son truc, après tout.
Il fallait juste qu'il trouve la formule qui ferait mouche.
Nanu s'humecta les lèvres, cherchant ses mots pour amorcer Archer. Si tout se passait comme prévu, le jeune homme allait finir par adhérer à son raisonnement, il allait se le taper, et il pourrait balancer ça dans les dents de Giovanni qui s'imagine la fidélité absolue de son toutou. Oh, qu'il se ferait plaisir à utiliser cette fidélité à tort et à travers !
« Non mais si j'avais un espoir de te séduire, je m'y serai pris autrement. Je sais qu'tu bandes pour Giovanni. Et pourtant c'est moi qui couche avec. La vie est injuste, hein ? »
Archer se retourna et si les regards pouvaient tuer, Nanu aurait été pulvérisé sur place. Mais le vieux se contenta de ricaner, content d'avoir piqué l'intérêt et surtout l'orgueil de ce jeune coq. Il le regarda se lever de son fauteuil, et se rapprocher de lui, le corps bouillant de colère froide, le toisant de toute sa hauteur, son ombre couvrant le vieux flic comme une menace voilée. Nanu se contenta de sourire en coin, et continua :
« Pourtant, t'es beau garçon et tu tuerais pour les beaux yeux d'ton patron. Mais c'est ça, ton problème. Il t'ordonne de te coucher et d'écarter les jambes, tu le fais dans la seconde, tout frétillant. »
Il vit arriver la mandale. Il ne se détourna pas et serra les dents. Il y avait de la force et de la colère dans la longue main d'Archer. La douleur était cuisante et Nanu se massa douloureusement la joue. Il plongea son regard dans celui d'Archer, pour y voir toute la peine que ce dernier avait à garder son calme. Il le sentait prêt à l'étrangler à la prochaine parole, limite. Oh putain, il commençait à apprécier leur petit jeu, en fait.
[à suivre]
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arypurple · 10 months
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Karlheinz
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Nom: ???
Prénom: Karlheinz.
Parents: ???
Âge: Plus de 2 000 ans.
Race: Vampire.
Taille: ??? (variable)
Date de naissance: ???
Signe astrologique: ???
Nourriture favorite: ???
Hobbie(s): Science.
Physique: Karlheinz a de très longs cheveux blancs ainsi que des yeux jaunes. Avec sa chevelure blanche, il ressemble un peu à Subaru et Christa confond parfois son fils avec Karlheinz lorsqu'elle est dans son état délirant. Cependant Karlheinz peut changer de forme et personne ne sait vraiment à quoi il ressemble. Selon Kanato, toute forme est possible et il peut même prendre l'apparence d'une femme. Certains suggèrent que Karlheinz a dû utiliser une forme différente pour faire des enfants avec ses femmes, ce qui expliquerait pourquoi ses fils sont de toutes les couleurs.
Caractère: Karlheinz est extrêmement intelligent et aussi très manipulateur. Malgré ses nombreux pouvoirs, il se salit rarement les mains tout seul, préférant manipuler les autres pour qu'ils fassent le boulot à sa place. Ce dernier est incapable de sentiments affectueux et ne comprend pas du tout l'amour, le poussant à penser que les autres du genre démon ne peuvent pas non plus ressentir le véritable amour. Son manque de sentiments le pousse également à utiliser sa propre famille pour ses plans, n'ayant aucun remord à les blesser. Karlheinz semble aussi charmant et excellent pour manipuler les femmes, leur promettant tout jusqu'à ce qu'il les obtienne. Il est très strict et cruel envers ses propres fils, et même en les négligeant complètement lors de leur enfance, il peut leur ordonner des punitions pour avoir fait quelque chose qui lui déplaît comme l'emprisonnement de Laito pour avoir eu une liaison avec Cordelia, l'envoie de Shuu au Pôle Nord pour avoir répété une année du lycée ou lancer Subaru au milieu de l'océan pour avoir brisé une statue.
Histoire: On ne sait malheureusement pas grand chose du passé de Karlheinz. Ce dernier est le roi de tous les vampires ainsi que le souverain du Makai. Il y a très longtemps, Karlheinz était ami avec Giesbach, le roi des Premiers Sangs, même si ce dernier a toujours vu Karlheinz comme quelqu'un en-dessous de lui en raison que les vampires étaient l'une des sous-races développées par les Fondateurs. Mais Giesbach a commencé à craindre le pouvoir de Karlheinz qui démontrait un énorme potentiel. De plus, une femme avait attiré l'attention des deux hommes, déclenchant une rivalité intense l'un envers l'autre. Cependant, le roi vampire avait beaucoup plus d'alliés comme Burai, le roi Vibora. Sans oublier le fait que Giesbach craignait aussi le pouvoir de son fils, Carla, et espérait que lui et Karlheinz s'entretuent durant la guerre. Malheureusement, la race des Ancêtres a été frappée par la maladie d'Endzeit. Il était trop tard pour sauver ceux-ci et Karlheinz et Burai ont usé de leurs pouvoirs pour sceller tous les Fondateurs à l'intérieur du Pandémonium. Il a envoyé Menae, la sœur de Krone, à Burai, pour qu'ils puissent donner naissance à Cordelia. Après quoi, dans le cadre de son projet "Adam & Eve", il a attendu qu'elle grandisse avant de la courtiser et de l'épouser. Selon Cordelia, Karlheinz souhaiterait mourir, mais personne n'est assez fort pour le tuer. Il veut que l'un de ses fils obtienne le pouvoir de la mariée sacrificielle pour le faire. Parce que sa première femme ne voulait pas d'enfants, Karl a pris Beatrix pour seconde épouse afin d'inciter Cordelia à le faire et aussi pour explorer d'autres expériences avec sa propre espèce. Cependant, Karl ne parvenait pas à devenir l'Adam et blâmait indirectement Cordelia car elle n'a pas réussi à être Eve (ce qui nécessitait le caractère d'une mortelle(. Voulant poursuivre ses expériences, il a fait un enfant avec sa propre cousine, Chista. Ce dernier a tout fait pour rendre la vie misérable à ses femmes afin qu'elles brisent leurs fils. Tout cela pour qu'ils ne développent pas des sentiments affectueux et qu'ils apprennent des "sentiments humains" à travers Eve. Après la naissance de tous ses fils, il a commencé à comploter la mort de Cordelia afin d'utiliser son cœur. Il est révélé qu'il travaillait en conjoncture avec Richter pour obtenir son cœur. C'était également lui qui a transformé les Mukami en vampires.
Bonus:
Reiji est le seul parmi ses fils à ne pas le haïr, mais à le respecter.
Si Karl n'aime pas un résultat, il peut rembobiner le temps jusqu'à ce qu'il obtienne les bons résultats.
Il possède toutes les capacités propres à un vampire, mais à un plus haut niveau.
Karlheinz a créé les "fleurs éternelles".
La seule façon de le tuer est de lui couper la tête ou de lui transpercer le cœur.
La magie déchaînée de Karlheinz peut détruire le monde démon, mettant le feu et tuant la plupart des habitants.
Carla sous-entend que Karl aurait pu ramener Cordelia à la vie, laissant supposer qu'il peut ramener les morts à la vie, mais il ne l'a pas fait.
Richter et Karlheinz se sont battus pour obtenir la main de Cordelia.
Il a enseigné les fausses significations de l'amour à Cordelia, lui disant qu'il était bien d'avoir beaucoup d'amants et d'avoir une relation incestueuse.
Dans More Blood, il prend une autre apparence sous le nom de Reinhart et travaille en tant qu'infirmier scolaire pour avoir un œil sur ses fils.
Chanson thème: 🎵
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grompf3 · 2 months
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"Je ne contracte pas" - Faut-il vraiment se marrer ? Faut-il même en parler ?
C'est bon ? Vous l'avez toutes et tous vu passer cette histoire de Pierre et Laetitia, 2 "êtres souverains" qui refusent de se plier à un contrôle de police ?
Si c'est pas le cas, je vous mets plus bas 2 liens vers des journaux qui ont traité l'affaire (vous en trouverez un tas d'autres).
Est-ce que c'est bien de se marrer ? Est-ce que c'est bien, même, de montrer ces images vidéos, de donner de la visibilité à ces gens ?
J'ai vu passer des débats à ce sujet.
Je pense qu'il y a des dangers à en parler, à se moquer. Mais ce ne sont pas forcément les dangers qu'on a évoqué. Et ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas en parler. Au contraire.
Je m'explique.
J'ai vu des arguments du genre "En vous marrant comme ça, vous allez les renforcer dans leur croyance au lieu de les en sortir". Et j'ai aussi vu des arguments selon lesquelles le fait même d'en parler en public leur donnait de la visibilité et leur faisait de la pub.
Ce sont des faux problèmes.
(Parenthèse : j'adore l'image ci-dessous. Je ne sais pas qui a fait ça, mais j'adore.)
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Déjà, le coup de "les en sortir", on arrête tout de suite. C'est pas un critère.
Aucun post sur Twitter (ou Bluesky, Mastodon, Threads, etc.) ne va "sortir" un comploplo qui s'est enfoncé dans une croyance complotiste bien déjantée comme cette histoire d'êtres souverains et de fraude au nom de naissance. Et aucun billet de blog non plus. Et aucun article de journal.
Est-ce que les gens qui gueulent en mode "c'est pas comme ça que vous allez sortir les adeptes des théories du complot de leurs croyances !" ont une recette magique pour y parvenir ?
Ce genre de débats revient souvent sur la table et il faut arrêter. C'est pas le but.
Moi, là, en écrivant ce billet de blog sur Tumblr, est-ce qu'il y a quelque chose que je pourrais faire qui pourrait "sortir" un comploplo genre "êtres souverains" de ses délires sur la "fraude au nom de naissance". Une formule magique ? Une image hypnotique ?
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Non.
Alors c'est pas la question.
Et leur faire de la pub ? Le problème de la "visibilité" ?
Est-ce que vous imaginez M et Mme Tout-le-Monde regarder ces extraits vidéos qui circulent, trouver ça super cool et avoir envie d'en être ?
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Là, pour moi, c'est plutôt un argument pour en parler. Montrer aux gens, à M et Mme Tout-le-Monde, jusqu'où tout ça peut aller. Montrer que le complotisme, non, c'est pas "ouvrir le débat", "poser des questions", "proposer un autre regard". Ça peut aller très loin. Et c'est pas que du blabla, il y a vraiment des gens qui y croient.
Et oui, ça a des conséquences concrètes, de croire aux théories du complot. Et là on a un exemple bien déjanté, qui fait rire peut-être. Mais qui frappe les esprits. Et qui peut permettre de parler d'autres exemples de conséquences concrètes et directes, qui sont peut-être moins rigolotes à raconter.
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Mais je vous disais qu'il y avait des dangers.
Où est-ce que je voulais en venir ?
Ah ! Oui !
Déjà, je m'inquiète pour vous. Et pour moi.
Parce que se foutre de la gueule des gens, c'est pas bien. Se moquer d'un propos, c'est une chose. Se moquer d'une être humain, c'en est une autre. Et la frontière est mince. Et si vous vous retrouvez à afficher des gens, juste pour pouvoir rire à leurs dépends et vous faire mousser sur les RS... Et bien vous devenez un sacré connard. Ou une sacré connasse. Et je ne suis pas sûr que je sois immunisé contre ce genre de dérives. Bref, faisons gaffe au sens de ce que nous faisons et à la manière.
Et il y a un autre gros danger. C'est de montrer des cas bien caricaturaux, les complotistes les plus déjantés, les théories les plus pétées... et oublier des discours moins extrêmes, mais au final tout aussi mensongers, et plus dangereux, parce que plus insidieux et plus "acceptables" en apparence.
Il y a un danger à imaginer un monde où les choses seraient clairement séparées en deux. D'un côté, les gens sérieux, avec des infos sérieuses. Et de l'autre le monde des comploplos débiles aux théories complètement pétées. Et non, c'est pas ça.
Vous connaissez le dicton sur le journalisme ?
"If someone says it's raining and another person says it's dry, it's not your job to quote them both. Your job is to look out of the fucking window and find out which is true."
"Si quelqu'un dit qu'il pleut et qu'une autre personne dit qu'il fait sec, ton travail ce n'est pas de donner la parole à chacune. Ton travail c'est de regarder par cette putain de fenêtre et de trouver qui dit la vérité."
Faites une expérience de pensée à partir de là.
Imaginez un premier cas de figure.
Il ne pleut pas. Pas une goutte de pluie de toute la journée. Et moi, je suis assis sur un sofa. Il y a un gros rideau à la fenêtre. Je n'ai qu'à lever mon cul de ce sofa, faire 3 pas et tirer le rideau pour voir le temps qu'il fait. Mais je reste assis sur mon sofa. Et je vous dis qu'il pleut.
Et imaginez un deuxième cas de figure maintenant.
Il ne pleut pas. Pas une goutte de pluie de toute la journée. Et moi, je suis debout, à la fenêtre. Je regarde dehors. Il fait sec. Pas une averse à l'horizon. Et je vous dis qu'il pleut.
Dans ce deuxième cas, vous allez me dire que je suis un menteur, ou un mytho, ou un manipulateur...
Mais dans le premier ? Celui où je reste le cul posé sur mon canapé, alors qu'il suffirait de me lever et faire 3 pas pour vérifier ?
Dans les 2 cas, je raconte des conneries. Dans les 2 cas, mon propos est faux.
Vous voyez où je veux en venir ?
Est-ce que, parce que la fausseté d'un propos est plus évidente, c'est forcément plus grave ?
Là, on rigole sur ce couple et ses délires sur la fraude au nom de naissance. Mais il y a quelques jours, le service public français rendait complaisamment le micro à une personne qui partageais des récits délirants sur l'affaire Dupont-Ligonnès.
Il n'aurait assassiné personne et bosserait pour les services spéciaux US.
Et en matière de théories bullshitesques, les plus déjantées ne sont pas forcément celles qui font le plus de dégâts.
Je vous rappelle, par exemple, que à fin février 2020, une vidéo YouTube publiée depuis Marseille nous annonçait la fin de la pandémie de Covid-19, parce que les Chinois avaient trouvé la solution.
Et pas grand monde ne s'était demandé, par exemple, comment est-ce que ça se faisait que l'info nous arrive par une vidéo YouTube publiée depuis Marseille, tandis que les autorités chinoises ne faisaient aucune annonce...
Et au niveau conséquences, on en est où, avec cette histoire de chloroquine et "fin de partie" ?
Et ça ? Un tweet d'un directeur de recherche au CNRS. Ce genre de conneries sur le sang des vaccinés et les transfusions, en on voit depuis 3 ans. C'est toujours des conneries. Mais, là, je le répète, c'est un chercheur rattaché à de prestigieuses institutions.
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C'est pas les deux là, Pierre et Laetitia, refusant de se soumettre à un contrôle d'alcoolémie...
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Et puis je pourrais continuer avec plein d'exemples.
Vous me connaissez.
Je vais toujours revenir aux mêmes cas.
Tel documentaire pourri produit ou diffusé par le service public...
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Telle théorie pseudo-historique à qui on déroule le tapis rouge sous prétexte de "récit émancipateur"
Etc.
Et je pourrais vous parler de l'époque où, plus jeune, je me passionnais pour certains récits pseudo-historique. Et je ressentais cette excitation de celui qui accède à un savoir spécial, différent de ce qui est diffusé auprès des masses...
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(Si, si, j'ai cru en ce genre de trucs. À une époque.)
Et vous voulez que je vous parle d'un certain remède, élaboré à partir de foie de canard pourri, dilué à raison d'1 molécule dans la masse de plusieurs galaxies (ou un truc du genre) ? Remède sensé soigner la grippe. Remède vendu, et souvent présenté bien en vue, dans la majorité des pharmacies.
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Je pourrais aussi vous parler de thèses ésotériques diffusées sur le service public, thèses qu'il vaut mieux éviter de critiquer si l'on veut conserver son job.
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Bref, en parlant de théories complètement pétées, genre "fraude au nom de naissance", on s'expose à un risque. Celui de s'en servir comme repoussoir, de dire montrer ça du doigt pour dire "nous on n'est pas comme", de croire que le complotisme et la désinformation, c'est bon, nous on est pas concernés, parce que nous on n'est pas comme ces givrés-là.
Parlons de ces théories complètement pétées. Parlons de Pierre et Laetitia qui délirent avec un jargon pseudo-juridique grotesque, et qui se filment et diffusent ça.
Mais n'en parlons pas comme s'il s'agissait d'un monde radicalement différent du nôtre. Il n'y a pas une frontière nette. Et aucun d'entre nous n'est immunisé contre le bullshit.
Ne nous servons pas de Pierre et Laetitia pour nous moquer d'eux et nous croire à l'abri de certaines dérives. Parce que ça, c'est dangereux. Pour nous.
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claudehenrion · 3 months
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Changement, ou progrès ?
Oouuppss ! un ''machin-truc'' inconnu de moi a bloqué la parution de l'édotorial de ce jour. Une lectrice avisée, qui vit en Catalogne, me le signale, bientôt suivie d'autres... . Merci à elle et à eux tous..
Ces deux vocables ont ceci de bien pratique qu'on y met ce qu'on veut. Tout ''distinguo'' entre eux échappe à la plupart des gens, et c'est sur ce flou recherché que sont nés la plupart des malentendus qui expliquent le désenchantement du monde, notre désarroi actuel, et la violence par laquelle s'exprime le mal-être contemporain. Et, en plus, les français sont si désabusés que personne ne va avoir le courage de dire : ''Mais c'est tout faux, ce que tu racontes !''. Un més-usage de concepts indéfinis nous a mis dans notre situation actuelle, celle des ''Grenouilles qui voulaient un roi'' de la fable de la Fontaine...
Le refus de faire l'amalgame entre deux vocables si mal utilisés peut seul nous faire entrevoir la vérité --à l'opposé, souvent, de tout le discours ambiant, qui n'est que mensonges, lui. Pour montrer combien un concept peut en cacher un autre (ou plusieurs), et fausser des pans entiers de l'histoire du monde, un seul exemple suffira : le devenir écologique de la planète. Montesquieu, déjà, avait eu l’intuition que le climat avait une influence sur l’histoire, mais on sait maintenant, comme Jared Diamond l’a démontré dans son célèbre essai Effondrements, que plusieurs civilisations ont disparu à la suite de catastrophes écologiques : les Khmers d’Angkor, les Vikings, les Mayas… et bientôt, disent certains, nous-mêmes et la nôtre... si on a la faiblesse de croire le GIEC, l'affreuse Greta, et Macron... ce qu'il est sage et prudent de ne jamais faire...
Car chaque jour, des éruptions, des raz-de-marée, des tremblements de terre ou des incendies immenses nous font frôler un risque de chamboulement ''XXL''. Chaque jour, des espèces animales disparaissent, épuisées ou étouffées, et des forêts entières meurent, brûlées ou transformées en échangeurs auto-routiers, en ZAC ou en ZAD… Dans tous ces cas, ce sont des ''changements'' dont aucun n'est un ''progrès'', et notre intervention éventuelle se résume à la prière, à des discours incantatoires du genre ''plus jamais ça'', et à des ''marches blanches'', depuis peu. A ma connaissance, notre ''science'' (qui, dans ce cas, ne sait pas grand chose), ne peut pas prévoir avec certitude certaines catégories d’événements, ni dans leurs dates, ni dans leur dimension, ni dans les dévastations qu’ils sont susceptibles d’entraîner, hélas ! Il est arrivé, sans explication, que certains de ces changements révèlent ''progrès'', mais ce cas est loin d'être le plus fréquent..
Un exemple, d'actualité, hélas, de la relation ''trouble'' qui réunit ou sépare le changement du progrès : la guerre dépendit, plus qu’on ne le croit généralement, des progrès de la technologie aux différentes époques de l’histoire : le remplacement du bois par le cuivre, puis par le bronze, puis par le fer, puis par l’acier dans les armements a été la cause majeure du sort des batailles entre, suivant les époques, les sumériens, les égyptiens, les macédoniens, les perses, les grecs ou les romains, ce qui a dessiné la carte du monde antique et, au-delà, du nôtre… Cette remarque a continué à se vérifier, pour notre malheur, dans les temps modernes, où les piqués des ''Stukas'' de Goering et les ruées des chars Panthers II de Guderian ont vite écrabouillé l’Armée française, moins bien préparée, technologiquement, et dépendant, elle, des ''40 heures'' et des ''congés payés''.
La même constatation s'est appliquée, à la fin de la seconde guerre mondiale, à la rupture que fut la première bombe ''atomique'' larguée par la Forteresse Volante B-29 ''Enola Gay'' sur Hiroshima : par une immense ironie du destin, une violence technologique absolue s’avérait être le chemin le plus rapide vers la Paix, ce qui pose la question : ces changements techniques furent-ils autant de progrès ? En tout cas, il est indéniable que la géographie politique du monde actuel est bel et bien un reflet de ces divers ''changements'' dont certains devinrent des ''progrès'' : bien des crises actuelles trouvent là leur origine (cf. le respect convenu –sans raison réelle-- des frontières de '45).
Le changement, qu’on le veuille ou non, s’est donc imposé comme un facteur fondamental de l’évolution de la société, et par conséquent, des rapports de l’Homme avec son environnement, avec son présent et, donc son devenir dont il est à la fois le signe –la vie et la mort n’ont d’autre facteur séparateur que le changement, et non le progrès !– et la preuve, une évolution n’existant que s’il y a présence de changements ! Un changement est perceptible dès lors qu’il se manifeste, alors qu’un progrès peut mettre des années à devenir simplement perceptible (au hasard : la boussole -plusieurs siècles, les principes de Babbage -un siècle, ou l'intelligence artificielle -25 ans et plus).
Un ''changement'' se définit comme le passage d’un état A à un état B, sans autre conséquence que la création d’une différence perceptible, qu’elle soit positive, négative ou nulle quant à ses résultats et à ses conséquences, ou, plus simplement, comme le passage à quelque chose de différent… Au contraire, un progrès est un changement qui marque une amélioration mesurable par rapport à une situation précédente. Un changement n’engage à rien, alors qu’un progrès, comme son nom l’indique, (du latin pro-gressio = pas vers l’avant) constitue une amélioration identifiable, quel que soit le domaine dans lequel il s’est exercé.
Un exemple concret ? La perte d’un organe sensoriel spécifique (suite à un accident ou au simple vieillissement) est un changement, et non des plus drôles, annonciateur d'autres problèmes à venir... On ne peut dire en aucun cas que cela puisse être catalogué comme ''progrès''. En revanche, l’acquisition d’une orthèse –une paire de lunettes dans le cas de la vision– représente indéniablement un progrès dans le processus de vision. Si une prothèse est possible –une main artificielle, par exemple– le progrès est encore plus visible.
Une remarque connexe sur cette opposition entre Changement et Progrès, qui n’a peut-être pas directement sa place ici, mais que je ne peux m’empêcher de faire : sans doute est-ce pour cette raison que c’est devenu une habitude uniformément monomaniaque chez la plupart des hommes politiques de tous les pays que de proposer ''le changement'' comme seul programme… laissant, un peu plus tard, tous leurs électeurs profondément déçus – à tort, car s’ils attendaient des ''progrès'' là où on ne leur avait promis que le ''changement'', ils ne doivent s’en prendre qu’à eux seuls ! Cette erreur de langage permet d'expliquer le gouffre qui sépare tout discours politique (qui propose des changements) des besoins réels des populations (qui ne veulent que des progrès).
Ce mauvais usage systématique – je n’ose pas écrire ''volontaire'' – de deux concepts que l’on fait croire synonymes alors qu’ils sont antagonistes, est certainement largement responsable du désamour que nous constatons depuis quelques années pour la politique et les politiciens, la démocratie et, plus généralement, la res publica. Depuis Giscard, qui a vu (sic !) dans les yeux de la France ''un désir de changement'' (il était fortiche, le gars ! il disait, d'ailleurs, ''la Fronche'' et ''un déjir de chongemont'', ce qui est nettement mieux !), tous les candidats à l'élection présidentielle nous ont promis ''le'' (pas ''des'', ce qui serait ''moins pire'') changement. Même Obama, qui n'était pas à ça près, l'a fait ! Mais pour un ''politique'', le sens exclusif du mot changement est : ''Ote-toi de là que je m'y mette'' … et cela aide à comprendre leurs gros mensonges, devenus chez certains une seconde nature..
Résumons : d'un côté, des professionnels du flou, de l'à-peu-près et du mensonge, qui promettent ''le changement'' (dont, au fond des choses, personne ne veut : il vient déjà tout seul, plus que nécessaire !). En face, des électeurs qui croient entendre des promesses de ''progrès'' (cette sorte de Graal espéré par tous) et qui se révoltent, bonne foi contre mauvaise foi, lorsqu'ils se rendent compte qu'il a eu plein de changements (par exemple, toutes les lois ''sociétales'', perverses à en mourir, ou la sanctification d'un soi-disant ''droit à l'avortement'' qui est une redéfinition des ''principes'' relatifs à la vie et à la mort) qui sont terribles dans leurs conséquences (NDLR : c'est la dernière fois que je le dis sans courir de risques disproportionnés),. Et certains s'étonnent de cet état de fait ! N'allons pas chercher plus loin : avec le diptyque ''changement-progrès'', nous tenons une des causes majeures de nos dérives actuelles, immenses. Et de notre malheur profond...
H–Cl.
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gfxced · 8 months
Note
Tu penses qu’Israël a pour objectif final d’envahir totalement Gaza et d’en chasser toute la population actuelle ?
Non. J'en doute fortement.
Israël a quitté la bande de Gaza en 2005 et a laissé les résidents maîtres à bord. A l'époque le gvt d'Israël était de centre-gauche. Si cela se passait bien, il y aurait eu plus de concessions territoriales envisagées. Gaza a tenu des éléctions, a soutenu le Hamas et le Hamas a fini par prendre le contrôle de Gaza par la force, éliminé opposants politiques, musulmans modérés (et tout autre indésirable genre les gazaoui lgbt). Depuis, la population de Gaza est sous le joug d'un groupe religio-fasciste qui a le brainwashing fondamentaliste comme fond de commerce et comme d'autres régimes fascistes avant eux, commencent l'endoctrinement au berceau.
Il y a bien sûr plein d'éléments à charge d'Israël. Le gvt de droite, Bibi qui a monumentalement foiré (et soit dit en passant à laissé Rabin se faire assassiner parce que cela servirait son camp politique et sa carrière) plus le traitement désatreux des palestiniens dans le West Bank (quand on parle d'Apartheid en Israël c'est là qu'il faut regarder, différences de traitement au niveau légal entre colons et Palestiniens de cisjordanie, Gaza n'est pas concerné par le truc: depuis le retrait, il y a 0 Israélien là bas). On peut parler de ces choses mais c'est limite un autre sujet vu la gravité de la situation à Gaza.
J'ai pas envie de m'étendre mais ma conviction est qu'on se fait rouler dans la farine par l'Iran et la Russie et leurs alliés. Gaza pour l'Iran c'est un outil de déstabilisation global utilisé afin d'empêcher la normalisation des relations d'Israël avec les pays musulmans qui dans les trente dernières années ont décidé de passer "à autre chose" si l'on peut dire.
Via le Hamas l'Iran sacrifie la population de Gaza pour éliminer des juifs d'une part et ensuite foutre le bordel dans les opinions en Europe (remontée de l'antisémitisme) et créer des martyrs en quantité. Quoi qu'il se passe, ces crevures y gagnent quelque chose. Israël ne réagit pas : parfait, on se glorifie et on plannifie le coup prochain. Israël réagit : les voix internationales se lèvent contre eux car depuis trente ans Israël est dépeint comme seul responsable de cette situation (quiconque lit un peu l'histoire de la région depuis le début du 20e se rendra vite compte que rien n'est si simple).
Mais avec ce qu'il s'est passé le 7/10 il était impensable qu'Israël ne nous fasse pas une réaction à la USA après le 11/9. C'est le même genre de délire et c'est ce qui était recherché (d'où mon impression qu'on est entrain de se faire rouler dans la farine).
Je suis entrain de regarder ce qu'il se passe au Dagestan. Une émeute qui force des portes d'un aéroport à la recherche de passagers d'un vol en provenance d'Israël. Pogrom en cours donc.
On peut condamner ce que fait Israël et je suis d'accord, tactiquement c'est vraiment pas le bon plan, mais gvt d'ultra-droite à la GW Bush, il n'y avait pas grand chose d'autre à attendre.
Mais le Hamas c'est un cancer à exciser, c'est un culte de mort et son but c'est le génocide du peuple juif, purement et simplement (alors que ce n'est pas du tout le cas avec Israël qui est une société diverse).
Le Hamas, et autres comme eux d'avant et de maintenant, ce ne sont pas des groupes qui cherchent à s'asseoir à une table de négociations. Si cela avait été le cas, l'état Palestinien existerait depuis bien longtemps. Nier les envies génocidaires de l'islam radical c'est se voiler la face.
Sérieusement si vous êtes des gentils pigeons pro-hamas sans regarder les choses d'un oeil plus aiguisé unfollowez moi, please. J'en mange en quantité suffisante sur twitter.
Des tas de gens qui utilisent tout un tas de buzzwords pour donner voix à leur antisémitisme latent (conscient ou non) qui racontent des choses sans fondement aucun et qui ne se rendent pas compte qu'ils sont les idiots utiles, les dindons de la farce d'un merdier qui ne se trouve encore qu'à l'horizon mais dont on va tous devoir se taper une bouchée.
Ce qui est à venir me fait sérieusement flipper.
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ernestinee · 2 years
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Fin septembre c'est le moment où l'on a beaucoup de demandes, dans mon boulot.
Plusieurs prises en charge viennent de se terminer chez moi et tous les créneaux sont déjà remplis.
Cette année, mes nouveaux petits choux :
- Deux enfants atteints de troubles du syndrome autistique, 2 ans et 4 ans et demi. Ils viennent tous les deux d'un centre de dépistage de Bruxelles, où apparemment, une personne leur donne mon numéro de téléphone direct (c'est de notoriété que je vais rallonger mes journées au lieu de refuser un enfant, alors normalement il faut passer par le secrétariat, qui refuse à ma place qd la journée est complète, mais évidemment certains arrivent directement à me toucher) . Alors j'ai déjà vu le plus petit. Sa neuropediatre trouve qu'il ne devrait pas commencer la logo maintenant. C'est vrai qu'il marche depuis deux mois seulement, il est en expérimentation, il a monté et descendu un millier de fois la petite marche de mon bureau, il est encore instable. Oui mais d'un enfant censé avoir "3 mots de vocabulaire", on en a finalement trouvé une petite vingtaine, d'un enfant qui ne tient pas en place, il n'a montré des premiers signes d'agacement qu'après une heure, et en une petite activité, il répétait gâteau et pomme. Répéter, dans les troubles autistiques, c'est souvent synonyme de fête. Du coup ça m'ennuie un peu, parce que c'est une collègue dont l'avis est toujours précieux, mais je vais faire un bilan qui va à l'encontre de cet avis, et bosser avec le petit chou.
- Un enfant de 6 ans qui a une très mauvaise expérience de la logopédie (rééducation papier-crayon, parfois en même temps que d'autres patients, selon les parents), pour une rééducation qui paraissait habituelle, sur le papier. En pratique, c'est assez rare d'avoir déjà le CH et le J, mais pas le F tout en sachant souffler. Je suspecte un petit machin au niveau des praxies, ou un blocage physiologique. Il m'adore déjà, moi aussi, la vie est belle.
- Un enfant qui n'a plus droit au remboursement de la mutuelle, parce qu'il a déjà fini ses deux années de logo. Il débarque chez moi parce que ça ne va pas mieux. C'est normal que ça n'aille pas mieux, ses troubles de langage écrit sont la partie visible, et la logo précédente n'a travaillé que sur ça, sur l'orthographe. Mais cet enfant n'est pas un seau, c'est impossible de le remplir de mots et espérer qu'il retienne tout. Un bilan neuropsy, orthoptiste et un bilan grapho plus tard, et on a compris qu'il a une dyspraxie visuo spatiale. Il est en multiple tâche lorsqu'il doit se concentrer sur quelque chose qui est visuel et organisé. Genre écrire. Genre même représenter un dessin. Et pourtant il écrit. Alors ce qu'on voit c'est une orthographe difficilement phonétique, à 9 ans, et une écriture qui ressemble à celle d'un enfant de 6 ans. Du coup on va commencer par bosser le visuel et si les calculs sont bons, son orthographe devrait suivre sans qu'on n'y touche.
- Un enfant de 5 ans qui est totalement hypotonique de tout le visage, et apparemment la langue a suivi le mouvement. Du coup on ne comprend rien, les phonèmes consonantiques sont tous atteints un peu comme s'il avait une pdt chaude dans la bouche. Pire, il comprend très peu, voire pas du tout les nuances d'une phrase. Je crois que ça va être compliqué avec lui, même si on voit déjà quelques progrès après 4 séances (mais on partait de loin, et moi je ne les entends pas, ces progrès)
Cinq nouvelles petites plumes à diriger doucement, d'un souffle à l'autre, vers leurs apprentissages et leur autonomie.
Et pour apprendre le métier, j'ai cette année une stagiaire qui est un véritable moulin à paroles, on dirait qu'elle a toujours été là tant elle est à l'aise avec le matériel, les parents et les enfants. Encore une que je serai triste de voir partir fin décembre.
Ce travail est tellement une source de satisfaction ♥️
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perduedansmatete · 3 months
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ce que j'ai oublié de dire de ce week-end c'est que j'ai encore pleuré à cause des mêmes trucs bourrée dans la salle de bain avec elyas, après avoir vomi je lui ai dit que je buvais trop mais que j'essayais d'arrêter (pas de boire mais de boire trop régulièrement pour supporter la journée) et de là je lui ai raconté plein de trucs je lui ai dit pourquoi je me mettais dans cet état lamentable selon moi, que je pouvais plus me voir aussi, que j'avais du mal à trouver ma place dans cette famille en repensant notamment aux dernières réflexions de mon grand-père qui ont accentué le fait que je ne peux plus me voir, il m'a dit que je cachais bien mes émotions mais qu'il avait vu que ça n'allait pas toute cette journée, je lui ai parlé des évènements récents et plus anciens qui me gâchent la vie, lui aussi m'a parlé du même sujet, de ce qu'il a vécu qui rejoint beaucoup de mes expériences bien qu'il m'ait dit qu'il ne ressentait pas les choses de la même manière et que ça ne l'avait pas marqué comme ça a pu me le faire, puis de là on a encore parlé de ma sœur car je crois que j'avais fait le lien entre ma réaction à certaines choses et la manière dont ma sœur m'a toujours traité, j'en avais déjà parlé avec Y la semaine dernière pour je ne sais plus quelle raison, je lui avais dit des trucs que je ne dis jamais et il m'avait répondu quelque chose genre « désolé mais ta sœur c'est une vieille meuf » puis qu'il comprenait mieux beaucoup de mes réactions et de mes ressentis enfin qu'il me comprenait beaucoup mieux tout court à la lumière de ces quelques trucs, là elyas m'a dit genre « elle n'est pas toxique mais elle est carrément égocentrique » puis qu'il avait vécu des relations tellement toxiques que ses comportements c'était en quelque sorte du pipi de chat pour lui même si ça l'affecte quand même et ça m'a fait tellement de bien de parler de tout ça avec lui, tout comme à lui qui m'a envoyé un message dans lequel il a écrit que ça lui avait fait du bien de parler de certains choses et qu'on partage des ressentis en commun sur la vie ou à propos de ma sœur, qu'il se sentait plus compris et tout mais malgré tout le bien que ces deux discussions ont pu me faire ça recommence à trop tourner en boucle dans ma tête je fais de nouveaux liens et je suis fatiguée d'avoir grandi avec une sœur qui prend toute la place qui n'écoute pas les autres, qui ne pense qu'à elle, qui m'a fait vivre beaucoup de choses méchantes qu'elle aime bien raconter comme si c'était des anecdotes drôles qui ne m'avaient pas profondément traumatisé et je suis fatiguée de me dire que beaucoup de ma personnalité découle du fait que j'ai toujours du arrondir les angles avec elle depuis toute petite, que si tout le monde a toujours dit à nos parents c'est fabuleux vos filles ne se disputent jamais et s'entendent tellement bien c'est parce que je faisais tout (et je le fais encore?) pour ne pas qu'il y ait de disputes, que j'ai appris trop petite que ce que je voulais et que mes émotions ne comptaient pas tant que ça par rapport aux siennes (et à celles des autres par la même occasion) que si je voulais qu'on m'aime et que j'ai de l'attention il fallait que je fasse abstraction de ce que je voulais moi, puis qu'il y avait toujours plus intéressant que moi d'ailleurs et tout plein d'autres choses qui me font penser que oui si j'ai des parents à peu près convenables j'ai quand même douillé sévère avec ma sœur et que ça continuera puisque comme m'a dit ma mamie cet été « c'est trop tard tu as mal éduqué ta sœur » (oui c'est ma faute du coup apparemment d'avoir voulu que ma grand sœur m'aime autant que je l'aime et qu'elle en ai profité pour prendre le dessus sur moi)
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marie-swriting · 2 years
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Plus Qu'une Amitié - Shawn Mendes
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Romance Masterlist
Résumé : Tu es amie avec Shawn, mais il t'a embrassé alors que tu es en couple. Tu essayes de l'éviter pour ne pas te perdre dans tes sentiments.
Warnings : Angst, tromperie en quelque sorte, fin mignonne, dites-moi si j'ai loupé d'autres warnings !
Nombre de mots : 1.5K
Version Wattpad
Version anglaise sur Tumblr
Chanson qui m'a inspiré : Bad Kind Of Butterlies par Camila Cabello
- Shawn, je t'en prie, arrête de m'appeler, je chuchote à mon téléphone.
- S'il te plaît, écoute moi avant de raccrocher. Je m'excuse, je ne voulais pas faire ça, je ne sais pas pourquoi je t'ai embrassé. S'il te plaît, crois moi quand je te dis que je ne veux pas que notre amitié change, me supplie-t-il.
- Elle a changé au moment où tu as posé tes lèvres sur les miennes, je murmure avec dureté
- Y/N, s'il te plaît, tente-t-il de me retenir.
- Laisse moi du temps.
    À peine ai-je raccroché que Dean, mon petit-ami, rentre dans le salon, le bol de pop-corn dans les mains. J'essaye de ne pas paraître déstabilisée face à l'appel de Shawn, même si c'est compliqué. Le geste qu'il a eu envers moi la semaine dernière m'a plus que perturbé. Je ne pensais pas que je réagirais comme ça à son touché. J'ai beau essayé, je ne peux oublier la sensation de ses lèvres sur les miennes. Mais je ne peux également oublier la culpabilité que je ressens quand je vois le visage angélique de Dean. Nous sommes en couple depuis un an et je l'aime. Tout va bien pour nous deux. Enfin, jusqu'au geste de Shawn.
- Tu étais au téléphone avec qui ? Me demande-t-il.
- Avec ma mère, elle voulait me dire qu'il y avait Si je reste à la télé, à peine ce mensonge sorti de mes lèvres, je sens mon ventre se tordre de culpabilité.
- Tu veux qu'on regarde ça, ce soir, comme c'est ton film préféré ?
- Je l'ai en DVD, on le regardera un autre jour.
- Tu es sûre ?
- Oui. On va pas changer de film à la dernière minute, je rigole en tentant de cacher ma nervosité. On avait dit qu'on regarderait ton film préféré, pas le mien, alors lance Fast and Furious.
- Comme tu veux, chérie, dit Dean avant de m'embrasser.
    Sans surprise, je n'ai pas réussi à me concentrer sur le film plus d'une minute. Ce genre de film n'est pas celui que je regarde d'habitude et mes pensées sont toutes dirigées vers la même personne. Shawn. On est amis depuis six ans. Je suis la cousine de son meilleur ami, Brian, donc j'ai vite été amené à le rencontrer. Le courant est bien passé entre Shawn et moi. On est de bons amis. 
    Enfin, c'est ce que je pensais avant la semaine dernière. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais Shawn m'a embrassé et depuis ce moment, je n'arrête pas de penser à lui et à ses lèvres. J'ai honte de ce que j'ai ressenti pendant ce baiser. Je suis avec Dean et pourtant je ne peux pas m'enlever Shawn de la tête. Quand il m'a embrassé, j'ai ressenti des papillons dans mon ventre et quand je parle à Dean, j'en ressens également, mais ça n'a rien à voir avec de l'amour, c'est parce que je culpabilise de penser autant à Shawn et de ressentir les bons papillons avec celui qui est censé être mon ami. Je suis une horrible personne.
- Y/N, ça va ? Questionne Dean en me sortant de mes pensées.
- Oui, je vais bien. Pourquoi ?
- Tu avais l'air perdu dans tes pensées.
- Désolée, je réfléchissais à quelque chose, rien d'important, ne t'inquiète pas.
    J'ai honte de lui mentir aussi facilement. Il ne se doute de rien, il me fait confiance et je le trahis. Comment puis-je lui faire ça ? Il a toujours été là pour moi depuis que l'on s'est rencontrés en dernière année de lycée, après son déménagement à Toronto, et comment je le remercie ? En pensant à un autre homme que lui.
    Il faut vraiment que j'arrête de ressasser ce qu'il s'est passé avec Shawn. Je dois oublier ce qui s'est passé et lui dire de ne plus le refaire parce que j'aime Dean. Je ne peux pas me permettre de me retrouver dans une situation où je devrais choisir car je ne pourrais pas, dans tous les cas je perdrais quelqu'un et je ne veux pas que ça se passe comme ça.
    Les vibrations de mon téléphone me coupe dans mes pensées. Je regarde discrètement qui m'a envoyé un SMS. Bien évidemment, c'est Shawn.
Message de Shawn, 23h02 :
Je ne veux pas perdre mon amitié avec toi. On a qu'à oublier ce qui s'est passé. Je ne sais même pas ce qu'il m'a pris.
Je lui réponds en faisant attention à ce que Dean ne me voit pas.
Message à Shawn, 23h04 :
On oublie tout. Tu es mon ami et je ne veux pas te perdre non plus, mais laisse moi encore quelques jours, s'il te plaît.
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    Une semaine est passée et c'est de pire en pire. Je suis de plus en plus distraite et je m'éloigne de plus en plus de Dean. Je ne suis plus capable de le regarder dans les yeux. Je sais qu'il sent qu'il se passe quelque chose, mais je ne peux pas l'en empêcher. Je ne sais pas comment l'en empêcher. J'ai essayé du mieux que je pouvais, mais je dois me rendre à l'évidence, c'est devenu plus qu'une amitié avec Shawn. Mais je ne veux pas perdre Dean. Malheureusement, je sais que je vais en perdre un, si ce n'est les deux.
- Il faut qu'on parle, Y/N, déclare mon petit-ami. Ça ne peut plus continuer. Je vois bien que tu t'éloignes de moi et ça me tue de voir que je te perds doucement. Qu'est-ce qu'il se passe ? Tu sais que tu peux tout me dire. On peut arranger les choses, me rassure-t-il.
Je n'ai pas la force de me battre, alors je rends les armes directement.
- Je dois t'avouer quelque chose, dis-je, en ne le regardant pas dans les yeux. S'il te plaît, assieds-toi à côté de moi.
- Y/N, tu me fais peur.
- Je comprendrais si tu me détestes après ce que je vais dire. Je suis perdue, Dean, j'avoue d'un coup, les larmes déjà aux yeux. Je t'aime, mais je veux quelqu'un d'autre. Et je ne sais pas quoi faire car je ne veux pas te perdre, ni toi, ni lui.
- Comment ça ? Qui c'est cet autre gars ?
- Il m'a embrassé et depuis je ne peux m'empêcher de penser à lui. J'ai essayé de ne pas y penser car je t'aime, mais c'est devenu plus qu'une amitié avec lui. Et je m'en veux tellement de te faire souffrir. J'ai mon estomac qui se retourne à chaque fois que je te vois car je sais que je te fais du mal. Je te promets que je t'aime Dean.
- Mais pourtant, c'est lui que tu veux. J'arrive pas à y croire ! S'emporte-t-il en se levant. J'ai tout donné dans notre relation et tu veux me larguer pour un mec qui t'a embrassé ? C'est qui ce gars ? Je veux savoir son nom !
- Dean, s'il te..., j'essaye de dire, mais il me coupe.
- Son nom !
- C'est Shawn, je confesse, encore plus honteuse. S'il te plaît, ne lui fais rien. Il s'en veut tellement pour son geste.
- Mais heureusement qu'il a des remords ! Et dire que tu me disais que c'était "juste un ami". J'arrive pas à croire que je te croyais ! s'énerve-t-il en se dirigeant vers la porte d'entrée.
- Où tu vas ?
- Je veux une discussion avec lui.
- Dean, s'il te plaît, je le supplie, en le retenant par le bras. Tu as le droit de me détester, mais ne le blesse pas.
- Et tu le défends en plus ? Il a fichu notre couple en l'air et tu prends sa défense ?! C'est la meilleure ! C'est fini, Y/N, déclare-t-il, durement. Je ne veux plus te voir. Pars.
    Les larmes ruisselantes sur mes joues, je me dirige dans notre ancienne chambre commune et prépare une valise. J'essaye de la faire le plus vite possible malgré mes mains tremblantes. Une quinzaine de minutes plus tard, je suis prête à quitter l'appartement que je partageais avec Dean. Je le retrouve au salon, la tête entre les mains, les épaules bougeant au rythme de ses pleurs. Je l'ai tellement blessé. Je m'en veux tellement. Je le regarde, les joues baignées de larmes. Je n'ose pas dire quelque chose de peur de faire quelque chose de mal, alors je quitte l'appartement en silence, non sans lui lancer un dernier regard. Un an de relation et six mois de vie commune gâchées à cause de moi et de mon égoïsme...
    Je monte dans ma voiture pour me rendre chez celui qui me fait tourner la tête depuis bien trop longtemps. Une fois devant sa porte, je ne sais plus si c'était une bonne idée de venir. Je n'aurais peut-être pas dû le faire. Et s'il ne voulait pas de moi ? Après tout, je lui ai dit que je voulais qu'on reste amis et je me suis éloignée de lui depuis deux semaines. Sur un coup de folie, je sonne à la porte et patiente nerveusement. Il vient ouvrir la porte deux minutes plus tard.
- Y/N ? S'étonne Shawn. Qu'est-ce que tu fais là ?
- Dean a rompu avec moi et je ne sais pas où aller, je dis en désignant ma valise.
- Rentre. Tu peux rester dormir, bien-sûr. Pourquoi vous avez rompu ?
- Je ne pouvais plus me mentir et il voyait que je m'éloignais de lui. Je lui ai tout avoué, j'annonce en ayant de nouveau les larmes aux yeux. Je sais que j'ai dit qu'on était amis et que je voulais qu'on le reste, mais je ne peux m'empêcher de penser au baiser qu'on a partagé.
- Mais, je croyais...
- Je sais, je le coupe, mais c'est parce que je ne voulais pas l'avouer, mais sans que je ne puisse l'expliquer, ça m'a fait réaliser que c'est plus que de l'amitié ce que je ressens pour toi.
- Je voulais que tu me dises ça depuis tant d'années, me dit-il, en caressant ma joue pendant que je souris.
- Et je me suis cachée la vérité pendant tant d'années. Je tiens beaucoup à toi, Shawn, je confesse en me rapprochant de lui.
- Y/N, tu viens de sortir d'une relation, déclare le brun en se reculant doucement. Je ne crois pas qu'on devrait commencer quelque chose maintenant.
- Tu as raison.
- Mais je te promets que je tiens également à toi. On a qu'à attendre, le temps de comprendre tout ce qu'ils nous arrivent réellement et après on verra.
- C'est parfait pour moi.  
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{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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kilfeur · 1 year
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Perdre les miraculous était nécessaire pour son développement (losing the miraculous was necessary for her development)
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Sans Maître Fu pour la guider, elle était toute seule et se mettait une pression énorme pour accomplir son rôle de gardienne. J'ai remarqué que quand Marinette a des problèmes, elle préfère les régler elle même plutôt que de demander de l'aide. Elle a cet état d'esprit du genre "C'est à moi de le faire, on m'a donné cette tâche je dois l'accomplir". Ce qui n'est pas bon pour elle vu son anxiété, elle était déjà anxieuse de base mais dans saison 4 c'était pire. Même Su-Han ne l'aidait vu qu'il était conflit avec elle énonçant ses règles. Dont une que je comprends pas, celle que les gardiens qui doivent pas utiliser les miraculous. Leur rôle est justement de veiller sur les miraculous non ? Pour mieux les protéger ne serait pas mieux de les utiliser pour voir quels sont leurs limites ainsi que leurs potentiel ? Mais Su-Han représente l'enseignement à l'ancienne, il n'écoute pas vraiment les arguments de Marinette, ni même les protestations des kwamis qui voulaient la défendre. Tandis que Marinette représente l'enseignement moderne, où là elle les laisse se promener dans sa chambre et les écoute. Même si elle a pu se soulager de son fardeau en disant sa double identité à Alya, c'est pas suffisant pour faire taire ses angoisses
Dans Kuro Neko, elle pensait qu'elle lui donnait plus de liberté comparé à elle qui a le poids d'être un gardienne sur ses épaules. Mais se rend pas compte qu'en le délaissant, elle le blesse sans le vouloir. Dans Ephémère, Ladybug n'a pas eu d'autre choix que de piéger Chat Noir afin qu'il dise son identité secrète. Oui c'est salaud ! mais on a vu que Marinette aime bien voir la situation sous contrôle et qui si quelque chose d'imprévu arrive, elle panique. Elle dit rien à Chat Noir car elle pensait bien faire. Sans compter son traumatisme de Chat Blanc qui revient deux fois, je peux comprendre pourquoi elle veut pas en parler. Elle a peur de la réaction de son partenaire si il l'apprenait. Mais en vrai ce qui est terrifiant ce qui si elle avait continué comme ça, elle serait devenu comme Gabriel. Ouais la même personne qui cache des secrets et qui veut tout contrôler dans l'ombre. C'est pour ça que je dis que perdre les miraculous était nécessaire pour son développement, comme pour lui faire comprendre que sa manière de faire n'était pas bonne. Elle l'admet devant Chat Noir se demandant pourquoi il est là ? Alors qu'elle a été une horrible gardienne et partenaire envers lui. Mais malgré tout, il reste à ses côtés pour récupérer les miraculous jusqu'au dernier. Même la saison 5, je trouve que la relation entre Ladybug et Chat Noir se reconstruit petit à petit vu que Ladybug dépend plus de Chat Noir comme dans Evolution, où elle le laisse utiliser le miraculous du lapin. Revenant à leur duo d'avant mais différent pour autant.
Without Master Fu to guide her, she was on her own and put enormous pressure on herself to fulfill her role as guardian. I've noticed that when Marinette has problems, she prefers to solve them herself rather than ask for help. She has this mindset of "It's up to me, I've been given this task and I have to do it". Which isn't good for her, given her anxiety, she was already anxious to begin with, but in season 4 it was worse. Even Su-Han wasn't helping her, as he was in conflict with her, laying down his rules. One of which I don't understand, that the guards mustn't use miraculous. Isn't their role to watch over the miraculous ? To better protect them, wouldn't it be better to use them to see what their limits and potential are? But Su-Han represents old-fashioned teaching, and doesn't really listen to Marinette's arguments, or even the protests of the kwamis who wanted to defend her. Whereas Marinette represents modern teaching, where she lets them roam around her room and listens to them. Although she was able to relieve her burden by telling Alya about her double identity, it's not enough to keep her anxieties at bay.
In Kuro Neko, she thought she was giving him more freedom compared to her, who has the weight of being a guardian on her shoulders. But she doesn't realize that by neglecting him, she's unintentionally hurting him. In Ephémère, Ladybug had no choice but to trick Chat Noir into revealing his secret identity. Yes, it's a bitch! But we've seen that Marinette likes to keep things under control, and if something unexpected happens, she panics. She says nothing to Chat Noir because she thought she was doing the right thing. Not to mention the fact that she's been traumatized by Chat Blanc twice, so I can understand why she doesn't want to talk about it. She's afraid of how her partner will react if he finds out. But what's really terrifying is that if she'd gone on like that, she would have become like Gabriel. Yeah, the same person who hides secrets and wants to control everything in the shadows. That's why I say that losing the miraculous was necessary for her development, as if to make her understand that her way of doing things wasn't right. She admits it in front of Chat Noir, wondering why he's here ? When she's been a horrible guardian and partner to him. But despite everything, he stays by her side to get every last miraculous one back. Even in season 5, I find that the relationship between Ladybug and Chat Noir is gradually rebuilt, as Ladybug becomes more dependent on Chat Noir, as in Evolution, where she lets him use the rabbit's miraculous. Returning to their former duo, but different for all that.
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homomenhommes · 9 months
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story: JOURNAL D’UN CUL JOUISSIF / 7
CHAPITRE 7 | LE CASSE-CUL DU MIDI (MON POTE DJ)
Merci pour tous vos messages. Je suis heureux que mes récits vous plaisent et vous excitent.
Donc, pour rappel : En couple depuis plus de quinze ans avec un parfait passif qui, faut l'avouer, est égoïste et ne pense qu'à son seul plaisir. Moi, je suis versatile avec un goût prononcé pour la sodomie passive. Avant lui, je me faisais défoncer le cul régulièrement, voire tous les jours. Aujourd'hui, après quinze ans d'abstinence, je suis tel un puceau qui ne rêve qu'à se faire casser le cul sans retenue par un mec viril dans un coin. Je suis un mec que beaucoup qualifient de bel homme. J'ai un peu plus de 40 ans, mesure 1m70 pour 58kg. Plutôt sportif avec une queue de 19 cm et un bon petit cul rasé. Tous les récits partagés ici sont tous réels.
Le récit que je vais vous raconter ici s'est déroulé bien avant ma rencontre avec le "Fantom" (chapitre 1), bien avant que je ne rase régulièrement mon cul et bien avant que je devienne quasi exclusivement passif. Même si vous allez le constater par vous même, les plans culs avec ce "casse-cul du midi", sont identiques à ceux que j'ai précédemment partagés ici.
Je sais que vous êtes nombreux à être impatients de lire mon récit sur mon pote DJ, alors c'est ainsi que notre rencontre a débuté...
À un peu plus de 23 ans, j'emménage dans mon nouvel appartement au rez-de-chaussée d'une résidence de Lille, après avoir quitté mon tout premier mec avec qui j'avais vécu 5 ans. J'étais également en recherche d'emploi. Je recommençais tout à zéro.
Bien installé dans mon appart, il était temps que je remette sur le marché. Que fait un gay célibataire de 23 ans ? Baiser, bien-sûr. Chose que je n'avais jusque là jamais faite puisque que celui, avec lequel je venais de rompre, était mon premier amour et mon tout premier amant. Je me suis donc créé un profil sur un chat de cul gay. Étant dans la catégorie "beau gosse", j'ai tout de suite eu beaucoup d'admirateurs. Ce qui n'était pas spécialement déplaisant, faut bien l'admettre. Mais je n'avais pas spécialement envie de choses romantiques ou de compliments superficiels sur ma prétendue beauté. J'avais besoin de cru.
Un message a attiré mon attention, un certain DJ, vivant et travaillant à Lille.
"Salut. Je viens de mater des photos et la seule chose qui m'intéresse, c'est ton superbe boule poilu. Si tu veux, je viens te le péter en plan direct tout de suite. Pas d'attache, pas de blabla et pas d'autres rendez-vous. Je ne casse jamais le même cul deux fois de suite, question de principe. J'ai déjà un mec, je n'en ai pas besoin d'un second."
Voilà qui avait le mérite d'être clair et c'est tout à fait ce qu'il me fallait. Après avoir fait un tour sur son profil et y avoir appris qu'il avait 30 ans et qu'il faisait 1m85 pour 78kg sans aucun autre détail si ce n'est une photo de sa belle et grosse bite au garde à vous, je lui réponds.
"- Ok. Ça me va. Mon adresse est (mon adresse). Le code d'accès à l'immeuble est le (code). Je suis au rez-de-chaussée, appartement (numéro).
- Cool. Tu comprends vite toi. Donc plan direct signifie que tu me reçois à poil, à quatre pattes sur ton canapé ou ton lit, le cul bien tendu. Je ne veux rien d'autre, juste ton trou pour me décharger et ciao la compagnie. Je ne veux pas que tu me vois alors ne me regarde pas. Tu n'es qu'un cul-objet que j'utilise pour me vider les couilles. Laisse la porte de ton appart entrouverte. Je ne suis pas loin, j'arrive dans 20 minutes."
Oh merde ! Qu'est-ce que j'ai fait. Je n'ai jamais fait ce genre de truc et là, j'invite un parfait inconnu à me péter la rondelle, en plan direct, expression que je ne connais pas. Pour couronner le tout, je lui donne le code d'accès à la résidence et il me demande de laisser la porte de mon appartement entrouverte. Je suis taré. J'étais à deux doigts d'annuler quand j'ai relu ses messages et que l'excitation a remplacé l'angoisse de la nouveauté. Je me suis dis que ce n'était pas si grave, qu'il fallait que je cesse d'avoir peur et qu'il venait me défoncer le cul, pas m'égorger.
Après avoir entrouvert la porte de mon logement et avoir préparé un flacon de gel au pied du lit, je me fous à poil et m'installe à quatre pattes sur le lit, visage dirigé vers le mur pour être certain de ne pas le voir et cul face à la porte. .
J'attends. Installé ainsi sur mon lit. Le cul bien tendu. Je suis excité mais j'ai peur. J'entends la porte de mon appartement claquer suivie d'un "C'est moi."
C'est lui. Plus le choix. Ce n'est plus le moment de se poser des questions.
"Dans la chambre. Au bout du couloir."
A quatre pattes, je frissonne. Sans doute, causé par un mélange malsain d'excitation et de peur. Sans un mot, l'une de ses mains se pose lourdement sur mes fesses. L'autre semble dégrafer les boutons de son pantalon. Puis je sens sa queue déjà bien bandée claquer sur mon cul. Puis, j'entends comme une forte "inspiration".
"- Tiens, prends ça, me dit-il en me tendant un petit flacon.
- C'est quoi ? Demande-je avec candeur.
- C'est pas vrai. Tu sors d'où toi ? C'est du poppers. Ça va t'aider à te lâcher et à encaisser.
- Je n'en ai jamais pris. Ça marche comment ?
- Ah putain, je suis tombé sur un puceau ou quoi ? Laisse moi faire."
Sur ces mots, il s'est penché sur moi, a bouché l'une de mes narines et a positionné le petit flacon sous l'autre en me demandant de sniffer très fort. Ce que j'ai fait.
Je ne saurai l'expliquer mais je me suis senti partir. Mon cœur s'est mis à accélérer. J'avais chaud. Je tendais beaucoup plus mon cul et je n'avais qu'une seule envie : qu'il me défonce le cul sans attendre.
J'ai donc, à ce moment-là, compris d'où venait cette "forte inspiration", puisqu'à nouveau, après m'en avoir donné, il sniffe son poppers.
"Tiens. Garde le bien en main et n'hésite pas à en sniffer autant que tu veux. T'as l'air de kiffer ça."
Et donc, pendant qu'il s'amusait à claquer sa queue sur mon cul puis sur ma rondelle en l'enduisant de gel, moi je sniffais ce poppers qui deviendra, après cela, un compagnon de baise des plus précieux pendant de longues années.
J'étais comme dans un état second et de plus en plus chaud. Sa bite était lourde et bien dure. Je la sentais glisser entre mes deux belles petites miches. Il s'est mis à caresser longuement ma rondelle avec son gland puis à le taper contre mon trou tels des auto-tamponneuses. Ma rondelle céda sans aucune résistance. Il rit car j'ai une nouvelle fois le poppers sur le nez.
"Putain, je sens que je vais m'amuser avec toi."
Son gland était en moi. Il s'amusait désormais à titiller mon anus avec, en le sortant et le rentrant jusqu'à ce que je m'abandonne entièrement en allongeant le haut de mon corps sur le lit tout en lui laissant mon cul tendu, visser à sa queue, comme pour l'inviter à aller plus profond. J'étais en pleine extase. Je ne bandais pas mais je mouillais de la queue d'une façon impressionnante. Il me pris par les hanches et entra sa queue entièrement en moi. Je lâche un petit cri de plaisir. Il continue sa progression en moi. Il veut être sûr que je sente bien sa grosse queue logée dans les profondeurs de mon cul. Il la laisse, plusieurs minutes, bien installée au fond de mon boule avant de commencer ses vas et viens vigoureux.
J'adore sentir sa queue coulisser dans mon cul. Il sait y faire.
Le voilà qui me détruit littéralement le trou. Il me baise comme jamais je n'avais été baisé par mon ex. Je ne sais pas si c'est le poppers ou tout simplement sa queue, mais je lui suis complètement soumis. Entendre ses petits grognements de mec en rut, me rend fou. Je ne cesse de tendre mon cul afin de sentir sa grosse queue me ravager les entrailles et taper, encore et encore, ma prostate. A mon tour, je grogne comme le chien que je suis devenu après ses coups de bite. Je jouis du cul. Ce qu'en réalité, je n'avais jamais connu (désolé mon ex mais tu ne savais pas y faire).
Il accélère ses vas et viens. Sa bite semble, à chaque coup de reins et choc contre ma prostate, sortir pour immédiatement rentrer dans mon cul. Il me défonce et se défoule dans ce trou qui désormais lui appartient. Je suis au septième ciel. Il est endurant et ce n'est pas pour me déplaire.
Puis, dans un râle bestial, il lâche une énorme giclée de foutre en moi. Je suis épuisé. Il sort sa queue puis, sans dire un mot, me la remet entièrement en moi et continue à me baiser comme s'il n'avait jamais joui. Toujours le nez dans le poppers, je me plie à sa volonté. Il procède à un ramonage vigoureux de mon cul. Puis dans un second râle, il me remplit à nouveau le cul et se retire.
Je suis lessivé et m'allonge entièrement sur le ventre. Je l'entends se rhabiller et, comme à sa demande, je me garde bien de le regarder. Il se penche, reprend le poppers qu'il m'avait confié et s'en va sans dire un seul mot.
Je suis resté là, un long moment, à savourer, encore et encore, les assauts de cet étalon en visitant mon intimité à l'aide de mes doigts qui ont découvert un trou ouvert et palpitant. Étrangement, alors que je n'avais pas joui de manière conventionnelle, je n'avais pas envie de me branler. Jouir du cul m'avait comblé bien plus que je ne l'aurais envisagé.
Le lendemain vers midi, je reçois un message de sa part.
"- Je ne suis pas loin de chez toi. Mets toi à quatre pattes, j'arrive pour te baiser.
- Ok. Je suis chez moi. Mon cul t'attend."
Et comme la veille, il m'a baisé comme un véritable mâle Alpha. Mais, à l'encontre de tous ses principes, après m'avoir défoncé, il m'a demandé s'il pouvait prendre une douche car il ne pouvait pas retourner au travail en sueur. J'ai donc eu le droit de le regarder. C'était un mec de trente ans, bien bâti, cheveux châtains clairs, yeux bleus, avec une queue à se damner et un cul de footballeur.
Après sa douche, nous avons pu discuter un peu.
"Tu sais, je ne devrais pas être là, ni même prendre le temps de discuter avec toi. Ce n'est pas dans mes habitudes. Mais je dois avouer que ton cul a quelque chose en plus. Ne me demande pas quoi, je ne sais pas moi-même mais je ne vais pas pouvoir m'en passer. T'es beau gosse, tu le sais. Mais tu n'as pas conscience du pouvoir que ton cul a. En te défonçant comme je l'ai fait hier, tes gémissements virils m'ont carrément excités. On voit que t'aimes ça. Et moi, j'ai adoré baiser un bâtard et non une salope."
Après cela, nous avons convenu qu'il pouvait disposer de mon cul quand il voulait sur le simple SMS "j'arrive pour te baiser le cul". La plupart du temps c'était à l'heure du midi mais il lui arrivait de demander mon cul le week-end ou, plus rarement, la nuit.
Il a découvert l'évolution de mon cul durant les cinq années pendant lesquelles il s'en est servi. Mon envie de porter des jockstraps ou le moment où je l'ai rasé. Il l'a immédiatement adopté en précisant que cela n'enlevait rien à ce côté viril et bâtard qu'il aimait lorsqu'il me baisait.
Parfois nous discutions autour d'une bière après qu'il m'ait baisé. Jamais de choses personnelles, il nous l'avait interdit. Il ne parlait uniquement de mon cul et de ses envies. Telles que me faire porter un vieux jean, craqué au niveau du cul ou, encore, un slip qu'il pourrait déchirer avant de me défoncer comme une bête (d'où mon attrait pour les jockstraps).
Je n'ai jamais su d'où venait ce DJ. Était-ce ses initiales ? Son métier peut-être ? J'en doutais car le midi, il venait en costard cravate pour me faire le cul. Mais, à vrai dire, je m'en foutais. Il était mon baiseur et c'était bien suffisant.
Lorsque j'ai rencontré mon mec et que je lui ai annoncé que c'était sérieux. Il avait proposé que l'on garde contact pour me défoncer le cul régulièrement. Con, que j'étais, j'ai refusé. Il m'a donc demandé un après-midi pour m'éclater le cul une dernière fois avant que je n'emménage avec mon copain. Il en a bien profité, le salaud, puisqu'il m'a cassé le cul tout l'après-midi. Il a joui quatre fois en moi.
En me quittant, cette fois-là, il m'avait prédit que je ne pourrai jamais me satisfaire d'être un actif à plein temps car j'avais un cul fait pour les bites, un parfait moule-bite.
Aujourd'hui, je regrette de ne pas avoir accepté de devenir son cul particulier.
En me remémorant cette période de ma vie et tout particulièrement cette baise bestiale régulière avec mon pote DJ, j'ai un léger pincement au cœur car sa grosse queue me manque. Il savait s'occuper de mon cul que je lui avais confié pendant cinq ans.
Je me dis que notre rencontre aurait dû prendre la place du premier chapitre, car en la rédigeant, je me suis rendu compte que c'est lui, et lui seul, qui a fait de mon cul, un vrai cul jouissif. Il l'a élevé dans ce but, l'a formé à coup de bite.
A très vite pour de nouveaux récits réels sur mon cul.
LE CUL JOUISSIF
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le-panda-chocovore · 1 year
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Bon du coup j'ai repris Grey's Anatomy, et Izzie est INSUPPORTABLE ???
Sérieux dans mes souvenirs elle avait quand même de bons côtés, certes elle était conne mais elle restait appréciable genre j'avais de la sympathie et de la compassion pour elle ! Mais là . . . Mon dieu mais j'ai envie de la GIFLER à chaque fois qu'elle ouvre la bouche ???
Elle est putain d'égoïste et égocentrique et complètement invivable !! La manière dont elle parle de Callie, comment elle crache publiquement sur le mariage de George en mode c'est de la merde alors qu'il est son MEILLEUR AMI et qu'il lui a dit qu'il est AMOUREUX ?! Nan mais OK ne pas être d'accord avec une décision c'est une chose, mais montre un minimum de respect meuf, surtout quand tu prétends tenir à une personne genre ? Quand elle s'est fiancée à Denny au bout de genre 2 semaines alors que c'était son fucking patient, elle aurait cablé si les gens avaient parlés de lui ainsi en fait.
Et puis là avec Alex, elle fait la gueule parce qu'il est plus intéressé par elle et qu'il date d'autres meufs. "Non je voulais pas de toi mais ça ne veut pas dire que je veux que tu sois avec quelqu'un d'autre" MAIS TA GUEULE ??? T'as pas le droit de demander ça aux gens ??? T'as littéralement insulté Alex quand il était jaloux de Denny et maintenant que ton fiancé est dead tu veux le récupérer ? Mais quel putain de foutage de gueule !
Y a aussi sa curiosité morbide là, à harceler Cristina de question sur son ex qui est de visite à l'hôpital. Izzie et Cristina ont JAMAIS été potes, elles se supportent pas toutes les deux depuis le début, la SEULE personne à qui Cristina s'ouvre c'est Meredith, et encore, elle lui dit pas toujours tout directement. Donc Izzie là elle croit vraiment qu'elle est légitime à demander des infos sur sa vie sexuelle comme ça ?? Puis elle rigole comme une demeurée genre c'est marrant de se moquer de l'incapacités des autres, PTDR.
C'est vraiment une grosse pétasse, qu'elle aille se faire foutre.
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semena--mertvykh · 1 year
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Gros Big Up - suite
@ Lolotte, qui me suggère "d'investir d'autres valeurs que le travail, comme la famille ou le couple ?" = >
Chère Lolotte, tu vois la mère et la sœur d'Hillary Swank, dans "Million Dollar Baby" ? Bon : si tu avais grandi avec ce genre là, l'idée "d'investir la famille"... voilà, voilà.
j'ai voulu mettre un gif pour te répondre, mais je ne veux pas transformer cette histoire en plaisanterie parce qu'il m'a fallu des années pour réparer les dégâts. Des années durant lesquelles j'aurais bien voulu faire autre chose : aller à l'Université, par exemple, devenir la scientifique que je rêvais d'être à 15 ans, fonder une famille, me marier, tout çà...
Quant à investir "le couple", je ne demande pas mieux. Un jour, peut-être, un miracle va se produire. Un jour, peut-être, les dieux me prendront en pitié et lèveront la malédiction ; car Céline avait raison, il est plus facile de renoncer à la vie que de renoncer à l'amour. En attendant, je fais comme tout le monde, je joue avec les cartes qu'on me donne.
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J'investis la "valeur travail", comme tu l'appelles, parce que je pense qu'à la fin, c'est çà qui reste : la fierté d'avoir fait un bon travail. Et çà doit tenir tout seul, comme raison.
Et je suis sûre que Tyler, the Creator a vécu la même chose, avec "IGOR" : d'abord il tombe amoureux, l'élu de son cœur ne le lui rend pas - ou pas bien, pas comme il faudrait - alors il pleure des larmes de sang, et puis un jour il rentre en studio parce qu'il en a marre de soûler son entourage ; et un soir, sur le chemin du retour, il s'aperçoit qu'il est en train de faire quelque chose qui tient la route. Que le disque ait du succès ou pas, à ce stade, reste accessoire. C'est un bon travail parce que Tyler s'est donné du mal pour que ce le soit, il a été honnête avec les autres et exigeant avec lui-même. Et si j'ai plongé dans son album avec un tel enthousiasme, si je me suis sentie aussi proche d'un Afro-Américain bisexuel de 30 ans, c'est bien parce que le sentiment amoureux finalement est un peu le même partout sur la planète, et l'art sert à nous le dire.
@ leroiestnu, qui m'interpelle : "'Pourquoi tu m'as dit l'autre jour que ton blog n'était pas un journal intime ? Pourquoi tu ne veux pas admettre la réalité ?" =>
Bonne question, mon ami : pourquoi je prétendrais être la mieux placée pour caractériser ma forme, puisque c'est moi qui l'ai créée ?
Quand tu écoutes une chanson de hip-hop, les gars racontent leur vie, c'est souvent très salace, c'est saturé de samples de chansons, d'extraits de film, de discours, de sons non musicaux... Tu n'appellerais pas çà un journal intime, tu appellerais çà le summum de la virilité. Parce que, dans le jugement collectif, journal intime = truc féminin = idiot, narcissique et superficiel.
Pourtant, ces deux formes sont très proches l'une de l'autre.
Pour ne rien dire du désir, de la douleur, du grand amour, de la frustration, de la honte, du chagrin... dont j'ai repeint ce blog ; les journaux intimes des femmes en sont remplis, et - oh ! surprise - ces expériences humaines majeures sont constitutives de l'ethos de toutes les musiques qui ont fait avancer le schmilblick depuis un siècle : blues, jazz, rock, soul, disco...
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