Comment le grand maitre marabout peut vous aider ?
Votre grand voyant iléwolé vous apporte des solutions à tous vos problèmes, il met tout en œuvre pour obtenir les meilleurs résultats et votre entière satisfaction. Les résultats des travaux affectifs sont visibles dans les 48 heures après qu’il commence vos travaux. Cependant, si vous êtes amoureuse de votre patron, du mari ou de la femme de votre frère, vous êtes amoureuse d’un homme marié n’hésité pas.
Alors, étant un des plus grands maîtres marabouts du monde entier, je peux vous aider à retrouver l’amour. Enfin, je vous assure la conquête amoureuse si votre partenaire vous délaisse, ne vous touche plus, vous ignore et vous abandonne…Vous êtes violenté(e)s, en pleins divorce et vous souffrez de la situation.
✓ Amour
Marabout Iléwolé saura vous aider à reconquérir l’être perdu ou trouver l’amour et vous sortir de votre solitude. Spécialiste des problèmes affectifs et sentimentaux et le retour de l'être aimé même dans les cas les plus désespérés.
✓ Chance
Transformer toute situation en votre faveur. Débarrassez-vous des ondes négatives qui font obstacles à votre réussite et crée autour de vous les conditions favorables à l’attirance de la chance dans tous les domaines : professionnels, affectifs familiaux, privés,...
✓ Travail
Vous êtes au chômage ? Vous avez des problèmes avec votre employeur ? Cheikh Sidina peut vous venir en aide afin de régler définitivement vos problèmes. Ces difficultés ne seront plus qu’un mauvais et lointain souvenir.
✓ Désenvoûtement
Puissant désenvouteur, Marabout Iléwolé vous débarrassera des méfaits et vous protégera à jamais de la personne malveillante responsable de ces soucis. Il purifie les lieux hantés et les débarrasse définitivement des forces malsaines.
✓ Protection
Marabout Iléwolé vous protégera vous et votre famille, et resserrera vos liens en cas de rupture familiale. Ne restez pas avec vos souffrances, consultez le marabout, il vous trouvera la solution et vous mettra sur le chemin de la réussite.
✓ Guérisseur
Génie de l'ésotérisme, marabout Iléwolé détient les secrets des bienfaits des plantes et racines thérapeutiques. Redoutable guérisseur africain, ses acquis thérapeutiques lui ont été transmis par ces aïeux et vous aide à retrouver le bien être.
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Transcript of the French dialogue in IWTV S2 Ep6 - Like the Light by Which God Made the World Before He Made Light
Attack at Madeleine’s shop:
[The song the attackers are singing here is the "Chant des Girondins", which was the short-lived French national anthem under the Second Republic (1848-1852). Here are the lyrics sung in this portion of the show:
"La France appelle ses enfants,
– Allons dit le soldat, aux armes !
C’est ma mère, je la défends.
Mourir pour la Patrie"
Which translates to:
"France calls to its children,
- Come, says the soldier, to arms!
She is my mother, so I shall defend her.
To die for the motherland"]
Woman attacker: Bonsoir, Madame Éparvier !
Madeleine: Allez-y ! Faites vos dessins très ingénieux !
Bald attacker: Arrête de les laver et on arrête de revenir, hein !
Woman attacker: On l’a ! On l’a, la pute !... Madeleine est pas bien, elle a attaqué, t’as vu ?... Crie tout ce que tu veux, hein. Tes voisins s’en fichent.
Madeleine: Arrête ! Non !
Bald attacker: On va voir ce qu’elle a donné à l’Allemand !
Madeleine: Tu suces du sang… T’es un v…
Armand and Madeleine discuss her turning:
Armand: Tu aimerais être l’une des nôtres ?
Madeleine: Non, je veux être avec elle. Et toi, tu peux aller te faire foutre.
Armand: They always think they’re different. Stronger. Superior. Jusqu’à ce que la solitude arrive.
Madeleine: Monsieur, ça fait longtemps que je suis toute seule.
Armand: Tu seras un monstre.
Madeleine: Si tu fais de moi un monstre, tu feras que me transformer en ce que je suis déjà.
Armand: Tu vas manger des humains comme tu manges ta pomme ? Un par nuit, aucune pitié pour l’enfant, la mère, l’invalide ?
Madeleine: Je suis un humain et j’aime ma nourriture. Quand je serai un vampire, est-ce que j’aimerai ma nourriture ?
Armand: Comment choisiras-tu qui tuer ?
Madeleine: Je tuerai sur les bords. Les faibles d’abord, et occasionnellement je me livrerai à mes appétits.
Armand: Et quand les derniers vestiges de ton époque auront disparu ? Les voitures, les coiffures, les croyances ? Comment continueras-tu ?
Madeleine: Jeune homme… There’s been a war. Claudia! He thinks there’s something left of my era!... Mais quel con ! [not captioned, but she’s basically calling Armand a dumbass.]
Armand: Comment vas-tu survivre à l’éternité ?
Madeleine: L’homme qui vivait en face… La Gestapo est venue le chercher. On a entendu un coup de feu quand la voiture a tourné au coin de la rue. Et la femme qui habitait plus bas, elle est morte de faim dans sa chambre. Elle portait des vêtements très chics. Elle devenait de plus en plus maigre jusqu’à ce qu’un jour, je regarde par sa porte et elle était là, un squelette dans des vêtements chics. Parfois, je le voyais dans leurs yeux, quand ils étaient sur le point d’abandonner. Et moi, j’ai survécu. Moi, j’ai suivi mes instincts. J’ai trouvé l’amour dont j’avais besoin, même quand c’était un amour dangereux. And I have again.
Armand: Et que feras-tu dans quelques décennies quand elle se jettera dans le feu ? Parce qu’elle le fera.
Madeleine: Peut-être qu’elle le fera pas. T’en sais rien. Peut-être que je suis ce dont elle a besoin pour survivre.
Louis and Armand at the Sacré-Cœur:
Okay, this is a subtle one.
While Loumand kiss on the steps of the Sacré-Cœur, you can hear a man taunting them in the background.
He says: "Hé ! Mais vas-y hé ! Mais suce-le, tant que t’y es ! Sale pédé !"
Which translates to: "Hey! Well go on then! Why don’t you suck him off while you’re at it! Fucking faggots!"
This explains why Louis turns his head around for a second after kissing Armand...
Madeleine’s turning:
Madeleine: J’arrive pas à croire que mon dernier verre de vin soit un Chardonnay. J’aurais dû en prévoir plus.
Madeleine: La pièce tourne…
That's it for this episode! See you in a week for the next one!
Ep. 2 here
Ep. 3 here
Ep. 4 here
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Le besoin d’un amour transcende toutes les époques, tous les pays, tous les âges, tous les sexes..À l’époque, il y avait maints dangers, dont le sida. Mais on n’avait pas peur. On était plus fous, plus insolents, plus inconscients, moins soucieux de notre représentation- Le bonheur ne dépend pas du temps. Mais il n’empêche que choisir sa vie, c’est choisir son bonheur. Nous sommes dans l’ère du ‘paraître toujours plus jeune’ malgré l’âge que nous avons. C’est un état d’esprit culpabilisant, comme si avoir son âge était une honte… Les femmes doivent se libérer de certaines valeurs dont nous abreuve la société. Car prendre des années, c’est aussi gagner en connaissance --*La maturité devrait nous permettre de dépasser ces peurs. C'est l'amour qui devrait gagner, nous faire aimer la personne encore plus, malgré le temps, ou plutôt grâce au temps. Je suis convaincue que, si l'on vivait à 100 % à tous les âges de sa vie, alors, à 50 ans, on n'aurait aucune envie de revenir en arrière Parce que, à 20 ans, On fait connaissance avec ses premières émotions. Le sentiment que tout est possible ne nous quitte pas. Je pense que c'est quelque chose qui appartient à l'être humain, du début à la fin de sa vie. C'est notre trésor, et c'est à nous de l'entretenir. C'est aussi un état d'esprit. Comme on travaille la souplesse d'un corps qui, en vieillissant, a tendance à se rigidifier. C'est la même chose pour la pensée et le désir. A nous de nous ouvrir, de lire, d'échanger, de garder cette vibration intérieure, se réserver du temps à soi. Enfant, on grandit avec ce rêve-là. On a tous envie, au fond de soi, d'un nid d'amour, de chaleur, de protection et de communion. Et partager cette aspiration est l'une des plus belles choses qui soit. A condition que ce soit un amour vrai, honnête et libre. Qu'on ne s'accroche pas à l'autre comme à une bouée de sauvetage, par dépendance ou par convention sociale
Les Amandiers. Conversation entre présent et passé.
film de Valeria Bruni Tedeschi
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Changement
C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue. Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas être en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna. L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
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