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#fais le dans ton style
restonscalmes · 1 year
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DTIYS challenge (encore ♥)
D’après le challenge de @sarahconradsen
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pigeonneaux · 10 months
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HALO ! :> girl j'ai retrouvé un dessin que t'as fais pour le ssk20. tu te rends compte a quel point tu t'es amélioré ou pas ? c'est magnifique ce que tu fais <3 I mean look je déterre ca
https://www.tumblr.com/pigeonneaux/638679312077324288/cadeaux-de-no%C3%ABl-pour-lehoedagan-pour-le-secret?source=share
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efteris · 3 months
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If I see more hazbin hotel on my dash I'm gonna have a stroke
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orageusealizarine · 4 months
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des déclarations d'amour... je n'en fais pas, j'en fais peu. des déclarations d'aimer. lettres mortes aux émotions. des déclarations de vie, des lettres de désir, des murmures d'amour. des promesses de douceur, des baisers d'attendrissement, des élans de reconnaissance.
tout. tes mains. tes yeux. tes lèvres. tes cheveux. tes pieds. tes épaules. tes paumes. ton ventre. ton visage. ton sexe. ta tendresse. - c'est pas très original. énumérer tout ce que je t'aime. et en perdre le style, en trembler tous mes mots... mais même en écrivant médiocrement, je t'aime.
même en étant l'ombre de nous-mêmes et même en perdant l'ivresse de nos échanges et même encore en étant en-deçà de ce que tu m'as fait être. plus que moi-même - entre tes mains, tes mots. et même entre mes larmes et même dans mes sourires bêtes
et même indigne de ta bonté, même innocente, même pure - dans mes banalités ou même quand grâce à toi j'atteins ma sainteté... : je t'aime.
c'est pauvre, c'est plat, c'est stéréotypé - de te dire que je t'aime. en mots si simples. du mauvais goût. et je pourrais te le dire de mille autres façons, dans un registre plus lyrique, avec plus de poésie ou d'extraordinaire, mais ce serait mentir - encore.
aimer est médiocre et banal. alors je ne déclare pas d'amour. je ne dis pas t'aimer, je n'en fais pas des lettres, ni des discours exaltés. et pourtant, je devrais. quand bien même tu n'aimes pas l'ordinaire. quand bien même puisque je t'aime.
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soeurdelune · 10 months
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Hello <3 Je me posais deux petites questions par rapport à ton travail du coup je me permets de slide dans tes dm pour te demander. Est-ce que ça te dérange si des gens utilisent tes colorings pour leurs avatars ? Et qu'est-ce que tu penses des personnes qui s'inspirent de ce que tu fais ? En tout cas, merci à toi pour toutes les merveilles que tu nous offres !
bonjour/bonsoir!
je réponds dans l'ordre:
si tu parles des colos que je mets à disposition sur mon blog de graphisme (@cavalierfou), non ça me dérange pas qu'ils soient utilisés pour faire des avatars, ils sont là pour que les gens s'en servent!
ta deuxième question, j'avoue qu'elle me met un peu mal à l'aise mdr mais je vais essayer d'y répondre de façon un peu détaillée pour bien exprimer ma pensée
je considère qu'il y a inspiration et "inspiration", en soit on s'inspire tous de quelque chose, l'originalité absolue ça n'existe pas (moi par exemple j'espère que mes inspirations sont assez évidentes, je dois beaucoup aux arts des 16ème à 19ème siècles et les affiches publicitaires du 20ème siècle) – y a aucun mal à s'inspirer de ce qui existe déjà tant que tu apportes ta propre touche, ton propre style
et ce que j'entends par style c'est, selon moi, l'ensemble réunissant la manière de composer, de traiter les couleurs, et les thèmes/symboles de prédilection
s'inspirer de ce qui existe dans le très riche patrimoine artistique de l'humanité pour grapher, je trouve ça normal et attendu
ce qui me pose problème, c'est quand on "s'inspire" (et par là, j'entends "copier") le même style que quelqu'un, à savoir l'ensemble de: sa manière de composer, sa façon de traiter les couleurs et ses mêmes thèmes et symboles de prédilection
donc réponse courte:
si quelqu'un veux s'inspirer des arts des 16ème à 18ème siècles et des affiches publicitaires du 20ème comme je le fais pour grapher, GO FOR IT, je suis pas la première ni la dernière à le faire, et il y a plein de façon de procéder, c'est pas les possibilités qui manquent
mais si quelqu'un veut employer les mêmes compositions, les mêmes couleurs, et les même thèmes/symboles de prédilection que moi (tout en même temps) sous prétexte que c'est de ""l'inspiration"", c'est non, je suis pas ok avec ça.
j'espère avoir répondu correctement à tes questions!
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youre-ackermine · 5 months
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Coucou Val ! Ça va ?? 💖
Bon, je n’ai pas vraiment de questions sur la France xD Néanmoins, j'adore l'initiative donc je me suis dit… pourquoi ne pas parler de Levihan avec une touche française ? ;)
Sur ce (si tu veux), je me demandais…
As-tu des chansons francophones qui te font penser à Levihan ? Tu peux nous les partager ?
Merci et gros bisous !
ENG translation:
Hi Val! How are you? 💖
Well, I shouldn't have questions about France xD But I love your idea so I thought… why not talk about Levihan with the french touch ? ;)
On that note, I was wondering…
Do you have any French songs that remind you of Levihan? Can you share them with us?
Thanks and big kisses!
Coucou Flo ! Je vais très bien, et toi ?
Merci de participer à cette journée (désolée de répondre aussi tardivement d'ailleurs 🫣)
Soyons honnête, j'écoute peu de musique française/francophone & il s'agit souvent de vieilleries! Du coup, je me suis creusé la tête pour trouver quelques chansons qui m'évoquent Levihan. Certaines sont déjà dans ma playlist Levihan qui dure 24h, j'y ajouterai probablement les autres.
J'espère que ça te plaira !
Bonne soirée & gros bisous 💕
Avertissement: pour la plupart, c'est pas mon style de musique habituel 😄
(Ia première est ma préférée: après la guerre, Livaï pense à Hansi 😭)
English translation:
Hi Flo! I'm doing very well, what about you? Thanks for your participation to this event (sorry for the late reply 🫣)
Let's be honest, I don't listen to much French/French-speaking music & it's often old stuff! So, I racked my brains out to find a few songs that remind me of Levihan. Some are already in my 24 hours long Levihan playlist, I will probably add the others to it.
I hope you'll like them!
Have a nice evening & big kisses 💕
Disclaimer: most songs are not in my usual style of music 😄
(the first one is my favourite: post war, Levi remembers Hange 😭)
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soletear · 4 months
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bonjouur ♡ j'espère que tu vas bien! je fais un peu partie des fans de l'ombre de tes créas (<3) et je me permets aujourd'hui de me lancer en te proposant le feat d'un perso qui me trotte en tête depuis quelques temps et que j'aimerais bien jouer, je pense que ton style irait superbement bien avec alors je te propose drew starkey, si jamais il ne t'inspire pas il n'y a aucun soucis évidemment!! voici sa galerie imgbox(.)com/g/9LYCNoIK6o, merci d'avance <33 et bon week-end ♡
hello toi 💜 désolé pour le retard, j’ai été prise par le temps mais je ne t’avais pas oublié 👀 j’ai été trop contente de découvrir (enfin redécouvrir parce que je l’avais déjà vu mais un peu oublié) cette bouille, et de pouvoir graph dessus ! sache que ce n’est pas impossible que je graph à nouveau dessus dans le futur héhé en attendant, j’espère que les avatars te plairont, et merci pour ta confiance ✨
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code-lab · 2 years
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WHAT REMAINS DESIGN (1/?)
Trouver l'inspiration et le ton
Ok alors, un peu de passif : avant que @frenchandfurious vienne me dire "j'ai encore envie de post apo puis TLOU arrive", on s'est amusée pendant 2/3 mois sur un projet de SF. Projet pour lequel j'avais déjà une maquette déjà bien avancée (que je posterais un jour). Donc faut me sortir un peu le nez des belles images spatiale et d'un thème sombre pour un univers désolé/abandonné.
Image pour une bannière ou un fond
Avant même de savoir sur quel genre graphique je vais partir, Margot me fait une collection d'image issu de Unsplash qui donneront le ton. On a toutes les deux la flemme de faire une bannière élaborée et moi je jure que par les design de forum avec une image simple.
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Idée de structure
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Après, on cherche des inspirations en web design. Moi je regarde ce qu'il se fait du côté de TLOU (UI du jeu, site concept...) et Margot plutôt du côté de Hunger Games, notamment du côté du studio Waston DG qui a toujours été une énoooorme source d'inspiration.
On se donne des indications et on dessine des trucs d'enfant de 8 ans qui découvrent l'anatomie du corps humain.
Il s'agit pas de copier exactement. C'est repérer des petits élément d'interface qui pourraient fonctionner sur Forumactif : une barre de lien rapide, boutons de connexion, PA, ...
Inspiration de forum
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Margot fait le tour des forums aussi, voir ce qu'il se fait, ce qui marche bien ou non, des idées à reprendre (on a pas pour ambition de réinventer la roue).
On fait attention de tout sauvegarder, au passage. Si une idée nous plait réellement, on veut pouvoir demander aux créateurs si c'est ok et créditer plus tard.
Style graphique
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De mon côté je précise mes idées. Je commence à accepter mon obsession pour le brutalisme et l'anti-design et par chance, c'est des styles qui irait très bien à un univers post-apo. Je veux à tout prix éviter de tomber dans le style grunge qui serait l'option facile mais veillotte.
Premières bases
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Je me fixe sur une image (celle-ci à un côté abstrait tout en évoquant la nature et une sorte de moisissure, très dans le thème). Je bidouille des trucs avec la seule idée en tête que je veux quelque chose d'épuré (par flemmardise).
L'album ENSWBL de Foals a un mood parfait pour le contexte alors je m'amuse avec le titre de l'album. Puis d'un coup, pendant qu'elle m'observe sur figma (on peut stalk les gens bosser sur ce truc, a bless and curse), Margot me dit "C'EST BIEN CA".
Jusqu'à la fin de la maquettage, la deuxième bannière sera celle utilisé 💀 non centré, pas travaillé, mais eh y a l'idée.
Et c'est assez pour commencer ce que je déteste le plus : les catégories.
WHAT REMAINS
A noter : je fais ça seulement pour partager mon processus de conception (un peu overkill et loin d'être parfait). J'essaye juste de désacralisé un peu l'idée qu'on se fait des designs et partager quelques pistes de réflexion ❤
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Coucou !! Je viens de faire un petit tour sur ton blog car ça faisait un moment que je ne t'avais pas vue dans ma tl ET je viens de découvrir que tu bossais sur le projet d'animation Amélie ou la métaphysique des tubes : je ne savais pas du tout qu'un film d'animation allait sortir et j'avais bcp aimé ce bouquin quand je l'avais lu (j'aime bien ce que fait Amélie en général), donc je suis allée voir le trailer. Je suis ! surexcitée !! L'animation est vraiment chouette, j'ai hâte de voir ce que ça donne et de voir ton propre travail là-dedans :D Je crois que je t'avais déjà laissé un message y a lgts mais du coup, voilà, j'aime tjrs bcp ce que tu fais et super contente pour toi que t'aies l'occasion de bosser sur des projets qui - à mes yeux en tous cas - ont l'air super intéressants et créatifs 😌🫶
Ooh merci 🥺🥺🥺 honnêtement je sais pas si ce que je fais va finir dans le projet final mais je suis déjà heureuse d'y participer!! Et l'art style me plaît beaucoup ☺️
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fdelopera · 2 years
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Welcome to the 6th installment of 15 Weeks of Phantom, where I post all 68 sections of Le Fantôme de l’Opéra, as they were first printed in Le Gaulois newspaper 114 yeas ago.
In today’s installment, we have Part III of Chapter 2: “La Marguerite Nouvelle” (“The New Marguerite”), as well as Part I of Chapter 3: “Où pour la première fois, MM. Debienne et Poligny donnent, en secret, aux nouveaux directeurs de l’Opéra, MM. Armand Monchardin et Firmin Richard, la véritable et mystérieuse raison de leur départ de l’Académie nationale de musique” (“Where for the First Time, MM. Debienne and Poligny Secretly Give the New Managers of the Opera, MM. Armand Moncharmin and Firmin Richard, the True and Mysterious Reason for Their Departure from the National Academy of Music”).
This section was first printed on Thursday, 30 September 1909.
For anyone following along in David Coward’s translation (the link is to the Kindle edition on Amazon US), the text starts at Christine's line, “Perhaps when I'm feeling a little better, if that's all right with you” in Chapter 2 and goes to, “In choosing the ideal valedictory programme they had been advised by everybody who was someone in the world of society and the arts who had now foregathered in the foyer of the corps de ballet” in Chapter 3.
In this section, there are some significant differences between the standard 1st edition text and the Gaulois text. This includes several paragraphs' worth of description of why the old managers decided to leave the Opéra. There are some other minor but important passages in the Gaulois text that were omitted from the 1st edition, which paint a fuller picture of the events in question:
1) In the Gaulois text, Christine has an extra line in Chapter 2: « Je vous remercie, docteur !… J’ai besoin de rester seule… Allez-vous-en tous ! je vous en prie… laissez-moi… Je suis très nerveuse ce soir… il ne faut pas me contrarier.»
Translation:
"I thank you, doctor!... I need to be alone... All of you go! I beg you ... leave me... I am quite on edge this evening ... you mustn’t argue with me."
2) In this Gaulois text, the following paragraph was added after Erik's line, “The angels wept tonight.” This added paragraph contributes to Leroux's pseudo-journalistic style, and also lets us know how Leroux's narrator found out about what Erik said to Christine after the gala — the conversation was part of what Raoul reported to Faure, the examining magistrate:
— Ton âme est bien belle, mon enfant, reprit la voix grave d'homme et je te remercie. Il n'y a point d'empereur qui ait reçu un pareil cadeau! Les anges ont pleuré ce soir. »
Ces phrases bizarres ont été plus tard rapportées textuellement à M. le juge d'instruction Faure par celui qui les entendit et je ne fais ici que transcrire les feuillets d'un interrogatoire judiciaire qui a été publié, lors de l'affaire de Chagny, dans toute la presse et dont j'ai trouvé une coupure du reste dans les papiers du Persan.
Translation:
“Your soul is very beautiful, my child,” replied the man’s deep voice, “and I thank you. No emperor has ever received such a gift! The angels wept tonight.”
This strange conversation was later related verbatim to the examining magistrate, M. Faure, by he who heard it, and here I have only transcribed the pages of a judicial examination which was published in all the newspapers at the time of the Chagny case, and of which moreover I found a clipping amongst the Persian's documents.
3) The Gaulois text contains the paragraph highlighted in red above, which was omitted from the 1st edition. This paragraph describes some of the failures of the previous management run by Debienne and Poligny, which Erik learned about and used to blackmail M. Poligny into giving him 20,000 francs per month. This passage emphasizes that Debienne and Poligny had decided to quit their jobs as managers not just because Erik had made their lives untenable, but also because there had been a public scandal. Erik happened to know more about this scandal than what was published in the papers, and so rather than have him get them into even more trouble, they gave into his blackmail, and then soon after decided to leave the Opéra altogether. I have provided a rough translation of this paragraph below:
Paris had not forgotten what these two men had done for it in the difficult years where it was not enough to give toil and life to a work for it to succeed, but where it was above all necessary, at a time which still suffered from all the hardships of the war, to make the greatest of sacrifices, that of money. On this occasion, M. Debienne showed himself to be so generous with his own fortune, and M. Poligny so lavish with that of other people, that for several years the public could be deceived about the prosperity of that noble enterprise. Soon, unpleasant murmurs reached the awareness of an administration which, for having been as extravagant as artistic, felt it difficult to make ends meet, as we still say in our vulgar speech. In high quarters, people were astonished; the government deigned to become concerned and the Government Commissioner had the audacity and imprudence — encouraged as he was by the Under Secretary of State for Fine Arts — to allude to a situation close to the Managers which was in short in no way desperate, thus regrettable words were exchanged, which made relations difficult between the offices of the National Academy and the Ministry. Each side made life miserable for the other, the "ladies" began to meddle in the affair, and life became intolerable. And above all, because of the substantial commitments made at the beginning of the administration, money became tight. The daily political newspapers became hostile and, making unflattering comparisons, never missed an opportunity to pine for the renowned previous management. In spite of the comforts which were otherwise lavished upon them, MM. Debienne and Poligny were quite disheartened when the flop of the ballet, Endymion, for which they had nevertheless made the greatest of sacrifices, looked like it would force them to beg for mercy. In fact, three months later, they gave up their privileges and conceded their place to two powerful, magnanimous figures, MM. Armand Moncharmin and Firmin Richard.
4) Minor differences in punctuation.
Click here to see the entire edition of Le Gaulois from 30 September, 1909. This link brings you to page 3 of the newspaper — Le Fantôme is at the bottom of the page in the feuilleton section. Click on the big green arrow buttons towards the top of the webpage to turn the pages of the newspaper, and click on the magnifying glass icon at the top left to zoom.
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lalignedujour · 1 year
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La photo d'une petite fille en fond d'écran. Une application de calendrier. Une liste de tâches avec des codes couleur. Des conversations avec des liens vers des documents sérieux.
C'est ce que je vois dans son téléphone. Je suis voiture 2 place 76 dans le Paris-Lyon. Côté fenêtre. Juste derrière lui. Ma mère m'a retiré mon téléphone à moi. Et j'en avais un peu marre de lire Le Grand Maulnes. Je le finirai chez mon père. Le paysage de novembre, j'aime bof, alors entre les sièges je regarde le téléphone du gars devant moi.
Je prends toujours le train du lundi 7h52 la deuxième semaine de chaque vacances scolaires. L'année prochaine, j'aurai le droit de le prendre tout seul, mais là, c'est encore ma mère qui m'accompagne. Elle pense que ça me rassure. Je dirais que c'est pas nécessaire, elle m'agace parfois et je préfèrerais être seul. Mais peut-être qu'en fait elle a raison. Peut-être que ça me fait du bien quand même. Aux vacances de Noël, je vais lui demander de prendre le train seul. Pour voir. Ou peut-être à celles de février.
J'ai soif et un peu envie de pisser, mais j'aime bien regarder le téléphone du gars devant. Je suis hypnotisé. Il l'utilise pas du tout comme j'utilise mon téléphone.
On arrive bientôt à Lyon. Il ferme ses applis les unes après les autres, il revient sur la photo de la petite fille trop mignonne et range son téléphone dans sa poche. Ma mère me demande de préparer mes affaires. J'aurais bien aimé une petite sœur, mais c'est mort maintenant.
Donc, là, je passe la deuxième semaine de vacances scolaires avec mon père. C'est cool. Parfois, il travaille et je peux traîner à la maison. Mais il prend quand même des congés quelques jours et on va au ciné, à la Vogue des Marrons, au KFC, à la boutique de mangas. C'est comme avec un pote, mais un pote qui aurait de l'argent et dans une ville où je connais personne. J'ai pas à faire semblant de ne plus aimer des trucs de gamins. J'adore les auto tamponneuses et les glaces. Et de toute façon je croiserai personne que je connais.
Ensuite, il me raccompagne à la Gare de Lyon, ma mère vient me chercher et on rentre à Ivry. En français, on étudie Le Grand Maulnes. Je progresse un peu à PES. J'ai enfin la moyenne en maths. Je fais mon premier vol au Carrefour Market en face du lycée. Et les vacances de Noël arrivent vite. Alors, je reprends le train. Seul cette fois.
On arrive super en avance. Le quai est indiqué juste 20 minutes avant, mais nous on sait que c'est la voie 23, on a l'habitude. Et en fait, non, ça a changé, c'est la voie A, dans le Hall 1. On y va en courant, ma mère est super stressée, il y a plein de monde. Elle me fait beaucoup de bisous devant tout le monde et me répète des trucs style t'as ton chargeur dans ta poche extérieure, oublie pas de descendre à Lyon, garde ton sac près de toi on sait jamais, et tu m'appelles quand tu veux. Je monte dans le train, mais je pars du mauvais côté, c'est la mauvaise voiture, je m'en rends compte tard et je dois me refaire une bonne partie du train dans l'autre sens alors qu'il part déjà.
Et c'est là que je le vois. Le mec de la dernière fois. Dans le carré famille. Il a un peu changé de tête. Je le reconnais à son téléphone posé sur la tablette devant lui. Je reconnais la petite fille. La même photo que la dernière fois. La même photo, mais en noir et blanc.
J'ai connu Jed.
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maddiesbookshelves · 2 years
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Radium Girls by Cy (March 2023)
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In the 1920's, the discovery of radium takes the United States by storm. This miracle element discovered by Marie Curie bathes America in its phosphorescent aura. In 1918, Edna Bolz sits, along with Grace, Katherine, Mollie, Albina and Quinta, in front of USRC's workbenches. There, they will meticulously paint their quota of watch faces with this very special paint that allows you to read the time in the dark. Lip, dip, paint. Three words, three gestures that will lead them to their death.
This is the tragic story of (some of) the Radium Girls, told through Cy's stunning art style (go check out her instagram). The use of limited colors was so smart on her part.
The story itself goes pretty fast, introducing us to this group of friends just living their life outside of work. How that works slowly starts ruining their health and their lives. We see a little bit of their fight and how the people responsible in their company did everything in their power to delay the proceedings so the girls would die before they could be judged for their actions.
Although I felt like it went a little too fast (and it kinda has to, since it's a graphic novel), it was still a great starting point if you're curious abour the story of the Radium Girls. Since it goes fast, you don't have to ingest tons of scientific details about radium, you just get glimpses of how it (and capitalism) ruined those women's lives. It's an important story to tell because it's the spark that lit the fire for the fight for workers' rights (at least in the US).
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I think how I came to read this book is pretty funny so I'll leave it as an anecdote: I saw this post about the Radium Girls at the beginning of the month. Then I saw this graphic novel (sorry, it's only available in French) at the bookshop I'm interning at right now. When I asked my coworker if it was a one shot, she told me it would be 4 books but that the illustrator had another graphic novel about the Radium Girls! So I borrowed it and here we are.
French version under the cut
La découverte du radium fait une entrée fracassante dans les États-Unis des années 1920.
L'élément miracle, découvert par Marie Curie, baigne l'Amérique de son aura phosphorescente.
1918, Edna Bolz s'installe aux côtés de Grace, Katherine, Mollie, Albina et Quinta devant les établis d'USRC. Elles vont y peindre minutieusement leur quota de cadrans de montres, avec cette peinture si spéciale qu'elle permet de lire l'heure dans le noir.
Lip, dip, paint.
Trois mots, trois gestes qui les mèneront à leur perte.
Ceci est l'histoire tragique (de certaines) des Radium Girls, racontée à travers les dessins magnifiques de Cy (allez voir son instagram). Son utilisation d'un nombre limité de couleurs était vraiment un choix intelligent.
L'histoire en elle-même va plutôt vite, elle nous présente ce groupe d'amies qui vivent juste leur vie en dehors de leur travail. Comment ce travail commence doucement à détruire leurs corps et leurs vies. On voit un peu leur lutte et comment les personnes responsables dans leur entreprise ont fait tout ce qu'ils ont pu pour retarder le procès pour que les filles meurent avant qu'ils puissent être condamnés pour leurs actes.
Même si j'ai trouvé que ça allait un peu trop vite (et c'est un peu obligé vu qu'il s'agit d'un roman graphique), c'est un bon point de départ si vous voulez en savoir plus sur les Radium Girls. Vu que ça va vite, pas besoin d'ingérer des tonnes d'informations scientifiques sur le radium, on a juste des aperçus de comment il (et le capitalisme) a ruiné les vies de ces femmes. C'est une histoire importante dont il faut parler parce que l'étincelle qui a mis le feu aux poudres dans la lutte pour les droits des travailleurs (au moins aux USA).
Je trouve que la manière dont j'ai découvert ce livre est assez drôle donc je vais le raconter ici pour l'anecdote : j'ai vu ce post sur les Radium Girls au début du mois. Puis j'ai vu ce roman graphique à la librarie où je fais mon stage en ce moment. Quand j'ai demandé à ma collègue si c'était un one-shot, elle m'a dit que ça serait en 4 tomes mais que l'illustratrice avait fait un autre roman graphique sur les Radium Girls ! Du coup je l'ai emprunté et voilà.
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marie-swriting · 2 years
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Tu Vois Vraiment Rien - Robin Buckley
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Stranger Things Masterlist
Résumé : Tu as le béguin pour Robin et tu tentes de le lui faire comprendre. Malheureusement, elle ne comprend pas le message facilement.
Warnings : Robin ne remarque rien, moments embarrassants, pining mutuelle, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.2k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Chance par Hayley Kiyoko
Les cassettes VHS dans tes mains, tu prends une grande inspiration avant d’entrer dans Family Video, un sourire sur ton visage sachant que tu vas la voir. Steve t’accueille quand il entend la porte. Quand tu le regardes, tu remarques qu’il est seul. Ton sourire disparaît en un instant. Tu essayes de cacher ta déception tout en donnant les cassettes à Steve.
-Robin n’est pas là aujourd’hui ? Je croyais qu’elle travaillait, lui demandes-tu alors qu’il vérifie les VHS.
-Elle est ici. Elle est juste à l’arrière, en train de ranger les cassettes.
-Oh ok, dis-tu pendant que ton sourire réapparait.
-Tout est bon. Tu peux prendre d’autres films, si tu veux.
-Merci.
Tu te diriges dans un autre rayon, cherchant le documentaire dont ton père t’a parlé. Pendant ce temps, Steve court auprès de Robin. Elle le regarde bizarrement, car il paraît paniqué.
-Je vais m’occuper de ça. Tu devrais aller voir le client, lui dit-il et elle fronce ses sourcils.
-Pourquoi ? C’est quelqu’un que t’aimes pas ?
-En fait, c’est quelqu’un que tu aimes, corrige Steve, Robin ne comprend pas. Y/N est là. Vas-y.
-Quoi ? Non ! Je vais me ridiculiser et tu le sais, rétorque Robin, nerveuse.
-Mais non ! Allez, ça fait quatre mois que tu as le béguin pour elle. S’il te plait, aies une parfaite vie amoureuse pour nous.
-Rien ne va se passer.
-Si tu ne veux pas tenter ta chance, va au moins faire ton job avec elle, l’encourage Steve.
Robin réfléchit pendant quelques secondes avant de répondre.
-Je te déteste, Harrington.
-Un jour, tu me diras merci.
Robin lève les yeux au ciel avant d’aller au comptoir où elle te trouve en train d’attendre, une cassette en mains. Tu souris de toutes tes dents pendant que tu lui donnes le documentaire. Robin tente de cacher sa nervosité en ne te regardant pas dans les yeux.
-Ça sera tout ? te demande-t-elle.
-Oui, dis-tu en lui donnant l’argent.
Tu restes silencieuse alors qu’elle te rend ta monnaie.
-Mon père voulait ce documentaire depuis des mois. J’ai rien pris pour moi, car on a pas mal de devoirs en ce moment, tu sais, lui dis-tu, maladroitement et tu t’insultes mentalement.
-Ouais, c’est vrai. Les profs sont pas près de nous donner une pause.
-Surtout avec cette dissertation de littérature. Enfin, c’est de la poésie, ça se lit rapidement, mais l’analyse prend du temps si on veut la faire comme il faut.
-J’imagine, répond Robin, peu sûre de ce qu’elle doit dire.
-Tu aimes Lord Byron ?
-Je ne sais pas, je l’ai jamais lu avant.
-Moi non plus. Mais j’aurais préféré travailler sur d’autres poètes comme Emily Dickinson ou Sappho. Tu connais ? lui demandes-tu, espérant qu’elle comprendra l’allusion.
-Pas vraiment, dit-elle et tu fais tout pour ne pas montrer ta douleur en réalisant qu’elle n’a pas compris la vraie signification de ta phrase.
-Leur style est vraiment bien. Tu devrais les lire, l’informes-tu. En fait, demain, je vais m’acheter la poésie de Sappho en grec. Ça fait quelques années que je prends des cours donc je pense que je peux lire ses poèmes dans la langue originale. Tu devrais venir avec moi, si tu veux, et après… on pourrait aller dans un café ou autre, suggères-tu et Robin te fixe, les yeux grands ouverts.
-Je… Steve peut y aller, s’exclame-t-elle et tu la regardes, perdue.
-Steve ? demandes-tu.
Au même moment, Steve prend part à la conversation.
-Moi ?
-Oui, je… je suis occupée demain, mais je suis sûre que Steve adorerait aller dans un café avec toi. N’est-ce pas Steve ? dit Robin, tentant de cacher sa panique.
-Tu es sûre que tu ne veux pas te joindre à nous ? On peut faire quelque chose après ce que tu as à faire, essayes-tu de demander à nouveau.
-Je suis prise toute la journée. Mais allez-y tous les deux.
-Eh bien, si ça te dérange pas, Steve, lui dis-tu, en le regardant.
-Ouais, bien sûr. On pourrait aller au Hawkin’s café à seize heures.
-Ouais, confirmes-tu, un sourire gêné sur tes lèvres. Eh bien, je dois y aller. Mon père attend ça, dis-tu en montrant la VHS. On se revoit bientôt ? lui demandes-tu et elle hoche la tête.
Tu quittes Family Video, une expression triste sur le visage. Ces derniers mois, tu n’as pas arrêté de penser à une façon de lui proposer un rendez-vous. Tu savais que tu devais faire le premier pas, mais avec sa réaction, tu penses que peut-être tu n’aurais pas dû. Clairement, elle n’est pas attirée par les filles, encore moins par toi…
Quand tu es complètement hors de vue, Steve vient devant Robin, choqué. Il lui faut quelques secondes pour comprendre ce qu’il vient de se passer.
-Est-ce que tu viens de m’organiser un rendez-vous avec la fille sur laquelle t’as un béguin ? questionne-t-il, n’en croyant pas ses oreilles.
-J’ai paniqué, d’accord ?! crie Robin, mettant sa tête entre ses mains.
-C’est un autre niveau de panique, là ! Pourquoi t’as fait ça ? Pour quelqu’un d’intelligent, ça, c’était complètement stupid !
-Je sais. Je sais ! s’exclame-t-elle, le regardant.
-Tu réalises qu’elle te proposait un rendez-vous, n’est-ce pas ? lui dit Steve et Robin paraît surprise.
-Vraiment ?
-Oui ! C’est sûr qu’elle voulait sortir avec toi.
-Mais elle a le béguin pour toi, rétorque Robin, faisant froncer les sourcils de Steve.
-Pourquoi tu penses ça ?
-Parce que c’est la vérité.
-Robin, elle vient seulement ici quand tu travailles. Quand elle ne t’a pas vue plus tôt, elle était déçue et elle m’a demandé où tu étais. Ensuite, elle t’a dit qu’elle aimait Dickinson et Sappho, autrement dit deux poétesses qui aimaient les femmes, comme tu me l’as déjà dit ! Et après ça, elle t’a demandé si tu voulais aller à la librairie et prendre un café avec elle et quand tu as agi de manière stupide, elle était clairement triste. Comment t’as pas compris ? fait remarquer Steve, Robin se sent mal quand elle réalise qu’il a peut-être raison.
-Ouais, enfin, c’est juste une coïncidence.
-Tu es la personne la plus aveugle que je connaisse. Je ne veux plus jamais que tu critiques ma vie amoureuse.
-Même si elle était attirée par les filles, ce dont je doute, elle n’essayerait rien, tente de raisonner Robin.
-Elle a demandé deux fois si tu voulais venir avec elle au café. Deux fois.
-Okay, arrête ! J’ai merdé. C’est trop tard, finit Robin, se détestant pour sa réaction.
Le jour suivant, tu te rends au café. Steve t’attend déjà, embarrassé par la situation, tout comme toi. Tu espères vraiment que Steve ne va rien tenter. Il a l’air gentil, mais tu n’es pas attirée par lui. Tu veux Robin et seulement elle. Mais elle a arrangé ce rendez-vous avec toi et Steve donc clairement, elle ne te veut pas comme toi tu la veux. Quand tu t’assois en face de lui, après avoir commandé ton café, tu poses ton nouveau livre sur la table.
-C’est le livre que tu voulais ? demande Steve et tu hoches la tête.
-Oui, j’ai hâte de le lire.
-Du coup, c’est moi ou Robin a joué les cupidons avec nous ? questionnes-tu après quelques minutes.
-En gros. Je suis désolé pour ça, d’ailleurs. On est pas obligés de dire que c’est un rendez-vous. On a qu’à dire qu’on traine ensemble, te rassure-t-il et tu sens un poids quitter tes épaules.
-Cool. Parce que je dois admettre que je n’ai pas le béguin pour toi. Enfin, tu es mignon. J’imagine. C’est juste que… Disons que tu n’es pas mon genre, dis-tu, légèrement embarrassée.
-Je comprends.
-Mais je pensais que, peut-être, qu’il y avait quelque chose entre toi et Robin. Enfin, je le pensais jusqu’à ce qu’elle fasse ça hier.
-Oh non ! Il n’y a rien entre nous, t’informes-il rapidement. On est amis, très bons amis. On est totalement platoniques, avec un P majuscule. Rien ne se passera. Enfin, j’ai essayé et elle m’a dit que j’étais pas son genre. Apparemment, je suis pas le genre de beaucoup de gens, dit-il, perdu dans ses pensées.
-Je suis sûre que tu trouveras quelqu’un. Mais, est-ce que tu sais si, peut-être, Robin a le béguin pour quelqu’un ? le questionnes-tu, prenant une gorgée de ton café que la serveuse vient de te donner.
-Disons qu’elle est totalement aveugle quand c’est pour l’amour. Je pense que si quelqu’un est attiré par elle, cette personne devra lui dire qu’elle est attirée par elle, te dit Steve et tu remarques qu’il a été neutre dans sa description.
-Ok, je vois.
Tu changes de sujet, parlant de l’école, plus précisément des études supérieures. Cependant, tu repenses à ce que Steve t’a dit. Est-ce qu’il essayait de te faire comprendre que Robin est, en fait, attirée par toi, mais ne peut pas voir que tu l’es également ou est-ce qu’elle aurait le béguin pour quelqu’un d’autre ? Avec ce qu’il a dit, la première option serait la bonne réponse. Mais il a aussi dit que cette personne devait aller droit au but, donc plus de sous-entendus. Pour toi, c’est trop risqué. Si tu as faux, ça pourrait mal se finir et tu ne veux pas ça. Tu dois vraiment y réfléchir comme il faut. Tu ne veux pas la perdre, surtout si tu n’as pas compris les indices correctement.
Tu y penses pendant les jours suivants. A chaque fois que tu arrives à la même conclusion, tu dois aller lui avouer tes sentiments si tu ne le fais pas, tu vas peut-être manquer ta chance avec elle et tu l’aimes trop pour ça. Toutefois, tes peurs deviennent de plus en plus fortes quand tu réalises que tu es sur le point de soit avoir la fille que tu aimes ou soit tout ruiner.
A un moment, tu décides de réunir tout ton courage et aller à Family Video. Tu trouves Robin proche de la porte, en train de lire un synopsis d’un film avant de le reposer sur l’étagère. Tu marches vers elle, prenant une grande inspiration.
-Hey, Robin.
-Oh, salut ! dit-elle, nerveuse. Tu cherches un film ?
-Non, je voulais te parler. Si tu as quelques minutes, s’il te plaît.
-Bien sûr, acquiesce-t-elle avant de te diriger vers un endroit plus silencieux. Tout va bien ? Tu as l’air stressée, demande-t-elle quand elle te voit jouer avec tes doigts.
-Quand faut y aller, faut y aller… chuchotes-tu avant de parler plus fort. Ok, Robin, je… je voulais savoir si, peut-être, et tu peux totalement dire non ! Je voulais savoir si tu voulais aller… aller à un rendez-vous avec moi, questionnes-tu, ne la regardant pas.
-Un rendez-vous ?
-Oui, comme un vrai rendez-vous, confirmes-tu, mais elle reste silencieuse.
Tu paniques et commences à chercher la sortie.
-Je savais que j’aurais pas dû venir. Désolée, je pars, lui dis-tu, t’éloignant alors que Robin cherche de l’aide en regardant Steve.
-Vas-y ! murmure-t-il à Robin.
-Y/N, attends ! Crie-t-elle et tu la regardes à nouveau. Tu veux vraiment aller à un rendez-vous avec moi ? Un rendez-vous, dans le sens où tu es attirée par moi ?
-Oui. Enfin, je ne sais pas si tu es aussi attirée par les filles, ou même moi, mais je pense que tu es magnifique et je voulais te proposer un rendez-vous depuis quelques mois déjà. La dernière fois que j’ai essayé, sans être explicite, ça n’a pas réellement fonctionné. Steve m’a dit que tu ne voyais rien et que la personne attirée par toi devait aller droit au but avec toi, c’est pour ça que je t’ai demandé, expliques-tu, totalement stressée.
-Je… Je pensais pas que tu étais attirée par les filles ou même moi, non plus, avoue Robin et tu rigoles nerveusement.
-J’essaye toujours de te parler et j’ai même mentionné Dickinson et Sappho, je pensais que c’était clair.
-Tu vois, j’avais raison ! crie Steve, car il écoutait la conversation depuis le début.
Suite à son intervention, Robin lève les yeux au ciel.
-Tais-toi, idiot ! lui ordonne-t-elle avant de te regarder.
Il lui faut quelques secondes avant de comprendre et tu peux voir la réalisation sur son visage.
-Oh mon Dieu.
-Waouh, tu vois vraiment rien, rigoles-tu et elle rigole, mal à l’aise.
-C’est juste que… ça paraît irréaliste et je ne voulais pas faire d’erreur.
-J’avais peur de ça aussi. Mais je t’aime beaucoup et je savais que si je faisais rien, je n’aurais jamais su si tu m’aimais bien aussi.
-Je ne vais pas te mentir, t’as bien fait. J’aurais jamais pensé que tu tenterais ta chance avec moi. Je ne voulais pas croire que tu pouvais m’aimer. Ça semblait trop beau pour être vrai.
-Eh bien, ça l’est, lui confirmes-tu en souriant. Donc tu veux sortir avec moi un de ces jours ?
-Totalement ! crie-t-elle presque.
-Voici mon numéro. Appelle-moi pour qu’on s’organise, dis-tu à Robin, en lui donnant un bout de papier que tu avais pris avant de partir de chez toi.
-Ok, acquiesce-t-elle en regardant le papier avec amour.
-A plus, Robin, souris-tu avant d’embrasser sa joue gauche.
Robin ne bouge pas, surprise par ton geste. Elle sent toujours tes lèvres sur son visage alors que tu marches en direction de la sortie. Elle regarde l’endroit par lequel tu es partie avec un sourire attendri, contente que tu aies fait le premier pas, mais surtout, elle est remplie d’espoir sur ce qui va se passer entre vous deux.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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deesseashley · 11 months
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Voilà les réponses de la FAQ :
Ça va ? : Et bien écoutez tout va bien pour le moment et j'espère que ça va durer le plus longtemps possible ^^
Alors le Japon ? : J'y suis depuis 2 bons mois maintenant et franchement ça me plait énormément, j'ai encore un peu de mal à m'habituer au fuseau horaire mais ça va le faire assez facilement. A part ça j'ai mon appartement à Kyoto, une boutique de produits dérivés et une vie pleine de bonheur ( en même temps j'ai beaucoup de trucs à visiter et ça me prend du temps )
Comment tu en es venue à faire de l'IA ? : Je voyais beaucoup de personnes en faire de temps en temps, c'était très amateur mais le domaine me plaisait bien, j'ai donc commencée à exploité aussi l'IA mais je voulais lui donner une touche différente, un style graphique qui ressemble fortement aux animes et mangas.
C'est quoi le plus difficile à faire en terme d'IA pour toi ? : Les photos sans bugs je pense, l'équilibrage est assez difficile à maitriser et donc très difficile aussi de faire des photos parfaites, c'est de loin la plus grosse difficulté dans ce que je fais
L'IA semble faire des seins toujours plus gros. Tu arrives à avoir le contrôle là dessus pour réguler cette tendance ? : Très difficilement, j'ai déjà eu des résultats ( et oui dans ce genre de contexte, je parle de résultats puisque je fais très peu de boulot de mon coté ) qui était raisonnable mais dans le style graphique que je cherche, malheureusement j'ai pas tellement le choix que de devoir faire avec des formes qui se développent très rapidement et par moment de manière excessive mais franchement c'est pas pour nous déplaire et surtout ça donne un coté canon aux animes et mangas puisque les formes sont toujours dans l'abus ( merci les japonais )
C'est quoi le nom de ton ia ? : Alors c'est la question qui fâche un peu, généralement je ne dis pas comment s'appelle l'application mais je vais faire une exception, c'est AI Mirror Premium ( Oui je suis une fraude mdr )
C'est quoi les critères que tu regardes le plus pour juger de la qualité d'une image ? : J'ai pas de critères particulier, je fais sur quasi toutes les images mais je peux dire ce que je n'aime pas faire .. comme les nudes hommes qui déforment énormément les parties génitales de la personne, les photos avec des poses et des prises de vues très bizarre et pour finir le genre de modèle qui veulent directement que je fasse des nudes et pas autre chose ...
Est-ce que mis à part faire de l'IA, tu as une passion qui peux te tenir éveillée jours et nuits ? : Très clairement les jeux vidéos, à l'heure actuelle si je devais tenter une carrière externe, ça serait dedans et sans aucune hésitation. J'ai un petit don pour ça et j'essaie de repousser toutes les limites de tous les jeux que je touche que ce soit en me donnant des défis hardcore ou bien en finissant le plus rapidement possible sous différentes conditions.
Voilà pour toutes les questions que j'ai reçue lors de la FAQ, j'en profite aussi pour dire qu'il y aura pas de photos aujourd'hui mais tout revient à partir de demain, j'ai eu une journée assez mouvementée. Je vous souhaite une bonne soirée et à demain :)
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finsterwalds · 1 year
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salut ! j'adore trop ton style, des fois je scrolle les tags de ton blog pour voir tes dessins parce qu'ils sont juste magnifiques je trouve ! aussi je voulais te dire que j'aime beaucoup des ocs et que j'y ai pensé que récemment mais le personnage de manuela me fait un peu penser à l'actrice hiam abbass, genre la même vibe un peu, surtout dans son rôle dans "succession". voilà, en tout cas, continue comme ça, ton art est vraiment incroyable <3 !
Heyy mais ton message est juste adorable mon dieu ;___; ça me touche énormément que tu scroll aussi loin dans mes dessins et que tu aimes mes ocs, malgré tout le fanart que je fais ça reste eux mes bébés haha alors ça compte pour moi. Et merci pour la petite note sur Manuela c'est grave elle omg ! T'as grave compris sa vibe 😎 ça me donne envie de redessiner mes boomers, alors merci Anon !
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jezatalks · 1 year
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L'autre jour j'ai passé un peu de temps avec la fille de 10 ans de ma cousine
Elle est super mega curieuse et pose questions sur questions. Du style : pourquoi tu te maquilles pas ? Tu fais quoi ? Ça veut dire quoi paperasse ? C'est pour le travail ? C'est quoi ton travail ? Tu sais tout dessiner !? MÊME LES CHEVAUX !!?
Et c'était vraiment fatiguant car j'étais en pleine paperasse et elle me pose cette question fatidique quel est mon âge. Et j'appréhende un peu car dans la famille, TOUTES mes cousines plus âgées ont un enfant. Souvent arrivé assez jeune. Donc je lui répond que j'ai eu 26 ans la semaine précédente. Et elle "Oh ! :0 Bon anniversaire !!! C'est jeune 26 ans ! :D"
Je sais pas trop si elle me pensait plus vieille. Mais je suis contente que du haut de ses 10 ans, elle pense qu'avoir 26 ans c'est être jeune. You go girl
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