Tumgik
#ça me fait grave plaisir
pigeonneaux · 7 months
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HALO ! :> girl j'ai retrouvé un dessin que t'as fais pour le ssk20. tu te rends compte a quel point tu t'es amélioré ou pas ? c'est magnifique ce que tu fais <3 I mean look je déterre ca
https://www.tumblr.com/pigeonneaux/638679312077324288/cadeaux-de-no%C3%ABl-pour-lehoedagan-pour-le-secret?source=share
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moinsbienquekaworu · 2 months
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I'm going to Give The Fuck Up
#okay i'm writing the rest in french 1) for spyld purposes because it's 1am but still#and 2) so i can pull that post out next time i'm seeing a therapist and maybe they'll take me seriously#donc je suis censée avoir fait un essai et une présentation pour demain (enfin. dans genre 8h)#et j'ai un autre exposé pour vendredi#j'ai rien commencé j'y arrive pas je peux pas#je suis au bout du bout j'arrive pas à me forcer à le faire je peux pas#c'est comme si ça faisait 4 ans que je courrais et qu'on me demandait de faire un sprint final#genre j'ai encore de l'énergie. mais bien sûr. je suis encore debout et c'est un miracle mais oui grave je vais sprinter#je vais aller en cours demain je vais dire au prof que je peux pas et que j'ai pleuré dessus plusieurs fois (ce qui est vrai)#et lui demander ce que je peux faire parce que là c'est pas possible#et on va voir!#je suis au bout de ma vie je n'en peux plus#plus le temps passe plus je me dis que ça vaudrait le coup d'abandonner et de rater mon année juste pour que ça s'arrête#ça fait des ANNÉES qu'à chaque période d'exam j'ai l'impression d'être un tout petit animal#qui s'est replié dans un coin de la pièce parce qu'un prédateur se rapproche#je suis dos au mur y a nulle part où aller et la menace se rapproche encore et encore et je peux rien faire#et je suis hors de moi tellement j'ai peur et je suis stressée#des mois et des mois que j'ai cette image de moi en toute petite souris qui gratte frénétiquement le mur derrière elle#parce que je peux pas aller devant moi. c'est là qu'y a le prédateur et je peux pas! je peux pas!!!#je peux pas fuir par là mais c'est la seule sortie et je vais pas y arriver et il faut que je parte il faut que je m'en sorte#si je reste là je vais mourir mais y a nulle part où aller et je suis pas en état de prendre une seule décision logique#je suis juste en train de paniquer et je peux rien y faire et il faut que je sois ailleurs où que ce soit mais pas ici pas ici pas ici#et toutes les fois où j'ai réussi à me mettre aux devoirs j'ai réussi à esquiver les conséquences mais pour combien de temps?#j'ai une semaine de répit. deux peut-être. et des fois ils faut que je le refasse immédiatement après et j'ai plus ce qu'il faut#si j'arrivais pas à me détacher de ça je serais paralysée toute la journée et je pleurerais au moins deux fois par jour#je mangerais pas je boirais pas je me doucherais certainement pas je parlerais à personne et je ferais absolument rien#rien qui me fait plaisir rien qu'y faut que je fasse rien rien rien. je serais figée tellement je suis stressée#du coup j'ignore et on dirait plus ou moins que ça va de l'extérieur mais je fais des crises de nerfs toutes les semaines#wow i have a ramble tag now
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superiorkenshi · 2 years
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Je me présente aujourd'hui à vous en temps que fière employé de Castorama pour une période de 8 mois signée !
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e642 · 12 days
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J'me suis embrouillée avec mon beau père. Ce week end j'étais chez le père de mon mec. Je l'apprécie qu'à moitié, il m'a payé des vacances et beaucoup de loisirs et je lui en suis reconnaissante mais c'est tout. Ce n'est pas quelqu'un que je respecte particulièrement. Samedi on mangeait tous les trois ensemble et, les élections approchant, évidemment les débats politiques sont vite arrivés sur la table. Moi, je porte mon orientation politique sur le front. Ya pas beaucoup d'efforts à faire ni besoin de beaucoup me connaître pour savoir de quel côté je suis. Beaucoup de pères (plus que de mères je remarque) penchent à droite mais lui c'était pas écrit Marion sur son front et pourtant... Alors quand il a commencé son petit speech à base de "dehors les arabes" j'ai pété un câble. À entendre certains darons t'as l'impression qu'ils se sont fait voler leur goûter, leur job, leur femme, et leurs enfants par des étrangers. J'ai été réellement rebutée par ses propos. À la fin de son baragouinage, jlui ai demandé s'il avait des cintres. Évidemment, il n'a pas saisi la noirceur du propos. Ce à quoi j'ai ajouté que si la France devenait officiellement fasciste il faudrait retourner aux techniques traditionnelles pour avorter. Puis je lui ai dit que c'était étrange ça que, pour lui, une femme se faisant violée est l'entière responsable sauf si c'est par un étranger (double problème dans sa manière de penser). Puis je lui ai dit que ce serait compliqué de concilier zéro immigration avec zéro écologie, que visiblement c'était pas linéaire dans sa tête que les gens ne partaient pas par plaisir et que les catastrophes climatiques continueraient de s'aggraver. Puis j'lui ai demandé s'il avait bien connu ses grands parents, bizarrement non car la seconde guerre mondiale est passée par là et que si ça continuait, il serait ce grand parent pour les gosses de ses enfants. Puis je lui ai demandé de m'expliquer le principe des européennes et les différences avec municipale, législative et présidentielles, et il a pas vraiment su me répondre. Que des trucs comme ça, rien de profond, pas de chiffre, juste essayer de lui faire capter le problème. Et il m'a dit que ça ne changeait rien, ce à quoi j'ai répondu qu'il n'y avait que les abrutis qui ne changeaient pas d'avis et là, là ça a coincé dans sa tête et il m'a embrouillée. Ça me dégoûte aussi peu d'humanité, de respect et de lucidité. Ça m'a réellement fait mal au cœur cette discussion et voir comme les gens sont profondément cons/tristes/pauvres/en colère pour avoir ce genre d'idées. C'est pas une vie d'exister dans la haine et le mépris de l'Autre. C'est pas une vie de penser des choses aussi grave sans être insomniaque. C'est pas une vie de pas avoir honte. C'est pas une vie de l'assumer. Avec des parents comme ça, c'est navrant à dire, mais tu m'étonnes que les 18-34 votent à droite. Si seulement on prenait assez de recul pour comprendre que nos parents ne sont pas forcément des exemples et qu'on est bien assez grand pour réfléchir. À croire que le libre arbitre, s'intéresser, se cultiver, conscientiser, se remettre en question n'arrive jamais pour certains. Ça m'a rendue très triste. Puis mon village à fait un score de 52% pour le rn et 10 pour reconquête. Comment c'est possible ? Je ne comprends pas comment on peut adhérer à tout ça et cracher sur l'histoire et les schémas pourtant connus et étudiés en classe depuis pas mal d'année déjà.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 142
Avec l'été un peu bousculé que j'ai passé, j'avais complètement oublié la commande de mon cockring en or (cf. épisode122). Le vendeur de la place Vendôme m'a appelé pour me dire qu'il était prêt depuis longtemps déjà. Je décide de monter à Paris. Sur l'autoroute j'ai du mal à respecter les limitations de vitesse. D'ailleurs je n'y arrive pas ! j'arrive à Paris sans m'être fait prendre au radar et comme la dernière fois gare le GSXR devant la " boutique ". Mon vendeur m'attendait et c'est lui même qui m'ouvre la porte. impatient le bougre !
Dans un salon particulier, il me présente ma commande. Je la prend en main. Lourd, l'anneau est parfaitement rond, la boule bien régulière me semble un peu plus grosse que sur le modèle. Je le fais remarquer et à l'aide d'un pieds à coulisse électronique, le vendeur en fait la constatation. 1mm de plus de diamètre, ça va me comprimer grave l'urètre. J'en discute avec le vendeur qui me propose aussitôt de faire rectifier le bijou. Mais cela va prendre une semaine et m'obligera à un nouvel aller et retour à Paris avec le risque de nouveau de me faire attraper pour vitesse inconsidérée.
Me voyant pas chaud pour cette dernière solution, il me dit que le mieux serait de le tester. Quelle bonne idée ! Aussitôt dit aussitôt fait, la combi sur les reins, je passe ma bite et mes couilles dans l'anneau en or blanc. Quand je ne bande pas, ça va, normal. Il est lourd et je dois bien le plaquer contre mon pubis. Pour voir en fonction normale, le vendeur s'est agenouillé devant moi et me suce. Il le fait bien et de le voir dans cette position en costume trois pièces me fait vite bander. Je sens bien la boule me comprimer le canal. Ce n'est pas désagréable pour autant. Maintenant il faudrait que je teste en fonction plus hard. Je relève le mec et le pousse sur la table de présentation. Il défait de lui même ceinture et boutons pour descendre pantalon et slip d'un seul mouvement. Je kpote ma bite et comme il s'écarte les fesses pour me dévoiler son trou, m'enfonce dans ce dernier. Il est chaud et je rentre comme dans du beurre. Ma queue gonfle encore. L'anneau est à la limite de la douleur et c'est très bon ! je vais le garder comme ça. Je m'active dans son cul et finis par décharger dans la kpote dans un furieux dernier coup de rein qui lui fait décoller les pieds du sol. Le giclées me semble plus laborieuses mais la pression est plus grande. Je pense que sans kpote je vais juter plus loin encore. Lui s'est sali la main.
Nous nous réajustons et je lui dis que je le prenais quand même en l'état à condition qu'il fasse un geste et de préciser financier. Nous discutons comme des marchands de tapis et j'arrive à lui extorquer 30% (sachant pertinemment qu'ils doublent ou triplent le prix de revient, je n'ai pas de scrupules). Je décide de le garder sur moi pour le retour. Le vendeur me demande, en passant sa main sur mon paquet, s'il y a quoi que ce soit qu'il puisse faire de plus pour moi. Je le remercie mais pour le moment, rien. Il insiste en me disant que si je suis seul sur Paris il se ferait un plaisir de me guider dans les lieux branchés de la capitale. Le retour se fait à la même vitesse que l'aller. Je sens bien l'anneau qui enserre ma tige à la base et quand je suis couché sur le réservoir, mes couilles s'écrasent dessus. Ça me fait bander et me compresse encore plus ! Je n'y tiens plus et m'arrête sur une aire de repos. Personne coté voiture. Je cale et verrouille ma moto puis, le casque à la main je descend coté camions. Là 1/2 douzaine de semis, les 3/4 rideaux tirés. Sur les restants, des chauffeurs assez âgés sauf 2 plus jeunes (25-35ans environ). Je retourne fixer mon casque sur la moto et vais pisser. Pas facile quand on bande ! j'essaye de penser à autre chose et, enfin, y réussi tout en restant raide. C'est à ce moment là qu'un des jeunes chauffeurs entre et s'installe à l'urinoir contigu (alors qu'il y en a 6 de front !).
Il sort un beau service trois pièces couilles rasées et poils taillés et jetant un regard vers le mien, me dit " joli matériel ". Quand je lui dis que je bande depuis Paris, il rigole. J'écarte plus ma combi qu'il voit le cockring et j'ajoute " ça plus le réservoir de ma moto... ". Là il comprend et me dit qu'il faut alors remédier à cela pour que le reste de ma route se fasse dans de bonnes conditions et de prendre ma bite dans sa main. Je le laisse faire. Il me pousse dans les WC pour handicapés et je pose mes fesses contre le lavabo. A genoux, il me suce la teub. Il n'est pas mauvais, mâchoire légèrement trop étroite mais ça passe quand même. Il est vorace à croire que ça fait une semaine qu'il n'a rien sucé ! Lentement il me mange plus et fini par écraser son nez dans mon pubis et son menton sur mes couilles. Il me dit qu'il veut mon jus. Ça me refroidit direct ! J'hésite même à le laisser continuer. Je réfléchis que si il me demande cela c'est qu'il le fait avec d'autre et d'un coup je débande. Le mec est étonné et tourne vers moi un regard interrogatif. Je lui dis que c'est ce qu'il vient de me dire. Il est surpris, habituellement, ça excite les mecs un maximum. Je m'excuse et remballe le matériel. Nous nous séparons sur une poignée de main et une dernière ironie " le résultat voulu (débander) a été obtenu ".
Retour calme jusqu'à la maison. J'arrive à temps pour emmener Jimmy à son rendez vous. C'est maintenant devenu une routine, client connu + opérateur souple et serviable = bon moment pour les deux et bonne rentrée d'argent pour l'opérateur et moi.
Je sais que j'avais presque décidé de raccrocher de ce coté là, mais j'ai du mal à laisser Jimmy et surtout Ed tout seuls. Mon coté sécuritaire ou mon coté voyeurisme ? surement un peu des deux. Je suis discret, avec des personnes consentantes dont je connais les noms et les adresses, je ne crains pas grand chose de ce coté là. d'autant plus que deux personnes dans la sécurité nationale sont parmi mes clients.
Soirée calme. Juste un coup de fil de Daniel (le vendeur de moto) qui stresse un peu pour son deuxième rendez vous. Je lui en demande la cause, sachant que pour sa première prestation, son client avait été ravi. Il me dit que la première fois j'étais à ses cotés. Ça me fait rire et il finit par rire aussi. Je lui dis de rester naturel, pas la peine de forcer sa nature et d'essayer de paraitre différent de ce que l'on est. Il me dit que c'est pas le coté sexe qui l'inquiète mais le reste, la culture générale. Je lui conseille quand il est chez lui de laisser sa télé branché sur les chaines de documentaires et d'infos en continu. Même quand il sera plongé dans une revue moto cela rentrera.
Je lui demande comment ça se passe dans la concession. De ce coté là, pas de changement de rythme, son boss l'encule une à deux fois par semaine et lui se vide dans le jeune apprenti au moins une fois par jour. Il me fait envie ce con ! Je lui dis que j'aimerai bien le rencontrer. Il me propose alors de me l'amener à domicile. Comme c'est un " fou " de belles mécaniques, il sera excité à l'idée de voir et de monter dans une Mercedes SLS AMG.
Marc étant encore en déplacement, je lui propose de ne pas reporter le coup et de me l'amener dès ce soir. C'est OK mais il me prévient qu'il n'est pas très " expérimenté " coté cul. ses pipes ne sont que passables mais son cul vaut le détour.
Ils arrivent vers 19h30. l'apprenti en passager de Daniel. Il descend, c'est un gabarit type Jimmy ou Ed, pas grand, pas gros, tête de voyou, en jeans slim et blouson cuir moto. Présentations, il s'appelle Cédric. Il me demande en sautillant où est la Mercedes. J'ouvre la porte du garage, il reste figé 1,2 minutes ;puis il entre. Il hésite entre la caisse et les motos mais fini par privilégier cette dernière. Il tourne autour une fois, deux fois et me demande timidement s'il peut voir le moteur. J'entre dans la voiture, il regarde la cinétique d'ouverture de la portière en aile mouette en fonctionnement puis lève le capot moteur que je viens de déverrouiller et plonge dedans. Je l'entend commenter ce qu'il voit à l'attention de Daniel car moi, coté mécanique, je ne sais que l'utiliser.
Alors qu'il est encore plié sur l'aile de la voiture, je lui mets la main au cul, mes doigts enfonçant le tissus du jeans entre ses fesses et je me couche sur lui pour lui glisser à l'oreille que la visite est payante. Sans se démonter, il me répond " normal pour une telle machine ". On est sur la même longueur d'onde.
Il décolle son bassin de la tôle pour que je puisse défaire sa ceinture et les boutons du jeans. Je tire pantalon et slip en même temps vers le bas dégageant ses fesses. Pendant ce temps là, il examine les différents organes du moteur. Je découvre un joli petit cul tout rond. Je bande à me faire mal (j'ai mis mon nouveau cockring avant qu'ils arrivent ! Je libère mon sexe et le kpote. Obligeamment, Daniel fait couler une pochette de gel entre les fesses de l'apprenti. Je le pousse sur l'aile et pose mon gland sur sa rondelle, je pousse. Il couine un peu à la pénétration bien qu'habitué aux 5,5 de Daniel. Son anneau serre bien ma teub gonflée à mort. Je m'enfonce sans tenir compte de ses gémissement et pose le cockring contre son trou écartelé.
Quand je me retire, il en profite pour se décoller de la tôle. Je pose une mains sur ses hanches et de l'autre vérifie l'état de son sexe. A tâtons, je devine une petite bite (13/14cm) raide, fine (<4cm), surmontant de petites couilles, le tout rasé de près. La situation excite Daniel qui pose ses fesses sur l'aile de la voiture et demande à Cédric de le sucer.
Il n'hésite pas et commence sa sucette. J'ai beau pousser sur son bassin en fin d'enculage, je n'arrive pas à l'enfoncer à fond sur la tige de Daniel. Et ce dernier de me commenter la médiocrité de la pipe. En effet à ce que je vois Cédric n'arrive à lui bouffer que la moitié de sa queue. Il me dit que c'est dommage car comme je peux le constater son cul est très agréable. Je demande à Daniel s'il veut qu'on essaye d'y remédier. Il secoue la tête verticalement. Cédric recrache la bite de Daniel et acquiesce à son tour, il aimerai bien sucer mieux mais n'y arrive pas. Je lui dis que ce n'est qu'une question de technique puisque la volonté il l'a.
Je décule et dékpote. Avec Daniel nous installons Cédric le dos sur un des établis du garage. La tête en dehors du plateau pend de façon à aligner sa bouche avec sa gorge. Je lui fais sniffer un peu de poppers, ça ne peut qu'améliorer sa motivation.
Ainsi préparé, je lui mets ma bite dans la bouche et m'enfonce. Je le laisse jouer un peu de sa langue avec elle. Il tète bien mais pas profond. Je lui dis que je vais maintenant m'enfoncer totalement et lui dit d'avaler quand il sentira mon gland dépasser sa glotte. Un coup de rein sec me fait passer l'entrée de sa gorge. Je le sens avaler et me retire aussitôt, pas la peine de lui provoquer un renvoi. Je le laisse respirer un peu et recommence. Le second passage est plus facile et je vais plus profond. Il me faut bien 1/4 heure pour réussir à tout lui mettre sans qu'il vomisse. Nous faisons une pause. Il s'assoit sur l'établi et me dit que c'est une sensation assez extraordinaire que de sentir un gland dans sa gorge, c'est une dimension autre que la simple pipe. Je lui confirme et lui dis que pour celui qui est sucé, c'est incomparablement meilleur, même si une langue agile qui tourne sur un gland surexcité c'est bon aussi.
Cédric se couche tout seul sur l'établi et attend que l'on remette cela. Un petit coup de poppers (pour lui) et je m'enfonce de nouveau dans sa bouche. il a bien pris le coup et je me sens aspiré vers sa gorge. Une fois, deux fois, puis je cède la place à Daniel impatient de tester les nouvelles capacités de son poulain. Je fais attention que dans sa précipitation il n'étouffe pas Cédric. A limer la gorge avec son gland, il gémit de plaisir. il me dit que c'est infiniment meilleur. Ses deux mains sur les oreilles de Cédric, il s'enfonce dans sa gorge avec la régularité d'un métronome. Cédric calme respire bien. N'ayant pour le moment rien à faire, son cul étant inaccessible de par sa position, je caresse son torse, t-shirt sous les aisselles. son petit gabarit ne l'empêche pas d'être musclé. Ma main courre sur ses abdos et ses pecs exempts naturellement de poils. Je descend plus bas et le branle. Il écarte les genoux (les chevilles entravées par son jeans), c'est un appel à un doigtage. Ma main glisse sous ses couilles et mon majeur suivit rapidement de mon index traversent sa rondelle encore souple du souvenir de ma queue.
Je fouille du regard le garage pour trouver un support adéquat qui nous permettrait à Daniel et moi de nous enfoncer ensemble dans Cédric. Je ne vois que la caisse rose qui emballait le GSXR d'Eric. Couché sur le coté avec un planche dessus ça devrait faire l'affaire. Je les laisse tous les deux le temps d'exécuter mon idée. Puis je reviens à eux et alors que j'attrape Cédric par les pieds, dis à Daniel de le prendre par les bras. Nous le transférons ainsi jusqu'à son nouveau lieu de plaisir. Pas trop mal. Daniel se met à genoux pour replacer sa bite dans la bouche et la gorge de Cédric et moi en face de lui, les chevilles de son suceur sur mes épaules, je m'enfonce à nouveau dans la chaleur de son boyau. Pris des deux coté, Cédric monte tout seul en pression et je jugule au moins deux fois ses montée de foutre avant de le laisser aller. Petite bite, petites couilles mais gros rendement ! il s'en met partout du nombril à sa bouche remplie de Daniel. Je compte au moins 6 à 7 giclées blanches. Je donne quelques coups de reins supplémentaires et sort vite pour lui juter dessus. Mon sperme laisse de longues trainées ;qui croisent celles précédemment dessinées par le sien. C'est alors au tour de Daniel d'y aller de sa contribution. Couvrant le bronzage de notre petit ami d'une nouvelle couche.
J'enlève le plus gros avec du Sopalin et comme il ne peu se rhabiller comme cela, décide que nous allions nous doucher à notre salle de sport qui à une entrée directe sur le coté de la maison. On remonte nos pantalons et ils me suivent au travers de la cour. Dans l'entrée, je fais déchausser avant de traverser notre salle de msucu et d'atteindre les douches communes. Yeux grands ouverts de mes deux acolytes que je pousse sous les douches. Vêtements vite retirés, et l'eau chaude vient nous mouiller. Avec Daniel, je savonne Cédric qui se tord sous les chatouillis que nos mains lui procurent. Sous les jets d'eau, ils n'ont pas vu arriver Ammed qui nous attend avec trois peignoirs sur les bras. Ce n'est que quand je coupe l'eau qu'ils le voient et ont un mouvement de recul. Ammed nous tends les peignoirs et me demande (façon grand style) si ces messieurs dinerons avec moi ce soir.
Il est tard et j'insiste pour qu'ils restent manger avant de partir. Nous montons à la maison par l'escalier intérieur. ;En attendant que le repas soit prêt, je m'alcoolise avec Cédric alors que Daniel se contente d'un jus de tomate retour moto oblige. Nous dinons calmement. Cédric me remercie de lui avoir fait découvrir ses capacités de gorge profonde, Daniel me donne des nouvelles des modifications du GSXR d'Eric...
ils me quittent après 23h.
JARDINIER
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chinomiko · 5 months
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Hey ! 🤗
Aurais-tu des conseils à donner pour des personnes souhaitant apprendre à dessiner ?
Ps : je te suis depuis le début de la création du jeu Amour Sucré et ton évolution est incroyable ! Ton travail est super inspirant ! Je te souhaite une bonne journée et une bonne continuation ! ❤️
Coucou Ca fait longtemps alors ! Merci beaucoup ❤️❤️❤️
Je pense avoir déjà répondu à cette question ici en anglais, alors je vais juste le traduire en Français en espérant que ce soit suffisant :) (mais sinon vous me direz ! )
Les conseils que je peux donner n'ont rien de vraiment magique, mais les voilà !
Amusez-vous en dessinant, c'est bête, mais c'est le PLUS important avant tout. Surtout quand c'est en tant que loisir, pour le plaisir.
Il vaut mieux arrêter votre dessin à un moment donné où vous prenez encore plaisir à travailler dessus (et y revenir plus tard) que de continuer à dessiner jusqu'à ce que vous soyez frustré/énervé dessus. Ca permet de garder un sentiment "positif" sur notre dessin et notre envie de dessiner.
Prendre le temps de travailler et apprendre les bases du dessin. Oui ça peut être casse pied, oui ça peut ne pas vous intéresser, mais au bout du compte c'est toujours utile et nécessaire. Et il serait dommage de s'en rendre compte "trop tard", c'est à dire d'avoir perdu des années d'apprentissage alors que vous auriez pu, y accorder juste un petit peu de temps régulièrement et ça vous aurez déjà permis de cumuler du savoir et progresser plus vite par la même occasion.
Si vous ne pouvez pas, ou n'avez pas envie de dessiner pendant un certain temps, ce n'est PAS GRAVE. Vous pouvez toujours apprendre beaucoup de choses juste en gardant l'œil et en observant, en analysant votre environnement (la forme et le volume d'un objet, comment se propage la lumière sous tel éclairage etc... ) Donc apprendre à observer et pas juste regarder.
Trouvez des amis dessineux, dans une ambiance saine (indispensable). Vous pouvez être un moteur extrêmement positif et motivant les uns pour les autres et créer une vraie émulation. Ca me manque personnellement de ne plus avoir ça !
D'un point de vue plus direct et plus "dans" la pratique, comme pour ce qui concerne des tutoriels, je recommanderais vraiment la chaîne de Marc Brunet. (en anglais) Je le trouve très sympa, il a beaucoup d'expérience, et il sait partager de manière amusante. Ses vidéos sont toujours fun à regarder et vous trouverez une grande variété de sujets ou thématiques selon vos besoins. C'est facile d'accès pour les débutants et même si vous êtes un artiste plus confirmé, il y a encore beaucoup à apprendre de lui.
J'espère que ces petits tips vous aideront, bonne chance dans votre parcours artistique ! 😊
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dazeofcoral · 1 month
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Cdg contre les membres fantômes.. qui se sauvent à chaque fois des MEDS
On parle toujours que le rp c'est pas une obligation. Non, ça ne l'est pas. On a droit en respectant les règles du forum et la demande d'activité de ce dernier d'être moins présent, moins actif, de poster une absence ou de prévenir qu'on sera au ralenti en privé ou sur le fo. Les gens qui font ce qu'il faut pour prévenir leurs partenaires rp, merci, parce que parfois on doit vous en dire des bêtises concernant votre activité mais vous prévenez et j'ai vraiment l'impression qu'on oublie à quel point c'est TOPISSIME de prévenir.
Mais pour ceux qui préviennent pas... Désolé mais à partir du moment ou on joue un personnage important pour d'autres personnages, qu'on a pleuré pour un lien love avec machin ou machin, prévenir d'une baisse d'activité ou d'une absence devient l'obligation dans le rp, surtout si c'est récurrent. À quel moment c'est devenu normal qu'on doit accepter que son partenaire rp principal donne pas signe de vie pendant 28 - 35 jours? Comme s'iel a disparu de la surface de la terre, plus d'activité sur le forum ou toute autre plateforme, discord, facebook.. On demande pas un compte rendu mais les membres fantômes il y en a partout, donc forcément quand on ne voit plus l'autre joueur se connecter ou répondre sur discord, on se demande ce qu'il se passe. Trop bon.ne, trop c*n.ne, je m'inquiète à chaque fois pour le bien-être de l'autre joueur. Est-ce qu'iel va bien, est-ce que quelque chose de grave s'est produit ? J'angoisse comme un.e vrai.e petit.e idiot.e parce que souvent j'imagine le pire irl, et pas du tout que la personne s'en bat les steaks du forum où iel est absent sans prévenir. Et puis ça débarque tranquille pour se sauver des MED sans même s'excuser ou donner une bonne excuse qui justifie de même pas avoir répondu sur discord (ça prend quoi, 10 secondes !). La claque ! On s'est inquiété pour rien mais limite ça passe ça peut arriver 1x, 2x. Et puis rebelote pour un mois ou + sans nouvelles après chaque sauvetage in extremis des MED. Alors on nous sort que le règlement du forum est respecté.. Oui. Okay. Mais... Les imprévus, ça arrive. Poster en une année le total de 8 réponses rp sur un forum où il faut une activité 1rp/mois, parce qu'on joue avec les règles et le système MED, c'est irrespectueux envers ses partenaires rp et j'ose même dire envers le forum, le staff, les autres membres. Faut bien se dire que s'il n'y a qu'un rp lancé ça nous fait quand même 8 réponses dans le sujet ça passe encore, mais souvent ces mêmes personnes ont plusieurs rp de lancé, donc sur une année un sujet avance de 2 réponses, c'est vraiment se foutre de la gueule des gens. Et que fait le staff? Rien. Le règlement est respecté donc ils ne peuvent rien faire. On ne leur en veut pas pour ça, ils ont un peu les mains liées.
Alors faut se rouler les manches et faire soi-même, même quand on déteste le conflit et qu'on a peur de demander que le lien avec son personnage cesse d'être parce qu'iel joue aux abonnés absents h24, 7j/7 jusqu'au MED. J'imagine ma propre tronche sans parler de mon ressenti si je me prends un message pareil alors même si c'est mérité, le faire à quelqu'un ça crève le coeur. Et quand c'est fait on se dit, c'est bon, on souffle. C'est triste mais quand on prend plus plaisir à répondre à deux réponses RP sur l'année, faut se rendre à l'évidence. Et qui passe pour la.e méchant.e aux yeux des autres membres du forum, voire du staff ? Pas la personne qui est jamais là, bien sûr que non. CDG salty parce que me prendre un mp d'un staffien pour me dire que j'ai pas le droit de dire à un autre joueur que je veux plus avoir mon lien PRINCIPAL avec sous prétexte que c'est dégueulasse d'annoncer ça comme ça et de pas vouloir en discuter (j'ai fais que ça, vouloir en parler, pendant 16 mois !), c'est la goutte qui fait déborder le vase. La personne est pas capable de me donner signe de vie pendant 5 semaines, 8 fois de suite, on me fait à peine un coucou en postant pour se sortir des MED mais dès que j'envoie sur discord que notre lien tombe à l'eau, ça va pleurer chez le staff ? La prochaine fois je me casse tout de suite du forum comme beaucoup le font quand les membres fantômes foutent en l'air leur plaisir de rp sur le dit forum. Attendre un an pour deux réponses dans un sujet ou on dépasse pas les 800 mots par rp c'est bon, on finira le sujet dans dix ans. Mais comme d'habitude le Staff veut pas prendre de parti sauf quand même un peu celui de la personne qui va se plaindre en premier, ça aussi ras le bol.
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onceupontimebrl · 2 months
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Souvent je me réveille la nuit,
Avec ce mot au bord des lèvres :
"Arrête".
Parfois je le hurle,
Parfois je le murmure,
Parfois je suis réveillée, parfois pas.
Mais ça revient a chaque fois.
"Arrête".
J'ai pris du temps,
Avant de réussir à me poser la question,
Du pourquoi.
Et je crois que c'est parce que cette phrase j'ai voulu la dire temps de fois,
Sans réussir à la prononcer à haute voix.
Dès la première fois en faite,
Surtout la première fois,
Quand j'étais pas prête.
Quand il est apparu nu sur l'écran,
Quand il a commencé à se branler,
Quand il m'a demandé des choses et que j'ai fais des choses.
Quand j'ai montré mon corps, que j'ai touché mon corps.
Et là c'est à moi que j'aurais voulu dire arrête. Ferme l'écran. Ne l'écoute pas.
"Arrête".
Il avait au moins deux fois mon âge. J'en avais 15.
Je n'ai pas vu son visage.
On avait échangé quelques messages sur un site de rencontre pour ado avant ça.
Et j'ai pas sur dire stop.
Et cet après midi d'adolescence hante encore mes nuits.
Longtemps j'ai cru que,
parce que c'était du virtuel,
ce n'était pas trop grave.
Et comme c'était un inconnu, je pouvais faire comme si ça n'avait pas eu lieu.
Que si je n'en parlais pas, je pouvais faire comme si ça n'avait pas existé.
Et même que c'était ma faute. Que je l'avais cherché. Qu'il fallait en avoir honte.
Mais c'est pas vrai. J'étais encore une enfant.
Et ce qu'il m'a dit, ce qu'il ma demandé de faire il y a plus de 10 ans,
Impacte encore ma vie.
Pour mieux le fuire, je l'ai cherché cet homme,
Je me suis méfié des hommes bruns, poilus, bedonnant,
De tous les hommes qui pourraient être lui,
Tous les hommes pouvaient, peut-être, m'avoir vu faire ça.
C'est dans la honte que j'ai commencé à explorer ma sexualité,
J'ai pas encore trouvé comment sortir complètement.
"Arrête"
C'est le mot qui bloque tous les autres,
Qui m'empêchent de laisser venir le plaisir, d'accepter mon désir,
Dans mes rapports intimes.
Il m'avait dit "je veux t'entendre jouir" et depuis,
je le fais en silence.
J'ai eu honte, j'ai encore honte, mais j'ai envie d'en parler maintenant.
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je-suis-ronflex · 4 months
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Comme j'ai pas eu le CAPES interne à rien du tout je me suis dit que j'allais faire du shopping pour me détendre : je voulais de quoi jardiner et rempoter mes plantes à l'arriver du printemps mais je n'ai rien trouvé de ce dont j'avais besoin je me suis dit que c'était pas grave et que j'allais acheter des livres parce qu'il y a des offres "2 achetés = 1 offert" dans toutes les librairies sauf que les livres repérés étaient en rupture de stock MAIS j'ai quand même trouvé un livre qui a l'air méga cool Puis comme j'étais triste je suis allé m'acheter des pâtisseries et sur le chemin une madame à dit à sa copine madame que mon sac était trop beau et du coup ça fait quand même un peu plaisir
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romain8959-blog · 6 months
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Moi je l'ai fait la nuit de vendredi à samedi... mes parents n étaient pas la, on était
que tous les 2 avec ma soeur... chacun dans sa chambre... ma soeur sait que des fois je me réveille mouillé, alors c est pas grave.... j ai aussi deja vu que ça lui etait arrive donc je sais qu elle m embetterait pas si je fais pipi au lit !
Comme les fois ou j ai envie de jouer à pipi au lit, je me suis forcé à boire plus le soir...
Et au moment de me coucher, après avoir fini la serie sur Netflix un peu tard, lavé les denrs, mais pas pipi...
J avais deja un peu envie mais pas de quoi m empêcher de m endormir... je me suis donc endormi sagement....
Comme depuis que j ai 11/12 ans et que j ai recommencé a faire pipi au lit des fois (personne sait que c est exprès !) Le matelas, qui porte toujours les traces de mes premiers débordements vers 11 ans, est toujours protégé, alaise + grosses serviettes très absorbantes dessus... ces premiers pipi au lit mon amené à découvrir en même temps la masturbation au passage !!!
Faut dire qu à ce moment la, vers 11 ans, je fantasmais deja, sans oser franchir le pas, sur le fait de faire pipi au lit da mon pyjama... jusqu au jour où j ai finalement osé... c était tellement bon...que j ai eu l irresistible envue de me frotter sur le ventre dans mon pipi tout chaud, dans le pyjama tout mouillé... avant le plus bel orgasme de ma vie...bon chacun son truc !
Bon le réveil le matin a été moins glorieux... mais ce plaisir que je venais de découvrir valait bien la honte de ce matin la !
Mais je m égare !
Comme j avais beaucoup bu le soir, c était sur que ça allait me réveiller à un moment ou un autre dans la nuit...
Le réveil affichait 4 je sais plus quoi...j étais sur côté... le temps de rassembler tout les morceaux dans ma tête... envie de pipi.... a oui c est vrai je m etais dis que....
Je me suis retourné sur le dos...dans cette position, mon envie me paraissait encore plus forte..... et je me suis vite dit... j ai trop envie.... je vais faire pipi au lit....je vais faire pipi dans le pyjama...
J ai touché du bout des doigts le drap du dessous... je matelas avait déja pris suffisamment cher dans le passé, c était pas la peine d en rajouter !
Tout était en place.
.je pouvais faire pipi au lit... comme le gamin que j étais à ce moment la....
Et.... j ai décidé de la faire.... j allais pisser au lit ...
J ai mis mon zizi bien droit vers mon ventre....
Et j ai zrreté de me retenir mais..
Le réflexe de propreté est toujours la dans ces moments la, mais quand tu as trop envie... il ne dur pas... j ai pris une grande respiration., j ai un peu écarté les jambes...
J ai plus pensé a rien et...
J ai sensi que ça arrivait.... et d un coup j ai commençais à faire pipi au lit...
C était tout chaud, la douleur de me retenir s est tout de suite transformée en une onde de plaisir..
Je faisais pipi au lit dans le pyjama expres, c etait tellement bon... j avais tellement envie que je pouvais entendre mon pipi couler dans le pyjama...
Ça chauffait le bas du ventre, mes fesses aussi chauffaient... ça coulait dans la raie des fesses...
Des secondes d un pur plaisir en dehors du temps.
Et ça scest arreté..
Je venais de faire pipi au lit ..
Et sans y faire attention... j ai murmuré rien que pour moi...wouahhhh. j ai... j ai fais pipi au lit... je me le suis répéter plusieurs fois.
Je me sentais tout mouillé mais tellement bien !
Je me suis mis à bander comme un fou... j ai plongé ma main dans le pyjama trempé, en me repetant que j avais fait pipi au lit.
Et d un coup j ai ete submergé par un monstrueux plaisr qui ma laissé vidé jusqu au lendemain, ou dans un demi sommeil, j ai realisé que je baignais dans mon pipi.... putain que ça avait été bon !
.
..
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acacia-artblog · 3 months
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Hey ! Merci à ceux qui ont liké / se sont abonnés ces derniers jours, ça fait grave plaisir! ^^
Je continue avec mes amoureux aux cheveux bleus. Je voulais tester un truc en colo sur une compo facile, ils ont été un bon test ^^
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swedesinstockholm · 7 months
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12 novembre
j'ai du m'arracher à mes collages sur photoshop pour aller dormir ce soir. ça me rassure de pouvoir éprouver autant de plaisir à faire quelque chose. écouter de la musique aussi me procure du plaisir x1000. ce matin après avoir déjeuné je suis remontée dans ma chambre et j'ai écouté les trois premiers albums de muse par ordre décroissant assise sur mon lit. quand maman est rentrée dans ma chambre en disant qu'est-ce que tu fais là? j'avais l'impression d'avoir douze ans et d'écouter avril lavigne sur mon lecteur cd assise en tailleur sur la moquette. je me suis rendu compte à quel point muse me réconfortaient encore, presque vingt ans après, en les écoutant bien fort, ils restent un refuge. tellement d'anniversaires à fêter l'année prochaine. vingt ans de muse, vingt ans du journal, vingt ans de ma non tumeur à l'oeil. j'espère que ça va mettre en branle des forces géologiques ou des forces cosmiques ou n'importe quelles forces qui me feront sortir d'ici.
l'autre jour j'ai regardé un film sur une femme de 63 ans qui a traversé la mer à la nage entre cuba et la floride, après avoir échoué à 28, 60, 61 et 62 ans, et puis le même jour j'ai appris que jenna lyons avait embrassé une femme pour la première fois à 42 ans AND LOOK AT HER NOW, icône lesbienne en couple avec cass bird. je vais essayer d'aborder mon anniversaire avec ces deux histoires en tête.
14 novembre
j'ai fait un rêve tellement long ce matin que j'ai l'impression de m'être perdue en chemin. de m'être perdue moi je veux dire. je me suis réveillée à 11h14, je sais pas si c'est normal. tout d'un coup à la veille de mes 33 ans mon corps me dit que je suis pas SI vieille que ça et que je suis encore tout à fait capable de faire des grasses matinées. à part ça on est mardi et je me tiens absolument pas à ma nouvelle routine que j'étais censée instaurer mais c'est pas grave parce que c'est la semaine de mon anniversaire et j'ai décidé de me laisser luxurier dans mon luxe mon luxe absolu de pouvoir hiberner et me lever à 11h14 parce que c'est ce que mon corps réclame, mon luxe de pouvoir décider de ne pas sortir dehors sous la pluie et la tempête sans fin et de commencer ma journée doucement en répondant aux messages de r. de m. et d f. qui visiblement ne m'en veut pas pour dimanche soir parce qu'elle est intelligente et qu'elle doit avoir compris que c'était mon cerveau dysfonctionnel à l'oeuvre. je me suis laissée faire des collages photo tout l'après-midi, même si j'ai rien produit de grandiose.
15 novembre
9h50, je fais des progrès. j'ai lu jusqu'à 2h11, j'ai temporairement laissé tomber le livre académique très sec sur violette leduc et le temps de l'autobiographie pour lire the cost of living de deborah levy et j'aurais pu lire toute la nuit, mais ne pas dormir me fait peur. ça s'écarte trop de l'ordre quotidien des choses. la nuit c'est fait pour dormir. j'ai passé la matinée à lire et je pensais à la femme au mascara bleu électrique avec qui j'avais discuté sur le trottoir devant la bellone qui m'avait dit qu'elle considérait le temps qu'elle passait à lire comme du temps consacré à son travail d'écrivaine. je me demande si je suis trop jeune pour écrire un livre dans le style de the cost of living ou si maintenant que j'ai presque 33 ans ça va, j'ai l'âge.
16 novembre
10h24, mes progrès reculent. hier soir j'ai vu que la chambre de c.b. dans la coloc à bruxelles était toujours libre et j'ai été prise de panique, d'un sentiment d'urgence, d'urgence absolue c'est maintenant ou jamais lara si je veux m'échapper du marasme qu'est mon quotidien de la maison avec maman, tout luxueux et confortable soit-il, et commencer une nouvelle vie avec du mouvement et de la stimulation et des relations sociales et des responsabilités et des obligations et du fun et du partage. mais au lieu de lui écrire j'ai entrepris une exploration approfondie du tumblr d'une des colocataires parce que son pseudo me disait quelque chose, j'ai remonté ses archives jusqu'en 2011 et j'ai trouvé des posts à moi, je suis sûre qu'elle faisait partie de la blogo mais je me rappelle plus de qui c'était. j'ai peur de leur écrire et de leur dire que je débarque à bruxelles sans travail sans revenus et sans perspectives avec un cv bancal et une forte instabilité mentale, mais si je commence à raisonner comme ça je bougerai jamais.
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thomas-querqy · 22 days
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François Sureau, la liberté passionnément
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L’interminable crise sanitaire du Covid aura au moins eu l’utilité de me conforter sur deux points : notre système politique « présidentiel », indigne d’un vieux pays démocratique, est au bout du rouleau, et la privation des libertés individuelles et publiques, qui a pu ainsi nous être imposée, très au-delà du nécessaire, m’a révélé combien, par dessus tout, j’y étais attaché, à la différence de la très grande majorité de mes concitoyens. Comme les journalistes relayaient avec conviction la propagande de peur du gouvernement et chacune de ses mesures liberticides, sans qu’aucune critique ne puisse s’exprimer, j’ai dressé l’oreille lorsque j’ai entendu pour la première fois la voix grave et l’élégant phrasé d’un homme que je ne connaissais pas : François Sureau.
Merveille de la mise en ligne des archives radiophoniques du service public, je crois avoir retrouvé son intervention sur le 7-9 de France Inter du 21 Mars 2021, peu avant le 3e confinement. L’homme était invité à l’occasion de la sortie de son livre « Ma vie avec Apollinaire ». Nous pûmes ainsi avoir le plaisir de l’entendre dire :
On a l’impression d’assister en réalité à un effondrement, qui est un effondrement de 10 ou 20 ans de la gestion technocratique de la société. […] J’ai eu bien des fois au cours de l’année qui vient de s’écouler l’impression fâcheuse [d’un] transfert [de responsabilité], c’est-à-dire qu’au fond un gouvernement raisonnablement coupable s’en prenait à un peuple innocent, ça ne veut pas dire non plus à l’inverse que nous puissions être facilement tenus quitte de notre assentiment, puisque en réalité nous collaborons tous à ce transfert de responsabilité. La presse par exemple a été dans la première partie du confinement étonnamment lamentable, dans son absence d’esprit critique. L’analyse critique de l’effondrement de la gestion technocratique du monde reste en deçà de ce qu’on pourrait attendre des contrepouvoirs. […] Je parle de la presse mais je pourrais parler du Parlement qui s’est mis pratiquement en vacances […]
En farfouillant sur le web, dans une archive de « C à vous » du 19 juin 2020, en sortie du 1er confinement, il énonce clairement « le blocage institutionnel » dans lequel se trouve notre système politique et ce qui fait de la France une démocratie défaillante :
Cette période a révélé des choses qui étaient à l’œuvre avant et qui se sont continuées de manière extrêmement spectaculaire […] Pour moi le blocage institutionnel auquel nous assistons à l’heure actuelle, [c’est] que nous n’avons que peu d’exécutif, peu de législatif et une justice constitutionnelle qui s’est mise en vacances, quelque chose que nous avons vu se développer au cours des années précédentes, qui a été révélé de manière éclatante avec le confinement, et ça c’est un vrai sujet beaucoup plus que le confinement lui-même. [...] On est la seule démocratie occidentale qui confond les fonctions de chef de l’État et de chef de gouvernement, c’est très emmerdant tout de même, ou bien le chef de l’État est chef d’État et incarne toute la nation, et dans ce cas il est accusé d’être un « roi fainéant », ou bien il se met à agir pour défendre un programme et dans ce cas là il y a la moitié ou les deux tiers des gens qui le déteste très vite, donc la popularité qui advient au président de la république actuellement, procède d’un vice constitutionnel total. Quant au premier ministre, lui il se transforme progressivement en secrétaire général du gouvernement + et ministre responsable des relations avec le Parlement. En fait vous n’avez ni gouvernement, ni chef de l’État avec la confusion, c’est tout de même fascinant. Nous n’avons pas non plus de législatif puisque le législatif ne contrôle pas, n’évalue pas, et empile des normes. Et la justice constitutionnelle, et une large part de la justice civile, s’est mise en vacance. C’est-à-dire que sur les trois pouvoirs de la déclaration des droits, nous les avons vu disparaître simultanément -j’exagère un peu bien sûr. […] Ce système met en face un peuple peu représenté, convaincu qu’en réalité le pouvoir n’est pas réellement responsable devant lui pendant une période de 5 ans, ce qui est énorme, et condamnant tout chef d’État élu à une impopularité radicale après une période de 3 ou 4 ans, ce qui est très dangereux pour la démocratie libérale.
Lorsque j’ai appris qu’il venait de publier un nouveau livre, « S’en aller », j’ai eu envie de le lire. C’est ainsi que j’ai découvert que l’homme avait eu plusieurs vies, notamment celle de s'’être engagé dans la réserve de la Légion étrangère. J’en lirai d’autres car il mérite bien son épée d’Académicien.
Je me suis aperçu très tard que j’avais de longtemps peur de la mort. L’agonie de mon père a fait venir au jour ce sentiment enfoui, qui depuis le début de l’âge adulte me faisait me réveiller trois fois par nuit pour m’assurer que j’étais bien vivant. […] Cette peur n’était pas la peur du néant. J’ai toujours eu la prescience de l’autre côté. […] Si j’aime la vie, si l’angoisse m’étreint à l’idée qu’elle s’achève, ce n’est pas tant pour le plaisir de voir se prolonger les émotions immédiates qu’elle dispense, que pour pouvoir continuer à la ressentir en partie double, pour ce qu’elle est et pour ce qu’elle annonce, cette interrogation étant ce qui me fait écrire.
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claudehenrion · 9 months
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Bloguer, re-bloguer... débloquer... Et si on repartait pour un tour ?
J'ai vécu l'arrêt de mes rubriques quotidiennes comme une punition. D'abord parce que je préfère échanger des idées avec vous, Amis-lecteurs, plutôt que de ronger mon chagrin dans mon coin... Ensuite parce que cet arrêt me donnait l'impression de re-tuer ma chère Evelyne chaque jour, en annulant un par un tous ses comptes, ses abonnements, ses inscriptions... tout le petit univers d'activités sympathiques qu'elle avait tressé autour d'elle... Et passer mes jours à étaler le contenu de son sac-à-main et de son portefeuilles pour satisfaire les grands malades qui font de ''Bercy'' un synonyme de ''cauchemar''. Je mourais à petit feu...
Et enfin, car il ne sert à rien de tourner autour du pot, la situation de et sur notre Terre, depuis une semaine, interdit pratiquement à un ''blogueur'' –c'est-à-dire, en principe, quelqu'un qui aime poser et se poser des questions, ne pas marcher au pas avec les cohortes de ''suivistes'', mettre en doute la parole publique –depuis qu'elle est principalement faite de mensonges, de bourrage de crânes et de désinformation systémique, et regarder par dessus les murs de clôture pour imaginer ce qui s'y cache-- de rester sur l'Aventin et de regarder couler les rivières –qui sont d'ailleurs à sec !
Comme le proverbe affirme que ''à toute chose le malheur est bon'' et comme il est très bien vu, dans notre société, de ''po-si-ti-ver'' ; j'ai réussi à découvrir ou inventer de bonnes raisons de reprendre mes parutions à tendance quotidienne : depuis trois mois, j'ai été constamment étonné, surpris, comblé, etc... par le nombre des ''demandes de reprise'' qui tombent sur mon écran. A lire ceux qui ont la gentillesse de m'écrire : ''Quand nous revenez-vous ?'', on pourrait croire que mes élucubrations présentent quelque intérêt, ce que, par caractère et par éducation, je suis plutôt programmé pour mettre en doute. Passons...
Mais rassurez-vous, mes problèmes de deuil et mon petit orgueil –mal placé, comme il se doit-- ne sont pas les seules raisons pour lesquelles j'ai réellement envie de vous retrouver, cher Amis-lecteurs, pour reprendre avec vous un échange tristement interrompu : c'est le constat permanent, répété, incontournable, que le monde est devenu complètement dingue. Il ne s'agit plus de l'espèce de folie presque douce que nous invoquons ici depuis plus de dix ans et pas loin de 2000 parutions : ''la folie est sortie des asiles''. Nous avons brutalement dégringolé dans un univers où plus rien n'a de sens (à commencer par ce qui est sensé !), où plus rien ne tient, où les mots, les idées, les théories, le informations, les décisions prises et les choix faits –et la science, au tout premier chef-- ont disparu, dans une absence de raison d'être que tout fait croire définitive...
L'an dernier encore, lorsque des lecteurs, un peu décontenancés par certain de mes éditoriaux, me demandaient d'ajouter un peu d'optimisme à mes ''papiers'', je répondais, j'expliquais, je justifiais, j'argumentais. Cette année, après la crise de folie furieuse liée au covid (inqualifiable tant elle était ''à côté de la plaque'', et à l'opposé de tout ce qu'il fallait dire et faire) et après toutes les conneries parfois criminelles qui ont escorté cet épisode, il n'y a plus beaucoup de volontaires pour vouloir me voir plus optimiste… et je n'ai plus rien de sérieux à leur répondre ! Discours, actions, décisions, prises de positions, tout est faux, faussé, absurde, sans queue ni tête, mensonger... quand ce n'est pas pervers, dévoyé, corrompu –contenant et contenu !
Tout semble se passer comme si les mots n'avaient plus aucun sens (ce qui est effectivement le cas : le ''novlangue'' macronien leur fait dire le contraire de ce qu'ils ont toujours signifié), mais –et ça, c'est encore plus grave-- comme si les hommes de pouvoir ne savaient plus que se vautrer à plaisir dans des cloaques de faux raisonnements, de solutions perverses, d'idées insensées et de décisions exactement à l'opposé de tout ce qu'il faudrait, de tout ce qui est souhaitable pour les hommes, de tout ce que l'humanité en perdition attend, souhaite et espère... Les maîtres à penser de l'Occident se complaisent dans leur honte de ce qu'ils sont devenus, dans des analyses erronées et des situations mal présentées. Ils se gargarisent de fausses grandes idées et de méchantes conclusions , toutes mortifères, et se cachent derrière des non-évidences qui ne peuvent mener qu'à des catastrophes...
Un seul exemple suffira à exprimer tout ce que je sous-entends : l'échec total du pouvoir politique les force depuis l'époque maudite de Hollande à chercher des échappatoires, des dérobades, des subterfuges pour attirer l'attention des français sur de faux problèmes –-incapables qu'ils sont de regarder en face les vrais. Le covid, le pouvoir d'achat, les bonnets rouges, les gilets jaunes et d'autres ''proies lâchées pour l'ombre'' ont réussi à faire croire aux naïfs et aux gentils que l'immigration devenue hors-contrôle, la mort programmée de tous les fondements de notre civilisation et la fin de ce qui fut ''LA FRANCE n'étaient pas les seules choses qui comptaient (car tout le reste en découle !). Mais à force de tirer sur la corde, ils sont à court de mirages alternatifs... et ont donc du se rabattre sur --je vous le donne en mille : la punaise de lit, promue Grande cause nationale, psychose collective et seul sujet digne de l'intérêt de la nation ! C'est pitoyable ! Comment n'ont-ils pas honte, d'oser ?
Toute la presse-aux-ordres a été mobilisée, le Gouvernement y passe son temps (vous me direz que tant qu'ils se penchent sur cette connerie XXL, ils arrêtent de nuire partout ailleurs). On crée des commissions, on exerce des ''droits de retrait'' devant le danger... Sont-ils tous devenus fous ?  Car si ces petites bestioles sont vraiment un problème, nos responsables irresponsables ont tout un arsenal à leur disposition. Par exemple, ils pourraient, une fois de plus, nous confiner, fermer les boutiques, nous interdire de nous promener, nous contraindre à rester debout sur les plages, nous forcer à tousser dans notre genou, à mourir tout seuls sans famille... et autres singeries qu'ils ont si bien (si mal serait plus exact) manipulées pour notre plus grand malheur... et la mort de notre économie, de notre liberté et de notre bien-être... Ils pourraient même inventer un soi-disant vaccin dit ''messager'' qui ne ferait rien aux punaises, n'empêcherait pas les grattouilles, ne résoudrait rien... mais serait obligatoire et commandé par milliards d'unités par Ursula von Machin.
Allons ! On a encore de beaux jours devant nous : ce qu'ils ont réussi à imposer une fois sans la moindre justification sérieuse peut resservir, puisqu'ils savent désormais que nous fermons notre gueule et que nous oublions très vite... On peut même se demander si notre passivité coupable ne fait pas que nous méritons peut-être d'être traités comme des ''moins que rien''.
Décidément, et pour peu que la vraie crise moyen-orientale actuelle ne dégénère pas en ''bordel géant'', nous avons, chers Amis-lecteurs, de beaux jours devant nous pour décrypter la nullité malveillante des leaders que nous nous choisissons, contre toute intelligence, élection après élection... Et nous avons de bons blogs, rigolos –mais un peu amers, parfois-- devant nous. Je suis heureux de vous retrouver !
H-Cl.
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sh0esuke · 9 months
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" Wound "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Nanami Kento.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Son entrevue avec Mahito l'ayant laissé quelque peu amoché, Nanami tente tant bien que mal de cacher sa blessure afin que son épouse ne l'apprenne pas. Cependant, lors de l'élaboration de son plan, Nanami n'avait pas pris en compte Gojo Satoru et son désir fou de le nuire.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : spoil de la saison un, Nanami blessé mais rien de méchant.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟓𝟖𝟔.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Sous mon regard attentif, Satoru entra dans la pièce. Il referma la porte derrière lui d'un simple geste de la main, s'avança nonchalamment dans ma direction, prit place sur le fauteuil devant mon bureau et s'y installa. Il se mouvait avec aise, et n'avait pas spécialement l'air préoccupé par le fait qu'il me dérangeait dans mon travail. J'arquai un sourcil, je me permis même de le zieuter ce qui, aux yeux de plusieurs, aurait pu sembler extrêmement déplacé. Gojo Satoru avait le don de faire comme bon lui semblait, il avait la réputation d'être un petit merdeux, cela lui collait à la peau depuis des années. Et, je me doutais que si il me dérangeait ici et maintenant, c'était qu'il devait y avoir une raison.
Abandonnant le tas de feuilles que j'avais commencé à signer et corriger, je déposai mon stylo feutré sur mon bureau fraîchement vernis. Il était recouvert d'une fine couche de gras. Je frôlai le tout de mon pouce.
« Qu'est-ce qui t'amène ? Je suis occupée. »
Satoru apporta une main outrée dans sa direction.
« Si ça c'est une façon d'accueillir un ami, tu me déçois..! »
« Tu m'en diras tant... »
Je me mis à jouer avec mes talons aiguilles, forçant mes pieds à sortir de mes chaussures, puis les replongeant à l'intérieur. Cela m'amusa le temps que l'enfant prodige ne reprenne enfin la parole. Il titilla ma curiosité, de part son ton étrangement solennel.
« Quelque chose s'est produit, aujourd'hui. En début d'après-midi. » se corrigea-t-il.
« Oui. » j'acquiesçai. « Tu es sorti exorciser quelques fléaux, non ? Je t'ai vu traîner avec Kento ces derniers jours, vous bossez ensemble. Rien de grave ? Dis-le moi si il t'embête, que j'en rajoute une couche. »
Sa réaction me mit la puce à l'oreille.
« Justement... »
Dans un tout autre contexte divergeant de celui-ci, il aurait surenchérit, il se serait lamenté d'un tel traitement envers sa personne voire, il m'aurait taquinée. Alors, pourquoi ne faisait-il rien de cela ? Ça portait à confusion. Je le questionnai davantage du regard. Croisant mes bras contre ma poitrine, je sentis les boutons de ma chemise grincer. Mon dos heurta au même moment le dossier de mon fauteuil.
Un mauvais pressentiment me démangeait.
« Kento est mort ? »
« Quoi ? » s'étonna gravement Satoru.
« Quoi ? » répétai-je. « C'est toi qui fais traîner la chose, tu ne peux pas être plus direct et t'exprimer ? »
L'exorciste soupira bruyamment, il accompagna ce geste en levant ses deux mains dans les airs. Son bandeau cachait la fenêtre de son âme, je fus incapable de bien percevoir ce qui se déroulait dans son esprit mais, à l'aide de son langage corporel, je me rassurais, me disant que la situation ne pouvait pas être si grave qu'elle le semblait. Dans le cas contraire, l'atmosphère l'accompagnant aurait été plus sinistre et officielle. Je tentais de m'en persuader.
« C'est Ijichi qui m'a téléphoné. Et comme je sais que la nouvelle te fera pas plaisir, je me suis dis que j'allais pas le laisser se faire manger par le grand méchant loup. »
« Moi étant le grand méchant loup, je présume ? »
Satoru me pointa du doigt.
« Exact'. »
« Kento est en vie, alors ? »
Il acquiesça. Inconsciemment, je poussai un soupir.
« Il a été blessé au combat. »
Sa petite précision, glissée maladroitement comme si il avait espéré que je ne l'entende pas me fit le regarder plus intensément. Désormais, il avait toute mon attention. Mes pieds s'agrippaient au parquet de la pièce et mes paumes fondirent contre la surface boisée de mon bureau. J'étais figée dans le moment. Paralysée par l'incrédulité.
« Je te demande pardon ? »
Satoru écarta les jambes et posa ses poignets sur chacun de ses genoux.
« Un nouveau fléaux l'a attaqué, 'rapiécé' selon sa description. Une sale ordure qui affirme manipuler les âmes des êtres humains. Nanami s'est- »
Je me levai.
« Où est-il ? »
Sans attendre, la chaise roula, elle entra en contact avec la baie vitrée derrière moi et se coinça entre le verre et le grand et épais rideau couleur pistache. Cela attira son attention. Je me redressai sur mes hauts talons aiguilles, mes jambes pressées les unes contre les autres.
« Ne me regarde pas comme ça, Satoru. Où est Kento en ce moment même ? »
Il hésita.
« Avec Shoko. »
« Évidement. » je grinçai entre mes dents.
Je retirai ma veste de costume de mon fauteuil et l'enfilai d'un geste efficace. Mes deux bras y passèrent. Je fis signe à mon collègue de se lever, ainsi, il me suivit hors du bureau. Je glissai un coup d'œil à ma montre, une TAG Heuer. Il était relativement tôt, nous arrivions à la fin de l'après-midi, cela devait faire une petite heure que Kento était revenu. Ça lui correspondait bien. Je marchais vite. Reconnaissante pour la fente derrière ma jupe crayon, j'accélérai le pas.
« Où est Ijichi ? J'ai deux mots à lui dire. »
« Il, hum, il avait autre chose à faire. »
Je le foudroyai du regard.
« Tu ne fais que gagner du temps, tu en es conscient ? » m'emportai-je.
Ijichi n'était qu'un pauvre assistant, il ne savait rien faire d'autre que poser des rideaux. C'était peut-être mieux ainsi, il n'était pas fait pour ce monde cruel composé uniquement de violence et de macabre. Il n'empêche, j'avais remis entre ses mains la vie de Kento. Je me revoyais encore lui parler devant l'école d'exorcisme, le supplier de prendre soin de lui et de me le ramener en un seul morceau. J'avais pensé pouvoir lui faire confiance, qu'elle sombre idiote avais-je été ! Je ne pouvais donc faire personne en ce monde pour me le ramener sain et sauf, pas même Gojo Satoru, l'enfant Prodige, j'imaginais, quel comble ! Cette maigre pensée força mon cœur à se serrer dans ma poitrine. J'en eus les larmes aux yeux.
Si un jour... Si un jour il ne me revenait pas..
« Laisse-moi te dire, Satoru. Dès que je lui mets la main dessus, il passera un sale quart d'heure. » déclarai-je avec conviction. « De même pour toi ! Quelle idée de le laisser sans surveillance ? Tu sais pourtant comment Kento est ! »
Ce fut avec horreur que je m'étais mise à titiller mon annulaire, plus précisément ma bague de marriage.
Je la fis tourner tout autour de mon doigt, submergée par un profond sentiment d'angoisse. Peu m'importait si Shoko s'occupait de lui, je ne pus échapper aux pensées effroyables qui s'emparèrent de mon esprit, j'en fus terriblement ébranlée. Satoru affirmait qu'il était vivant, blessé certes mais le cœur pulsant dans sa poitrine. J'aurais adoré m'en convaincre. Cela aurait été si simple. J'avais.. J'avais simplement le besoin de m'en assurer moi-même, il me fallait plonger mon regard dans ses beaux yeux, toucher son avant-bras, écouter le son de sa voix, me blottir contre lui, et l'entendre me répondre avec chaleur et affection tandis que je le réprimanderais.
« Ce fléau, Kento l'a attrapé ? »
« D'après Ijichi, non. »
« Comment ça ? » m'offusquai-je.
« Tu le connais mieux que moi... »
Satoru me rattrapait, à présent il marchait à côté de moi, les mains dans les poches de son uniforme. Quant à moi, je regardai à nouveau ma montre. Juste après, je retournai titiller ma bague.
« Je vais moi-même me charger de son cas. Il va voir. »
« Le fléau, ou⸺ »
« Kento, bien sûr. Ce fichu fléau m'importe peu ! Quelqu'un finira bien par l'exorciser. C'est lui qui m'inquiète. »
« Je l'ai vu, avant de te rendre visite. » me conta Satoru. « Hormis son flanc gauche, il n'est pas gravement blessé, tu n'as pas trop à t'en faire. Il est solide, mine de rien. »
« Je sais de quel bois est fait mon mari, merci. »
Satoru esquissa un rictus. Il leva les mains en l'air.
« Je disais ça comme ça... »
Nous arrivâmes enfin à destination.
J'ignorai mon ami de longue date pour pousser la porte du bureau de Shoko, pénétrant la première dans la pièce et faisant passer mon regard sur l'endroit à la recherche de Kento. Les bibliothèques contenant des livres de médecine ou de fléaux furent ignorées, tout comme les lampes ou les murs et sol faits de bois, son bureau et Shoko elle-même. Car, presque instantanément, mes yeux s'étaient posés sur lui. J'avais trouvé Kento.
Assis sur un canapé calé contre le mur gauche de la pièce, la brune était accroupie dos à nous, elle se chargeait de trifouiller le flanc de mon mari, mais elle tournait la tête dès qu'elle entendit Satoru refermer la porte.
« Je t'avais dit de garder le silence. »
Les propos de Kento ne me surprirent point, l'enfant prodige leva les mains en l'air en guise de réponse.
« C'est rien. » il s'exprima en me regardant. « Je ne suis pas mortellement blessé, juste écorché. »
Sa veste beige était déposée à côté de lui sur le dossier du canapé. Il portait sa fidèle chemise bleue et son affreuse cravate jaune décorée par des coins d'ombre, ainsi que ses bretelle de cuir marron. Il n'avait pas l'air en mauvais point. Shoko me cachait la vue sur sa blessure, mais il n'était pas ensanglanté. Dans le creux de sa main, reposait sa paire de lunettes. Je zieutai un peu les alentours, je tournais la tête et fronçais mes sourcils. Lorsque je trouvai son arme sur le bureau, je me calmai. Satoru dans mon dos s'en alla prendre place sur le fauteuil de Shoko, celle-ci ne répliqua pas, elle terminait de soigner mon mari. Pas même une cigarette dans le bec.
Soudain, elle se redressa.
« C'est par ici que ça se passe. »
« Mhh ? »
Shoko pointa du doigt ce qui restait de Kento.
« L'ignore pas, il s'en est bien sorti. Je t'assure. »
Je déposai mon poing contre ma hanche, furieuse.
« Ça c'est à moi d'en décider. »
J'étais enragée à vrai dire. Je ne pus m'empêcher de le foudroyer du regard.
« Et permets-moi d'en douter. »
« Nanami va se faire réprimander.. » chanta Satoru.
Je me rapprochai de mon mari, Kento étendit son bras sur le dossier du canapé et je pris soin de m'asseoir juste en dessous. Il avait les jambes écartés, la tête penchée en arrière, mais cela ne me gênait pas. Tandis qu'il s'étalait, moi, je me refermais sur moi-même. Après tout, c'était ainsi qu'une femme se devait de se comporter. Les jambes collées les unes contre les autres et mes mains déposées sur mes genoux, je dévisageai mon amant. De leur côté, Shoko et Satoru échangeaient quelques informations, autant sur le fléau que Kento avait combattu que des informations sur Ijichi et où il se trouvait. Cela m'importa rapidement peu, j'avais en effet autre chose à faire que de me préoccuper d'esprits alors que mon âme sœur se trouvait dans un tel état.
« Ne crie pas. »
« Tu as mal à la tête ? » je le questionnai en apportant le dos de mes doigts à son front et joue.
« Affreusement. »
Son grognement me fit froncer les sourcils.
« Comment tu te sens ? »
« Vivant. »
Je me rapprochai de lui, collant ma cuisse à la sienne et pivotant mon torse de manière à être contre lui. Il était chaud. Son flanc gauche était complètement ensanglanté, sa chemise, elle, fichue. Pas même un bon lavage aurait suffit à se débarrasser de la quantité astronomique de liquide qu'elle avait absorbé. Cela me frustra. Je relevai bientôt la tête de manière à planter mon regard dans le sien, mais Kento avait les yeux clos.
« Ce fléau.. Qu'est-ce qu'il t'a fait ? »
« Satoru ne t'a rien dit ? » grogna-t-il.
« Juste que tu as été attaqué par un fléau rapiécé, et qu'il manipule les âmes de ses victimes. » expliquai-je. « Mais c'est ta version que je veux, mon amour. »
Kento ouvrit un œil.
« Il m'a touché. »
Sa main libre effleura certaines parties de son corps.
« J'ai senti quelque chose en moi changer, mais il ne faisait pas le poids. Il n'a pas eu le temps de finir ce qu'il avait commencé. »
« Tu ne l'as pas exorcisé. »
« En effet. »
« Il risque de réapparaître, tu es sûr de toi ? »
« Je suppose. »
Je touchai sa cravate du bout de mes doigts. Elle n'était pas parfaitement nouée, Kento avait dû essayer de la faire lui-même après son combat, mais elle était tortue et penchait sur le côté. Je levai une de mes jambes et la déposai sur sa cuisse de manière à me rapprocher un peu plus de lui, immédiatement, je défis sa cravate et m'attardait à la renouer proprement.
Kento passa son bras autour de mes hanches. Il rouvrit les yeux.
« Merci. »
Je lui souris en retour.
« Je t'en prie. »
Une fois ma tâche exécutée, je me rassis convenablement sur le canapé, la seconde suivante mon mari m'imita. Nous nous retrouvions de cette manière : épaule contre épaule, cuisse contre cuisse, le dos bien droit. Je regardais devant moi, légèrement perturbée.
« Si.. »
J'avais la bouche pâteuse.
Un goût amer présent sur mon palais me répugna.
« Si il arrive que tu perdes la vie au combat, je- »
« Tout ira bien. »
Son ton pourtant convaincant ne sut me convaincre. Ironique. Enrageant. Abominable. Je soupirais bruyamment, ignorant les tremblements que subissait ma gorge.
« J'ai confiance en ta technique. Tu mérites ta position, et jamais je n'oserais douter de toi, Kento. » parlai-je. « J'ai eu peur. »
« Je comprends. Je suis désolé. »
« Merci. »
« Je me suis approché de trop près, il me fallait des informations. J'ai réduit les dégâts du mieux que j'ai pu. »
« Les fléaux s'adaptent. »
Ma référence à Satoru nous fit tout deux tourner la tête dans sa direction. Lui et Shoko continuaient de parler. Ils ne faisaient plus attention à nous, immergé dans un débat apparaissant ma foi assez prenant.
« Il va falloir redoubler d'effort pour les exorciser. »
Je me sentais embarrassée. Furieuse, je l'avais été. Notamment contre Kento. Il n'était pas quelqu'un de stupide, il réfléchissait et agissait en fonction de faits et hypothèses, c'était un homme bon. J'avais été furieuse par la simple idée de le retrouver blessé, et j'aurais adoré le lui reprocher, lui passer un savon qui l'aurait rendu propre comme un sous neuf. Toutefois, alors que je me tenais à côté de lui, qu'il venait de saisir ma main dans la sienne, je n'étais plus très sûre... À présent, je n'étais plus que soulagée. Embarrassée aussi, parce que j'avais pensé que lui crier dessus aurait été une solution idéale. Je me voyais mal me lâcher sur lui de cette manière en cet instant. Je doutais qu'il le mérite.
Tout ce que je fis, finalement, fut entremêler mes doigts aux siens. Mes ongles en acrylique noirs touchèrent et poignardèrent le dos de sa main tandis que ses doigts, lui, me touchèrent gentiment. De plus : son pouce se mettait à me caresser. Je ne résistais pas bien longtemps.
Ma tête tomba sur son épaule.
« J'ai bientôt terminé ma journée de travail, tu veux bien m'attendre ? »
« Je suppose. »
Nos mains étaient déposées sur sa cuisse. La vue était jolie, nos peaux embrassées sur son pantalon couleur crème dont le doux tissu se frottait à mon épiderme. Sans oublier de citer l'agréable odeur qui émanait de lui, de l'eau de Cologne. Kento sentait divinement bon.
Enfin, je me levai.
« Suis-moi. »
Mon mari attrapa sa veste de la même main qui tenait ses lunettes. Il hocha la tête et m'imitait, posant ses pieds au sol et se redressant, au même moment, Satoru et Shoko levèrent la tête dans notre direction.
« Vous partez déjà ? »
« J'ai même pas vu Nanami se faire remonter les bretelles ! »
Je plantai le talon de mon escarpin entre deux planches de bois et plissai les yeux. Kento remit ses lunettes et jeta sa veste de costume sur son épaule -entre temps j'avais aussi récupéré son arme et la lui avait rangé dans le dos-, je l'entendis hisser. Son flanc lui était encore douloureux.
« Merci de t'être occupée de lui, Shoko. Je me charge du reste. »
« Me le renvois pas à moitié mort, je le ferais pas une troisième fois. » m'accusa-t-elle en tirant une taffe.
« C'est compris, encore merci. »
Elle hocha la tête.
« Bon, bah si y'a plus rien à faire ici, moi aussi je m'en vais. » déclara au même moment Satoru. « J'ai des coups de fil à passer. »
Il déposa sa main sur l'épaule de Shoko et nous rejoignit moi et mon mari.
« On va te laisser, passe une bonne soirée. »
Kento, moi-même et Satoru saluâmes une dernière fois la brune, la minute suivante, nous nous retrouvions hors de son bureau. Satoru ferma la porte sur ses pas et nous suivit. Je le sentis se rapprocher de nous. Il avança, avança et, enfin, pencha la tête jusqu'à souffler sur l'oreille de Kento. Le temps que mon mari ne réagisse, il s'était déjà reculé.
« Alors, Nanami, comment tu te sens ? »
« Bien. »
« C'est tout ? Je me suis inquiété tu sais. J'étais mort d'inquiétude, tu imagines ! »
« Sans mal. » ironisa mon époux.
J'étouffai un rire.
« Tu rentres te reposer alors ? Mais tu reviens demain j'espère ? L'école sera vide sans toi, sinon ! »
« Par pitié... »
De sa main libre, il se massa la tempe.
« Satoru. » j'appelai mon ami de longue date.
Le concerné leva la tête.
« Je me charge de lui, va passer ton coup de fil. »
« Oh, vous voulez déjà vous débarrasser de moi ? » agonisa-t-il avec exagération.
Je lui offris un gentil sourire, le voyant extirper de son pantalon son téléphone portable. Il tapota dessus sans cesser de s'exclamer pour autant.
« Je vous lâche maintenant mais attention à toi, demain, Nanami ! Je vais faire une inspection intégrale pour m'assurer que- »
Kento se retourna violemment.
Serrant la mâchoire je fis les gros yeux à Satoru et poussa mon mari hors du couloir.
« Je pense qu'il a compris le message, mon amour. Ne le laisse pas gagner, viens. »
De ma main libre, je m'accrochai à son bras. Kento pesta dans sa barbe.
Sa partie droite était entièrement recouverte par moi, sa main par la mienne, son bras par ma main et ma poitrine, nos jambes marchant côte à côte dans un rythme que j'eus été forcée de lui imposer afin de fuir le fléau qu'était Gojo Satoru lui-même. Cela nous amena à quitter les lieux en un temps record. À mon plus grand plaisir. Désormais, Kento se trouvait auprès de moi, nous avions le début de soirée et toute la nuit rien qu'à nous.
« Tu parviens à marcher ? »
Kento baissa la tête, il croisa mon regard.
« Avec ou sans toi, oui. »
J'acquiesçai.
« Je t'embarrasse ? Excuse-moi. »
Je me reculai, cependant, le temps de me décoller de mon époux, il tira sur nos mains enlacées et me renia cet acte. Kento me colla de nouveau à lui, l'expression de son visage voilée par un drap de frustration.
« Reste. »
Il s'accrocha à moi.
« Ne te sépare pas de moi. »
Malgré moi, un sourire prit place sur mes lèvres. Nous continuâmes de marcher, pressés l'un contre l'autre, bientôt, nous arrivâmes à l'extérieur du lieu et vîmes le début d'un coucher de soleil au loin. Kento le regarda un bref instant tandis que moi, il captiva mon attention un peu plus longtemps. Il faisait un peu plus frais. Cela justifia mon acte suivant. Je déposais ma tête sur son épaule.
« Je n'oserais jamais. »
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 120
Comme prévu, j'organise pour mon nouveau client policier (en fait c'est un mec des anciennement RG) son plan arrestation de racailles. Jimmy est en jogging Adidas et sketts et Ed en ptit bourge, jeans, polo et mocassins.
Pendant le trajet en voiture (j'ai emprunté celle de Marc, la Z8 n'a que deux places !), j'explique à Ed les détails du plan. Jimmy le rassure en lui disant que ce plan l'avait fait kiffer grave. J'ai emporté un dictaphone pour enregistrer les propos échangés. Il ne me restera qu'a me souvenir des éléments visuels.
Nous arrivons chez lui, je sonne. Il nous ouvre, me glisse mon enveloppe et aussitôt attrape mes deux demi-portions (à coté de lui !), les plaque contre le mur, jambes écartées et les menotte direct dans le dos.
Dans le texte : Lui - alors mes petites salopes, je vous tiens ! Toi le beur, tu aimes tellement ma bite que tu recommence tes conneries ? C'est qui le ptit mec qui est avec toi ? Jimmy (avec un air effrayé) - Non, non msieur, c'est juste un potes. Lui - c'est ça, tu vas finir par me dire que c'est ton cousin ! Jimmy - non, c'est juste un copain. Lui (se tournant vers Ed) - ha ! toi aussi tu l'encules ? Lui (vers Jimmy) - en plus de dealer tu fais la pute ?
Et de les emmener direct vers le sous sol et sa salle de commissariat. Je les suit et prend un fauteuil dans un coin de la pièce. Il attache Jimmy au radiateur ce qui le force à s'asseoir par terre. Et il place Ed sur la chaise devant son bureau. Là il se place devant lui les fesses sur le bord du plateau mettant bien en évidence son paquet moulé par le jeans.
Lui - alors comment tu t'appelles ? Ed (à qui j'avais fait la leçon) - Marc Antoine. Lui (vers Jimmy) - et tu vas me dire que tu fréquentes la haute !
L'interrogatoire continu et il arrive bien à mettre Ed mal à l'aise. Jimmy de son coté s'est bien mis dans le jeu et prend son rôle de dealer de shit et de son cul avec naturel. Il finit au bout d'une demi heure à arracher à mes deux jeunes recrues que oui il est un dealer (pour Jimmy) et que oui il est bien un client régulier (pour Ed).
Couplet moralisateur comme quoi la drogue c'est pas bien, ça fait des dégâts et peut faire faire des bêtises... Et il achève par un - par contre le sexe, si tu te protège bien, ça t'apporte autant de plaisir sans déchéance physique. Je vais vous montrer.
Là, il les met debout et les déshabille. Jimmy bande déjà à moitié ce qui lui vaut une réflexion de notre client. Ed, lui, n'en mène pas large. De temps en temps il me glisse un regard interrogateur auquel je répond par un hochement de tête qui le fait continuer.
Lui (vers Ed) - comme c'est lui qui bande en premier (en montrant le sexe de Jimmy) c'est toi qui va le sucer.
Réticence d'Ed - je ne suis pas un homo.
Lui - tu n'as pas le choix, je te fais ta première séance de désintox. C'est ça ou la tôle. Et la bas, ton ptit cul il sera à la fête tous les jours et même plusieurs fois par jour !
Ed capitule et s'agenouille pour sucer Jimmy dont la bite à pris toute son ampleur. Au bout de 5 à 10 mn, le client déboutonne son jeans avec difficulté et sort sa grosse bite et ses couilles. Il les présente à Ed et lui dit
comme tu as l'air d'aimer ça finalement, tu peux bien t'essayer sur celle là.
Ed joue bien le jeu, il dit qu'elle est trop grosse, qu'il ne peut pas...
Le mec le prend par le cou (comme il est à genoux par terre, il n'a pas grande liberté de s'échapper) et lui enfonce d'autorité sa bite direct dans la gorge. Ed s'étrangle avec conviction (je crois que ce n'est même pas joué ce moment là !).
Lui - tu vois que tu aimes ça !
Jimmy ne veut pas rester de coté, il gueule et le mec le détache du radiateur tout en le re menottant dans le dos. Il le met à coté d'Ed et Jimmy se penche pour bouffer les boules qui vont avec la teub qui défonce la gorge de son copain de galère.
Lui - tu vois ton pote il aime ça. Une vraie salope, j'avais déjà remarqué la dernière fois ou je l'avais arrêté !
Là, il continue un bon moment sur ce type de conversation. Bientôt il se met à piner une bouche après l'autre, un coup dans la gorge d'Ed, un autre dans celle de Jimmy. Commentaires :
- regarde ptit bourge comment il prend bien la queue ton dealer. !
et de plonger trois ou quatre fois sa bite dans la gorge de l'intéressé sans qu'il ne tousse. Ed fait de son mieux quand son tour arrive mais j'entend quand même que c'est moins " naturel " que pour Jimmy !
La séance de pipe dure bien 3/4 d'heure.
Il se met à poil devant deux paires yeux intéressés. Il est assez beau mec dans le genre brute ! Puis il lace un cockring autour de sa queue, derrière les boules. Sa bite déjà fort respectable prend encore bien 1 bon cm aussi bien de long et un do demi de large. Et d'annoncer à ses deux prisonniers,
- Avec ça je vais pouvoir durer un bon moment dans vos culs.
Récriminations de Jimmy
- Non msieur, j'suis pas une pute ! repris en coeur par Ed, - j'suis pas un Pd !.
il détache Jimmy et le force à se coucher sur le dos sur le bureau débarrassé de tout la fausse paperasserie. Puis il détache Ed et lui dit de se mettre en 69. Ed fait semblant de pas savoir ce que c'est. Ça lui vaut une bourrade dans les cotes (gentille) et le mec l'attrape par les hanches le soulève comme une plume et le place au dessus de Jimmy en 69. Là, il attache chaque poignet avec la cheville qui lui correspond et il leur ordonne de se sucer mutuellement. Alors que le 69 démarre doucement, je le vois préparer gel et Kpotes.
Il leur ordonne alors de se bouffer mutuellement le cul. Mes deux mignons s'en donnent à coeur joie et pour améliorer la position, Le mec détache les poignets d'Ed pour pouvoir lui faire passer les jambes de Jimmy sous les bras. Là, il attache les deux chevilles ensembles, enfermant le torse d'Ed dans le ciseau des cuisses de Jimmy puis, il attache les poignets d'Ed à des anneaux que je n'avais pas vu sous le rebord du plateau.
Le cul de Jimmy est alors bien positionné pour qu'Ed le mange. Le mec se branle en regardant le tableau. Je bande un max mais ne peut intervenir ! Au retour, je les gaverais de mon jus !
Il finit par kpoter son monstre et le pousse sous le nez d'Ed pour s'enfoncer dans Jimmy. Ed à bien compris le jeu et il lèche la hampe pendant toute la pénétration avant de sniffer dans les poils du pubis de l'enculeur. L'odeur de la sueur va le faire se détendre façon poppers ! Le mec prend la tête d'Ed et la replace sur la teub de Jimmy qui n'a pas débandée sous l'effet de sa dilatation anale. Et, pendant qu'il lime le trou , il maitrise la fellation d'Ed en tenant sa tête de ses deux mains. Il demande à Jimmy si le cul d'Ed est prêt. A sa réponse positive, il décule et fais le tour du bureau. Je vois qu'il change bien de kpote pendant le trajet. Il se place au dessus de la tête de Jimmy et pose son gland sur la rosette couverte de salive d'Ed. il pousse, Ed avance involontairement. Le client attrape Ed par les hanches pour le fixer et donne un coup de rein qui fait entrer son gland. Léger gémissement de la part d'Ed. J'ai peur que la salive soit insuffisante. J'intervient pour protéger ma " marchandise ". Le flic sort son gland et le remplace par l'embout d'un tube de lubrifiant. Il le presse et en vide une moitié dans les boyaux d'Ed. Il ajoute à cela un dosage sévère de poppers et s'enfonce dès le premier frémissement d'anus. Pour compenser l'attente, il entre sa queue entièrement sans faire de pause ! Ed super dilaté et lubrifié encaisse comme un homme. Ils sont bien ces deux petits ! Sans qu'un ordre ne leur soit donné, Jimmy bouffe les grosses couilles rasées du mec alors qu'Ed a repris sa pipe sur Jimmy.
Notre client change de cul encore deux fois limant sur la totalité de ses 26cm les deux petits culs à sa disposition. Après une bonne heure de sodomie, il lâche les vannes et se retire d'un coup d'Ed, dékpote et jute un max sur son dos. La quantité est telle que le sperme dégouline de ses flancs pour salir Jimmy. Je m'aperçois qu'Ed à juté lors du retrait de la méga bite sur le ventre de Jimmy et ce dernier gaver Ed de son jus. Le ptit con avale ! je vais devoir remettre les pendules à l'heure au retour !! le seul sperme qu'il ont droit de boire est le miens et celui de Marc ! Le client les détache et les envoie sous la douche.
Il vient vers moi et nous discutons. Il me dit qu'il a bien pris son pieds et que ça valait le prix. Il me dit qu'il aimerais aller plus loin question domination. Je réfléchi, avec mes deux jeune recrues hors de question, trop jeunes. Avec Jean, c'est pas trop son trip. Il ne me reste que Ric mais j'ai promis à son père de ne pas en faire une pute ! je vais devoir négocier. Je pense pouvoir avancer qu'un trip domi hard pourrait être une récompense pour Ric au regard de ce qu'il sert à son père !
JARDINIER
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