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#grand couronne
retrogeographie · 1 year
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Grand-Couronne.
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lilias42 · 2 months
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Des nouvelles de la BD de Pyrkaïa : l'arrivée à Garreg Mach et des "retrouvailles"
Bon, ça fait pas si longtemps que je n'avais pas mis de mise à jour sur l'avancée des travaux mais, j'étais plutôt fière de ses planches alors, j'avais envie de les partager.
Pas vraiment de précision à apporter, il n'y a pas de vocabulaire un peu spécifique mais, leçon de cette BD : ne pas remettre un symbole sur le front d'un personnage qui descend vers ses yeux ! C'est parfois un enfer sur des petites Pyrkaïa de faire rentrer sa marque sur son front sans lui en faire un énorme ou empiété sur ses yeux ! Heureusement qu'elle n'a pas de frange mais plutôt des "antennes" (qui sont devenu officiellement ma marque de la famille Charon : cette petite mèche ou deux sur le front, elles l'ont toutes de manière plus ou moins prononcé, Dimitri comprit a cette mèche) sinon, j'aurais été bonne pour changer tous son design... alors que j'aime bien cette marque sur sa tête... Enfin, j'essayerai d'améliorer ça une fois que ce sera en noir...
Ah, peut-être un point un peu limite : dès que Pyrkaïa voie... quelqu'un on va dire pour ne pas spoiler les pages d'en dessous, elle déduit tout de suite que cette personne est du même peuple que lui... à la réflexion, c'est un peu limite mais, j'en avais besoin pour le bien du déroulé alors, on va dire "TG, c'est le scénario" et qu'en plus, c'est littéralement la première fois qu'elle rencontre quelqu'un qui dégage la même énergie que lui dans un endroit remplis de symboles de sa culture à lui alors, elle a mis la charrue avant les boeufs.
Et pour le petit personnage en haut de la première page, elle n'est pas encore apparue vu que ces pages ne sont pas encore nettoyées mais, il s'agit d'un clin d'oeil à ma première série de billet sur ce blog, UA "bye !" étant donné que c'est Ariel, l'élève qui remplaçait Félix dont la famille était passée côté Leicester pour diverses raisons. Vu qu'elle n'a pas trop eu d'apparition ailleurs et que je ne l'ai jamais réutilisé dans mes histoires, je voulais au moins l'utiliser ici vu que dans cet UA, elle devait rejoindre la classe avec Ashe après avoir tenté de fuir les troupes de Lonato et de l'Eglise Occidentale pour rejoindre Garreg Mach afin d'arrêter cette folie, étant particulièrement déterminée étant donnée qu'elle est une femme trans qui doit se planquer de la secte occidentale.
Sans plus de circonvoluassions, voici la suite de l'histoire de Pyrkaïa !
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#fe3h#écriture de curieuse#dessin de curieuse#fe3h oc#j'espère que ça vous plait surtout !#on avance petit dans la BD !#et il faut que je trouve un tag pour elle...#Le costume de Rhéa est le plus difficile à refaire avec tous ses détails...#je lui ai enlevé sa grande coiffe sinon ça déséquilibrait le tout je trouve et bouchait la planche je lui ai juste laissé sa petite couronn#vu qu'elle l'a sur ses dessins préparatoires quand elle n'a pas sa grande cape d'archevêque#J'espère qu'on arrive à voir que les armures sont différentes entre le camp adrestien et celle du fils de Pyrkaïa...#ils sont en lorica de légionnaire (et leur gros foulard pour Wilhelm qui a aussi la coiffure en fourchette des julio-claudien)#face à une linothorax grecque pour son fils... et Seteth et Eriu ont des habits plus proches des civils avec une pseudo-toge et une broche#Flayn est quelque part à l'arrière pour qu'elle ne soit pas pris dans les combats#Je n'ai pas repris l'armure de Rhéa du jeu à part sa cape je préférais lui mettre une grosse armure plus couvrante#et je trouve son casque chauve-souris ridicule ça n'aide pas non plus - -'#quant à Paenitens que tient Indech son habit en plus inspiré des celtes / gaulois histoire de faire le tour#Désolé Ingrid mais je n'arrive à voir ton ancêtre que comme étant une duscurienne... et vous êtes comme l'eau et le feu#mais je pense que ça l'aiderait à remettre les choses en perspective... et son chibi abasourdi était très amusant à dessiner#la reprise de la fresque a été une telle galère... je garantis pas de refaire tous les détails mais je vais essayer d'en faire un max...#Désolé de te faire souffrir comme ça Rhéa... les pages du massacre de Zanado et de la guerre ont vraiment été dures à dessiner...#ça me faisait mal de la voir sombrer comme ça et de faire gagner les agarthans vu qu'elle est tombée dans le panneau...#puis tout remonte quand elle voie vraiment Pyrkaïa tel que la voyait Oengus... ça fait mal...#Tout le monde s'est juste fait manipulé par les agarthans et Némésis dans cette histoire...#mais promis ça va aller mieux et tu vas pouvoir te libérer un peu de ta culpabilité !#Rhéa mérite d'avoir un peu de réconfort après tout ce qui lui ait arrivé et Pyrkaïa va vite la comprendre sans l'enfoncer !
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St. Hubert hostel in the Les Essarts quartier of Grand-Couronne, Normandy region of France
French vintage postcard
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thibaud-grand · 2 years
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Roi Lion - 2021 Paris
Crayon sur papier 15 x 10 cm
Thibaud Grand © Adagp, Paris 2023
#leo #lion #king #roi #drawing #dessin #art #kunst #zeitgenössischekunst #arte #radical #releone #artcontemporain #contemporaryart #reality© #thibaudgrand #artcollector #artcurator #crown #couronne #artecontemporanea #disegno #diseño
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chic-a-gigot · 4 months
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La Mode nationale, no. 22, 5 juin 1897, Paris. No. 15. — Toilette de visites. No. 16. — Toilette de promenade. Bibliothèque nationale de France
No. 15. — Toilette de visites en peau desoie violine, corsage-blouse bouffante en mousseline de soie paille, recouvert par un boléro brodé en appliques de velours noir, col montant en velours avec ruche rabattue en dessus; haute ceinture corselet, boutonnée, en velours noir; manches plates avec petit ballon surmontant un volant de dentelle, appliques sur le bas de la manche. Jupe plate, plissée derrière, brodée d'appliques sur le bas et sur les hanches. Chapeau Henri II en paille de riz noire, recouvert par une couronne de violettes avec grand oiseau du Paradis faisant aigrette derrière, fleurs en relevage sur le côté.
No. 15. — Visiting enesmbel in purple silk skin, bouffant bodice-blouse in straw silk muslin, covered by a bolero embroidered in black velvet appliques, high velvet collar with ruffle folded over; high corselet belt, buttoned, in black velvet; flat sleeves with small balloon surmounting a lace flounce, appliques on the bottom of the sleeve. Flat skirt, pleated at the back, embroidered with appliques at the bottom and on the hips. Henri II hat in black rice straw, covered by a crown of violets with a large bird of Paradise in the shape of an egret behind, flowers raised on the side.
Métrage: 12 mètres peau de soie violine.
No. 16. — Toilette de promenade en lainage gris nickel, corsage-blouse recouvert par un boléro brodé, échancré du bas, à col montant renversé, cravate de dentelle retombant sur le corsage; manches plates avec petits ballons dans le haut. Jupe plate, cerclée dans sa hauteur par trois rangées de galon en laine s'abaissant en rond sur le devant, ceinture semblable. Chapeau paillasson gris nickel, couvert de fleurs des champs mélangées à un froufroutage de mousseline de soie, avec haute aigrette au-dessus.
No. 16. — Walking dress in nickel gray wool, bodice-blouse covered by an embroidered bolero, indented at the bottom, with a high reversed collar, lace tie falling over the bodice; flat sleeves with small balloons at the top. Flat skirt, encircled at its height by three rows of wool braid falling in a circle on the front, similar belt. Nickel gray doormat hat, covered with wild flowers mixed with a frill of silk muslin, with high egret above.
Métrage: 6 mètres lainage en 120.
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empiredesimparte · 24 days
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Official portrait of His Imperial Majesty, Emperor Napoleon V of the French, on the occasion of the coronation
The photograph was taken in the Hall of Mirrors at Versailles, by la Maison de l'Empereur. Emperor Napoleon V is wearing the grand collar and ribbon of the Order of the Legion of Honor, the sword of Charlemagne, and the uniform of Grand Habit d'amiral de la Marine Impériale.
⚜ Traduction française
Portrait officiel de Sa Majesté Impériale, l'Empereur Napoléon V, à l'occasion du couronnement
La photographie a été réalisée dans la galerie des glaces à Versailles, par la Maison de l'Empereur. L'Empereur porte le grand collier et le ruban de l'ordre de la légion d'honneur, l'épée de Charlemagne, et l'uniforme de Grand Habit d'amiral de la Marine Impériale.
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olympic-paris · 8 days
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saga: Soumission & Domination 271
Arcachon
Jour 2
Vers 19h00 nous nous rendons à pied à l'invitation. Un seul kilomètre nous sépare et ça permettra de rentrer même bourrés.
Nous faisons la route en discutant de qui avait remarqué qui dans le " camp " adverse. Comme ils sont assez uniformisés, entre 1,80m et 1,90m, muscles marqués et même pas mal développés pour certains, beaux culs et paquets prometteurs, je crois qu'on ne devrait pas être déçus.
La villa qu'ils ont louée n'est pas aussi typé que la notre mais le nécessaire est là, une piscine et surtout une grande haie qui isole la propriété sur tous ses cotés. Nous sommes reçus avec enthousiasme. Ils n'avaient pas attendus pour commencer l'apéro. Nous leur confions les deux caisses de champagne et aussitôt 4 bouteilles sont sabrées. Comme ils sont déjà tous à poil, nous nous mettons à l'unisson. Matages réciproques du matériel. On a pas à avoir honte, nous sommes dans l'ensemble (surtout pour nous trois et les gendarmes) plus musclés qu'eux et nos bites n'ont rien de ridicules surtout celle d'Ernesto qui fait toujours son petit effet au déballage. Vu qu'on n'avait pas réellement baisé depuis la veille, nos bites sont montées vite fait au garde à vous. La touze a démarré aussitôt !
Je me jette sur un brun de ma taille, au bronzage intégral à la pilosité quasiment inexistante sauf un petit bouquet de poil ras au dessus du sexe. Il fait parti des plus musclés et sa bite ressemble fort à la mienne, peut être un cm de plus. Il se laisse accaparer. Nous nous caressons sensuellement. Sa peau est aussi douce que la mienne et mes mains glissent de son cou à sa bite. Mes lèvres suivent le même chemin avec une pose sur ses pecs pour m'occuper des adorables tétons qui les couronnent. Je suis bien récompensé quand ils se gonflent et durcissent. Je profite de leur augmentation de volume pour les attaquer avec mes dents. Un gémissement soutenu prouve que je suis sur le chemin de son plaisir. Je les abandonne et glisse sur ses abdos. Je trouve son gland qui couvre le trou de son nombril.
Je compte bien l'impressionner et doucement je m'enfile sa queue entièrement, poussant pour faire entrer son gland dans ma gorge. Je l'entends s'exclamer. Il n'oubli quand même pas de poser ses mains sur ma tête et d'appuyer dessus histoire de vérifier que j'ai bien tout pris. Après m'avoir défoncé la gorge deux trois fois il pivote et me prend en bouche. Il me rend le même service et je sens mon gland pénétrer sa gorge et se retrouver tout serré entre ses amygdales. Trop bon ça ! Nous nous contentons de cette position pendant un petit moment, variant les pénétrations totales avec l'agacement des glands par nos jeux de langues. Intermède face à face nous nous roulons des pelles jusqu'à ce que le goût de nos glands disparaisse de nos bouches. Quand je jette un cou d'oeil autour de nous, je vois que les deux groupes ont fusionnés et que personne n'est oublié. Je retourne au taf. Il est vraiment bon mon choix ! Il a une langue des plus agile et j'aime sa façon de soudain me téter la mienne.
Son cul que je pétri depuis un bon moment m'attire de plus en plus. Je le retourne sur le ventre et lui écarte les jambes. Il devine ce que je vais lui faire et relève son cul. Ma langue s'attarde sur ses fesses. Je sens les muscles frémir sous sa peau brunie par le soleil. Il s'impatiente et écarte lui-même les deux globes pour me dévoiler une rosette imberbe elle aussi, rose et ronde (même s'il ne peut cacher qu'elle a déjà servie). Je le fais languir et ma langue divague de gauche à droite mais approchant imperceptiblement de la cible. Quand je pose ma langue dessus, je suis récompensé par les gémissements que cela lui tire. Je salive et titille son anneau. Je le sens réagir à chaque sollicitation. Soudain il bascule sur le dos et pivote pour me rendre la pareille. A mon tour d'apprécier la dextérité de sa longue langue. Il est plus " agressif " que moi et rapidement tente de rentrer son appendice dans mon trou. Je résiste un peu, la laisse entrer puis contracte mon anneau. Il le sens bien et s'arrête, surpris, avant de recommencer. Nous jouons ainsi un bon moment. A mon exemple, il s'essaye aux contractions anales. Sans atteindre mon degré de fermeture, il réussit néanmoins à serrer un peu ma langue.
Je suis le premier à passer à l'étape suivante. Kpoté et luisant de gel, je m'enfonce dans son cul bien préparé. Pas de pause avant que je sois totalement collé à lui et que nos couilles se frappent. Comme je l'encule en levrette, il bascule sa tête en arrière et je ne peux m'empêcher d'aller prendre ses lèvres. Je reste sans bouger au fond de son cul le temps d'un bon mélange de langues. Je me redresse, attrape ses hanches et commence un labourage en règle de son anneau. Je le fais monter à coup de gland dans sa prostate mais cesse avant qu'il ne jute. Je veux qu'il m'encule à son tour. Sa rondelle est plus ferme que je ne m'y attendais. Je sens bien les bords serrer ma queue et malgré la kpote, je sens bien quand je bute et passe sa prostate. Les muscles de son dos se contractent régulièrement et mes mains passent dessus pour s'agripper à ses deltoïdes. J'appui plus fort mes coups de rein. Je l'emmène plusieurs fois aux portes de l'éjaculation avant qu'il ne me fasse cesser de peur que la prochaine soit la bonne.
Je me retire et kpote moi-même sa belle bite. Un peu de gel sur les surfaces destinées à entrer en contact et à mon tour me place à 4 pattes. Je le sens s'installer entre mes cuisses, les écarter pour mettre mon trou à la bonne altitude. Je regarde devant moi pour avoir la surprise. Elle n'est pas mince (la surprise). Il m'encule avec autant d'enthousiasme que j'en avais mis avec lui. Ses glissements me maintiennent la gaule ! J'apprécie son rythme pourtant ou surtout irrégulier. Je lui prouve mon bon vouloir en bloquant sa progression plusieurs fois. Ça l'excite encore plus et il met plus de force dans ses coups de rein. Il n'hésite plus à me pousser de quelques cm à chaque enculade ! Je mange grave mais j'adore. C'est ce que dis Ernesto à mon enculeur alors qu'il passe changer de partenaire.
Je fais pulser mon anneau et il ne peut plus se retenir et donne un dernier coup de rein pour s'enfoncer en moi et remplir sa kpote. De mon coté de baisse la pression pour ne pas juter.
Je le laisse et, debout, mate autour de moi pour choisir mon prochain plan. Je me laisse sucer la bite par quelques enculés devant lesquels je passe un peu trop près. Puis je trouve ma prochaine proie. Un de nos hôtes, blond, cheveux mi-longs, plutôt fin avec de belles marques de bronzage laissant la peau de ses fesses d'une blancheur virginale (probablement la seule chose de vierge chez lui !). Je l'arrache du cul d'un des jeunes " médecins " et lui plante ma bite dans sa gorge. Je ne sais quoi, en lui, me donnais l'envie d'être brutal ! J'ai de la chance, il a l'air d'aimer ça. Il subit les passages de mon gland de l'autre coté de sa glotte sans m'en vouloir, même si quelques gargouillis me prouvent qu'il n'était pas familier de la chose. Quand je lui ai bien défoncé la gueule, je le retourne et, ma bite emballé de plastique, recouverte de gel, je lui défonce le cul. Heureusement que je bandais façon barre d'acier car je ne crois pas que beaucoup de monde ait passé avant moi sa porte arrière ! D'ailleurs tout le monde s'en rend compte au bref hurlement qui s'échappe de sa bouche. Un de nos hôtes éclate de rire et dit à la cantonade que c'est bien la première fois qu'il voit son pote se faire défoncer. Je le laisse s'habituer au volume de mon engin (qui n'est pas non plus monstrueux !) puis commence les choses sérieuses. J'y vais lentement au début. Mes vas et vient sont lents mais longs. Dans un premier temps je ne ressort pas mon gland. J'ai trop peur qu'il ne me laisse pas y retourner ! Il s'y fait et commence même à apprécier ma présence. Autour de nous, deux de ses potes me regardent faire. Eux aussi ne connaissaient leur copain qu'actif. Un des mecs lui donne des conseils pour qu'il se détende et apprécie. Il ajoute même à ses conseils un peu de vapeur de poppers. Je ne sais pas si cela lui plait mais moi j'apprécie la légère détente de sa rondelle. Quelques instants plus tard, il commençait à onduler des hanches et à reculer pour venir plus vite sur ma bite. Je prends de plus en plus de plaisir à lui défoncer la rondelle et c'est réciproque. De plus psychologiquement, le fait de déflorer un actif, ça me fait durcir la bite encore plus. Je monte rapidement et explose dans ma kpote. Sous moi le blondinet jute à son tour. Je m'écroule sur lui, crevé de l'avoir sailli.
Je me retire quand même avant de débander totalement et de lui laisser ma kpote pleine dans le cul. Je m'aperçois que nous sommes les derniers à avoir jouis. Les autres ont l'air d'avoir passé eux aussi un bon moment et c'est ce que me confirment aussi bien mes deux amours (PH et Ernesto) que nos deux gendarmes.
Nous avons besoin de recharger les batteries et après une toilette sommaire mais nécessaire, nous passons au BBQ. Les entrecôtes alternent avec les merguez et les patates en papillotes, le tout servi avec un petit rosé frais. Heureusement que nos hôtes avaient été prévoyants car nous vidons le frigo ! Je crois bien avoir enfilé deux entrecôtes sans compter le nombre de merguez.
Quand nous nous séparons, nos hôtes nous font jurer de les retrouver sur la plage quelques heures plus tard.
Le retour n'est pas si titubant que je l'avais craint, même si nous somme plus près de 1g que des 0g. Nos deux gendarmes sont ravis de leur séjour chez nous. Ils sont de plus en plus libres et je commence à les apprécier plus que comme de simples objets sexuels (même s'ils sont vraiment bons à ce propos).
J'en viens même à ne pas comprendre qu'ils ne soient que simples sous off !
Je passe la nuit dans leur lit. Ça me permet d'apprendre plus de choses sur eux. Ils me confirment qu'ils sont bien amants même si la fidélité n'est pas intrinsèque. Ils font très attention à la caserne car c'est encore mal vu chez les militaires ! C'est la première fois qu'ils participent à un plan pareil. J'apprends qu'ils ne sont sous off que par leur origine modeste. Mais ça leur plait car ils passent leur temps sur leurs motos ce qui n'est pas le cas de la plus part des officiers.
Avant de nous endormir nous nous satisfaisons de pipes respectives. A ce jeu, ils sont aussi bons que moi et nos gorges profitent bien du passage de nos glands avant que nous nous jutions dessus.
Douches et dodo.
Jour 3
Réveil entre mes deux militaires. Comme ils bandent, je me penche sur leurs " problèmes " et ce faisant les tirent du sommeil à leur tour. Je continu de sucer leurs bites alors qu'ils se roulent un patin. Prise de plaisir, douches et rasages et nous descendons.
Sur le palier, nous parvient d'une chambre des gémissements significatifs. J'ouvre la porte et nous tombons sur Ernesto en train de sodomiser un de nos jeunes amis étudiant en médecine devant son propre mec qui embroche le trou opposé. Nous restons spectateurs après avoir salué les deux actifs d'une pelle et de bisous sur les lèvres alors que le passif recevait nos bonjours par l'intermédiaire de caresses sur son dos.
Bien que déjà supérieurement membrés, mes deux gendarmes ne se lassent pas de regarder les 24cm espagnols défoncer une rondelle. Nous descendons déjeuner avec eux. Nous retrouvons PH et l'autre couple médical en train de prendre un café. Comme personne ne s'est donné la peine d'aller à la boulangerie, je m'y colle et sors la SL, PH m'accompagne.
Il me demande comment s'est passée ma nuit et il me raconte la sienne. Nous revenons les bras pleins de croissants, pains au chocolat et autres viennoiseries. Les autres sont dans la piscine et nos militaires sur la terrasse à faire des pompes. Je me joins à eux. Sans poids, ils utilisent le corps de l'autre comme masse à soulever. C'est intéressant car je n'ai jamais vu ça, ayant toujours des barres normales pour mes exercices de musculation. Ils pratiquent ainsi des " développés-couchés " et le travail des bras. Nous faisons une bonne séance avant de manger. Nous complétons avec quelques oeufs brouillés.
Début d'après midi, nous votons pour savoir si nous retournions à la plage de la veille.  Tous nous sommes partants. En effet nous n'avons pas encore épuisé le potentiel parisien !  
Nous prenons notre temps et n'y arrivons que vers 15h. Les hôtes de la veille nous attendaient avec impatience et nous avons à peine le temps de quitter nos shorts que nous sommes entrainés dans leur partie de volley. Nous alternons nos participations à ce jeu de ballon avec de fréquentes plongées dans l'eau toute proche. Je matte un peu plus loin sur la plage un jeune mec qui me fait bander. Je demande à un de mes gendarmes si c'était risqué d'aller vers le petit bois un peu en retrait pour baiser un petit cul. Il me dit que ça craint pas, leurs collègues du coin laissant ce bois tranquille puisqu'aucune plainte n'en provenait.
Du coup je laisse les potes et marche jusqu'à ma proie. Il me voit venir vers lui et j'ai l'impression qu'il commence à bander. Quand je suis au dessus de lui, j'en suis sûr ! Son maillot est soulevé par une barre gonflée qui part vers  sur la droite. De mon coté je ne peux pas cacher non plus mon intérêt pour lui. Il me sourit, il est très beau ce petit con !
Jardinier
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À Miribel, il n'y a pas que le lac pour kiffer. Juste à côté, t’as un coin brutaliste construit par l'architecte Louis Mortamet, sur les ruines d'un vieux château dézingué en 1594 par les troupes d'Henri IV. On y trouve la Madone, alias Notre-Dame du Sacré-Cœur, une statue de la Vierge pas comme les autres : la plus grande de France, culminant à 33 mètres. Perchée sur les hauteurs de la Côtière, elle te balance une vue de malade sur Lyon, le Grand Parc de Miribel-Jonage, la plaine de l’Ain, le Jura, et même les Alpes par beau temps. Bâtie de 1938 à 1941 en béton moulé, cette statue a été érigée à la demande du Père Thomas, le curé du coin à l'époque, avec les deniers des paroissien·nes. Tranquille Emile. Elle cache une petite chapelle et un escalier de 151 marches menant à une plateforme dans sa couronne. Pas mal pour un peu de cardio. Juste à côté, tu peux pas rater le campanile du carillon du Mas Rillier. Un beffroi de 28 mètres de haut en pur béton, construit en 1945, abritant 50 cloches, de la plus petite de 10 kg à la plus lourde de 2157 kg, toutes inscrites à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. Encore un projet du Père Thomas, qui voulait guider les pèlerins jusqu’à la Madone avec un peu de musique (et toujours avec les économies des paroissien·nes). Le carillon est mondialement connu pour son acoustique de folie. Le premier concert a eu lieu en 1947, dirigé par le Maître Carillonneur Maurice Lannoy et depuis, ça continue de sonner toute l'année, les 1er samedis et dimanches de chaque mois.
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zialinart · 9 months
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Mon cadeau secret santa pour @saemi-the-dreamer ptit dessin et ptite fic même si bon, j'écris pas beaucoup donc c'est sûrement un peu bancal
Il était déjà la fin de l'après midi quand Arthur commença sérieusement à s'impatienter. Ca faisait au moins 3 bonnes heures que lui, une bonne partie des représentants les plus importants du monde breton et des délégations venues d'autres pays pour l'occasion attendaient. Et encore eux ils avaient la chance d'être assis, lui commençait à avoir sérieusement mal aux pieds. Et bon sang la couronne de fleur que Guenièvre avait insisté à lui faire porter lui grattait sérieusement le crâne. Il se tourna une fois de plus vers Perceval qui, tenant son rôle de témoin très sérieusement se tenait totalement immobile, les mains croisées :
Non mais bordel qu'est-ce qu'ils foutent ?
Vous voulez que j'aille me renseigner sire ?
Vous voulez dire comme les trois autres fois où vous êtes allés vous renseigner et vous êtes revenus bredouille ? Je sais pas vous vous sentez capables de trouver le chemin des vestiaires cette fois ou je vous colle un intendant pour vous accompagner ?
Non mais les autres fois je suis tombé sur Karadoc ça m'a perturbé, là c'est bon il est assis y'a pas de mouron à se faire sire.
Ok mais dépêchez vous, et dites leur de se bouger aussi ou je sens que l'église va se transformer en un champ de bataille romain-visigoth
De son point de vue il pouvait observer toute la salle et voyait clairement que des alliances commençaient à se défaire au fur et à mesure que les gens s'impatientaient. Les représentants des pays qui parlaient la même langue étaient très agités et parlaient de plus en plus fort, semblant ne pas s'entendre sur le goût du vin, dont ils avaient probablement déjà un peu abusé. D'un côté c'était la seule chose à faire en attendant. Perceval partit se renseigner et Arthur alla se chercher une coupe lui-même, histoire d'actionner un peu ses jambes. Il avait été plutôt fier de son idée de renouveller son mariage avec Guenièvre à la mode catholique, en invitant les plus grands noms du coin afin de montrer qu'il était revenu en tant que roi et que le royaume se portait bien désormais. Mais maintenant qu'il était là, face à tout ce monde qui s'impatientait, il se sentait plutôt nerveux. Bon sang qu'est-ce qu'elle foutait ? C'était pas si foutu compliqué d'enfiler une robe potable pour l'occasion, de se faire un peu tresser les cheveux et boum, mariage et on n'en parle plus.
Qu'est-ce que vous foutez retournez à votre place espèce de trou du fion !
La voix de sa belle mère resonna derrière lui tandis qu'il se servait un verre. Ah, au moins si elle était sortie du vestiaire c'est que c'était bientôt fini
En attendant que votre fille daigne se montrer faut bien que je m'occupe
Oui, bah c'est bon vous vous êtes occupés retournez à l'autel, là Elle le poussa vers le fond de l'église tandis qu'il protestait
Faites gaffe bordel c'est un costume spécial pour l'occasion j'ai pas envie de le tâcher en renversant du vin
Vous avez qu'à pas faire votre poivrot au moins pour une soirée. Pis toute façon croyez moi vous aurez pas besoin d'alcool quand vous la verrez.
Elle le laisse planté là, retourna s'asseoir auprès de Léodagan et secoua celui-ci qui s'était endormi sur son banc. Arthur prit une gorgée de vin en réfléchissant à ces dernières paroles étranges. Oui ok, il avait ét�� assez peu discret ces derniers temps sur les regards qu'il lançait à Guenièvre mais enfin de là à ce que sa belle mère le remarque. Le goût acre du vin le fit hoqueter et il s'énerva mentalement sur les paysans qui n'étaient même pas capables de fournir un vin correct pour le mariage de leur roi. A ce moment là Perceval revint, accompagné de Bohort, l'un en bleu, l'autre en vert pour représenter les deux parties du mariage. Pourquoi Guenièvre avait choisi Bohort comme témoin ça le dépassait, après tout il ne les pensait pas si proches. Mais d'un autre côté il n'avait pas été tellement attentif aux passes temps et aux amis de sa femme durant le temps qu'il avaient passé ensemble. Il se promit mentalement de changer ça.
Ah bah c'est pas trop tôt c'est bon elle va venir ou il faut que je reporte à après-demain ?
C'est bon, c'est bon sire, dit Bohort avec un sourire jusqu'aux oreilles. Sauf votre respect vous allez être plutôt impressionné de ce qu'on a fait avec du simple tissu
Je m'en fous un peu de votre tissu Bohort j'aimerais bien commencer le processus pour que les gens finissent pas par s'étriper dans une église.
Bohort se rangea du côté de la mariée, toujours souriant, et Arthur remarqua que Léodagan s'était eclipsé, sans doute pour pouvoir accompagner la mariée jusqu'à l'autel, c'était bon signe. Même si bon, ils étaient déjà mariés depuis 30 piges techniquement il n'avait pas vraiment sa main à lui donner. Il sursauta alors qu'un orgue commença à résonner dans la salle. Ils avaient un orgue dans le coin ? Encore un détail qui luil avait échappé. Il déposa son verre de vin sur le côté tandis que les invités se levaient, certains de façon un peu vacillante. Deux petites filles apparurent du fond de la salle et dispersèrent des pétales de rose tout le long de l'allée. Et puis elle apparut au bras de son père. Sa machoire tomba et il oublia tout. Les trois heures d'attente, les invités qui s'engueulaient, le vin dégueu, même ses pieds. Elle était vêtue d'une robe en tulle blanche recouverte de fleurs bleues jusqu'à la taille. Ses cheveux lui tombaient sur les épaules en cascade, avec seulement une couronne de fleurs similaire à la sienne sur la tête. Elle était magnifique. Elle arriva à sa hauteur et Léodagan lui donna sa main et retourna s'asseoir. Elle lui sourit timidement tandis que le prêtre se mettait en position.
Vous dites rien ?
Je euh Pour une fois il était sans voix, tout juste capable de la parcourir du regard bouche bée.
C'est les fleurs c'est ça ? J'ai dit à Bohort que ça faisait trop mais il était sûr que c'était la mode et puis Merlin les a fait pousser exprès et du coup…
Il lui posa un doigt sur la bouche avant qu'elle ne s'emballe trop.
Vous êtes parfaite, réussit-il seulement à murmurer
Son visage s'illumina et elle rougit un peu.
Il sourit à son tour réalisant que la cérémonie lui tenait finalement plus à coeur qu'il ne le pensait. Leur premier mariage avait été un simulacre politique. Celui-ci était un mariage d'amour.
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kilfeur · 2 months
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Un roi et un serviteur
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Ezran traverse un moment compliqué en saison 6. Pendant la réunion concernant la perle, il sait que la menace est dangereuse en amenant la perle. Opeli a suggéré de prévenir les autres seigneurs de la Pentarchie et mettre la meilleure sécurité pour la perle. Callum propose de la détruire mais n'a pas de solution concrète. Ezran finit par se dire qu'il vaut la garder à Katolis. Ce qui reste un choix dangereux vu qu'Aaravos a pu le manipuler pour le pousser à se rendre à la tour céleste. Ce qui laisse Ezran tout seule à Katolis et ça fait depuis la saison 3 qu'il n'a été seule. La scène où justement il revoit Viren et lui dit qu'il mérite pas son pardon est assez dur. Mais de l'autre je peux comprendre pourquoi il a agit ainsi. Viren est le roi précédent et Ezran est celui qui le succède. Viren a voulu que l'humanité prospère mais ses actions ont eu de graves conséquences comme par exemple Lux Aurea ou bien l'attaque de la flèche de tempête. Pour au final révéler qu'il voulait avant tout le pouvoir. Ezran est connu pour son pacifisme et la saison 6 avait teasé que ses principes seraient défiés.
Mais je trouve que les deux précédentes saisons montrait que son pacifisme pouvait le rendre aveugle sur certains points. Dans la saison 4, il a essayé d'unir les dragons et son peuple ensemble dans l'endroit où les morts sont enterrés. Certains le verraient comme une insulte, vu comment Tempête a tué Sarai, leur défunte reine. Et quand le tableau est saboté. Ça a failli dégénérer jusqu'à ce qu'Ezran parle de son deuil de ses parents, permettant à son peuple de faire leur deuil et garder l'amour dans leurs coeurs.
Un enfant roi
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Dans l'acte 1, il essaie de se faire entendre en tant que roi. En parlant de ses idées mais Kasef ne le voit pas comme un roi. Et c'est quelque chose qui revient assez souvent. Comme avec Finnegrin quand il a essayé de lui parler. Mais que Finnegrin ne voit pas la valeur de sa couronne. Et que quand il apprend qu'il va utiliser les bébé crapauds pour ses plans. Ezran décide de les lui voler causant indirectement la torture de Callum, le sang gelé de Rayla. Et Soren qui se fait aussi passer à tabac. En saison 6, Ezran voyant que le mariage va se changer en champ de bataille. Il propose d'être leur émissaire pour résoudre le conflit. Et encore une fois, Karim ne le voit pas comme un roi. Se montrant arrogant ordonnant aux humains de partir et qu'ils devraient retourner d'où ils viennent. Toutefois il réussit à atteindre Karim en parlant de sa soeur, montrant que oui, il l'aime toujours. Mais il croit fermement qu'elle va dans la mauvaise direction. Certains se demandent sûrement pourquoi Ezran continue de vouloir parler avec l'ennemi sachant que ça marchera pas ? Pour la même raison que son grand frère continue de vouloir arrêter Aaravos. Ils veulent faire ce qui est juste bien que leurs méthodes sont différentes.
Katolis brûle
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La scène où Sol Regem brûle Katolis fait parallèle à la scène où il brûle Elarion. Mais Elarion, tu voyais le massacre de loin dans Katolis, tu le vois de plus près. La scène est horrible à regarder, voir les gens s'enfuir alors que les flammes continuent de se propager. Soren vient voir son père et lui demande d'utiliser la magie pour sauver le peuple. Mais il peut pas faire la magie primale sans pierre primale. Il parle alors du sort pour les immuniser contre le feu mais pour ce faire, il a besoin d'un coeur humain. Et c'est là que je trouve l'acte de Viren impactant, c'est qu'hormis la mise en scène, qui nous fait croire que Soren est mort alors qu'en fait c'est le coeur de Viren. Bien que je me demande comment il a réussi à tenir le coup et ainsi exécuter le sort. Viren donne son coeur à Katolis, se rappelant pourquoi il fait ça, par amour envers sa famille. Et que le sort qui avait servi à assiéger le mont tempête est un sort qui a permit de protéger le peuple de Katolis montrant qu'il est le serviteur de ce royaume. Quand à Ezran, le fait qu'il n'a pas été là va le faire culpabiliser. Il a crû que la menace a été évité pour Janai et Amaya jusqu'à apprendre la terrible nouvelle. Comment on peut être un roi si au final on est pas capable de veiller sur son peuple ? Car certes bien que le pire a été évité pour Janai et son peuple, Ezran va devoir s'occuper de ce qui reste de Katolis, sa maison n'est plus. Mais les survivants de son peuple sont encore là.
A king and a servent
Ezran is going through a complicated time in season 6. During the meeting about the pearl, he knows that bringing the pearl is a dangerous threat. Opeli suggests warning the other lords of the Pentarchy and setting the best security for the pearl. Callum suggests destroying it, but has no concrete solution. Ezran finally decides to keep it in Katolis. Which remains a dangerous choice, given that Aaravos may have manipulated him into going to the celestial tower. This leaves Ezran all alone in Katolis, and he hasn't been alone since season 3. The scene where he sees Viren again and tells him he doesn't deserve his forgiveness is pretty harsh. But on the other hand, I can understand why he did it. Viren is the previous king and Ezran is his successor. Viren wanted humanity to prosper, but his actions had serious consequences, such as Lux Aurea and the storm spire attack. In the end, he revealed that he wanted power above all else. Ezran is known for his pacifism, and season 6 teased that his principles would be challenged.
But I felt that the previous two seasons showed that his pacifism could blind him to certain issues. In season 4, he tried to unite the dragons and his people together in the place where the dead are buried. Some would see this as an insult, given how Storm killed Sarai, their late queen. And when the painting is sabotaged. It almost got out of hand until Ezran spoke of his grief for his parents, allowing his people to mourn and keep the love in their hearts.
A child king
In Act 1, he tries to make himself heard as a king. Talking about his ideas, but Kasef doesn't see him as a king. And this is something that comes up quite often. Like with Finnegrin when he tried to talk to him. But that Finnegrin doesn't see the value of his crown. And when he learns that he's going to use the baby toads for his plans. Ezran decides to steal them, indirectly causing Callum's torture and Rayla's frozen blood. And Soren, who also takes a beating. In season 6, Ezran sees that the wedding is about to turn into a battlefield. He offers to be their emissary to resolve the conflict. And once again, Karim doesn't see him as a king. Arrogantly ordering the humans to leave and that they should go back to where they came from. However, he manages to get through to Karim by talking about his sister, showing that yes, he still loves her. But he firmly believes she's going in the wrong direction. Some may wonder why Ezran keeps trying to talk to the enemy, knowing it won't work? For the same reason his older brother keeps trying to stop Aaravos. They want to do the right thing, even though their methods are different.
Katolis burn
The scene where Sol Regem burns Katolis parallels the scene where he burns Elarion. But Elarion, you saw the massacre from afar in Katolis, now you see it up close. The scene is horrifying to watch, people fleeing as the flames continue to spread. Soren comes to his father and asks him to use magic to save the people. But he can't do primal magic without primal stone. So he talks about the spell to make them immune to fire, but to do that, he needs a human heart. And that's where I find Viren's act impactful, is that apart from the staging, which makes us believe Soren is dead when in fact it's Viren's heart. Although I wonder how he managed to hold it together and execute the spell. Viren gives his heart to Katolis, remembering why he's doing this, out of love for his family. And that the spell used to lay siege to Mount Storm was a spell to protect the people of Katolis, showing that he is a servant of the kingdom. As for Ezran, the fact that he wasn't there will make him feel guilty. He thought the threat had been averted for Janai and Amaya until he heard the terrible news. How can you be a king if you can't look after your own people? While the worst may have been avoided for Janai and his people, Ezran will have to deal with what's left of Katolis, his home no more. But the survivors of his people are still there.
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retrogeographie · 2 years
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Grand Couronne, immeuble Les Mesliers.
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clarabouh · 1 year
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je voulais une couronne ça ne tient pas dans le cadre rien ne tient
vivement la mer bientôt le ciel plus grand
(autoportraits ratés que je préfère aux autoportraits réussis donc autoportraits réussis)
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philoursmars · 2 months
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Marseille, Vieille-Charité, Musée d'Archéologie Méditerranéenne.
"L'Enlèvement d'Europe", Béotie, Ve s. av. J-C. ; Aphrodite "à la Coquille" - Grande-Grèce, IIe s. av. J-C.
Zeus au foudre - origine inconnue, VIe s. av. J-C.
cochon en terre cuite (recolorisé) - Chypre, IVe s. av. J-C.
déesse à couronne végétale - Chypre, IVe s. av. J-C.
œnochoé trilobée - Corinthe, 600 av. J-C.
femme assise - Tanagra, Béotie, 550 av. J-C.
autel votif à pulvini, sacrifice d'âne - Damazan, Gard, 150 apr. J-C.
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selidren · 9 days
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Automne 1924 - Champs-les-Sims
3/3
J'aurai du également vous le dire au début de ma lettre, mais il se trouve que je vais sans doute organiser mon mariage sous peu. Oui, je sais bien que je suis encore très jeunes, mais je suis aussi très amoureuse de Jean. Et si cela peut me faire échapper à un mariage arrangé par ma grand-mère (oui c'est d'un autre temps, mais elle en est tout à fait capable, d'ailleurs, elle est elle-même d'un autre temps), je ne vois pas où serait le mal. Après tout, comme me l'a répété mon père lors de mon anniversaire, c'est à présent à mon tour de produire le prochain maillon de la chaîne : un héritier. Grand-Mère lui a drôlement bien appris sa leçon. Serais-je la même un jour ? A sermonner mon fils ou ma fille pour qu'il ait des enfants au plus vite ? Je ne l'espère pas, d'ici là je prie pour que les temps aient changé.
J'attends avec impatience de vos nouvelles.
Noé
Transcription :
Jean « Tu es magnifique ! Cette coupe te va bien mieux qu’à Cléo ! »
Arsinoé « Tu trouves ? Quand j’ai vu les mèches par terre, j’ai presque été prise de vertiges. J’ai regretté, mais trop tard. »
Jean « Ne regrette pas, c’est inutile. Ton visage est vraiment mis en valeur. »
Arsinoé « Je n’en peux plus d’attendre la fin de ces rencontres clandestines dans l’obscurité. »
Jean « Et sous la pluie pour couronner le tout ! »
Arsinoé « Pour te voir, j’affronterai les pires tempêtes ! Qui se préoccupe de quelques gouttes franchement ? »
Jean « Moi. Tes robes toutes neuves vont être trempées, et tu risques de tomber malade de plus. Et puis je vois d’ici que tu frissonnes. »
Arsinoé « Alors tiens moi chaud ! »
Arsinoé « Je ne comprends pas pourquoi tu as quitté la Butte au Chêne. On ne voit bien moins qu’avant, et la paie était pourtant meilleure. »
Jean « J’avoue que fréquenter la patronne est plutôt avantageux pour ma fiche de paie, mais ça me mettait trop mal à l’aise vis-à-vis des gars. Et puis, je n’ai pas envie de bénéficier d’un traitement de faveur, je ne le mérite vraiment pas. Non, crois moi. C’est mieux de travailler à l’épicerie. »
Arsinoé « Kleber est un ami de mon frère, tu le sais ? »
Jean « Vous avez des amis partout Noé ! En tous cas, il me fait trimer comme un galérien, mon argent est bien mérité. »
Arsinoé « Et de toute façon, quand nous serons mariés, tu travailleras avec moi à diriger l’entreprise. »
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promises-of-paradise · 2 months
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Paul Gavarni and the Junots
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A portrait of Constance Aubert, née Junot d'Abrantès, by Paul Gavarni, December 1839.
In the appendix of a biography of Laure Junot sent to me by my friend @apurpledust, I found some poems and an article by the French writer and illustrator Paul Gavarni relating to the Junot family. Laure Junot and her daughters Josephine and Constance were all published writers, and inhabited the same artistic social circle that Gavarni did.
Article by Gavarni about the last volume of the second edition of "Memoirs of the Duchess d'Abrantès", published after her death:
original French:
Nous voici arrivés à la dernière page de ces mémoires d'une grande dame écrits par une femme artiste: livre dans lequel se confondent deux célébrités, dont chacune aurait suffi à bien des ambitions. Et quelque frappé qu'on soit d'une organisation si riche, on l'est plus encore du sentiment de dignité personnelle qui la soutint et la développa. Mme d'Abrantés a été un exemple bien rare de cette véritable grandeur que les événements ne sauraient atteindre. Un orage emporte un empire autour d'elle, puis les années viennent; elle a perdu presque un trône; et cependant elle est restée le front élevé au-dessus de la foule. Voilà ce que trouveront d'abord dans les livres qu'elle a faits ceux qui cherchent la vie sous ses beaux aspects. Lisez! Pétillante d'esprit, jolie femme, avec ce grand nom, cette couronne ducale, tout cet or, toute cette gloire, de combien d'hommages, et de quels hommages a dû être entourée la jeune duchesse d'Abrantés! Et il lui a falla se résigner à perdre tout cela, et, tout cela perdu, trouver dans la supériorité de son intelligence une consolation pour tant de regrets! et se faire à cinquante ans une nouvelle vie! une autre gloire! A-t-on bien songé à ce qu'il y avait de vraie noblesse dans ce courage? Nous ne saurions contester celle-là, nous autres artistes, nés du peuple, si fiers de notre aristocratie parce qu'elle vient de nous, mais qui voyons tant de noblesse dans le travail. Mme d'Abrantès travaillait comme pas un de nous ne le pourrait faire. Elle n'écrivait pas seulement quatre fois autant qu'un homme de lettres, elle dessinait encore, elle jouait la comédie, elle composait de la musique; ou bien elle bêchait les fleurs de son jardin, ou classait son herbier, ou même brodait quelques tapisseries. Faut-il joindre à ces travaux les soins du monde, les visites dont elle était assiégée tout le jour, les longues causeries du soir, une correspondance affairée, pour admirer cette existence si prodigieusement active! Voilà de quelles louables choses fut remplie la seconde moitié de cette vie douée de renommées si di-verses. Les jours de la duchesse avaient été brillants, sans doute ; mais ceux-ci n'étaient-ils pas aussi glorieux pour l'auteur de l'Amirante de Castille? Ne devait-elle pas voir avec un bien légitime orgueil se presser autour d'elle ce jeune essaim d'artistes dont elle était devenue la reine? Ces potes diront que c'était une abeille d'or arrachée au manteau de l'Empire et tombée au milieu de nous. Aussi les hommes qui se réunissaient d'habitude chez la duchesse d'Abrantès étaient-ils de deux âges et de deux sortes: des hommes à cheveux blancs portant des noms faits avec des batailles gagnées, et des hommes nés avec le siècle et se faisant des noms avec des livres, des opéras ou des peintures. On la voyait sourire à ces deux aristocraties qui la revendiquaient à titre égal, et dont elle était également honorée. Je me rappelle aujourd'hui un mot charmant qu'elle dit un soir à propos de ces doubles affections : le vieux M. Suchet, le frère du duc d'Albuféra, était venu souffrant ce soir-là se mettre dans le coin d'un petit salon où elle accourut inquiète de lui, s'écriant: "C'est que j'aime bien mes vieux amis, moi!" Puis, elle se retourna vers quelques uns de nous autres, et nous tendant la main, comme pour nous empêcher d'être jaloux, elle ajouta: "Et mes jeunes aussi, au moins !" Nous l'aimions tous; jeunes et vieux, nous nous sommes acheminés vers Chaillot pour lui faire une triste et dernière visite, un dernier cortège, et nous l'avons ramenee jusqu'au cimetière de Montmartre: là, quand on nous a eu jeté un peu de terre sur ce cercueil qui nous a pris à jamais cette bonne amie, pour toute oraison funèbre nous avons pleuré.
English translation:
Here we have arrived at the last page of these memoirs of a great lady written by a woman artist: a book in which two celebrities merge, each of which would have sufficed for many ambitions. And as struck as we are by such a rich organization, we are even more struck by the feeling of personal dignity which sustained and developed it. Madame d'Abrantés was a very rare example of this true greatness that events could not achieve. A storm carries away an empire around it, then the years come; she lost almost a throne; and yet she remained with her forehead raised above the crowd. This is what those who seek life in its beautiful aspects will first find in the books she wrote. Read! Sparkling in spirit, a pretty woman, with this great name, this ducal crown, all this gold, all this glory, with how many tributes, and with what tributes the young Duchess of Abrantés must have been surrounded! And she had to resign herself to losing all this, and, having lost all this, find in the superiority of her intelligence a consolation for so many regrets! and make a new life at fifty! another glory! Have we thought carefully about the true nobility in this courage? We cannot dispute this, we artists, born of the people, so proud of our aristocracy because it comes from us, but who see so much nobility in the work. Madame d'Abrantès worked as none of us could do. She not only wrote four times as much as a man of letters, she also drew, she acted, she composed music; or she dug the flowers in her garden, or classified her herbarium, or even embroidered a few tapestries. Must we add to these works the cares of the world, the visits with which she was besieged all day long, the long evening chats, a busy correspondence, to admire this existence so prodigiously active! These are the laudable things the second half of this life endowed with such diverse fame was filled with. The duchess's days had been brilliant, no doubt; but were these not also glorious for the author of the Amirante de Castille? Shouldn't she have seen with legitimate pride crowding around her this young swarm of artists of whom she had become the queen? These friends will say that it was a golden bee torn from the mantle of the Empire and fallen among us. Also the men who usually gathered at the Duchess of Abrantès' house were of two ages and of two kinds: white-haired men with names born from battles won, and men born with the century and becoming names with books, operas or paintings. We saw her smile at these two aristocracies who claimed her as equals, and by whom she was equally honored. Today I remember a charming remark that she said one evening about these double affections: old Mr. Suchet, the brother of the Duke of Albufera, had come unwell that evening to sit in the corner of a small living room where she runs worried about him, exclaiming: “It’s because I really like my old friends!” Then she turned to some of us, and holding out her hand, as if to stop us from being jealous, she added: “And my young ones too, at least!” We all loved him; young and old, we headed towards Chaillot to pay her a sad and last visit, a last procession, and we took her back to the cemetery of Montmartre: there, when we had a little earth thrown on this coffin which forever took this good friend from us, for every funeral oration we cried.
Below the cut are two poems written by Paul Gavarni on the album of Constance Aubert, the second daughter of Laure and Jean-Andoche Junot:
The first poem:
original French:
Les Rêves.
Quel autre monde rêvez-vous? Et que voulait votre âme errante? Loin d'un présent qui désenchante, Où sont vos pensers les plus doux?
Quels chants vous sont mélodieux? Qu'attend la foi qui vous est chère? Et de quel autel solitaire Voyez-vous le ciel de vos dieux?
Si, de beaux jours trop inconstants Vous avez vu venir l'automne, Pour les roses d'une couronne Regrettez-vous quelques printemps?
Où votre âme dans le lointain, Voit-elle un ange sur la route? La magique voix qu'elle écoute Lui dit-elle: "hier" ou "demain"?
Votre orgueil était-il jaloux Du faste des rois de la terre? Et sur un trône imaginaire En secret vous endormez-vous?
Livrez-vous de vastes Etats A des conquêtes idéales? Rêvez-vous l'éclat des cymbales, La palme ou la mort des combats?
Flattant de plus humbles désirs, Peut-être une muse pensive De quelque image fugitive Rajeunit-elle vos loisirs...
Mais, au charme du souvenir, Tout ce qu'on a se décolore: Le passé, que son prisme dore, Brille aux dépens de l'avenir.
Laissez le poète chanter Des plaisirs où son luth convie: Il prodigue à rêver la vie Le temps qu'il a de la goûter.
Dans les plis d'un manteau royal L'ennui s'enveloppe et se cache, Et, dans les combats, le sang tache Les panneaux du char triomphal.
Un moment peut éterniser Les regrets que laisse une idole Dont la scintillante auréole S'évapore au premier baiser.
Mais l'amour, ce léger sommeil, Ce rêve d'un jour vaut la vie... Et qu'importe à l'âme ravie Ce qu'en peut coûter le réveil?
English translation:
The Dreams
What other world do you dream of? And what did your wandering soul want? Far from a disenchanting present, Where are your sweetest thoughts?
What songs are melodious to you? What does the faith that is dear to you await? And from what lonely altar Do you see the sky of your gods?
If, beautiful days too fickle You saw autumn coming, For the roses of a crown Do you regret some spring?
Where you soul in the distance, Does she see an angel on the road? The magical voice she listens to Did she tell him: "yesterday" or "tomorrow"?
Was your pride jealous Of the splendour of the kings of the earth? And on an imaginary throne Do you fall asleep in secret?
Do you deliver vast states To ideal conquests? Do you dream of the brilliance of cymbals, The palm or the death of combat?
Flattering the humblest desires, Perhaps a pensive muse Of some fleeting image Rejuvenates your leisure...
But, to the charm of memory, Everything we have is fading, The past, that its prism gilds, Shines at the expense of the future.
Let the poet sing Of pleasures where the lute is suitable: He lavishes on dreaming of life The time he has to taste it.
In the folds of a royal cloak Boredom wraps itself up and hides, And, in the battles, blood stains The panels of the triumphant chariot.
A moment can last forever The regrets that an idol leaves Whose sparkling halo Evaporates with the first kiss.
But love, this light sleep, This one-day dream is worth life... And what does it matter to the delighted soul What can waking up cost?
The second poem:
original French:
La Pie de la Prison
Du grain qu'ils ont semé, laissez la fleur éclore. Allez! Margot; la loi leur a permis des fleurs. Eh! quoi, méchant oiseau, vous revenez encore De ce triste jardin becqueter les primeurs!
N'en privez pas au moins leurs jours que rien n'abrège; Les ans laissent ici de bien longues saisons, Margot, et de l'hiver ils n'ont eu que la neige; N'allez pas du printemps leur ôter les bourgeons;
Et qu'au moins du soleil un bouquet les console. Demain, le savez-vous! ils attendraient en vain Ce printemps qu'aujourd'hui votre audace leur vole. Margot, les prisonniers vous donnent de leur pain!
Comme cet oiseau noir il est une pensée Qu'ici le malheureux apporte avec ses jours, Qu'il nourrit et son âme et qui, toujours chassée, Dès qu'il voudrait sourire, hélas! revient toujours.
C'est le deuil qui le suit, c'est la voix qui le raille, C'est le regret qui veut de son moindre bonheur; Tourment qui de son lit a remué la paille Et out le bec aigu lui cherche au fond du cœur.
C'est la faim d'être libre. Un oiseau mord la cage; Vous voulez à la vôtre attacher un roseau, Souvenir des jardins dont vous aimiez l'ombrage, Amis, et vous coupez les ailes d'un oiseau!
English translation:
The Prison Magpie
From the seed they sowed, let the flower bloom. Come on! Margot; the law allowed them flowers. Hey! what, wicked bird, you come back again From this sad garden to peck at the early fruits!
Do not deprive them at least of their days which nothing shortens; The years leave many long seasons here, Margot, and all they had in winter was snow; Do not go and remove their buds in the spring;
And may at least a bouquet console them from the sun. Tomorrow, do you know! they would wait in vain This spring that today your audacity steals from them. Margot, the prisoners give you their bread!
Like this black bird, there is a thought That the unfortunate brings here with his days, Which he nourishes and his soul and which, always chased away, As soon as he would like to smile, alas! always comes back.
It is mourning that follows him, it is the voice that mocks him, It is regret that wants his least happiness; Torment which from its bed stirred the straw And the sharp beak searches the depths of his heart.
It's the hunger to be free. A bird bites the cage; You want to attach a reed to yours, Remembrance of those gardens whose shade you loved, Friends, and you clip the wings of a bird!
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chic-a-gigot · 3 months
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Le Petit écho de la mode, no. 27, vol. 17, 7 juillet 1895, Paris. 11. 1. Toilette soie fleurie fond violine. 2. Toilette en crépon campanule et guipure Cluny. Modèles de Mlle Thirion, 47, boulevard Saint-Michel, Paris. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(1.) Toilette soie fleurie fond violine. — Garnie sur les côtés de deux pointes en taffetas glacé violine, sur le devant large entre-deux en broderie sur tulle. Corsage court forme blouse en taffetas violine recouvert de tulle brodé. Corselet de taffetas, s’arrêtant au col devant encadrant le devant, col droit, choux de chaque côté. Manche ample recouverte de dentelle terminée par un poignet uni. Ceinture ronde en ruban, grand chapeau paille vert roseau orné de plumes noires.
(1.) Floral silk ensemble with purple background. — Trimmed on the sides with two points in purple glossy taffeta, on the wide front in between with embroidery on tulle. Short blouse-shaped bodice in purple taffeta covered with embroidered tulle. Taffeta corselet, stopping at the front collar framing the front, straight collar, collars on each side. Loose sleeve covered in lace finished with a plain cuff. Round ribbon belt, large reed green straw hat decorated with black feathers.
Matériaux: 9 mètres soie fleurie, 7 mètres taffetas, te,80 de taffetas.
(2.) Toilette en crépon campanule et guipure Cluny. — Jupe ronde à godets, garnie devant de trois bandes de guipure. Corsage blouse rentré dans la jupe sous une ceinture, pointe et bretelles de guipure en garniture, col droit, manche ballon, gants suède biscuit. Chapeau paille noir orné d’une couronne de barbeaux.
(2.) Ensemble in campanule seersucker and Cluny guipure. — Round skirt with godets, trimmed at the front with three strips of guipure. Blouse bodice tucked into the skirt under a belt, guipure tip and straps as trim, straight collar, balloon sleeves, biscuit suede gloves. Black straw hat decorated with a crown of barbels.
Matériaux: 18 mètres de crépon, 5 mètres de guipure.
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