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#habitudes quotidienes
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Mes Trois Habitudes Quotidiennes pour un État Zen
Un Équilibre entre le Corps physique, Psychique et Spirituel Dans le rythme effréné de la vie moderne, il est capital de développer des habitudes qui nourrissent et soutiennent notre bien-être global. Cela nécessite un engagement conscient à prendre soin de nos aspects physiques, psychiques et spirituels. Dans cet article, je te partagerai mes trois habitudes essentielles qui m’aident à…
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savoir-entreprendre · 2 months
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1. C'est hautement obligatoire dans tous les aspects de la vie Prenez la réponse de vous-même, sans être ponctuel pouvez-vous mener une vie heureuse et une vie réussie ? La réponse est grand NON ! lorsque vous poserez cette question, cela signifie que vous vous êtes préparé à être ponctuel. 2. Le seul remède à votre patron en colère est votre ponctualité La ponctualité au travail est vitale et incontournable, son importance ne peut être niée. Les arrivées tardives à votre travail peuvent époustoufler votre patron, alors rendez-le heureux et sécurisez votre travail en étant ponctuel. 3. La ponctualité est respectée et honorée par tous Une personne ponctuelle est admirée et appréciée de tous, elle gagne immensément le respect et l'honneur des autres, elle gagne en fiabilité et en crédibilité là où elle va. 4. Essayez d'utiliser une minuterie Pour garder un œil sur vos tâches quotidiennes car combien de temps une tâche prend, vous pouvez utiliser une minuterie, cela vous aidera à savoir combien de temps est consommé sur chaque tâche, cela vous obligera à être meilleur jour après jour. 5. Créez une liste de choses à faire et suivez-la strictement Pour votre propre commodité, vous pouvez créer une liste de choses à faire, dans cette liste, inscrivez vos principales priorités, puis suivez strictement cette liste. 6. La ponctualité vous libère des tracas et du hoo-ha En étant ponctuel, vous pourrez vous libérer du fardeau et des tracas, vous ne serez confronté à aucun hoo-ha car tout votre travail se fera en douceur grâce à la ponctualité. https://savoirentreprendre.net/?p=12980&feed_id=9436
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fitnessmith · 3 months
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Style de vie fitness : trucs et astuces
NOUVEAU 👉 Style de vie fitness : trucs et astuces. C'est dispo en bio @fitnessmith ou sur mon site. #bienetre #fitness #modevienaturel #sante #natation #douchesfroides #alimentation #lifestyle #motivation #bio
Aujourd’hui, nous plongeons dans l’univers du lifestyle, du bien-être, et de l’environnement liés au fitness. Cette vidéo, comme toutes les autres FAQ, est disponible dans notre playlist dédiée. Abonnez-vous pour ne rien manquer ! À VOIR AUSSI : Stopper les crises de boulimie ( ou d’hyperphagie ) Accédez à l’espace VIP et sculptez votre corps et votre esprit grâce à des programmes exclusifs, des…
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valentine1994 · 6 months
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Une semaine après le déménagement : d’un coup, comme ça, je vis avec lui. On a emménagé dans un appartement à l’aveugle, sans en avoir vu de photos avant, et maintenant on dort dans un petit lit tous les soirs, tous les deux, et le matin on se réveille dans une cuisine ensoleillée, on boit notre petit café, on déjeune, de façon pas très coordonnée, chacun de notre côté la plupart du temps, encore sous l’emprise de nos habitudes de vie tous seuls. On révise aussi chacun de notre côté, on part au travail de notre côté, notre quotidien a pas trop changé au final. Quand on a le temps, on vide les cartons, il classe nos livres, minutieusement et par ordre alphabétique. Je le vois s’impliquer à 200% dans le classement des livres, et je comprends qu’il aime travailler comme bibliothécaire. Hier, il est venu vers moi avec Le Petit Prince dans la main, l’air embêté. Il m’a demandé comment on faisait en France : c’est « D » comme De Saint-Exupéry ou « S » comme « Saint-Exupéry » ? Cet après-midi, je suis rentrée des cours et il avait fait la vaisselle, monté un meuble IKEA et m’avait fait un petit Tupperware pour le travail ce soir :o
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ernestinee · 6 months
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"On est toujours des singes essayant d'exprimer nos pensées avec des grognements, alors que l'essentiel de ce que l'on aimerait communiquer reste coincé dans notre cerveau."
J'ai terminé "Là où les arbres rencontrent les étoiles", de Glendy Vanderah.
On dirait un livre feel good en lisant le résumé: C'est l'histoire d'une doctorante en ornithologie, Jo, qui rencontre un jour une jeune demoiselle, Ursa, lui annonçant qu'elle est une extraterrestre, qu'elle a emprunté le corps d'une enfant qui venait de décéder et qu'elle cherche 5 miracles, après quoi elle retournera sur sa planète. Jo, plutôt habituée à être une ermite dans la forêt, dans ses recherches et dans sa méfiance va voir son quotidien s'enchanter petit à petit. Les personnages : Jo, Ursa et Gabe (le voisin) sont aussi attachants qu'ils sont cabossés.
Joli pitch, lecture chill du dimanche aprèm ? Sur Babelio, les critiques les moins sympas parlent d'un style trop simple, d'une fin attendue et un peu trop naïve mais c'est précisément ce qu'on attend d'un livre feel good, non ?
Ce sera un peu plus profond que ça, puisque l'histoire abordera sans filtre des sujets plus graves comme notamment le cancer, la dépression, le pardon, l'amour et la résilience.
J'ai passé un moment agréable, la plus grande partie de l'histoire se déroule dans la forêt, j'ai trouvé les descriptions immersives et je ressentais comme un apaisement quand les personnages revenaient de la ville, prenaient des routes de plus en plus isolées pour ensuite se retrouver parmi les arbres. Je me suis moi aussi attachée à Ursa, sans savoir avant la fin de l'histoire si elle venait effectivement d'une autre planète ou si elle s'était inventé une histoire pour remplacer son passé douloureux.
Bon, il y a une histoire d'amour entre Jo et le voisin, ça n'apporte pas grand chose à l'histoire mais ça complexifie les personnages.
⭐⭐⭐⭐⭐ (encore 5 étoiles, ça va devenir une habitude de lire des pépites !)
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maddiesbookshelves · 2 years
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Manga rec time:
She Loves to Cook and She Loves to Eat, by Yuzaki Sakaomi
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Alternate title: Useless Lesbian Cooks Too Much.
Original title: Tsukuritai Onna to Tabetai Onna / 作りたい女と食べたい女
Genres: Slice of Life, Romance, Girls Love
Themes: Food, Daily Life
Japanese volumes: 2 (Ongoing)
Cooking is how Nomoto de-stresses, but one day, she finds herself making way more than she can eat by herself. And so, she invites her neighbor Kasuga, who also lives alone. What will come out of this impromptu dinner invitation...?
This is a very sweet and funny story where we see Nomoto and Kasuga getting closer with each meal, leading to an eventual romance (there's only 2 books out so it's not quite there yet, but it's getting to it).
I love how Yuzaki-sensei explores womanhood in this too, with Nomoto's male coworker telling her she'd make a good girlfriend, a chapter where Nomoto is on her period, general expectations towards women, or men's reaction to Kasuga's eating habits.
Speaking of Kasuga, I'm so glad to see a main character who doesn't have a skinny waist and noodle limbs. She eats a lot and it shows but it's never depicted as a negative thing and Nomoto never even thinks about her weight. She only thinks about Kasuga's physique once when she wonders where she does her shopping since she's so tall. That's it.
Also! There's a live action adaptation coming out on November 29th, I'm definitely watching it!
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French version under the cut
Titre original : Tsukuritai Onna to Tabetai Onna / 作りたい女と食べたい女
Genres : Slice of Life, Romance, Girls Love
Thèmes : Gastronomie, Quotidien
Volumes VO : 2 (En Cours)
Cuisiner permet à Nomoto de décompresser mais un jour elle se retrouve à préparer bien plus que ce qu'elle ne peut manger seule. Elle invite donc sa voisine Kasuga, qui vit seule elle aussi. Cette invitation inattendue pourrait bien avoir des conséquences surprenantes...
C'est une histoire tendre et drôle où on voit Nomoto et Kasuga se rapprocher avec chaque repas partagé, ce qui mènera éventuellement à une relation amoureuse (y'a que 2 tomes sortis donc on y est pas encore, mais ça va arriver).
J'aime beaucoup le fait que Yuzaki-sensei explore un peu ce que c'est d'être une femme, avec un collègue de travail de Nomoto qui lui dit qu'elle ferait une bonne petite-amie, un chapitre où Nomoto a ses règles, les attentes de la société envers les femmes, ou les réactions des hommes face aux habitudes alimentaires de Kasuga.
En parlant de Kasuga, je suis contente de voir une personnage principale qui n'a pas une taille de guêpe et des gressins à la place des membres. Elle mange beaucoup et ça se voit, mais ce n'est jamais montré de manière négative et Nomoto ne pense même jamais à son poids. La seule fois où elle pense au physique de Kasuga, c'est pour se demander où elle fait son shopping vu qu'elle est grande. C'est tout.
Aussi ! Ils vont sortir une adaptation en drama le 29 novembre, je vais absolument le regarder !
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swgzl · 8 months
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BACK TO THE FUTURE.
Un projet sur lequel j'ai travaillé avec Monocle et Sophie. Design by Monocle, code par moi-même.
Contexte :
2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitant·e·s. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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bttf-rpg · 9 months
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2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitants. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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plexussolaire · 9 months
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Pousser la porte et prendre une chaise
Hier soir, troisième semaine de réunion des Alcooliques Anonymes. C'est ma sixième réunion.
La plus belle réunion depuis la première.
Ça fait quinze jours que je suis abstinente, j’en savoure les premiers effets bénéfiques. Je dors le même nombre d’heure mais la qualité de mon sommeil s’est significativement améliorée, si l’on exclue les réveils nocturnes causés par le chat. Je me sens calme, reposée, mon humeur s’est stabilisée : je ne pars pas dans les tours, je n’ai pas l’impression d’avoir besoin de re-fonder ma vie entièrement et sur de nouvelles bases, chaque matin. Je ne me mets pas en colère, je ne panique pas dès qu’un problème se présente, je suis tranquille. Je crois que j’ai cessé d’avoir peur tout le temps, et d’avoir honte. Je n’ai plus cette croix à porter, si lourde sur mes épaules, le lendemain d’une simple bière légère.
Je suis même heureuse, je peux le dire. C’est aussi simple. C’est ce sentiment euphorique qui m’avait convaincu d’arrêter la thérapie. Je me souviens de ce fameux mois de septembre, il y a un an et demi, où tout roulait, mon quotidien, ma vie sociale, mes valeurs, l’intérêt que je portais à la vie, le désir, l’enthousiasme. Sans alcool. J’ai replongé après, mais c’était la première fois de ma vie que je me sentais légère et joyeuse, durablement. J’ai passé un temps infini à livrer une bataille titanesque contre le poison qu’insinuait l’alcool dans mes veines, même quand je ne buvais pas deux jours, et c’est ça que je trouve fascinant aujourd’hui, en écrivant et réfléchissant à mon rapport à l’alcool, c’est que tant qu’on n’est pas abstinent, tant qu’on laisse une place à l’alcool dans notre vie, même quand on ne le consomme pas abusivement, il nous empoisonne l’esprit. Il est présent. Il ravive une petite honte, une fatigue, des souvenirs douloureux, des symptômes physiques. Il reste physiquement et mentalement dans notre système et nous met des bâtons invisibles dans les roues. Il change la face de notre quotidien sans qu’on s’en aperçoive.
J’ai tellement lutté pour dépasser la honte et la culpabilité d’être alcoolique, que j’ai développé à force d’obstination et de persévérance, des attitudes très saines pour compenser cet excès morbide. J’apprenais à lire tous les jours, à faire du sport régulièrement, j’ai mis en place des routines du matin, du soir, essayé des choses, reporté, recommencé, pendant des mois, à installer des habitudes pour bien vivre. J’ai lutté pour ma santé mentale. C’est un cadeau que je me suis fait : après tant d’effort pour les inscrire dans mon quotidien, arrêter l’alcool a suffit. Toutes ces habitudes qui me demandaient tant d’effort face à la petite voix de mon cerveau qui me disait : “tu es nulle”, “tu n’arriveras jamais à rien”, “tu ne sais rien faire”, deviennent infiniment plus simples depuis que j’ai retiré l’alcool de ce même quotidien. Tout est plus simple, alors, juste comme ça, je suis simplement heureuse. J’ai enlevé le bâton de ma roue, et je l’ai fait quand j’ai compris qu’il fallait le faire pour moi. Arrêter de boire, je l’ai fait pour moi, et il n’y a pas d’autre façon d’arrêter de boire.
Le partage de P. Hier en réunion parlait de ça. Pour certains, on arrête pour les autres, pour retrouver un travail, récupérer son permis, son appartement… mais c’est seulement quand on comprend qu’on mérite d’arrêter de boire et d’aller mieux, soi, parce que personne ne le fera pour nous, qu’on passe le cap de l’abstinence. On replongera plusieurs fois, mais on n’attendra plus que la solution viennent de l’extérieur. C’est pas qu’on en est pas capable, mais on arrête de boire seulement quand on se met à penser qu’on le mérite. Parce que nous sommes nos propres parents, nous devons d’abord être aimés par nous même, comme nous aurions aimé être aimé au départ. Toutes les personnes que je croise en réunion ont eu des enfances et des foyers dysfonctionnels. C’est tellement fort d’être parmi les siens. D’être parmi des gens qui comprennent ce que c’est que de vouloir se détruire parce qu’on n’a pas trouvé d’autre voie dans la vie, parce qu’on a pas trouvé de soutien ni de raison, déjà tout petit, de se lever et d’avancer.
Hier soir, j’ai trouvé du soutien. J’ai senti mon appartenance. Comme a dit S. Ici, j’ai ma place, parce que quand j’arrive, j’ai une chaise pour m’asseoir. Je peux m’exprimer. Personne ne va m’interrompre, je vais parler aussi longtemps que je le veux, et ces gens vont m’écouter comme on ne m’a jamais écouté nulle part. Ces gens dont je ne sais rien, à part les lieux sombres de leur addictions, leurs démons, leurs joies aussi dans leur rétablissement, m’ont apporté plus que ne l’a jamais fait ma propre famille.
Il y a trois semaines, c’était Noël. Un événement tellement désacralisé et obligatoire, qu’il ne ressemble plus qu’à un simple repas de famille du samedi midi. Il ne s’est rien passé de différent, mais j’ai mis deux semaines à m’en remettre, à me sentir terriblement vide, blessée, profondément malheureuse, dévastée, déprimée. Je n’arrivais plus à sortir de ce marasme d’idées noires, jusqu’à me dire mais à quoi bon ? À quoi bon vivre, si c’est pour ressentir ça ? Mais alors que s’était-il passé là-bas, pour qu’avec ma propre famille, je me sente si abîmée ? Et bien, il n’y avait rien. Pas de lien, pas de regard, pas de sourire, pas de câlin, pas même une tape sur l’épaule, un compliment ou une parole affectueuse. Que des visages renfrognés derrière des masques de personne qui luttent, qui ne veulent pas montrer leurs émotions, ni les ressentir ni les offrir. Pas d’écoute, pas d’attention, pas d’amour. Pas de connexion. Rien, en vérité. Des mots vides, répétés cent fois, sans foi, des mots qui passent entre les couverts, les verres de vins et s’échouent plus loin au pied de la table. Des ricanements débiles, des moqueries, des humiliations même parfois, de celles qui vous saccagent l’esprit avant même de savoir que vous en avez un.
Hier, T. A dit une phrase qui m’a fait réfléchir. La puissance supérieure des AA, c’est la puissance supérieure que nous avions placé dans l’alcool et qui nous dictait nos façons d’agir. Il suffirait de la déplacer dans autre chose, que ce soit Dieu, que ce soit l’Univers, que ce soit le groupe. Je crois qu’il a raison. Il existe encore quelque part dans mon cerveau une croyance, que je tends à déconstruire à présent grâce au programme, une croyance que l’alcool va m’aider à ne plus ressentir la souffrance d’abandon que m’a fait vivre ma famille, qu’il va m’aider à m’extirper de ma dépendance affective. J’ai déplacé en quelque sorte, ma dépendance désastreuse à ma famille, vers une dépendance désastreuse à l’alcool. Car je souffrais, et je souffre encore profondément, Noël me l’a montré. Renoncer à l’alcool, c’est aussi renoncer à cet amour que je n’aurai jamais, ce soutien que je n’aurai jamais, de leur part. Renoncer à mes dépendances, c’est m’accorder enfin la liberté de vivre sans cela, d’en faire le deuil. C’est vivre librement, sans attendre ce réconfort qui ne viendra jamais, qui n’est qu’illusion, et se change en griffe quand on s’approche un peu trop près.
Les personnes dépendantes cherchent à jamais la nourriture affective dont ils ont manqué, cherchent à jamais la sécurité affective et l’attention qu’on leur a refusé. Jusqu’au jour où ils s’aperçoivent que le produit qu’ils consomment possède la même essence que ce poison d’abandon, que le dépit familial. Consommer à outrance, c’est s’enfoncer un peu plus dans la mort et les idées noires, à rechercher l’oubli et l’aisance que nous aurait apporté cet amour initial. Mais la vie sans eux est plus douce, et c’est cela qui soigne.
Remplacer un vide par un gouffre, mais alors qu’est-ce qui vient après ? Comment remplace-t-on l’alcool ? Je crois que les AA sont effectivement une réponse. Je crois que ça marche. Ils m’apportent, une à deux fois par semaine, une drogue douce, humaine : la connexion, le partage, l’écoute, le soutien, gratuit, inébranlable, inconditionnel. Une drogue de rêve que j’ai désespéré de trouver un jour, alors qu’il suffisait de pousser la porte, et de s’asseoir sur une chaise.
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Ma femme a du crédit. Une société entièrement placée sous surveillance. Des caméras dans les rues, une pour deux habitants. Des applications sur le téléphone portable qui vous tracent à chacun de vos déplacements et enregistrent tout de vos habitudes de consommation. Voilà le quotidien des chinois, confrontés à cette technologie qui juge leurs vies chaque jour, chaque heure, chaque seconde. Lulu est la femme de Sébastien Le Belzic. Journaliste installé à Pékin depuis 2007, il a décidé de filmer son quotidien pour comprendre en quoi cette révolution technologique et sociale impacte la vie
Les caméras de surveillance ont été installées début 2000
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theophilechoquet · 4 months
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Une conférence - performance du comédien Théophile Choquet.
Avec des dessins de Damien Abel
Que reste-t-il d'une vie ? 
Dans ce texte, Philippe Minyana, dramaturge, fait parler les objets du quotidien d'un ouvrier Mosellan ayant vécu jusqu'à la fin des années 90. Ainsi apparaît Oscar Bild, à travers son bric à brac, ses habitudes, les choses et les gens qu'il aimait (et ceux qu'il n'aimait pas !). Vous saurez tout de lui, ou presque !
Au-delà de ce portrait intime inspiré d'une histoire vraie, jaillit la mémoire d'un territoire : la Moselle. Et une époque qui s'éloigne déjà de nous, la fin du XXème siècle.
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fitnessmith · 4 months
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Les 9 bienfaits inattendus de la marche quotidienne pour votre santé
Les 9 bienfaits inattendus de la marche quotidienne pour votre santé. On en parle aujourd'hui dans mon nouvel article, dispo en bio @fitnessmith ou sur mon site. #marche #santé #bienêtre #fitness #activitephysique
Connaissez-vous les 9 avantages santé de la marche ? La marche quotidienne est à la mode et il faut s’en réjouir. Tout le monde sait aujourd’hui que les 10 000 pas par jour ont été suggérés par un vendeur de podomètres. Il n’y avait rien de scientifique, seulement un bon discourt de vente. Malgré tout, marcher 10 000 pas, c’est mieux que de rester dans son canapé à attendre l’arrivée du diabète…
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frenchwitchdiary · 2 years
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🕯 Imbolc 🕯
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Origine et étymologie
Sur la roue de l’année des wiccans et païens, on retrouve le sabbat de Imbolc, une fête traditionnelle celtique d’origine gaélique célébrée le 1 février (parfois le 2 selon les années), un sabbat de transition entre le solstice d’hiver et l’équinoxe de printemps.
Imbolc - prononcé [imolc] - viendrait du vieux gaélique « i mbolg », « dans le ventre », en rapport aux brebis qui mettent bas à cette période (rappelons que les cultes païens étaient très fortement liés au quotidien dans les campagnes, entre culture du sol et élevage de bétail). Une autre origine possible serait «  imb-fholc », se purifier ou se laver soi-même, par rapport aux rituels de purification traditionnels de cette fête.
Symbolique
C’est un sabbat charnière autour du renouveau de la nature : il annonce un changement de cycle, la fin de l’hiver et le commencement du printemps à venir. Car certes il n’est pas encore là, mais sa présence peut déjà se faire timidement ressentir. Les neiges fondent peu à peu, les bourgeons reprennent, les animaux sortent de leur hibernation, et les températures se radoucissent.
C’est pourquoi pour honorer le retour du soleil et de sa chaleur, on allume des bougies. On appelle d’ailleurs aussi cette fête la Chandeleur, (elle d’origine païenne et latine, mais réappropriée ensuite par le christianisme), nom qui nous vient du mot chandelle !
Et si on a coutume en France d’y faire de délicieuses crêpes, c’est parce que leur forme ronde et dorée rappelle l’astre solaire. Une vieille tradition raconte qu’il faut faire sauter les crêpes dans la poêle, et que si la première crêpe retombe correctement, alors la prospérité pour la nouvelle année est assurée.
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Célébrations
La saison étant encore froide et rude, on profite de ce sabbat pour se tourner vers soi et sa maison. La nature sort progressivement de son inertie hivernale, et c’est donc le parfait moment pour en faire de même dans nos vies.
C’est le moment idéal pour :
Purifier son lieu de vie et ses habitants
Faire le point sur sa vie (je recommande de l’écrire dans un journal)
établir une liste de ses envies et projets pour l’année
Instaurer de nouvelles habitudes
Allumer tout plein de bougies, dîner aux chandelles
Faire des crêpes ou tout autre gâteau rond et doré à partager avec ses proches
Décorer sa maison dans des teintes de blanc (purification, neige au dehors) et jaune/orangé (retour de l’énergie solaire)
Faire une balade méditative en nature et observer les petits détails de la nature qui se réveille, pourquoi pas laisser une offrande pour les animaux et esprits
Pour celleux qui veulent honorer une divinité lors de leurs sabbats, Brigid est la déesse celte associée à Imbolc. On y fait des croix de Brigid pour protéger son foyer, et on l’appelle pour accompagner nos changements de vie et bénir nos nouveaux projets
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firebirdxvi · 10 months
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Fils du Feu 03 ~ Flamme progressive
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Joshua fit des progrès rapidement, mais n'exprimait aucun désir de sortir du Nid. Lui réapprendre à tenir sur ses longues jambes et à synchroniser ses mouvements se révéla compliqué. Il avait gardé de son corps la représentation mentale de son alter ego de dix ans, et il passait beaucoup trop de temps à se cogner partout. Il négociait mal les distances et attrapait les objets les plus basiques avec difficulté, comme s'il avait des problèmes de vision.
Jote faisait tout son possible pour lui faciliter la vie mais risquait chaque fois la réprimande ; l'Emissaire devait se débrouiller seul, lui avait-on dit. Elle lui montra quelques astuces pour faire des noeuds simples, ou passer facilement une tunique. Il avait refusé de porter le moindre vêtement pendant un bon moment, et se promenait alors dans la chambre dans le plus simple appareil, jusqu'à qu'il ait le malheur de croiser son reflet.
Il ne passait jamais près du mur du fond de la pièce car la surface en était polie et réfléchissait presque comme un miroir. Joshua détestait ça. Jote avait bien tenté de mettre quelque chose dessus, de suspendre des draps en guise de rideaux, mais cela ne tenait jamais. Et la soigneuse les avait retirés d'elle-même quand elle avait compris cette habitude.
- "L'Emissaire n'a pas à avoir honte de son apparence. Il doit apprendre à s'accepter tel qu'il est à présent, il doit oublier son corps d'enfant", expliquait-elle. "Cela fait partie de sa guérison. Tu dois l'y aider, Jote, pas l'encourager à fuir."
Jote apprit la leçon et cessa de trop materner le malade. Elle ne lui apportait plus tout ce qu'il voulait sur le champ et le laissait davantage trouver la solution lui-même à ses problèmes quotidiens. Un jour qu'il faisait un peu plus frais dans le Nid, Joshua se mit à frissonner et, se dégageant de ses draps, se dirigea vers les vêtements posés sur un bureau près du lit. Il les déplia, les observa, les tourna dans tous les sens pour en comprendre les coutures, et essaya de les enfiler. La première fois, il se retrouva coincé dans le col de chemise, ses grands bras battant le vide devant lui, et elle du bien venir l'aider, en retenant un rire discret.
- "Mais non, pas ainsi ! Je vous ai déjà montré comment faire !"
Elle s'approcha alors et tira le tissu sur la peau pâle et nue de l'Emissaire, ce qui fit courir un frémissement le long de son dos... Elle ignorait la cause de cette réaction, tout à fait nouvelle pour elle et ne s'en préoccupa pas plus longtemps. Une fois habillé, le malade apparaissait tout d'un coup plus... humain et réel, il quittait son état de fantôme errant dans le Nid pour remettre un pied dans la vie.
Mais il lui restait encore à enfiler un pantalon.
La soigneuse se déclara satisfaite de l'état de santé général de Joshua. Il avait repris du poids, son visage n'était plus creusé et avait retrouvé quelques courbes de l'enfance. Ses muscles s'étaient affermis grâce à des exercices quotidiens qu'ils effectuaient tous les trois ensemble. La nourriture du refuge était juste assez nutritive pour le remettre sur pied. Essentiellement des fruits et des légumes, juste un peu de viande achetée dans le village des environs ; les Immortels ne consommaient quasiment pas de chair animale ; ils croyaient que cela déplaisait au Phénix. Ce que leur Emissaire démentait chaque jour. Il détestait les légumes, mais dévorait sa viande à belles dents à chaque repas. Maître Cyril le tolérait à cause de sa convalescence et parce qu'il avait besoin de retrouver la forme au plus vite. Mais cette entorse aux principes de l'ordre, exprimée de plus par l'incarnation du dieu qu'il vénérait, le laissait perplexe.
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Il laissait constamment ses carottes dans son assiette, et la soigneuse jugea utile un jour de hausser le ton.
- "C'est très bon pour votre santé, et elles poussent merveilleusement ici. Cela vous rendra des couleurs, votre peau est si pâle ! Si vous sortez ainsi sous le soleil, vous ne le supporterez pas longtemps."
Mais Joshua n'indiquait aucun désir de sortir. On lui apportait de quoi lire et même des jouets pour enfants ou des casse-têtes à résoudre, pour entraîner sa réflexion. Il s'en sortait toujours avec facilité, ce qui permettait de juger de ses progrès en matière de cognition. Il se comportait de plus en plus comme un ado de son âge, peut-être même de façon plus mature encore, comme s'il s'était mis à grandir trop vite. Son expression se fit plus grave et pensive, comme s'il parvenait à prendre du recul sur lui-même et sa situation. Il semblait aussi se soucier des deux seules personnes qui venaient le voir tous les jours, en rangeant sa chambre tout seul ou en pliant ses vêtements avant de se coucher.
Un jour que Jote s'était fait réprimander, Joshua parut comprendre qu'elle se sentait mal et vint près d'elle la réconforter. Il la laissa posa sa tête contre sa poitrine et elle sentit une chaleur étonnante envahir tout son corps... Il la réchauffait de sa seule présence, comme sans y penser. Car de fait, elle ne l'avait pas encore vu faire de la magie de lui-même.
Quelque plumes flottaient encore parfois dans le Nid certains jours mais Joshua ne le faisait jamais exprès. Il s'en étonnait lui-même à chaque fois ; un étonnement silencieux car il ne parvenait toujours pas à parler. Plus d'un mois après son réveil, il ne réussissait pas à prononcer un seul mot articulé qui fut compréhensible ; comme si le silence était la dernière barrière que son traumatisme lui opposait encore... Il essayait parfois de produire des sons simples - des "aaaa" ou des "oooo" - mais cela semblait le faire souffrir... Cependant, il comprenait ce qu'on lui disait et avait vite réapprit à lire. Mais de son côté, pour communiquer, il utilisait encore les signes.
Un jour, la soigneuse lui demanda s'il se souvenait de ce qui s'était passé cinq ans plus tôt. Joshua avait finit par accepter qu'il avait "dormi" tout ce temps. Mais il affirmait ne plus se souvenir de grand chose : des images floues ou des scènes banales n'impliquant personne de sa famille. Il ne se souvenait même plus d'être Joshua Rosfield, le futur archiduc de Rosalia et l'Emissaire de Phénix. Par contre, il faisait des cauchemars ; et dans ces cauchemars, un démon aux longues cornes et aux dents pointues le poursuivait pour le dévorer. Chaque fois qu'il se réveillait, il avait l'impression de brûler...
- "Sa mémoire lui reviendra", conclut la soigneuse. "Pas trop brutalement j'espère, je ne veux pas qu'il retombe en dépression. Il est trop tôt pour lui révéler ce qui s'est passé..."
Et ce serait à Maître Cyril de le faire.
Celui-ci se présentait parfois à la porte du Nid pour prendre des nouvelles. Il était difficile de savoir s'il s'inquiétait vraiment pour Joshua ou si seul comptait le dieu des Immortels à ses yeux. Il demandait le plus souvent :
- "A-t-il manifesté ses pouvoirs de Primordial ? A-t-il toujours le Phénix ?"
- "Je le crois, Maître, mais l'expression de sa magie devra encore attendre, je voudrais qu'il réapprenne à parler avant."
- "Et bien, il faut vous y employer. Il est vraiment étonnant qu'il n'en soit pas encore capable, après presque deux mois..."
- "Son traumatisme est profond. Le mutisme en est souvent le symptôme. Laissez-lui du temps encore..."
- "Puis-je le voir ?"
- "Vous êtes le Maître...", répondit-elle en le laissait entrer.
Joshua se leva précipitamment de son lit en voyant cet étranger entrer dans son Nid. Il ne se souvenait déjà plus de l'avoir vu. Cyril détailla l'Emissaire de la tête aux pieds et sembla satisfait de l'examen. Il fit un geste d'apaisement.
- "Vous n'avez pas à vous lever pour moi, Votre Grâce. Je venais vous annoncer qu'en dehors de cette chambre, nombre de vos fidèles attendent de vous voir marcher parmi eux. Ils prient chaque jour pour votre rétablissement et espèrent de tout leur coeur voir le feu du Phénix éclairer le monde de nouveau."
Le ton plein d'emphase du Maître contrastait totalement avec sa manière de parler inhabituelle.
- "Vous êtes notre lumière à tous, aussi pardonnez mon empressement mais, il serait tant que votre protectrice vous rappelle de quels prodiges vous êtes capable, n'est-ce pas ?" Il regardait la concernée du coin de l'oeil en prononçant ces mots.
- "Je m'y emploierai au plus vite, Maître..."
Cyril s'inclina bien bas, se détourna et sortit de la chambre, les mains dans le dos.
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claudehenrion · 5 months
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Absence bien involontaire...
Chers ''Amis-lecteurs'',
Pour la première fois depuis le 15 novembre 2011, date de l'éditorial inaugural de ce Blog (qui n'avait pas, alors, le moindre projet d'une durée si longue, si riche et si fructueuse), je suis obligé de déclarer ''forfait''. Une convergence de plusieurs crises d'origines diverses, mêlant une violente attaque virale à des pathologies présentant des bouts d'embolie pulmonaire et des morceaux d'épanchement pleural, m'ont littéralement mis ''au tapis'' : j'ai le plus grand mal à reprendre mon souffle !
A mon habitude, j'essaie de prendre un truc grave ''à la rigolade'', mais je dois avouer que l'alerte a été sérieuse. Elle m'est tombée sur la cafetière hors de tout propos : en grande forme, j'étais en train de charger ma voiture pour me sauver vers mon cher Mougins (NB : imaginons que cette ''crise'' m'ait frappé 4 heures plus tard ! Je ne serais sans doute plus là pour vous en narrer les péripéties, éparpillé entre 2 platanes !). En même pas deux secondes, je me suis retrouvé dans l'impossibilité absolue du moindre mouvement : debout dans mon salon, je n'étais pas capable de m'asseoir sur un fauteuil, ou de marcher jusqu'à mon téléphone !
Dix-douze jours plus tard, c'est avec peine que j'arrive à me dire que je vais mieux... et à m'en convaincre. Je n'ai pas la plus petite idée de la date à laquelle je pourrai ''reprendre mon service'', mais je pense qu'un petit délai de sécurité va s'imposer, même si l'envie de vous retrouver, tous, dans nos échanges quotidiens, est aussi forte qu'elle l'est depuis bientôt 11 ans. Je ne peux que m'excuser auprès de vous tous de ce ''faux-bond'' vraiment involontaire : tant d'années sans un seul petit ''manquement'' constituent , je crois, une preuve de mon envie de revenir vite...
Je ne peux que vous demander de surveiller vos ''boites'' pour ceux qui sont abonnés... et d'aller tous les 2 ou 3 jours ''à la pêche'' pour ceux qui ne le sont pas. Pour ma part, je fais tous les efforts dont je suis capable, aidé par des amis-médecins au dessus de tout éloge, pour me retrouver à nouveau, chaque jour, sur vos écrans.
Très amicalement, mais encore très faiblement à vous
H-Cl.
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Opération speciale
Chap: 1
Ce soir, il m'a prévenu que l'on allait sortir. Comme souvent.
Je suis assise à côté de lui, côté passager. Mes chevilles liées par des menottes dont il garde la clef dans sa poche de pantalon. Une vieille habitude depuis que je vis chez lui. Ou plutôt, depuis qu'il m'a interdit de partir de chez lui!
Il a toujours peur que je me sauve. Il m'attache ou m'enferme en permanence. Pour moi ce n'est pas vraiment une nécessité, je n'ai pas d'endroit où aller, pas d'argent. Je ne sais même pas si je partirais dans l'éventualité où il me laisserait libre.
Il est dur mais plutôt juste. Je subis au quotidien. Je m'attache à lui comme un otage qui se lie à son gardien. Je m'habitue à cette vie finalement. Mon cerveau se vide.
Plus d'envies. Plus de rêves.
Je deviens un automate. Je subis sans me plaindre. Les quelques punitions que j'ai reçues les premiers temps m'en ont dissuadées. Les cachets qu'il me donne plusieurs fois par jour aussi j'imagine. Je me sens las. Sans énergie. Je n'étais pas comme cela avant.
Il est pharmacien. C'est facile pour lui de me rendre à sa merci. De me droguer. De faire de moi un zombie.
Nous avancons dans Strasbourg et nous nous rapprochons du centre. Le regarde par la fenêtre de la voiture. Le regard vide. Le paysage urbain défile. Des lumières. Des boutiques en train de fermer. Des passants.
J'imagine la soirée que je vais passer.
Je n'ai pas peur. Je n'ai plus peur. Je m'habitue a être malmenée. J'aurai mal sans doute. Je passerai un mauvais moment. Ça m'est égal. Je pense à après. Quand il irait travailler demain matin. Je serai enfin seule. Enfermée dans ma chambre. Mais seule. Je dormirai. J'ai toujours envie de dormir depuis que je suis chez lui. Les cachets sans doute...
Il se gare le long d'un trottoir. Il y a un peu de monde dans la rue. Je pourrais crier. Demander de l'aide.
Même pas la force. Même pas l'envie. Juste l'idée qui me traverse l'esprit...
Il défait les menottes et me regarde d'une manière menaçante:
- Je te fais confiance petite pute! Tu restes bien docilement à côté de moi, d'accord?
- oui Maître.
Je me garde bien de lui dire que je n'ai pas la force ni l'énergie de fuir ou de demander de l'aide. Il doit bien le savoir de toute manière.
D'ailleurs je ne peux pas lui parler. Il me l'a interdit. Je peux juste lui répondre. Et encore, avec calme, politesse et en baissant les yeux! Réponses courtes obligatoires. J'ai été punie plusieurs fois au début pour manque de respect. Je fais attention désormais. Ses punitions font trop mal.
Il fait le tour de la voiture et m'ouvre la portière.
- merci Maître.
Il me prend sous le bras, gentiment.
Nous commençons à marcher. Comme des amoureux. Nous donnons le change j'imagine, pour les autres passants.
Je fais l'objet de quelques regards de mecs que nous croisons. Je suis habillée un peu court pour ce début de soirée. C'est lui qui choisi mes tenues.
Il est fier que les hommes me regardent.
Il me chuchote à l'oreille:
- tu vois petite pute, tu plais aux hommes! Je suis fier de toi!
- merci Maître... je réponds en chuchotant également.
Dans ma tête, un sourire passe. La satisfaction. J'avoue ressentir une certaine fierté à plaire. Presque de l'excitation.
Nous arrivons en bas d'un immeuble. Il sonne.
Nous entrons lorsque la porte se déverrouille....
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