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#hbd Patton!
loganslowdown4 · 2 years
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Roman: Happy birthday Pat! I bought you a huge chocolate chip cookie!
Patton: Yay!
Roman: But then I ate it.
Patton: Aww.
Roman: So I got you another one!
Patton: Yay!
Roman: But I ate that too.
Patton: What.
Roman: So I made you a cake instead!
Patton: .....But?
Roman: *sighs* Remus got to it first.
*Logan, Virgil, Janus, Remus appearing with a proper cake, Remus’ face covered in blue icing*
Logan: Which is why we planned for several backups. Happy, uh, appearance day, my friend.
*happy birthdays from the rest all around*
Patton: *laughing* I love all my kiddos!
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brandstifter-sys · 3 years
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Patton: Happy birthday kiddo!
Remus: ={)
Janus: Congratulations, you made it around the sun again
Remus: ={D
Virgil: Happy anniversary of ejecting from warmth and safety covered in someone else's blood and screaming
Remus: *tackle hugs him* Thank you!!!
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galaxy-sketch · 4 years
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couldn't stop thinking abt roman so i drew all of his fusions I've designed so far
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elviehun · 3 years
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HBD, Uncle Will🍾
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Happy Birthday Ya’ Smartass Blue Dude
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glamsyndicate · 6 years
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Cheers to Mike Patton on his birthday.🍸
Happy Birthday fucker!
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thisaccisdead · 4 years
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✨💙Vote💙💙✨✨
[Roman][Remus][Virgil][Patton]
[ID: a polaroid style drawing of logan from sanders sides for his birthday. Detailed description under the cut.]
[Continued ID: The picture is of logan smiling and saying something to someone off camera while holding a slice of cake. Around the picture on the polaroid margins are messages written from the other sides. Janus's says "thank you for having brain cells. I helped with the cake." Below janus's roman has written "he didn't" in reply. Half of remus's message has been scribbled out by virgil so that all it says is "big brain, big B-day!". Virgil's message says "HBD you're cool or whatever." It's clear that Virgil orginally wrote "really cool" but crossed it out. Roman's message says "happy literal birthday, logan! So glad you were non-metaphorically birthed on this day." In reply to this logan has written "i hate you, i hate you". Patton's message says "love you, lo!!". There is bigger writing framing the picture, saying "2020 - Logan's B-Day" as well as some star doodles. End ID.]
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taxicabinmemphis · 4 years
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hbd patton!
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jamilgs · 5 years
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HBD Antwan André Patton aka BIG BOI. Photographed in Atlanta, Georgia w André Lauren Benjamin aka ANDRE 3000, 2001 . . . One of my favorite photo session of all times w some off my favorite artists of all times. . . . 📸©️JAMIL GS 1994 -2020 . . . #bigboi #hbdbigboi #outkast #andre3000 #df #dungeounfamily #atl #atlanta #krunk #stankonia #aquemini #thelovebelow #atliens #southernplayalisticad #analog #analogphotography #hiphop #hiphophistory #bassmusic #southernrap #americanroyalty #jamilgs #jamilgsphotography #filmphotography #mediumformat via Instagram https://ift.tt/2UcCaoy
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dailycandicekpatton · 5 years
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Rick cosnett posted an hbd post for Candice on ig
Thanks for sharing!
Here it is:
https://dailycandicekpatton.tumblr.com/post/185831178769/rickcosnett-happy-birthday-to-this-gorgeous-girl
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Happy 34th Birthday Troy Patton (San Diego Padres) from @rotodb #HappyBirthday #HBD #Birthday #CakeDay #Sports #Fantasy #FantasySports #MLB #MajorLeagueBaseball #Baseball #FantasyBaseball #LetsGoPadres #SanDiego #SD #SDPadres #SanDiegoPadres #Padres
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happybeurzdisque · 5 years
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9-07-2001 // The Director’s cut
Putain, une majorité!
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Est-ce qu’un T-shirt peut influencer l’achat d’un skeud? Quand on n’est pas encore assez vieux pour avoir développé une résilience à l’incitation marketing de tout poil, la réponse est malheureusement oui. C’est ce qui m’est arrivé avec Fantômas, et par la suite l’ensemble de l’œuvre du génial Mike Patton, alors que j’entrais de plain-pied dans ma vingtaine. Étant donné que Fantômas est haut la main le bébé le plus taré du maestro de Faith no more, c’est peut-être pas plus mal de faire connaissance d’abord par l’intermédiaire d’un T-shirt…
Rappel des faits: quelque part au fil de l’année 2006, un mec de ma classe avait le look grave. Un peu redondant à force de porter la même chose toute l’année, mais pas peu efficace : pantacourt (ça se fait encore aujourd’hui cette merde??), montures de lunettes vernies en noir (comme l’ongle de son petit doigt droit), casquette usée jusqu’à la corne, piercing tribal et T-shirt coolos généralement à l’effigie d’un groupe rock ou métal… en bon métalleux, le succès potentiel avec la gente féminine s’arrêtait à la dégaine, car il avait une vilaine tête de farfadet. Un beau jour où je devais porter au mieux une chemise à carreaux “bucheron” de Celio et un jean pourri de chez H&M, le type se ramène avec un T-shirt (noir, comme d’hab’) porté jusqu’aux genoux plein d’illustrations qui claquent dans les tons roses flashy. Un gros ninja et un tas de petits persos cartoon marrants…  « Trop cool la marque de sape », que je me suis dit à l’époque. La requête Google n’a pas délivré ce que j’attendais. C’était le visuel de la dernière tournée en date de Fantômas, pour l’album Suspended animation. Bon bah, écoutons ce que c’est que ce binz sur Deezer (la version gratuite, hein, j’ai pas mis un rond dans cette cochonnerie). ‘04/02/05 – Saturday’ m’explose à la gueule. Inaudible, c’est ma première impression.
Mais je m’obstine. Changement de disque. Dans la bibliothèque, la pochette du premier album donne pas trop envie. Ce n’est pas le cas du deuxième opus, ‘The Director’s cut’, dont l’œil grand ouvert sur la pochette m’intrigue. J’ai toujours eu un faible pour les films d’horreur...
Dans le septième art, le “director’s cut” c’est censé être la version longue d’un film, avec des scènes coupées au montage pour une raison x ou y mais qui valent quand même le visionnage. “Si ça se trouve c’est un genre de best-of de Fantômas ?», pensé-je. Et me gouré-je.
‘The Godfather’ m’attaque à la jugulaire avec ses 2:46 de pure folie. Cette fois, même si ça râpe les tympans sévère, ça accroche ma curiosité. J’enchaîne directement les 38’ de l’album, entre les percus lourdes comme des coups d’enclume et les vocalises improbables d’un Mike Patton qui passe plus de temps à déformer sa voix qu’autre chose. Et puis vient la récompense inattendue à la piste 15: ’Twin Peaks: fire walk with me’. Mais siiiii tu sais, quand un titre te scotche dès la première écoute! Tellement rare et tellement bon. Vers 2 minutes, le titre déjà intrigant avec son riff bien pesant, bascule dans un registre encore plus glauque et jouissif. Après avoir culminé dans les aigus, la voix de Patton se fait grave et nous accompagne dans une espèce de lente descente aux enfers. Une dernière accélération sur ‘Charade’ et rideau.
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Le track qui m’a le plus fait regretter de pas avoir vu Fantômas en live... please tell me it’s not too late Mikey?!
'Twin Peaks [...]’ illustre pourquoi ‘The Director’s cut’ est à mon avis un petit chef d’œuvre. Alors certes, on pourrait reprocher à Patton et son super-groupe de ne pas trop s’être foulés, à reprendre des bandes sons de films, qui plus est thématiques. Mais pouvoir “switcher” allègrement entre bourrinage instrumental et phases plus mélodieuses (‘Experiment in terror’) n’est pas donné à n’importe quel groupe de métal. Bien sûr, ça tient beaucoup aux talents de vocaliste du leader de Fantômas.
Rien que pour réentendre ‘Twin Peaks [...]’, je me suis refait un shootune boucle de la “version longue” du réalisateur Patton. Et j’ai pas été déçu. Des sensations fortes, des frissons (’Spider baby’ qui ressemble vraiment à la bande son d’une grosse tarentule qui te remonte sur la jambe) et même du suspense sur ‘Henry: Portrait of a serial killer’... Avoir autant d’émotions réunies en même pas 40 minutes, chapeau l’artiste!
Aujourd’hui, je n’ai toujours pas vu – oui, même ‘Le parrain’! un seul des 15 films de ‘The Director’s cut’, mais je suis devenu un fan inconditionnel de cette galette. Elle ressort régulièrement de ma collection de CDs poussiéreux pour un nouveau tour de piste. Les frissons ne sont plus là, mais le fun reste intact. Mon jeu préféré étant d’essayer d’imiter les vocalises de Patton. Heureusement que j’écoute à pleine balle pour pas entendre le massacre...
Par contre, à chaque réécoute j’ai un petit pincement au cœur: parce que j’ai découvert trop tard Fantômas, jamais pu voir le grand Mikey jouer aux côtés du flippant Buzz Osborne (qu’on appellerait le coton tige de Satan dans certaines soirées un peu fermées). J’ai dû me contenter d’un bout de live dans émission tardive de Tracks, et l’ambiance avait l’air... apocalyptique. Et ce n’est pas le show assez conventionnel de Faith no more au Rock en seine en 2009 qui aura épanché ma frustration.
Une (maigre) consolation possible si vous êtes dans mon cas, voir TOUS les films où le père Patton est aux manettes de la bande son. Et y en a une palanquée! Si je ne devais n’en recommander qu’un, ce serait le court-métrage ‘A perfect place’, (et pas ‘A place beyond pines’) me semble-t-il un peu beaucoup méconnu en France - fais toi plaiz’, il est téléchargeable sur Napster achetable sur Amazon Prime. Entre le look noir & blanc stylé et l’ineptie du scénario - 3 loosers font une partie de poker; on dirait un film taillé sur mesure pour l’univers musical déjanté de Mike Patton.
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Sinon, on peut aussi s’amuser à écouter le thème principal d’Hypertension 2 décliné en « j’ai pas compté combien » de versions. Mais soyez prévenus, ce film est un putain de gros nanar.
 La note complètement arbitraire de HBD pour ‘The Director’s cut’: 9.5/10 (0.5 en moins pour ‘Henry: portrait of a serial killer’ qui devrait durer 10 minutes minimum au lieu de 3 minutes tellement c’est bon)
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stacks-unlimited · 6 years
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HBD Big Boi! 🎉🎉🎉 Antwan André Patton, better known by his stage name Big Boi, is an American rapper, songwriter, actor and record producer, best known for being a member of American hip hop duo Outkast alongside André 3000. His work in the duo has produced six studio albums. Big Boi's solo debut Sir Lucious Left Foot: The Son of Chico Dusty was released in July 2010 to respectable sales and critical acclaim. He released his second studio album, Vicious Lies and Dangerous Rumors in 2012. Boomiverse, his third studio album, was released in June 2017. @therealbigboi #hiphop #classichiphop #hiphopculture #vinyl #vinylcollection #goldenera #dope #realhiphop #lyricist #dj #hiphopshirts #shirts #diggininthecrates #rap #music #beats #beatmakers #producers #stacksrundeep #stacksunltd #Outkast #BigBoi #HotTubTinyFrancis #GeneralPatton #S8rLuciousLLeftfoot #ChicoDusty #DaddyFatSacks #EastPoint https://www.instagram.com/p/BtVsoZ1g7xy/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1jdgb798x2q1o
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happybeurzdisque · 4 years
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09-05-05 // Team Sleep
Putain, 15 ans!
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Quand on y pense Chino Moreno c’est un peu le Didier Raoult du néo-métal. Le gars qu’on rangerait volontiers dans une case, style « skater latino diabétique avec une gamme de vocalise allant du soprano mielleux au cri porcin » – (Raoult étant comme chacun sait « toubib sosie de Patrick Sébastien ayant subi une greffe capillaire de Françis Lalanne »... mais qui, profitant que tout le monde avait le dos tourné, nous concoctait un filtre aux pouvoirs chamaniques. Le temps dira si Didouille nous a roulés dans la farine comme les gros gnocchis shootés à BFM que nous sommes. Avec sieur Moreno en tout cas, pas d’entourloupe: on en a (presque) toujours pour son argent.
La première trahison du vocaliste aux Deftones s’appelle donc Team Sleep, soit un des noms de groupe les plus ridicules sur Terre: « L’équipe du sommeil ». Nan mais franchement les gars... Le side-project débarque en plein tumulte pour le quintet de Sacramento, qui porte d’ailleurs aussi un nom peu heureux une fois traduit dans la langue de Molière. Alors qu’aux States, comme souvent, ça pète!
[Chino, tirant sur un gros splif]: -« Venez les gars, on s’appelle “sons cools” »
[Les autres, assis sur leurs skate-boards, tirant sur un gros splif]: -« MMmmmmhhh… Fucking A!! »
Bref, Chino Moreno n’excelle pas dans le naming de groupes: après Team Sleep, on aura droit à « Croix » puis « Paumes/palmiers »... Oh merde. Mais revenons à la musique, que diable, parce qu’après tout, on s’en fout du nom du bousin, tant que le flacon est bon. Après un 3ème album qui aura sidéré sa fan base et attiré l’attention d’un paquet de nouvelles gourdines, les Deftones sont soucieux à l’idée de retrouver une signature sonore passée par la moulinette ‘White Pony’. En effet, à l’écoute de son successeur éponyme qui sort en 2003, beaucoup d’aficionados dont je fais partie ont cet arrière-goût du « je te mélange un peu d’ancien, un peu de neuf, une patte de lapin radioactif, quelques postillons de crapaud, et BOUM! alors ça te plait mon disque hein, HEIIIINNN?! ».
La réception critique est d’autant plus contrastée que quelques mois plus tôt, Chino a sorti un instru de derrière les fagots avec la « brigade du sommeil » (ayaye ça pique à chaque fois)– paru sur l’excellente BO de Matrix Reloaded, pour ceux qui s’en rappellent. Il n’en faut pas plus pour que la Deftonosphère parte en quenouilles. ‘The Passportal’ déclenche les prophéties les plus folles : les pontes du néo-métal de Sacramento est muerto, c’est sûr, Moreno plaque le métal pour l’électro, et d’autres sornettes... Une deuxième démo, ‘Death by Plane’, qu’on a pu télécharger sur eMule entendre ça et là, continue de brouiller les pistes, ce slow acoustique n’aurait pas rougi à figurer en piste bonus de ‘White Pony’. Au final ni l’un ni l’autre ne figureront sur le premier album des Team Sleep. Disque qu’il faudra au passage attendre 3 ans de plus. Nah!
Arrivé mi-2005, le side-project du leader des Deftones a eu le temps de peaufiner son identité musicale. Et l’attente se révèle vite de bon aloi: ça ne part plus autant dans tous les sens. L’album éponyme de 53 minutes regorge de surprises, d’arrangements au cordeau, de fausses pistes pour mieux se perdre dans l’univers Team Sleepien, et globalement d’une palette émotionnelle plus riche que tout ce qu’on a pu entendre des Deftones.
La fausse piste, on se la prend d’emblée en pleine poire, avec le morceau d’ouverture ‘Ataraxia’. Comme un pied de nez à toutes les rumeurs qui pouvaient entourer à l’époque Team Sleep. Bien qu’ataraxie peut signifier zénitude, ce dernier est tout sauf zen. Le tempo rapide nous laisse croire à une version moins énervée et plus aérienne des Deftones, avec peut-être des arrangements électroniques un peu plus présents. On peut voir l’harmonica qui accompagne les premières notes de guitare comme un clin d’œil au quatrième album des Deftones, qui remettra cet instrument incongru au goût du jour sur le morceau ‘Deathblow’. 
Dès la deuxième piste, cependant, l’emballement initial est stoppé en plein vol. ‘Ever’, qui a été à l’époque promu comme single, est a posteriori un des morceaux les moins intéressants du disque. Parce que beaucoup moins « risqué » que le reste de l’album. Le principal truc qui surprend pour les connaisseurs des Deftones, et ce n’est pas le cas sur ‘Ever’, vient de la voix de Chino Moreno. On l’entend sur l’excellent ‘Princeton Review’, le vocaliste sait adopter une tessiture bien plus féminine. Un peu plus loin, ‘Our Ride To The Rectory’ récidive avec des refrains suraigus, quasiment susurrés à nos oreilles. ‘Elizabeth’ emmène Chino au summum du travestissement vocal. Déstabilisant quand on connait le registre habituellement doux-agressif du Chi, mais on apprend à l’apprécier tant cela apporte un supplément mystique au disque.
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‘Formant’, un joyau d’instru qui- allez savoir pourquoi- ne sera pas retenu sur l’album définitif de Team Sleep
L’autre nouveauté qu’on découvre avec Team Sleep, ce sont les samples. Des gongs d’église introductifs de ‘Your Skull Is Red’, réutilisés et déformés pour boucler le morceau façon machine temporelle bizarre, les scratchs stratégiquement placés de ‘Tomb of Legia’, les blips de console rétro sur ‘King Diamond’... l’album foisonne de ce genre de détails qui donne l’impression d’avoir entre les mains du travail d’orfèvre. Même l’emplacement des pistes instrus semble pas dû au hasard: les quelques notes de guitare de ‘Delorian’ faisant parfaitement écho à celles du morceau suivant ‘Our Ride To The Rectory’, le mutant ‘Staring At The Queen’ qui démarre dans un fatras de percus, et s’amortit sur les prémices d’accords du nostalgique ‘Ever Since WWI’.
Le premier, et finalement véritable unique album de Team Sleep, puisqu’il n’y aura pour suite qu’un live avec 2-3 anciens morceaux revampés, mérite d’être considéré comme une œuvre totale. Et pas seulement celui d’un side-project fait pour tromper l’ennui du chanteur d’un groupe en crise. Team Sleep n’est pas non plus un super-groupe. Le groupe tient à deux copains qui ont répété ensemble de longues années avant de se dire qu’ils tenaient un truc. Ça tient évidemment grandement à l’obsession de Chino Moreno pour l’expérimentation qui ne peut tenir dans la seule nébuleuse néo-métal. On notera d’ailleurs qu’il avait invité le zébulon Mike Patton pour les premiers enregistrements de Team Sleep. Le projet aura aussi permis au leader des Deftones d’affirmer sa deuxième passion dans la vie: le skate les femmes. Il y a sa voix métamorphosée, mais aussi des incursions de voix féminines, sur du très bon duo hip-hop (’King Diamond’, encore un clin d’oeil aux Deftones, époque ‘Around the Fur’ et le morceau ‘MX’?), en lead (’Tomb of Legia’) ou incrusté en arrière-plan sur le chaud et sexy ‘Paris Arm’. Comme si le Chino avait trouvé un espace de liberté suffisant pour rendre hommage au genre et au corps féminins. Plus que les pochettes de disque des Deftones avec des meufs à poil, en tout cas.
Après un pareil album, et un deuxième disque qui n’en était pas vraiment un, on prie en tout cas pour que l’équipe du sommeil ne tire pas définitivement le rideau.
Francis Skeud B-)
La note complètement arbitraire de HBD pour ‘Team Sleep’: 8.5/10
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