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#idée jouet
nomadeurbain · 1 year
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3 Figurines Jurassic World, invitez des dinosaures pour un Noël réussit : l’idée jouet du jour 8/24
Le calendrier de l'Avent des idées jouets de Nomade Urbain 7/24 : 3 Figurines Jurassic World, invitez des dinosaures pour un Noël réussit
Noël approche et vous manquez d’inspiration face aux cohortes de jouets en magasin ? Je partage avec vous mes coups de cœur et ce jour je vous propose de découvrir les 3 Figurines Jurassic World les plus marquantes. 3 jouets dinosaure Sans parler de la qualité des films, surtout comparés aux originaux de Steven Spielberg, nous ne pouvons être qu’enthousiastes devant la gamme de dinosaures tirés…
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magicalrainbownight · 1 month
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Il est en cage!!
Pour précision, je ne parle pas du même chien! Le premier, sur lequel j'avais écrit jusqu'à maintenant, s'est révélé fantasmeur ou souminateur!
Bien évidemment, il n'a pas fallu beaucoup de temps pour retrouver un soumis qui demandait à être en cage!
Sur les conseils d'un ex (premier amour), je m'inscris sur un site pour échanger et rencontrer des personnes dans le milieu BDSM. Je commence à échanger avec lui. Chaque réponse me prend 30 min au minimum, entre lire sa réponse et répondre à tout.
Très vite, quelque jour après, on décide de se voir car on se rend compte qu'on habite les villes d'à côté! Un midi, je mets les pieds dedans! je lui demande de me raconter ses expériences même si du monde est à côté! Le temps défile sans s'en rendre compte, il n'y a plus personne dans le restaurant. On prévoit de se voir 2 jours après. Il m'avait déjà envoyé des photos de "son attirail". Il est du genre équipé et pas en petit modèle. Ca tombe bien, j'ai envie d'en prendre un au-delà de l'acceptable.
Bien sûr, un rituel est déjà en place. Dès qu'il me parle il doit avoir un plug! Peu importe la taille ou la longueur! je veux qu'il ait un truc dans le cul quand il s'adresse à moi! Il peut le changer car je me doute que son trou s'habitue vite (et j'ai eu raison de penser ainsi) et qu'il est capable d'encaisser gros!!! Mais s'il le change il doit me dire pour lequel!
Ce détail passé! 2 jours après le voilà chez moi! j'ai fait ma wish list où j'ai demandé de m'amener certains jouets sélectionnés sur photo. Ma table basse est vite remplie de plug, de cage, de gode, cagoule, laisse .. Mon envie qu'il vienne avec ses jouets n'est pas désintéressée, je veux qu'il reparte avec sa bite en cage, mais je ne lui ai pas dit évidemment. Durant ce temps, il masse mes pieds! Je lui mets sur la gueule pour l'envoyer à mon esclave (il aimera le lire)!
1h avant qu'il parte, je saisis une cage et lui dit qu'il ne partira pas sans!!! Il ne s'attendait pas que cela arrive aussi vite! Je n'ai plus de temps à prendre et je veux m'assurer de la motivation de mon soumis. Je lui mets!! Quel est le plaisir de prendre ses couilles et sa queue, de les faire glisser dans l'anneau puis sa verge dans la cage, tout s'emboite et je pose le cadenas!! Je vais chercher un collier (je retire le hibou) et j'insère la clef!! Je la porte quotidiennement et lui envoie des photos pour lui montrer qu'elle est là!!!
Je n'ai aucune idée du temps qu'il va rester en cage! Je n'ai aucun scrupule à le faire pourrir en cage! Son record est 1 an. Je n'ai aucune prétention de le battre mais je lui ai dit que tant qu'il était mon soumis il serait en cage et que s'il voulait la retirer (piscine), il allait devoir disserter et que je ferais tout pour lui faire passer l'envie de la retirer même 2h!
Je me prive pas pour lui dire quand je me masturbe, notamment après le repas du midi (j'ai toujours eu une envie à ce moment) et même au bureau! En ce moment je me caresse à travers mes vêtements à moitié penchée sur mon bureau et j'aime sentir mes doigts après, pour me sentir!!!
Je veux qu'il rampe!! Je veux qu'il soit obéissant!!! Je veux qu'il me remercie chaque jour de faire de lui mon soumis, mon chien, ma chienne, ma future pute!!!!
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submissivegayfrenchboy · 10 months
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18 / 07 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
Chers lecteurs, cela faisait quelques temps que je n'ai pas publié de longues histoires. Des problèmes personnels en sont la raison et aussi le fait que j'écris plusieurs histoires en même temps.
Cette histoire est la 10 ème inspirée par une série télévisée, et c'est une collaboration !
Cette histoire est la deuxième que j'écris à être inspirée par l'excellente série télévisée américaine Desperate Housewives écrite par Marc Cherry.
Le personnage choisi est Carlos Solis (incarné par Ricardo Antonio Chavira), époux de Gabrielle Solis (Eva Longoria).
La série raconte les aventures de femmes au foyer : Lynette Scavo, Susan Mayer (puis Delfino), Gabrielle Solis, Bree Van de Kamp.
Nul besoin d'avoir vu la série pour comprendre et apprécier la série afin de comprendre l'histoire. Les fans, eux, reconnaîtront sûrement les références, les allusions et les changements.
Cette histoire est une version gay du couple formé par Carlos Solis et Gabrielle, ici Gabriel pensé comme un himbo blond.
Je remercie mon collaborateur et ami @roroarbre-blog qui a écrit cette histoire avec moi. Il est fou amoureux de Carlos Solis et aurait aimé être marié à lui.
Comme d'habitude l'auteur de chaque partie est précisé. J'ai corrigé les fautes de conjugaison, grammaire, syntaxe et orthographe de mon ami, mais ses idées et ses parties sont bien les siennes.
Merci à toi mon cher ami, ce fut un plaisir.
Je vous souhaite une bonne lecture 😘
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HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec @roroarbre-blog
INSPIRÉE PAR UNE SÉRIE TÉLÉVISÉE #10 :
DESPERATE HOUSEWIVES #2
- CARLOS ET GABRIEL SOLIS -
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
Des toits en briques. Des palissades et des clôtures blanches. Des arbres à fruits. Des parterres fleuris. Des pelouses fraîches. Des jets d'eau. Des enfants qui courent après un ballon. Et aucun commerce à l'horizon. Tout semblait similaire, et pourtant les charmantes maisons de ce quartier résidentiel ont quelques différences. Oui, d'une maison à l'autre, on voyait des plantes grimpantes s'enroulaient sur des colonnes de la terrasse. Certains jardins étaient jonchés de jouets et de skateboard, ce qui indiquait que la famille avait des enfants.
Des enfants.... Le sublime mannequin Gabriel Solis chassa cette pensée douloureuse de son esprit. Il connaissait la positon de son époux à ce sujet. Alors il se concentra de nouveau sur le paysage qu'offrait les innombrables maisons qui se suivaient toutes. Les jardins, les cris des enfants, les voisins qui discutent, les maris que l'on accueille, les voitures qui quittent le garage....
Cette vie semblait paisible pour l'ex mannequin et sportif Gabriel Solis, qui quittait enfin des yeux sont époux. Depuis quatre mois, il avait été épousé par le grand et musclé homme d'affaires mexicain Carlos Solis. Homme intimidant aux cheveux et à la barbe noirs, Carlos Solis arborait un sourire satisfait lorsqu'il voyait le quartier où il avait décidé que lui et son époux plus jeune que lui allaient vivre.
Avec la bonne nourriture, surtout mexicaine, Carlos Solis aimait trois choses : l'argent, le sport, et les jeunes hommes blancs musclés. Autant dire qu'avoir épouser un jeune homme blanc aux cheveux blonds d'une vingtaine d'années - déjà champion de foot et ayant défilé pour de grandes maisons de haute couture - allait susciter la jalousie dans ce quartier résidentiel de Wisteria Lane.
Dans la ville de Fairview, ce quartier était chic et habité par des gens plutôt fortunés. Mais aucun ne serait aussi riche que Carlos Solis.
L'État d'Eagle State n'était pas le plus riche des États Unis d'Amérique, mais Carlos Solis était fier de sa réussite. Homme d'affaires mexicain millionnaire dans un quartier blanc, Carlos Solis allait être envié des hommes pour avoir épousé un sportif musclé avec qui il pouvait échanger sur le sport, et il allait être jalousé par les femmes pour avoir un mannequin grand et souriant comme époux.
Conduisant la voiture luxueuse qu'il s'était acheté comme cadeau de mariage, se dirigea vers une immense maison en brique orange rappelant de manière sublimée l'architecture mexicaine.
Gabriel Solis savait que cette maison était celle que son viril époux avait choisi. Gabriel n'avait pas eu son mot à dire sur le choix de la maison, évidemment, car son époux était l'homme dans le couple.
GABRIEL SOLIS : "C'est ici, Carlos ?"
CARLOS SOLIS : "Oui mon amour."
La plus grande et la plus belle maison du quartier. Digne d'un millionnaire mexicain marié à une célébrité. Carlos Solis s'arrêta, ouvrit la portière du côté de son mari et le prit dans ses bras musclés.
GABRIEL SOLIS : "Oh Carlos! Ahahaha!"
Carlos était si fort qu'il pouvait porter avec facilité un homme lui-même très musclé. Il avait toujours rêvé de porter l'amour de sa vie dans la maison où ils vivraient. Il monta les escaliers et ouvrit la portes de la maison.
CARLOS SOLIS : "Bienvenue chez nous, mon amour."
Avant d'être déposé au sol, Gabriel prit dans ses mains le visage barbu de Carlos et embrassa ses lèvres charnues.
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PARTIE DE roroarbre-blog
CARLOS SOLIS : "Alors? Comment tu trouves notre chez-nous? N'est ce pas magnifique ?"
Carlos dit cela en embrassant à nouveau son mari.
GABRIEL SOLIS : "J'adore ! C'est juste magnifique ! Je savais déjà que tu as du goût, mais passer la journée ici ne me posera vraiment aucun problème. Par contre, il faudra quand même aller voir où se situe le centre commercial le plus proche."
CARLOS SOLIS : "Oui, on verra ça, bien sûr, mais là il faut qu'on finisse de déballer les cartons. Heureusement on a pris des déménageurs, comme ça on a juste à déballer les cartons. On commence par quelle pièce?"
GABRIEL SOLIS : "Le dressing ! Il est hors de question que mes vêtements restent plus longtemps enfermés dans des cartons qui ont traversés la moitié du pays !"
CARLOS SOLIS, en rigolant : "D'accord 😅"
Carlos était amusé de la remarque de son bel époux.
Ils entrent dans la chambre à coucher, la penderie est situé entre la chambre et est ouvert sur la chambre et la salle de bain. Carlos Solis pris le carton qui se trouvait en haut de la pile avec marqué "Penderie" au marqueur noir, et ouvrit le premier.
Il commença à sortir les différentes pièces qui formait le dressing de Gabriel, les habits variés entre les pièces luxueuses dû à son passé de mannequin, et les différentes tenues de sport dû cette fois-ci à son passé de footballer professionnel.
Pendant qu'ils rangeaient, les tout nouveau mariés discutèrent de leurs projets dans les semaines à venir. Pour Carlos, c'était la découverte de ses nouveaux locaux de travail, et pour Gaby - comme le surnommait l'homme d'affaires mexicain - ça allait être la découverte de la grande ville qu'est Fairview. En somme, la semaine s'annonçais bien remplis.
PART BY submissivegayfrenchboy
Le salon aux murs orangés était remplis des cartons d'emménagement, mais Gabriel, perpétuellement excité à l'idée de coucher avec son sublime mari mexicain, vint lui faire un calin par derrière. Il respira l'odeur chaude de son dos, car Carlos transpirait et avait sué après cette route. Gabriel descendit au sol et renifla le gros cul rebondi de son époux mexicain. L'odeur virile de son cul le fit vibrer.
CARLOS SOLIS : "Je crois que c'est plutôt ça que tu veut.."
Il posa sa grande main virile sur sa longue bite épaisse et la secoua. Les yeux de Gaby s'écarquillèrent.
GABRIEL SOLIS : "S'il te plaît Carlos, je peut ?"
CARLOS SOLIS : "Oui Gaby, fait moi plaisir.."
Gabriel déboutonna rapidement la luxueuse ceinture puis le pantalon de son époux qu'il fit descendre brusquement.
CARLOS SOLIS : "Savoure bien l'odeur chéri..."
GABRIEL SOLIS : "Non! J'ai attendu plusieurs heures de pouvoir te soulager !"
Comme il n'aimait pas désobéir à l'homme de ses rêves, Gabriel a quand même reniflé l'odeur du caleçon de son mari, une odeur puante de virilité. Il avait mariné dans sa transpiration tout le trajet. Désormais, il était temps de descendre le caleçon. Une fois que cela fut fait, une énorme et appétissante bite légèrement poilue faisait face au joli visage musclé du mannequin blond.
Gabriel a embrassé la bite, la lèché et se mit à la sucer goulumment.
CARLOS SOLIS : "Ouais je sais que t'aimes ça petite chienne !"
Il prenait dans sa grande main virile les cheveux blonds de son époux et maintenait sa bouche sur sa bite.
Au bout d'un moment, Carlos prit Gabriel dans ses bras et l'emporta au cœur du salon où il se mit à le pénétrer. Quatre mois de mariage, cinq mois à baiser ensemble, et Gabriel savait qu'il avait encore du temps pour que son cul s'habitue à la plus épaisse bite qu'il ait connu.
Carlos alternait tendresse et sauvagerie, mais il était surtout très excité d'inaugurer cette maison qu'il avait payé.
Quand après une bonne heure ils éjaculèrent enfin, les deux époux riaient et s'embrassaient.
Ils étaient transpirants de sueur lorsqu'ils entendirent toquer puis rentrer quatre hommes. Gabriel se releva.
Un grand homme blond se présenta.
"Bonjour je m'appelle Marty-Alex Young, et voici Brett Van de Kamp."
Il désigna un homme roux très élégant.
MARTY ALEX YOUNG : "Et aussi Sunny Mayer et Luc Scavo. Bienvenue à Wisteria Lane."
PARTIE DE roroarbre-blog
Gabriel Solis fini de se rhabiller en vitesse et s'avança vers le groupe d'hommes qui venaient d'entrer.
GABRIEL SOLIS : "Enchanté ! Je me présente, je suis Gabriel Solis, et je suis le mari de Carlos!"
Il dit en regardant en direction du mexicain.
"Enchanté" disent les maris tous en choeur.
BRETT VAN DE KAMP : "Et voici quelques muffins aux myrtilles et quelques pommes de nos jardins! C'est la tradition quand on accueille de nouveau voisins."
Il tendit à l'ancien mannequin le panier, qui le prit et l'amena dans la toute nouvelle cuisine.
GABRIEL SOLIS : "Merci beaucoup, désolé de vous recevoir dans le salon encore remplis de cartons."
LUC SCAVO, souriant : "Pas de soucis, nous savons ce que c'est les emménagements!"
Carlos qui revenait dans le salon après s'être éclipsé dans la cuisine pour finir de mettre son pantalon.
SUNNY MAYER, à Carlos : "Et sinon, que faites vous dans la vie ?"
CARLOS SOLIS: "Je suis un homme d'affaires."
MARTY ALICE YOUNG : "Et vous... Gabriel, c'est ça ? Que faite vous dans la vie?"
GABRIEL SOLIS, souriant : "J'ai été et footballeur et mannequin pendant quelques années, et depuis 4 mois je suis homme au foyer."
Gabriel sentit des bras s'enrouler autour de ça taille : c'était son mari qui posa sa tête sur son épaule musclé et lui embrassa le cou.
CARLOS SOLIS : "Je suis si fier de mon mari ! Quelle chance j'ai d'avoir un aussi bel homme dans mon foyer !"
SUNNY MAYER : "Oh qu'est ce que vous êtes mignon ensemble, c'est vraiment beau l'amour ! Enfin bon nous n'allons pas vous dérangez plus longtemps. On y va, les gars? S'y vous avez besoin de quoi que ce soit, j'habite au 4353. Juste à côté c'est Luc et en face de chez moi, la maison bleu, c'est chez Brett. Vous aurez le temps de découvrir tout les habitants, mais ne vous inquiétez pas : tout le monde est adorable ici."
MARTY ALICE YOUNG : "Nous sommes tous hommes au foyer, pas que, mais pour la plupart nous restons la journée chez nous. Si vous en avez envie, n'hésitez pas à passer pour quoi que ce soit. Et ma maison est celle avec l'arche de fleur juste en face."
Il dit cela en pointant du doigt sa maison à travers la fenêtre du salon des Solis.
Les voisins quittèrent la maison aux briques orange et Carlos repris la conversation.
CARLOS SOLIS, amusé : "On a eu chaud ! A quelques minutes ils nous auraient surpris ! Je crois qu'il ne se sont rendu de rien ou presque. En tout cas, tant mieux s'il y a d'autres hommes au foyer: tu pourras te faire de nouveaux amis. Demain on ira en ville voir où se trouve le centre commercial."
GABRIEL SOLIS : "Parfait, je ne regretterais jamais de t'avoir épousé je crois."
Gabriel dit cela en embrassant son époux, qui en profita pour lui mette une main aux fesses.
Gabriel ferma la porte une fois que leurs nouveaux voisins étaient partis.
Il était heureux de ne pas être le seul homme au foyer du quartier. Gabriel se disait qu'il pourrait se faire de nouveau amis et cela l'enchantait.
GABRIEL SOLIS : "Ils ont l'air adorables, pas vrai ?"
Son époux mexicain n'avait pas trainé pour reprendre le déballage des cartons.
CARLOS SOLIS : "Oui, et je suis content qu'il y ai du monde la journée. ça me rassure de ne pas te laisser complètement seul."
GABRIEL SOLIS : "Mais je sais me battre hein, je te rappelle que je suis un ancien sportif ! Des coups j'en ai donné ! Ne t'inquiètes pas, s'il faut recommencer je saurais faire!"
Carlos rigola aux paroles de son époux. Ils s'étaient mariés depuis quatre mois, et jamais depuis ce jour Carlos n'avait été aussi heureux dans sa vie. Gabriel était pour Carlos ce qu'est l'oxygène pour les humains. Il ne pouvait pas vivre sans lui. Malgré son côté mâle alpha macho et businessman, il était très attentionné envers ceux qu'il aime: sa mère - qui était la prunelle de ses yeux - et Gaby qui est comme son oxygène.
L'après midi est passé à une vitesse folle : le couple de jeunes mariés avait fini de déballer les cartons, et il ne restait plus que les cartons d'objets de sport qu'ils avaient exprès pour eux.
Il était 20h30 quand le couple venait de finir de dîner et de se retrouver sur leur canapé pour regarder la télé pour la première fois dans leur nouvelle maison. Carlos zappait les chaînes en essayant de trouver un programme sympa, mais rien malheureusement ne lui plaisait. Il décida de rester sur une chaîne qui passait des publicités en attendant que le programme commence.
Après quelques minutes, une pub pour de la nourriture pour bébé passa, Gaby savait très bien quelle conversation allait suivre.
CARLOS SOLIS : "Tu ne trouves pas que cette maison est parfaite pour accueillir un enfant?"
GABRIEL SOLIS : "Tu sais très bien ce que j'en pense. Je ne veux pas d'enfant."
CARLOS SOLIS : "Mais pourquoi ? Ce serait super! tu pourrais t'en occuper toute la journée nan? Et puis il serait magnifique notre enfant ! Imagine un mélange entre nous deux, ce serait l'enfant parfait. Tu sais très bien que je veux être père, et avec toi comme deuxième père ce serait parfait, nan?"
GABRIEL SOLIS : "Nan, je ne veux pas m'en occuper toute la journée, c'est déjà assez compliqué de prendre soin de moi alors un enfant en plus, c'est non. Et j'essaie le plus possible de te rendre heureux, mais avoir un enfant, pour l'instant, c'est non."
CARLOS SOLIS : "Mais pourquoi as tu si peur d'élever un enfant ?"
GABRIEL SOLIS : "Le problème ce n'ai pas les enfants mais les parents. J'ai déjà eu assez de problèmes avec les miens pour savoir que je ne serais pas un bon père."
Les larmes commençaient à rouler sur ses joues. Il se leva du canapé et courut vers les escaliers, les monta rapidement, puis se laissa tomber sur leur grand lit.
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
Le grand Carlos alla retrouver son époux qui pleurait dans leur lit. Il le prit dans ses bras, lécha son doux visage pour essuyer ses larmes et le rassura. Oui, avoir un enfant, ou même plusieurs, n'était pas encore d'actualité.
Ce matin, le géant mexicain millionnaire Carlos Solis - s'étant levé du lit après avoir embrassé sur le front son époux Gabriel, ancien mannequin et footballeur professionnel - était en train de se raser. Il ne laisser que des contours de barbe.
Son jeune époux blond se leva et vit, de dos, dans la salle de bain, le bon gros cul de l'amour de sa vie. Il se leva nu et s'agenouilla derrière Carlos. Avec son visage, il écarta les bonnes grosses fesses encore suantes et renifla le trou du cul. Il prit de grandes inspirations, ce qui amusa Carlos, ravi d'être marié à un jeune blanc musclé qui aime son gros cul poilu d'homme mexicain.
CARLOS SOLIS : "Tu renifles déjà mon cul, joli toutou ?"
Gabriel retira son visage du cul de Carlos, et de la sueur de fesses était maintenant sur son visage.
GABRIEL : "Oh oui il faut bien que j'ai de l'énergie le matin ! Ton gros cul puant m'en donne, c'est de la vraie force de mâle !"
CARLOS SOLIS : "Bon alors rends toi utile et décrasse mon cul suant !"
Il mit sa main sur la tête de son époux : sa main immense faisait la taille de la tête de Gabriel. Il tira sur les sublimes cheveux blonds de son époux et enfonça sa tête dans son gros cul afin que Gabriel absorbe la sueur de son anus.
Mais celui-ci savait qu'il fallait aussi lécher les grosses fesses poilues de son mari.
Tout en applatissant les poils des fesses de Carlos avec sa langue, le beau et musclé Gabriel entendit un grognement et soudain, les fesses De Carlos se sont ouvertes.
PPPPPpppppFFFFfffRRRRrrrrTTTTTttttttt !!!!!
Le pet n'était pas trop nauséabond, donc l'a reniflé. D'autres pets parvenaient au visage de Gabriel qui s'amusait à rester derrière son époux pour les sentir, ce qui faisait rire le millionnaire mexicain que de voir un beau jeune homme blond reniflait ses pets puants comme si c'était l'air le plus pur.
PARTIE DE roroabre-blog
Après avoir léché les fesses et l'anus de son époux, Gabriel prit le petit déjeuner avec son chéri.
Carlos partit au travail comme tous les matins et, avant de monter en voiture, il embrassa langoureusement Gabriel. Comme il était de bonne humeur il le pelota légèrement. Carlos entra dans l'un des nombreux cabriolets européens qu'il possédait. Gabriel le regardait partir en lui envoyant des bisous volés et en lui faisant des signes de la main.
Au programme d'aujourd'hui pour Gabriel, aller faire du shopping, pour lui mais aussi pour Carlos. Il voulait lui faire plaisir, car en ce moment, de ce que Gabriel avait compris, Carlos était submergé de travail. Peut être qu'une petite attention comme celle-ci lui donnerait un peu de courage pour attaquer le reste de la semaine.
Gabriel aimait envoyer une image superficielle de lui-même, en faisant croire que la seule chose importante pour lui était l'apparence, la mode et l'esthétique de ce qui l'entoure. En réalité, il n'était pas comme ça. C'était comme une carapace pour se protéger du monde, c'est ce que lui avait appris le mannequinat et l'environnement du football à haut niveau.
Gabriel se prépara rapidement, et conduisit en direction du centre commercial de Fairview.
Certes, cela faisait peu de temps qu'ils étaient installés, mais Gabriel le connaissait comme sa poche.
Il se gara sur une place de parking proche de l'entrée de ses magasins préférés. Il acheta différents pantalons, des slims, des cargos, des amples, tout de façon à avoir un dressing caméléon, qui lui permet d'aller partout, que ce soit dans un gala de charité ou avoir de quoi faire du sport, en passant par les fêtes de quartier.
Après avoir passé une majeur partie de la mâtinée à se faire plaisir, il décida d'aller acheter un beau bijou pour Carlos.
Gabriel s'était renseigné au préalable et avait découvert qu'a quelques kilomètres du centre commercial se trouvait une boutique de joaillerie mexicaine. Il savait que, quand Carlos l'ouvrira, il sera touché de savoir que Gabriel a fait l'effort de trouver quelque chose en rapport avec ses origines.
Gabriel entra dans la boutique. Une fois avoir examiné presque toutes les pièces qu'ils possédaient, il hésita entre une belle montre incrusté de diamant de couleur vert, blanc, rouge (les couleurs du drapeau du Mexique) ou un bracelet plus simple mais avec possibilité de graver dessus ce qu'on veut.
Gabriel ne sachant pas lequel choisir il opta pour les deux et fit graver le bracelet avec cette phrase "Te amo Carlos, nunca lo olvides", qui se traduit par "Je t'aime Carlos, ne l'oublie jamais".
Après cette escapade shopping, Gabriel rentra et emballa les différents cadeaux dans des pochons de satin.
L'après midi était passé à une vitesse folle. Gabriel avait été chez Brett Van de Kamp prendre le thé, pour qu'il lui raconte les derniers potins du quartier.
Puis, Gabriel avait supervisé la préparation du repas et la décoration de la table. Il faisait tout cela sans autre raison que montrer à Carlos à quel point il l'aimait.
La table était dressée d'une nappe blanche avec un chemin de table doré, et un chandelier venait donner de la hauteur à la décoration. Les assiettes provenaient du service à vaisselle que les parents de Gabriel leur avaient offert en cadeau de mariage : c'était l'une des plus belle porcelaine du monde.
Quand Carlos rentra, Gabriel l'accueillit comme un roi. Quand Carlos enleva son manteau, Gabriel se dépêcha de l'en débarrasser.
Quand Carlos vit la table aussi bien préparé, il s'interrogea et demanda de sa voix grave et viril et en pointant la table du doigt.
CARLOS SOLIS: "En quel honneur as tu fait ça ?"
GABRIEL SOLIS: "Pourquoi devrait-il y avoir une raison ? C'est juste parce que je t'aime, et que je vois bien qu'en ce moment le travail t'épuise, alors j'essaie de te le faire oublier."
CARLOS SOLIS: "J'ai vraiment le meilleur époux."
Carlos dit cela en prenant Gabriel dans les bras et en embrassant langoureusement son bien aimé.
Le repas se passa parfaitement bien : Gabriel écoutait Carlos raconter sa journée. Il pourrait passer des heures a l'écouter. Carlos est si charismatique quand il commence à parler, il captive son auditoire, c'est impressionnant et Gabriel adore écouter son époux.
Quand ils eurent finit de manger. Gabriel se leva de table pour chercher les deux cadeaux.
GABRIEL SOLIS: "Ce matin j'ai été faire du shopping et j'ai pensé à toi, alors tiens."
Il lui tendis les deux petits pochons et Carlos, intrigué, s'empressa des les ouvrir. Carlos remarqua tout de suite le clin d'oeil au drapeau mexicain sur la montre, et esquissa un sourire amoureux. Quand au bracelet, après avoir lu le message gravé, il se leva et embrassa tendrement Gabriel.
CARLOS SOLIS: "Je n'oublierais jamais que je t'aime. Comment peut-on t'oublier ? Tu es inoubliable."
Après le repas, Carlos n'avait qu'une envie : remercier Gabriel pour tous les efforts qu'il venait de faire. Il savait qu'en ce moment, avec le déménagement et donc son nouveau poste, il n'était pas toujours facile à vivre. Que Gabriel lui ait fait ça le touchait au plus profond de son cœur, et pour Carlos la façon de remercier le mieux Gabriel est en lui faisant l'amour, avec comme unique but lui donner le plus de plaisir. Oui, quand ils font l'amour, Carlos pense d'avantage à lui qu'à son époux, mais pour le remercier il décida de changer ça ce soir-là.
Il porta Gabriel qui enroula ses jambes autour des anches fermes de Carlos. Ils arrivèrent dans la chambre, et Carlos déposa avec douceur son amoureux. Il s'embrassaient, se caressaient.
Alors que Carlos embrassait Gabriel, il sortit un rot monumental de sa bouche, à quelques centimètres du nez de Gabriel.
BBBBBBbbbbbUUUUuuuuuRRRRRRrrrrrPPPPPpppp!!!!!
Gabriel inspira profondément pour sentir cette odeur d'épices causée par les plats de ce soir.
GABRIEL SOLIS: "J'adore te faire l'amour après manger, je reçois tout de toi. C'est si bon. "
Il dit cela en l'embrassant.
Pendant que Carlos rotait allègrement, Gabriel était en train d'enlever ses vêtements et ceux de son époux. Carlos laissa faire Gabriel, qui était en train de lécher tout son torse, et qui s'arrêta sur ses téton. Il les suçota comme si du lait allait en sortir, et Carlos aimait tellement ça.
Carlos était tellement excité qu'il ne pris même pas le temps de préparer Gabriel ou de faire des préliminaires. Il sortit du lubrifiant, en mis sur le trou rose bien rasé de Gabriel et sur sa virilité, puis le pénétra dans la position du missionnaire pour pouvoir continuer à lui roter au visage et l'embrasser.
À chaque aller-retour, un nouveau rot plus puissant que le précédent sortait de Carlos, pour le bonheur de Gabriel dont le visage commençait a s'imprégner de l'odeur. Quand Carlos commença à se sentir gazeux, il savait qu'il était tant de s'asseoir sur le visage de son époux. Ce qu'il fit de suite.
La langue de Gabriel s'enfonçait le plus loin possible dans l'anus de Carlos, qui lâchait des gémissements virils, presque des grognements. Quand Carlos sentit qu'un pet arrivait, il se leva légèrement et se lâcha.
PPPPPRRpppppprrrrtttttt!!!!!!!
PPPPPPRrrrrrTTTTtttttt!!!!!!
PPPPPPPPPppppRrRRRrrrrrTTTTTTtttttttt!!!!
PPPPppppRRRRrrrrTTTTTttttt PPpppRRrrrTTttttRRRRrrrTTTTtttt !!!
PPPppppPRRrrrTTTTtttRRRrrrRRTTttttRRRRrrrTTTttt!!!!!!!!!
Gabriel était aux anges : sentir cette odeur lui avait terriblement manqué, il était ravi de pouvoir ressentir cela.
Après un facesitting bien musclé, Carlos décida de faire éjaculer Gabriel en lui faisant une pipe.
Après 7 minutes, Gabriel avait lâché sa semence sur son torse. Gabirel voulais que Carlos éjacule en lui. Carlos le fit et Gabriel n'alla pas se laver, pour garder la semence de son mari en lui : rien de mieux pour passer une telle nuit.
GABRIEL SOLIS: "Mon amour, j'ai vu que t'étais gazeux et je ne voudrais pas que tes magnifiques pets partent dans l'air sans personne pour les renifler. Pourrais tu dormir sur le ventre et moi ma tête dans tes fesses pour pouvoir les renifler tout au long de la nuit?"
CARLOS SOLIS: "Comment je pourrais te le refuser après tout ce que t'as fait pour moi?"
Carlos et Gabriel se positionnairent puis s'endormirent paisiblement avec l'odeur de rots, de pets et de sperme déjà bien présente dans la pièce.
PARTIE DE Submissivegayfrenchboy
Le lendemain matin, Carlos Solis partait au travail lorsqu'il appela son époux.
CARLOS SOLIS : "J'ai pas eu mon bisou du matin ! Qu'est-ce qu'attends mon petit américain pour embrasser son gros mari mexicain ?!"
PARTIE DE roroabre-blog
GABRIEL SOLIS: "J'arrive tout de suite mon chéri, mais hier tu m'as trop fatigué à me faire l'amour. Heureusement que je t'aime sinon je serais resté sous la couette."
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
CARLOS SOLIS : "Ahah oui, sous la couette pour renifler mon gros cul mexicain, mon joli cochon américain ! Quand je pense que tu as passé la nuit le nez enfoncé dans mon trou du cul ! 😂 ¡Señor Dios! ¡Si todos los hombres blancos en Estados Unidos fueran como mi amor, los latinos serían reyes y les olfatearían el trasero! ¡Realmente me casé con una cerdita para que el olor de mis pedos la excitara!"
("Seigneur Dieu! Si tous les hommes blancs d'Amérique était comme mon amour, les Latinos seraient les Rois et auraient leurs culs reniflés! J'ai vraiment épousé un petit cochon pour que l'odeur de mes pets puissent l'exciter!")
PARTIE DE roroabre-blog
GABRIEL SOLIS, amusé :" Tu sais très bien que je ne suis pas un cochon. Je suis juste fou amoureux de toi, et de tout ce qui en sort, donc tes pets et tes rots ou ta transpiration. J'aime tout chez toi, que ce soit au niveau du physique ou du caractère. Au fait, demain soir je sors. Je vais voir un match de football américain avec Jason. Tu sais, mon ami mannequin. On a bossé ensemble au début de ma carrière de mannequin. Enfin bon, viens là m'embrasser avant de partir au boulot mon chéri."
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
Gabriel Solis, le joli trophé de son époux, a immédiatement aimé sa vie à Wisteria Lane. Carlos travaillait, certes, mais il revenait toujours avec l'énorme envie de profiter de la compagnie de Gabriel. Celui-ci continua d'impressionner pour ses qualités de footballeur professionnel, il divertit le voisinage par sa personnalité solaire et son incontestable beauté.
Oui, la vie à Wisteria Lane serait épanouissante pour ce couple atypique mais très amoureux.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇺🇲🇬🇧
Dear readers, it's been a while since I published long stories. Personal problems are the reason for this and also the fact that I write several stories at the same time.
This is the 10 th story inspired by a TV series, and it's a collaboration!
This story is the second I've written to be inspired by the excellent American television series Desperate Housewives written by Marc Cherry. The character chosen is Carlos Solis (played by Ricardo Antonio Chavira), husband of Gabrielle Solis (Eva Longoria). The series tells the adventures of housewives: Lynette Scavo, Susan Mayer (then Delfino), Gabrielle Solis, Bree Van de Kamp. No need to have seen the series to understand and appreciate the series in order to understand the story. The fans will probably recognize the references and the changings.
This story is a gay version of the couple formed by Carlos Solis and Gabrielle, here Gabriel thought of as a blond himbo.
I thank my collaborator and friend @roroarbre-blog who wrote this story with me. He is madly in love with Carlos Solis and would have liked to be married to him.
Thanks you dear friend, it's been a pleasure.
As usual the author of each part is specified. I've corrected his grammatical mistakes, but all his parts have been written by him.
I wish you a good reading 😘
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PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with @roroarbre-blog
INSPIRED BY A TV SERIES #10 :
DESPERATE HOUSEWIVES #2
- CARLOS AND GABRIEL SOLIS -
PART OF submissivegayfrenchboy
Brick roofs. Palisades and white fences. Fruit trees. Flowerbeds. Fresh lawns. Water jets. Children running after a ball. And no trade in sight. Everything seemed similar, and yet the charming houses in this residential area have some differences. Yes, from one house to another, we saw climbing plants rolled up on the columns of the terrace. Some gardens were littered with toys and skateboards, indicating that the family had children.
Children…. The sublime model Gabriel Solis chased this painful thought from his mind. He knew his husband's position on this. Then he concentrated again on the landscape offered by the innumerable houses which all followed each other. The gardens, the cries of the children, the neighbors who discuss, the husbands who are welcomed, the cars which leave the garage....
This life seemed peaceful for the former model and sportsman Gabriel Solis, who finally took his eyes off his husband. For four months he had been married to the tall, muscular Mexican businessman Carlos Solis. An intimidating man with black hair and beard, Carlos Solis smirked when he saw the neighborhood where he had decided that he and his younger husband would live.
Along with good food, especially Mexican food, Carlos Solis loved three things: money, sports, and young, muscular white men. Suffice to say that having married a young white man with blond hair in his twenties - already a football champion and having paraded for large fashion houses - was going to arouse jealousy in this residential area of ​​Wisteria Lane.
In the city of Fairview, this district was posh and inhabited by rather wealthy people. But none would be as rich as Carlos Solis.
Eagle State was not the richest in the United States of America, but Carlos Solis was proud of his achievement. A millionaire Mexican businessman in a white neighborhood, Carlos Solis was to be envied by men for marrying a muscular sportsman with whom he could chat about sports, and he was to be envied by women for having a tall, smiling model as a husband.
Driving the luxurious car he had bought for himself as a wedding present, he walked towards a huge orange brick house, a sublime reminder of Mexican architecture. Gabriel Solis knew that this house was the one her virile husband had chosen. Gabriel had had no say in the choice of house, of course, because his husband was the man in the couple.
GABRIEL SOLIS: "Is it here, Carlos?"
CARLOS SOLIS: "Yes my love."
The biggest and nicest house in the neighborhood. Fit for a Mexican millionaire married to a celebrity. Carlos Solis stopped, opened the door on his husband's side and took him in his muscular arms.
GABRIEL SOLIS: "Oh Carlos! Ahahaha!"
Carlos was so strong that he could carry a very muscular man with ease. He had always dreamed of carrying the love of his life into the house where they would live. He walked up the stairs and opened the door to the house.
CARLOS SOLIS: "Welcome home, my love."
Before being lowered to the ground, Gabriel took Carlos' bearded face in his hands and kissed his full lips.
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PART OF roroarbre-blog
CARLOS SOLIS: "So? How do you find our home? Isn't it beautiful?"
Carlos says this while kissing his husband again.
GABRIEL SOLIS: "I love it! It's just beautiful! I already knew you had good taste, but spending the day here won't really be a problem for me. On the other hand, you'll still have to go see where the mall is located the closest."
CARLOS SOLIS: "Yes, we'll see about that, of course, but now we have to finish unpacking the boxes. Fortunately, we hired movers, so we just have to unpack the boxes. Which room do we start with?"
GABRIEL SOLIS: "The dressing room! It's out of the question that my clothes stay locked up any longer in boxes that have crossed half the country!"
CARLOS SOLIS, laughing: "Okay 😅"
Carlos was amused by his husband's remark. They enter the bedroom, the wardrobe is located between the bedroom and is open to the bedroom and the bathroom. Carlos Solis took the box that was at the top of the pile marked "Wardrobe" in black marker, and opened the first one. He began to take out the different pieces that formed Gabriel's dressing room, the varied clothes between the luxurious pieces due to his past as a model, and the different sports outfits due this time to his past as a professional footballer.
As they tidied up, the newlyweds discussed their plans for the coming weeks. For Carlos, it was the discovery of his new work premises, and for Gaby - as the Mexican businessman nicknamed him - it was going to be the discovery of the big city that is Fairview. All in all, the week was shaping up to be a busy one.
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PART BY submissivegayfrenchboy
The orange-walled living room was filled with moving-in boxes, but Gabriel, perpetually excited at the thought of sleeping with his sublime Mexican husband, came to give him a hug from behind. He inhaled the warm scent of his back, for Carlos was sweating and sweating after that road. Gabriel got down to the floor and sniffed his Mexican husband's big round ass. The manly smell of his ass made him vibrate.
CARLOS SOLIS: "I think that's more what you want.."
He put his big, manly hand on his long, thick cock and shook it. Gaby's eyes widened.
GABRIEL SOLIS: "Please Carlos, can I?"
CARLOS SOLIS: "Yes Gaby, make me happy.."
Gabriel quickly unbuttoned the luxurious belt and then his husband's pants, which he pulled down abruptly.
CARLOS SOLIS: "Enjoy the smell dear..."
GABRIEL SOLIS: "No! I waited several hours to be able to relieve you!"
Since he didn't like disobeying the man of his dreams, Gabriel sniffed the smell of his husband's underpants anyway, a stinking smell of manhood. He had marinated in his perspiration the whole way. Now it was time to take off the pants.
Once that was done, a huge, appetizing, slightly hairy cock faced the blonde model's pretty muscular face. Gabriel kissed the cock, licked it and began to suck it greedily.
CARLOS SOLIS: "Yeah I know you like it, puppy !"
He took his husband's blond hair in his big manly hand and kept his mouth on his cock.
After a moment, Carlos took Gabriel in his arms and carried him to the heart of the living room where he began to penetrate him. Four months of marriage, five months of fucking together, and Gabriel knew he still had time for his ass to get used to the thickest cock he had ever known.
Carlos alternated tenderness and savagery, but above all he was very excited to inaugurate this house that he had paid for. When after a good hour they finally ejaculated, the two spouses laughed and kissed.
They were sweating when they heard a knock and then enter four men. Gabriel stood up. A tall blond man introduced himself.
"Hello, my name is Marty-Alex Young, and this is Brett Van de Kamp."
He pointed to a very elegant red-haired man.
MARTY ALEX YOUNG: "And also Sunny Mayer and Luc Scavo. Welcome to Wisteria Lane."
PART OF @roroarbre-blog
Gabriel Solis quickly got dressed and walked towards the group of men who had just entered.
GABRIEL SOLIS: "Delighted! Let me introduce myself, I'm Gabriel Solis, and I'm Carlos's husband!"
He says looking in the direction of the Mexican.
"Enchanted" say the husbands all in chorus.
BRETT VAN DE KAMP: "And here are some blueberry muffins and some apples from our gardens! It's the tradition when we welcome new neighbors."
He handed the former model the basket, who took it and carried it into the brand new kitchen.
GABRIEL SOLIS: "Thank you very much, sorry to see you in the living room still full of boxes."
LUC SCAVO, smiling: "No worries, we know what moving in is!"
Carlos returning to the living room after sneaking off to the kitchen to finish putting on his pants.
SUNNY MAYER, to Carlos: "if i may ask, what do you do for a living?"
CARLOS SOLIS: "I am a businessman."
MARTY ALICE YOUNG: "And you.. Gabriel right? What do you do for a living?"
GABRIEL SOLIS, smiling: "I was both a footballer and a model for a few years, and for the past 4 months I have been a housewife."
Gabriel felt arms wrap around his waist: it was her husband who laid his head on his muscular shoulder and kissed his neck.
CARLOS SOLIS: "I'm so proud of my husband! How lucky I am to have such a handsome man in my home!"
SUNNY MAYER: "Oh how cute you are together, love is really something beautiful ! Anyway, we're not going to bother you any longer. Here we go, guys? whatever it is, I live at 4353. Right next to it is Luc and in front of my house, the blue house is at Brett's. You will have time to discover all the inhabitants, but do not worry : everyone is adorable here."
MARTY ALICE YOUNG: "We are all househusbands, not only, but for the most part we stay at home the day. If you feel like it, feel free to pass for anything. And my house is the one with the flower arch right in front."
He says this while pointing to his house through the Solis living room window.
The neighbors left the orange brick house and Carlos resumed the conversation.
CARLOS SOLIS, amused: "We have almost been caught ! In a few minutes they would have surprised us! I believe that they did not realize anything or almost. In any case, so much the better if there are other men at home. That way, you can make new friends. Tomorrow we'll go to town to see where the mall is."
GABRIEL SOLIS: "Perfect, I would never regret having married you I believe."
Gabriel said this while kissing his husband, who took the opportunity to put a hand on his buttocks.
Gabriel closed the door once their new neighbors left. He was glad he wasn't the only housewife in the neighborhood. Gabriel told himself that he could make new friends and that delighted him.
GABRIEL SOLIS: "They look adorable, don't they?"
His Mexican husband hadn't lingered to resume unpacking the boxes.
CARLOS SOLIS: "Yes, and I'm glad there are people there during the day. It reassures me not to leave you completely alone."
GABRIEL SOLIS: "But I know how to fight, eh, I remind you that I am a former athlete! I have given blows! Don't worry, if I have to start again I will know how to do it!"
Carlos laughed at his husband's words. They had been married for four months, and never since that day had Carlos been so happy in his life. Gabriel was to Carlos what oxygen is to humans. He couldn't live without him. Despite his macho and businessman alpha male side, he was very caring towards those he loves: his mother - who was the apple of his eye - and Gaby who is like his oxygen.
The afternoon passed at breakneck speed: the newlywed couple had finished unpacking the boxes, and there remained only the boxes of sporting goods that they had specially for them.
It was 8:30 p.m. when the couple had just finished dinner and reunited on their sofa to watch TV for the first time in their new home. Carlos skipped the channels trying to find a nice program, but unfortunately nothing pleased him.
He decided to stay on a channel that ran commercials while waiting for the program to start.
After a few minutes an ad for baby food played, Gaby knew very well what conversation was about to follow.
CARLOS SOLIS: "Don't you think this house is perfect for welcoming a child?"
GABRIEL SOLIS: "You know very well what I think about it. I don't want a child."
CARLOS SOLIS: "But why? It would be great! You could take care of it all day, right? And then our child would be magnificent! Imagine a mix between the two of us, it would be the perfect child. You know very well that I want to be a father, and with you as a second father it would be perfect, right?"
GABRIEL SOLIS: "Nah, I don't want to take care of it all day, it's already complicated enough to take care of myself so one more child is no. And I try as much as possible to give you back happy, but having a child, for the moment, is a no."
CARLOS SOLIS: "But why are you so afraid of raising a child?"
GABRIEL SOLIS: "The problem is not the children but the parents. I've already had enough problems with mine to know that I wouldn't be a good father."
Tears were starting to roll down his cheeks. He got up from the couch and ran for the stairs, climbing them quickly, then plopped down on their big bed.
PART BY @submissivegayfrenchboy
The tall Carlos went to find his husband who was crying in their bed. He took him in his arms, licked his soft face to wipe away his tears and reassured him. Yes, having a child, or even several, was not yet relevant.
This morning, Mexican giant millionaire Carlos Solis - having gotten out of bed after kissing his husband Gabriel, a former model and professional footballer - on the forehead - was shaving. It only leaves beard outlines.
His young blonde husband got up and saw, from behind, in the bathroom, the good big ass of the love of his life. He got up naked and knelt down behind Carlos. With his face, he parted the good big buttocks still sweaty and sniffed the asshole. He took deep breaths, which amused Carlos, delighted to be married to a young, muscular white man who liked his big, hairy Mexican man ass.
CARLOS SOLIS: "Are you sniffing my ass already, pretty pooch?"
Gabriel pulled his face away from Carlos' ass, and sweat from his ass was now on his face.
GABRIEL: "Oh yes I have to have energy in the morning! Your big stinky ass gives it to me, it's real male strength!"
CARLOS SOLIS: "Well then make yourself useful and clean my sweaty ass!"
He put his hand on his husband's head: his huge hand was the size of Gabriel's head. He tugged on his husband's gorgeous blond hair and buried his head in his big ass so that Gabriel soaked up the sweat from his anus.
But this one knew that it was also necessary to lick the big hairy buttocks of his husband.
While flattening the hair on Carlos' buttocks with his tongue, handsome and muscular Gabriel heard a growl and suddenly, Carlos' buttocks opened.
PPPPPppppppFFFFfffRRRRrrrrTTTTTTtttttttt!!!!!
The fart wasn't too foul so sniffed it. Other farts reached Gabriel's face, who amused himself by staying behind his husband to smell them, which made the Mexican millionaire laugh to see a handsome young blond man sniffing his stinking farts as if it were the purest air.
PART OF roroabre-blog
After having licked the buttocks and the anus of her husband, Gabriel had breakfast with his darling.
Carlos left for work as he does every morning and, before getting into the car, he kissed Gabriel languidly. As he was in a good mood he groped him lightly. Carlos got into one of the many European convertibles he owned. Gabriel watched him go, blowing him stolen kisses and waving him.
On today's program for Gabriel, go shopping, for him but also for Carlos. He wanted to please him, because right now, from what Gabriel understood, Carlos was overwhelmed with work. Maybe a little attention like this would give him some courage to attack the rest of the week. Gabriel liked to send a superficial image of himself, pretending that the only thing important to him was the appearance, fashion and aesthetics of his surroundings. In reality, he was not like that. It was like a shell to protect himself from the world, that's what modeling and the environment of high-level football had taught him.
Gabriel got ready quickly, and drove in the direction of the Fairview mall. Admittedly, they hadn't been settled for a long time, but Gabriel knew him like the back of his hand.
He parked in a parking space near the entrance to his favorite stores. He bought different pants, slims, cargos, baggy, everything in order to have a chameleon dressing room, which allows him to go everywhere, whether it's to a charity gala or having something to do sports, passing by neighborhood parties.
After spending most of the morning having fun, he decided to go buy a nice piece of jewelry for Carlos.
Gabriel had inquired beforehand and discovered that a few kilometers from the mall was a Mexican jewelry store. He knew that when Carlos opens it, he will be touched to know that Gabriel has made the effort to find something related to his origins. Gabriel entered the shop. Once having examined almost all the pieces they possessed, he hesitated between a beautiful watch encrusted with diamonds in green, white, red (the colors of the flag of Mexico) or a simpler bracelet but with the possibility of engraving on it what you want.
Gabriel not knowing which to choose he opted for both and had the bracelet engraved with this sentence "Te amo Carlos, nunca lo olvides", which translates as "I love you Carlos, never forget it".
After this shopping trip, Gabriel came home and wrapped the various gifts in pockets.
The afternoon had passed at breakneck speed. Gabriel had been at Brett Van de Kamp's for tea, to tell him the latest neighborhood gossip.
Then, Gabriel had supervised the preparation of the meal and the decoration of the table. He was doing all this for no other reason than to show Carlos how much he loved him. The table was set with a white tablecloth with a golden table runner, and a candlestick gave height to the decoration. The plates came from the crockery set that Gabriel's parents had given them as a wedding present: it was some of the finest porcelain in the world.
When Carlos returned, Gabriel welcomed him like a king. When Carlos took off his coat, Gabriel hurriedly took it off. When Carlos saw the table so well prepared, he wondered and asked in his deep, manly voice and pointing at the table.
CARLOS SOLIS: "In what honor did you do this?"
GABRIEL SOLIS: "Why should there be a reason? It's just because I love you, and I can see that right now the work is wearing you down, so I'm trying to make you forget that."
CARLOS SOLIS: "I really have the best husband."
Carlos said this taking Gabriel in his arms and kissing his beloved languidly. The meal went perfectly well: Gabriel listened to Carlos recount his day. He could spend hours listening to it. Carlos is so charismatic when he starts speaking, he captivates his audience, it's impressive and Gabriel loves listening to his husband.
When they had finished eating, Gabriel got up from the table to look for the two presents.
GABRIEL SOLIS: "This morning I went shopping and I thought of you, so hold on."
He handed him the two small pouches and Carlos, intrigued, hastened to open them. Carlos immediately noticed the wink at the Mexican flag on the watch, and sketched a loving smile. As for the bracelet, after reading the engraved message, he got up and tenderly kissed Gabriel.
CARLOS SOLIS: "I will never forget that I love you. How can you be forgotten? You are unforgettable."
After the meal, Carlos had only one desire: to thank Gabriel for all the efforts he had just made. He knew that at the moment, with the move and therefore his new position, he was not always easy to live with. That Gabriel did this to him touched his heart, and for Carlos the best way to thank Gabriel is by making love to him, with the sole purpose of giving him the most pleasure. Yes, when they make love, Carlos thinks more of him than of his husband, but to thank him he decided to change that that night.
He carried Gabriel, who wrapped his legs around Carlos' firm reeds.
They arrived in the bedroom, and Carlos gently deposited his lover. They kissed, caressed. As Carlos kissed Gabriel, he released a monumental burp from his mouth, inches from Gabriel's nose.
BBBBBBbbbbbbUUUUuuuuuRRRRRRrrrrrPPPPPPpppp!!!!!
Gabriel took a deep breath to smell that spicy smell caused by tonight's dishes.
GABRIEL SOLIS: “I love making love to you after eating, I get everything from you. It feels so good.”
He says this while kissing him. While Carlos burped happily, Gabriel was taking off his clothes and those of his husband. Carlos let Gabriel, who was licking his whole torso, and who stopped on his nipples. He sucked on them like milk was coming out, and Carlos liked it so much.
Carlos was so excited that he didn't even take the time to prep Gabriel or do any foreplay. He pulled out some lube, put it on Gabriel's clean-shaven pink hole and manhood, then thrust him into missionary position so he could continue burping in his face and kissing him. With each round trip, a new burp more powerful than the previous one came out of Carlos, to the delight of Gabriel, whose face was beginning to soak up the smell.
When Carlos started to feel gassy, ​​he knew it was time to sit on his husband's face. What he did immediately. Gabriel's tongue sank as far as possible into Carlos' anus, which let out manly moans, almost grunts.
When Carlos felt a fart coming, he stood up slightly and let go.
PPPPPRRpppppprrrtttttt!!!!!!! PPPPPPRrrrrrTTTTtttttt!!!!!!
PPPPPPPPPppppRrRRRrrrrrTTTTTTtttttttt!!!!
PPPPppppRRRRrrrrTTTTTTtttt PPppppRRrrrTTttttRRRRrrrTTTTtttt !!!
PPPppppPRRrrrTTTTtttRRRrrrRRTTttttRRRRrrrTTTttt!!!!!!!!
Gabriel was in heaven: smelling that smell had terribly missed him, he was delighted to be able to feel that.
After a muscular facesitting, Carlos decided to make Gabriel ejaculate by giving him a blowjob. After 7 minutes, Gabriel had released his seed on his chest. Gabirel wanted Carlos to ejaculate inside him. Carlos did it and Gabriel didn't go to wash, to keep the seed of her husband inside him: nothing better to spend such a night.
GABRIEL SOLIS: "My love, I saw that you were gassy and I wouldn't want your beautiful farts going through the air with no one to sniff them. Could you sleep on your stomach and me my head in your butt so I could sniff them all night long?"
CARLOS SOLIS: "How could I deny you after all you've done for me?"
Carlos and Gabriel positioned themselves then fell asleep peacefully with the smell of burps, farts and sperm already present in the room.
PART OF Submissivegayfrenchboy
The next morning, Carlos Solis was leaving for work when he called his husband.
CARLOS SOLIS: "I didn't get my morning kiss! What is my little American waiting for to kiss his fat Mexican husband?!"
PART OF roroabre-blog
GABRIEL SOLIS: "I'm coming right away my darling, but yesterday you tired me too much to make love to me. Fortunately, I love you otherwise I would have stayed under the duvet."
PART OF submissivegayfrenchboy
CARLOS SOLIS: "Ahh yes, under the duvet to sniff my big Mexican ass, my pretty American pig! When I think that you spent the night with your nose buried in my asshole! 😂 ¡Señor Dios! ¡Si todos los hombres blancos en Estados Unidos fueran como mi amor, los latinos serían reyes y les olfatearían el trasero! ¡Realmente me casé con una cerdita para que el olor de mis pedos la excitara!"
("Lord God! If all white men in America were like my love, Latinos would be Kings and have their asses sniffed! I really married a little pig so the smell of my farts could turn him on!" )
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GABRIEL SOLIS, amused: "You know very well that I'm not a pig. I'm just madly in love with you, and everything that comes out of it, so your farts and your burps or your sweating. I love everything about you, whether it's physical or character. By the way, tomorrow night I'm going out. I'm going to see an American football game with Jason. You know, my model friend. We worked together at the beginning of my modeling career. Anyway, come here kiss me before leaving for work my darling."
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Gabriel Solis, the pretty trophy of his husband, immediately loved his life in Wisteria Lane. Carlos was working, of course, but he always came back with the enormous desire to enjoy Gabriel's company. He continued to impress for his qualities as a professional footballer, he entertained the neighborhood with his sunny personality and his undeniable beauty.
Yes, life in Wisteria Lane would be fulfilling for this atypical but very loving couple.
END OF THE STORY
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My previous story about / Ma précédente histoire sur Desperate Housewives
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alain-keler · 6 months
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Les israéliens évacuent les colonies de Gush Katif, au sud de la bande de Gaza. Je reprends un extrait de mon journal.
Jeudi 18 août 2005. 
Les opérations reprennent. Toujours suivant le même principe de quadrillage quartier par quartier. Il reste un gros morceau, c’est la synagogue, point focalisateur car hautement symbolique. Beaucoup de monde s’y est réfugié. Les soldats s’installent autour de ce bâtiment imposant. Ils s’allongent sur l’herbe où ils passeront la majeure partie de la journée. Un soldat faisant partie de l’opération retrouve sa sœur qui fait partie des jeunes restés à l’intérieur de la synagogue. Ils s’étreignent longuement en pleurant. Personne ne tente de les séparer.
Il y a maintenant des quartiers entiers vidés de leurs habitants. Sur les terrasses, des tables sur lesquelles on a laissé des objets, des bouteilles entourées de verres, des assiettes à moitié remplies, des affaires restées pèle mêle. Des vêtements accrochés à des porte linge attendent leurs propriétaires, des jouets par terre attendent les enfants qui hier encore s’amusaient là.
C’est comme si une catastrophe était arrivée et les habitants avaient été happés par quelque chose de mystérieux, d’incontrôlable.
Les protagonistes ont été happés par l’histoire, et contre cela on ne peut rien. Je photographie cet événement 23 ans après Yamit, la dernière colonie évacuée avant le retrait israélien du Sinaï. L’histoire se répète, l’histoire se répètera.
À Yamit, j’étais 23 ans plus jeune, plus insouciant. J’aimais voyager, courir le monde et les évènements importants, mais rien n’était inscrit dans mon travail d’une manière réfléchie et conséquente. Je venais, je restais, je partais. En Israël, je venais plus souvent. Il y avait Jennifer. De temps en temps, elle m’accompagnait à Yamit. Je crois que l’on s’aimait et l’on ne se posait pas beaucoup de questions. Je les ai gardé pour plus tard, de manière à m’occuper pendant mes vieux jours.
Attente pour l’évacuation de la synagogue. Je me balade dans le quartier. L’armée entoure une belle maison, comme beaucoup de maisons de Newe Dequalim. Une femme hurle en s’accrochant à ses haies. Derrière, son mari est assis, comme groggy, entouré de quelques proches. Derrière eux, un jeune couple se serre très fort, comme dépassés par la scène se déroulant devant eux.
Incident grave au premier étage avec une photographe. On nous a demandé de monter avec les propriétaires, par respect pour eux.
Il y a eu beaucoup de cris et de pleurs aujourd’hui, certaines personnes ayant vécu ici près de 30 ans. Ce sont les pieds-noirs d’Israël. Ils se croyaient protégés par des gouvernements qui avaient initié cette colonisation. Mais au delà de la politique, il y a aussi un drame humain, qu’on le veuille ou non.
Il y a aussi ceux qui mettent des étoiles jaunes sur leurs poitrines. C’est choquant. Ceux dans ma famille qui les ont portées pendant la guerre ne sont jamais revenus de leur voyage au bout de la nuit. Eux ne périront pas dans les chambres à gaz.
L’évacuation de la synagogue commence vers 15.00 heures. L’armée et la police réussiront un quasi sans faute. Mais au fond de moi-même, je suis gêné. Il y a parmi ceux qui occupent la synagogue beaucoup de fanatiques qui envoient au monde une image d’Israël catastrophique. C’est ce message qui est transmit. Le danger pour Israël vient de là. 
Ces gens-là sont minoritaires mais donnent d’Israël le  visage d’un pays réactionnaire et raciste.
Il n’y a pas beaucoup de différence entre ces fanatiques barbus et ceux de l’autre côté. A Gaza, le Hamas possède beaucoup d’armes et les utilise contre les civils israéliens. En Cisjordanie, de nombreux colons sont aussi armés (officiellement pour se défendre), et certains d’entre eux n’hésitent pas utiliser leurs armes contre les palestiniens. Il suffit de lire dans la presse israélienne les comptes-rendus de ces exactions pour se faire une idée.
Depuis la guerre de 1967 et l’occupation des territoires palestiniens, un travail de sape interne a été effectué dans la société israélienne.  L’armée, dont la raison d’être est de défendre légitimement le pays est devenue une force d’occupation agressive et brutale. Ce n’est pas son rôle. 
Je suis aussi juif qu’eux, mais j’essaie de transmettre un autre message, celui qui m’a été transmis par ma mère, celui de la tolérance. C’est pour les mêmes raisons que je n’admets pas que l’on dise et que l’on ne voit que le côté négatif de ce pays. Et c’est souvent le cas dans les soirées françaises.
À côté, une maison brûle. Un homme s’écrie en français qu’il y a tout juste 1960 ans que le deuxième temple a été incendié,et que cela marqua la fin du royaume juif et le début de l’exode et de l’errance. Des hommes en costumes rayés de déportés prient en direction de la scène de l’incendie. Piètre et machiavélique mise en scène de l’histoire juive, de mon histoire.
L’évacuation de la synagogue ne me touche pas. Trop d’égards ont été mis envers ces gens-là. Par contre, certaines scènes de familles quittant leurs maisons étaient très touchantes, comme ce grand père vêtu de son châle de prière et entouré de ses enfants et petits enfants pleurant. J’écarte le côté théâtral au profit d’une perte sincère de quelque chose qui pour eux était importante, et que je peux essayer de comprendre. 
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eurolive-gratuit · 7 months
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La magie de la rencontre cougar
Coucou ! j'ai bien envie de te faire voir comment je suis foutue sous tous les angles j'ai toute la maison pour moi toute seule! Je t'ai fait une petite vidéo de moi la femme cougar en train de m'amuser avc plein de jouets coquins alors si tu es convaincu par ma ptite demonstration tu peux venir! On peut peut etre passer à la mise en bouche ! Je suis pas une fille très sage et je ne vais pas faire semblant ! Je sais ce que je veux pour m'amuser c'est uniquement pour ça que je t'ecris. J'ai des idées assez precises concernant les manières de se faire du bien et j'ai besoin de quelqu'un qui aime les femmes un peu mûres !
J'ai envie de me laisser faire si tu es assez entreprenant .... je prends un malin plaisir à faire des galipettes  ? Alors tu viens ?
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leadeschamps · 11 months
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Une société comme la nôtre qui est basée sur le fait d’alimenter constamment notre désir de consommation, qui ne peut tout simplement pas fonctionner sans nous faire miroiter de nouvelles choses brillantes, que ce soit de nouveaux vêtements, de nouvelles voitures… C’est une société qui est essentiellement conçue pour la recherche de nouveaux jouets. Ce qui est amusant, c’est qu’aucun de ces objets n’est décrit comme un jouet. On ne dit pas du dernier iPhone ou de la dernière voiture que ce sont des jouets, on les décrit comme les outils indispensables de l’âge adulte. Et les choses qu’on qualifie d’enfantines, comme vouloir changer le monde et en particulier les actions responsables de l’anéantissement de la vie sur Terre, sont dépeintes comme un fantasme enfantin idéaliste et irréaliste.
Susan Neiman (philosophe américaine spécialiste des Lumières), Grandir, Éloge de l’âge adulte à une époque qui nous infantilise, 2021 Les idées larges avec Susan Neiman, série documentaire Arte, « Peut-on grandir sans se trahir ? »
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havaforever · 9 months
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ELEMENTAIRE - On savait Pixar capable de beaucoup de choses au vu de leur inventivité narrative et leur maestria technique inégalable durant bien deux décennies dans le domaine de l’animation. Ils ont tout de même su nous émerveiller avec un robot muet ( Wall-E), nous faire pleurer à chaudes larmes quand un gamin dit au revoir à ses jouets et à l’enfance (Toy Story 3) ou encore nous toucher en plein cœur avec les rêves et cauchemars d’une petite fille (Monster & Cie).
Pourtant, ils ont connu un passage à vide avec pas mal de films consécutifs tout juste corrects comme Vice Versa ou en tout cas pas extraordinaires comme En avant ... Heureusement, cette petite crise s’est déroulée en partie durant la période de crise sanitaire et de crise des salles de cinéma, passant plus inaperçue. Et voilà qu’ils nous reviennent en très grande forme avec cet Élémentaire, un film au concept tout aussi élémentaire que son titre en plus d’être évident. A tel point qu’on se demande pourquoi aucun studio d’animation n’y avait pensé avant (peut-être à cause de barrières techniques).
Faire un film mettant en scène les quatre éléments que sont l’eau, la terre, l’air et le feu est une idée de génie. Et parce que Pixar nous surprend toujours, il baigne ce pitch aux possibilités infinies dans une comédie sentimentale (leur première vraie) aux accents sociaux culturels. Et en plus, le film a le mérite de prôner le vivre ensemble et l’ode aux différences tout en conspuant le racisme et revisitant l’Histoire américaine ses vagues d’immigration. Tout cela dans un film familial et animé? Oui, c’est possible, Pixar l’a fait et plus que bien!
On parle quand même ici d’une histoire d’amour entre une flamme et une flaque d’eau! Ridicule? Absolument pas, c’est bourré d’inventivité et beau à se damner, aussi bien sur le plan émotionnel que visuel. Imaginez : deux êtres qui s’aiment mais qui ne peuvent se toucher faisant penser à tant de romances impossibles que le septième art a pu produire. Si ce n’est la ville d’Elemental City qui ressemble un peu à celle de Zootopie (avec le gag de l’agent administratif mou au possible copié sur ce dernier), le peuple de la terre un peu mis de côté et quelques longueurs sur la fin, Élémentaire demeure un très grand film où la beauté de l’animation est extraordinaire (toutes ces textures et techniques différentes pour figurer les différents éléments/personnages avec un faible pour ceux du feu).
L'intensité de l'animation, se conjugue avec précision d’un scénario riche en plus d’être à plusieurs niveaux de lecture et pour tous les âges. Le peuple malaimé du feu pourrait être autant les autochtones que n’importe quel peuple brimé durant l’histoire. Les dialogues et les jeux de mots avec les éléments sont imparables et excellents, utilisant la richesse du champ lexical sur le sujet.
Un régal de tous les sens, de l'esprit, et un divertissement qui regorge de quelque chose d'aussi joyeux qu'explosif.
NOTE 17/20 - On a les yeux remplis d’étoiles durant une heure et demie de bonheur devant une œuvre aux couleurs sublimes qui surprend et émerveille sans discontinuer. Tout feu, tout flamme, ce Pixar vous met l’eau à la bouche tout du long.
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clemjolichose · 1 year
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Avant la Forme et la Matière
Fandom : Vilebrequin
Pairing : aucun
Nombre de mots : 3 453 mots
Avertissement : Cette partie contient du body horreur et est de la science-fiction horrifique en général.
Résumé :  Sylvain Levy et Pierre Chabrier étaient sur le point de tester une nouvelle voiture, plus originale que toutes celles qu'ils avaient essayées avant, pour leur chaîne YouTube Vilebrequin. Mais évidemment, rien ne devait se passer comme prévu...
Note d’auteurice : Ceci est ma première fanfiction sur Vilebrequin, publiée sur Wattpad et AO3 le 3 septembre 2022. Elle est la première fanfiction publiée dans ce fandom.
Partie : 1/?
Partie 2
Chanson : Ancient Dreams in a Modern Land de Marina and the Diamonds
               La voiture était là et tout comme Pierre, Sylvain n’en revenait pas. De profil, elle était très proche du sol, basse et aplatie au maximum, à se demander comment un adulte pouvait s’y installer confortablement.
« C’est quand même pas une bagnole pour gosse ? fut la première question de Sylvain. »
C’était Pierre qui avait conduit la voiture jusqu’au lieu d’essai, son ami se demandait donc comment il était entré avec sa grande taille.
Véhicule était un mot plus approprié et était le seul que les deux passionnés d’automobile pouvaient utiliser pour décrire l’engin, étant donné qu’il était unique et relevait plus du concept car qu’autre chose. Ou pas. Était-ce vraiment une voiture ? C’était un ORNI de l’automobile : un objet roulant non identifié, apparu sur les sites de revente en ligne comme par magie, à un prix si bas que Pierre et Sylvain s’attendaient à un enchaînement de calamités techniques. Ils l’avaient donc acheté, espérant au moins faire du bon contenu quitte à l’exploser à la première vidéo.
« Non, répondit Pierre. Elle n’est pas pour enfant et c’est même plutôt spacieux à l’intérieur. »
Il rit, parce que c’était absurde et parce que le visage de Sylvain ne montrait que l’étonnement.
« Tu veux me dire que t’es rentré dedans, toi, Pierre Chabrier ? J’te crois pas ! »
Il lui tapa amicalement le bras et s’approcha enfin du véhicule pour le regarder sous un autre angle, ce qui ne le rendit que plus perplexe.
               L’avant paraissait trop haut pour avoir une visibilité correcte et plongeait vers le sol dans une longue courbe à la manière des coccinelles, légèrement bombé. Le train arrière, dépassant de chaque côté de l’habitacle, avait une forme carrée et semblait avoir été rajouté. La couleur violette, différente du reste du véhicule orange, n’aidait pas à rendre le tout harmonieux. Le véhicule était étrangement peu large, lui donnant un véritable aspect de jouet.
               À cause du reflet du soleil sur les vitres particulièrement opaques, Sylvain ne pouvait pas voir l’intérieur, mais il n’avait pas hâte de s’y installer.
« C’est quoi, dedans ? demanda-t-il malgré tout à son collègue pour obtenir des informations supplémentaires, comme elles ne figuraient pas sur l’annonce.
-Le gars a pas su me dire, répliqua Pierre en s’approchant à son tour. Et elle est pas homologuée.
-Bah ouvrons le capot du coup. »
Sylvain plaça ses doigts dessous tandis que Pierre cherchait le levier d’ouverture sur le tableau de bord. Il ne trouva rien, haussant les épaules pour indiquer son insuccès à son collègue. Celui-ci tira donc de toutes ses forces, en vain. Pierre éclata de rire avant de lancer un très modeste :
« Attends, laisse-moi faire. »
Il poussa Sylvain doucement et prit sa place. Avec une prise ferme, il tira à son tour… sans succès.
« Putain, mais c’est scellé ou quoi ?
-Ah, tu vois que c’est pas la faute à mes petits bras cette fois ! se moqua l’autre homme. On a pris un pied de biche pour faire sauter ça ? »
Pierre secoua la tête, ne prenant pas la peine de répondre verbalement. Il observa le capot, les mains sur les hanches, essayant de trouver une solution.
« Attends, j’ai une idée, lança Sylvain. »
Et immédiatement, il se jeta aux pieds de Pierre qui était toujours debout devant le véhicule, afin de se glisser dessous.
               Pierre éclata d’un rire nerveux, parce qu’honnêtement cette acquisition s’enveloppait d’un mystère de plus en plus grand.
« Tu vas être plein de terre !
-Je préfère ça que mort. Si ça se trouve, il y a une bombe dedans. »
Pierre ne rit pas au trait d’humour. Ça ressemblait de plus en plus à cela en effet : une bombe à retardement entre les mains de deux idiots qui avaient trop peu de considération pour leur vie.
« On aurait dû ramener le reste de l’équipe, murmura Pierre nerveusement.
-T’as dit quoi ? »
Sylvain essaya de sortir la tête de là trop rapidement et se cogna avec une exclamation de douleur. Il sortit en un seul morceau et se remit debout, frottant ses vêtements souillés de la terre ocre du désert de Provence.
               Pierre répéta, d’une voix sûre, convaincu maintenant de leur erreur. Sylvain ne voyait pas le danger, mais il ne l’avait pas encore conduite, lui, cette voiture infernale.
« Oh, mais non, c’est juste un petit test, lança-t-il avec détente. On verra bien ce qu’il y a dedans quand on l’éclatera sur un arbre. Pourquoi on l’essaye au milieu de nulle part, au fait ? »
Il regarda autour de lui, mais à part la voiture avec laquelle il était venu et qui transportait du matériel, il n’y avait rien d’autre que de la végétation sèche et des dunes rocailleuses. Ce n’était certainement pas le terrain de prédilection pour l’essai d’une voiture si basse.
« L’ancien proprio avait recommandé ça dans nos échanges, répliqua Pierre.
-Et du coup tu l’as écouté ? questionna Sylvain de façon plutôt rhétorique, mais il attendit malgré tout le hochement de tête de son ami. T’es vraiment con en fait. »
Et il rit. Il sonnait faux, nerveux à son tour, avant d’ajouter :
« Bon, en tout cas j’ai rien vu là-dessous…
-Donc tu t’es éclaté le nez pour rien, se moqua Pierre.
-Oh t’exagères, il est pas si éclaté ! »
Son collègue grimaça en montrant son visage.
« Bah, tu saignes. »
Etonné car il n’avait rien senti, Sylvain se pencha par-dessus la carrosserie pour se regarder dedans. Comme pour lui répondre, une goutte de sang tomba sur son reflet et s’évapora rapidement.
               La météo était étouffante, ils n’avaient pas choisi le meilleur jour pour filmer. Le soleil brillait largement dans un ciel bleu sans nuage. Les rayons tapaient directement tout ce qui se trouvait sur la surface terrestre : eux, les voitures, la poussière qui en se soulevant venait se coller à leur peau… Ils transpiraient déjà avant même d’entrer dans l’habitacle. L’envie d’annuler ce tournage était de plus en plus grande.
               Et pourtant, aucun des deux hommes ne tira la sonnette d’alarme. Ils auraient dû, peut-être, afin de s’éviter les chaleurs et l’incertitude de l’engin qu’ils allaient conduire.
               Après avoir posé les caméras autour du véhicule et à l’intérieur, Pierre demanda tout de même à Sylvain de prendre le volant pour tester la conduite, en ne filmant qu’avec les GoPro au cas où un malheur arriverait – connaissant la chance de celui-ci.
               Sylvain fut ébahi en s’installant dans la voiture, qui était effectivement spacieuse à l’intérieur. Il était quasiment allongé sur son siège, la structure du véhicule l’obligeant, mais c’était confortable. Il se sentait bien, si bien qu’il reprit le sourire.
« C’est incroyable… Et c’est un gars dans son garage qui a construit ça ? J’y crois pas, on dirait une classe S ! »
Il éclata de rire alors que Pierre s’installait à la place du passager.
               Le véhicule n’avait que deux places et, le temps que Pierre explique à son ami tout ce qu’il y avait à savoir sur la conduite, une demi-heure s’était écoulée. L’excitation du conducteur prit le dessus et il démarra malgré les explications inabouties de l’autre homme qui se cramponna immédiatement à ce qu’il pouvait.
Il atteignit rapidement les cent kilomètres par heure, au grand désarroi de Pierre qui lui demandait répétitivement d’arrêter, avant de se stopper net. Les deux hommes furent projetés en avant, rouvrant la plaie de Sylvain dont le sang avait séché, mais il ne réagit pas. Pierre se tourna vers lui, inquiet.
« Mec, ça va ? »
Il ne reçut aucune réponse. Il regarda autour du véhicule, peut-être avait-il manqué un indice de danger, mais il ne vit rien et reporta donc son regard sur son ami qui clignait simplement des yeux, immobile.
« Lévy, tu me fais flipper là… T’as pris un coup de chaud ? »
Il le secoua, espérant lui tirer une réponse.
« Mais t’as pas vu le flash ? demanda enfin le conducteur sans détourner son regard du paysage s’étendant devant lui.
-Quel flash ? T’as été ébloui ? »
Ce n’était pas le cas de Pierre, mais peut-être de sa place Sylvain avait été gêné par le soleil. Son silence et son immobilisme restaient inquiétants. Quoiqu’il arrive, c’était bizarre.
               Alors que Pierre allait prononcer la fin du tournage – qui n’avait pourtant jamais commencé – son collègue le coupa. Il essayait désespérément d’ouvrir sa portière mais ne la regardait pas. Ses gestes étaient imprécis et son regard fixe. Il parla avec saccade :
« Je dois y aller. »
Quand la portière céda, il se détacha avec la même difficulté et tomba du véhicule – qui était pourtant bas. Il se releva rapidement, tituba puis marcha rapidement droit devant lui, la tête baissée.
               Pierre resta seul de longues secondes sur son siège, confortablement attaché, retournant dans son cerveau ce qui venait de se dérouler sous ses yeux. Il n’arrivait pas à l’assimiler. La situation était trop étrange, hors du temps, et pourtant il n’arrivait plus à ressentir cette alerte du danger qui l’avait fait crier sur Sylvain quelques minutes plus tôt. Il observait la silhouette blanche s’éloigner dans les vagues lointaines provoquées par l’air chaud. Là-bas, si petit et flou, il ressemblait à un mirage.
               Finalement, quelque chose dans son esprit émergea de la brume de confusion dans laquelle il s’était installé, perdu dans ses pensées. Il se détacha avec un geste précis, ouvrit la portière d’un mouvement ample et sauta sur ses pieds. Ses pensées étaient claires, tout à coup, et il se mit à courir en direction de Sylvain qui disparaissait déjà à l’horizon. Il évita quelques chutes sur le chemin par il-ne-savait-quel-miracle et rejoignit rapidement son ami qui marchait toujours vers l’immensité désertique.
               En voulant attraper l’épaule de Sylvain, l’agripper, le retenir et l’empêcher de l’effrayer d’autant plus, il ne contrôla pas sa vitesse et le percuta. Les deux tombèrent entre les pierres. La chute sembla durer une éternité, et pourtant la douleur se faisait déjà ressentir. Un caillou frappant la hanche de Pierre insensibilisa sa jambe mais diffusa une douleur sourde dans tout son bassin, et il grimaça les yeux fermés. D’une main, il chercha le corps chaud et amical de Sylvain, essayant de s’accrocher à lui. Il remarqua alors le froid qui l’entourait. La terre était brûlante pourtant et la chute ne devait pas être longue, mais il eut le temps de sentir ses os se glacer avant que son visage n’heurte enfin la poussière brûlante et lacérante.
               Sylvain ouvrit les yeux et se redressa en un seul mouvement, si rapide qu’il fut pris d’un vertige. La neige devant ses yeux, causée par le vertige, l’empêcha de voir son environnement, de le reconnaître, le désorientant. Il sentait un vent léger mais particulièrement frais geler son visage, ses bras nus et ses mollets. Enfin, les étoiles du vertige disparurent et il put enfin contempler ce qui l’entourait.
               Il remarqua Pierre, d’abord. Son ami était étendu à ses pieds, visiblement conscient mais immobile. Il jugea, malgré la lumière bleue ambiante, que la terre devait être blanche. Il la foula du bout du pied, s’approchant avec appréhension de Pierre. La végétation était ici inexistante, les deux hommes étaient encerclés par de hautes montagnes aux flancs escarpés et la vallée, entre deux crêtes, était recouverte d’éboulis.
               Sylvain s’agenouilla près du corps inerte et se baissa pour être au niveau du visage. Les yeux de Pierre étaient toujours fermés mais il respirait bel et bien, ce qui rassura son collègue. Ce dernier demanda finalement :
« Tu nous as amenés où, là ? »
Il se retint de rire nerveusement en voyant les sourcils de Pierre se froncer malgré les paupières closes. Pierre ouvrit enfin les yeux mais ne prit pas le temps de regarder Sylvain – peut-être aurait-il dû. Il préféra se redresser et tourner sur lui-même avec la confusion d’un animal encerclé. Son ami l’imita, ce qui lui permit de remarquer qu’il faisait complètement nuit. Pourtant, la lumière de la lune était particulièrement aveuglante… et bleue. Il n’y avait aucun nuage, seulement des constellations d’étoiles qui se voyaient trop bien pour être vraies.
« Je nous ai amenés nulle part, répondit enfin Pierre. »
Il déglutit et ses mains cherchèrent par réflexe ses poches. Il grimaça lorsqu’elles appuyèrent contre ses hanches et souffla :
« Bordel, je me suis bien niqué…
-Je confirme. »
Il se tourna vers Sylvain qui leva un doigt vers son visage. Pierre en toucha le côté droit et quelques cailloux jusqu’alors incrustés dans sa peau tombèrent. Sa pommette et son sourcil étaient éraflés, sa barbe ne laissant paraître aucune autre blessure éventuelle. Il usa de son langage fleuri usuel et paniqua de plus belle.
« Il est où le soleil, bordel ?! »
Sylvain explosa de rire, malgré ses efforts pour se contenir. La question était trop stupide, la situation trop décalée et Pierre trop lucide. Il ne pouvait avoir d’autres réactions que le rire hystérique, à en pleurer sans être sincère, à tirer les muscles du visage, le figeant dans une grimace gênante. C’était inarrêtable et fort peu communicatif, à en juger par l’expression circonspecte quoiqu’inquiète de Pierre. Il marmonna quelque chose que l’autre homme n’entendit pas.
               Le rire de Sylvain fut coupé par un bruit de moteur, un moteur puissant qui creva leurs tympans et les surprit tous les deux puisqu’ils se pensaient seuls. Des phares de voiture les éblouissaient déjà là-bas, au bout de la route qu’ils n’avaient même pas remarquée jusqu’ici. Elle n’était qu’en terre, après tout.
En voyant la lumière se rapprocher, ils eurent finalement la présence d’esprit de se décaler, un peu tard peut-être. Les roues les frôlèrent sans ralentir et trop rapidement, le véhicule disparut sans qu’aucun des deux passionnés ne puisse identifier quoique ce soit – le modèle, la forme, le conducteur… Et même après son passage, ils étaient trop sonnés d’avoir frôlé la mort pour y réfléchir.
« On a été drogué, c’est pas possible, lança Pierre. »
Sylvain, qui avait attrapé son bras par peur, le relâcha et se racla la gorge.
« Bon, on retourne aux caisses.
-On sait même pas où elles sont et surtout, où on est bordel de merde. »
Le ton monotone de Pierre ne fit pas rire son ami, qui fixait l’horizon où la voiture avait disparu – mais avait-elle eut le temps de l’atteindre, même ? Il commença à marcher dans la direction opposée, ajustant son regard droit devant lui après plusieurs secondes à regarder derrière lui.
« Suis-moi ! cria-t-il quand il remarqua qu’il avançait seul. »
Pierre sortit de ses pensées, confuses et embrumées par la succession sans queue ni tête des événements, pour lui emboiter le pas.
               Miraculeusement, le véhicule apparut devant eux. Le véhicule, seul, en revanche. Baigné d’une lumière vespérale mauve, le moteur était toujours en marche et les phares projetaient une lumière jaune-orangée devant eux.
« Pierre, il nous manque un truc, remarqua immédiatement Lévy.
-Quoi, on nous a piqué un enjoliveur ? »
La blague était de mauvais goût aux yeux de Sylvain, d’autant plus qu’il n’y avait pas d’enjoliveur sur le véhicule.
« Non, ma caisse putain, elle est où ? »
D’un pas rapide, il décrivit un grand cercle autour du véhicule qui jusqu’ici leur avait causé des problèmes d’un ordre tout à fait différent de ce qu’ils avaient imaginé. Il y avait des traces de roues, devant le véhicule et à côté de celui-ci.
               Tandis que Pierre faisait le tour du véhicule – pourquoi, son ami ne savait pas – il suivit les traces en commençant par celles au-devant de l’étrange voiture. Deux cents mètres à peine, elles disparaissaient brusquement dans un freinage d’urgence, ressemblant drôlement au trajet qu’il avait lui-même effectué quelques minutes plus tôt.
               Minutes ? Il faisait nuit noire maintenant. Enfin, nuit violette, après le bleu profond réfléchi par la lune. Elle brillait moins, maintenant, et le mauve venait donc des autres étoiles qui traçait une plaie béante dans le ciel, le scindant en deux parts presque égales. C’était une longue ligne composée de milliers de points colorés, qui s’achevait droit devant Sylvain. Il aurait pu l’atteindre avec le véhicule, s’il eût essayé. La réflexion le fit sourire alors qu’il observait le ciel dans une position décontractée, les mains sur les hanches et les pieds écartés. Il en oublia l’inédit de la situation…
               Pierre, lui, n’avait pas oublié. Si Sylvain se concentrait sur le problème de la voiture disparue, lui voulait essayer de comprendre ce qui leur était arrivé. Pourquoi faisait-il nuit ? Pourquoi la lune brillait-elle si étrangement, comme un projecteur tourné tour à tour sur différents objets ? Pourquoi et comment le désert ocre et plat était-il devenu si blanc et escarpé ? En vérité, il ne cherchait pas de solution ni de réponse, il paniquait, assis dans la voiture à la place du passager. Il revivait l’étrange moment qui avait précédé ce changement de scène, comme s’il pouvait y déceler quelque chose, ou plutôt comme une réponse traumatique. Et parmi toutes les alarmes qui sonnaient dans sa tête, il eut l’idée saugrenue qu’ils avaient réellement traversé l’espace et le temps.
               Sylvain revint après de longues minutes, tête baissée, le pas souple et détendu. Il avait les mains dans les poches et sifflotait, ce qui irritait malgré lui son ami. Mais Sylvain ne fit pas attention à lui, ne lui lança aucun regard et se mit à suivre les autres traces de roues. Elles furent plus courtes, ce qui était encore plus étrange, et disparaissait sans indiquer de changement conséquent. Comme si la voiture qui les avait tracées était apparue de nulle part. Avec la même nonchalance, il retourna au véhicule et se réinstalla au poste conducteur.
« Tu fous quoi ? Pierre interrogea sèchement, car son collègue sifflotait toujours – sans forcément de talent.
-Bah je règle les rétros. »
Il allait lui en coller une. Pierre sentait l’envie monter sans pouvoir la contrôler.
               Il lui lança à la place un regard désabusé, sans rien dire de plus, l’observant s’installer confortablement, ajuster son siège, son volant, ses rétroviseurs, sa ceinture… L’impression de revivre l’événement qui les avait menés jusqu’à cet instant – ce merdier – le dérangea fortement et le plongea dans une grande appréhension. Pourtant, il ne pouvait pas se résoudre à autre chose que laisser son collègue conduire, collé à son siège.
               La distance qu’ils parcoururent cette fois-ci fut plus importante, si bien que Pierre commençait à se détendre, juste un petit peu. Il ferma les yeux et essaya de repenser à sa vie, à la chaîne, à son quotidien, ses voitures, son chien, ses amis, bref, la normalité. Mais tout cela lui semblait étranger maintenant, comme si ces souvenirs, les images qui lui venaient à leur évocation, était ceux de quelqu’un d’autre, d’une lointaine vie.
               Il rouvrit les yeux quand l’homme au volant reprit la parole, après quelques minutes de conduite silencieuse :
« Tout va bien Chabrier ? »
Sa voix avait un son étrange, presque métallique sur les dernières notes. Son collègue voulut répondre et se tourna donc vers lui, uniquement pour sentir ses mots se bloquer dans sa gorge.
               Devant les yeux de Pierre, le globe oculaire de son ami disparut, devenant un trou noir béant s’ouvrant de plus en plus, fendant son visage comme un liquide coulant le long de sa joue. La vision dura une seconde. En un clin d’œil, elle n’était plus, au grand soulagement du passager qui préféra mettre ça sur le compte d’une hallucination – son cerveau l’abandonnait.
               Il ne put toujours pas répondre à la question de Sylvain, puisqu’un brusque sursaut de la voiture attira l’attention des deux hommes. Le conducteur tenta de freiner, sans succès. Le véhicule prenait même plus de vitesse, les secousses se multipliant tandis que l’environnement autour d’eux changeait à chaque fois. Il devint orangé, surligné de couleurs éclatantes comme un trait au feutre fluo tracé sur le paysage, puis sombre, presque entièrement noir, avec la lune seule les éclairant – comme un projecteur.
Ils ne comprenaient pas, se regardaient, impuissants, changer au rythme des secousses pour ressembler à leur environnement, couleurs éclatantes, fluos, étoiles, projecteur, formes et matières étranges.
Tout se mélangeait.
Tout fondait.
Eux, le reste du monde.
Seul le véhicule subsistait inchangé, machine infernale les emmenant à travers les univers, l’espace et le temps. Ils étaient effrayés, éblouis, confus, et se demandaient si la mort ressemblait à cela : un mélange étrange de la matière, de l’espace et du temps qu’ils traversaient dans une capsule incontrôlable, un piège qui les avaient happés dans les méandres quantiques d’un monde qui voulait les détruire.
               Soudain, la voiture s’arrêta.
               Soudain, un désert provençal apparut autour d’eux.
               Soudain, ils étaient libres.
               Ils ouvrirent leurs portières respectives en même temps et sortirent du véhicule d’un même pas chancelant, se sentant nauséeux et pris de vertiges. Pierre devint nerveux à cette idée à cause de son émétophobie, mais il tint bon tout comme son collègue.
Tous deux se retrouvèrent sans trop savoir comment dans la voiture de Sylvain, qui se trouvait quelques centaines de mètres plus loin, là où il l’avait laissée.
« Démarre, on se casse. »
Sylvain hocha la tête aux sages paroles de son ami et mit les gaz, laissant ce véhicule maudit et leur mésaventure à travers des univers angoissants derrière eux.
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mesenviesdetoi2 · 2 years
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Cher Papa Noel!  Il est grand temps pour moi de t’écrire une petite lettre.  Je ne peux pas te mentir... je n’ai pas été très sage. Je rougis à la simple idée que tu aies pu voir mes dernières bêtises. Je ne peux pas te mentir... je n’ai pas non l’envie de changer. Je rougis à la simple idée que tu vois mes prochaines bêtises. Je ne sais pas ce que tu réserves aux personnes comme moi, mais si tu m’accordes une faveur je voudrais bien un jouet. Alors pas de légo, ni la dernière poupée à la mode mais un jouet que tu imagine fait pour moi, je te fais confiance. Puis si tu m’apportes ce cadeau le soir de noel, qui sais, ce sera peut-être moi qui t’accorderais une faveur Gros bisous papa noel!
Dear Santa Claus! It is high time for me to write you a little letter. I can't lie to you ... I wasn't very good. I blush at the mere thought that you may have seen my latest nonsense. I can't lie to you ... I don't want to change either. I blush at the mere idea that you see my next silliness. I don't know what you have in store for people like me, but if you do me a favor I would like a toy. So no lego, nor the latest fashionable doll but a toy that you imagine made for me, I trust you. Then if you bring me this gift on Christmas Eve, who know, maybe I will do you a favor Big kisses!
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verver · 1 year
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MAUVAIS GENRES
Épisode 28
La grossesse c'était bien passée.
Des jumelles étaient nées, Macha et Clara , Ray et Dana étaient heureux et à la fois curieux de voir au jour le jour, évoluer les jumelles.
Les débuts avaient été un peu durs , les biberons, les couches , les fièvres, les vaccins tous ces aléas donnaient des nuits sans sommeil.
Plus tard cela a été la poussée des dents , la taille des vêtements qui changent , les jouets ... ils étaient fascinés par l'évolution rapide des jumelles qu'ils suivaient pratiquement chaque jour avec attention...
Léo continuait son boulot dans un cabinet d'architecte , Dana entre les deux filles , l'aidait du domicile.
De temps en temps Sonia la voisine , gardait les enfants.
Sonia avait sympathisé avec le couple quand elle s'était installée sur le palier, dans un appartement voisin.
De fil en aiguille les deux femmes s'étaient rapprochées et se voyaient souvent.
Léo l'appréciait beaucoup.
Ils avaient confiance en elle.
Les filles s'étaient habituées à Sonia , cela permettait au couple de se changer les idées , de se retrouver, de sortir.
Ils étaient toujours aussi unis, même plus , les enfants avaient renforcé leur amour et leurs manières de voir la vie ...
Léo surveillait les enquêtes de la police , comme le lait sur le feu . Il trouvait cela un peu suspect que ça n'avance pas , il consultait aussi les réseaux sociaux pour glaner quelques informations. Il prit la décision de partir se réfugier à l'étranger. Il en fit part à Dana .
A son grand étonnement elle était d'accord avec lui.
Léo était allé au coffre chercher quatre passeports et il en profita pour en vider une bonne partie.
Il montra à Dana ce qu'il avait pris .
- tout ça ! s'exclama Dana
Elle étala le tout sur la table , il y avait des pierres précieuses , des bijoux , beaucoup d'argent et des jeux de faux papiers.
- ça peut toujours servir ! dit-il
- Oui on à le temps de voir ! répondit Dana bluffée
Elle embrassa Léo en l'entrainant vers la chambre...
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gfxced · 2 years
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The GFX 50R Project
Putain chui pas habitué à ne pas avoir mes nouveaux jouets tout de suite. Avoir l’argent pour m’acheter un truc “potentiellement” sous forme d’autres trucs que je compte vendre, c’est une torture.
GFX 50R GFX 50R GFX 50R GFX 50R
C’est comme une litanie lancinante accompagnée de petits coups de poignard à l’arrière du cerveau. Mon gamin c’est le même. Quand il veut un truc, il enfonce le clou jusqu’au bout. Quand il reçoit quelque chose qu’il voulait, tout de suite il parle de la chose suivante. Ma maman dit quand même que j’étais pire que lui. J’étais plus agile de mes paroles, plus manipulateur. “quand tu voulais quelque chose tu tannais, tu tannais, jusqu’au trognon”.
C’est le TDA. C’est l’ennui existentiel. C’est l’excitation des nouvelles idées, des nouveaux projets. En grandissant je suis juste devenu assez bon que pour bien choisir mes lubies. Beaucoup moins de choses qui ne durent qu’un temps court. Les (auto)justifications sont devenues beaucoup plus crédibles. J’ai aussi un autre côté, le côté batave, un peu proche de ses sous. Les achats peuvent être dispendieux mais à condition d’être utilisés (ne discutons pas de leur utilité réelle). Donc j’ai un semblant de responsabilité économique. Mais ce sont toujours des caprices.
Mais revenons à mon mouton :
GFX 50R, c’est 51.4 megapixels pour un capteur de 43.8mm x 32.9mm. Les capteurs plein format actuels (moins grands) maintenant peuvent tout de même rivaliser au niveau de la résolution, mais la plus grande taille du capteur du GFX 50 donne aux images qu’il produit une gamme dynamique plus étendue, un rendu crémeux à souhaits.
Comment dire si tu y connais que dalle? Mhhh. Une image peut-être?
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Alors tout en bas en noir complet (difficile à voir) c’est la taille d’un gros capteur d’appareil photo de téléphone, le full frame c’est comme la plupart des appareils photos professionnels (avec certains APS-C) et c’est calqué sur la taille des films de 35mm.
Pour les béotiens, faut juste savoir que les mégapixels c’est un argument marketing : ce que ce qui importe vraiment c’est la taille du capteur.
Plus le capteur est petit moins l’appareil devrait avoir de mégapixels car une résolution trop grande signifie que les pixels seront minuscules et que donc...
Bon là je vais vous perdre, okay, alors en gros : beaucoup de mégapixels sur un petit capteur, ça rend n’importe quelle image merdique, moins il y a de mégapixels et plus un capteur est grand, plus la qualité de l’image sera grande.
Je suis pas clair, attends. Si tu veux, la taille d’une image (produite par n’importe quel capteur, je parle plus de ça) ben, plus elle est grande (résolution) plus cela sacrifie la qualité de l’image. C’est contre-intuitif, je sais, surtout que les gens pensent encore que “plus grande taille” = “meilleure qualité”. Non.
Alors le compromis entre taille de capteur et sa résolution (ses mégapixels) c’est une qualité du capteur dans sa construction. C’est physique. Inchangeable. Si tu réduis la résolution de manière digitale, ça ne changera rien à son rendu, à la manière dont il reçoit les photons et les capture.
FUCK! JE VOUS PERDS! JE LE SAIS.
GROS CAPTEUR = IMAGE DE DINGUE. VOILA! GFX = GROS CAPTEUR DONC GFX = NIIIIIICE!
REGARDEZ MOI CA COMME IL EST BEAU.
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C’EST UNE BRIQUE. C’EST UN SAVON DE MARSEILLE XXL.
Ici en bas, à droite, à côté d’un appareil que je possède aussi (les photos ne sont pas à moi hein) et donc on voit bien la différence de taille du capteur, c’est juste lolilol.
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C’EST UNE BRIQUE. C’EST UN SAVON DE MARSEILLE XXL.
Même si dans le monde du moyen format (tout ce qui est plus grand que 35mm), 43.8mm x 32.9mm c’est encore vraiment petit. C’est plus petit que le 645, qui est le baby-moyen format en film. Mais bon.
C’est le principe. C’est la taille du monstre. C’est la démarche aussi.
Je vais y adapter mes optiques 645, elles devraient fonctionner du tonnerre dessus. Je vais d’ailleurs m’en racheter une pour me faire une trinité d’objectifs. J’ai un 70mm F2.8, un 150mm F4 et il faudra juste chopper un 300mm F5.6 pour genre 250€. C’est pas cher parce que ces objectifs ont facilement 40 ans et sont complètement manuels, personne n’en veut plus, mais peu de gens pensent à les adapter sur leurs appareils numériques.
Non, les gens veulent des objectifs à autofocus performant, voire instantané. Tas de nuls. Moi je prends les chemins de traverse, je m’aventure hors des sentiers battus cette année.
Je vais encore débarquer à des évènements ou les choses bougent super vite avec mon gros truc pataud que je dois mettre au point manuellement, ça va être le fun.
J’acheterai sans doute pas d’objectif Fuji avec autofocus tout de suite, car évidemment moyen format signifie plus gros donc plus de matériaux dans les objectifs mais également plus rare, donc ces deux facteurs signifient plus cher à produire. Genre 2000€ pour un zoom standard. Gulp.
MAIS PAR CONTRE IL FAUT QUE J’ARRIVE A VENDRE MES BROLS!
Bon allez par plaisir, voici quelques images (fortement réduites) que j’ai prises avec un Mamiya 645 (avec du film donc).
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nomadeurbain · 1 year
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3 Monopoly incontournables en 2022 : l’idée jouet du jour 7/24
Le calendrier de l'Avent des idées jouets de Nomade Urbain 7/24 : 3 Monopoly incontournables en 2022 
Noël approche et vous manquez d’inspiration face aux cohortes de jouets en magasin ? Je partage avec vous mes coups de cœur et ce jour je vous propose un classique, le Monopoly, mais en trois éditions originales incontournables. Monopoly Voyage Autour du Monde Disponible chez : Amazon Fnac CDiscount Edition série limitée Monopoly x Disneyland Paris 30e Anniversaire Cette version 100 %…
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wittylittle · 2 years
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Oui oui je vais dormir bientôt
Cbd 1500 et Zopi 7.5
Tu connais le drill
Mais c’est même pas ça qui me tue
Les RH, les gars qui veulent pas de cuddles, le manque, le trop plein
Pas de french kiss
Les orgasmes par jouets only
Quessé que tu veux?
Oui oui je vais t’acheter des billets
J’ai même pas de toune préférée
Non pas vrai, l’album de Gabwan
Je fonds
Ma poutine était pas bonne
Comment ça se fait ?
Oui oui je vais dormir bientôt
(Pis l’autre qui veut que je lui donne des idées pour m’écrire un fantasme)
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nnjzz · 1 year
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HIROKO KOMIYA & LENA CIRCUS + PIERRE PIERRE PIERRE + RAVI SHARDJA + CREAM WHITE
SAMEDI 04.02 HIROKO KOMIYA & LENA CIRCUS jp / fr CREAM WHITE us PIERRE PIERRE PIERRE fr RAVI SHARDJA fr
au Petit Café 14, bd de Strasbourg 75010 M° Strasbourg St Denis
ATTENTION !! EARLY SHOW !! 19:00 portes 19:30 action ! 22:30 fin concerts... .. MERCI pour votre compréhension... .. 
PA.F. 6€
HIROKO KOMIYA & LENA CIRCUSjp / fr
Nouvelle rencontre entre lc trio parisien de pourvoyeurs d'excellents jams psyché-kosmiche de haut vol ( depuis une bonne vingtaine d'années... RESPECT! ) & une de leurs sœurs d'armes de longue date.
Formé en 1999 par Antoine Letellier (guitares, instruments à vent) & Nicolas Moulin (guitare, électroniques), LENA CIRCUS est d'abord un duo
(avec à son actif neuf EPs publiés à un rythme mensuel, sur divers labels indépendants), avant d'être rejoint en 2003 par Guillaume Arbonville (batterie, percussions).
Le trio enregistre depuis plusieurs, joue en France et en Europe, fait évoluer sa musique au gré des rencontres & collaborations: danse butô, vidéastes, ciné-concerts...
Suscitant des comparaisons avec les expérimentations de Sun Ra, Don Cherry ou Taj Mahal Travellers, leur univers, fruit d'une communication quasi-télépathique entre les musiciens, fait preuve d'une alchimie du son bien particulière, explorant les recoins d'un paysage tout en finesse et en tension permanente.
Parmi leurs acolytes de prédilection et de longue date HIROKO KOMIYA occupe une place de choix, ayant enregistré avec le trio deux albums déjà: "Toki No Arika" en 2008 et le tout récent " Five Degrees of Frost" publié en 2012.  
"(...) percussionniste qui évolue également dans l'univers butô, après avoir étudié la percussion auprès d'un jouer de table indien (...)
son approche primale de la voix et sa panoplie des percussions, objets et sons naturels divers accentuent les reliefs et les strates des espaces creusés par le trio (...)"
(Stéphane Fougère, TRAVERSES n° 24)
"(...) assise sur un tapis, environnée d'objets (saladier de métal où faire tintinnabuler l'eau, lamelles de bois, galets..) d'instruments jouets (cliquets, sifflets), de micros"
HIROKO KOMIYA joue des objets et utilise sa voix. Elle se sert d'eau et de pierres, de multiples petites percussions et flutes du monde entier pour exprimer une musique très personnelle.
Installée en Europe depuis 2002, elle joue et acompagne les performances de la compagnie de danse d'Atsuki Takenouchi "Globe JINEN".
"Jouée par une formation free-jazz au demeurant non violente, cette musique est hypnotique, forçant l'attention vers une jubilatoire tension de l'écoute, où les objets sonores pétillent, irradient.
Hiroko Komiya, qui double les sons d'un geste,  est une partenaire parfaite : elle malaxe et fait crisser des coquillages dans une main, tapote des tringles, froisse des fibres, jouant de l'instrument et du son comme le chat
avec un caillou, une souris ou une pelote de laine. La matière sonore extrêmement dense ets toujours sensuelle, ce qui rend très amicale une trame pourtant complexe."
(Marteen B., Mille Feuille)
En 2019 elle a publié EAU NOUVELLE, un album remarquable produit par Ramuntcho Matta.
https://www.youtube.com/watch?v=uzfjO1vPW-0
https://lenacircus.bandcamp.com/album/lena-circus-hiroko-komiya-five-degrees-of-frost-partycul-system-records-2012
https://lenacircus.bandcamp.com/album/lena-circus-hiroko-komiya-toki-no-arika-2008
CREAM WHITE us rennes
Andy Armstrong joue avec ordinateur, idées, guitare, harmonica(s), jongle avec samples et jubilation et fait des collages des plus réjouissants et loufoques avec ses deux mains, une souris, son esprit et autres accessoires.
NB  / A fait - "entre autres " -  partie de deux super groupes parisiens ( CITY BAND, COKE ASIAN... ) avant son " exil " breton actuel.
" Cream White a commencé dans l'Illinois en tant que  élec trique  Country  Band  en 2005 et continue aujourd'hui comme projet solo de collages audio tentaculaires et déroutants sur k7 et radio. "
https://creamwhite.bandcamp.com/album/weekend-in-the-tower-aug-21
https://creamwhite.bandcamp.com/album/channel
https://creamwhite.bandcamp.com/album/peripherique-bootlegs
https://creamwhite.bandcamp.com/album/santwann
https://creamwhite.bandcamp.com/album/spillway
PIERRE PIERRE PIERRE fr nantes
Artiste autodidacte intéressé par les matériels et situations dysfonctionnelles. Joue avec des instruments électroniques faits-main, des appareils hifi domestiques ou des langages de programmation informatique dédiés à la synthèse sonore.
A collaboré entre autre avec Clinch (AV2), Will Guthrie (WAV2), Rui Leal (RRR), Mariane Moula (Prana Cotta)…
Membre du feu CABLE#, festival de musiques expérimentales, et Mire, association de cinéma expérimental, à Nantes. PPP organise des évènements de manière sporadique sous le nom de 50hz.club … (Instants Ch.)
Paysages sonores fictifs, field-recording fantasmés, musique d’ambiances impossibles, aberrations acoustiques, l’Excursion au pays des Digiblobs est un live de musique électronique à écouter dans le noir.
Mélange de son de synthèse codés à la main et d’enregistrements lo-fi, il n’y a rien à voir sur scène, tout est dans la tête et les oreilles.
Bientôt une cassette chez Biome Tapes (Bruxelles), réalisée à partir d’enregistrements live de juin 2022 à l’Atelier Mimesis (Lyon) et aux Instants Chavirés (Montreuil).
https://www.youtube.com/watch?v=1HPWJ79-2pc&t=28s
https://50hz.club/.../solo-excursions-au-pays-des-digiblobs/
RAVI SHARDJA fr vincennes
Présentera “ Modalités(pour basse, et amplificateur” R.Shardja est un compositeur, expérimentateur, improvisateur, bassiste, platiniste, flutiste murali, etDJ / animateur de l4émission Epsilonia sur la FM à Paris depuis 2003.
En 1989, il est l4un des fondateurs des groupes français GOLOKA, devenu GOL, puis en 2014 de Couloir Gang.
Il fait partie du groupe franco-italien Oleo Strut, et depuis 2017 il a rejoint avec sa basse Art & Technique.
Fondateur du label Suara ( qui deviendra Suara Papua). A joué ou enregistré des disques avec Ghédalia Tazartès, Charlemagne Palestine, Charles Hayward, Tony Allen, Jello Biafra, BrunhildFerrari, Dave Nuss, Mike Quantius, Iancu Dumitrescu & Ana Maria Avram, Günter Schickert,GOL, Couloir Gang, Oleo Strut, Art & Technique ... et les labels Grautag, Planam, Dokidoki...
https://www.youtube.com/watch?v=lOV_s4pVIUo&t=1290s
https://www.youtube.com/watch?v=xmUO3InmCWA&t=269s
https://soundcloud.com/ravi-shardja
Fly - Jo L’Indien
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queenmo14 · 2 years
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Blog #2 FRE 203
Bonjour! Je suis tellement content d'avoir pu aller visiter l'exposition Persistance of Vision la semaine dernière. J'ai adoré l'animation depuis que je suis enfant, mais la magie derrière l'écran a toujours été un mystère pour moi ainsi que les tout premiers animateurs à le faire. Mon idée de l'animation est devenue absolument plus complexe après avoir interagi avec le praxinoscope et le zoetrope parce que j'ai commencé à réfléchir au temps qu'il a fallu pour créer ce jouet d'animation précoce et comment les créations de ce temps s'inscrivent dans la société. Pendant que j'étais à l'exposition, le premier jouet d'animation précoce qui a attiré mon attention a été le praxinoscope réalisé par Charles Emile Reynaud en 1877. Le praxinoscope est fabriqué à partir d'une bande d'images placées autour du centre circulaire de l'objet avec des miroirs rectangulaires étroits placés face à face les images. Une fois que le cercle extérieur avec les images commence à tourner, une lumière brille sur l'objet et les images pour réfléchir au miroir afin que les images commencent à se déplacer dans le miroir. Je me sentais comme si j'étais dans une machine temporelle qui se connecte aux premiers animateurs chronologiquement un par un.
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nissart3d · 3 hours
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Et si on Imprimait nos Jouets en 3D ? Une Révolution Ludique Sommaire Introduction L'Essor de l'Impression 3D dans le Domaine des Jouets Avantages de l'Impression 3D pour les Jouets Liste des Jouets Imprimés en 3D les Plus Populaires Figurines Articulées Puzzles 3D Drones Miniatures Véhicules Télécommandés Jeux de Construction Personnages de Jeux Vidéo Instruments de Musique Miniatures Accessoires de Figurines Jeux de Société Marionnettes Robots Programmables Conclusion Introduction Imaginez un monde où les enfants peuvent concevoir et créer leurs propres jouets uniques à la maison. Grâce à l'impression 3D, ce rêve est désormais une réalité. L'impression 3D permet de fabriquer des jouets personnalisés, innovants et souvent impossibles à réaliser avec des méthodes de fabrication traditionnelles. Cet article explore les avantages de l'impression 3D pour les jouets et présente une liste des jouets imprimés en 3D les plus populaires du net. L'Essor de l'Impression 3D dans le Domaine des Jouets L'impression 3D, également connue sous le nom de fabrication additive, a connu une croissance rapide au cours des dernières années. Elle a révolutionné de nombreux secteurs, dont celui des jouets. Grâce à cette technologie, il est désormais possible de concevoir et de fabriquer des jouets personnalisés à domicile ou dans des ateliers spécialisés. Les parents et les enfants peuvent laisser libre cours à leur créativité, en imaginant et en réalisant des jouets uniques et sur mesure. Avantages de l'Impression 3D pour les Jouets Personnalisation L'un des principaux avantages de l'impression 3D pour les jouets est la possibilité de personnalisation. Chaque jouet peut être adapté aux préférences et aux besoins spécifiques de l'enfant, créant ainsi des objets uniques et spéciaux. Coût Réduit L'impression 3D permet de réduire les coûts de production, notamment pour les petites séries ou les prototypes. Cela rend les jouets imprimés en 3D plus accessibles et abordables pour les familles. Innovation et Créativité Cette technologie encourage l'innovation et la créativité, tant chez les enfants que chez les adultes. Elle permet d'explorer de nouvelles idées et de créer des jouets qui n'existent pas sur le marché traditionnel. Réparation Facile En cas de casse, les jouets imprimés en 3D peuvent être facilement réparés ou réimprimés, ce qui prolonge leur durée de vie et réduit les déchets. Liste des Jouets Imprimés en 3D les Plus Populaires Figurines Articulées Les figurines articulées imprimées en 3D sont extrêmement populaires. Elles permettent une grande flexibilité dans les poses et les mouvements. Figurines Articulées sur Thingiverse Puzzles 3D Les puzzles 3D offrent un défi intellectuel et sont amusants à assembler. Ils sont parfaits pour développer la logique et la dextérité des enfants. Puzzles 3D sur Thingverse Drones Miniatures Les drones miniatures imprimés en 3D sont un excellent moyen d'introduire les enfants à la technologie et à la programmation. Drones Miniatures sur Thingiverse Véhicules Télécommandés Les véhicules télécommandés imprimés en 3D offrent des possibilités infinies de personnalisation et de modification. Véhicules Télécommandés sur Thingiverse Jeux de Construction Les jeux de construction, tels que les briques assemblables, peuvent être imprimés en 3D pour créer des structures et des modèles variés. Jeux de Construction sur Thingiverse Personnages de Jeux Vidéo Les personnages de jeux vidéo imprimés en 3D permettent aux fans de donner vie à leurs avatars préférés. Personnages de Jeux Vidéo sur Thingiverse Instruments de Musique Miniatures Des instruments de musique miniatures, tels que des guitares et des pianos, peuvent être imprimés en 3D pour initier les enfants à la musique. Instruments de Musique Miniatures sur Thingiverse Accessoires de Figurines
Les accessoires de figurines, comme des armes, des vêtements et des équipements, peuvent être imprimés en 3D pour enrichir les jeux d'imagination. Accessoires de Figurines sur Thingiverse Jeux de Société Les jeux de société imprimés en 3D offrent des possibilités de personnalisation et de création de nouveaux jeux passionnants. Jeux de Société sur Thingiverse Marionnettes Les marionnettes imprimées en 3D sont parfaites pour les spectacles de marionnettes et les jeux de rôle. Marionnettes sur Thingiverse Robots Programmables Les robots programmables imprimés en 3D sont un excellent moyen d'initier les enfants à la robotique et à la programmation. Robots Programmables sur Thingiverse Conclusion L'impression 3D ouvre de nouvelles perspectives pour la création de jouets. Elle permet de réaliser des objets uniques, personnalisés et innovants, tout en réduisant les coûts et en encourageant la créativité. Les jouets imprimés en 3D offrent des possibilités infinies et sont accessibles à tous, des amateurs de bricolage aux parents souhaitant offrir des jouets spéciaux à leurs enfants. Explorez les liens fournis pour découvrir des milliers de jouets imprimés en 3D et laissez libre cours à votre imagination.
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