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#jumelle maléfique
jezatalks · 1 year
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Souvent, j'y repense..
(À ma jumelle maléfique)
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hellmouthheritage · 11 months
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AUBE SUMMERS sur HELLMOUTH
Ayant été morte durant plus de 22 ans et ensuite ramenée à la vie, Buffy Summers a chamboulée l'ordre chronologique du temps et est revenue parmi les vivants avec la vie que le destin lui avait choisi. La tueuse est revenue en vie avec deux enfants, des jumeaux. Une jolie rouquine aux traits parfaits et un joli rouquin qui est le portrait craché de son père durant sa jeunesse. Ce fut un choc pour la tueuse d'apprendre que si elle était restée vivante, elle aurait eu des enfants avec Daniel Osbourne, car pour le moment dans le présent, ils ne forment toujours pas un couple. C'est Alec le frère d'Aube qui apprendra à Buffy et Oz qu'il est leur fils et qu'il a une jumelle. Après des tests sanguins et quelques vérifications magiques, Willow confirmera l'identité des enfants à ses amis.
Aube est le prénom qui lui aurait été donné si Buffy avait eu à choisir lors de sa naissance. Un prénom qui est la traduction en français du prénom de la soeur de sa mère, Dawn Summers.
Aube est apparue par magie dans ce monde cette année. Elle n'a jamais eu d'enfance, mais pourtant elle en porte les souvenirs dans sa mémoire. Elle se souvient que sa mère et son père s'aimaient d'une passion incomparable. Aube a le souvenir d'avoir eu une enfance heureuse avec des parents qui la mettait à l'abri du danger, pourtant celui-ci était bien présent. Plusieurs démons, sachant la tueuse avait eu des enfants, voulaient les kidnapper elle et son frère afin d'attirer leur mère dans leurs pièges maléfiques.
Dès son apparition à Sunnydale, Aube a la plus belle des vies. Présidente du club de journalisme de l'Université de Sunnydale, pom pom girl à temps partiel, étudiante entrain de compléter son cursus de droits et louve de nature. L'agenda d'Aube Summers est bien remplie. La rouquine est l'une des filles les plus populaires de Sunnydale. Elle se met rapidement amie avec la nouvelle élue Ciara Danvert, afin de garder un oeil sur elle à la demande de sa mère.
Elle rencontre le nouveau groupe qui se bat contre les forces du mal, Jeremy Lewilton, Valentin Duport, Grace Lorentis et Jessica Lewilton. Aube devient non seulement une très bonne amie du groupe, mais aussi l’une des membres fondatrices.
Pendant un cours, Aube fait la rencontre d'un nouveau professeur. Devon Spencer et elle en tombe follement amoureuse, ne sachant pas que c'est un démon qui se rapproche d'elle afin de tuer sa mère pour pouvoir ouvrir la bouche de l'enfer. Le démon avait appris que la reine des vampires @Béatrice Lowell avait besoin du sang des trois tueuses encore en vie pour déclencher l'apocalypse. Il jeta son dévolu sur Aube. Ayant décidé qu'elle serait la proie pour attirer l'une des premières tueuses entrent ses mains. Cependant celui-ci ne s'attendait pas à tomber éperdument amoureux du coeur de la loue. Lui qui a l'habitude de les dévorer encore chauds.
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marie-bradshaw · 7 months
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Crush or not Crush?
Chers lecteurs,
A quoi reconnait-on un crush ? Un vrai je veux dire.
Un ami m'a posé la question ce matin au téléphone.
Ma réponse?
"Tu ne peux pas vraiment l'expliquer à vrai dire, tu le sais c'est tout. Y'a de l'électricité dans tout ton corps, tu te sens attiré par cette personne comme par un aimant, c'est magnétique"
Logique donc que ça n'arrive pas à chaque rencontre.
Ou le monde serait électrisé en permanence !
Je le sais d'autant plus qu'hier, j'avais un premier date à la maison, qui n'était pas mon crush.
Un grand jeune homme large d'épaules, brun, les yeux noisette, la mâchoire carrée et un sourire des plus charmants, Hugo.
De bonnes manières, un contact fluide, une conversation drôle et captivante qui m'a poussée à accepter de le voir dans la foulée de notre match Tinder.
Le programme: une soirée chill devant Harry Potter avec tisanes et plaid.
Dresscode: ton plus beau jogging.
"Je te ramène quoi?" m'écrit-il
Je lui indique des pop corn, "Ah et tes bras, indispensable pour les câlins" et faute de les avoir trouvés (les pop corn, pas ses bras) il a débarqué avec la moitié du rayon confiseries, et une bouteille de Get "Je voulais te prendre de la tequila, mais ils n'en avaient pas".
Je ris, il a compris que ma jumelle maléfique, "Maria", sortait généralement après un shot de tequila.
"Nan mais par pour ce soir, pour plus tard" se justifie-t-il quand je lui rappelle le thème de cette soirée "tisane".
Il m' a sorti son plus beau pyjama/jogging, et je n'ai pas pu m'empêcher d'éclater de rire en le voyant arrivé.
Rien de "fou" mais quand même, un pantalon de pyjama Ralph Lauren, un sweat à capuche assorti.
Monsieur a du goût. Mais ça reste un pyjama.
"Et je suis allé faire mes courses comme ça vois-tu! Le pire c'est que j'étais pas le seul en pyj, tu vois que les gens sont déprimés en ce moment quand tu regardes autour de toi en faisant tes courses".
En même temps ça fait deux semaines qu'on a pas vu le soleil à Bordeaux.
Armée de ma bouilloire, je lui laisse choisir son thé préféré et l'invite à prendre place sur le canapé d'angle.
"C'est la première fois que je fais un date pyjama" me dit-il
"Et qu'en penses-tu?" lui souriais-je
"Franchement détente!" rit-il
C'était le projet.
On parle un peu avant d'embrayer sur le premier DVD, qui me demande une recherche spéléologique pour rebrancher les bons câbles à la TV.
"C'est un peu comme le jeu des chemins A/B/C/D derrière les boites de céréales quand on était petits" m'encourage-t-il
"C'est exactement ce à quoi je pensais! Sauf que je me débrouillais mieux avec les boites de céréales, l'enfer ces câbles, tu vas me prendre pour une blonde" riais-je
"Mais nan, tu t'en sors très bien" me répond-il d'un ton rassurant
Il ment, mais c'est gentil.
Une fois ce sac de noeuds dépêtré, je reprends place en face de lui, à une distance qui se veut "respectable", ni trop près, ni trop loin, et on entame une conversation qui reste légère, sur nos expériences Tinder, la société, les jeunes qui la gâchent, l'AI, et nos dernières soirées.
"Je viens juste de télécharger l'appli en fait, t'es la première personne que je rencontre dessus" m'avoue-t-il
"Jackpot du premier coup du coup" riais-je
"Clairement!" me sourie-t-il
A bien des égards je me retrouve en lui, en termes d'humour, tous les deux adeptes du jeu "Titre", de références aux années 90, et même d'école de commerce, du coin où on a grandi l'un et l'autre, vers St Emilion dans la pampa bordelaise au milieu des vignes (mon havre de paradis), ou sur ses origines andalouses, tout comme les miennes.
C'est quand même assez dingue.
On s'arrête sur "The Mask" pour démarrer cette soirée films/plaid avant d'embrayer sur Harry Potter, et je prends place dans ses bras, sous mon incroyable plaid duveteux.
Il me caresse le bras et se saisit timidement de ma main gauche pour l'entrelacer dans la sienne.
J'ai l'impression d'avoir de nouveau 17 ans.
Nos premiers dates, innocents, bon enfant.
Je sens son souffle chaud dans mon cou, qui provoque une réaction en chaîne sur ma peau, comme à "l'écoute".
L'on continue à rire, tout le long du film, des clichés des années 90 dont les méchants chauves avec des queues de cheval, du talent incroyable de Jim Carrey, et de tous ces codes qui sont propres à notre génération.
Bien installée, je pose ma tête en arrière contre son torse, et il dépose un baiser sur le haut de mon crâne.
Un geste qui peut paraître insignifiant, mais qui pour moi est un signe de bienveillance et de protection.
Il ne sait rien de mon passé. Des épreuves. Des cicatrices. Des traumas.
De combien de fois j'aurais du mourir déjà si Dieu ne m'avait pas protégée.
Et je ne sais rien du sien non plus.
Ce qui donne une toute autre dimension à ce moment de découverte passés ensemble.
Une certaine légèreté, une nonchalance joviale, dirais-je.
Littéralement comme si nous étions de nouveau deux ados, encore relativement épargnés par la vie, "nus" de marques.
Et je ne saurais vous dire à quel point ça m'a fait du bien de relâcher la pression, d'oublier tous les tracas du quotidien, et de prendre une profonde inspiration avec lui, sans craindre quoi que ce soit.
Une véritable cure de jouvence.
Comme de se présenter sans artifices ou apparat d'aucune sorte lors d'une première rencontre.
Jogging short, nattes, ma peau est douce et parfumée mais elle est nue.
La dernière scène du film défile devant nos yeux, enlacés l'un contre l'autre, et ma respiration s'accélère.
Jim Carrey embrasse passionnément Cameron Diaz, et j'y vois un signe de faire face à mon date.
Alors je pose mes lunettes de vue sur la table, et me retourne doucement pour le regarder.
Il a compris, mais il semble hésitant, de peur de me manquer de respect d'une façon ou d'une autre.
C'est vrai que j'avais été claire sur l'annonce du programme de la soirée, et il n'était pas question de "se choper".
Et je trouve ça d'autant plus touchant, cette candeur et cette retenue.
Alors je me lance, et me rapproche doucement de ses lèvres, maladroitement jusqu'aux 90% du chemin, la respiration haletante, avant qu'il ne fasse les 10% restant et ne se décide à saisir cette opportunité et m'embrasser.
Il a une barbe de 3 jours et son baiser est aussi maladroit que mon approche, le souffle court, il caresse ma joue de la paume de sa main, saisit mon visage et vient poser ses lèvres sur les miennes.
Je le saisis à mon tour, et lui rends son baiser avec plus de fougue quelques secondes avant de mettre le second film.
"Ahhhh Harry Potter! Ca faisait longtemps" sourie-t-il
On a les mêmes références, et on se partage nos meilleurs "memes" sur ces films, à mourir de rire.
Ayant retrouvé ma place dans ses bras, les jambes balancées contre le dossier du canapé, on peut difficilement être plus au calme que ça.
Sans alcool, notre vision est sans surprise plus claire, plus aiguisée, et les choses se font pourtant tout aussi naturellement.
Je laisse courir mes ongles dans sa nuque, puis dans ses cheveux, à mi-chemin entre le massage et les câlins, et je peux le sentir frissonner de plaisir à mon contact.
Alors je me retourne, avec un air de malice, et me niche dans sa nuque avant de l'embrasser de nouveau, avec plus d'agilité cette fois.
Lui comme moi, on prend nos marques "Paso a Paso".
Ce baiser est plus passionné, plus fluide, et il me susurre:
"On devrait arrêter là non? tu m'as dit que tu ne voulais pas et là je commence à ne plus en pouvoir"
J'ai dit ça, effectivement.
Mais je n'ai pas envie que ça s'arrête, j'ai besoin de ça.
De ce moment d'insouciance, de naïveté, quand bien même mon crush est toujours dans un coin de ma tête.
L'énergie n'est pas la même.
Avec Arnaud (le crush en question), c'est devenu profond très vite, on a passé quatre heures à se parler des choses les plus importantes de nos vies, de nos parcours, des plus douloureuses aussi, et notre premier baiser était tout bonnement électrique.
Je m'en souviens très bien.
Assis face à l'autre sur les chaises de ma table à manger, engagés dans notre conversation, très peu de contacts avaient été effectués.
Une légère distance de respect qui disait “je ne suis pas là pour ça”
Un genou effleuré, tout au plus, et un compliment sur la robe que je portais.
Mais la tension était palpable.
Ca petillait d’etincelles dans tous les sens.
Il avait ramené une bouteille de mon cépage préféré, et en me levant pour aller regarder l'étiquette sur le bar derrière nous, il en a profiter pour entourer mes jambes de ses bras, toujours assis, comme pour me ramener à lui.
Ayant franchi cette dernière distance, il s'était élancé à la conquête de mes lèvres sans doute aucun, et j'ai senti mon coeur prêt à exploser dans ma poitrine à la seconde où il l’a fait instinctivement.
Après ça on ne s'est plus lâchés.
Hypnotisés l'un par l'autre.
L'atmosphère était complètement différente de mon date d'hier.
Que s'est-il passé avec ce jeune-homme ? me demanderez-vous, à juste titre.
Eh bien je pense que justement, ce sentiment de "crush", ce feeling prenant, implique une toute autre profondeur.
Un risque bien réel.
Celui de retomber, et d'avoir mal.
Venant d'essuyer la tempête Pierre, disons que ma garde était remontée à bloc, et que la journée de décalage horaire pour répondre à l'un de mes messages est très mal passée.
Ce qui a stoppé net notre progression vers la terre mystérieuse du "peut-il y avoir plus que ça entre nous?".
Bref - revenons à nos moutons.
Hugo.
Sans rentrer dans les détails, je peux toutefois vous dire qu'il savait parfaitement ce qu'il faisait, et que j'ai remercié le ciel pour ce cadeau de dernière minute.
Parcourant mon corps de ses lèvres, il semble essayer de retenir mes courbes par coeur pour les redessiner dans sa tête plus tard.
Quelques instants plus tard...
De nouveau lovée dans ses bras, il dépose de petits bisous dans le creux de ma nuque, à découvert, et je frissonne à mon tour.
Il m'entoure de ses bras, sous ce plaid, et alors que l'orage fait rage dehors, je sombre peu à peu pour basculer dans ceux de Morphée, étonnement apaisée.
A la fin du film, il me réveille tendrement avec des caresses en chuchotant: "On va se coucher?"
Bien évidemment, tempête et soirée oblige, je lui avais dit un peu plus tôt que s'il voulait rester c'était OK pour moi, mais qu'il parte ou qu'il reste m'était complètement égal à dire vrai.
A savoir que dormir avec quelqu'un, en ce qui me concerne, c'est quelque chose de relativement compliqué.
Ayant été agressée quelques années auparavant par un ex légèrement "psycho" pendant mon sommeil, ses mains autour de ma gorge pour mettre fin à ma vie, j'ai mis énormément de temps à pouvoir me remettre de ça et baisser suffisamment ma garde pour pouvoir m'endormir et accepter cet état de vulnérabilité.
Tout un travail de lutte contre le stress post traumatique.
Pour Arnaud, c'est moi qui lui avais demandé de rester dormir avec moi, je ne voulais pas qu’il parte, je voulais profiter de notre bulle toute la nuit, et ça vous montre bien l'implication de mon côté.
Et pourtant j'ai passé une bien meilleure nuit de sommeil avec Hugo qu'avec Arnaud.
Pourquoi? me demandez-vous, intrigués
Eh bien avec ce dernier, je sentais quelque chose bloquer de son côté une fois allongés l'un contre l'autre dans ce calme absolu. Comme si il ne voulait pas totalement se laisser aller, une sorte de réserve que j'ai ressenti immédiatement.
Hugo n'en avait aucune.
Il était là, allongé à côté de moi, le plus naturellement du Monde, à me prendre dans ses bras et caler ma tête contre son torse, comme si on se connaissait depuis toujours.
Sans stress, sans peur.
Sans avoir à se coller toute la nuit, il y'avait toujours un petit geste positif de tendresse de l'autre côté, et j'ai vraiment bien dormi.
Le réveil s'est fait tout aussi facilement, et avant de partir il m'a enlacée une dernière fois avec un:
"Je t'écris dans l'après-midi, j'ai un repas de famille à midi "
No problemo.
Bien évidemment, ce serait vexant après ce genre de soirée de ne pas avoir de nouvelles, mais sincèrement, n'attendant vraiment rien de cette relation - ça ne me stresse aucunement, dans le sens où je ne sais même pas si moi j'ai vraiment envie de le revoir.
Ce serait pour un "plan", et ça ça n'a jamais trop été mon truc.
Dieu sait que les possibilités ne manquent pas de ce côté là, du hockeyeur à l'aventurier aux abdos de rêve, ce côté "Kleenex" de se servir de quelqu'un pour un plaisir ponctuel m'a toujours posé problème.
Pas par peur de m'attacher, bien au contraire.
Par peur de me détacher tellement de ce qui compte plutôt dirais-je...
Notre énergie est précieuse, et nous n'en avons qu'une.
De l'éparpiller à tour de bras pour des relations qui ne vous apporteront rien plus qu'un court moment de décompression, vous éloigne d'autant plus des personnes qui mériteraient la peine de se la voir investir.
C'est fou quand même la vie.
Le mec est magnifique, cultivé, drôle.
On vient de passer une soirée "retour en adolescence" sans alcool au top, sans efforts, sans pression, instinctivement relaxante, et je ne ressens pas du tout le besoin d'y réfléchir à deux fois.
Comme si ça c'était décidé instinctivement, dès qu'il a franchi la porte de chez moi.
"Nope"
Voilà la différence je pense entre un crush véritable, et un date tout bonnement bien passé.
Le rush et le stress qui en découle, la prise de risques, l'attirance à 360 degrés d'une personne à une autre.
Tous ces facteurs peuvent faire peur, mais là où il y'a un risque il y'a aussi une possibilité de gain considérable en face.
Peu importe le temps que ça dure.
Quelque chose s'est passé.
Une connexion s'est faite.
L'envie irrépressible de voir son nom s'afficher sur l'écran de votre smartphone même si c'est juste pour vous envoyer une connerie.
Rire ensemble de tout et de rien.
Peut-être qu'au final, pour que tout se passe sans accro il faudrait mettre une dose de décompression dans sa relation à son crush pour voir si le courant est réellement électrique, ou si vous avez juste mis les doigts dans la prise !
Marie
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nas84-blog · 9 months
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Blague : La jumelle maléfique...Mdr...
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mysteriis-moon666 · 1 year
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NOCTURNAL DEPARTURE - Clandestine Theurgy
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Originaire du Canada le plus hivernal (Winnipeg), Nocturnal Departure est un groupe de black metal, né en 2017 de l'obscurité du clair de lune entre Beltane et Lughnasadh, dans une campagne de rejet et de dégoût des normes hypocrites de la société, et des religions.
Leur troisième long format « Clandestine Theurgy » est sorti le 30 décembre via Hells Headbangers, il dirige la psychomachie (Lutte d'âmes qui s'opposent ; rivalité d'esprits incompatibles) de la condition humaine à travers le rituel et l'occultisme avec une indifférence brute.
Ce joyau noir de 40 minutes est incroyablement accrocheur, composé à parts égales des sons méprisables du groupe Inquisition et du riffing à la Darkthrone/Celtic Frost. C’est froid, rugissant et tout en putréfaction.
Le batteur Kryptys pimente la rythmique d’une teinte rapide et agressive avec un abus de caisse claire. Il nous entraine dans l'abîme avec des percussions tonitruantes. La production est élevée dans les aigus, et Funeror explore une combinaison maléfique de cris et de growl gutturaux. Les guitares jumelles de Funeror et Necrogeist sautent de riff en riff comme des beaux diables, s'arrêtant souvent pour laisser tomber des arpèges noirs dissonants. Les chansons se confondent dans une adhérence qui ne s'effacera pas. D'un point de vue thématique « Clandestine Theurgy » est confiné dans un black metal énergique basé sur des riffs crade qui ne perdent jamais leur cohésion interne au profit d’un style encombré.
C'est de la crasse sonore déversée à coups de sang punk atonaux qui évoque les influences plus anciennes remontant à la source primordiale du genre des 80’s. Les riffs passent d'une mélodie chargée offrant un ensemble dense de coups de langue et de refrains saccadés, à des séquences plus mesurées, planantes, froides, en passant par des collisions soniques qui reviennent aux fondements mêmes du genre.
C'est une œuvre qui troque plus sur ses échanges de riffs et de tempo que sur des ambiances uniques ou immersives. Le disque passe par tous les chemins de barbelés. Il ne va pas en droite ligne, ni ne plie comme un roseau. Il s'extasie dans un champ de guerre, aux pétales innombrables de corps démembrés.
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maddiesbookshelves · 3 years
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Kingdom of the Wicked #1 by Kerri Maniscalco (December 2020)
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Emilia and her twin sister Vittoria are streghe – witches who live secretly among humans, avoiding notice and persecution. One night, Vittoria misses dinner service at the family’s renowned Sicilian restaurant. Emilia soon finds the body of her beloved twin… desecrated beyond belief. Devastated, Emilia sets out to find her sister’s killer and to seek vengeance at any cost - even if it means using dark magic that’s been long forbidden.
Then Emilia meets Wrath, one of the Wicked - princes of Hell she has been warned against in tales since she was a child. Wrath claims to be on Emilia’s side, tasked by his master with solving the series of women’s murders on the island. But when it comes to the Wicked, nothing is as it seems…
Would I recommend it to anyone? Not really. It's not that it was a terrible book, it's just meh and didn't mark me enough for me to think about recommanding it, or not for that matter.
Level of (dis)satisfaction based on the summary and my expectations? I was honestly very disappointed by this book. It's by the same author as the Stalking Jack The Ripper series, that I love and re-read right after, so I was expecting something better. I don't know if I was just tired when I read it but well...
My thoughts on it? How do I say this... I don't know if I was blinded by my expectations (I had been waiting for this book since it had been announced, and eventhough book 4 of Stalking Jack The Ripper was disappointing I really liked the first 3 books), but I didn't find this book very captivating. I was a bit bored reading it, I skipped a few descriptions because I was just fed up at that point (thanks for the cooking recipes but if I wanted them I would have bought a Sicilian cooking book).
I felt like Wrath was a lot like Thomas in the way that he's the Tall-Dark-and-Handsome love interest, he's witty, and sarcastic, and blahblahblah... He wasn't an interesting character, and certainly not an original one. And Emilia... I don't even know what to say about her, honestly. As for the secondary characters, well, you don't see them much. The plot was slightly intriguing, but it's not what made me turn the pages.
It's not a bad book per se, otherwise I wouldn't have read all of it. It's just average. The writing style is still nice but I'm disappointed that it wasn't on the same level as the first 3 Stalking Jack The Ripper books. I won't read the other books in this series because this first one didn't make me want to.
French version under the cut
Emilia et sa sœur jumelle Vittoria sont des streghe - des sorcières vivant en secret parmi les humains, évitant les persécutions et les curieux. Un soir, Vittoria manque le service du soir dans le célèbre restaurant sicilien de sa famille. Emilia ne tarde pas à retrouver le corps de sa précieuse jumelle... profané de la pire des façons. Dévastée, Emilia se lance à la poursuite de l'assassin de sa sœur prête à se venger par tous les moyens possibles - même si cela veut dire utiliser une magie noire interdite depuis longtemps.
C'est alors qu'Emilia rencontre Wrath, un des Maléfiques - les princes des enfers contre lesquels tous les contes de son enfance l'ont mise en garde. Wrath prétend être du côté d'Emilia, ayant été chargé par son maître de résoudre les assassinats de plusieurs femmes sur l'île. Mais lorsqu'il s'agit des Maléfiques, rien n'est comme il paraît.
Est-ce que tu le conseillerais à quelqu’un ? Pas vraiment. C’est pas que c’est un mauvais livre, il est juste bof et m’a pas laissé une impression assez importante pour que je pense à le recommander, ou à le déconseiller pour le coup. Niveau de déception/satisfaction par rapport au résumé et tes attentes ? Honnêtement, j’ai été très déçue. C’est par la même auteure que la série Stalking Jack The Ripper (que j’ai relue juste après), que j’avais beaucoup aimée alors je m’attendais à mieux. Je sais pas si j’étais juste fatiguée en le lisant mais bon... Avis sans spoiler ? Comment dire… Je sais pas si mes attentes m’ont aveuglées (ça faisait quand même depuis l’annonce du livre que j’attendais et malgré un tome 4 décevant pour Stalking Jack The Ripper, j’avais quand même beaucoup aimé les 3 premiers), mais j’ai pas trouvé ce livre très engageant. Je me suis un peu ennuyée pendant ma lecture, j’ai sauté quelques descriptions parce que j’en avais marre (merci pour les recettes de cuisine mais si j’en voulais j’aurais acheté un livre de cuisine sicilien). J’ai l’impression que Wrath est un peu comme Thomas : c’est un mec mystérieux qui fait de l’esprit et des remarques sarcastiques, il est grand, il est beau, blablabla… C’était pas vraiment un personnage intéressant et surtout pas original. Et Emilia… je sais même pas quoi dire sur elle franchement. Et les personnages secondaires, ben on les voit pas vraiment. L'intrigue est pour le coup intrigante, mais pas plus. C’est pas ça qui m’a fait tourner les pages. En soi c’est pas un mauvais bouquin, sinon j’aurais pas tout lu. Il est moyen. Le style d’écriture est quand même sympa, mais je suis déçue que ce soit pas au niveau des premiers tomes de Stalking Jack The Ripper. Je lirai pas la suite parce que ce tome 1 m'a pas donné envie de lire la suite.
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spicylia · 4 years
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🖤 Screen Queen Unexpected Season, Épisode 2 :
Cendrillon & la Naissance de Spicylia.
/!\ Avant d’entrer dans le vif du sujet je tiens juste à préciser que cet Épisode est bel et bien la Suite du 1er, autrement dit aucun message n’a été oublié, tout est à la suite, et tout sera à la suite car comme j’aime le dire : Je n’ai rien à cacher, j’estime donc que Synder non plus, et personne d’autre ! (je dis ça au cas où vous voudriez parler dans mon dos et que ça remonte jusqu’à moi. En soit ça ne me dérange pas tant que ça me casse pas les bonbons comme Synder et Loplo l’ont si bien fait, derrière mon dos, et celui des autres. Bref.)
Reprenons :
…C’est quelques temps après avoir savourer le Premier Épisode d’Halloween d’Eldarya, introduisant Cornélia et son background très prometteur ainsi que davantage de fonds magnifiques et de tenues correctes - que peu de gens ont relevé parce que c’est mieux de pointer SURTOUT ce qui ne va pas (les illustrations “trop chères” sachant que de base c’est pas sensé être gratuit, un Event, oui car c’est du Contenu Facultatif ! Comme chaque contenu facultatif d’un Jeu Vidéo ! C’est jamais gratuit généralement !) - que, Sugariel, devant tant d’ingratitude s’est décidé à faire ce qu’elle ne pensait pas refaire dans la même année : Poster sur le Livre d’Or !
Il faut savoir que Sugariel est Balance, ou plutôt, son Créateur (moi, coucou lol ! You like my hair ? Gee thanks, just bought it ! 🎵💥), et, ça fait rire certains qui vont se foutre de ma gueule parce qu’ils sont tellement intelligent “apparemment” mais une des caractéristiques des personnes nées sous le Signe des Balances c’est de Balancer la JUSTICE ! Autrement dit, si toi là… oui toi là ! ‘vec ta tête-là : Si la Madame Balance elle voit que tu aimes bien parler, mais que ton bla bla bla comporte plus de négatif que de positif ET que ça en devient une généralité, faisant que le peu de Positif se noie dans le Négatif Dominant… la Madame Balance elle fait quoi ? Tu crois qu’elle va croiser les ailes ? Tu crois qu’elle va faire genre qu’elle a rien vu, passer son chemin ? Faire “Yeaaah wouh wouh wouh heeey !” Bien sûr ! …parce que la Madame Balance, elle est inscrite depuis le 17 Décembre 2014 sur Eldarya ! ET, avant le 6 Novembre 2019, elle n’avait pas encore balancer ce qu’elle devait balancer ! Autrement dit : Si toi là, oui toi là, encore, décidément, ‘vec ta tête-là t’sais… si tu fais l’étonné “apparemment” parce que la Madame Balance, après toutes ces années de bienveillance, elle craque enfin et décide de dire ce qu’elle pense… bah en fait : Phoque. The phoquing Phoque ! Phoque you. Phoque yall. Phoque everything ! Tu comprends ou tu comprends pas ? …Non tu comprends pas, donc continuons :
Le Post que Synder a supprimé d’une part s’appelait “Team Maananas VS Team Bank Band”, un post qui a été imaginé quelques jours après la fin de l’Event d’Halloween dans lequel, vu que les rageuses ont ragé, eh bien Sugariel aussi a ragé contre les rageuses, rien de tellement étonnant…à mon sens* (je commence à croire que c’est parce que je suis Marseillais que ça ne me choque pas. Ya pas ça dans le Nord ? En Bretagne ? A Nantes ? Non ? Alala, petites natures. Et c’est moi le Bisounours. HUM. Bref.) …MAIS, quand j’ai reçu le message de Synder, devenue Modératrice depuis 2016 (bien sûr que j’ai retenu, à quoi servent les screens selon vous ?!), qui était toujours mon amie à mes yeux : Je n’ai pas pété un câble ! Mon post a été supprimé. CENDRILLON, n’a pas eu la gentillesse de me le copier/coller pour que je l’édite, comme pourtant, Adzriel, that Queen, me l’avait fait gentiment la première fois que j’ai posté sur le Livre d’Or (retenez bien parce que c’est un détail hyper important !) …MAIS : J’ai compris et accepté, vous avez les screens devant les yeux donc ya pas de “ouais nan peut être”.. Mon post a été supprimé. MAIS, têtue comme je suis, car oui hein, je sais pas si vous avez remarqué… je tenais quand même à Balancer ce que je voulais balancer ! Autrement dit parler de l’ingratitude de certaines joueuses, bien évidemment… ou plutôt pas de façon aussi évidente !
…C’est ainsi~ que Sugariel~ après avoir médité pendant 2 jours (vous avez les dates sous les yeux donc ya pas de “oui non peut être” !) a décidé de fouiller dans la Bibliothèque, à l’époque où son Doppelgänder dénommé Ykhar était encore en vie *tousse* plus ou moins… et de trouver un Grimoire Magique lui permettant de faire ce qu’elle appellera clairement : Extérioriser son Coté Obscure ! …mais rien. Nada. Niet ! …Heureusement~ vu qu’elle avait bestfriendé avec Cornélia, sa $ista, sa Bee’tch, #ReadheadPower, celle-ci lui a donc rendu ce $ervice qui causera par la $uite la mort de Bee’tch’moov (Yes Bee’tch !) : Créer Spicylia ! …je ne sais plus comment Cornélia a fait, il me semble qu’il faut : Du Sucre, des épices, et un tas de bonnes choses…et un agent bizarre… je crois que ça s’appelait “Agent Chimique ikcquss” bref : Spicylia est née.
Deux jours après comme dit, Sugariel revient donc, avec une petite Pièce de Théâtre introduisant son Clone, sa Soeur, Jumelle Maléfique dénommée Spicylia ! Le but de Spicylia était simple : Dire tout le contraire de Sugariel ! Rien d’autre ! …bon et aussi s’habiller, mais là encore de façon Opposée pour accentuer le Concept, le but de sa Création en tant que phoquing OC, non existant.
Fière de sa pièce de théâtre qu’elle jugeait originale, Sugariel s’en va donc avec sa Soeur Spicylia, histoire de lui faire visiter le QG, les boutiques, Alajéa, toussa toussa, et ensuite revenir pour voir si la pièce de théâtre a plu - avec Spycilia - toujours présente, puisque une fois créée elle est créée. Ya pas moyen que Spicylia s’en aille.
Eh ben non. Encore une fois Cendrillon, le Démon qui a mangé la Synder originelle, a tout cassé parce que… parce que QUOI ?! 
*sort son mégaphone rose bonbon à paillettes*
“une attaque contre le joueuses qui ne partagent pas le même avis que toi”
Une attaque contre les joueuses ?! Attends-ttends-ttends Princesse… parce que j’ai screené mon Post entier, hein…. tu l’as vu, tu l’as supprimé, je l’ai reposté là bas, à gauche, à droite, au centre, au milieu, en bas, en haut, etc etc etc, et à AUCUN MOMENT Sugariel, donc MON personnage, “existant”, ME représentant, n’a attaqué les joueuses. ET… oui j’avoue que Spicylia l’a fait par contre. Mais Spicylia est un OC. Donc qu’est-ce que j’ai fais moi ? J’ai demandé à Synder si je pouvais éditer mon Post pour PRÉCISER justement les détails à prendre en compte concernant Spicylia et, Synder m’a mis un gros vent. Sachant que là encore pas de possibilité d’éditer mon Post. Alors que c’était possible d’éditer ses posts supprimés avec Adzriel. Mais comme je ne suis pas aussi débile qu’on le pense, à tel point qu’au final j’arrive à faire pleurer toutes personnes qui l’ont cru : Bah j’avais enregistré mon post.
Donc vu que j’ai pas de réponses de la “Modératrice-là” dénommée Synder, je reposte donc ma “pièce de théâtre” MAIS avec les précisions en orange cette fois, de façon bien cordiale et rigolote, car à cette époque ma Bonne Humeur était toujours en acier. Et c’est supprimé encore ! Et là elle me sort quoi la Cendrillon ? 
*ressort son mégaphone rose bonbon à paillettes*
“Ce n’est pas un avis général sur le jeu mais un prétexte pour écrire une parodie irrespectueuse des joueuses qui ne partagent pas ton avis, ce qui installe un climat de conflict”
…Bien sûr que c’était une Parodie ! Mais que je sache, le principe d’une Parodie c’est pas de “faire la Barbie Princesse Magique et sa copine Barbie Princesse magique 2″ ? Une Parodie a pour but de se moquer de certaines choses, là en l’occurrence, le Jeu Eldarya, de façon GLOGALE. Sauf que dans la Globalité du jeu, bah ya pas que du Positif ! Donc au bout d’un moment : On ne peut pas parler du Négatif mais juste du Positif. Moi j’appelle ça de la Dictature. Surtout que comme je le dis et le répète : 
📣 Spicylia est un OC ! 
Un Original Character ! MON Personnage Original ! A MOI. Donc personne d’autre que MOI ne peut savoir mieux que MOI ce qu’est mon OC et ce qu’il n’est pas. Tu peux pas venir en face de moi et me dire que “oui mais non ton OC est comme ça !” si moi je t’explique que non “il est comme ça et pas autrement”. Bref. Quoi que non, pas bref, car généralement, dans toute Oeuvre, lorsque des théories sont faites sur des Personnages, quand le Créateur dément certaines théories : Il n’y a plus rien à dire ! …tu peux pas continuer à théoriser sur ce qui est devenu un Fait. Ou comme j’aime le dire : Me casses pas les bonbons alors que je t’ai expliqué mon Concept. Je te l’ai expliqué en mp. Je l’ai expliqué en orange. Je pensais pas devoir écrire un Livre là dessus pour que TU comprennes que : La Présence de Spicylia n’était pas réellement à prendre en compte !
Pourquoi je dis ça ? Je dis ça parce que Spicylia est un OC. Sugariel est un OC. Mais Spicylia n’est PAS une Joueuse. Tandis que Sugariel oui. C’est moi. Autrement dit, si tu veux détester Spicylia, tu peux vu qu’elle sert à ça ! …mais concernant Sugariel, c’était bien Sugariel qui détenait MON véritable Avis !
Dans la vie pour se mettre en valeur, il faut forcément qu’il y ait quelque chose de négatif à coté pour se mettre encore plus en valeur. Spicylia servait complètement à ça en disant tout le contraire de Sugariel : Tout le contraire de ce que JE pense ! 
Spicylia était donc un Accessoire INDISPENSABLE. Parce que mon Avis sans Spicylia ben, c’est bien mon Avis Véritable (ou plutôt Sojariel, car j'assume pas en tant que Sugariel), mais vu qu’on adore me faire passer pour un “Bonbon rose” ou un “Bisounours” parce que “apparemment” être bienveillant c’est être débile… bah j’avais besoin de Spicylia pour qu’on se rende compte que je ne suis peut être pas si pire que ça vu que j’ai créé le Pire et je l’ai nommé Spicylia !
Parce que dans la Globalité du Jeu, dans mon Avis du Livre d’Or, certes quand on a un cerveau discount comme Synder on comprend qu’il y a une critique de certains joueurs. MAIS : Quand on a un cerveau beaucoup plus développé on se rend compte qu’il y a ça, oui, parce que ça fait partie de la Globalité du jeu, mais il y a aussi moi la dedans qui essaye de faire comprendre AUSSI que j’en ai mare de passer pour quelqu’un de débile alors que si vous lisez que la partie “Sugariel” ben vous devriez remarquer que je sais faire un commentaire littéraire argumenté en plusieurs parties. Et non seulement je sais faire ça, mais en plus dans cette même partie “Sugariel” il y a autant de positif que de négatif. Tout comme dans la partie “Spicylia” il y a également du négatif et du positif ! …parce que j’ai utilisé des tas de techniques littéraires dans mon Avis Global sur le Jeu Eldarya. La création de Spicylia était beaucoup plus complexe que ça. Si j’avais été vraiment débile et que Synder avait été vraiment intelligente dans le sens OBJECTIF du terme, je n’aurai pas à argumenter encore là dessus. Et devoir exposer sa Connerie. Et celle de Bee’tch’moov. Et celles de ceux qui me prennent encore pour une débile. BREF :
“Spicylia reviendra faire son show ¨w¨ …mais pas sur le Livre d'Or xD (ou alors je vais encore faire la suicidaire mais de façon light x’D)“
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(en gros je t’ai fais un Lac des Cygnes version $irènes mais si t’as rien compris, tu peux t’en prendre qu’à toi. Et ce n’est que le deuxième épisode le pire. Les preuves sont les preuves donc ta gueule.)
…Dans le prochain épisode, Sugariel & Togame organiseront une petite Tea Party assez spéciale dans le Château de Cendrillon.
Bien sûr, deux Balances dans une même pièce ça ne peut qu’être… Diver-tea-ssant ! …mais que va penser Cendrillon ? 
Et pourquoi organiser une telle Tea Party ? …Togame aura-t’elle des choses à dire là dessus ?! Sugariel oui en tout cas.
La suite au Prochain Épisode. 🖤💥
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nuitarie · 4 years
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Mardi Gras Beads was featured in the the 33rd episode of Crown of Thorns Pod’rama, it is the second wedding theme I had to write for the soundtrack. I wanted it to echo the previous wedding theme, Fairy lights. Both titles refer to the main decoration described in the original text, which is a bit silly, but then again I did not want to call them “Wedding theme #1” and “Wedding theme #2”. Life as a composer is hard, y’all.
I use the same kind of “by the beach” percussions for both pieces, but the cello in its lower register plays a central part in this one. There’s a bittersweet feeling to that music and then it gains momentum by featuring the main theme played on the cello.
That piece was written a while ago now, and it’s so strange... It feels like someone else wrote it. I don’t exactly remember the process behind it. Must be my evil twin. That happens sometimes, but it makes me glad, cause I’m quite proud of this theme. Means I’m not so illegitimate as I sometimes think.
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Mardi Gras Beads est apparu dans le 33e épisode de Crown of Thorns. C’est le second thème de mariage que j’ai écris pour cette bande originale. Je voulais qu’il fasse l’écho au premier thème de mariage, Fairy Lights. Les deux titres font référence à la décoration utilisée lors des cérémonies, c’est un peu idiot, mais je voulais éviter d’appeler les musiques “Mariage 1” et “Mariage 2”. C’est dur, la vie de compositrice, d’abord.
J’ai à nouveau utilisé des percussions qui font penser au bord de mer, mais le rôle central est tenu par un violoncelle dans son registre grave. L’ambiance est douce-amère et gagne de l’élan en incluant le thème principal au violoncelle.
Ce morceau a été écrit il y a quelques mois et c’est très étrange... C’est comme si quelqu’un d’autre l’avait créé. Je ne me souviens pas bien du processus de composition. Peut-être est-ce un coup de ma jumelle maléfique. Ça arrive parfois, mais ça me fait plaisir, parce que je suis plutôt fière de cette réalisation. Peut-être que je vaux quelque chose, en fin de compte. 
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sdaryane · 5 years
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Mon rêve...
Je ne sais pas s’il est obligatoire d’avoir un rêve, ni même s’il est normal de ne pas en vouloir un mais je ne pense pas faire exception. Mon rêve c’est ce roman où je deviens cet être si unique et passionnant que tout le monde voudrait être moi. Seulement voilà, je ne suis qu’une pauvre femme bientôt divorcée, mère de 3 mouflets, qui a été mal aimée, maltraitée, délaissée, abusée, abandonnée et surtout déshumanisée. Pour autant, il y a cette force invisible mais irrépressible qui me pousse tous les jours à croire qu’un beau matin on me verra enfin!
Je ne dis pas que je veux être vu comme une star internationale avec sa photo dans tous les magasines où sur toutes les chaînes, non, mais je voudrais être vue comme la femme de quelqu’un qui a conscience de la véritable valeur ajoutée que je peux être pour lui parce que c’est moi et pas une autre.
On rêve toutes de l’homme idéal: beau, attentionné, gentil, généreux, viril mais pas trop, sensible mais pas trop et surtout surtout réel! Ça peut paraître fou, stupide voire présomptueux mais c’est cela que toutes les femmes veulent en vérité: un homme vrai. Attention à ne pas confondre avec un homme trop sûr de lui, pédant, macho ou crâneur!
Prenons par exemple le prix d’un tableau. Un jour, je me souviens avoir flashé devant un magnifique tableau et je le voulais absolument pour chez moi. Or, son prix exorbitant me fit tout de même hésiter car j’estimais ne pas être en mesure de me l’offrir. C’est alors qu’une connaissance à moi me fit une remarque tout à fait pertinente: « La seule valeur des choses est celle qu’on lui donne! ». Ce n’est pas parce que ce tableau était cher que je ne pouvais me l’offrir car j’en avais les moyens mais seulement car je ne faisais pas assez confiance en mes finances pour m’autoriser à craquer.
Pour les hommes, je pense que c’est la même théorie. Nous voyons toutes notre homme idéal comme inaccessible car nous imaginons que nos critères rédhibitoires ou non sont surévalués lorsque nous sommes en sa présence. Tout d’un coup, l’homme dont on a toujours rêvé ne nous semble plus aussi beau, plus aussi sensible et plus aussi parfait ou alors c’est tout l’inverse. Cet homme est tellement parfait qu’à ce moment là c’est nous que nous trouvons indigne de lui. On se demande ce qu’il peut nous trouver ou alors tout simplement à quel moment ça va merder!
C’est exactement ce que j’ai vécu avec Sébastien et Gregory!
Quand Sébastien a jeté son dévolu sur mon profil Meetic je me suis immédiatement dit qu’il avait sûrement fait une erreur. Sa photo de profil en maillot de bain rouge à la David Hasselhoff, prise en contre plongée, laissant en pleine vue ses abdos redessinés par les gouttes d’eau de mer déferlantes sur son torse ne laissait aucune place à mon imagination sur la valeur que j’allais bientôt donner à ce trophée inaccessible. Je ne détaillerai pas le bleu profond de ses yeux totalement envoûtant et la blondeur de ces cheveux finissant de parfaire le fameux tableau dont j’avais toujours rêvé.
En ce qui le concerne, rien que le fait qu’il s’attarde sur moi ne serait-ce que pour boire un verre était déjà une opportunité jamais autant espérée. Je fus du coup d’autant plus sous le charme quand il décida de m’embrasser, de me faire l’amour, de m’épouser et de me faire des enfants!!!!J’étais l’élue bon sang, la seule, l’unique! Le trophée c’était moi en réalité...jusqu’à l’extinction du faux semblant, l’apparition de la tromperie et de la manipulation. En fait, je vivais un rêve et je me suis réveillée.
Ce genre de réveil est assez rude je vous l’avoue mais n’est-il pas plus juste de souffrir d’un mauvais rêve sachant que la vrai vie nous attend que de demeurer endormie sans n’avoir jamais rien vécu de palpitant, d’excitant et finalement de réel.
Nous en revenons toujours au même point en définitive:le réel.
Partons du postulat que le rêve est l’idéal et le réel le juste. Cela signifierait que si nous voulions atteindre l’idéal, il faudrait vivre perpétuellement dans l’illusion, le mensonge voire l’utopie.
Vivre dans la réalité serait donc synonyme de souffrance, de déception et de rabais permanent de nos exigences. En gros, il faut savoir se contenter de peu plutôt que de rien à force de vouloir trop. Je ne sais pas si c’est bien accessible tout ça? Suis-je la seule à me torturer avec ce genre de débat existentiel?
Mon ami Mike que je considère comme mon jumeau maléfique a un avis bien tranché sur la question. Pour lui rien n’est impossible, rien n’est inaccessible. S’il veut quelque chose il l’obtient ou fait tout pour en tous cas. S’il échoue il part du principe que cela ne devait pas être autrement et passe à un autre objectif. Son opportunisme et sa détermination m’ont toujours fasciné. Malheureusement, en bonne jumelle maléfique, je suis son opposée totale et radicale. Pour moi, tout est impossible et inaccessible. Si je veux quelque chose qui me semble hors de portée je fais en sorte de l’oublier plutôt que de me battre pour l’obtenir. C’est désolant, non?
Pour autant, je ne sais pourquoi la perception du reste du monde sur moi est différente de la mienne. En effet, tout mon entourage me voit comme une guerrière, une battante, une force née voir même une bâtisseuse. Je suis sûre que les notions de rêve et de réel commencent à vous parler. En fait, dans la vie tout est définitivement une question de point de vue. Que l’on se positionne du nôtre ou de celui des autres au final la réalité est la vie qui se joue devant nos yeux.
Ma réalité n’était pas le rêve que Sébastien me faisait vivre car au final après m’avoir trompé, il a ressayé plusieurs fois malgré le fait de m’avoir fait croire qu’il voulait sauver notre famille pour finir par me quitter lâchement à la première erreur que j’ai osé commettre pour enfin me sentir réellement vivre!
Le problème avec le réveil de ce genre de rêve c’est qu’après tout ce que l’on vit nous semble fade ou pire encore: dangereux!
C’est là que Gregory entre en scène non sans peine pour essayer de me faire vivre le réel. Cet homme là est aux antipodes de mon idéal, enfin plutôt de ce que je pensais être mon idéal bien sûr.
Il est brun déjà, avec des yeux verts. Il est plus maigre que moi et il parle peu bref je passais du feu à la glace en l’occurrence. La cerise sur le gâteau était nos 11ans de différence qui plus le temps passait plus me faisait réaliser l’angoisse qui grandissait en moi sur son éventuelle disparition prématurée de ma réalité.
Pour autant, à l’inverse de Sébastien il était discret mais observateur, timide mais audacieux, fort mais sensible. Bref, cet homme là ressemblait de plus en plus à celui qui pourrait me voir comme je l’avais toujours voulu mais pour autant je refusais d’y croire. Et oui, quand on a vécu 13ans dans le mensonge plus rien ne nous semble réel ou même concret. Je refusais encore de croire que l’on puisse me regarder, me désirer ou même m’aimer. Sébastien me répétait tellement tous les jours que je n’étais pas câline, pas aimante et encore moins attirante que ces adjectifs ne risquaient plus de faire partie de ma description personnelle.
Gregory m’a appris à les rapprivoiser. Je ne dis pas que j’y crois définitivement mais aujourd’hui grâce à lui je suis capable de les entendre. Ce qui est drôle c’est vraiment ce sentiment de nouveauté. Je ne supportais pas que l’on me touche et désormais quand ses mains sont loin de moi je me sens mal. Je ne supportais pas d’être collée par l’autre et maintenant je suis en perdition quand nous sommes séparés trop longtemps. Je pensais être incapable d’aimer et d’être aimée et cet homme-là m’a donné le goût de l’amour.
Aujourd’hui, j’aime qu’il me regarde dans toutes les situations, j’aime aussi le regarder dans toutes les situations. J’aime qu’il m’observe en enregistrant des données sur moi pour pouvoir s’en servir afin de me surprendre et me plaire. J’aime le gâter, le pourrir et le remercier tous les jours d’être là pour moi. J’aime sa façon de travailler et d’avancer dans la vie. J’aime son calme et son pragmatisme. J’aime son besoin de me faire plaisir et son souci de me plaire.
Cependant, ce n’est pas sans peur ou sans reproche!
Je venais de me faire quitter lamentablement par un homme qui se voulait juste et droit, irréprochable et au dessus de tout soupçon alors qu’il se révéla menteur, manipulateur et infidèle. Et je venais de rencontrer un homme que je savais infidèle tout au long de sa vie, se croyant malade d’ailleurs à ce sujet et pour autant il ne me cacha rien de son passé, jusqu’aux détails les plus sordides comme une confidence.
Je dis souvent que la vie n’est qu’une succession de prises de risques et que tant que le bénéfice d’une situation ne rattrape pas le risque encouru elle vaut le coup d’être vécue.
Gregory c’est mon plus gros risque dans ma vie de femme car je dois accepter de repasser par l’horreur, le mensonge et la tromperie. Pour autant, je ne sais pas pourquoi je ne l’envisage pas. Sans doute parce que rien ne nous oblige à être ensemble, rien ne nous lie vraiment sauf l’envie.
Alors rêve ou réalité???
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jezatalks · 4 years
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Souvent je pense à elle.
Ma jumelle maléfique.
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infosurbaines · 2 years
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June et Jennifer Gibbons, les jumelles maléfiques
June et Jennifer Gibbons, les jumelles maléfiques
L’affaire que nous allons vous raconter aujourd’hui est assez particulière car elle nous plonge dans les mystères du monde de la gémellité et de tout le folklore qui l’accompagne. Un phénomène qui, depuis la nuit des temps et de la découverte de la médecine moderne, a suscité interrogations, fascination, et parfois même méfiance et crainte.   Chez certains peuples d’Afrique, d’Asie et de…
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#musique Archive sort un nouveau titre "We are the same" et un beau clip sur le thème de la dualité : une sorte de jumelle maléfique poursuit en voiture une autre jeune femme terrifiée. Une sorte de lutte intérieure ? Voir plus ici
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marie-bradshaw · 2 years
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Et la théorie du jumeau maléfique
A Toulouse on a un dicton, passée une certaine heure de la soirée et un certain nombre de shots, nous ne sommes plus responsables de nos actes.
En effet, c'est à notre jumeau ou jumelle maléfique qui il faudra demander des comptes le lendemain.
La mienne s'appelle Maria, dit ce qu'elle pense sans se soucier du reste, repart les genoux couverts de bleu, et s'il y'a une barre de pole Dance dans les environs, elle vous fera sûrement une démo.
Un sacré bordel cette fille.
Dernière apparition: samedi soir à l'anniversaire d'un ami commun avec mon ex.
Alors que la Marie sobre prenait du recul jusqu'à Barcelone, le coeur brisé après un dernier acte de cruauté de sa part, pleurant en silence de s'être aussi facilement fait manipuler par la seule personne au Monde de qui elle avait ressenti une connexion aussi profonde.
Sa jumelle maléfique, Maria, quant à elle avait une autre façon de s'exprimer.
Fort et droit dans ses oreilles.
Pour elle pas question de souffrir en silence, il l'avait provoquée, il devait payer. Et ça se ferait avec perte et fracas.
Ce à quoi mes potes, enfin ceux qu'on a pas en commun du moins, ont tous répondu "Putain c'est pas trop tôt, on lui aurait dit pareil".
Certes.
Mais le concept de vengeance est tellement éloigné de ma réalité, de mes valeurs, que je n'ai pu m'empêcher de le regretter.
Toute cette colère, cette haine viscérale, elle est bien plus toxique pour moi que pour lui.
Je pense que c'est le "syndrome" de l'enfant battu.
Quand un enfant subit des violences, à répétition, qu'elles soient physiques ou morales, il finit par s'habituer à absorber les coups, et au moindre geste d'affection il oublie la violence précédente.
Affamé, exténué, il encaissera en repensant aux miettes d'affection que ses tauliers auront bien voulu lui procurer.
Jusqu'à ce que ses limites soient franchies, et c'est à ce moment-là que la situation se retournera violemment.
Comme si chaque acte de méchanceté avait été canalisé pour ressortir avec dix fois plus d'impact, en sens inverse.
Et ça c'est le moment ou "l'agresseur" se trouve dans une situation plutôt dangereuse.
Bref, sans aller jusque-là, tous ces mois, toutes ces paroles, toutes ces manipulations, ont finalement eu raison de mes limites, disons-le plutôt élevées.
Après tout, si après 32 ans de désintérêt quasi total, d'humiliations permanentes, et de violence morale, l'enfant en moi espère toujours un geste d'amour de son père, ça nous donne un indice du seuil de résistance à la connerie humaine que peut endurer une personne.
"Ne réagis plus" me conseille l'amie qu'on a en commun, comme si c'était volontaire, délibéré.
Ca ne l'est pas.
Il a réveillé celle qui n'encaisse pas sagement, celle qui défend l'enfant à terre, couverte de coups.
Et ce sont des années de sévices dont il est loin d'être le seul responsable qui déferlent sur lui en tsunami à chaque fois que j'ai le malheur de le croiser alcoolisée.
Parce qu'il le savait.
Parce qu'il a vu mes cicatrices.
Parce qu'il a touché mon coeur au plus près, et qu'il en a profité pour jouer avec sous couvert de défenses passées.
Parce que de tous les Hommes, je pensais sincèrement qu'il était l'unique mien, mon alter ego, mon âme-soeur.
Ca ne s'explique pas.
Ca se ressent comme un alignement des étoiles.
J'ai vu le meilleur en lui, comme j'ai vu le pire, et s'il était venu s'excuser, je pense que ma colère se serait apaisée.
Mais son égo l'emportera toujours sur tout le reste, et à la vérité je suis triste pour lui.
On ne peut pas aimer véritablement quelqu'un quand on se cache derrière sa fierté.
Quant à moi, je prie pour ressentir de nouveau un jour cette connexion qui m'aurait fait déplacé des montagnes et vidé les océans- mais pour une âme dont la bienveillance n'aura d'égal que sa virilité.
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oceanofbooks · 2 years
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《Aie de l'audace, aie de l'audace, mais point trop d'audace, de crainte que dans ton cœur le sang se glace.》
La morale des contes de fées nous dit ceci : reste dans le droit chemin, soit gentille, partage ta nourriture mais méfies-toi de ceux qui veulent partager la leur, surtout si c'est une pomme bien rouge.
"Les Sœurs perdues" une nouvelle écrite par @blackholly et publié chez @rageotediteur
Il était une fois une jeune fille appelée Taryn. Enfant elle vivait auprès de ses parents, de sa grande sœur Vivi et de sa jumelle Jude. Mais un jour, un terrible drame arriva. Un homme, fantôme du passé, apparu et de son épée tua ses parents avant de l'emmener elle et ses sœurs dans un lointain royaume au-delà du monde des hommes, sur des terres où la beauté se mêle bien souvent à l'horreur. Le royaume de "Terrafae". L'enfant grandit auprès de ses sœurs et de cet homme devenu leur père, mais pour une simple mortelle il n'est pas aisé de vivre sur ces terres aux côtés des faes. Durant des années humiliation et souffrance furent de fidèles compagnes pour Taryn jusqu'au jour où la jeune fille tomba amoureuse. Le jeune faes du nom de Locke la rendait heureuse mais, ils ne pouvaient se retrouver qu'à la nuit tombée avec les étoiles pour seuls témoins. Malgré tout, la jeune fille se disait qu'elle vivait une véritable histoire d'amour, un conte dont elle était la princesse sauvée de sa souffrance par un jeune prince qui n'avait d'yeux que pour elle. Mais cher lecteur, n'oubliez pas que tout conte, aussi beau soit-il, n'est jamais sans maux. À vous de découvrir si celui-ci est une histoire d'amour ou un conte cruel.
Une nouvelle courte, très courte et même trop courte pour ceux qui, comme moi, sont fans de la trilogie du "Peuple de l'air". Taryn est le personnage que je déteste le plus dans cet univers mais avec cette courte histoire qui prend place entre "Le Prince Cruel" et "Le Roi Maléfique" je la vois différemment. Je ne l'aime toujours pas mais j'arrive à la comprendre un peu. Comme toujours la plume de Holly est fluide et agréable, j'ai hâte de replonger dans cette trilogie avec le tome 3 "La reine sans royaume" dont la sortie est prévue pour mars 2022.
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mevannwi · 6 years
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Mevanwi ou la jumelle maléfique d’Aconia
Une courte meta sur les parallèles entre Aconia et Mevanwi.
Le personnage de Mevanwi peut être compris, au niveau narratif, comme étant le doublon d’Aconia. Les deux femmes sont définies par les mêmes éléments qui les conduiront à leur liaison avec Arthur : un mariage insatisfaisant (ou perçu comme tel), une position sociale élevée avec l’éducation qui va avec… Elles sont aussi à l’origine des tournants dans la vie d’Arthur (Arthur revient à Rome pour chercher Aconia ; Mevanwi est une des raisons qui pousse Arthur à laisser Guenièvre partir). Mevanwi et Aconia connaissent cependant des fins différentes mais parallèles : Aconia choisit de son mari plutôt qu’Arthur, alors que c’est Arthur qui choisit Guenièvre au détriment de Mevanwi. La différence fondamentale qui sépare ces deux femmes, et qui finalement aura raison de la liaison d’Arthur et de Mevanwi, est le « défaut fatal » qui habite cette dernière : l’ambition. Alors qu’Aconia, une femme de noble rang autrefois connue, vit en recluse et fuit le monde, Mevanwi veut escalader l’échelle sociale (alors même qu’elle est issue d’une grande famille de Vannes). Ce « défaut fatal » peut être rapproché des défauts des protagonistes des tragédies shakespeariennes (Othello est aveuglé par la jalousie, Lear par la vanité, Lady Macbeth par l’ambition…) qui finissent par causer leur perte. Mevanwi est littéralement « dévorée » par l’ambition. J’ai tendance à penser que son attirance pour Arthur relevait au départ tout aussi bien de sa soif de pouvoir que d’une véritable attraction pour un homme à son égal intellectuellement. Mais très vite, son ambition prend le dessus et finit par consumer entièrement sa liaison et son esprit. Cette évolution se fait d’ailleurs l’écho du story arc bien plus abouti de Lancelot (dont je parlerai prochainement dans un autre post), qui est lui-même le doublon de Manilius. Ainsi Mevanwi émerge comme le second antagoniste de la série (après Lancelot justement) et comme l’échec d’Arthur. La jeune femme est le signe tangible d’un « passé qui ne passe pas » qui enchaîne Arthur tout au long de la série, et qui finira par le détruire.
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sweetymutant · 6 years
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True story bro
Moi *monte dans le train* : Bonjour 🎵 C’est bien le train pour -nomdelieu-?
Le contrôleur: Bonsoir, oui il s’y arrête. *tourne la tête une seconde, puis se retourne vers moi* Mais vous étiez pas dans le train tout à l’heure?
Moi *du tac au tac, avec dat sassy smile*: Non, ça devait être ma jumelle maléfique 🎵
Le contrôleur: 😂👌👏👏🤣
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