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#le cagibi
jc-en-chemin3 · 5 months
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Le 24 avril de Pozueta à Bilbao 27 km
Me voilà arrivé à Bilbao.
Il y a des jours où le chemin est un petit moins réjouissant.
Au bout de quelques km je me suis trompé et revenait sur mes pas. Une fois rattrapé le chemin avec une rallonge d'un km sur une partie boueuse je me suis étalé.
Comme cela ne suffisait pas je trouve une pension pas trop chère et surtout très bien placée sur Booking mais je suis dans un cagibi sans fenêtre.
Bref je profite quand même de l'emplacement pour me balader.
J'aimerais bien passer une bonne soirée.
Buen camino et vivement demain.
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sloubs · 1 year
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j'ai visité un studio aujourd'hui mais y a des propriétaires faudrait les enfermer tellement c'est HONTEUX de proposer à quelqu'un de vivre dans un cagibi comme ça
zéro luminosité, des escaliers on dirait un mur de varappe, une toiture à refaire, de l'humidité partout, le radiateur déglingué qui tient quasiment plus que par un seul côté, le clic clac probablement plein d'acariens, l'odeur constante de clope qui a embaumé les murs, les joints de la salle de bain NOIRS, des placards même pas droits, qui donne en plus sur une rue ultra passante avec vla les voitures et les punks à chien, et tout ça pour 400 balles???? 400 BALLES MON REUF???? nan c'est trop
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annlocarles · 2 years
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On renifle tes lèvres Pour savoir si elles ont dit je t’aime On renifle ton cœur                         drôle de temps, ami L’amour est fouetté À côté du garde-fou                         Il faut cacher l’amour dans le cagibi.
Dans cette impasse tortueuse du froid Le feu reste vif             alimenté par le chant et la poésie Ne te risque pas à penser                         drôle de temps, ami Celui qui la nuit cogne à la porte Est venu pour étouffer la lampe                         Il faut cacher la lumière dans le cagibi.
Voici que les bouchers S’installent au carrefour Avec le billot et la hache sanglante                                     drôle de temps, ami
Ils procèdent à l’ablation du sourire Sur les lèvres Et du chant Dans la gorge             Il faut cacher l’enthousiasme dans le cagibi.
On fait griller les canaris Sur un feu de jasmin et de lys                                     drôle de temps, ami. Satan, ivre et triomphant Fait ripaille à notre banquet de deuil.             Il faut cacher Dieu dans le cagibi.
‎Chahrâchoub AmirchâhI et Alain Lance, Iran. Poésie et autres rubriques, collection action poétique, François Maspero- 1980
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lonesomemao · 13 days
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DORENAVANT
Anjilina Johnson
Blonde charnelle mannequin
Divine in The Cloud
Il est des Femmes Univers
Qui naturellement conquièrent
En Femme d'intérieur qui repasse
Le corps beau nu
Elle dans le virtuel
En agent du Cagibi
Roubaix la mairie
Mardi 10 septembre 2024
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conatic · 2 months
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Charleroi: les parents du petit Livio, 9 ans, qui l'enfermaient dans la cave 23h par jour, écopent de 7 et 3 ans de prison - L'Avenir
Source: lavenir.net
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natbrelin · 9 months
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BD faite pour le zine en ligne montpelliérain Cagibi Zine, sur le thème Amour.s, novembre 2023.
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gedjub · 11 months
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161023 Le a monstre
171023 Passer entre les balles, bon, mais passer entre les bombes?
191023 Que les mains proches se croisent.
+ rue de l'ancienne poste: "Ah la peau de mes couilles!" (Devant sa porte, il a fait tombé ses clés.)
+ Les Graulen•ne•s, une population problématique.
Je vois pour la première fois depuis le début de mes visites nostalgiques mon école primaire peuplée d'enfants, je savoure le spectacle, l'ambiance, mais les graulennes surveillantes de cour de récré me crient: "Vous voulez quelques chose?" Je les vois qui me fixent, animales belliqueuses, et caquettent sur mon compte. "Vous voulez un renseignement?!" Je fais non de la main, sachant que je ne parle pas leur langue. "Non? Bon!" Elles m'ont gâché le moment.
201023 parler de ma sensation de petit-grand dans la chambre de maman, en rapport avec les visions minuscules de Giacometti.
211023 À la lumière de la mer, les enfants du wagon ont aspiré des h et crié "MARSEILLE!"
221023 Tata: "Je mange tellement de poisson un jour je vais chier une baleine!"
+ Elle aimait beaucoup Nana Mouskouri, à vouloir lui ressembler. Alors à l'orphelinat elle a fait semblant d'y voir mal, si bien que les sœurs l'ont menée chez "l'oculiste" qui s'est fait avoir tant elle a bien joué, et elle a eu ses lunettes, dont elle a pu choisir la monture: grande, épaisse et noire.
+ "C'est Babeth qui m'a fait découvrir le riz basmatique."
251023 Je m'éloigne et les petites montagnes, vieillissant, bleuissent. Je gagne du terrain loin de ma tante, je revois ses yeux qui plissent, ses larmes du matin sur mes mains qui serrent ses mains, j'entends ses je t'aime après la tempête du réveil, ses problèmes de jambes et de sommeil. Je sors, elle ferme sa porte sur mon sourire d'au revoir.
+ Un gros bâtiment avec une grande mezzanine, l'entrée est de verre et donne sur les deux étages, du grand parquet partout par terre, un lieu où l'on va pour dormir.
+ Aix en PVC
+ J'aime que de grandes choses se fassent dans de petits endroits, comme une réunion secrète dans l'école ou le gymnase du village le soir, les lumières, les ombres et les couleurs de loin à travers la vitre, l'heure tardive, indue, j'insiste.
+ des murs inégaux orange et jaune
+ Au petit étage, mouvements brusques de rideaux clairs se faisant fermer au lever par cause de vis-à-vis avec la boulangerie rue Mignet.
+ rencontré dans la ruelle à droite de la boulangerie d'abord l'ombre de ce monsieur à moustache sur la porte de son cagibi ouvert, puis à la boulangerie, peut-être m'a-t-il suivi volontiers mais il y allait de toute façon, je le crois: "un petit pain au chocolat pour commencer la journée", a-t-il choisi (avec un petit croissant aussi) après nos politesses pour se laisser passer en premier, à qui mieux mieux de moi j'ai tout mon temps. "Ah! Voilà, bien installé !" m'a-t-il lancé en passant pour retourner à son atelier. (Je ne sais pas ce qu'il y a dans son repaire, mais c'était fourbi. Un pêcheur? Il y a de l'eau, ici?) Il a dû aller prendre son petit déjeuner sur la place là. Vais-je aller lui laisser un mot, sur sa porte à ombre?...
+ au sortir de la boulangerie :
C'est la fille qui tient le sac en papier et la mère qui réclame sa viennoiserie.
+ Les sportifs d'Aix. Les sportifs du matin d'Aix, d'Aix le matin. Les sportifs du matin à Aix.
+ que sont les chansons? Qu'est-ce qu'on fait là ? Quels mondes?
+ Pour détruire les mondes, en effacer les expressions/les représentations/le langage.
+ Un cercle de maisons ou d'immeubles plus hauts et colorés qui fait village dans la nature à côté d'Aix.
+ penser à mal, agir en conséquence, puis oublier ce qui a motivé l'action.
+ ce peut être que ces notes présentent, un jour, ma science à moi.
+ à propos de l'événement à l'école primaire au Grau du Roi l'autre jour : Manon a éclairé ma colère et en m'expliquant la réaction de ces graulennes à la lumière de la recrudescence actuelle des violences visant les lieux d'éducation, bon.
+ dur de me départir de ma col��re mais je trouve de plus en plus vite le temps de la ramollir.
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albert-prous · 1 year
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ACT 62
pièce où l'on se retire pour méditer pièce située à l'écart cabinet à l'ombres des tomates toilettes communes à l'étage au bout du palier toilettes turques trop brèves réflexions qui frappe mots à la craie à la porte vous êtes instamment priés de laisser accroupi cagibi de relaxation idéal pour réfléchir ne pas oublier les pages coupées en quatre du vieux journal pot de chambre à vider le seau d'eau réduit d'aisance le matin à voir ombres nouvelles dessiner les tuiles sous le ciel ouvert ouvert à la pluie corbeau trempé vous êtes instamment priés de laisser ce lieu propre à la création prous
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go-poirier · 1 year
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C'est pas facile, facile de se foutre en l'air Ca coûte, ça coûte, ça coûte très cher Je vais me faire la peau, je vais me tirer la chasse d'eau Dans les WC de mon petit studio
C'est pas facile, facile de se foutre en l'air C'est pour les riches les somnifères La roulette russe c'est complètement idiot Quand on peut mourir d'un coup de chasse d'eau
Je fume pour oublier que tu bois Je fais comme chez moi Je renvoie la fumée sur un poster de toi
La vie c'est comme une overdose
Tu prends tout tout de suite Tu en crèves et vite Et si tu prends pas, c'est la vie qui t'a
e suis bien, bien, très bien dans mon cagibi Y a des journaux, alors je les lis Ils disent que le bonheur C'est peut-être qu'un bobard
Je m'en fous, j'attendrai pas la fin de mon histoire
Je fume pour oublier que tu bois Je fais comme chez moi Je renvoie la fumée sur un poster de toi
La vie c'est comme une overdose Tu prends tout tout de suite Tu en crèves et vite Et si tu prends pas, c'est la vie qui t'a
Oui, mais pour la tarte aux pommes, deux ou trois goldens Un petit verre de rhum, un bâton de cannelle Roulez, roulez bien la pâte, introduire dans l'âtre Ça me coûte le goutte-à-goutte
Goûte, goûte
Je fume pour oublier que tu bois
Je fume pour oublier que tu bois
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Cheeky Love - 04
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- Kim Ae-Ri, Yoon Cheol-Moo, je dois vous parler dans la salle des professeurs. Ceux qui sont notés sur le tableau, rangez le matériel !
- Oui monsieur !
          Ma meilleure amie m’indiqua de commencer à manger avant elle si son entrevue avec monsieur Kim tardait. J'acquiesçai d'un hochement de tête puis elle me laissa avec les autres.
          Je me retournai face au centre du gymnase. Je n'étais pas ravie d'être avec Jeon Jung-Kook et tout son groupe d'amis pour ranger le matériel. Comme d'habitude, ils allaient plus s'amuser que ranger, laissant les autres le faire à leur place. Heureusement, qu'il y avait Oh Se-Ra, - anciennement la fille la plus oubliée de la classe jusqu'à ce que nous découvrions sa relation secrète avec un des Princes du lycée.
         Les garçons de la classe ne se gênèrent pas pour lui donner en désordre leurs maillots d'équipe. La voyant en difficulté à tout porter, je décidai de venir l’aider mais Jeon Jung-Kook fût plus rapide que moi. S'il n'était pas venu me parler, il y avait deux semaines de cela, j'aurais pu penser qu'il n'avait pas un mauvais fond malgré son tempérament de playboy.
          Je me dirigeai vers les plots colorés pour les ramasser. Après en avoir pris assez dans mes mains, je m'apprêtai à me redresser pour aller les ranger dans le cagibi quand quelqu'un se cogna contre moi et tout un tas de maillots d'équipe me tombèrent dessus. J'entendis des éclats de rire puis, la voix de la personne qui venait de faire ça.
- Oh mince ! Désolé, j't'avais pas vu ! s'exclama Jeon Jung-Kook dans une pointe de moquerie.
“Lui…”
          Il était très clair qu'il l'avait fait exprès !
"Ne lui prête pas d'attention, ne lui prête pas d'attention"
          En essayant de garder au mieux mon calme, je ramassai les maillots et me tournai vers mon camarade de classe pour les lui rendre. Je me décalai ensuite sur le côté pour continuer mon chemin quand il se posa devant moi. Je me décalai alors sur l'autre côté mais il refit la même action !
          Je perdis patience.
- Laisse-moi passer, fronçai-je les sourcils.
- Non.
“Qu’est-ce qu’il-”
- Pendant combien de temps tu vas continuer de m'ignorer ?
- Hein ?
- Tu-
- Oh Jaykay, viens vite ! Y'a Sun-Mi qui arrive !
          Cette information attira vivement l'attention de mon camarade de classe qui ne tarda pas à aller à la grande entrée du gymnase pour parler à des filles. C'était définitivement un vrai coureur de jupon... 
          Plus tard, sans grande surprise, ce fut Oh Se-Ra et moi qui avions rangé la plupart du matériel de sport. Jeon Jung-Kook et ses amis n'avaient fait que parler et s'amuser avec d'autres personnes du lycée.
* * *
          Je posai mon crayon de papier sur mon cahier d'exercices d'arithmétiques. J'étais fatiguée d'essayer de résoudre le problème posé. Combien de temps est-ce que j'étais dessus ? En regardant l'heure sur mon téléphone, je vis qu'il était bientôt 23h. Cela faisait plus d'une demi-heure que j'étais dessus sans trouver la solution. Je décidai alors de faire une pause pour m'aérer l'esprit et parce que la faim commençait à me gagner.
          Je sortis de ma chambre. J'allumai les lumières du salon. Mon père n'était encore pas rentré du travail. J'imaginai qu'il devait avoir beaucoup de choses à faire en ce moment puisqu'il ne rentrait pas avant minuit, voire une heure du matin ces derniers temps.
         Je me dirigeai vers le frigo et l'ouvris mais constatai que nous n'avions plus rien à part un petit reste de jajangmyeon d'hier et un fond de riz dans le cuiseur. Cela ne me tenta pas. Je refermai le réfrigérateur. Il ne me restait plus qu'à commander. Qu'allais-je bien pouvoir manger... Du poulet frit avec du gamja jorim ? Du bœuf mijoté ? Hum... Non. J'avais plus envie de sucré que de salé. J'irai donc au CU en bas de chez moi.
- « Fermé pour cause de travaux » ? lis-je sur le papier informatif qui était scotché devant une des portes coulissantes de la supérette.
          C'était étrange, ce matin, le magasin fonctionnait parfaitement bien. Bon, tant pis. J'irai au GS25 qui était un peu plus loin. 
          Je levai le nez vers le ciel. Le temps avait changé par rapport à tout à l'heure. Il y avait de gros nuages marrons dus à la pollution de la ville. Le vent s'était levé. La fraîcheur était tombée.
          J'eus un frisson. Pourvu qu'il ne pleuve pas jusqu'à ce que j'arrive chez moi. J'avais oublié de prendre un parapluie et j'avais encore le retour à faire...
          En arrivant devant le GS25, je vis qu'il était également fermé. Je me demandai bien ce qu'il leur arrivait. C'était bien la première fois que je voyais ça. Je regardai autour de moi s'il n'y avait pas un deuxième konbini. Je n'avais pas envie d'aller faire plus de marche pour me prendre de quoi manger. Il était tard et je commençais à fatiguer. Si j'avais su, je n'aurais pas fait la fine bouche et me serais fait livrer un repas salé. 
          Ah, sur Naver Map, je vis un Ministop à un peu moins de 300m de moi !
          Mais la pluie s'abattit brusquement avant même que je puisse reprendre le pas. Je n'avais pas de chance...
          Vite, je cherchai du regard un endroit où je pourrais m'abriter sans avoir à dépenser mon argent.
          Ah ! Dans une ruelle, à quelques mètres de là où je me situais, il y avait un échafaudage de chantier d'une boutique qui avait cessé toute activité.
          Sans tarder, je courus jusque dessous. Un frisson me parcouru encore et au même moment, je vis un éclair. Un grondement s'ensuivit et la pluie s'épaissit brutalement, tombant plus fortement qu'il n'y avait quelques instants. Je me sentis vraiment idiote de n'avoir pas pensé à prendre un parapluie. A présent, j'espérai que cette pluie ne dure pas une éternité...
          Mon téléphone vibra. Plusieurs notifications sur le 2ème groupchat de la classe arrivèrent. Je ne les ouvris pas car j'étais généralement peu intéressée par ce qu'il se disait à chaque fois. J'imaginai que certains d'entre eux - sûrement le groupe leader de la classe - devaient parler de cette soudaine pluie en faisant des commentaires idiots, comme à leur habitude.
         C'est alors que je sentis quelque chose se frotter contre ma jambe droite.
“Un chat noir ?”
          Il miaula et continua de se frotter affectueusement contre moi.
- Hayan !
          Je tournai ma tête en direction de la voix masculine. Un garçon de taille moyenne, mince et aux cheveux décolorés était en train de venir vers moi. Je ne réussis pas à discerner correctement les traits de son visage à cause de sa casquette yankee New York et son masque noirs mais son uniforme scolaire m’indiqua qu'il allait au même lycée que moi. 
- Hayan, dit-il une nouvelle fois en s'abaissant à la hauteur du petit animal.
          Le chat vint joyeusement à lui et se laissa doucement porter dans ses bras. Quand le garçon baissa son masque, l’animal eut cette irrésistible envie d’y frotter sa tête contre sa joue. Il avait l'air de beaucoup apprécier la compagnie du lycéen au vu de ses forts ronronnements et de ses coups de museaux affectifs. Le garçon souriait avec tendresse. Il remit ensuite le petit animal par terre qui s’en alla manger des croquettes dans un petit bol en acier posé à quelques pas de nous et à l’abri de cette pluie. En même temps, je me fis la réflexion que le chat avait un drôle de nom par rapport à son pelage. 
- Tiens.
          J’eus un soudain temps d’arrêt. 
          La sombre ruelle où nous étions n’était que faiblement éclairée par un vieux lampadaire de rue mais elle suffisait pour que je puisse enfin voir un peu mieux qui se tenait devant moi. Pour une raison inconnue, ce garçon qui était en train de me tendre un parapluie jaune me semblait étrangement familier. Ces yeux perçants qu’il avait, pourquoi est-ce qu’ils me donnaient une vive émotion lourde à l’intérieur de moi ?... 
- Je crois que cette pluie n'est pas prête de s'arrêter alors prends-le pour rentrer chez toi, me dit-il en souriant gentiment.
- Oh… 
          Le fait qu’il me donna directement entre les mains son parapluie me rendit quelque peu timide.
- Il vaut mieux que tu y ailles maintenant avant d'attraper froid.
          J’hochai poliment la tête pour le remercier.
          Je m'apprêtai à sortir de l'échafaudage mais deux garçons bien plus grands que moi et aux fortes carrures me barrèrent le passage. Derrière moi, j'entendis un poids tomber sur le sol. Je me retournai et vis le garçon aux cheveux décolorés en train de se prendre des coups de pieds dans l'abdomen de la part d'un garçon maigrelet qui prenait du plaisir à le frapper. Quatre autres garçons arrivèrent à leur tour et celui qui avait une casquette verte Adidas s'avança jusqu'à moi en affichant un sourire malveillant aux lèvres.
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verver · 2 years
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SANS MOBILE APPARENT
EXTRAIT 44
Ray et Blotin foncèrent toute sirène hurlante vers le domicile indiqué.
L'appartement est petit, une entrée où un bazar règne en maître puis la salle de séjour où effectivement un placard mural avait été dissimulé de minces plaques de contre-plaqué recouverte d'un papier peint très epais et plus que douteux .
Le cache misère était presque totalement démoli, avant de jeter un coup d'œil dans le cagibi Ray demande à ses collègues encore présents sur les lieux, s'il n'y a pas des choses suspectes dans les autres pièces.
- Non ! rien chef ! regardez ! dit un de ses collègue en désignant les étagères de la cuisine.
Ray balaye du regard la petite cuisine garnie d'une table, de tabourets, d'une vieille cuisinière à gaz et de litrons de pinard vides rangés deux par deux dans un coin .
Sur l'étagère sont posés des deux restes de rouleaux de Scotch gravier puis des grands sacs plastiques minutieusement pliés.
La chambre n'est meublée que d'un lit deux places et matelas posé à même le sol.
- Vous faites des relevés dans toute la baraque et n'oubliez pas les prélèvements.
- C'est fait chef !
Dans le cagibi règne une odeur étrange et tenace, bizarre, le légiste avait sorti le corps pour faire les premières constatations et emmener le cadavre à la morgue.
D'après le légiste, le corps est celui d'une femme, brune car quelques mèches de cheveux dépassaient du haut de l'emballage.
Le légiste avait dit que la femme avait été enroulée dans des sacs plastiques entourés de gros Scotch marron puis enduit par un vernis.
Le légiste indique qu'elle a été momifiée , il lui montre le livre de contes. Pas de doute, il s'agit indique de Blanche Neige, le bouquin a le même type que les livres posés sur les nains.
Tard dans la soirée le laboratoire confirme que le corps de l'inconnue après avoir été étranglée le criminel l'avait entouré de sacs et de Scotch puis enduit le tout d'une résine et enroulé méthodiquement le corps avec plusieurs rouleaux d'adhésif et repassé de multiples couches de vernis et muré le cadavre puis maquillé toutes ces horreurs avec des planches de bois et une couche de papier peint.
L'élément qui intéresse Ray Ray et son adjoint c'est le livre de Blanche Neige que la momie a porté sur le visage, les taches de sang retrouvées sur les pages devraient correspondre à celui de la victime.
Une enquête de voisinage et la venue du propriétaire au commissariat confirment qu'un homme et une femme ont séjourné à cette adresse il y a quelques mois.
Le couplé actuel n'est là que depuis une semaine, ils ont été placés là par la mairie. Un couplé à problèmes.
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christophe76460 · 2 years
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CHEZ SA PSY Eh ! Devine quoi ? J’ai rangé mon cagibi ! J’y ai fait plein de tri ! Ah oui ? Quel sens cela a pour toi ? Du sens ? Ben euh... je ne sais pas... Chaque article est à sa place, De la joie, oui, quand devant je passe... J’ai tellement procrastiné pour m’y atteler, Tant de temps perdu sans me décider... Mais aujourd’hui, c’est fini ! Je remets de l’ordre dans ma vie ! A tous avant je disais toujours oui... Beaucoup en ont profité et même abusé... J’ai réalisé combien j’ai été manipulée... Ma nouvelle saison maintenant est arrivée ! C’est un temps pour moi, pour être restaurée ! Alors Nathalie... Quel rapport avec ce cagibi ? C’était un lieu « fourre-tout » tellement rempli... Il y avait de tout dedans et c’était la nuit... A l’intérieur, c’était comme dans ma tête, Mais trop penser, je me le suis interdit.... Réfléchir, classer, ranger, accepter une réalité ? Oui, mon cagibi, c’était un peu ça... J’y ai cumulé tout ce que je ne voulais pas trier... Vraiment m’en occuper ? Surtout pas... Mais lorsqu’après tant de larmes versées, De nuits sans sommeil cumulées, Et lorsque Mon Dieu dans son Amour m’a éclairée, Alors d’un coup, d’un seul, je me suis réveillée... J’ai réalisé par l’Esprit, combien j’avais été volée ! Oui, l’histoire de mon cagibi prend tout son sens... Aujourd’hui tout joli, il me ramène à mon essence, Celle d’être pleinement la femme que je suis, Et de me remettre en chemin pour construire ma destinée... Ma main y sera divinement guidée, Et en Dieu chaque jour, la force je puiserai... Avec Amour Mcp https://www.instagram.com/p/CjSh0Kjsvmo/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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lonesomemao · 23 days
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DORENAVANT
Julie Lesceux
Bilval-Gilmé
Vie de Château
Ami en commun
Eric Mouveaux -Robespierre
Droite-gauche
Un lien se fait
Et on commence
A me le montrer
Ceci Cagibi alibi
Roubaix Mairie
Canton Roubaix 1
Le Maroc coincé par la Russie
Pour son paradis
Samedi 31 août 2024
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conatic · 3 months
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Le jeune Livio, 9 ans, était enfermé 23 heures sur 24 dans un minuscule cagibi à Marcinelle : affamé, le garçon devait voler de la nourriture dans la cuisine
https://www.sudinfo.be/id855087/article/2024-07-04/le-jeune-livio-9-ans-etait-enferme-23-heures-sur-24-dans-un-minuscule-cagibi
Source: sudinfo.be
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darkpalmor · 2 years
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28 SEPTEMBRE 2022
Programme de démarrage rapide.
1°) Démarreur express, et que ça saute (5 minutes) ! 366 réels à prise rapide. Voici le démarreur du jour, tiré des « 366 réels à prise rapide », inspirés par Queneau : « Aujourd’hui derrière la vitre. » Tout en restant fidèle au réel, il s’agit d’adopter un angle de vue particulier. Même si la consigne vous semble abstraite, rattachez-la à votre journée ou à un détail de cette journée. Si vous souhaitez des exercices journaliers, c’est ici : http://0ni.free.fr/366.html)
Aujourd’hui derrière la vitre le ventre d’une punaise se déplace lentement. Carapace armée de pattes maigres, corset semblant impénétrable, aussi large que long, ce ventre me nargue. Je sais qu’il est plein d’un jus puant, qu’elle lâcherait immédiatement si je la touchais. Mais cette fois, elle devra patienter, au froid et à l’humidité. Si un jour par mégarde je la laisse entrer, avant de l’écrabouiller, c’est son dos que je regarderai, en prenant mon temps. Ces animaux ne courent pas très vite, et je ne la laisserai pas s’envoler, je n’entendrai pas son bourdonnement, mais un petit bruit d’écrasement, plus léger que celui d’une coquille d’œuf, et je n’aurai qu’à me savonner longuement les mains. Cette punaise sera passée au rang de mes souvenirs de meurtre…
Aujourd’hui derrière la vitre les gouttes de pluie glissent les unes derrière les autres. C’est étonnant, comme c’est silencieux, une goutte : beaucoup de bruit quand elle tombe, puis plus rien. Parfois il y en a une qui est paresseuse, ou costaude. Elle s’accroche à une poussière invisible, grossit, et finit par partir, emportée par sa masse, elle en entraîne une autre, et de temps en temps c’est un filet d’eau, un trait tout mince, qui dégouline et disparaît en moins d’une seconde. Et le manège recommence.
2°) Écriture brève (10-15 minutes) : Texte fendu. Vous prendrez bien un demi vers ? Voici un court texte poétique, dont manque la fin de chaque vers, et il faut le terminer, si possible avec un schéma de rimes acceptable. Ce sont des vers plutôt brefs, de huit syllabes. Texte proposé : Conclusion, de Charles Cros, Le coffret de Santal, 1879.
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Conclusion À Maurice Rollinat.
J’ai rêvé les L’ivresse des L’or, l’argent, Moi, dix-huit Parmi les Nous irions Il est loin le Naïfs, des Je n’ai d’argent Les âmes dont Et les étoiles Je vais mourir 
J’ai rêvé les bistrots canailles, L’ivresse des copains poivrots, L’or, l’argent, toutes les médailles. Moi, dix-huit jours, j’ai bu de l’eau Parmi les compagnons paumés. Nous irions vider des bouteilles… Il est loin le cidre pommé. Naïfs, des potes s’émerveillent. Je n’ai d’argent pour nul impôt. Les âmes dont parle l’Église ? Et les étoiles ? Pas de pot ! Je vais mourir. Mon âme est grise.
3°) Tourisme minimal (15 minutes pour 15 jours de vacances économes) : Éco-responsabilité ! En ces temps de crise, on prendra les vacances hors saison, et on tâchera d’économiser le plus possible sur l’hébergement, les sorties et spectacles, et la nourriture. On se déplacera le moins loin possible, et en évitant d’alourdir le bilan carbone de la planète. Voici donc ce qui vous est imposé : organiser le programme de deux semaines en bord de Vallière, pour une personne, en restant sur la commune de Lons le Saunier, à la rigueur Montmorot.
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Programme light pour vacances denses : la Vallière, rive droite et rive gauche, de Perrigny à Courlans, 8 kilomètres de découvertes gratuites. Inscription au bureau du GEM. Le séjour est gratuit mais nous devons vous signaler aux autorités, afin que vos allers et venues ne soient pas la cause d’interpellations par les forces de l’ordre. Lieux d’hébergement possibles : sous le pont derrière Juraparc (une place), sous le viaduc de la voie verte entre Montmorot et Courlans (possibilité d’installer plusieurs campements), dans le cagibi inoccupé du club de tennis dans le Parc des Bains. Premier jour, lundi : repérage du cours d’eau d’amont en aval, rive droite puis rive gauche, quel que soit l’emplacement du campement. Comptage des chutes d’eau, établissement d’une cartographie sommaire des lieux de déversement d’eaux usées, photographie des canards ou des poissons. N.B. Il y a parfois des cincles plongeurs, une photo fera bon effet dans votre album de voyage. Deuxième jour, mardi : escalade du Rocher au lieu-dit dudit Rocher, ramassage des déchets, comptage des voitures rouges qui passent par le rond-point. Troisième jour, mercredi : trekking le long de la Voie Verte, arrêt casse-croûte à Courlans, retour au bivouac avec passage dans un magasin d’alimentation. Quatrième jour, jeudi : le matin, sortie légère du parcours pour aller au marché hebdomadaire, en fin de matinée, afin de ramasser des invendus et des cagettes vides. L’après-midi, cuisine et constitution de réserves allant jusqu’au samedi. Cinquième jour, vendredi : sortie culturelle, visite du Château de Montmorot. Comme la pente est raide, prévoir un bâton de marche, il y a suffisamment de buissons où vous pourrez vous en tailler un. Pique-nique au sommet de la colline, descente par le Rocher, et balisage d’un futur sentier de petite randonnée. Sixième jour, samedi : marché à Montmorot le matin, lessive sous le pont du Chemin des Sondes. L’après-midi, supermarché. S’il y a un match de foot, se proposer comme arbitre adjoint, et profiter du casse-croûte à la mi-temps. Septième jour, dimanche : messe à Montmorot, quête à la sortie, repos le reste de la journée, soit en plein air, soit à l’abri si le temps est frais. Huitième jour, lundi : parcours sportif renforcé, course dans les allées du Parc le matin, saut à l’élastique au viaduc l’après-midi. Neuvième jour, mardi : enquête sociologique. De Lidl à Géant, en passant par Intermarché, Biocoop et Gifi, tout au long de la Vallière, relevé systématique (avec comptage) des rayons « moutarde » de chaque Supermarché, comparaison des prix au kilo, établissement d’un carnet des disponibilités qui pourra être utilement vendu aux clients à l’entrée du Supermarché le moins bien approvisionné. Dixième jour, mercredi : chasse à l’écureuil et pêche à la main, au Parc des Bains. Cuisson le soir. Onzième jour, jeudi : marché alimentaire le matin, lessive l’après-midi, sous le pont de la Mairie à Montmorot. Douzième jour, vendredi : spéléologie urbaine. On pourra parcourir la Vallière souterraine, entre le Parc des Bains et Juraparc, dans un sens et dans l’autre. Repérage des animaux morts noyés qui seraient restés coincés, enlèvement de branches gênantes, vérification des échelles menant aux trappes de visites. On devra être muni de bottes et d’une bonne lampe frontale. Treizième jour, samedi : activité « gilets jaunes » au rond-point du Roche, casse-croûte au brasero ou au barbecue, manifestation et blocage alterné des quatre voies de circulation. Racket possible des automobilistes pour payer l’apéro. Le soir, sandwiches au commissariat pour les malchanceux, soirée châtaignes et chansons pour les plus vifs, sur le parking du magasin de bricolage. Quatorzième et dernier jour, dimanche : messe et quête à Montmorot, nettoyage du campement, dernière lessive, feu de cagettes et signaux de fumée pour prévenir les autres trekkeurs que l’opération est terminée.
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Quelques conseils pratiques pour la vie quotidienne. Deux bons emplacements : sous le pont du Chemin des Sondes, à condition que le niveau de l’eau ne soit pas trop élevé, une belle plage de galets, et une pelouse d’herbes toujours vertes. Ou bien, pour les plus aventureux et frileux, la cabane du Tennis-Club, au Parc des Bains. La porte de derrière s’ouvre avec un couteau suisse.On pourra pêcher à la main, faire les poubelles de supermarché et du marché aux légumes, marauder des vergers aux alentours de Juraparc, faire la manche à la sortie du Géant Casino, aider les personnes en difficulté à pousser leur chariot, garder les chiens pendant que les maîtres font leurs courses, faire sa toilette et laver son linge dans la rivière, etc. Les canards sont comestibles, souvenez-vous en, comme les pigeons ou les corneilles, abondantes et criardes. À l’arrière du magasin de fruits et légumes « Cours des Halles », des cagettes sont destinées aux marchandises non vendables, il s’y trouve régulièrement quelques fruits encore mangeables. Une précaution à garder en tête : la maraude dans les jardins privés ne doit se faire qu’avec la plus grande circonspection, certains riverains sont armés ou pourvus de chiens de garde. De même on évitera le vol à l’arraché ou le pillage du tronc de l’église, il est souvent vide. Dernier conseil : munissez-vous d’un sac multipoche, de sachets en plastique, d’un couteau, d’allumettes. Ne vous encombrez pas de papier pour allumer vos feux de camp, il y aura toujours des poubelles bleues pleines de magazines faciles à enflammer. Et n’oubliez pas vos papiers d’identité ! Bon séjour !
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hyremusic · 7 years
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Thanks for coming everyone 😎 stick around for The Collective after! They're amazing!
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