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#les derniers jours de rabbit hayes
jenni9b · 6 years
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Update Lecture : Le pauvre mois de Mars
Update Lecture : Le pauvre mois de Mars
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Je vous retrouve enfin pour mon bilan de Mars. J’ai bien profité de mon week-end de Pâques, malheureusement, ça n’améliore pas le bilan de ce mois-ci. Et oui, comme le prouve mon manque d’activité sur le blog, je n’ai pas beaucoup lu.  La “faute” à trois éléments : en ce moment, je fais du sport, beaucoup de sport, les temps d’entraînement prennent donc sur les temps de lecture. Deuxième élément…
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Les derniers jours de Rabbit Hayes de Anna McPartlin
Les derniers jours de Rabbit Hayes de Anna McPartlin
Résumé Quand Mia, que l’on surnomme affectueusement Rabbit, entre en maison de repos, elle n’a plus que neuf jours à vivre, même si elle refuse de l’accepter, tout comme ses proches qui assistent, impuissants, au déclin de leur fille, sœur, mère ou amie. Tous sont présents à ses côtés pour la soutenir : Jack et Molly, ses parents, incapables de dire adieu à leur enfant ; Davey et Grace, son frère…
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basbleus · 7 years
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Fiche de lecture : The last days of Rabbit Hayes d’Anna McPartlin (en livre audio)
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À voir toute la blogosphère en parler, j'ai fini par céder et fort est de constater que nous vivons une période riche en belles histoires tristes. Loin du simple pathos gratuit, Anna McPartlin arrive à couvrir l'histoire de Rabbit Hayes avec une légèreté déconcertante. 
Le pitch : 
Quand Mia, que l'on surnomme affectueusement Rabbit, entre en maison de repos, elle n'a plus que quelques jours à vivre, même si elle refuse de l'accepter, tout comme ses proches qui assistent, impuissants, au déclin de leurs fille, sœur, mère et amie. Au fur et à mesure que les jours passent et que l'espoir de sauver Rabbit s'amenuise, sa famille et ses amis sont amenés à s'interroger sur leur vie et la manière dont ils vont se construire sans cette femme qui leur apporte tant.Rabbit est au cœur de ce petit groupe et des préoccupations de chacun de ses membres. Rabbit a quelques idées bien particulières pour leur faciliter la tâche. Mais très peu de temps pour les mettre en œuvre... 
La fiche :
Le sujet du cancer peut rapidement tomber dans le mièvre et la surenchère mais ici, pas question de jouer avec les nerfs du lecteur en faisant miroiter une autre fin que celle qui arriverait dans la vraie vie. On sait dans quoi on met les pieds. Il s'agit d'observer d'une part les proches de Rabbit et leur façon d'appréhender cet inconnu et cet intolérable, mais aussi suivre Rabbit qui revit un épisode de jeunesse décisif.
Une histoire d'amour comme celle qu'elle aura pu vivre pourrait également tomber dans un sucre indigeste mais ici dépeinte en petites touches, sans jamais verser dans le larmoyant, l'histoire fonctionne. On comprend le besoin, face à la mort, que l'esprit peut avoir de se rassurer avec le meilleur. J'ai aussi aimé qu'il n'y ait pas de twist, pas de découverte ou de secret familial, c'eut été de trop.
Point fort, on retrouve dans ce livre l'ambiance de ces familles anglo-saxonnes nombreuses et pleines d'amour comme dans Les quatre filles du Dr March ou Orgueil et Préjugés. D'autres exemples ne me viennent en tête à l'heure de ce retour, mais il y a du réconfort à vivre quelques heures au sein de ces familles bruyantes et chaleureuses, qui ne se disputent que pour des broutilles, qui ne se blessent pas à vie et qui se serrent les coudes quoi qu'il arrive.
Cette chaleur était décuplée pour moi puisque j'ai choisi de le découvrir en audio et que l'actrice irlandaise qui incarne tour à tour les divers membres colorés de cette famille fait un travail formidable.
D'autres choses m'ont plu comme le drôle d'usage de l'image du sang qui est ici utilisée par l'auteure pour souligner les liens affectifs et familiaux. Le sang n'est pas sale, jamais, que ce soit à l'arrivée des règles d'une jeune fille ou sur les lèvres d'une femme mourante. Au contraire, il est symbole du soin que l'on apporte à ceux qui sont importants toute la vie : un oncle avec sa nièce, une fille avec sa mère, un premier amour... Il est curieux de voir une plume l'utiliser de façon si douce et naturelle.
Et puis contrairement à Avant toi de Jojo Moyes, les transitions d'un point de vue à l'autre sont très bien gérées par Anna McPartlin qui conserve le même narrateur omniscient et permet de lisser l'histoire malgré un nombre de personnages impressionnant.
Pas non plus d'après Rabbit qui pour le coup aurait trop fait sonner de violons, on s'arrête où il faut, sur une très belle image, qui sert la gorge et donne envie de fuir dans le prochain van.
Je déconseillerais le livre si vous êtes trop fragile ou trop triste, il faut avoir les épaules solides face à ce genre d'histoire. Mais si vous souhaitez passer quelques heures dans une famille aimante et retrouver l'espoir du bonheur alors Les derniers jours de Rabbit Hayes sont un must-read.
(Je tiens à préciser que ceci n’était pas un cadeau d’Audible, même s’ils me gâtent beaucoup cette année, c’est un achat effectué avec mon abonnement mensuel. De toutes façons, je préviens toujours quand c’est un CP ou un cadeau, c’est la moindre de choses pour les quelques personnes qui passent ici.)
Le livre en papier et en numérique en VF en cliquant ici.
Le livre en papier et en numérique en version originale en cliquant ici.
Le livre audio en anglais (avec un merveilleux accent irlandais) en cliquant là.
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lecturesdebaguettes · 6 years
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Lecture individuelle #1
Titre : Mon midi, mon minuit
Auteur : Anna McPartlin
                                 “Personne n'est fait pour rester seul,         et encore moins ceux qui consacrent leur vie à prendre soin des autres.”
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Résumé :
À la suite d’un drame, le monde d’Emma, jusqu’alors rempli de promesses, s’effondre. La jeune femme plonge dans le désespoir. Ses amis font alors bloc autour d’elle pour tenter de lui redonner le goût de vivre… Comment survivre à la perte et au chagrin ? Quel courage l’existence peut-elle parfois exiger de nous ?
Avis :
Wow wow wow wow wow
Je n'avais jamais lu de livre d'Anna McPartlin, mais j'avais vu le hit qu'avait été Les derniers jours de Rabbit Hayes. Du coup, quand le livre est sorti, je me suis dit que c'était l'occasion de se lancer !
Je ne m'attendais pas à être autant bouleversée par ce livre.
L'histoire est simple, mais ultra touchante, les mots sont fluides, ce qui rend la lecture encore plus intense.
C'est une belle histoire d'amour, de deuil, de reconstruction après le pire. Emma est d'une force et d'une vulnérabilité incroyable. Tous les personnages sont très justes à leur manière et très vibrants.
Vraiment une magnifique découverte !
Chronique de @wolfsnape
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Les derniers jours de Rabbit Hayes, Anna McPartlin, Pocket, 8,20€
Neuf jours. C'est ce qu'il reste à vivre à Mia Hayes, surnommée affectueusement « Rabbit ». Neuf jours, après plusieurs mois de combat – parce que Rabbit est une battante, une Irlandaise bien trempée. À son chevet, famille et proches se relaient en un joyeux ballet de souvenirs. Entre silences, gaffes et fous rires, toute la vie de Rabbit ressurgit alors : l'enfance, l'adolescence, Johnny son grand amour, et Juliet, sa fille de 12 ans – une certaine idée du bonheur… Au fil des jours, tous s'interrogent sur leur vie et accompagnent Rabbit dans un voyage émotionnel d'une grande intensité.  Quel meilleur bagage pour partir vers la lumière ?
(1 Exemplaire)
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marinebouquine · 5 years
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Les derniers jours de Rabbit Hayes - Anna Mc Partlin
“Ce sont ces moments-ci, ici et maintenant, qui dureront à jamais.”
L’habit ne fait pas le moine, comme dit l’adage, mais il y a parfois quelques livres dont la couverture suffit à me séduire. Ainsi, quand j’ai vu la couverture colorée et fleurie de Les derniers jours de Rabbit Hayes, je n’ai même pas pris la peine de lire le résumé avant de l’acheter. 
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Qu’est-ce que ça raconte ? 
Rabbit Hayes a la quarantaine à peine, et elle s’apprête à vivre les neufs derniers jours de sa vie dans une maison de repos : après un premier cancer du sein et une rémission miraculeuse, les tumeurs sont revenues et ont anéanti la santé de la journaliste irlandaise. 
Sa famille atypique, avec Molly, l’Irlandaise de caractère, Jack, le père qui a mis Rabbit au monde, Davey et Grace, le frère et la sœur qui ont rythmé son enfance, l’entoure et l’accompagne pour ce dernier voyage. Sa fille unique Juliet, qui s’occupe d’elle depuis les premiers signes de la maladie, et sa meilleure amie, Marjorie, lui offrent leur soutien et tout leur amour également. Le spectre de Johnny, l’amour de jeunesse de Rabbit, le chanteur charismatique qui a succombé à la sclérose en plaques, vient aussi lui rendre visite lors de son sommeil médicamenteux. 
Au fur et à mesure que les jours passent, les chances de survie de Rabbit diminuent et chacun s’interroge sur son existence, sur sa spiritualité, sur ses aspirations à la parenté, sur la puberté, sur la vie sans le grain de folie de Rabbit... 
Raconter le deuil avec légèreté, c’est une tâche difficile à accomplir, et pourtant Anna McPartlin a relevé le défi avec brio. Chacun des personnages affronte la mort à venir de Rabbit avec une perspective différente, avec une sensibilité et une force particulières, et offre un nouvel aperçu sur une vie longue de quarante ans, ponctuée d’aventures et de grands émois. 
J’ai trouvé la fin particulièrement bien écrite, avec une mise à disposition des pensées de Rabbit, inaccessibles à ses proches, et la main tendue de Johnny vers des horizons inconnus. J’ai pleuré comme une madeleine devant les dix dernières pages, mais ce livre était une belle façon d’aborder le deuil et la mort d’un proche qui avait encore tant d’années à vivre et que tout le monde chérissait. 
Vous voulez l’acheter ? Pour la modique somme de 8.10€, vous pouvez le trouver en librairie, sur le site du Furet du Nord ou de la Fnac.
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lamouettevoyageuse · 7 years
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Je viens de terminer "les derniers jours de Rabbit Hayes". Je ne sais pas ce qu'il m'a pris de choisir ce bouquin parmi les 50 qui attendent. De le choisir alors que j'ai perdu une amie d'enfance à cause du cancer le mois dernier. Mais peut être justement que ce n'était pas par hasard. Ce bouquin est magnifique. Il a ce qu'il faut de distance et d'humour pour ne pas tomber dans le patho, et pourtant il nous brise le coeur. J'ai retardé, retardé le moment d'arriver à la fin pour ne pas voir Rabbit mourir, et à 1h du matin je pleure doucement dans mon lit de l'avoir perdue. Elle ou mon amie, je ne sais plus trop, en fait.
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Cette semaine, beaucoup de blogueurs ont parlé de leurs meilleurs lectures de 2017. Alors comme j’ai raté le train du TTT mardi passé mais que j’avais quand même envie de vous parler de ces merveilles bouquins, je profite de mon dimanche pour refaire le point avec vous. Qui sait… vous trouverez peut-être VOTRE nouveau livre préféré dans cette liste. Je m’en voudrais de vous faire passer à côté d’une lecture qui vous changera peut-être la vie.
Car oui, certains livres changent la vie. Et certains auteurs surtout ! Il m’est déjà arrivé de découvrir un auteur que j’aimais tant qu’il me fallait lire toute sa bibliographie le plus vite possible. Cela m’est arrivée quand j’ai découvert Amélie Nothomb puis avec Agnès Martin-Lugand et plus récemment avec Colleen Hoover que je n’arrête pas de lire dès que j’en ai l’occasion (la preuve, cette semaine j’ai enchainé Indécent, Incandescent et là, je termine la saga avec Eblouissant).
N’hésitez pas à laisser votre (ou vos) lecture(s) favorite(s) de 2017 en commentaire. Je suis curieuse de voir si on en partage certaines et surtout… si vous allez réussir à me convaincre de lire VOTRE coup de coeur.
C’est parti !
En janvier et février… 
Carry on 
Fantastic Beast – Scenario
Les larmes de la liberté
La perle et la coquille
Les derniers jours de Rabbit Hayes
Hopeless => coup de coeur !!! 
En mars et avril… 
Un fragile espoir
La plage de la mariée
Les gens heureux lisent et boivent du café
Là où tu iras j’irai
Everything everything
Pars avec lui
La vie est facile, ne t’inquiète pas ==> coup de coeur ! 
Cueilleuse de thé
En mai, juin, juillet et août… 
L’ultime secret du christ
Tu as promis que tu vivrais pour moi
La tresse ==> Coup de coeur
La mémoire de babel
La tente rouge
Autre monde – Genèse
En septembre et octobre… 
Tortues à l’infini
Journal d’un vampire en pyjama 
Juliette
Demain est un autre jour 
En novembre et décembre… 
A journey through a History of Magic
Lait et miel ==> COUP DE COEUR !! 
Le choix d’une vie 
La meilleure des vies
November 9 
Indécent (tome 1 du coffret)
Il reste deux semaines et j’ai encore 2 merveilleux livres à lire dans ma PAL 2017. Quel sera mon dernier coup de coeur de l’année ? A vous de deviner ! Les paris sont ouverts.
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Les livres que j’ai noté 5/5 et coup de coeur en 2017 Cette semaine, beaucoup de blogueurs ont parlé de leurs meilleurs lectures de 2017. Alors comme j'ai raté le train du TTT mardi passé mais que j'avais quand même envie de vous parler de ces…
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voyagelivresque · 6 years
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Très bon roman : les derniers jours de Rabbit Hayes de Anna McPartlin,  il faut avouer que d'habitude je ne suis pas friande des romans traitant de la maladie, mais @bookinerie m'a convaincu, merci Datan. Le cancer, la fin de vie, le futur deuil à affronter pour la famille vont être les sujets traités dans ce roman, des sujets durs que j’appréhendais et là quelle surprise, certes nous sommes en présence d’un livre poignant, mais jamais pathétique, on sent que le but de l’auteure n’est pas de faire pleurer à chaudes larmes , mais d’émouvoir, d’arriver à faire sourire, à faire réfléchir, à garder malgré une fin prévisible et inéluctable une note d’optimisme. Ce livre parle d'amour, de vie, de force , il émerge de ces pages une énergie de vie grandissante au fur et à mesure que Mia décline. On a affaire à une héroine incroyable, jamais je n’aurais sa force, son courage malgré des moments d’abattements, sa lucidité. Mia Hayes, surnommée Rabbit, a 40 ans, elle est journaliste, mère de Juliet 12 ans. Elle a dû affronter un cancer du sein, elle a tenu un blog pour le raconter, Et si elle a gagné la 1ère bataille, hélas, la maladie l’a rattrapée et nous la retrouvons au début du roman en route vers la maison de soins palliatifs où elle se rend pour y finir ses jours 9 jours à vivre. 9 jours à faire le point sur sa vie. 9 jours où elle sera entourée par sa famille Jack et Molly ses parents, Davey et Grace son frère et sa sœur,  Juliet sa fille et Marjorie son amie et confidente. 9 jours où elle arrivera malgré l’adversité à sourire,  à tendre la main. 9 jours avant qu’une vie douce s'achève dans les larmes et les bons souvenirs. L'entourage de Rabbit gèrent différemment sa fin de vie: certains s'effondrent alors que d'autres sont dans le déni. Certes, il y a de la tristesse mais l’auteure a voulu montrer une lumière en filigrane,  apaisant  la douleur. Ce livre parle d’amour, d’amitié, de relations familiales, du dévouement des soignants Et nous sommes surs que Rabby sera heureuse dans les bras de son Johnny. Avez vous aimé ce roman? #lesderniersjoursderabbithayes @mcpartlin.anna @editions_pocket https://www.instagram.com/p/Bi7qZ95jXxb/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=195v4321dopwo
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jenni9b · 6 years
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Update Lecture : Ma Pile à lire pour Février
Update Lecture : Ma Pile à lire pour Février
Hello, Hello, Je partage avec vous ma grosse pile à lire pour Février. Pile un peu ambitieuse puisque je serais en vacances pendant une semaine, et contrairement au commun des mortels, c’est pendant les vacances que je lis le moins ! Ma pile à lire pour Février : – Les Derniers jours de Rabbit Hayes de Anna McParlin – Le Charme…
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basbleus · 7 years
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Interview : Carène Ponte, étoile Librinova et auteure chez Michel Lafon
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Étant très fan du travail de Librinova avec les auteurs n’ayant pas de contact dans l’édition française, j’étais curieuse d’en découvrir l’un des plus grands succès qui fleurit aujourd’hui chez Michel Lafon. Ça a été un réel plaisir de discuter par questions interposées avec Carène Ponte qui représente tout ce que j’aime dans la communauté des auteurs passés/passant par l’auto-édition, authenticité, proximité et un véritable désir de partage avec les lecteurs. Je ne suis toujours pas une afficionada du feel-good mais l’univers de Carene est un must-read si c’est là votre dada. 
Peux-tu te présenter en quelques mots ? Je m’appelle Carène PONTE, j’ai 36 ans (pour encore quelques mois…), j’ai 2 enfants, je vis en couple. Dans la vie, je suis responsable de formation et de formation initiale juriste (oui je sais ça fait trèèèèès sérieux !)
Dans les remerciements d’Un merci de trop, tu expliques que publier en maison était un rêve d’enfant, tu as d’ailleurs écrit une nouvelle en fanfic du club des cinq à cet âge-là, comment est née cette passion ? C’est la lecture qui a amené ce rêve je crois. Je lis depuis que je suis toute petite, et lorsqu’un roman me transportait, je me disais que ce serait drôlement chouette d’être capable d’en faire autant. Avant l’auteure, il y a avant tout une lectrice. Je me souviens que chaque semaine, lorsque j’accompagnais ma mère pour faire les courses, j’avais le droit de déposer des livres dans le caddie. Et je peux vous dire qu’à l’époque (on dirait que j’ai 70 ans en disant cela…), il n’y avait rien ou quasi en littérature jeunesse. Quand je vois tout ce qui existe aujourd’hui, j’ai presque envie de redevenir une ado (presque hein.. Parce quand même avoir une carte bleue c’est pratique).
Tu as commencé par publier Un merci de trop sous forme de saga, est-ce que tu continues à écrire tes romans de cette façon ou bien est-ce que tu as changé de procédé entre-temps ? J’ai arrêté et heureusement ! Parce qu’en fait procéder de cette façon n’est pas du tout une bonne idée ! Lorsque j’ai commencé à publier les aventures de Juliette sur le blog, je n’avais aucun plan, ni même aucune idée de ce que je ferai vivre au personnage la semaine suivante. Bien sûr ça permet de créer des tas de rebondissements mais quand on met tout bout à bout on s’aperçoit qu’il y a pas mal d’incohérences et surtout qu’entre les rebondissements, il faut écrire du liant pour que ça ressemble à un vrai roman et non plus à des épisodes d’une histoire sur un blog. Pour tout dire, j’ai un peu galéré du coup à étoffer une histoire déjà existante. Aujourd’hui, je sais où je vais avant de commencer à écrire et j’ai un plan avec en gros ce que je veux mettre dans chaque chapitre, même si au fur et à mesure de l’écriture, des chapitres se rajoutent. Mais comme je sais dans quel sens je veux emmener l’histoire, tout s’insère.
Si oui, est-ce que tu peux nous parler un peu de ce process et de tes manies d’écriture ? Hihihihii c’est rigolo parce que lorsque je rencontre un auteur c’est aussi la première question que je lui pose. Je suis moi aussi très intéressée de savoir comment les uns et les autres s’y prennent pour écrire. Et je crois qu’il y a autant d’auteurs que de manière de travailler. Avant tout je réfléchis à l’histoire que j’ai envie de raconter, aux thèmes que j’ai envie de développer. Ensuite, je travaille les personnages, je les décris, je pose leur histoire, leurs goûts, leurs dégoûts, leurs failles. Une fois que j’ai le sentiment de sentir complètement les personnages, de leur avoir donné corps dans mon esprit, j’essaie de construire l’histoire dans son enchaînement : dans le chapitre 1, voilà ce que je veux, et donc ensuite dans le chapitre 2, il pourrait se passer telle chose. Et ainsi de suite. J’ai aussi un carnet dans lequel j’écris les idées de scènes qui me viennent, je ne sais pas encore forcément dans quel chapitre la scène s’insérera, ni même si au final je l’intégrerai, mais si j’ai une idée de réplique, de situation drôle, hop je l’écris dans ce carnet. Tout ce travail préparatoire je le fais à la main, papier, stylo. Je ne prends mon ordinateur que lorsque je commence à écrire véritablement le roman. Ensuite, j’écris sans chercher à obtenir quelque chose de parfait du premier coup. J’avance, j’avance et je me dis qu’ensuite lors de la relecture, je pourrai développer tel point ou retravailler tel autre. Lorsque je me mets devant mon écran, je relis juste le dernier chapitre écrit pour me remettre dans l’atmosphère, mais je ne remonte pas plus loin. Je peine souvent à écrire la première phrase du chapitre et quand je peine trop je me dis « vas-y écris quelque chose même n’importe quoi ». Et contrairement à beaucoup d’auteurs, j’écris sans musique. Je n’ai pas de playlist associée à tel ou tel roman. La musique n’est sans doute pas suffisamment présente dans mon quotidien pour que je l’associe à ce travail d’écriture.
Puis, tu es passée par la plateforme Librinova, est-ce que tu peux nous raconter cette expérience ? J’ai découvert Librinova dans le cadre d’un concours auquel j’ai participé (concours de nouvelle) et que j’ai gagné. C’était même avant l’écriture d’Un merci de trop. J’ai découvert à la fois Librinova et le monde de l’auto-édition à ce moment-là. Ce qui m’a séduit, c’est le concept « En route vers le papier » et cette possibilité d’agent littéraire à partir de 1000 ventes. J’avais évidemment ce rêve toujours enfoui d’être un jour une auteure publiée en librairie et avec ce concept, ça paraissait moins insurmontable.
Sur son blog, Carène vous raconte en détails son expérience chez Librinova.
Est-ce que tu as des conseils de choses à faire ou à ne pas faire quand on passe par cette maison d’auto-édition ? Les choses à faire : travailler la couverture et la quatrième. Faire relire et rerelire son texte. Il y avait des coquilles dans la toute première version d’Un merci de trop et ça m’a valu des commentaires 1 étoile sur Amazon… C’est comme si les gens étaient encore pus intransigeants avec un auteur auto-édité qu’avec un auteur édité par le circuit traditionnel. Je ne sais pas vraiment s’il y a des choses à ne pas faire.
Tu as pu profiter des services d’agent littéraire proposés par Librinova. En combien de temps as-tu atteint les fameux 1000 exemplaires vendus ? Qu’est-ce que ça fait ce moment où on passe ce cap avec un roman qu’on a porté aussi longtemps ? Oui, tout à fait, j’ai bénéficié de ce service d’agent littéraire pour Un merci de trop et c’est même grâce à ce service que j’ai pu rencontrer mon éditeur Michel Lafon. Ce sont Laure et Charlotte qui ont parlé de mon roman à Elsa Lafon, qui ont su éveiller son intérêt et quelques semaines plus tard je rencontrais l’équipe alors que de moi-même jamais je n’aurais osé envoyer mon manuscrit à une maison d’édition. La version auto-éditée d’Un merci de trop a été publiée en mars 2015 et pendant les premiers mois, j’ai dû en vendre 200 ou 300. Puis, il y a eu cette offre flash Amazon (négociée par Librinova), le 16 juin 2015. Et là, en une journée, il s’est vendu 1000 exemplaires d’un coup. Avec en prime, une première place dans le top 100 pendant 3 jours. J’étais comme une dingue devant mon écran. Je n’y croyais pas.
Quel est ton meilleur souvenir de cette période-là ? Cette journée de juin 2015 reste un moment très fort. Parce qu’en atteignant les 1000 ventes, ça devenait concret, je me suis dit « maintenant le rêve va peut-être pouvoir devenir réalité ». Et puis, cette journée de novembre 2015, lorsque j‘ai rencontré pour la première fois Elsa Lafon, Cécile Majorel et Florian Lafani, dans les locaux de Michel Lafon reste gravée dans ma mémoire à tout jamais. Ce jour-là, on a évoqué le texte, les choses à retravailler, la date de parution envisagée, c’était magique.
Quels étaient les avantages et les inconvénients d’entrer dans le monde de l’édition par la porte de l’auto-édition ? Les avantages : pour ce qui est de passer par Librinova, clairement la facilité. J’ai posté mon texte Word et c’est Librinova qui a créé le fichier .epub, s’est chargé de toutes les démarches, la publication sur toutes les plates-formes numériques. Moi je n’ai eu qu’à déposer mon fichier et ma couverture sur le site. Ensuite, je me connais, jamais je n’aurais osé envoyer un manuscrit. Pour tout t’avouer lorsque Charlotte m’a dit on a envoyé ton manuscrit à michel Lafon, j’ai ri pensant à une blague. Et ensuite, j’ai eu peur en me disant « mais qu’est-ce qu’ils vont bien pouvoir penser de cette histoire banale et sans intérêt ». Tu la sens la fille qui a confiance en elle ? Oui, c’est moi. Donc l’auto-édition clairement m’a conduite vers l’édition et sans auto-édition il n’y aurait rien eu du tout. Avoue que ça aurait été dommage pour le paysage littéraire français ! En toute modestie (mouahahahahaaha)
Comment s’est passé la réécriture d’Un merci de trop avec ton éditrice ? J’ai adoré !!! Pour Un merci de trop, j’ai travaillé avec Cécile Majorel et ce sont des semaines merveilleuses que je garde à l’esprit. J’étais tellement en demande de ce regard de professionnel pour m’aider à grandir dans l’écriture. J’ai appris tellement grâce à Cécile. J’étais si fière de recevoir des compliments de sa part, ou de la faire rire des bêtises que je pouvais faire dire à mes personnages. Je souhaite à tout auteur d’avoir la chance de vivre ces moments d’échange sur leur texte. Cécile pointait du doigt des choses à retravailler, me donnait des indications, des explications. Je réécrivais et presque de manière magique, je voyais le paragraphe devenir meilleur sous mes yeux. Pour le roman qui sort le 1er juin, j’ai travaillé avec Denis Bouchain et là encore des semaines de travail de réécriture que j’ai adorées. Cécile m’a aidée à corriger des choses que Denis n’a donc pas au à reprendre, mais lui m’a aidée à ne pas tomber dans la facilité, à ne pas en faire trop (comme si j’en faisais trop… Pffffffff), à peaufiner. Vraiment, ça n’a pas de prix cet accompagnement et je passe mon temps à leur dire merci et combien j’apprécie ce travail de réécriture du texte.
Est-ce que maintenant que tu es en maison tu pourrais réenvisager l’auto-édition pour d’autres projets ? J’ai auto-édité en novembre 2016 un roman jeunesse, Mélissa Sac a gras (un roman sur le harcèlement scolaire d’où le titre). Oui, les deux ne me paraissent pas incompatibles. Michel Lafon m’accompagne sur des romans adultes, j’avais un roman jeunesse dans les tiroirs, il était difficile de lui trouver une place dans le catalogue, alors je l’ai auto-édité. Toujours avec Librinova, on ne change pas une équipe qui gagne et elles font partie intégrante de mon aventure littéraire.
Toi qui es maman, est-ce que tu peux me confirmer que la gestation d’un roman ressemble un peu à celle d’un enfant ou pas du tout ? Soyons honnêtes, c’est tout de même beaucoup moins douloureux !! Enfin je parle pour moi qui aie eu deux accouchements particulièrement pourris ! Mais le processus de création, c’est vrai se rapproche un peu de la grossesse. On fait grandir l’histoire dans son esprit, pendant un temps plus ou moins long, quand on se sent mûre, on commence à poser des mots, des phrases et quand le mot “fin” est là, on a en effet le sentiment jouissif d’avoir « mis au monde » quelque chose.
Justement la grossesse est un thème important d’Un merci de trop, comment est venue la genèse de ce roman, est-ce qu’il se nourrit de tes propres souvenirs  ? Comme je le disais, je n’avais aucune idée de là où j’allais quand j’ai commencé à écrire l’histoire de Juliette sur le blog. Je réfléchissais à des rebondissements possibles d’une semaine sur l’autre et je me suis dit « tiens et pourquoi pas une grossesse ». Il n’y a rien de mon histoire dans celle de Juliette. En revanche le personnage me ressemble (un peu, beaucoup ? Je n’en dirai pas plus sans la présence de mon avocat…)
Ton nouveau roman Tu as promis que tu vivrais pour moi aborde des thèmes moins légers, cependant d’après le pitch, l’héroïne tout comme Juliette envisage de changer radicalement de voie. Est-ce que ce thème de la renaissance est important pour toi ? Oui, ce sont des thèmes qui me tiennent à cœur. J’écris du feel good et quoi de plus intéressant que de prendre une héroïne et de l’emmener sur le chemin du bonheur et de la connaissance de soi. C’est important pour moi de véhiculer cette idée positive, qu’on est maître de ce que l’on fait de sa vie et que l’on a toujours la possibilité de faire des changements si on ne se sent pas heureux. Ne pas subir mais agir.
Est-ce que toi aussi tu as pu claquer la porte de ton travail alimentaire ? Hélas non. Mais ça viendra peut-être. J’en rêve bien sûr. Et peut-être qu’avec ce second roman cela se rapprochera. Il y a plein de belles choses qui sont en train de se passer autour de ce second roman, alors je me plais à espérer que peut-être dans un avenir proche ,je pourrai remplir mes journées d’écriture et en vivre.
Juliette rêve de vivre à New-York, est-ce que ce ne serait pas un de tes rêves également ? New-York, cette ville… Un an plus tard je ne m’en suis toujours pas remise. C’est grâce aux droits d’auteur d’Un merci de trop que j’ai pu faire ce voyage. Le symbole est pour moi très fort. J’ai vécu huit jours hors du temps, je ne pense qu’à une chose : y retourner. Alors l’idée d’avoir un appartement là-bas et de pouvoir y aller plusieurs fois par an… J’en défaillirais presque, rien que d’y penser.
Il me semble que le roman écrit par Juliette est actuellement en vente sur Librinova, non ? Est-ce que tu comptes encore lier les divers univers de tes histoires dans d’autres romans ? Alors Trois femmes est une nouvelle. C’est celle qui a gagné le concours Librinova auquel j’avais participé. Au départ, c’était une idée de roman que j’avais et j’en ai fait une nouvelle pour ce concours. J’ai aimé l’idée de faire un clin d’œil à ce texte dans Un merci de trop. C’est quelque chose que faisait Isabel Wolff dans ces premiers romans. On voyait furtivement apparaître dans le suivant, l’heroine du roman précédent. J’aime beaucoup. Et dans le troisième roman sur lequel je suis en train de réfléchir, je fais aussi un clin d’œil puisque l’héroïne rencontrera un des personnages de Tu as promis que tu vivrais pour moi (ahahahaha teasing de fou et information donnée en avant-première intergalactique).
Après la chicklit et le roman feel good, est-ce que d’autres genres te font de l’oeil en terme d’écriture ? Il y a ce qui me fait de l’œil et ce que je suis capable d’écrire. Je suis lucide, je serai parfaitement incapable d’écrire un thriller ou un roman à la Harry Potter. J’adorerais être capable d’inventer des mondes, mais je suis consciente de mes limites. Alors je vais rester dans le feel good et c’est un genre que j’affectionne en plus en tant que lectrice, donc ça ne m’ennuie pas du tout. Après, j’aimerais énormément écrire une saga, des personnages qu’on retrouve d’un roman à l’autre, qui évoluent. Je suis une grande fan de Sophie Kinsella et une série à l’image de L’accro du shopping est quelque chose qui me fait rêver.
Tu es également un peu blogueuse littéraire qu’est-ce que tu aurais à nous recommander en ce moment ? Mon énorme coup de cœur 2016 est pour le roman d’Anna McPartlin,  Les derniers jours de Rabbit Hayes . Ce roman est juste fabuleux et premier roman à m’avoir fait pleurer d’aussi loin que remonte ma mémoire de lectrice. Je viens de terminer hier la lecture du dernier Musso, Un appartement à Paris que j’ai également beaucoup aimé, c’est un thriller à l’intrigue très efficace. Je suis également fan de la plume de Joel Dicker et je ne peux que vous recommander de foncer sur La vérité sur l’affaire Harry Quebert et Le livre des Baltimore. Dernièrement j’ai lu aussi le nouveau roman d’Amélie Antoine, Quand on n’a que l’humour, un roman très touchant sur les rapports entre un père et son fils. J’ai aussi beaucoup aimé le dernier roman de Marie Vareille dont j’apprécie énormément la plume très moderne et drôle Là où tu iras j’irai. En fait, je peux en conseiller encore des dizaines et des dizaines ! ;-)
Enfin, qu’est-ce qu’on peut te souhaiter pour les mois à venir ? Que l’aventure continue et qu’elle soit toujours aussi belle ! J’ai l’immense chance d’avoir auprès de moi une équipe de choc pour m’accompagner : toute l’équipe de Librinova et toute l’équipe de Michel Lafon. Je me connais, j’ai besoin de ce soutien-là, de cette bienveillance pour avancer sereinement. Et qui sait ce que l’avenir me réserve encore… Si on m’avait dit en ouvrant le blog en juin 2013, que j’en serai là quatre ans plus tard, j’aurai probablement proposé à la personne de reprendre un verre…
Merci à Carène pour ses rires contagieux !
Lire Un merci de trop en cliquant ici, Trois femmes en cliquant ici
Précommander  Tu as promis que tu vivrais pour moi en cliquant là.
Retrouvez Carène sur son blog, sa page auteure Amazon, sa page Librinova, son Facebook et son Twitter.
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Anne McPartlin est l’auteur d’un roman merveilleux et déchirant : Les derniers jours de Rabbit Hayes, que j’ai adoré. Voici son second roman sorti en français, toujours dans le même style. Une belle lecture. 
╰☆ Résumé ☆╮
C’était au début du mois de mars, un jour de pluie, mais un jour encore béni, comme beaucoup d’autres avant, dans la vie d’Emma. À 26 ans, la jeune fille amoureuse cohabitait avec le bonheur. Elle formait avec John, son amour d’enfance, un de ces couples unis et heureux, tissant une belle vie remplie de grands projets et de bons amis. Jusqu’à ce soir de fête qui fait basculer son existence en un crissement de pneus et ce deuil qui menace de tout engloutir. Commence alors pour Emma, aidée de ses amis qui font bloc autour d’elle, un long chemin pour que tout ne s’arrête pas là, pour qu’après la nuit revienne le jour.
✿ Mon avis ✿
Après Les derniers jours de Rabbit Hayes qui m’avait fait trembloter de tristesse, voici le second roman d’Anna McPartlin. Un livre bien reconnaissable comme étant de la plume de l’auteur vu les premiers chapitres qui donnent tout  de suite le ton de l’histoire. Préparez vos mouchoirs ! Toutefois, après un début haut en émotions, on retombe assez rapidement sur « la vie » tout simplement. Un récit contemporain qui dresse le portrait d’âmes blessés, qui essayent de se reconstruire après un drame.
Le début m’a beaucoup touché car je me suis très rapidement identifier aux personnages. Dès que j’ai vu l’âge et la situation familiale des protagonistes, j’ai directement pensé à mon couple… Et imaginer une tragédie pareille m’a serré le cœur. Ce sont des choses qui arrivent, ce n’est pas quelque chose d’absurde qu’Anna McPartlin nous raconte… et c’est cela qui fait le plus mal. Car cela pourrait très bien se passer. Parce que des gens dans le monde en souffre tous les jours. La disparition d’un être cher. Parce que penser à cela, c’est difficile. Et je ne le souhaite à personne.
Toutefois, même si le sujet et le début m’ont fortement plu, sur la longueur, je trouve que ce roman-ci est un niveau en dessous du précédent que j’avais lu. L’histoire de Mon midi, mon Minuit parle surtout de reconstruction, de lumière au bout du tunnel. La tension redescend donc rapidement et nous lisons donc un récit assez commun. Des amis, des romances, des rêves et des projets… De très belles choses mais moins percutantes que le décor de Rabbit Hayes.
Je vous conseille fortement ce livre si vous souhaitez vous lier d’amitié avec des personnages, si vous voulez une lecture au calme et rassurante. La fin a réussi à faire remonter la tension un peu perdue au milieu, ce qui m’a amené à refermer la dernière page avec le sourire aux lèvres et le cœur qui battait vite. Une chouette lecture mais pas aussi mémorable que son premier roman.
Plus d’infos sur Amazon, c’est par ici. 
CHRONIQUE #468 – Janvier 2019 
Titre : Mon midi, mon minuit
Auteur : Anna McPartlin Editeur : Pocket Parution : 2018 Nombre de pages : 416 Genre : Contemporain
Aussi disponible…
Mon Midi, mon Minuit • Anna McPartlin Anne McPartlin est l'auteur d'un roman merveilleux et déchirant : Les derniers jours de Rabbit Hayes…
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Trois mois se sont déjà écoulés. 2017 passe vraiment trop vite. Nous sommes au quart de cette année et elle s’annonce vraiment belle. Tant au niveau lecture qu’au niveau personnel. Et comme j’ai lu de magnifique romans ces trois premiers mois, j’ai pensé qu’un petit article sur mes plus belles lectures vous plairait.
Si vous ne savez pas quoi lire en ce moment ou si vous cherchez à faire un cadeau à quelqu’un qui aime lire, je vous recommande les livres suivants :
EN JANVIER 
Fantastic Beast 
Carry On
La Perle et la coquille 
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EN FEVRIER 
Les derniers jours de Rabbit Hayes
Les larmes de la liberté
Hopeless 
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  EN MARS
Un fragile espoir
Là où j’irais tu iras
La plage de la mariée
Les gens heureux lisent et boivent du café 
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Mes 10 plus belles lectures de ce premier trimestre 2017 Trois mois se sont déjà écoulés. 2017 passe vraiment trop vite. Nous sommes au quart de cette année et elle s'annonce vraiment belle.
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Mes lectures
Nombre de livres terminés en janvier : 8 livres
Pour un total de : 3138 pages
C’est un challenge garder son rythme de lecture en février étant donné qu’on nous vole 2 jours (si pas trois!). Heureusement, je compte à mon actif un total de 8 livres ce qui me fait un très bon rythme de deux livres par semaine. Je suis contente d’avoir terminé deux sagas ce mois-ci (go le challenge “je vide ma PAL de 2014”). Delirium et Journal d’un Vampire sont donc derrière moi. Cependant, il me reste encore de nombreuses sagas à entamer et/ou à terminer. Ne vous inquiétez donc pas, il y aura encore du Young Adult qui passera sur le blog. Ce mois-ci, j’ai passé un EXCELLENT moment avec Hopeless. Ce livre m’a rendu accro !!! Colleen Hoover, je t’aime ! Je remercie également les éditons Charleston et Babelio pour l’envoi de “Les larmes de la liberté” que j’ai adoré également. Je vous le recommande vivement. A ne pas oublier non plus : Les derniers jours de Rabbit Hayes qui ma rudement donné envie de continuer à suivre les publications d’Anne McPartlin !
En résumé, voici ma répartition de koalas ainsi que les liens vers les chroniques. Découvrez-les vite ! 
5+ <3
Hopeless
Les larmes de la liberté // Les derniers jours de Rabbit Hayes
Delirium 2  // Delirium 3 // Journal d’un Vampire 11
Les vies de papier // Journal d’un vampire 10
  Mes lectures du mois
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=> N’hésitez pas à relire les chroniques ou à me donner votre avis sur ces livres ! 
 Les nouveautés du mois chez moi …
Un mois plus que raisonnable avec seulement deux achats et une réception. Par contre, je pense que le mois de mars sera un peu plus rempli étant donné qu’il y a la Foire du Livre de Bruxelles ! Soyez prêt à me voir raconter cette aventure d’ici deux petites semaines !
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Statut du Challenge A-Z
9/26
A_D_F_G_H_M_O_R_S
Challenge : Un objectif par mois 
Février 2017:
Lire un livre pour lequel on n’a pas encore lu d’avis sur la blogosphère
L’objectif de mars est :
Lire un livre choisi par quelqu’un d’autre 
Mon chéri se chargera de cette mission hautement importante !
LECTURE COMMUNE
De janvier à avril, vous aurez le plaisir de découvrir mon avis sur
LC#1
LC#2
avec Livraisons Littéraires !
Je suis sur instagram ! 
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[Bilan mensuel] • Février • 2017/02
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  Le rendez-vous du lundi des bloggeurs littéraires … 
Le principe est simple. Le lundi, on fait le point sur les lectures en répondant à trois questions :
Quel livre venez-vous de terminer ?
Que lisez-vous en ce moment ?
Que lirez-vous après ?
1/ La semaine passée j’ai terminé …
   Lire mon article sur la saga TVD
Une semaine 100% BlackMoon
2/ Ce que je suis occupée à lire …
Lecture Commune avec Livraisons Littéraires
3/ Mais que lirais-je ensuite … ?
Voici ma PAL de février :)
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Et vous, que lisez-vous ?
Bonne semaine à tous !
Voici les articles parus la semaine dernière sur le blog ! 
TTT – Les prénoms de personnages qu’on pourrait donner à un animal de compagnie 
Chronique : Pour que tu sois mienne 
Throwback Thursday : LGTB et minorités 
Chronique : Les derniers jours de Rabbit Hayes
[2017/07] – C’est lundi, que lisez-vous ?  
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Le rendez-vous “IMM” du dimanche est simple. Je vous y présente les nouveaux livres qui sont venus se rajouter à ma bibliothèque. En français, cela se traduit par “Dans ma boite aux lettres” mais je préfère l’appellation anglo-saxonne. Je vous présenterai donc chaque semaine (quand il y a quelque chose à présenter évidemment), les livres que j’ai reçu et acheté… mais aussi ceux que l’on m’a prêté ! 
Chaque année, je me dis que je vais essayer d’acheter moins de livres pour pouvoir réduire ma PAL qui déborde. Le problème, c’est qu’il y a vraiment trop de nouveaux livres géniaux qui sortent en librairies. Les nouveautés des auteurs connus, les nouvelles maisons d’édition que je découvre, les suites que j’attends avec impatience… Bref, c’est dur de ne pas craquer. La preuve, nous sommes à peine en janvier et j’ai déjà acheté tout ça…
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Les derniers jours de Rabbit Hayes : achat Belgique Loisirs sur base des chroniques élogieuses que j’ai vu sur les différents blog.
Neuf jours. C’est ce qu’il reste à vivre à Mia Hayes, surnommée affectueusement ” Rabbit “. Neuf jours, après plusieurs mois de combat – parce que Rabbit est une battante, une Irlandaise bien trempée. À son chevet, famille et proches se relaient en un joyeux ballet de souvenirs. Entre silences, gaffes et fous rires, toute la vie de Rabbit ressurgit alors : l’enfance, l’adolescence, Johnny son grand amour, et Juliet, sa fille de 12 ans – une certaine idée du bonheur… Au fil des jours, tous s’interrogent sur leur vie et accompagnent Rabbit dans un voyage émotionnel d’une grande intensité. Quel meilleur bagage pour partir vers la lumière ?
La perle de Pondichéry : parce que j’ai découvert Gloriana Editions et que j’ai eu envie de découvrir cette nouvelle maison d’édition. Ce livre m’intrigue, il est tout petit et tout mignon !
Lorsqu’une princesse orgueilleuse rencontre un voleur désespéré… Pondichéry, un des comptoirs de la Compagnie des Indes orientales, fut considérée comme la capitale de l’Inde française au XVIIIe siècle. Cultures française et tamoule se sont côtoyées et ont donné naissance à de nombreuses histoires de princesses et de maharajas. La Perle de Pondichéry est l’une de celles qui nous sont restées aujourd’hui. Dans les jardins du palais de Jaipur, sous les étoiles étincelantes va se jouer une rencontre qui changera à tout jamais la vie de la princesse Haydée… Reste à savoir si cela ne marquera pas sa chute.
Marquer les ombres : aussi chez Belgique Loisirs, acheté la semaine de sa sortie simplement car c’est Veronica Roth qui en est l’auteur !
Dans une galaxie dominée par une fédération de neuf planètes, certains êtres possèdent un “don’, un pouvoir unique. Akos, de la pacifique nation de Thuvhé, et Cyra, soeur du tyran qui gouverne les Shotet, sont de ceux-là. Mais leurs dons les rendent, eux plus que tout autre, à la fois puissants et vulnérables. Tout dans leurs origines les oppose. Les obstacles entre leurs peuples, entre leurs familles, sont dangereux et insurmontables. Pourtant, pour survivre, ils doivent s’aider – ou décider de se détruire.
Pour que tu sois mienne : que j’ai commandé sur Amazon parce qu’il me tentait vraiment vraiment beaucoup ! Il est sorti en librairie le 20 janvier !
« On est comme ça, ici. On sourit et on ne s’en fait pas. Ça flambe dans les rues, On sourit et on ne s’en fait pas. On voit des cadavres se balancer au bout d’une corde en plein square ? On sourit et on ne s’en fait pas. On ne peut pas être avec la personne qu’on aime parce que c’est contre la loi ? On sourit, bon sang. » Sahar est amoureuse de sa meilleure amie depuis toujours. Pour combler le fossé social qui les sépare, elle travaille dur dans l’espoir de devenir médecin. Le reste du temps, elle prend soin de son père, qui s’est muré dans le silence depuis qu’il a perdu sa femme. Lorsque Sahar apprend les fiançailles de Nasrin, son rêve s’effondre. La cérémonie aura lieu dans trois semaines. Sauf si elle trouve un moyen d’empêcher ce mariage… Mais dans un pays où l’homosexualité est punie par la peine de mort, si elle veut s’unir à une femme, elle n’a d’autre choix que de devenir un homme. Encore faut-il pour cela qu’elle accepte de se faire « réparer », comme ils disent, et qu’elle entame la métamorphose sans laquelle son union serait jugée contre nature.
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C’est tout pour aujourd’hui !  <3
IMM #24 – Mes premiers achats de 2017 Le rendez-vous "IMM" du dimanche est simple. Je vous y présente les nouveaux livres qui sont venus se rajouter à ma bibliothèque. 
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