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#pile à lire
birbliothecaire · 9 months
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Apparemment, si je dis "vous pouvez m'offrir n'importe quel livre de luvan tant que c'est pas agrapha" ça inspire absolument toute la famille. Qu'est-ce que Vous avec reçu comme lectures qui vous hype
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e-c-guyot-blog · 27 days
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Les Lectures Chatbuleuses de Grison (partie 3)
Un chat qui lit…? 🤔 Oh, ça doit être tout à fait normal! 😁 Grison : “normal”? Ne parle pas de choses que tu ne connais pas, Humaine-qui-Ecrit! Auteure : c’est bientôt la rentrée! La rentrée des classes, et la rentrée littéraire! Parfait pour nos 5+1 romans du mois avec des chats dedans! A lire sur papier ou sur tablette, toujours avec un chat sur les genoux… 👍👍👍👍👍 On commence toujours par le…
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youraufildespages · 5 months
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Pal de mai 2024
Pour le plaisir, j’ai envie de vous parler de la pal de mai que je me suis préparée. J’ai envie de sortir tant de titres de ma pal entière, que je préfère, en début, faire une petite prévision, histoire de ne pas me disperser pendant des heures hihi Etant donné que j’aime varier mes lectures, j’ai pioché un peu dans tous les genres. Il y a parmi ces titres quelques services presse…
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icariebzh · 4 months
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"J'ai du savon qui lave Les péchés capitaux Un stylo-bille qui grave Le goût d'un apéro Un soutien-gorge à piles Qui n' s'allume qu'aux beaux yeux Un dentifrice habile À blanchir les aveux Un buvard facétieux Qui sèche les chagrins Un œil pour lire à deux Quand le jour s'est éteint Un violon capital Voilé de Chambertin A faire sonner le mal Plus fort que le tocsin Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Même si elle n'est pas là D'ailleurs, elle n'est pas là Mais dans la tête d'un fou Ou bien chez des voyous Habillés de chagrin Qui vont par les chemins Chercher leur bonne amie La Poésie
J'ai des bas pour boiteuse À faire boiter l'ennui Et des parfums de gueuse À remplir tout Paris Des pendules à marquer Le temps d'un beau silence Des lassos à lacer Les garces de la chance Des machines à souffler Le vert de l'espérance Et des vignes à chanter Les messes de la démence Des oiseaux-transistors Qui chantent sur la neige Garantis plaqués-or Plaqués par le solfège
Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Même si elle n'est pas là D'ailleurs, elle n'est pas là Mais dans la tête d'un fou Qui s' prend pour un hibou À regarder la nuit Habillée de souris Comme sa bonne amie La Poésie
J'ai du cirage blond Quand les blés vont blêmir De la glace à façon Pour glacer les soupirs Des lèvres pour baiser Les aubes dévêtues Quand le givre est passé Avec ses doigts pointus J'ai tant d'azur dans l'âme Qu'on n'y voit que du bleu Quand le rouge m'enflamme C'est moi qui suis le feu J'ai la blancheur du cygne À blanchir tout Saint-Cyr Et sur un de mes signes On meurt pour le plaisir
Si ça n' va pas Tu peux toujours aller la voir Tu demanderas La Poésie On t'ouvrira Des fois qu'elle serait là Elle te recevrait même pas Elle n'est là pour personne Elle n'aime pas qu'on la sonne C'est pas une domestique Elle sait bouffer des briques Mais quand elle veut, elle crie La Poésie !"
Léo Ferré
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artnstick · 5 months
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De l'influence des RPG sur les PAL
J'ai commencé les RPG il y a 18 ans. Et forcée de constater que les forums qui m'ont le plus marqués m'ont aussi ouvert la voie de la lecture, de romans, de saga, de série que j'ai eu beaucoup de plaisir à dévorer. De Twilight à Harry Potter (j'avais les livres depuis longtemps mais c'est en jouant sur un rpg HP que j'ai décidé de les lire), en passant par Hunger Games, ou Eragon, les forums RPG ont toujours influencé ma Pile A Lire pour me plonger dans des univers toujours plus fantastiques et magiques.
Ma bibliothèque est bien remplie, mais je me rends compte que les livres que j'apprécie le plus - encore aujourd'hui - ce sont ceux qui ont un potentiel de role play. S'il est de plus en plus difficile de voir des forums émerger sur des nouvelles idées, il m'est aussi de plus en plus difficile de me plonger dans de nouveaux bouquins.
Alors j'envoie cette bouteille à la mer, espérant voir ma PAL s'agrandir encore, et - peut être - des forums s'inspirer de nouveaux univers prochainement :
Quel est le dernier livre qui vous a fait dire un forum sur ce thème ça serait fou ?
Quel est le dernier livre que vous ayez lu parce qu'un partenaire de RP vous a dit tu dois lire ça ?
Quel est le dernier livre qui vous a inspiré un contexte, un personnage et/ou une intrigue ?
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alexar60 · 1 year
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La lumière sous la porte
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Les livres ont une grande place dans mon cœur. J’aime les lire, les toucher, les sentir. J’aime les exposer, voir leur couverture même si je ne les ai pas encore lus. J’aime les livres mais à trop en acheter, ils prennent de la place. J’en ai stocké dans des cartons, qui à leur tour, se sont imposés dans mon petit appartement. Je ne savais plus quoi en faire. Pas question de m’en débarrasser.
J’ai eu cette idée après avoir visité Amsterdam. A mon retour de voyage, j’ai réalisé qu’une pile de livres ressemblait beaucoup aux maisons hollandaises. Du coup, je me suis amusé à créer des rues, utilisant chaque bouquin pour faire une maison ou un petit immeuble de deux étages. Avec différents papiers, j’ai dessiné puis découpé des portes et des fenêtres. Je me suis appliqué à décorer de volets, des rideaux ainsi que des dormants et des impostes de portes. Je confectionnais des toits à l’aide de carton.
Chaque dos de livre devenait l’entrée d’une maison ou la devanture d’un vieux magasin Je me suis tellement appliqué que mes amis furent fascinés par mon travail. Ils parlaient d’œuvre d’art. Ils me proposèrent d’exposer car d’après eux, mon talent devrait être connu. Au début, trop méfiant et voulant éviter de participer à un diner de cons, je me contentais de donner une seconde vie à des livres que j’ai tant aimés lire. Cependant, j’eus un tel succès que je dus me résigner à accepter leur proposition. Dès lors, après avoir exposé dans une galerie, je me suis mis à vendre des piles de livres décorés et refaits en petites rues.
Je garde mes préférés dans une bibliothèque particulière. En effet, elle ne contient que des livres décorés. Chaque étagère représente une rue. J’ai même ajouté quelques petits pavés devant les livres pour donner un côté plus réaliste aux maisons. J’aime les observer le soir avant d’aller me coucher. Parce qu’elles ont une apparence féerique et j’imagine des habitants vivre dedans. Je les imagine en train de marcher, ouvrir les fenêtres ou les portes et vivre paisiblement ; une ménagère à la fenêtre étendant un drap, un homme rentrant du boulot.
Un jour, en les admirant de nouveau, je remarquais quelque-chose d’étrange. Sur le moment, je pensais à un reflet lié à la lumière de mon salon. Mais en approchant, je découvris de la lumière sous une porte. C’était une porte décorée et collée par mes soins, comment de la lumière pouvait apparaitre ? Je pris le livre, l’ouvris mais ne constatais rien de particulier entre les pages qui se dépliaient correctement. Dès lors, je replaçais le livre et retournais à mes occupations. En éteignant la lampe de la salle, je constatais un petit fil lumineux sous cette même porte. La lumière était réapparue !
Je ne savais son origine. Je pouvais prendre le bouquin, l’ouvrir, le secouer, tourner les pages. Rien n’y faisait, dès que je le rangeais, la lumière réapparaissait. Je cognais de l’index sur la porte ; bien entendu, personne ne répondit, personne n’ouvrit.
C’était étrange que de voir cette lumière sous cette porte fictive. Tous les soirs, je constatais qu’elle apparaissait pour disparaitre uniquement au lever du jour. Je passais les semaines suivantes à surveiller cette anomalie, d’autant qu’elle était la seule porte à laisser passer de la lumière. Même la fenêtre en plastique, collée au dos de ce livre ne montrait rien.
J’aurais pu me débarrasser du livre, le vendre ou simplement le donner. Néanmoins, ma curiosité insistait à surveiller ce phénomène. Je regardais donc ce livre, dont je ne me souvenais plus de l’histoire, laisser passer cet étrange trait de lumière. Et puis, je découvris de la lumière sous la porte d’un autre recueil. Hier soir, la lumière traversait la fenêtre, comme si quelqu’un habitait dans ce livre.
J’ai doucement frappé à la fenêtre et à la porte. Je n’ai vu personne, pas de petit bonhomme ou autre farfadet magique. Je suis resté bêtement à observer cette lumière qui scintillait dans le noir. Mais ce soir, je déposerai quelque-chose devant ce livre. Un petit morceau de pain ou, une demi-fraise, histoire de sympathiser. En espérant que la porte s’ouvre et qu’il y ait un habitant.
Alex@r60 – août 2023
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lerefugedeluza · 4 months
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Je n'arrive toujours pas à parler de livres correctement, mais bon, j'essaie.
Au début du printemps je m'étais concocté un petit bingo "lire sa PAL" pour faire diminuer mon immense pile à lire. J'ai donc lu neuf livres ces derniers mois et je vous les présente aujourd'hui. Il y a du bon, du très bon et du très mauvais, n'hésitez pas à regarder, commenter avec vos propres lectures & à partager, merci ♡ (et comme j'ai racheté des livres entre temps, ma PAL en est toujours au même point ahahaha)
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selidren · 3 months
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Printemps 1921 - Champs-les-Sims
1/10
Chère Eugénie,
Premièrement, je suis navrée pour vous car si je n'ai pas pu vous lire, j'ai lu entre les lignes du courrier que nous avons reçu de Jules. Je devine que son retour a été pour vous source de tensions, et au vu de sa réponse, il n'a sans doute pas admis grand chose et semblait même craindre ce que vous avez pu me dire. Je vous réitère ma confiance et c'est d'ailleurs Constantin qui répondra à votre mari. J'espère que, malgré tout, vous vous portez bien.
Dès réception de sa lettre, nous avons cependant fait savoir à nos relations que nous cherchions une certaine Liliane Le Bris. Rose a entendu parler d'une certaine Liliane Le Bris, mais il s'agissait (après de plus amples recherches) d'une veuve très âgée de Saint-Brieuc, où elle est également née, et qui n'avait jamais été plus loin que Dinan toute sa vie durant. Je me dois donc de vous dire que nous avons fait chou blanc. Madame Eugénie a ajouté que si il y avait eu une Liliane Le Bris en France qui nous soit apparentée, elle le saurait.
Je me réjouis néanmoins d'apprendre que vos enfants se portent à merveille. De notre côté, Antoine est devenu un brillant lycéen qui n'obtient que d'excellentes notes. Il rentre assez peu souvent car la vie parisienne semble lui réussir au plus haut point et contrairement à son père, il s'est fait des amis au pensionnat. Notre petite Noé n'est pas moins brillante, elle s'est quand à elle rapprochée d'Adelphe ces derniers mois, où elle est plus que déterminée à tout apprendre de l'affaire familiale. Auparavant, je ne la savais pas si passionnée de viticulture.
Transcription :
Arsinoé « Allez, un peu de courage. Ce n’est pas comme si j’allais demander une faveur à Papa... Hum… Oncle Adelphe ? »
Adelphe « Tiens, Noé. Quel bon vent t’amène ? »
Arsinoé « Je… enfin, je me demandais ce que vous faisiez. »
Adelphe « Le pressoir hydraulique est déjà en panne. Et je n’ai que quelques outils et de l’huile de coude comme nous sommes dimanche. »
Arsinoé « Le pressoir que nous avons acheté à l’automne ? Le foulograppe Coq ? »
Adelphe « Je vois que quelqu’un est allé fouiller dans mon bureau. »
Arsinoé « Je n’ai pas vraiment fouillé, je vous jure. La facture était en haut de la pile. Je n’aurai jamais osé vous savez, j’avais peur de mettre la pagaille. »
Adelphe « Le bureau est déjà en pagaille. Je n’ai pas le talent de tes parents quand il s’agit de ranger, ce n’est pas pour rien que c’est ta mère qui vient y mettre de l’ordre régulièrement. Ce n’est vraiment pas grave, c’est même bien que tu t’intéresse à la production. »
Arsinoé « Justement. Je me disais que je pourrais remplacer Maman et ranger à votre place. C’est moi qui range toujours la chambre. Bon, c’est vrai que ça n’a pas grand-chose de comparable, mais je suis assez douée pour classer. »
Adelphe « Tu n’es pas vraiment obligée. Vraiment pas. Les jeunes filles devrait consacrer leur temps à leurs études et à profiter du temps qu’elles ont, pas à suppléer les adultes. Cela viendra bien assez vite. »
Arsinoé « Mais si ! C’est quelque chose que je dois apprendre mon oncle ! Vous même vous étiez jeune quand Grand-Père vous a enseigné les ficelles. Je veux être prête quand ce sera mon tour ! »
Adelphe « Ah, mais je ne savais pas que tu t’intéressais à... »
Arsinoé « Si, bien sûr ! Je suis l’héritière des Le Bris, bien sûr que je m’intéresse à l’entreprise familiale ! Je suis une fille, mais j’en ai les capacités. Je connais bien mon latin et mon grec, Grand-Mère trouve que mon allemand n’est pas mauvais et je suis travailleuse. Je peux apprendre tout ce que vous jugerez important, même la mécanique, je n’ai pas peur de me salir les mains. »
Adelphe « Et bien, quel enthousiasme ! Allez, prends une chaise, je vais te montrer quelques petites choses pour commencer.»
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marie-swriting · 1 year
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Vous Iriez Bien - TASM!Peter Parker
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Marvel Masterlist
Résumé : Tu passes un mauvais jour, heureusement ton petit ami sait quoi faire pour t'aider.
Warnings : neurodivergent!reader, crise de panique, pression scolaire, hurt/comfort, dites-moi si j'en ai loupé d'autres.
NDA : Ce one shot a été commandé par ma talentueuse meilleure amie @kaeinherworld ça a été un honneur pour moi de voir qu'elle voulait que je lui écrive un one shot donc, Kae, j'espère que tu l'aimeras autant que j'ai aimé ton one shot Stefan Salvatore que tu m'as écrit il y a des années (et contrairement à toi, je ne le supprimerai pas !) ❤️
Nombre de mots : 2.2k
Version anglaise
Prompt utilisé : "Person A is having a panic attack and they desperately try to hide it, but Person B sees right through them and knows the right thing to do to calm A down." (Personne A a une crise de panique et iel essaye désespérément de la cacher mais Personne B voit clair dans son jeu et sait la chose à faire pour calmer A) de cette prompt list faite par @creativepromptsforwriting
Chanson qui m'a inspiré : Love The Hell Out Of You par Lewis Capaldi
C’était trop. Si on t’avait demandé de définir cette journée, tu aurais répondu que c’était trop. Trop de stress. Trop de bruit. Trop de personnes. Trop de tout. 
Dès ton réveil, tu avais ressenti que cette journée ne serait pas la meilleure et les heures suivantes l’avaient confirmé. Ce jour-là était particulièrement éprouvant à la fac. La fin du semestre se rapprochait à grand pas et la pile de devoirs à rendre et de révisions à faire s'agrandissait au même rythme. Ta concentration et ta motivation avaient de plus en plus de mal à rester à tes côtés Tu n’avais qu’une hâte pouvoir profiter de tes vacances pour - enfin - souffler et t’isoler. 
En plus de la pression de la fac, tu n’avais pas pu voir Peter de toute la journée. Même si vous n’aviez pas les mêmes cours, vous trouviez toujours une solution pour vous retrouver pour manger le midi ou au moins une dizaine de minutes durant l’après-midi. Malheureusement, le vendredi était ta journée de cours la plus chargée, il vous était impossible de vous voir sur le campus, par conséquent, tu étais encore plus à cran. Certes, tu allais passer la nuit chez lui pour votre visionnage hebdomadaire de Star Trek, mais tu voulais être dans ses bras le plus vite possible.
Quand ton professeur finit son cours - non sans rajouter un énième devoir, tu rangeas tes affaires. Malgré la boule toujours présente dans ton ventre, tu pouvais enfin respirer un peu plus facilement. Cependant, tu attendais de poser les yeux sur ton petit ami pour prendre une vraie inspiration.
En arrivant chez toi, tes parents ne prirent pas le temps de te saluer ou de te demander comment s’était passé ta journée, ils se dépêchèrent de faire un commentaire désobligeant à propos de tes notes sans même savoir de quoi ils parlaient. Ton anxiété commençait à se transformer de plus en plus en frustration et tu fis tous les efforts du monde pour ne rien répliquer, tu tenais au peu de calme qu’il te restait encore. Sans leur lancer un regard, tu montas dans ta chambre et refermas la porte sans perdre une seconde avant de t’allonger sur ton lit. 
Tu avais encore une petite heure avant que Peter finisse son dernier cours. Tu en profitas pour te déconnecter de cette atmosphère anxiogène. Tes écouteurs à réduction de bruit dans tes oreilles, tu pris le livre sur ta table de chevet, Le Seigneur Des Anneaux - tu n’aurais su dire combien de fois tu l’avais lu. Ce qui était censé t’apporter du réconfort te frustra un peu plus. Ton esprit était trop surmené pour réussir à se concentrer sur ta lecture et le fait d’avoir été au contact d’autant de stimulis au fil de la journée n’arrangeait rien. Agacée, tu refermas ton livre dix minutes plus tard et attendis Peter avec impatience. 
Le soulagement pouvait se lire sur ton visage quand tu entendis Peter frapper à ta porte. Inconsciemment, tu jetas un coup d'œil par la fenêtre. Il n’était pas rare pour Peter de venir te voir avant ou après sa patrouille et comme il devait se faire discret, il te rejoignait en passant par ta fenêtre. 
Après avoir rangé tes écouteurs et ton livre dans ton sac, tu le pris en main et retrouvas Peter à l’entrée. Il t’embrassa pour la première fois depuis la nuit dernière. Le baiser était rapide tout en étant rempli d’amour. Il prit ton sac et le plaça sur son épaule pendant que tu te saisissais de sa main. Suite à ce contact, tes épaules se relâchèrent légèrement. 
Sur le chemin, Peter fit la discussion, te racontant sa journée. En temps normal, tu lui aurais répondu avec passion et n’aurais pas arrêté de lui raconter toutes les pensées qui traversaient ton esprit, mais la fatigue de la journée était plus forte alors tu restas silencieuse. Peter étant un petit ami bienveillant et te connaissant depuis l’enfance, il remarqua ton mutisme instantanément, mais ne commenta pas. En seulement un regard, il avait compris que ta journée avait été longue. Tout en continuant de parler, il prêta attention à tes gestes, se préparant à réagir si tu avais besoin de quelque chose.
Le chemin jusqu’à chez Peter ne t’avait jamais semblé aussi long. Tu t’étais retenue de soupirer de nombreuses fois dans le métro. 
Une fois chez lui, vous vous rendîtes dans la cuisine où vous saluâtes rapidement Tante May qui devait partir au travail. Quand vous fûtent seuls, Peter récupéra deux verres ainsi qu’une bouteille de soda alors que tu sortis du pop corn pour votre soirée. 
Dans sa chambre, Peter te donna un de ses tee shirts que tu mis rapidement, voulant sentir son parfum sur toi. Son tee-shirt ressemblait plus à une robe mais cela ne te dérangeait pas. Peter enfila également une tenue plus confortable. 
Une fois allongés sur le lit de Peter, tu te mis sur ton côté gauche, la tête posée sur le torse de ton petit ami pendant que l’ordinateur était sur ses jambes et le bol de pop corn entre vous deux. Lors des premières minutes de Star Trek Into Darkness, tu arrivas à te concentrer puis tu repensas à la fac malgré toi. 
La pensée avait à peine effleuré ton esprit mais ça avait été suffisant pour te distraire. Mentalement, tu faisais la liste de tout ce qu’il te restait à faire. Plus tu réfléchissais et plus tu prenais conscience que tu avais encore beaucoup de travail. En sentant tes mains commencer à trembler, tu compris que la crise de panique n’était pas loin. Tu essayas de prendre de profondes inspirations discrètement, espérant ne pas attirer l’attention de Peter - ses sens décuplés pouvaient te trahir à n’importe quel moment. Quand ton cœur se mit à battre à toute vitesse, tu sus que c’était peine perdue. Dissimulant ta respiration saccadée du mieux que tu pouvais, tu tentas de sortir du lit normalement, les larmes aux yeux. Tu n’eus pas le temps de bouger une jambe que Peter était déjà tourné vers toi, les sens en alerte. Il posa l’ordinateur et le bol de pop corn sans ménagement sur le sol et t’invita à t’asseoir comme il faut. Tu portas la main sur ta poitrine, la douleur devenant plus forte et au même moment, tes larmes commencèrent à couler sur tes joues. 
Peter te regardait sans te toucher, craignant d’aggraver la situation - il savait que tu n’étais pas fan du contact physique alors il faisait toujours attention à respecter ton espace personnel, surtout dans ce genre de situation. Rapidement, il cacha son affolement, tu avais besoin de le voir calme. 
-Hey, ça va aller, t’assura Peter. Est-ce que je peux prendre ta main pour la poser sur mon cœur ?
Tu hochas la tête avec difficulté pour répondre. Délicatement, il prit la main qui était sur ta cuisse dans la sienne. Son emprise sur ta main était légère, te laissant ainsi la liberté de la retirer si tu changeais d’avis. Il posa ta main sur son cœur et il te fit un regard rassurant avant de rajouter : 
-Très bien. On va respirer ensemble lentement. Tout va bien. Ça va aller, Y/N, répéta-t-il. Tu es en sécurité. Prends une profonde inspiration par le nez et expire par la bouche, invita Peter en le faisant avec toi. Regarde nos mains sur ma poitrine. 
À sa phrase, tu fis ce qu’il dit. En continuant de regarder le point fixe, tu pouvais sentir le cœur de Peter battre calmement à travers ta main, t’aidant ainsi à te sentir plus protégée. Tu respirais encore avec difficulté mais au bout de la cinquième inspiration, ton cœur ainsi que tes larmes commencèrent à se calmer.
-Tout va bien. Tu vas bien, murmura Peter.
Quelques minutes plus tard et grâce à l’aide de Peter, tu arrivas enfin à retrouver une respiration normale. Il arrêta de parler, t’autorisant à reprendre tes esprits à ton rythme. Tu gardas les yeux sur vos mains pendant quelques secondes de plus, appréciant le calme. Les yeux de Peter ne te quittèrent pas, faisant attention à ce que la crise ne reprenne pas. 
Quand tu te ressaisis, tu arrêtas de fixer vos mains pendant qu’un sentiment d’embarras t’envahit. Tu évitas le regard de Peter tout en essuyant tes joues mouillées avec ta main libre. Ce n’était pas la première fois que Peter était témoin d’une de tes crises de panique, mais tu n’aimais pas être autant vulnérable devant lui. Tu retiras ta main de son torse et commenças à jouer avec tes doigts. Tu n’osais pas briser le silence en premier et Peter l’avait bien compris. 
-Tu veux qu’on en parle ? 
-Il y a pas grand chose à dire, déclaras-tu avec une voix légèrement plus grave à cause de la fatigue. 
-Ça ne t’était pas arrivé depuis un moment, remarqua Peter. 
-La fin du semestre aide pas vraiment à ne pas être anxieuse. 
-Il y a autre chose.
En entendant son affirmation, tu ne pouvais t’empêcher d’être légèrement agacée. Il te connaissait par cœur. Malgré tous tes efforts, tu ne pouvais rien lui cacher alors tu lâchas un soupir avant d’admettre à contrecœur : 
-Ce n’était juste pas vraiment mon jour. Ce n’est rien. Je vais bien, mentis-tu en te forçant à le regarder pendant une seconde. 
-Tu sais que tu peux tout me dire. Tu sais aussi que ça ne me dérange pas de t’écouter et de t’aider, te rappela-t-il tendrement. 
-Je sais.
-Je le pense, Y/N. Tu m’as toujours aidé, surtout après que je sois devenu Spiderman donc c’est normal que je te rende la pareille. 
-Je veux juste pas être un fardeau pour toi, avouas-tu avec difficulté.
-Tu ne l’es pas et tu ne le seras jamais. Je ferai tout pour toi. Tu m’as tellement aidé et aimé alors sache que je t’aimerai toujours autant. 
Ignorant quoi lui répondre, tu te penchas vers lui et posas tes lèvres sur les siennes. Vous vous embrassâtes avec lenteur, appréciant la présence de l’autre. Avec ce baiser, tu voulais partager tout ton amour et ta gratitude à Peter. Il savait quoi dire pour te faire te sentir mieux et tu savais qu’il était sincère dans chacun de ses mots. Tu savais qu’il le pensait quand il disait qu’il ferait tout pour toi. Peter t'aurait amené le paradis si c’était ce dont tu avais eu besoin. Il aurait pris toute ta douleur s’il avait pu et il t’aurait souri en le faisant. Il aurait fait tout ce qui était possible et impossible pour toi et tu en serais à jamais reconnaissante. 
Peter te laissa prendre le contrôle du baiser, te permettant de retirer tes lèvres quand tu le souhaitais. Quand tu le fis, tu regardas Peter avec tendresse alors qu’il te faisait un sourire avec la même douceur.  
-On peut en parler plus tard, si tu préfères, te dit-il, sachant que tu avais besoin du temps. Tu as besoin de quelque chose ? 
-Je veux bien que tu me passes mes écouteurs et qu’on reste allongés pendant un petit moment, répondis-tu lentement.
Peter récupéra ce que tu voulais dans ton sac et te tendit les écouteurs. Tu les plaças dans tes oreilles, le silence te réconfortant un peu plus alors que Peter se réinstallait dans le lit. Tu ne te collas pas complètement à ton petit ami, ayant besoin d’un peu d’espace, mais tu te saisis de sa main droite et jouas avec ses doigts. Tu lâchas un grand soupir alors que Peter te regardait faire, toujours sur le qui-vive au cas où. 
Vous restâtes dans cette position jusqu’à ce que le soleil se soit couché. À un moment, tu fermas même les yeux sans dormir. Quand tu te sentis enfin un peu mieux, tu retiras tes écouteurs et ouvrir les yeux. Peter te fit un léger sourire auquel tu répondis avant de prendre la parole : 
-Tu veux un thé ? J’ai tout pour ton thé préféré.
-Qu’est-ce que j’ai fait pour te mériter ? demandas-tu rhétoriquement, ton sourire grandissant et en le regardant les yeux remplis d’amour. 
-Tu as frappé Josh Stewart quand on avait six ans car il avait jeté mes affaires au sol, répondit-il, te faisant lâcher un rire, le souvenir de votre première rencontre en tête. Alors, un thé ?
-Je veux bien. 
-Je reviens tout de suite. 
Après t’avoir embrassé sur le front, Peter quitta sa chambre. Quelques minutes plus tard, Peter revint avec une tasse dans les mains. Il te la donna pendant que tu t’asseyas sur son lit, le dos contre le mur. Tu pris une grande gorgée, appréciant le goût du thé noir avec du citron vert, de l’orange et de l’épice. Tu gardas la tasse entre tes mains alors que Peter récupéra le livre dans ton sac. Il n’avait pas besoin de te demander pour savoir que tu en avais amené un avec toi, tu avais toujours un livre sur toi, peu importe la situation. Peter rigola légèrement en voyant que tu relisais Le Seigneur Des Anneaux. Il te rejoignit sur le lit, s’installant à tes côtés. Pendant qu’il ouvrit le roman, tu te blottis contre lui. Peter passa son bras droit autour de tes épaules, te rapprochant de lui. Tu bus une nouvelle gorgée et Peter reprit la lecture là où tu l’avais laissée. 
En écoutant Peter lire, tu ne pus t’empêcher de te sentir reconnaissante d’avoir Peter dans ta vie. Il savait parfaitement quoi faire et dire pour t’aider à aller mieux. Tu n’aurais pu imaginer un meilleur petit ami. Tu savais qu’il y aurait d’autres moments où tu n’irais pas bien comme ce jour-là, tout comme Peter aurait ses mauvais jours, mais tant que vous étiez ensemble, vous iriez bien.
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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les-portes-du-sud · 1 year
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...il prit plusieurs livres et les plaça en pile sur la table près du lit. Il les a acheté récemment pour lire pendant les nuits blanches. Quelque chose d'incompréhensible lui arrivait : les livres devenaient de plus en plus importants pour lui. Et même s’ils ne pouvaient pas tout remplacer, ils touchaient néanmoins une sphère intérieure à laquelle rien d’autre n’avait accès. Il se souvenait que pendant les premières années de sa vie dans un pays étranger, il n'avait jamais lu un livre. Tout ce qu’ils disaient était trop pâle par rapport à ce qui se passait réellement. Désormais, les livres étaient devenus pour lui une sorte de rempart défensif, et même s'ils n'offraient pas de réelle protection, il était encore possible d'y trouver une sorte de soutien. Ils n’ont pas vraiment aidé les gens à vivre, mais ils les ont sauvés du désespoir à une époque où le monde glissait de manière incontrôlable dans les ténèbres impénétrables d’un abîme sombre. Ils ne nous ont pas laissé désespérer, et cela a suffi. Dans un passé lointain, les gens avaient des pensées qui sont aujourd'hui méprisées et ridiculisées, mais ces pensées sont apparues et resteront pour toujours, et cela en soi était une consolation.
Erich Maria Remarque.
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peut-etre · 8 months
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Et maintenant j’écris des poèmes de rage des piles colériques
On s’acharnerait si on les lisait derrière mes épaules aiguës
Maintenant que ça fait peur
Il faut donner à lire des morceaux de douceur
Des preuves de mes motivations
Photo de moi me levant le matin
J’ai perdu ceux qui étaient si justes ceux qui parlaient si bien
Ceux dont les yeux écrivaient les poèmes à ma place
Ils sont morts d’un coup
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birbliothecaire · 6 months
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Je suis rentrée chez moi. Pile à lire de la honte
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e-c-guyot-blog · 2 months
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Les Lectures Chatbuleuses de Grison (partie 2)
Un chat qui lit…? 🤔 Oh, ça doit être tout à fait normal! 😁 Et voici les 5+1 romans un peu fantastiques (ou non) avec des chats dedans que Grison a collecté cette semaine! A lire sur papier ou sur tablette, toujours avec un chat sur les genoux… 👍👍👍👍👍 On commence toujours par le +1, et oui Grison aime commencer par elle-même! Vous pouvez la retrouver dans des aventures fantomatiques et…
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alain-keler · 21 days
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Un pays entouré de murs.
J’ai cherché une définition de Mur. Comme dans tous les dictionnaires, les définitions sont multiples. Pour le Robert un mur est un ouvrage de maçonnerie qui s’élève sur une certaine longueur et qui sert à enclore, à séparer ou à supporter une poussée. Construire, bâtir, élever, abattre un mur, fermer un lieu de murs, murer, emmurer.
Les synonymes sont nombreux : Mur d’enceinte, raser les murs, mettre quelqu’un au pied du mur. Au figuré, ce qui sépare, forme obstacle. Un mur de manifestants, un mur d’incompréhension. On trouve aussi le mur du son, franchir le mur du son, au football faire un mur décrit une ligne de joueurs placés entre le tireur et le but lors d’un coup franc, ce qui est assez éloigné du travail que je vais développer, quoique !
En recherchant bien, on arrive à la définition d’une frontière. En géopolitique, on parle de murs, de murs-barrières ou de barrières frontalières pour qualifier les ouvrages visant à contrôler de façon drastique, voire à rendre impossible les flux illégaux de personnes, mais aussi de certains biens aux frontières.
Et puis il y a les drapeaux, symboles d’une identité, d’un groupe ou d’une communauté, brandis dans des manifestations, qu’elles soient sportives ou politiques.
 Les religions sont aussi des murs, souvent infranchissables, tant le travail fait sur des cerveaux dociles les rend inaptes au développement intellectuel. On le voit quotidiennement et mondialement !
Dans l’éditorial du journal Le Monde du mercredi 4 septembre 2024 on peut lire : « Le premier ministre israélien a décidé. Près de onze mois après le massacre de civils israéliens par le Hamas, l’éradication du mouvement terroriste demeure sa priorité. Pas la libération des dizaines d’otages capturés le 7 octobre 2023 et encore retenus dans la bande de Gaza. Au lendemain de la découverte des corps de six otages Netannyahou est resté ferme, insensible aux protestations que son intransigeance suscite dans l’opinion israélienne. Il exige ainsi le maintien du contrôle par Israël des quelques kilomètres de frontière qui séparent Gaza de l’Égypte, en désaccord avec son ministre de la défense ». 
 Le couloir de Philadelphie a été établi comme zone tampon entre l’Égypte et la bande de Gaza en 1979, puis reconduit en 1995 après les accords d’Oslo.
Le mercredi 13 septembre 2005 je me trouvais à Gaza après le départ des israéliens. Le Hamas avait fait exploser une partie du gigantesque mur d’acier qui séparait Gaza du couloir laissant la voie libre vers l’Égypte.
Voici un extrait de mon journal de l’époque et qui sera accompagné de deux photos du passage ouvert, pile et face !
« La frontière avec l’Égypte a été ouverte. Les égyptiens veulent faire un cadeau aux palestiniens après l’incident d’hier qui aurait vu la mort d’un jeune palestinien essayant de passer cette frontière. En fait, cette mort n’a jamais été confirmée, et l’explication de cette ouverture non plus. Il semble qu’il y ait eu une pression telle qu’il fallait faire quelque chose avant que tout cela ne tourne à l’émeute. De toutes manières, je ne vois pas trop les égyptiens faire des faveurs aux palestiniens, il se dit qu’ils sont très racistes à leur égard.
« It’s Christmas », me dit un homme traversant la frontière. Ils sont des milliers à escalader le mur qui sépare Philadelphia road de l’Égypte, en fait ce petit mur est la vraie frontière.
Hommes, femmes voilées, enfants, vieillards, moutons, j’ai même vu une grosse moto portée par-dessus ce mur. Ils sont simplement heureux. C’est une ouverture de la cage. C’est la première fois depuis 1982 et la construction de cette frontière que les palestiniens peuvent quitter librement Gaza. L’événement est de très grande importance.
Le pays entouré de murs, c’est Israël, ou-et la Palestine. C’est comme on veut, en fonction de ses idées politiques ou géopolitiques sur la question, un pays, deux pays, une confédération ou une union économique à l’instar de l’Union Européenne. 
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NOTE DE LECTURE : Le bal des folles. Victoria Mas. 2019
J'appréhendais un peu de commencer ce roman qui trainait dans ma pile à lire depuis des mois, car je connaissais globalement la teneur de l'histoire et la folie, ça fait peur.  Or j'ai débuté avec aisance le récit de Victoria Mas, auquel j'ai accroché facilement malgré les éléments de surnaturel qui en font l'intrigue : Eugénie, l'héroïne, est médium et communique avec des esprits, sans qu'à aucun moment ne soit envisagé le délire. Le parti pris de l'autrice est bien d'effacer la frontière de la vie et de la mort, de la folie et de la norme pour évoquer uniquement des femmes qui souffrent, et pour lesquelles la folie est le seul moyen de défense contre des traumas et/ou une société maltraitante.  C'est donc une fiction qui prend le ton d'un engagement féministe pour dénoncer les violences du patriarcat : les proxénètes, les abuseurs, les menteurs, les voyeurs, les médecins, les pères, et les hommes en général de ce XIX siècle parisien.  Dans ce premier roman, Victoria Mas réussit à la fois à décrire l'ambiance sociale et les découvertes médicales de cette époque tout en tenant le fil de sa narration autour des personnages d'Eugénie, l'internée et de Geneviève, l'intendante du célèbre neurologue Charcot, qui étudie les maladies nerveuses et autres hystéries.  L'histoire d'Eugénie et de Geneviève, de Louise, de Thérèse et toutes les autres femmes internées à la Salpétrière est extrêmement touchante, humaine et sensible, passant d'un instant à l'autre du côté des parias, le plus souvent et malheureusement pour entrer à l'hôpital d'ailleurs... sans plus d'espoir d'en sortir. Ainsi Le bal des folles a reçu un très bel accueil lorsqu'il est sorti, lui, ce qui montre bien que le message de fond est bien passé. Tant mieux ! 
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Tag de @flo-nelja et de @calimera62, en tant que bibliothécaire je pouvais pas NE PAS répondre
1) Le dernier livre que j'ai lu: Sign tome 1, de Ker (webtoon BL +18)
2) Un livre que je recommande : Life of melody, de Mari Costa (j'adore Mari Costa et ses BD romances lgbt+ 🥰 - celui-ci n'a pas encore été traduit)
3) Un livre que je ne pouvais plus reposer : Contes des royaumes oubliés, (tome 1) Le prince au bois dormant, d'IIsabelle Lesteplume
4) Un livre que j'ai lu 2 fois (ou plus) : Seule la mort attend la vilaine (tome 1), de Suol (adapté du roman de Gwon Gyeo Eul)
5) Un livre dans ma Pile à Lire : La chose dans la cave : et autres nouvelles, de David Keller
6) Un livre que j'ai abandonné : L'association des femmes africaines (tome 1), de Swann Meralli et Clément Rizzo
7) Un livre sur ma wish list : Faut-il en finir avec les contes de fées ?, de Jennifer Tamas
8) Un de mes livres préférés de mon enfance : Les enfants de Frankenstein (en 3 tomes) de Richard Pierce
9) Un livre que tu pourrais donner à un ou une ami.e : je donne pas mes livres wesh !!!!! 🤪😆
10) Un livre de poésie que tu possèdes : Les Illuminations, d'Arthur Rimbaud
11) Un livre de nonfiction que tu possèdes : Présentes - ville, médias, politique...quelle place pour les femmes ?, de Lauren Bastide
12) Qu'est-ce que tu lis en ce moment : Phallers, de Chloé Delaume
13) Qu'est-ce que tu prévois de lire ensuite : Le Grand Maître de la cultivation démoniaque (tome 3), de Mo Xiang Tong Xiu
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