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#les skatepark
pocketdays · 2 years
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Porsche 956, Enero 2023
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ftbx · 1 year
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Présentation du Petit Shop Unity Eu (76)
Présentation Skate shop Unity Team mai 2023
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patinemos · 7 months
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LES Coleman Skatepark / NEW YORK
photo by the street voices
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elderwisp · 4 months
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◁ || ▷
Frances: Can you hand me the tape once you’re done?
Dan: I think I used up the last bit, maybe we can stop by the store? I need a new sharpie anyway.
Frances: Wanna go right now? I need a break.
Dan: Ye ye. Kai!
Kai: Sup.
Dan: What happened to your face??
Kai: I tried covering all of the holes but, uh, Frances you might not get the deposit back.
Frances: When do people ever get their deposit back?
Kai: Trueeeee.
-
Dan: YOO we should get a crock-pot-
Kai: Who the fuck says that, Dan?
Dan: Bitch, you’re the one that burns pre cooked fries in an air fryer. Of COURSE you wouldn’t be literate in the art of food.
Kai: OHKAYYY since when did working in fast food make you a food critic?
Dan: I don’t have to be a food critic to know you suck at cooking, right Frances? 
Frances: [ a longing sigh ]
Dan: … Frances, you okay?
Frances: Hmm? Oh, yeah, bad at cooking.
Dan: Hold up, what’s wrong?
Frances: Graduation’s coming up.
Dan: Thank god, right?
Frances: And then I leave for De Sol Valley…
Kai: Exciting! Wait, why do you look so sad?
Frances: I dunno, it’s… So far away.
Kai: Only a short two hour train ride.
Frances: And I’ll be alone.
Dan: Facetime?
Frances: I just… [ sings ] Liked this little life. 
Dan: You mean being stressed out juggling several jobs and school?
Frances: It kept me active.
Dan: Your anxiety hair literally clogged the sink multiple times.
Frances: I needed to thin it out anyway.
Dan: You’re weird.
Frances: Thanks. 
Kai: I mean, is there anything else holding you back?
Frances: I- A lot of things. I’ll sort it out though before I go.
Dan: Well, let us know if we can help you.
Kai: So, you think I can sleep in your room while you're gone?
Frances: I mean, sure but why?
Kai: I think I kind of hate being home now.
Frances: Oh?
Kai: It’s nothing serious.
Frances: Dang- Wait, hold that thought I gotta pee.
Dan: Todo bien? Everything good?
Kai: No le digas nada, pero Atlas está usando otra vez. Don’t tell her anything, but Atlas is using again. 
Dan: ¿De verdad? ¿Cómo lo sabes? Really? How do you know?
Kai: Atlas estaba mandando un mensaje a Taryn sobre eso. Hablan... mucho. Atlas was texting Taryn about it. They… Talk a lot.
Dan: Fucking hell. Did you check her phone?
Kai: It was an accident! Sort of. Look, I would prefer skydiving without a parachute instead of watching this unfold.
Dan: I mean, the good thing is he stopped, right?
Kai: I dunno but that doesn’t hide the fact that he lied.
Both: Again.
Kai: He asked her not to tell us, Dan. His friends.
Dan: Yeah, well, he hasn’t necessarily been the most open lately. 
Kai: I mean I would have thought we mattered more. 
Dan: You can’t take it personal. You know how he gets.
Kai: I just feel like eventually we’re going to get tired of it.
Dan: I’m aware. [ sighs ] Jesus, this is a mess.
Kai: Yep. By the way, he invited us to go to the skatepark, please go.
Dan: Duh. Hopefully it’s not awkward. Don’t make it awkward.
Kai: I won’t!
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a-room-of-my-own · 6 months
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On a des petites filles qui se font lyncher devant leur collège par des Daech juniors et la réponse des différents partis politiques c’est
- faut plus de moyens
- faut plus de dialogue inter religieux
- faut manger des chamallow autour d’un feu en chanter Kumbaya
NON
Faut me ramasser ces petits connards et les foutre en centre éducatif fermé
Faut arrêter de tout le temps raquer, merde.
Et puis c’est quoi le message qu’on envoie aux filles qui sont en première ligne ? Tabasser des gamines et on vous enverra en classe verte? Non mais on est où ? Ça fait des années qu’en réponse aux émeutes on construit des skateparks pour ces messieurs, est-ce qu’on a vu un résultat ? Et les filles ont leur construit quoi ? On leur propose quoi ?
Des gamines prostituées, tuées, violées, brûlées dans des cabanons, tabassées presque à mort à l’école et tout le monde regarde ailleurs parce que ça se passe dans des cités ! Et personne pour prendre leur défense !
Ça me rend folle.
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swgzl · 8 months
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BACK TO THE FUTURE.
Un projet sur lequel j'ai travaillé avec Monocle et Sophie. Design by Monocle, code par moi-même.
Contexte :
2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitant·e·s. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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bttf-rpg · 9 months
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2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitants. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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thedeathdeelers · 11 months
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writing pattern game
Rules: Share the first line of your last ten published works or as many as you are able and see if there are any patterns! (from most recent to least recent, starting from the top). Tagged by @onlygenxhere
hmmmm ok this should be interesting (i’m only counting the ones up on ao3 as Published)
1. rent is due (Hidden Love TV 2023)
“I’m a very generous and gracious person,” Sang Zhi announces one day out of the blue.
2. falling for you; falling through you (jatp)
He lands with ease on familiar linoleum flooring, having gotten the hang of this whole ghost thing.
3. mirror mirror on the wall (Hidden Love TV 2023)
Her phone rings first thing in the morning, startling her from her sleep.
4. finally (jatp)
“Come oooon Luke, just one date.” Julie slumps against Luke’s side, head resting on his shoulder as she tilts her face up towards his to better flutter her eyelashes at him, pout already in place.
5. i’m not the same as i used to be (i think i’m haunted by the things i’ve seen) (jatp)
A gentle nudge near her legs wakes her up, the old weathered leather beneath her bare arms sticking to her skin.
6. your lipstick stain is a work of art (jatp)
He straightens his collar for the millionth time, tugging at his shirt sleeve as his fingers brush over the cuffs Julie had bought him a few days ago.
7. a hike and a surprise (jatp)
She’s not sure why she agreed to this.
8. sweet sweet fantasy (jatp)
He stayed away all day in an attempt to be thoughtful — Julie has exams this week, and she has repeatedly told him that he is more distraction than company (and so what if he’s smug about it?).
9. the breathings of his heart (jatp)
It’s a quiet lazy afternoon, with only the sounds of the soft rain pattering against the studio roof keeping them company.
10. est-ce le diable qui s’est incarné en elle? (jatp)
Luke poofs back outside the studio doors, having left Reggie and Alex behind at the skatepark with Willie.
i start a lot of my fics with “he” or “she” or half way through a conversation, kinda keeping it vague to start with?? i like to jump right into the middle of the story rather than wasting my time setting it up cause im Very Impatient so yeah. there’s that?
i’mma tag @lydias--stiles, @mac-lilly & @missjoolee and literally anyone else who wants to join in!
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inveryiswriting · 2 years
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Hi, so, I accidentally published this without editing well, so I deleted it and was so close to do something drastic. Now, English it's not my first language and I'm too used to narrate in Spanish, just in case.
Okay, now, this is a "tribute" to Wheel Bitten, a webcomic made by @toxooz (An amazing artist with such rich variety of designs, and creator of many of the blorbos that are, currently, eating my brain), because of that, if someone reaches this and hasn't read it yet, here's a link to it.
A tribute for a gentle giant "Tor Gith".
It is something that many of us don’t think about regularly, because we constantly move around, going to different places. But there’s this feeling when you go to certain places, just as your feet touch the ground nearby, looking at the first couples of details that are common to you. Sometimes is dreadful, your throat closes and every inch of your body feels like being pulled away from there.
That doesn’t happens when I go near the skating park. No… no, I feel so light, and it’s not like this place tries to drag me, it just feels right to be there.
The wire fences rise from the ground and stay as the hard skin of this gentle giant. The pavement extends, scratched by wheels and long forgotten falls. The rails, as I like to call those, the bones, have seen so much pain and bruises, but also every bit of comfort that came afterwards. Like everything, here I have dropped so many tears, but none of those were bitter, just empty reactions after the physical pain of it all.
As I get near, even with no lights around, I remember my way into this place. How my heavy tail sways from side to side and grazes the floor, the way my shoes hit underneath me and the wind goes against my long fur.
I skate around, feeling kinda lonely, but I just need to cool off. My balance is not the best to do many tricks, but I keep going, just like Ollie always tells us. For pain is another casualty that can catch you with every step, and now I’m lucky that it doesn’t go deeper than my skin.
It doesn’t feel that right to be here… it’s a weird feeling, like being around school after class. There’s no one around and… now, more than ever, I kinda hate being so shy, because I miss having them around.
I’m safe here, I survive because of this place, but it would be nice to live. The difference between living and surviving is how much you struggle to keep your head up at the sky, and now, the stars above seem brighter than ever.
It’s kinda stupid to be skating while looking anywhere else than the floor, so, naturally, I fell hard to the ground.
And now there’s no face peeking over me to make sure I’m okay, just the stary night sky. Somehow, everything feels more real here, in Tor Gith, or just our skatepark, where even the sensations are allowed to rise above the gray surroundings.
As I breath in, my lungs fill and my chest loses the grip it has on so much shit.
I stand up, reaching with a hand at the jaws behind my head, checking that the wires of my braces haven’t popped off. Just standing here, wishing for this place to open up and swallow me whole, keep me here until the morning, hoping for someone to come early and be here.
I can actually be here, waiting for company.
The skatepark sleeps at night, with no flow of monsters to keep it awake and thrilled. But now it stays with one eye open, watching over me. Maybe I’m just dumb and sad, but that thought feels nice. Something bigger… something special taking care of me.
This place was left alone to rot, from what I remember to hear, both from others and my parents. It grew bitter and alone, the stagnant water of rain filling the bowl like an empty stomach. With fallen trees that broke its skin. The floor used to be cracked and scarred from neglect. Until someone came and pumped life into it again, healing and working on every inch that was left alone.
It could’ve been forgotten and never explored again, but now the skatepark’s life comes along everyone that goes around and inside of it. The heart of a place beats for everything that exists within.
I’m just one, but thinking that I’m still capable of keeping it awake is a comforting feeling.
This place is nothing without its people, and I feel that I’m no one without it. For monsters bring the magic that made this place so warm and happy, keeping this air of family and belonging. For all that may desire to be somewhere, this skatepark stays day and night waiting for them, and many of us wait to be able to come here and live as if there’s nothing outside this breathing walls.
There was someone for this park, someone that saw so much potential into something that may have looked like an impossible project, or even a dead thing that should’ve been left to rot and eaten away. But it only needed someone to believe in it.
And I love that you did it, a beacon for everyone that needs it.
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joeygallagher · 2 years
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“I don’t have any assistants or people making me lunch or cleaning up my space. It’s my old New York roots and class awareness. More power to people that have that sort of posse. I just don’t need it.” - Barbara Kruger 
Barbara Kruger Interviewed by Steve Olson (2018)
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sk1ttery · 1 year
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Headcanons for Les Jacobs in Wallflower AU?
His full name is Lester Jacobs but he hates it and thinks Les is cooler.
Because he’s a lot younger than most of the group (he’s around 11 in this AU) he doesn’t tend to hang out with them a lot, unless its a group hang out and people bring their ‘kids’ *
He also doesn’t have any social medias or a proper phone because the Jacobs’ parents are quite strict on Internet access. He has a tablet that he plays Roblox and such on though. (I promise he isn’t an IPad kid as much as the others joke about it)
One of his favourite past times is trying to embarrass Sarah and Davey any chance he gets. If they’re with friends he’ll barge in and loudly proclaim something embarrassing about them. If they’re in a call be appears and shouts something into the mic. The others genuinely find him really funny.
He REALLY looks up to Jack. He is his idol. So he tries to talk to and hang out with him l the time him all the time, and Jack’s really sweet about it- he’ll take time to play Roblox with him.
Les also likes to play Roblox with some of the others siblings (Non-Canon characters I made up for the AU, such as Bumlets’ younger sister Alena, or Buttons younger siblings Ethan and Anna)
He tries to get Tumble-Boy to play but the kids seven and his older brother, Skittery is parnaoid Les will traumatise him with the game Doors. (It’s his favourite Roblox game). Skittery’s fear definitely isn’t from the fact Snoddy made him play Doors when it came out and he got jumpscared.
He really loves animals, his favourite animals are giraffes. He thinks they’re really cool and can and will infodump about them. He also loves superheroes and his favourite character is Red Hood/Jason Todd from the Batman comics. He collects DC figurines.
Bumlets taught him to skateboard and he’s been a MENACE since. Specs lives right next to a skatepark so sometimes Les, Davey and Sarah will go there to hang out and so Les can practice.
Racer taught him to swear and barely escaped with his life. Davey was really mad about it but now he can’t prevent it because at any minor inconvenience Les will yell “Shit”.
* : The ‘Kids’ bit is something that originated from my friend and I’s RP.
Skittery and Tumble-Boy are brothers in the AU and the others often refer to Tumble as Skittery’s ‘kid’ or ‘son’
Similarly, Hot-Shot from Brooklyn legally adopted Ten-Pin (6) when he turned 18 for lore reasons I’m not going to get into right now, but Ten is LEGALLY Hot-Shot’s child.
The group refer to Tumble, Ten and Les as ‘the kids’.
Theres also ‘The Miners’ and Price and HIS kids but I could make a whole separate post on that.
Wallflower AU Brooklyn boys and girls are so very dear to me.
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ftbx · 3 months
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Le skatepark de Sainte Geneviève (60)
Les travaux du skatepark de Sainte Geneviève se terminent
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me taggeó @corvus-pictor gracias!! literal es como me vas a ver vestido un sábado a las 9am yendo al skatepark y escuchando esa misma música en la bici (faltó el choko, no puedo creer que este juego no haya tenido PERROS, realmente insólito)
y no sé a quién taggear porque nosé a quién le gustan estos juegos y no quiero incomodar ni que me dejen en visto lol
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toutmontbeliard-com · 16 days
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Les Journées Gourmandes de Montbéliard 2024
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Montbéliard accueille la deuxième édition des Journées Gourmandes, les samedi 21 et dimanche 22 septembre 2024 (samedi de 14h00 à 23h00 et dimanche de 10h00 à 21h00), Parc du Près-la-Rose, au cours du week-end dédié aux Journées du Patrimoine, l’occasion d’allier la visite du riche patrimoine historique, patrimonial de la Cité des princes et de savourer les spécialités culinaires du Pays de Montbéliard et de Franche-Comté. Après une première édition très réussie sur le site du château, la deuxième édition des Journées Gourmandes sera organisée dans les allées du parc du Près-la-Rose où différents espaces seront aménagés pour accueillir les visiteurs : marché de produits locaux et artisanaux variés, espaces jeux pour tous, village de foodtrucks, espace apéro-chill/détente avec musique, transats et poufs géants. L’évènement est organisé par la Ville de Montbéliard, le collectif Montbéliard Animations et Festivités et l’Office de tourisme du Pays de Montbéliard. A travers cette nouvelle collaboration, les organisateurs poursuivent leur objectif de valoriser le patrimoine et les savoir-faire locaux en matière de gastronomie avec le soutien de producteurs et autres métiers de bouche de Montbéliard et des alentours. A l’instar de l’an passé, la deuxième édition est organisée sur deux jours avec un grand marché du terroir, des animations pour tous, des concerts en accès libre et une marche gourmande… Marché du terroir Le marché accueille cette année une quarantaine de producteurs locaux contre une quinzaine en 2023. Installé dans les allées du parc de Près-la-Rose, il offrira une large gamme de produits alimentaires de qualité. Les visiteurs pourront se laisser tenter par les nombreuses dégustations et repartir avec quelques petites provisions, histoire de se remonter le moral en ce début d’automne. Les visiteurs retrouveront les salaisons locales comme la saucisse de Montbéliard ou encore escargots, tartinades, cancoillotte, comté, morbier mais aussi des miels, chocolats, glaces, confitures, biscuits.... Les boissons satisferont également tous les goûts : bière, vin, crémant et autres boissons sans alcool... Les visiteurs pourront se laisser tenter par un cornet de saucisson, un sandwich de fondue à la Morteau ou encore un « Hot comtois » ! Au menu également : coq au vin, pâtes au pesto d’ail des ours, friture de carpe, frites, poulet au comté... Tarte aux noix, gaufres, crêpes... Bières, limonades, café, tisanes... Stands d'information et de sensibilisation Des associations et partenaires de la Ville de Montbéliard seront également présents : Signé Montbé (commerces de Montbéliard et bons d’achat) ; Office de tourisme du Pays de Montbéliard (promotion des événements et boutique) ; Info Jeunes Montbéliard, le samedi seulement (Carte Avantages jeunes) ; Association pour le Don du Sang Bénévole de Montbéliard (sensibilisation au don) ; ASCAP Œnologie (initiation, le samedi de 15h00 à 17h00 et le dimanche de 10h00 à 12h00). Marche gourmande Montbéliard va accueillir la deuxième édition de la Marche gourmande le dimanche 22 septembre 2024. L’occasion d’allier la visite du riche patrimoine historique de la Cité des princes et de savourer les spécialités culinaires de Montbéliard et de son pays. Départ depuis l’Office de Tourisme de 10h15 à 12h30 avec un départ toutes les 15 minutes. Etape finale au Près-la-Rose Au menu : étape 1 Théâtre de Montbéliard, apéritif Pontarlier ou bière régionale ou kombucha ; étape 2 Stade Bonal, velouté de poireaux et saucisse de Montbéliard IGP, Arbois Blanc Ligier ou Limonade ; étape 3 Temple Saint-Georges, émincé de poulet au vin du Jura, cèpes et roestis, vin de Charcenne ou eau ; étape 4 Skatepark Le Frigo, assiette de fromages, Poulsard ou boisson sans alcool, animation Freestyle Adrenaline Camp ; étape 5 : Parc du Près-la-Rose, baba franc-comtois à la cerise (avec ou sans alcool), boule de glace pour les enfants, infusion ou café. Adulte 35 €, enfant 20 € (de 6 à 14 ans,  comprenant les étapes 1, 3 et 5,  avec boissons sans alcool et boule de glace). Inscriptions auprès de l’Office de Tourisme du Pays de Montbéliard 03 81 94 45 60, réservation jusqu’au 12 septembre 2024. infos > www.montbeliard.com     Read the full article
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rosesinvalley · 5 months
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TRASHER magazine 100% agression
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Le monde du skate et les exploits des skateurs sont fascinants et nous voulions faire une aparté sur ce magazine mythique, cette bible fondée par Kevin Thatcher, Eric Swenson et Fausto Vitello.  Elle raconte l'évolution du skate, la vie des skateurs et la culture underground, qui gravite avec la musique punk, ska, métal, le graphisme lowbrow et d'illustrateurs indépendants, les exploits, les vidéos amateurs, les marques, les concours et les compétitions depuis 1981.
Le thème Break the rules va parfaitement avec la culture du skate car déjà tu enfreins la loi quand tu fais du street et que tu ne vas pas au skatepark. La plupart des lieux publiques sont interdits aux planches. Tu fais peur aux mamies, la police te déteste, tu détériores le matériel public rampes, escaliers, tu bois dans la rue, tu vis en meute, tu fumes, tu as des tatouages, tu portes des marques qui revendiquent la liberté...Certains revendiquent le style de vie "straight edge"  associé à la musique punk hardcore dont les adhérents ne consomment ni alcool, ni tabac et autres drogues... sont aussi vegans.
C'est une sous culture underground qui tient dans le temps, qui évolue mais qui garde ses racines aux USA.
Bien sûr, chaque skateur a sa personnalité plus ou moins trash, plus ou moins lisse et c'est par la lecture du  magazine que tu apprends à mieux les connaître.
Le plus souvent choisis pour leurs performances et leurs sponsors, les interviews restent brutes et dévoilent leurs atouts, leurs figures, leurs spécialités.
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"TU DEFIES LA MORT, tu prends en main ta destinée." citation alambiquée mais representative.
Citation du redac chef sur ceux qui portent du Trasher et ne pratique pas.
“On n’envoie pas de produits à Justin Bieber ou Rihanna ou ces putains de clowns. C’est dans la rue que les vraies choses se passent. Du sang ou des croûtes, est-ce qu’on peut faire plus réel que ça ?“. Jake Phelps
Le skate c'est pour les têtes brulées dont les filles. Mais c'est aussi un sport qui tient pas en forme: tu te brises sur le pavé, tu tombes, tu te ramasses si tu aimes faire des figures. Mais c'est fun quand même! Les moment de relâchement sont cools, les rush videos des exploits vaillent la peine. Les skateurs se soutiennent  autour d'une bonne pinte en sortant de cessions, comptent leurs bleus. 
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 La police utilisée "Banco" pour le logo fut inspirée d'un album de Bob Marley au style de vie caribéen et au reggae qui correspond bien aux fondateurs et aux styles des publications cools. 
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Thrasher n'est pas qu'un magazine mais l'équipe de rédaction a su créer son propre contenu, propre au DIY, depuis le 1er numéro du magazine publié à San Francisco en 1981.
Découvre toutes les couvertures du mag depuis 1981 inspirantes: https://www.thrashermagazine.com/magazine/covers-archive/
A l'intérieur de THRASHER Magazine, sont présentés des centaines de pro skateurs célèbres du monde entier tels que Tony Hawk, Bob Burnquist, Bam Margera (Jackass), Steve Caballero (Bones brigade) pour les plus anciens, Stacy Peralta, Tom Sims, Tony Alva, Laura Thornill (70's)  ainsi que Pascal Thomas et leurs équipes à travers des publicités et des articles, de la musique punk rock évidemment car la plupart des skateurs jouent de la musique dans des groupes de punk rock, c'est la Californie.
Les jeunes s'approprient dans le monde entier cet univers, cet état d'esprit, connaissent mieux les marques, les figures, la technique, deviennent fan de ... porte le logo signe d'appartenance.
Chaque année, THRASHER délivre son titre de « SKATER OF THE YEAR », sponsorisé par les divers annonceurs du magazine depuis 1990 avec TONY HAWK.
Jusqu’en 2009, fin du format dvd, l'équipe sortait une vhs par an depuis  1988. Le contenu en ligne maintenant est facile, abondant avec le numérique et la diffusion avec les réseaux sociaux même la façon de faire les vidéos sont allégées avec le matos numérique.
Chaque année depuis 2003, THRASHER organise également le « KING OF THE ROAD », une tournée challenge par équipes impliquant  quatre équipes composées de proskateurs de différents horizons reçoivent un livre d'épreuves et ont deux semaines pour sillonner le pays et atteindre autant d'objectifs que possible.
THRASHER possède également son propre skatepark indoor : « DOUBLE ROCK » où l'équipe invite des personnalités à venir rider, en concrétisant leurs venues en vidéo. en découvrir plus sur:
thrashermagazine.com
youtube
2 documentaires à voir pour comprendre le lâcher prise que transfigure le skate, une sensation de liberté et une révolution pour les jeunes ainsi qu'1 marque lyonnaise qu'on aime bien Antiz et qui fait des belles planches.
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ANTIZ
Créée en 2002 à Lyon par une bande de 4 potes que sont Julian Dykmans, Julien Bachelier, Hugo Liard et Loïc Benoît, ces boards aux graphismes assez sombres et provocateurs sont composées de 7 couches d'érable canadien pressées en Amérique du Nord chez ABC. https://www.antizskateboards.com/
Antiz video de Bruno Detante https://www.instagram.com/brunodetante/
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deestimes · 2 months
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Living the Dream Year 3 Day 357 - Day 22 of 28-day European Vacation - Day 2 Le Havre, France (Beach, skatepark, raw burgers)
Year 3 Day 357 “Living the Dream”. Tuesday, 4/23/2024. Day 22 of 28-day European Vacation. After a great breakfast at the hotel, we headed out for a long walk. We were heading to the Hanging Gardens. We never made it there but spent a few hours walking the residential streets and also along the waterfront. The beach of Le Havre is a prime destination for many who come from as far away as…
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