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#meilleure école
jezatalks · 11 months
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Cet après midi je vais prendre un goûter avec les 3 personnes qui veulent coucher avec moi (a prendre 1er degré ou pas) aka : mon mec, mon ex, et mon meilleur ami (ace).
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gulshanwhydonate · 2 months
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Les Meilleures Idées de Levée de Fonds pour Vos Projets
Introduction
Dans le monde d'aujourd'hui, lever des fonds pour des projets variés peut sembler un défi de taille. Cependant, avec les bonnes stratégies et une approche bien planifiée, il est possible de réunir les fonds nécessaires. Que ce soit pour une église, une école, ou une association, voici quelques-unes des meilleures idées de levée de fonds qui peuvent vous aider à atteindre vos objectifs financiers.
1. Les Meilleurs Idées De Levée De Fonds
Pour commencer, explorons quelques idées innovantes pour la levée de fonds. Ces idées sont conçues pour attirer l'attention et encourager les gens à contribuer généreusement.
Vente de Produits Personnalisés : Que ce soit des t-shirts, des mugs, ou des sacs, la vente de produits personnalisés peut être un excellent moyen de collecter des fonds. Ces articles peuvent porter le logo de votre école ou association, ou un message inspirant.
Événements de Levée de Fonds : Organiser des événements comme des marathons, des concerts, ou des dîners de charité peut attirer une grande foule. Les participants paient des frais d'entrée, et les dons peuvent également être collectés durant l'événement.
Ventes aux Enchères : Organiser une vente aux enchères d'objets donnés peut être très efficace. Les membres de la communauté peuvent contribuer avec des articles, et les enchérisseurs paient pour les obtenir.
2. Lettre de Demande d'Aide Financière pour une Église
Lorsqu'il s'agit de lever des fonds pour une église, une lettre de demande d'aide financière peut être très utile. Voici un modèle de lettre que vous pouvez utiliser :
Modèle de Lettre :
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[Votre Nom]
[Adresse]
[Ville, État, Code Postal]
[Date]
[Nom du Destinataire]
[Adresse]
[Ville, État, Code Postal]
Objet : Demande d'aide financière pour notre église
Cher/Cher Madame/Monsieur [Nom du Destinataire],
Je vous écris aujourd'hui au nom de notre église, [Nom de l'Église], pour solliciter votre aide financière dans le cadre de nos efforts continus pour soutenir notre communauté et nos programmes religieux.
Votre soutien généreux nous permettra de [décrire le projet ou l'utilisation des fonds]. Nous croyons fermement que votre contribution aura un impact significatif.
Nous vous remercions d'avance pour votre générosité et votre considération.
Sincèrement,
[Votre Nom]
[Votre Titre]
3. Demande d'Aide pour la Construction d'une Église
La construction d'une église nécessite des fonds considérables. Voici quelques conseils pour rédiger une demande d'aide efficace :
Soignez la Présentation : Votre lettre doit être claire, concise, et bien présentée. Utilisez un ton respectueux et exprimez clairement les besoins de votre église.
Expliquez l'Impact : Décrivez comment la construction de l'église bénéficiera à la communauté. Incluez des anecdotes ou des témoignages pour renforcer votre demande.
Détails Financiers : Fournissez des détails précis sur le coût du projet et comment les fonds seront utilisés. Cela montre que vous avez un plan bien structuré.
4. Idée Vente pour École
Les écoles peuvent organiser diverses ventes pour collecter des fonds. Voici quelques idées :
Vente de Livres : Organisez une vente de livres où les élèves et les parents peuvent acheter des livres d'occasion à des prix réduits.
Bazar de l'École : Organisez un bazar avec des stands vendant des produits artisanaux, des pâtisseries, et des objets divers. Les élèves et les parents peuvent contribuer en tenant des stands.
Kermesse : Une kermesse scolaire avec des jeux, des stands de nourriture, et des activités amusantes peut attirer beaucoup de participants et générer des fonds importants.
5. Demande de Don
Pour les organisations cherchant des fonds, une demande de don bien rédigée est essentielle. Voici quelques conseils pour écrire une demande de don efficace :
Personnalisez la Demande : Adressez-vous directement à la personne et expliquez pourquoi leur don est important.
Soyez Clair et Concis : Allez droit au but et expliquez pourquoi vous avez besoin de fonds et comment ils seront utilisés.
Incluez des Informations de Contact : Assurez-vous que les donateurs savent comment vous contacter pour poser des questions ou faire un don.
6. Site Crowdfunding et Plateforme de Crowdfunding
Les sites et plateforme de crowdfunding sont devenus des outils puissants pour lever des fonds. Voici comment les utiliser efficacement :
Choisissez la Bonne Plateforme : Des plateformes comme Kickstarte, GoFundMe, et WhyDonate offrent différentes fonctionnalités. Choisissez celle qui correspond le mieux à vos besoins.
Créez une Campagne Attrayante : Utilisez des vidéos, des images, et des histoires personnelles pour rendre votre campagne engageante. Expliquez clairement pourquoi vous avez besoin de fonds et comment ils seront utilisés.
Partagez Votre Campagne : Utilisez les réseaux sociaux, les emails, et d'autres canaux pour promouvoir votre campagne. Plus votre campagne est visible, plus vous avez de chances d'atteindre votre objectif.
7. Appel de Fonds
Un appel de fonds est une demande officielle de soutien financier. Voici comment faire un appel de fonds efficace :
Définissez Vos Objectifs : Soyez clair sur le montant que vous devez lever et pourquoi.
Utilisez des Histoires : Partagez des histoires qui montrent l'impact de votre organisation ou projet. Cela peut aider à établir une connexion émotionnelle avec les donateurs.
Faites un Suivi : Envoyez des remerciements et des mises à jour à ceux qui ont contribué. Cela montre que vous appréciez leur soutien et les encourage à donner à nouveau.
8. Action APE
Les associations de parents d'élèves (APE) jouent un rôle crucial dans la levée de fonds pour les écoles. Voici quelques actions efficaces :
Réunions et Ateliers : Organisez des réunions régulières pour discuter des idées de levée de fonds et planifier des événements.
Partenariats Locaux : Collaborez avec des entreprises locales pour obtenir des parrainages ou des dons.
Vente de Produits : Les ventes de produits comme les gâteaux, les livres, et les articles artisanaux peuvent générer des fonds importants.
9. Comment Faire une Cagnotte sur Instagram
Les réseaux sociaux, et Instagram en particulier, peuvent être des outils puissants pour collecter des fonds. Voici comment créer une cagnotte sur Instagram :
Utilisez les Stories : Les stories Instagram sont un excellent moyen de partager votre campagne de levée de fonds. Utilisez des images et des vidéos pour captiver votre audience.
Ajoutez un Lien de Cagnotte : Utilisez la fonctionnalité "Swipe Up" ou le lien dans la bio pour diriger les gens vers votre page de collecte de fonds.
Partagez Régulièrement : Publiez des mises à jour régulières sur votre campagne pour maintenir l'intérêt et encourager les dons.
10. Modèle de Lettre Demande de Don pour une Association
Voici un modèle de lettre pour demander des dons pour une association :
Modèle de Lettre :
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[Votre Nom]
[Adresse]
[Ville, État, Code Postal]
[Date]
[Nom du Destinataire]
[Adresse]
[Ville, État, Code Postal]
Objet : Demande de don pour [Nom de l'Association]
Cher/Cher Madame/Monsieur [Nom du Destinataire],
Je vous écris aujourd'hui au nom de [Nom de l'Association] pour solliciter votre soutien financier dans le cadre de nos efforts continus pour [décrire l'objectif ou le projet de l'association].
Votre don nous permettra de [décrire l'utilisation des fonds]. Nous croyons fermement que votre contribution aura un impact significatif.
Nous vous remercions d'avance pour votre générosité et votre considération.
Sincèrement,
[Votre Nom]
[Votre Titre]
11. Charity QR Code
Les QR codes sont devenus un outil populaire pour faciliter les dons. Voici comment utiliser un charity QR code :
Créer un QR Code : Utilisez un générateur de QR code pour créer un code unique qui redirige vers votre page de don.
Placer le QR Code Stratégiquement : Affichez le QR code sur vos supports marketing, y compris les affiches, les flyers, et les sites web.
Promouvoir le QR Code : Encouragez les gens à scanner le QR code lors d'événements ou via les réseaux sociaux.
Conclusion
Lever des fonds peut sembler complexe, mais avec les bonnes stratégies et outils, vous pouvez réussir à financer vos projets. Utilisez ces idées et conseils pour maximiser vos efforts de collecte de fonds et atteindre vos objectifs financiers. Que ce soit pour une église, une école, ou une association, chaque contribution compte et peut faire une grande différence.
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maviebuissonniere · 9 months
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Comment tenir ses bonnes résolutions : notre meilleure astuce 💡
Ah les fameuses bonnes résolutions… Chaque année au mois de Janvier, elles font leur come back dans nos vies et nous poussent à faire le bilan de l’année écoulée. Dans un élan d’excitation, on se laisse alors embarquer dans un futur inspirant et on décide d’accomplir quelque chose de nouveau, de différent et on prend nos traditionnelles bonnes résolutions pour la nouvelle année à venir. On se…
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fenrhi · 11 months
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Today on French People Are Clowns:
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thebusylilbee · 5 months
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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tututfdp · 4 months
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Modern AU Kaamelott
(j'ai lut La petite hétéro by TheHappyEgg et ça ma rongé le cerveau donc voila mon AU foireux sur les perso de Kaamelott étudiant).
Arthur Pendragon
 " il sent la monster et la clops dès huit heure trente, baptiser “l’accumulateur compulsif”, j’ai nommer; Arthur Pendragon! "
Je vois Arthur étudiant en histoire de l'art avec options Archéologie, ses subjects préféré: Rome Antique/Grèce Antique - Moyen-Age. Il a redoublé sa L2.
Il a EVIDEMENT fait un Erasmus à Rome.
Il est aussi au conservatoire, musique classique ou modern.
Certainement président d'une association étudiante qu'il a repris ou créer ( Surement un truc du genre "La table ronde" pour que tous vos droit soit respecté)
Grinder/Tinder: Peux importe l'appli', il est dessus.
Surement boursier, doit certainement bossé à la BU ou à un U.
Vous pouvez pas m'enlevé qu'il écoute SUREMENT, du Kyo, il en a honte mais il a tous les albums et les a vue en concert.
Il conduit surement une monospace acheté sur le boncoin pour pouvoir trimbalé toute l'équipe.
A un décapsuleur/couteau suisse baptisé Escalibur.
Depression, burnout, anxiété, manque affectif, le con a un cocktail.
Bonus: Bisexuel voir Pansexuel ? Certainement polyamoureux.
Lancelot Du Lac
" Élus mister Université trois années de suite! le fière le fringant, Lancelot Dulac! "
Troisième années de droit, surement de droite qu'il dit "modéré".
Il est obviously, le secrétaire de l'asso' d'Arthur, ils l'ont créer ensemble à l'époque.
Un conte tinder qu'il assume pas, avec une description genre " Capitaine de l'équipe de badminton, j'aime les balade sur la plages, recherche relation sérieuse".
Je sais pas Lancelot c'est le connard qui conduit une mini, ou une voiture deux places...
Si il fait pas aussi partit du BDE/ est le chouchou des profs c'est pas normal.
Il fait de la poésie en cachette.
Je dirais BPD, ou problème de gestion de la colère, problème obsessionnelle, OCD meme ?
Bonus: Hétéro qui pourrait avoir une seul relation gay dans sa vie, genre pour être sur qu'il est bien hétéro.
Perceval De Galle
"Revoyant à peine la lumière du jour, sortit l’année dernière d’une prépa Math-Physique, je vous présente,  Perceval De Gales! "
Je peux pas être objectif c'est mon chouchou.
Premier année en école d'ingénieur.
C'est se genre de gars mauvais au collège/lycée mais qui est inaltérable à la fac.
Il a fait un bac pro Mécanique Auto pour bossé dans le garage de ses vieux, mais son prof de math la poussé à tenter une prépa.
Ce con a fait une prépa Math-Physique et il c'est jamais autant fait chier de ça vie car tous était trop facile.
Dyslexique, j'ai raison c'est tout.
Membre du club d’astronomie et de l’association de la table ronde en temps que fouteur de merde première catégorie.
Octogone sans règles des que quelqu'un parle de la théorie de la terre plate.
Le connard que Arthur va voir quand son monospace lâche.
La définition d'un "con intelligent"
C'est le con qui à donné "Escalibur" à Arthur.
Bonus: Celui la est technique: "Le genre qui sort avec une personne pour son âme et rien d'autre" Il s'en fout, beau moche, trans, cis, nonbinaire tous ca, si l'amour est là, il est là, sinon demi-sexuel.
Karadoc de Vanne
" Un petit creux ? Une baisse de sucre ? Besoin de savoir quel est le meilleur kebab rapport qualité pétage de bide? Alors il vous faut : Karado de Vanne!"
A rencontrait Perceval durant les années lycées.
Je le vois pas étudiant ? Ou peut etre un truc genre STAPS, mais plus pour la blague.
Lui il a fait un CAP cuisine.
Deuxième fouteurs de merde de première catégorie dans l'assos, mais il serre aussi de traiteur quand ils font une soirée.
Il conduit un kangoo, un véhicule de chantier qu'il prend à ses vieux.
C'est le type qui a réussis à couper une tranche de saucisson avec sa carte étudiantes
A une note google map avec tous les meilleurs restorant, bar, fastfood et kebab de la ville classé part ordre de qualité/prix.
Il connait toutes les petites boulangerie et fromageries de la ville.
A surement gardait sa carte METRO de son anciens job d'été.
Connait beaucoup trop de monde dans l'industrie agro-alimentaire.
Personne ne sait comment il a eu une copine.
Bonus: Hétéro part défaut, pas de questionnement rien, c'est les réglage d'usine.
Bah c'est déjà pas mal dis donc, si vous en voulez plus hésité pas à me demandé, j'ai encore Merlin, Bohort et Elias dans un coin.
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from-derry · 8 months
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Groupes et communautés
Vous qui aimez la sécurité, l’ordre, vous endormir en sachant que vous êtes entre les mains de gens qui ont à cœur de vous protéger (de vous, des autres, d’Eux), vous souvenir de votre vie passée dans un confort très normé… Eh bien, vous avez toutes les chances de vous retrouver au centre bourg. Traversé par Main Road, on y trouve certains établissements comme le diner, l’ancienne école, la station-service ou le bureau du shérif. Vous serez logés dans des maisons pavillonnaires, dotées d’un certain confort ! Il faudra par contre parfois vivre avec d’autres personnes au gré des arrivées – ne vous inquiétez pas, généralement on place les gens en fonction de leur arrivée ou quand il y a bonne entente. C’est le shérif qui s’en charge, s’il n’y a pas de vœux – vous inquiétez pas, elle sait être arrangeante. C’est qu’on a qu’un nombre limité de maisons – enfin, en vrai vous pouvez vous en construire, mais elles ne seront pas liées à l’eau ou à l’électricité.
Sinon, il y a la maison commune. Là-bas, sur la colline, c’est à quinze minutes du centre bourg. La grande maison de type colonial. Par contre, vie commune, on partage tout, même les vêtements. C’est un peu confus au départ, mais le doyen organise tout d’une main de maître. Tous les espaces possibles sont occupés dès qu’il fait nuit, et c’est un peu le jeu des chaises musicales pour le couchage. Mais là-bas, il y a toujours quelqu’un de réveillé, une bonne entente, de la musique, des rires. Il y a deux règles principales : l’hospitalité et le partage. Si vous jouez le jeu de la vie en collectivité, vous aurez à la fois la protection, la joie. Ils sont plus dans l’optique vivre au jour le jour, mais ne vous inquiétez pas, vous manquerez de rien, ou presque. Genre… l’intimité.
Si vous avez fait le choix – ou on l’a fait pour vous – de ne pas vivre en communauté, c’est une vie de solitude et de risques qui vous attend. Pas ou peu de confort, comme l’eau et l’électricité, la solidarité faut vous gratter… à part si vous avez des choses à échanger, comme des objets, vos bras ou votre tête. C’est une vie frugale, pleine de danger, mais y a pas à compter sur des petits chefaillons. Puis… y a vous, les gars qui venaient de débarquer. C’est pas une période facile, on sait – faut découvrir et accepter tout ça, s’adapter et le choix est rapide et brutal entre les communautés. Désolé, c’est en plus souvent définitif, mais on sait et surtout vous savez que c’est pour le meilleur. Vous aurez pas trop le temps de regretter, les nouveaux.
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o-link · 1 day
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Danseuse Etoile
Étoile est le titre suprême accordé aux artistes de la danse dans la hiérarchie du ballet de l'Opéra national de Paris.
Les danseurs du ballet de l'Opéra national de Paris sont en majorité issus de son École de Danse, considérée comme une des meilleures au monde.
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selidren · 1 month
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
6/7
Comme mes filles, votre Lucien est un garçon fiable, même si il semble manquer d'ambition. Non pas que ce soit un mauvais trait de caractère, mais il me fait l'effet d'un jeune homme posé. A t-il envie de faire des études ? Je sais que ma Cléo veut aller à la Faculté de Lettres dont lui a parlé Antoine, et je pense que cela lui correspondra. D'ailleurs, elle est tellement motivée à y aller qu'elle redouble d'efforts en latin et en grec alors qu'elle n'aime pas tellement ces matières et qu'elle n'est pas très douée. Je ne sais pas si elle pourra réussir, mais je soutient sa décision, de même que Constantin. Sélène se destine au sport de haut niveau et Marc Antoine parle également de l'Ecole libre des sciences politiques. Jean-François veut suivre les traces de son père. Noé est à la meilleure des écoles avec Adelphe. En tous cas, notre rôle est bien de les aider dans les choix qu'ils font.
En revanche, il me parait dommageable que Jules ne soit pas prêt à prioriser les études de son fils. Tant mieux pour lui si il n'en a pas envie, mais tout de même, décréter que cela ne sert à rien ! Voilà une remarque avec laquelle Constantin n'est absolument pas d'accord. ("C'est tout simplement honteux ! Un gouffre de dépenses inutiles... Comment peut-il affirmer une chose pareille ?") Constantin fulmine derrière-moi et n'en démord pas. ("Il ne faut bien entendu pas dénigrer les formations de terrain, mais le terreau universitaire est primordial ! Sans lui, il aurait sans doute un ami de moins, moi ! Scandaleux, honteux !"). Ne le dites pas à Jules, mais il risque de ne pas recevoir de courrier de la part de Constantin avant un bon moment.
Transcription :
Cléopâtre « Ne t’inquiète pas. Personne ne t’as vue. »
Arsinoé « De quoi tu parles ? »
Cléopâtre « Tu es une sacré bonne actrice, si je n’étais pas sure de ce que j’ai vu, j’aurai presque pu croire à ton innocence. En tous cas, je t’ai couverte, tu n’as pas à t’en faire. Reviens me voir quand vous voudrez vous voir en douce, je m’occuperai de tout. »
Arsinoé « Merci Cléo… Pourquoi tu me couvre comme ça ? »
Cléopâtre « Bon, je l’avoue. Quand je t’ai vue te faufiler et rejoindre un beau rouquin derrière la barrière, j’ai été très jalouse ! Puis je me suis laissé prendre par le romanesque de la situation. La jeune princesse, timide et obéissante, mais si consumée par les flammes de l’amour et tant grisée par la passion qu’elle risque tout, ne serait-ce que pour un regard de lui. De quelle couleur sont ses yeux d’ailleurs ? »
Arsinoé « Hum… verte. »
Cléopâtre « Oh, un bel Adonis à la chevelure de feu et aux yeux verts vivant un amour secret avec une naïve Perséphone aux cheveux de blé et aux prunelles bleues comme les glaciers… C’est d’un tel... »
Arsinoé « Tu n’en fais pas un peu trop ? »
Cléopâtre « Je n’en fait jamais trop. La vie ordinaire est si barbante, si insipide et banale. Sélène qui aime son Berto le joueur de tennis, Maman qui a rencontré Papa dans une librairie, sans compter tous les habitants de ce village qui épousent le fils du voisin ou leur amie d’enfance… Regarde, je baille rien que de le dire ! Mais toi, ce que tu vis, c’est si intéressant, si intense ! Comme Cousine Emma avec son châtelain déchu, qui on sombré dans l’amour au détour d’un pré... »
Arsinoé « S’il te plait Cléo. Ce n’est pas drôle, c’est grave ce qui leur est arrivé. »
Cléopâtre « Tu es bien placée pour le dire dis donc ! Tu fais exactement pareil… ou plutôt vous l’auriez fait si tu n’étais pas si… toi ! »
Arsinoé « Mais non… pas du tout...  Je veux dire… à part un baiser… »
Cléopâtre « Mais c’est merveilleux ça ! Navrée de te taquiner comme ça, j’ai menti je suis extrêmement jalouse ! Mais tu as de la chance Noé, avec cette vie, tu n’as pas eu beaucoup d’occasions de t’amuser. Alors c’est le moment. Crois moi, tu dois absolument en profiter avant que Grand-Mère te trouve l’époux qui te sera le mieux assorti, c’est à dire ennuyeux à mourir. »
Arsinoé « Heu... »
Cléopâtre « Oh c’est sorti tellement de travers, pardonne moi ! Je veux juste te dire que quoi qu’il arrive, je serai là pour t’aider ou te couvrir grande sœur. Vas-y et amuse toi ! »
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elinaline · 1 year
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Quelques bons commentaires choisis (meilleure décision de ma vie d'adulte d'interagir avec des sociologues et des historiens de mouvements politiques sur les réseaux) pour éviter le racisme de classe et les préjugés nuls. On peut simultanément dire "ça craint les écoles et les bibliothèques qui brûlent c'est triste" et aussi "c'est compréhensible et légitime que des symboles du pouvoir en place partent en fumée (surtout l'école prison quoi)".
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perduedansmatete · 9 months
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sinon j'ai beaucoup fait de câlins à ma cousine, elle m'a dit vous m'en voudrez pas si vous êtes pas mes témoins à mon mariage ?? ça m'a fait rigoler car non vu que je sais que ce sera ses deux meilleures amies et qu'elle est pas prête de se marier puis on s'est isolées, on a failli s'endormir plusieurs fois tellement on est au bout du rouleau mais avant ça elle m'a raconté toutes les mésaventures dans son école, elle n'en peut plus, elle pleure tout le temps même au réveil, ça m'a fait trop mal au cœur mais du coup elle était super touchée de son cadeau pensé pour qu'elle puisse prendre un moment pour elle, je l'aime et elle m'a dit plusieurs fois qu'elle m'aimait aussi et qu'elle était heureuse que je sois sa cousine
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makeitinkorea · 1 month
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MAKE IT IN KOREA propose des prédéfinis de huit familles de chaebol principales sur le forum. Parmi lesquelles nous comptons quatre anciennes familles qui gouvernent sur le pays depuis des décennies, et quatre nouvelles ayant gravit les échelons au cours de ces vingt dernières années. A noter qu'il est possible de jouer un personnage faisant parti d'une famille Chaebol qui n'est pas une des familles proposées ! Aussi, les noms de famille des prédéfinis ne peuvent être pris que si votre personnage est membre de cette famille.
— CHAEBOL ET FAMILLES PUISSANTES
"Chae" (richesse) ; "bol" (clan). Groupes familiaux puissants à la tête d'un grand empire industriel, ayant une influence sur l'économie sud-coréenne. Leurs entreprises touchent souvent à une grande variété de secteurs, comme la construction, l'électronique, la finance, et représentent une grande partie du PIB du pays. En raison de leur puissance considérable et de leur poids sur l'économie sud-coréenne, ces familles entretiennent des relations étroites avec les autorités, bénéficiant souvent de l'aide et de la protection du gouvernement dans leurs pratiques : en effet, des rumeurs affirment que ces familles sont souvent impliquées dans des affaires sombres de corruption, fraude fiscale, pots de vins, blanchiment d'argent.
— INFORMATIONS SUR LES CHAEBOLS
- A Hanseo, ces familles se regroupent dans le district du nord, connu pour ses gratte-ciels et ses luxueuses villas. Les sièges de ces entreprises sont situés dans le quartier des affaires. - Les chaebols sont des clans qui n'aiment pas se mélanger aux autres et qui préfèrent rester entre eux, notamment en unissant leurs enfants à des descendants d'autres chaebols. La plupart des enfants de Chaebol subissent des mariages arrangés et s'unissent dès le début de leur vingtaine. - Les enfants de chabeols reçoivent une éducation généralement stricte et étudient dans les meilleures écoles. - Après avoir terminé leurs études, beaucoup d'enfants de chaebols, en particulier les garçons, obtiennent une place de choix dans l'entreprise familiale s'ils le souhaitent (ou non).
— INFORMATIONS A L'ATTENTION DES JOUEURS
- Les membres d'une famille prédéfinie sont tous jouables à l'exception des mineurs. - Vous avez la possibilité de créer des pré-liens pour les autres membres de la famille de votre personnage. - Il serait intéressant que les prénoms des frères et sœurs commencent par la même syllabe, mais ce n'est pas obligatoire. - Vous pouvez également choisir d'incarner des personnages qui ne figurent pas dans les prédéfinis mais qui sont liés de près ou de loin aux familles : cousin(e)s, enfants adultérins, époux/se, personnel de maison, etc... - Chacune de ces familles cache un sombre secret qui sera révélé ou non à leurs membres par les admins.
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jloisse · 9 months
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Defamation
Un documentaire de Yoav Shamir
Durée : 91 mn
« Bien que Juif israélien, je n’ai jamais subi l’antisémitisme, mais c’est un terme qui semble toujours très en vogue. Habitant dans un pays qui fût fondé pour donner aux Juifs un endroit sûr ou vivre, je trouvais ça très perturbant. J’ai décidé d’en savoir plus sur le sujet. » Yoav Shamir
Le réalisateur cherche à démêler les mythes et réalités de l’antisémitisme au cours d’une enquête à la fois très instructive, sans concession et pleine d’humour... Il suit au plus près l’action de l'« Anti-Defamation League », lobby pro-israélien basé à New York, intègre une école israélienne en pèlerinage à Auschwitz et part à la rencontre de rabbins et d’intellectuels américains qui dénoncent l’instrumentalisation de la Shoah et de l’antisémitisme pour une défense inconditionnelle d’Israël.
Avec : Norman Finkelstein (auteur de L’Industrie de l’Holocauste), Abraham Foxman (directeur de l’Anti-Defamation league), John Mearsheimer et Stephen Walt (auteurs de Le lobby pro-ilsraélien et la politique étrangère américaine).
Prix du public - Festival de Madrid 2009
Best Research Award - Tel Aviv, Doc Aviv Film Festival
Meilleur film - Florence, Festival dei Popoli
Meilleur documentaire - Londres Film Festival
« Un film incroyablement audacieux et courageux » Michael Moore
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chifourmi · 9 months
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N'empêche c'est dingue comme tout se goupille toujours parfaitement dans ma vie. J'ai l'impression que dès qu'il se passe quelque chose de nul dans ma vie, c'est pour qu'après il se passe quelque chose de génial. Ce sont des minis effets papillons positifs à chaque fois. Genre le fait d'avoir raté mon année mais "grâce" à ça avoir plus de temps pour réfléchir à l'après, du temps pour avoir un job étudiant, du temps pour me reconstruire avant de me relancer dans une vie ultra active, du temps pour passer mon permis (aller en 2024 on y croit). C'est comme quand j'avais raté ma 3ème secondaire, "grâce" à ça je suis partie dans une autre école et j'ai rencontré ma meilleure amie.
Et cette année si j'avais pas raté, j'aurais pas eu mon job étudiant à la crèche et j'aurais pas rencontré le Dieu Grec! J'aurais sûrement commencé un Master sans être sûre de mon choix.
(31/12/2023)
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archivesdamour · 2 years
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Dans une de nos premières rencontres tu m’as cité la phrase de pascal « le premier effet de l’amour c’est d’inspirer un grand respect » ce respect mutuel ne nous a jamais quittés. Nous n’y pensions pas, nous le vivions. Respecter un être, cela parait aller de soi. En fait, c’est un défi permanent lancé à l’égoïsme et à l’instant de possession. Quand, par amour, on a appris à respecter un être, il devient plus facile de respecter les autres. L’amour est la meilleure préparation à la vie en société. L’amour, école de respect, cette formule étonne. On voit d’ordinaire, dans l’amour, la libération de toutes les pulsions. Ce laisser-aller n’est qu’une contrefaçon de l’amour. Les amants savent que le véritable amour est l’amour respect.
Jacques de Bourbon Busset lettre à Laurence
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helshades · 1 year
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La pauvre Tatiana Ventôse est entrain de se prendre une douche par la gauche matrixée. On dirait limite qu'elle a conduit leurs parents à Auschwitz.
Je pense qu'ils font une réaction épidermique au faut que ses arguments se tiennent. On pourrait répliquer sur le terrain des idées mais ça demanderait du temps, de l'énergie, de la culture historique, philosophique et politique, et un sérieux examen de conscience. Or, la plupart des militants et sympathisants de gauche ces derniers temps sont des ressortissants de la gauche-caviar et ils fonctionnent à la croyance plus qu'à la pensée. Ils ont leur credo et ça leur suffit.
J'aime mieux la dernière vidéo de Tatiana, qui est plus élaborée, plus soutenue que la précédente, et donne meilleure matière à la critique — en ce sens qu'il va falloir charbonner pour la démonter intégralement. Ce qui me fascine sans doute le plus chez la rouquine du Nord, c'est cette manie qu'elle a de ressusciter la Gauche à l'ancienne, travailliste, patriote et populaire, et qui passe aussitôt aux yeux du gauchiste moyen (j'emprunte le terme à Lénine, ça date d'un siècle avant la dernière campagne vraiment socialiste de Mélenchon) pour un discours d'extrême-droite.
C'est rigolo, quand même. Les pillards font chaque nuit la démonstration de leur inféodation volontaire au capitalisme le plus décérébré ; ils vandalisent des équipements publics et des écoles ; ils appellent au meurtre des blancs, des juifs, des homosexuels, des policiers ; ils le font généralement au nom d'une religion qui cause des ravages dans la majeure partie du monde à l'heure actuelle ; et pourtant, curieusement, la Gauche presque tout entière prend leur défense, toute prête d'ailleurs à reprendre son discours de complaisance pour réclamer que le contribuable expie une faute originelle imaginaire en payant pour restaurer le mobilier dégradé, en professant sa compassion pour les racailles qui l'accablent...
Je suis en train de me disputer dans la section commentaires de mon dernier billet avec des gens certes charmants mais que j'estime redoutablement à côté de la plaque en termes d'analyse sociopolitique de la situation française, parce qu'ils croient notamment que les Français se seraient détournés de la Gauche véritable ; or, c'est une inversion des valeurs absolument tragique quand on considère le mode de vie des uns et des autres face aux discours gauchistes.
Je vais faire pire que donner raison à Tatiana Jarzabek, je vais donner raison à François Asselineau ! Lequel s'enquérait récemment de savoir pourquoi personne à l'Assemblée n'avait fait ne serait-ce qu'évoquer l'article 68 de notre Constitution prévoyant la destitution du Président de la République en cas de manquement à ses devoirs ? Certes, il y avait peu de chance que cela se fît mais les « Insoumis » ont déjà déposé suffisamment de motions de censure stériles pour craindre réellement l'échec législatif...
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