Tumgik
#moi Sur terre
carynmixx-music · 29 days
Text
+!Moi Sur terre - SoundCloud
Listen to +!Moi Sur terre by Caryn MiXX on #SoundCloud
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
carynmixxmusica · 10 days
Text
Tumblr media
No better time to listen to Caryn MiXX...
0 notes
chaotictomtom · 8 months
Text
j'y pense.... (la potentielle collab entre soi varnish la piscine et pharell w ou varnish et tyler the creator OU LES TROIIIIS EN MÊME TEMPS s'évanouit)
0 notes
maraslesbian · 10 months
Text
je déteste écrire des lettres de motivationnnnnnnn
0 notes
hedgehog-moss · 10 months
Note
do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
260 notes · View notes
orageusealizarine · 2 months
Text
Je voudrais, parfois, que personne d'autre que toi ne lise ce que je t'écris. Paroles perdues, paroles proférées à la nuit : tu es mon grand arbre, tu es mon grand vent, tu es le feu qui brûle et disperse mes paroles tues. Mais tous ces mots ne font-ils pas plus que te dire ? Et n'est-ce pas mon devoir de désigner au monde ta beauté ? (Comme je désigne le ciel et les végétations, amie prise par la main sur le parvis familier pour lui montrer cerisier et tulipes invisibles).
Survivrais-je un monde où ta beauté n'a pas été dite ? Plus que ta beauté - ta ferveur, ta soumission consentie à mes mots et mes mains, ta nudité claire et neutre à louer comme un présage salutaire. Oui, comment vivre dans un monde où s'ignore la générosité de tes paumes ouvertes et offertes ?
Je renonce à l'ignorance coutumière, à l'aveuglement : il faut, par mes paroles, dessiller l’œil solaire - répandre sur toi nos rayons d'or ; t'avoir en pleine lumière - en plein cri de joie : percer yeux et tympans et louer jusqu'aux parties les plus blanches de ton être (les plus fades, les plus inutiles - celles que mes baisers chérissent deux fois plus pour les rendre combles).
Doré par mes mots, par mes prières - par mes avidités et mes songes liquides ; oint de mon désir nouveau-né, tu resplendis. Fleurs de sueur humectées par leur germination, tu fais, pour qui sait sentir, le printemps plus réel. On marche, et la nature brille de tes mémoires : la terre exhalée et humide, crevée tout à coup de mille germes, rappelle ta chair ravinée de caresses. Fléau moite que ce printemps qui gorge les ruisseaux (mois détesté des bergers idéaux, des bucoliques oisivetés), qui te dégorge à son passage - divinité océane que tu contrefais ou concrétises.
Salive solaire ablution, nos doigts, nos ventres, nos cuisses - regards délavés éternels - gaieté, la terre grasse la chair ébranlées à plaisir - tes paupières, rivières sur-emplies, coulures épaisses bordées d'astres : fonte printanière que rien n'entrave. Mais comment dire ton corps ? confondu aux floraisons dans mon langage chimique.
27 notes · View notes
lisaalmeida · 21 days
Text
"Cet amour" - Jacques Prévert
Cet amour
Si violent
Si fragile
Si tendre
Si désespéré
Cet amour
Beau comme le jour
Et mauvais comme le temps
Quand le temps est mauvais
Cet amour si vrai
Cet amour si beau
Si heureux
Si joyeux
Et si dérisoire
Tremblant de peur comme un enfant dans le noir
Et si sûr de lui
Comme un homme tranquille au milieu de la nuit
Cet amour qui faisait peur aux autres
Qui les faisait parler
Qui les faisait blêmir
Cet amour guetté
Parce que nous le guettions
Traqué blessé piétiné achevé nié oublié
Parce que nous l'avons traqué blessé piétiné achevé nié oublié
Cet amour tout entier
Si vivant encore
Et tout ensoleillé
C'est le tien
C'est le mien
Celui qui a été
Cette chose toujours nouvelles
Et qui n'a pas changé
Aussi vraie qu'une plante
Aussi tremblante qu'un oiseau
Aussi chaude aussi vivante que l'été
Nous pouvons tous les deux
Aller et revenir
Nous pouvons oublier
Et puis nous rendormir
Nous réveiller souffrir vieillir
Nous endormir encore
Rêver à la mort
Nous éveiller sourire et rire
Et rajeunir
Notre amour reste là
Têtu comme une bourrique
Vivant comme le désir
Cruel comme la mémoire
Bête comme les regrets
Tendre comme le souvenir
Froid comme le marbre
Beau comme le jour
Fragile comme un enfant
Il nous regarde en souriant
Et il nous parle sans rien dire
Et moi j'écoute en tremblant
Et je crie
Je crie pour toi
Je crie pour moi
Je te supplie
Pour toi pour moi et pour tous ceux qui s'aiment
Et qui se sont aimés
Oui je lui crie
Pour toi pour moi et pour tous les autres
Que je ne connais pas
Reste là
Là où tu es
Là où tu étais autrefois
Reste là
Ne bouge pas
Ne t'en va pas
Nous qui sommes aimés
Nous t'avons oublié
Toi ne nous oublie pas
Nous n'avions que toi sur la terre
Ne nous laisse pas devenir froids
Beaucoup plus loin toujours
Et n'importe où
Donne-nous signe de vie
Beaucoup plus tard au coin d'un bois
Dans la forêt de la mémoire
Surgis soudain
Tends-nous la main
Et sauve-nous.
- JACQUES PRÉVERT
Tumblr media
21 notes · View notes
elsaqqa-4ever · 10 days
Text
Mon amour🌹
Pour moi la définition du bonheur c'est toi. Ton sourire est un reflet de toute la joie que l'on peut ressentir sur terre. Merci pour tout ce que tu fais, je t'aime.
Tumblr media Tumblr media
20 notes · View notes
drsonnet · 1 month
Text
Tumblr media Tumblr media
En près de sept mois de guerre, l’armée israélienne a remodelé Gaza selon ses besoins. Elle rase le bâti sur une « zone de sécurité » de 1 kilomètre environ de profondeur à sa frontière, menaçant de priver durablement l’étroite bande côtière de 16 % de son territoire, notamment de terres agricoles, selon des données satellitaires analysées par Le Monde.
مهم: كيف تعيد إسرائيل تشكيل قطاع غزة؟ يهدف اليمين الإسرائيلي إلى تحويل مدينة غزة المتداعية إلى منطقة عازلة خالية من السكان في الشمال أو إعادة استعمارها.
21 notes · View notes
coolvieilledentelle · 3 months
Text
Tumblr media
Ne me montrez pas ce que vous attendez de moi parce que je vais suivre mon cœur ! Ne me demandez pas d’être ce que je ne suis pas.. Ne m’invitez pas à être conforme, parce que sincèrement je suis différente ! Je ne sais pas aimer à moitié, je ne sais pas vivre de mensonges, je ne sais pas voler les pieds sur terre. Je suis toujours moi-même mais je ne serais pas toujours la même ! J’aime les idées les plus folles, les pensées les plus complexes, les sentiments les plus forts. Mon appétit est vorace et mes délires sont les plus fous.
Clarice Lispector
36 notes · View notes
Text
french songs you should listen to
Nouvelle-Orléans - La Femme
Bleu Fuschia - Odezenne
New York - Radio Elvis
Le confort - Voyou
Toutes les machines ont un cœur - Maëlle
Delta - Odezenne
Si un jour - La Femme
Hanöi Café - Blue Toucan
Toi et Moi - Paradis
Vitesse - Napkey
Maintenant ou Jamais - Catastrophe
Coma Idyllique - Foé
Margot dansait sur moi - Terre Noire
La poussière- Automelodi
Petit à Petit - Arcadian
Ça va - Émile Bilodeau
Magie - Bon Enfant
Potager - LaF
Tangerine - LaF
Écoute Cherie - Vendredi sur mer
All songs from “Fréro Delavega”
262 notes · View notes
vertalligatorus · 1 month
Text
nos chants en écho (ii)
Tumblr media
C’est généralement dans le gris et le brouhaha qu’elle vous trouve, l’île aux échos. Un flyer rédigé à la main à demi détaché d’un vieux mur décrépi, une annonce radio prodiguée par une voix nasillarde qui crépite ou encore une carte postale à l’aspect vieilli qui se glisse entre deux retards de paiements. Elle s’invite toujours là où vous l’attendez le moins, là où vous en avez le plus besoin. L’invitation est toujours différente, comme conçue spécialement pour vous — sans que votre nom y figure pourtant. Elle se présente toujours comme une coïncidence, ne s’impose jamais ; alors libre à vous de l’ignorer ou de prendre votre téléphone et de composer le numéro, seule constante qui y figure toujours. C'est l'Amiral qui décroche à chaque heure du jour et de la nuit. Il vous crie par-dessus les bruits de la mer agitée qu’il attendait votre appel et lorsque quelques heures plus tard vous posez le combiné votre bouche est sèche et votre valise à demi faite. Depuis le continent — ne vous avisez pas de mentionner lequel une fois arrivé.e sur l’île — il faut plusieurs heures pour la rejoindre. La mer est toujours capricieuse mais l'Amiral affirme qu’il amène toujours ces passagers à bon port. Puis le soleil finit par percer la brume et alors, les contours de l'île se dessinent devant vous. Et alors que vos pieds rejoignent la terre ferme, vos oreilles commencent à bourdonner; petit à petit il se fait entendre : L'Écho de l'île. Mais le bourdonnement ne vous inquiète pas plus que les nombreuses fleurs qui poussent en plein hiver, les animaux étrangers que vous apercevez en forêt ou encore ce nuage qui semble en permanence suivre votre voisin d'en face... Parce qu'arriver ici c'est embrasser l'étrangeté de l'île, accepter que les règles du normal ne cessent de se tordre, au plus grand plaisir des habitants loufoques de ce lopin de terre aux allures fantastiques...
NOS CHANTS EN ÉCHO. 🦪🐚🐮🌊
@jaamjaam (poupa), douce mélancolie. (ena), @adoko (pau) et moi vous présentons la deuxième version de notre très cher forum low fantasy!! nous avons en effet remanié un peu le fond et désormais, la magie est un peu plus forte à Brambles. Pendant ce temps, une tempête souffle fort et la pluie s'apprête à faire déborder les rivières...
— fc réels — pas de minimum de rps par mois, ni de mots — moodboard
comme promis, j'ai utilisé les merveilleuses textures de @carpathesknight my dear, i miss u<333 merci d'avoir créé ce pack je vais le saigner pour mes prochains avatars et devenir encore + d4rk. bref!! n'hésitez pas à nous rejoindre, à très vite!!
21 notes · View notes
homomenhommes · 11 days
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 183
Emma, soirée et +
Nous arrivons dans une grande propriété des alentours. C'est une grande soirée, beaucoup de monde. Je reconnais quelques notables de la région et quelques hommes politique de premier plan. Nous sommes accueilli par la maitresse de maison, civilités avant de nous fondre dans la foule (une bonne centaine de personnes). Avec Emma à mon bras, je me fais remarquer. Au dernier moment elle m'a présenté à nos hôtes comme son fils.
Nous trouvons des connaissances et je laisse Emma pour aller nous chercher à boire au buffet. Derrières les tables, de beaux jeunes serveurs en vestes blanches et pantalons noir ajustés. Il y en bien un ou deux dont je ferais mon quatre heure !
Je suis rejoint par le seul autre jeune de l'assistance. Il commande aussi deux coupes de champagne. Je le dévisage de la tête aux pieds. Probablement plus jeune que moi, même taille en plus fin, blond cheveux mi long, lèvres pulpeuse de salope. Il se présente, c'est le fils de la famille. Il me demande avec qui je suis venu. Je suis le rôle que m'a donné Emma et dit que je suis le fils de madame X (notre hôtesse). Il me demande alors si dans quelques instants cela ne m'intéresserait pas de quitter cette bande de vieux. Vu sa gueule pas de problème pour moi.
Il m'accompagne jusqu'au groupe où Emma tient le centre de l'attention et se présente à ma mère tout en l'informant que nous allions nous retirer de notre coté. Emma me questionne du regard. Je hausse les épaules pour lui dire que je ne sais pas où cela va me mener. Elle m'autorise à le suivre sachant qu'il est le fils de la maison. C'est quand il se présente à ma " mère " que j'apprends son prénom, Pierre-Henri (y'a plus que les bourge pour oser les prénoms double !).
Nous quittons la réception. Il m'emmène au 2ème 'étage (il y en a trois en tout). Je le suis. Dès le pallier, il retire sa cravate et déboutonne sa chemise dévoilant un torse imberbe et plus musclé que ne le laissait supposer son costume. Il se tourne vers moi pour me dire d'en faire autant. Je dénoue ma cravate et fait sauter trois boutons. Il siffle alors en fixant mes pecs fraichement épilés suivi d'un " t'es bo-gosse toi aussi ". Il me dit de l'appeler PH comme ses potes. Je lui dis alors de m'appeler Sash. Je le suis jusque dans la chambre. Enfin plutôt l'appart qu'il occupe. Derrière une des doubles porte de l'étage, je débarque dans un espace de près de 150m² éclairé par une bonne demi douzaine de fenêtres donnant sur le parc. Dans cet espace, il a disposé une mini salle de muscu, un salon avec projecteur vidéo, une partie chambre avec un lit géant et derrière la tête de lit, j'aperçois une salle de bain avec jacusi. Encore un p'tit jeune malheureux !
Il jette sa veste par terre et m'enlève la mienne pour la poser sur un cintre. En même temps il pose sa main sur ma taille dans un mouvement assez caressant. Il me fait bander et mon pantalon marque la nouvelle forme que prend mon anatomie. Il le voit bien. Il s'éloigne de moi et retire ses vêtements de façon très naturelle, quitte son slip ES avant d'enfiler un short de marque assez petit. Y'a plus moche !
Il me dit que les grandes soirées de ses parents ça le gave grave. Nous discutons de choses et d'autres. Il a 18ans et va rentrer en fac de droit après un bac réussi avec mention bien. Je lui demande quel sport il pratique, tout en ajoutant que ça lui a sculpté un beau corps. Il tourne sur lui-même et me dit qu'il a fait, jusqu'à l'année dernière, de la danse classique. Et de ponctuer sa phrase d'un grand écart debout, impressionnant !
Je lui demande pourquoi il a arrêté vu qu'il semblait doué. Il me répond que sa relation avec son prof de danse avait été révélée et que ce dernier avait été renvoyé (vu que cela faisait quelques années que cela avait commencé). Je lui demande si elle ... il me coupe pour me dire " il ". Ok ça a le mérite d'être clair ! Il me dit que depuis il est plutôt passé à la natation et à la musculation, la danse n'étant pas une vocation pour lui. Je lui dis que le résultat est superbe et que cela l'a surement plus musclé.
Il me tend un autre short et me dit de le passer car il me dit avoir deviné que moi aussi je pousse de la fonte. Je n'ai pas de raison d'être plus pudique que lui et j'ôte mes vêtements. Quand je suis en slip, il s'approche de moi et sa main posée sur mon paquet admire mon slip. Je lui explique le truc, il trouve cela ingénieux ne le connaissant pas. Je le quitte et le lui donne qu'il voit l'intérieur, puis enfile le short qu'il m'a tendu. Je suis un peu plus épais que lui question fesses et je tends le tissus de façon plus qu'indécente. Il passe ses mains sur mes masses emprisonnées et je bande encore plus. Il pose sa main sur mon cou et m'attire vers lui. Nos lèvres se frôlent, se touchent, s'écrasent. Nos bouches s'ouvrent et nos langues font connaissance. Je suis aussitôt envahi par un organe plus long que la normale. Il arrive presque a toucher ma luette ! L'échange de salive fait son effet et nous chauffons grave ! Je plaque ma main sur son paquet. Sous le tissu synthétique, roule une belle bite dure. Le moulage est parfait et je sens qu'il est circoncis et que son gland à l'air conséquent. Il m'attire sur son lit. Nous chutons, moi dessous. Il se relève et tire mon short pour me le retirer (je ne l'aurais pas eu longtemps sur le cul !). Il reste debout à me regarder. Je lève les bras et passe mes mains sous ma tête. Mes pecs s'aplatissent mais le V de mon dos s'accentue. Il admire l'animal ! Son regard descend, il s'étonne du rasage de ma pilosité (enfin ce que je laisse, une mince bande courte entre mon sexe et mon nombril) cachée sous mon sexe bandé/collé à mes abdos, puis glisse sur mes cuisses. Couché, je lui dis d'ôter son short lui aussi. Il s'exécute. Je peux enfin l'admirer. Il tourne sur lui-même avec beaucoup de grâce. Il a un corps superbement bien développé (même si c'est en moins épais que moi). Je le félicite. Il me sourit, on dirait que la pièce s'éclaire (ok, ça fait cliché mais c'est ce que j'ai ressenti alors !).
Il s'approche doucement, il se place au dessus de moi à 4 pattes. Sa tête baisse et nous recommençons à mélanger nos salives. Au fait, il est bien foutu aussi coté sexe. Je dirais dans les 18/19cm par un bon 6 de diamètre bien droit et bien rose avec un gland rouge vif.
Il se pose sur moi de tout son long. Nous somme presque de la même taille et nos sexes se collent l'un contre l'autre. Il glisse au creux de mon bras. Nous regardons le plafond. Je le laisse gérer, après tout je suis un invité (lol). Il se met sur son coude et me regarde dans les yeux. Il me demande si Emma est vraiment ma mère, il l'a trouve un peu jeune. Je lui dis qu'elle m'a adopté. Il me demande crument " tu la baises !? ". Je lui demande ce qui peut bien lui faire penser cela. Il me dit que le regard qu'elle a eu sur moi alors que je partais avec lui, l lui a fait comprendre. C'était le même regard que posait sur lui son prof de danse.
Je me relève sur mon coude pour que nous soyons l'un en face de l'autre et lui dis qu'il a bien deviné. Je lui fais l'amour aussi. Puis je me penche et c'est moi qui l'embrasse. Je le repousse et c'est moi qui le domine maintenant. Nos lèvres collées, nos langues emmêlées, je glisse ma mains sur les cotes, sa taille et atteint sa bite. Elle est toujours bien raide et très dure. Ma main glisse sous ses couilles rasées et mes doigts se posent sur sa rosette. Je presse, deux doigts rentrent facilement. Il écarte les jambe pour faciliter ma pénétration. Sa langue redouble d'agitation. J'ai envie de savoir ce qu'une telle longueur d'organe pourrait faire sur ma bite. Je me place en 69 pour lui donner ma queue à téter. C'est très bon ! Ça ne m'étonne pas que son prof en ait usé. Sa langue s'enroule autour de ma queue et elle est très efficace sur mon gland. En attendant je suis à lui mettre trois doigts dans le cul. Il tend le bras vers la tête de lit et tire de sous son oreiller une kpote. Il la place lui même sur ma bite. Il se place tout seul en levrette, les reins cambrés et me supplie de l'enculer. Je ne peux ni ne veux louper ça. Je me place entre ses cuisses, mes genoux écartent les siens pour mettre son trou à la bonne hauteur. Je pose mon gland sur sa rondelle. Je n'ai pas le temps de me demander avec quel rythme je vais le pénétrer qu'il recule et s'enfonce d'un seul coup mes 20cm au fond de son trou. Il laisse échapper un cri. Je lui demande si ça va. Il me répond que c'est trop bon et que ça faisait trop longtemps qu'il en avait pris une dans le cul. Je le retiens bien enfoncé sur ma teub, mes mains accrochées à ses hanches. Il roule du cul pour bien roder son anneau. Quand je sens qu'il est prêt, je commence à me retirer. Quand je n'ai plus que le gland à l'intérieur, il recule brusquement et je claque mes couilles contres les siennes. Il m'a l'air d'aimer être pris en force. Je lui demande si son prof l'enculait hard. A sa réponse positive, je sais que je peux y aller franchement. Mes mains placées sur ses hanches je le tire vers moi durement à chaque fois que j'arrive à quelques cm de déculer. Quand je glisse facile, je me permets de sortir totalement à chaque va et vient pour mieux re rentrer après. Je pousse même le vice à attendre qu'il me supplie pour m'enfoncer à nouveau dans son trou. Il apprécie de se faire dominer. Nous changeons de position. Il tente de m'en mettre plein la vue avec des positions qu'un mec normal ne peut prendre. Je l'encule debout alors qu'il fait un grand écart entre le sol et le rebord d'une commode. Il est très souple et quand je le prends de face en chandelle, il se courbe jusqu'à se faire une auto fellation, et pas que du gland ! C'est d'ailleurs dans cette position que je le fais jouir et j'ai le plaisir de le voir se barbouiller les lèvres de sperme. Quand sa langue sort pour récupérer les giclées qui se sont égarées, je n'en peux plus et jute à mon tour, mais dans ma kpote !
Je sors de son cul et nous nous couchons l'un à coté de l'autre à regarder le plafond. Silence ... Soudain j'entends un " merci ". Réponse " pas de quoi, j'ai bien aimé moi aussi ". Silence ... Il roule sur moi. Son regard me fixe. Puis brusquement il saute debout et m'invite à me doucher avec lui. Je le rejoins et nous accédons à une grande douche à l'italienne. Je lui passe le savon sur le corps et il fait de même. Il parle peu. Je le, laisse gérer. Nous nous séchons réciproquement. Il est encore tout pensif. J'enroule le drap de bain autour de lui, bloquant ses bras contre son torse. Puis, je le tire vers moi et lui roule un patin. Ça le réveille et je sens sa lange s'enrouler autour de la mienne. Nous avons encore du temps devant nous. Il n'est que 23h et la réception devrait durer jusqu'au milieu de la nuit. Je le pousse sur le lit et le fait chuter sur le dos. Je m'installe à ses cotés sur le coude pour mieux pouvoir le regarder. Je le détaille encore plus que tout à l'heure où l'excitation du moment m'avait fait bâcler " l'examen ".
Qu'ai-je sous les yeux ?
Un jeune homme, blanc bien que bronzé avec marque du maillot (shorty), imberbe, cheveux blonds mi longs, tête plaisante avec une bouche pulpeuse (à tailler des pipes, si j'étais vulgaire !), yeux bleus, musclé plus que correct (même si moins que moi) avec des pecs bien soulignés, des abdos en tablette bordées de grands dentelés marqués, des cuisses fortes au dessus de beaux mollets galbés. Le sexe : 10/12cm au repos mais autour des 19 en pleine forme avec un 6cm de diamètre confirmé, au dessus de belle couilles rondes fraichement rasées.
Il m'a laissé le détailler sans bouger. Enfin un peu coté sexe avec un début de transfert de sang vers sa queue.
Quand il voit que j'ai fini, il attire ma tête vers lui et me roule à nouveau une pelle. Direct je bande ! Que voulez vous ? On ne se refait pas !
Quand il me libère la langue, je le questionne un peu. Il me dit être fils unique (bien venu au club !), des parent gentils mais assez absents, " célibataire " (petit sourire en coin) depuis un an. Je lui dis qu'il n'a quand même pas été un moine pendant cette dernière année, il me répond qu'il n'avait trouvé l'envi de baiser qu'une fois avec un mec de passage qu'il n'avait jamais revu. Je suis flatté d'avoir été le deuxième depuis sa séparation. Je lui demande s'il n'avait pu trouver personne dans son lycée (sachant que la réponse était non, suis je bête !). Il me dit gentiment qu'il n'y avait pas d'aussi beaux mecs que moi. Je me penche et c'est moi qui lui roule un patin !
En attendant, nous bandons franchement de nouveau. Nos mains s'égarent et trouvent nos sexes respectifs. Il me repousse et je glisse sur le dos.il me surplombe et m'examine comme moi tout à l'heure. Je le laisse faire et au retour de son regard dans le mien, je lui demande si ça lui convient. Il se colle à moi et me dit qu'il faudrait être con pour ne pas être satisfait. Flatteur !!
Nos érections sont toujours là. Nous attendons, couchés l'un contre l'autre. Il finit par se tourner et nous entamons un 69. Ok, il est doué aussi de ce coté là et m'avale entier. Mon gland joue avec ses amygdales sans le faire vomir. de mon coté je l'avale aussi profondément. Il apprécie les massages de son gland quand je dégluti par rafale. ;Nous nous repoussons à temps pour nous juter dessus. Son sperme est bien blanc épais, il fait de beaux zebrages sur mon bronzage. Le mien a marqué son torse en diagonale, jusque sur son cou. Nouveaux temps " mort " puis re douche.
Vu l'heure nous nous résignons à remettre nos vêtements officiels. J'ajuste sa cravate et passe ma main dans ses cheveux pour remettre un semblant d'ordre. Dans l'escalier qui nous ramène à la réception, il me demande si on pourra se revoir. Je réfléchi un peu, les pours : il est mignon, bien foutu et il aime le sexe. Marc peut le kiffer. Les contres : j'en trouve pas ! Je lui réponds donc que c'est Ok pour moi mais je le prévient tout de suite que je suis maqué et qu'il devra me partager comme nous, mon mec et moi, le partagerons.
Du coup c'est lui qui se met à réfléchir. Ce n'est qu'une fois arrivé en bas qu'il me donne sa réponse. C'est OK pour lui. Je le préviens qu'il va apprendre d'autres pratiques que celle de son prof de danse, car c'est sur une autre musique qu'il va bouger. Il éclate de rire. Ça attire le regard d'un bon tiers de la foule dont ses parents. Ils s'en viennent alors vers nous comme Emma. Cette dernière m'examine et voit tout de suite que je me suis déshabillé et comprend que nous avons fait l'amour. Je m'approche d'elle et la prend par le bras. Les parents de PH le questionnent sur sa brusque gaité (depuis un an, il leur fait la gueule !). Il leur dit qu'il vient de se faire un nouvel ami et que ça le met en joie (bonjour le phrasé coincé !). Ils se tournent vers Emma et lui demande si cela ne la gène pas. Comme si nous étions des mômes ! Ça fait rire ma " mère " et elle nous accorde sa bénédiction (elle a appris qu'avec moi il faut me laisser libre pour me garder). Je l'embrasse au coin de la bouche et lui dit merci. Quand nous partons (moi et PH) bras dessus bras dessous, j'ai le temps d'entendre le début du récit des déboires subit par ses parents durant l'année passée.
Il m'a collé tout le reste de la soirée alors que je faisais mes " civilités " auprès de tout ce qui compte dans la région. Notre " couple " soulevant des compliments à chaque entrée dans un groupe de discussion.
Avant que nous partions, nous avons échangé nos n° de téléphone et cela faisait pas 5 mn que nous roulions qu'il m'a appelé. Il voulait savoir quand nous nous reverrions puisque nous n'avions pas fixé de date. Emma tout bas m'a dit que je pourrais disposer de la journée du lendemain si je voulais. Elle me mettait en vacances et je n'étais donc pas obligé de la suivre dans son taf.
Je transmettais la proposition et il me dit alors de revenir chez lui dès que je pourrais.
JARDINIER
Tumblr media
red is a risk
~~
Tumblr media
16 notes · View notes
amoureusedesmots98 · 9 months
Text
EMBRASSE-MOI
Embrasse-moi avant l'hiver
Avant le courant d'air
Avant le pull-over
Sur la pelouse début juin
Dans la soirée sans fin
Embrasse-moi pour rien
Même si c'est ça fait loin
Les premiers matins
Si ça fait un bail
Les premières pagailles
Si ça fait une paye
Barbès le soleil
Embrasse-moi avant l'hiver
Avant le courant d'air
Le pull-over
Sur la pelouse début juin
Dans la soirée sans fin
Embrasse-moi pour rien
Même si ça fait loin
Les premiers matins
Si ça fait un bail
Les premières pagailles
Si ça fait une paye
Barbès le soleil
Embrasse-moi avant l'hiver
Avant la nuit par terre
Avant le réverbère
En septembre à cet instant
Avec mes cheveux blancs
Embrasse-moi avant l'hiver
Même si ça fait loin
Les premiers matins
Si ça fait un bail
Les premières pagailles
Si ça fait une paye
Barbès le soleil
Même si ça fait loin
Si ça fait un bail
Si ça fait une paye
Barbès le soleil
Vincent Delerm
Tumblr media
74 notes · View notes
clhook · 2 months
Text
Interaction wtf dans le train ce soir j'étais assise seule dans un carré et j'avais posé mon grand parapluie par terre à mes pieds parce que c'est là qu'il gêne le moins un gars arrive il se pose sur un siège de l'autre côté de l'allée et là il tend la main et il commence à empoigner mon parapluie ???? Je me dis peut-être il pense que c'est un objet perdu donc je le rapproche de mes pieds et il me dit "non je voulais juste le mettre sur le siège" moi toujours ???? Je dis "c'est pas la peine" ce à quoi il répond "pffff les gens ont tout de suite peur maintenant" hein ????? Mais j'ai pas peur je veux juste pas qu'un inconnu touche mes affaires ça me semble assez raisonnable 😭😭😭
20 notes · View notes
quemajoiedemeure · 3 months
Text
Ce matin la classe avec laquelle je bosse avait une sortie dans un musée, rien que prendre le bus pour ces gamins là c'est un événement parce qu'ils vivent dans la banlieue juste après la rocade où il y a tous les hlm et qu'ils en sortent pas beaucoup, du coup ils étaient tout excités et j'avais même pas le cœur de leur dire de se calmer, ça veut dire quoi de demander à des gens contents de se calmer ? Je me rends compte que j'aime pas faire appliquer des règles établies juste par principe avec les enfants, genre le midi je surveille la cour des moyennes sections et il faisait tellement beau et chaud avec du soleil et le sol tout bétonné qu'ils voulaient tous virer leurs manteaux, j'ai dis bah oui allez y, et une des gonz qui surveille avec moi mais qui est là depuis longtemps a déboulé en disant Non non vous gardez vos manteaux on est encore en hiver, je pige pas trop, ils sont pas débiles ils savent se réguler quand même ? Après ça du coup y en a plein qui se sont assis par terre avec moi et je leur ai dit "Hé imaginez on est à la plage" et du coup ils étaient tous en train de bronzer par terre sur le béton
21 notes · View notes