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#où est steve ?
mrhugolloris · 2 years
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hugo + câlins // 10.12.22
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Headcanon sur les romances
paske je peux. copier coller direct de mes notes, peut-être que je prendrai le temps de faire un truc plus sympatoche un jour
Pré-Canon:
‌Pendant quelques mois, Steve et Allen ont été plan culs, mais ils se sont rendus compte qu'il préférait quand ils étaient juste potes, il y avait une drôle d'énergie quand ils baisaient
‌Steve et Mary ont des petits crush l'un sur l'autre mais jamais en même temps
‌Neil et Théodore ont aussi été plan culs pendant plusieurs mois, sauf qu'ils ont commencé à attraper des sentiments, donc Neil y a mit fin avant que ça devienne encore plus messy que ce que ça devenait. Maintenant il y a un truc awkward dans l'air car ils savent qu'ils auraient pu être amoureux. Neil a 100% emmerdé Ethan avec le fait qu'il s'est tapé son frère plein de fois
‌Mique a rencontré Klaus et immédiatement a crush. Klaus lui a fait réaliser qu'il aimait aussi les mecs. Ça a duré deux mois, mais comme Mique est nul à tout ce qui est social, il a fait peur à Klaus
‌En vrai pas mal des villageois ont eu un crush sur Klaus après l'avoir rencontré ou peu après. no wonder he needs to check if you're hiting on him
‌Burt et Stan développent des sentiments sans s'en rendre compte
Saison 1:
‌John et Jennifer tombent amoureux
‌Klaus crush sur John, mais sans le savoir développe aussi un truc pour Doug. Doug tombe amoureux de Klaus sans s'en rendre compte
‌Burt et Stan ont des sentiments l'un pour l'autre, mais sont complètement oblivious
‌Ron est amoureux de Steve et est jaloux d'Allen
‌Hoodwink est amoureux de Megan, elle a de l'affection pour lui mais sans plus
Saison 2:
‌John et Jennifer sont amoureux, mais les sentiments baissent dû aux difficultés
‌Steve commence à crush sur Mary sans le savoir, et Mary a eu un petit coup de cœur quand il a eu sa période chef. Mary commence à crush sur Valur. Ron est toujours en crush sur Steve, mais se contente d'être le remplacement d'Allen
‌Burt et Stan sont amoureux; Burt s'est rendu compte de ses sentiments, Stan toujours pas
‌Doug et Klaus sont amoureux mais toujours oblivious. it's ok guys, burt et stan have been going at it for much longer than you
‌Hoodwink est amoureux de Megan, elle ne le supporte plus
Les Survivants:
‌John et Jennifer sont amoureux, mais John perd petit à petit son affection
‌Steve est toujours en crush sur Mary, elle et Valur sont en flirt
‌Burt et Stan sont amoureux, et Stan ne s'est toujours pas rendu compte de ses sentiments même si ça commence à connecter, pendant que Burt is PINING
‌Doug est devenu conscient de ses sentiments, Klaus aussi mais il l'accepte pas encore
‌Hoodwink est toujours amoureux! Megan redécouvre son affection pour Ethan, same for him
Saison 3 + Prédictions de Kyle (ou: les feux de l'amour):
‌John a de l'affection pour Jennifer, mais les sentiments amoureux sont proches de partir. Jennifer est toujours amoureuse, mais nettement moins
‌Jennifer crush sur Jean, qui lui tombe amoureux
‌Steve est amoureux de Mary, qui commence à développer des sentiments pour lui. Mary et Valur sont plan culs
‌Burt fait des allers-retours entre tentatives de flirt sur Stan et vérifier s'il aime les mecs ou pas. Stan se rend compte qu'il est très attaché à Burt mais ose pas encore trop y penser
‌Klaus refuse encore d'accepter qu'il est amoureux de Doug; Miss Moore fait son crush hétéro sur un mec inaccessible car elle-même peut sentir qu'il est gay
‌Doug et Perséphone sont amoureux! et en couple! Doug est aussi encore amoureux de Klaus mais ça a un peu baissé dû au fait que Klaus a l'air distant par rapport à ça
‌Megan et Ethan retrouvent les sentiments de leur jeunesse, bien qu'on n'en est pas encore à de l'amour
‌Aussi il y a pas encore de sentiments entre Mique et Claudine, mais Mique a un intérêt sur elle
Saison 4 + La Voie de Klaus
‌John et Elena sont en train de tomber amoureux l'un de l'autre
‌Jennifer et Jean sont amoureux
‌Steve et Mary sont amoureux, et Mary s'en rend compte le moment où Steve confesse. Rien de mieux qu'être servant du neveu devenu maléfique to bond!
‌Burt is still pining. Après la disparition de Burt, Stan devient conscient de ses sentiments mais continue de les ignorer.
‌Klaus a réalisé ses sentiments! Malheureusement son esprit est trop pris par John pour prendre le temps de bien y penser. Doug est amoureux mais aussi se sent trahi </3
‌Megan et Ethan sont dans une situation un peu spéciale. Les sentiments amoureux ont retourné, mais ils sont séparés, et tous deux doivent encore le réaliser
‌Mique et Claudine sont amoureux. Bonding through shitty parents and being stuck in a bad situation <3
Entre saisons 4 et 5
‌Séparés, John perd un peu de ses sentiments, mais Elena les a renforcés
‌Jean est encore amoureux, mais garde ses distances; Jennifer a le coeur brisé, mais is over him
‌Steve et Mary sont le seul couple heureux lol
‌Burt est amoureux mais a arrêté d'essayer, en plus il est trop prit par un truc ou l'autre pour y penser; Stan a accepté ses sentiments, mais se dit qu'il est bien avec leur situation amicale actuelle
‌Klaus is processing the feelings, quand il n'est pas en train d'essayer de se réentendre avec John. Doug ne veut pas parler de ses sentiments avec Klaus pour le moment. communiquez plz.
‌La situation pour Megan et Ethan est restée la même
‌Mique et Claudine ont un peu perdu de leur affection avec la séparation
Saison 5:
‌John et Elena se retrouvent, et immédiatement tous les sentiments passionnés sont là
‌Steve et Mary toujours ensemble!
‌Burt et Stan sont à un point où ils sont contents de juste exister en tant qu'amis proches. Toujours inconscient des sentiments de l'autre même s'ils le sentent dans leur inconscient. Puis tout le bordel des clones arrive et on dirait que le monde va finir, et Stan réalise qu'en fait non il veut embrasser Burt et vivre avec lui et faire pleins de trucs et- bisous
‌Klaus et Doug NE COMMUNIQUENT TOUJOURS PAS. Ils me tuent.
‌Megan et Ethan sont toujours au même stade
‌Mique et Claudine sont amoureux mais sont prit dans un loop où leurs traumas se nourrissent l'un l'autre
Post-Canon:
‌John et Elena vivent leur vie d'amoureux avec Mary Jr.
‌Burt et Stan se marient!!! Et vont adopter un enfant!!!!
‌Klaus et Doug finissent enfin ensemble. Comme quoi croire que l'un est mort sauf qu'il revient aide beaucoup à la communication
‌Megan et Ethan vont enfin se retrouver, dans un village français paumé où Ethan s'est installé et a vécu une vie clean. Ils passent du temps ensemble dans ce village et tombent amoureux à nouveau. Ils vont vivre ensemble :)
‌Mique et Claudine se sont mariés, ont deux enfants, et somehow se balancent l'un l'autre pour bien élever leurs gosses
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~Quiconque est coincé ici ferait mieux d'avoir une bonne raison~
Oh la la mon Steve mais que t'arrive-t-il pour te trouver là où tu ne devrais pas ? J'espère pour toi que tu as vraiment une bonne raison ? Et moi là...je n'ose croire à ce que je vois ! Ouii...ouii...Steve...shuuut...motus bouche-cousue...pas vu pas pris ! 🙈😀
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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t-marveland · 17 days
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𝐌𝐚𝐫𝐯𝐞𝐥 | steve rogers
Steve Rogers x Reader
Warning : aucun
Mots : 52
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Fury expliquait le rôle de chacun dans la mission, mais quand vient ton tour, tu n'étais pas là.
❝━ (T/P) ? Dit Maria.
━ Où est-elle passée ? Demanda Fury, légèrement énervé.❞
Steve regarda autour de lui et lorsqu'il entendit tes pas saccadés, il se tourna vers toi.
❝━ Désolé... Dis-tu essoufflée.❞
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marie-swriting · 8 months
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La Traînée D'Hawkins - Steve Harrington [1/2]
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Emails I Can't Send Masterlist
Stranger Things Masterlist
Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Tu subis les conséquences pour être sortie avec Steve Harrington.
Warnings : les italiques sont des flashbacks, Slutshaming, harcèlement scolaire (reader se fait harceler) (parlez avec quelqu'un si vous subissez du harcèlement !) , sous-entendu de sex, Steve est un peu un lâche, mauvaise relation avec les parents, angst, fin triste, bagarre.
Nombre de mots : 3.8k
Chanson qui m'a inspiré : Because I Liked A Boy par Sabrina Carpenter
Les rires remplissaient l’air frais du début de soirée. Allongée sur le trampoline dans ton jardin, tu étais dans les bras de Steve. Vous êtiez devenus proches récemment et tu devais avouer que ça faisait du bien d’avoir quelqu’un à qui parler, surtout quand tes parents n’étaient pas là - ce qui était assez souvent, ce soir en était une nouvelle preuve.
Steve t’avait serré un peu plus contre lui alors que vous parliez de vos artistes musicaux favoris. Tu avais donné quelques noms comme Madonna, Bowie et c’était à la mention des Beatles que tu avais eu toute son attention. 
-L’album Help! est définitivement mon préféré, t’avais informé Steve. 
-Pareil pour moi, j’aime toutes les chansons mais You’re Going To Lose That Girl et It’s Only Love ont une place dans mon cœur, avais-tu dit alors que Steve détourne le regard. Tout va bien ?
-Ouais, c’est juste que It’s Only Love était notre chanson préférée, à Nancy et moi.
-Tu l’as vraiment aimé, hein ?
-C’était mon premier amour. Malheureusement, ça s’est assez mal fini. C’est surtout devenu compliqué après la disparition de Barbara, sa meilleure amie. Et puis, je dois admettre que j’ai mes torts dans l’histoire, mais j’essaye de me racheter. 
-Je suis sûre que tu y arriveras, avais-tu affirmé en le serrant un peu plus contre toi. Tu n’es plus le même Steve que tu étais au début du lycée. Autrement, on ne serait pas là. Tu es quelqu’un de bien, Steve, n’en doute pas une seconde. 
-Merci pour ce que tu viens de dire, t’avait souri Steve. 
-Sinon, qu’est-ce que tu penses de I Need You ? 
-J’ai dû mal avec cette chanson.
-Steve Harrington, je suis outrée ! Comment oses-tu dire ce genre de chose ? t’étais-tu exclamée, faussement choquée.
-T’as demandé mon avis.
-Et tu es censée être d’accord avec moi. 
-J’arrive pas à l’apprécier c’est pas de ma faute.
-Tu ne comprends juste pas cette chanson. Tu vas voir, tu en seras fan un jour, je m’en assurerai, avais-tu déclaré en le regardant droit dans les yeux. 
-Je veux bien voir ça. 
Vos lèvres n’étaient qu’à quelques centimètres de l’une de l’autre. Tu n’osais pas faire le premier pas, même si tu en mourrais d’envie, tu avais peur d’avoir trop lu entre les lignes. Steve te plaisait beaucoup, mais tu n’étais pas sûre qu’il voulait la même chose. Steve te regardait avec des yeux remplis d’étoiles et de tendresse, les tiens n’étaient pas très différents. Vous attendiez seulement de voir lequel d’entre vous craquerait en premier. Steve était celui qui avait fini par briser les centimètres qui vous séparaient en posant ses lèvres sur les tiennes. Vos lèvres bougeaient doucement, appréciant ce moment si innocent du début de votre relation. 
Maintenant, l’innocence est partie. Quand tu refermes ton casier, le mot “traînée” est écrit en grosses lettres, te rappelant le prix que tu as dû payer pour ce moment. Qui aurait cru qu’un câlin dans un trampoline pouvait être si dangereux ? 
Au loin, Steve te regarde. Toutefois, la seconde où tu te tournes vers lui, il baisse les yeux et part dans la direction opposée. C’est la même chose depuis un mois. Tu reçois des insultes et Steve regarde ailleurs. Tu es accusée d’être une briseuse de couple et Steve reçoit la sympathie pour la douleur que tu lui aurais causée. 
Pendant ta journée de cours, tu gardes la tête baissée, ne voulant pas attirer plus l’attention sur toi. Malheureusement, les insultes tout comme les bouts de papier dégradant continuent de fuser sur ton passage. Ton seul moment de répit est pendant le déjeuner. 
Au début, tu te cachais dans les WC du lycée puis, tu as fini par croiser quelques filles qui t’ont bien fait comprendre qu’elles n’étaient pas de ton côté alors tu t’es réfugiée dans le placard du concierge. Au moins, personne ne peut venir t’embêter là-bas. Tu n’aimes pas la façon dont tu as fini par accepter le harcèlement, mais toutes les fois où tu as essayé d’expliquer la situation, personne ne t’a écouté. Alors, maintenant, tu ne dis plus rien et tu laisses les personnes définir qui tu es tout en espérant que cette histoire se tasse bientôt. 
L’après-midi, tu as cours de chimie. Comme à ton habitude depuis un mois, tu restes au fond de la classe, voulant être loin du regard de tes camarades. Tu fais de ton mieux pour écouter le cours, mais tu dois avouer que depuis cette histoire, tes notes ont commencé à baisser. Tu conserves toute ton énergie pour survivre aux remarques alors il ne t’en reste plus pour avoir des bonnes notes. 
Alors que tu finis de noter ce que le professeur Kaminski vient de dire, il annonce que vous allez travailler en groupe de deux. Tout de suite, ton ventre se tord et tu as envie de vomir. Tu ne veux pas travailler en groupe. Tu n’as jamais été fan de travaux de groupe, maintenant, tu les hais ; c’est la porte ouverte aux insultes pendant une heure sans arrêt. Le professeur informe qu’il a déjà fait les groupes avant de les énoncer à voix haute. Comme un condamné, tu attends qu’il dise ton prénom. Tu fais partie du dernier groupe et tu es avec Tucker Walker. À l’annonce de ton partenaire, tu as envie de mourir. Il fait partie de l’équipe de basket et il se croit tout permis. Tu ne l’aimes pas. Tu essayes de négocier avec ton professeur pour travailler seule, mais il insiste. 
-Viens, Y/L/N, je vais pas te manger, rigole Tucker. 
À contrecoeur, tu réunis tes affaires et tu le rejoins à sa table. Tu mets un maximum de distance entre vous deux, voulant éviter de nouvelles rumeurs. 
-Je vais faire tout l’exercice et je mettrai ton nom sur la feuille comme ça, tu n’auras rien à faire, annonces-tu en commençant à lire ce que tu dois faire.
-Qui a dit que je ne voulais pas bosser avec toi ?
-Je ne veux pas bosser avec toi, précises-tu. Maintenant, occupe-toi et laisse-moi travailler.
-Au contraire, je suis sûr que je peux être utile, contredit-il en posant sa main sur ton genou.
-Enlève ta main, dis-tu en serrant les dents.
-Quoi ? 
-Ta main. Je ne t’aime pas et si je ne me trompe pas, tu es en couple.
-Ça ne t’a pas arrêté avec Harrington, dit-il avant de se pencher vers toi. Tu peux venir me rejoindre derrière le lycée tout à l’heure. 
-Non.
-Tu n’as pas à faire la fille difficile parce qu’on est en cours.
-Je ne fais pas la difficile, je ne t’aime pas, répètes-tu en essayant de rester calme.
-C’est ce que tu dis maintenant. 
Par chance, Tucker finit par retirer sa main et te laisse travailler. Tu es surprise de voir qu’il a abandonné si vite. Tu sais que ça cache autre chose, il faut que tu l’évites. 
Tu termines l’exercice de chimie pile quand le cours se termine. Tu ranges tes affaires en quatrième vitesse et rends la feuille à ton professeur avant de quitter la salle. Tucker ne t’a pas suivi, te permettant de lâcher un soupir de soulagement. 
En repassant devant ton casier, tu découvres que l’insulte a disparu. C’est un des points positifs avec le concierge du lycée, il efface rapidement les insultes. Cependant, peu importe le nombre de fois qu’il l’efface, il ne l’a jamais signalé au principal, te laissant seule face au venin des lycéens. 
Quand tu sors du lycée, tu te diriges vers ta voiture quand on te bloque la route. Devant toi se trouvent quatre filles dont Jessica, la petite amie de Tucker. Tu essayes de faire bonne figure, te préparant déjà à ce qu’elle va te dire.
-Qu’est-ce qui te fait croire que tu peux faire des avances à Tucker, mon petit ami ? demande-t-elle sèchement. Être son partenaire de chimie et lui dire de te rejoindre derrière le lycée ? C’est là où tu allais, n’est-ce pas ? Il ne viendra pas. Contrairement à Steve, il ne laissera pas la traînée d’Hawkins briser notre couple, affirme Jessica, tu t’apprêtes à lui répondre quand elle te devance. N’essaye même pas de le nier, Tucker m’a dit et Sarah t’a entendue !
-Elle entend mal, alors. Tucker est celui qui m’a fait des avances et je l’ai repoussé. Il a posé sa main sur mon genou et m’a dit de le rejoindre derrière le lycée, rétorques-tu, agacée.
-Tu penses que je vais croire une fille comme toi plutôt que mon copain ?
-Je sais que tu ne vas pas me croire. C’est tellement plus facile de croire le gars qui te dit de belles paroles plutôt que la fille qui te montre le vrai visage de ton copain. Ne sois pas trop déçue le jour où tu découvriras qu’il t’a trompé, si ce n’est pas déjà fait, déclares-tu avec un faux sourire.
-Retire ce que tu viens de dire.
-Pourquoi ? Tout le monde sait qu’il n’est pas fidèle.
-Il est différent avec moi, insiste Jessica et tu secoues la tête.
-C’est ce qu’il te fait croire mais la vérité c’est qu’il va voir ailleurs tout en te gardant sous le coude. 
Le bruit de la claque résonne dans le parking du lycée. Tu regardes Jessica avec de grands yeux alors que tu te tiens la joue. Pour toi, c’est la goutte de trop, tu réponds à son attaque en lui tirant les cheveux. Le cri de Jessica alerte les adultes alors que ses amies essayent de défaire ton emprise. Tu continues à lui dire ses quatre vérités alors que deux bras s’enroulent autour de ton corps et t’éloignent de Jessica. Être séparées ne vous empêche pas de continuer à vous insulter et à essayer de vous sauter à la gorge à nouveau jusqu’à ce que monsieur Jenkins arrive.
-Ça suffit ! Mais qu’est-ce qui se passe ici ? 
-Elle m’a attaqué ! ment Jessica en te pointant du doigt.
-Quoi ? C’est toi qui m’a giflée en premier.
-C’est faux, monsieur, on l’a vue ! ajoute une amie de Jessica.
-Elles mentent, Jessica l’a tapée en premier.
En regardant derrière toi, tu réalises que celui qui t’a retenu et qui te défend n’est autre qu’Eddie Munson. Tu ne l’avais même pas vu dans les alentours et tu ne t'attendais certainement pas à ce qu’il prenne ta défense. 
-Vous allez sérieusement pas croire les mots de Munson ? questionne Jessica, les larmes aux yeux. Il est toujours contre nous ! Il dirait n’importe quoi pour nous attirer des ennuis. Je suis la victime dans l’histoire…
-Tu dis n’importe quoi, tu…, l’interromps-tu avant que monsieur Jenkins attire votre attention.
-Stop ! J’en ai assez. Chez le principal, tout de suite ! 
Et c’est ainsi que tu te retrouves pour la première fois dans le bureau de monsieur Higgins. Tu n’arrives pas à croire que la situation ait dégénéré à ce point. Le pire ce n’est pas d’entendre le discours réprobateur du principal, c’est d’être témoin de la déception de ta mère à tes côtés pendant qu’il le fait. 
Alors que le principal explique à ta mère et à celle de Jessica ce qu’il s’est passé, tu regardes tes chaussures tout en retenant tes larmes de colère. Quand il a fini de parler, Higgins attire votre attention à toi et Jessica.
-Vous avez quelque chose à ajouter ?
-Je ne l'ai pas attaquée en premier, insistes-tu. 
-Tout le monde t’a vue ! rétorque Jessica.
-C’est toi qui es venue m’accuser de voler ton petit ami. Je n’ai rien fait. 
-Ouais comme tu n’as rien fait pour briser le couple de Nancy et Steve. 
-Monsieur, commences-tu en gardant une voix posée, ça fait plus d’un mois que je me prends des insultes de la part de tout le monde dont Jessica. Elle m’a traité de traînée puis elle m’a giflé quand j’ai dit que son copain n’était pas fidèle. Eddie Munson est témoin, il l’a dit à monsieur Jenkins. 
-Munson, celui qui dirige une culte ? Quel témoin fiable ! déclare la mère de Jessica en levant les yeux au ciel.
-Madame, s’il vous plaît, réprimande le directeur. Un témoin contre les trois amis de Jessica, ça n’apporte pas grand chose. 
-Et vous n’allez rien faire pour les insultes qui me sont adressées ?
-Y/N, dit ta mère d’un ton sec.
-Je n’ai jamais entendu parler d’insultes à ton égard. Toutefois, tes notes sont de moins en moins bonnes pour une raison inconnue.
-Si vous faisiez plus attention à vos élèves, peut-être que vous sauriez pourquoi.
-Y/N, ça suffit ! te rappelle à l’ordre ta mère avant de se tourner vers monsieur Higgins. Je vous présente mes excuses. J’imagine que Y/N sera punie ?
-En effet, on ne peut tolérer ce comportement. Logiquement, ce genre de situation peut amener à l’expulsion mais étant donné que Y/N a toujours été une élève modèle jusqu’ici, nous allons dire que c’est seulement une mauvaise phase. Y/N aura un mois de retenue et tu devras faire un devoir sur le harcèlement.
Avant que tu puisses protester, ta mère te lance un regard noir. Tu restes silencieuse alors que ta mère s’excuse encore une fois pour ton comportement. L’emprise de ta mère sur ton bras te force à te lever et à quitter le bureau. Elle ne dit rien jusqu’à ce que tu arrives à ta voiture où elle t’ordonne de rentrer à la maison. 
Quand tu arrives chez toi, ta mère t’informe que tu es privée de voiture, t’obligeant ainsi à aller à l’école en bus puis, elle te dit de rester dans ta chambre jusqu’à l’arrivée de ton père.
Quand tu refermes la porte de ta chambre, tu laisses enfin tes larmes de colère couler sur tes joues. Tu es frustrée par toute la situation et tu ne t’es jamais sentie aussi seule. Tu t’allonges sur ton lit en boule, cherchant un peu de réconfort. Pendant que tu recherches ce réconfort, ton esprit te ramène à un moment de ta vie où tu l'avais sans avoir besoin de faire un effort. As you search for that much-needed comfort, your mind takes you back to a time in your life when you had it without needing to make any effort.
À un moment, tu avais ce réconfort. Quand tout allait encore bien, il n’était pas rare que Steve vienne chez toi et qu’il te fasse sourire. 
Vous étiez en couple depuis trois mois et personne ne savait pour votre relation. Vous aviez préféré ne rien dire, voulant chérir ce que vous aviez. Grâce à votre relation, vous vous sentiez moins seuls, vous aviez enfin l’impression que quelqu’un s’inquiétait pour vous, c’était pourquoi tu étais si bien avec lui. Par conséquent, vous vous voyez quand vos parents ne sont pas chez vous. Ne voulant pas rester seule une autre nuit, tu avais invité Steve à venir chez toi. Étant dans la même situation, Steve avait sonné à ta porte une trentaine de minutes plus tard. 
Allongés dans ton lit, vous profitiez de la présence de l’autre après votre premier moment intime que vous veniez de partager. Steve a ses bras autour de tes hanches, plaquant ton dos contre son torse. 
-Tu sais, avait commencé Steve en murmurant à ton oreille, peut-être que tu es en retard pour être mon premier amour, mais tu seras toujours mon préféré. J’aime ce qu’on a.
-Moi aussi. Je t’aime beaucoup, Steve, avais-tu dit en te retournant pour le regarder. 
-Je t’aime beaucoup aussi, avait-il répondu en t’embrassant tendrement.
Tes pensées sont interrompues par la voix dure de ton père t’ordonnant de descendre. Tu essuies rapidement tes larmes et te prépares pour ce que tes parents s'apprêtent à te dire. En descendant les escaliers, ton père te fait signe d’aller dans la cuisine. Tu t’assois alors que tes parents restent debout de l’autre côté de la table, une expression sévère sur leur visage.
-C’est quoi cette histoire que ta mère m’a raconté ? Tu te bats maintenant ? s’indigne ton père. 
-Je ne faisais que me défendre, Jessica m’a attaqué en premier. 
-Pourquoi est-ce qu’elle t’aurait attaqué ? Je connais son père, c’est une fille adorable.
-Elle m’a insulté de traînée et elle m’a accusé de lui voler son petit ami alors que je n’ai rien fait. 
-Pourquoi est-ce qu’elle dit que c’est le cas alors ? questionne ta mère, agacée.
-Parce qu’elle est contre moi, comme tout le monde dans ce lycée !
-Baisse d’un ton, jeune fille, t’ordonne ton père. 
-C’est par rapport à ce qu’elle dit sur Steve et Nancy, n’est-ce pas ? veut savoir ta mère avec un regard accusateur.
-Oui, on m’accuse d’avoir brisé leur couple alors que c’est faux.
-Parce que tu n’as jamais rien fait avec Steve peut-être ?
-Comment tu…, commences-tu, surprise de découvrir qu’elle sait.
-C’est une petite ville et tu pensais vraiment que les voisins ne te verraient pas faire rentrer un garçon dans notre propre maison ? 
-Tu as fait venir un garçon en douce ? s’énerve ton père.
-Et d’après madame Johnson, ça a duré pendant plusieurs mois, précise ta mère. Tu n’as pas honte de toi ?
À cette phrase, le peu d’espoir que tu avais concernant tes parents disparaît. Tu n'arrives pas à croire que ta propre mère soit contre toi. Tu commences à t’habituer à la réputation que l’on t’a faite, mais entendre ta propre mère sous-entendre que tu es moins bien à cause de ta relation est le coup de grâce. Tu n’arrives pas à comprendre comment aimer un garçon a pu à ce point tout détruire. 
-Steve et moi, on s’était mis en couple après sa séparation avec Nancy, je lui parlais à peine quand il était encore avec elle. Steve était mon petit ami et on a rien fait de mal ! te défends-tu, sentant les larmes monter.
-Bien sûr et tu n’as rien fait de mal quand tu as attaqué cette pauvre Jessica ?
-Pauvre Jessica ? Elle m’a insulté et frappé. Je n’ai rien fait. Pourquoi est-ce que vous ne voulez pas me croire ? Je suis votre fille et pourtant, vous préférez croire Jessica que moi.
-Les faits sont là ! tonne ton père. Et puis, on aurait dû agir il y a un moment, tu as vu tes notes aussi ? Tu penses vraiment réussir ton année ainsi ?
-Mes notes se dégradent parce qu’on me fait vivre un enfer au lycée. 
-Arrête de te victimiser ! On en a assez de ton comportement. Tu as intérêt à remonter la pente et très vite. Monte dans ta chambre, tout de suite ! Et tu n’oublieras pas de faire tes excuses à Jessica.
Fatiguée de crier dans le vide, tu ne réponds pas à l’ordre de ta mère et cours te réfugier dans ta chambre. Énervée, tu fais claquer la porte derrière toi. En temps normal, tu aurais peur de recevoir d’autres réprimandes, mais à cet instant précis, c’est le cadet de tes soucis. 
Tu te jettes sur ton lit et tu te retiens de hurler ta frustration. Tu n’arrives pas à comprendre comment tes propres parents ne te défendent pas. Ils n’ont même pas essayé de t’écouter, ils n’ont fait que de te blâmer encore plus. Tu sais que c’est idiot, mais une part de toi espérait qu’ils essayeraient de te comprendre. Tu avais tort. Personne n’est de ton côté. Tu ne le pensais pas possible, pourtant, tu te sens encore plus seule. 
Si tu pensais déjà être l’ennemi public numéro un, quand tu retournes en cours le lendemain, tu réalises que c’est pire. Tout le monde te lance des regards de travers, les insultes se font plus nombreuses comme les messes basses. Tu te fais encore plus discrète que d’habitude - si c’est possible - restant dans ton coin. 
Finalement, tu te dis que tu ne recommanderais à personne de sortir avec des garçons qui ont des exs, ça ne vaut pas toute la douleur et le harcèlement qui vient avec, surtout si ledit garçon vous ignore. 
Quand tu vas à ton dernier cours de la journée, tu aimerais pouvoir dire que tu t’apprêtes à enfin respirer, mais tu as ta retenue. Tu vas devoir rester au lycée encore quelques heures. 
En t’asseyant à ta table habituelle de ta salle d’histoire, tu poses ton cahier sur ta table. Tes yeux se posent sur la dernière page où tu as écrit jusqu’à ce qu’ils dérivent sur une inscription gravée sur ta table : “la traînée d’Hawkins = Y/N”. Tu ne découvres pas ces mots, c’est d’ailleurs ces mots sur cette table qui t’ont fait réaliser que ta vie allait changer sans que tu puisses réagir. Malgré le temps, ces mots te font toujours l’effet d’un coup de poignard. Tu te rappelles encore de ce moment où tout a basculé. 
Tu étais derrière le lycée avec Steve. Vous étiez en couple depuis quatre mois mais contrairement aux trois premiers, ça n’allait plus entre vous. Vous n’étiez plus sur la même longueur d’onde. Peu importe tes efforts pour essayer de le garder auprès de toi pour sauver votre couple, ça se finissait toujours en dispute. Le sujet principal était que tu étais plus investie dans votre relation que Steve. Tu avais notamment remarqué ceci quand tu avais essayé d’être plus proche de lui au lycée. 
-Je ne t’en demande pas beaucoup Steve ! Je demande pas à t’embrasser avec la langue devant tout le monde, je veux juste pouvoir au moins te parler sans que tu m’ignores. Je suis ta petite amie et pourtant, on dirait que je suis inconnue pour toi, avais-tu demandé, à la fois énervée et désespérée.
-T’as dit que tu voulais garder notre relation pour nous, avait rétorqué Steve en évitant ton regard.
-C’était avant que ça devienne plus sérieux entre nous. Je t’aime beaucoup et je veux pouvoir dire que tu es mon petit ami.
-Je sais mais tu sais avec Nancy…
-Pourquoi est-ce que tu parles d’elle ? Elle a avancé, contrairement à toi ! Elle est avec Jonathan, je pense qu’elle s’en fiche si tu es de nouveau en couple. Pourquoi est-ce que tu cherches des excuses ? Je croyais que tu m’aimais beaucoup aussi.
-C’est le cas. 
-Ah bon ? On dirait pas ! t’étais-tu offusquée. J’ai l’impression d’être seule dans cette relation. À chaque fois que je fais un pas vers toi, tu me repousses un peu plus. Je commence à en avoir marre. Je ne sais même pas pourquoi je continue à essayer de sauver notre couple alors que c’est clair que tu t’en fiches, avais-tu fini en rentrant à l’intérieur du lycée. 
-Y/N, attends…, avait-il essayé de te retenir
-Non, c’est fini, Steve ! 
Ce jour-là, tu avais mis fin à ta relation avec Steve, signant aussi la fin de ta tranquillité au lycée. Pendant que vous vous disputiez, quelqu’un vous avait entendu et avait tordu toute l’histoire. Avant que tu puisses réagir, quelques jours plus tard, les rumeurs avaient commencé à tourner au lycée disant que tu avais ruiné le couple de Nancy et Steve en le séduisant. Tu n’avais rien pu faire pour corriger les rumeurs. Juste parce que tu avais aimé un garçon, on t’avait jugé comme une briseuse de couple et tu devais accepter ta sentence.
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harriet-de-g · 7 months
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Encore des rêves indociles de justice handie pour la fin du monde
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[initialement publié dans la revue Multitude 94, Justice handie pour des futurs dévalidés, traduit de l’anglais (Canada) par Emma Bigé et Harriet de G. Texte Original et Image d'illustration de Leah Lakshmi Piepzna-Samarasinha]
Comme tous les textes de ce blog avant lui, il est disponible à la commande à prix libre, pour permettre de soutenir cette activité. Pour cela, il suffit de m’envoyer un message privé en précisant sa commande, le prix qu’on veut payer, son mail & selon le mode d’envoi : une adresse. Vous pouvez aussi le retrouver ci-dessous ou dans sa version imprimable ici (en pleine page) ou ici (en format cahier).
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Tu te rappelles comment, en 2019, on a survécu ? Comment tu as appris que tu avais un cancer, et comment tu as cru que tu allais mourir, soit du cancer, soit de la négligence du chirurgien sur la table d’opération ?
Tu te souviens comment, en 2018, c’était l’année où un groupe de personnes handicapées avait construit un réseau de distribution de masques pendant les incendies de forêt en Californie, distribuant près de 80’000 masques en un mois ? Tu te souviens de la première fois où tu as entendu les termes « pic de pollution de l’air à grande échelle », et comment ce n’était pas la dernière ? Tu te souviens de la première fois où tu as vu une section « justice handie » à la bibliothèque municipale, avec les visages d’Audre Lorde et de Leroy Moore côte à côte sur l’étagère créée par Dustin Gibson ? Tu te souviens quand la loi sur les revenus annuels garantis est passée, et quand le revenu minimum a été augmenté et quand les personnes sous protection sociale avons enfin pu garder nos revenus ? Tu te souviens des réparations obtenues après les abus médicaux ? Tu te souviens du jour où le dernier centre d’internement de force pour jeunes autistes a fermé, et où on s’est retrouvées pour des cérémonies de deuil et de célébration ? Tu te souviens du jour où on a commencé à faire des réserves de masques, d’eau et d’essence avant d’emménager dans la ferme, tenue par des crip racisées, où nous vivons maintenant ? Tu te souviens quand nous avons construit notre premier monument aux mort·es pour célébrer celleux que nous avions perdu‧es, Carrie Ann Lucas, Steve, et toustes les autres ?
Au printemps 2019, Alice Wong du Disability Visibility Project [projet de visibilité handie] m’a demandé d’écrire une suite à mon article de 2017, « Cripper l’apocalypse : rêves indociles pour une justice handie » pour son anthologie Disability Visibility. J’ai dit oui. Et puis, j’ai eu du mal à l’écrire. Il est difficile de rêver quand on est terrifié·e, et c’est et c’était des temps terrifiants. La répétition incessante des traumatismes des trois dernières années, des horreurs du trumpisme qui sont souvent pires que ce que l’on pouvait imaginer, et qui ne cessent de s’empiler les unes sur les autres, m’ont mis·e, moi et tant d’autres de mes proches, dans une sorte d’état perpétuel d’immobilité du type « chevreuil pris dans les phares d’une voiture ». Des camps de concentration aux durcissements des conditions d’accès à la nationalité, de l’ascension de Brett Kavanaugh à la Cour suprême à l’interdiction d’entrée aux ressortisssant·es de pays musulmans, aux feux de forêt dans tous les coins du monde et à la glace qui fond aux deux pôles : on dirait qu’il est plus facile d’apprendre à lire le monde dans un livre que d’essayer de répondre à ses urgences en temps réel.
L’année dernière, au cours de la tournée pour mon livre Care Work: Dreaming Disability Justice [le travail de prendre soin : rêver la justice handie], je me suis souvent retrouvé·e à porter (à l’occasion des conversations publiques et sur les campus) le T-shirt conçu par la militante queer handie Latinx Annie Elainey Segarra où il est écrit que LE FUTUR EST ACCESSIBLE. Je fais ce truc régulièrement pendant mes interventions, où je demande au public de fermer les yeux un instant, de plonger au dedans, et d’imaginer le futur. En tant que personnes actives dans le mouvement pour la justice handie, nous savons que l’accès n’est que le premier pas sur la voie d’un futur handi libéré : c’est la rampe qui nous permet d’accéder à la porte où le futur pourra être façonné, mais ce n’est pas le futur comme tel. Mais quand je demande : « okay, à quoi êtes-vous arrivé·es ? », on entend le son des grillons. Tout le monde reste bloqué. Au mieux, iels arrivent à imaginer un futur où iels ne mourront pas dans des camps de concentration.
Mais en tant que personnes handies, nous savons que l’un des plus beaux dons que nous recevons, ce sont nos rêves Fols, malades, handis et Sourds, ces rêves que nous rêvons au-delà de ce que nous sommes autorisé·es à rêver. Et non, je ne parle pas de la « pornographie inspirationnelle », cet imaginaire validiste des rêves handis qui voudrait que « nous ne laissions pas le handicap nous arrêter », qui s’imagine que nous voulons marcher, voir ou être « normales » à tout prix. Être une super-estropiée ou une inspiration, mais jamais un être humain.
Je parle des petites, énormes façons quotidiennes dont nous rêvons de révolutions crips, de la façon que j’ai de me regarder dans le miroir, cheveux en désordre et mon vieux jogging et mes douleurs le cinquième jour d’une poussée majeure, et de dire : vous savez quoi, je ne vais pas me détester aujourd’hui. Et nos rêves de révolutions crips sont aussi dans nos manières de créer des refuges pour handicapées, des réseaux de parrainage pour handicapées, des façons d’aimer, de se battre et de s’organiser pour les handicapées que même les valides les plus talentueux·ses ne pourraient imaginer en un million d’années.
Et malgré toutes les manières dont nous sommes en enfer, nous sommes toujours en train de rêver. Alors que je vais à trois réunions du réseau de soutien par semaine pour des amies confrontées au cancer, à une chirurgie rénale et à des besoins continus en matière de handicap psy. Au moment où je prends, enfin, une profonde inspiration et demande l’aide dont j’ai le plus besoin à mes amies, et que je suis capable de le faire grâce au travail collectif effectué pour rendre l’acceptation de ce soutien sûr et possible. Alors que je commence à devenir l’artiste handicapéE d’âge moyen que j’avais peur de devenir, alors que j’arrête de prendre autant l’avion et que j’apprends à écrire et à parler et à partager mon travail sans voyager dans le Nebraska ou le Maine, dans une communauté d’autres écrivain‧es et artistes handicapé‧es qui ont trouvé une manière crip de produire et de vivre d’excellentes vies d’artistes handicapé·es.
Nous rêvons de brillantes réponses handies à la violence du changement climatique. Mask Oakland distribue 80 000 masques gratuits lors de l’urgence aérienne à grande échelle des incendies de forêt de l’automne 2018 en Californie. #PowerToBreathe, un réseau de douze organisations de justice pour les personnes handicapées, s’unit lors de l’incendie de Kincade de 2019 pour créer un réseau de « centres de survie » accessibles avec des générateurs et des purificateurs d’air pour et par les personnes handicapées qui s’organisent pour survivre aux coupures de courant potentiellement mortelles de de la compagnie électrique PG&E. Nous créons un espace culturel public de justice pour les personnes handicapées racisées, alors que Dustin Gibson, activiste noir basé à Pittsburgh, construit une collection dédiée à la justice handie dans une bibliothèque de quartier.
Quand UnitedHealthcare assassine la militante et avocate handiqueer latinx fèm grosse Carrie Ann Lucas en refusant de lui rembourser un antibiotique à 2000$, nos peurs, nos deuils et nos rages conduisent le Health Justice Commons à établir la toute première ligne d’assistance téléphonique contre les abus médicaux. Les travailleureuses du sexe handicapé·es, les migrant·es handicapé·es, les prisonnier·s handicapé‧es, les personnes handicapées qui sont en invalidité ou utilisent Medicaid se sont auto-organisé·es pour survivre face à Trump – et sont la raison pour laquelle Medicaid et l’ACA ont tenu bon tandis la règle de la « charge publique » de Trump n’a pas été adoptée1.
De nouveaux collectifs de justice handie se multiplient partout, du Disability Justice Network of Ontario à Detroit Disability Power et à Fat Rose. Mon adelphe, læ militant·e queer coréen·ne Stacey Milbern, a acheté et rendu accessible sa maison à East Oakland – le Disability Justice Culture Club – avec les 30’000$ qu’elle reçoit, tous les mois, en petits montant de vingt dollars envoyés des quatre coins de la planète par la communauté handie. Et deux cent personnes handies, grosses et vieilles brandissent des pancartes qui disent irremplaçable et #PersonneN’estJetable aux manifestations de Crips and Fatties Close the Camps [Les estropié·es et les gros·ses ferment les camps] en face des bureaux de la police aux frontière de San Francisco – un aperçu d’un mois de manifestations quotidiennes en août 2019 contre les camps de concentration formés par les services d’immigration aux ordres de Trump, manifestations menées par des personnes grosses et handicapées qui créent des liens entre d’un côté, nos expériences de l’enfermement dans les institutions psy, les maisons de retraites et les hospices, et de l’autre celles des immigrant·es (y compris les immigrant·es handicapé·es) qui sont enfermé·es.
J’écris tout cela pour me rappeler et pour nous rappeler. Même et surtout quand nous sommes terrifiées au point d’être immobilisées, nous continuons à rêver collectivement des futurs de justice handie et à les rendre possibles.
Se souvenir du passé pour rêver le futur : nous nous sommes toujours trouvé·es les un·es les autres
« Tu connais, toi, ce genre de personne handicapée qui veut juste être là pour les autres personnes handicapées, qui ne demande aucune reconnaissance, qui veut juste faire ce qu’il faut ? », me dit mon ami Lenny au téléphone. Bien sûr, je connais. Je ne lui dis pas, mais il a justement toujours été ce genre de personne pour moi.
À l’époque à Toronto, nous étions les deux seules maisons avec des rampes d’accès faites-mains du quartier. Avec le triomphe de la gentrification dans les quartiers ouest de Toronto, nous vivions au milieu de gens pauvres et de maisons aux porches à moitié déglingués. Des années avant le mouvement pour la justice handie qu’on connaît aujourd’hui, sa maison était un lieu où les gens pauvres, les personnes multiraciales, queer et handicapées, pouvaient venir traîner, se soutenir, faire de plans et rire ensemble. Pendant des années, il tenait des « dîners du vendredi soir » où n’importe qui pouvait venir manger. Il me disait toujours à quel point il était important pour lui de centrer le travail sur les estropié·es les moins populaires : celleux qui tiraient la gueule, qui étaient en colère, les « difficiles », les tellement cinglé·es que même les autres Fols s’éloignaient en disant que c’était « vraiment trop ». Parce que le validisme nous tue en nous isolant les unes des autres, il voulait que les gens qui ont le moins de communauté puissent se sentir quelque part à la maison.
Quelques semaines avant cet appel, je donnais un atelier sur les « réseaux de soin (care webs) » dans un centre communautaire local tenu par des personnes queer et trans racisées : comment créer des réseaux d’entraide en tant que personnes handicapées, comment bien recevoir et comment bien offrir du soin. La première moitié de l’atelier s’était bien passée ; j’avais beaucoup parlé du travail de soin non-payé que de nombreuses personnes réalisent, de la difficulté qu’il y a à demander du soin quand on est une personne racisée malade et handicapée en raison de toutes les fois où l’on est forcé de faire ce travail gratuitement, et où l’on est puni·es pour en avoir besoin. Toutes ces manières qui ne cessent de nous rappeler que les bonnes filles, et mêmes les enfants queer, sont celles qui restent pour aider. Toutes ces peurs d’être un fardeau.
Mais les choses se sont corsées quand j’ai commencé à demander : « Ok, maintenant, pensez à un besoin que vous avez, et prenez un temps pour réfléchir à ce qu’il faudrait pour que ce besoin soit bien satisfait ! » Les gens ont répété plusieurs fois : « Pardon, est-ce que tu pourrais réexpliquer la question ? » La température dans la salle est descendue de dix degrés. En bonne facilitatrice, j’ai dit : « Hé, je commence à remarquer une tension, est-ce que quelqu’un veut en parler ? » Et c’était bien le cas. Iels m’en voulaient parce qu’iels avaient l’impression que je leur racontais des contes de fée à propos d’une chose qui ne leur arriverait jamais : recevoir de l’attention. Certain·es d’entre elleux dirent qu’iels n’y croyaient pas : les personnes ne recevraient jamais l’attention appropriée. Quand je leur ai demandé de penser à une chose dont iels avaient besoin et sous quelles conditions ce besoin pourrait recevoir le soin adéquat, une personne a répondu, dégoûtée, « Je comprends pas pourquoi je devrais m’embêter à lister ce dont j’ai besoin – y a pas moyen que je reçoive quoi que ce soit sans qu’on abuse de moi. »
Face à ce cercle de gens tristes, traumatisés et en colère, j’ai ressenti beaucoup de choses. Je me sentais salement triste. Je me sentais stupide. Du genre, comment avais-je pu ne pas me rappeler, en préparant l’atelier, que tant de personnes handicapées et malades n’avaient jamais reçue de soin sans être traitées comme de la merde ? Et une partie de moi aussi était incrédule, frustrée et énervée. À l’intérieur, je me disais : Allez, personne ne t’a jamais donné de cigarette quand tu faisais la queue au bureau des bons alimentaires, personne ne t’a jamais apporté de plats à emporter quand tu étais malade ? Si moi j’ai déjà donné à plus pauvre que moi, vous aussi, non, arrêtez l’embrouille !
Mais je comprends. Au cours des quinze dernières années, depuis que l’expression « justice handie » [disability justice] a été inventée par un petit groupe de personnes handicapées intersectionnelles et radicales, nous avons fait tellement de choses : nous nous sommes retrouvé‧es et nous avons changé le monde. Nous avons fait en sorte qu’il y ait un mouvement des personnes handicapées qui ne soit ni blanc, ni masculin, ni cis. Un mouvement handi où l’on a enfin pu commencer à parler non seulement des meurtres policiers de personnes handicapées noires et racisées, mais aussi des olympiades de la désirabilité validiste qui s’imposent à la communauté queer trans racisée. Nous avons créé des communautés handies et des manières profondes de prospérer. Alors évidemment, je peux l’imaginer ! J’ai eu tellement d’exemples de réseaux de soins handis, imparfaits et beaux. J’ai une décennie de discussions archivées et animées de Sick and Disabled Queers (SDQ) sur mon ordinateur, des souvenirs des moments où nous avons collecté des fonds pour offrir à mon ami Dorian une camionnette accessible en fauteuil roulant que nous voulions également être un accès communautaire à du transport à la demande ou quand les gens envoient des pilules à de parfaits inconnus qui en manquaient. Le tout passant sous le radar valide, le tout sans financement extérieur, intégralement payé par nous. Et bien plus que les collectes de fonds et les collectifs de soins : la façon dont nous avons passé du temps ensemble sans essayer de nous « réparer » ; et comment nous sommes allé‧es rendre visite à des amis dans des maisons de retraite, et comment nous avons joué à des jeux de société, créant des amitiés et des socialisations communautaires où le handicap était au centre. On s’est mutuellement sauvé la vie. Et pourtant, si vous n’étiez pas là au bon moment en 2013 sur SDQ, ce monde-là vous est peut-être invisible, parce que vous n’avez pas pu nous retrouver.
En tant que personnes handicapées, nous sommes à la fois hyper visibles et invisibles. Simultanément dévisagé·es et invisibilisé‧es, notre travail et nos vies sont effacées. Je pense qu’une partie de notre plus grand pouvoir réside dans ce qu’un ami appelle « l’obscurité révolutionnaire ». Nous nous organisons d’une manière inconnue des personnes valides, pour passer sous leur radar. On ne rejoint pas le mouvement pour la justice handie en payant une cotisation à une organisation nationale de justice handie. La justice handie existe partout où deux personnes handicapées se rencontrent à une table de cuisine, sur des bouillottes dans leur lit, discutant de nos amours. N’importe qui peut faire partie de la justice handie s’iel s’organise à partir de ses propres cuillères, de son propre corps et de son esprit, et de sa propre perception des besoins de sa communauté.
Les fondations commencent à comprendre que la « justice handie » est le nouveau truc sexy à financer. Même si l’argent pourrait bien nous être utile, on sait ce que ça fait habituellement aux mouvements. Nous savons que le complexe industriel de la charité a une longue et riche histoire histoire d’investir dans des mouvements puis de les déstabiliser et de les déradicaliser. Dressant les groupes les uns contre les autres, donnant souvent de l’argent aux plus blancs et à celleux qui ont la peau la moins foncée, à ceux qui ont le plus de diplômes et payent leurs impôts. L’argent est tellement compliqué, et pas compliqué du tout, mais tentant. Nous nous creusons la tête en essayant de comprendre comment et quel type prendre. Je ne pense pas qu’il y ait une seule bonne réponse, ni que l’argent soit même le plus risqué pour nous – mais la tension que nous pourrions ressentir à mesure que le Justice handie grandit et que les gens qui ne sont pas nous pensent qu’il est important de s’éloigner d’un mouvement bancal entièrement horizontal d’anonymes où n’importe qui peut avoir une idée, n’importe qui peut diriger, ce que nous avons été, vers un endroit où seuls les estropié·es avec les diplômes et les mots qui ont un sens pour celleux pouvoir sont adoubées comme des stars.
Je crois fermement, comme j’y croyais dans mes années de jeunesse à étudier les techniques de guérilla radicale, que notre pouvoir est plus fort lorsque nous employons une diversité de tactiques selon nos propres conditions – des tactiques qui nous renforcent, qui frappent là où l’ennemi est faible ou faillible. Nous faisons de notre mieux lorsque nous nous battons pour gagner selon nos propres conditions de personnes handies. Pas de compromis. Créez quelque chose de handi et de merveilleux.
Quand j’ai peur de tout perdre, je me rappelle qu’avant même de disposer d’un nom pour nous dire, nous arrivions déjà à nous trouver les un·es les autres. Dans la maison de Lenny, sur les porches de nos maisons avec leurs rampes d’accès bricolées. Et dans les maisons de retraite, dans les prisons, dans les hôpitaux psy, et oui, dans les camps. Je sais que aussi terribles que puissent être les circonstances, nous continuerons à nous trouver les un·es les autres. Nous l’avons toujours fait. Nous nous retrouverons, que nous soyons exalté·es comme le dernier parfum à la mode ou ciblé·es pour être éliminé·es, ou les deux.
Propagations indociles
Je parle depuis le début de l’indocilité des rêves handis, alors voici quelques rêves handis pour les temps qui viennent :
À mesure que grandissent nos réseaux, les personnes qui les composent, les collectifs et les groupes culturels dans lesquels ils s’organisent, pouvons-nous imaginer des formes de communication entre nous ? Pouvons-nous développer des principes pour nos actions et nos solidarités là où le complexe industriel caritatif et les systèmes de pouvoir essayent de nous mettre en compétition ? Pouvons-nous nous préparer à affronter les luttes de pouvoir et les dégâts qui, inévitablement, en résultent ?
Les personnes handies radicales – en particulier les personnes handies noires, autochtones, racisées, queer et trans – vont continuer à écrire, à créer, à faire de l’art. Quelles structures voulons-nous créer pour construire les unes avec les autres ?
Les réseaux sociaux nous ont donné un outil important pour nous connecter les unes aux autres et en finir avec l’isolation des dernières décennies, mais Facebook, Instagram et la plupart des réseaux sociaux étouffent et censurent secrètement nos paroles au point d’empêcher un certain nombre d’entre nous de publier leurs idées, ou de voir leurs idées relayées. Et si nous créions nos propres réseaux sociaux de communication ?
La vieille garde des luttes pour les droits handis est en colère contre les militant·es pour la justice handie parce que nous avons réussi à convaincre davantage de genxtes à se dire handicapées, parce que nous ne sommes pas racistes et parce que nous ne concentrons pas seulement sur le travail de réforme. Nous nous dédions à la construction de maisons, à la construction d’un million de petits groupes plus bizarres les uns que les autres et d’actions et de projets et de hashtag sur Instagram et de médias et d’histoires et de partages de rampe d’accès et de boîtes à outil prêtes à l’emploi pour des bibliothèques et de projets d’habitats partagés et de pratiques de sexe collectives. Alors que se passerait-il si nous prenions la direction de Centres pour la vie en autonomie ou de programmes en Études Handies ? Et si nous faisions quelque chose de complètement nouveau ? Et si nous créions des Centres pour la vie en interdépendance plutôt qu’en autonomie ?
D’ici vingt-cinq ans, les personnes noires, indigènes et racisées constitueront la majorité des personnes vivant aux États-Unis, et l’une des grandes victoires du mouvement pour la justice handie est d’avoir fait en sorte que moins en moins de jeunes personnes racisées ont peur du handicap – de plus en plus d’entre elleux s’en revendiquent, ou l’intègrent à leurs activismes. Que faire de ce potentiel ?
Poussées à quitter les villes côtières par les forces croisées de l’hypergentrification et de la montée des eaux, quelles nouvelles maisons et communautés handies pourrons-nous construire dans ces banlieues et ces terrains vagues de l’exode ? Quels foyers crip construirons-nous sur les îles que deviendront la Floride dans les zones industrielles désaffectées, dans les réserves autochtones ? Que se passerait-il si nous crippions le Green New Deal ? Que se passerait-il si les infrastructures vertes qu’on nous promet adoptait, dès leur point de départ, les principes de justice handie ?
Nous luttons pour maintenir la sécurité sociale tout en sachant que les structures de soin payant telles qu’elles existent ne payent pas suffisamment les soignant·es, et restent trop souvent difficiles d’accès ; nous faisons éclore des structures de soin collectif mais nous savons que pour nombre d’entre nous, elles ne sont pas accessibles, notamment parce que nous aimerions que ce ne soit pas nos ami·e·s qui nous torchent les fesses, ou parce que nous n’avons pas le capital social/amical qui le permettrait, ou parce que nous savons que prendre soin continuellement épuise. Et nous nous demandons : quels sont nos rêves de réseaux d’entraide collective, d’une société où le soin gratuit, juste, accessible, est un droit humain pour toustes ? Et si nous pouvions créer un système d’entraide et de soin à l’échelle de la société fondé sur les principes de justice handie ? Je pense à quelque chose comme la société des Dépossédés de Ursula K. Le Guin où une lune anarcho-syndicaliste est dotée de logements, de travail et d’entrepôts remplis des biens nécessaires pour toustes. Et si tout le monde avait accès à ce genre de soin ? Et si le droit au soin et à l’accès se trouvait inscrit dans toutes les constitutions ? Et si des Réformes du Soin étaient implantées biorégionalement, en lien avec les autochtones qui vivent dans chaque ville, chaque localité ?
Dans son appel à financer sa maison, Stacey Milbern avait écrit « les rêves de justice handie m’ont portée jusqu’ici, et je continuerai à m’appuyer sur eux. » Il n’est pas exclu que d’ici cinq ou cinquante ans, nous soyons toustes mortes, étouffées par les airs viciés des incendies provoqués par le changement climatique. Mais je sais que nous avons déjà persévéré et survécu face à l’adversité. Et je sais cela aussi :
Nous avons ce que nous avons toujours eu, et davantage encore.
Nous savons vivre nos deuils, prier
persister
trouver la résistance dans les plus petits espaces
nous retrouver les unes autres et créer des foyers
nous allonger au milieu de la rue et, animées par le deuil et par la rage, bloquer la circulation
déployer des trésors d’imagination crip
faire des trucs que tout le monde pense impossibles
inventer des gestes indociles et inattendus, qui passent sous les radars et nous permettent de continuer.
1 NdT : L’Affordable Care Act ou « Loi sur la Protection des Patients et les Soins Abordables », surnommée Obamacare, est une législation de 2010 qui, aux États-Unis, édicte l’interdiction pour les assurances de refuser d’exercer des discriminations du fait de maladies ou handicaps. La règle de la « charge publique » permet, sous l’administration Trump, à un État des États-Unis, de refuser un visa à une personne du fait de son handicap/sa maladie faisant d’elle une « charge » pour la collectivité.
Leah Lakshmi Piepzna-Samarasinha
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culturefrancaise · 9 months
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On vote avec sérieux svp, pas de guéguerre entre Paris et Marseille, c'est pour m'aider avec ma fanfiction !
Je réfléchis toujours à mon French AU pour Captain America 😅 Capitaine France, Étienne Rogers et son meilleur ami Jacques Lagrange...
J'arrive toujours pas à choisir où placer l'action... J'ai fait quelques exposés sur Paris donc je connais un peu mieux que Marseille et j'ai tendance à pencher pour cette option; mais Marseille a cet aspect portuaire que New-York a et que Paris n'a pas, il me semble. Je n'ai pour l'instant AUCUNE information sur l'histoire queer de Marseille, et Steve est un artiste donc je me dis que Paris pourrait lui offrir de bonnes opportunités... Vous en pensez quoi ?
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buxberg · 10 months
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Après "Taxi", Marion s'est imposée dans le cinéma français et a commencé à recevoir une offre après l'autre
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Films notables avec sa participation : le drame amoureux historique de Francis Rössers « La guerre dans les montagnes » et le drame militaire de Pierre Grimblatt « Lisa ».  En 2000, elle est membre du jury du Festival du film fantastique de Gérardmer.  En 2001, Cotillard joue son premier grand rôle au cinéma, dans le mélodrame Lovely Things de Gilles Paquet-Brenne, où elle interprète deux rôles à la fois, les sœurs jumelles Marie et Lucy.  Les deux rôles obligeaient Marion à chanter dans le film, pour lequel elle a également suivi un cours de chant d'un mois, ayant déjà une formation musicale derrière elle.  Pour ce film, Cotillard a de nouveau reçu une nomination pour "César" en tant qu'actrice la plus prometteuse et n'a de nouveau pas reçu de prix.
 Bien que Cotillard soit encore mieux connue en France, ses peintures ont commencé à lui apporter une renommée mondiale.  Elle a joué dans le thriller A Private Investigation de Guillaume Nicloux et dans la comédie romantique Fall in Love with Me If You Dare de Yann Samuell, où elle a démontré sa capacité à jouer un rôle principal touchant et romantique.  Pour sa performance, elle a reçu le prix de la meilleure actrice au Newport Beach Film Festival.  En 2003, Marion a joué dans son premier grand film étranger, jouant le rôle de Joséphine, la belle-fille enceinte du protagoniste de la tragi-comédie de science-fiction Big Fish de Tim Burton, qui a un casting très sérieux d'Ewan McGregor, Albert Finney , Helena Bonham Carter, Danny DeVito, Steve Buscemi et Jessica Lange.
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french-ao3 · 2 years
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Salut!
Je viens de trouver ce blog, et c'est ce que je cherchais depuis un petit moment, j'espère ?
J'écris des fictions sur AO3 en français depuis un peu plus d'un an, et je me trouve un peu seule dans mon coin francophone, alors que je suis sûre que toute une belle communauté existe.
Est-ce qu'il y a des forums, discord, sites etc. où la communauté francophone AO3 échange ? Je suis encore un peu nouvelle, du coup je n’ai pas de porte d’entrée dans la communauté francophone, ce que je regrette. Par exemple, je n'ai pas de beta pour relire mes travaux, et j'aimerais en trouver. Ou tout simplement échanger avec les autres écrivaines francophones...
Le genre des œuvres transformatives est tellement méconnu ici en France, où j’habite, que l’exercice est très solitaire… J’espère qu’avec le temps cette littérature populaire, féminine et talentueuse fera son chemin et recueillera un peu plus de reconnaissance pour toute l’énergie et le travail déployé par ses créatrices ;-)
En attendant, je cherche des lieux d’échange avec d’autres passionné.é.s francophones.
J’ai complété une fiction (Stucky), et je suis en cours d’écriture d’une autre, ici :
https://archiveofourown.org/users/LenaPalmdeath/works
Lena
Bonjour bonjour !
Bienvenue à toi sur ce blog ! J'espère pouvoir t'aider du mieux que je peux
Beaucoup de francophones sont dans ton cas : Archive of our Own est tellement anglo-centrés que la plupart des gens francophones y écrivent en anglais, et sont donc difficiles à trouver au premier abord. Cependant, il ne faut pas désespérer ! La francophonie est un espace linguistique très étendu (et très actif dans le milieu de la fanfiction, contrairement à ce que l'on pourrait penser).
Il existe différentes portes d'entrées vers les communautés de fans francophones :
Les fandoms exclusivement français : Kaamelott, le Visiteur du Futur... Ils ne correspondent pas forcément à tes intérêts, mais on peut y dénicher un tas de gens qui produisent des œuvres en français. Ces personnes ne se limitent généralement pas à un seul fandom et tu as beaucoup de chances d'y dénicher (avec un petit peu de travail) des gens qui sont intéressés par Marvel en général et Stucky en particulier.
Les comptes personnels d'auteur.ice.s que tu apprécies sur Ao3. La plupart des gens qui écrivent sur Ao3 ont également un Tumblr, un Twitter, un Tiktok... Même s'iels communiquent en anglais sur ces comptent, tu peux probablement parler en français avec elleux. Iels ont probablement dans leurs abonnements et reblogs des œuvres d'autres personnes francophones avec lesquelles tu pourras entrer en contact.
Je ne fais pas personnellement partie de communauté Marvel/Stucky, mais voici quelques endroits où tu pourras peut-être trouver des pistes pour aller plus loin : le discord Marvel France officiel, la collection Ao3 Obscur Echange, le collectif NONAME
J'encourage les fans francophones de Marvel et de Steve/Bucky à se manifester dans les notes de ce post ou bien dans les messages privés de @lenapalmdeath. Je sais que vous êtes nombreux.ses les Stucky fans, révélez vos visages !
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galgadotfr · 11 months
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Gal Gadot s’exprime sur son enfance “protégée” en Israël
Gal Gadot, star de « Wonder Woman », s’est exprimée cette semaine sur son enfance israélienne « protégée » et sur l’inspiration qu’elle a tiré de son grand père, survivant de la Shoah, pour incarner la super-héroïne emblématique du film.
C’est Gadot qui fait la couverture de l’édition du mois de septembre du magazine américain de pop culture Rolling Stone.
« Gal Gadot : Le triomphe d’une Wonder woman dure à cuire », annonce le titre, tandis que le journal consacre six pages aux années passées en Israël par la jeune femme de 32 ans et à son nouveau statut de super-star.
« J’ai eu une vie très protégée », explique au magazine Gadot, qui a grandi à Rosh Haayin. « On ne regardait pas la télé. C’était tout le temps : Prends un ballon et va jouer dehors. »
« En général, j’étais une fille bien, une bonne élève, j’étais agréable et j’étais un garçon manqué. Toujours avec des blessures et des égratignures aux genoux », ajoute-t-elle.
Gadot, devenue Miss Israël avant de faire son service militaire, déclare également au magazine avec fierté qu’elle a délibérément perdu le concours de Miss Univers.
« Je savais que je ne voulais pas gagner Miss Univers. Ce n’était pas mon truc. Pour une jeune fille de 18 ans, cela faisait trop de responsabilités », dit-elle.
« Et j’ai totalement perdu, ajoute-t-elle. J’ai victorieusement perdu. »
Gadot évoque également son grand-père, adolescent en Tchécoslovaquie durant la Shoah et dont la famille a été tuée à Auschwitz.
« Sa famille entière a été assassinée, c’est impensable, dit Gadot. Cela m’a beaucoup touchée. Après toutes les horreurs qu’il avait vues, il était comme un oiseau blessé mais il gardait toujours espoir, il était positif et rempli d’amour. Si j’avais grandi dans un endroit où ces valeurs n’avaient pas été si fortes, les choses auraient été différentes. Mais il a été très facile pour moi de me relier à toutes les valeurs pour lesquelles Wonder Woman se bat. »
Depuis le début de l’année 2016, la star israélienne est passée d’un quasi-anonymat international au statut de star mondiale, de célébrité d’Hollywood et d’héroïne féministe.
« Les gens me demandent tout le temps : ‘vous êtes féministe ?’ et je trouve cette question surprenante parce que je pense que oui, bien sûr. Toute femme, tout homme, tout le monde devrait être féministe. Parce que celui qui n’est pas féministe est sexiste », explique Gadot.
La couverture du magazine Rolling Stone avec l'actrice israélienne Gal Gadot, Septembre 2017. La couverture du magazine Rolling Stone avec l’actrice israélienne Gal Gadot, Septembre 2017. Gadot est depuis longtemps une célébrité en Israël, où elle a été mannequin après avoir remporté le titre de Miss Israël en 2004, alors qu’elle avait 18 ans.
Gadot avait obtenu le rôle d’une ex-agente du Mossad dans le quatrième film de la série « Fast and Furious » au cinéma en 2009 — en partie, raconte-elle, parce que le réalisateur Justin Lin avait été impressionné par ses expériences militaires.
Après avoir tenu plusieurs petits rôles dans des films à Hollywood, comme « Crazy night » avec Steve Carell et Tina Fey, sa première apparition sous les traits de la princesse Diana de Thémyscira (le vrai nom de Wonder Woman) a eu lieu dans « Batman v. Superman : L’Aube de la Justice » avec Ben Affleck et Henry Cavill en 2016. ET c’est là que la super-star est née.
« Wonder Woman » a engrangé cette semaine un total de 404,1 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis depuis sa sortie, et a dépassé les 800 millions de recettes dans le monde.
L’œuvre est ainsi devenue le 23e film le plus rentable de tous les temps sur le marché américain, le septième film tiré d’une bande dessinée ayant rapporté le plus d’argent à Hollywood et le film numéro un de tous les temps si on ne compte pas les suites des œuvres originales, selon un classement effectué par le journal Forbes.
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davidfakrikian · 1 year
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Adieu Steve Braun
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C'est avec grande tristesse que j'apprend la mort Steve Braun aka Etienne. J'ai eu la chance de le rencontrer lors du tournage de mon premier clip pour Gina Simmons & The Nobodies en 2020, au Luxembourg, où Steve a eu la gentillesse de nous fournir les lieux de tournage (dont une chapelle filmée pendant le golden hour), mais aussi le matériel photo (boitiers caméras, focales etc.), à titre gracieux. Le plus dingue, c'est qu'à la fin de chaque journée de tournage, Steve et sa partenaire Monique se pointaient sur le plateau dans le soleil couchant avec des bouteilles et des coupes, et nous offraient le champagne pour finir la journée. Ça c'était de l'accueil !
Gina m'avait averti avant de me le présenter, "soit il va pas te sentir, soit vous allez être potes directs", et c'est la deuxième option qui est passée. Beaucoup d'affinités avec lui, puisqu'il a été photographe de plateau sur des centaines de films, et avait shooté des dizaines de stars dont Deneuve, Marceau, Depardieu, Pacino, Swayze, etc. Il avait même rencontré Marylin Monroe pour des shoots où il était assistant à ses débuts ! Toutes ses images étaient réunies dans une immense galerie dans les escaliers chez lui.
Steve était aussi l'un des plus grands photographes fétichiste du monde, et vous pouvez apercevoir sa galerie SM, son bar, l'entrée, et le champ en face de sa propriété dans notre clip. Enfin il fait une caméo dans la scène du mariage, masqué, son geste final étant un F brandit du doigt. Je pense qu'il aura traversé la vie comme il l'avait toujours voulu, selon ses propres termes, et j'espère qu'il repose en paix.
Pour voir notre Clip, c'est par ici : Gina Simmons and The Nobodies - All Sins One Vice Official Video Punk Rock https://youtu.be/WUS4BXrO4Ao Evitez cependant de le partager, la vignette pourrait vous écoper d'une interdiction, la promo en effet, s'est révélée quasi-impossible en raison du puritanisme actuellement en vogue sur les réseaux sociaux.
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alexlacquemanne · 1 year
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Mai MMXXIII
Films
Quand la Panthère rose s'emmêle (The Pink Panther Strikes Again) (1976) de Blake Edwards avec Peter Sellers, Herbert Lom, Leonard Rossiter, Colin Blakely, Lesley-Anne Down, André Maranne, Michael Robbins et Burt Kwouk
Le Dimanche de la vie (1967) de Jean Herman avec Danielle Darrieux, Jean-Pierre Moulin, Olivier Hussenot, Françoise Arnoul, Berthe Bovy, Anne Doat, Hubert Deschamps et Jean Rochefort
Romance inachevée (The Glenn Miller Story) (1954) de Anthony Mann avec James Stewart, June Allyson, Henry Morgan, Charles Drake, George Tobias et Barton MacLane
La Canonnière du Yang-Tsé (The Sand Pebbles) (1966) de Robert Wise avec Steve McQueen, Richard Attenborough, Richard Crenna, Candice Bergen, Marayat Andriane et Makoto Iwamatsu
Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ (1982) de Jean Yanne avec Coluche, Michel Serrault, Jean Yanne, Michel Auclair, Françoise Fabian, Mimi Coutelier et Darry Cowl
Le Dernier Voyage (2020) de Romain Quirot avec Hugo Becker, Paul Hamy, Lya Oussadit-Lessert, Jean Reno, Bruno Lochet et Émilie Gavois-Kahn
Le Dernier Métro (1980) de François Truffaut avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Heinz Bennent, Jean Poiret, Andréa Ferréol, Paulette Dubost, Jean-Louis Richard et Maurice Risch
Les cadavres ne portent pas de costard (Dead Men Don't Wear Plaid) (1982) de Carl Reiner avec Steve Martin, Rachel Ward, Carl Reiner, Reni Santoni, George Gaynes, Barbara Stanwyck, Ava Gardner, Burt Lancaster, Humphrey Bogart, Cary Grant et Ingrid Bergman
Docteur Folamour ou : comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe (Dr. Strangelove or: How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb) (1964) de Stanley Kubrick avec Peter Sellers, George C. Scott, Sterling Hayden, Keenan Wynn, Slim Pickens, Peter Bull et Tracy Reed
Un homme est passé (Bad Day at Black Rock) (1955) de John Sturges avec Spencer Tracy, Robert Ryan, Anne Francis, Dean Jagger, Walter Brennan, John Ericson, Ernest Borgnine et Lee Marvin
Le Monde, la Chair et le Diable (The World, The Flesh and the Devil) (1959) de MacDougall avec Harry Belafonte, Inger Stevens et Mel Ferrer
La Belle Saison (2015) de Catherine Corsini avec Izïa Higelin, Cécile de France, Noémie Lvovsky, Kévin Azaïs, Lætitia Dosch et Benjamin Bellecour
Le Grand Embouteillage (L'ingorgo) (1979) de Luigi Comencini avec Annie Girardot, Fernando Rey, Miou-Miou, Gérard Depardieu, Ugo Tognazzi, Marcello Mastroianni, Stefania Sandrelli, Alberto Sordi, Orazio Orlando, Gianni Cavina, Harry Baer et Ángela Molina
Ariane (Love in the Afternoon) (1957) de Billy Wilder avec Gary Cooper, Audrey Hepburn, Maurice Chevalier, Van Doude, John McGiver et Lise Bourdin
Voici le temps des assassins (1956) de Julien Duvivier avec Jean Gabin, Danièle Delorme, Gérard Blain, Lucienne Bogaert, Germaine Kerjean, Gabrielle Fontan et Jean-Paul Roussillon
Séries
Castle Saison 1, 2
Des fleurs pour ta tombe - Jeunes Filles au père - Amis à la vie, à la mort - Sexe, Scandale et Politique - Calcul glacial - La Piste du vaudou - Crimes dans la haute - Mémoires d’outre-tombe - Où est Angela ? - Double face - La Mort à crédit - Quitte ou Double - L'Enfer de la mode - L'Escroc au cœur tendre - L'auteur qui m'aimait - Pour l'amour du sang - Dernières paroles
Coffre à Catch
#113 : Unforgiven 2008 : Matt Hardy will not die ! - #114 : Matt Hardy champion, les débuts de Jack Swagger ! - #115 : La ECW, c'est bien, mais avec Vianney c'est mieux ! - #116 : Maryse : Pourquoi es-tu si belle? - # 117 : All Star Main Event + Gérard Lenorman !
James May : Notre Homme au Japon
Allez ! - Chou farci - Déodorant - Salut Bim ! - Le garçon de la pêche - Prune salée
Friends Saison 8
Celui qui venait de dire oui - Celui qui avait un sweat rouge - Celui qui découvrait sa paternité - Celui qui avait une vidéo - Celui qui draguait Rachel - Celui qui perturbait Halloween - Celui qui voulait garder Rachel - Celui qui engageait une strip-teaseuse - Celui qui avait fait courir la rumeur - Celui qui défendait sa sœur - Celui qui ne voulait pas aller plus loin - Celui qui passait une soirée avec Rachel - Celui qui découvrait les joies du bain - Celui qui découvrait le placard secret - Celui qui visionnait la vidéo de l'accouchement - Celui qui avouait tout à Rachel - Celui qui voyait dans les feuilles de thé - Celui qui était trop positif
Inspecteur Barnaby Saison 8
Un cri dans la nuit - Les Régates de la vengeance - Requiem pour une orchidée - Pari mortel - Double vue - Le Saut de la délivrance - L'assassin est un fin gourmet - Rhapsodie macabre
L'agence tous risques Saison 4, 5
Qui est qui ? - Cowboy George - La roue de la fortune - Services en tous genres - Club privé - Harry a des ennuis - Un monde de fou - La mission de la paix - Les orages du souvenir - Un témoin capital : 1re partie - Condamnation : 2e partie - Exécution : 3e partie - Match au sommet - Théorie de la révolution - Mort sur ordonnance - Une vieille amitié
Columbo Saison 2
Rançon pour un homme mort - Requiem pour une star
Les Petits Meurtres d'Agatha Christie Saison 3
Jusqu'à ce que la mort nous sépare - Meurtres du troisième type
Affaires Sensibles
Algues vertes : le danger qui empoisonne la Bretagne - James Jesus Angleton : paranoïa à la CIA - THE GRIM SLEEPER : Le faucheur en embuscade 1985-2007 - La création du festival de Cannes - 2000, les Jeux paralympiques de Sydney : la fraude des basketteurs espagnols
Bardot
Une enfant sage - B.B - La Madrague - Le papillon - Bébé - La vérité
Les Enquêtes de Morse saison 9
Mascarade - Prélude - Sorties de scène
James May's Cars of the People Saison 1, 2
Transports et totalitarisme - Rien n'arrête les nouilles - Les voitures qui nous ont toujours fait rêver - La puissance de la vapeur - 4x4 - Boom (et effondrement) d'après-guerre
The Grand Tour Saison 4, 3, 1, 2
The Grand Tour présente… Seamen - The Grand Tour présente… La Chasse au trésor - Eaux salées et eaux douces - The Grand Tour: A Scandi Flick - Virée à l’Italienne - Spéciale Colombie : Première partie - Spéciale Colombie ; Deuxième partie - Oh, Canada - Coup de vieux
Livres
Orage de chaleur de Richard Castle
Cinq Gars pour Singapour de Jean Bruce
Lucky Luke, tome 27 : Le 20ème de cavalerie de Morris et René Goscinny
Garôden de Jirô Taniguchi et Baku Yumemakura
Une enquête du commissaire Dupin : Etrange printemps aux Glénan de Jean-Luc Bannalec
Détective Conan, tome 9 de Gôshô Aoyama
Il était une fois… Le cinéma, Tome 1 : Des frères Lumière à Charlie Chaplin de Jean-Pierre Georges et Dentiblu
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angellyslion · 2 years
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BioDad Steve Rogers
Une Marinette de six ans se retrouve devant l'assistante sociale en attendant de voir les résultats de son test d'ADN. Ses parents et ses grands-parents sont morts lors d'un accident de voiture et son oncle vivant en Chine ne veut rien faire avec elle.
La police mène une enquête pour savoir s'il s'agit d'un accident ou si c'est un acte délibérer.Sur sa chaise la fillette balance ses jambes et joue avec son doudou. Se retrouver dans un lieu inconnu et sans ses parents est effrayant pour elle.
« Marinette en lisant tes résultats tu n'es pas lié à la famille Dupain. Ton père biologique habite aux États-Unis. Il s'appelle Steve Rogers. Nous l'avons contacté, il est prêt à t'accueillir si tu acceptes de le rencontrer et de vivre avec lui.
- D'accord, elle murmure.
- Je vais le prévenir. Durant la semaine où vous allez créer des liens tu séjourneras dans un hôtel. Avant de te déposer à l'hôtel, nous allons aller à la boulangerie de tes parents pour que tu puisses récupérer des affaires personnelles.
En quelques minutes, ils atteignent la boulangerie. Marinette monte dans sa chambre récupère quelques affaires notamment ses carnets de dessins et ses stylos ainsi que quelques vêtements et des photographies de sa famille. Elle met le tout dans son sac de cours. Elle redescend sachant au plus profond d'elle qu'elle ne remettra pas les pieds ici et s'il elle devait le faire cela serait dans plusieurs années.
- Pour cette première nuit, je resterai avec toi, reprend l'assistante sociale. Une fois que ton père biologique sera là, je vous laisserai faire connaissance. Dans une semaine, nous nous reverrons et tu décideras si tu veux rester avec ton père biologique ou si tu veux être placée dans un foyer le temps que tu sois adoptée. Tu as compris Marinette ?
- Oui.
- Fais-moi un petit résumé.
- Je dormirai cette nuit à l'hôtel avec vous, demain mon papa que je ne connais pas arrivé. Je resterai avec lui pour quelques jours. Et après ces quelques jours, je choisirai ce que je décide. Soit rester avec ce nouveau papa soit être mit dans un orphelinat.
- Parfait.L'assistante sociale conduit Marinette jusqu'à sa chambre. Elle lui souhaite bonne nuit.
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Aux États-Unis, dans la tour des Avengers, tous les membres présents ont entendu la conversation.
- Félicitation Capsicle ! Bienvenue dans le monde de la paternité !
- Tout dépendra de son choix !
- Tout enfant rêverait d'avoir comme père un super-héros ! Elle t'acceptera !
- Je l'espère.
- Je te prépare le jet pour demain.
- Merci Tony !
- Je t'en prie Capsicle !
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- Marinette voici ton père, Steve Rogers ! Monsieur Rogers voici votre fille, Marinette  ! Je vais vous laisser entre vous. Je serai à côté au moindre problème.
- Oui madame !
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Une semaine plus tard Marinette prend sa décision.
- Alors Marinette que choisie-tu ?
- De vivre avec mon père biologique en Amérique.
- Es-tu sûr de toi ?
- Oui !
- Bien, ton père doit signer quelques papiers et vous serez libre de partir tous les deux
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Je ne suis pas fière de cet os, ça fait plusieurs semaines que je suis dessus. Je n'arrive pas l'écrire et surtout je ne sais pas où l'emmener.
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https://archiveofourown.org/works/42396264
5 fois où Peter à défendu le travail de Tony et 1 fois où Tony l'a fait by MamzelleBlackOpium 5 fois où Peter à défendu le travail de Tony et 1 fois où Tony l'a fait pour Peter Parce que tout ce que fait Tony est parfait aux yeux de Peter. Words: 549, Chapters: 1/6, Language: Français Fandoms: Marvel Cinematic Universe Rating: General Audiences Warnings: Creator Chose Not To Use Archive Warnings Characters: Peter Parker, Tony Stark, Steve Rogers, Clint Barton, Ned Leeds, Nick Fury, Wanda Maximoff Relationships: Peter Parker & Tony Stark, Peter Parker & Steve Rogers, Clint Barton & Peter Parker, Ned Leeds & Peter Parker, Nick Fury & Peter Parker, Wanda Maximoff & Peter Parker Additional Tags: Tony Stark Has A Heart, Tony Stark Needs a Hug, Hurt Tony Stark, Tony Feels, Tony Stark Has Issues, Precious Peter Parker, Panic Attacks
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ZOMBIE : LE CREPUSCULE DES MORTS-VIVANTS (1978)
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Dans le monde entier, les morts sont revenus à la vie et attaquent les vivants. Une fois mordus, ceux-ci se transforment à leur tour en zombies. Les autorités tentent d'endiguer l'épidémie. Le seul moyen d'éliminer un zombie est de lui tirer une balle dans la tête.
Fran se réveille après une courte pause dans le studio de télévision où elle travaille. Le chaos y règne. Les équipes envoyées pour réparer les stations relais disparaissent les unes après les autres, ce qui provoque la colère de l'équipe contre la direction. De plus, le personnel chahute l'invité, un officiel qui annonce des mesures radicales et autoritaires pour lutter contre les morts-vivants. Steve, pilote de l'hélicoptère du studio et petit ami de Fran, propose à cette dernière de s'enfuir en volant l'appareil.
Au même moment, une unité du SWAT investit un immeuble occupé essentiellement par des Afro-Américains et des Portoricains précaires, qui refusent, comme l'exige la loi, de détruire les corps de leurs proches. L'intervention tourne mal : des policiers et des civils sont tués, notamment parce qu'un des membres des forces de l'ordre, ouvertement raciste, ne se contrôle plus et se fait abattre par Peter. Après avoir éliminé les zombies qui étaient parqués dans la cave, Peter fait la connaissance d'un de ses collègues, Roger. Celui-ci, ami de Steve qui doit s'enfuir avec lui, propose à Peter de les rejoindre. Le groupe des quatre fugitifs quitte donc la ville pour trouver un refuge.
Après avoir assisté du ciel à des scènes de massacre par la Garde nationale, et échappé de peu à des zombies en faisant le plein de carburant, le groupe se pose sur le toit d'un centre commercial. Leur objectif est au départ de se ravitailler, ce qu'ils arrivent à faire, même s'ils ont dû laisser Fran seule, sans armes, et qu'elle a failli se faire tuer par un zombie. C'est la raison pour laquelle elle est réticente quand ses compagnons lui proposent de s'installer dans le mall. Elle se laisse finalement convaincre.
L'installation et la cohabitation ne se font pas sans mal. Fran doit s'imposer auprès des hommes, qui prennent des décisions sans elle, notamment après qu'ils ont découvert qu'elle est enceinte. Il faut éliminer les zombies qui errent par automatisme, souvenir inconscient de leurs anciennes habitudes, dans le centre commercial. Il faut ensuite bloquer les portes, au moyen de camions citernes. Au cours de cette opération, Roger, à qui la chasse aux zombies fait perdre toute prudence, se fait mordre.
Le petit groupe profite, pendant quelque temps, du centre commercial. Fran semble peu satisfaite de cette vie dévolue à la seule consommation. Elle apprend à piloter l'hélicoptère. Peu après, Peter doit abattre Roger, qui s'est transformé en zombie. Les trois survivants continuent leur semblant de vie, jusqu'à ce qu'une troupe de bikers pénètrent dans le mall pour le piller, ouvrant les issues aux morts-vivants. Steve ne supporte pas cette invasion dans ce qu'il considère être sa propriété, chèrement acquise. Il tire sur les bikers. La fusillade qui s'ensuit signera la fin de certains d'entre eux, dévorés par les zombies, mais aussi celle de Steve, qui se transforme en zombie.
Fran décide de s'enfuir en hélicoptère. Peter décide d'attendre les zombies et de se tirer une balle dans la tête, mais se ravise et rejoint la jeune femme. Dans la dernière scène, Fran constate qu'il lui reste peu de carburant.
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marie-swriting · 1 year
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Stranger Things Masterlist [FR]
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❤️Romantique/💜Amitié/💙Adelphe/💚Parents
Robin Buckley
❤️Je T'aime, Putain
Avant Robin, tu n'avais jamais eu de béguin pour une fille donc tu essayes de comprendre ce que tu ressens même si tu veux Robin avec toi. Vous vous êtes mises d'accord pour vous voir sans rendre les choses officielles, mais tes sentiments grandissent de jour en jour.
❤️Tu Vois Vraiment Rien
Tu as le béguin pour Robin et tu tentes de le lui faire comprendre. Malheureusement, elle ne comprend pas le message facilement.
❤️Une Nouvelle Leçon
Tu ré-emménages à Hawkins après plusieurs années loin de ta meilleur amie et premier bisou, Robin Buckley.
❤️Toute Votre Vie
Depuis que tu sors avec Robin, tu deviens de plus en plus distante avec tes amies and tout le monde a l'impression que tu changes beaucoup, même Robin qui commence à penser qu'elle ruine peut-être ta vie.
❤️Sentiments Romantiques, Pour Moi ?
Tu as un crush sur Robin tout comme elle, mais aucune de vous ne sent prête à faire le premier pas, ayant trop peur de perdre l'autre. Heureusement pour vous, vos meilleurs amis, Steve et Chrissy, veulent vous donner un coup de main.
❤️L'embrasser
Trois fois où tu as eu envie d'embrasser Robin mais tu ne l'as pas fait et une fois où tu l'as fait.
❤️Plus De Temps Avec Toi
Tu rencontres Robin à une soirée.
Chrissy Cunningham
❤️Être Mon Petit Ami
Tu es la meilleure amie de Chrissy donc tu l'aides dans ses problèmes de couple avec Jason, même si tu le béguin pour elle.
❤️Peu Importe La Douleur
Tu as le béguin pour Chrissy, mais elle a un rendez-vous avec Jason Carver.
❤️Pour Toujours [1/2]
Tu profites de tes vacances d'été avec Chrissy mais plus septembre se rapproche, plus ça devient compliqué de voir Chrissy alors que tout ce que tu veux faire, c'est lui dire "je t'aime" pour la première fois.
❤️Pour Toujours | Jamais [2/2]
Six ans plus tard, tu retrouves Chrissy à Lover's Lake.
❤️Toujours Rester Ensemble
Ton ancienne meilleure amie, Chrissy, t'aide à entrer dans l'équipe des Cheerleaders.
Eddie Munson
❤️Une Mauvaise Influence
Tu es une cheerleader et sors avec Eddie Munson. Quand vous vous êtes mis ensemble, tu n'as pas voulu le dire, car tu ne voulais pas entendre les commentaires de tout le monde. Mais maintenant, tu es prête à montrer le garçon que tu aimes, peu importe ce qu'ils peuvent dire.
❤️Vous Retrouver
Tu es de retour à Hawkins après avoir passé plusieurs mois loin de ton petit ami, Eddie à cause de l'Université.
❤️Te Choisir, Toi
Tu reviens à Hawkins et tombes sur Eddie Munson, le garçon que tu aimais.
❤️La Traînée D'Hawkins | Et Le Taré [2/2]
Après des mois de solitude à cause de ta réputation détruite, Eddie Munson est là pour toi.
Steve Harrington
💙Ce N'est Pas Ton Job
Tu sombres de plus en plus dans une spirale infernale, espérant que tes parents te remarquent, mais seulement ton frère, Steve, semble s'inquiéter pour toi, comme d'habitude
❤️La Traînée D'Hawkins [1/2]
Tu subis les conséquences pour être sortie avec Steve Harrington.
Stranger Things Masterlist [EN]
Masterlist Principale
EN Masterlist
Album One Shot Masterlist
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