Tumgik
#ou tout d'un coup
code-lab · 5 days
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Plugin Persona en bêta !
C'est dans les larmes, la sueur et le sang que je vous annonce enfin la sortie du générateur de fiche : Persona ✨
Persona est un plugin pour les sujets de gestion de personnage (fiche de présentation, fiche de lien, scénarios, …). Il remplace les codes de mise en page à copier/coller dans un sujet par un formulaire à la création et à l’édition d’un sujet.
Essayez le plugin
Documentation
Phase de bêta
Pourquoi en bêta ?
Et bien parce que c'est un sacré morceau et qu'il a besoin encore de faire ses preuves dans différents forum et dans les mains de plusieurs personnes pour qu'on soit sûr de sa solidité.
Qui peut tester la bêta ?
Tout le monde ! Mais, il est vivement conseillé de l'essayer sur des forums tests ou sur des catégories de test sur vos forums. Vous pouvez par exemple essayer d'adapter vos fiches actuelles avec le plugin et demander à vos membres de reproduire leur fiche. Si le plugin rencontre un succès, vous pourrez alors faire la transition.
N'hésitez pas à me faire vos retours et me transmettre ceux de vos membres !
Est-il difficile à installer ?
L'installation de base est très simple. Elle se déroule en trois étapes mais elle demande d'installer du code un peu partout (template, CSS, javascript). Si vous n'avez jamais ouvert un panneau d'administration d'un forum, ce n'est peut-être pas le meilleur code avec lequel commencer.
C'est l'édition du plugin (pour créer vos propres mise en page etc) qui peut s'avérer plus poussé. En réalité, c'est beaucoup de manipulation HTML avec notions qui seront peut-être nouvelles pour beaucoup.
Ne vous laissez pas impressionner par la taille du tutoriel !
La première partie suffit à réussir à installer le plugin et le faire fonctionner. La suite est à but explicatif et elle parcours toutes les possibilités qui s'offrent à vous avec ce plugin (promis ça vaut le coup).
Un énorme merci aux membres du serveur La Piscine qui ont participé à l'élaboration de ce plugin ces derniers mois 🙏 et un merci tout particulier à Poumon et Christa Lostmindy ❤
Ca a été un projet hyper passionnant mais extrêmement prenant. J'espère sincèrement qu'il deviendra aussi ""game changer"" que le Blank Theme parce que je suis convaincue qu'il peut grandement améliorer notre confort de vie de rpgiste 👏
Je me rends disponible pour tout ceux qui souhaiterai l'essayer, sur leur forum test ou sur leur forum, afin de les aider à installer le plugin et le faire découvrir à leur membre !
Enjoy !
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equipe · 1 year
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Nouvelles notifications d'activité
Ne passez plus à côté d'une notification !
Des changements ont été apportés au fil des activités de la section Trafic sur le Web, à commencer par le surlignage en bleu clair des notifications non lues ainsi que l'ajout d'étiquettes colorées mettant en évidence les éléments relatifs aux utilisateurs avec lesquels vous avez des affinités.
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Quelles sont les raisons de ce changement ?
Vous aviez sans doute déjà remarqué que certains éléments de votre fil d'activité étaient surlignés, et d'autres non. Mais, comme beaucoup, vous n'aviez certainement pas saisi pourquoi il en était ainsi.
Les activités surlignées en bleu clair mettaient en évidence les éléments associés aux utilisateurs auxquels vous étiez abonné. C'est pourtant évident, n'est-ce pas ? Hum, pas si sûr. Dans le domaine du design, certains schémas deviennent des standards grâce à leur usage répandu et une signification communément admise. Surligner des notifications en bleu clair en fait partie et elle désigne généralement un élément "non lu". C'est tout simplement ce qui nous a conduit à ce changement.
Comment déterminer quelles notifications sont issues de mes abonnements ?
Nous avons ajouté des étiquettes colorées qui mettent en évidence les activités des utilisateurs auxquels vous êtes abonné. De plus, nous avons même introduit une nouvelle étiquette "Mutu" pour souligner le fait qu'un utilisateur et vous-même êtes abonnés mutuellement. Vous distinguerez ainsi d'un seul coup d'œil les activités des utilisateurs avez lesquels vous êtes le plus proche.
Avant/Après
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Avant : le surlignage bleu clair est employé pour les activités des utilisateurs auxquels vous êtes abonné.
Après : la nouvelle couleur de surlignage est à présent dédiée aux activités non lues.
Après : les étiquettes colorées distinguent clairement les activités des personnes auxquelles vous êtes abonné (Abonné) et qui vous suivent en retour (Mutu).
Quelques précisions
Un "Mutu" est un utilisateur auquel vous êtes abonné et qui s'est aussi abonné à votre blog. Ce principe ne s'applique qu'aux blogs principaux, mais pas aux blogs supplémentaires.
Cette nouveauté est pour le moment disponible uniquement sur le Web et à titre d'expérimentation pour certains utilisateurs. Nos équipes ont bien l'intention de la transposer dans l'application.
Vous pourrez effacer le statut "Non lu" d'une activité en cliquant tout simplement dessus : soit dans la fenêtre pop-up des activités, soit directement dans la section Trafic. Aucun clic supplémentaire ne sera nécessaire.
Et ce n'est que le début
Il s'agit ici de la première étape parmi de nombreuses autres améliorations à venir concernant les activités et les notifications. Restez à l'écoute pour davantage d'informations à ce sujet !
Des commentaires ?
Adressez un petit message (en anglais) au blog @wip ou à notre Support technique, et restez à l’écoute des dernières nouveautés ici même sur le blog de l’@equipe​.
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mathoumatoufait · 1 month
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Faceclaim collaboratif ; recherche partenaire.s
bonjour, bonsoir tout le monde 🥰
contexte : mais qu'est-ce que c'est ?
il y a quelques temps déjà un tumblr faceclaim a été ouvert. le but étant de faciliter les joueurs et joueuses de rpg réel à se trouver un fc, mais également de découvrir des graphistes variés grâce à l'ajout de 3 avatars différents par nom. car il est parfois difficile de juger un visage avec une seule photo qui parfois n'est pas à notre goût.
en plus de ça, ce tumblr souhaite facilité son entretien et pouvoir ajouter facilement de nouveaux post, grâce à des hashtag qui permettent de filtrer les recherches.
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recherche : et si on faisait quelque chose ensemble ?
je ne suis pas certaine que le tumblr soit vraiment bien exploité... et j'aurai besoin d'avis là-dessus, mais aussi de personnes qui viendraient apporter leur contribution et gérer ce tumblr à mes côtés.
🌸si des codeurs.euses sont motivé.es pour pouvoir créer un thème adapté, qui faciliterait la recherche d'un fc tout en découvrant en un clic divers avatars : le top. 🌸si des graphistes ou non, simples passionnés du rpg réel, veulent allonger la liste encore courte et peu variée de fc : le pied total. 🌸si vous voulez seulement donner votre avis : un coup de coeur sur vous.
en fonction des personnes recrutées, nous pouvons repartir sur quelque chose de tout neuf ou continuer sur ce qui a déjà été fait.
recrutement : comment postuler ?
je ne recherche pas une grosse équipe, seulement des personnes qui se complètent, et qui veulent faciliter les recherches d'un fc, sans se mettre de pression. de préférence des personnes qui savent toucher les paramètres tumblr, et avec qui un feeling existe.
🌸envoyer un message en privé. 🌸 se présenter (parce que je suis curieuse : qui vous êtes et vos expériences dans le monde du rpg ...). 🌸donner vos avis ou encore vos idées.
Et enfin merci à vous !! 😘
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girafeduvexin · 23 hours
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Je sais que j'ai tenu entre 2016 et 2017/18 (environ ??? même plus sûre) un blog politique vaguement populaire qui faisait des memes en permanence et ma remarque va donc sembler très hypocrite, mais je cringe de fou en voyant des edits sur tiktok sur des hommes politiques de gauche ou des tweets de députés qui reprennent des memes ou qui parlent "jeune".
Quand je faisais des memes, j'avais pas des visées électorales, c'était purement parce que ça me faisait marrer, et j'ai d'ailleurs arrêté parce que ça ne me faisait plus marrer, parce que je ne savais plus si c'était vraiment le bon moment pour faire ça ("are you joking in a time like this?") et surtout la victoire de Macron en 2017, le FN au second tour, ça m'a vraiment fait mal honnêtement, ça a été un coup dans le bide.
Surtout, les politiques s'en foutaient, on rigolait dans notre coin et que là, ils reprennent cet humour là... En fait, ça me faisait rire parce que le monde politique était sérieux, solennel et cet humour d'internet cassait ça, c'était notre façon de comprendre ce monde là. Et aujourd'hui... à la limite que des gens s'amusent en faisant des memes ou des tiktoks, je m'en fiche, que ce soit repris par les politiques eux-mêmes, c'est autre chose : tout se mélange, un député tweete "ratio" à un autre, on appelle le président "mec", on partage des edits... c'est pas ce que j'attends d'eux et je suis pas certaine que ce soit une bonne stratégie électorale.
Je suis peut-être ringarde (déjà !!!) mais pour moi, un homme/femme politique doit s'élever au-dessus de tout ça par son langage et ses actions. J'ai pas envie de les voir clasher leurs adversaires en permanence, j'aimerais qu'ils aient plus de hauteur. Et c'est pas pour dire "oh la la y a plus de respect envers les institutions" ça je m'en fiche, mais c'est simplement que d'un coup, ce qu'ils sont écrase ce qu'ils incarnent. Je ne doute pas que certains sont et seront de bons députés mais en terme d'image, c'est désastreux : ça touche peut-être les jeunes (et encore) mais ça éloigne les autres.
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rollinginthedeep-swan · 6 months
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Pourquoi rendre les RPGs plus sûr est capital
Et je vais témoigner de ma propre expérience, Tw : Validisme, comportements abusifs et foutage de gueule complet.
Je crois pas avoir déjà songé à VRAIMENT faire un poste complet pour expliquer ça, mais en traînant un peu sur la toile après 4 ans d'absence, force est de constater que j'en ai, des choses à dire. Ironiquement, le temps est passé depuis mes débuts et j'ai pris une bonne claque à mon retour. J'ai réalisé un truc auquel je m'étais pas trop préparée.
Je fais partie d'une génération d'RPGistes d'AVANT. (?? Sérieux ?) Dans cet entre-deux où on se foutait un peu de tout et où c'était yolo, mais où on déplorait déjà le 'bon vieux RPG'. J'en aurais des choses à dire, bonnes ou mauvaises. J'en ai, des mauvais souvenirs, des moments qui m'ont fait trembler en voyant simplement le header d'un forum sur lequel j'étais incapable de revenir et qui aujourd'hui encore, me font carrément grimacer. D'après mon titre, vous vous doutez que je veux en venir à un élément super important : Les RPGs qui ne sont pas sûrs pour chacun-e-s. j'ai donc connu cet entre-deux, où le RPG avait déjà un peu changé mais pas trop. À l'époque, on reprochait surtout au forum une tendance à se complexifier, tant au niveau du contenu que de l'apparence. Y a bien entendu des trucs qui me manquent, mais c'est totalement normal d'avoir de la nostalgie et personne n'a à reprocher ça à quique ce soit. (Du moment que c'est pas des trucs crasseux et mauvais)
En revanche, je vais vous dire cash ce que je regrette pas, ce qui m'a dégoûtée au point de me tirer quatre ans en pensant ne jamais revenir. (J'ai pas arrêté d'RP, j'ai arrêté de relationner avec le monde du RPG.) J'ai arrêté par dégoût d'une ingratitude crasse de certaines personnes qui m'ont prise pour acquise. J'ai beaucoup grapher, pour pas mal de personnes, et certain-e-s d'entre elle-eux ont su tirer sur la corde, faire pression, me repprocher de ne pas être pile à temps pour un délai, d'écrire 'plus avec truc qu'avec elle-eux', de pas avoir vu telle ou telle truc alors que j'étais pas admin, mais graphiste. Je regrette pas les blagues sur mes étourderies orthographiques très nombreuses à ce moment-là et les vannes validistes, je regrette pas les coups bas, les séances de bitching en coulisse quand on pensait que j'allais rien voir. Tout ça, je le regrette pas.
Ici, mon objectif n'est pas de poser un pugilat et de taper sur une personne en particulier, parce que je m'en fous complet aujourd'hui. Non, le but de ce poste c'est de vous dire un truc, à vous, la "nouvelle génération" d'RPGiste. C'est pas parfait, mais au moins vous le faite. Vous tentez des trucs. On n'échappera pas aux types d'individus qui ont fait ce que j'ai cité plus haut, on n'échappera pas aux abrutis validistes, aux joueur-ses un peu envahissant-e-s et culotté-e-s ou aux plagieu-ses-rs éhonté-e-s. Mais vous faite de votre mieux, chaque jour, pour rendre une activité géniale aussi sûre que possible, pile comme elle devrait l'être. Je vois des gens faire des publications pour inspirer les créateurices de forum à optimiser leurs forums pour qu'ils soient ok pour chacun-e. Y a des sources, des options intégrées par FA. (Il était temps.) On pense enfin à prévenir les gens lorsqu'un sujet risque d'être dur, on arrête enfin d'en faire des blagues sans prévenir au coin du flood, on laisse les Dys tranquilles et MIEUX, on les aide. De plus en plus de gens pigent que le RPG est un jeu et qu'il faut arrêter de stalker les joueur-ses. C'est pas partout, mais ça se développe. C'est pas toujours parfait et tout le monde n'y trouve pas toujours son compte, mais c'est là. Parce qu'on est juste là pour ça, à l'origine, inventer des univers à plusieurs mains sans devoir galérer, se justifier où subir du Gaslighting de la part d'un Staff démissionnaire lorsqu'on pointe un problème du doigt. (Sérieux, arrêtez de faire ça.)
Bref, lâchez rien.
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blinding-lights-rpg · 3 months
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Que ferais-tu, toi, si du jour au lendemain tu prenais conscience que tu es doté·e d'un pouvoir incroyable ? Que tu arrives à contrôler le feu, ou encore que tu peux traverser des murs, comme ça, juste en marchant ? Tout le monde rêverait de ça. Être spécial·e. Ça nous ferait exister dans ce chemin solitaire que peut être la vie. Du coup, toi, après toute l'attention que t'amèneraient ces pouvoirs, comment agirais-tu ? Resterais-tu humble comme te l'a toujours demandé ta mère, ou au contraire tu n'aurais plus rien à perdre ? Après tout, tu serais vu·e par la société comme un·e dieu/déesse, alors pourquoi rester aimable quand le monde est à tes pieds ? T'es un·e héro·ïne, le monde est entre tes mains, et les regards braqués sur toi.
BLINDING LIGHTS COMING VERY VERY VERY SOON
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chic-a-gigot · 11 months
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La Mode illustrée, no. 29, 21 juillet 1912, Paris. Les nouvelles fleurs en tissu. Louise Villas. No. 1. — Rose en ruban. (Contour de la fleur: 40 centimètres.) No. 2. — Rose en taffetas. (Contour: 13 centimètres.) No. 3. — Rose pompon. (Contour: 6 centimètres.) No. 4. — Pavot. (Contour: 27 centimètres.) Ville de Paris / Bibliothèque Forney
No. 1. — Rose en ruban.
Exécution. — Tailler une rondelle de mousseline à patron de 6 centimètres de diamètre. Se procurer du ruban de faille très souple de deux jolis tons de rose. Le plus foncé réservé pour le cœur de la fleur. Il faut 1 mètre 30 de chaque teinte sur une largeur de 6 centimètres. Froncer ensuite le bas du ruban en réduisant la longueur à 40 centimètres au plus.
Pour simuler les pétaies il suffit de "pincer" le ruban de distance en distance en fixant les plis par un point. Les premiers pétales sont formés à 10 centimètres de distance (prise à la lisière du ruban), puis on augmente progressivement jusqu'à 18 centimètres pour les plus grands pétales.
Ceci fait, on commence par coudre au centre de la rondelle l'extrémité froncée du ruban foncé, puis l'on tourne en colimaçon en cousant le ruban. La jonction des deux teintes est invisible, puisqu'elle s'opère sous un pétale. Une fois la fleur terminée on repousse intérieurement la rondelle de mousseline, afin de produire une cavité qui donne du relief à la fleur. Ajouter une tige avec feuillage artificiel.
Cut a round of patterned muslin 6 centimeters in diameter. Get some very flexible faille ribbon in two pretty shades of pink. The darkest reserved for the heart of the flower. It takes 1.3 meters of each shade over a width of 6 centimeters. Then gather the bottom of the ribbon, reducing the length to 40 centimeters at most.
To simulate the petals it is enough to "pinch" the ribbon from distance to distance by fixing the folds with a point. The first petals are formed 10 centimeters apart (taken from the edge of the ribbon), then gradually increase to 18 centimeters for the largest petals.
This done, we start by sewing the gathered end of the dark ribbon in the center of the washer, then we turn in a spiral by sewing the ribbon. The junction of the two shades is invisible, since it takes place under a petal. Once the flower is finished, the muslin disc is pushed back inside, in order to produce a cavity which gives relief to the flower. Add a stem with artificial foliage.
No. 2. — Rose en taffetas.
Ce genre de fleur est destiné aux garnitures de robes, employées en bouquets pour retenir les plis d'une draperie, ou rangées sur le devant des corsages en guise de boucle de ceinture.
Chaque rose se compose d'un cœur et de cinq pétales. Le cœur se fait avec un biais de tissu replié. Il a une longueur de 12 centimètres sur une largeur de 5, centimètres, ce qui donne 2 centimètres 1/2 une fois replié.
Commencer à fixer le fil à l'extrémité d'un des bords supérieurs mis en double, descendre en biais en comptant les points jusqu'au bord inférieur, remonter en formant le même nombre de points et continuer ces zigzags sur toute la longueur du biais. Tirer fortement le fil. Rouler cette petite ruche qui formera des pointes chiffonnées, la lier par le pied, et couper le surplus du tissu. Ses pétales sont des carrés de toile de soie ayant 10 centimètres de largeur pour les deux premiers, 12 centimètres pour les trois autres, cinq pétales étant nécessaires pour faire ces roses. Après les avoir taillés, on les ploie en "mouchoir" et l'on passe un fil allant d'un angle à un autre, en prononçant plus ou moins la courbe du côté de la pointe du milieu suivant le relief que l'on désire obtenir. La pointe qui reste au milieu doit être ensuite supprimée.
Tirer sur le fil sans trop serrer et arrêter solidement. Procéder de cette façon pour chaque pétale. Les monter ensuite autour du cœur en commençant par les plus petits.
Les feuilles s'obtiennent aussi avec avec un carré de tissu. On les reploie également en mouchoir. Mais ici on coupe l'étoffe de façon à former deux triangles, ce qui fait deux feuilles par carré.
Reployer ensuite le triangle. Faire une couture partant du sommet jusqu'au bas. Retourner ce cornet. Le côté pointu simule le haut de la feuille. Le bas froncé très serré forme des plis imitant les nervures. Chaque feuille se fixe ensuite sous la rose qui doit rester assez plate.
Each rose consists of a heart and five petals. The heart is made with a folded fabric bias. It is 12 centimeters long by 5 centimeters wide, which gives 2.5 centimeters when folded.
Begin to fasten the thread at the end of one of the upper edges doubled, go down on the bias by counting the stitches to the lower edge, go up by forming the same number of stitches and continue these zigzags over the entire length of the bias. Pull the thread strongly. Roll up this little ruffle which will form crumpled points, tie it by the foot, and cut off the excess fabric. Its petals are squares of silk canvas, 10 centimeters wide for the first two, 12 centimeters for the other three, five petals being necessary to make these roses. After having cut them, we fold them in a "handkerchief" and we pass a wire going from one angle to another, by pronouncing more or less the curve on the side of the point of the medium according to the relief which we desire. The tip that remains in the middle must then be removed.
Pull the thread without tightening too much and stop firmly. Proceed in this way for each petal. Then mount them around the heart, starting with the smallest ones.
The leaves are also obtained with a square of fabric. They are also folded into a handkerchief. But here we cut the fabric so as to form two triangles, which makes two sheets per square.
Then fold the triangle back. Sew a seam from top to bottom. Return this cone. The pointed side simulates the top of the leaf. The very tight gathered bottom forms pleats imitating the ribs. Each leaf then attaches under the rose which must remain fairly flat.
No. 3. — Roses pompon.
Destinées soit à un chapeau, soit comme bouquet de corsage.
Ces roses se font en toile de soie de deux tons avec feuillage artificiel. On procède pour les faire comme pour les précédentes, avec cette différence que les dimensions en sont très réduites. Le cœur est taillé sur une longueur de 12 centimètres sur 3 centimètres de largeur. Les zigzags sont beaucoup plus petits et on adapte ce cœur à une tige de laiton qui sert de monture à la fleur. Les pétales, au nombre de six, se cousent un à un. Les premiers carrés ont 4 centimètres 1/2 de largeur, les autres 5 centimètres 1/2. Procéder comme pour le précédent modèle, en enveloppant bien le cœur de façon à ce que la fleur ne soit pas trop épanouie. Enfiler les fils de laiton dans des tubes de caoutchouc et terminer par quelques feuillages.
Intended either for a hat or as a corsage.
These roses are made of two-tone silk canvas with artificial foliage. We proceed to make them as for the previous ones, with this difference that the dimensions are very small. The heart is cut over a length of 12 centimeters by 3 centimeters wide. The zigzags are much smaller and this heart is adapted to a brass rod which serves as a mount for the flower. The petals, six in number, are sewn together one by one. The first squares are 4.5 centimeters wide, the others 5.5 centimeters. Proceed as for the previous model, wrapping the heart well so that the flower does not bloom too much. Thread the brass wires into rubber tubes and finish with some foliage.
No. 4. — Pavot.
Pour faire cette jolie fleur on emploie du ruban à picots qui existe en de charmants coloris souvent ombrés, ce qui permet dans la largeur de trouver deux fleurs d'un ton différent. Il faut environ 75 centimètres de ruban sur une largeur de 12 centimètres pour faire deux fleurs, soit 6 centimètres de largeur pour chaque fleur.
Diviser en cinq parties ces 75 centimètres. Les séparer. Froncer le bas de chaque bande en partant du picot et en décrivant une courbe comme pour les roses. Abattre ensuite les pointes qui restent de chaque côté. Serrer fortement le fil et arrèter.
L'armature du cœur consiste en un bouton quelconque de 1 centimètre de diamètre ou d'une simple rondelle de carton rembourrée d'ouate, que l'on adapte à un fil de laiton. Recouvrir ensuite cette armature avec une sphère de toile de soie vert pâle en la fronçant autour de la tige.
Passer des fils noirs en les entrecroisant sur toute la surface du cœur. Adapter autour une petite ruchette ayant 1/2 centimètre de hauteur et faite comme il à été dit pour les cœurs des roses. Presser fortement les plis afin d'imiter les pistils et coudre autour du cœur. Employer du taffetas ou de la toile de soie noire, gros bleu, violet ou un ton changeant très foncé. Une fois le coin terminé, placer les pétales autour en les chevauchant l'un sur l'autre. Terminer par une branche de feuillage.
On peut tout aussi bien employer du ruban sans picots; et ces fluers, exécutées en rouge, imitent à s'y méprendre les coquelicots des champs.
To make this pretty flower we use spiked ribbon which exists in charming colors often shaded, which allows in the width to find two flowers of a different tone. It takes about 75 centimeters of ribbon over a width of 12 centimeters to make two flowers, or 6 centimeters in width for each flower.
Divide these 75 centimeters into five parts. Separate them. Gather the bottom of each strip starting from the picot and describing a curve as for the roses. Then cut down the remaining tips on each side. Tighten the thread strongly and stop.
The frame of the heart consists of any button 1 centimeter in diameter or a simple round piece of cardboard stuffed with wadding, which is fitted to a brass wire. Then cover this frame with a sphere of pale green silk fabric by gathering it around the stem.
Pass black threads criss-crossing them over the entire surface of the heart. Adapt around a small hive 1/2 centimeter high and made as it was said for the hearts of the roses. Firmly press the folds to imitate the pistils and sew around the heart. Use taffeta or silk black, deep blue, purple or a very dark changing tone. Once the corner is finished, place the petals around it, overlapping them one on top of the other. Finish with a branch of foliage.
You can just as well use ribbon without pins; and these flowers, executed in red, imitate field poppies unmistakably.
Louise Villas
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homomenhommes · 17 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 184
PH, vacances à la maison-1
Levés tôt et après que nous ayons fait l'amour (Emma et moi) paisiblement puis sauvagement, je suis rentré à la maison changer de moyen de transport.
Peut être le surprendrais-je plus au guidon de mon ZX10R qu'au volant d'une 300SLS. Je pense surtout emporter l'adhésion avec ma combinaison cuir moulante !! J'emporte un casque supplémentaire au cas où il voudrait faire un tour.
Quelques 10aines de minutes de route et je me pointe au " château ". Il est 11h. Il devait me guetter car à peine ai- je tourné la clef et posé ma moto sur sa béquille qu'il apparaît en haut du perron. Encore casqué, je le détaille. Aujourd'hui il est en Jeans et polo. Toujours très " propre sur lui " même en tenue décontractée !
Quand je quitte le casque, il se jette sur moi et me roule un patin. Après bien 5 minutes, il arrive à se décoller et il me questionne sur ma moto. Quelle marque ? Quelle cylindrée ? Quelle puissance ? Puis il me traine dans son " appartement ". Nouveau roulage de pelle qui nous laisse tout bandant. Il m'aide à me désincarcérer de ma combi et je le mets à poil. Nous roulons sur son lit, frottant nos épidermes et surtout nos sexes l'un contre l'autre. Le premier, sa bouche quitte la mienne et s'aventure vers mes pieds. Sa langue glisse dans mon cou, suit le contour extérieur de mon pec gauche. Sa bouche s'attarde un peu sur mon téton. Coups de langue puis coups de dents quand il voit que j'y prends plaisir. Descente vers mon nombril en passant par le sillon médian qui sépare mes abdos. Avant d'y arriver (au nombril), il rencontre mon gland. Je sens sa bouche l'envelopper d'une chaleur douce et humide et tout de suite sa langue entrer en action. J'apprécie en connaisseur sa technique de pipe. Il utilise sa longue langue avec merveille, l'enroulant autour de ma bite, sachant la sortir pour pouvoir m'avaler jusqu'aux couilles. C'est la première fois qu'alors que ma bite était totalement entrée et que mon gland soulevait sa pomme d'Adam, j'ai senti la langue de mon suceur jouer avec mes boules. Trop bon !! Quand il m'a recraché, à bout de souffle, j'ai pris sa tête ente mes mains, l'ai attiré devant mon visage et je l'ai remercié. Une petite pelle où j'ai retrouvé un peu le goût de ma bite puis je l'ai laissé reprendre là où il s'était arrêté.
Vorace le gamin ! S'il n'avait pas baisé ou presque pendant un an, je sens qu'il se rattrape ! Il manque plusieurs fois de me faire jouir mais sait s'arrêter juste à temps. Il me maintient ainsi un bon moment à la limite de juter. Quand je bouge pour m'occuper de lui (enfin de sa queue), il me repousse et me dit de laisser faire. Ok j'ai compris.
Bientôt, il me recouvre d'une kpote et s'installe à califourchon sur mes abdos. Il se penche pour qu'on se roule un patin et je sens son bassin reculer et faire des petits mouvements jusqu'à ce que mon gland se retrouve pile sur sa rondelle. Sans que sa langue quitte la mienne, il recule doucement le bassin et arrive à faire pénétrer ma bite dans son cul. Arrivé à, à peu près la moitié, il se redresse et s'enfonce le reste d'un coup. Je sens ses fesses dures écraser mes boules. Là, sans bouger, il serre et desserre ma queue avec son anneau. Je pose mes mains sur ses fesses. Elles sont petites et très ferme, (danse oblige !). il me chevauche à rythme lent. C'est très bon. Il n'a peut être pas connu beaucoup de mec mais il a bien été " éduqué ".
Il n'empêche qu'au bout d'un moment je reprends la direction des opérations. Je le bascule en arrière et me relève. Je me retrouve à genoux entre ses cuisses à le sodomiser à ma cadence. Il aime. Je relève ses jambes jusqu'à poser ses chevilles sur mes épaules et me penche pour venir l'embrasser. Ça marche, il est très souple. Je m'active dans son cul, il me fait penser à celui de Jimmy dans ses capacités. Il couine sous mon assaut. Sa souplesse me fait penser à une possibilité. Il doit pouvoir se faire une auto-fellation. Je pousse sur mes pieds et le relève en chandelle. J'appui un peu et effectivement sa bite raide arrive à portée de sa bouche. Je lui dis de se sucer. Il ouvre la bouche et j'appui sur son bassin. Son gland pénètre entre ses lèvres. J'insiste et il arrive à se plier jusqu' à s'avaler presque en entier. Trop fun ! Du coup quand je me retire, son dos fait ressort et sa bite quitte sa bouche. Dès que je me ré-enfonce, il se chatouille les amygdales avec son propre gland.
C'est super excitant, au point que j'en rempli ma kpote. PH se jute dessus et s'il arrive à boire la majorité de sa production, deux trainées blanches viennent zébrer ses joues et son front. Avant de me retirer, je récupère son sperme d'un doigt et le lui apporte à la bouche. Il me suce le doigt d'une façon très salope. Il me dit que c'est sa première fois, qu'il n'y avait jamais pensé avant. Que c'est trop bon. Il avait déjà bouffé son sperme mais toujours en ayant juté dans sa main.
Nous restons quelques instants sans bouger, couchés l'un contre l'autre. Dans le silence je l'entends cogiter. Tout d'un coup il me demande comment est mon mec. Je lui décris Marc, lui confiant qu'il est le genre de mec qu'il kiffe bien. Nouveau silence. Puis " Et coté sexe il est comment ? " Moi " autoritaire, exigeant, directif et dominant ". PH " OK, ça me va ". Silence. PH " tu me fais faire un tour sur ta moto ? "
Nous voilà donc partis à s'équiper. Il m'aide à rentrer dans ma combi et bien sur j'ai du coup un peu de difficultés à la zipper tellement je bande ! Je lui choisis ses vêtements. Un bon jean, des chaussures montantes, un blouson en cuir.
Nous sortons et comme nous allions enfiler nos casques, madame mère se pointe pour s'effrayer des risques que j'allais faire prendre à sa progéniture. Je la rassure, il l'a cajole un peu et nous sommes libres. Explications sur le comportement à adopter. S'accrocher à mon paquet l'amuse beaucoup, il retient néanmoins qu'il doit déplacer ses mains sur le réservoir et s'y arque bouter lors des freinages pour éviter de m'écraser les couilles, et de se pencher comme moi dans les virages.
Nous partons. Quelques km pour vérifier ses reflexes et qu'il a bien assimilé mes conseils et nous passons aux choses sérieuses. Accélérations et pour lui en mettre plein la vue, pointe de vitesse à plus de 250, je lui donne un aperçu d'une ballade en moto. Il me tape sur l'épaule. J'enquille la première aire de repos qui suit (pour faire des pointes de vitesse avec un passager, je préfère les autoroutes, c'est plus sûr). Arrêt devant la boutique. Il descend alors que je reste en selle. Il enlève son casque et sa chevelure bouge façon pub Oréal. Quel cabotin ! Comme dirait sa mère. Il tente de défaire le mien. Je le retire aussi et c'est pour le voir approcher son visage et me rouler la pelle du siècle (coté longueur). Quand il se décolle, je vois que quelques spectateurs s'étaient arrêtés pour nous mater. Des jeunes cons se choquent quand ils s'aperçoivent que la personne qui me roulait un patin est un mec alors qu'un vieux couple d'au moins 70 ans passés (chacun), nous gratifie de leurs plus beaux sourires et nous félicite alors qu'il passe auprès de nous et la femme ajouta " vous êtes trop beaux ". Nous les remercions en coeur avec un sourire en prime. La vieille pose sa main sur mon bras et me dit de toujours faire ce que nous voulions et se tournant vers les jeunes réprobateurs d'ajouter fort " sans faire attention aux cons ". Les deux jeunes nous lâchent et du coup je propose aux vieux de prendre un verre avec nous.
Ils acceptent et nous voila attablés ensemble au snack. Ils nous confient que dans leur jeunesse, ils avaient subi la désapprobation générale en affichant un peu trop leur amour débridé. Nous prenons plaisir à discuter encore un peu avec eux. Quand nous les quittons, ils nous souhaitent une vie ensemble aussi longue que la leur. Alors que nous les doublons, PH leur fait des grands signes.
Retour au château. Madame mère, sur le perron, nous attend pour examiner son poussin. Elle me dit qu'heureusement que j'étais le fils d'Emma sinon elle n'aurait jamais donné son accord. Je retiens les remarques désagréables qui me viennent à l'esprit.
PH lève les yeux au ciel en attendant que cela passe. Finalement il me prend par la main et il nous emmène aux cuisines. C'est vrai que nous n'avons pas encore mangé et il est quand même 15h !
Nous tombons sur la cuisinière en train de préparer le dessert du diner. A force de caresses et de suppliques, PH réussit à nous faire servir un encas. Nous grignotons alors que je me fais prendre à partie par la cuisinière sur la maigreur de PH. Si elle comptait trouver un allier en moi, elle s'est trompée. PH et ses 70Kg tout mouillés me vont très bien. Histoire de couper court, je lui dis que, pour moi, c'est le poids idéal pour que nous puissions faire l'amour. Effectivement ça lui cloue le bec alors que PH éclate de rire.
Nous nous sauvons et regagnons son " appartement ". Direct je me mets en shorty. Le cuir c'est bien mais là, il n'a pas une vocation sexe mais moto et du coup je suis plus à l'aise sans. Couchés sur le lit, PH me raconte un peu son histoire, ses envies, j'ai l'impression qu'il m'a élu confident. En résumé, c'est l'histoire d'un pauvre petit garçon riche ! Un peu seul (évidemment il est fils unique !), qui se fait piéger dans une relation amoureuse et sexuelle avec son prof de danse (ça aurait pu être n'importe quel autre sport, enfin pas trop peuple quand même, pas de foot !). Je m'aperçois qu'il a quand même du ressort et que même s'il s'était laissé glisser dans une déprime post rupture sentimentale, il a su rebondir quand nous nous sommes rencontrés (ok certain vont me demander si j'ai pas les chevilles qui gonflent mais déso c'est ainsi !).
Toujours est-il qu'il a su m'émouvoir ce petit con ! Ça et surtout son corps de rêve. Il ne faut pas se le cacher, ça le fait un corps de danseur ! Nous refaisons l'amour une fois de plus avant que je parte. Il a bien aimé ma trouvaille de tout à l'heure et nous explosons dans la même position. Ce coup ci, je maintiens la pression au moment ou il jute et comme cela il arrive à tout verser dans sa bouche. Moi je rempli ma kpote bien enfoncé dans son cul. Avant de partir je vole avec mon portable une photo de lui nu.
Quand je le quitte, je passe chez Emma. Elle me demande comment s'est passée la journée. Je lui raconte sans entrer dans les détails de nos baises. J'ai du m'étaler un peu trop car quand j'ai fini mon récit trois bons quarts d'heure plus tard, elle me dit que je suis accro à ce jeune homme. Je la charrie et repousse cette analyse. Elle insiste et me le prouve en soulignant certains passages de mon récit.
Merde ! ; ; ; ;Enfin pas tant que ça, il est vraiment bandant après tout.
Je rentre à la maison. Après une heure à tourner et virer seul dans notre grand salon,
J'appelle Marc. Je lui raconte tout, de mon premier regard posé sur PH aux analyses d'Emma. Il me confirme ces dernières. Je lui envoie par mail la photo de PH que j'ai prise. Il ouvre le fichier dès qu'il l'a reçu et il me dit que, OK il voit pourquoi j'en suis tombé amoureux. Je me récrie que c'est pas ça. Il me rétorque qu'on verra ça à son retour. Je lui dis pour preuve que je n'en suis pas amoureux, c'est que je n'aurais aucun problème à ce qu'il le baise lui aussi. Marc me répond que cela ne veut rien dire car selon lui, j'aime de façon non exclusive, et que c'est déjà pourquoi je peux me partager entre lui et Emma coté sentiments et sexe, sans compter tous les potes coté sexe. ;Il me donne l'autorisation de continuer avec PH. Je lui dis que comme il est en vacances (PH) et avec le couvert d'Emma auprès de sa mère, je compte l'inviter à passer la semaine et demi qui nous sépares de son retour (de Marc) à la maison. Marc me dit que c'est OK. Qu'il est impatient d'y être pour le baiser lui aussi et qu'en attendant, les " locaux " vont s'en prendre plein le cul !
Aussitôt j'appelle PH pour lui proposer le deal. Il est totalement d'accord et très enthousiaste. Malgré ses 18 ans, il craint que sa mère pose problème. Je lui dis qu'elle recevra demain matin un appel d'Emma pour la faire céder. Il me dit qu'avec son appel, c'est sûr qu'il aura l'autorisation. J'appelle Emma dans la foulée pour lui demander le service. Elle rit et me promet d'appeler la mère de PH dès 10h le lendemain.
Le lendemain 10h30.
Appel d'Emma qui m'informe que c'est Ok pour deux semaines. Je saute de joie et l'embrasse très fort lui promettant de futurs moments de folie.
Je prends la Mercedes, là il faut en mettre plein la vue à Madame mère ! Effet réussi à voir ses yeux quand je gare la voiture au pied du perron. J'en sors et la remercie de bien vouloir nous autoriser à mieux nous connaître PH et moi (c'est le moment où jamais de mettre les formes). Elle me répond que cela lui fait très plaisir aussi que son fils rencontre d'autres jeunes gens de bonne famille. Elle a juste le temps de me demander ce que nous allons faire de nos journées que déboule PH qui se retient avec difficultés de m'embrasser. J'explique en deux mots, piscine, balades, peut être quelques jours au bord de la mer. Elle s'assure que sa progéniture emporte assez de bagage et s'inquiète de la petitesse de son sac. Je lui dis que je lui prêterais mes affaires puisque nous faisons la même taille. Elle vérifie qu'il à son téléphone portable et nous pouvons enfin partir.
Dès le portail de la propriété passé, il me demande de m'arrêter au plus vite. Je m'engage dans une entrée de bois qui me parait carrossable sur quelques mètres. Le frein à main mis, il me saute au cou et nous nous roulons un patin enflammé. Il m'avoue avoir très mal dormi la nuit dernière, excité qu'il était à l'idée que nous nous retrouvions seuls tous les deux.
Nous repartons après bien 10mn à nous manger la langue. Je passe par chez Emma, déjà pour la remercier de nous couvrir et deuxièmement elle tenait à voir de plus près l'objet de, selon elle, mon amour. PH est parfait de bonne éducation. Emma est même obligée de lui dire qu'elle savait très bien à quoi nous allions passer le plus clair de notre temps pour qu'il s'aperçoive de sa largeur d'esprit. Nous nous sauvons. Je fais ronfler la voiture, désolé je sais que je suis un peu beauf avec ma caisse ! Arrivée à la maison. A coté de chez lui évidement c'est beaucoup plus petit mais la maison a de belles proportions et les motos au fond du garage attire plus son regard.
Quand nous sortons des communs, Samir est là pour prendre le sac de PH. Comme je ne l'avais pas prévenu, ce dernier est surpris, mais habitué à avoir des domestiques, il le laisse prendre son bagage. Ce qui l'étonne le plus c'est quand même sa tenue minimale (rappel : short en cuir). Du coup quand Ammed nous ouvre la porte il a déjà entériné le fait.
Je lui fais les honneurs de la maison. Il adore ce que nous avons fait de l'intérieur. Le traitement moderne des surfaces qui tranche avec le style XVIIIème de l'architecture lui plait bien. Il apprécie la grande terrasse et la piscine. Nous passons au sous sol. Son traitement comme salle de sport le fait kiffer, surtout la partie sanitaire !
Samir nous y rejoint pour nous prévenir que le déjeuner est prêt. Je ne sais plus ce que nous avons mangé et je crois que PH non plus !
Excités mais assurés d'avoir tout notre temps pour nous découvrir, nous avons passé le café dans le canapé. A moitié couchés, lui son dos collé contre mon torse et sa tête dans le creux de mon épaule, il s'est endormi comme un bébé. Malgré la venue de fourmis dans mon bras écrasé, je n'ai pas bougé, regardant le profil qu'il me présentait.
Il n'y a que 4 ans entre nous deux mais je me sens une âme de protecteur envers lui ! ; ; ; ; ; ;Ça promet !!
Quand il se réveille, il se décolle en sursaut et s'excuse de m'avoir écrasé. Je le prends dans mes bras et lui dis qu'il va falloir qu'il se décoince un peu. Je ne lui demande pas de virer racaille de banlieue (j'ai déjà ça avec Jimmy) mais seulement d'être plus naturel et spontané. Comme il a bien senti dans ses reins ma bite bandée, il glisse au sol et s'attaque à la fermeture de mon jeans. Je le laisse faire. Il y parvient vite et embouche mon gland dès qu'il apparait. Il tire mon slip sous mes couilles et enfonce ma hampe plus franchement dans sa bouche. Petite résistance au passage de la glotte et mon gland va jouer avec ses amygdales. Il est bon en apnée ! Il me fait une super pipe. Il va pour s'arrêter alors qu'Ammed entrait dans le salon débarrasser les mugs mais je retiens sa tête et, après une rupture de rythme, il a repris sa fellation. Il est vraiment très bon à cet exercice. Quand il m'amène aux portes de la jouissance, je tire sur son menton et ramène son visage devant le mien pour lui rouler une pelle. Puis, une fois la pression redescendue un peu, je relâchais son menton et il redescendait bien vite téter à nouveau mon gland. A la troisième rotation, je l'ai repoussé, relevé et mis à poil. De lui-même il s'est agenouillé sur le canapé, les bras en appuis sur le dossier et les jambes écartées. Le temps de me kpoter et d'ouvrir un flacon de poppers et je me mettais en place. Le gland posé sur sa rondelle, j'approchais de ses narines le flacon. De confiance, il a sniffé. Au même moment, d'un coup de rein je l'enculais. La simultanéité des deux (poppers et sodo) a fait crier PH. Au son, j'étais sûr que c'était du plaisir. Il me l'a confirmé aussitôt après en soufflant " que c'est bon ! " suivit d'un " va y fort ".
Ce genre de truc, il ne faut pas me le dire deux fois.
Je les pris aux hanches et je me suis mis à le limer en faisant bien attention à laisser mon gland toujours dans son cul. Puis, quand ce dernier a été bien rodé, j'ai amplifié le mouvement sortant entièrement avant de le ré-enculer. De temps en temps j'attendais même qu'il me supplie de l'enculer pour rentrer à nouveau. Je me suis mis à le branler pour que nous jouissions en même temps. Quand il m'a juté dans la main, j'ai rempli ma kpote. Puis je lui ai fait boire son jus. Il m'a léché la main, glissant sa longue langue entre mes doigts pour aspirer le moindre de ses spermatozoïdes. Je me suis dit qu'il fallait que nous fassions rapidement un test VIH pour pouvoir nous passer de kpote entre nous ! J'ai très envie de lui faire boire mon jus !
JARDINIER
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e642 · 2 months
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Ce qui me perturbe c'est mes fluctuations d'humeurs tout au long d'une journée. C'est vraiment ça pour moi l'instabilité, c'est qu'à aucune heure de la journée j'ai une humeur, une émotion, une sensation constante. Et vraiment l'une peut annihiler l'autre d'un moment à l'autre. Ça a pour conséquences de sacrés pics d'angoisse. À un moment je me sens capable, jme sens en contrôle, jme sens dynamique et la seconde d'après jme sens médiocre, noyée et apathique. J'ai beaucoup de mal à me concentrer sur la réalité du fait que je suis constamment en conflit intérieur. Le temps que j'identifie ce que je ressens et que je le rationalise, j'ai à nouveau autre chose à gérer et c'est une boucle que j'arrive rarement à casser et je sais que ça se ressent dans mon comportement. Un coup suis chill, l'autre je suis speed. Et le pire c'est qu'il n'y a pas d'éléments déclencheurs propres, c'est comme ça en quelque sorte, donc je peux pas l'expliquer à une tiers personne. Et je comprends qu'en face ça puisse être dérangeant, me voir dans 14 états différents en 2h ça a de quoi rendre perplexe. Mais je sens quand même que c'est intensifié lors des moments de stress profond. Les examens arrivent et c'est comme un perturbateur hormonal vraiment, ça me détraque le trac. Ça influe sur tout le monde je le sais mais je gère pas ou mal au mieux.
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ernestinee · 2 months
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Cette nuit s'est terminée sur un horrible cauchemar hyper sanglant dans lequel j'étais avec plein de gens sur le tournage d'un film dans un appartement et à un moment l'appart était fermé à clé, l'acteur principal devenait fou et poignardait plein de gens et puis tout le monde était en roue libre comme si c'était subitement un jeu de lacérer les autres et il y avait une femme qui m'en voulait personnellement et je me suis réveillée avant de la tuer voilà voilà ambiance. En plus j'ai pas l'impression que c'est la première fois que je rêve de ça, j'ai eu tout le temps la sensation de déjà-vu.
Du coup chatgpt me dit approximativement :
-un sentiment de vulnérabilité ou d'insécurité, peut-être lié à des situations sociales ou professionnelles où vous vous sentez enfermé ou pris au piège.
-des pressions ou des conflits internes.
-une crainte de perdre le contrôle ou de voir les autres se comporter de manière irrationnelle.
-La femme qui vous en voulait pourrait symboliser des conflits non résolus ou des tensions personnelles dans votre vie.
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zialinart · 6 months
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Mon cadeau secret santa pour @saemi-the-dreamer ptit dessin et ptite fic même si bon, j'écris pas beaucoup donc c'est sûrement un peu bancal
Il était déjà la fin de l'après midi quand Arthur commença sérieusement à s'impatienter. Ca faisait au moins 3 bonnes heures que lui, une bonne partie des représentants les plus importants du monde breton et des délégations venues d'autres pays pour l'occasion attendaient. Et encore eux ils avaient la chance d'être assis, lui commençait à avoir sérieusement mal aux pieds. Et bon sang la couronne de fleur que Guenièvre avait insisté à lui faire porter lui grattait sérieusement le crâne. Il se tourna une fois de plus vers Perceval qui, tenant son rôle de témoin très sérieusement se tenait totalement immobile, les mains croisées :
Non mais bordel qu'est-ce qu'ils foutent ?
Vous voulez que j'aille me renseigner sire ?
Vous voulez dire comme les trois autres fois où vous êtes allés vous renseigner et vous êtes revenus bredouille ? Je sais pas vous vous sentez capables de trouver le chemin des vestiaires cette fois ou je vous colle un intendant pour vous accompagner ?
Non mais les autres fois je suis tombé sur Karadoc ça m'a perturbé, là c'est bon il est assis y'a pas de mouron à se faire sire.
Ok mais dépêchez vous, et dites leur de se bouger aussi ou je sens que l'église va se transformer en un champ de bataille romain-visigoth
De son point de vue il pouvait observer toute la salle et voyait clairement que des alliances commençaient à se défaire au fur et à mesure que les gens s'impatientaient. Les représentants des pays qui parlaient la même langue étaient très agités et parlaient de plus en plus fort, semblant ne pas s'entendre sur le goût du vin, dont ils avaient probablement déjà un peu abusé. D'un côté c'était la seule chose à faire en attendant. Perceval partit se renseigner et Arthur alla se chercher une coupe lui-même, histoire d'actionner un peu ses jambes. Il avait été plutôt fier de son idée de renouveller son mariage avec Guenièvre à la mode catholique, en invitant les plus grands noms du coin afin de montrer qu'il était revenu en tant que roi et que le royaume se portait bien désormais. Mais maintenant qu'il était là, face à tout ce monde qui s'impatientait, il se sentait plutôt nerveux. Bon sang qu'est-ce qu'elle foutait ? C'était pas si foutu compliqué d'enfiler une robe potable pour l'occasion, de se faire un peu tresser les cheveux et boum, mariage et on n'en parle plus.
Qu'est-ce que vous foutez retournez à votre place espèce de trou du fion !
La voix de sa belle mère resonna derrière lui tandis qu'il se servait un verre. Ah, au moins si elle était sortie du vestiaire c'est que c'était bientôt fini
En attendant que votre fille daigne se montrer faut bien que je m'occupe
Oui, bah c'est bon vous vous êtes occupés retournez à l'autel, là Elle le poussa vers le fond de l'église tandis qu'il protestait
Faites gaffe bordel c'est un costume spécial pour l'occasion j'ai pas envie de le tâcher en renversant du vin
Vous avez qu'à pas faire votre poivrot au moins pour une soirée. Pis toute façon croyez moi vous aurez pas besoin d'alcool quand vous la verrez.
Elle le laisse planté là, retourna s'asseoir auprès de Léodagan et secoua celui-ci qui s'était endormi sur son banc. Arthur prit une gorgée de vin en réfléchissant à ces dernières paroles étranges. Oui ok, il avait été assez peu discret ces derniers temps sur les regards qu'il lançait à Guenièvre mais enfin de là à ce que sa belle mère le remarque. Le goût acre du vin le fit hoqueter et il s'énerva mentalement sur les paysans qui n'étaient même pas capables de fournir un vin correct pour le mariage de leur roi. A ce moment là Perceval revint, accompagné de Bohort, l'un en bleu, l'autre en vert pour représenter les deux parties du mariage. Pourquoi Guenièvre avait choisi Bohort comme témoin ça le dépassait, après tout il ne les pensait pas si proches. Mais d'un autre côté il n'avait pas été tellement attentif aux passes temps et aux amis de sa femme durant le temps qu'il avaient passé ensemble. Il se promit mentalement de changer ça.
Ah bah c'est pas trop tôt c'est bon elle va venir ou il faut que je reporte à après-demain ?
C'est bon, c'est bon sire, dit Bohort avec un sourire jusqu'aux oreilles. Sauf votre respect vous allez être plutôt impressionné de ce qu'on a fait avec du simple tissu
Je m'en fous un peu de votre tissu Bohort j'aimerais bien commencer le processus pour que les gens finissent pas par s'étriper dans une église.
Bohort se rangea du côté de la mariée, toujours souriant, et Arthur remarqua que Léodagan s'était eclipsé, sans doute pour pouvoir accompagner la mariée jusqu'à l'autel, c'était bon signe. Même si bon, ils étaient déjà mariés depuis 30 piges techniquement il n'avait pas vraiment sa main à lui donner. Il sursauta alors qu'un orgue commença à résonner dans la salle. Ils avaient un orgue dans le coin ? Encore un détail qui luil avait échappé. Il déposa son verre de vin sur le côté tandis que les invités se levaient, certains de façon un peu vacillante. Deux petites filles apparurent du fond de la salle et dispersèrent des pétales de rose tout le long de l'allée. Et puis elle apparut au bras de son père. Sa machoire tomba et il oublia tout. Les trois heures d'attente, les invités qui s'engueulaient, le vin dégueu, même ses pieds. Elle était vêtue d'une robe en tulle blanche recouverte de fleurs bleues jusqu'à la taille. Ses cheveux lui tombaient sur les épaules en cascade, avec seulement une couronne de fleurs similaire à la sienne sur la tête. Elle était magnifique. Elle arriva à sa hauteur et Léodagan lui donna sa main et retourna s'asseoir. Elle lui sourit timidement tandis que le prêtre se mettait en position.
Vous dites rien ?
Je euh Pour une fois il était sans voix, tout juste capable de la parcourir du regard bouche bée.
C'est les fleurs c'est ça ? J'ai dit à Bohort que ça faisait trop mais il était sûr que c'était la mode et puis Merlin les a fait pousser exprès et du coup…
Il lui posa un doigt sur la bouche avant qu'elle ne s'emballe trop.
Vous êtes parfaite, réussit-il seulement à murmurer
Son visage s'illumina et elle rougit un peu.
Il sourit à son tour réalisant que la cérémonie lui tenait finalement plus à coeur qu'il ne le pensait. Leur premier mariage avait été un simulacre politique. Celui-ci était un mariage d'amour.
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jacquesdor-poesie · 3 months
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Gouffres impatients du présent, étreintes du passé, pure invention de l'avenir : sainte trinité du temps qui nous est imparti. Prisonnier d'un corps cerné de terre et de ciel, d'émotions et de peurs, nous les debout ; chasseurs, cueilleurs, rêveurs ou inventeurs de mots. Mémoire de tout pour finir dans la contemplation d'infinimement peu. Et puis mémoire effacée tout à coup, comme pour se souvenir de l'infini.
jacques dor
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marche-murmure · 1 month
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Zombie sur le point kilométrique 12
"Alors t'es content d'être là ? T'es content de servir le pays à l'autre bout du monde ? On s'éclate, on vit une aventure."
Le petit Sergent Chef me demande ça comme si ma réponse coulait de source.
"Non 'chef, je sais pas ce qu'on fout là, je comprends p..."
"Ha toi, toujours à râler, on t'offre une opportunité que tu ne mérites même pas et tu râles, tu râles tout le temps ! De toute façon j'avais dit au CDU que t'avais une mentalité de merde et qu'il fallait pas te prendre."
"Reçu 'chef".
Il s'en va d'un pas lourd, comme pour me gueuler dessus une deuxième fois et je me retrouve seul sous la tente, interloqué.
On voit la même chose, là dehors ?
Je me posais cette question là, à chaque fois qu'on sortait de M'POKO ou que je prenais ma garde sur les remparts. Ce connard de 'chef en tout cas, lui, ne les voyait pas.
Vous les voyez vous, les Zombies, qui trainent sous nos postes de gardes, qui déambulent dans Bangui ?
Je suis sur qu'il y en avait un.
A notre dernière patrouille sur PK-12.
Le type qui s'est arrêté devant le VBL, qui s'est tordu, genre... complétement à l'envers, il s'est tordu la colonne vertébrale et il nous regardait... à l'envers ! Il se tenait en suspension juste au dessus du capot.
C'était un Zombie ça non ? C'est pas possible d'avoir un regard comme ça, de se tordre comme ça et de ne pas être un Zombie.
Je lui ai hurlé dessus pour qu'il se pousse depuis la tourelle du véhicule, j'ai raqué mon arme, j'ai aligné mes organes de visée sur son buste et je lui ai hurlé : "ALLEZ MONSIEUR, FAUT BOUGER LA".
Et il m'a pointé du regard. Toujours tordu, toujours "à l'envers". Il a riposté, avec ses yeux.
"VOUS BOUGEZ OU JE VAIS DEVOIR OUVRIR LE FEU, CIRCULEZ !".
Toujours tordu, toujours à l'envers, impassible, son regard cerné par les cicatrices des coups de machettes sur sa gueule, son bras amputé suspendu comme une croix inversée, ses oreilles l'une manquante et l'autre déchirée, à me fixer.
Le CCH commence à se chier dessus, le pilote aussi, on est là, avec notre petit blindé, bloqué par un homme en ruine qui porte sur ses épaules toute la souffrance du pays qui l'entoure. Qui nous fixe. Qui a arrêté par sa seule détresse, sa seule souffrance, toute une colonne de l'armée de terre. La personnification de l'agonie de tout un peuple qui nous broie du regard.
Je sais plus quoi lui dire pour qu'il s'écarte, je vais pas lui tirer dessus. Je regrette déjà d'avoir crié, j'aimerai juste descendre de là, le prendre dans mes bras et lui dire que je suis désolé, profondément désolé.
Il a fini par s'écarter. Je sais pas au bout de combien de temps, tout était figé, j'avais froid malgré les 45° et l'humidité.
Par la suite, je l'ai souvent croisé la nuit, alors qu'il est collé contre le pare-buffle, au lieu de s'écarter, il s'anime brutalement, il saute sur le capot et m'attaque sur la tourelle. Et j'ai beau lui vider l'intégralité de mon chargeur dans la tronche, il parvient toujours par me saisir et il me bouffe le visage, ou tout ce qui dépasse.
Même si ce ne sont que des cauchemars, croyez moi, sentir qu'on vous démmembre vif, ça fait... bizarre.
Zombie increvable, immunisé aux balles.
Comme si j'étais coupable de tout ça.
J'ai appris avec le temps, que cette action de tirer (et d'avoir des tirs qui n'ont pas d'effet sur la cible) sur ce type dans mes flippes nocturnes, c'était la matérialisation de mon impuissance par mon inconscient.
Que je me sens responsable de n'avoir rien fait et que je me le fais payer de cette façon.
Mais j'aurais fait quoi moi ? Sauver tout un pays avec mes deux mains ? Je comprends pas pourquoi je m'inflige ça.
En Mars 2025, ça fera 10 ans, que, de temps en temps, le soir, un mec tordu éviscère mes potes devant moi, qui tire en hurlant comme un débile, pour un effet nul. Avant de me faire bouffer en dernier.
5.56 ineptes pour Zombie éthéré.
Le pire c'est que vu son état d'alors, il doit certainement être décédé depuis des lustres.
C'est parce que je t'ai pas sauvé que tu veux me butter si souvent le soir ? J'avais des ordres...
Quand tu as commencé à me traquer, j'étais tellement en colère tout le temps. Tu m'as rendu fou.
Tu marchais sur mes rêves, tu piétinais mes pensées, tu m'as hanté, toi et tout l'enfer à ciel ouvert qui te servait de pays.
J'ai tout perdu, j'ai chuté au fond des limbes de ma propre conscience, à vainement tenter de me débarrasser de toi.
Que voulais tu de plus ? Que je me fume ? J'y ai pensé, des jours, des nuits, des mois, des années, j'y pense encore.
Je sais que tu vas m'avoir à l'usure. Je le sais. Je vivrais pas vieux.
Tu m'attends dans le petit trou où ils me jetteront quand j'aurais cané.
J'aurais ta gueule pleine de cicatrices devant la mienne pour l'éternité.
Toujours à te dissimuler dans les ombres, à lever mon coude 10 fois de trop pour que je t'oublie, à me ronger le crâne avec tes dents.
10 ans que je te survis. Je t'ai laissé derrière moi, avec tous les autres. Si j'avais pas pu claquer des doigts et tous vous sauver, je l'aurais fait.
Regarde ma gueule, regarde bien ma gueule,
Et tu verras, elle te dira, tout ce qu'il resta de moi,
L'indicible impuissance, la déchirante vérité,
15 jours avant le retour, le 12/05/2015,
Sur cette photo, "je souriais".
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urween · 24 days
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"Un temps neigeux"
Wolverine x FTMreader
note : Logan a une place bien particulière dans mon coeur, alors comme avec toutes ces choses-là, j'aime écrire dessus ;)
résumé : lors d'une soirée d'hiver, deux hommes se rencontrent et étonnament, s'entendent plutôt bien.
! warnings : language vulgaire/cru, violence, alcool, cigare
bannière par @/saradika-graphics
2 404 mots
Description à la troisième personne
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Ses yeux admiraient les reflets que projetait la lune sur le lac, il aimait profondément la nuit, plus que le jour, c'était sûr et certain. Quelque chose était réconfortant dans cette pâle lumière, tout comme mystérieux, et il aimait ça.
Deux hommes passèrent devant, assez jeunes, charmants. Il les avait déjà vu il y a environ trois minutes, rentrant dans le bar derrière lui, mais apparemment ils n’y avaient pas trouvé leur bonheur.
Le jeune homme se leva, passant rapidement ses mains contre ses cuisses pour retirer le peu de terre qui pourrait s’y trouver. Il admira encore une fois le beau spectacle qui s’offrait à lui, avant de se retourner. Sans problème, il rentra dans le bar, pas des plus remplis pour un vendredi soir. Quelques personnes s'étaient mises dans un coin, d’autres jouaient au billard et trois étaient au comptoir. Il se rapprocha de ce dernier, faisant un signe de tête au barman en guise de bonsoir. Il prit la première place qu’il vit, à un siège d'un homme sûrement bourré au vu de sa position courbée.
« Qu'est ce que je vous serre ? »
Ses yeux noisettes sourirent au barman, il commanda un mojito, pour se rappeler de la fraîcheur du dehors. L’homme à sa droite bougea, il le regarda sans vraiment prêter attention, mais remarqua tout de même qu’il n'était peut-être pas si bourré qu’il l’aurait imaginé. Son verre, de ce qu’il supposait être du whisky, était déjà vide mais son visage ne semblait pas endormi, bien au contraire.
« Et voilà pour vous »
Le verre glacé arriva dans ses mains, il remercia le barman et prit une gorgée. Le goût sucré et mentholé lui fit presque oublier l’alcool présent dans la boisson.
Une fumée grise obscurcit sa vision pendant quelques secondes, il fronça les sourcils et trouva le coupable à sa droite. L’homme fumait un gros cigare. Le jeune brun ne put s'empêcher de souffler, amusé, ce genre de “cigarettes” n'était plus très courant. Il reprit une gorgée de sa boisson, ne voyant pas l’homme le regarder du coin de l’œil.
Logan fronça les sourcils, c'était rare qu’il ne le fasse pas en fait, mais cette fois-ci était pour une raison valable. Le garçon à sa gauche n’arrêtait pas de le regarder, croyant être discret, voire même invisible. Et il n’aimait pas être fixé, surtout par un inconnu. Il tira de nouveau sur son cigare, expirant toute la fumée à sa gauche, juste pour voir le nez du garçon se froncer comme un petit chat mécontent. D’un vague geste il indiqua au barman de lui resservir un verre, chose qu’il fit dans la minute.
Des voix s’élevèrent dans la pièce, le jeune brun tourna sa tête vers la table de billard à sa gauche et y vit deux hommes se chamailler. Il roula des yeux, se retenant de penser une phrase bateau du genre “ah les hommes, tous les mêmes”. 
Logan prit une grande gorgée, fermant les yeux une micro seconde pour apprécier la brûlure de l'alcool. Les deux hommes continuèrent de monter le ton, se bousculant mollement, ils étaient complètement bourrés.
Le barman jeta quelques coups d’œil vers eux, se demandant si la situation pouvait dégénérer ou non, espérant que la deuxième réponse soit la bonne car apprivoiser ces deux costauds ne serait pas agréable pour lui.
Un verre se brisa, le barman grinça des dents. Le jeune brun reprit plusieurs gorgées de son mojito, ne lâchant pas des yeux la situation. À côté, Logan ne regardait même plus, préférant alterner entre son cigare et son verre. Un deuxième bruit de verre retentit, plusieurs têtes se retournèrent vers les concernés. Un des deux hommes poussa l’autre plus fort et le fit tomber lourdement contre une table. Un groupe de jeunes femmes se regarda et, dans un accord commun, préféra partir avant que la situation ne s’aggrave. Un autre homme se leva, sentant un courage grandir dans ses veines, il alla vers les deux perturbateurs pour les séparer. Malheureusement pour lui, ils faisaient deux fois son poids, et l’alcool n’arrangeait pas les choses.
Le jeune au mojito but encore quelques gorgées, profitant du spectacle ridicule du client voulant répandre sa testostérone un peu partout en séparant les deux gros gaillards. Il lâcha du regard la scène lorsqu’un des deux hommes prit une bouteille de bière dans la main. Le petit brun se baissa, passant son verre derrière le comptoir pour deux secondes, juste le temps que la bouteille vole au-dessus de sa tête et se fracasse contre le mur à sa droite.
Le barman monta à son tour la voix, et bientôt tout le monde semblait crier, exceptés les deux hommes accoudés au comptoir.
Logan passa un main contre son épaule, retirant les morceaux de verre qui s'étaient posés sur sa veste en cuir. Il finit son whisky et déposa le verre vide contre le bois sombre du comptoir. Malheureusement, le barman était parti essayer de faire sortir les deux perturbateurs, alors pas moyen de se faire resservir. Par conséquent, il le fit tout seul. Logan passa son buste au-dessus du comptoir et attrapa la bouteille ambrée juste en dessous.
« J’espère au moins que vous allez le payer ce verre »
Une voix douce, dans le sens basse et calme, le fit lever un sourcil. Un vague rire traversa ses lèvres, plus ironique d’autre chose.
« Sinon quoi, tu vas me dénoncer ? »
Le jeune haussa les épaules, finissant à son tour son verre pour essayer d'ignorer le timbre de voix plaisant de l’homme à sa droite.
« Non »
Logan souffla d’agacement, comme il le faisait toujours si bien. Il prit une plus grande gorgée que la normale, faisant une légère grimace en avalant. Autour d’eux, les cris ne s'arrêtaient toujours pas, et ça aussi ça commençait à l'agacer. Une autre bouteille atterrit près de lui, manquant de peu de le toucher. Sa main se resserra sur son verre alors qu'il tira sur son cigare. À côté, le jeune se retenait de sourire, appréciant malgré lui ce petit spectacle que lui offrait cet homme avec son air aigris et sa voix rocailleuse. Sans le vouloir, il observa la main de cet homme, et fut surpris de voir des veines aussi apparentes, ça lui plaisait aussi.
De lourds pas le fit stopper son observation, il regarda à sa gauche et tomba nez à nez avec un des deux hommes. Vu de près il aurait pû faire flipper, avec sa bouille ronde transpirante et ses dents jaunes. Le brun haussa un sourcil, demandant subliminalement ce qu’il voulait. L'homme ne fit que rire, bêtement. Le barman arriva derrière lui et essaya de lui parler, sûrement de lui demander de partir. Mais il attrapa le verre vide du brun et l'analysa du regard comme un imbécile. Dans un soupir, le jeune homme se décala simplement d’un siège, ignorant l’homme et sa nouvelle passion pour ce verre.
Logan eut un réflexe de recul, très léger, très subtil, mais le brun le vit, parce qu’il avait pris l’habitude de tout voir. Alors, tout aussi légèrement, subtilement, il décala son siège haut de quelques centimètres, faisant passer ça dans un mouvement banal. Logan fronça les sourcils, encore, et serra la mâchoire en reprenant son verre déjà vide. Un sourire passa sur les lèvres du brun à sa gauche, il aimait bien cet homme, en fait, il le trouvait très sexy.
Le barman parvint à faire sortir un des deux hommes, avec l’aide d'un client. Le deuxième voyant ça, devint un peu plus virulent et lança une bouteille, encore, sur un mur. Cette fois-ci, Logan se prit un éclat de verre, sur la tempe. Son poing se referma sec et il se leva. Un sourire, peut-être un peu trop grand, apparut sur les lèvres du brun à côté.
« Si tu comptes te battre, saches que ce mec à un couteau dans son froc »
Lui dit la même voix calme. Logan regarda le brun, juste un instant, peut-être pour voir si quelque chose dans ses yeux noisettes alertait son instinct, mais rien, bien au contraire, il eut envie de le croire.
« Je pense avoir la gamme au dessus »
Le brun ne comprit pas le sous-entendu, regardant simplement l’homme sexy se rapprocher de l’autre, beaucoup moins sexy. Et rapidement, un coup de poing partit, suivi d’un deuxième et, wow. L’homme soûl tomba raide au sol. Le brun se pencha pour essayer de voir si le mec sexy avait sorti une arme ou quelque chose dans le genre, mais rien, seulement son poing serré.
Logan souleva l'homme, le prenant par dessous les bras pour le jeter dehors.
Lorsque les portes se rouvrirent sur lui, le barman bégaya des remerciements, mi-rassuré mi-inquiet. Logan se laissa tomber sur son siège, tirant encore une fois sur son cigare avant de l'éteindre.
« T’es champion UFC ou un truc dans le genre ? »
Logan sortit un billet de sa poche, le déposant contre le comptoir, juste sous son verre.
« Rien d’aussi prestigieux »
Sur ces mots, il se leva et sortit. Le brun resta quelques instants muet, avant de se lever à son tour, glissant un billet sous son verre. Il salua le barman d’un geste de main, envoya un petit sourire qu’il contrôlait si bien à un homme le fixant, et il sortit.
La lune était toujours aussi brillante, l’air toujours aussi froid. Il passa ses mains dans ses poches puis sourit en soufflant de la fumée blanchâtre dans l’air. Il aimait l'hiver, plus que n’importe quelle saison. En hiver tout le monde changeait, on découvrait le vrai visage des gens. Parce qu’en hiver on est soit obligé de se cacher sous des couches de vêtements soit on court dans la neige, et peu de personnes aiment courir dans la neige, il l'a remarqué. Les gens qui en été sont tout sourire, deviennent irritables en hiver, permettant aux personnes introverties d'avoir plus de place. Et puis, il y a aussi quelque chose de magique avec cette saison. La terre devient blanche, les lacs gèlent, les animaux s’endorment. C’est comme si la Terre devenait mutante pour quelques mois, ses paysages changent et deviennent précieux, rares, beaux. Tout le monde peut en profiter, ça aussi c’est beau. Lui il adore en profiter, pour être honnête, il aurait voulu naître mutant, parce qu’il se sent mis à l'écart pourtant sans en être un. Sa manière de penser effraie les gens, ils ne le comprennent pas vraiment, ils pensent d’ailleurs souvent qu’il est mutant. Mais en hiver, il fait de la vapeur en expirant, et il se sent comme à la maison en le faisant, parce qu’en été la Terre n’est plus mutante et d’une certaine manière, lui non plus.
Son regard traversa le paysage, admirant encore une fois l’eau et ses reflets. Une silhouette apparut dans son champ de vision, grande, musclée et, oh, sexy. Il ne put retenir son sourire, à vrai dire il espérait voir cet homme et pouvoir lui parler. Alors il trottina jusqu’à lui.
« Hey ! »
La silhouette se retourna de trois-quarts. Logan leva un sourcil puis continua son chemin.
« Eh non attends ! »
Le brun était assez petit, ses jambes l'étaient donc aussi et il dut presque atteindre le stade de course pour rattraper l’homme, mais il réussit. Dans un pas rapide, il marcha aux côtés de monsieur sexy.
« C’était vraiment impressionnant tout à l’heure, je veux dire..ouais c'était vachement cool »
Logan s'arrêta net, un soupir quitta son corps et il regarda le petit homme à côté de lui.
« Qu’est-ce que tu veux »
Prit au dépourvu, il ne sortit aucun mot, seulement de la vapeur.
« Comment tu as su pour le couteau, tu vois à travers les vêtements c’est ça ? »
Si seulement, répondit le brun dans sa tête, et seulement dans sa tête.
« Non non du tout, je l’ai juste remarqué, face au regard insistant de l’homme, il poursuivit, il gardait toujours sa main près de sa bite et les mecs comme lui s'ils veulent se toucher ils n’hésitent pas donc il avait forcément un trucs caché par-là »
« Ça aurait pû être un flingue »
« Mh en fait non, un sourire passa sur ses lèvres, parce que vu sa corpulence importante un pistolet aurait pas tenu à ce niveau, son ventre l’aurait fait tomber au bout d’un moment, surtout avec les grands mouvements qu'il faisait »
Un petit silence s’installa entre les deux hommes, le plus petit ne put s'empêcher de sourire, assez fier de lui. En fait, il n’avait jamais vraiment l’occasion de parler à quelqu'un de cette manière, les gens ne l’écoutaient pas où le trouvaient pervers la plupart du temps. Logan fronça les sourcils.
« C’est quoi ta mutation »
« L’intelligence, tu connais ? »
Malgré lui, un sourire se dessina au coin de la lèvre de Logan, ce mec n'était peut-être pas si stupide qu’il le pensait.
« Non sérieusement, je suis pas un mutant, seulement un gars qui aime observer les réactions des gens »
« Un pervers quoi »
Le brun roula des yeux, ce n'était peut-être pas une si bonne idée finalement. Il préférait arrêter, cet homme était très certainement comme les autres.
« Attends, Logan se retourna vers le garçon en train de s’en aller, j’ai rencontré beaucoup de pervers dans ma vie et t’en ai sûrement pas un, ou alors un très évolué »
Les compliments étaient devenus rares pour lui, il prenait tout ce qui s’en rapprochait, alors il regarda l’homme derrière lui.
« Merci je suppose, ses yeux passèrent sur le cou musclé de l’homme, et toi ? T’es aussi une forme évoluée d’un truc stupide, genre l’humain, ou t’es un mutant ? »
Pour la première fois depuis le début de la soirée, un rire, bien que léger, ronronna dans la gorge de Logan.
« Je sais pas, à toi de le deviner »
« Autour d’un verre ça t’irait ? »
Le jeune brun se mordit l’intérieur de la joue en attendant une réponse. Logan eut un air amusé au visage, il hocha la tête.
« Dans un bar moins pourri si possible »
Une femme passa à côté d’eux, le brun prit une grande inspiration et proposa quelque chose d’autre.
« Ou dans la neige ? »
Logan encra ses yeux dans ceux noisettes, il sourit faiblement et commença à marcher.
« J’ai des bières dans ma voiture, viens »
Partie deux disponible !
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claudehenrion · 6 days
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Madre mía...
Cette interjection espagnole décrit parfaitement notre situation incompréhensible : au delà d'un certain point, il ne reste plus qu'une mère, pour apporter du secours (NDLR : le même ''SOS'', dit en arabe et en onomatopées, n'est pas mal non plus : ''Taï taï taï... Ya ouili, ouili, ouili...''). En français, on dispose de la magnifique ''Une fois qu'on a passé les bornes, y'a plus de limites'' d'Alphonse Allais. Mais aujourd'hui, on a besoin de toute la richesse de toutes les langues pour tenter de décrire le méga bordel (Si vous avez un mot aussi précis, je suis preneur !) qu'est la France, en ce lendemain des ''Européennes''..
Il y a 3 ou 4 jours, je vous avais timidement prévenus (cf. ''Les dangereuses Européennes''), mais qui aurait pu prévoir que, seule parmi les nations du monde civilisé –dont la plupart votent, ces temps-ci-- la France n'était même plus capable de résister au choc (?) indirect d'une élection totalement indépendante de ses règles de fonctionnement. Son chef, qui passe le plus clair de son temps à donner des leçons –sans queue ni tête, mais très coûteuses et très risquées-- au monde entier, qui s'en fout, et à dépenser en Ukraine l'argent qu'il s'est arrangé pour que... nous ne l'ayons plus... n'est même pas capable de résister 24 h à la poussée démocratique et parfaitement légale d'un parti politique parfaitement légitime... et classé premier dans son pays ! A titre purement personnel, j'ai espéré, contre toute raison, que l'intelligence ''Marion-Eric'' ferait une percée. Je savais mon pari perdu, il l'a été. Dommage pour tout le monde. Il nous reste à digérer une super gueule de bois.
Mais les lecteurs réguliers de ce blog savent ma confiance profonde dans l'existence, invisible mais efficace in fine, d'une ''justice immanente'' qui finit par rattraper ceux qui ont échappé à la soi-disant ''justice'' des hommes, des Etats et, le cas échéant, de Dupont-Moretti (je dis ça pour rigoler !). Les anciens disaient ''Il est puni par où il a péché'', et la sagesse des nations a effectivement remis les choses en place : après sept trop longues années durant lesquelles il a passé son temps à vomir sur un quart, devenant pas sa faute un bon un tiers, des français (càd. ceux qui refusaient ses visions changeantes d'un avenir qui ne pouvait conduire qu'à la catastrophe collective et au malheur individuel), notre président-ado se retrouve seul devant le méchant destin qu'il nous avait concocté à grands coups de mauvaises décisions, d'analyses foireuses, de croyances progressistes et (donc) de solutions perverses, pires que le mal...
Et maintenant ? La révolte des braves gens a, une fois de plus, écarté la menace immédiate d'un macronisme pervers... Mais –ce qui n'était pas prévu, et même jugé et juré impossible par les ''ceux-qui-savaient''-- toutes les digues ont lâché, d'un coup, en cinq minutes-chrono ! Il ne voulait pas d'une victoire même minoritaire du Rassemblement national ? Il a réussi à fabriquer un tsunami-RN qui risque de tout emporter... Car si –comme beaucoup le supposent-- le triomphe européen du tandem Le Pen-Bardella se confirme aux législatives annoncées et bricolées à la hâte, quelle autre issue lui restera-t-il que de (se) démissionner lui-même, après avoir démissionné la bande de nullissimes qu'il traînait derrière lui et dont il nous imposait, contre notre gré mille fois répété, les effroyables idées, l'arrogance méprisante, les références mortifères et la bêtise inculte... encore que, entend-on dire, ici ou là, ''n'est pas De Gaulle qui veut''.
Ce scrutin européen et ses conséquences totalement imprévues nous ont tout de même apporté quelques bonnes nouvelles : la joie, en premier, de savoir que la bande de cuistres gauchisants qui avaient été élus dans le sillage de Macron –et à qui nous devons tant de décisions aux conséquences souvent mortelles pour la Nation-- va disparaître en grande partie. Un nombre grandissant de français n'en pouvaient plus, de les voir se pavaner à nos frais en mettant aux voix les pires idées possibles. Une autre bonne nouvelle, c'est le ratatinement des ''écologistes punitifs'' qui ont fait tant de mal à notre jeunesse (combien d'enfants ont grandi dans un univers de terreur, par leur faute ? Il ne faut jamais le leur pardonner), comme aussi à notre industrie, à nos agriculteurs, à notre économie, à nos choix politiques, etc... Mais ils nous ont tant fait de mal, à nous et à la France, qu'il est presque normal qu'on leur en veuille..
Essayons de rester dans les sujets fondamentaux : Emmanuel Macron nous a ''baladés'' pendant son quinquennat et demi dans les horreurs de sa pensée narcissique et erratico-progressiste : pas de programme, pas de buts, pas de direction générale –autres que cette Europe anthropophage, invivable et dystopique, qu'il a prétendu nous imposer aux dépens de notre France, dont nous sommes si nombreux à vouloir la pérennité. Nous lui devons l'effondrement de notre diplomatie et de notre poids dans le monde, une déroute absolument dramatique en Afrique de l'Ouest, notre humiliation permanente devant l'Algérie confite dans la haine pathologique qui reste la seule raison d'être d'un personnel politique corrompu et, plus récemment, ses prises de risque illimitées devant un adversaire qui nous surclasse sur tous les chapitres, en multipliant sans raison objective (Poutine n'a pas la possibilité de nuire à d'autres pays : il ne parvient pas à prendre plus de 10 ou 20 km² en Ukraine. On agite devant nous un épouvantail...) des engagements intenables auprès d'un pays croupion avec lequel nous n'avons jamais eu de relations autres que mercantiles et à court terme...
Son bilan –le jour où il faudra le faire-- se résumera sans doute à son affirmation péremptoire de ramener le RN à trois fois rien... Bravo, l'artiste ! Que croyez-vous qu'il en tire comme leçon ? Le fait d'être écrabouillé à plates coutures est pour lui une raison suffisante pour –surtout-- ne pas changer de stratégie... et en remettre une couche, en confiant aux chaînes d'un ''Sévice Public'' à sa botte (argent illimité oblige !) ses ''conseils pour le vote à venir''... que tout le monde attend, pour rigoler d'abord, puis les transgresser ensuite. Il refuse de voir à quel point il est rejeté –presque trop, même, d'après moi. Mais allez percer la logique d'un ado trop gâté par la vie...
Le futur immédiat est clair : on peut supposer que, quelles que soient les paroles jetées en pâture aux gogos, la Gauche va reprendre ses habituelles magouilles sans foi ni loi : la seule chose qui compte, c'est de garder les sinécures et de nuire autant que possible à la France, au profit (?) d'idéologies plus perverses les unes que les autres... et la Droite va continuer à ''déconner un max'' en refusant toute démarche de rapprochement qui pourrait tout remettre sur pied et dans le bon sens. Et Macron risque fort de se retrouver avec une Assemblée encore plus ingouvernable que l'actuelle, sans aucun bricolage possible en vue d'une majorité... Ou alors (aujourd'hui, c'est le plus probable), une majorité pour le RN qui ne laisse qu'un seul ''choix'' : ''Jordan à Matignon'' (et Fabius, qui s'autorise à paralyser le choix du peuple français, au nom de sa démocratie partisane.).
Et là... la haine anti-Droite de Macron + la haine pathologique de l'extrême Gauche pour tout ce qui n'est pas elle... risquent d'ouvrir la porte aux pires excès, aux mouvements les plus destructeurs, à la phraséologie la plus génératrice de haines-à-venir qui soient. Une fois encore... notre ultime chance reste de demander à Dieu de sauver la France. On peut espérer un résultat, mais il n'est pas certain que ça marche en 2024 aussi bien qu'en 1428 avec Jehanne d'Arc ! On va donc attendre. Mais quoi ?
H-Cl.
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tealviscaria · 8 months
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L'Effet papillon ou Un manuel sur comment découvrir Le Visiteur du futur
Alors, je suis pas francophone, donc je trouve que ça pourrait être intéressant de raconter comment j'ai découvert cette série française qui est quand même assez niche, même en France.
(*Faut d'abord préciser qu'en ce temps-là, j'étais déjà en train d'étudier le français à l'école, donc j'avais déjà peut-être un niveau A2-B1, je doute que tout ça soit possible au niveau débutant.*)
1) Un jour, je me suis dit: "tiens, je voudrais connaître plus de chansons françaises." Très ingénieusement, j'ai tapé "chansons françaises" sur Youtube. J'ai écouté quelques chansons, genre des playlists comme "top 100 chansons populaires" et franchement, j'ai pas été impressionnée.
2) Donc, for the lolz, j'ai décidé de chercher "chansons français emo".
Et là se trouvait le Graal. L'une des chansons que l'algorithme m'a recommandées, c'était L'Assasymphonie. Tout de suite c'était un coup de cœur. J'écoutais d'autres chansons par ces artistes et je trouvais le groupe tellement stylé. Mais attendez– quoi?? C'est pas un groupe de musique mais une comédie musicale?? Tant mieux! J'adore les comédies musicales!! Évidemment, je l'ai regardée. (Coucou ma profile picture <3)
3) Florent Mothe joue Salieri dans Mozart l'Opéra Rock mais il en a joué d'autres. Et quel rôle pourrait être mieux que le principal, n'est-ce pas? Alors j'ai regardé La Légende du Roi Arthur où il joue notre Pendragon préféré. Dans les commentaires au-dessous d'un clip, quelqu'un a mentionné Kaamelott. La série me paraissait intéressante, en plus les épisodes étaient courts et avec sous-titres sur Youtube, donc win win.
4) Personne ne serait surpris si je dis qu'après j'ai découvert Hero Corp. Que dire de plus, sinon que les Astier ont un lien très fort?
5) Hero Corp contient des épisodes spéciaux, parmi lesquels se trouve un crossover particulier. Pendant que Klaus en a marre et frappe le nouveau-venu, je me dis "mais qui est ce gars??"
Et c'est comme ça que j'ai découvert Le Visiteur du futur :)
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