Tumgik
#oui 2 fois dans la même journée
wengenn · 7 months
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parler de roman empire dans le cadre de kaamelott c'est vachement ironique quand même
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skelethrash · 7 months
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Viktor,
J'espère réellement que tu liras ces mots, parce que c'est sûrement les seuls que j'écrirais avec le cœur si ouvert. Je t'écris avec toute ma sincérité, que j'ai rassemblée en valeurs structurées et organisées depuis près de quatre semaines pour en arriver ici, au fond de ma pensée.
Voici des jours que je m'isole seul avec mon esprit et mes souvenirs qui me consolent dans le seul but de savoir ce que je voulais, parce qu'au fond, je ne l'ai jamais sû. Viktor, j'ai pensé à tout ce qu'on manque, tout ce qu'on perd, tout ce qu'on pourrait ressentir seulement si j'avais réfléchi avant. On me l'avait dit, "réfléchis", et je répondais toujours l'avoir déjà fait, mais au final, ma réflexion n'a jamais été plus poussée que quelques mises en perspective d'événements.
J'ai pensé, j'ai beaucoup pensé. Pensé de la façon la plus simple et linéaire pour que je puisse enfin, aujourd'hui, mettre des mots sur mon ressenti. Mettre des mots sur mon amour pour toi, Viktor.
Sûrement penses-tu que quatre semaines sont trop peu pour arriver à une conclusion, que tu as déjà ton avis tranché sur la question et ce dès le 7 Novembre. Peut être penses-tu que, encore une fois, je n'ai pas de quoi authentifier mes propos, mais c'est avec la plus grande sincérité que je te dis aujourd'hui que je t'aime, que j'ai compris mes erreurs et peu importe qui sait tout croix en ce que j'avance tout haut.
Ça serait mal me connaître de penser que je lâcherais ce qui compte le plus à mes yeux, et même si, j'ai été égoïste, jaloux, indécis, maladroit, même con par fois. Je jure sur notre amour que j'ai compris, cette fois. Donc oui, sûrement as-tu déjà connu nouvel amour, quelqu'un d'autre qui fait battre ton cœur autant que je l'ai fait, et qui te rend encore plus heureux peut être. Mais moi, oui moi. Moi qui ai mal payé ton amour si longtemps dans l'étrange pensé que c'était le mieu pour nous. Moi je t'aime, toi.
Mais même moi qui pensais me connaître, je me suis vu changer, je dirais même renaître. C'est ironique je sais, que tout ce que je souhaite aujourd'hui je l'ai touché du bout des doigts avant que tu ne m'aimes plus, toi. Moi je t'aime, toi. Oui, je t'aime, moi.
Je t'aime du 2 jusqu'au 7, autant tes yeux que ce qu'il se cache dans ta tête. Je t'aime pour toutes ces petites choses que tu fais, pour toutes ces petites choses qu'on a faites du 2 jusqu'au 7. De cette journée durant laquelle le hazard nous a réunit, de cette journée durant laquelle tout s'est pas si brusquement finit.
Viktor, c'est avec un vent d'espoir que j'arrive devant ton cœur, avec une seule déclaration : celle de mon amour en malheur. Celui qui n'a jamais bougé mais qui pourtant m'a semblé à cent fois trop compliqué. Ce même amour qui a aimé Esteban, et qui aujourd'hui aime Viktor d'une flamme qui ne s'éteindra pas.
Je ne demande que ta confiance en mes sentiments, une nouvelle chance à mon cœur défaillant. J'attendrais, si il le faut, pour que mon amour soit à nouveau partagé. Pour que dans tes bras je puisse à nouveau me plonger.
J'attends ta réponse, avec mon amour le plus sincère. Je t'aime, Viktor.
-♥︎
@vikkt0r
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swedesinstockholm · 2 months
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23 avril
encore une journée de rêve dans la vie de lara w., ce matin je me suis entrainée à chanter you still believe in me au piano en essayant de trouver les bons accords, et puis vu que j'arrivais toujours pas à écrire je suis de nouveau partie me promener dans un endroit que je connaissais pas, cette fois j'ai pris le bus jusqu'à la gare cents/hamm et en arrivant devant une église j'ai vu le plus GROS avion que j'avais jamais vu, juste au dessus de ma tête, on aurait dit un de mes rêves catastrophe sauf que personne n'est mort et aucun avion ne s'est écrasé, j'ai juste perdu l'équilibre sous le choc et parce que j'avais la tête en l'air. en baissant les yeux j'ai vu un bac à fleurs à étages qui ressemblait à une pièce montée ou à une fontaine et je me suis dit à cet instant précis que voir des gros avions passer dans le ciel était une très bonne raison de ne pas mourir et que je pourrais peut être remplacer les trajets à la pierre plantée dans la voiture de h. par des excursions à proximité de l'aéroport. de là je suis descendue dans une vallée par la forêt, j'y étais déjà allée mais pas de ce côté-là, j'ai reconnu l'odeur de l'alzette. je l'ai longée pendant une éternité en marchant sur une petite route déserte sans savoir où j'allais, puis j'ai pris un petit chemin dans la forêt et au bout d'un moment je suis remontée et j'ai atterri dans des champs de colza à bonnevoie. magique. j'ai marché jusqu'à la gare et je suis rentrée en bus. à la maison j'ai mangé du pain grillé avec du beurre de cacahouète et une demie pomme et puis au lieu d'écrire j'ai ouvert instagram où tout le monde avait l'air particulièrement prolifique, f. s. avance bien dans son roman, c. b. fait une performance aux halles de schaerbeek demain et r. est trop occupé par la pièce de sa soeur pour écouter les morceaux que je lui envoie. mais en ce moment ça va avec lui. ça va!!!
25 avril
j'écoutais l'interview d'un humoriste qui vient de réaliser son premier film à la radio et il racontait qu'avant il était cuisinier (je crois) et puis ses parents lui ont LOUÉ une salle à AVIGNON pour qu'il puisse faire son spectacle, ça leur a coûté 10000 euros et ils ont dit au pire on perd 10000 euros, ben oui, et puis un soir un producteur de laurent ruquier ou je sais pas quoi était dans la salle etc etc. autre histoire entendue à la radio: la fille d'un photographe connu qui était agente d'artistes et puis elle a lu un livre sur la botanique et la permaculture et elle est devenue maraichère mais elle préfère dire food gardener et maintenant elle adore sa vie. et moi hier soir pendant que je faisais mon lit je pensais à r. et à sa soeur qui font tous les deux les métiers que j'aimerais faire, même si soyons sérieuse deux minutes je serai jamais musicienne, et je pensais à a. qui me disait de faire des études de biologie marine, et je me demandais pourquoi j'assumais pas de dire aux gens que je voulais faire du spectacle vivant. enfin si je sais pourquoi, mais en plus de ça c'est un monde qui m'est totalement opaque et j'ai aucune idée de comment me lancer là-dedans. et si je retourne à l'école pour devenir bibliothécaire j'aurai pas le temps de m'occuper de ma carrière dans le spectacle vivant. est-ce que je m'en occupe maintenant que j'ai le temps? non, mais une fois que je me serai lancée dans ma carrière de bibliothécaire ce sera définitif. je préfère rester flotter dans le limbo des possibilités.
hier soir j'étais de nouveau sur le site du magasin de musique de sandweiler à choisir un micro et tout ça en calculant combien ça me coûterait en tout avec le synthé, mais j'ai l'impression que j'arriverai jamais à franchir le pas 1. parce que j'ai peur de dépenser de l'argent et 2. j'ai trop peur d'être nulle et d'avoir gaspillé de l'argent pour rien. j'ai peur de prendre des risques. je me fais pas confiance. quand j'ai dit à r. que je voulais faire du stand-up il a dit go! le monde a besoin de toi lara et je sais pas pourquoi ça m'a énervée. c'est un peu comme quand on me dit que je suis forte, dans le sens courageuse. go fuck yourself je suis tout sauf courageuse et le monde a pas besoin de moi. j'espère qu'il aura jamais le malheur de me dire que je suis forte parce que je risque de lui mettre une gifle.
27 avril
à la philarmonie ce soir j'ai eu des pensées très bizarres en écoutant l'orchestre jouer et plus particulièrement pendant le boléro de ravel, je pensais à mon fantasme de cuisiner avec r. et sa fille dans sa petite cuisine et je me disais c'est quoi ce fantasme de vie domestique là? qu'est-ce que ça veut dire? aurais-je envie... de fonder une famille?? et puis je me suis imaginé...tomber enceinte de r.??? est-ce que j'ai envie d'avoir un bébé?? et puis je me suis dit non il a déjà une fille, je peux très bien me contenter d'une belle-fille et j'ai commencé à m'imaginer en famille recomposée avec lui et c'était bien et j'avais pas du tout envie de me rappeler que ça n'arrivera jamais. et puis j'ai pensé à la naissance de sa fille, au moment où sa copine a du partir à l'hôpital, ou peut être qu'elle a accouché à la maison, à l'état dans lequel il devait être, à sa joie, à son excitation, à sa terreur dans doute, et puis au rêve qui tourne au cauchemar, et je me suis de nouveau demandé ce qui s'était passé pour qu'on lui enlève la garde de sa fille pendant deux ans VAZY c'est pas r. qui m'envoie mille photos de sa fille en me demandant si je trouve qu'elle lui ressemble (non) alors que j'étais en train de parler de sa naissance dans mon journal?? c'est quoi cette sorcellerie?? ils passent le weekend chez sa mère à la campagne. demain ils vont réparer son vélo et faire une tarte aux pommes.
BON. autres pensées de la philarmonie ce soir: pendant la fin du boléro de ravel j'avais envie de crier des trucs par dessus la musique et je me suis dit qu'il faudra que je le propose à r., de crier des trucs par dessus sa musique. j'ai aussi beaucoup pensé à mon livre, je l'ai enfin repris cette semaine et je me pose beaucoup de questions sur le style. j'arrive pas à décider si je pars plus dans la poésie ou plus dans le journal. pendant les danses polovtsiennes de borodine j'ai tranché pour le journal, you do you, ça sert à rien de se renier, et puis je me suis rappelé de rebeka rebeka qui est du journal et qui est un texte tout à fait légitime. mais j'ai vraiment du mal à m'y mettre. j'ai passé l'après-midi à regarder parlement dans mon lit cet après-midi. je sais pas pourquoi je me suis prise de passion pour les institutions européennes, à force de passer devant le parlement à bruxelles et de voir le grand drapeau européen flotter à la fenêtre tous les lundi soirs à la chorale. la série est ultra romancée et caricaturale mais elle satisfait mon envie de contenu eurocratique. lundi dernier à la chorale il manquait un ténor et quelqu'un a dit wilfried est à strasbourg, comme si c'était un truc qui allait de soi, et ça m'a fascinée, et maintenant que j'ai regardé la série ça me fascine encore plus, alors que bon y a vraiment pas de quoi être fascinée.
c'est pas vrai il est une heure et demie et j'ai mon cours de lux demain matin mais r. m'a flingué mon sommeil une fois n'est pas coutume alors que j'ai littéralement failli m'endormir pendant le début du boléro parce que c'est leeent et moi j'aime quand c'est rapide et surtout quand c'est FORT, j'aime le bombastique, surtout dans la musique classique, mais dans les autres musiques aussi, j'aime quand ça explose et quand ça crie et quand ça fait du bruit, et r. il m'impose que du doux tout le temps, du doux du doux et de l'ultra doux, ultra zacht en néerlandais, comme le pq, et j'aime l'ultra doux aussi, mais au fond du fond je suis pas une ultra douce, je suis une bombastique. une grandiloquente. une pompeuse. et pendant moussorgski je pensais au concert/dj set de rebeka warrior à bruxelles hier soir et je pensais à ma vie de retraitée avant l'heure et même si j'adore les concerts à la philarmonie et que j'avais des frissons tout le temps, presque tout le temps, ça m'aurait quand même plus dit d'aller percer mes tympans chez rebeka. j'ai de nouveau commencé à me creuser la tête pour trouver une solution à tout ça, j'espérais que moussorgski m'aiderait à avoir une illumination soudaine avec sa musique pompeuse, musique pompeuse pour fille pompeuse, mais à part mes fantasmes familiaux et mon envie de crier, aucune idée ne s'est présentée à moi.
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soccerwag · 1 year
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hello I hope you're fine 💕
J'ai une demande à propos de Hakim Ziyech, il est marié au lecteur depuis 2/3 ans maintenant et elle est aussi marocaine et musulmane et Hakim a beaucoup de crises de colère mais il rejette constamment sa femme et cette fois il y a la mère de Hakim qui est chez lui à Londres depuis une semaine et un jour Hakim rentre (d'un match ou d'un entraînement ou ailleurs comme vous voulez) et il ne dit bonjour à personne et monte dans la chambre conjugale avec un regard fâché et le lecteur va le voir essaie de comprendre ce qu'il a mais il la rejette et lui crie tellement dessus qu'il fait peur au lecteur et il la compare à son ex petite amie Aja narie et elle décide de ne plus lui parler et dort dans la chambre des amis quoi rend son mari furieux il essaie d'entrer dans la chambre mais sa femme est enfermée et pleure toute la nuit elle a pris la décision de ne pas parlerà Hakim et qu'ils ne doivent pas montrer la mère à Hakim que cela ne va pas à leur mariage et que la fin dépend de vous
Oui! J'espère que vous apprécierez la façon dont j'ai écrit ceci et j'espère qu'il est assez bien écrit pour votre demande! 🫶🏼
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derrière la façade
le couple: Hakim Ziyech x Lectrice
Résumé: Pour tout le monde, vous et Hakim avez un mariage parfait et heureux. Ils ne savaient pas que tout cela n'était qu'une façade et qu'ils devaient vivre avec encore plus lorsque sa mère venait lui rendre visite.
avertissements: mauvais mariage
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Vous et Hakim êtes mariés depuis un certain temps maintenant. La relation était bonne au début. À un moment donné entre le début et maintenant, Hakim est devenu mécontent. Tu n'as jamais su pourquoi et quand tu as essayé de lui en parler, il t'a rejeté et repoussé.
Tu mentirais si tu disais que ce n'était pas comme un coup de poing dans l'estomac. Vous l'aimiez sincèrement, mais il ne semblait pas partager les mêmes sentiments. Il était difficile de mettre un numéro devant les poparazzi et les amis. C'était dur de prétendre que toi et lui aviez raison. Derrière cette façade se cachait une dure réalité. La réalité de la merde que votre mariage était devenu. Chaque jour, il y avait au moins une allumette hurlante entre les deux. C'était difficile de faire face à toutes les mauvaises choses qu'il disait à votre sujet. Tout ce que tu voulais, c'était que lui et toi soyez heureux.
Un jour, sa mère est venue lui rendre visite, toi et lui. Sa mère t'aimait. Elle aime la façon dont vous avez traité son fils. Elle vous avait rencontré lors d'une séance de prière. Toi et elle étiez dans le même immeuble et elle trouvait que tu étais beau. Elle avait parlé à vos parents, ce qui a ensuite conduit à vous présenter, vous et Hakim.
De nos jours, vous étiez à la maison en train de nettoyer et de cuisiner, comme vous le faites tous les jours, en attendant que votre mari rentre à la maison. vous finissiez de nettoyer la cuisine quand vous avez entendu le bouton de la porte tourner. Votre mari est entré. Il semblait être de bonne humeur mais à la seconde où ses yeux ont rencontré les vôtres, c'était comme si son humeur avait complètement changé. il est passé devant vous vers la chambre. vous l'avez suivi, lui demandant comment était sa journée et s'il allait bien.
"Pouvez-vous simplement arrêter de parler. J'ai été très clair sur le fait que je ne suis pas intéressé à entamer une conversation avec vous." Dit Hakim durement avant de te repousser et d'aller s'asseoir sur le canapé. Il a allumé la télé et t'a pratiquement ignoré pour le reste de l'après-midi.
Tu sais qu'il te repousserait mais tu étais assez choquée qu'il ne te crie pas dessus cette fois.
"Ma mère vient me rendre visite pendant une semaine, alors comporte-toi du mieux que tu peux." dit Hakim sans même te regarder.
tout ce que vous pouviez dire était ok.
Quelques jours passèrent et sa mère était arrivée. C'était bizarre qu'Hakim t'ait si bien traité la semaine où elle était ici. Pendant une seconde, vous avez pensé que peut-être sa mère lui avait parlé de bon sens. Vous aviez très tort.
Après que sa mère vous ait dit au revoir, la façade s'est levée. Les combats reprennent. Cette fois, les combats vous font plus mal que jamais.
"JE NE PEUX PAS CROIRE QUE JE T'AI MARIÉ. TU ES COMME MON EX, ENNUYEUX ET TELLEMENT DIFFICILE À GÉRER. AU MOINS ELLE ÉTAIT BELLE ET JE N'AI PAS ÉTÉ MALADE D'AVOIR L'AMOUR AVEC ELLE. JE NE COMPRENDS PAS CE QUE MA MÈRE J'AIME MÊME CHEZ VOUS." cria hakim.
vous ne vous souveniez même pas comment le combat avait commencé, tout ce à quoi vous pouviez penser était ce que vous ressentiez à ce moment-là. À cause de votre religion, il a été le seul homme à vous voir pleinement. Te voir nue et te faire prendre ta virginité. Tu te sentais dégoûté, honteux de ne pas lui suffire. Tu n'as pas pu t'empêcher de pleurer.
Cette nuit-là, vous avez dormi dans la chambre d'amis, ainsi que les nuits suivantes. Vous avez refusé de lui parler, refusé de vous approcher de lui. Quand sa mère t'appelait, les gars remettaient la façade. Tu étais fini mais tu ne pouvais pas le quitter.
Ces jours étaient les pires. Hakim, que cela lui plaise ou non, se sentait mal. Ces derniers mois, il a été stressé. Il a laissé tomber son stress sur vous, ce qu'il savait être mal. Derrière sa propre façade, il t'aimait. Il avait juste peur. Tous ses coéquipiers et tout le monde autour de vous vous aimaient. Il avait peur que s'il se rapprochait trop, il se retrouverait dans la même position qu'il était avec son ex, la position où il a été laissé pour compte.
Cela fait maintenant deux semaines que vous avez échangé. il était actuellement 20 heures. et tu étais assis sur le canapé. Hakim était dans la chambre à faire ce qu'il faisait tous les soirs et tu regardais une émission. tout à coup, vous avez senti des bras autour de vous. Ils n'étaient pas agressifs, ils étaient étonnamment doux.
"Je suis désolé ma chérie." est ce qui sortait de la bouche de hakim.
Tu as senti des gouttes de larmes couler sur ta chemise, mais ce n'étaient pas les tiennes.
"Je t'ai si mal traité. Je suis désolé. Je suis désolé de t'avoir fait du mal et je suis désolé de m'être débarrassé de mon stress, de ma colère et de mes insécurités. Je comprendrais si tu ne me pardonnerais jamais, mais derrière la façade, je je t'aime."
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Note de l'auteur: Je sais que c'est court mais j'ai fait de mon mieux, j'espère que vous avez apprécié l'intrigue, je sais aussi que c'est un peu un cliffhanger mais si vous voulez la partie 2, demandez.🫶🏼
Aussi j'espère que ma grammaire n'est pas trop mauvaise, le français est ma deuxième langue donc s'il y a des fautes de grammaire je suis désolé.
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alioversus · 3 months
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CollAGE D(ouble)
CollAGE D | Lotophagus Records | 2024
1. Le moteur tourne encore, mais le véhicule est à l’arrêt. À l’extérieur, des promesses bucoliques, de la nature radieuse : entourées de béton. Petits oiseaux qui chantent dans le parc… Ils ne se doutent pas. Et pourtant… Même une journée aussi ensoleillée, aussi tranquillement nonchalante, peut être le cadre rêvé d’un drame. Ça arrive tout le temps. Untel apprend la mort d’un ami proche, tel autre qu’il est atteint du cancer, telle autre que son mari la trompe, tel autre qu’il va nécessairement lui arriver quelque chose de pas très sympathique, puisque des gros bras l’ont kidnappé. Ce con essaie de taper dans la porte du coffre, ou de soulever la plage arrière. Je serre le volant, machinalement. De toute façon, il y a trop de bruit dehors pour qu’on puisse l’entendre. J’ai tout de même envie d’engueuler Maurice, de lui dire : putain, tu l’as mal ligoté ou quoi ? J’ai envie de l’appeler Momo. Je sais qu’il déteste ça. Il est sur les nerfs, lui aussi. Il me devance. Pourquoi t’es passé par là ? me dit-il. Tu savais pas que c’était jour de marché ? Le feu passe au vert, j’embraye. On sort de la ville. Un peu plus loin, on est encore arrêtés par un passage à niveau. Long train de marchandise, puis la campagne. 
2. On est arrivés à l’entrepôt. Gégé remplit les bassines pendant que le con attend encore dans la bagnole, encagoulé. La Perceuse étale ses outils de travail. Il en a bien cinquante, parfaitement alignés sur la table dépliante. Il est parfois difficile de deviner l’usage de certains, qu’est-ce que c’est censé pincer, qu’est-ce que c’est censé couper, où est-ce que c’est censé s’introduire… Maurice attend que les instructions arrivent sur le téléphone jetable. Parfois j’ai l’impression qu’il joue à un jeu vidéo ; ce genre de modèle tout en plastique bipe pour un rien. Gégé et La Perceuse comparent leurs attirails. Ils se charrient entre potes, comme deux catcheurs avant un combat, à qui prétend mieux faire, entre la méthode dite technologique et la méthode dite artisanale. Gégé dit qu’avec lui, c’est du propre. La Perceuse lui rétorque qu’il a encore ramené une vieille batterie qui suinte, qu'il ferait mieux de la fermer, alors qu’avec lui, au moins, tout est sous contrôle, qu’il sait doser…  L’ambiance est plutôt bon enfant. Sur la banquette arrière, je crois que l’otage récite des psaumes ou je ne sais quoi. Va ! Si ça peut l’aider à garder son calme…  Ça sera toujours supplications et pleurniche, quand on le lui fera couler, son sang-froid. Alors, Maurice, ça vient ? Je me garde bien de dire que je ne serais pas contre un contrordre. Ça y est, ça sonne. Oui, dit Maurice. Oui. Non. D’accord. Je regarde comment réagit l’otage. Il se tait, il écoute… Maurice raccroche. Alors, Maurice, on fait quoi ? 
3. Ça allait commencer quand ils m’ont envoyé chercher le toubib à cause de Big R. Je ne l’aime pas, Big R. Il est aussi con que son pseudo. Et il se fout toujours dans la merde. Apparemment, cette fois-ci, il se serait pris une balle… Mais pas mécontent de ne pas pouvoir assister au travail à cause de ça. Je ne suis que le chauffeur, moi, dans cette histoire… Je suis la route champêtre avec la fenêtre ouverte, en écoutant un CD pour me détendre : du jazz un peu trop free pour quand il y a Maurice à côté de moi. Putain, mais il ne font plus pousser que du maïs par ici ? Et du colza. Je débouche sur une parcelle de forêt. Je longe la rivière. Des nuées de moineaux à la sortie. J’arrive enfin dans le hameau. Le vieux m’attend déjà avec sa mallette, derrière le portail. C’est un médecin à la retraite. Cela se voit. Ça démarche est tout aussi disloquée que les couacs de saxo. Il dit qu’il a encore la main. Il n’y a pas non plus avalanche de concurrents… Il dit que c’est les pieds et les genoux qui ont trinqué, que c’est pour ça qu’il ne conduit pas. À peine monté, il me demande de couper le disque, parce que ça l'agace. Le toubib, lui non plus, je ne l’aime pas. 
4. Big R était planqué chez Annette. Elle aurait bien pu aller chercher le toubib elle-même. Ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille… Maintenant, la nuit est en train de tomber. Je dois être mort depuis deux heures ou trois. Je ne sais même pas vraiment pourquoi. Je sens que je fais corps avec la terre, avec l’humus, avec les racines, avec les insectes… Je sens que je suis en train de nourrir la forêt. Moi, le chauffeur, me voilà complètement étranger au son des rares voitures qui passent. C’était malin de la part de Big R, tout de même, d’utiliser un fusil de chasse. C'est vrai qu'il y a plein de battues dans le secteur, en ce moment…
5. Thierry, tout tremblant, explique encore une fois aux gendarmes. Tout s’embrouille dans sa tête, et il s’inquiète pour ses deux fils, forcément eux aussi traumatisés par leur découverte dominicale… Thierry répète : ils étaient là, en ballade, pour essayer leurs nouveaux VTT. Et paf, c’est le plus petit qui tombe sur le cadavre, au milieu des gazouillis. Le gendarme tape uniquement des index, mais il tape fort et vite, comme une mitraillette. Thierry se demande si Inès va chercher à lui sucrer la garde du week-end. Parfois Thierry a l’impression que le sergent le suspecte… On lui fait signer sa déposition, on lui dit de ne pas partir en vacances. Il sort du bureau. Les enfants l’attendent en compagnie de la seule femme de la brigade. Ils ont l’air déphasé, mais calme. Thierry a la gorge serrée. Il leur avait promis d’aller au restau, ce midi. Puis il réalise qu’ils vont vouloir rentrer chez Maman, de toute façon.
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flashbic · 2 months
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…top 5 Falconi moments… go!!
(english version of all of this under the cut if you're feeling lazy asdfhkh)
Ok alors ça va être 2 top 5 parce que je pouvais PAS dire "Absolument tout Le Secret du Lorrain" pour la première place parce que ça serait de la triche, alors.
Top 5 des moments qui sont PAS dans Le Secret du Lorrain
5. Toute cette petite section de l'épisode où Isabelle se fait kidnapper où Falconi essaie de faire l'échange de rançon puis se retrouve à devoir investiguer ce qui s'est passé. Parce que pour lui toute cette journée est un énorme désastre, mais aussi parce que c'est chouette de le voir travailler un peu en équipe avec Mordoc et Brutus!
4. Cette scène de Noblesse Oblige où Isabelle prétend avoir besoin d'aide avec sa robe de bal. Parce que oui c'est marrant que Falconi soit confus et exaspéré par tout ça, mais ça l'est encore plus quand on se rappelle qu'ils se connaissent à peine??? Pour ce qu'on en sait ils se sont jamais parlé avant!
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3. La petite convo avec Isabelle à la fin de l'épisode où elle se fait kidnapper. Ils discutent normalement?? Ils sont polis l'un envers l'autre??? Falconi fait même l'effort d'être gentil avec elle???? Cet espèce de sens de l'honneur qu'il a est mentionné dans cette scène, et ça c'est toujours Excellent. Tbh pas mal de cette liste pourrait être des moments qu'il a avec Isabelle, j'aime bien cette vibe qu'ils ont quand ils interagissent. 
2. Tout ce morceau du tout premier épisode où il passe un solide 5 minutes planté là à fixer le Lorrain avant de finalement le reconnaitre et d'essayer de le tuer littéralement devant tout le monde. Oui parce que c'est marrant, mais aussi parce qu'avant cette scène on l'a surtout vu être froid et parfaitement en contrôle; quand il fait affaire avec Chien Noir puis quand il menace Isaac. Et puis là tout d'un coup il est furieux et a absolument aucun chill? Première fois qu'on a cette impression claire qu'il y a quelque chose qui se passe là…
(fun fact pendant vraiment longtemps le seul screenshot à moitié décent de Falconi était spécifiquement de cette scène. exactement celui-ci, en fait)
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1. Pas exactement un moment précis, mais toute sa dynamique avec le Régent dans l'épisode du testament de Louis XIV!!! Leur première scène où Falconi sait qu'il a fait une énorme gaffe et se fait menacer (le livre mentionne qu'il a peur!) ? Excellent. La scène plus tard où ils attendent de voir si les Cartouchiens vont se pointer et où le Régent est juste "bon, on s'ennuie, là, tu veux torturer un de ces types pour rigoler?" et se contente de regarder d'un air amusé alors que Falconi tombe hyper visiblement dans le panneau et se retrouve à combattre Fleur d'Épine au lieu de son premier choix? Excellent aussi!! Le Régent qui a soudain une opportunité parfaite de tuer Cartouche mais choisit de ne pas la prendre parce que Falconi est en danger au même moment????? A++, 10/10, absolument rien à redire, du contenu de Qualité
Top 5 : édition Le Secret du Lorrain
5. Menacer Demachault direct dans la scène d'ouverture en lui laissant savoir que ça va mal aller si l'opération tourne mal…. pour IMMÉDIATEMENT gâcher l'opération lui-même 5 secondes plus tard parce qu'il peut pas s'empêcher d'essayer de tuer le Lorrain
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4. Presque se faire trancher la gorge par un type pas important parce qu'il a donné sa parole à Cartouche qu'il ne tuerait personne même si ça aurait été franchement plus facile comme ça. Et le Lorrain qui le sauve à la dernière seconde??? Le Lorrain qui est même content de le voir???? De la qualité™, important, adorable, 10/10
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3. Le Lorrain qui s'excuse, et ces excuses qui reçoivent un furieux "Je n'ai que faire de tes regrets!" en retour. Le livre donne à la scène une vibe un peu plus solennelle qui est chouette, et j'aime bien l'échange? Le Lorrain qui fait une dernière vague tentative de réparer les choses et Falconi qui ferme brutalement cette porte-là sans une seule seconde d'hésitation. 
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2. "Je ne serai jamais une de vos marionnettes." "Êtes-vous réellement convaincu de ce que vous dites, mon ami? Sans moi, vous ne seriez qu'un mercenaire sans avenir, un homme sans idéal. Vous n'existez que par moi." DU DIALOGUE DE QUALITÉ. DU DIALOGUE QUI M'A FAIT VOULOIR DONNER À CET IDIOT UN REDEMPTION ARC. J'AI DES OPINIONS LÀ-DESSUS.
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1. Forcément ça DOIT être le flashback, right? J'ai le tattoo pour aller avec, alors bon… Mais ironiquement, faut avouer que dans ce cas-ci ce sont plus les idées qui sont amenées par le flashback qu'une bonne partie de l'animation elle-même, considérant que c'est si court? Mais c'est IMPORTANT. Falconi avec les cheveux longs!! Ses vêtements!!! La petite lettre d'amour!!!!! Le drama! Le angst! Le duel!!!!! Ça vit gratuitement dans ma tête depuis beaucoup, beaucoup d'années, quoi.
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Top 5 bits that AREN'T from Le Secret du Lorrain
5. The whole section from the Isabelle gets kidnapped episode where Falconi tries to do the ransom exchange and then proceeds to have a really awful day. First bc it's kinda funny, but also because it's fun seeing him figure things out with Mordoc and Brutus after. i kinda wish we'd gotten to see all 3 of them work as a little team more often!
4. The whole bit from Noblesse oblige with Isabelle pretending she needs help with her dress asdfgk It's just good comedy! They barely know each other and Falconi is wildly baffled by the whole thing but also just. rolls with it? It's silly!! I just think it's nice!!
3. The short exchange he gets with Isabelle towards the end of that episode where she gets kidnapped. They have a normal conversation??? They're polite to each other??? He's even kinda nice to her?????? It brings up that sense of honor he shows sometimes too, and that's always a fave! A lot of this list could be his interactions w Isabelle tbh, bc it's fun how they play off each other most of the time.
2. That entire bit from the first episode where he spends a solid 5 minutes staring at le Lorrain before recognizing him and going full murder mode in the middle of a room full of people. Yes because it's funny, but also because up until that point we've only kinda seen him be cold and quiet; scheming with Chien Noir and then threatening Isaac. Here we get the first hint that this guy miiight have some anger issues and maybe a bit of backstory going on…
1. Not exactly a specific moment, but his entire dynamic with the Regent in the episode about Louis XIV's secret testament is A Big Fave!!! Their first scene where Falconi knows he fucked up and gets very clearly threatened for it (and the book tells us he's actually scared!)? Good stuff! The later one where they're both a bit bored waiting for the good guys and the Regent goes "we've all had a rough day, you want to fight one of these guys for funsies?" and just amusingly looks on while Falconi very visibly gets tricked into fighting the most competent person here??? ALSO good!! The Regent getting a perfect opportunity to kill Cartouche but NOT taking it because Falconi is getting threatened at the same time???? A++, 10/10, no notes
Top 5 moments but it's just Le Secret du Lorrain
5. Snarkily threatening Demachault over any potential operation fuckups in the opening scene and then immediately proceeding to ruin the whole thing himself bc he couldn't wait to commit murder
4. My boy almost getting murdered by a complete rando because he gave his word that he wouldn't destroy Monteiro's guys despite being perfectly able to, and le Lorrain saving him at the last second??? le Lorrain being genuinely happy to see him ??? a fave, very cute, 10/10
3. Le Lorrain apologizing, and that apology being met with a spiteful "Je n'ai que faire de tes regrets!" I think the book does a better job making the scene feel kinda quiet and solemn, but i just like that exchange? Le Lorrain making a last vague attempt to mend things and Falconi just furiously shutting him down. it's a fave!!!
2. "Je ne serai jamais une de vos marionnettes." "Êtes-vous réellement convaincu de ce que vous dites, mon ami? Sans moi, vous ne seriez qu'un mercenaire sans avenir, un homme sans idéal. Vous n'existez que par moi." LINES THAT GO HARD. LINES THAT MADE ME WANT TO GIVE THIS IDIOT A REDEMPTION ARC. IT'S GOOD STUFF
1. It GOTTA be the flashback. i mean i got a tattoo about it, so, y'know. But ironically, that one's more about, like, the ideas they put in there than the actual presentation, since it's so short and he's in it a surprisingly small amount, all things considered? But look at my boy. look at his little outfit. Look at his little love letter. The drama! The angst!! The duel!!! i've been going feral about it for many, many years.
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lesdamesmures · 3 months
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Scène 13 "Une femme mure sur la plage"
C’était Titouan qui attendait sur son vélo derrière le portail. Julie apparu sur la terrasse, de loin elle lui faisait
- Entre Titouan ! c’est ouvert, tu peux poser ton vélo dans le jardin ! Elle restait sur la terrasse vêtue de sa robe portefeuille bleu foncée, ses bras croisés sous la poitrine
Titouan marquait un temps d’arrêt en la découvrant avant de refermer le portail derrière lui et la rejoindre
- Viens Titouan ! tu as mis une chemise blanche, ça te va bien tu es beau ! Ajoutait Julie en le voyant se diriger vers elle
- Merci Julie ! vous êtes belle aussi, cette robe est très jolie elle vous va bien ! Répondait Titouan surpris de voir Julie dans cette petite robe qui dévoilait presque profondément le sillon de sa poitrine et ses jambes à mi-cuisses
Pour la première fois, il voyait Julie dans une tenue assez moulante qui mettait en valeur ses formes, sa poitrine paraissait plus volumineuse et ses jambes donnaient envie de découvrir ses cuisses. Elle avait mis des escarpins beiges clair, un sourire radieux illuminait son visage
- Merci mon prince c’est gentil ! Reprenait Julie en ajustant machinalement sa robe pour lui donner quelques centimètres de plus avant de lui tendre la main pour l’inviter à rentrer
Titouan montait les 3 marches qui menaient à la terrasse, mettait son sac sur son épaule avant de prendre la main accueillante de Julie
Il était rassuré de retrouver Julie telle qu’elle était en la quittant. Il craignait toujours que sa raison reprenne le dessus, qu’elle lui annonce qu’elle ne pouvait pas se permettre une relation avec un homme de son âge, ou une quelconque décision qu’il n’aurait pu contester. Depuis cette soirée à échanger des sms et leurs échanges réguliers, il avait du mal à réaliser ce qui lui arrivait, encore plus après cette journée à la plage, cette intimité partagée, ces caresses intimes il avait la sensation d’un rêve éveillé et se demandait ce qu’elle pouvait ressentir pour lui.
Avant de prendre la main tendue de Julie, Titouan sortait la bouteille de champagne de son sac en lui tendant le gâteau 
- Je voulais pas venir les mains vides quand même ! C’est votre anniversaire
- Oh c’est gentil, ça me touche beaucoup. Entre Titouan
Elle prenait le gâteau d’une main et prenait celle de Titouan de l’autre en le précédent. Titouan se laissait entrainer derrière Julie, main dans la main il admirait Julie qui ondulait dans sa petite robe, ses fesses paraissant plus charnues et larges qu’en maillot. Il découvrait son intérieur, une grande pièce ouverte sur la terrasse et le jardin avec le salon et la cuisine derrière un muret séparant les 2 espaces. Au fond de la pièce, un escalier en bois blanc montait à l’étage, derrière un couloir avec probablement d’autres pièces au rez de chaussé. L’ensemble était coquet et chaleureux malgré la lumière de fin de journée provenant du jardin, un rayon de soleil traversait la pièce de part en part
En passant devant le canapé, Julie me lâcha la main en m’invitant à m’assoir pendant qu’elle se dirigeait vers la cuisine. Sur la table basse, elle avait préparé 2 flûtes de champagne et de quoi grignoter en buvant
Assieds toi mon prince ! Je vais mettre ta bouteille au frais. Ca nous en fera 2, j’en ai une dans le frigidaire, j’ai hâte de trinquer j’adore le champagne ! Disait-elle en traversant la pièce pour rejoindre la cuisine ouverte
Oui avec plaisir Julie ! Je la regardais se déplacer, la bouteille à la main et profitait d’une légère transparence de sa robe quand elle traversait le rayon de soleil qui inondait toute la partie cuisine
J’en profitais pour poser un petit galet en forme de coeur sur la table basse. Je l’avais trouvé sur la plage il y a quelques jours lorsque j’étais allé sur la plage des blockhaus. J’avais été pris de cours pour acheter un cadeau et l’idée que Julie garde précieusement ce galet me plaisait, comme un secret entre nous qui lui rappelait notre relation singulière.
Je la regardais se baisser devant le frigidaire, son postérieur tourné vers moi je ne pouvais m’empêcher de l’admirer comme si je le voyais pour la 1ère fois. Je profitais de cet instant furtif en découvrant sa robe glisser sur son fessier et voir sa cuisse se dévoiler
Elle se redressait, passant sa main sur sa hanche pour réajuster sa robe avant de revenir vers moi avec la bouteille de champagne
- Tu veux bien l’ouvrir Titouan, j’ai envie de fêter cette journée mémorable ! Elle me tendait la bouteille et s’asseyait sur le canapé à ma gauche
Je prenais la bouteille, elle était assise tout proche je pouvais sentir une odeur agréable et parfumée qui enveloppait notre espace, ses jambes serrées l’une contre l’autre laissaient remonter sa robe à mi-cuisses et son décolleté mettait en valeur sa poitrine pigeonnante formant un sillon encore plus large qu’avec son maillot. Elle replaçait soigneusement le pan de sa robe portefeuille avant de poser ses mains sur ses genoux, elle se tenait droite sans s’adosser assise sur le bord du canapé sa flûte à la main, impatiente d’être remplie.
Quelques secondes plus tard et un long pschittt de gaz, nous trinquions avec enthousiasme en nous souriant 
- Joyeux anniversaire Julie, si j’avais su plus tôt que votre anniversaire était aujourd’hui, j’aurai aimé vous offrir un cadeau mais j’espère que ce petit galet symbolisera ces derniers jours et qu’il vous portera bonheur ! Ajoutais-je en prenant le galet qu’elle n’avait pas remarqué, lui tendant comme un bijou précieux pour le poser dans sa main
Elle regardait le galet attentivement en le caressant avec son pouce tout en le gardant dans sa main, elle semblait étonnée comme si elle ne revenait pas de sa forme en coeur
- Oh merci mon prince ! Tu es trop mignon c’est touchant ! Elle réagissait, surprise par ce cadeau qui n’avait comme valeur que notre relation secrète
Elle se penchait vers moi, posant sa main sur ma cuisse et tendant ses lèvres comme si elle m’invitait à les embrasser
- Il a l’air naturel, où l’as tu trouvé mon prince ? Demandait-elle en laissant sa main affectueusement sur ma cuisse tout en regardant à nouveau le galet
Je lui expliquais timidement que je l’avais trouvé le jour où j’avais été sur la plage des blockhaus pour m’aérer. J’étais sur cette plage quand elle m’avait envoyé pour la 1ère fois un sms pour me proposer de nous retrouver à la plage en fin de journée. Elle réfléchissait un court moment
- Ah oui ! Ce fameux jour où je t’ai fais passer pour mon fils à cause de ce type qui me collait ? Demandait-elle avec un air faussement embarrassé  
Je me rappelais de tout dans les moindres détails et confirmais d’un signe de la tête avec un sourire amusé. Elle serrait son galet dans la main, hésitante avant de m’interroger sur ce que j’avais ressenti quand elle m’avait fait passer pour son fils.
Je sentais qu’elle avait envie de parle, de ce que je ressentais. Elle semblait curieuse et étonnée quand j’évoquais ce galet que j’avais ramassé en pensant à elle.
- Je ne m’y attendais pas, ça m’a fait bizarre de passer pour votre fils pour vous débarrasser de cet homme mais je comprend, c’était peut-être la meilleure chose à faire !
- Ca ne t’a pas trop vexé ? Elle prenait un air désolée en imaginant que ça aurait pu me contrarier
- Non Julie ! Ca m’a surpris sur le coup c’est vrai mais j’ai pris ça plutôt pour de la connivence et j’étais assez fier de vous servir d’alibi
Elle m’adressait un sourire bienveillant tout en caressant ma cuisse d’un geste plein de tendresse
- Et vous Julie qu’avez-vous ressenti ?
Elle prenait une gorgée de champagne en levant les yeux au ciel comme si elle se replongeait dans l’instant
- Et bien si tu veux savoir, je me suis dis que tu étais très conciliant et attentionné et que tu ferais un bon fils ! Reprenait t’elle après un moment, comme une pirouette et puis elle ajoutait plus sérieusement
- J’ai réalisé à ce moment que ta présence m’était précieuse et je me souviens aussi de ce détail quand je me suis arrêtée pour remettre ma tunique
- Quel détail Julie ?
- Ton expression quand j’ai réajusté mon maillot en replaçant ma poitrine, tu avais l’air de quelqu’un qui n’avait jamais vu une femme remettre ses seins en place. A ce moment j’ai compris que je te troublais même si je me demandais ce que tu pouvais trouver à une femme de mon âge mais depuis j’ai compris je crois
- C’est vrai Julie, je crois que vous m’avez troublé dès que je vous ai vu aller vous baigner le 1er jour
- Tu m’observais de loin ? Tu regardais mes fesses ? Ajoutait-elle naturellement comme si elle parlait avec quelqu’un d’intime
- Vous m’en voulez Julie ? Me contentais-je de répondre
- Si je t’en voulais je n’aurai pas continué à te voir Titouan mais je ne sais pas ce que je représente pour toi ? As-tu déjà eu une relation avec une femme mure ou c’est par curiosité ou peut-être un fantasme ?
Sa manière de parler aussi directement me déstabilisait, me renvoyant une image de moi que je n’aimais pas mais elle avait raison, notre échange était intime et sincère
- Non jamais Julie ! Je suis désolé si je vous ai paru incorrect mais je vous trouve belle, vous êtes douce et ça me trouble énormément. Je sais que ça peut vous paraitre idiot, même immature peut-être mais je vous me fascinez, je me sens bien en votre compagnie
- Tu ne réponds pas tout à fait ! Tu sais Titouan, je ne suis pas le genre de femme à avoir des aventures. Jusqu’à présent j’avais des croyances et des principes que je pensais solides même immuables mais depuis cet épisode sur la plage, je me sens perturbée par le regard que tu me renvois. J’avoue que c’est agréable même flatteur et en même temps j’ai eu du mal à imaginer que notre relation puisse devenir aussi intime, pourtant ces moments à la plage l’étaient
- Je vous ai choqué Julie ? Je sais que j’ai été au delà du raisonnable et dépassé votre « un peu » mais c’était difficile de résister et encore plus quand on s’est baigné nus. Je ne veux pas me vanter mais … ! J’hésitais à poursuivre ne voulant pas être maladroit en parlant de mon éjaculation rapide
- Je crois que je n’ai jamais autant excité, je ne pensais pas jouir aussi vite ! En disant ça je commençais à sentir l’effet que me faisait notre échange sur nos ressentis. Je n’avais pas l’habitude de parler aussi franchement et ouvertement de mes ressentis mais c’était peut-être la maturité et la différence avec les filles de mon âge
- Tu veux bien nous resservir du champagne mon prince ? Ca va peut être nous faire tourner la tête mais j’ai envie de profiter de ce moment et si ça peut te faire déculpabiliser j’étais aussi très excitée même si je sentais bien que tu avais besoin de te libérer depuis le temps que tu étais à l’étroit dans ton short
- Vous êtes merveilleuse Julie, vous me faites énormément d’effet je n’ai jamais été aussi troublé et sensible à une femme ! Je ressentais un soulagement, cet échange direct et l’effet du champagne commençait à me désinhiber
Je remplissais notre 2ème verre tout en repensant à ce moment qu’on évoquait, quand elle masturbait mon sexe contre ses fesses. Nnous étions intime mais je ressentais cette retenue érotique et sensuelle. Je découvrais pour la 1ère fois l’intimité avec une femme mure, une femme d’expérience qui sait donner du plaisir sans faix semblant, sans jeu ni calcul
- Tu sais Titouan, je ne me serai jamais cru capable de faire ça mais parfois le désir amène à se surprendre soi-même ! Concluait-elle en me remerciant avant d’entamer sa 2ème flûte de champagne
Je la regardais, son décolleté dévoilait le sillon profond de sa poitrine, sa robe marquait ses hanches, ses cuisses dévoilées, ses bras potelés et son visage plein de charme et de douceur, je sentais mon sexe réagir et se comprimer dans mon jean. Même si c’était moins visible qu’en short je ne m’inquiétais pas, je savais qu’elle devait s’en douter et ne s’en offusquerait pas. Je la regardais sans détour, on buvait silencieusement, le désir nous enveloppait, nos regards se croisaient, un sourire attendrissant sur ses lèvres me laissait comprendre son envie. Elle se bougeait sans changer de position, je me rendais compte moi aussi de ces mouvements que l’excitation me provoquait
Julie reposa sa flûte, elle s’avançait vers la table, sans rien dire enleva ses escarpins avant de replier ses jambes sur le canapé, laissant sa robe découvrir naturellement le haut de ses cuisses. En me regardant elle tendit le bras vers moi en disant 
- Viens !
Sans répondre je posais mon verre à mon tour et attrapais sa main. Elle m’attirait vers elle en accompagnant ma tête dans le creux de son ventre. Je me laissais faire sans résistance et posait me posait sur ses cuisses contre son ventre douillet, laissant mes jambes repliées sur le bord du canapé
- Installe toi bien Titouan, tu peux poser les pieds sur le canapé ne t’inquiète pas si tu veux enlever tes chaussures aussi tu seras mieux ! Ajoutait-elle de sa voix douce
Je quittais à regret son ventre douillet juste le temps d’enlever mes chaussures et revenir me pelote dans ce nid douillet qu’elle m’offrait
- Tu es bien comme ça mon bébé ! Disait-elle en me regardant contre son ventre, commençant à caresser mes cheveux
- Oh oui Julie je suis trop bien ! Répondais-je en levant les yeux vers elle tout en passant mon bras autour de sa hanche. Elle ria légèrement en m’entendant en reprenant ses caresses sur mon crâne
Mes doigts pouvaient sentir la couture de sa culotte sous sa robe et les douces rondeurs de ses formes. Elle me parlait la tête penchée vers moi, chuchotant presque mais j’entendais sa voix qui me disait
- J’ai envie de rester comme ça un moment, de te regarder en caressant ton visage mon bébé, te sentir contre mon ventre
Je ne disais rien, je fermais les yeux en savourant ses caresses plus maternelles que sexuelles, ses doigts se faufilant dans mes cheveux. Je vivais l’instant, laissant ma main caresser sa hanche, sentant la douceur de sa robe qui couvrait son corps. Elle se pencha pour m’embrasser le crâne, je posais sentir sa poitrine venir se comprimer contre ma tête. Ma main la caressait au même rythme que la sienne, je sentais sa cuisse se découvrir au fur et à mesure de mes caresses
Je fermais les yeux, ses caresses se faisaient plus insistantes, plus appuyées, allant de mon crâne jusqu’à mon cou. Son index suivait l’intérieur de mon col de chemise finissant par se faufiler petit à petit dans l’ouverture. Sa main retrouvait son index pour venir caresser ma peau par l’ouverture de ma chemise, après quelques aller-retour, ses doigts se recroquevillaient sur le premier bouton fermé, cherchant à l’ouvrir pour descendre sur mon torse et caresser mon pectorau. Ses mains étaient douces, ses caresses lentes, progressives, et si sensuelles qu’elles me provoquaient des frissons faisant pointer mes tétons. 
Ma main suivait le cadencent de ses caresses, posée sur sa hanche, s’allongeant jusqu’au galbe de sa fesse. Sa robe glissait sur sa peau au fur et mesure des passages entre sa hanche et sa fesse, mes caresses descendaient sur sa cuisse découverte, ma main se hasardait sur sa peau douce, tout comme la sienne à l’intérieur de ma chemise. Le bout de mes doigts s’insinuaient sous le tissus jusqu’à rencontrer l’élastique de sa lingerie. Mon doigt suivait  la frontière jusqu’à sentir ses fesses couvertes par le fin tissus, se perdant sur l’arrière de ses cuisses pour longer sa culotte et remonter sur son autre fesse. Mes doigts dessinaient ce chemin de bout en bout, lentement, sensuellemment en même que les siens allant de mon torse à mon épaule  
Elle déboutonnait un autre bouton pour glisser sa main jusqu’à mon ventre, remontant en massant mes pectoraux l’un après l’autre, écartant délicatement le tissus en polissant l’arrondi de mon épaule. Je gardais mes yeux fermés, je ne la voyais plus, je la sentais si proche, si fusionelle, aucun son ni paroles superflues ne venaient troubler ce moment d’intimité, on entendait distinctement  le bruissement de nos caresses et le frottement de nos vêtements sur nos mains. On s’offrait ce mélange enivrant de tendresse révérencieuse et d’intimité retenue, chez elle, sur son canapé sans crainte d’être dérangés par quiconque. Nos caresses gardaient une réserve, pour ma part le respect de son âge et la découverte de sa maturité, pour elle, je devinais sa retenue pour ce que je représentais à ses yeux, un jeune homme ayant l’âge d’être son fils. Je ressentais l’harmonie de nos pensées, de nos caresses explorant les recoins encore inexplorés. Nous savourions ensemble l’érotisme de l’instant, comme si nous voulions d’un comme accord le faire durer
Je remontais sur sa hanche, sentant le bout de mon majeur glisser sous l’élastique de sa culotte, rejoins par mes doigts, ma main remontait sous sa culotte pour sentir sa peau, descendre sur sa fesse jusqu’à rencontrer le sillon de ses fesses. De sa main, elle écartait ma chemise, comme pour laisser plus d’espace à ses caresses qui parcouraient mon torse, allant jusqu’à mon aisselle où ses doigts s’attardaient. Mes doigts s’arrêtaient sur sa raie des fesses, la dessinant du bout des doigts jusqu’à cette petite grotte sombre qui se formait au bas de son sillon. Mes doigts palpaient avec curiosité et délicatesse cet endroit si intime où je sentais ses poils pubiens qui remontaient à l’intérieur de sa raie.
Elle se pencha sur moi, je sentais ses lèvres se poser sur ma tempe et venir s’ouvrirent dans le creux de mon oreille, je contractais mes épaules en savourant ses petits baisers qui s’interrompaient pour l’entendre à mon oreille
- Tu veux qu’on aille dans ma chambre mon Titouan ?
J’ouvrais les yeux en tournant mon regard vers elle, abasourdi comme je ne revenais pas de ce qu’elle me soufflait à l’oreille. Elle répétait tout bas en s’approchant de ma bouche 
- J’ai envie qu’on aille dans ma chambre mon bébé ! Et déposait un baiser sur mes lèvres
J’étais circonspect et sans voix en l’entendant me répéter son envie, d’un air embrumé par nos caresses je répondais à son baiser à mon tour en disant 
- Oui j’ai envie Julie, vous me faites vivre un vrai fantasme Julie ! Elle souriait en soupirant avant d’ajouter
- Je crois que tu m’as entrainé dans ce fantasme Titouan ! Se contentait-elle de rajouter en se redressant laissant sa main posée sur ma tempe. Mon coeur battait fort en l’entendant, je vivais des émotions plus que fortes ces derniers jours mais l’entendre me dire ça, me faisait littéralement chavirer !
Elle déplia ses jambes en prenant ma main qui restait collée à ses fesses, m’incitant à la suivre
- On prend le champagne avec nous ? Elle attrapait sa flûte au passage sans attendre ma réponse
Je prenais la mienne, lâchait sa main pour m’emparer de la bouteille avant qu’elle prenne mon bras en se dirigeant d’abord vers la terrasse. Elle s’arrêta au niveau de la baie en me tendant son verre
- Je vais fermer la baie vitrée quand même, personne ne vient mais on sait jamais
Je la regardais dans sa robe tout en remplissant sa flûte puis la mienne. 
- A nous mon prince, à notre rencontre et ces moments de douceur, tu me dévergondes tu sais ! Enchainait-elle en levant sa flûte pour la faire tinter contre la mienne
- A nous Julie, à votre anniversaire et ces inoubliables moments en votre compagnie
- Peut-être que tu me tutoyer maintenant Titouan tu ne crois pas ? je me sentirai moins décalée par rapport à toi
- C’est comme vous … pardon ! comme tu préfères Julie, je risque de me mélanger mais je vais essayer
-  Tu fais comme tu as envie Titouan, je trouve ça charmant aussi ce vouvoiement alors reste naturel
Nous restions sur le pas de la terrasse en buvant notre 3ème flûte, la bouteille était pratiquement vide. Nos regards se portaient alternativement sur l’extérieur et des oeillades en se souriant, chacun dans nos pensées on dégustait l’instant quand elle me posa la question naïvement 
- Tu penses à quoi Titouan ? 
Instantanément je répondais
- Je pense à ce moment présent et ces derniers jours où je vous connaissais pas encore, tout ce que vous représentez pour moi … arfff ! Tout ce que tu représentes pour moi ! Me reprenais-je, ayant du mal à la tutoyer
- Ne t’embêtes pas à me tutoyer si tu n’as pas l’habitude, ça viendra peut-être quand nous .. nous serons plus intimes ! Elle hésitait cherchant la manière de dire les choses mais j’avais compris le sens de ce qu’elle voulait dire
- D’accord Julie, vous avez raison ça viendra mais je me sens plus à l’aise en vous vouvoyant ne m’en voulez pas
- Ca ne me dérange pas Titouan je trouve ça troublant même pour tout te dire ! Elle me regardait en mimant une posture hautaine et se mettait à rire en voyant ma réaction
Je lui souriais sans rien répondre, voyant sa flûte presque vide, je finissais la bouteille en partageant le reste de champagne
- Oh je vais être pompette Titouan, une bouteille à 2 ça me tourne la tête mais tant pis je passe un moment délicieux mon prince et puis c’est mon anniversaire !
- Moi aussi je crois j’ai pas l’habitude de boire du champagne à cette heure mais c’est votre … ton anniversaire … Oh et puis zut ! j’abandonne le tutoiement, vous m’en voudrez pas ? moi aussi ça me trouble et encore plus que vous Julie
Elle me regardait d’un air amusé, ses yeux brillait je la sentais taquine, coquine même. Elle se collait à moi comme si elle me cherchait, je la sentais joueuse et presque autant excitée que moi. Elle baissait le regard en m’inspectant presque avant d’ajouter de but en blanc
- Mes fesses te font toujours autant d’effet j’ai l’impression ! Ses yeux restaient fixés sur mon jean, elle pouvait bien évidemment constater la bosse qui me compressait
- Comment avez-vous deviné Julie ! Je rentrais dans son jeu en confirmant d’un air penaud ce qu’elle me disait avec tant de légèreté
- Alors tu as toujours envie que je te montre ma chambre mon prince ? Sans attendre ma réponse, elle rentrait dans la maison en attendant que je passe pour refermer la baie vitrée
Je m’exécutais sans broncher, terriblement excité par cette complicité qui s’installait, je savais que le moment qui suivrait me laisserait des souvenirs qui resteraient pour toujours et que je sortirai grandi de cette soirée d’anniversaire chez Julie
Julie me prenait la main en se dirigeant vers les escaliers, nos flûtes étaient vides et nous avions déjà assez bu. Arrivée au pied de l’escalier elle s’arrêta un moment, je la sentais hésitante et sans dire plus elle se pencha passant ses mains sous sa robe en faisant glisser sa culotte jusqu’à ses chevilles et finir par la retirer devant moi. Je restais médusé, ravalant ma salive je la regardais
- Je crois que tu fantasmes beaucoup sur mes fesses non ?! Osait-elle dire avec sa culotte dans la main
- Oh oui Julie ! Enfin pas que vos fesses mais depuis le 1er jour sur la plage oui elles me font fantasmer
Elle me souriait d’un air conciliant et tendre comme si elle avait envie de découvrir mes fantasmes pour les réaliser
- Suis moi mon prince, ma chambre est là-haut ! Elle m’emboitait le pas commençant à monter les premières marches en attendant que je la suive
Après quelques marches, elle passa ses mains sur ses fesses et souleva sa robe sachant que j’étais à 2 marches derrière, elle m’offrait son fessier mature et charnu qui ondulait langoureusement en montant les escaliers jusqu'à sa chambre ...
A suivre ... (Scène 14 le 2 avril 2024 à 6h00)
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e642 · 11 months
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Dernièrement, tout m'insupporte. J'ai pas de second degré parce que ça me fait pas rire. Je vais à la confrontation, je prends tout sur la défensive. Sois je rentre dans une conversation et je sais que je vais m'embrouiller avec quelqu'un, sois j'y rentre pas. Chaque truc que je trouve bête, déplacé, maladroit me donne envie d'exploser. Si on se comprend pas sur un truc, j'ai même pas envie de prendre le temps de clarifier, je fais juste moi même. J'en ai marre de répéter des trucs à des gens qui s'en cognent. Si tu me reposes 2 fois la même question, je juge que tu m'écoutes pas, j'arrête de parler. J'ai l'impression que tout le monde se fout de ma gueule en fait. Ça me fatigue d'avoir cette sensation de parler dans le vent, d'être un joli petit moulin que tout le monde alimente de bourrasques. Oui ya de la paranoïa et certainement de l'impatience de ma part mais elle me ronge cette sensation constante de perdre mon temps. On me demande mon avis, de me justifier, de raconter ma journée, de communiquer, de m'impliquer et pourtant je me sens cruellement évincée et dispensable. Ça faisait quelque temps que ça n'avait pas été autant.
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renouveau-2024 · 5 months
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1er février 2024 :
J-225 avant événement surprise.
J-20 avant rdv médical.
Je vais me présenter .
Il y a 6 ans, je faisais 84kgs. Je n’arrivais plus a monter les escaliers sans être essoufflée, la bouffe était obsessionnelle. Je n’étais pas bien dans ma peau. J’avais des points dans la poitrine au moindre effort.
J’ai alors décidé de consulter mon médecin traitant. Pendant des années, j’ai été malade sans savoir a quoi c’était dû.
Lors de cette consultation, elle me fait faire des examens. Suite à cela, on découvre une stéatose. Les organes qui sont entourés de graisses. Elle me dit donc que, pour elle, la solution est que je perde du poids.
Je rentre chez moi et décide donc de me prendre en main. Quelques jours plus tard, je commence un rééquilibrage alimentaire, la chrononutrition plus précisément. Je choisis la méthode starter.
Les premiers jours sont très difficiles. Difficile de se restreindre quand on a pris l’habitude de toujours manger.
Au bout d’un mois, je retourne voir mon médecin. Et là, elle me dit „qu’est-ce que tu as fait? Tu ne manges plus!“
Alors je lui réponds que si je mange, mais plus de la même façon. Il est vrai qu’à ce moment-là, j’affichais -8kgs sur la balance. Je m’étais affinée.
En 2 ans, j’ai perdu 40 kilos. De février 2018 à mai 2020, je suis passée de 84kgs a 44kgs (mon poids d‘avant-grossesse).
Je suis quelqu’un d‘omnubilée par son poids. Je souffre de tocs (pesée 15 à 20 fois par jour lors de grosses crises).
Je reprends aujourd’hui la chrononutrition car la vie a fait que j’ai repris du poids. Je suis aujourd’hui a 69,4kgs.
Je vous souhaite à toutes et tous une bonne journée.
E.
*** Il faut savoir que je suis maman de 6 enfants, mamanges de 2 🕊🕊. Ils ont entre 20 ans et 6 ans.
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kamomille9 · 1 year
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Fanfic Pendranièvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 2
Bonjour, j’ai oublié le disclaimer à l’écriture du premier chapitre donc le voici ! 😉
Voici le lien pour ceux qui ont loupé le chapitre 1 : https://www.tumblr.com/kamomille9/713215415776575488/fanfic-pendrani%C3%A8vre?source=share
Disclaimer : Je ne possède aucun des personnages de l’univers de Kaamelott et d’Alexandre Astier et ne touche aucune rémunération pour l’écriture de cette fanfiction.
Chapitre 2 : La Confrontation
Arthur Pendragon était d’une humeur massacrante. Ce n’était pas en soit bien nouveau mais la nuit dernière avait été un peu particulière… À la suite de sa confrontation avec sa femme, il n’avait pas osé retourner dans leur chambre de peur de devoir subir ses pleurs et ses cris. Car, même si elle avait été étonnamment modérée lorsqu’elle les avait découvert, il se doutait que sa retenue ne durerait pas bien longtemps. C’est ainsi qu’au petit matin, il retourna dans leur chambre afin de se changer. Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant la chambre vide ! Il fit plusieurs fois le tour de la pièce avant d’intégrer complètement l’absence de son épouse. Finalement, il haussa les épaules et commença à se préparer pour une nouvelle journée.
Le Roi ruminait les évènements de la nuit depuis des heures, repensant au regard digne de sa femme lorsqu’il lui avait balancé à la tronche qu’elle n’était rien… Il savait que les mots lui avaient manqué à ce moment précis mais il n’avait rien trouvé à dire de plus… Depuis 15 ans, il s’évertuait à tenir Guenièvre aussi éloignée de lui que possible. Il était désagréable, moqueur et aussi colérique qu’il le pouvait avec elle afin qu’elle ne se sente pas attirée par lui. Il avait vu que c’était peine perdue puisque malgré ses remontrances et les disputes qu’il provoquait souvent pour un rien, il avait remarqué les regards toujours timides qu’elle lui lançait depuis le jour de leur mariage. S’il devait être complètement honnête avec lui-même, il avait, en de rares occasions, les mêmes regards à son encontre… Lorsqu’elle portait une jolie toilette la mettant en valeur, lorsqu’elle souriait sincèrement pensant que personne ne la voyait ou encore la nuit dernière quand elle s’était tenue devant lui. Elle ne lui avait jamais paru aussi belle et forte. Un aplomb digne d’une vraie Reine.
Maintenant, le voilà déambulant dans les couloirs vers la salle du petit-déjeuner pour éviter de le prendre avec sa femme au cas où elle reviendrait dans leur chambre. Il croisa alors le Père Blaise qui semblait visiblement le chercher.
_ Ah bonjour Sire, vous tombez bien !
_ Bonjour… Qu’est-ce qu’il se passe encore ? demanda le roi en levant déjà les yeux au ciel.
_ Je… J’ai vu votre femme ce matin… avoua-t-il en regardant autour de lui avec méfiance.
_ Ma femme ? Oui… et alors ? Quoi ma femme ?
_ Elle est venue me trouver dans la salle des archives me posant des questions pour l’une de ses amies…
_ Une amie ? répéta Arthur, qui savait pertinemment que Guenièvre n’avait aucune amie digne de ce nom, hormis sa bonniche.
_ Oui… Elle voulait savoir comment faire pour annuler un mariage…
Si le roi était surpris, il tenta de le cacher autant que faire se peut. Il ne pouvait bien entendu rien laisser paraitre devant le Père Blaise mais une légère angoisse commença à se former au niveau de sa poitrine.
_ Poursuivez, réussit-il à dire en fronçant encore d’avantage ses sourcils noirs de jais.
_ J’ai réussi à trouver le texte de loi en question et lui ai prêté pour la journée. Je me suis juste permis de vous écrire la liste des éventuels cas pouvant entrainer l’annulation d’une union…
Le cureton tendit alors au roi un petit parchemin révélant les fameux cas en question. A la lecture de cette liste, le roi ferma les yeux en soupirant bruyamment.
_ Même si l’un ou plusieurs de ces cas se trouvaient exacts, il n’existe aucune preuve pouvant étayer de leur véracité…
_ Pour l’un oui mais pour l’autre… se permit de couper le Père Blaise.
_ Comment ça pour l’autre ? Quel autre ?
_ Si la dame en question pouvait, par l’intermédiaire d’un examen gynécologique, prouver l’état de sa vertu…
Arthur leva soudainement sa main afin d’interrompre le prêtre avant qu’il ne finisse sa phrase. Le Roi donnait bien le change mais intérieurement il crevait de trouille… Il avait peut-être poussé le bouchon un peu trop loin cette fois… Il jeta alors un dernier regard au Père Blaise avant de se diriger vers l’extérieur, ou plus précisément vers le laboratoire de Merlin. On pouvait dire ce qu’on voulait sur lui, il connaissait sa femme… Il était impensable qu’elle laisse un inconnu pratiquer ce genre d’examen sur elle. Merlin était le mieux indiqué au sein de ce château pour l’effectuer.
Arrivé à destination, il toqua brutalement à la porte avant d’entrer sans plus de sommation.
Chacun devant leur chaudron, les deux mages relevèrent la tête de leur ouvrage.
_ Bonjour Sire…
_ Oui, oui, c’est ça bonjour… Avez-vous vu ma femme ce matin ?
Les deux enchanteurs se regardèrent de nouveau brièvement avant de lui jeter un regard plein de reproches.
_ Qu’est-ce que vous lui avez encore fait ? demanda Merlin d’une voix triste.
_ Là n’est pas la question ! Je vous demande si vous l’avez vu !
_ Oui nous l’avons vu et permettez-moi de vous dire que, si, là est toute la question justement ! s’exclama Elias avec audace.  
_ Cela ne vous regarde pas !
_ Ah pardon Sire ! Mais quand la Reine vient vous voir pour nous demander de pratiquer un examen des plus intimes pour prouver sa virginité, je pense que ça nous regarde un minimum !
_ Parce qu’en plus vous l’avez fait tous les deux ?!
_ On est censé travailler en équipe je vous signale ! Et Elias a pu confirmer mes résultats grâce à deux ou trois sortilèges, inoffensifs pour la Reine… Nous lui avons donné un document signé de nos mains attestant de nos conclusions…
_ Vous voulez le voir ? Quoique mon petit doigt me dit que vous connaissez déjà le résultat de cet examen, demanda Elias avec le ton le plus sarcastique qu’il pouvait exprimer.
_ Non c’est bon ! Et alors ? Qu’est-ce que ça peut bien faire ?
_ Ça peut faire que la Reine en avait peut-être assez d’attendre que vous manifestiez de l’intérêt pour elle, rétorqua Merlin en tapant du point sur la table.
_ Quinze ans que le royaume attend un héritier et que la Reine s’en prend plein la tronche parce qu’il n’arrive toujours pas ! Et avec votre réputation, personne ne pouvait se douter qu’en fait vous ne l’aviez jamais touchée, ajouta Elias.
_ La pauvre n’y est pour rien si vous ne voulez pas la toucher ! Pourquoi lui infliger cette torture alors que tout ce qu’elle voulait c’était votre bonheur à vous ? Si vous ne l’aimez pas mais que vous ne vouliez pas annuler ce mariage vous-même, pourquoi ne pas lui avoir accorder la seule chose à laquelle elle aurait pu se rattacher : un enfant, votre enfant ?
Arthur se contenait pour ne pas exploser de colère. Tous les membres de son corps tremblaient et il n’avait rien à dire pour sa défense… Il le savait, il savait tout ça mais la promesse qu’il avait faite il y a quinze ans l’empêchait de faire le geste dont sa femme avait désespérément besoin… Sans leur accorder le moindre mot, il fit volte-face et sortit du laboratoire en claquant fermement la porte derrière lui. Merlin et Elias se regardèrent à nouveau. Cette journée ne pouvait pas bien se terminer…
Le Roi devait trouver sa Reine. Il remonta donc au château et fila directement dans leur chambre. Elle avait obtenu ce qu’elle voulait quelle serait maintenant sa prochaine étape ? Arthur avait peur rien que d’y penser… Il croisa plusieurs de ses chevaliers sur le chemin mais les ignora complètement. Lorsqu’il arriva finalement devant la pièce, il entra en trombe, balançant la porte dans la tronche de Perceval qui passait là par hasard.
Elle était là. Pliant une robe avant de la mettre dans le sac posé sur le lit devant elle. En l’entendant entrer, elle avait relevé la tête mais n’avait pas prononcé un seul mot.
_ Je peux savoir ce que vous fabriquez ?
_ Vous êtes aveugle ou quoi ? Je fais ma valise.
La froideur de Guenièvre ne fit pour autant pas reculer le roi qui, au contraire s’avança vers elle.
_ Pour aller où ?
_ Depuis quand ça vous intéresse ? Ce que je fais, où je vais… En quoi ça vous intéresse maintenant ?
_ Qu’est-ce que vous trafiquez à la fin ? Pourquoi avoir demander au Père Blaise un texte de loi sur l’annulation d’un mariage ? Et pourquoi avoir demandé à Merlin et Elias un examen gynécologique ?
Si elle était surprise qu’il soit déjà au courant, elle ne le laissa pas paraître, peu lui importait en vérité.
_ Pour quelqu’un qui me traite de gourde et d’idiote depuis quinze ans, il est surprenant que vous n’ayez pas encore compris où je voulais en venir.
_ Pourquoi vous voulez faire annuler notre mariage ? A cause de ce que vous avez vu hier soir avec Mévanwi ? Je ne suis même pas allé jusqu’au bout avec elle !
_ Vous n’êtes pas allé jusqu’au bout avec moi non plus, qu’est-ce que ça change ?!
Arthur resta interdit un instant. Elle ne le regardait même pas quand elle parlait, continuant de rassembler ses affaires dans un petit sac en toile beige.
_ Qu’est-ce que vous voulez à la fin ? Des excuses ? D’accord je m’excuse, je n’aurais pas dû approcher la femme d’un chevalier, c’était stupide ! Satisfaite ?
_ Vous savez, j’ai toujours admiré votre noblesse. Je vois bien comment vous vous tuez à la tâche pour votre royaume, votre peuple. Je sais ce que ça vous coûte d’écouter tous ses clampins qui vous épuisent toute la journée mais vous le faites parce qu’au fond vous les appréciez. Vous voulez les aider, vous voulez trouver ce foutu Graal et apporter la lumière à tous les peuples. Je me suis sentie honorer au début de notre mariage de pouvoir vous aider ne serait-ce qu’un peu en acceptant que vous vous plaignez tous les soir dans notre lit de vos journées et de vos chevaliers. Je n��ai rien dit encore lorsque les maîtresses ont commencé à s’accumuler alors que je n’avais même pas eu le droit à un simple baiser le jour de notre mariage. J’ai accepté que vous me traitiez de gourde sans me donner ne serait-ce que l’opportunité d’apprendre à vos côtés. Je suis trop idiote et trop moche pour que vous ayez envie de m’accorder ne fusse qu’un peu de gentillesse plus d’une fois par an. Mais aujourd’hui, après toutes les lois que vous avez abolies et créées pour améliorer le pays, vous n’êtes même pas capable de respecter l’une d’entre elle…
_ Guenièvre…
_ Je ne me sens plus à même de vous soutenir quand je sais jusqu’où vous êtes prêt à aller pour obtenir quelque chose que vous pensez vouloir… Je ne peux plus accepter d’être humiliée jour après jour, année après année en sachant que jamais vous ne m’aimerez comme moi je vous aime. Je préfère partir… Vous serez enfin libre de retrouver une épouse qui vous conviendra sur tous les plans et…
_ J’ai obtenu le trône parce que j’ai accepté de vous épouser ! Les différents clans de ce royaume se sont finalement unifiés grâce à notre mariage. Si vous l’annulez, tout foutra le camp ! Les clans ne me soutiendront plus et vous le savez ! Alors arrêtez votre petit jeu, je vous assure que j’ai bien retenu la leçon je ne suis pas près de recommencer…
_ Au bout de quinze ans, les clans sont unifiés et en paix. Ce n’est certainement pas l’annulation de notre mariage qui changera ça ! Les clans auraient beaucoup trop à perdre en renversant votre gouvernement et ils le savent ! Ma présence ici en tant que Reine ne change plus rien désormais… Vous trouverez une autre femme, d’un autre clan qui fera aussi bien l’affaire que moi, si ce n’est mieux !
_ Et vos parents ? Vous pensez qu’ils accepteront bien sagement de ne plus être mes beaux-parents ?
_ Mon père est votre principal conseiller et votre chef militaire. Il ne pourra jamais obtenir une plus haute fonction que celle-ci et il le sait ! De plus, je lui rappellerai les termes de notre accord pour lesquels j’ai accepté de vous épouser…
_ De quoi vous parler ? Quels termes ?
_ Je n’avais pas envie de vous épouser. Mes parents voulaient que je devienne Reine mais je n’ai jamais eu cette ambition ! Ils m’ont harcelé pendant des semaines avant que je finisse par céder à une seule condition : celle de partir avec mon époux et de vivre avec lui loin d’eux !
Arthur se retrouva une nouvelle fois à court de mots. Jamais personne ne l’avait informé de cette condition. Il pensait que sa femme l’avait épousé par intérêt politique alors qu’en fait…
_ Vous aviez raison. Je vous ai épousé par intérêt… Mais pas l’intérêt auquel vous pensiez… Et quand ensuite je vous ai rencontré trois jours avant notre mariage, je me suis dit que ça pouvait peut-être marcher… Vous sembliez sérieux voir triste mais aussi très doux… Alors j’ai pensé…
Guenièvre secoua vivement sa tête sans finir sa phrase. Elle prit ensuite sa brosse à cheveux, son vieux peigne et quelques rubans avant de finalement fermer son sac. Elle le mit en bandoulière avant de se diriger vers la table, prendre les parchemins et les tendre vers Arthur.
_ C’est vous qui m’avez épousé uniquement pas intérêt politique pas l’inverse ! Alors, voici le texte de loi sur l’annulation d’un mariage ainsi qu’un exemplaire des résultats de mon examen signé par Merlin et Elias. Je n’ai besoin de rien d’autre. Même pas de votre signature ou de votre accord et à partir de maintenant je ne suis ni Reine, ni votre femme.
Arthur prit entre ses mains les deux parchemins qui déjà lui brulaient les doigts.
_ Vous croyez sincèrement que vous pouvez partir comme ça ? Vous pensez que je vais vous laisser faire ? tonna Arthur alors que sa respiration se faisait de plus en plus difficile et douloureuse.
_ Cela peut se passer de deux façons complètement différentes. La première : vous me laisser partir sans esclandre et vous n’entendrez plus parler de moi. Le deuxième : vous me retenez contre mon gré et je puis vous assurer que demain tous les nobles, tous les chevaliers, tous les serviteurs et tous les pécores du royaume sauront qu’après toutes ces années, preuve à l’appui, je suis toujours vierge et la question de l’héritier ne vous quittera plus jamais !
Le Roi était à court d’idée. Elle avait tout prévu, avait méticuleusement réfléchi à toutes les éventualités et il était à présent au pied du mur.
_ Où irez-vous ? finit-il par redemander en soupirant tristement.
_ Cela ne vous concerne pas ! Je ne suis plus votre femme, je n’ai pas à vous informer de mes faits et gestes, qui, je le répète, ne vous ont jamais intéressé jusqu’à présent !
Arthur se souvint alors du message que Bohort avait porté à sa femme plus d’un mois auparavant…
_ Allez-vous rejoindre Lancelot ?
_ Lancelot ?! Mais pour quoi faire ?
_ Ne faites pas l’innocente ! Je sais qu’il est amoureux de vous ! Je suis au courant du message que vous a transmis Bohort !
Il vit alors sa femme secouer doucement la tête avec une tristesse infinie. Qu’est-ce qu’il ne comprenant pas ?
_ Alors vous savez aussi que c’était il y a plus d’un mois maintenant et que si j’avais vraiment eu envie de rejoindre Lancelot j’y serais déjà à l’heure qu’il est ! Je suis restée pour vous car la grosse gourdasse que je suis avait encore un peu d’espoir… Quel serait l’intérêt de quitter un homme que j’ai aimé pendant plus d’une décennie pour aller retrouver un homme que je ne suis même pas sûre d’aimer ? J’ai besoin de plus de certitudes ! J’ai besoin d’être aimée mais aussi d’aimer en retour !
Elle avait réussi à définitivement lui clouer le bec. Il aurait voulu lui dire qu’il pouvait l’aimer lui mais ce serait mentir car il savait que sa promesse le rappellerait à l’ordre. Il finirait forcément par revenir à la promesse faite par Aconia… Arthur se détestait de privilégier une femme qui l’avait abandonné à la première difficulté plutôt qu’une épouse qui était restée malgré son attitude pendant des années. Ah, il était beau le Roi de Bretagne… Incapable d’accorder à Guenièvre ce qu’elle était légitimement en droit d’avoir de lui. Il ne reconnaissait qu’en cet instant qu’elle était beaucoup plus digne d’être aimée par lui qu’Aconia ne l’avait jamais été.
_ Je vous ai…
_ Adieu Sire.
Sur ces deux derniers mots, Guenièvre franchit la porte de ce qui fut leur chambre. Le Roi Arthur, quant à lui, était figé sur place. Incapable de se retourner alors qu’une unique larme coulait le long de sa joue.
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10/12
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Après avoir assisté à un nième monologue de notre gentil mais épuisant logeur, nous décidons de suivre ses conseils et d'aller au centre culturel. Touille mène la charge, qui nous emmène... Dans une reprise de la Japan Expo version chilienne.
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Dr Rathatton decide de remonter le niveau et nous traine dans un endroit frais, silencieux, et calme ... le grand cimetière central. Oui, vivre à Paris vous pousse à apprécier des endroits forts etranges. Toujours est il que nous y découvrons qu'il y a énormément de concessions groupées, notamment pour les pompiers de la ville. On s'est demandés si cela veut dire qu'ils ne sont pas enterrés avec leur famille, et la question reste entière.
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Nous prenons ensuite le bus, où le règlement implicite stipule qu'il est interdit de descendre à l'arrêt. Après nous être réceptionner dans un rouler-bouler, Dr X nous fait passer de colline en colline, entretenant mon "développement mollesque" (qui contrairement à ce qu'on pourrait imaginer, ne se rapporte pas à mes poignées d'amour, mais à mes magnifiques mollets saillants). Bon, sans surprise majeure, c'est de la ville, il fait chaud, on voit la mer treeeeeees loin, c'est pas extraordinaire.
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On continue quand même à voir du street art un peu partout, ça donne malgré tout un peu de charme à la chose.
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On arrive finalement sur un marché où Touille s'explose le bide à base de cerises super bonnes, puis d'un très bon ceviche, et nous repartons tout contents de cette dernière journée.
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Pour remercier Daniel et sa femme, qui nous accueillent une fois de plus chez eux ce soir (on a carrément les clés de la maison...), Dr Rathatton se met aux fourneaux et nous concocte des lasagnes à la ricotta SUPER BONNES (et c'était pas gagné vu la galère pour trouver les bons ingrédients dans le supermarché). Et Touille redéfonce des cerises, parce que c'est trop bon (et qu'à 1€ le kg, on ne va pas se priver).
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Demain, on devra abandonner Patochimbo à une agence (sauf si un acheteur se réveille dans la nuit, qui sait), et c'est l'avion... Qui on l'espère, décollera avec 24h de retard, nous permettant ainsi de gagner de précieux sousous. Dr X, sans nouvelle de son Rat depuis 2 semaines, a hâte de découvrir si celui-ci est vivant !
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J2▪️Wolfenbüttel - Liebenburg
29,2 km [52,5]▫️+340 m [+475]▫️23°C
Certes une longue étape mais bien plaisante : temps idéal, les trois-quarts du chemin dans la forêt au milieu des cerfs, des biches, des blaireaux et des sangliers, dont nous n’avons pas vu la queue d’un, bien sûr (et hélas), et un relief commençant à s’animer. D’ailleurs, l’horizon que nous découvrons en quittant le couvert de la forêt (non, ce n’est pas une cuillère en bois) nous révèle que ça ne fait que commencer et que quelques belles grimpettes s’annoncent pour nos futures étapes.
L’anecdote du jour : on a croisé une voiture de police tapie dans le chemin. Et alors ? Ben c’est tout… hormis que les policier·ère·s ont leur manche droite ornée d’un bel écusson avec un cheval blanc cabré sur fond rouge.
Ah, je vois un doigt qui se lève. Oui ? Pourquoi une si longue étape ? Et bien, vous ne croyez pas si bien dire car quand nous sommes arrivés, en fait, nous n’étions pas encore arrivés. Mais commençons par le commencement. Comme il n’y avait pas d’hébergement directement sur le chemin à une distance raisonnable de notre point de départ (Wolfenbüttel), la meilleure option était Liebenburg, où une charmante Gästehaus « Zur Post » avec un site web désuet offrait des chambres. Les « bikers » y étaient même bienvenus, c’est dire ! Je remplis donc le formulaire de réservation sur le site. On était mi-juin. Pas de réponse. Une semaine plus tard, j’envoie un mail à « Kontakt » et pas de réponse non plus. Début juillet, je me résous à les appeler. Je prépare mon speech en allemand avec mon traducteur en ligne favori. J’appelle et je tombe sur un répondeur. Je débite mon texte et demande à être recontacté. La date du départ approche et toujours rien. J’envoie un mail à Hubertus, mon collègue allemand, pour demander son intercession. Dans la journée il me répond qu’il a eu Osman au téléphone, qu’on aura une chambre mais qu’il ne faut pas arriver avant 15:00. Avec cette longue étape, pas de risque. Merci Hubertus ! On arrive à 16:16 devant cette typique Gästehaus devant laquelle bat au vent un super kakémono « Döner Kebab ». Ça promet et… c’est fermé. On sonne. Personne. On attend patiemment. Vers 17 heures, je vais voir la postière pour glaner des informations, des fois que…. La postière ? Et oui, ce n’est pas pour rien que la Gästehaus s’appelle « Zur Post » : il faut passer devant le Kebab pour accéder à la poste. Là j’apprends que 1) c’est fermé le lundi et que 2) la postière et Osman ne se sont jamais parlés… Ça sent pas bon c’t’histoire ! Va falloir activer le plan B car là, on est plan T ! Comme on est dans un pays civilisé, il y a un hôtel dans le bourg voisin, ils ont de la place, ils parlent anglais et me donnent le numéro d’un taxi. Lui ne parle pas anglais mais mon allemand est suffisant pour qu’à 18:06 et pour 20,70 €, nous arrivions au Ratskeller de Salzgitter et puissions enfin savourer une Pilsener bien méritée.
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ernestinee · 2 years
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Fin septembre c'est le moment où l'on a beaucoup de demandes, dans mon boulot.
Plusieurs prises en charge viennent de se terminer chez moi et tous les créneaux sont déjà remplis.
Cette année, mes nouveaux petits choux :
- Deux enfants atteints de troubles du syndrome autistique, 2 ans et 4 ans et demi. Ils viennent tous les deux d'un centre de dépistage de Bruxelles, où apparemment, une personne leur donne mon numéro de téléphone direct (c'est de notoriété que je vais rallonger mes journées au lieu de refuser un enfant, alors normalement il faut passer par le secrétariat, qui refuse à ma place qd la journée est complète, mais évidemment certains arrivent directement à me toucher) . Alors j'ai déjà vu le plus petit. Sa neuropediatre trouve qu'il ne devrait pas commencer la logo maintenant. C'est vrai qu'il marche depuis deux mois seulement, il est en expérimentation, il a monté et descendu un millier de fois la petite marche de mon bureau, il est encore instable. Oui mais d'un enfant censé avoir "3 mots de vocabulaire", on en a finalement trouvé une petite vingtaine, d'un enfant qui ne tient pas en place, il n'a montré des premiers signes d'agacement qu'après une heure, et en une petite activité, il répétait gâteau et pomme. Répéter, dans les troubles autistiques, c'est souvent synonyme de fête. Du coup ça m'ennuie un peu, parce que c'est une collègue dont l'avis est toujours précieux, mais je vais faire un bilan qui va à l'encontre de cet avis, et bosser avec le petit chou.
- Un enfant de 6 ans qui a une très mauvaise expérience de la logopédie (rééducation papier-crayon, parfois en même temps que d'autres patients, selon les parents), pour une rééducation qui paraissait habituelle, sur le papier. En pratique, c'est assez rare d'avoir déjà le CH et le J, mais pas le F tout en sachant souffler. Je suspecte un petit machin au niveau des praxies, ou un blocage physiologique. Il m'adore déjà, moi aussi, la vie est belle.
- Un enfant qui n'a plus droit au remboursement de la mutuelle, parce qu'il a déjà fini ses deux années de logo. Il débarque chez moi parce que ça ne va pas mieux. C'est normal que ça n'aille pas mieux, ses troubles de langage écrit sont la partie visible, et la logo précédente n'a travaillé que sur ça, sur l'orthographe. Mais cet enfant n'est pas un seau, c'est impossible de le remplir de mots et espérer qu'il retienne tout. Un bilan neuropsy, orthoptiste et un bilan grapho plus tard, et on a compris qu'il a une dyspraxie visuo spatiale. Il est en multiple tâche lorsqu'il doit se concentrer sur quelque chose qui est visuel et organisé. Genre écrire. Genre même représenter un dessin. Et pourtant il écrit. Alors ce qu'on voit c'est une orthographe difficilement phonétique, à 9 ans, et une écriture qui ressemble à celle d'un enfant de 6 ans. Du coup on va commencer par bosser le visuel et si les calculs sont bons, son orthographe devrait suivre sans qu'on n'y touche.
- Un enfant de 5 ans qui est totalement hypotonique de tout le visage, et apparemment la langue a suivi le mouvement. Du coup on ne comprend rien, les phonèmes consonantiques sont tous atteints un peu comme s'il avait une pdt chaude dans la bouche. Pire, il comprend très peu, voire pas du tout les nuances d'une phrase. Je crois que ça va être compliqué avec lui, même si on voit déjà quelques progrès après 4 séances (mais on partait de loin, et moi je ne les entends pas, ces progrès)
Cinq nouvelles petites plumes à diriger doucement, d'un souffle à l'autre, vers leurs apprentissages et leur autonomie.
Et pour apprendre le métier, j'ai cette année une stagiaire qui est un véritable moulin à paroles, on dirait qu'elle a toujours été là tant elle est à l'aise avec le matériel, les parents et les enfants. Encore une que je serai triste de voir partir fin décembre.
Ce travail est tellement une source de satisfaction ♥️
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tobiramamonmari29 · 2 years
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Point de vue temari :
Aujourd'hui, c'était une journée comme une autre au lycée sportif de suna, il faisait plein soleil, les oiseaux chanté, mon père et mes frères ne m'ont pas réveillé, et j'étais habillé de mon jeans préféré, rien de plus beau pour commencé un nouveau jours, mes amies sakura et ino ne sont pas aussi Bruyante que d'habitude, trop occupé à ce galoché, naruto traîné plus loin avec ses amis, le calme et la sérénité pour une fois, rien ne pouvais changé ça.
On est vendredi, donc bientôt le week-end, j'ai 4 heure de dessin, 1heure de français, 2 heures de sport, et ma dernière heure était géographique, puis à la fin des cours j'avais mon entraînement de pom pom girl, j'aime l'horaire du vendredi, je le trouve relaxant contrairement aux autres jours.
Mon cœur fit un bon ce vendredi la, vue que l'équipe de volley et de basket avait une compétition, on a était mise sur le terrain de foot ou les  filles du football féminin s'entraîner, j'étais sous le charme de cette fille, je crois qu'elle est la fille dont tout le monde parles, l'étrangère qui viens de kumo je crois.
Elle est juste magnifique, ses mouvements sont juste gracieux, ses étirements sont plus sexy qu'autre chose, je ne peux ne pas sourire bêtement, appart son corps de rêve, ses Cheveux roux me plaise, ses yeux de la même couleur sont attirant pourquoi je peux pas la voir de plus près putain, elle a un jolie visage aussi.
Sakura : Temari ça va ou quoi ?
Ino : je crois qu'elle mate une meuf de l'équipe de foot.
Temari : les meufs je crois que je mate le plus beau cul que j'ai jamais vue.
Ino : fais voir ?
J'allais montré à la blonde platine ma contemplation jusqu'à que sa petite amie la frappe.
Ino : aie sakura ça fais mal !
Sakura : tu mate les culs comme ça !?
Ino : roh ça va comme ci il y avait meilleur que le tiens.
Bien meilleur mais je préfère gardé cette douce pensé pour moi, le temps que Ino continue à flatté sa copine avec exagérations mes yeux traîna à nouveau vers cette beauté, je ne suis même pas si elle aime les filles, et je me permets de la maté comme ça honte à moi, mais les yeux ça sers à regardé et je regarde ce qui est beau c'est tout pas ma faute.
Sakura : alors c'est qui cette fille ?
Temari : celle qui s'étire... Waw elle a de magnifiques cheveux roux est-ce qu'il brille vraiment ou c'est moi ?
Ino : je crois que c'est toi.
Sakura : Waw c'est l'étrangére temari ta grave bon goût.
Ino : il paraît qu'elles sont des vrai chaudasse au lit je rougis à cela me cachent le visage
Temari : INO !
Je n'ai pas eu le temps de dire quoi que ce sois que la belle rousse arrive vers nous. Le visage en sueur et légèrement rougis merde c'est sexy.
? : je suis désolé de te déranger dit-elle en me regardant.
Temari : euh oui ?
? : tu es bien Temari...?
Temari : euh oui c'est moi.
? : je suis karui, je suis d'une classe en dessous de la tienne. Et tu m'as taper dans l'œil mes amies m'ont dit que tu me regardé j'ai donc pris l'occasion pour venir te voir.
Je ne savais pas quoi dire je retenais juste mon souffle.
Karui : c'est tout ce que j'avais à te dire. Du coup mon numéros appel moi, si un rencard t'intéresse.
Temari : ça m'intéresse.
Karui : j'attends ton appel alors.
Temari : je le ferais.
J'ignore ino et sakura, parce que putain ! Une meuf super sexy m'attends pour un rencard des que je rentre je l'appel.
Fin.
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corinneecrivaine · 1 year
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Willow Part 3 - Jade
Fanfiction
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Seule assise sur les rochers du Labyrinthe du Canyon où elle avait pour habitude de s’entraîner avec Kit, Jade observait l’immensité du royaume de Tir Asleen.
Elle avait grandit avec cette vengeance en elle de détruire ceux qui avaient assassinés sa famille, The Bone Reavers. Elle avait appris à canaliser toute sa colère dans le but de l’utiliser le jour où elle se retrouverait devant ces meurtriers. Mais sa vie entière n’était que mensonge.
Elle entendait encore les dernières paroles de sa mère : « Jade, cours !!!! ». Ces paroles qui n’avaient jamais quitté son esprit ni les terribles images de cette journée. Elle ne put abandonner sa mère et resta, assise aux côtés de son corps sans vie, en pleurs, tenant ses mains. Puis, au milieu des cadavres, elle le vit, cet homme en armure, s’approcher d’elle.
- N’aie pas peur.
Tout en douceur, il la prit dans ses bras. Cette voix et cette chaleur humaine qui l’enveloppait, l’apaisa et la réconforta. Se sentant en sécurité, elle ferma les yeux et sombra dans le sommeil.
L’enfance de Jade se passa à nettoyer les écuries, s’occuper des chevaux et se battre afin de se faire accepter dû à sa différence dans un monde qui n’était pas le sien. Jusqu’au jour où elle fit cette rencontre qui changea sa vie.
La petite Kit comme à ses habitudes, s’amusait avec son frère en dehors du palais, au moment où elle vit une fille étrange se battre avec les garçons du royaume.
Kit : Qui est-ce ?
Airk : On dit que c’est une sauvage. Elle ne laisse personne l’approcher.
Kit : Il faut l’aider.
Airk : Non ! Kit attends !
Trop tard, la petite princesse était déjà partie pour défendre cette fille étrange.
Kit : Laissez la tranquille !!!!
Tout le monde se mit à rire et continua la bagarre.
Kit : Je suis Kit Tanthalos, ma mère est la reine !
Tous se figèrent et partirent en courant.
Airk : Oui c’est ça fuyez !!!!
Jade : Je n’ai pas besoin d’aide. J’aillais tous les massacrer !!!
Kit : Ce n’est pas ce que j’ai vu !!!!
A l’instant même Ballantine arriva. «Jade ça suffit. Excuse-toi auprès de la princesse !!!»
Jade : Mais…
Le regard de son mentor, suffisait à la faire céder.
Jade : Pardon.
Ballantine : Vas m’attendre aux écuries. Quant à vous 2 je vous ramène au palais.
Sorsha ne cacha pas sa colère : Qu’est ce qui vous a pris !!!
Kit : Ils se moquaient d’elle !!! Je ne pouvais pas laisser faire !!!
La reine donna l’ordre à une gouvernante d’emmener les 2 jumeaux dans leur chambre.
Sorsha s’adressa à Ballantine une fois seuls : Plus elle grandit, plus elle ressemble à son père. Qu’allons nous faire de la petite Jade ?
Ballantine : Ma reine, je sais comment canaliser sa colère et la rendre utile.
Sorsha acquiesça d’un signe de la tête.
De retour aux écuries, Ballantine s’assit aux côtés de Jade et entama la discussion.
Ballantine : Tu ne peux pas frapper tout le monde.
Jade : Je n’ai pas ma place !!!! Les gens ne m’acceptent pas !!! Je ne suis pas comme eux !!!
Ballantine : Viens avec moi.
Il l’emmena sur le terrain d’entraînement des chevaliers et lui donna un bâton.
Ballantine : Frappe ce mannequin de paille. Libère toute ta colère sans limite.
La petite Jade laissa exprimer toute sa colère. Elle frappa et frappa sans s’arrêter, de plus en plus violemment ce mannequin sous le regard de son mentor. Puis elle s’écroula à terre et se mit à pleurer.
Ballantine la prit dans ses bras : Je te donnerai ta place dans ce royaume et ta colère t’aidera.
C’est ainsi que commencèrent les entraînements qui firent de Jade la meilleure chevalier de Tir Asleen.
*******
Kit avait rejoint son amie au Labyrinthe du Canyon : Je savais que je te trouverais ici.
Jade la regarda, sourit mais ne dit mot. La jeune princesse posa sa main sur le bras de sa bien aimée.
La jeune chevalier se tourna vers celle qui comptait le plus dans sa vie.
Jade : Je… Je ne me suis jamais excusée de t’avoir menti sur nos entraînements.
Kit haussa les épaules, tout cela n’avait plus d’importance : Tu obéissais aux ordres.
Jade : Oui, les ordres. Toute ma vie je n’ai fait qu’obéir… Aux ordres.
La jeune princesse était si blessée de voir son amie en souffrance, qu’elle aurait voulu partager cette tristesse et la soulager.
Kit : Et si on allait chevaucher jusqu’à l’arbre de vie. La première qui arrive a gagné.
Jade : Une compétition. Elle gagne quoi ?
Kit lui sourit et partit : On se retrouve là-bas.
Arrivées à l’arbre de vie, les 2 amies se blottir l’une contre l’autre, adossées à ce gigantesque arbre de magie qui, suivant la légende, apportait la vie à Tir Asleen.
Jade : Te rappelles-tu notre 1re rencontre ?
Kit : Comment oublier tu m’as crié dessus.
Toutes 2 se mémorisaient cette amitié grandissante, devenant au fil des ans de plus en plus intense, inséparables l’une sans l’autre. Une force qui les unissait si puissamment. Toutes ces nuits qu’elles passèrent dans la chambre de Jade à refaire le monde, à vivre d’aventures épiques. Ces moments d’entraînements que l’une et l’autre chérissaient plus que tout, les seuls instants où elle se retrouvaient seules, loin du palais, loin de tous ces devoirs princiers que Kit avait toujours rejetés. Cette nuit où la petite princesse, allongée sur le lit, aux côtés de son amie, s’éclata en sanglots à cause du départ de son père sans en connaître les véritables raisons. Ce soir là, Jade lui offrit le collier de sa défunte mère, qu’elle porta à son cou et firent le serment de ne jamais s’abandonner.
Jade : Il appartenait à ma mère. Je l’ai pris sur son corps afin de ne jamais oublier. Je te le donne, en guise de notre amitié. Toi et moi, jamais nous ne serons séparées. Quoiqu’il arrive.
Kit : Toi et moi, toujours présentes l’une pour l’autre. Quoi qu’il arrive.
*******
Jade : Tu… Tu as changé ma vie. Pendant que tous me rejetaient, toi, princesse de Tir Asleen, tu m’as acceptée telle que je suis. Avec mes différences. Tu as été la seule dans ma vie qui ait comptée.
Kit se releva et plongea son regard dans celui de Jade : Tu as comblé le vide qui subsistait en moi. Tu as été et tu es ma seule et unique dans ma vie.
Puis, d’abord hésitantes, leurs lèvres se rejoignirent. Mais à l’instant où Kit devenait plus demandeuse, Jade la stoppa tout en douceur.
Jade : On ferait mieux de rentrer.
*******
De retour chez-lui, Wiilow fut accueilli comme il se devait en tant que grand Aldwin ainsi qu’Elora, impératrice.
Mims se jeta dans les bras de son père : Popa !!!
Willow : Tu… Tu vas bien.
Le sorcier se retourna vers la jeune femme, tous 2 comprirent, sa vision lors de la traversée de Shattered Sea n’était qu’un leurre. Son village, sa fille, tout le monde étaient sains et saufs. Puis elle s’approcha de la jeune impératrice qui se mit à sa hauteur et la prit dans ses bras.
Mims : Soyez la bienvenue.
Quelques heures plus tard, Elora se retrouvait seule dans les jardins privés de Wiilow, tenant la flûte de Graydon dans ses mains. Mais lorsque Mims la rejoignit, elle s’essuya aussitôt les larmes qui coulaient sur son triste visage.
Mims : Il n’y a pas de honte à pleurer. Nous ne pouvons pas tout le temps être fortes.
Elora : Je… Tout ce pouvoir et je n’ai pas pu le sauver.
Mims : Il n’a pas agit pour être sauvé.
Elora lui sourit : Vous êtes tellement tous gentils et accueillants à mon égard. (Elle regarda la flûte). Je ne veux plus de sacrifices. Je dois apprendre à maîtriser cette magie.
Mims : Popa vous aidera. Maman s’est occupée de vous bébé avant de vous confier à Tir Asleen, je le ferai aujourd’hui. Même si vous n’êtes plus un bébé.
Toutes 2 se sourirent.
Lorsque Willow se retrouva seul avec Mims, il lui fit part de ses doutes.
Willow : Comment puis-je l’aider, je n’ai plus ma pierre, ma magie ?
Mims : Popa, Fine Raziel et Cherlindrea avaient foi en toi. N’oublie pas Elora t’a choisi.
Willow : Et si j’avais tout perdu. Elora serait la seule. Tant de responsabilités reposeraient sur elle.
Mims : La magie est en toi. Tu es le grand Aldwin. Et s’il en restait d’autres quelque part. Le monde est vaste.
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frenchdrarry · 1 year
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Drarry & galette des rois
1.
Harry : *coupe la galette*
Draco : Fais attention !! Ne coupe surtout pas sur la fève !
Harry : Comment veux-tu que je sache où est la fève pour l’éviter gros nigaud ? Je fais au pif et on verra bien !
Draco : Non mais je sens bien qu’elle est par là alors essaye d’éviter de couper là….et là aussi. Et là dans le doute.
Harry : Tu sens qu’il y a la fève dans toute la galette abruti, si je t’écoute je ne la coupe pas !
Draco : N’importe quoi ! Laisse-moi faire !
Harry : Putain t’es chiant !
Draco : *prends le couteau, coupe…et s’arrête*
Harry :
Draco :
Harry : T’as coupé en plein dedans, n’est-ce pas ?
Draco : Non.
Harry, moqueur : Du premier coup, en plus. Un flair infaillible.
Draco : Oh, ta gueule.
2.
Draco : Alors, tu l’as ?
Harry : Je viens à peine d’en manger un morceau, fous-moi la paix.
Cinq minutes plus tard :
Draco : Alors ?
Harry : Non ! Tu le saurais sinon, j’ai fini de manger ma part depuis deux minutes !
Draco : Mais…Aucun de nous l’a !
Harry : Elle est dans les autres parts, on verra qui l’aura ce soir.
Draco : Tu ne veux pas qu’on fasse un goûter à 4h ?
Harry : T’es sérieux là ?
Draco : Quoi ? Ça peut être sympa de manger ensemble à 4h avec un peu thé devant les baies vitrées !
Harry : *roule des yeux*
3.
Harry : Putain, tu m’as vraiment convaincu de faire un goûter ? Je n’ai même pas faim !
Draco : Ta gueule et choisis une part.
Harry : T’es chiant. Je peux recouper p-
Draco : NON !
Harry : our en avoir une plus petite…? Ok super. Bon ben celle-là alors.
Draco : Je prends celle-là ! Du thé mon amour ?
Harry : …
Dix minutes plus tard :
Harry :
Draco :
Harry : Bon.
Draco : *au fond du gouffre*
Harry : Au moins, nous savons que la prochaine fois, nous aurons la fève. Il ne reste que deux parts.
Draco : C’est vrai ça ! Ce soir nous l’avons !
Harry : CE SOIR ?! Mais on ne va pas manger de la galette toute la journée !
Draco : Tu paries ?
Harry : Putain. J’espère que le boulanger n’a pas oublié de mettre sa putain de fève.
Draco : Comment oses-tu envisager cette hypothèse ?! Il n’a pas oublié !! Il n’a pas intérêt à l’avoir oublié ce petit sac à merde.
Harry : Wow. T’es vraiment trop investi.
Draco : *lui balance un coussin à la gueule*
4.
Harry : *au bout du rouleau devant sa part de galette*
Draco : Bon appétit !
Harry : J’te déteste.
Draco : Ferme-la sinon je ne te choisis pas comme roi.
Harry : Et tu prendrais qui même ?
Draco : Théo.
Harry : Il refuserait et te dirait d’aller te faire cuire un œuf.
Draco : On ne refuse pas les demandes du roi.
Harry, à lui-même : …Vraiment beaucoup trop investi.
Draco : Tais-toi et mange.
Cinq minutes plus tard :
Draco : J’en reviens pas.
Harry, inspecte la fève : Ils ont géré la barbe de Merlin, elle est très bien faite.
Draco : J’te déteste.
Harry : C’est toi qui a choisi nos parts !
Draco : J’me déteste.
Harry : C’est qu’une fève, arrête tes conneries.
Draco : T’en voulais même pas !
Harry : Oui ben je l’ai eue, que veux-tu que je te dise !
Draco : Choisis ton roi !
Harry : Ou ma reine.
Draco : *roule des yeux*
Harry : Bon, alors je choisis mon roi. Je choisis Théo.
Draco :
Harry :
Draco : Pauvre type.
Harry, éclate de rire : Ça va, je plaisante. Je te choisis comme roi, bougre d’âne.
Draco : Couronne-moi alors.
Harry, soupir et prend la couronne en papier : Draco Malfoy, en vue des titres qui me sont conférés, je vous déclare roi avec moi et vous confère le titre d’époux royal. *lui pose la couronne sur les cheveux*
Draco, sourit fièrement : Merci.
5. (bonus)
Harry : *fait une galette des rois quand Draco est parti et oublie sciemment de mettre une fève*
Harry : *la pose en évidence sur la table et va faire son testament en attendant que Draco entre*
Plus tard dans la soirée :
Draco : Tu as bien fait de racheter une galette !! C’est vraiment une excellente idée ! Tu verras, cette fois-ci c’est moi qui serait roi !
Harry : Dans tes rêves, Malfoy.
Cinq minutes plus tard :
Draco : Putain !
Harry, se retient de rire : Bon, ben nous l’aurons demain !
Le lendemain, aux dernières parts de galette :
Draco : Décidément, nous ne l’avons jamais direct ! Maintenant, nous sommes sûrs de l’avoir et je ne vais pas faire deux fois la même erreur : Harry, choisis ta part.
Harry : *choisit une part et donne l’autre à son futur meurtrier*
Draco : Bon appétit !
Harry : *cache son sourire derrière sa galette*
Cinq minutes plus tard :
Draco : Tu as fini et tu n’as pas la fève ? Alors c’est moi qui l’ait !!
Draco : *mange doucement la dernière part*
Draco :
Draco :
Draco : Je ne comprends pas. Il n’y a pas de fève ??
Harry : On dirait bien que non…
Draco : Mais…Mais ce n’est pas possible. TU L’AS AVALÉ ?!
Harry : Nan. Mais peut-être que c’est moi qui ait fait cette galette…
Draco : Ah, ouf. Alors je vais aller défoncer cet imbécile de boulan-QUOI ?!
Harry :
Draco :
Harry :
Draco : Je vais te tuer. REVIENS ICI SAC À FOUTRE AMBULANT, PUTAIN DE CONNARD DE MERDE DE SALOPERIE-
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