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#ploucs
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Les premières gaffes de la macroniste Valérie Hayer : fais comme Loiseau !
Et si ces ploucs faisaient tout rater, aux européennes, comme à chaque fois qu’on leur demande leur avis ? Par Arnaud Florac Nous avons besoin de VOUS pour poursuivre notre combat face à la dictature de la pensée unique.Cliquer ICI pour nous soutenir Les premières gaffes de la macroniste Valérie Hayer : fais comme Loiseau ! Ils sont vraiment au top, ces macronistes. Dépassés de dix points…
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perduedansmatete · 5 months
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ouf c’est bon j’ai ma place pour revoir fontaines dc et revoir aussi wunderhorse en première partie le tout pour vingts balles je suis vraiment une petite chipie
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philoursmars · 3 months
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Une longue série sur la bouffe. On passe aux viandes :
Valenciennes ''Nord), Resto "Place des Oliviers" - poulet chorizo
Pau, mon plat : courgettes au curry, patates douces, riz
Libourne - ris de veau
Bousbecque : ma cousine Brigitte et son chapon de pintade
Bordeaux, "Chez les Ploucs" avec Isabelle - croustilles de porc
La Cotinière (île d'Oléron), resto "La Gaieté" - terre-mer avec foie gras et saumon gravlax
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Bonjour depuis la ferme, des ploucs qui sentent mauvais. Bien mieux dans ta ville
April 26 2023
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spottys-rathole · 2 years
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J'avais prévu de faire beaucoup plus de perso pour les 2 premiers puis j'ai eu la flemme Je me suis dit que j'allais reprendre plus tard mais le dessin à un an déjà donc pfft bon
Et Friendly reminder que j'ai dessiné ça avec seulement mes maigres connaissances de l'époque sur les Families
Et aussi je change d'idée de design tous les 4 matins donc c'est normal que certains perso soient hyper inconsistants
(perso dans l'ordre pcq Tumblr me laisse pas en mettre + : Johnny Monnay, Inigo Montoya, Haylie James, Lenny Johnson, Raccoon, Miguel Rodriguez, Kim Dwight, Fabien Torez, Donatien de Montazac, Antoine Croute, Daniel Croute, Kiddy West, Lorenza Blake, Lara Blake, Roy Marks, Liam Dunne, MT, Marcello Capone, Yann Allée, Thomas Giorno, Jim Westwood, Bernard Pichon, Gérard Pichon, Joséphine de Beaucollier, Joshua Cox, Julien Grine, Lindsay Walker)
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diari0deglierrori · 1 year
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Skkedjensbbr now they’re putting Al Bano and said to put Ranieri next
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youtube
Mais tu comprends pas faut payer les uniformes qui servent à quedal.
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photosansapp · 3 months
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— Vas-y, fais-le, ton accent de banlieue !
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dadaisme · 7 months
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LA BELLE ALLURE x PLOUC
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ekman · 4 months
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– Je vais vous le dire. Une fois pour toutes. Ce qui nous arrive à nous autres Français descendants de Français, c’est tout à fait dans l’ordre des choses.
– Une baisse de moral, Monsieur le Comte ?
– Tsss tsss. J’irai même plus loin, mon cher : ce qui risque d’arriver à l’humanité entière se justifie pleinement. Les Occidentaux ont complètement perdu le goût de vivre en crucifiant tout ce qui les retenait au sacré. Partout ils exhibent leurs tares et leurs vices. Ils se disent “fiers”. Tristes cloportes, incapables de réagir à la disparition programmée de leur vieille nation. Mais si ça se trouve, le processus va s’accélérer et prendre un chemin bien plus radical que l’asservissement à coups d’impôts, de normes, de flicage et de surinades. Les probabilités d’une guerre étendue à l’Est se confirment chaque jour. Décidément, ces Américains sont d’immondes salopards, et leurs vassaux ne valent pas mieux.
– Ah, vous aussi êtes inquiet de cette situation... Le fils du filleul de mon épouse qui est dans les transmissions, à un niveau que je ne puis divulguer, a prévenu ses parents d’un départ imminent à l’étranger, et pas besoin d’être grand clerc pour savoir de quelle région il parle.
– Vous voyez... Cent dix ans après la plus épouvantable catastrophe de l’histoire de ce continent, les veules crétins qui prétendent nous gouverner sont disposés à remettre le couvert. À cela près que la grosse Bertha d’aujourd’hui, si elle devait cesser de dissuader ces malades mentaux, cracherait des gigatonnes de souffle radioactif sur nos têtes de linottes. Et là, même si nos caves sont profondes, je crains que nous n’ayons le temps de vider tous les cols qui s’y trouvent.
– Ce serait fâcheux, Monsieur le Comte. Quand je pense que Monsieur le Comte votre père était parvenu à les soustraire à la connaissance de l’occupant d’avant... 
– Oh, vous savez, l’occupant d’aujourd’hui prétend ne pas boire d’alcool. Mais ça ne compte plus. Si tout cela doit péter, ils seront caramélisés ou cancérisés de la même façon. L’égalité par l’atome, quelle méchante farce !
– Vous avez raison d’en rire, Monsieur le Comte. De toutes les manières, nous n’aurions pas longtemps à pleurer.
– Je me demande qui portera le chapeau, cette fois. Les Danois, ces socialistes qui se prennent pour des vikings ? Les Polonais, ces abrutis de boutefeux ? Les Estoniens, ces acariatres acariens ? Le flamboyant inverti de l’Élysée, les fesses au chaud au dix-septième sous-sol du palais, en compagnie de son messieurs-dames ?
– Ha ha ! Quelle galerie ! C’est la magie de l’UE, Monsieur le Comte ! – Ce qui me contrarie le plus, c’est que l’atome n’a rien de sélectif. Cela nous condamne à périr avec ces ploucs. Vous rendez-vous compte ? Quel embarras que cette ultime promiscuité !
J.-M. M.
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justforbooks · 4 months
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In 1990 the Spanish writer Juan Goytisolo published a short essay called Paris, Capital of the 21st Century. By the end of the 20th century, he had decided that Paris was exhausted. The city of avant gardes, ideas, revolutions and class struggle, which had defined so much of European and world history, was now no more than a museum. As almost a lifelong Parisian and a lover of the place, Goytisolo desperately wanted Paris in the 21st century to retake its place as a great metropolis. But this could only happen, he argued, if Paris reinvented itself by “de-Europeanising” itself. By this, he meant it had to look towards the world beyond Europe, welcoming its sometimes dissident non-French, non-European voices to make itself a truly global city. Only in this way could Paris be brought back to life.
More than 30 years on from that essay, Simon Kuper has written a book about what it has actually been like to live in Paris during the past two decades. I have lived in the city for exactly the same period, in the working-class district of Pernety, and seen all the changes that Kuper has. The view from Pernety and the view from his hipster right bank world have not always been the same. He often underestimates, for example, the severity of racial and class tensions in Paris. To his credit, however, he is always aware of his limitations as a foreigner and as an apprentice Parisian.
The author, a journalist for the Financial Times, begins by describing his arrival in the city in the early 00s, a refugee from extortionate property prices in London. He finds in Paris an alternative economic universe, where decent city centre apartments were affordable along with a good quality of life that wasn’t dependent on a big salary.
Initially, Kuper bought into the shibboleth that Paris was a dead place – economically moribund, artistically bankrupt, something very much like Goytisolo’s museum. Over the years and decades, however, as he settled in, established a family and a way of life, Kuper began to change his mind as he navigated the unpredictable joys and vicissitudes of Parisian daily life. This involved wrangling with tough neighbours, taking kids to football matches in the banlieues (the outer suburbs, which are definitely not museum-ified), learning schoolyard slang from his kids (which contains a surprising amount of street Arabic), dealing with his wife’s cancer diagnosis, negotiating the daunting French social security system and, perhaps hardest of all, learning how to act as a proper Parisian – a performance that demands mastery of an almost infinite number of behavioural codes.
Kuper is a self-confessed “Bobo”, a member of the middle-class elites and as such most of the behaviours he has to acquire revolve around the right way to wear clothes or making the right sort of conversation. Above all, you should never appear to be provincial (an old Gaulish word, plouc, is still used by Parisians to describe out-of-towners) or from the banlieues (wearing sports clothes is a giveaway). As he learns to be a local, however, Kuper can seem a little too pleased with himself and there are moments when, as he yet again cycles down a lovely cobbled street to another designer coffee shop, you wish he’d get a puncture.
Nonetheless, Kuper is a clear-eyed observer of the history that is happening all around him. He witnesses the revolt of the gilets jaunes, which he notes are in part a protest “against Paris itself” (against people such as Kuper, in fact), sees the burning of Notre Dame, sweats through historically unprecedented heatwaves and copes with the pandemic. The most momentous – and terrifying – event that marked Kuper’s Parisian life was the night of 13 November 2015, which no Parisian who lived through it will ever forget. He was in the Stade de France when the first bombs went off, the prelude to a night of massacre that finished with 130 innocent people dead. Ever the professional reporter, Kuper keeps his feelings to himself, until a few days later he cries in front of a friend, broken by the strain of living in a city that seemed about to go mad.
Now the Olympic Games are on the horizon and Paris looks set to announce itself again to the world as a global leader, as the multicultural city imagined by Juan Goytisolo. For all of the transformations of the past two decades, however, Kuper is always alert to the city’s particularity. This is the immutable essence – to be found in the daily pleasure of the menu du jour or just the snarky, nasal banter at your local zinc (bar) – that makes Parisians love their city, and foreigners such as Kuper (and me) love it even more.
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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skubri30 · 4 months
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BOUGUENAIS - Loire Atlantique
Terminée, la fantasia chez les ploucs
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philoursmars · 7 months
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Ca y est ! Je reviens de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s ! Première étape, Isabelle en Gironde, vers Libourne…
Nous passons une journée à Bordeaux.
La rue du Parlement, ex Rue Royale, ex rue ???. Puis avec Isa, on se régale au resto "Chez les Ploucs" avec des croustilles de porc (des travers)
Enfin, moins appétissante, la belle devanture décorée de rats, rue du Pas-Saint-Georges
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jackhkeynes · 6 months
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plouç "screen"
plouç /pluts/ [pluts]
screen, windbreak, a moveable (often folding) barrier;
disguise, camouflage, guise, concealment, anything that serves to hide something from view;
front, cover, façade, the public-facing version of something concealed for personal or legal reasons;
act, persona, show, an intentional and false impression of oneself
Etymology: originally restricted to the first sense, a direct descendant (or via Old French, but the cognate plouce "shutter" is unattested before the twelfth century, and may instead be from Borlish) of Latin pluteus "railing; screen; bookcase". Metaphorical extension to other forms of concealment is attested from the Middle Borlish poetry of Kigman in the fifteenth century.
Jo sceu y moment veir de ty plouç souvr. /ʒo xaw i moˈmɛnt vir de ti pluts ˈsu.vr̩/ [ʝo xaw i mʊˈmɛnt ˈvɪ.jɐ de ti pluts ˈsu.vɐ] 1s can.pst df moment see-inf of 2s.gen screen let.go-inf I caught the moment you dropped the act.
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Quelques raisons de continuer à croire en notre jeunesse, avec ce petit texte reçu aujourd’hui de la part d’un authentique enseignant!
«Jubilation rigolarde aujourd’hui en classe.
Feutre bleu, feutre noir j’étais en train d’expliquer la différence en Droit entre une SARL et une SAS à des jeunes gens de 16 ans, quand s’impose à la classe une visiteuse, romancière lesbienne "autrice" (🙄) et directrice de collection, maigreur végétarienne, pull col en V et bottines fatiguées, qui entend nous parler du «spectacle de jeudi prochain», «Le Minotaure», un bidule féministo-plouc-woke dont j’avais complètement oublié la programmation-événement, pourtant annoncée par la hiérarchie dans la boîte à mails ad hoc.
Sans attendre et assise sur ses convictions, voilà que sous prétexte de "débattre" cette directrice des consciences se met à dérouler à son public captif un discours mal assimilé dans lequel il est question de féminicide, de masculinité toxique, d’identité de genre et d’égalité de salaire 🤔.
Je commençais à tourner de l’œil avec envie de dormir/ de m’assoir 🥱/ d’étrangler quelqu’un, quand le jeune Bilal, franco-algérien au caractère habituellement discret, lève la main; Et là, avec sagesse, calme et politesse, il dégomme proprement le discours convenu des fausses évidences 😳.
Brillant! Carré! des arguments, un raisonnement, des faits. De l’humour aussi! – et de la gentillesse.
L’autre titube sur ses cannes, surprise par la qualité de l’opposition, essaie de se ressaisir…
Guildwen-les-yeux-bleus prend le relais, demande ce qu’il faut penser «des gens qui s’identifient à des animaux et qui exigent qu’on les accepte comme chats, chiens ou poules…» la réponse est floue. Agacement, les garçons parlent trop, il faut l’avis d’une fille.
Mauvaise pioche: Souad finit par demander directement: «pourquoi vous voulez me faire penser quelque chose que je n’ai pas envie de penser?»
L’écri-vaine se met à crier sur tout le monde affirmant qu’on lui manque de respect et s’enfuit à reculons. Hilarant, et assez gênant. Un moment de pure humanité.
Cette jeunesse est merveilleuse.🥰»
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Ducon , le chef des "gens qui savent" sort de la réunion d'empapaoutage des "ploucs" des territoires !
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