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#polar français
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Olivier Norek -Dans les brumes...
Olivier Norek -Dans les brumes…
Olivier Norek – Dans les brumes de Capelans Olivier Norek, l’ex capitaine du SRPJ du 93, publie sa quatrième enquête avec son flic de polar, Victor Coste. Il abandonne son territoire fétiche à la suite de la mort d’un des membres de son équipe pour s’implanter à l’autre bout du monde mais toujours en territoire français. Le flic aux deux cents soixante-quinze enquêtes est devenu “Peseur d’âmes”.…
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vangoghs-other-ear · 4 years
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Arctic/Antarctic animals in French
le manchot/pingouin- penguin
le pétrel- petrel
le krill- krill
le morse- walrus
le phoque- seal
le renne- reindeer
un albatros- albatross
la sterne- tern 
le renard arctique- arctic fox
la mouette- seagull
le cachalot- sperm whale
le crabe royal- king crab
le calmar- squid
un oursin- sea urchin
un ours blanc- polar bear
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sergeotokar · 3 years
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L’intrigue du film est d’une simplicité biblique. Nous assistons à un jeu spectaculaire entre le chat et la souris qui met en avant un commissaire très déterminé pour arrêter un vil psychopathe qui sème la terreur sur la capitale. Avec ce canevas très classique, le réalisateur d’un SINGE EN HIVER décide de rendre hommage au cinema de genre populaire tout en poussant les curseurs très hauts. En effet PEUR SUR LA VILLE est non seulement un polar, mais également un grand film d’action et un Giallo.
Avec ce film, Jean-Paul Belmondo démontre encore une fois son statut indétrônable de star du cinéma de genre français.Sur l’affiche du film Belmondo est écrit en très grosse lettre en haut de l’affiche. D’ailleurs il n’était pas rare qu’on dise à nos proches qu’on allait voir le dernier Belmondo sans forcément citer le titre du film.
Avec ce long-métrage, Henri Verneuil rend un vibrant hommage au polar américain et prouve ici qu’il a particulièrement bien maîtrisé les codes du genre. Dans cette fameuse affiche, on voit Bebel emprunter la tenue si reconnaissable de Steve McQueen dans Bullit. Cette tenue ne sera pourtant pas visible dans PEUR SUR LA VILLE.
La longue course poursuite dans Paris qui débute en métro (les scènes où l’on voit notre Bebel national se balader sur les toits du métro resteront graver dans l’inconscient collectif tant elles subjuguent par la prise de risque de L’acteur et l’efficacité de la mise en scène) pour se poursuivre en voiture rappelle évidemment celle de French Connection de William Friedkin.
… pour des raisons de longueur l’intégralité de la chronique se trouve sur ma page Facebook !
#belmondo #jeanpaulbelmondo #peursurlaville #henriverneuil #hommage #filmcritique #filmcritic #cinemafrancais #cinema #cinéma #geek #geekinworldwide
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mictol · 3 years
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Il était deux fois ... à ne lire qu'une fois !
Il était deux fois … à ne lire qu’une fois !
Chez Fleuve noir et Pocket un petit polar de Franck Thilliez pour l’été. L’histoire En 2008, Julie, dix-sept ans, disparaît en ne laissant comme trace que son v��lo posé contre un arbre. Le drame agite Sagas, petite ville au cœur des montagnes, et percute de plein fouet le père de la jeune fille, le lieutenant de gendarmerie Gabriel Moscato. Ce dernier se lance alors dans une enquête aussi…
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laparoledumuet · 6 years
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Akiyama Lino se promenait dans le quartier de Shinjuku quand elle reçut l’appel. Craignant d’être bousculée dans la foule qui se pressait sur les trottoirs, elle s’arrêta contre un mur pour répondre. Elle eut quand même du mal à comprendre les mots de sa mère.
— Mais qu’est-ce que tu veux dire ?
— Eh bien, ce que je viens de te dire. Naoto est mort. Il s’est jeté par la fenêtre. Il s’est suicidé, répéta sa mère d’une voix un peu rauque.
Lino, immobile, serra plus fort son téléphone.
Ce soir-là, elle rentra chez ses parents à Yokohama. Elle n’avait pas emporté dans son petit appartement du quartier de Kōenji à Tokyo les vêtements de deuil qu’elle devrait mettre pour la veillée mortuaire et les obsèques. Elle craignait que la robe noire achetée trois ans plus tôt, au moment de la mort de sa grand-mère, ne lui aille plus, mais quand elle l’essaya, elle flottait un peu dedans. Elle était moins musclée qu’autrefois.
Torii Naoto était son cousin, le fils aîné de la petite sœur de son père.
Naoto s’était jeté par la fenêtre de leur appartement à Kawasaki avant l’aube, la nuit précédente. Ses parents et son jeune frère, Tomoki, dormaient et ne s’étaient rendu compte de rien. Le bruit avait réveillé un voisin du rez-de-chaussée qui avait découvert le corps et appelé la police. Un policier avait sonné chez les Torii et leur avait demandé si aucun membre de leur famille ne manquait. La mère de Naoto était allée dans sa chambre qu’elle avait trouvée vide, la fenêtre ouverte.
— Je n’ose même pas m’imaginer ce que Yoshie a ressenti quand elle a compris qu’il s’agissait de Naoto. Je frémis rien qu’à y penser, dit sa mère à Lino, en frissonnant, à propos de sa belle-sœur.
Les policiers qui avaient fouillé sa chambre n’avaient rien trouvé qui ressemble à une lettre d’adieu. Ils n’en étaient pas moins persuadés qu’il s’agissait d’un suicide. La probabilité d’un accident était quasi nulle.
La Fleur de l'Illusion - Keigo Higashino
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kino51 · 6 years
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Le mataf   1973
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cine-ecole-com · 4 years
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#CinEcole vous propose ce Jeudi :
#Histoire “Il faut sauver le soldat Ryan” -12 sur #ParisPremiere
#InstructionCivique “Tueurs nés” -16 sur #Polar+
#Infirmerie “Grave” -16 sur OCS #Choc
#Français “Le distrait” sur Canalplus #Famiz 
https://www.youtube.com/watch?v=8s2i_9U5zR8
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thecupofbooks · 4 years
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Le cri - Nicolas Beuglet
Découvrez ma dernière lecture du Cold Winter Challenge de cette année : un thriller aux confins de la science.
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Chaque époque a ses certitudes et le présent est parfois prétentieux lorsqu’il juge le passé.
Coucou les amis !
Ça fait une éternité que je vois tourner sur la toile ce roman et qu’il m’intrigue. Du coup, j’ai fini par l’acheter et je l’ai lu très rapidement. En plus, l’ambiance hivernale de la couverture et du début du roman collait parfaitement avec le Cold Winter Challenge.
Le résumé de…
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stephanedugast · 5 years
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📌 [PODCAST] Secrétaire général de la Société des Explorateurs Français, la SEF, Stéphane Dugast met à l’honneur dans son nouvel ouvrage paru aux Éditions du Trésor les explorateurs français des pôles, souvent mal connus du grand public. C'était vendredi matin dès potron-minet sur France Inter avec Jose Manuel Lamarque. 
> https://cutt.ly/pePuzMd
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linkedsoul · 3 years
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For the translation game.... HERBO AND TWINK ON ICE (let's go tough!) An outgoing jester and a withdrawn warrior team up to solve a murder - where the victim is still walking round, minus his head.
OH OKAY THAT'S A CHALLENGE
Alright. First, I have to look up the exact meaning of "on ice" because... wasn't 100% sure with which purpose it'd been used and after research, I can say I'm still not sure asjdeajfokr. Let's go to the next challenges "herbo" and "twink" (especially "herbo"). I'm NOT sure ye general public is going to know what a "herbo" is so I can't leave it as such. "Himbo" doesn't seem to be general French voc yet either, especially among older generations - and iirc, Herbo and Twink On Ice is an Adult book that could totally get picked by my mom (who, alas, doesn't know what a himbo is).
"Bimbo" has apparently been kept and used as such in translations but I think more generally in French we'd say "une potiche" or "une gourde" (even if the latter doesn't have the sexy equivalent). I have others but they go beyond the pejorative connotation of "this person has 1 braincell" and into "mean girl" vibes (une pimbêche, une pouffe, etc.) However, I can't find a way to turn either "potiche" or "gourde" into a masculine equivalent that would truly replicate the meaning of "himbo" - and then "herbo".
At first glance, this seems impossible and I'll have too-
*phoenix wright voice* OBJECTION
While browsing through your WIP tag, I see that the Herbo isn't SUCH a Herbo, and also that "on ice" is seemingly a reference to "on ice" musicals AND the fact that it's a goddamn polar kingdom. Taking inspiration from "Disney On Ice" being "Disney Sur Glace" in French, I can actually translate "on ice" as "sur glace", thus keeping the ice skating spectacle ref AND the polar kingdom one. Also, since the Herbo is more Stronk than No Braincell, I can stop trying to render the "dumbass" aspect and focus on her strength only.
ALRIGHT.
"Twink" doesn't exactly have a translation in French seeing that if I type "twink en français" I only find porn websites. French doesn't have such a diverse queer vocab that I - and my potential audience - would know of, and a lot of the slang for "gay" that I find has a pejorative connotation that "twink" doesn't have - even if a lot of the voc has been reclaimed. "Homo" feels kinda like... outdated.... an older audience would know it but I don't think it's still in common use within the French gay community....? "Gay" is way more popular? Also the Twink is, according to your blog, bisexual so I don't feel like using a word that's most commonly understood as a synonym for "gay" in French when what you mean by "twink" is that he's Small, Queer, Pretty and Flirty. I could use "métrosexuel" but I feel it might be too jarring in a title? so I think i'm gonna focus on the "pretty" and "flirty" side of it.
So that gives us:
Armoire à Glace et Joli Cœur: Sur Glace (Built Like A Tank and Pretty Boy: On Ice)
But hMM I'm reusing the word "glace" twice here. Maybe I can find better... let's take inspo from books with long convoluted titles like "L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea" or "Le petit vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" or "Les fabuleuses aventures d'un Indien malchanceux qui devint milliardaire".
L'histoire givrée d'une armoire à glace, d'un joli cœur et d'un corps sans tête qui court toujours. (the crazy story of a literal tank, a pretty boy and a headless body still on the run)
Here, the word used for "crazy" also means "freezing" so I kept the ice element, and as for the "on the run", I liked the expression just because 1: it implies that the headless body is still RUNNING and that people STILL HAVEN'T CAUGHT IT - it has murder-mystery implications that I thought fitted very well :P
ofc I could have gone for something more evocative or totally different, but then it wouldn't have been a challenge :P
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tragedyposting · 3 years
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Did a little ask game from @elainemay1976 who kindly tagged me on my own request! Here goes:
nicknames: Beck is my favorite, Becca is acceptable as well, some high school friends still call me Reborko
zodiac: Gemini Sun, Sagittarius Moon, Scorpio Rising, which according to a friend means “it’s a wonder I don’t hate you.” I have a twin brother with an identical chart and a polar opposite personality also astrology ppl love to hurt my feelings so I’m not a huge believer.
height: 5’5”
last movie: Technically it was the Rainmaker because my grandfather was watching it and I sort of started watching too but if you don’t count that it was probably Fiddler on the Roof?
last thing i googled: “are giraffes kosher?” (They are.)
fave musician(s): Broadly all 60s/70s folk rock artists, Anaïs Mitchell, A large handful of Broadway people
song stuck in my head: Oh, What a Beautiful Morning! (Specifically the revival version. I’m in the car going past a lot of corn fields.)
other blogs: @andryushas (War and Peace/Natasha, Pierre & The Great Comet of 1812 blog), @kingofmortar (barely active Hadestown blog), @gwynsplainer (the Man Who Laughs blog) and inactively @henrywotton (Oscar Wilde blog)
blogs following: 1,626
amount of sleep: Last night it was about six and a half hours?
lucky number: don’t have one! maybe 16 or 39 if you asked me to pick one for something
what i’m wearing: Light aqua v-neck t-shirt with the name of my grandfather’s small west New York town embroidered on it in many colors and unflattering jean shorts
dream job: dream job as in dream job I’m pursuing is fiction editor. I would also love to be a costume designer or an actress.
dream trip: probably France. Je dois faire du pratique si je veux retenir le français que j’ai appris.
fave foods: pizza (if it’s good. I’m a New York Pizza snob), fries, most things chocolate
play an instrument: yes! I play bass guitar moderately well, and I dabble in guitar and ukulele.
languages: English and proficient but probably not fluent French.
fave songs: Chelsea Morning by Joni Mitchell, Isadora by Liz Swados (with Damon Daunno), ‘39 by Queen
random fact about me: I’m left-handed!
describe yourself using aesthetic things: cozy, looked-over secondhand bookstores with a cat sleeping in the window, colored pencils spilling from a bag, stargazing on a brisk night, pressed flowers, the 800s section of a well-kept public library, theater ticket stubs as bookmarks.
I’m tagging @signawyvern @sofiyaalexandrovnarostova @pearlandbrine @supercantaloupe @theparadigmshifts @bringbackthebakingbrigade and anyone else who wants to do it! Tried to remember which mutuals do and don’t like being tagged for this kind of thing, sorry if I got you on the wrong side of that list.
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Isabelle Villain - De l'or et des larmes
Isabelle Villain – De l’or et des larmes
Rentrée littéraire hiver 2022   Qu’un polar devienne presque un documentaire, c’est la réussite d’ Isabelle Villain  qui remplit parfaitement cette fonction avec De l’or et des larmes. Ce polar raconte l’enquête traditionnelle menée au sein du sport de haut niveau, et plus particulièrement du milieu de la gymnastique. Cette catégorie rassemble de très jeunes athlètes qui ont par essence une vie…
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rodglacial · 5 years
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Cours de cinéma : Série noire (Juil. 2019)
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waternilly · 3 years
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Éphémère ? - Ch. 8
Ship: Trafalgar Law x f!OC Langue: français Nd. de mots: 880 Warnings: Marine Ford spoilers Lien Ao3: ici Masterlist
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Fuyante
Lain observait le plafond. Elle s’était réveillée peu de temps auparavant. Yu était assise au bureau et l’avait déjà informé de l’évolution de la situation. Les Hearts étaient arrivés sur Amazon Lily et Luffy s’était lui aussi réveillé un peu plus tôt. Par la suite, Yu était partie déjeuner, laissant la plus jeune seule avec ses pensées.
Lain se sentait molle, fragile. Elle avait l’impression que le moindre mouvement pourrait la briser. Sa respiration était lente, tout comme ses clignements d’yeux. Le plafond blanc semblait l’aspirer, tout en étant sa seule source de réconfort.
Des bruits se firent entendre à la porte, mais cela ne suffit pas à sortir la jeune femme de sa torpeur. La personne entra sans attendre de réponse. Du coin de l’œil, Lain reconnu la carrure imposante de son ami. Elle ne dit rien. Ban, quant à lui, s’assit à côté du futon de la jeune femme.
Il prit une grande inspiration et demanda : « Comment tu te sens, gamine ? »
Lain ne l’avait encore jamais entendu aussi calme. Sa voix était plus grave, moins forte que d’habitude.
Celle aux cheveux verts, cependant, ne répondit pas. Elle continua d’observer le plafond.
« Écoute, » commença Ban avec prudence, « j’ai bien conscience que c’est pas à moi de te dire comment faire ton deuil. T’es assez grande. Mais crois-moi quand j’te dit que rester seule va pas t’aider. » Il marqua une pause. « On est sur l’île des Kujas. T’en étais une, non ? Tu veux pas les voir ? »
Lain ne réagit toujours pas.
Un soupir échappa au cuisinier.
« Fais c’que tu veux… Prends juste soin de toi. Et oublie pas qu’on est là. »
Ban se releva et quitta la pièce. Lorsqu’elle entendu la porte se refermée, Lain tourna la tête en direction du bruit, quittant enfin le plafond des yeux. Elle prit une grande inspiration et réfléchit un instant.
Elle avait pertinemment conscience que rester couchée dans son lit tel un légume ne l’amènerait nulle part. Mais elle ne savait pas si elle avait la force de faire quoi que ce soit d’autre.
Si elle était honnête avec elle-même, elle n’avait plutôt aucune envie. Elle n’avait pas envie de sortir. Elle n’avait pas envie de continuer à avancer. Pas sans Ace. Mais qu’était-elle sensée faire ? Attendre le jour où elle irait finalement le rejoindre ? Accélérer le tout ? Ou essayer de continuer malgré tout ?
Lain s’imagina Ace la voir dans un tel état. Elle voyait la tristesse et l’inquiétude dans ses traits.
« Est-ce que tu m’en veux ? » demanda la jeune femme.
Un sourire compatissant traversa le visage d’Ace. Il secoua la tête en signe de négation.
Lain sentit les larmes lui monter aux yeux.
« Je suis désolée, » murmura-t-elle en étouffant un sanglot.
Un autre doux sourire apparut sur le visage du jeune homme. Un sourire qui voulait dire : « Je sais et je te pardonne. »
Lain cru sentir les lèvres de son amant contre son front.
Tout en reniflant, elle essuya ses larmes à l’aide de sa couverture.
Une idée lui traversa l’esprit.
Ravalant sa salive, Lain se prépara. Elle plia ses vêtements. Elle fit son lit. Elle empaqueta ses affaires.
Alors que la jeune femme était sur le point de partir sans rien dire, elle lança un regard au tas de feuilles sur le bureau.
Après quelques minutes, elle sortit enfin de la chambre, laissant une lettre derrière elle.
Une autre fut déposée dans la cuisine.
Il ne lui restait plus qu’une chose à faire. Déterminée, Lain toqua à la porte de la cabine de Law. À sa grande surprise, celle-ci s’ouvrit. Le grand brun offrit un regard curieux à la botaniste.
« J’aimerais parler avec toi, » déclara Lain.
Sans discuter, le jeune homme lui fit signe d’entrer.
« Comment te sens-tu ? » questionna le médecin.
« Honnêtement ? » demanda Lain sarcastiquement. « Je me sens comme une merde. » Un rire amer lui échappa. « Mais c’est pour ça que je viens te voir. »
Les sourcils relevés, Law annonça : « Je t’écoute. »
La jeune femme gonfla le torse. « Je souhaite rester sur Amazon Lily pendant un certain temps. »
« Seule ? » demanda le brun par précaution.
Lain opina du chef.
Un soupir échappa à l’homme. « Tu as conscience qu’on ne t’attendra pas, miss ? »
« Tout à fait, » déclara Lain. « On est semblable pour ça. »
Law esquissa un sourire. « Tu comptes prévenir le reste de l’équipage ? »
Fuyant soudainement son regard, la jeune femme expliqua qu’elle avait laissé deux lettres derrière elle. Le capitaine des Hearts opina doucement du chef.
« Dans ce cas, » il marqua une pause, « je n’ai rien à te dire. Tu peux y aller. »
La jeune femme le remercia et prit congé. C’est en toute discrétion qu’elle quitta le Polar Tang, le tout sous le regard amusé du Chirurgien de la Mort.
La surprise fut totale pour Ban et Yu lorsqu’ils trouvèrent leurs lettres respectives. Cependant, la surprise n’était rien comparé à l’espoir qu’ils partageaient avec le reste de l’équipage d’un jour revoir la jeune botaniste à bord du Polar Tang.
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smolfrogi · 4 years
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Love amongst the Himbos
by: Roman
tw’s: homophobia(briefly), swearing, some violence
Multiple parts, I’ve got a lot of world building and not enough space in one part
“Get up, bitchboy.” Ah, one of Toph’s lovely greetings.
“I’m doing it, I’m doing it.” Sokka lied.
“I may be blind but I know you’re still in bed, pissbaby,” Toph growled. “Don’t make me get Katara.”
“I should’ve never given you a house key.” Sokka grumbled, standing up. He wrapped up his arms in white bandages and put his hair up in a ponytail. “If I get called to the guidance councilor for wearing these one more time, I’m gonna kill someone.”
“I genuinely do not care.”
“You’re so nice, why don’t you have more friends?” Sokka retorted.
“They can’t handle the power of my greatness. I’m the greatest earthbender in the world, y'know.” Toph answered.
“Alright, let’s go.” Sokka walked through the door, with Toph following. Katara joined them. They walked out the door and down the street. Why is this sophomore hanging out with a 7th grader? Who cares.
“I heard there’s a new kid at school.” Aang added when they picked him up on the way. “He’s from New York or something, a private school kid, y'know?”
“Hm. I wonder why he’s moving here.” Katara thought out loud, opening the door to the school.
“Oh, did I tell y'all I hit 4k on tiktok?” Sokka bragged.
“Yes. Like 40 times.” Toph stated bluntly. The cafeteria was chaos as always. Sokka walked across the cafeteria to get the school’s breakfast since he didnt have time earlier.
Sokka’s stomach filled up with dread. Hide,  fucking Hide. He was the worst. Hide tormented all of the students, especially the 6th graders just trying to find somewhere to sit. Lucky for him, Hide never tried to make fun of Sokka. What we he even insult him over? “Haha! You have straight A’s and biceps!”? Sokka didn’t recognize half the kids at school anyway, why should he care about some asshole?
“Oooo! What’s this?” Hide’s ‘crew’ circled around an almost empty table. “A new kid? What’s your name, shorty?”
No response. Shouldn’t have done that.
“He asked for your name.” One of his goons thumped his hands on the table.
“Cool.” The boy muttered. His voice was raspy and deep. He spoke quietly, but with a fatal amount of sass. Hide, an asshole, obviously didn’t like that.
“You think you can talk to me like that?” He snapped. Where the hell are the teachers? He yanked the boy out of his seat.
The kid had dark hair that fell over his eyes and crept down his neck. On the left side of his face, a huge scar covered his eye and reached across his ear, which had a hearing aid. “Leave me alone.”
“Oh, I will! After I kill you.” Hide swung at Zuko, but his hand was blocked before he could reach. Sokka clenched his wrist and twisted it around his back before shoving him.
“You’re a coward, Hide.” Sokka challenged.
“What’s wrong, faggot? Got a crush on him already?” He mocked. Sokka stepped back.
“No. But you’ve just about pissed me off-” The bell rang and interrupted Sokka.
“Saved by the bell. See you after school.” Hide smirked before walking off.
“I can handle myself.” The kid grabbed his bag.
“I never caught your name, emo.” Sokka remarked.
“Yeah, I didn’t throw it.” He paused, throwing the bad over his shoulder. “It’s Zuko,” he answered. “yours?”
“Sokka. Well Zuko,” Sokka cleared his throat. “What’s your first class?”
“History.”
“Ah, my pal Mr Zei. Follow me.” Sokka started toward the hallway.
“Why are you doing this?”
“I have history, and I’m late already. Now I can say I was showing you around.”
Zuko nodded.
“Sokka, you’re late? You’re never late, are you okay?” Zei asked.
“Yeah, of course, I was helping the new kid!” Sokka answered. Zei nodded and gestured towards Sokka’s seat. “Psst! Zuko!”
Zuko didn’t even look at him.
“Zukooo!”
No reply.
Sokka poked him in the arm.
“What?” Zuko asked, he had one hand on his ear.
“Are you paying attention?” He asked.
“They were being loud earlier, I turned my hearing aid off.”
“Oh, well Zei’s starting a lesson.”
Zuko nodded.
Zuko pov
“And that concludes the Tutum Unision. Can anyone tell me about the siege on Ba Sing Se?” Zuko flinched at the mention of it. “Hide?”
“General Iroh, a-k-a the Dragon of the West, started the siege on Ba Sing Se in 2013 with his son, Lu Ten,” Hide started. Zuko closed his fists. “The siege ended when-”
“Can I go to the bathroom?” Zuko clenched his teeth. “Please?”
“Um…yes. You may. Raise your hand next time.” 
Zuko ran down the hall, trying to shake the panic. He went into the bathroom and sighed. Fuck. You’re such a pussy..
Zuko breathed slowly, releasing some fire through his breath, he closed his eyes. There’s no more war. There was never war in Tutum. That’s why we’re here. Zuko thought to himself. He pulled himself together after a few minutes. He left the bathroom slowly enough to get back almost the moment they were about to leave.
“Sorry about…whatever that was…” Sokka sighed.
“It’s fine.”
“Well anyway, what’s next?”
“English Language Arts.”
Sokka rolled his eyes. “It’s down the hall- just look for the room with cartoon book stickers on the door.”
“Thanks.” He smiled, mostly just to be polite. He felt strangely upset that Sokka wasn’t coming.
“Romeo and Juliet. Chapter one, who wants to start?”
French, already speak it. “Bonsoir! Je parle français. Vous aussi.”
Math. “If X is 2 and Y is 6, What is K?”
Chemistry. “Safety must be taken very seriously in this class…”
It all felt useless, y’know?
“Zuko?” Sokka had seen Zuko from his desk. His blue eyes were squinted, almost shut, in a bright smile. His hair was pulled back messily. He wore a dark gray pullover hoodie, with a NASA logo on the right side of his chest, that fit him just right. Zuko thought about how beautiful Sokka was until he snapped himself out of it, that’s not who he was, he didnt think like that.
Sokka came over and sat down next to him. He breathed softly while he copied the instructions onto notebook paper, small animals and trees were scribbled into the margins.
Sokka pov
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH C U T E
Sokka scribbled in the margins of his paper to distract himself. Turtleducks and Badgermoles, even Aang’s Bison. He started sketching out a sheepcat.
“I have some of those.” Zuko pointed at his drawing. “Sheepcats, I mean.”
“Oh. That’s,” Sokka paused. Say something, dumbass! “nice?” DUMBASS 
“Yeah.” Zuko looked back at his paper.
“I- uh, what are their, their names?” He asked, trying to keep the conversation going, it’s not like they’re going to do anything. Imagine! Doing actual activities in Study Hall!
“Druk, Ursh, and…” He paused.
“And?”
“Lu Ten jr.- Lu for short.” He finished.
“Oh.”
“Yeah.”
They kind of sat looking at each other, not knowing what to say. Sokka looked down at his paper. “I, uhm, I have a polar bear dog.”
“You do?”
“Yeah.”
Alright, this officially sucks.
It ain’t much, but it’s chapter 1.
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Bonjour bonjour ! Voici venu le moment de me présenter, petit portrait chinois de rentrée, Merci @vikinglecteur pour ce tag ! . 📕Le prof d'histoire : le roman historique📕 L'allée du roi de Françoise Chandernagor sur la vie de Madame de Maintenon, et aussi la trilogie de Ken Follet sur le prieuré de Kingsbridge 🏰 . ✒️Le prof de français : la plume qui te touche le plus ✒️ Anne-Marie Garat et sa prose poétique me transportent à chaque fois ! . 🇬🇧Le prof d'anglais : le livre en VO que tu affectionne 🇬🇧 Jane Eyre de Charlotte Brontë, favorite book for ever ! . 🌿Le prof de sciences : le livre aux magnifiques descriptions 🌿 Le Chardonneret de Donna Tartt pour la traversée en des USA en bus, . ⚾Le prof d'EPS : le livre qui te donne de l'énergie ⚾ Les polars, bizarrement ils me détendent ! . 🎨Le prof d'art plastique : le plus beau livre de ta bibliothèque🎨 Ma collection de Jules Verne reliés, une vraie pépite au milieu de mes livres de poche... . 🎶Le prof de musique : le roman le plus rythmé/musical 🎶 Corps et âme de Franck Conroy, l'histoire d'un pianiste virtuose dans le NY des années 60 🎹 . Et vous quelle est votre équipe de rentrée ? . #litterature #lecture #livres #bibliotheque #bibliothequerevee #lire #jaimelire #fandelecture #bouquiniste #bibliophile #bookaddict #bookclub #bookcommunity #bookgram #booklover #booksbooksbooks #goodreads #readingismagic #booksta #instabook #bookstagram #reading https://www.instagram.com/p/CTz3WHBKwdy/?utm_medium=tumblr
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