Tumgik
#recherche psy
ayanna-tired · 2 years
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Recherche psychiatre
>Rennes, Bretagne (ou alentours)
Bonjour à toustes, j'espère que vous allez bien !
Voilà, je viens vers vous un peu désespérée... je viens de lâcher mon psychiatre (médecin) en urgence car il est TRES toxique et malsain... et il vient de me faire un sale coup inadmissible, décourageant une autre psychiatre de me prendre comme patiente... :(
Je demande partout autour de moi, et mon infirmière m'aide en appelant tous les psy... mais on ne trouve pas.
Donc voilà, si l'un-e d'entre vous aurait le nom d'un-e psychiatre pas trop mal qui prendrait quelqu'un en urgence, je serais vraiment très très reconnaissante ! Je ne pousserais pas le vice jusqu'à demander à ce qu'iel soit LGBT+ friendly, on va pas abuser, mais bon... (je rêve que ce soit une femme et qu'elle soit effectivement friendly... mais on peut pas tout avoir dans la vie et je prendrai ce qu'il y a !).
Je suis véhiculée par une asso, donc ça peut être aux alentours de Rennes (mais pas trop loin et que ça reste dans le 35).
Voilà, ayez une pensée pour moi, et si vous croyez en quelque chose ben... ayez une petite prière ! Parce que là je me retrouve sans suivi psy alors que je suis handi et que j'ai un lourd traitement...
(Précisions, je cherche bien un PSYCHIATRE, donc un médecin à même de me faire mes prescriptions et de gérer mon traitement, j'ai déjà une très bonne psychologue qui me suit :) )
N'hésitez pas à me contacter en privé ! ;)
Bonne journée à vous et bonne continuation !
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Ayanna
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cestdanslatete · 1 year
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entrain de faire des recherches autour de la question "au bout de combien de séances peut-on se dire que le travail avec tel psy ne mène pas à grand chose ?"
pour certains sujets, ça va un peu mieux et il faut me tenir la main moins fort. mais je ne me sens pas protégée. je redoute toujours les rechutes, les grands moment de doute où l'eau s'infiltre dans la bouche. et puis, quand ça redevient calme, je trouve que c'est plus compliqué d'expliquer certaines peurs ; il faut se remettre dans le rôle, c'est moins naturel et instinctif. comme si j'oubliais, aussi, temporairement. et puis ça fait ressortir d'autres problèmes qui dépassent du tapis ; des petits tracas de trois fois rien qui me semblent si bêtes à aborder.
aussi, j'aime pas ces moments de silence, à devoir fixer son regard, même si c'est jamais très long. une fois, en rentrant chez moi, j'avais encore les marques des mes ongles sur mes bras (ça "m'aide" parfois à rester concentrée pendant les interactions sociales). et j'aimerais des séances un peu plus longues.
ces moments de doute font peut-être partie du travail thérapeutique, mais c'est frustrant.
et puis ça me saoule, de devoir rouler à vélo dans le 1er arrondissement.
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ekman · 1 year
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Je lisais sur Fdesouche un compte-rendu relatif à une étude de psychologues américains dénommés An Krisprenz et Alex Bertrams. Leur sujet ? L’extrême gauche et les sales gosses qui la composent. Leur étude a été publiée dans une revue à comité de lecture, ce qui laisse supposer qu’elle est recevable et sans doute fondée. Extrait :“Sur la base des recherches existantes, nous nous attendions à ce que les personnes présentant des niveaux élevés d’autoritarisme de gauche fassent également état de niveaux plus élevés de narcissisme. Selon ce principe, les individus avec des traits de personnalité sombres (...) sont attirés par certaines formes d’activisme politique et social qu’ils peuvent utiliser comme un véhicule pour satisfaire leurs propres besoins, centrés sur l’ego, au lieu de viser réellement la justice sociale et l’égalité. En particulier, certaines formes de militantisme peuvent leur donner l’occasion de se présenter sous un jour favorable et d’afficher leur supériorité morale, d’acquérir un statut social, de dominer les autres et de s’engager dans des conflits sociaux et des agressions pour satisfaire leur besoin de sensations fortes.” N’est-ce pas magnifique ? Un portrait craché, “a spitting image” comme disent les Pollux. J’attends avec impatience que cette info, si d’aventure elle était reprise, soit immédiatement démolie par nos potes marxo-trotskystes à poil dur. J’entends d’ici un Plenel ou un Cohen brandir l’argument de “la psychiatrisation de l’adversaire”, vieil argument des communistes mis à la mode par Lénine lui-même. N’étant pas à une incohérence près, ils en seraient capables, les petits commissaires. Et nos deux psys d’ajouter : “Ces individus, en assumant des actions agressives pour soi-disant renverser le pouvoir en place, sont en réalité plus enclin à exploiter les autres à leur profit. Ils manquent d'empathie, sont arrogants, manipulateurs et capables de colère réactive. Ils se méfient des autres et recherchent des sensations fortes.” Mais qui donc a dit que le gauchisme était une maladie mentale ? J.-M. M.
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swedesinstockholm · 9 months
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26 novembre
jour 4 du futur navigable et fertile mmh qu'est-ce que j'ai fait aujourd'hui? hier je me suis couchée à trois heures du matin parce que je me suis perdue dans mon journal du lycée à la recherche des cochons et de yannick mais c'est surtout mes jérémiades sans fin sur p. que j'ai trouvées et elle sont insupportables à lire. j'avais envie de me pousser violemment et de me dire mais vas-y PARLE-LUI BORDEL. ça aurait pu se passer tellement différemment. j'aurais pu être amie avec lui et avec d. et sécher les cours avec eux pour aller à tous les concerts d'indie rock des alentours au lieu de toujours y traîner f. but it didn't. j'avais envie de me pousser mais en même temps je me rappelle exactement de ce que je ressentais, de comment je voyais les choses, je me rappelle très bien du mur entre moi et le monde, entre moi et ce que je veux. je mentionne aussi un rdv chez une psy où je suis allée qu'une seule fois et qui m'avait dit comme tous les autres que j'étais pas d'une nature timide à la base et je me dis que peut être que je finirai par être une vieille extravertie et que ça me servira bien pour me faire facilement des amis quand on en aura besoin pour survivre collectivement à l'apocalypse en 2060.
cet après-midi après m'être plongée dans mon passé puis celui de n. (j'ai commencé son livre ce matin, un jour à berlin elle m'avait dit you're so weird. but in a good away! et vu ce qu'elle raconte dans son livre, je comprends pourquoi elle me trouve bizarre), je me suis plongée dans le passé de r. sans vraiment en avoir l'intention, j'écoutais le groupe dans lequel il joue pour voir si c'était bien et puis je me suis retrouvée à regarder des lives de 2014 où il était tout bébé et tout fou mais il est toujours tout fou, ils jouaient à l'ab et c'était en janvier et j'ai pas pu m'empêcher de comparer à mon janvier 2014 en crise absolue à paris, prête à abandonner mes études pour me laisser glisser dans ce qui allait devenir La Situation. et puis j'ai regardé des clips de son ancien groupe, des clips vraiment cool réalisés par une fille qui est suivie par toutes la lesbosphère francophone d'instagram et je me suis de nouveau dit mais qu'est-ce que t'as fabriqué pendant toutes ces années lara? dans un des clips il danse sur le toit d'un immeuble et puis il danse sur un chantier il danse mais il DANSE et je lui enviais sa liberté, sa façon d'être sans retenue, d'exploser dans tous les sens comme un feu d'artifice ou une chanson d'animal collective. la joie qu'il dégage aussi.
c'est une joie contagieuse parce que vers le soir je suis descendue dans la cuisine et j'y ai trouvée maman qui jurait en faisant claquer les casseroles mais elle avait allumé la radio qui passait du jazz joyeux et ça faisait un décalage bizarre, alors je suis discrètement remontée dans ma chambre et j'ai mis france musique pour continuer à écouter le jazz joyeux et j'ai commencé à danser, je dansais tellement fort que j'ai du poser mon pull parce que j'étais en nage. et puis j'ai commencé à trop me regarder dans la glace et à être prise de dégoût par mon corps, mon corps que je déteste de toutes mes forces parce que je me prive de sucre depuis un mois et rien ne change et je le déteste de me faire ça, ça me remplit de colère, je suis remplie de colère contre mon corps, et donc mon corps est en colère contre lui-même, ou je suis en colère contre moi-même, ou mon corps est en colère contre moi?? je sais pas, dans tous les cas y a beaucoup de colère. et puis j'ai arrêté de danser parce que j'étais démoralisée.
27 novembre
hier soir j'ai enfin regardé split que j'avais hautement anticipée mais j'avais visiblement oublié que ça restait une série france télévision et donc c'était un peu nul et j'étais un peu déçue. non seulement c'était filmé comme une série france télévision mais en plus c'était plus un manifeste qu'une série, on aurait dit que la série servait de prétexte pour dire et montrer des trucs qui sont très peu ou jamais représentés dans les médias, et évidemment que c'est très bien de faire ça, mais ça suffit pas pour faire une bonne oeuvre de fiction, je pense, sorry iris brey. en plus les actrices jouaient mal. voilà donc j'étais déçue et ça a pas du tout réussi à me détourner de mon chemin hétérosexuel comme ce que la série m'avait promis, mais y a tout de même une scène qui m'a marquée. on y voit le personnage joué par jehnny beth dire à alma jodorowsky qu'elle pas l'habitude, quand alma pose ses bagues pour s'apprêter à la pénétrer, mais elle dit qu'elle en a envie donc elle la laisse faire et on dirait qu'elle jouit, mais après elle se met à pleurer et puis le perso d'alma lui demande si elle pense que c'est à cause de son viol quand elle avait douze ans qu'elle est devenue lesbienne, parce qu'elle dit qu'elle a jamais couché avec un homme, mais je sais plus si c'est la même scène. ce matin dans la salle de bain quand j'ai changé ma serviette j'y ai repensé et j'avais envie de lui demander si elle non plus elle mettait jamais de tampons.
jour 5 de mon futur FERTILE ET NAVIGABLE JE VAIS ÊTRE PUBLIÉE DANS LA REVUE SABIR!!!! j'y croyais absolument pas parce que je me disais que mon texte était pas assez expérimental master de création littéraire, et puis si. j'ai crié de joie en réalisant que c'était pas un mail de refus. je l'ai dit à personne sauf à a. ce soir. elle m'a dit qu'elle voulait écrire une comédie musicale mais que c'était vraiment dur et je lui racontais à quel point c'était compliqué et technique un synthé et elle me racontait à quel point c'était compliqué et technique de chanter et on se demandait toutes les deux pourquoi la musique avait autant de pouvoir. à un moment le proprio du bar qui était turc et qui parlait très peu français s'est incrusté à notre table pour discuter et au bout d'un moment il a fait remarquer que j'étais dans la lune et il arrêtait pas de dire elle pense à un monsieur! et ça m'agaçait donc je devais faire la grimace et a. rigolait parce qu'elle me prend pour une lesbienne mais la vérité c'est que j'y pense 24/24 et le fait que j'écoute que des chansons qu'il m'a conseillées ou que j'ai glanées dans ses stories n'arrange pas les choses. je suis rentrée à pied en dansant sur deerhoof dans le noir parce que j'étais contente.
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jezatalks · 2 years
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Mon rdv chez le psy est cet aprem, et j'ai réalisé des recherches sur un des questionnaires qu'il m'a demandé de remplir.
Voici l'intitulé
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Voici l'intitulé/l'article d'un test qui reprend les mêmes questions mot pour mot, avec le même enchaînement sur le net. (Mais ça prend que les 50 questions sur la relation aux autres)
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J'ai refait le test sur ce site en répondant exactement la même chose que mon questionnaire papier eeeet : 47/50.
Donc guess que mon psy/neurologue va m'annoncer quelque chose...
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youraufildespages · 13 days
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La psy de Freida McFadden
 7/10 Tricia et Ethan sont des jeunes mariés à la recherche d’une maison. Pendant qu’ils visitent le manoir isolé d’une psychiatre renommée qui a disparu quatre ans plus tôt, une tempête de neige les empêche de quitter les lieux. Pour patienter, Tricia écoute les cassettes des séances du Dr Adrienne Hale avec chacun de ses patients qui retracent les événements ayant conduit à sa…
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anastasianox · 3 months
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LA PSY de Freida McFadden
Résumé: Jeunes mariés, Tricia et Ethan recherchent la maison de leurs rêves. Alors qu’ils visitent un manoir isolé ayant appartenu au docteur Adrienne Hale, une psychiatre renommée disparue sans laisser de trace quatre ans plus tôt, une violente tempête de neige les piège sur place. Et la maison n’a rien d’un cocon rassurant… Il y a ces empreintes de pas récentes sur le parquet, ces bruits à…
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Imaginary
Jessica retourne dans sa maison d'enfance avec son mari et les deux filles de ce dernier, qu'il a eu d'un premier mariage. Les relations ne sont pas au beau fixe entre elles. Alors que le père est parti sur une tournée, tout tourne au vinaigre quand l'ami imaginaire de la plus jeune, Alice, symbolisé par un ours en peluche, semble s'en prendre à l'enfant.
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Dernière sortie de l'écurie Blumhouse, ce film réunit tous les poncifs liés à cette société de production : mauvais dialogues, jumpscares intempestifs, histoire téléphonée et largement sous-exploitée et jeu d'acteur bien cringe. Ainsi, le film met longtemps à se réveiller, enchaînant des séquences longues et sans réelle tension. Les personnages n'ont aucune alchimie entre eux, et agissent de manière assez illogique, délestant le film du — peut-être — dernier recours pour éveiller un tant soit peu d'intérêt à ce qu'il raconte. Le scénario ne repose que sur des facilités scénaristiques, des jokers sortis de la manche : la rencontre avec la psy de Jessica enfant, qui elle aussi avait eu des problèmes avec son ami imaginaire, qui comme de par hasard avait sur elle l'enregistrement d'un enfant qui a vécu la même chose qu'Alice. Rien n'est vraiment vraisemblable : même en faisant l'effort, on ne peut à peine esquisser un sourire tant le film est risible.
L'apothéose est sûrement atteinte quand les trois femmes, aidées par l'ancienne voisine de Jessica, une vieille femme qui a mené des recherches sur les amis imaginaires, découvre la porte cachée à la cave, menant dans un univers imaginaire où est retenue Alice. Évidemment, la forme de la porte rappelle la prote rouge utilisée dans Insidious pour symboliser le basculement dans un univers “irréel”. Passons. Cet univers n'a rien de vraiment fou ou fantaisiste, justifiant sa qualification de monde imaginaire, et, en plus, il est très peu exploité, se révélant rapidement comme un couloir infini de portes à ouvrir. La voisine se révèle comme une méchante intermédiaire, ayant réactivé la mémoire de Jessica pour entrer dans ce monde. Elle est tuée de suite, étonnant. Le film joue encore une fois sur sa thématique principale, l'amour familial, pour sauver les personnages, usant de la fausse fin, qui n'a rien de surprenant. La figure du monstre, cette sorte d'ours disproportionné, n'est d'ailleurs montrée que quelques fois, afvant d'être complètement oublié. On a presque l'impression que le film veut jouer de ce décalage entre ce que le film montre (un petit ourson en peluche) et veut faire ressentir (une peur, une appréhension), sans réussir et en versant dans le ridicule. Même pour la cible évidente de ce film — les adolescents —, ce film n'a rien de plaisant, n'a aucune tension et ne nous fait même pas passé un bon moment. Aussitôt sorti de la salle, aussitôt oublié.
Imaginary de Jeff Wadlow 2023 — 06 mars 2024 en salle en France États-Unis
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nathalie-noachovitch · 10 months
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Psychothérapie en Ligne : Complément ou Alternative au Face-à-Face ?
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La psychothérapie en ligne suscite de nombreuses questions sur son efficacité et son adéquation par rapport aux consultations en face à face en cabinet. Dans cet article, pour Top Santé, je partage mon point de vue sur cette forme de soutien psychologique, en expliquant comment elle peut compléter le travail en cabinet et en abordant ses avantages et inconvénients. Les psychothérapies en ligne sont-elles un outil complémentaire, ou peuvent-elles remplacer totalement le face-à-face?
Mon expérience dans ces deux domaines m’a fait constater que les consultations en ligne sont plus un soutien psychologique ponctuel, parfois même du conseil qu’une prise en charge à long terme en psychothérapie. Les patients qui consultent en ligne ne sont pas ceux qui franchiraient d’emblée la porte du cabinet d’un psy., souvent du fait d’a priori sur la profession ou parce qu’ils ne voient pas la nécessité d’entamer une psychothérapie pour un problème qui leur semble ponctuel, ou parce qu’ils veulent un simple conseil. D’autres patients ont des raisons géographiques de consulter en ligne, vivant à l’étranger. D’autres encore recherchent une écoute immédiate entre deux rendez-vous chez leur psy habituel. En consultant un psy en ligne, ils recherchent malgré tout l’expérience avisée d’un professionnel de la psychologie qui aura le recul suffisant pour les aider à y voir plus clair dans une situation qu’ils vivent actuellement et qui leur semble inextricable. Mon travail consiste à les écouter bien sûr. Leur donner des pistes de réflexions peut leur permettre de débloquer une situation, les amener à s’interroger sur les bonnes questions, leur expliquer certains mécanismes psychologiques. Mais tout ne peut se traiter à distance. Mon rôle consiste alors à les orienter vers le professionnel de santé qui répondra au mieux à leur motif de consultation. Cela peut être de leur conseiller de faire une psychothérapie en cabinet ou de les orienter vers les thérapies cognitives et comportementales si la personne souffre de phobies, vers un professionnel de la relaxation pour apprendre à gérer un trop plein de stress, ou encore de prendre rendez-vous avec un médecin ou un psychiatre si la souffrance psychologique nécessite une prescription médicamenteuse. Donc pour répondre à votre question, il ne s’agit pas de psychothérapie en ligne, mais plus d’un soutien psychologique en ligne ponctuel dont les limites nécessites de savoir passer le relai quand nécessaire. Quels sont ses avantages et ses inconvénients ?
La consultation en ligne se révèle être pour certains patients un premier pas pour lever certaines barrières défensives comme la peur d’être pris pour un fou, la peur du regard de l’autre, la peur du jugement. Elle permet l’anonymat et pour certaines personnes, il est plus facile de se confier ou de révéler de lourds secrets quand la personne qui vous écoute ne connaît pas votre nom. Certains patients y trouvent un intérêt particulier, par exemple des personnes isolées géographiquement, introverties, timides, handicapées ou encore agoraphobes. Les patients vivant à l’étranger qui souhaitent un soutien psychologique dans leur langue maternel n’hésitent pas à consulter à ligne. Les contradicteurs vous diraient que nous n’avons pas ou peu accès au langage non verbal des patients. Mais que dirait-on d’un non-voyant qui pratique la profession de psy en cabinet ? Le psychanalyste qui se trouve derrière son patient, a t-il accès à cette forme de communication ? Encore une fois, il ne s’agit pas de se prévaloir de proposer une thérapie « comme en cabinet », il s’agit d’un autre modèle d’accompagnement psychologique. Comment savoir si on a affaire à une personne sérieuse ?
De façon générale, les psys qui consultent en ligne mettent en avant leurs diplômes sur leur site internet et puis il suffit parfois d’aller sur les moteurs de recherche internet pour en apprendre plus sur eux. Pour ce qui est des plateformes qui proposent les services de différents psys, je suppose que les créateurs sont garants de leur professionnalisme. Que se passe-t-il une fois le temps payé écoulé ? (j'ai pu lire que, parfois, la communication était coupée automatiquement: qu'en est-il vraiment ?)
Je ne peux vous parler que de ma pratique professionnelle. C’est moi qui gère le temps de consultation, comme en cabinet. La durée de mes consultations est annoncée sur mon site et je ne mets jamais fin à un entretien sans en avoir avisé mon patient. Si ce procédé existe, une communication coupée automatiquement, c’est un principe irrespectueux et commercial auquel je ne peux adhérer et qui va à l’encontre de mon éthique professionnelle.
#jeveuxsauvermoncouple
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zetaverein · 1 year
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Neuer Beitrag: Thérapie et zoophilie
Neuer Beitrag: https://blog.zeta-verein.de/2023/09/therapie-und-zoophilie/
Thérapie et zoophilie
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Que ce soit des suites de harcèlement, de problèmes familiaux, de la perte d’un être cher, ou tout simplement dans l’optique de mieux se comprendre, toute  personne zoo peut se retrouver amenée à envisager une thérapie. Surviennent alors d’inexorables questionnements. Dans cet article, nous allons tenter d’y  répondre.
En parler, mais pourquoi ? L’on pourrait toutes et tous avoir une bonne raison d’en parler, quoi que la tentation de s’abstenir peut-être très forte. Tout d’abord on peut se sentir mal d’être zoophile, détester cette sexualité et ne pas en vouloir. Vous n’êtes pas seul et puis regardez, cela est même commun chez les personnes LGBT. Dans ce cas-là, ne pas en parler c’est s’interdire de comprendre la source de ses souffrances. Pour d’autres, la zoophilie n’est pas directement source de souffrance, ne génère ni  honte ni dégoût, mais c’est cette peur d’être découvert, ce jugement social et ces faits divers que vous avez lus qui vous rongent. Là, en parler, c’est pouvoir exprimer ce sentiment d’injustice, s’entrainer à se dévoiler et faire face au regard d’autrui ou en tout cas à celui de votre thérapeute. Enfin, de manière générale, être zoo peut impliquer des choix, des sacrifices, qui ne peuvent être compris par votre thérapeute que s’ils lui sont exposés.
Les risques légaux Pour faire le plus large que possible, nous pouvons distinguer quatre niveaux de secret professionnel :
– il l’est mais peut choisir de faire une demande de dénonciation
– il l’est mais est obligé de dénoncer les cas de zoophilie
– le thérapeute n’est pas soumis au secret professionnel
– il est soumis au secret et la zoophile ne fait pas partie des exceptions.
En France, le secret professionnel s’applique au médecin et donc aux psychiatres, mais non pas aux psychologues (article 226-13 du code pénal), les exceptions concernent les atteintes sur mineurs ou personnes vulnérables, ainsi que les violences conjugales (article 226-14 du code pénal).
En Suisse, le devoir de garder le secret est expressément étendu aux psychologues (article 321 du code pénal) mais une demande de libération du secret peut être  faite auprès de l’autorité de surveillance (qui peut être contestée par le patient). Des exceptions visant à protéger les mineurs existent aussi.
En Belgique, il semblerait que les psychologues soient aussi soumis au secret (article 458 et 458bis du code pénal) avec des exceptions dont les pratiques zoos ne font vraisemblablement pas parties.
Enfin, suivant votre juridiction, il est possible que le thérapeute puisse porter atteinte au secret pour palier à un danger (grave) et imminent, il commet alors une  infraction mais celleci peut être justifiée par l’état de nécessité. Il n’encourt alors aucune peine. Être zoophile et avoir un animal ne remplit absolument pas de telles exigences.
Ces données peuvent évoluer, donc pour trouver votre réponse, vous pouvez déjà commencer par rechercher sur internet. Toutefois une chose est à noter, la psychologie et la psychiatrie traitent habituellement de situations qui sont mal vues par la société, voir dont la pratique est interdite. Le secret et la discrétion sont de mises car elles sont la clé de tout rapport de confiance nécessaire à la réalisation d’une thérapie. À cet effet, si exception il y a elle ne concernera que les actes commis (parfois les thérapeutes ne dénoncent pas les actes qui sont anciens) ou un risque ou danger qu’il se produise de manière imminente.
Comment pallier ces risques ? Dans un épisode du podcast zoophile américain Zooier Than Thou, le Dr Hani Miletski, spécialiste de la zoophilie, recommande de tout simplement demander au thérapeute : Qu’être-vous obligé de dénoncer ? Ou que choisiriez-vous de dénoncer ? ». À ce moment, vous devez vous dire que c’est un peu gênant puisque votre psy ne peut pas savoir ce que vous allez lui sortir et vous n’obtiendrez sûrement qu’une réponse bateau comme « tuer quelqu’un ». Vous pouvez alors enchaîner sur « et concernant les animaux ? ». Après ces questions ce sera à vous de juger en fonction de l’attitude de votre thérapeute. Vous pouvez en parler tout de suite, raconter votre vie pendant 3 mois et voir après ou tout simplement laisser tomber, vous êtes libre ! À titre d’exemple, si votre thérapeute vous explique que sa fonction n’est pas d’être procureur, que vous devez vous sentir totalement libre et que l’important c’est de parler de tout, vous devriez pouvoir aborder le sujet et rappelez-vous-en, attirance ne veut pas dire pratique, si la discussion tourne mal quand vous évoquez vos attirances, déjà c’est que vous avez un très mauvais psy en face de vous, mais aussi ne parlez pas pratique, changez de sujet ou quittez la salle et tout sera finit. Si vous ne parlez pas pratique, le risque est quasiment nul.
Un psychologue, une psychiatre n’est pas là pour vous juger et n’oubliez pas une chose, tout le monde ne pense pas comme les hard-liner de la protection animale, la plupart n’en a jamais entendu parler, aussi bien dans leurs cours que dans la presse, sauf peut-être une fois dans une blague un peu tordue. Des thérapeutes très empathiques, à l’écoute, il y en a.
Mais la zoo est considérée comme une paraphilie ? Que vont-ils me faire ? Vous avez pu lire énormément de chose des considérations psychiatriques sur la zoo, les comorbidités, les études sur des prisonniers… et maintenant il est temps de mettre tout cela de côté. Déjà parce que votre thérapeute n’a probablement jamais lu toutes ces études, mais aussi parce qu’elles ne leur apportent pas grand-chose quant à la marche à suivre dans les cas de zoophilie. Vous réaliserez donc rapidement une chose, le spécialiste dans l’histoire, c’est vous. Dans le cas hypothétique ou vous tomberiez sur un thérapeute un peu extrême, qui voudrait vous faire croire que vous êtes malade, encore une fois il ne peut en rien vous obliger à suivre un quelconque traitement, c’est la liberté de décision du patient. Rassurez-vous, dès que vous aurez évoqué la zoo ou posé vos questions sur la portée du secret, l’attitude de votre psy aura déjà trahi d’éventuelles mauvaises intentions. Suivant le fonctionnement dans assurances dans votre pays, il est possible qu’une cause ou justification puisse être à apporter pour le financement de la thérapie. Dans ce cas-là, avoir le terme « paraphilie » sur son dossier médical est quand même bien moins stylé que celui d’« orientation sexuelle ». Tout cela doit faire l’objet d’une discussion avec votre thérapeute, il doit vous demander à l’avance l’autorisation pour transmettre toute information vous concernant, et, dans le doute, dites-leur que vous ne désirez en aucun qu’une telle donnée soit transmise.
  Conclusion et témoignages L’interdiction des pratiques sexuelles sur les animaux ne porte pas trop gravement atteinte aux possibilités d’obtenir une thérapie. Parler pratique n’est envisageable que moyennant un secret professionnel pleinement garanti, néanmoins, ce n’est finalement pas nécessaire. L’important est que votre thérapeute comprenne ce qui vous anime. Si vous devez expliquer que vous avez peur que cela se sache, il suffit de lui dire qu’à un moment si tout le monde vous voit systématiquement rougir à la vue de votre jugement et passer de longue minute et renifler sa crinière cela ne passera pas inaperçu. Pour leur parler de l’injustice de cette interdiction, pas besoin d’évoquer vos expériences personnelles, vous pouvez évoquer à titre d’exemple ces chevaux qui se dirigent avec enthousiasme vers la station de prélèvement. Aller en thérapie, c’est pouvoir parler de vos frustrations, de vos tristesses, critiquer ouvertement les arguments et les méthodes des antis sans craindre de répercussions, faire crever l’abcès qu’a généré cette injustice. Ce sera peut être dur au début, mais vous n’en ressortirez que plus léger.
Fayçal, témoigne : « [j]’ai parlé de mes désirs zoophiles avec un médecin psychiatre dans le cadre d’une thérapie visant à traiter un début de burnout. Ne voulant pas à la base aborder le sujet je suis resté évasif pendant les premières séances quand les conversations tournaient autour de sujets sentimentaux. Il est possible que mon psychiatre se doutait de quelque chose puisqu’il a alors mentionné de nombreux cas de paraphilies exotiques au sein de ses patients et du public sur un ton léger afin de me mettre en confiance. J’ai fini par m’ouvrir et lui confier mon secret. Le psychiatre m’a assuré que ce n’était pas si rare que ça et que lui ne voyait pas la zoophilie comme un problème médical tant qu’elle ne causait pas une souffrance pour la personne et que l’animal n’était pas maltraité ou forcé. Sur le plan légal, il voyait relativement peu de risques à condition de prendre certaines précautions de bon sens (il a d’ailleurs écrit ‚paraphilie‘ plutot que ‚zoophilie‘ dans le dossier patient). Il m’a encouragé à expérimenter et à chercher à rencontrer d’autres zoophiles. Ces conversations et sa réaction m’ont mis en confiance, étant donné que le sujet n’est généralement évoqué dans la presse que sur un ton profondément négatif que très peu de gens osent nuancer. »
Charles Menni, Juin 2023 Twitter : @CharlesMenn
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meanpinball · 1 year
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la séance de psy hier m'a tellement aidé.
en fait je dois prendre mes émotions comme des informations que m'envoie mon corps, sans forcément y porter de jugement, et agir en conséquence en ne privilégiant ni l'auto-flagellation ni la complaisance et la recherche d'excuses.
les pensées automatiques seront toujours là, mais je dois faire de mon mieux pour ne pas les écouter et les rationaliser.
je dois juste m'écouter et écouter mon corps, et pas l'horrible voix dans ma tête qui me dit que je suis fainéant. se blâmer ça sert à rien, c'est pas comme ça que je règlerai le problème.
je dois être gentil avec moi, arrêter de culpabiliser et de me comparer aux autres, et faire au mieux pour vivre en paix avec ce nouveau fonctionnement que je suis en train d'apprivoiser.
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hestiiaa · 1 year
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#31 aout 2021
Aujourd’hui, j’ai envie de vomir constamment.
Pourquoi ? Il y a bien une raison et c’est très dur à gérer pour moi.
J’ai un petit ami, 11 mois après ce quil s’est passé, je l’aime de tout mon coeur et je suis tres bien avec lui mais le sexe me stress énormément jusqu’à m’en rendre malade.
Il est très attentionné et fait extrêmement attention de ne pas me brusquer. Il a une libido très développée et ça me fait un peu peur, car même si je ne ressens pas forcément de désir sur le moment, ça me gêne de ne pas répondre au sien.
Ça fait quelques jours que ça me trotte dans la tête et mon inquiétude ne s'est pas améliorée quand j’ai commencé faire des recherches sur Internet. Je sais que mon précèdant trauma à un rôle dans tout ça, mais aussi ma vision de la vie bien avant ça... J’ai toujours mis le sexe sur un autre niveau, je l’ai idéalisé et je dois maintenant le dédramatiser pour pouvoir avancer.
Je ressens une profonde envie de ressentir du plaisir et qu'il me donne du plaisir, mais pour l’instant tout est bloqué comme si j’étais anesthésiée.
Au tout début quand il fait glisser ses mains sur mon corps, j’ai envie que ça continue car les frissons que cela me procure sont exquis mais au moment où nos baisers se font un peu plus insistants, je stress sans doute sans m’en rendre vraiment compte et le blocage s’installe. À ce moment même sil me fait du bien, on parle plus de réflexe de stimulation du corps que de plaisir pur et dure. C’est très très très frustrant, car j’aimerais que tout soit plus simple et je sais que je dois prendre mon temps et m’écouter, mais je n’en ai pas envie.
J’ai envie d’avoir envie de lui, j’ai envie de ressentir du plaisir et du désir, j’ai envie d’avoir un orgasme et de partager ça avec lui.
Je reste focalisé sur le problème et n’arrive pas à trouver de solution. La seule chose que j’espère, c’est que mes séances avec ma psy me sauvent.
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tntky · 1 year
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centre d’euthanasie/ qu’est que je fou la ?
J’ai commencé à   ce texte en anglais puis je me   rendu compte que mon vocabulaire qu’on a tellement venter aux mérites du fait que je sois bilingue en vaut pas grand-chose. On dirait une gosse de maternelle qui apprend à former des phrases. Puis je me suis aussi rappeler que mes conjugaisons en français puent la merde. Mais j’aime d’autant plus être ridicule mais plus clair dans ce que je dis que de galérer à trouver des mots pour former une phrase qui ne sera même pas précise. Donc moi et mes fautes de grammaires on vous emmerde. Brb - je vais à un enterrement. Reprenons. Hier soir, j’ai effectué une recherche internet assez particulière. Je ne pense clairement pas être la première ou seule a lavoir fait mais en gros j’ai tapé sur google « centre d’euthanasie ».
Et après avoir scrollé au moins une douzaine d’annonce style « vous avez besoin d’aide ? appelez ce numéro gratuit », j’ai eu des informations que je connaissais déjà. Style : - C’est possible oui mais dans des pays genre la Belgique et la suisse je crois - C’est aussi possible seulement si vous êtes en fin de vie donc a la suite d’une maladie fatale ou d’un diagnostic d’un médecin style la personne est vieille ou plus dans un état de vivre, aka ce qu’on appelle être un légume. No hâte les légumes. - ça inclus plein de démarches légales de paperasses et procédure juridique. (Ah que ce monde est sérieux et dire qui a quelques années on n’avait même pas d’alphabet.)
Bizarrement c’est comme si je m’attends à tomber sur un site web disant « crée toi un compte en cliquant ici et réserve ta date de décès via notre calendrier en ligne. » J’ai déjà lu un paquet de choses sur les personnes suicidaire et le fait qu’en réalité tout ce qu’elles voulaient c’était être sauvées. Et je le confirme, étant moi-même une personne à penser suicidaire. Tout ce que je veux c’est ne plus me sentir comme ça. Mais et si c’était aussi simple que ça de mourir ? Est ce qu’on ne le ferait pas juste ? Parce que on ne va pas se mentir tout le coté souffrance, mort lente et douloureuse qu’on risque de s’infliger lors d’une tentative de suicide, très peu pour moi. En plus si ça foire non seulement tu reviens dans la société étiquetée entant que folle mais tu risques aussi de finir handicaper alors bon… Alors que là avec une assistance médicale qui t’administre je ne sais quoi jusqu’au moment fatidique, ça me parait tout de suite plus sympa.
Je parle de la mort comme si c’était quelque chose de normal. A la base, les gens voient tous ça comme quelque chose de triste et de tabou. Moi je vois plutôt ça comme une délivrance, quelque chose qui viendrais mettre fin à un état de souffrance. Alors je ne vois pas ce qui a de mal à ça. Certes tu fais souffrir ceux qui restent là, dans le monde des mortels mais toi tu ne souffre plus. Pas très étique comme procéder pour aller au paradis je suppose. Mais qu’est qu’on s’en branle du paradis quand sur terre c’est l’enfer.
J’me suis renseignée sur internet. Il semblerait que je souffre de BPD. Oui on ne peut pas s’auto diagnostiquer ce genre de choses mais moi je pars du principe que si tu t’associe au genre d’humour qu’ils postent dans le groupe Facebook de BPD et que tes childhood trauma correspondes, c’est soit une sacrée coïncidence de groupe d’adulte foutue, soit c’est bim dans le mille. Et je me dis qu’avoir changée de psy 4 fois pour finalement passer chez un potentiel psychiatre, ça aurait mener à ce genre de diagnostic. Une vie de médicaments et de thérapie. Au fond, peut être que ça m’aurait aidé à peut-être moins faire souffrir les gens autour de moi a cause de ma façon de voir le monde soit trop noir soit trop blanc. Ne pas pouvoir ressentir les onces de gris car pour moi c’est de l’hypocrisie si on pense quelque chose mais qu’on agit différemment. C’est être lâche que d’être politiquement correcte. Tout doit être classée dans des boites. Sois-tu es gentil, soit tu es méchant mais pas les deux. Sois-je suis la victime et toi mon harceleur, soit c’est le contraire. Pas de juste milieu. Verre toujours a moitie vide ou plein. Et putain que c’est épuisant de repousser tout le temps tout le monde, de pas être comprise. Et personne ne mérite un tel fardeau personne.
Je n’ai aucune confiance en moi. Je ne me sens pas assez bien pour ce monde. Pour y vivre, pour moi mon existence ne vaut rien. Et parce que je me suis mise sa en tète j’en veux au monde autour de moi d’arriver à être heureux alors que moi je galère, je n’y arrive pas. Et j’ai l’impression que cette faiblesse fait que plein de gens profite de moi, alors je les repousse tous. Je n’aime plus personne. Je les hais tout. J’aimerais qu’ils meurent tous ou pour faire plus simple, que ce soit moi qui m’en aille. Il n'y a pas de suite logique a mon histoire, je ne veux même pas connaitre la fin. Je ne veux pas d’enfants pour leurs passées mes gènes de malade mentale. Je ne peux pas m’aimer moi-même alors je n’aimerais personne d’autres. Je suis incapable d’aimer correctement sans faire de mal. Sans que ce soit trop.
J’aimerais tellement que tout ça s’arrête. J’aimerais tellement pouvoir partir, m’éteindre le cerveau et ne plus le rebrancher. J’aimerais pouvoir prendre la place des autres qui sont morts injustement alors qu’ils avaient tellement à accomplir alors que moi ? Je ne sais même pas qu’est que je fou la ?
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swedesinstockholm · 10 months
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9 novembre
mmh ok j'ai appelé la psy numéro deux j'ai rendez-vous le 21 novembre soit trois jours après mon anniversaire et j'ai décidé que c'était mon cadeau à moi-même cette année. je trouve ça sacrément cool de ma part. you fucking go girl. même si elle est nulle, au moins j'ai lancé le processus. je reste pas "seule dans mon trou" comme a dit r. dans son message tout à l'heure. j'ai dit que j'allais pas bien à m. et je l'ai dit à r. je reste pas seule dans mon trou. il m'a répondu dans la minute par message vocal dans le métro. j'avais un peu mal au ventre en les ouvrant. j'avais plus mal au ventre qu'en appelant la psy. m'ouvrir aux autres me donne mal au ventre. ou alors c'est m'ouvrir à r. qui me donne mal au ventre. ça me donne mal au ventre qu'il se soucie de moi. qu'il s'intéresse. he cares he cares he cares. he cares he cares he cares mais moi ce que je veux c'est m'allonger sur son ventre et qu'il me caresse les cheveux. he cares he cares he cares mais il fait partie du problème. j'ai lu ce matin que les personnes qui se sentaient seules prenaient des douches plus chaudes et plus longues que la moyenne pour pallier au manque de chaleur humaine. ça doit être la même histoire que le chauffage qui marche pas quand on manque d'amour. comme celui de ma chambre par exemple. je sais pas qui invente ces trucs mais, ça se tient. j'espère que je vais arriver à en parler à la psy. elle avait le nez très bouché au téléphone. elle était en arrêt maladie à cause d'une lombalgie. r. m'a dit qu'il avait souvent changé de psy et que même si je mets un peu de temps avant de trouver la bonne, le plus important c'est que j'aie pris la décision de demander de l'aide, et c'est tellement bateau comme truc à dire, mais c'est vrai, j'ai passé les six dernières années sans demander d'aide à personne, et là à neuf jours de mon 33e anniversaire j'ai décidé de m'offrir un futur, c'est pas rien. quand j'ai raccroché j'étais un peu fébrile et je suis montée chercher un nouveau carnet que j'ai entamé pour l'occasion en notant la date de mon rdv et dessous j'ai dessiné le planning de ma nouvelle routine que j'ai décidé de m'offrir en deuxième cadeau.
hier soir après être passée à la bibli je suis allée au mudam et c'était un peu nul comme d'habitude, je suis restée un moment assise devant une vidéo projetée sur trois canaux et c'était que des images de détails très zoomés et parfois y avait du texte et j'ai pas compris de quoi ça parlait mais je lisais le cartel qui disait donation allen & overy, ceux qui sont dans le grand immeuble en verre avec le pli dans la façade, juste en face du musée, et je me demandais ce que ça voulait dire. c'est qui allen & overy, c'est quoi ce nom vaseux de téléfilm et c'est quoi exactement les transactions qui ont eu lieu derrière ça? comment cette vidéo très médiocre, moins bien que mon film en tout cas, s'est retrouvée la propriété d'une firme qui s'appelle allen & overy et qui se trouve juste en face du musée et pourquoi ils l'ont ensuite donnée au musée? le fonctionnement du monde de l'art me mystifie.
11 novembre
r. m'a écrit j'espère que ça va aujourd'hui big up à toi et moi j'en peux plus de play it cool. j'ai envie de m'arracher le coeur. maintenant quand il m'écrit je me dis qu'il le fait par pitié. je suis increvable. hier soir j'étais à une table ronde sur la recherche artistique et à la fin j'ai écrit je me juge je me juge je me juge give yourself a BREAK dans les notes de mon téléphone. je m'étouffe. je juge et je condamne je juge et je condamne, j'ai la guillotine qui me tombe sur le cou au moins cinquante fois par jour. je suis jamais à la hauteur. je me condamne avant même d'avoir essayé. je me laisse zéro chance.
une femme du public a interpellé les artistes en critiquant le mouvement du post/non humain très à la mode depuis quelques années et elle l'a opposé aux sciences politiques qui selon elle devraient autant être une préoccupation que l'écologie, surtout en ce moment, et les deux artistes italiennes lui ont admirablement bien démontré que les deux ne s'excluaient pas mutuellement et je les admirais d'avoir aussi rapidement su articuler une réponse argumentée. une artiste textile canadienne leur a demandé si elles voyaient la recherche dans un contexte académique comme nécessaire à la pratique artistique, nécessaire surtout si on veut être prise au sérieux, obtenir des bourses, des résidences, etc. mais leur réponse était pas très claire. pendant la pause j'écoutais une fille qui discutait avec la fille du catering qui servait des verres de jus sur un plateau, elle disait que c'était cool de travailler sur des évènements comme ça, c'est moins stressant que le service en salle et ça fait découvrir des nouveaux endroits. j'ai envie d'interroger tous les artistes que je connais pour leur demander comment ils gagnent leur vie.
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32-kader-tahri · 1 year
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Les Mercenaires de la propagande et la désinformation :
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Israël, État voyou ?
Peut-être, mais sans réelle conséquence pour l’Algérie. Alors que la menace d’un véritable royaume-voyou aux frontières de l’Algérie est bien réelle, pour servir manifestement de proxy à Israël pour certaines opérations d’espionnages et autres afin de confirmer son rôle de chien de garde de la Juiverie.
C’est bon pour le Grand Israël ?
Chacun de ces deux états poursuit ses propres objectifs spécifiques, qui passent tous deux par des actions politiques qui piétinent les valeurs tant du  Judaïsme et que l’Islam, sans parler de ’’droits humains’’. Par médias, nous avons étés largement informés des activités de désinformation d’Israël et du Maroc, avec tout ce qui ressemble à un ''deux poids, deux mesures''
L’entité d’Israël, un État à l’idéologie du Sionisme religieux Juif toujours en recherche d’une légitimité internationale non reconnue par la majorité des pays voisins, la seule judéité n’y suffit pas pour expliquer cette colonisation sauvage de la Palestine avec une endogamie très forte dans la communauté juive, la raison en est qu’ils ont peur de disparaître...
L’atout maître d’Israël dans le monde, ce sont les fondamentalistes Chrétiens Américains (évangélistes). Leur support passe du religieux au politique par l’AIPAC, qui finance les campagnes de centaines de parlementaires choisis afin que le Congrès approuve tout ce que les gouvernements israéliens successifs demandent.
L’occident a érigé de force Israël comme État voyou par l’entremise de puissants lobbies partout dans le monde, qu’il est interdit d’évoquer sous peine d’insultes, d’antisémitisme et de rétorsions diverses et variées, par la grâce d’une Instrumentalisation ahurissante de la shoah. Un pays voyou qui est raciste, fasciste, belliqueux, xénophobe, et où les policiers tirent à balles réelles sur les manifestants, surtout s'ils ne sont pas juifs, et qui ressemble de plus en plus à un régime d’apartheid. Quand l’obsession sécuritaire masque la peur pour qui la défaite militaire signifie la mort du pays. Il est plus que certain qu’Israël disparaîtra quel que soit le temps qui lui est imparti, la finalité sera la même, un greffon ne peut être toléré longtemps par un corps qui le rejette.
Ainsi quand Israël crie au loup, tous les médias du monde  occidental font écho, et cela gonfle les financements pour Israël, mais comme toujours, Israël joue sur la ruse de la victimisation, notamment quand c’est Israël qui agresse. Toutefois, le constat général relève qu’Israël est en train de dévoiler ses traits d’extrémisme religieux fondamentaliste, aux colorations racistes, d’apartheid, ce qui fait qu’Israël accroche sans conteste la première place aux championnats du monde du mensonge. Rien de surprenant vu que cet état fait propension à jouer au poker menteur lorsqu’il s’agit de semer la zizanie diplomatique entre les nations, à qui le monde Occidental permet toutes les turpitudes sous prétexte de souffrances passées.
Nous sommes dans une guerre sans fin menée contre les populations par les fanatiques de la mafia libérale et d’individualisme, de la désinformation et la manipulation, ainsi les affaires d’espionnages électroniques se multiplient et beaucoup de ces logiciels espions sont originaires d’Israëlvéritableusine à mensonges, A l’image de Terrogence, créé en 2004, pionnier israélien de l’infiltration de forums Internet grâce à de faux profils, puis de Black Cube, fondé en 2010, et de Psy-Group, lancé en 2014 par la même équipe qui fondera par la suite Percepto et qui franchit, en son temps,un seuil en diffusant ses informations à l’aide de faux comptes et sites, un nouveau logiciel espion a été créé par l’entreprise QuaDream, fondée par un ancien responsable militaire israélien et ancien membre de la société israélienne NSO Group, créateur de Pegasus, affirme un laboratoire de recherche canadien Citizen Lab. Une précision, Quadream est plus concentrée sur l’Afrique et le monde arabe à cause de son incapacité de rivaliser avec NSO Pegasus en Europe. Toutes ces sociétés israéliennes figurent à l'avant-garde de la désinformation internationale. Désinformation et manipulation : les deux mamelles de la mafia libérale, et derrière les inexactes nouvelles, ou fake news, se cachent souvent des stratégies visant à manipuler l’opinion publique et à affaiblir les États et leurs institutions. Ainsi, la palme de carburant de mensonge, revient sans aucun à Team Jorge, une officine de diffusion de désinformation, travaillant avec des moyens considérables, planquée entre Jérusalem et Tel Aviv au cœur de la Sillicon Valley de l’État hébreu. L’affaire, toute récente, fait dans le milieu médiatique grand bruit, le scandale de cette officine israélienne n’est finalement rien d’autre qu’une nouvelle opération des services de renseignement de pointe, lesquels forment leurs agents à : espionner, infiltrer, manipuler, faire accroire, tromper l’ennemi.  
Voilà ce qu’on peut trouver sur la page Wikipédia comme définition de leurs activités : 
’Dénigrement de personnalités,
Le sabotage d’élections,
La construction de récits inventés, à l’exemple d’une  campagne en 2022 affirmant que le Front Polisario a des liens avec le Hezbollah et l'Iran.
La propagande, la manipulation de l’opinion publique (et en particulier des choix électoraux).
Team Jorge étant un groupe sans existence légale officielle, toutefois on peut tout à fait imaginer que des groupes similaires existent en Europe, aux États-Unis.
C’est avec le projet «Story Killers» qu’un consortium de journalistes internationaux, Forbidden Stories (histoires interdites), a révélé l’existence d’une société secrète israélienne, Team Jorge, spécialisée dans l’ingérence et la diffusion de fausses informations, dirigée par un ancien agent des forces spéciales israéliennes. Ses employés sont présentés comme d’anciens officiers de l’armée ou des services de renseignement, des experts en guerre psychologique ou en médias sociaux.
Forbidden Stories travaille en partenariat avec des médias internationaux et locaux pour assurer la diffusion des enquêtes et des reportages, afin d'exposer les abus de pouvoir, les violations des droits de l'homme et les scandales qui seraient autrement étouffés. L'organisation cherche à défendre la liberté de la presse et à garantir que les voix des journalistes réprimés continuent d'être entendues.
L'approche de Forbidden Stories repose sur la conviction que le journalisme d'investigation est essentiel pour une société démocratique, et que la poursuite du travail des journalistes empêchés contribue à la vérité, à la responsabilité et à la justice.
La désinformation fait référence à la propagation délibérée de fausses informations ou de contenus sournois dans le but de manipuler l'opinion publique, de semer la confusion ou de promouvoir des intérêts particuliers. Elle peut prendre différentes formes, telles que la propagation de rumeurs, la manipulation de faits, la création d'irréels comptes ou de faux sites web, et l'utilisation de techniques sophistiquées pour donner une apparence de légitimité à des informations fausses ou trompeuses.
Les plateformes en ligne sont devenues des espaces propices à la diffusion de fausses informations, en raison de la vitesse de propagation, de l'anonymat relatif et de l'absence de régulation adéquate.
La lutte contre la désinformation est devenue un enjeu majeur pour les gouvernements, les médias, les organisations de la société civile et les plateformes en ligne. Il est essentiel de développer un esprit critique et d'être vigilant face à l'information, en vérifiant les sources, en croisant les informations et en remettant en question les contenus douteux. La lutte contre la désinformation nécessite une participation active de chacun pour promouvoir une information de qualité et protéger la population et le débat public.
Il est important de noter que la lutte contre la désinformation est un processus continu et complexe. Elle nécessite la collaboration et l'implication de multiples acteurs, des efforts à long terme et une vigilance constante pour protéger la justice, la liberté de l'information et la confiance dans les médias.
Il est plus que temps pour une vigilance plus intrépide, sinon nos Algériens vont réellement penser que c’est une fuite et que le moralisme sans l’examen avec rigueur, par un jeu qui consiste à tenter de nous monter les uns contre les autres en diabolisant l’un ou l’autre, est le piège de ceux qui veulent continuer la guerre sans nous dire pour aller où et pourquoi la faire, ainsi être embarqués très loin et pour très longtemps dans une mauvaise direction.
C’est pourquoi il est de plus en plus important de démêler le vrai du faux et les discussions sur l’affaire qui monte dans ces années, le «dossier du Sahara Occidental».  C'est une véritable campagne de dénigrement tous-azimuts qui commence contre Sahara Occidental, ignoré ou presque oublié depuis 50 ans, qui revient sur le devant de la scène médiatique pro-occidentale. Minorités opprimées, condition des femmes, oppression et tout y passe. Cette population des territoires sahraouis occupés demeure toujours meurtrie par des décennies de colonisation imposée, via un monarque marocain, grand ami de l'occident et défenseur des valeurs royalistes, armé et soutenu par le monde Occidental, y compris sous forme de fourniture d'armes, qu'il utilisera abondamment. 
La désinformation dans son grand art, consiste à faire sortir une information par un organe de presse non soupçonnable et surtout  d’être partisan. La CIA faisait cela très bien avec des journaux Mexicains ou Australiens. Cela circulait un peu et était repris de façon neutre par les grands organes d’informations et une fois bien mures, les vagues rumeurs étaient considérées comme vérités spirituelles.
Tous les services de renseignements de tous les pays ont des spécialistes de la désinformation qui soit écrivent directement dans des journaux soit ont des correspondants soit sont sur le les réseaux sociaux.
Pour limiter la portée de mes propos je dirais que l’on trouve surtout en ce moment de la propagande qui est aussi une arme de services spéciaux plutôt que de la désinformation au, sens strict du terme.
Pour notre cas, un autre sujet mériterait toute notre attention : Les agents d’influence en service, leurs propagandes sont faites pour amalgamer les uns dans les autres, sont criants en actionnant les résidus du FIS, les vénales de Rachad et les chauvins du MAK et les pseudos anti-systèmes ne font que jouer une partition écrite pour eux.
Conclusion: Quand un média vous met sous les yeux une information qui vous révolte, pensez avant tout que c'est le but recherché, c'est une technique de manipulation comme une autre.
- Vérifiez la source, chaque fois que possible ?
- Repérez la récurrence d'expressions particulière, qui sont en fait des «slogans» de propagande ?
- Ne vous sentez pas obligé de prendre parti pour les camps que la presse fabrique ?
- Pensez que l'effet de suggestion est une arme dont l'usage est généralisé, mais de faire en sorte que l'information délivrée soit mal interprétée
Je pense que si la désinformation ne doit pas être confondue avec de la mauvaise information ou de la désorientation, elle existe et continuera à exister tant que l’information permettra de modeler les esprits comme l’histoire le fait.
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tellmesmthngidk · 1 year
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J'écris ici ce que je ne peux pas dire. J'aimerais avoir trouvé quelque chose de mieux, de mieux que le silence et/ou l'ignorance. Le silence radio et la suppression sur les réseaux. J'aurai aimé trouver une équilibre sain. Mais je n'arrive pas à donner cette stabilité aux gens que j'aime. Je n'arrive pas à aimer convenablement, à faire de la place aux gens que j'aime mais aussi d'être honnête avec ces sentiments toujours trop grands, que je dois vomir ou mettre des mois, des années à accepter. Tout est trop violent pour moi sauf ce qui arrive aux autres. Ça je peux gérer, le porter et même alléger l'autre. Mais je suis désolée pour toutes les personnes qui m'ont un jour aimé amoureusement. Ou amicalement. Je suis insupportable à aimer, j'aime mal. Dans le sens où j'aime sans suffisamment le montrer, j'aime d'une maniere décevante. Lente, tout sauf intense. J'inspire ce sentiment. Les gens m'aiment beaucoup, intensément, fortement. Mais c'est trop. Je ne sais pas manger les sentiments seulement le feu. Il n'y a que le feu que je sais engloutir. Mais je m'écœure des sentiments. L'amour me terrifie et que l'on m'aime m'angoisse terriblement. Mais j'aime j'aime de tout mon cœur, de tout mon corps. Ça semble si contradictoire. On dirait un animal blessé qui s'est fait mal seul. J'aime, je les aime et je les ai aimé. Tou.te.s. Mais est ce ça l'amour ? Est-ce ces sentiments ? L'intensité ou la douceur du temps. Je me déteste pour ça, cette incomprehnsion, ces sentiments que j'ai lu des milliers de fois mais que je ne sais pas ressentir ou rendre. Ces brûlures dans la gorge à cause des larmes qui vont bientôt couler m'épuisent et me donne envie de vomir. Et je vomis. Je vomis mes sentiments, les larmes, ce que je ne sais pas gérer. Pourquoi est-ce que ça me manque ? Pourquoi ça me terrifié de ne plus le ressentir ? Pourquoi ça m'angoisse rien qu'à l'idée de le revivre ? Pourquoi j'ai si peur que ça l'emporte sur les moments de grâce vécus ? Le rendez vous psy est lundi et je ne sais pas exactement de quoi je vais lui parler mais sans doute de tout ça. Mes émotions que je ne sais pas gérer alors tout est en pause, la peur quelles me dominent et leur recherche inconscientes tout le temps. Le vide constant. L'automatisation, les tca. L'abandon. Les abandons. Les états émotionnels intenses, mes crises dautomutilitions. Ma distance et mon recul qui questionnent. L'implication pour les autres et l'incapacité à parler de moi. La violence de me confier à quelqu'un. La nécessité d'être alcoliser pour parler de moi réellement ou coucher avec une personne.
Ça fait beaucoup. Même pour tumblr.
Bonne nuit, et merci.
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