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#recherche psychiatre
ayanna-tired · 2 years
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Recherche psychiatre
>Rennes, Bretagne (ou alentours)
Bonjour à toustes, j'espère que vous allez bien !
Voilà, je viens vers vous un peu désespérée... je viens de lâcher mon psychiatre (médecin) en urgence car il est TRES toxique et malsain... et il vient de me faire un sale coup inadmissible, décourageant une autre psychiatre de me prendre comme patiente... :(
Je demande partout autour de moi, et mon infirmière m'aide en appelant tous les psy... mais on ne trouve pas.
Donc voilà, si l'un-e d'entre vous aurait le nom d'un-e psychiatre pas trop mal qui prendrait quelqu'un en urgence, je serais vraiment très très reconnaissante ! Je ne pousserais pas le vice jusqu'à demander à ce qu'iel soit LGBT+ friendly, on va pas abuser, mais bon... (je rêve que ce soit une femme et qu'elle soit effectivement friendly... mais on peut pas tout avoir dans la vie et je prendrai ce qu'il y a !).
Je suis véhiculée par une asso, donc ça peut être aux alentours de Rennes (mais pas trop loin et que ça reste dans le 35).
Voilà, ayez une pensée pour moi, et si vous croyez en quelque chose ben... ayez une petite prière ! Parce que là je me retrouve sans suivi psy alors que je suis handi et que j'ai un lourd traitement...
(Précisions, je cherche bien un PSYCHIATRE, donc un médecin à même de me faire mes prescriptions et de gérer mon traitement, j'ai déjà une très bonne psychologue qui me suit :) )
N'hésitez pas à me contacter en privé ! ;)
Bonne journée à vous et bonne continuation !
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Ayanna
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chifourmi · 1 year
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Ces jours ci je me sens si légère et heureuse. Ce qui m'a complètement détruite ces 3 dernières années, aka mes études, est lentement en train de se finir. Je me sens revivre petit à petit. J'ai tellement de projets en tête. Je veux des nouveaux piercings, une nouvelle coupe, des nouveaux tatouages. Je vais passer mon permis, m'entrainer à dessiner, m'entraîner au piano, LIRE, je vais continuer les séances d'EMDR et retenter les recherches de psychiatres que j'avais abandonnées parce que j'étais démoralisée de ne trouver personne. Je vais pouvoir me reconstruire. Je vais tout faire pour. Mes pires années sont bientôt finies. Fini de stagner, fini la solitude, fini cette impression d'être emprisonnée, fini cette ville de merde, fini les mêmes petits bâtiments tous les jours, fini les exams!!!!
Mais ce qui est trop bien c'est que je me sens de plus en plus en paix avec moi-même. Je sens que je dois encore travailler énormément sur moi mais ces 3 ans m'auront au moins appris à ne rien attendre de personne et à ne pas dépendre des gens. Est-ce que la moi d'il y a 3 ans me croirait si je lui disais que maintenant j'arrive à me consoler seule sans répandre mon mal-être chez tout le monde? Et si je lui disais que je ne réfléchis plus pendant 1000 ans aux comportements de mes potes? Et si je lui disais que j'avais été choisie parmi plusieurs élèves pour partir au Canada???? Et si je lui disais que je m'étais battue jusqu'au bout pour finir mes études et que je n'ai pas abandonné à la première difficulté? Et si je lui disais que je commençais enfin à comprendre quelles personnes me faisaient vraiment du bien autour de moi?
(11/06/2023)
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rallumons-les-etoiles · 11 months
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Mon parcours de vie : Partie 3
Et voila, me voila au lycée . Nouveau départ ? Non c'est le début de la fin d'une vie lambda. Je rentres donc en 2nd général au lycée francais de Casablanca. Je me sens mal, le lycée est immense et ma detresse augmente, l'harcèlement continu, Le 19 novembre, jour de mon anniversaire, j'ai appris le décès d'une personne que j'affectionne énormement. Je m'enfonce .. A un moment; j'ai ressentis le besoin d'appeler à l'aide mais je ne savais pas comment m'y prendre, alors je decide d'arreter de travailler pour qu'ils se rendent compte qu'il y a un problème , je commences aussi à sécher les cours, au début un peu puis énormément , une professeur remarque que quelque chose ne va pas, elle dit à ma mère qu'il faut que je consultes une psychologue. Cette fois j'ai accepté. Je commence une thérapie chez une psychologue, ca me fait bizarre. A ce moment la je me scarifiais énormément et cette psychologue m'a dit : si tu continues à te scarifier j'arrête les consultations et je t'envoie chez le psychiatre. Et voila, encore un abandon. Entre temps la seule professeur qui voulait m'aider a arreter de m'aider, elle en avait marre que je la rejettes, mais comment vous dire que je ne savais pas comment réagir, j'étais beaucoup trop en difficultés pour arriver à accueillir de l'aide. C'est paradoxale pour quelqu'un qui recherche de l'aide. Qu'est ce que vous voulez que je vous dises.. Le paradoxe c'est ma vie ..Cette professeur est devenue désagreable et me gueulé dessus. Et voila, un abandon, encore. Je ne suis plus jamais aller dans son cours. Nous voila à la fin de l'année, j'ai mon dossier d'orientation en main, je devais cocher l'orientation que je souhaites mais après réflexion j'ai coché : REDOUBLEMENT ! J'ai pleuré toute la nuit. J'ai ressentis une noirceur de l'âme me traverser, j'ai à ce moment la basculer , c'est le début de l'enfer. Un enfer qui va bouleverser et va faire basculer ma vie.
La suite au prochain post ( je risques de pleurer en l'écrivant )
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nietp · 1 year
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17 septembre 2023 | Par Caroline Coq-Chodorge
Le psychiatre Mathieu Bellahsen dénonce, dans le livre « Abolir la contention », la banalisation de cette pratique en psychiatrie, présentée comme un soin, alors qu’elle consiste à attacher les patients. À ses yeux, elle relève d’une « culture de l’entrave », un penchant naturel de la psychiatrie, qui exige des contre-pouvoirs.
« Abolir la contention », c’est la proposition du psychiatre Mathieu Bellahsen, dans un livre qui vient de paraître. Elle est provocatrice tant cette pratique – qui consiste à immobiliser, en les attachant, les patientes et les patients jugé·es trop agité·es – est répandue : en psychiatrie, dans les Ehpad ou aux urgences. En 2021, 10 000 personnes auraient subi une contention en établissement psychiatrique, un chiffre très en-deça de la réalité puisque ces pratiques ne sont pas toujours déclarées. Régulièrement, la contrôleuse générale des lieux de privation épingle des établissements de santé pour des atteintes aux droits humains dans leur pratique de la contention.
Pour le Dr. Bellahsen, ces pratiques relèvent d’une culture de l’entrave, une autre forme de culture de la domination, propre à la psychiatrie. Il affirme que la contention n’est pas indispensable : il l’avait bannie dans le pôle qu’il a dirigé à l’hôpital de Moisselles (Val-d’Oise). Environ 15 % des établissements psychiatriques n’y auraient pas recours. Mais loin d’être encouragés pour leurs bonnes pratiques, ils sont souvent sanctionnés ou menacés.
Pour écrire votre livre, vous avez recueilli les témoignages de personnes qui ont vécu la contention. Ils décrivent tous une expérience violente, douloureuse, traumatisante, qui a parfois brisé toute confiance dans l’institution psychiatrique. Ces récits vous ont-ils surpris ?
Mathieu Bellahsen : J’ai souhaité apporter ma pierre à l’édifice, sur un point qui n’est jamais abordé : comment se passe-t-on de ces pratiques ? Ma femme [la psychiatre Loriane Bellahsen – ndlr] m’a soufflé l’idée des témoignages, car c’est ce à quoi nous œuvrons depuis longtemps : que les premiers concernés prennent la parole, pour sortir de l’ordinaire de la psychiatrie, écrite par ceux qui ont le pouvoir… Et cela a été permis par les associations HumaPsy, Comme des fous et le Cercle de réflexion et de proposition d’actions sur la psychiatrie (CRPA).
Cette culture de l’entrave est un penchant naturel de la psychiatrie, qui se développe quand les conditions politiques y sont favorables.
Je savais que la contention était une expérience traumatique. En premier lieu pour les patients et aussi pour certains soignants. Ce qui m’a frappé, c’est à quel point les récits de ces violences ressemblent aux récits des violences sexuelles, de viol, d’inceste. On est sur un lit, attaché, des gens nous font des choses et on ne peut pas se défendre. Pour des personnes qui ont vécu des violences sexuelles – et elles sont nombreuses en psychiatrie – l’expérience de la contention réactive leur traumatisme.
J’ai aussi recueilli le témoignage d’un ami d’une personne morte en contention. C’était important d’avoir le récit de proches, et d’évoquer les morts. D’après un rapport de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), il y aurait eu 42 morts en contention entre 2011 et 2019. Mais l’agence reconnaît elle-même que ce sont des décès volontairement signalés. Combien ne sont pas déclarés ? Les patients craignent des représailles, et leur parole est très souvent invalidée.
Dans votre travail de recherche, vous avez constaté qu’il y a très peu d’études sur ces pratiques, leur efficacité éventuelle ou leurs risques.
J’ai trouvé 300 articles dans la littérature internationale depuis les années 1970, et dans tous ces articles, il y a une constante : le manque de données. Par comparaison, il y a 110 000 articles sur les psychotropes. Cela indique que la contention mécanique est une pratique honteuse. Des études s’intéressent au vécu des soignants, très peu au vécu des patients.
En 2016, il y a eu un engagement politique à réduire les pratiques d’isolement et de contention. Elles n’ont en réalité cessé d’augmenter, comme le montre une étude récente.
En France, ces données sur l’isolement et la contention sont très récentes. Elles ne sont recueillies que depuis 2016 et réellement analysées que depuis quelques mois par des chercheurs. Et elles ne sont pas complètes : le récent rapport de la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) sur le centre hospitalier de Niort relève que les mesures d’isolement et de contention n’y sont pas enregistrées.
Vous parlez d’une culture de l’entrave, par analogie avec la culture du viol. De la même manière, elle se dévoile parfois, comme à l’hôpital Sainte-Anne à Paris en 2010.
Deux services de l’hôpital Sainte-Anne à Paris ont accepté qu’un documentaire – Sainte-Anne, hôpital psychiatrique de Ilan Klipper – soit tourné dans ses murs. Avant sa diffusion, en 2010 sur Arte, il a été présenté au personnel et à la direction. Aucun patient n’était présent. Il a été reçu positivement, ces premiers spectateurs ont trouvé que de l’humanité se dégageait du film.
Mais à sa diffusion, il a fait scandale : les spectateurs ont découvert de la maltraitance ordinaire, des brimades, des mesures de rétorsion. Le documentaire montre des personnes attachées, parfois presque nues, malmenées verbalement par des soignants. Ce documentaire a été retiré et interdit de diffusion. Les chefs de service, dont l’un était aussi président de la commission médicale d’établissement de l’hôpital Sainte-Anne, ont été sanctionnés par l’Ordre des médecins de peines d’interdiction d’exercice.
Cela illustre bien la culture de l’entrave, cette culture de la domination, qui conduit à attacher les patients « pour leur bien ». Les soignants et la direction de cet hôpital n’ont pas vu l’horreur de ce qui était montré.
Cette culture de l’entrave est un penchant naturel de la psychiatrie, qui se développe quand les conditions politiques y sont favorables. C’est la phrase de Lucien Bonnafé : « On juge du degré de civilisation d’une société à la façon dont elle traite ses fous. » Elle a régressé à des moments clés, politiques : après la Révolution française avec Philippe Pinel, le libérateur des aliénés ; après la Seconde Guerre mondiale et l’horreur concentrationnaire, avec le développement de pratiques désaliénistes et de la psychothérapie institutionnelle.
Aujourd’hui, on vit dans une société traversée par l’obsession sécuritaire, la peur des migrants, des fous. Les soignants sont aussi traversés par tout ça. L’emmurement du monde produit un emmurement des relations humaines.
De nombreux psychiatres présentent la contention comme un soin, une manière de contenir le patient. Pourquoi est-ce que cela vous révolte ?
La psychiatrie actuelle enrobe ses pratiques douteuses, voire sadiques, sous des concepts progressistes et positifs. En 2021, Olivier Véran, alors ministre de la santé, a parlé devant l’Assemblée nationale de « la dimension thérapeutique de l’isolement ». La contention mécanique est une mesure de contrôle. Peut-être que l’on ne peut pas faire autrement dans certaines situations, mais de là dire que c’est « un soin »…
Cette culture de l’entrave est soutenue de manière officielle.
Des psychiatres argumentent que la contention apporte de la « contenance psychique ». Qu’est-ce que c’est que la contenance ? C’est la manière dont l’enfant, parce qu’il est regardé, porté, bercé, prend conscience des limites de son corps. Le bébé, au départ, ne distingue pas son corps du monde environnant. Chez certains malades psychiatriques, leur corps vécu n’est pas limité à leur corps charnel. On le voit notamment chez des personnes qui se promènent avec des tas de sacs, d’objets, qu’ils perçoivent comme des parties de leur corps. Contention vient du latin contentio, « tension », tandis que la contenance provient de continere, « maintenir uni ». Cela n’a rien à voir. Amalgamer la contention à la contenance est une entreprise de banalisation de la violence.
En psychiatrie, il y a une autre manière de travailler sur la contenance : le « packing », qui a été fortement décrié. Vous racontez avoir utilisé cette technique.
Le packing permet de se passer de la contention. La différence essentielle est que le patient y consent. Par exemple, je raconte que lors d’une garde, j’ai été appelé dans un autre service pour contentionner un patient. Heureusement, j’y allais avec des collègues qui étaient aussi formés au packing. On l’a proposé au patient, qui l’a accepté : à quatre soignants, on l’a enveloppé, massé, bercé, il a pu se détendre. On a pu comprendre que ce patient était furieux parce que sa famille n’était pas venue le voir. Après ce soin corporel psychothérapique, il n’a pas eu besoin de contention mécanique.
Au niveau juridique, des avocats et des associations d’usagers bataillent pour un encadrement des pratiques d’isolement et de contention. Chaque isolement, et a fortiori toute contention, doit être encadré par un certificat médical, et peut être contesté devant le juge des libertés et de la détention. Mais là encore, ce combat est perverti : vous estimez qu’en encadrant ces pratiques, on les a légitimées.
Oui, parce qu’il n’y a pas eu de débat de fond sur ces pratiques, on en est restés à de la pure forme. En psychiatrie, on devrait dire ce qu’on fait, et rendre des comptes. Mais qu’a fait le gouvernement ? Dans le même temps où on demande à l’hôpital psychiatrique de fournir des certificats, on diminue ses moyens. Aujourd’hui, dans nombre d’hôpitaux, ce sont des intérimaires, qui ne connaissent pas les patients, qui font des certificats à la chaîne. Il fallait au contraire investir dans le service public de psychiatrie, pour moins isoler, attacher, médicamenter et hospitaliser sans consentement.
Aujourd’hui, ces certificats sont souvent vécus comme une contrainte administrative supplémentaire.
Environ 15 % des établissements ne pratiquent pas la contention. C’était le cas du service que vous avez dirigé à l’hôpital de Moisselles. Mediapart a enquêté sur la façon dont vous avez été démis de vos fonctions par la direction, dans le cadre d’un conflit sur la pratique de l’isolement au moment du confinement en mars 2020.
Mathieu Bellahsen, psychiatre. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Dans notre secteur, la contention était bannie. Les portes restaient ouvertes, même pour les personnes hospitalisées sans consentement. On pratiquait l’isolement, mais de manière aussi courte et séquentielle que possible. Et on essayait d’en faire un moment qui crée du lien. On contactait tout de suite la famille, l’entourage. Et pour que le patient s’acclimate au service, on autorisait d’emblée la pause clope, voire la participation aux repas.
Nous tentions de développer une contre-culture du soin, les patients étaient au cœur de nos pratiques, on était au point de bascule où certains des dispositifs de soins se construisaient avec eux. Mais cela bousculait l’ordre établi.
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Collectivement, nous avons été naïfs : nous pensions qu’il y avait suffisamment de contre-pouvoirs dans l’établissement et en dehors pour qu’on soit soutenu. La Haute autorité de santé, le CGLPL, nous félicitaient régulièrement pour nos pratiques respectueuses des droits des patients. Cela flattait la direction, j’ai même été nommé « pilote droit des patients » avant le Covid.
Quand le premier confinement a commencé, la plupart des patients comprenaient la nécessité de l’isolement volontaire. Un de nos patients, dès février 2020, quand personne ne prenait ce virus au sérieux, nous a même dit : « Vous les soignants, n’approchez pas, vous allez me contaminer ! » Prescience du délire, il avait tout pigé avant tout le monde.
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Pourtant, dans plusieurs services de cet hôpital, les patients étaient systématiquement isolés dans leur chambre, porte fermée à clé notamment dans l’unité Covid.  J’ai saisi la CGLPL avec des collègues du collectif de soin, pour alerter sur cette confusion entre le confinement sanitaire et l’isolement psychiatrique. Elle nous a donné raison, et elle a publié une recommandation en urgence de portée nationale. J’ai pensé que l’hôpital ferait amende honorable comme l’avait fait le Centre psychothérapique de l’Ain, qui s’est remis en question de fond en comble (lire notre article). Il n’en a rien été. Et cela s’est retourné contre nous.
Une plainte devant le tribunal administratif est en cours pour dénonciation calomnieuse et harcèlement, retrait de chefferie abusive. Je suis aidé par le Défenseur des droits et la Maison des lanceurs d’alerte, car mon statut est compatible avec celui de lanceur d’alerte.
Vous n’êtes pas seul à subir des rétorsions.
Cette culture de l’entrave est soutenue de manière officielle, il y a de nombreux autres exemples. Le CGLPL a écrit en mars 2022 au ministre de la santé Olivier Véran, pour l’alerter sur la restructuration de l’hôpital de Chinon (Indre-et-Loire), qui menace les pratiques exemplaires de l’établissement, où il n’y a ni isolement ni contention. Olivier Véran a choisi de soutenir la restructuration, pour résorber la dette de l’établissement.
L’hôpital de Laragne (Hautes-Alpes) développe depuis des années une contre-culture. Il a refusé les crédits alloués pour créer des chambres d’isolement. Pour cette raison, l’Agence régionale de santé menace aujourd’hui de lui retirer son agrément pour des hospitalisations sans consentement. Par contre, les hôpitaux épinglés par le CGLPL pour leurs pratiques n’ont eux pas de problème… On étouffe ceux qui essaient de faire autrement.
En écrivant ce livre, j’ai compris qu’il y a un fourmillement d’initiatives de soignants et de patients, partout dans le monde. Localement, les gens essaient d’avoir d’autres imaginaires, allant de l’anti-psychiatrie à des pratiques de psychiatrie critique. La psychiatrie a besoin de contre-pouvoirs pour limiter ses penchants asilaires.
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Cet article a été modifié, le 18 septembre à 11h, pour intégrer quelques précisions. Le chiffre officiel de 10 000 contentions pratiquées en France en 2021 est largement sous-estimé, car seuls les établissements psychiatriques ayant une autorisation d'hospitalisation sous contrainte ont une obligation de déclaration. Or la contention est pratiquée bien plus largement.
Ensuite, l'encadrement juridique de l'isolement et de la contention fait suite à des procédures portées par des avocats défendant des personnes ayant subi ses pratiques, soutenus par des associations d'usagers, notamment le Cercle de réflexion et de proposition d’actions sur la psychiatrie (CRPA).
Enfin, ce n'est pas en 2011, mais en 2016, par la loi de modernisation de notre système de santé, qu'a été fixé un objectif de réduction des pratiques d'isolement et de contention.
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hope-and-roll · 1 year
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Phyllis Avery
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"The man of knowledge must be able not only to love his enemies but also to hate his friends." — Friedrich Nietzsche
“People talked more openly to a psychiatrist than they did to a priest because a doctor couldn't threaten them with Hell” ― Paulo Coelho, Veronika Decides to Die
- Phyllis Thalie Euphemia Avery - Née le 5 avril 2008 - Originals - Anglo-américaine - Sang-Pur - Biromantique, asexuelle - Ilvermorny, Serpent Cornu (à partir de la cinquième année)  - ENTJ - Psychiatre et chercheuse en psychiatrie - Fourchelang - Elizabeth Wheeland.
~ Fille de Romulus et Venus Avery, née Santiago ~ Petite soeur de Justice, Euryale et Callisto Avery ~ Grande sœur de Dorea Avery ~ Nièce de Jake, Hypnos et Ganymede Santiago ~ Nièce par alliance de Calista Rowle, Cérès Dolman et Hera Dorkins ~ Cousine d'Amy, Phoebus, Hermes et Asterion Santiago * Amie d'Isabel Gracia  * Petite-amie de Lizzy Roseblood Phyllis est la descendante de deux familles de Sang-Pur très anciennes et puissantes, ancrées dans des valeurs puristes extrémistes. Venus Santiago, Américaine, est issue d'une puissante famille, à la tête du pouvoir politique et économique des États-Unis, et avides de s'ancrer en Grande-Bretagne. Romulus Avery, Britannique, était le dernier descendant mâle de sa famille, un homme pervers et violent, un ancien Mangemort qui, mineur pendant la seconde guerre, avait prétendu avoir été forcé par son père et n'avoir pris part à aucune bataille. On l'avait cru, il avait repris une place idéale dans la société des Sang-Pur et travaillait au Magenmagot depuis ses dix-sept ans.
Après leur mariage en 1999, Romulus s'est montré plutôt doux et prévenant vis-à-vis de sa femme. Ils vivaient à Stoneshold, un manoir situé au Nord-Est de la lande anglaise, à Val-de-Brume Mais elle ne lui « donna » que des filles, ce qui était un drame pour le patriarche : le sexe féminin étant le sexe faible chez les Avery comme chez les Santiago, elles ne valaient rien. Ce n'étaient pas des héritières. Aussi, Romulus a très vite laissé tomber le masque, commençant à battre et violer régulièrement son épouse. Celle-ci souffrait d'une dépression depuis la mort de sa dernière fille, Dorea, grande prématurée, et les nombreuses fausses couches qu'elle avait subies après.
Phyllis, née le 5 avril 2008, est la quatrième fille Avery, avant-dernière née, mais dernière enfant survivante. Elle a trois sœurs aînées : Euryale, née le 8 juillet 2000, Justice, née le 31 janvier 2004, et Callisto, née le 12 mars 2005.
Elle est aveugle de naissance, ce qui ne peut être changé par la magie. De ce fait, elle a toujours été abhorrée par son père. Le seul but de Romulus était de marier ses filles aux meilleurs partis possibles, pour enrichir et « purifier » sa famille. Mais dans la communauté puriste anglaise, une femme handicapée était comparable, voire pire qu'une femme valide d'origine moldue. Il cacha Phyllis au monde, n'en faisant jamais mention. Elle symbolisa dès sa petite enfance l'échec de son union avec Venus. Alors qu'il ignorait les trois premières, il insultait Phyllis dès qu'il la croisait, et ne se privait pas de l'éloigner de son chemin de gifles ou de coups de pied.
Il refusa qu'elle aille à Poudlard, lui payant un professeur privé, qui lui enseigna également le braille. Phyllis fut très attachée à lui, mais il ne fit jamais rien qui eût pu lui laisser penser qu'il l'affectionnait également. Cependant, il eut le mérite de lui acheter des dizaines de livres en braille.
Heureusement, il était rarement à Stoneshold, alternant entre les soirées mondaines, son travail et la recherche de futurs maris pour ses filles. C'était Venus qui s'occupait de ses filles, avec tout l'amour du monde. Elle fit tout pour les protéger de la violence de Romulus, prenant tout sur elle. Malheureusement, elle avait une santé très fragile, étant anémique de base, et quotidiennement battue.
A l'âge de 12 ans, Euryale commença à développer des comportements étranges, instables. Ses pensées étaient floues, désordonnées, son raisonnement était illogique, ses sentiments chaotiques et imprévisibles. Elle avait toujours été spéciale, avec ses troubles de l'attention et de la concentration, son imagination débordante, sa famille crut d'abord que c'était le début de l'adolescence qui accentuait ses bizarreries. Mais il n'en était rien. C'étaient les premiers symptômes de sa schizophrénie, que les Avery ne reconnurent pas, n'ayant aucune connaissance en psychiatrie. Euryale plongeait de plus en plus souvent dans des délires paranoïaques : elle avait l'impression qu'une force mystérieuse la contrôlait, elle entendait la voix de cette entité, elle voyait des choses qui n'existaient pas. Peu à peu, son existence lui fit l'effet d'un cauchemar éternel. Pendant ses crises, elle était terrifiée, et le reste du temps, anxieuse. Elle ne parvenait plus à s'exprimer correctement.
Venus, Justice, Phyllis et Callisto pensèrent que leur sœur était folle. Elles étaient très tristes à l'idée de perdre Euryale, et paniquées en pensant que Romulus pourrait vraisemblablement la tuer, car elle ne serait plus bonne à marier. Elles la cachèrent donc dans l'aile droite de Stoneshold, anciennement réservée à Chloris, la mère de Romulus, et où plus personne n'allait depuis la mort de celle-ci. Comme les crises de panique d'Euryale redoublaient quand elle était seule, ses sœurs s'arrangeaient pour aller la voir tour à tour pendant une heure ou deux. Romulus étant rarement à Stoneshold, et ne découvrit pas le secret avant des années. Les elfes de maison, qui devaient obéir au maître, n'étaient pas dans la confidence, de peur qu'ils caftent malgré eux.
Le 4 mai 2014, Venus mourut sous les coups de son mari, sous les yeux de ses filles. Phyllis avait six ans, Callisto neuf et Justice 11. Ce fut Justice qui alla annoncer la mort de leur mère à Euryale. En l'apprenant, la jeune fille perdit le contrôle d'elle-même. Furieuse, elle tenta d'étrangler sa petite sœur, qu'elle ne reconnaissait plus. Justice eut le temps d'appeler très fort à l'aide, et Phyllis et Callisto la sauvèrent en assommant Euryale à temps. Mais cet évènement laissa des marques : physiques, sur le cou de Justice, et mentales, sur chacune d'elles. La jeune fille traumatisée supplia ses sœurs d'enfermer Euryale dans une salle et non dans une immense aile. Phyllis et Callisto y consentirent, et Euryale vécut désormais dans la pièce blanche – nommée ainsi, logiquement, car tout dans ce lieu était d'un blanc immaculé, censé l'apaiser. Pour l'occuper, il y avait une grande bibliothèque.
Justice partit à Poudlard, et Phyllis et Callisto l'envièrent. Elles aussi, elles voulaient s'échapper de cet endroit maudit, même si elles n'auraient pas voulu laisser leur mère seule avec leur père. Enfant, c'était Phyllis qui initiait tous les jeux, c'était elle qui attribuait les rôles, qui créait les histoires. Sa créativité leur mettait du baume au cœur.
Les années suivantes représentèrent la descente aux enfers, dans une noirceur toujours plus profonde, de la famille Avery. Romulus ne pouvait plus assouvir sa violence sur sa femme, il battait donc ses filles – avec des sortilèges, pour ne laisser aucune trace. Il avait perdu son peu d'humanité il y a longtemps, cédé à la colère. En parallèle, Phyllis avait fait des recherches à l'une des bibliothèques de Stoneshold et appris qu'Euryale était schizophrène. Elle expliqua la maladie à Callisto et Justice. Callisto prit le parti de Phyllis, et elles prièrent ensemble leur aînée d'aider Euryale, au lieu de la garder enfermée dans une petite pièce, comme en prison. Mais les seuls médicaments qui pouvaient apaiser un petit peu Euryale étaient moldus. Elles étaient constamment surveillées, et ne pouvaient sortir. De plus, Justice était terrifiée de la réaction que pourrait avoir Romulus s'il découvrait l'entière vérité. Et au-delà de ça, elle ne voulait plus qu'aucune d'elles n'interagisse avec Euryale, si ce n'est pour lui donner de la nourriture. Ces conflits scinda le trio de sœurs en deux : Justice d'un côté, Phyllis et Callisto de l'autre.
Les Santiago avaient pour coutume de se réunir tous dans l'un de leurs manoirs à Noël – ils ne fêtaient pas le Nouvel An, trouvant cela inutile. Ils alternaient chaque année, et en 2015, ce fut au tour du manoir de Stoneshold de recevoir. Romulus se fit une joie d'accueillir sa belle-famille. Il n'allait pas bien. La société sorcière le détestait, à cause de son implication soupçonnée dans les méfaits des Mangemorts et la sombre réputation de sa famille. Quant aux Sang-Pur, ils le méprisaient de plus en plus, car il n'avait aucun héritier mâle. Il avait dépensé une bonne partie de la fortune familiale dans de somptueuses réceptions pour sauver sa réputation auprès des Sang-Pur, en vain. Personne ne souhaitait épouser l'une de ses filles, ni même lui, car les Avery n'avait plus rien de spécial à apporter en guise de dot. Même sa place au Magenmagot était menacée. Romulus perdait tout, petit à petit. Il voyait en cette réception le moyen idéal de manipuler sa belle-famille pour qu'elle lui prouve son soutien et sauve sa réputation. Cependant, les Santiago se doutaient qu'il n'y était pas pour rien dans la mort de Venus, bien qu'il leur ait dit qu'elle était morte en tombant dans les escaliers. Mais ils n'avaient aucune preuve, que des soupçons. Ils venaient une dernière fois à Stoneshold pour se délecter de la chute des Avery.
Au cours de ce repas, il y eut une terrible dispute. Jake, Hypnos, Ganymede, William et Amelia accusèrent ouvertement Romulus de la mort de leur sœur ou fille, Venus. Le soir du 24 décembre 2015, l'alliance Avery-Santiago se brisa. Les Santiago ne reprirent plus jamais contact. Ils gardaient précieusement leur moyen de pression sur Romulus : leur accusation d'avoir tué Venus – bien qu'ils n'aient pas de preuves. Quant à Justice, Phyllis et Callisto, ils ne leur accordaient aucune importance.
En parallèle, un évènement autrement plus dramatique se déroula peu après minuit, alors que les Santiago rassemblaient leurs affaires pour quitter Stoneshold et retourner aux États-Unis, bien plus tôt que d'habitude. Chacun étaient dans leurs appartements, en train de prendre leurs valises qu'ils n'avaient qu'à peine ouvertes. Phyllis dormait déjà – ou plutôt, essayait, inquiète à l'idée que ses sœurs et elles soient livrées à elle-même sans le soutien des Santiago. Justice accompagnait son cousin et meilleur ami Hermes dans ses appartements, faisant de longs détours pour pouvoir discuter et se dire au revoir, en se promettant de se revoir une fois majeurs, de s'écrire beaucoup de lettres d'ici là. Quant à Callisto, elle profitait que tout le monde soit occupé pour essayer de délivrer Euryale de la pièce blanche. Elle n'avait pas une meilleure relation avec sa sœur schizophrène que Justice ou Phyllis, elle avait simplement un plus grand coeur, plus d'empathie, était plus impulsive et irréfléchie, fonctionnant avant tout à l'instinct. Cela causa sa perte.
Euryale fit une crise de panique quelques minutes après que Callisto soit entrée dans la pièce blanche. Ses cris attirèrent Justice et Hermes, qui se précipitèrent. Ils ne purent rien faire d'autre que de voir la magie incontrôlée d'Euryale (évidemment, elle n'était jamais à Poudlard) envoyer violemment Callisto contre le mur. Son crâne se fendit, elle perdit son sang si vite qu'elle mourut en quelques minutes, dans le chaos le plus total.
La nuit du 25 décembre, le secret de la « folie » d'Euryale éclata au sein de la famille Avery-Santiago. Cela précipita encore plus le départ des Santiago, qui n'attendirent pas le Portoloin qu'ils avaient créé et transplanèrent, chaque famille dans son manoir. Hermes n'eut même pas le temps de dire au revoir à Justice. Il avait encore le sang de Callisto sur les mains et les vêtements. Les Avery restèrent seuls : Romulus, Justice, Phyllis et un cadavre.
Callisto fut enterrée le 26, dans le cimetière privé de Stoneshold, à côté de Chloris. Venus avait été enterrée dans le caveau des Santiago, aux États-Unis. Romulus prit quelques jours pour réfléchir à sa décision, mais choisit d'assassiner Euryale. Elle n'était pas seulement impossible à marier ou honteuse, elle était dangereuse. Mais elle le précéda. Il la retrouva pendue dans la pièce blanche au matin du 5 janvier 2016. Euryale fut enterrée à côté de Callisto. Phyllis avait huit ans.
Et les ténèbres s'épaissirent. Romulus prétendit que ses filles étaient mortes de la même maladie génétique que Venus. Les Santiago le laissèrent mentir, mais s'arrangèrent pour que plus aucune famille de Sang-Pur d'Angleterre et des États-Unis n'ait encore des contacts avec les Avery. Ils firent de faux procès à Romulus pour récupérer l'héritage de Venus, le laissant ruiné. Il ne lui restait plus que son manoir et son statut de sang, mais sa famille était condamnée à l'oubli et à la déchéance. Phyllis reprocha la mort de ses sœurs à Justice, qui sombra dans une dépression. Mais la fillette ne le comprenait pas : elle ne voyait que sa sœur qui s'éloignait d'elle, qui l'abandonnait alors qu'elles venaient de perdre leurs deux sœurs, qu'elle restait toutes les vacances à Poudlard pour échapper à Romulus – oubliant que, de fait, Phyllis devenait sa seule cible. De plus, l'alcoolisme de Romulus et son déclassement social le rendait d'autant plus violent, et elle était terrorisée. Elle était véritablement en danger, se retrouvant très souvent avec des blessures graves, des fractures que son père daignait soigner si elle consentait à le supplier.
À l'âge de onze ans, Phyllis reçut sa lettre pour Poudlard, et Romulus la déchira. Il était impensable non seulement qu'elle parvienne à étudier, mais également que les autres sachent qu'une fille Avery était handicapée.
La jeune fille écrivit plusieurs lettres aux Santiago, dans lesquelles elle leur expliquait la situation, leur demandant de l'adopter. Pendant des années, celles-ci restèrent sans réponse. Les Santiago finirent par accepter – c'était Hermes qui avait trouvé une lettre de sa cousine dans une poubelle, et qui avait négocié auprès de ses parents.
L'été de ses treize ans, elle reçut une lettre marquée du sceau d'un serpent enroulé sur lui-même, le blason des Santiago. Elle parvint à négocier un accord avec eux : elle renonçait à son héritage du côté maternel et obtenait leur soutien judiciaire en échange. Phyllis accepta sans hésiter : elle désirait gagner son argent en travaillant plus tard, comme tout le monde.
Son oncle et sa tante lui proposèrent également de changer de nom de famille, ce qu'elle refusa, pas par loyauté envers son père, mais par conviction que les Santiago n'étaient pas non plus des anges. Hypnos le prit mal, mais finit par l'accepter.
Il fut également décidé, de façon très naturelle, qu'elle aille à Ilvermorny. Les Santiago, bien que conscients de son handicap, avaient une telle arrogance que pour eux, Phyllis n'allait aucunement dégrader leur réputation – au contraire, ils apparaîtraient aux yeux de la société magique américaine comme des sauveurs. Néanmoins, elle ne pouvait pas tout de suite faire son entrée en troisième année : elle avait un retard conséquent, n'ayant appris que la théorie magique, et aucun sortilège, et ne possédant même pas de baguette.
Tout cela, ce furent Hypnos et Cérès Santiago qui s'en chargèrent. Phyllis leur était très reconnaissante, même s'ils ne se laissaient jamais aller à quelconque signe d'affection ou d'attention envers elle. C'était déjà mieux que tout ce qu'elle avait connu.
En parallèle, sa relation avec Justice s'était définitivement brisée. Phyllis lui reprochait non seulement sa responsabilité dans la mort d'Euryale et Callisto, et sa fermeture d'esprit par rapport à la schizophrénie de leur aînée qui avait selon elle causé le drame, mais aussi son silence. Justice n'envoyait jamais de lettres. Quand Phyllis l'avait informée qu'elle partait aux États-Unis, et lui proposait de la rejoindre, elle avait juste refusé, disant qu'elle avait une vie à Poudlard. Phyllis la trouvait égoïste, froide, ingrate.
Lorsqu'elle lui proposa de témoigner lors du procès contre Romulus, Justice refusa, ce qui signa la fin définitive de la relation entre les deux sœurs. Phyllis lui en voulait car elle, elle n'avait pas le choix. La bataille juridique dura un an, et fut rude. Il n'était pas question pour les Santiago de s'occuper de tout et de laisser Phyllis en-dehors de ça, sous prétexte qu'elle n'était qu'une adolescente. Elle dut écrire son témoignage, s'exprimer devant tous les juges, raconter son enfer à quasiment toute l'Amérique, le procès étant très médiatisé.
Heureusement, elle avait le soutien d'Hermes. Ils avaient l'impression d'être la seule famille l'un de l'autre, n'étant proche de personne d'autre de vivant. En plus, ils partageaient les mêmes souvenirs douloureux, à quelques exceptions près. Ils avaient tous les deux été abandonnés par Justice. Ils se sentaient tous les deux différents. Ils aimaient les mêmes choses. Hermes l'aidait à s'entraîner à lancer des sorts, à réviser les cours de la première à la troisième année, il lui parlait d'Ilvermorny, des profs, de ses camarades, de ses amis.
Durant l'été 2023, les justices magiques américaine et anglaise tranchèrent : Romulus Avery fut condamné à perpétuité à Azkaban pour collaboration avec Voldemort, meurtre et maltraitance. Il n'avait pas rédigé de testament, Justice et Phyllis héritèrent donc de la faible somme d'argent restante et du manoir de Stoneshold. Phyllis renonça au manoir.
Et à la rentrée, elle entra à Ilvermorny. C'était le calme après la tempête, la normalité après une vie de cauchemar, la nouveauté à chaque pas. Elle s'était imaginé ce qu'était le quotidien dans une école de magie depuis que Justice était entrée à Poudlard, quand Phyllis avait cinq ans. Mais elle eut beaucoup de mal à s'y faire. Elle n'avait jamais été au centre de tellement de monde, de tellement de bruit. Heureusement, Hermes l'aidait, et elle avait appris beaucoup de sortilèges créés par des sorciers aveugles pour l'aider à s'orienter dans l'espace et faire ses devoirs. Elle se révéla être une excellente élève, à la mémoire phénoménale, toujours avide de connaissances. Elle se noyait dans le savoir pour éviter de penser. De se souvenir.
Phyllis devint psychiatre, puis chercheuse en psychiatrie jusqu'à sa mort. Elle ne prit jamais de retraite, toujours avide de connaissances.
Phyllis Avery est une fille brillante. Elle adore lire, est dotée d'une mémoire phénoménale et a toujours excellé dans toutes les matières à Poudlard. Mais elle ne s'arrête pas à la partie émergée des connaissances mises à disposition des sorciers. Elle va toujours chercher plus loin. Ainsi, elle est aussi très douée en mathématiques, son esprit est rapide et logique. Elle a un faible pour les jeux de stratégie. Elle s'intéresse énormément aux sciences.
La jeune Serpent Cornu est vraiment curieuse, adore apprendre, élargir sa culture personnelle encore et encore. Elle a confiance en ses capacités, ne s'en vante pas vraiment, mais lorsqu'elle sait qu'elle a raison, elle engage un débat et n'abandonne pas avant que l'autre personne n'ait reconnu son tort. Elle est très têtue.
Elle admire les Moldus et leur monde, ayant rapidement abandonné le purisme que son père a tenté de lui rentrer dans la tête à un très jeune âge, car Phyllis a toujours eu un esprit très libre et ouvert, capable de réfléchir par elle-même, et juge très peu. Elle essaye d'avoir un avis sur tout, et sait comment le donner avec diplomatie. Elle est plutôt éloquente, et a un fort sens de la justice. Elle aime beaucoup l'art, même si elle n'en pratique aucun et n'a réellement découvert la plupart qu'à la fin de son adolescence. Elle sait reconnaître ses torts et s'excuser, mais a des difficultés avec l'intelligence émotionnelle. Elle a de la compassion et sait exprimer ses sentiments, mais ne ressent jamais les émotions des autres à proprement parler.
Elle n'est pas très courageuse physiquement, préférant fuir plutôt que d'affronter un obstacle. Elle est nulle en duel, car elle panique et utilise sa rapidité pour éviter les sorts plutôt que pour en lancer. Elle ne supporte pas la vue du sang et est terrifiée par la douleur et, malgré sa sagesse, par la mort. Phyllis est en général très honnête envers elle-même et envers les autres. Elle n'est pas très sensible à la culpabilité. Elle a un grand sang-froid.
Phyllis est une maniaque de l'organisation, elle déteste les imprévus, mais le cache pour ne pas passer pour la psychorigide de service. Elle ne laisse pas les autres influencer ses actions, mais elle garde l'intérêt de ses proches en tête lorsqu'elle prend une décision qui les concerne. Elle manque de créativité. Elle est calme et réservée, maîtrisant ses émotions, sans les craindre. Elle est ouverte d'esprit, et ne se fie jamais à ses intuitions, c'est pourquoi elles sont faiblement développées.
Phyllis est une leader-née, qui se caractérise par un niveau de rationalité souvent implacable. Elle utilise son dynamisme, sa détermination et son esprit vif pour accomplir le but qu'elle s'est fixé, quel qu'il soit. Elle adore les défis, petits ou grands, et a assez de volonté pour accomplir tout ce qu'elle désire avec du temps, et entraîner les autres à sa suite. Elle est plutôt patiente. Phyllis possède une grande force d'esprit.
En ce qui concerne ses relations avec les autres, elle n'a pas peur d'aller vers les gens, mais préfère avoir quelques amis sincères plutôt que beaucoup d'hypocrites. Elle est attentive à leurs besoins et envies, mais peut se révéler rude parfois, ce qu'elle essaye de corriger. Elle a un fort sens des responsabilités, c'est un peu la maman de ses amis. Elle n'aime pas les relations inutiles ou peu stimulantes intellectuellement, elle déteste les petites discussions : elle parle de mort, de vie, d'univers, de mal, de bien, de magie, de technologie, de géopolitique, ou elle ne parle pas. Elle est très solidaire. Elle déteste la paresse et l'incompétence, et ne peut pas supporter le harcèlement, l'abus de pouvoir, la violence et les injustices.
Facts :
- Patronus : chouette - Epouvantard : son père
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fashionbooksmilano · 2 years
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Synchromies
Secrets des Écorces   Geheimnisvolle Rinden   Hidden Art in Nature
Oscar Forel
Edita, Lausanne 1977, 1st Edition, 114 pages,  32 x 28 cm,  trilingue (français - allemand - anglais ) , reliure forte toile de jute avec une photo contrecollée au premier plat.
Exemplaire dédicacé en 1977 par Oscar Forel à l'écrivain suisse Henri Perrochon
euro 120,00
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Illustré de 48 photographies en couleurs d'écorces, prises par l'auteur.
” Fils du psychiatre Auguste Forel, né à Zurich en 1891, le Dr Oscar Forel travaille à la Waldau à Berne au début des années vingt, rencontre Freud. Rentré dans le canton de Vaud, il crée la clinique de Prangins. Humaniste, ami des arts, il ouvre sa maison de Saint-Prex à de nombreux musiciens. Il découvre le monde secret de la forêt et crée une remarquable collection de macrophotographies d’écorces, ses « synchromies » “.               Par analogie avec symphonie (harmonie des sons), le mot « synchromie » (sun: avec, khrôma: couleur) désigne une harmonie de couleurs, ici dans le monde végétal..Certes, toute une gamme de couleurs existe dans le règne animal, mais elle est beaucoup moins variée.Dans le monde végétal, la fluidité des couleurs est infinie et à ce point subtile qu’un peintre ne parvient pas à copier fidèlement une synchromie.…Une fois trouvé le sujet d’une synchromie, souvent après de longues recherches, il est presque toujours indiqué de laver et de brosser la partie choisie de l’écorce.C’est alors qu’apparaissent, parfois d’une manière surprenante, les couleurs et les dessins.Une fois que l’on a approché la caméra à quelque 30-10 cm, il est souvent nécessaire de faire ressortir reliefs et dessins à l’aide d’un éclairage latéral.
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14/01/23
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Voices In Struggle: Remembering Tortuguita + Resistance in Lützerath and Against Tren Maya
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This week on The Final Straw, we feature three segments: words from a friend of Manuel “Tortuguita” Teran, the forest defender killed by law enforcement on January 18th outside of Atlanta, Georgia; A-Radio Berlin’s conversation with an activist at Lutzerath encampment in western Germany attempting to block a lignite coal extraction operation by RWE; a discussion of the Tren Maya megaproject by the AMLO administration in Mexico.
Remembering Tortuguita
First up, we caught up with Eric Champaign of Tallahassee, FL, about his friend Manny, aka Tortuguita or little turtle. Manuel Teran was shot and killed by law enforcement during an early morning raid of the forest encampment to defend the Welaunee aka Atlanta Forest and to stop CopCity on Wednesday, January 18th, 2023. Law enforcement claimed in the media that they responded to shots fired and the wounding of an officer by killing the shooter, but at the time of this release the Georgia Bureau of Investigation has not yet produced a weapon or bodycam footage of the clash. [Update, Georgia Bureau of Investigation claims they found Tort's gun and ballistics match the bullet in the pelvis of the cop] The killing of Tortuguita has sparked outrage, calls for independent investigations, vigils and calls for renewed and dispersed activity. Word is that another 6 people were arrested and charged with domestic terrorism during the raid. Check out our chat with a member of Atlanta Anti-Repression Committee for some context and links to group fighting back in the courts. There’s a fundraiser for Tortuguita’s family at GoFundMe
Eric also speaks about his friend, Dan Baker, who is nearing his release date. You can hear our past chat with Eric about Dan’s case at our website alongside links about the case and how to support him. There’s now a paypal for donations for Dan’s post-release, which can be found at [email protected]
Then, we feature two segments are selections from the January, 2023 episode of B(A)D News from the A-Radio Network. You can find this ep, #64, alongside many others at A-Radio-Network.Org
Updates from Lützerath
This second segment is a recording by A-Radio Berlin of a conversation with a radio activist from Aalpunk from Lützerath giving some context of the struggle there in the west of Germany. Since this recording, the encampments have been evicted but resistance continues against the ginormous lignite mine that the corporation RWE is attempting to expand there. You can also hear or read our September 25th, 2022 episode for some background. More info at https://luetzerathlebt.info/en
Opposing Project Tren Maya
Finally, we’re sharing a segment by Frequenz-A about Proyecto Tren Maya in the Yucatán peninsula of so-called Mexico. The conversation with a member of Recherche-Ag about a report they published in Solidarity with the Zapatista movement, on the German state and corporate participation in this mega-project and the dangers posed by the Maya Train, which includes huge expansion of electric, travel and other corporate and state infrastructure through sensitive ecosystems and sovereign indigenous lands, being overseen by the Mexican military. You can find this report and more at ya-basta-netz.org.
To hear a past interview of ours talking about Tren Maya & AMLO's infrastructure projects, you can find our February 2nd, 2020 interview.
Announcements
Phone Zap for Jason Renard Walker
Jason Walker, a writer and organizer held in the Texas prison system, is currently being held at a psychiatric unit after having to fake  suicide attempt in order to escape a plot to murder him. He's asking for urgent support in ensuring that he's not transferred back to Connally Unit, where the original incident took place, and for his entire classification file to be reviewed to help him get moved to a safer place. You can check our show notes for the relevant contacts and words from Jason and a script to call with at AbolitionMedia.NoBlogs.Org
. ... . ..
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thorns-ombres · 2 years
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Il y a des auteurs craignios la ou on ne les attends pas.
( on parle vite fait de dérive sectaire, pseudo-médecine etc)
Il y a quelque années j’ai acheter “Médecines du monde histoire et pratiques des médecines traditionnelles” un livre d’occasion qui avais le potentiel d’être intéressant. Mais même avec mes connaissances très limités il y avais beaucoup de chose qui sembler clocher. (de mémoire je n’ai plus l’ouvrage sous la mains:
-les dieux égyptiens décrit comme étant des être mis-animaux, plutôt que des représentation symbolique.
-Les fétiches d’Afrique de l’ouest décrits comme étant les seul à traiter des objets comme la chose vivante de leur culte.
-et des mise en avant d’idée qui peuvent avoir leur place dans un ouvrage spirituel ou occultiste. Mais pas dans un ouvrage qui se veut écrit par une anthropologue en temps qu’anthropologue.
J’en ais abandonner la lecture, et je l’ai oublié dans un coins le classant dans les vieux ouvrages qui ne sont plus d’actualité et d’aucun usage.
Il y à peu de temps, maintenant que je me débrouille un peu mieux pour vérifié des sources, je suis tomber sur un ouvrage qui m’avais l’aire intéressant ( c’est « Le maitre anarchiste » pour les curieux) et en faisant une recherche rapide sur les auteurs je tombe sur Claudine Brelet. Autrice du précédant livre sur la médecine qui en réalité n’est sorti qu’en 2002 !
Avec une recherche rapide sur les premier site à sortir elle semble être une anthropologue sérieuse, aillant travailler entre autre à l’OMS. Il n’y à pas de critique facilement accessible positive ou négative de ces ouvrages par des collègues.
Elle a part contre écrit la préface de « RUDOLF STEINER - Prophète de l'homme nouveau » Vous savez le type à l’origine de l’anthroposophie, le mouvement connu pour sa speudo-sciences sur tout les domaines (medecine comprise on peut deviner un lien) et ces tendeances bien marqué à la dérive sectaire.
Mais aussi des traduction et préface de Arthur Guirdham, (psychiatre connu pour avoir bosser sur la réincarnation).
En approfondissant encore un poil, on peut trouver le site de la revue 3em millénaire. Une revue de « libre recherche spirituelle »  avec des articles signié de son nom avec des titres évocateur.
« L'iridologie: l'œil miroir du vivant » Qui permet de voir à la couleur de l’iris si une personne à entre autre reçu des vaccins, mais aussi le potentiel vital et le tempérament de la personne.
« Ce que m'a dit le pr. Steveson sur la réincarnation »
ou plus sobrement « La contraception douce »
La spiritualité et l’occultisme sont une chose, les mêler sans clarté de propos et en ne respectant pas les sources à des ouvrages qui ce prétende scientifique en est une autre. Faire le tout en touchant aux frontière d’entité aux tendances sectaires connu pour rejeter la médecine et la remplacer la des speudo-sciences et pourtant sans recevoir trop de critique visible. La on arrive à un vrais problème.
J’espère presque me tromper, sur notre anthropologue, et je n’ai après tout pas fait une vrais recherche approfondis. Ce n’est que la curiosité que ma mener jusque la, et je ne compte pas m’attarder plus.
En tout cas,  ça m’a fait une piqûre de rappel sur la nécessité de vérifié les ressources.
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youraufildespages · 13 days
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La psy de Freida McFadden
 7/10 Tricia et Ethan sont des jeunes mariés à la recherche d’une maison. Pendant qu’ils visitent le manoir isolé d’une psychiatre renommée qui a disparu quatre ans plus tôt, une tempête de neige les empêche de quitter les lieux. Pour patienter, Tricia écoute les cassettes des séances du Dr Adrienne Hale avec chacun de ses patients qui retracent les événements ayant conduit à sa…
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adveritas · 1 month
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160824 - réflexion métaphysique
J’ai vécu de multiples expériences d’état de conscience modifié,
Les plus riches se sont produits grâce au LSD en 2020.
( (6aR,9R)- N,N- diethyl- 7-methyl- 4,6,6a,7,8,9- hexahydroindolo- [4,3-fg] quinoline- 9-carboxamide ),
Bien après mes voyages métaphysiques, une intuition m’est venue,
Il faut savoir que grâce à ces molécules qui ne sont pas des drogues mais bien des outils pour la conscience, de multiples êtres humains dont des scientifiques ont eut des révélations diverses car ces substances, sont une méthode de méditation et d’altération de la conscience d’ordre dernier.
Avant de continuer ici et certainement car je partagerai énormément d’autres de mes expériences je vais ici tenter de mettre en place un classement des forces possible d’usage pour un être humain des altérations de conscience :
1 - modéré ( utilisation du sport en courte intensité, de la marche quotidienne, d’une lecture régulière sur des sujets, exercice de jeu comme les échecs en faible intensité… )
2 - alternative ( utilisation du sport, d’un mouvement de la psyché par le corps de façon régulière ou utilisation de la méditation de façon néophyte pouvant aboutir à une expansion/extension de la conscience et des idées ou des capacités cognitives, tout cela dans un cadre régulier mais toujours léger. )
3 - intensité ( utilisation d’un mouvement de la psyché par le corps ou par l’esprit dans son microcosme de façon régulière et intensive, recherche de dépassement de soi, recherche de déconstruction/reconstruction de soi,révélation heuristique de sa propre psyché et de son environnement interne/externe, réflexions intuitives puissante, philosophie intuitive, possibilités d’accéder à des plans de conscience hors subjectivité, d’accéder à certaines « capacités » et à un certain niveau de « permanence », augmentation avérée des capacités cognitives dans un domaine précis en fonction de l’exercice pratiqué, fonctions générales de la psyché et autres fonction physiologiques également élargies. )
4 intensité via molécule CAT1 ( états modifiés de conscience et possibilités similaires au classement n°3, problématiques pouvant apparaître si le sujet ne maîtrise par sa propre volonté psychique, s’il ne sait pas diriger et contrôler l’axe directeur de sa psyché subjective, risque de folie et de déperdition cognitive si le sujet n’est pas capable avec volonté/force psychique subjective d’organiser et de raisonner les informations qui lui viennent puisqu’elles peuvent venir dans un ordre et une structure contextuelle totalement démodulée des branchements neurologiques standards de son état de conscience standard. Dans le cas où le sujet sait plus ou moins intuitivement et naturellement maîtriser son esprit et/ou apprend à le maîtriser à travers les difficultés qu’il rencontrera forcément comme tout un chacun dans ces EMCs, le sujet peux commencer à acquérir une vision beaucoup plus large de sa réalité et du champ d’information auquel il est confronté. Les substances concernées ici sont les substances telles que le cannabis, l’alcool ou encore certaines plantes médicinales ou naturelles peu connues du grand public.
5 intensité moléculaire CAT2 ( le sujet fait ici appel à des substances très puissantes dont ici seront citées les psychédéliques ( Étymologie. (1960) De l'anglais psychedelic (« qui révèle l'âme »), terme inventé en 1957 par le psychiatre H. Osmond, dans un échange de poèmes avec A. Huxley et dérivé du grec ψυχή , psyché (« âme ») et de δηλόω , dēlóô (« montrer, rendre visible »). Le sujet est normalement ici déjà expérimenté dans ses travaux métaphysiques et psychique et peux s’aventurer en ayant une bonne connaissance de soi et une bonne cartographie de la façon dont fonctionne la réalité dans ses sous jaçences de par son vécu ainsi que par la culture et l’étude des connaissances humaines à travers diverses cultures et époques. Le sujet même expérimenté peux se retrouver sujet à des difficultés et dangers existentielles puissants pouvant remettre en cause sa stabilité émotionnelle, mentale, psychique et même physiologique si les expériences ne sont pas correctement encadrées.
Je tiens à rajouter que beaucoup de gens et depuis bien des décennies font l’expérience de ces molécules et de façon festives etcaetera… en majorité ces personnes en ressortent changées positivement ou ne traite pas forcément d’informations par volonté de méditer mais vive un moment et une expérience qui comptera intensément à l’avenir dans leur vie. Je parle ici des psychédéliques dans lesquels j’inclus aussi la MDMA qui en est un bien que moindre par rapport aux psychédéliques naturels réels, je ne parle pas d’autres substances qui peuvent être elles vraiment nocives et qui sont, à raison, classées comme étant des stupéfiants et des drogues potentiellement dangereuses pour la santé publique. Le débat sur les psychédéliques est mondialement remis en cause aujourd’hui au regard des avancées scientifiques qui ont étés faites à travers de nombreux pays tels que les USA, le Canada ou encore la Suisse et le débat aura place sur un autre billet de mon profil Tumblr pour ceux que ça intéresse.
Pour finir, toute personne qui s’essaie aux psychédéliques aura forcément des révélations et un élargissement de sa conscience de façon irrémédiable, irréversible et durable, sa neurogénèse en sera augmentée tout comme sa neuroplasticité, l’activité neuronale étant exagérément augmentée durant ces expériences. Mort de l’ego, perception de certaines longueurs d’onde du spectre électromagnétique, compréhension de concepts mathématiques et géométriques complexes de façon directe et intuitive, vision diverses dont visions intérieures de diverses intensités, les psychédéliques réveillent littéralement l’intelligence humaine et l’augmentent. Ils sont pour moi un médicament suprême, un artefact sacré pour l’humanité et pour les gens nécessitants d’être soignés à des niveaux de leur être bien plus profond et spécifiques que des points de sutures pour refermer une plaie physiologique. Ici encore, ce sujet mérite de la part un billet bien mieux organisé, même plusieurs afin de vous partager ce qu’est pour moi un moyen réellement chamanique d’accéder à des changements définitifs dans sa vie et ses perceptions.
Un site qui en parle déjà très bien à ma place est
extacide.net
Enfin je dirais que dans tous les cas et à usage répété, les psychédéliques sont un risque pour votre stabilité mentale car ils sont là pour vous ouvrir à des perspective MÊME à votre propos, perspective dont vous étiez inconscients, que vous aviez oublié et que vous n’avez jamais su et en cela, découvrir la vérité à propos de la réalité peut être très incommodant voir, terrifiant. Je vous parle en connaissance de cause.
Cependant comme vous le dirons la plupart des psychonautes, souvent une expérience négatives, cauchemardesque même classée « bad trip » s’avère avec le temps être une bénédiction est une capacité acquise pour changer sa vie et celle des autres de façon positive.
Je le répète, il ne faut pas se lancer dans ces expérimentations si l’on a pas d’axe directeur de notre volonté psychique valable, exemple comprendre la réalité, comprendre certaines formes de philosophie, guérir certaines blessures émotionnelles, réussir à changer de façon de voir les choses etcaetera… ceux qui « se défonce » peu importe avec quoi cela peux même être avec des antidépresseurs, sans but, ne font que s’autodétruire et tuer leur vie.
Finalement je le répète, le chamanisme n’est pas un jeu, je l’aborderais dans un autre billet mais altérer sa conscience est important pour l’humanité, cependant il faut apprendre à raisonner logiquement même dans l’intuitivité et le chaos et ne pas perdre de vue que certains traumatismes peuvent mettre du temps à guérir, voir pour certains ne guériront jamais n’ayant pas eu le cadre et le contexte ou la force nécessaire pour y faire face, je rappelle aussi que malgré que notre civilisation progresse sur pleins de niveau, l’empathie et les services médicaux tels que les psychothérapie sont toujours payantes, peu accessibles au grand public alors que ce devrait être un tronc central de la santé publique et que ces mêmes « professionnels de la santé » ne sont bien souvent formés qu’en des dimensions collégiales des connaissances nécessaires pour être un bon guérisseur.
Parenthèse fermée j’ai finis ce que je pense être une approximation juste du classement des utilisations différentes de vecteur pour les états modifiés de conscience. )
À PRÉSENT ,
Voilà l’intuition que j’ai eus quelques temps après avoir finit mon expérimentation qui dura disons de février à décembre 2020 :
L’espace temps est une structure liée, 3 dimensions d’espace et une dimension de temps et la gravité est une conséquence émergente de cette forme de réalité. La réalité n’est pas immobile mais bien métamorphe, la réalité peux se comporter en dehors de cette réalité quadri dimensionnelle et notre réalité spatio-temporelle se comporte elle, comme un fluide.
Nous sommes les objets subissants les effets de l’espace, donc nous sommes le temps qui se déroule et bien évidemment également la gravité.
Pour ma part et celle de plus en plus de scientifique il est de plus en plus clair que la conscience n’est pas une propriété émergente de l’espace temps mais bien transcendante à celui ci et que donc la mort est une forme d’illusion moins que de passage vers autre chose.
La réalisation que j’ai eu est que l’espace temps se comporte comme un fluide. En temps normal ( sans mauvais jeu de mot ) nous ne pouvons pas percevoir ce balancement des vagues cependant, comme nous sommes dotée d’une conscience nous sommes capable de réflexion, vous serez d’accord comme moi pour dire que c’est grâce a notre conscience que nous appréhendons la réalité de façon physique mais aussi de façon, émotionnelle, mentale etcaetera…
À travers nos conceptions métaphysique de la réalité nous pouvons comprendre les concepts auxquels nous sommes sujets.
J’ai donc réalisé après avoir vécu de multiples expérience psychédéliques très, étranges, que le temps ( passé - présent - futur ) est une fluide composé de l’espace ayant de par ses mouvements ses interactions et ses actions, une continuité.
À ce moment là j’ai eu une vision et je vais vous permettre d’avoir la même.
À partir de cette pensée, je me suis vu de l’extérieur de ma vie, comme un film déroulé de loin dans un espace vide, j’ai vu toute mes actions, mon corps d’un âge d’enfant jusqu’à aujourd’hui vivre et exister en se déplaçant, en actant son être et tout ça comme une continuité.
Comme si en dehors de cet « espace-temps » nous pouvions voir les objets réellement quadri dimensionnel et non en 3D comme nous nous percevons nous tous.
Je ne sais pas si j’ai assez imagé mais c’est comme si, là je prend ma vie pour exemple mais essayez pour la vôtre, en réalité tout ce que vous avez vécu, votre corps et tout l’environnement dans lequel vous avez, vous vivez et ( vous vivrez mais là encore le futur est une question spécifique ) était collé et pouvait être regardé comme,
Soit un fluide, donc imaginez votre corps déroulé de vos 5 ans par exemple jusqu’à votre âge actuel cela sur une bande de film sur un écran affichant l’image/la vidéo complète de cet espace-temps de votre existence en entier, tout collé sans discontinuité,
Soit un film ( ce qui revient à la même chose ) que vous pouvez visionner d’une seule traite, comme une seule image puisque vous ne subissez pas sa règle qui est le temps, vous êtes dans un temps extérieur donc de votre « regard » vous pouvez vous rendre au moment où vous aviez 5 ans comme au moment de votre âge actuel.
QUE DIT LA SCIENCE ?
Après cela j’ai fais des recherches et bien que j’avais déjà des notions en physique quantique etcaetera je suis retombé sur des travaux contemporains dont ceux d’un éminent scientifique Français 💙🤍❤️, Dr Philippe Guillemant.
La dernière fois que j’avais regardé ses conférences c’était en 2017 et depuis j’étais complètement passé à autre chose, entre différents travaux dont évidemment les plus largement démontrés et reconnu par le consensus scientifique étant la relativité générale restreinte d’Einstein, j’ai pu recouper les infos et voir que mon intuition était bonne, mathématiquement cela se tenait, de toute façon intuitivement c’était complètement logique.
Pour ma part cela vient ensuite interroger un nouveau sujet, qui s’y tient de façon holistique, il s’agit des UAP ou OVNI en français, de plus en plus révélés et largement reconnus comme étant un phénomène réel à travers le monde y compris par les gouvernements comme les USA, la Russie ou la Chine.
Comment ces vaisseaux, ces êtres peuvent ils se déplacer de l’air à l’eau sans avoir d’impact sur la matière de façon transmediumnique, comment peuvent ils faire des angles à 90° à des vitesses largement supérieure à tout ce que nous avons en technologie aérospatiale et aéronautique dans le monde et cela en ayant été d’abord en immobilité totale dans l’air ? ( tout ce que nous avons officiellement bien évidemment )
Pour moi toute ces questions sont d’ordre primordial et font surtout de moi ce que je resterais toujours,
Une conscience jeune, donc curieuse et amusé de découvrir la réalité à travers mes capacités et mes actions.
Voilà pour ceux qui auront lu j’espère que cela vous a plus et stimulés, je vais écrire bien d’autres articles sur les psychédéliques ou d’autres sujets et ils seront passionnant je vous le promet.
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anastasianox · 3 months
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LA PSY de Freida McFadden
Résumé: Jeunes mariés, Tricia et Ethan recherchent la maison de leurs rêves. Alors qu’ils visitent un manoir isolé ayant appartenu au docteur Adrienne Hale, une psychiatre renommée disparue sans laisser de trace quatre ans plus tôt, une violente tempête de neige les piège sur place. Et la maison n’a rien d’un cocon rassurant… Il y a ces empreintes de pas récentes sur le parquet, ces bruits à…
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artistlove · 10 months
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Une analysent des situations d'enfants, adolescents et jeunes adultes et identifie différents manques de mesures prise pour le diagnostic :
-Nombre insuffisant de centre diagnostiques compétents
-Méthode de diagnostique standardisé souvent absente
-Déficit de la qualification de base des professionnels dans le processus de diagnostic.
D'autre manque sont aussi identifiés en lien avec les interventions, l'éducation et la formation, l'intégration professionnel, le soutien aux familles, l'encouragement de l'autonomie et le conseil et la coordination.
Les teste d'enfant de 18-30 mois semble utiles dans un contexte clinique et que la sensibilité de ces teste est basse mais que leur spécificité est élevée (peu de faux-positifs)
L'efficacité des outils de dépistages est augmentée lorsqu'ils sont précédés de dépistage plus large de troubles neuro-développementaux en général.
Enfin un teste de dépistage doit être adapté avant d'etre généralisé à une culture différente :
Exemple de regarder son interlocuteur dans les yeux qui es un comportement normal et attendue mais différents dans d'autre.
Les tests génétiques ne sont généralement pas indiqué dans le diagnostic sauf en présence de symptômes comme des troubles neurologiques ou de dysmorphie faciale
Un bilan aussi auditif pour éliminer une surdité éventuelle
Un enfant malentendant peut manifester des comportements semblable à l'autisme mais les diagnostics ne sont pas totalement vérifiable car un enfant malentendant peut être aussi autistes.
Plusieurs bulans-diagnostics avec un psychiatre spécifiquement formé : ADI-R, ADOS, CARS sont plus connus et validés.
Bilan psychomoteur : pour évaluer la présence de trouble du développement moteur, sensoriel, communication et sociabilité.
Bilan orthophonie : pour évaluer le niveau de retard language
Examen neurologique : pour détecter une pathologie neurologique ou une épilepsie.
Si jugé par le neurologue, une IRM pour rechercher des anomalies du cerveau.
Diverses études évoquent des problème intestinale à l'autisme.
Des troubles gastriques et intestinaux sont plus élevés chez les autistes mais est considéré comme une conséquence que comme une causes.
Chez les souris des symptômes pseudo-autistiques sont trouvé par une molécule 4-ethylphebylsuphate (4EPS) étais présente à 46 fois plus élevé dans la flore intestinale d'animaux souffrant de trouble pseudo-autistiques et qu'elle présente la même structure que le paracresol, molécule retrouvé en quantité importante chez les autistes.
Quand cette même molécule est injecté chez les souris elle commencent à se comporter de façon pseudo-autistes, répétant des mouvements ou couinant de manière inhabituelle, elle présente aussi une hyperperméabilité intestinale.
3/ Parents : 🟠
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Les données plaident largement que l'origine est génétique comme l'on montré des études sur les vrais et faux jumeaux, avec des influences d'environnement qui rapproche l'autisme d'une variation neurologique naturellement présente parmi la population et dont seule l'extrémité pathogène entraîne un handicap.
Certains explique que l'enfant, en l'absence du désir des parents le précipite dans l'autisme.
Caractérisant les mères d'enfants autiste comme froides et intellectuelle Kanner n'es pas du même avis et est convaincue qu'une autre nature est liée à l'autisme.
Mais on ignorent comment le cerveau se modifie dans les 1er année de vie et sous quel influences.
Le travail est compliqué par le fait que plusieurs causes peuvent s'accumuler ou agir ensemble pour produire diverses formes d'autisme, il semble cependant toujours associé à un développement différents du cerveau en particulier le cervelet.
Certaines données laissaient penser que des maladies inflammatoire de l'intestin (MII) parentales augmenterait l'autisme, des preuves d'analyse dans deux échantillons on montré l'effet du MII sur l'autisme surtout à la colite ulcéreuse.
Un dérèglement immunitaire périnatal, une malabsorption des micronutriments et une anémie peuvent être impliqué dans l'autisme.
 Une étude suggère que l'embryon d'enfants autistes serait différent des non-autistes au 9e jour, particulièrement au développement des rosettes neuronales et qui peut ou pas du tout présente chez les autistes.
Gènes impliqués dans la transmission de l'autisme
Des analyses de l'ADN collectées chez des familles dont un membre était autiste ont mis en évidence une région susceptible dans le chromosome 11, une fréquence plus importante dans une zone du chromosome 16, ainsi qu'un défaut d'un gène dans le chromosome 2.
Une étude de génome sur 2 308 parents et enfants issus de familles comptant plus d'un enfant autiste montre l'implication de 69 gènes, et notamment d'une mutation de NR3C2, impliquant une sensibilité sensorielle, et des schémas de langage inhabituels.
Paternité ou maternité tardive
La paternité ou maternité tardive serait comme facteur mauvais de fonctionnement social pour la descendance. L'âge parental sur le cerveau et la personnalité de l’enfant diffèrent selon dans le couple, ce soit la mère et/ou le père qui soit plus âgé. Soupçonné au facteur d'autisme et qui augmente encore plus avec l'âge du père, les pères de plus de 40 ans ont beaucoup plus de probabilité d'avoir un enfant TSA que les jeunes pères de 20 ans.
Aspects épigénétiques
Des anomalies de l'ADN des spermatozoïdes ont été associés à un risque de TSA et le début de vie du fœtale.
 
 On sait que les modifications les plus importante sont donc pendant l'implantation de l'ovule et pendant la vie fœtale et semble fournir des biomarqueurs qui permet une détection dès la naissance.
4/ Substances : 🔴
Hypothèse de facteurs environnementaux et épigénétiques
Une hypothèse est que l'organisme des personnes autistes se détoxiquerait moins bien au métaux lourds ils y aurait donc une trace directe ou indirecte aux éléments métalliques et au trouble d'autisme.
Ces métaux proviendrait éventuellement de nourriture, d'eau, de plombage dentaire, de médicaments, de vaccins ou de l'air inhalé.
Certains métaux affectent les sphères socio-émotionelles, perceptive , du langage et de sensori-motrice.
Acide valproïque
Un étude avec des rats et souris mis en exposition au valproate de sodium et qui rend compte de certains TSA. 
On remarque que 30 à 40% des enfants nés de mères sous médicaments ont des risque cognitif, de TSA ou de trouble apparente.
Mercure
Le mercure est soupçonné de jouer un rôle dans le TSA.
Des recherches se poursuivent dans se rôle, une étude compare l'alimentation de mère d'enfants à TSA et d'enfants non-TSA mais ne permet pas de conclure sont effet.
Pesticides
Plusieurs étude donne un possible lien sur la zone d'exposition de pesticides et de TSA, une exposition de 2000 m de la résidence de la mère qui induise un risque à l'enfant comparé au enfant de même région mais moins d'exposition.
Des 11 pesticides sont pris en compte utilisé dans les territoires urbain on montré 10 à 20% de risque de TSA.
 
Cependant il es aussi possible qu'une partie des mères auraient pu concevoir leur début de grossesses ailleurs et un manque d'information sur le tabagisme actif ou non des parents.
Le tabagisme est aussi un facteur de risque au TSA.
Théorie de l'origine vaccinale
Controverse sur le rôle de la vaccination dans l'autisme
Un lien potentiel entre vaccination et TSA à été étudié au vaccin ROR et au mercure, les résultats suggèrent que les vaccinations ne sont pas en lien et ceci fût confirmé plus tard.
Hypothèse de facteurs environnementaux et épigénétiques
Le nombre de diagnostique de TSA augmenter dans les pays industrialisés ne semble pas du qu'à une meilleure détection mais de causes environnementales comme certain produits chimique qui se sont multipliées.
 Il est reconnu que les facteurs environnementaux jouent un rôle plus important dans le TSA.
L'exposition aux polluants cités ci-dessus a fortement augmenté dans le monde, notamment depuis les années 1950.
Il est possible que le TSA ne survienne que si le spermatozoïdes, l'ovaire, l'embryon ou le fœtale entrent en contact avec un polluant à un moment précis.
Une hypothèse est que pendant c'est moment précis ceci expliquerait la variabilité de types d'autismes mais reste à confirmer.
Des facteurs environnementaux et familiaux pendant l'enfance peuvent augmenter le risque d'autisme.
Des études sur les jumeaux ont détecté des indices sur les causes génétiques.
Les facteurs environnementaux joue sur la pathologie du TSA mais encore mal compris.
La psychanalyse théorise sur le faites que l'environnement joue dans le psychisme de l'enfant. Abordé comme une façon que quelque se passe mal, une rupture.
Il explique que la représentation propre de l'enfant est liée au rapport de l'environnement. 
Par cette base, de multiples formulations et concepts théoriques son possibles, l'environnement symbolise comme les soins corporels, la mère, le sein, l'objet primaire.
 Une part de l'expérience ne parviendrait pas à être exprimé, partagé, symbolisée par le langage.
Les causes de l'autisme font toujours l'objet de recherches.
Alors que le diagnostique de personnes autistes augmente, les causes et sa biologie reste méconnu.
Des hypothèses ont été émises :
-Des causes génétique ou épigénétiques
-Des infections ou des composants toxiques
Le microbiote
De nombreuses études suggèrent un lien entre autisme et microbiote intestinal.
5/ Aide et associations : 🟢
Certaines organisations militent pour que l'autisme ne soit plus considéré comme un trouble mental à corriger.
 Ces travaux ont déjà débouché sur un logiciel de ralentissement des signaux visuels et sonores (LogiralTM) qui n'altère pas la fréquence acoustique des sons enregistrés.
Le 2 avril est la « journée mondiale de la sensibilisation à l'autisme ».
 L'autisme est reconnu par l'ONU comme étant un handicap, la communauté autiste préfère généralement reconnaître l'autisme comme une différence neurologique, un trouble neurodéveloppemental ou un handicap, plutôt qu'une maladie ou une pathologie.
Il y a différentes dimensions d'accompagnement des autistes pour les aider dans leur handicap selon plusieurs approches, éducatives, psychologiques ou médicales.
Il n’y a pas aujourd’hui de traitement curatif, mais une série de données indiquent depuis plus de quarante ans qu’un accompagnement et une prise en charge individualisés, précoces et adaptés, à la fois sur les plans éducatif, comportemental, et psychologique augmentent significativement les possibilités relationnelles et les capacités d’interaction sociale, le degré d’autonomie, et les possibilités d’acquisition de langage et de moyens de communication non verbale par les enfants atteints de ce handicap.
L'autisme affecte parents et proches du fait de l'insuffisance de structures adaptées à la prise en charge scolaire, éducative, sociale et thérapeutique de leurs enfants.
À l'âge adulte, des prises en charge sont proposées en Europe de 2009, le projet thérapeutique adulte doit mettre l’accent sur :
-Accès au logement
-La participation au monde du travail et l’emploi
-L’éducation continue et permanente
-Le soutien pour prendre ses propres décisions, d’agir et de parler en son propre nom
-L’accès à la protection et aux avantages garantis par la loi
Le stress associé à des troubles mentaux chez les personnes autistes, ainsi que le taux élevé de suicide chez cette population pourraient être associé à la stigmatisation des minorités.
Ces données montrent que l'autisme et les problèmes de santé mentale sont intimement liés, et que ces derniers pourraient être limités de lutte contre la discrimination.
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chifourmi · 1 year
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Comme j'ai appris que la psychiatre que j'avais appelé la semaine passée n'avait plus de disponibilités, j'ai continué mes recherches aujourd'hui.
J'ai appelé une première psychiatre qui s'est avérée être pédopsychiatre, ce qui n'était pas précisé sur internet. Elle m'a dit qu'elle n'était pas adaptée à mes besoins en raccrochant super vite comme si je l'avais saoulé. Nice.
Ensuite j'en ai appelé une autre et je suis tombée sur sa messagerie qui disait que si on voulait une demande de rdv, il fallait envoyer un sms. Je l'ai fait à 11h et je n'ai pas eu de réponse de la journée.
En attendant, j'ai voulu en contacter une 3ème pour être sûre mais ses horaires étaient trop chelou, de 15h à 19h. Donc j'ai dû attendre pour appeler et au final elle n'a pas répondu.
Du coup sans surprise j'ai pleuré parce que c'est ce que je fais de mieux ces jours-ci. C'est ouf que ce soit aussi compliqué d'avoir un rdv?
(28/03/2023)
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nathalie-noachovitch · 10 months
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Psychothérapie en Ligne : Complément ou Alternative au Face-à-Face ?
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La psychothérapie en ligne suscite de nombreuses questions sur son efficacité et son adéquation par rapport aux consultations en face à face en cabinet. Dans cet article, pour Top Santé, je partage mon point de vue sur cette forme de soutien psychologique, en expliquant comment elle peut compléter le travail en cabinet et en abordant ses avantages et inconvénients. Les psychothérapies en ligne sont-elles un outil complémentaire, ou peuvent-elles remplacer totalement le face-à-face?
Mon expérience dans ces deux domaines m’a fait constater que les consultations en ligne sont plus un soutien psychologique ponctuel, parfois même du conseil qu’une prise en charge à long terme en psychothérapie. Les patients qui consultent en ligne ne sont pas ceux qui franchiraient d’emblée la porte du cabinet d’un psy., souvent du fait d’a priori sur la profession ou parce qu’ils ne voient pas la nécessité d’entamer une psychothérapie pour un problème qui leur semble ponctuel, ou parce qu’ils veulent un simple conseil. D’autres patients ont des raisons géographiques de consulter en ligne, vivant à l’étranger. D’autres encore recherchent une écoute immédiate entre deux rendez-vous chez leur psy habituel. En consultant un psy en ligne, ils recherchent malgré tout l’expérience avisée d’un professionnel de la psychologie qui aura le recul suffisant pour les aider à y voir plus clair dans une situation qu’ils vivent actuellement et qui leur semble inextricable. Mon travail consiste à les écouter bien sûr. Leur donner des pistes de réflexions peut leur permettre de débloquer une situation, les amener à s’interroger sur les bonnes questions, leur expliquer certains mécanismes psychologiques. Mais tout ne peut se traiter à distance. Mon rôle consiste alors à les orienter vers le professionnel de santé qui répondra au mieux à leur motif de consultation. Cela peut être de leur conseiller de faire une psychothérapie en cabinet ou de les orienter vers les thérapies cognitives et comportementales si la personne souffre de phobies, vers un professionnel de la relaxation pour apprendre à gérer un trop plein de stress, ou encore de prendre rendez-vous avec un médecin ou un psychiatre si la souffrance psychologique nécessite une prescription médicamenteuse. Donc pour répondre à votre question, il ne s’agit pas de psychothérapie en ligne, mais plus d’un soutien psychologique en ligne ponctuel dont les limites nécessites de savoir passer le relai quand nécessaire. Quels sont ses avantages et ses inconvénients ?
La consultation en ligne se révèle être pour certains patients un premier pas pour lever certaines barrières défensives comme la peur d’être pris pour un fou, la peur du regard de l’autre, la peur du jugement. Elle permet l’anonymat et pour certaines personnes, il est plus facile de se confier ou de révéler de lourds secrets quand la personne qui vous écoute ne connaît pas votre nom. Certains patients y trouvent un intérêt particulier, par exemple des personnes isolées géographiquement, introverties, timides, handicapées ou encore agoraphobes. Les patients vivant à l’étranger qui souhaitent un soutien psychologique dans leur langue maternel n’hésitent pas à consulter à ligne. Les contradicteurs vous diraient que nous n’avons pas ou peu accès au langage non verbal des patients. Mais que dirait-on d’un non-voyant qui pratique la profession de psy en cabinet ? Le psychanalyste qui se trouve derrière son patient, a t-il accès à cette forme de communication ? Encore une fois, il ne s’agit pas de se prévaloir de proposer une thérapie « comme en cabinet », il s’agit d’un autre modèle d’accompagnement psychologique. Comment savoir si on a affaire à une personne sérieuse ?
De façon générale, les psys qui consultent en ligne mettent en avant leurs diplômes sur leur site internet et puis il suffit parfois d’aller sur les moteurs de recherche internet pour en apprendre plus sur eux. Pour ce qui est des plateformes qui proposent les services de différents psys, je suppose que les créateurs sont garants de leur professionnalisme. Que se passe-t-il une fois le temps payé écoulé ? (j'ai pu lire que, parfois, la communication était coupée automatiquement: qu'en est-il vraiment ?)
Je ne peux vous parler que de ma pratique professionnelle. C’est moi qui gère le temps de consultation, comme en cabinet. La durée de mes consultations est annoncée sur mon site et je ne mets jamais fin à un entretien sans en avoir avisé mon patient. Si ce procédé existe, une communication coupée automatiquement, c’est un principe irrespectueux et commercial auquel je ne peux adhérer et qui va à l’encontre de mon éthique professionnelle.
#jeveuxsauvermoncouple
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zetaverein · 1 year
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Neuer Beitrag: Thérapie et zoophilie
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Thérapie et zoophilie
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Que ce soit des suites de harcèlement, de problèmes familiaux, de la perte d’un être cher, ou tout simplement dans l’optique de mieux se comprendre, toute  personne zoo peut se retrouver amenée à envisager une thérapie. Surviennent alors d’inexorables questionnements. Dans cet article, nous allons tenter d’y  répondre.
En parler, mais pourquoi ? L’on pourrait toutes et tous avoir une bonne raison d’en parler, quoi que la tentation de s’abstenir peut-être très forte. Tout d’abord on peut se sentir mal d’être zoophile, détester cette sexualité et ne pas en vouloir. Vous n’êtes pas seul et puis regardez, cela est même commun chez les personnes LGBT. Dans ce cas-là, ne pas en parler c’est s’interdire de comprendre la source de ses souffrances. Pour d’autres, la zoophilie n’est pas directement source de souffrance, ne génère ni  honte ni dégoût, mais c’est cette peur d’être découvert, ce jugement social et ces faits divers que vous avez lus qui vous rongent. Là, en parler, c’est pouvoir exprimer ce sentiment d’injustice, s’entrainer à se dévoiler et faire face au regard d’autrui ou en tout cas à celui de votre thérapeute. Enfin, de manière générale, être zoo peut impliquer des choix, des sacrifices, qui ne peuvent être compris par votre thérapeute que s’ils lui sont exposés.
Les risques légaux Pour faire le plus large que possible, nous pouvons distinguer quatre niveaux de secret professionnel :
– il l’est mais peut choisir de faire une demande de dénonciation
– il l’est mais est obligé de dénoncer les cas de zoophilie
– le thérapeute n’est pas soumis au secret professionnel
– il est soumis au secret et la zoophile ne fait pas partie des exceptions.
En France, le secret professionnel s’applique au médecin et donc aux psychiatres, mais non pas aux psychologues (article 226-13 du code pénal), les exceptions concernent les atteintes sur mineurs ou personnes vulnérables, ainsi que les violences conjugales (article 226-14 du code pénal).
En Suisse, le devoir de garder le secret est expressément étendu aux psychologues (article 321 du code pénal) mais une demande de libération du secret peut être  faite auprès de l’autorité de surveillance (qui peut être contestée par le patient). Des exceptions visant à protéger les mineurs existent aussi.
En Belgique, il semblerait que les psychologues soient aussi soumis au secret (article 458 et 458bis du code pénal) avec des exceptions dont les pratiques zoos ne font vraisemblablement pas parties.
Enfin, suivant votre juridiction, il est possible que le thérapeute puisse porter atteinte au secret pour palier à un danger (grave) et imminent, il commet alors une  infraction mais celleci peut être justifiée par l’état de nécessité. Il n’encourt alors aucune peine. Être zoophile et avoir un animal ne remplit absolument pas de telles exigences.
Ces données peuvent évoluer, donc pour trouver votre réponse, vous pouvez déjà commencer par rechercher sur internet. Toutefois une chose est à noter, la psychologie et la psychiatrie traitent habituellement de situations qui sont mal vues par la société, voir dont la pratique est interdite. Le secret et la discrétion sont de mises car elles sont la clé de tout rapport de confiance nécessaire à la réalisation d’une thérapie. À cet effet, si exception il y a elle ne concernera que les actes commis (parfois les thérapeutes ne dénoncent pas les actes qui sont anciens) ou un risque ou danger qu’il se produise de manière imminente.
Comment pallier ces risques ? Dans un épisode du podcast zoophile américain Zooier Than Thou, le Dr Hani Miletski, spécialiste de la zoophilie, recommande de tout simplement demander au thérapeute : Qu’être-vous obligé de dénoncer ? Ou que choisiriez-vous de dénoncer ? ». À ce moment, vous devez vous dire que c’est un peu gênant puisque votre psy ne peut pas savoir ce que vous allez lui sortir et vous n’obtiendrez sûrement qu’une réponse bateau comme « tuer quelqu’un ». Vous pouvez alors enchaîner sur « et concernant les animaux ? ». Après ces questions ce sera à vous de juger en fonction de l’attitude de votre thérapeute. Vous pouvez en parler tout de suite, raconter votre vie pendant 3 mois et voir après ou tout simplement laisser tomber, vous êtes libre ! À titre d’exemple, si votre thérapeute vous explique que sa fonction n’est pas d’être procureur, que vous devez vous sentir totalement libre et que l’important c’est de parler de tout, vous devriez pouvoir aborder le sujet et rappelez-vous-en, attirance ne veut pas dire pratique, si la discussion tourne mal quand vous évoquez vos attirances, déjà c’est que vous avez un très mauvais psy en face de vous, mais aussi ne parlez pas pratique, changez de sujet ou quittez la salle et tout sera finit. Si vous ne parlez pas pratique, le risque est quasiment nul.
Un psychologue, une psychiatre n’est pas là pour vous juger et n’oubliez pas une chose, tout le monde ne pense pas comme les hard-liner de la protection animale, la plupart n’en a jamais entendu parler, aussi bien dans leurs cours que dans la presse, sauf peut-être une fois dans une blague un peu tordue. Des thérapeutes très empathiques, à l’écoute, il y en a.
Mais la zoo est considérée comme une paraphilie ? Que vont-ils me faire ? Vous avez pu lire énormément de chose des considérations psychiatriques sur la zoo, les comorbidités, les études sur des prisonniers… et maintenant il est temps de mettre tout cela de côté. Déjà parce que votre thérapeute n’a probablement jamais lu toutes ces études, mais aussi parce qu’elles ne leur apportent pas grand-chose quant à la marche à suivre dans les cas de zoophilie. Vous réaliserez donc rapidement une chose, le spécialiste dans l’histoire, c’est vous. Dans le cas hypothétique ou vous tomberiez sur un thérapeute un peu extrême, qui voudrait vous faire croire que vous êtes malade, encore une fois il ne peut en rien vous obliger à suivre un quelconque traitement, c’est la liberté de décision du patient. Rassurez-vous, dès que vous aurez évoqué la zoo ou posé vos questions sur la portée du secret, l’attitude de votre psy aura déjà trahi d’éventuelles mauvaises intentions. Suivant le fonctionnement dans assurances dans votre pays, il est possible qu’une cause ou justification puisse être à apporter pour le financement de la thérapie. Dans ce cas-là, avoir le terme « paraphilie » sur son dossier médical est quand même bien moins stylé que celui d’« orientation sexuelle ». Tout cela doit faire l’objet d’une discussion avec votre thérapeute, il doit vous demander à l’avance l’autorisation pour transmettre toute information vous concernant, et, dans le doute, dites-leur que vous ne désirez en aucun qu’une telle donnée soit transmise.
  Conclusion et témoignages L’interdiction des pratiques sexuelles sur les animaux ne porte pas trop gravement atteinte aux possibilités d’obtenir une thérapie. Parler pratique n’est envisageable que moyennant un secret professionnel pleinement garanti, néanmoins, ce n’est finalement pas nécessaire. L’important est que votre thérapeute comprenne ce qui vous anime. Si vous devez expliquer que vous avez peur que cela se sache, il suffit de lui dire qu’à un moment si tout le monde vous voit systématiquement rougir à la vue de votre jugement et passer de longue minute et renifler sa crinière cela ne passera pas inaperçu. Pour leur parler de l’injustice de cette interdiction, pas besoin d’évoquer vos expériences personnelles, vous pouvez évoquer à titre d’exemple ces chevaux qui se dirigent avec enthousiasme vers la station de prélèvement. Aller en thérapie, c’est pouvoir parler de vos frustrations, de vos tristesses, critiquer ouvertement les arguments et les méthodes des antis sans craindre de répercussions, faire crever l’abcès qu’a généré cette injustice. Ce sera peut être dur au début, mais vous n’en ressortirez que plus léger.
Fayçal, témoigne : « [j]’ai parlé de mes désirs zoophiles avec un médecin psychiatre dans le cadre d’une thérapie visant à traiter un début de burnout. Ne voulant pas à la base aborder le sujet je suis resté évasif pendant les premières séances quand les conversations tournaient autour de sujets sentimentaux. Il est possible que mon psychiatre se doutait de quelque chose puisqu’il a alors mentionné de nombreux cas de paraphilies exotiques au sein de ses patients et du public sur un ton léger afin de me mettre en confiance. J’ai fini par m’ouvrir et lui confier mon secret. Le psychiatre m’a assuré que ce n’était pas si rare que ça et que lui ne voyait pas la zoophilie comme un problème médical tant qu’elle ne causait pas une souffrance pour la personne et que l’animal n’était pas maltraité ou forcé. Sur le plan légal, il voyait relativement peu de risques à condition de prendre certaines précautions de bon sens (il a d’ailleurs écrit ‚paraphilie‘ plutot que ‚zoophilie‘ dans le dossier patient). Il m’a encouragé à expérimenter et à chercher à rencontrer d’autres zoophiles. Ces conversations et sa réaction m’ont mis en confiance, étant donné que le sujet n’est généralement évoqué dans la presse que sur un ton profondément négatif que très peu de gens osent nuancer. »
Charles Menni, Juin 2023 Twitter : @CharlesMenn
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streampourvous · 11 months
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Exit (2000)
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Regarder Exit 2000 Film complet en streaming français VF et gratuit – Exit (2000) le film en entier Interdit aux moins de 16 ans Pontiac, l’hôpital des fous dangereux. Stan y est resté enfermé cinq ans, parce qu’on l’a cru responsable d’une série de meurtres. Faute de preuves, il est relâché et placé sous la surveillance d’un psychiatre, Olbek. Les meurtres reprennent aussitôt. Traumatisé par sa détention, Stan se sent menacé, surveillé. Il fait des cauchemars, il entend des voix. Il se sent devenir fou. Il est persuadé d’être le coupable. Olbek tente de l’aider à mettre de l’ordre dans sa tête, mais ne parvient qu’à y semer le doute. A moins que cela ne soit précisement l’effet qu’il recherche… Read the full article
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