Le Rectorat de l’UEH salue le départ du professeur Kawas François, décédé le 23 octobre 2022
Le Rectorat de l’UEH salue le départ du professeur Kawas François, décédé le 23 octobre 2022
Le Rectorat de l’Université d’État d’Haïti (RUEH) salue le départ du professeur Kawas François, décédé le 23 octobre 2022
Le Rectorat de l’Université d’État d’Haïti (RUEH), à travers une note de sympathie publiée sur les réseaux sociaux, dit apprendre avec beaucoup de peine la nouvelle du décès du Révérend Père Kawas François, survenu le 23 octobre dernier, à la suite d’un malaise. Il était âgé…
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Je pourrais résumer la merde qui se passe au taf depuis 15j mais ça serait long et chiant et j'ai que ça en tête déjà en ce moment alors ça m'épuise, j'ai fait des signalements au rectorat et je pense pas que ça aille loin vu la propension de l'éducation nationale à cacher les trucs qui vont pas, maintenant les directeurs de l'école me détestent parce que je les ai confrontés au fait qu'ils faisaient mal leur taf, ça fait même pas 15j depuis la rentrée en réalité et ok je suis malade mais j'aurais pu aller tafer quand même sauf que là non j'ai vraiment pas envie je suis vidé du coup je vais rester chez moi et franchement ça me saoule parce que j'adore ce taf normalement, la hiérarchie ça gâche toujours tout
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« Le commencement est allé faire irruption dans notre avenir : il s’y tient comme la lointaine injonction à nous adressée d’en rejoindre à nouveau la grandeur. »
Martin Heidegger, Discours de rectorat (27 mai 1933)
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I got a 20/20 in my orals
I have mostly excellent grades everywhere but the written exam. I got a 9/20 I was so shocked. So I’ll contest it and write a letter to the rectorat🙂❤️🩹 ans my biology teacher was also very harsh and horrible with me despite me knowing all the lesson she still gave me bad grades and she would do tps without teaching them so yeah. All of my other teachers were so nice so I am grateful I had only one bad teacher this whole year.
The 9 is like the cherry on the cake.
Anyway I binge purged so much today it was awful. And I have a bowl of vomit in my room
I ate this for dinner that I didn’t vomit
Mochi 62 cals
1 oreo
150g strawberries 45cals
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Palazzo del Bo, siège du rectorat de l'université de Padoue. Décor intérieur Gio Ponti. 1940.
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Quand depuis septembre, alors que je pensais que tout irait mieux cette année, j'enchaîne les galères:
Studio pris en août humide et horrible (mais j'ai déménagé du coup)
Problèmes familiaux
Pas de paye en octobre, car le rectorat a merdé, et ça risque d'être la même en novembre
Bref le karma semble s'acharner
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Le rectorat vient de me proposer un poste à mi-temps à 3h de chez mes parents et seulement pour 3 mois mdr je vais quand même l'accepter heureusement j'ai de la famille pas trop loin du lycée
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Poissy (78) : un adolescent de 15 ans se plaignant de harcèlement scolaire se suicide, le rectorat avait menacé ses parents d’une plainte en cas de dénonciation calomnieuse
Un adolescent de 15 ans s’est suicidé début septembre à son domicile de Poissy, dans les Yvelines. Les parents avaient alerté son établissement sur des faits de harcèlement scolaire. Le rectorat avait répondu en mai en leur demandant “d’adopter une attitude constructive et respectueuse“, leur rappelant les risques en cas de dénonciation calomnieuse.
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Bon évidemment rien ne s'est passé comme prévu, on m'a pété mon attribution et mon emploi du temps et avec des méthodes qui servent juste à sauver les meubles parce qu'on est pas assez pour s'occuper des enfants et que le rectorat refuse de recruter, mais comme ces méthodes sont pas honnêtes voir légales et que j'entame une bonne année de syndicaliste woko-pro-palestine j'en ai parlé à la première AG de la rentrée, donc on va avoir directement un rdv avec l'inspection pour leur péter la gueule (et je vais être élu syndical pour une autre fonction mais ce qui fait que je serais : litteralement invirable) bref tout ça pour dire que je suis remonté vner et que ça va chier je vous le dis
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"Le premier mail du rectorat est tombé le 12 octobre, à l’attention de l’Association des cinémas indépendants parisiens (CIP), qui coordonne le dispositif «Collège au cinéma». Au deuxième trimestre de cette année, les classes de sixièmes et de cinquièmes parisiennes n’étudieront finalement pas le film d’animation Wardi, qui a pour héroïne une fillette palestinienne vivant dans un camp de réfugiés à Beyrouth. Une décision du recteur de l’académie de Paris, inédite en trente ans d’existence des dispositifs d’éducation à l’image (qui touchent 2 millions d’élèves par an), témoignent des professionnels désemparés. Un mail aux enseignants la justifie par le «contexte d’extrême tension internationale et de ses conséquences potentielles sur notre territoire». «Plusieurs enseignants ont fait remonter au rectorat des interrogations quant à l’opportunité de diffuser cette année ce film d’animation qui a pour cadre le conflit israélo-palestinien», étaye le courrier, estimant que «les circonstances dramatiques que connaît actuellement le Proche-Orient, la diffusion et l’exploitation pédagogique de Wardi pourrait se révéler très délicate».
Co-portée par le ministère de l’Education nationale, le ministère de la Culture, l’association l’Archipel des lucioles et le CNC, l’opération «Collège au cinéma» vise à faire découvrir aux classes plusieurs films retenus par un comité de sélection national, paritairement composé de représentants de la culture, de professionnels de l’image et de l’enseignement. Dans Wardi, le Norvégien Mats Grorud raconte l’exclusion sociale et politique du peuple palestinien à travers le regard d’une enfant de 11 ans, et retrace l’histoire traumatique de son grand-père, chassé de son village au moment de la Nakba en 1948. Commandes de dossiers pédagogiques, recherche d’intervenants pour les classes, tout était prêt – figurent également au programme les 400 coups de François Truffaut et Tous en scène de Vincente Minnelli.
«Donner des clés»
Le jour où les CIP sont informés de cette déprogrammation, les enseignants venaient de compléter leur formation, suivie d’un temps d’échanges. Contrairement à ce que le rectorat laisse entendre, rien ne permet alors de conclure à un mouvement de panique, affirme Patrick Facchinetti, délégué général de l’Archipel des lucioles : «Si c’étaient les enseignants eux-mêmes qui avaient souhaité déprogrammer le film au regard du contexte actuel ou d’un manque de formation, on n’aurait pas le pouvoir de leur imposer de le projeter. Au contraire, cela aurait été entendable !» Et d’ajouter : «Cette décision unilatérale nous pose question. L’école doit rester plus que jamais un sanctuaire où construire l’esprit critique des élèves, apprendre à décoder les images et former des citoyens éclairés. On trouve regrettable de mettre de côté ce film au regard de son sujet, alors que les jeunes sont en permanence inondés par les images et qu’il est nécessaire de leur donner des clés.»
Si une marge de discussion semblait encore possible au matin du 13 octobre, jour de l’attaque au couteau dans un lycée d’Arras où est tué l’enseignant Dominique Bernard, le ton du rectorat s’est soudain fait sans appel. Invoquée : l’impossibilité d’assurer la sécurité des enseignants, en première ligne quand il s’agit d’aborder des sujets si complexes. Un comité d’urgence convoqué le 24 octobre en présence de la Drac Ile-de-France et de la ville de Paris n’y fait rien. Contacté par Libération, le rectorat de l’académie de Paris parle plus prudemment d’un report : «Tous les professeurs qui participent à “Collège au cinéma” ne sont pas professeurs d’histoire géographie et par conséquent, ne possèdent pas tous les outils pédagogiques pour expliciter la complexité du contexte actuel. En l’état il nous semblait plus opportun de reporter la projection du film Wardi.» Le film est par ailleurs maintenu par les recteurs des quatre autres départements qui l’avaient sélectionné (le Val-de-Marne, la Lozère, le Lot-et-Garonne et la Marne), dissipant les soupçons d’un arbitrage du ministère de l’Intérieur lui-même.
«Un si beau témoignage»
«Les œuvres ne sont pas coupables», déclarait justement l’Observatoire de la liberté de création dans son communiqué du 25 octobre, dénonçant «la vague de déprogrammations et de reports d’œuvres d’artistes palestiniennes et palestiniens, ou dont le sujet a un rapport avec la Palestine». Peu d’annulations sèches ont été comptabilisées jusqu’ici, mais les ajournements d’événements (tels ceux proposés à l’Institut du monde arabe en marge de l’exposition «Ce que la Palestine apporte au monde») en disent long sur un climat inflammable.
La sortie le 8 novembre du documentaire Yallah Gaza de Roland Nurier, collection de témoignages sur la situation dramatique de l’enclave palestinienne et le quotidien des civils gazaouis, en offre encore un exemple. La tournée d’avant-premières prévues dans le réseau du GRAC (qui regroupe les salles Art et Essai de proximité en dehors de Paris) a connu trois déprogrammations en Rhône-Alpes, les exploitants se disant contraints de reporter des séances sous la pression des préfectures ou des mairies locales. «Ces gérants de salles ont cédé, expliqueRoland Nurier, mais dans 90 % des cas le film est maintenu, les exploitants répondent aux collectivités que le film n’est pas du tout un appel à la haine. Dans un petit village du Tarn-et-Garonne, on a quand même mis quatre gendarmes devant le cinéma… En cas de trouble à l’ordre public j’imagine, alors qu’il n’y a jamais eu aucun souci dans les débats que j’ai animés.»
Sans nouvelles des protagonistes de son documentaire, à l’exception de son chef opérateur gazaoui Iyad Alasttal, le cinéaste ajoute, ému : «Je ne comprends pas les motivations de déprogrammer un film comme le mien ou comme Wardi, un si beau témoignage de transmission. C’en est presque ridicule. Je ne fais que constater dans mes déplacements une forte empathie du public, une demande de compréhension et de contextualisation de la situation.» La projection de Yallah Gaza prévue à l’Assemblée nationale le 9 novembre est encore à l’ordre du jour, malgré l’interdiction de la venue de la militante Mariam Abudaqa, membre du Front populaire de libération de la Palestine (classée comme organisation terroriste par l’Union européenne) et frappée d’un arrêté d’expulsion."
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