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#sensation de tête qui tourne
toffavoyance · 11 months
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Comment traiter l'anémie rapidement ?
Les symptômes de l’anémie : pâleur, bien visible à l’intérieur des paupières, au niveau des ongles et des lèvres , essoufflement à l’effort puis au repos , fatigue persistante , palpitations ; maux de tête, étourdissements, vertiges, faiblesse en se levant d’une chaise, sensation de tête qui tourne, etc…, . La préparation des feuilles sèches de bananiers avec un peu de sel de cuisine.Boire un…
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e642 · 2 months
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Plus le temps passe plus mon angoisse est silencieuse. Par silencieuse j'entends que ça ne se voit plus, seulement je la ressens. Ça tourne autour de l'insomnie, la dissociation, les symptômes physiques (nausées, mal de tête, gorge nouée, tachycardie, impression de malaise), mais je ne fais plus de crise d'angoisse au sens premier du terme, personne ne peut le voir. Ce mois de juillet est long et tumultueux, j'en écris des tartines à rallonge parce que je me sens si inconfortable dans l'existence. Tout me dérange. Tout me déstabilise. J'aime pas le changement, les décisions importantes, les grosses dépenses parce que ça m'ébranle, ça me fait réfléchir, me demande de m'adapter, de prendre sur moi. Ça me paraît pourtant si dérisoire parce que c'est commun ce genre de période, d'indécision, de réflexion. L'anxiété sociale est aussi à son paroxysme depuis que j'ai retrouvé un téléphone, toutes les notifications, les conversations creuses, les infos qui affluent de partout.. ça me broie la trachée parce que ça a de moins en moins de sens pour moi tout ça, parce que je n'ai pas la même manière d'exprimer le manque, ou plutôt, je ne le ressens pas. Personne ne me manque réellement, ou c'est très rare (et je saisis l'occasion) mais autrement, je pourrais me passer de tout contact, d'amitié, de racontage de vie, de verres à boire par politesse. Je n'arrive pas à m'intéresser aux autres mais ça ne veut pas dire qu'ils ne le sont pas, seulement j'ai un mal fou à comprendre ce qu'il faut que je fasse, dise, comment je dois me comporter. J'ai juste envie d'être seule. Je vais partir en vacances avec mon mec, son père m'a bizarrement forcé la main et je crois que ça participe beaucoup à mes appréhensions, que ce soit un barrage pour le quitter car je me sens réellement mal dans cette relation. Ça me fait toujours mal au ventre de le reconnaître parce que j'aurais aimé que ça se passe autrement, que je me sente autrement et que je sois dans une relation bonne pour ma santé mentale mais ce n'est pas le cas. Je sens l'accumulation d'eau contre le barrage et ça va finir par craquer. Je vais finir par craquer. Le stage pète les scores lui aussi, impossible de vivre en sachant que c'est le truc qui va déterminer mon année et mon accession aux masters. Je ne sais pas comment je vais faire si j'en ai pas un. J'ai du mal à rationaliser ça alors que je sais que c'est les vacances, que c'est un simple stage, que j'aurais sûrement plus de réponse à la rentrée mais j'ai besoin que ce soit réglé. En fait voilà, j'ai un grand besoin de mise au point, de finir ce que j'ai commencé, de repartir sur des bases clean parce que je m'enlise à faire semblant et faire comme si j'arrivais à parfaitement respirer à chaque instant. La vérité c'est que j'ai l'impression qu'il y a deux grosses mains autour de mon cœur et qu'elles le serrent fort, mais tellement fort que ça en est douloureux physiquement. À chaque conversation, je m'entends parler de loin, je me vois de loin répondre automatiquement, essayer de faire bonne impression mais au fond je m'entends aussi ricaner parce que c'est ridicule ce que je peux dire ou faire. Je me sens minable. Un ramassis de fissures toutes plus suintantes les unes que les autres. La sensation d'être une plaie purulente qui ne guérit jamais, qui se draine par moment certes mais qui se gorge et se collecte juste après. Je suis à côté de la plaque et c'est une des impressions que j'aime le moins. Les choses se passent et moi j'essaie de les attraper au vol avec un temps de latence qui ferait pâlir les plus à la ramasse.
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sous-le-saule · 1 year
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Les ailes d'Icare
(Le musicien fantôme, épisode 4 – parce qu’au point où j’en suis…)
- L’Icare ?
- Ne vous avisez pas de critiquer le nom de mon bateau.
- Disons que je m’étonne. Je croyais les marins superstitieux et ce nom ne semble pas de bon augure.
- Parce que vous ne prenez en compte que la fin du mythe. La morale, et non le symbole.
Je lance au capitaine un regard interrogatif et il me jauge un moment avant d’expliquer :
- La liberté. L’audace.
- C’est tout de même son audace qui le mène à la noyade.
Il a l’air déçu.
- Je me disais que quelqu’un qui se lance à la poursuite d’un bateau fantôme pourrait comprendre, mais je vois que vous êtes comme tous les bourgeois.
Je suis toujours sur le quai et je n’ai pas l’intention de me quereller avec l’homme qui pourrait me refuser l’embarquement, mais tout de même, je n’aime pas son ton méprisant.
- Ce qui veut dire ?
- Que votre bonne société a horreur de l’audace. Si on vous écoutait, tout le monde resterait sagement à quai, parce que c’est plus prudent. La prudence, c’est avec ça qu’ils vous enferment. Qu’ils vous empêchent de découvrir le monde. Icare s’est libéré. Et avant de mourir noyé, il s’est senti vivant. Si vous croyez que son nom est un mauvais présage, c’est que vous ne comprenez rien.
Il a haussé la voix sur la fin de sa tirade et je vois bien, à présent, qu’il regrette d’en avoir tant dit. Il me tourne le dos brusquement et monte à bord, me plantant là avec mes volumineux bagages et des pensées non moins encombrantes.
Ce n’est que deux heures plus tard, une fois mes affaires installées dans ma cabine avec l’aide du mousse, que je recroise le capitaine sur le pont. Nous quittons le port et il donne des ordres pour hisser les dernières voiles. L’Icare fait un bond en avant et file joyeusement vers le large.
Je regarde la ville s’éloigner rapidement, avec un sentiment d’exaltation comme seule la musique sait m’en donner. Je m’étonne de ne ressentir aucune angoisse à la perspective des dangers qui m’attendent. Juste une étrange sensation de légèreté, comme si je venais d’ôter un lourd manteau d’hiver.
J’admire les voiles claires claquer dans le vent. Álvarez vient se placer à mes côtés, levant la tête lui aussi.
- Magnifique, hein ?
Sa voix a perdu toute son amertume précédente.
- Il existe une autre version du mythe, qui raconte que Dédale et Icare ont fui la Crète en bateau et que Dédale a inventé non pas des ailes, mais les voiles.
J’avais oublié cette version moins connue et, si je suis surpris qu’il la connaisse, je n’en montre rien, de peur de le vexer et de ruiner sa bonne humeur retrouvée.
- De sorte que ces voiles sont nos ailes ! dis-je avec un enthousiasme non feint.
Je l’observe du coin de l’œil hocher la tête avec un sourire. Nous restons un moment sans parler, baignant dans la lumière du matin et le vent chargé d’embruns, puis j’ajoute, d’un ton appréciateur :
- Un nom doublement symbolique, donc. Vous aviez raison. L’Icare est un excellent nom pour un bateau.
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sofya-fanfics · 1 year
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Les étoiles me mèneront toujours jusqu’à toi
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Fandoms : Naruto / Doctor Who
Relationship : Thirteen x Sakura
Voici ma participation pour le Crossover Ships Week 2023 pour le prompt : Réincarnation.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sakura prit sa tête entre ses mains lorsqu’une violente douleur la traversa. Elle n’avait jamais ressenti cela. C’était comme si sa tête allait exploser à cause du trop plein d’informations. Des milliers d’images défilèrent dans sa tête. Elle baissa ses mains et ouvrit les yeux. Elle se souvenait de tout. Elle s’appelait Rose Tyler et elle s’était régénérée.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto et Doctor Who est une série de la BBC.
@crossover-ships-brainrot​
AO3 / FF.NET
Le Docteur courut aussi vite qu’il pouvait. Le vaisseau se dirigeait tout droit vers un trou noir, avec à son bord une dizaine de personnes. Il avait réfléchi à toutes les possibilités et avait trouvé une seule solution. Il devait réunir tout le monde dans un partie du vaisseau et détacher l'autre partie pour empêcher le trou noir de les aspirer entièrement. Mais pour ça, quelqu'un devait rester au risque d'être aspirer. Il n'y avait que lui qui pouvait le faire. Mais il n'aurait pas pensé que Rose l’assommerait pour prendre sa place.
Il ne savait pas combien de temps il était resté inconscient, mais il devait se dépêcher avant qu'il ne soit trop tard. Il venait à peine de la retrouver, après tous ces siècles passés sans elle. Il avait perdu Amy, Rory et River, mais Rose était réapparue dans sa vie. Elle n'était plus humaine. Le TARDIS avait changé quelque chose en elle qui faisait qu'elle ne pouvait plus vieillir et qu'elle ne pouvait plus mourir.
Pour la première fois depuis des années, il était heureux. Ils pouvaient enfin vivre ensemble pour toujours. Mais les choses ne s'étaient pas déroulés comme il le fallait et ils allaient être à nouveau séparés. Il arriva au cœur du vaisseau, là où il devait se séparer en deux. La porte était fermée. Il essaya de l'ouvrir avec son tourne-vis sonique, mais rien n'y faisait. Rose avait dû l'avoir bloqué. Il la vit à travers la vitre de la porte et il frappa de toutes ses forces.
« Rose ! Cria-t-il. Rose, ouvre-moi ! -Pas question, dit-elle en faisant les derniers réglages de l’ordinateur central. Il est hors de question que tu te sacrifies. -Ne t’inquiète pas, je trouverai un moyen de revenir. Mais je t’en supplie, ouvre cette porte. »
Rose s’approcha de la vitre.
« Promets-moi de ne pas arrêter de courir. Tu dois voyager, trouver des compagnons et leur faire découvrir l’univers. L’univers à besoin de toi. »
Il n’en avait rien à faire de l’univers, pensa-t-il. Tout ce qui comptait, c’était de mettre Rose en sécurité. Elle posa sa main sur la vitre et le Docteur l’imita. Il la supplia du regard d’abandonner cette idée. Rose sourit, malgré les larmes qui coulaient le long de ses joues.
« Les étoiles me mèneront toujours jusqu’à toi, dit-elle. »
Sans le quitter du regard, elle pointa son tourne-vis sonique qu’elle avait fabriqué dans le monde de Pete vers l’ordinateur et le vaisseau se sépara en deux. Le Docteur se sentait impuissant. Tout ce qu’il pouvait faire, c’était regarder Rose se faire aspirer par le trou noir alors que la partie du vaisseau dans laquelle il se trouvait s’éloignait.
Après avoir mis tout l’équipage en sécurité, le Docteur retourna à bord du TARDIS. Pourquoi continuer à aider l’univers, pensa-t-il amèrement, alors que l’univers lui prenait toutes les personnes qu’il aimait.
******
Sakura s’allongea par terre et regarda les étoiles. Le ciel était dégagé et elle avait l’impression qu’elles scintillaient de mille feux. Elle avait toujours aimé regarder les étoiles. Elles l’apaisaient et la réconfortaient. D’aussi loin qu’elle s’en souvienne, les étoiles lui avaient toujours apporté cette sensation de bien-être. Quand elle était petite, elle voulait voyager à travers l’univers pour pouvoir visiter des galaxies lointaines. Elle était persuadée que c’était possible et elle en était toujours persuadée.
Naruto s’allongea à côté d’elle. Sakura tourna la tête vers lui et sourit. Il avait été greffé du bras il y a quatre mois et avait insisté pour partir en mission avec elle. Il s’agissait d’une mission de deux jours, assez simple, mais Sakura était heureuse de passer du temps avec son meilleur ami.
« Encore entrain de regarder les étoiles, se moqua-t-il gentiment. -Je les trouve réconfortantes. -Tu crois toujours pouvoir voyager dans les étoiles ? »
Sakura lâcha un petit rire et lui tapa légèrement l’épaule. Naruto ne put s’empêcher de grimacer.
« Arrête de te moquer. »
Mais elle était persuadée que quelque chose allait changer arriver. Quelque chose d’important qui pourrait changer sa vie. En rentrant de mission, Sakura eut l’étrange impression que les étoiles l’attiraient de plus en plus. C’était comme si elles l’appelaient. Chaque jour, elle avait l’impression que son cerveau assimilait de nouvelles connaissances, des choses qu’elle n’avait jamais appris. La nuit, elle faisait des rêves étranges, peuplés de créatures inconnues et de planètes lointaines. Mais certaines choses étaient récurrentes. Une boîte bleue qui était plus grande à l’intérieur et un homme avec des visages différents. Un jour, alors qu’elle dormait le nom de cet homme lui vint à l’esprit.
« Docteur ! Appela Sakura en se réveillant brusquement. »
Elle prit sa tête entre ses mains lorsqu’une violente douleur la traversa. Elle n’avait jamais ressenti cela. C’était comme si sa tête allait exploser à cause du trop plein d’informations. Des milliers d’images défilèrent dans sa tête. Londres, Powell Estate, Jacky, Mickey, le Docteur, le TARDIS, Bad Wolf, le monde de Pete, John, ses retrouvailles avec le Docteur, le trou noir.
Sakura baissa ses mains et ouvrit les yeux. Elle se souvenait de tout. Elle s’appelait Rose Tyler et en étant aspirée par le trou noir, elle s’était régénérée. C’était la seule explication qu’elle avait trouvé. Elle n’aurait jamais cru que Bad Wolf était capable de faire cela. Elle avait atterri à Konoha étant bébé. Les Haruno l’avaient trouvé sous les cerisiers en fleurs et l’avaient appelé Sakura. Mais contrairement au Docteur, elle n’avait aucun souvenir de sa vie passée jusqu’à aujourd’hui. Sakura se souvint du sentiment qu’elle avait que les choses allaient changer. Mais elle n’aurait jamais cru à ce genre de changement.
******
Plusieurs semaines étaient passés et Sakura n’avait plus qu’une idée en tête, retrouver le Docteur. Mais elle n’avait aucun moyen de le contacter. Depuis qu’elle avait retrouvé la mémoire, elle essayait de construire un appareil qui pourrait être capable d’envoyer un signal au TARDIS. Elle savait que se serait compliqué et que cela lui prendrait du temps. Mais elle était certaine d’une chose. Peu importe le nombre de fois qu’ils étaient séparés, ils finiraient toujours par se retrouver.
******
Le Docteur abaissa la manette, mais le TARDIS ne voulait pas l’écouter et n’en faisait qu’à sa tête. Ils se dirigeaient vers une destination inconnue au fin fond de l’univers et cela inquiétait le Docteur. Il y eut une violente secousse et elle tomba par terre. Elle ne comprenait pas ce qu’il se passait. Le TARDIS s’arrêta tout à coup et le Docteur se dirigea vers l’écran. Elle écarquilla les yeux lorsqu’elle lut les instructions. Ses cœurs battaient tellement forts qu’elle crut qu’ils allaient sortir de sa poitrine.
C’était impossible. Elle fit une nouvelle vérification et le résultat était le même. Rose était là. De l’autre côté de la porte. Elle se souvint de ce jour fatidique où Rose avait disparu. C’était impossible qu’elle ait survécu. Mais peut-être… Le Docteur sentit l’espoir monter en elle. Peut-être que Rose était toujours vivante. Après tout, ce n’était pas la première fois que quand elle croyait ne plus la revoir, Rose réapparaissait miraculeusement dans sa vie.
Le Docteur savait juste qu’elle se trouvait dans un village nommé Konoha, sur une planète similaire à la Terre mais qui se trouvait à des millions d’années lumières de là où s’était trouvé le trou noir.
Le Docteur sortit du TARDIS en courant. Elle se trouvait devant un bâtiment qui était en démolissions. Elle entra à l’intérieur et failli perdre l’équilibre en sentant une violente secousse. Elle arriva dans un couloir complètement démoli.
« Qu’est-ce qui s’est passé ici ? Se demanda-t-elle. »
La terre trembla à nouveau et le Docteur vit une silhouette arriver vers elle en courant. Il s’agissait d’une jeune femme, mais ce n’était pas Rose. Elle avait des cheveux rose et lorsqu’elle arriva vers le Docteur, elle put voir ses grands yeux verts.
« Il ne faut pas rester là, dit-elle. Courez ! »
Elle lui prit la main et elles partirent en courant. Le Docteur eut l’impression de retourner plusieurs siècles en arrière quand elle avait rencontré Rose. Cette fille n’était pas Rose, mais pourtant elle ressentait la même chaleur et la même douceur dans ses cœurs. Le Docteur regarda derrière elle et vit deux Cybermen. Elles sortirent du bâtiment et la jeune femme lui lâcha la main. Le Docteur ressenti un manque, mais elle reprit ses esprits lorsque la jeune femme frappa le sol avec son poing et que le bâtiment s’écroula.
« Waouh ! S’exclama le Docteur. Impressionnant. »
La jeune femme sourit jusqu’aux oreilles.
« Merci. »
Elle regarda en direction du bâtiment en ruine.
« J’ai dû faire une erreur de calcul, marmonna-t-elle. Les Cybermen n’auraient jamais dû entendre mon appel. »
Le Docteur l’observa. Elle avait parlé bien trop doucement et elle n’avait pas compris ce qu’elle venait de dire. Elle ne ressemblait pas à Rose. Mais pourtant, elle savait que c’était elle. Tout dans son être savait que c’était Rose. Peut-être qu’elle s’était régénérée. Après tout, il y a encore beaucoup de chose qu’elle ignorait sur Bad Wolf.
« Est-ce que tout va bien ? Demanda la jeune femme, remarquant que le Docteur l’observer. -Oui, très bien. »
Le Docteur sourit jusqu’aux oreilles. Soudain, un autre Cyberman arriva vers elles. Le Docteur se dirigea vers le tableau électrique du bâtiment. Les fils électriques étaient par terre. Elle passa son tourne-vis sonique sur le tableau. Lorsque le Cyberman marchera sur les fils, il sera électrocuté, pensa-t-elle. Mais elles devaient vite partir, c’était dangereux aussi pour elles.
« Allons-nous en, dit le Docteur. »
Elle prit la main de la jeune femme, qui la suivit sans poser de questions. Elles entrèrent dans le TARDIS. Le Docteur se dirigea vers le tableau de bord, tandis que son invitée regarda autour d’elle.
« C’est… Commença-t-elle. -C’est plus grand à l’intérieur, continua le Docteur. »
Elle s’approcha du Docteur, affichant un immense sourire au visage.
« Je savais que tu entendrais mon appel. -Rose, sourit le Docteur. -Désormais, je m’appelle Sakura. »
Un autre nom de fleur, pensa le Docteur.
« Qu’est-ce que tu en penses ? Demanda Sakura. Est-ce que c’est une bonne ou une mauvaise différence ? »
Jamais le Docteur ne s’était sentie aussi heureuse.
« Une bonne différence, répondit-elle. »
Sakura lui prit la main et la serra.
« Les étoiles me mèneront toujours jusqu’à toi. »
Cette phrase qui lui avait fait tant de peine, la rendait désormais heureuse. Elle prit Sakura dans ses bras et l’embrassa. Elle venait de la retrouver et elle ne voulait plus passer une seconde loin d’elle.
Peu importe ce qui se passerait. Qu’elle s’appelle Rose ou Sakura. Elle était enfin avec le Docteur, à bord du TARDIS, pour toujours.
Fin
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marie-swriting · 1 year
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J'aime San Francisco - Kate Bishop
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Marvel Masterlist
Romance Masterlist
Résumé : Tu es à San Francisco avec ta meilleure amie Kate et sa mission est de te faire tomber amoureuse de la ville.
Warnings : fluff, attirance mutuelle, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.1k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Used To This par Camila Cabello
Tu ouvres doucement les yeux, la lumière du jour t’empêchant de rester dans les bras de Morphée. En tournant la tête, tu regardes Kate avec tendresse. Ses lèvres sont entrouvertes, de légers ronflements s’en échappant. Tu la trouves mignonne. Tu ne le lui diras jamais. 
Tu aimes Kate depuis ton adolescence et tu as toujours réussi à ignorer tes sentiments. Tu es même sortie avec d’autres personnes. Toutefois, tes sentiments sont revenus à la charge au moment où ta dernière relation s’est finie. Tu te bats pour ne rien montrer depuis un mois.  Vous êtes amies depuis trop longtemps, ça serait étrange d’avouer ton attirance maintenant et tu ne sais pas si vous seriez capable de vous habituer à un changement aussi important dans votre relation alors tu l’admires en silence.
Tu te tournes complètement sur le côté pour avoir une meilleure vue sur son visage. Kate a dû te sentir car à peine quelques secondes plus tard, son visage se trouve face au tien, une mèche de cheveux tombant sur son visage. Le nez de Kate se retrousse légèrement, chatouillé par la mèche. Toujours endormie, elle essaye de bouger sa tête, espérant enlever ce qui l’embête, en vain. Tu retiens un rire avant d’enlever les cheveux avec tes doigts. Au même moment où tu replaces la mèche derrière son oreille, Kate papillonne des yeux. Tu retires ta main, craignant de l’avoir réveillée. Tu restes immobile jusqu’à ce que Kate ouvre les yeux et la culpabilité prend possession de ton corps.
-Désolée, je ne voulais pas te réveiller. Tes cheveux te dérangeaient et je voulais t’aider.
-Pas grave. C’est quelle heure ? demande-t-elle avec une voix encore endormie qui pourrait te faire tévanouir.
-Neuf heures.
-On devrait se lever alors, s’exclame Kate en quittant le lit.
-Quoi ? Pourquoi ? On est en vacances, soupires-tu en mettant ton coussin sur ta tête. 
-On est en vacances à San Francisco seulement pendant cinq jours. Tu ne pensais quand même pas qu’on allait rester dans la chambre d’hôtel à rien faire ? questionne-t-elle en prenant ton coussin. 
-Euh, si, en fait. Je n’ai jamais aimé San Francisco donc…
-Tu n’aimes pas San Francisco ? Tu rigoles ? t’interrompt Kate, sous le choc.
-Il n'y a rien de spécial ici, affirmes-tu en haussant les épaules.
-Pourquoi t’as organisé ce voyage alors ?
-Parce que mon ex voulait absolument venir ici et que je voulais lui faire plaisir. Enfin, c’était avant qu’elle me plaque il y a un mois car “finalement, elle ne m’aimait pas autant”, explique-tu, irritée à cause de Sarah, ton ex.
-Ce n’est pas une raison pour ne pas en profiter ! Tu es avec ta meilleure amie dans une nouvelle ville et je sais ce qu’on va faire, j’ai fait des recherches. Tu vas voir, d’ici la fin de notre séjour, tu sera amoureuse de San Francisco.
-C’est un challenge ? 
-On peut dire ça, sourit Kate.
-Bonne chance. 
-Allez, lève ton joli petit cul de ce lit et à la douche, t’ordonne-t-elle en te tapant avec le coussin. Je vais préparer l’itinéraire pour aujourd’hui.
Tu rigoles avant de lui faire le salut militaire et de sortir du lit. Kate pointe la salle de bain de la main et non sans un grognement, tu vas te préparer après avoir pris tes affaires. 
Quand vous êtes prêtes, vous prenez un des fameux tramways de San Francisco pour découvrir la ville rapidement avant d’explorer des parties plus précises. Pendant votre trajet, Kate est assise côté fenêtre et regarde avec étonnement les paysages. Au début, tu n’y prêtes pas attention jusqu’à ce qu’elle te prenne la main et pointe les maisons typiques de la ville. La sensation de sa main dans la tienne réveille des papillons dans ton ventre. Ce n’est pas la première fois qu’elle le fait, mais maintenant, c’est différent. Tes sentiments sont plus forts qu’avant donc ce toucher est à la fois agréable et étrange. Il représente plus que de l’amitié. 
Kate lit quelques passages d’un livre de tourisme, espérant attiser ta curiosité, et tu l’écoutes, enfin tu es plus captivée par sa voix que par les informations. 
Quand vous jugez que vous êtes restées assez longtemps dans le tramway, vous vous rendez à la Jetée 39. Kate te traîne au point de vue pour admirer Alcatraz et le Golden Gate Bridge de loin avant d’aller à l’endroit où des lions de mer se trouvent. Quand tu les vois, tu dois avouer que tu commences à trouver cette ville un peu plus intéressante. Kate essaye de s’en rapprocher mais panique à la dernière minute quand un des lions de mer bouge et elle accourt vers toi. Tu rigoles à son action. Vous prenez quelques photos et continuez à visiter un peu plus jusqu’à ce qu’il soit tard.
Les jours suivants sont assez similaires. Vous découvrez la ville et Kate essaye par tous les moyens de trouver quelque chose qui pourrait te faire aimer l’endroit. Elle y arrive enfin le quatrième jour. Ce jour-là, elle t’emmène au Beat Museum. Tu es passionnée par ce mouvement littéraire et les auteurs qui le composent. En voyant la devanture du musée, tu te tournes vers Kate qui a un sourire fier sur son visage.
-Alors, San Francisco n’a toujours rien de spécial à offrir ? questionne-t-elle, rhétoriquement. 
-Tu commences à être sur le bon chemin. Je dois t’avouer que ce musée est l’une des seules raisons pour laquelle j’avais accepté de venir ici. 
-J’en étais sûre ! Allez, viens, dit-elle en mettant son bras dans le tien.
Dans le musée, tu es totalement captivée. Pour une fois, tu es celle qui donne les informations à Kate qui écoute avec joie. Elle te pose de nombreuses questions et tu y réponds à chacune d’entre elles, même à la plus basique. Tu lui rajoutes même des petits faits drôles que tu as découvert au fil des années. Avant de partir, vous passez par la boutique de souvenirs et tu achètes Le Vagabond Solitaire. Tu connais presque toutes les œuvres de Jack Kerouac mais tu ne les possèdes pas toutes. Tu as lu la plupart sur ta liseuse et venir au musée est l’excuse parfaite pour acheter la copie physique de ce livre en particulier. 
Le soir, vous allez manger dans un bar restaurant non loin de votre hôtel. Sur le chemin, tu commences à lire le livre à voix haute pour faire découvrir l’histoire à Kate. A ton plus grand bonheur, Kate est tout de suite intéressée et est presque triste de savoir que vous êtes arrivées au restaurant, voulant connaître la suite. Tu lui promets de lui lire la suite plus tard. 
L’ambiance dans le lieu est très détendue grâce à la soirée karaoké en cours. Vous rigolez aux différents groupes de personnes chantant de manière extravagante. Pendant que vous mangez, vous accompagnez parfois les personnes sur scène depuis vos chaises. Ta meilleure amie a officiellement fait un sans faute pour cette journée. 
Quand vous avez fini de manger, vous ne rentrez pas tout de suite, continuant à regarder les personnes faire du karaoké. Une heure plus tard, Kate se tourne vers toi, un grand sourire aux lèvres. Pas besoin de chercher pour savoir ce qu’elle a en tête.
-Kate, non, rigoles-tu.
-Allez ! On ne connaît personne, on s’en fiche si on chante mal. Et puis, on est là pour s’amuser, tente-t-elle de te convaincre en te faisant un regard de chien battu.
-T’as intérêt à me trouver une bonne chanson !
-Yes ! s’exclame-t-elle, victorieuse avant de se lever.
Quand elle revient, elle t’annonce qu’il y a deux groupes avant vous. Kate refuse de te dire quelle musique elle a choisi, voulant te réserver la surprise. Tu as différentes idées en tête de ce qu’elle aurait demandé. Tu n’essayes pas de jouer aux devinettes, sachant qu’elle ne te donnera pas la réponse. En temps normal, Kate lâche le morceau rapidement pour les surprises si tu insistes assez longtemps et que tu lui fais ton air de chien battu, mais quand c’est pour une surprise proche dans le temps, elle sait résister. Quand vous êtes appelées, Kate te prend le bras et t’amène jusqu’à la scène. 
Les premières notes de Lay All Your Love On Me commencent et tu la regardes en rigolant. Bien évidemment, elle a choisi cette chanson ! Mamma Mia ! est votre film et vous connaissez les musiques sur le bout des doigts. Vous avez même créé vos propres chorégraphies durant votre enfance en vous inspirant de celles du film. 
Kate commence à chanter et tu attends patiemment, ton micro en main. Kate bouge sur la scène sans regarder où elle met les pieds. Au moment où elle chante “I beg of you”, son regard est concentré sur toi. La voyant sur le point de tomber, tu la rattrapes à temps alors que sa voix se fait instable sur la dernière note qu’elle doit tenir. Tu commences à chanter le refrain, gardant ta main sur son bras pour éviter un nouvel accident. Tu continues ta partie en rigolant face aux singeries de Kate. Quand elle chante le refrain, Kate se rapproche de toi et pose sa main sur ta joue en chantant dramatiquement. Tu essayes de cacher ton trouble en la voyant si proche de toi, comme à chaque fois que vous arrivez à cette partie de la chanson. À ce moment-là, tu voudrais l’embrasser, mais tu te retiens de toutes tes forces. Tu la fais tourner, espérant créer une légère distance. 
Vous continuez à vous amuser jusqu’à ce que la musique se termine. Comme pour les autres participants, vous êtes applaudits alors que vous retournez à votre table. Vous restez encore un peu avant de rentrer, la fatigue commençant à se faire ressentir. 
Le dernier jour, vous visitez un peu plus calmement, ayant fait les lieux les plus importants, à l’exception du Golden Gate Bridge. Vous avez gardé le célèbre pont de San Francisco en dernier, voulant l'admirer durant le coucher de soleil. 
Par chance, il n’y a pas beaucoup de personnes avec vous. Vous trouvez un banc pour pouvoir le regarder tranquillement. En attendant que le soleil se couche, tu continues à lire Le Vagabond Solitaire à Kate, sa tête posée sur tes genoux pendant que tu caresses ses cheveux. Quand elle te fait signe que c’est l’heure, tu ranges ton livre dans ton sac et Kate se rassoit comme il faut. Vous regardez le soleil descendre dans le ciel silencieusement, la main de Kate a naturellement trouvé son chemin dans la tienne entretemps. Alors que tu es perdue dans tes pensées, la voix de ta meilleure amie te ramène à la réalité.
-Alors, j’ai réussi à te faire changer d’avis ? Tu aimes cette ville ?
-Bien essayé, mais non. Il y a des choses intéressantes mais je ne suis toujours pas convaincue, avoues-tu avec un sourire.
-Un jour, je te ferai changer d’avis !
-C’est une menace ?
-Une promesse, corrige Kate en serrant ta main légèrement.
Vous restez silencieuses à nouveau, seulement cette fois, tu n’admires pas le soleil, mais Kate. Sentant ton cœur s’emballer, tu essayes de te calmer. Tu continues à la regarder avant de reprendre la parole : 
-Merci d’être venue avec moi, au fait. 
-Tu sais que je suis toujours contente de passer du temps avec toi.
-Et merci de ne pas avoir dit “je te l’avais dit”, ajoutes-tu, faisant froncer les sourcils de Kate. Ne mens pas, tu rêves de me le dire depuis que Sarah m’a plaqué. Tu n’arrêtais pas de me dire qu’elle me briserait le cœur et je ne t’ai pas écouté.
-Je ne te l’ai pas dit car tu souffrais déjà assez. Tu avais besoin que je te soutienne, pas que je te mette encore plus mal. Un jour, tu trouveras quelqu’un que tu mérites, j’en suis sûre.
-Ouais, dis-tu, peu convaincue.
-Peut-être que tu l'as même déjà rencontré, suggère Kate d’une voix douce.
Ton regard perdu posé sur Kate, tu n’es pas sûre de comprendre ce qu’elle sous-entend. Tu as peur de trop lire entre les lignes. Kate se rapproche de toi tout en te donnant le temps de reculer si tu le souhaites. Tu ne bouges pas et elle prend ça comme un bon signe. Délicatement, elle pose ses lèvres sur les tiennes. Au début, tu ne réagis pas, surprise. Kate arrête de t’embrasser, les joues rouges d’embarras. 
-Désolée, je n’aurais pas dû t’embrasser. C’était bizarre, bafouille-t-elle en évitant ton regard.
-Non, je pourrais m’y habituer.
Tu prends sa main, attirant son attention sur toi. Ses yeux passent de vos doigts liés à ton visage et enfin à tes lèvres. Tu te rapproches d’elle et te penches pour l’embrasser. Kate répond à ton baiser instantanément. Tu poses ta main de libre sur le bas de sa nuque et Kate pose la sienne sur ta joue, approfondissant votre baiser. Vous continuez à vous embrasser, le coucher de soleil sur le Golden Gate Bridge devenant un lointain souvenir. Quand vous n’avez plus d’air, vous vous séparez, mais gardez vos visages proches avec un léger sourire. 
-Finalement, je crois que j’aime San Francisco.
Le sourire de Kate s’agrandit à ton affirmation avant qu’elle repose ses lèvres sur les tiennes, vous autorisant à vous habituer à ce nouveau changement dans votre relation.
Marvel Masterlist
Romance Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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grand-mechant-loup · 1 year
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Maintenant c’est moi qui vais te baiser !
Cela fait plusieurs minutes maintenant que tu me suces avec cette force et cette profondeur qui me rendent dingue. Parfois tu ressors furtivement mon gland de ta bouche pour faire tourner ta langue autour et brusquement tu fonds sur ma queue avec avidité et c’est au contact de ta gorge que je sais à quel point tu vas loin. Pourtant tu ne sembles pas trouver cela suffisant et tu forces encore, par à–coups, faisant progresser mon gland plus loin au fond de toi, millimètres par millimètres. La sensation est d’une puissance incroyable. Le plaisir dans mon gland irradie jusqu’à mes couilles et même plus loin. Je sens mon cul qui palpite à un rythme que je ne maîtrise pas. Plusieurs fois je t’ai senti presser l’entrée de mon trou pendant que ta bouche allait et venait le long de mon sexe. Parfois même c’est ta langue qui est venue me lécher. Tu as réveillé une envie profonde. L’envie de me sentir pris… rempli…
- J’ai envie que tu me mettes le plug. - D’accord.
Tu souris. Tu vas chercher le plug et le tube de lubrifiant. Tu reviens ensuite t’agenouiller entre mes jambes écartées. De mon côté, je suis sur le dos et je trouve une position confortable. Je suis prêt à t’accueillir, impatient.
Tu fais couler du lubrifiant sur tes doigts et tu viens te pencher vers moi, en appui sur une main tandis que ton autre main descend entre mes cuisses, puis entre mes fesses.
Je sens le gel froid à l’entrée de mon cul. Tu le masses doucement, la sensation est délicieuse. Mais je veux plus et toi aussi. Ton doigt s’enfonce alors en moi d’un mouvement que tu veux lent, continu et profond.
Je soupire. Le plaisir est immédiat.
Je te sens alors bouger ton doigt. Je ne sais pas bien ce que tu fais mais tu sembles avoir trouvé ma prostate sur laquelle vient buter ton doigt à répétition. La sensation est intense et vive. J’ai l’impression que je pourrais éjaculer à tout moment mais le ressenti est inhabituel car le plaisir vient de l'intérieur de mon ventre.
Avant que je puisse seulement essayer de comprendre ce que tu me fais, tu enfonces un deuxième doigt en moi. Tu fais alors jouer tes doigts pour me dilater et de fait mon cul s’écarte peu à peu.
Quand tu ressors enfin tes doigts, je sais ce qui m’attend. Je te regarde recouvrir le plug en verre d’un peu de lubrifiant puis le glisser entre mes fesses. Tu me regardes dans les yeux avec ce sourire…
Je te sens pousser le plug dans mon cul. Cette fois la progression se fait par petites poussées progressives. Mon cul s’écarte un peu plus à chaque fois. Je sais ce qui va se passer : quand le plug arrivera à la partie la plus large, mon cul se refermera sur lui dans un spasme. Ça va faire mal mais je veux ressentir cette douleur. Je ne tiens plus.
- Vas-y… vas-y…
Tu fais durer encore peu, jouant avec ma frustration quand brutalement, tu fais rentrer le plug en entier. Mon cul se contracte. La douleur est vive mais elle laisse rapidement place à un plaisir incroyable. Ma tête tourne et je me sens soudain rempli d’une incommensurable reconnaissance à ton égard. Reconnaissance pour le plaisir que tu me donnes et pour la compréhension que tu as de ce plaisir.
Je prends ton visage entre mes mains et je t’embrasse. Je voudrais que tu comprennes et que tu saches à quel point c’est bon. Mes mains viennent alors se poser sur ton cul. Je presse tes fesses entre mes doigts puis je descends encore mes mains sur tes cuisses et je t’invite à les écarter de manière à ce que tu ne sois plus entre mes jambes mais que tu me chevauches. Une fois tes jambes de part et d’autre des miennes, je te prends par la taille et je te pénètre. Ta chatte est trempée et je m’y glisse avec facilité. Je m’y glisse loin. Nous commençons alors nos mouvements de va et vient. Chacun de ces mouvements fait bouger le plug en moi. Il atteint ma prostate, il me remplit, il m’écarte. Combiné au plaisir que je ressens à te pénétrer… mes pensées s’affolent. Toi tu gémis, tu donnes des coups de bassin qui font entrer ma queue à chaque fois un peu plus loin dans ta chatte qui coule sur mon ventre.
Nous  roulons sur le lit. Je te demande de te mettre à plat ventre et je viens derrière toi. Ma queue tendue retrouve immédiatement le chemin de ta chatte ouverte. Je m’enfonce en toi profondément. A Chaque coup de reins je presse un peu plus mon corps contre tes fesses, à chaque fois ma queue va plus en toi. Je te baise fort et tu sembles apprécier.
Ce jeu dure de longues minutes jusqu’à ce que le rythme s'apaise et laisse place à des caresses d’une tendresse infinie.
Puis tu me regardes dans les yeux. Tu parais pleine d’envie.
- Maintenant c’est moi qui vais te baiser ! - Ah bon ? - Oui ! Je veux t’enculer fort.
Ces mots me font frémir de désir.
- D’accord.
J’ôte le plug tandis que tu vas chercher le strap-on-me. Je te regarde le sortir doucement de son sachet en tissu puis tu passes une main entre tes cuisses et tu écartes les lèvres de ta chatte. De ton autre main, tu guides le bulbe dans ton vagin. Tu l’avales entièrement et te voilà désormais équipée d’une belle bite, large et recourbée vers le haut. Son gland est assez impressionnant mais je sais qu’il passera sans trop de problèmes après le plug et que tes mouvements seront rendus plus simples mais aussi plus profonds.
Tu as dit que tu voulais m’enculer fort et tout ce que je veux c’est rendre cela possible et que ce soit le plus simple pour toi. Alors je me dresse sur mes genoux, je te tourne le dos (et plus précisément le cul), je pose mes mains écartées contre le mur, je creuse mes reins et j’écarte les jambes. Dans cette position mon cul est ouvert. Il t’est offert. Tu peux à ce moment-là faire ce que tu veux de moi. Et cette idée de t’appartenir, que ce moment te donne tous les droits, tout cela m’excite au plus haut point et me fait espérer que tu abuses de moi.
Et tu commences par des claques lourdes et répétées. Je sens mon cul chauffer, j’ai envie que tu continues. Par moment tu arrêtes les coups et tu passes une main entre mes jambes, tu prends mes couilles dans ta main, tu les presses, tu me branles un peu puis tu recommences à me claquer le cul.
Quand cette douce torture cesse, je te sens te rapprocher de moi, je sens aussi ton gland pointer contre mon cul. Tu pousses par petites pressions, comme pour sentir à quel moment tu es bien positionnée. Quand tu as trouvé le chemin tu me force alors le cul sans ménagement. Le gland puis toute la bite factice s’enfoncent en moi. Je gémis sans retenue. Je te sens au plus profond de mon ventre et tu te mets à aller et venir dans une série de mouvements amples. Je me sens secoué, disponible pour ton plaisir mais récoltant le mien au passage. Tes coups de reins sont puissants et répétés. Un liquide clair et épais s’échappe de ma queue. Tu me tiens par les hanches et tu m’attires vers toi pour me baiser plus loin.
Pendant de longues minutes tu me baises quasiment avec violence. Le plaisir qui naît dans mon ventre est d’une puissance à me faire tourner la tête et comme tu sens peut-être que je m’affaiblis, tes mains quittent mes hanches et tu viens enrouler tes bras autour de mon corps. Et bien que la tendresse et la douceur soient de mise, cette position te rapproche encore de moi, permettant à notre jouet de continuer à me pénétrer toujours aussi loin.
Tu as désormais pris ma queue dans ta main et alors que tu me pénètres doucement, tu as entrepris de me faire jouir en me branlant.
La sensation est trop forte et je ne résiste pas longtemps à l’orgasme qui me submerge.
A chaque spasme dû au plaisir, mon cul enserre un peu plus le gode, le maintenant fermement ancré en moi et l’incitant même à aller plus avant.
Quand tu quittes enfin mon cul, la sensation de libération est jouissive et j’en garde des spasmes dans mon ventre de nombreuses minutes encore.
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oviri7 · 2 years
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« Aujourd’hui l’encombrement de la tête humaine, la multiplicité et la contradiction des doctrines, l'excès de la vie cérébrale, les habitudes sédentaires, le régime artificiel et l'excitation fiévreuse des capitales ont exagéré l’agitation nerveuse, outré le besoin des sensations fortes et neuves, développé les tristesses sourdes, les aspirations vagues, les convoitises illimitées. L'homme n'est plus ce qu'il était, et ce que peut-être il aurait bien fait de rester toujours, un animal de haute espèce, content d'agir et de penser sur la terre qui le nourrit et sous le soleil qui l'éclaire; mais un prodigieux cerveau, une âme infinie, pour qui ses curiosités et ses ambitions, toujours en quête et en conquête, avec des frémissements et des éclats qui déconcertent sa structure animale et ruinent son support corporel, promené en tous les sens jusqu'aux confins du monde réel et dans les profondeurs du monde imaginaire, tantôt enivré, tantôt accablé par l'immensité de ses acquisitions et de son œuvre, acharné après l'impossible ou rabattu dans le métier, lancé dans le rêve douloureux, intense et grandiose comme Beethoven, Heine et le Faust de Gœthe, ou resserré par la compression de sa case sociale et déjeté tout d'un côté par une spécialité et une monomanie comme les personnages de Balzac. […] Rassasié et dispersé comme il est, il demande à l'art des sensations imprévues et fortes, des effets nouveaux de couleurs, de physionomies et de sites, des accents qui à tout prix le troublent, le piquent ou l'amusent, bref, un style qui tourne à la manière, au parti pris et à l'excès. »
Hippolyte Taine - Philosophie de l’art
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ernestinee · 2 years
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Pas toujours facile d'aller travailler en ce moment. La responsabilité d'avoir au creux de ma main l'évolution cognitive et communicationnelle d'une trentaine d'enfants, certains jusqu'à leurs 17 ans, le doute qui s'infiltre parfois dans la moindre faille, est ce que je me vois faire ça encore 25 ans ? Non. Oui. J'en sais rien. C'est ce que je fais de mieux mais je pourrais être efficace sur d'autres scènes du même travail, montrer d'autres facettes. Me réapproprier l'espace, les jeux et l'attention des enfants alors que depuis 3 mois, je suis plus régulièrement observatrice active pour l'apprentissage de ma stagiaire (qui a fini son stage sniff)
Aussi la sensation de perte de temps avec des tâches administratives, expliquer quels sont les documents nécessaires, à des personnes qui semblent ne pas comprendre qu'il faut DEUX PUTAIN DE DATES DIFFÉRENTES POUR RESPECTER LA CHRONOLOGIE DU DOSSIER T'AS FAIT 9 ANS D'ETUDES ET TU COMPRENDS PAS ÇA CONNARD.
Hum je m'emporte.
Et donc reprendre les commandes parce que je suis là pour ça. Alors que généralement j'ai un objectif en tête et je tourne autour, j'ai repris aujourd'hui la préparation détaillée de chaque séance, j'ai fait du matériel, j'ai noté des noms de jeux pour ne pas laisser trop de place à l'improvisation.
Et il y a aussi ce message "On est séparés ma femme et moi, depuis une semaine, mais j'ai déjà réorganisé mon horaire pour pouvoir conduire le petit à ta séance parce que c'est trop important ce que tu fais avec lui, toute la famille a vu des progrès pendant les fêtes c'est trop bien, merci, tu as repris cette semaine ? C'est bien 17h30?"
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Alors respirer un bon coup et y aller, cette fois.
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omagazineparis · 4 months
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Amanda Gorman, la poétesse devenue icône américaine
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Amanda Gorman, son nom est sur toutes les lèvres. Cette jeune poétesse a fait sensation lors de l’investiture du Président Biden. Rayonnante et passionnée, elle a envoûté le monde entier avec son poème « The Hill We Climb ». Son œuvre évènement, message d’unité et d’espoir, sera bientôt disponible en France. Qui est Amanda Gorman ? Âgée de seulement 22 ans, la jeune poétesse afro-américaine a marqué les esprits lors de l’investiture du 46e président des États-Unis. Dans son poème « The Hill We Climb », Amanda Gorman se décrit comme « une fille noire, maigre, descendante d’esclaves, élevée par une mère célibataire, qui se retrouve à déclamer devant un président. » Originaire d’un milieu modeste de Los Angeles, sa mère l’élève seule avec sa sœur jumelle. Durant son enfance, elle souffre de bégaiement et se tourne vers l'écriture pour l’aider à s’exprimer plus librement. La jeune poétesse remporte son premier prix de poésie à l'âge de 16 ans. En 2017, elle devient la jeune poète la plus prometteuse des États-Unis. Remarquée lors d’une de ses lectures par la première dame Jill Biden, cette dernière l'invite à la cérémonie officielle d'investiture du nouveau président pour déclamer une œuvre originale sur une Amérique unie. Icône de la jeunesse américaine Inconnue il y a peu, Amanda Gorman est devenue en quelques semaines une véritable révélation mondiale. Sa passion et sa force de conviction en font un symbole d’espoir dont elle est consciente. Ses mots inspirent la jeune génération américaine mais aussi celle du monde entier. En tête des ventes sur Amazon, elle n'a pourtant pas encore publié ses oeuvres. Elle dépasse même Une Terre promise, les mémoires de Barack Obama. Et rien ne semble arrêter son ascension. En effet, l’artiste croule sous les sollicitations médiatiques. La jeune Californienne devient ainsi la première poétesse à se produire au Super Bowl, rendant hommage aux héros du quotidien pendant la crise du Coronavirus. Elle se retrouve également en couverture de Time Magazine, interviewée par l’ex-première dame Michelle Obama. Et Amanda Gorman ne s’arrêtera pas là ! La jeune femme a pour ambition d’être candidate à la présidentielle en 2036, attendant l’âge légal de 35 ans avant de se présenter. « The Hill We Climb » arrive en France Son poème fait référence aux évènements du Capitole, envahi par les partisans de Donald Trump. Horrifiée et choquée par ces actes, la poétesse parle « d’une nation non finie, mais pas brisée. La démocratie peut être retardée », dit-elle, mais elle ne peut pas être définitivement supprimée. « The Hill We Climb », la colline que nous gravissons, fait ainsi référence à la colline du Capitole. Amanda Gorman déclame « qu’il y a toujours de la lumière, si nous sommes assez courageux pour la voir, si nous sommes assez courageux pour être cette lumière ». Elle ajoute que « si notre regard est tourné vers l’avenir, l’Histoire a le sien sur nous. » Son vibrant message d’espoir a de loin dépassé les frontières de l’Amérique. Et nous aurons bientôt l’occasion d’en profiter puisque ses textes seront traduits en français. Ce sont les éditions Fayard qui ont obtenu les droits sur ses œuvres, en particulier « The Hill We Climb ». La traduction sera quant à elle confiée aux soins de l’auteure-compositrice Lous and the Yakuza. La date de sortie en France est fixée au mois de mai prochain. La maison d’édition prévoit également d’ici l’automne la publication d’un recueil intitulé The Hill We Climb and Other Poems. Read the full article
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e642 · 5 months
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J'ai encore cours jusqu'à lundi et j'ai partiel dès jeudi pendant 3 semaines. Mon mec est parti en vacances. Mes parents sont loin. Je passe mes journées enfermée à écouter soit des gens parler, soit à regarder mes cours en attendant que le temps passe. J'aime pas le mois de mai. C'est toujours la saison des partiels, les fins d'année, les moments charnières en général et il y a mon anniversaire aussi. Je sais très bien que jeudi je vais aller poser mon cul sur une chaise gelée pour regarder un énoncé dont j'entrave que dalle et je rentrerai chez moi en attendant le prochain. Entre temps, personne ne m'aura demandé comment ça s'est passé car mon mec s'en branle et mes parents je sais pas, j'arrive pas à savoir, quoiqu'il en soit, ils se souviennent jamais des dates importantes. Mais seulement quand c'est les miennes. Les journées sont longues. J'alterne entre désespoir profond et lecture dispersée de cours. C'est marrant, comme j'ai personne ici, j'ai l'impression de ne pas réellement exister. Il pleut, depuis des semaines et ça va encore durer. C'est le jour sans fin. Je sais pas trop quoi faire. Je tourne en rond. Incapable de sortir par peur de m'en vouloir. J'crois que ce que j'aime moins dans les études, c'est ce sentiment de culpabilité constant. Les périodes avant partiel sont mentalement drainantes pour moi et, celle ci ne fait pas exception, mais elle me heurte différemment. J'ai vraiment cette sensation d'être seule au monde. Ya quelques jours, l'ascenseur était en panne, j'ai pris les escaliers, j'ai failli tomber et le premier truc qui m'est passé par la tête c'est: personne saura de toute façon. C'est vrai ça, personne ne sait rien. Personne ne demande rien. C'est déroutant. Je suis déroutée plus qu'attristée. Je pensais que cette année serait un nouveau départ, et finalement c'est une continuité parfaitement amère. J'ai peur de passer toute ma vie à avoir les mêmes réflexions sur les mêmes choses. Quel échec ce serait. Quel statisme.
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sadistiicangel · 5 months
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• SWEET DREAMS BITTER NIGHTMARES •
CHAPITRE 3: Attention... Ça tourne !
°°°
Trois jours plus tard… Trois long jours qui avaient paru une éternité.. Syana se réveilla. Difficilement.. et avec bien des douleurs mais sans aucun "souvenirs" ne lui paraissant “réels” pour les jours passés... Et pourtant, son corps lui faisait bien comprendre que tout l'était. Mais... Sans comprendre ce qu'elle avait pu vivre, subir. La seule vague de souvenirs qu'elle avait était… ces choses lui étant arrivé. Ces étrange choses. Ces événements passés et ce… monstre?
Cette chose s'en étant pris à elle.
Mais, était-ce réel ou dans sa tête ? Son ventre lui faisait si mal au point même que bouger trop soudainement ou manger était horrible, tout comme pour son bras. Cette sensation, comme s'il avait été arraché puis remis comme à une poupée. Ou bien même sa gorge. Quelle horreur. Une horreur bien trop réelle pour être imaginée. Avait-elle fait quelque chose de mal pour avoir aussi mal ? Pour subir autant de choses ? Ou était-ce le simple fait d'exister et être comme elle était qui lui valait tout cela ?
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Un long soupire passa ses lèvres alors qu'elle restait assise, serrant sa peluche requin contre elle, ne sachant que faire de plus. Mais— ah! En plus.. avec tout cela… elle n'avait en rien pu faire ses courses- Gaah… La bleutée baissa la tête en faisait une petite moue, riant alors nerveusement, en se disant même qu'elle était… véritablement maudite. Elle qui n'aimait pas sortir, si c'était ce qui l'attendait à chaque fois maintenant, elle préférait encore crever de faim. Penser à une chose aussi stupide que ses courses après ce qu'elle venait de vivre…
« Yuyu… Dommage que tu peux pas faire les courses à ma place, hein- … Oui je sais, "Grunk!" Tu veux ta salade— … »
La voix encore cassée et douloureuse, elle parlait comme elle le pouvait; en de petits soupirs douloureux. Elle regarda son cher lapin vadrouiller ainsi, faire ses zoomies habituels avant de venir flop contre son petit dodo. La vie de lapin comme lui devait être formidable. Un long soupir passa ses lèvres, se transformant en un grognements de douleur avant de tousser péniblement. Elle avait mal, certes, mais elle pouvait le supporter, comme d'habitude. Elle ne savait plus comment ces douleurs étaient “réellement” apparues, de façon réalistes et non aussi stupide comme son esprit le lui disait.., Aka… avoir été maltraité par une chose inhumaine, mais tout irait bien. Comme d'habitude, n'est-ce pas-?
Se relevant sur ses deux pieds, elle alla se saisir de son sac, étant à moins d'un mètre, sortant alors une petite boîte à médicaments. Hmm… un Doliprane suffirait pour le moment, au moins le temps de sortir faire ce qu'elle espérait être des courses. Elle l'avala en se pinçant le nez, tirant la langue ensuite. Décidément, c'etait toujours chiant à prendre. Dire qu'en à peine quelques semaines et voulant simplement sortir, sa vie entière était passée de banale à beaucoup trop mouvementée. C'était à peine croyable.. Elle regarda alors son lapin ainsi au sol, un léger sourire aux lèvres, se décidant à aller nourrir son petit gremlin albinos.
Ceci fait et un moment plus tard, ayant attendu que son médicament fasse un minimum effet, la voilà chaussures aux pieds, veste mise, et avec un magnifique écusson au coude, un chat… elle ne se souvenait pas en avoir mis un à cet endroit, mais ça donnait un certain style! Même si… au bras ou elle avait mal, c'était une étrange coïncidence mine de rien. Elle souffla lentement, prenant son petit porte-monnaie et son sac, hésitant un long moment, étant devant sa porte d'entrée, les yeux fermés. Devait-elle… y aller ? Quelque chose, une soudaine peur, semblait la retenir, l'empêcher… C'était totalement idiot, que pourrait-elle avoir de plus que ce que son esprit lui remémorait inlassablement, comme un rêve lucide. Ce monstre, cette chose, elle avait simplement dû la rêver, l'imaginer de toutes pièces depuis son esprit farfelu, oui… Elle devait simplement être…
Paranoïaque.
Ahah..
Ces choses qu'elle avait dû imaginer à la place de la réalité, pour combler sa peur de la foule ou d'être au contact d'autres gens, sans doute… Hah.
Enfin, c'est ce qu'elle aurait espéré. La voilà fuyant à nouveau la réalité, espérant s'en sortir sans dégât… Pourquoi toutes ces choses lui arrivaient comme ça, d'un coup, du jour au lendemain -?! Elle n'avait rien demandé, elle n'avait rien souhaité de tel-...
Elle…
Elle avait souhaité.
Ce stupide vœu fait face à ce magasin. C'était… impossible ! Elle refusait de croire que parmis tous les gens de l'univers, son vœu avait été réalisé, surtout de cette façon. Elle avait demandé une vie plus "vivante", non de mourir bêtement lors d'une sortie !
Serrant la clanche de sa porte, elle ravala péniblement sa salive, cette dernière passant bien mal, tout en étant au bord des larmes. Et si .. si elle était comme cette chose qu'elle avait vu-? Elle se cogna la tête d'un coup, contre sa porte, geignant alors de douleur en se frottant le front avec sa main.
« Mais quel con put- Gaaah….- Aïe aïeuh—… Pas possible d'être aussi co- Une douleur en plus, trop cool—! Ahah ..»
Ses jérémiades fini, elle regarda par le judas de sa porte, une moue au visage. Personne…
Pourvu qu'elle ne rencontre personne cette fois. Elle n'avait qu'à passer deux arrêts, et elle pourrait faire des courses, en toute sécurité ! Syana fit signe à son cher Yuyu, qui devait se poser bien des questions sur la santé mentale de sa maîtresse parfois, avant d'y aller. Clés en poche, la voilà partit, bien rapidement, comme pour éviter quoi que ce soit, éviter tout monde possible…
Éviter de revivre ce que son esprit tentait de lui remémorer. Si ces choses étaient véritablement… vraies.
Maintenant en ville, ayant décidé de marcher et de non prendre un quelconque bus ou tram, elle remettait en question son choix.
Pourquoi je suis sortie.
Pourquoi j'suis aussi con.
Pourquoi je suis pas resté bêtement et simplement dans mon lit à la place de me trauma encore plus -?!
Se disait-elle tout en marchant. Se frottant le front dû à son précédent, et idiot, geste.
À son grand malheur, elle fut en plein.. "embouteillage de monde-?", comme elle appelait la chose. Ses écouteurs dans les oreilles, elle regarda à droite, à gauche, agitant ses doigts dans les poches de sa veste comme à son habitude au rythme de ce qui lui passait en tête, voulant éviter une crise de n'importe quel genre. Panique, peur, énervement... tout. Mais être dans un tel nœud de gens, venant de tout les sens, c'était impossible d'avancer -?! Impossible. Dire que quelque jours avant, les rues qu'elle prenait quotidiennement était littéralement vide.
Le karma, le monde entier, était contre elle, impossible autrement- elle avança, se faufilant entre les gens, voulant au minimum avancer, ce sortir de cette longue rue.
« … Chance sur mille… un milliard, Sya'... Bordel, pourquoi toujours moi…-? »
Elle chercha alors un potentiel endroit calme, ou elle pourrait se reprendre, se calmer, être un peu hors de cette foule qui lui faisait perdre contrôle de tout en elle… Mais être bousculé tél un chiffon, telle une feuille au vent, et réfléchir en même temps n'étaient pas deux choses qui allaient ensemble pour elle. Pris de panique, elle se tourna à mainte reprise, tournant en rond encore et encore... se cognant à plusieurs personnes avant, d'enfin, faire face à un mur. En effet, à force d'être bousculé de la sorte, son chemin avait totalement… dévié. Un mur en coin. Elle était totalement bloqué à présent ! Entre ces murs, et les gens passant en trombes derrière elle. Mais la chose la plus étrange, comme si elle ne semblait pas en avoir eu assez, était qu'elle voyait des gens. Non pas derrière elle en tournant la tête, surtout vu ce à quoi elle faisait face, mais… derrière ce mur auquel elle faisait face. Des hommes en uniformes blanc, faisant passer des gens sous un étrange…. Bâton ? Elle ne savait absolument pas ce qu'était cette chose, mais quelle qu'elle soit, la plupart des gens semblant y passer .. n'en sortaient pas.
Qu-...
Elle recula alors, prise de peur et semblant se poser bien des questions à nouveau. Voir au travers d'un mur était impossible ! Mais.. bien du monde semblaient la fixer à présent, ayant reculé au point d'être à nouveau dans la foule, alors que quelque seconde avant, tout le monde l'ignorait tel un fantôme. Se tournant lentement, son regard ambrée regarda rapidement de droite à gauche, les gens la fixant, elle fut prise de court et d'une panique impossible à exprimer, quand une femme la pointa du doigt tout aussi soudainement, hurlant un;
« Regardez-la ! Elle en fait partie! Sa réaction le prouve– T-Tuez la—!! »
Ne comprenant rien à rien, elle secoua vivement et négativement la tête, disant qu'elle ne faisait partie de rien, elle recula doucement, sa voix se déchirant en un horrible silence. Les mots restent coincé dans sa gorge alors que les larmes lui venait aux yeux. C'était quoi encore, comme histoire -?! Pourquoi devrait-on la tuer en plus de cela-?! Elle partit dans le sens inverse à ces gens, un étrange frisson parcourant son corps, dérapant comme si le sol glissait, elle jura entre ses dents.
Faire partie de quoi ?
La tuer pour quelle raison ?
Qu'avait elle fait de mal a cet instant ?
Pourquoi et comment avait-elle pu voir… au travers d'un mur-?!
Dans l'incompréhension totale de cette suite d'événements, elle sentait que sa tête n'en pouvait plus, tout comme elle. Son corps étant déjà étrangement faible depuis plusieurs jours, elle ne savait que faire, hormis fuir.
Enfin…
C'est ce qu'elle aurait aimé faire-
Fuir.
Sa tête heurta un corps, jurant aussitôt en se mordant la langue, elle recula, prête à fuir à nouveau, à détaler au sol s'il le fallait, avant de sentir quelqu'un lui agripper le poignet mais non brutalement, plutôt… doucement, comme pour lui dire de se tenir en place. Surprise mais aussi effrayé de ce geste, elle tourna doucement la tête, les yeux rougissant de larmes, tremblante de tout son long, elle osa regarder la personne qui venait de l'arrêter…
Encore une fois, sa simple sortie finissait ainsi- c'était… une horrible habitude qu'avait pris sa vie décidément. Mais elle fixa cette main, son regard remontant doucement pour voir cette personne, voyant un homme habillé de noir; un long trench-coat bordeaux sur les épaules, index contre ses lèvres à lui en signe de ne pas faire de bruits. Il lui fit signe de la suivre, la tirant avec lui, évitant avec brio et aisément tout ce monde. C'était incroyable…
L'homme devait avoir… la vingtaine, qui sait, à vue d'oeil. Les cheveux mi-longs d'un magnifique châtain foncé, coiffés en arrière, une longue tresse à l'avant d'un côté de son visage. Les yeux noisette si elle avait vu malgré la vitesse. Elle ignorait tout de cet homme, mais… il ne semblait pas avec ceux en blanc ni même de l'avis de la tuer comme les autres l'avait si expressément hurlé, ceux la poursuivant alors, mais dont le bruit semblait s'éloigner au fut et à mesure que l'inconnu la guidait plus loin. Peut-être aurait-il des réponses…Hein ? Peut-être pourrait-il l'aider à comprendre tout celà, pourquoi et comment sa vie avait tant changé-? Non .. c'était idiot de penser comme ça, de ce dire qu'un simple Inconnu allait avoir les réponses à ses stupides questions. Comment ces choses si étranges n'arrivaient qu'à elle… Réfléchissant bien trop, elle ne réalisa pas de suite que leurs fuite était finie, et que cet homme l'avait emmené devant un arbre. Immense. Si grand qu'il était digne d'un bâtiment haut de dix étages. Enfin… au minimum. Vu le tournis que celà lui donnait, ce devait même être plus ! Elle le regardait, son nœud en plein milieu lui faisant penser à la façon dont elle les dessinait il y a bien longtemps. Mais le plus surprenant pour le moment était ces choses répartit sur les longues branches. Elle pencha la tête, tendant son bras libre comme pour les toucher sans y parvenir, n'en revenant pas, avant de voir cet homme, bras croisés contre son torse, la fixer, l'air sérieux mais à la fois surpris. Agréablement surpris…
« Donc tu peux le voir. Bien. Si ces hommes t'auraient attrapé tu aurait pû dire adieu à ta vie. Comme les autres quoi. Heureusement que ma patrouille se faisait à ce moment.
-C… C'est… censée être… rassurant…?
- Oui. Entre.
- Huh…? S-Stop–! »
Un soupire d'exaspération passa les lèvres de l'homme au manteau, il la prit par les épaules pour la pousser bien rapidement avant de la faire passer au travers de l'arbre, par ce nœud. Tout aussi étrange que ces propos, Syana hurla de surprise avec sa voix encore faible, finissant a l'intérieur, à genoux. Les mains au sol et tremblante de cette surprise. C'était… digne d'un conte de fée tout ça, c'était pas la réalité -! Elle regarda autour d'elle, tournant sur elle-même tout en tapant le sol rapidement, comme pour s'assurer de la chose, la vue semblant la choquer au point de faire une dizaine de tours sur elle-même pour admirer tout cela.
À l'intérieur, cet "arbre" ressemblait en tout point à un immeuble, où tout du moins, diverses pièces reliées par des escaliers. Des étagères aux murs les plus proches ainsi que divers livres, des milliers de livres et ce genre...d'aquariums cylindriques, vides, mais bien présents dans le fond de la pièce. Elle ne savait que dire, hormis…- si… y avait-il des murs ici-? Ou est-ce que ses yeux lui jouaient encore des tours à ne pas les voir par elle ne sait quelle magie —?!
Son cœur battant à une vitesse bien trop élevée, elle crut tomber en arrière, avant de se cogner , à nouveau… et donc de voir un homme derrière elle, vêtu d'un costume étrangement stylisé, une capuche sur la tête.Dos à celui-ci et étant toujours au sol, elle releva la tête pour le regarder…
Cet homme-ci devait avoir sans doute la cinquantaine, ou plus âgé quoi. Des cheveux courts et blancs cendrés, malgré cette capuche les couvrant. Des yeux d'un magnifique vert pâle, digne de pierre de jade, donnant un magnifique contraste. Le plus surprenant étant cet air si apaisant et réconfortant qu'il affichait et dégageait.
La jeune aux oreilles pointues le regarda, se tournant et relevant aussitôt comme par réflexe, détestant être dos aux gens. Qui- Qui était-il-..? Pourquoi avait-elle cette impression de l'avoir déjà vu… Cette étrange impression alors qu'elle ne le connaissait absolument pas…
« Merci, Nathan. Je te suis reconnaissant de ton aide ici. …Mademoiselle, vous êtes en sécurité ici. Puisque cela fait la seconde fois que nous nous rencontrions, je me présente… Je me nomme Garance et je suis celui à la tête de cette “organisation” dirons-nous. Je vous prie de me suivre..
-Seconde… fois ? Huh…? -Elle pencha la tête en haussant un simple sourcil- Et …Si je… r…re…refuse…?
- Tu souhaites peut-être retourner dehors et ne rien comprendre ? Comme tu l'as si bien fait jusqu'à maintenant ? Vas-y alors, hop. -Il lui fit un signe de la main- Allez. Nous ne connaissons pas ton rang donc tu as une possibilité sur trois d'être tué ou de crever comme un chien coûte que coûte.
- Nathan ! Il suffit. »
Avait fait franchement le dénommé Nathan, avant de se faire réprimander, sa langue étant aussi affûté qu'un couteau, et sa franchise… digne de la sienne quand elle ne connaissait pas quelqu'un ou qu'elle était dans son dis mauvais "mood".
Hah…
Mais, elle regarda l'homme à la capuche, le suivant tout simplement. Mourir-... Ce mot lui résonnait à présent en tête. Pourquoi devrait-elle mourir comme un criminel -? Elle n'avait rien fait pourtant ! Rien à avouer ou même à culpabiliser. Elle fut conduit face à l'un de ces étranges aquarium, qui avait attiré son regard peu de temps avant. Regardant ce dernier, elle tourna pourtant la tête à sa droite, là où l'homme était debout, le fixant dans la plus grande incompréhension…
« Assieds-toi je te prie. Calme toi et imagine toi plonger dans une immense bulle. Une bulle où tu es en sécurité. Aussi épaisse qu'un char d'assaut et loin de tout… Peux-tu y arriver ?
-.... Huh-? Hmmh…- Je… Hmn-
- Doucement, doucement… parfait-... Maintenant, pose les mains sur la paroi, ton front également et… Ahah— parfait nous y voilà, ouvre les yeux, doucement…
- …Qu- Ah-! HAH— QU-?! »
Écoutant cet homme à la voix douce, mais semblant se méfier de lui malgré cela, elle fit comme indiquer, mais au moment même ou son front toucha cette parois... elle eut l'impression de fondre au travers, d'entrer dans quelque chose de si confortable et apaisant. Ce qui se confirma quand elle ouvrit à nouveau les yeux sous la demande de ce Garance, voyant une douce lumière émanant tout autour de l'aquarium. Prise de surprise, elle hoqueta à nouveau, regardant autour d'elle, ses cheveux flottant comme dans de l'eau, alors qu'aucun liquide n'était présent à l'intérieur, d'autant plus qu'elle pouvait respirer à plein poumons…surprenant, fascinant… le calme se faisant sentir ainsi, elle souffla, de bonheur, les yeux brillants. Où qu'elle soit, elle aurait bien voulu avoir la même chose chez elle! Même si son tout petit appartement n'aurait sans doute pas la place. Du coin de l'oeil, elle pu apercevoir les deux hommes parler, se signer plusieurs gestes, le calme aux visages, avant que le plus âgé, celui à la capuche, ne lui tapote l'épaule, signe de sortir. Ce qu'elle fit, à contrecoeur, face à cette sérénité qu'elle avait pu ressentir..
« Puis-je savoir ton prénom ?
-….. -Elle recula de quelques pas, serrant son haut à elle-
- N'aie crainte, allons... S'il te plaît— Nous ne te feront rien de mal, au contraire... Nous allons t'aider et répondre à ce que tu souhaites. Nous sommes tous similaires ici, et tu es des "nôtres" si je peux me permettre de te dire.
- ….. Syana-... Syana Rheim…
- Syana… Merci. Ton rang est le cinq, tu semble détenir un pouvoir te permettant de voir au travers de tout; Humains, murs, portes, qu'importent les choses. Un pouvoir impressionnant je dois l'avouer... Mais, je suppose que tu n'en avais pas conscience... N'est-ce pas ?
- …. N… Non- c'est… impossi- C-Comment…–?
- Je vois… toutes ces choses étranges y sont liés et ces "hommes en blancs" que tu as dû voir sont ceux devant arrêter les gens comme nous, ceux à "pouvoirs". Je sais que cette histoire doit te paraître folle et irréelle, digne d'un rêve, mais je peux t'assurer que ce n'est que la vérité. Alors … je t'écoute; as-tu des questions ?
- P…Pourquoi tout ça est apparus d'un coup… ? Pourquoi moi...? Un jour j'étais normale et tranquille .. et a-après… tout était comme ça, je pouvais voir ces…. Ces horreurs, au travers des murs, et des choses bizarres arrêtent pas de m'arriver.. tout les jours- je… je comprends rien-! J'ai l'impression de devenir folle-
- Malheureusement tout est réel…. Tout. Ce monde, ces choses, nous… tout existe. Je suppose également que tu as dû avoir un élément déclencheur, quelque chose qui t'as fait sortir de ton quotidien. Ou bien même un désir. Quelque chose aussi petit et impossible soit-il, non… ?
- Uh… Je… voulais simplement une vie moins ennuyeuse- être un peu plus… normale— et quand je suis passé devant ce magasin, je l'ai souhaité et le jour d'après… BAM ! J.. J'ai rien fait de mal, je vous promets monsieur Garance ! Je… je voulais pas, je- J—
- … Je vois. -Garence pencha la tête tout en se tenant le menton- Je vois Syana, calme toi ma chère… nous t'aideront, je te le promets. Nathan, je compte sur toi pour l'aider. Ton pouvoir est de loin le plus utile de tous les membres ici et tu es l'un des plus informés et fort ici-même.
- … Je n'ai de toute façon pas le choix hein, alors soit. J'accepte.
- Je… je veux rentrer, ça recommenc— … mal… à la têt-... »
Mais la pauvre bleutée n'avait pas pu en dire d'avantage ni entendre plus, son mal de tête revenant ainsi que ses douleurs, elle ne réalisa que trop tard qu'elle venait de tomber au sol, ou sur quelqu'un... Comment pouvait-elle le savoir dans cet état, un malaise. Toutes ces choses… tant de nouvelles choses…. Pouvait-elle véritablement compter sur ces gens ? Contrairement aux autres, elle n'avait pas eu cet étrange sentiment de malaise, de mal être. Cette envie de fuir et de se cacher loin… ces gens semblaient… différents, et ils l'étaient, en soit. Oui. Tout comme elle, elle n'était pas si… normale, banale, bien que toujours digne d'un fantôme par moment…
Peut-être que ces gens pourraient l'aider, en tout, et ne pas rester dans l'incompréhension.
Elle espérait…
Ce tournant était quelque chose qu'elle n'aurait jamais prévu, et qu'elle n'avait pas su gérer…
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FIN DU CHAPITRE 3.
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lesdamesmures · 6 months
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Scène 11 "Une femme mure sur la plage"
Je me délectais de cet instant, la vision de ses fesses découvertes, son maillot que j’avais repoussé si haut à force de masser ses fesses, ses hanches formaient une protubérance qui retenait l’élastique de son maillot qui se limitait plus qu’un triangle coincé profondément dans sa raie. Quel privilège pensais-je, de pouvoir contempler sa croupe en la surplombant, admirant sa chaire intime qui ondulait sous mes doigts pressants et caressants. 
Je me retenais pour ne pas me hasarder entre ses cuisses jointes, glisser mes pouces dans cette intime partie lorsqu’elle bougea en tendant son bras vers ses fesses pour poser sa main sur la mienne, mêlant ses doigts aux miens. Je stoppais ma main à plat sur sa fesse droite, ses doigts se refermaient entre les miens
- Quel délice mon prince ! c’est plus qu’agréable ce massage, tu as des mains merveilleuses, quelle sensualité ! Elle s’exprimait en tournant la tête vers moi, avant d’ajouter en cherchant à taton la couture de son maillot
- Oh je pensais pas que c’était autant ! tu as largement dépassé le « un peu » petit coquin ! Son intonation était bienveillante malgré sa remontrance
- J’ai pas pu résister Julie, j’ai pas fais exprès, c’est tellement beau ! Je répondais en m’excusant d’avoir outrepassé sa consigne
- Comment ça tellement beau Titouan ? Tu trouves mes fesses si belles que ça ? Elles sont grosses plutôt ? Elle semblait surprise par mon propos plein d’enthousiasme
- Elles sont magnifiques Julie, j’aurai pu les caresser … masser encore des heures en les contemplant
- Elles sont encombrantes, pas si belles que ça mais merci Titouan, c’était très agréable vraiment. J’avais oublié cette sensation et si elles te plaisent tant, ça m’étonne mais ça me flatte ! Ajoutait-elle en donnant une tape sur sa fesse
- C’est du solide en tout cas ! Et elle se mit à rire en voyant mon air médusé par le claquement de sa main sur sa fesse
J’étais terriblement excité, l’entendre parler de ses fesses, voir sa main la claquer. Elle tenta de se retourner mais mes jambes la bloquait. Avant de libérer ses jambes, je ne pu résister à l’envie de me pencher sur ses fesses, les presser pour les réunir avant de poser mes lèvres sur sa raie profonde en l’embrassant avec gourmandise. Ce fût furtif, inattendu, je me redressais pour dégager ses jambes en voyant ma bosse qui faisait pointer mon short, elle se mit à glousser
- Oh ! Et bien j’ai vraiment l’impression que mes grosses fesses te plaisent Titouan ! Elle leva les yeux sur moi en rajoutant 
- Je ne savais pas que je pouvais faire autant d’effet à un jeune homme ! C’est troublant mon prince !
Elle s’était retournée, allongée sur le côté, j’étais toujours à califourchon sur ses jambes, les genoux enfoncés dans le sable. Elle pouvait découvrir mon érection qui pointait fièrement dans mon short. Sa hanche encore dénudée paraissait si large, sa fesse si charnue. De profil, son maillot relevé au plus haut sur sa hanche dévoilait les bourrelets de son ventre, un ventre mature et douillet, des poils pubiens foncés s’en échappaient. J’étais en extase devant ce que je découvrais le temps qu’elle se tourne, elle cherchait une position, les jambes posées l’une contre l’autre, son corps en Z, elle repliait son bras pour poser sa tête dans sa paume
- Vous me faites rêver Julie ! si vous saviez à quel point je vous trouve belle, vous me faites fantasmer, je n’aurai jamais imaginé vivre ce … ! Je m’arrêtais net en voyant son bras s’étirer vers moi, posant sa main sur ma bosse. 
Elle me regardait avec des yeux tendres, encore embrumés par mes caresses 
- Mon pauvre Titouan ! Ca doit te faire mal d’être serré comme ça … elle poursuivait en ajoutant 
- Tu sais, moi aussi j’en ai très envie … 
En découvrant son maillot relevé sur ses hanches, elle se redressait pour s’assoir en repliant ses jambes. Après avoir réajusté son maillot pour couvrir ses hanches et son ventre, plus pour cacher ses bourrelets qu’elle trouvait « disgracieux » disait-elle en tirant sur son maillot.
Je l’écoutais les yeux pétillants en m’asseyant en face d’elle, toujours gêné par cette érection qui ne me quittait pas. Elle avait raison ça me faisait presque mal, j’avais besoin de me donner de l’air dans ce short. Elle me répétait qu’elle ressentait elle aussi cette envie d’aller plus loin. Prenant un air compatissant, elle m’expliquait qu’il lui fallait un peu de temps et puis même si la plage était déserte, elle se sentait mal à l’aise pour faire l’amour sur la plage.
J’étais attentif et troublé par ce qu’elle m’avouait, l’envie de faire l’amour avec moi ! Jamais je n’avais ressenti une telle émotion, mon coeur cognait dans ma poitrine, mes yeux brillaient. Elle aussi, je la sentais émue en me parlant. Elle me disait combien ça lui faisait drôle, de ressentir ce désir pour un si jeune homme, elle s’excusait comme si mon âge lui paraissait bien trop jeune mais finissait par me faire comprendre que jamais elle n’aurait imaginé avoir une relation aussi intime avec un homme de 30 ans de moins qu’elle. Depuis quelques jours, elle s’interrogeait sur ce que ça pouvait signifier, ce qui se passait entre nous, cette attirance ébranlait ses principes et pourtant elle me confiait que depuis son divorce, elle ne s’était pas sentie aussi proche d’un homme.
J’osais à peine lui avouer ce fantasme qui me tenait depuis des années, encore moins avec une femme de 58 ans, ni une telle femme que je trouvais de plus en plus belle, avec autant de classe et de douceur. Je la rassurais en lui confiant que je n’aurai jamais imaginé non plus avoir une relation avec une femme de son âge, qui paraissait aussi inaccessible quand j’évoquais notre première rencontre. Je finissais par lui avouer que je vivais un rêve et que je serai patient même si je ne pouvais m’empêcher de la désirer et même si j’avais 31 ans de moins qu’elle, puisque depuis aujourd’hui »hui nous avions 31 ans d’écart.
Elle en riait presque nerveusement, réagissant à ma remarque. Malgré tout, elle se sentait rassurée par ma compréhension et ma patience tout en me confiant qu’elle préférait que notre relation reste entre nous, me disant à demi-mot de n’en parler à personne. Je lui promettais que jamais je ne ferai quoique ce soit qui puisse la contrarier et puis si elle évoquait mes amis, je savais qu’ils ne comprendraient probablement pas ce que je pouvais ressentir.
Elle me tendit la main, pour que je l’aide à se relever, elle enchaina d’un ton plus léger
- Allez mon prince, on va aller se baigner ça va nous faire du bien à tous les 2 je crois ! Elle regardait mon short en se levant
- Si tu veux te baigner nu je comprendrais mais je préfère garder mon maillot si ça te dérange pas !
Je n’insistait pas, évidemment je ne l’obligeais en rien et gardait sa main dans la mienne.
Elle m’embrassa et me flatta en m’avouant qu’elle me trouvait très mignon. C’était la première fois qu’elle me faisait un compliment sur mon physique. J’étais aux anges en lui rendant son compliment une nouvelle fois. En approchant de l’eau elle me demanda 
- Quand est-ce que tes parents vont rentrer Titouan ? 
Sa question me laissait imaginer tant de choses. Je lui répondais qu’ils étaient absent une petite semaine, sans savoir exactement quand ils reviendraient mais que de toute façon, à mon âge j’étais libre de faire ce que je voulais. Elle ne répondait pas mais je sentais qu’elle organisait les choses dans sa tête.
Une fois dans l’eau, je lui disais qu’elle avait raison, ça me faisait beaucoup de bien. Je me sentais bien, la fraicheur venait calmer mon ardeur, je sentais mon sexe se relâcher, retrouvant enfin un peu de place dans mon short que j’avais finalement gardé. Avec la différence de température, je réalisais que pendant tout ce temps, mon dos était resté en plein soleil. Elle le remarqua quand elle posait sa main sur mon dos, le trouvant chaud et me remit en garde en me faisant promettre de faire attention à l’avenir, comme le ferait une maman
On était serein, proche l’un de l’autre, complice même. On nageait tranquillement en silence, chacun dans nos pensées et après quelques brasses je lui demandais
- Ca vous dérange Julie, si j’enlève mon maillot, ça va mieux mais j’ai très envie de me baigner sans rien ! Je me sentais gonflé comme un coq après tout ce qu’elle m’avait dit
- Non ça ne me dérange pas Titouan, mais où vas-tu le mettre ? On nageait à quelques mètres du bord,  la mer était remontée nous n’avions plus pied
Je ne répondais pas et en m’arrêtant pendant qu’elle nageait, je retirai mon short et le mettait en boule dans ma main
- Voila je vais nager avec, c’est pas très encombrant ! Répondais-je en revenant à sa hauteur
Elle tournait la tête vers moi en souriant, me demandant si c’était agréable. Je lui vantais la sensation de nager sans rien, c’était malgré tout naturelle et agréable avec la liberté des mouvements sans la contrainte d’un tissu.
Elle acquiesçait de la tête en disant « surement oui ! ». Après quelques brasses qui nous éloignaient, on décidait de revenir tranquillement. Elle parlait en me posant des questions, sur ma vie comme si elle voulait apprendre tout de moi, je lui répondais docilement en lui retournant certaines de ses questions. On s’arrêtait de nager à quelques mètres du bord, l’eau au niveau des pectoraux pour moi, au dessus de sa poitrine pour elle, je devais mesurer une petite 20aine de centimètre de plus.
On restait un moment en continuant à discuter, elle était curieuse dans ses questions, je l’étais aussi. Elle se tenait en face de moi, bougeant les jambes par moment en se laissant flotter tout en continuant à parler quand elle me demanda si ça allait mieux et si j’étais bien comme ça, tout nu !
- Oh oui ça va beaucoup mieux Julie, c’est très agréable oui, sentir le courant sur son corps nu ! Vous n’avez jamais essayé ? Posant naïvement la question à laquelle elle me répondait 
- Non j’ai jamais essayé, j’ai pas souvenir d’avoir eu l’occasion, et encore moins pour pratiquer du naturisme mais je crois que j’ai envie d’essayer ! Lâchait-elle soudainement, commençant à baisser ses bretelles, dégageant ses bras pour finir par se recroqueviller pour faire glisser son maillot jusqu’à ses pieds.
Je voyais son menton se relever, pour rester à la surface avant de se redresser en sortant son maillot de l’eau, en me le montrant comme si elle tenait un trophée.
- Et voilà ! J’ai envie de découvrir cette sensation de nager sans rien, sans contrainte mais je vais avoir du mal à nager avec mon maillot dans la main, tu veux bien aller le déposer Titouan ? Me demandait-elle alors que j’étais resté bouche bée en la voyant faire.
Je prenais son maillot et rejoignais le bord en marchant dans l’eau jusqu’à sortir tout nu avant d’abandonner nos maillots sur le sable. En me retournant, je la voyais un grand sourire sur les lèvres, avec cette expression qu’elle prenait quand elle me taquinait « hum Titouan ! Tu as une sacré marque blanche et de belles fesses dis donc ! ». 
Je rigolais de satisfaction en l’entendant avant de la remercier « pas autant que les vôtres Julie ! » et elle se mit à rire comme si elle n’y croyait pas une seconde. Elle bougeait ses bras en reculant, visiblement ses jambes pédalaient sous l’eau je pouvais voir ses seins blancs en surface tels des bouées qui flottaient au rythme du clapot de la mer. En la rejoignant je pouvais apercevoir ses tétons qui émergeaient au rythme de ses mouvements.
- Allez ! on va nager, j’ai envie de découvrir cette sensation ! Disait-elle en se mettant sur le ventre pour commencer quelques brasses.
Je la voyais déjà partir et pouvait voir ses fesses blanches qui émergeaient à chaque brassée, elles ressortaient toutes arrondies, luisantes, ses jambes s’écartaient et se refermaient. Je me mettais à nager arrivant à sa hauteur après avoir profité de sa nudité pendant quelques brasses.
En la rejoignant, elle me confia en parlant comme en appartée «  Tu as un beau sexe Titouan ! ». Je restais sans voix, ne m’attendant pas à cette réflexion à retardement. En l’entendant me dire ça, j’en déduisais que ses pensées étaient tout aussi coquine que les miennes. A part la remercier je ne savais quoi lui répondre, la seule réponse qui ne venait à ce moment sortait presque malgré moi « Vous êtes coquine Julie ! ». Elle se mit à rire en me répondant du tac au tac « Je crois bien que oui mon prince ». J’avais tellement envie de découvrir le sien à ce moment, je me retenais pour ne pas glisser ma main entre ses cuisses et sentir son intimité nue qui s’ouvrait et se refermait au rythme de ses brassées mais je me disais que ma patience serait récompensée et je craignais de la refroidir plus qu’autre chose en étant trop entreprenant. Encore une fois je décidais de lui laisser l'initiative et puis j’adorais cette intimité, je trouvais ça tellement érotique
Je me contentais de profiter de sa nudité à peine voilée par les ondulations de l’eau. Elle souriait par moment en remarquant mes regards sur son anatomie dénudée. Nous nagions en papotant, en jouant de ces regards et de ce halo d’érotisme qui nous entourait.
Une fois qu’on avait pied, on continuait à papoter debout dans l’eau, ses seins flottaient au rythme des vaguelettes. Malgré la fraicheur de la mer mon sexe était à nouveau en érection depuis un moment. Elle devait s’en apercevoir ou le deviner sans même baisser le regard, tout comme je voyais furtivement les parties de son corps dénudées. Elle baissait la tête sur sa poitrine nue en disant
- C’est vrai que c’est agréable d’être sans maillot, ma poitrine flotte, elle se ballote toute seule ! Elle en parlait comme si elle s’en amusait
- Vous voyez j’avais raison Julie ! Ajoutais-je en regardant ses seins sans détour. Ses tétons étaient dressés, presque provocants
- Ca te plait on dirait Titouan ! Les prenants dans ses mains en me regardant
Je ne pouvais quitter mon regard, la voir prendre ses seins en les soulevant comme pour les sortir de l’eau me troublait terriblement, j’en avais rêvé durant mes moments solitaires
- Oh oui Julie ça me plait beaucoup, ils sont remuants comme des bouées, j’adore c’est très troublant !
Elle lâcha sa poitrine et tendit ses bras vers moi en répliquant
- Viens dans mes bras mon prince, j’ai envie de te serrer dans mes seins ! Elle m’attirait vers elle, contre ses seins en m’ouvrant ses bras. 
J’étais terriblement ému en sentant ses bras se serrer autour de moi pour m’amener sur sa poitrine. A mon tour je passais mes bras autour de sa taille et calait ma tête dans ses seins. Mon visage était à moitié immergé sous l’eau, sans rien dire je la soulevais délicatement pour amener sa poitrine à hauteur de mon visage, je m’y plongeais en me délectant de leur volume, leur douceur maternelle. Je sentais ses tétons dressés par la température de l’eau mais probablement excités par la situation. Ses aréoles étaient pigmentées de frissons, je sentais leur dureté sur ma joue, sur mes lèvres, je me plongeais dans ses seins en lâchant des « hum ! » de plaisir. Elle serrait ma tête dans ses bras en la pressant dans ses seins, j’étais enveloppé de douceur, de ses formes charnues et accueillantes. J’aurai voulu que le temps s’arrête pour profiter de cette douceur incomparable
- Tu es bien dans mes seins mon bébé ! Demandait-elle de sa voix douce et enveloppante
Elle m’appelait « mon bébé » ! j’en étais sur-excité, en l’entendant j’ouvrais mes lèves pour lécher son téton gauche, y frotter mon visage avant de prendre son autre mamelon pour le téter comme un bébé. 
Comme lors de son baiser, sa main venait prendre l’arrière de mon crâne. Ce geste me troublait énormément, comme si elle m’encourageait à profiter de ce moment en me maternant, comme si elle me disait « tu aimes mes seins mon bébé, ils sont pour toi si ça te fait plaisir »
A ce moment elle ouvrit ses jambes pour les serrer autour de mon bassin, instinctivement ma main la souleva en se posant sous ses fesses. Je laissais ma main ouverte sur ses fesses pendant que ses cuisses se calaient sur ma taille. Ses seins comprimés sur mon visage, ma paume pouvaient sentir sa raie profonde, ses fesses s’écartaient en même temps qu’elle remontait ses cuisses pour se lover sur moi. Je ressentais son intimité, sa pilosité sous mon petit doigt, je n’en pouvais plus je me sentais proche de l’éjaculation. Le simple contact de mon gland sur mon bras et ses fesses me procurait une sensation nouvelle, jamais ressentie
- Oh Julie, vous m’excitez tellement ! Éructais-je bêtement, la bouche presque écrasée dans ses seins matures
En m’entendant, elle lâcha une main pour passer son bras dans son dos et poser sa main sous mon sexe en le calant contre ses fesses. Ma main la soulevant était en contact avec mon sexe, dressé comme un bâton. Sans rien dire elle gardait mon sexe bloqué sous sa main et sa raie ouverte tout en commençant à onduler langoureusement comme pour nous masturber. Je savais qu’elle sentait que j’étais proche de la jouissance
- Moi aussi mon bébé ! Laisses toi aller, ne te retiens pas Titouan … 
En goutant ces paroles, cette douceur, le contact de sa main qui maintenait mon sexe dans ses fesses, ma main plaquée sur son cul mature, mes doigts qui glissaient dans son intimité, la sensation de sa pilosité naturelle et ses seins qui enfermait mon visage je n’allais pas résister longtemps. A peine une vingtaine d’ondulation de nos bassins suffisaient à me faire éjaculer, au même moment je la voyais  mordre ses lèvres en crispant son visage pour retenir un cri de jouissance …
On restait plus d’une minute sans bouger, serrés l’un contre l’autre, sexe contre fesse, visage contre sein, paume ouverte sur mon crâne avant de relâcher l’emprise de cette pure jouissance qu’on terminait par un baiser amoureux qui dura un temps indéfinissable.
Tout à coup je sentais son poids, bien que soulagé par l’apesanteur de l’eau, mon biceps se tétanisait. Je libérais ses fesses, elle se recula en se laissant flotter sur le dos, en faisant la planche bras ouvert, jambes écartées comme une étoile de mer. Je la regardais enivré par ce moment d’intimité et de jouissance qui n’avait pas du durer plus de 5 minutes. Pour la première fois je découvrais son intimité, ses jambes écartées laissaient apparaitre sa toison fournie, encore plus large que je l’avais imaginé. Je m’approchais d’elle en la soutenant sous le dos pour la faire tourner lentement autour de moi et admirer son corps mature.
Après ce moment de plaisir intense, inattendu, comme une sorte de prémisse, nous sortions de l’eau enlacés comme 2 jeunes amoureux ne voulant plus se séparer. On était serein en se reposant sur nos serviettes, les doigts croisés dans la main de l’autre, proche et nu sur cette plage, s’assoupissant ensemble sans besoin de parler avant de se réveiller dans la même position, tournés l’un vers l’autre, ses jambes repliés dans le creux de mon bas ventre.
J’ouvrais les yeux et la regardais un instant, quand je caressai ses cheveux elle se réveilla en me faisant un sourire de contentement. On ne parlait pas de ce qui s’était passé, ce moment de communion n’avait pas besoin de justification, on avait vécu ce moment d’osmose et nous savions tous les 2 qu’il y en aurait d’autres encore.
Il était plus de 16h, le temps de rentrer me suggérait-elle avec regret. N’étant pas joignable depuis le matin, Julie voulais retrouver du réseau et consulter sa messagerie qui devait contenir des messages et des sms reçus pour son anniversaire. En reprenant le chemin du retour, je sentais déjà la nostalgie de cette journée, je me retournais en grimpant la dune comme pour graver ce paysage à jamais. Durant tout le trajet du retour, nous échangions sur cette merveilleuse journée. Julie me remerciait encore et adoptait mon point de vu sur le bien-être d’être nu même si elle ne s’imaginait pas le faire avec du monde autour d’elle.
Plus on avançait, moins on parlait comme si cette journée nous avait marqué tous les 2. En retrouvant la route, son portable n’en finissait plus de biper, elle recevait en cascade tous les messages de ses proches et amis lui ayant probablement souhaité son anniversaire. 
Après un moment passé à consulter ses messages, elle prit l’initiative en me demandant qu’une fois arrivés chez elle, de lui laisser 2 heures pour se reconnecter au quotidien et prendre le temps de passer quelques appels, répondre à ses sms avant de se retrouver pour profiter de cette journée qu’elle voulait nous accorder
- Si tu n’as rien de prévu Titouan, tu voudrais venir diner avec moi ? Me disait-elle en posant sa main sur ma cuisse
J’étais le plus heureux des hommes en l’entendant en lui répondant que je comprenais, j’avais accaparé sa journée d’anniversaire et que même si j’avais eu quelque chose de prévu, j’aurai annulé préférant son invitation à tout autre chose. Je rajoutais que c’était la meilleure journée de toute ma vie. Elle en rigola en ajoutant 
- Tu exagères mon prince ! On retrouvait cette légèreté rassurante
J’exagérais peut-être mais après cette journée, j’étais sincère et lui confirmait que je n’avais pas de souvenir aussi heureux en tête que cette journée à la cote sauvage en sa compagnie
- Je suis votre bébé Julie, ça me rend heureux je n’y peux rien ! Ajoutais-je en la regardant avec un air naïf
Elle souriait sans rien ajouter et elle prit ma main pour la poser sur sa cuisse pour garder un contact physique pendant qu’on roulait
- J’ai hâte qu’on se retrouve ! Lâchait-elle en approchant de sa maison
Je caressais sa cuisse en guise d’approbation en ajoutant « Oh moi aussi Julie ! ». En la quittant devant le portail, mon vélo à la main je lui demandais si elle voulait que j’amène quelque chose ?
- Non mon bébé, tu es mignon ! Ta présence me suffira largement pour passer un bon moment ! Elle approcha ses lèvres et les posa quelques secondes sur les miennes en ajoutant «  à très vite mon prince ! »
A suivre ... (Scène 12 le 31 mars 2024 à 6h00)
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best-tech · 6 months
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IPTV Live Streaming : où chaque seconde compte
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IBO PLAYER : GUIDE DE CONFIGURATION ET D’ACTIVATION
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NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 3
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
FR FANFIC
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EPISODE 11 : FUCKSGIVING PT. FINALE
Thicc de Shygirl résonne dans les enceintes de la salle principale de ShinSoo, baignée dans les faisceaux de lumières.
Tu regardes Intak, ne comprenant pas vraiment ce qu’il fait.
Son regard est confiant, tu ne sais pas ce qu’il a derrière la tête mais il sait ce qu’il fait.
« Tu t’amuses ma poupée ? » te demande-t-il, le regard noir.
Le regard d'Intak est sombre, mais empreint d'un désir intense qui transperce l'obscurité de ses pupilles.
C'est comme si chaque éclat de ses yeux reflétait une passion brûlante, suffisante pour consumer tout sur son passage. Tu te sens captivée par cette intensité, attirée par la force de son regard qui semble vouloir tout dire sans prononcer un mot.
La tension monte alors qu'Intak se rapproche de ta nuque, sa présence envahissant ton espace personnel alors que vous dansez ensemble, serrés contre la musique pulsante.
Tu te sens prise entre deux feux, entre l'attraction magnétique d'Intak et la présence imposante de Sangyeon à tes côtés. Chaque mouvement, chaque contact, enflamme davantage les flammes de la passion et du désir qui brûlent en toi, créant un tourbillon d'émotions indomptable.
« Qu’est ce que tu fais Intak ? » tu lui demandes en fronçant les sourcils.
« Et toi ? qu’est ce que tu crois faire avec Sangyeon ? » répond t’il alors que sa langue parcourt le bas de ta nuque jusqu’à ton oreille.
Alors qu’un frisson parcourt toute ta colonne vertébrale, tu poses tes deux mains sur le torse d’Intak afin de le repousser.
Tu sens la fermeté de ses pectoraux musclés sous tes mains, chaque mouvement révélant la puissance contenue dans son corps.
La proximité physique amplifie encore plus les sensations, créant une connexion électrique entre vous alors que vous vous laissez emporter par la musique enivrante et les pulsations de la nuit.
« Si tu veux que je recule tu n’a juste qu’à me demander » dit-il en plongeant son regard sombre dans le tiens.
Tu connais ce regard et ce n’est pas de la haine… il est désireux.
« SANGGGGGG »
Alors que les lèvres d’Intak ne se trouvaient qu’à quelques centimètres des tiennes, une petite voix vient appeler Sangyeon.
Sang arrête de danser et se retourne.
Tu tournes la tête et analyses la jeune femme qui semble connaître Sangyeon.
Sang s'approche avec confiance, sa carrure imposante transparaissant à travers sa chemise blanche moulante.
Son visage arbore un léger sourire chaleureux alors qu'il se rapproche pour faire la bise à la jeune femme, dégageant une aura amicale et détendue malgré l'atmosphère chargée d'électricité dans la pièce.
Tu les observe discuter alors que tu sens les mains d’Intak caresser tes hanches.
La jeune inconnue est est petite et brune, ses cheveux encadrant délicatement son visage.
Ses yeux, joliment maquillés en yeux de chat, captivent par leur intensité. Elle porte une robe noire moulante qui met en valeur ses courbes, ajoutant à son charme.
Son sourire est éclatant, illuminant son visage d'une douce chaleur, et lui confère une aura de gentillesse et de convivialité. Elle dégage une allure élégante et séduisante qui attire immédiatement l'attention.
Elle flirte avec Sang ? Tu n’arrives pas à entendre leur conversation à cause de la musique.
Alors que tu continues de les regarder, Intak attrape ton menton, plaçant ton visage devant le sien avant de te dire « Eh, c’est ici que ça se passe » en souriant en coin.
Ton esprit est beaucoup trop préoccupé.
« Désolée Intak, j’ai besoin de prendre l’air » tu lui réponds avant de t’approcher d’une des baies vitrées ouverte pour l’espace fumeur.
Intak te regarde, planté là, t'éloignant de lui alors que tu te diriges vers la baie vitrée pour prendre l'air, laissant derrière toi un sentiment de malaise dans l'atmosphère.
Tu t'appuies contre l'ouverture de la baie vitrée et prends une grande inspiration d'air frais, laissant le vent caresser ton visage tandis que tu tentes de calmer les tourments qui agitent ton esprit.
Natty, avec une cigarette à la main, remarque ta présence alors qu'elle discute avec quelqu'un.
Elle arrête sa conversation, te remarque, et se dirige vers toi en t'appelant par ton nom, probablement curieuse de savoir pourquoi tu es à l'écart.
« Bah alors ma belle ? tu va pas danser ? » demande t’elle en reprenant une latte.
« J’ai eu ma dose » tu lui dis en fermant les yeux, prenant l’air.
Natty fronce les sourcils avant de répondre « Dis moi qui t’emmerde que j’aille lui casser la gueule, petit bonus si c’est la chae »
Tu ris « non non, c’est pas chae ce soir, personne ne m’embête, je veux juste prendre l’air ».
« Si tu le dis » dit-elle avant de reprendre une latte, elle se retourne et te dit « Je retourne à ma discussion, on se voit plus tard ma belle ! »
Tu acquiesces en souriant.
Tu te diriges de nouveau vers le centre de la piste de danse, te mêlant à la foule qui se trémousse au rythme de la musique. Ton regard se fixe sur le bar, attiré par la perspective d'une pause rafraîchissante.
La piste de danse est animée par des jeux de lumières colorées qui dansent au rythme de la musique, créant une ambiance électrique et envoûtante.
Les gens se déhanchent avec enthousiasme, certains levant les bras en l'air, d'autres effectuant des pas de danse synchronisés. Le bar est éclairé par des lumières tamisées, ajoutant une touche d'intimité à l'atmosphère festive.
Au fur et à mesure que tu t'approches, tu sens l'excitation monter en toi, t'imaginant savourer un rafraîchissement bien mérité après toute ce moment bizarre avec Sangyeon et Intak.
D’ailleurs… Sangyeon n’a rien dit quand Intak était contre toi ? bizarre, il ne l’a peut être pas vu.
Tu arrives au bar et te prends martini blue.
Alors que tu sirotes tranquillement ton martini, tu vois Jang en haut de la balustrade au téléphone, elle a l’air contrariée.
Tu tournes le regard et voit Mingi, assis à côté de toi, sa chemise blanche entrouverte, les cheveux un peu humide et des lunettes de soleil à verres bleus.
« Mingi en train de se bourrer la gueule au bar… quelle surprise » tu lui dit en le regardant.
« Je suis affreusement sobre ce soir, surtout si je dois surveiller la petite teigneuse » dit-il en baissant ses lunettes, te regardant dans les yeux.
Tu balaies la salle du regard.
« Tu fais mal ton boulot, je sais même pas où elle est » tu réponds à Mingi, ton verre à la main.
Il remet ses lunettes et sourit avant de dire « Tant que moi je le sais, c’est le principal ».
Tu fronces les sourcils.
« Elle est où ? » tu lui demandes.
« Elle te fera pas chier là où elle est, c’est le principal » répond t’il en prenant un verre.
« Tu l’a baisée ? » tu lui demandes en levant un sourcil.
Mingi repose son verre en riant.
il te répond « Le jour où je la baise elle est plus de ce monde, t’as vu sa taille ? même mon poing est plus large que sa ch- »
« MINGI SALE CON »
Vous vous retournez tous les deux sur Chaewon qui arrive sur vous, visiblement furieuse.
Elle te regarde de haut en bas avant de dire « J’aime bien ta robe ».
?????? quoi
Elle se retourne sur Mingi avant de lui attraper la chemise.
« Je peux savoir pourquoi tu m’a bloquée dans les toilettes ?! T’as carrément cassé la serrure SALE CON » dit-elle en essayant de crier par dessus la musique.
Mingi sourit en coin avant de répondre « Du calme guapita, j’ai du la casser en fermant la porte avec ma puissance de mâle alpha »
Tu ricanes en prenant une gorgée de martini.
Chaewon lève les yeux au ciel.
« Tu peux lâcher ma chemise tu sais ? » dit-il à Chae.
Chae se penche sur Mingi et fais quelques baisers sur son col de chemise.
« Eh tout doux guapita » dit-il en souriant.
Tu poses ton verre sur le bar et t’apprêtes à lui tirer les cheveux.
Chae se relève, plusieurs marques de baisers laissées sur la chemise blanche de Mingi.
Elle prend le verre de Mingi, se recule et lui dit « Bonne chance avec ces traces quand tu croiseras Kazuha ce soir ».
Elle ricanne, prends une gorgée dans le verre de Mingi et disparaît dans la foule.
« Quelle petite allumeuse celle là » dit-il en soupirant.
« Allumeuse ? tu va te faire défoncer par Kazuha » tu lui réponds.
« Ouais allumeuse, j’ai failli bander » dit-il avant de commander un autre verre.
Tu lèves les yeux au ciel
« Mingi.. t’es vraiment le pire » tu lui dit avant de regarder ailleurs.
« Je sais que tu ne le penses pas, donc ça me touche pas princesse » dit-il avant de scroller sur son téléphone.
Tu balaies la salle du regard.
« Dis moi, tu connais bien Sangyeon ? » tu lui demandes
« Oui, pourquoi ? » te répond t’il.
« Tu sais c’est qui genre une petite meuf brune, super jolie, très expressive ? » tu lui demandes.
« Je vais avoir besoin de plus de détails là, c’est une meuf qui était trop proche de lui SELON TOI ? » dit-il en te regardant et levant un sourcil.
Tu la vois au loin.
Tu attrape le visage de Mingi, lui tourne en direction de la fille mystérieuse, la pointe du doigt et lui dit « ELLE »
Mingi ricanne.
« Pourquoi tu veux savoir qui c’est ? » demande t’il en souriant.
« Mingi tu fais chier, dis moi qui c’est » tu lui demandes en fronçant les sourcils.
« J’ai quoi en échange ? » il te demande en relevant ses lunettes.
Tu réfléchis, Mingi est toujours très bon en affaires.
« Mingi, c’est littéralement une info que je demande, je vais pas te proposer quelque chose en échange » tu lui réponds en soufflant.
« Tant pis, je vais aller m’amuser avec ça » dit-il en mettant sa main dans sa poche avant de sortir l’une des photos qu’il a gardé.
« RANGE ÇA » tu lui dis en te jetant sur les photos.
Il les range avant que tu ne lui arrache des mains.
Il se lève, étire ses bras musclés et te dit « Si tu ne veux pas faire affaire, reste dans tes infos » dit-il en souriant et en disparaissant dans la foule à son tour.
« UGH » tu laisses échapper en tapant sur le bar.
Tu montes les escaliers et atteins l'étage supérieur, où des sofas confortables sont disposés autour de petites tables basses.
Tu choisis un coin tranquille et t'assois, appréciant le calme relatif de cet espace comparé à l'agitation de la piste de danse en bas.
C'est l'endroit parfait pour prendre une pause et observer discrètement ce qui se passe autour de toi.
Alors que tu regardes les publications de X Updates, relatants les excès des étudiants, tu aperçois une photo de Mingi et toi au bar, ainsi qu’une autre photo plus zoomée, sur les traces de baiser sur son col de chemise avec comme description « Princesse pornstar et son prince du pétrole en pleines négociations »
« Tu fais la une ma cochonne » dit Jang en s’approchant de toi avec sa grosse fourrure blanche.
Jang s'assoit gracieusement à côté de toi, drapée dans sa fourrure blanche qui lui donne une allure élégante et sophistiquée.
Son regard semble pétillant d'excitation alors qu'elle prend place à tes côtés, prête à partager un moment de complicité avec toi dans cet espace plus calme de la soirée.
« Très drôle, les baisers c’est pas moi » tu lui réponds.
Elle ricanne avant de répondre « Ça je le sais, sinon il y en aurait sur son caleçon aussi »
« Depuis que t’as couché avec lui j’en veux plus » tu lui réponds avec un air de dégoût.
Elle fronce les sourcils avant de répondre « Je t’interdis de dénigrer ma petite chatte comme ça, et arrête un peu, je sais que tu l’aimes bien le petit Mingi, j’ai vu les photos que t’as soumis au comité » dit-elle en te regardant avec un air coquin.
« QUOI » tu lui réponds en écarquillant les yeux.
« Ouais, j’ai pouvoir de regarder n’importe quelle photo de faite » dit-elle en riant.
Tu hésites à lui demander.
« Pour celles d’Intak j’ai jamais vu aussi soft, rassure toi, cependant j’étais obligée de le faire rentrer vu qu’il était avec Kazuha et que j’aurai fini accrochée à une remorque sur l’autouroute si je faisais rentrer son frère mais pas elle » dit-elle en riant.
« Tu me rassures » tu lui répond.
Jang te regarde d’un air joueur.
« Donc t’es toujours amoureuse ? » en souriant.
Tu soupires.
« Okayyyy okayyy on parle pas de sentiments ce soir, c’est la LUXURE ce soir ! » dit-elle avant de se lever et jeter sa fourrure sur le sofa.
Elle commence à se trémousser sur la musique en caressant sa robe en diamants.
« Où est San quand on a besoin de lui ? » tu dis à haute voix en levant les yeux au ciel.
San débarque en courant.
« Qui m’a appelé ? » dit-il essoufflé.
« Incroyable » tu marmonnes.
« Oh San… cette robe est si serrée » dit Jang en gémissant.
San sourit en coin avant de prendre la fourrure sur le sofa et attrape Jang avant de la mettre sur son épaule.
« a tout à l’heure » dit Jang en t’envoyant un bisou alors que San part en direction du salon privé avec elle.
Tu secoues la tête en riant et continue de scroller sur ton téléphone.
Le son des talons aiguille résonne à travers la pièce, annonçant l'approche d'Iroha.
Tu sens sa présence se rapprocher de toi, anticipant avec curiosité ce qu'elle pourrait avoir à te dire ou à partager dans cet instant de calme au milieu de l'agitation de la soirée.
« Je peux m’assoir ? » demande t’elle doucement.
« Bien sûr Iroha » tu lui dit en tapant sur le sofa.
Elle s’assoit à tes côtés et pose sa tête sur ton épaule.
« On peut aller a Tokyo pour le nouvel an ? c’est pas si loin en avion, ça me ferait plaisir de présenter mes amies à mes parents, et je te ferais découvrir ma ville » demande-t-elle en regardant la foule en bas à travers la fenêtre.
« Je sais pas trop, je sais pas si Jang a déjà préparé quelque chose ou non… sinon oui ça me ferait plaisir Iroha » tu lui réponds.
« Oh c’est vrai ?? Je vais en parler à mes parents demain, on a largement la place pour tous vous accueillir, ce serait trop cool » dit-elle en prenant ta main.
Le temps pouvait sembler court, mais chaque moment passé avec Iroha avait été rempli de découvertes, de rires et de complicité.
Malgré cette brièveté, tu ressentais déjà un lien fort avec elle, une connexion profonde qui transcendaient les mots et les gestes, une affection sincère qui grandissait chaque jour un peu plus.
Tu te sentais chanceuse de l'avoir rencontrée et reconnaissante pour chaque instant partagé avec elle.
« T’as perdu Jake ? » tu lui demandes.
« Non non, il a du s’éclipser, il m’a dit qu’il avait un truc d’important à faire donc il m’a fait un bisou sur le front et il est parti, il m’a dit qu’il reviendrait dans la soirée » elle te répond en te faisant des papouilles sur le bras.
La semi insonorisation de la pièce permet de vous détendre et de prendre une pause dans l’agitation de la soirée.
Tu continues de scroller ton téléphone.
Plusieurs minutes s’écoulent.
« Il t’a dit à quelle heure il revenait ? » tu demandes à Iroha.
Iroha ne répond pas.
« Iroha ? » tu recommences.
Tu te penches et te rend compte qu’elle s’est endormie sur ton épaule.
Tu attrapes un coussin, te décales légèrement et couche Iroha sur le sofa.
Iroha, paisiblement endormie sur le sofa, semblait enveloppée dans une aura de douceur, son visage serein éclairé par la lueur tamisée de la pièce.
Sa robe rose, drapée autour d'elle, ajoutait à son apparence délicate, lui conférant une aura de féérie.
Dans son sommeil, elle semblait aussi paisible et gracieuse que la belle au bois dormant, attendant simplement le baiser du prince charmant pour la réveiller de son doux rêve (toujours porté disparu).
Tu quittes la pièce silencieusement et retourne essayer d’en savoir plus sur l’amie de Sang.
Alors que tu regardes à droite, à gauche pour essayer de mettre la main sur cette fille, tu te cognes contre un torse.
« Mais regardez qui va là » dit-il en riant.
Juyeon, debout devant toi, arborait un sourire malicieux, ses yeux pétillants exprimant une lueur taquine.
Son allure athlétique était mise en valeur par sa posture décontractée, ajoutant à son charme naturel.
Son regard, à la fois joueur et séducteur, captivait ton attention, te faisant ressentir un mélange d'amusement et de fascination.
« Oh désolé Juyeon je t’avais pas vu » tu lui dis en te tenant le front.
« Mes pectoraux t’ont fait si mal que ça ? » dit-il en riant.
« Très drôle Juyeon » tu lui réponds en fronçant les sourcils.
Il te regarde de haut en bas, ses yeux dévorant ton corps.
« Ça te dirait qu’on sorte un soir ? » te demande-t-il.
Il continue « promis on parlera pas de Paradise si tu veux pas en parler ».
Tu t’apprêtes à lui répondre avant que votre conversation ne soit stoppée.
« Tu perds pas de temps toi, c’est pas parce que j’ai dis que j’aimais bien ta robe qu’il la trouve belle aussi » te dit Chaewon en croisant les bras.
« T’es toujours si désagréable » lui dit Juyeon en riant.
« Tu riais moins quand tu la baisait dans le jacuzzi » dit Chae en levant les sourcils.
« Moi au moins je l’ai pas poussée du premier étage » lui répond t’il en levant un sourcil à son tour.
un silence s’abat entre les deux.
« Tu comptes baiser avec Juyeon ? » te demande Chae en te regardant dans les yeux.
« Qu’est-ce que ça peut te faire au juste chae ? » tu lui réponds.
« Je me ferais un plaisir d’en informer Intak, le pauvre, tout seul assis dehors, il est en proie à de grosses lionnes ce soir » dit-elle en faisant une moue moqueuse.
« Quand tu dis lionnes, si tu te vises, c’est plutôt GROSSE CHIENNE que tu devrais utiliser, tu t’es trompée d’animal » dit Natty en s’approchant de vous.
Chae la regarde en haussant les sourcils.
« T’es la fille la plus vulgaire que j’ai pu rencontrer dans toute ma vie, et même les putes du bois sont moins vulgaires que toi, t’as encore les ongles oranges à cause de ta consommation excessive de Cheetos et tu pues la clope » répond Chaewon à Natty.
Natty commence à retirer ses créole en te disant « tiens moi ça, je vais lui arracher ses extensions de petite salope ».
Juyeon s’interpose en disant « Personne ne va arracher les extensions de personne, on se détend, c’est une journée de fête, vous vous batterez demain s’il vous plaît les filles. faites un effort ».
« Barbie malibu appelle Ken plage JE RÉPÈTE, KEN PLAGE DÉGAGE DE MON CHAMPS DE VISION AVANT QUE JE TE DÉMONTE » crie Natty.
« complètement tarée celle là » marmonne Chae.
« Du calme Natty ça va » tu lui dis en lui rendant ses créoles.
Natty fixa Chae avec un regard déterminé, ses yeux lançant des éclairs, signifiant clairement qu'elle était prête à arracher ses cheveux en un clin d'œil pour remettre cette dernière à sa place.
« Je paie ma tournée ! » s’exclame Juyeon en vous amenant avec lui vers le bar.
Vous vous dirigez tous les quatre vers le bar, encouragés par la générosité de Juyeon qui annonce qu'il va payer la prochaine tournée.
Tu te retrouve assise entre Chaewon et Juyeon, Natty est assise de l’autre côté de Juyeon.
« On peut aller discuter dehors ? » te demande Chaewon.
Tu acquiesces.
« CRIE SI T’AS BESOIN ET J’EXPLOSE CETTE SALE PUTE » crie Natty.
« ON EST DES FILLES CIVILISÉES NOUS » crie Chaewon en direction de Natty.
Natty lui fait un doigt.
Chaewon et toi vous dirigez vers la baie vitrée qui offre une vue sur l'extérieur.
Vous vous arrêtez devant la baie vitrée, captivées par la vue nocturne de la ville qui s'étend sous vos yeux.
Les lumières scintillantes et les mouvements des voitures créent une ambiance hypnotique. Le bruit de la musique étouffée de la fête se mêle au murmure de la nuit, créant une atmosphère à la fois festive et paisible.
« Tu voulais qu’on discute de quoi ? » tu lui demandes, toujours sur tes gardes, ne sachant pas de quoi Chaewon est capable après t’avoir jetée du premier étage.
« Je sais qu’on est pas amies et on le sera jamais, je voulais juste qu’on discute toutes les deux. Parce qu’en fin de compte je te déteste parce que je déteste Jang. » te dit Chae en sirotant son cocktail rose.
« C’est pas faux, mais t’es la fille la plus insupportable que je connaisse, en plus t’as couché avec Intak » tu lui réponds froidement.
Elle lève les yeux au ciel avant de répondre « Arrête de remettre toute la faute sur moi, Intak et moi, tout comme toi, sommes adultes. Ce que j’ai fait, Intak l’a fait aussi, aucun de nous deux n’a forcé l’autre tu sais ».
Tu recules et lui dit « La conversation est terminée ».
Chae soupire « Je n’éprouve pas d’animosité contre toi là hein, je veux juste qu’on discute comme deux adultes responsables ».
Tu lèves les sourcils et lui répond « Tu nous a jetés toutes les deux du premier étage Chaewon, à travers une vitre. »
« Erreur de parcours » dit-elle avant de reprendre une gorgée.
Elle reprend la parole « Je veux juste que tu saches que tout ça c’est derrière moi, évidemment je ne suis pas neutre face à Intak mais je vais plus me battre physiquement pour un garçon »
« Qu’est ce que je suis censé répondre à ça ? » tu lui demandes.
« Rien, je ne m’attendais pas à ce que tu m’écoutes à vrai dire, cependant tu sais maintenant que je n’ai rien contre toi en particulier » dit-elle en esquissant un léger sourire.
« Très bien, merci pour ton honnêteté Chaewon ». tu lui réponds.
« Je te laisse, je retourne m’amuser » dit-elle avant de disparaître à nouveau dans la foule.
Tu te retrouves dans une sorte de brume mentale, où les mots semblent flotter sans but précis, et où les pensées s'entrechoquent sans cohérence.
Les émotions se mêlent dans un tourbillon confus, rendant difficile de discerner la réalité de l'illusion.
Cette confidence inattendue t’a laissé dans un état d'incertitude et de confusion.
Tu t’assoies dehors sur un banc, tu prends l’air et essaie de remettre de l’ordre dans cette soirée.
Une forme s’assoit à côté de toi en disant « Quelle soirée, t’as bien raison de t’isoler ».
Tu te retournes vers elle et quelle surprise.
La jeune femme mystérieuse s’est assise à côté de toi.
« Ouais, il fait un peu trop chaud à l’intérieur » tu lui réponds.
Elle rit.
Vous restez quelques minutes dans le silence, à profiter du calme et de l’air frais.
C’est le bon moment.
« Je t’ai pas demandé, c’est quoi ton nom ? » tu lui demandes
« On s’est déjà croisé à la cafétéria je crois, toi je sais qui tu es, tout le monde parle souvent de toi » dit-elle en riant.
Tu souris en soupirant « La célébrité malgré moi »
Vous riez toutes les deux.
« Moi c’est Hyein, enchantée » dit-elle en souriant.
Vous êtes assises sur un banc à l'extérieur, baignées par la lumière tamisée de la nuit.
Autour de vous, le silence du campus contraste avec l'agitation de la soirée à l'intérieur.
Les étoiles scintillent doucement dans le ciel obscur, ajoutant une touche de magie à votre conversation.
Hyein et toi échangez des mots dans un murmure complice, partageant des anecdotes sur vos amis, vos centres d’intérêts...
Le vent caresse doucement vos visages, apportant une fraîcheur bienvenue dans la chaleur de la nuit.
« Et sinon… tu connais Sang d’où ? » tu lui demandes en pleine conversation.
« Oh Sangyeon ? tu le connais aussi ? » dit-elle surprise.
« Oui, je le connais très bien même » tu lui réponds.
« Alors c’est assez long, mais je me considérerai comme sa meilleure amie��» dit-elle en souriant.
« Je vois » tu lui réponds en te forçant à sourire.
Elle se retourne vers toi « Il est beau hein ? Franchement je vais pas te mentir quand je te dis que j’étais amoureuse de lui tout le long qu’on était au lycée ensemble mais je lui ai jamais dit » en riant.
« AHAHAHAH »
tu n’a jamais sorti un rire aussi FAUX.
« Bon, ça m’a fait plaisir de te rencontrer mais Minji doit me chercher, on se revoit bientôt ? » te dit-elle en attendant ta réponse.
« Oui ! à bientôt Hyein » tu souris.
Quelle poufiasse.
Non, tu remets tes idées en place, c’est juste sa meilleure amie, no big deal.
Tu te sens prise de fatigue, tu décides de rentrer.
Tu envoies un message rapide à Iroha pour lui indiquer que tu rentres à la résidence.
Une fois fait, tu te retrouves seule dans la nuit, marchant d'un pas déterminé sur le chemin qui te mène à la résidence.
Autour de toi, l'obscurité de la nuit est entrecoupée par les lumières des lampadaires qui éclairent faiblement ton chemin.
Le silence de la nuit est presque palpable, seulement brisé par le doux murmure du vent dans les arbres et le léger crissement de tes pas sur le sol.
Malgré la tranquillité apparente, tu restes sur tes gardes, consciente de ton environnement et de la solitude de la nuit.
Chaque bruit te fait sursauter légèrement, mais tu continues à avancer avec détermination, pressée de retrouver le confort et la sécurité de ta résidence.
Tu mets tes écouteurs et mets de la musique afin de te détendre et te vider l’esprit.
Alors que la musique envahit ton esprit, tu fais le vide sur toute ta soirée.
Soudain, une personne attrape ta taille et te serre contre elle.
Tu sursautes et retire tes écouteurs.
« Une si jolie poupée seule dans la nuit ? Notre première rencontre ici ne t’a pas servi de leçon à ce que je vois » te dit Intak, un sourire en coin.
« Tu m’a fait peur Intak » tu lui réponds en soupirant.
« Je me dois de te raccompagner jusqu’à ta résidence, j’aimerai pas qu’il t’arrive quelque chose sur le chemin du retour » dit-il, le regard sur la route.
« J’ai pas besoin de toi Intak » tu lui dis en le regardqnt.
" je t'ai pas demande ton avis" te repond t’il en souriant.
Tu souris et vous marchez tous deux en direction de Nymphéa.
D'une démarche lente mais assurée, tu avances dans la nuit, accompagnée par Intak.
Sa présence à tes côtés te réconforte, et tu te sens protégée dans ses bras. Son contact te réchauffe dans la fraîcheur de la nuit, apaisant tes inquiétudes et tes craintes.
Vous cheminez ensemble, échangeant parfois quelques mots dans le silence de la nuit, mais le plus souvent laissant simplement la quiétude de l'instant vous envelopper.
Chaque pas que vous faites rapproche un peu plus de votre destination, et malgré la noirceur de la nuit, tu te sens en sécurité dans les bras d'Intak.
“On est arrivés princesse” dit-il en te laissant sa veste.
“Merci Intak” tu lui réponds en souriant légèrement.
Il sourit.
Alors que tu passes la porte de Nymphéa, tu te rends compte que la résidence est vide.
Intak, prenant le chemin pour sa résidence en empruntant le sentier face à Nymphéa, serein, quand soudainement, il entendit son nom derrière lui.
Tu étais dans l’encadrement de la porte de Nymphéa.
“Oui ?” te répond t’il.
Tu lui réponds, jouant avec le noeud sous ta poitrine “Tu veux pas m’aider à retirer ma robe ?”
FIN DE L’ÉPISODE 11
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segolenemoteleyecrits · 8 months
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. L'univers-même se parle . 2019
Il voulait se connaître. Soulever ses pierres pour voir dessous. Dessous le palpable de sa matière, comme s’il s’agissait de s’adresser à autre chose que sa raison. Sortir de son système de pensée logique. Il pensait qu’il n’y avait pas de dualité. Pêcher ses étoiles sur sa Terre, ça devait être possible alors. Le regard «tourné vers le bas » - vers les choses et le monde, les expériences et les observations terrestres - est aussi une manière de discerner en lui des vérités qui le tirent «  vers le haut »,  des fragments d’absolu.
Parfois il rêvait qu’il chantait en rond, en rond pour que la conscience du cosmos se mette à tourner. Comme ses trous noirs, ses galaxies, ses planètes, ou même le plus petit de ses atomes. Le chant tourne les images. Nous chevauchons deux univers complètement différents, pensait-il. Il existe un passage. Il l’avait écrit dans son annal d’information : « il devait ressembler à un univers sans cycles, sans les saisons, sans les années, sans les mois sans un dimanche qui clôt une semaine qui recommence sans un printemps plus chaud que le dernier sans une année qui s’écoule et rajoute un chiffre au sablier l’éternité d’un jour qui ne ressemble à aucun autre un présent continu tu te fondrais en toi-même tu te volatiliserais dans l’espace infini. Afin que tu accouches du monde». En fait, il n’y a ni monde ni créatures. Ni dualité entre jour et nuit, ni entre veille et sommeil, ni entre esprit et matière.  Ces oppositions sont irréelles, le travail consiste à les dissoudre, à les révéler vaines.
B I F U R C A T I O N
Les paysages
Il lui arrivait régulièrement de se rendre dans des lieux où il ressentait plus fortement cette sensation. L’espace, qui tournant et fuyant, s’interpose entre lui et son lieu d’origine, développe des forces que l’on croit d’ordinaire réservée à la durée. D’heure en heure, l’espace détermine des transformations intérieures, très semblables à celles que provoquent la durée. Mais qui, en quelque manière, la surpassent. Les crêtes de ses montagnes à la lueur d’une étoile le frappait d’étrangeté familière. Des visages endormis, des chevelures, des seins béni par l’immensité calme du silence du vide spatial dont les Saints endormis prenaient le plus grand soin. Les montagnes furent les témoins de l’ascension de son humanité. Il y prenait comme nulle part ailleurs le vent de l’éventuel. Le soleil brille, la lune resplendit, il y a de la lumière et des couleurs, la texture du désert. il y a en quelque sorte la sensation de l’énergie qui joue entre son ciel et sa terre. Et cela continue.
L E S H U M A I N S
Et puis, étrangement, il y a soudain quelqu’un pour remarquer tout cela. C’est comme si l’un des grains de sable avait levé la tête et commencé à regarder autour de lui. Des corps forgés dans des coeurs d’étoiles. Carbone, nitrogène, fer.  Une explosion d’étoile et tous ces éléments furent éparpillés en lui. Les atomes de la main pourraient venir d’une autre étoile que les atomes du coeur, et être différents de ceux du pied. Des exemples singuliers de son être vivant et connecté. On trouverait dans cette même âme les marques de ce qui lui arrivera, et même des traces de tout ce qui se passe dans l’univers.
L’esprit humain est l’esprit de l’univers.
Il observe ainsi régulièrement ses humains, vu du dessus, en train de marcher, vous trouverez vite le spectacle singulier.  Curieux balancement, étrange manière d’avancer, toujours en déséquilibre, se rééquilibrant, se redéséquilibrant.  Cette démarche paraît simple, spontanée, automatique.  Elle n’en est pas moins le résultat d’un long apprentissage, d’un incroyable effort accompli par chacun pour passer à la marche debout seule humaine, d’une immense évolution de toute l’espèce. Cette situation connue, hyperbanale, demeure énigmatique. Opaque, à force d’être familière. Penser debout, c’est discerner, même à l’intérieur des singularités infimes, une autre dimension. L’extention même de l’espace-temps se regardant lui-même et apprenant de lui-même. L’humain en train de donner des informations à la structure de l’espace-temps, et l’espace-temps en train de renvoyer de l’information sous la forme de son expérience de tous les jours.  Ce mécanisme de rétroaction pourrait être à l ‘origine du système auto-organisé, qui émerge du vide à travers la structure des trous noirs et deviennent la réalité. Les humains sont petits, mais ils sont lui-même, l’univers, en mouvement extatique. L’ensemble de ces « centres d’expériences » en tant qu’ils convergent vers une unité supérieure.
F U S I O N 
Leur défi est de prendre un virage. Depuis les 35000 dernières années ils ont exploré le chemin de leur séparation, développé un sentiment d’identification propre, de différentiation, qui l’ont amené si loin de leur nature, pas juste de la Terre, mais lui-même, l’univers tout entier. Une fleur se tourne vers la lumière avec bien plus d’évidence qu’un être humain. Eux, sont endormis. À leur nature essentielle. Il leur faut sublimer leur système de référence ordinaire et faire apparaître l’unité. C’est une chance unique dans leur histoire commune. Ils communiquent ensemble et s’interpénètrent mutuellement. Ce temps, les humains l’oublient, est déjà global.  D’une culture à une autre, les sages se reconnaissent, tissent des passerelles d’immédiates complicités qui prennent des airs de retrouvailles. Ils savent. La planète Terre et tout ce qui existe et s’y manifeste est une émanation de l’essence originelle de l’univers. L’existence de l’être humain est le résultat de la manifestation physique de cette essence. C’est pour cela qu’il faut marcher, dans les chemins secs et boueux, parmi les arguments tranchants ou pâteux :  faire advenir la conscience que tout ne fait qu’un - donc que ces chemins eux-même sont des rêves, ces argumentations des mirages.  Voilà, décidément, un marcheur paradoxal : il doit avancer, nous entraîner avec lui dans sa marche, mais afin de rendre évident que tous ces périples, les siens comme les nôtres, n’existent pas.  Si l’on lit ainsi, on le voit faire, en marchant, le tour des connaissances, le tour de la pensée et le tour du réel. Comme une encyclopédie, il fait le tour - en kuklô. Étudier, pratiquer, travailler à réparer le monde c’est tout, c’est marcher. Mise à part l’expérience des sujets, il n’y a rien, rien, rien que le rien. 99.9999999999996% d’espace. L’espace totalement vide du vide. Vide est en fait un tumulte de création et d’annihilation. Quand on en a conscience, le chemin est fait. Note : Ce senton a été composé à partir des oeuvres et recherches suivantes : Comment marchent les philosophes, de Roger-Pol Droit, L'appât des possibles de Didier Debaise, le documentaire The Connected Universe de Nassim Haramein, ainsi que d'écrits personnels.
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kiirex · 9 months
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Sa main sur ma cuisse. Je fixe la télé, mais je ne regarde pas le film. J’ai honte. Je trouve tout ça ridicule. C’est moi qui devrais avoir la main sur sa cuisse.
Et lui il devrait être une fille qui se met du vernis rouge en ricanant. C’est comme ça que devait se passer toute ma vie. Sa main remonte doucement vers mon sexe. Il faut que je parte. Je me lève tout doucement. Trop doucement, sûrement pour me faire croire que tout va bien. Je vais dans sa salle de bains. Je dis de loin que je vais me doucher, que la journée a été longue. Je peux pas rester là à me faire tripoter par ce pédé. Je me douche comme dans les films, cette fois c’est moi dans le film, tout ça je m’en fous, ça compte pas, c’est un égarement prévu dans le scénario, tout va revenir à la normal dans l’acte trois. L’eau est très chaude, de la buée partout. Il entre dans la salle de bains. Il est nu. Il pénètre ma douche. C’est mon endroit et il y entre. Je joue un sourire de connivence pour le rassurer, pour me rassurer. Très vite ma main sur son sexe. Je ne sais même pas comment elle est arrivée là. Je le sens grossir. Pourquoi il n’arrête pas de grossir. Il se met derrière moi. Il est plus grand que moi et plaque son pénis contre mon dos. Je me sens humilié, comme une mauvaise blague de vestiaire devant toute l’équipe de foot. Puis sa main sur le mien. Pas du tout la même sensation que quand c’est la main d’une femme. Là c’est une trop grande main, une main qui fait la taille de ma tête. Je me sens petit. L’eau coule sur mes yeux mais je ne les ferme pas. Rincer ce que je veux oublier, là tout de suite, pendant que c’est en train d’arriver, oublier le présent. Je joue la détente, je joue l’envie, je joue la respiration prononcée pour montrer que j’aime qu’on se caresse. T’es comédien, tu tournes une scène, ça me va. Mais je ne suis pas là. Je ne suis plus dans cette douche. Je sais pas où je suis, mais ailleurs me va très bien. Sûrement dans le salon, à mater la fin du Woody Allen, pendant que je branle un mec dans la pièce d’à côté. J’étais à peu près en couple avec une fille à cette époque. Sara.
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