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#shojo akata
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Le goût des retrouvailles T2 de Nozo Itoi
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minokoto · 2 years
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【𝐑𝐄𝐕𝐈𝐄𝐖 𝐃𝐀𝐘】 — 𝐋𝐨𝐯𝐞 𝐌𝐢𝐱-𝐮𝐩 𝐓.𝟏
Bien avant son annonce, j’ai comme été attiré par la douceur de cette couverture. C’est lors de son annonce par l’éditeur que je me suis juré de me procurer ce titre par tous les moyens. Chose faite, je l’ai dévoré, je voulais comprendre à la fois pourquoi ce manga m’attirait autant dans ce titre et pourquoi il y avait autant d’engouement dessus.
𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑖𝑟𝑒 𝑚𝑎 𝑟𝑒𝑣𝑖𝑒𝑤 :
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lamangasserie · 2 years
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Bilan de mes lectures de l'été
Quel drôle d’été ce fut pour moi. J’ai été prise par mes nombreuses pensées introspectives, par des rendez-vous médicaux assez pénibles et par un bon gros rhume. Je n’avais pas le cœur à être trop active que ce soit sur ce blog ou sur ce bon vieux Twitter. Malgré tout, j’ai bien envie de vous faire part de mes pensées quant à mes lectures de cet été ! Vous avez peut-être déjà constaté que j’avais lu Daruchan de Lemon Haruna, titre autour duquel j’ai écrit un article. C’est d’ailleurs un article plus en relation à ces pensées évoquées plus haut qu’à Daruchan, mais passons. Ce fut tout de même un été assez riche en lectures. Voilà quelques mots sur certaines de ces lectures !
On commence avec Ao no Fuuin de Chie Shinohara. Ce manga fut pré-publié dans le magazine shojo Sho-comi entre 1991 et 1994. Inédit en France, il est sorti en Italie au début des années 2000 sous le titre de Il sigillo azzurro chez Star Comics. J’ai lu l’intégrale, en onze tomes.
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Soko vient de déménager à cause du travail de son père et se voit contrainte de commencer une nouvelle vie. Les choses ne vont pas bien pour elle, elle se sent comme malade dans ce nouvel environnement. Un nouvel élève fait lui aussi son apparition dans les couloirs de son nouveau lycée. Il s’agit d’Akira et il est là pour tuer Soko dans laquelle s’incarne Soryu, la reine des Oni de la famille de l’Est et dévoratrice d’êtres humains. Mais la mort de Soko est-elle l’unique moyen de sauver la race humaine face à la menace que représente Soryu ?
J’ai beaucoup aimé Ao no Fuuin ! Sa grande force, c’est son rythme effréné. C’est un manga extrêmement captivant dont il est difficile de terminer un tome sans vouloir continuer avec le suivant. Il n’y a aucun temps mort, on saute de problématiques en problématiques, de surprises en surprises. Les onze tomes qui constituent le récit s’enchaînent à vitesse grand V, on ne voudrait que ça ne s’arrête jamais ! Avec Ao no Fuuin, Chie Shinohara nous fait aussi une belle démonstration de sa maîtrise de la narration graphique. Notamment sur de beaux moments d’horreur où elle maîtrise avec justesse l’art de la page suivante. On tourne une page et on est face à une horreur sans nom. Ou encore, du coin de l’œil, on aperçoit une traînée de sang dont on remonte la piste au fur et à mesure des cases. C’est peut-être exécuté de manière assez simpliste, comme un lourd silence avant un screamer au cinéma mais il n’en reste pas moins que c’est très efficace ! Ao no Fuuin est aussi un manga surprenant de par son côté mature, à la tension sexuelle bien pesante. Si on pouvait s’attendre à une romance pudique, que nenni ! Les plaisirs de la chair ne sont jamais bien loin entre Soko et Akira. De plus, ennemis par essence, ils s’aiment malgré tout ;  de quoi rajouter une couche de tension entre les amoureux ! Par contre, il y a bien une chose que l’on peut reprocher à ce manga, c’est son côté « over the top ». C’est too much, c’est abusé. Le manga est truffé de retournement de situation toujours plus énormes, et ce jusqu’au bout. Parfois, on aurait envie d’en pouffer de rire tellement ce n’est plus crédible. Mais après tout, pourquoi pas ? Le manga nous prépare à tant d’éventualités qu’il faut savoir faire avec ces nombreuses révélations. Pour conclure, c’est un manga facile d’accès, simple mais efficace et qui vous entraînera tout de suite dans son sillage. Je recommande à quiconque voudrait vivre onze tomes d’adrénaline shojo !
On continue avec ma lecture des tomes 3 et 4 d’A Sign of Affection de suu Morishita. C’est un manga pré-publié dans le magazine shojo Dessert depuis 2019 et publié chez nous par Akata.
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Yuki est une étudiante qui, comme beaucoup d'autres, construit son quotidien autour de ses amis, des réseaux sociaux et de ce qu'elle aime. Mais quand un jour, dans le train, elle croise un jeune homme qui voyage à travers le monde, son univers va être chamboulé : ce dernier, bien que trilingue, ne connaît pas la langue des signes. Pourtant, très vite, il manifestera pour elle un intérêt bien particulier… Comment réagira-t-elle face à ce camarade d'université entreprenant et communicatif ?
A sign of affection décrit avec pudeur et simplicité l'histoire d'amour entre une jeune femme sourde et un grand voyageur. à n'en pas douter, les personnages de ce manga ne manqueront pas de vous émouvoir !
(résumé de l’éditeur)
Comme déjà évoqué sur Twitter, A Sign of Affection est un coup de cœur. Dans ces tomes, les amoureux avancent sur la route de l’amour, avec dans le tome 3 un véritable virage sur cette route. Ce manga continue de faire battre mon cœur de fangirl ! Yuki est toujours aussi adorable et le manga nous offre toujours plus de moments tout doux. On continue aussi les moments assez sensuels avec beaucoup de délicatesse exprimée dans les mains grâce à un découpage et une narration qui prend le temps. A Sign of Affection continue aussi à me plaire car il évite le côté pédagogique sur la surdité. Les choses expliquées s’inscrivent avec naturel dans le récit et les bonus. La romance reste bien au cœur du récit. Je regrette peut-être juste un peu le manque d’un réel bouleversement notamment avec le personnage d’Oshi, ami d’enfance de Yuki qui est clairement jaloux d’Itsuomi. J’espère aussi que les tomes suivants apporteront plus de voyage et de réponses quant au tatouage d’Itsuomi sur le doigt. J’avoue mourir de curiosité quant à ce tatouage ! Vivement que je lise la suite !
On enchaîne avec les trois derniers tomes, donc 8 à 10, de Complément Affectif de Mari Okazaki. C’est un manga qui fut pré-publié dans la revue josei Feel Young entre 2004 et 2010 et sorti chez nous par Akata à l’époque Delcourt.
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Minami Fujii, 27 ans, travaille dans une agence publicitaire. Investie, elle en vient à délaisser sa vie sentimentale, stable en apparence. Son compagnon la quitte ; Fujii est à un tournant de sa vie. Elle va se réfugier dans son travail en s’y impliquant toujours plus. Elle s’impliquera alors aussi davantage avec ses collègues, masculins comme féminins, et traversera les heurts de la vie à leur côté.
Je dois bien l’avouer: j’ai du mal à suivre les héroïnes de Mari Okazaki. J’ai du mal à saisir qui elles sont, comment et pourquoi elles agissent et réagissent comme elles le font. Je ne me sens absolument pas proche d’elles malgré les problématiques que l’on partage. Je ne sais pas pourquoi. Est-ce que je suis encore trop jeune ? Est-ce que je suis juste trop différente d’elles ? Peu importe, j’ai tout de même pu apprécier ces derniers tomes de Complément Affectif. Fujii semble enfin avoir trouvé une certaine stabilité avec son compagnon. Bien sûr, la route n’est jamais parfaitement lisse et cette stabilité rencontre encore bien des obstacles. Les ambitions professionnelles de chacun, évidemment, comme toujours dans le manga, mais aussi des évènements inattendus. Le tome 9 fut particulièrement bouleversant, tout est remis en cause, jusqu’à l’existence même. « Et si… sans qu’on en ait conscience… le sol sous nos pieds… pourrissait lentement ? Je n’y avais... jamais pensé. ». La fin, surprenante, m’a amplement satisfaite, Fujii trouve enfin la paix intérieure dont elle avait besoin après des années de tumulte. Malgré la distance entre les héroïnes de Mari Okazaki et moi-même, Complément Affectif est un titre dont il ne faut pas passer à côté. Rien que pour l’univers et le talent de narration de l’autrice, uniques en leurs genres.
On termine avec une découverte faite au détour d’internet: Real Clothes de Satoru Makimura. Il est sorti dans le magazine josei YOU entre 2006 et 2011 et est inédit chez nous. J’ai les cinq premiers tomes, sur treize.
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Amano Kinue est vendeuse dans le rayon matelas d’un grand magasin. Elle s’y plaît et elle est douée. Mais peut-être trop douée… Elle attire l’œil de la responsable de l’offre prêt-à-porter féminin et s’y voit transférer du jour au lendemain. D’abord déboussolée, elle finira par prendre ses marques et se découvrir une nouvelle facette d’elle-même.
C’est un manga qui a pour univers celui de la mode donc forcément, je me devais de le lire ! Real Clothes est une très bonne surprise. En premier lieu car il n’aborde pas la mode sous le prisme de la création, du design mais sous celui du retail. Puis en second lieu car le personnage principal est une jeune fille qui ne rêve absolument pas de mode. Et j’aime beaucoup le personnage de Kinue. Plutôt timorée au début, elle découvre sa propre force au fur et à mesure des tomes, face aux challenges qu’elle rencontre autant dans sa vie professionnelle que personnelle. En travaillant dans ce nouvel univers, elle sort de la torpeur dont elle avait fait un nid à l’abris de tous les risques. J’aime ce genre de personnages qui découvrent au fond d’eux une force de caractère qu’ils n’imaginaient pas. Les épreuves que surmonte Kinue ne sont pas faciles et ce se font souvent dans la douleur, mais j’aime qu’elle se révèle à elle-même mais aussi à nous, lecteurs. Dans un sens, c’est un personnage encourageant ! C’est un manga qui montre bien que sortir de sa zone de confort est difficile sur le moment mais permet de nous révéler à nous-même et est bénéfique sur le long terme. Le manga aborde aussi les relations que nous entretenons avec les autres, sous couvert des défis que rencontre Kinue dans son travail. En plus d’être un manga passionnant et qui en apprend sur le monde de la mode, c’est un manga qui pousse à la réflexion sur qui nous sommes. Il me tarde de lire la suite des aventures de Kinue !
J’ai aussi lu d’autres mangas durant cet été...
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De haut en bas, de gauche à droite: l’intégrale en onze tomes de Niji-iro Tohgarashi de Mitsuru Adachi, les tomes 4 et 5 d'Escale à Yokohama de Hitoshi Ashinano, le tome 2 de Papa Told Me de Nanae Haruno (mon tome annuel, rendez-vous en 2023 pour le dernier), le tome 2 de Mobuko no Koi de Akane Tamura, le tome 2 de Mordue de toi de Nao Hinachi, le tome 8 de Tokimeki Tonight de Koi Ikeno (en italien), les deux premiers tomes de The Night Beyond The Tricornered Window de Tomoko Yamashita (sur lequel vous pouvez lire un super article sur le blog Club Shojo), le tome 8 de Nekomix Genkitan Toraji de Yumi Tamura et enfin la suite de mon webtoon du moment, See You In My 19th Life de Lee Hey.
C’est tout pour moi aujourd’hui ! Je vous invite à me dire à votre tour, sur Twitter, vos lectures les plus marquantes de cet été ! Si vous avez aimé cet article, n’hésitez pas à le partager autour de vous. À la prochaine !
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afkmanga · 3 years
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『 Nouveautés Manga 』 ๑ BL Métamorphose T.05 ๑ ReLife T.15 ๑ The Killer Inside T.05 ๑ My Fair Honey Boy T.08 ๑ Les Chroniques D'Azfaréo T.05 Disponible dans votre Librairie ⛩ @afkmanga ⛩ @ki_oon_editions @akatamanga #afkmanga #manga #anime #librairie #librairiemanga #mangastagram #mangaaddict #mangabook #mangalover #instamanga #instalibrary #japan #shonen #shojo #seinen #josei #WeLoveManga #kioon #akata #blmetamorphose #relife #thekillerinside #myfairhoneyboy #leschroniquesdazfareo (à AFK Manga) https://www.instagram.com/p/CNr2tCorOnM/?igshid=1pvcf84j09u3d
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rainbowtheque · 6 years
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Fruits Basket
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Titre : Fruits Basket
Autrice : Natsuki Takaya
Manga
Editeur : Akata/Delcourt (France)
Age conseillé : à partir de l'adolescence jusqu'à n'importe quel age
Résumé :
Tohru, mignonne et courageuse lycéenne, vivait sous une tente dans les bois. Recueillie pour ses talents en matière de travaux ménagers par la famille de Yuki Sôma, un de ses camarades de classe, Tohru vit maintenant entourée de garçons dans une grande maison. Mais ce qu'elle ignore, c'est que la famille Sôma est victime d'une malédiction secrête. Certains de ses membres se transforment, dans des circonstances particulières, en un des douzes animaux du zodiaque chinois ! Avec d'aussi étranges personnages, la nouvelle vie de Tohru va lui réserver de nombreuses surprises.
Identité représentée :
Interprétation : plusieurs personnages queer/trans/non binaires (tout parmi les persos secondaires). A noter que le vocabulaire LGBT n'est hélas pas utilisé explicitement.
Thématique présentes :
Les thématiques LGBT+ ne sont pas au cœur de l'histoire, les thèmes seraient plutôt de l'ordre de la maltraitance sous divers forme, des relations familiales et amoureuses, du passage à l'âge adulte.
Cependant il y a une thématique centrale autour de la différence et du fait de la dissimuler aux autres, et des énormes dommages que cela engendre, ainsi que du fait d'oser être soi même et de ne pas laisser les autres vous enfermer dans un personnage que vous n'êtes pas, qui parlera sans aucun doute à n'importe qui de la communauté LGBT+. De plus le thème de la transidentité est légèrement abordé via le personnage de Ritsu (qu'on peut clairement lire comme une femme trans même si malheureusement le mot n'est pas prononcé). Au moins deux autres personnages secondaires disent explicitement aimer s'habiller avec des vêtements de femme (Momiji et Ayame). Ayame tient littéralement une boutique dédiée aux vetements de type féminin pour homme et répand sa fabuleuse queerness tout au long de la série, bless him.
Par contre dans le dernier tome, de mémoire Ritsu apparaît comme “rentrant dans le rang”.
TW : Violences physiques, suicide, violence morale (la série traite clairement de l'abus et de la maltraitance psychologique, notamment au sein de la cellule familiale, de nombreux exemples sont donnés).
Avis de Neko :
C'était ma série préférée du temps de mon adolescence. Je l'ai relu récemment, avec une pointe d'appréhension (comme à chaque fois que je “redécouvre” un ouvrage de ma jeunesse maintenant que je suis beaucoup plus sensibles aux problématiques féministes, LGBT+ etc). Soulagement : la série est super et encore plus profonde que ce que j'en comprenais adolescente. Elle a souvent été marketé comme un simple shojo (avec triangle amoureux etc). En réalité elle traite de sujets très importants et notamment des différentes formes de maltraitances psychologiques, d'abus et de relations toxiques dont on peut être victime, notamment au sein de la cellule familiale. Les personnages sont très variés et chacun à droit a son histoire et à une évolution avant la fin de la série. C'est une superbe invitation à apprendre à s'aimer soi-même, à s'accepter comme on est, à ne pas laisser les personnes néfastes vous détruire, même si elles sont proches de vous, mais au contraire à comprendre que vous avez le droit d'être comme vous êtes, d'en être fier et de l'afficher à la face du monde. C'est également une incitation à comprendre, évoluer, s'ouvrir d'esprit et aimer les autres. Je recommande chaudement à tous type de lecteur, cette série vous équipera pour mieux affronter la vie et ses difficultés.
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Perfect world T12 de Rie ARUGA
Bonjour, Cette fin est au top. J’aime beaucoup la manière dont est abordé l’adoption, l’avant et l’après, la vie en famille… Le handicap est-il un obstacle ? #perfectworld #riearuga #éditionsakata
Extrait en image : Mon avis : Cette fin est au top. J’aime beaucoup la manière dont est abordé l’adoption, l’avant et l’après, la vie en famille… Le handicap est-il un obstacle ? Est-ce que Kawana pourra laisser Ayukawa seul avec le bébé ? Et puis, comment annoncer aux collègues de travail qu’elle va prendre un congé parental du jour au lendemain ? L’adoption est intempestive, il n’y a pas…
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enaelyork · 7 years
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[Manga] Tue-moi plutôt sous un cerisier
[Manga] Tue-moi plutôt sous un cerisier
Bonjour tout le monde ! Aujourd’hui en ce temps pluvieux je vous présente ma première chronique manga ! Pour commencer en beauté, je vous propose le dernier one shot shojo des éditions Akata : “Tue-moi plutôt sous un cerisier”. La première de couverture est extrêmement bien réalisée, elle est juste magnifique : les deux protagonistes principaux entremêlés dans des branches de cerisier, le tout…
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[ Wip ] Run Away, courir pour toi. Coucou les amis (◍•ᴗ•◍), Voilà comme indiqué dans le post précédent je vous partage quelques travaux réalisés "en coulisse" Voici un petit "Work in progress" step by step de l'illustration de couverture de Run Away. J'ai travaillé ici sur le logiciel "Manga studio" avec ma vieille Wacom cintiq 12WX 😅 [Slide # 2] Selon l'inspiration, je fais souvent 2 ou 3 propositions max lors de la réalisation d'une couverture de roman. Je sketch ensuite rapidement la compo et très vulgairement je pose les couleurs, les teintes que j'imagine. [Slide # 3] Ici, l'éditeur à souhaité que Vicky regarde en face d'elle. Hop, je réalise un petit line-art que je fais valider avant la mise en couleur progressive [Slide # 4] Voili voilou, j'ai essayé de condenser ce process en 5 Slides, n'hésitez pas à me dire si ce genre de partage vous intéresse 😉 Bon dimanche ! ( ˘ ³˘)♥ Parution en 2019 - Éditions Akata #akatamanga #sinathillustrations #sinathbou #graphicnovels #manga #shojo #romance #mathieuguibé #illustratricefrancaise #illustrationderoman #romangraphique #illustration https://www.instagram.com/p/CaeZYJSq47a/?utm_medium=tumblr
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la-5e-de-couv · 3 years
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On parle du manga A Sign Of Affection chez Akata dans notre dernier podcast ! #5DC #podcast #manga #shojo Image Reposted from @akatamanga Tous les ans, le magazine féminin "anan" récompense les meilleurs mangas de l'année… Eh bien, c'est "A sign of affection" qui a remporté le Grand Prix ! Plus d'infos ici => https://bit.ly/3nzTUFh Et pour acheter le chapitre 1 => https://bit.ly/35uTZEc #asignofaffection #akata2021 #shôjomangamatters #suumorishita #grandprixmanga https://www.instagram.com/p/CNPby2AllBx/?igshid=16903f2b3ymj3
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novaelee · 5 years
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[COUP DE COEUR ❤️] En ce qui concerne la littérature, j'ai toujours eu du mal avec les histoires romantiques, à l'eau de rose. J'ai toujours trouvé cela cliché, faux. Mais plus je vieillis, plus je me dis qu'il faut tenter des choses. Du coup, pour la première fois depuis beaucoup d'années, j'ai lu un shôjo. ______________________________ L'histoire est assez simple. Hana est folle amoureuse d'un homme de douze ans son aîné. Alors qu'il lui annonce son mariage, elle se retrouve le coeur brisé à se demander si elle arrivera à passer outre cet amour et de nouveau avoir des sentiments pour quelqu'un. Puis elle rencontre Izumi, le chef du club d'astronomie de sa fac et celui-ci va lui faire découvrir plus que des étoiles. 😉 ________________________________ Cette histoire est juste adorable !! C'est un slow burn entre les deux personnages. On sent leur rapprochement, mais ce n'est vraiment qu'à la toute fin que le feu d'artifice explose.😍 ________________________________ Plusieurs sujets sont abordés tout au long de l'histoire comme l'amour non réciproque, la mort, la famille. Et tout cela avec des rapprochements à l'astronomie que je trouve vraiment sympa. ________________________________ C'est ultra-mignon, un peu cliché et prévisible bien évidemment. Mais quand même, cela a fait battre mon petit coeur de pierre et j'ai versé ma petite larmichette à quelques passages du manga. 😉 Pour une lecture sans prise de tête, toute mignonne et qui vous donne envie de regarder les étoiles et trouver l'amour, foncez lire ce manga ! _______________________________ Ma note: ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️/5 _______________________________ Par delà les étoiles De Rie Aruga Éditions Akata (@akatamanga ) ________________________________ #livrestagram #bookstagram #manga #shojo #shojomanga #love #pardelalesetoiles #editionsakata #akatamanga #amour #romance #astronomie #mignon #riearuga #japon #livreparis2019 #coupdecoeur https://www.instagram.com/p/BvSJbJZHYY0/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1c3zdmsm82kxl
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lesparaversdemillina · 2 months
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A sign of Affection T7 de Suu Morishita
Sérieux, ce tome est émouvant et captivant. Itsuomi et Yuki évoluent beaucoup, mais est-ce qu'ils vont réussir à s'accorder? Les autres personnages sont aussi intéressants, et les scènes douces et romantiques sont magnifiques.
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waha-no-baka · 5 years
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Le Secret de l’Ange # Bloc Technique Titre original : 箱庭のソレイユ, Hakoniwa no Soleil Catégorie : Shojo Genre : Romance, Drame Nombre de tomes : 4 tomes en tout Scénariste : Kawabata Shiki Dessinateur : Kawabata Shiki Magazine de pré-publication : Margaret Editeur Japonais : Shûeisha Editeur Français : Akata Année : 2016 Prix : 6.99 € Public Visé : + 12 ans # Synopsis Editeur Lorsqu’elle était enfant, Asahi fréquentait la petite école de dessin de son quartier. Mademoiselle Yûki, professeure qui en assurait les leçons, fut assassinée dans d’étranges circonstances. Son camarade, surnommé « l’Ange », fut alors accusé du meurtre. Mais Asahi, aujourd’hui devenue lycéenne, n’a jamais accepté les conclusions de l’enquête. Aussi quand un jour, en se rendant sur la tombe de son ancienne enseignante, elle rencontre Itsuki, le petit frère de cette dernière, ils décident ensemble de lever le voile sur les mystères qui entourent encore ce décès. Mais leurs intentions ne sont peut-être pas tout à fait les mêmes… Tags : #manga #Le_Secret_de_l_Ange #Hakoniwa_no_Soleil #Shojo #Romance #Drame #Kawabata_Shiki #Margaret #Shûeisha #Akata Lien vers la fiche : http://bit.ly/2I0eIXb http://bit.ly/2WLCIk0
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songedunenuitdete · 5 years
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Allez les filles, aujourd’hui on sort de sa zone de confort !!
Je sais… “Mais c’est quand qu’elle arrête ?!”
Mais c’est ma façon à moi de me démarquer ! (en fait, Mady m’a volé l’idée pour les Robin des bois !! Mais Mady, je t’aime quand même ! Note de Mady : Moi aussi !) Bon… Du coup, cette semaine, c’est carrément différent ! (Oui, ça aussi je l’ai déjà dis !) En fait, c’est un test pour voir si vous êtes réceptives ! Si c’est le cas, je vous promets que ça ouvre tout un tas de mâle à l’horizon 2019 !
Donc jouez le jeux en votre âme et conscience !  
Donc la semaine dernière, vous avez voté pour votre Robin des bois préférés : Taron Egerton !!
Félicitations Taron !! J’avoue que je ne t’ai pas encore vu au cinéma mais tu es plus proche de ma tranche d’âge ! Si j’avais dû dire à mon papa que je sortais avec quelqu’un de son âge, il l’aurait probablement mal vécu…
Pourtant Kevin, je suis d’une fidélité sans bornes avec toi ! Je te jure ! Je connais toutes les répliques de ton film ! Il passe au moins 5 fois par an, et, à chaque fois (mon copain est jaloux), je suis ta Marianne sur mon canapé !
Mais encore une fois, Papa n’aurait jamais approuvé notre idylle…
Bon, ce coup-ci, je vous présente deux héros littéraires qui vont vous surprendre ! J’ai nommé Ayamé et Shiguré SOMA ! De l’univers de Fruit Basket !
Ha ! Ce coup-ci je vous change d’univers pas vrai ?! Alors ils ne sont pas frères mais cousins ! Dans une famille très puissante qui loge plus de 300 personnes au même endroit !! Et sachez que ces messieurs ont un terrible secret et que seul l’amour et la confiance vont leur permettre de vivre leur vie !
Donc Shiguré, c’est un peu le bad boys japonais ! Alors, on reste au japon hein ! A part les mafiosos, j’ai pas rencontré beaucoup de japonais véritablement bad boys que l’on peut prendre au sérieux !
Mesdames, sachez qu’il se transforme en chien ! Et… C’est aussi un écrivain ! 
C’est un homme qui prend la vie telle qu’elle vient ! Il a 26 ans, travaille quand il veut, dit ce qu’il pense, et n’hésite absolument pas à manipuler ses proches pour obtenir ce qu’il veut ! Mais il a un bon fond et surtout, un objectif personnel à atteindre ! Il profite des petits plaisirs de la vie, tout en aidant les autres lorsqu’il le peut ou qu’ils ont quelque chose d’utile pour lui. Enfin, il n’hésite pas à pratiquer le “œil pour œil”, chose que beaucoup de shojo japonais condamnent. Il aime particulièrement faire tourner les autres en bourrique !
Shiguré, je suis sûre que si je te propose une vie tranquille, d’oisiveté avec de quoi écrire tes romans, tu me suivrais ! Ha ! Je le savais ! S’il y a de la place pour plusieurs personnes… ça dépend… Kyo, Yuki et Thoru ? Bien sur ! Aucun souci ! 
Passons à Ayamé !
Ayamé est très différent de Shiguré malgré leur amitié ! C’est une personne extrêmement flamboyante, extravertie et exubérante donc excentrique, qui se prend pour un roi, qui s’habille de façon très voyante et porte souvent des vêtements féminins (du fait de son travail). En effet, il a ouvert une boutique d’uniforme qui permet aux gens de réaliser leurs fantasmes ! On peut donc y trouver des vêtements, des robes de mariés (pour femme mais également homme) mais également des tenues d’infirmières ou de lycéenne ! Il a beaucoup mûri derrière une façade très frivole, grâce à son assistante Minne. Il se rend compte des erreurs qu’il a commises (surtout auprès de son petit frère) et va tenter de réparer ces dernières. Lui, il se transforme en serpent ! Mais un serpent mignon !
Tous deux ont subi la malédiction de leur signe chinois pendant leur enfance et tentent de s’en sortir du mieux qu’ils le peuvent ! Ils ont leur part d’ombre mais également une magnifique beauté typiquement japonaise !
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Fais-Moi Mâle, Si Tu Peux ! 2018 #11 : Plongez dans les mâles de l'univers de Fruit Basket Allez les filles, aujourd'hui on sort de sa zone de confort !! Je sais... "Mais c'est quand qu'elle arrête ?!"
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lamangasserie · 2 years
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Des tomes 1 comme s'il en pleuvait !
Comme l’évoque le titre de cet article, je ne sais pas ce qui s’est passé ce mois-ci mais j’ai lu beaucoup de tomes 1. Habituellement, je suis quelqu’un qui préfère finir un manga avant d’en commencer un autre. J’avais quelques tomes 1 qui m’attendaient déjà dans ma pile à lire mais je me suis en plus rajouté des titres empruntés en bibliothèque. C’est parti pour les décortiquer !
On commence avec un titre emprunté en bibliothèque, Simple comme l’amour de Fusako Kuramochi, publié aux éditions Akata en 2010 à l’époque de Delcourt. Publication stoppée.
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Résumé de l'éditeur:
Soyo Migita habite un petit village dont l’école ne compte pas plus de six élèves. Sa vie paisible va pourtant être complètement chamboulée par l’arrivée de Hiromi Ôsawa, originaire de Tokyo. D’abord excitée à l’idée de faire sa connaissance, la jeune fille ira de surprise en surprise en découvrant qu’Ôsawa est, en fait, un garçon prétentieux et hautain. Pourtant, elle ne peut s’empêcher d’être fascinée par son assurance…
Avec Simple comme l’amour, Fusako Kuramochi porte un regard tendre et bienveillant sur l’enfance et la jeunesse. Loin de l’agitation des grandes villes, découvrez les tribulations amoureuses de Soyo et ses amis en vous laissant séduire par la beauté sereine du dessin de son auteure.
J’avais déjà commencé un fil sur Twitter avec mes premières impressions. J’ai commencé à m’intéresser à ce titre il y a quelque temps, j’en ai lu du bien et Fusako Kuramochi est une autrice reconnue au Japon (elle fête ses 50 ans de carrière cette année !). Puis j’aime beaucoup les couvertures françaises. Tout de suite le coup de cœur est visuel. Le trait de l’autrice est très fin, sec et a quelque chose de nerveux, ce qui donne au dessin des airs aériens mais rustique. Le manga bénéficie aussi d’un découpage singulier qui a fait parcourir à mon regard un chemin jamais parcouru avant sur les pages d’un manga. L’autrice a une façon bien à elle de découper l’action et les émotions de ses personnages. J’ai aussi beaucoup aimé le personnage de Soyo. Sur la couverture du tome 1, je trouvais qu’elle faisait très sage. En réalité, elle manque plutôt de tact, est assez fière et chauvine. Mais elle est aussi très gentille et généreuse. Sa relation avec Sachi, la plus petite de l’école est touchante, elle s’occupe d’elle jusque dans les moments ingrats. J’aime beaucoup aussi le fait que ça se déroule à la campagne. Comme je disais dans mon fil Twitter, pas mal de shojo qui se passent à la campagne sont bien. Je trouve qu’ils ont une saveur unique. Puis c’est tout un petit monde à part, avec ses habitants qui se connaissent tous entre eux, les fêtes et les croyances locales. En résumé, il émane de Simple comme l’amour un charme très particulier sur lequel j’ai encore du mal à mettre des mots. Il me tarde de lire la suite !
On continue avec un autre titre emprunté en bibliothèque. Il s’agit de L’Enfant et le Maudit de Nagabe, publié aux éditions Komikku pour un prix de 7,90€.
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Résumé de l'éditeur:
Il y a très longtemps, dans une contrée lointaine, existaient deux pays… « L’intérieur » où vivaient les humains, et « l’extérieur », ou habitaient des créatures monstrueuses qu’il ne fallait surtout pas toucher, sous peine de subir la malédiction. Cette histoire commence le jour où se sont rencontrés deux êtres qui n’auraient jamais dû se croiser…
Ils sont aussi différents que le jour et la nuit… Et malgré tout ce qui les sépare, malgré les ténèbres qui les entourent, ils vont écrire petit à petit une fable tous les deux…
Pour ce titre aussi j’avais commencé un fil sur Twitter. J’avoue que je ne sais pas très bien pourquoi j’ai emprunté L’Enfant et le Maudit mais je trouvais les couvertures très belles, le titre intriguant et le sous-titre en irlandais, Siúil, a Rún, inattendu. On peut dire que j’ai été un peu happé par le mystère qui semble entourer le manga. J’ai beaucoup aimé l’univers de conte développé par Nagabe, atemporel mais qu’on peut situer dans une Europe du Nord, avec ses forêts de sapins et ses maisons en pierre. Je crois que ce genre de cadre est assez atypique dans le manga en général donc ça fait plaisir à voir. Le découpage est chouette et certaines cases bénéficient d’angles de vue percutants. J’aime aussi beaucoup le contraste du noir et du blanc, qui n’est pas sans rappeler la dualité des deux personnages principaux ainsi que celle du monde dans lequel ils évoluent. Quant à l’histoire, pour l’instant je la trouve intéressante mais peut-être pas très bien ficelée. Comme écrit dans mon fil sur Twitter, je n’ai pas été très convaincue par la fin du tome qui est censée être percutante, mais qui m’a laissé indifférente puisque des indices désamorçant les enjeux de la scène finale sont glissés tout le long du tome. Je reste cependant très curieuse de connaître la suite et d’en apprendre plus sur cet univers.
On passe enfin à un manga de ma pile à lire qui m’attendait depuis décembre dernier. Il s’agit de Futagashira de Natsume Ono. Titre inédit en France, il est sorti chez nos amis transalpins aux éditions Bao Publishing. Le manga est disponible au prix de 7,90€.
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Résumé de l'éditeur, traduit par mes soins:
Quelque chose est en train de changer dans la bande dont font partie Benzo et Soji. Quand le vieux chef vient à passer l’arme à gauche, ils sont écartés des postes du haut de la hiérarchie. Ainsi, ils décident de quitter le groupe pour tenter leur chance de leurs côtés, sentant que le destin les appelle à accomplir quelque chose de grand, bien qu’ils ne sachent pas encore quoi précisément. Une histoire d’amitié entre deux hommes aux antipodes l’un de l’autre, de subtiles duperies et d’arnaques rocambolesques, dans un Japon de l’ère Edo. Raconté par Natsume Ono, une des mangaka les plus importante de sa génération, avec un trait sublime et une légère, mais non moins acerbe ironie.
Ici encore, j’en avais déjà parlé sur Twitter. C’est un manga que je ne comptais pas acheter mais face à lui en librairie, j’ai craqué pour la couverture. Il s’agit du préquel de Goyô, de la même autrice, paru en France chez Kana. C’est un manga qui repose beaucoup sur le duo que forment Soji et Benzo que tout oppose mais qui se complètent et se retrouvent sur les valeurs et ambitions qu’ils partagent. J’ai adoré ces deux personnages intègres, autant Soji d’un naturel calme que Benzo au sang chaud. Les péripéties sont aussi un point fort du manga. À travers le pays, ils se retrouvent pris dans des histoires rocambolesques où on sait jamais qui aura la peau de qui. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire toutes ces péripéties et autre retournement de situation. L’ultime point fort de Futagashira, c’est le dessin de Natsume Ono. C’est mon premier manga de l’autrice et donc, c’est assez surprenant graphiquement. Elle a un style très particulier et immédiatement identifiable, avec un trait très libre et souple. Il me tarde de lire la suite des aventures de Benzo et Soji !
Ensuite on passe un tout nouvel arrivé dans ma pile à lire: Mobuko no Koi de Akane Tamura, paru aux éditions Noeve Grafx pour un prix de 7,95€.
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Résumé de l'éditeur:
Même dans l’ombre, l’amour peut fleurir…
La timide Nobuko Tanaka déteste se retrouver au centre de l’attention. Réservée, toujours en retrait, elle a l’impression d’être le second rôle de sa propre vie.
Mais lorsque les sentiments d’un premier amour germent en elle, elle se découvre le courage de sortir de l’ombre pour avancer, pas à pas, vers l’élu de son cœur.
Premier ou second rôle… quelle importance lorsque les sentiments sont là ?
Je l’ai déjà dit un milliard de fois, notamment ici, ça fait un bon moment que je connais ce titre et que je vis une petite histoire d’amour avec. Je ne croyais pas trop à une sortie française mais Noeve Grafx l’a fait. Pour honorer ce titre, je lui ai déjà consacré un article (à retrouver ici). Pour la faire courte, j’ai adoré dans ce tome 1 le personnage de Mobuko auquel un grand nombre d’entre nous peut s’identifier ainsi que la palette de personnages gravitant autour de Mobuko, qui s’annonce comme être une bande de copains et copines qu’il sera excitant de retrouver à chaque tome.
On passe à un titre que me faisait plutôt envie depuis sa sortie japonaise. Il s’agit de Spy x Family de Tatsuya Endo. J’ai profité de la super offre sur l’application Manga Plus de la Shueisha qui propose de découvrir plusieurs titres gratuitement jusqu’en janvier 2023. Le manga est publié en France par les éditions Kurokawa pour un prix de 6,90€
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Résumé de l'éditeur:
Twilight, le plus grand espion du monde, doit pour sa nouvelle mission créer une famille de toutes pièces afin de pouvoir s’introduire dans la plus prestigieuse école de l’aristocratie. Totalement dépourvu d’expérience familiale, il va adopter une petite fille en ignorant qu’elle est télépathe, et s’associer à une jeune femme timide, sans se douter qu’elle est une redoutable tueuse à gages. Ce trio atypique va devoir composer pour passer inaperçu, tout en découvrant les vraies valeurs d’une famille unie et aimante.
Comme je l’ai souvent dit, il ne me faut pas grand-chose pour m’intéressée à un titre. Par exemple, un beau-gosse en costume trois pièces avec un flingue et assis sur un fauteuil LC2 signé Le Corbusier suffit à attirer mon attention. Dans ce premier tome, j’ai tout de suite accroché aux dessins. Ils sont simples et efficaces pour le côté un peu tranche de vie du manga mais l’auteur sait jouer de son crayon lors de scènes d’action, rendant un dessin très dynamique propre aux mangas d’action. J’ai aussi été épatée par quelques cases avec des perspective très plongeantes. Ça m’a rappelé mon amour pour les débuts de Naruto de Masashi Kishimoto qui a des illustrations avec des vues en perspective à couper le souffle. Côté scénario, je ne m’attendais pas à ça, je pensais qu’il y avait un peu plus d’action. Cependant, ça ne me dérange pas et je me suis laissée surprendre par l’humour omniprésent et la dynamique qui règne au sein de cette famille si particulière. Je regrette tout de même le manque d’une mise en contexte plus poussée de la mission pour mieux en comprendre les tenants et aboutissants. Même si je comprends que ce n’est qu’un prétexte pour la construction de la famille et la suite de ses aventures. Enthousiaste, je continuerai le manga avec plaisir.
On termine par un manga issu de ma pile à lire qui me faisait envie depuis un moment et que j’ai enfin pu me procurer: Le Rakugo à la vie, à la mort de Haruko Kumota. Le manga est publié au Lézard Noir pour un prix de 18€.
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Résumé de l'éditeur:
Dans le Japon des années 1960, Kyoji est libéré de prison pour bonne conduite. Sans famille ni attache, il est déterminé à devenir le disciple de Yakumo, un grand maître du rakugo, depuis qu’il a assisté à son impressionnante prestation au centre pénitentiaire. Étrangement, le maître choisit de prendre le jeune homme sous son aile, alors qu’il n’avait jusque-là accepté aucun apprenti, et lui donne même un nom de scène: « Yotaro ». Une nouvelle vie s’ouvre dès lors à Yotaro, qui tentera de faire perdurer cet art l’ayant tant aidé durant ses heures plus sombres. Il pourra compter sur le soutien du domestique Matsuda et de la jeune Konatsu, fille d’un célèbre rakugo-ka décédé de façon tragique, qui fut autrefois l’ami et le rival de Yakumo…
Alors, Le Rakugo à la vie, à la mort, c’est totalement un manga sponsorisé Twitter. Je connaissais le titre de loin mais vu les réactions à la suite de l’annonce de ce titre, je me suis dit que si je passais à côté, j’allais louper quelque chose. Je pensais que j’allais aimé mais j’ai carrément adoré ce premier tome en fait ! C’était très plaisant à lire, j’ai tout de suite accroché à l’histoire et aux personnages tous aussi uniques les uns que les autres. C’est surtout une porte ouverte sur le monde du rakugo, discipline qui m’était totalement inconnue jusqu’alors. Rien que dans ce premier tome, on ressent tout l’amour que l’autrice peut porter pour la pratique. On a beaucoup de vocabulaire spécifique, on est introduit à plusieurs histoires, et on comprend que comme n’importe quelle autre discipline artistique, le tout c’est que de faire du rakugo son propre rakugo, de le façonner à sa propre personnalité. Ça m’a donné très envie d’en apprendre plus sur le rakugo ! Durant ma lecture des premiers chapitres, j’ai aussi beaucoup pensé à la série américaine Mrs Maisel. Certes, les deux protagonistes sont très différents l’un de l’autre, mais chacun, ils vont se démener d’une manière ou d’une autre pour exister dans un monde auquel ils n’appartiennent pas. De plus il est aussi question de l’art de savoir conter les choses et de, souvent, faire rire le public. Dans les deux cas, ce sont deux œuvres avec des contextes différents sur des disciplines que je trouve peu exploitées et pour ma curiosité sans fin, c’est un vrai plaisir. Côté dessin, j’ai trouvé ça très chouette, c’est frais et léger. Les expressions du visage sont très bien rendues et sont souvent rigolotes. Je trouve qu’il y a quelque chose de Natsume Ono, particulièrement dans les visages et encore plus précisément au niveau du bas du visage, les bouches sont très basses chez les deux. Les personnages de Haruko Kumota sont aussi tous beaux. Yakumo en particulier dégage une aura fascinante rien qu’avec son design fin et sec. Le travail de Cyril Coppini, le traducteur, est aussi un vrai plus à cette édition. Le livre est truffé de notes pour nous accompagner dans le monde du rakugo avec toutes ses spécificités. Les bonus de fin (postface, histoires du rakugo et lexique) sont aussi une jolie intention pour le lecteur. Pour ceux qui sont intéressés et qui sont disponibles sur Paris, Cyril Coppini donne une conférence sur le rakugo à la Maison de la Culture du Japon à Paris le 5 mars. Je suis un peu deg de ne pas pouvoir y aller… À défaut, je lirai la suite du Rakugo à la vie, à la mort avec engouement !
Voilà, l’article touche à sa fin ! J’ai commencé beaucoup de nouveaux mangas ce mois-ci et j’en fais un bilan très positif ! Je suis particulièrement contente d’avoir commencé Spy x Family, étant donné que je sors de ma zone de confort de lecture habituelle. J’ai l’impression de me renouveler haha ! Je continuerai à commenter ces mangas probablement sur Twitter où vous pouvez me suivre (@_chiarara) et n’hésitez pas à me dire si vous avez lu certains de ces titres et ce que vous en avez pensé !
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osakina-blog1 · 6 years
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Sélection Shojo Manga :
- Cheeky Love, Éditions Delcourt, 5 tomes
- L.DK, Éditions Pika, 18 tomes
- Paradise Kiss, Éditions Kana, 5 tomes
- Perfect World, Édition Akata, 6 tomes
- Game (entre nos corps), Éditions Akata, 2 tomes
- Takane et Hana, Éditions Kazé, 9 tomes
- Le fil Rouge, Éditions PaniniManga, 9 tomes
- Coffee & Vanilla, Éditions Soleil, 3 tomes
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Perfect world T11 de Rie Aruga
La fin approche et la douceur est toujours présente. L'espoir aussi !
Extrait en image : Mon avis : Ce shojo réserve bien des surprises. Je suis bien contente de continuer à suivre la vie d’Ayukawa et Kawana. Leur évolution est charmante. Le couple en a vu des vertes et des pas mûres. Leur relation est en soi une belle réussite. Ils se sont battus pour eux et contre eux-mêmes. Ils ont lutté pour être ensemble. Leur entourage ne les a pas toujours aidés. J’ai été…
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