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#Akata manga
minokoto · 2 years
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【𝐑𝐄𝐕𝐈𝐄𝐖 𝐃𝐀𝐘】 — 𝐋𝐨𝐯𝐞 𝐌𝐢𝐱-𝐮𝐩 𝐓.𝟏
Bien avant son annonce, j’ai comme été attiré par la douceur de cette couverture. C’est lors de son annonce par l’éditeur que je me suis juré de me procurer ce titre par tous les moyens. Chose faite, je l’ai dévoré, je voulais comprendre à la fois pourquoi ce manga m’attirait autant dans ce titre et pourquoi il y avait autant d’engouement dessus.
𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑖𝑟𝑒 𝑚𝑎 𝑟𝑒𝑣𝑖𝑒𝑤 :
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maddiesbookshelves · 3 months
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Akata appreciation post and manga haul 📚
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I didn't buy all of them at once but I did buy them pretty recently
Love Mix-Up is almost over in France, only 2 volumes left! And I started buying Boys Run the Riot because I realised I could spend my money now, especially on stuff I really loved reading digitally
Once again, Akata is THE manga publisher to me, they're always coming out with amazing titles, a lot of them with queer themes and storylines. They're even going to publish She Loves to Cook, She Loves to Eat (my review here) in France, which is amazing. Even when their titles aren't queer, they're amazing: Night view on the Factory was just zjfjzuej (look up the TW though). They're a small but passionate team and it really shows that they love what they're doing
Anyways, if you're curious what these are about:
My post about Boys Run the Riot
My post about Love Mix-Up
Entre Nos Mains
English title: Run Away With Me, Girl
Original title: Kakeochi Girl / かけおちガール
Genres: Drama, Romance, Slice of Life
Themes: Adultery, Homosexuality
Japanese volumes: 16 (Finished)
Maki’s first love was her high school classmate, a girl named Midori. But Midori broke up with Maki at graduation, saying they were now “too old to be fooling around dating girls.” Ten years later, Maki still can’t get Midori off her mind, and when the two women reconnect after a chance encounter, Maki realizes that, while her feelings haven’t changed, Midori has long moved on—in fact, she’s engaged. Yet the more Maki hears Midori talk about her soon-to-be-husband, the more red flags she notices...
Absolutely fell in love with the art and then the story punched me in the guts in the best way. The characters are complex and while they may not be entirely lovable, they are wholly human. And I really loved that
Some trigger warnings apply though, so I'll list the ones that come to mind*: cheating, domestic violence, gaslighting, misogyny, internalised homophobia
*Note that those are the ones I remember from what little I've read of this story and other TW may apply. Please try to look up a more complete list if you have any doubts. Take care of yourself ✨
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evergardenwall · 1 year
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just finished reading kakeochi girl and i am emotional 😭 this manga was so beautifully drawn and the story was so. intense. et bravo les lesbiennes...
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jay-stoner-baner · 2 years
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LA SORCIÈRE DU CHÂTEAU AUX CHARDONS, John Tarachine, chez @akatamanga #lecturedujour #unjourunmanga #leslecturesdubarbu #manga #jaiapprecié #akata #johntarachine #surlabd #serieencours #oneshot #fantasy #josei #sorcellerie #romance #drame (à Japan) https://www.instagram.com/p/CldSz3nsH0r/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Je suis contente pour toi :3
J'espère que ça vas mieux depuis qu'on c'est parler. Tu as finis aromantic love story finalement ?
Il y a des yuri ou elles sont ace comme dans la belle et la racaille et l'amour au menu qui sortent chez Akata
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Heyyy ! Ça va un peu mieux déjà oui, merci TwT J'espère que tu vas bien aussi !
Je n'ai pas encore fini Aromantic Love Story (je suis méga-lente) mais j'ai la pile de mangas à côté de moi sur mon lit, c'est mon objectif de lecture du mois èwé (...Sérieusement je suis beaucoup trop lente)
Merci aussi pour les autres recos, je suis très difficile sur mes lectures donc pour le coup je ne suis pas sûre d'y jeter un œil super-vite pour être très honnête TwT Mais c'est toujours bon à savoir !
Et oui, je vais à la Japan Expo cette année, on sera au stand S662 avec Better Together comme d'habitude^^
Pour la pride... Peut-être ! Y en a qu'une seule jusqu'à présent dans laquelle je me sens à l'aise, la Pride des banlieues de Saint-Denis, c'est typiquement le genre de pride qui coche mes cases de "less like a party, more like a protest" et où les gens que j'y voient risquent moins d'intimider et plus de résonner avec la sex-repulsed que je suis... Bon après je ne suis pas allée à énormément de prides, ça me rassure jamais non plus (again, le côté sex-repulsed qui ne facilite pas les choses parfois), mais celle-là me parle énormément.
Après... Ouaip, c'est très personnel dans l'ensemble. Donc c'est juste mon expérience!
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anm-blog · 2 months
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worldoflinesandcurves · 9 months
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Takako Shimura
Japanese mangaka
A la fois mangaka et character désigner, elle a commencé sa carrière en 1997 avec la publication de son manga « Boku wa, Onnanoko ». Elle est l'autrice des séries "Fleurs bleues", "Comme un adieu" et de "Si nous étions adultes" (6 volumes parus à ce jour), entre Josei et Yuri, chez Akata. Son trait est simple, ce qui nous permet de nous identifier plus facilement aux personnages, et la perspective de ses décors urbains, rigoureuse.
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antonknightsblog · 1 year
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Nouveau roman signé Tetsuya Sano pour Akata
Nouveau roman signé Tetsuya Sano pour Akata
Après Rendez-vous au Crépuscule et son spin-off, ainsi que, Nos mondes i-maginés, Akata publiera un troisième roman signé Tetsuya Sano: Ao Haru Point (titre provisoire).
L'auteur poursuit son exploration du malêtre adolescent dans un nouveau récit ou le fantastique tient toujours une place importante dans l'histoire.
Sortie prévue au mois de mai.
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Synopsis
Aoki est un lycéen peu sociable. Il souffre d'une mauvaise image au sein de sa classe et est très isolé. Mais il cache un secret : il est capable de voir des "points" au-dessus de la tête des gens ! Ces chiffres indiquent des scores reflétant ce que vaut chaque personne aux yeux de la société. Mais son plus gros secret encore, c’est qu’il aime Naruse, une camarade qu’il a rencontrée grâce à son intérêt pour les shôjo mangas. Mais cette dernière est bien mieux noté que lui… Dans l’espoir d’augmenter son classement (et d’être au niveau de la fille qu’il aime), il décide de venir en aide à Kasuka, une camarade de sa classe encore moins bien notée que lui. Mais peut-on vraiment aider quelqu’un sincèrement quand on a des objectifs cachés ?
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lesparaversdemillina · 5 months
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Mon mari dort dans le congélateur T1 de Yazuki Misaki et Hyaku Takara
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maddiesbookshelves · 1 year
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Honnêtement, si vous lisez en français et cherchez des manga queer, faites comme moi et épluchez le catalogue des éditions Akata. Ils ont édité certains de mes titres préférés en France (Éclat(s) d'Âme, Boys Run the Riot, Je crois que mon fils est gay) et s'appliquent vraiment à proposer des titres diversifiés qui traitent de sujets très variés (pas que des manga queer donc). Achetez chez eux si vous en avez les moyens parce qu'il faut soutenir ce genre de maison d'édition !
Leurs collections Large, Medium et Small correspondent à des tranches d'âge et à la complexité des thèmes abordés dans les manga
Après, vous trouverez des pépites un peu partout (Blue Flag est édité chez Kurokawa par exemple) mais Akata c'est vraiment l'éditeur manga de mon cœur
Little summary in English: If you want to read queer manga, try to look through Akata's titles. They're a French publishing house so navigating their website and reading the summaries might be harder if you don't speak French but it's really worth it. They're the ones who published some of my favorite titles in France
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lamangasserie · 1 year
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Rouge Éclipse (Shiki Kawabata): du manga au drama
Ayumi Kohinata est une lycéenne dans la norme: elle a de bons résultats, elle est jolie, elle est bien intégrée au sein de sa classe et vient d’une famille unie et heureuse. Alors qu’elle se rend à un rendez-vous pour rejoindre son petit ami, Koshirô Mizumoto, elle reçoit un appel d’une camarade de classe. Au bout du fil, Zenko Uminé: elle va se suicider et Ayumi ferait mieux de ne pas la quitter des yeux. Paniquée, Ayumi n’a pas le temps d’intervenir avant que Zenko ne commette l’irréparable. Sous une mystérieuse lune écarlate, Ayumi se réveille dans la peau de Zenko Uminé. Ayumi est désormais moche, la risée de sa classe et se voit contrainte d’habiter un foyer chaotique. Malgré tout, Ayumi trouvera un allié dans son ami d’enfance, Shunpei Kaga, qui s’aperçoit rapidement de l’échange de corps entre les deux jeunes filles.
Rouge Éclipse est un manga de Shiki Kawabata, pré-publié dans le magazine Margaret (Shûeisha)  en 2014 et compilé en 3 tomes. Chez nous, le manga est publié par Akata, pour un prix de 6,99€ par tome. En 2018, Rouge Éclipse est adapté sur le petit écran par Netflix. Avec Hiroaki Matsuyama à la réalisation et Michinao Okada au scénario, Kaya Kiyohara campe le personnage de Ayumi Kohinata, Miu Tomita celui de Zenko Uminé, suivi par deux membres du groupe d’idols Johnny’s WEST, Tomohiro Kamiyama et Daiki Shigeoka campant respectivement les personnages de Koshirô Mizumoto et Shunpei Kaga.
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L’œuvre de Shiki Kawabata s’articule autour de la thématique de l’envie. Dès le premier chapitre, on apprend que cet échange des corps n’est pas un accident, que c’est le fait d’Uminé. Envieuse de la condition de Ayumi, de sa beauté, de sa popularité ainsi que de son petit ami qu’elle aime secrètement, Uminé est décidé à laisser tomber sa vie pour vivre celle de Ayumi. Ayumi, elle se retrouve prise au piège dans un corps et une vie qui n’est pas la sienne. Cependant, cet échange des corps la met face au calvaire que pouvait subir Uminé au quotidien: regards malveillants et remarques blessantes concernant son apparence, venant aussi bien de ses camarades de classe que de sa propre mère. Mise plus bas que terre par ces attaques, Uminé s’était muté, à l’image d’un chat haret, en un être fragile, craintif dont le mécanisme d’auto-défense n’était qu’agressivité. Au fil des chapitres, Ayumi (dans le corps de Uminé) gagne en popularité. Tout d’abord auprès de Kaga, secrètement amoureux de Ayumi depuis toujours, puis auprès de sa classe. Révélée par Kaga, la nouvelle Uminé est soudainement plus accessible, et même mignonne, dans les yeux de ses camarades. Uminé se rend compte que malgré l’échange des corps, Ayumi reste populaire. C’est la beauté intérieure de Ayumi qui la faisait et la fait encore rayonner dans son entourage. Malgré son nouveau corps, malgré sa nouvelle vie, Uminé reste rongée par ses vieux démons. Hargneuse et ne supportant plus de voir le bonheur de Ayumi dans le corps qu’elle a rejeté, elle s’enfuit. Le manga atteint son apogée quand elle se rend à l’évidence: c’est la beauté intérieur qui compte. Plus que de l’avoir protégé, la hargne de Uminé, bien que légitime, n’a fait que l’isoler davantage des autres. 
Avec Rouge Éclipse, Shiki Kawabata nous livre un message plutôt ambigu: certes c’est la beauté intérieure qui compte, mais ce serait donc de la faute de Uminé si elle se faisait harcelée ? Son mauvais caractère n’est que le résultat des brimades infligé par ses camarades. Peut-on reprocher à quelqu’un ayant subi autant de dégâts de ne pas s’ouvrir aux autres ? Contrairement à l’héroïne de Life (Keiko Suenobu), Uminé n’est pas une battante. Finalement, si Uminé n’a pas réussi à voler la vie de rêve de Ayumi, c’est grâce au temps que cette dernière a passé dans son corps qu’elle peut désormais s’intégrer dans sa classe. Grâce à la gentillesse de Ayumi, Uminé peut désormais laisser s’exprimer sa véritable personnalité, la hargne en moins. Bien que la mangaka utilise le harcèlement scolaire pour construire le personnage de Uminé, on peut regretter que la thématique ne soit pas plus exploré et que, par conséquent, le propos soit quelque peu expédié et bancal.
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Quid du drama ? C’est une bonne adaptation, le duo formé par Hiroaki Matsuyama (réalisation) et Michinao Okada (scénario) a bien compris ce qu’était le manga. L’histoire, les personnages, les évènements ainsi que l’ambiance, tout est fidèle au manga. Plus qu’être fidèles au manga, ils en repoussent les limites jusqu’à s’en émanciper. Quelques évènements sont remaniés pour que l’histoire soit plus cohérente et des scènes sont même ajoutées pour rendre le propos plus profond et plus saisissant. Par exemple, la mère de Uminé a bien plus de lignes dans le drama que dans le manga. Elle est plus négligente et bien plus acerbe envers sa fille que dans le manga. En résulte une scène de rédemption en fin de récit bien plus convaincante que celle dépeinte par Shiki Kawabata. Le montage vidéo se montre aussi plus efficace que le découpage des cases de l’autrice. Le montage très saccadé ainsi que les différentes prises de vue permettent de faire ressortir la hargne, la colère et les angoisses de Uminé de manière bien plus vivante. De plus, Kaya Kiyohara (Uminé dans le corps de Ayumi) pousse son personnage à son paroxysme en y ajoutant un TOC et une démarche de brute enragé, qui paraîtra peut-être un peu too much pour certains. Toujours sur l’aspect technique, le drama sublime le manga grâce à une colorimétrie maîtrisée, notamment avec des couchers de soleil chaleureux lors des quelques moments de grâce entre Ayumi et Kaga. Côté acteur, Daiki Shigeoka est une vraie bouffée d’air frais dans ce drama. Non seulement, il campe merveilleusement bien Kaga, mais il l’emmène au sommet. Il retranscrit avec brio le caractère enjoué, franc et impulsif de son personnage, et insuffle une énergie débordante de vie à ce drama grâce à son large sourire et son accent du Kansai. 
Cependant, le drama choisit de s’éloigner de deux éléments secondaires, mais non moins intéressants, du récit. Tout d’abord, pour interpréter le rôle de Ayumi, Kaya Kiyohara n’a pas eu à changer de coiffure. Alors que dans le manga, l’héroïne est blonde aux cheveux courts, Kaya Kiyohara est restée avec ses cheveux naturels: longs et noirs. Dans un soucis d’être davantage proche de la réalité, ce choix n’est pas surprenant. C’est même un choix assez courant que l’on retrouve dans de nombreuses adaptations de shôjo. Puis, un autre choix de la production, un peu plus curieux: le personnage de Mao Ukon. Outre son changement de style vestimentaire d’un médium à l’autre ; dans le manga, avant d’échanger de corps, elle était un homme, tandis que dans le drama, elle était une jeune fille pauvre enviant une camarade de classe riche. On peut s’interroger sur ce changement minime mais néanmoins significatif. Était-ce dans le but de s’identifier plus facilement à ce personnage secondaire ? Ou bien était-ce dans le but de ne pas retranscrire une histoire de changement de sexe ? On peut d’autant plus se poser la question que le personnage de Mao Ukon est plus présent dans le drama que dans le manga. La question demeure.
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En définitive, Rouge Éclipse n’est pas un indispensable. Le point de départ n’est pas très original et le manga manque de quelques chapitres pour étoffer son propos. Cependant, il reste agréable à lire avec ses quelques moments de fulgurances. Le véritable point fort reste les personnages, et particulièrement celui de Zenko Uminé, emprunt d’un certain réalisme dans sa défense agressive qu’elle n’abaisse que très tard dans le récit. Pour un Rouge Éclipse plus fort et plus en profondeur, il est peut-être plus judicieux de se pencher sur son adaptation disponible sur Netflix.
Mot de la fin
Et voilà, c’était le premier article de 2023 ! Merci de m’avoir lu jusque-là. Je crois que je suis un peu dure avec Rouge Éclipse mais j’espère que ça ne vous empêchera pas de lire le manga ou de voir le drama. De plus, il y a tout un pan du manga que je n’ai pas abordé ! Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager autour de vous ! En attendant, on se retrouve sur Twitter. Portez-vous bien.
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afkmanga · 3 years
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『 Nouveautés Manga 』 ๑ BL Métamorphose T.05 ๑ ReLife T.15 ๑ The Killer Inside T.05 ๑ My Fair Honey Boy T.08 ๑ Les Chroniques D'Azfaréo T.05 Disponible dans votre Librairie ⛩ @afkmanga ⛩ @ki_oon_editions @akatamanga #afkmanga #manga #anime #librairie #librairiemanga #mangastagram #mangaaddict #mangabook #mangalover #instamanga #instalibrary #japan #shonen #shojo #seinen #josei #WeLoveManga #kioon #akata #blmetamorphose #relife #thekillerinside #myfairhoneyboy #leschroniquesdazfareo (à AFK Manga) https://www.instagram.com/p/CNr2tCorOnM/?igshid=1pvcf84j09u3d
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rainbowtheque · 4 years
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Aromantic (love) Story
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Titre : Aromantic (love) Story
Autrice : Haruka Ono
Mangas en 5 tomes
Maison d’édition : Akata
Disponible en version numérique et papier
Âge conseillé : d’ado à adulte
Résumé :
Fataba, 32 ans, est autrice de manga. Comme le genre qu’elle aime ne se vend plus du tout, son éditeur lui propose (impose ?) de se lancer dans un autre genre de shônen : le harem manga ! Gros hic : elle n'y comprend rien, elle n'aime pas ça et surtout… elle ne s'intéresse pas du tout à l'amour !! Bien malgré elle, elle commence malgré tout à dessiner un shônen romantique pas très intéressant… dont le succès est FULGURANT ! Son titre devient un poids lourd du magazine de prépublication, et est même adapté en anime ! La voilà forcée (et condamnée) à continuer de dessiner un shônen romantique… alors qu'elle ne comprend rien à l'amour ! Elle ne voit même pas, autour d'elle, son jeune assistant ou le producteur qui s'intéressent à elle…
Identités représentées :
Héroïne aromantique et asexuelle, personnage secondaire bi
Thématiques présentes :
Aromantisme, création, Japon, relations amoureuses, amitié, féminisme
TW : transphobie (tome 1, au début), baiser non consenti (discuté dans le manga)
Avis d’Elaine :
J’ai eu du mal à accrocher au tome 1, qui est resté pour moi à l’état de concept « une femme, deux hommes, zéro possibilités » : Futaba, aromantique, se retrouve dans un triangle amoureux et s’interroge.
En revanche, j’ai adoré les tomes suivants (il y en a 5 en tout), car le personnage est bien développé et je me suis beaucoup identifiée à elle. Les discussion sur la difficulté de créer quand on n’est pas dans la norme étaient passionnantes !
Avis de L'éléphant rouge :
Une série en 5 tomes. J'ai adoré cette série. Les personnages sont très attachants. C'est un manga avec pleins d’humour décalé. Le personnage principale est une mangaka qui doit parler d'amour dans son manga et elle est larguée, elle est perdue, elle se demande ce qu'est l'amour. Et pour ça, elle va devoir faie des expériences. Il y a de grands climax géniaux à la fin des tomes.
Avis de Marion :
Une découverte fantastique avec un sujet si peu représenté !
Avis de Yue :
« Pour moi c'est un must absolu, enfin un shôjo où l'héroïne finit seule parce que c'est ce qu'elle veut et qu'elle l'assume jusqu'au bout, enfin un manga qui nous dit qu'on n'a pas besoin d'être en couple pour se réaliser en tant qu'adulte et en tant que femme, enfin un manga qui tacle les pseudo-ressorts romantiques malsains comme le fait de se faire plaquer contre un mur, etc. C'est militant, mais de façon intelligente, drôle et rafraîchissante. Un vrai coup de cœur avec un propos qui progresse de façon logique et assumée tout au long de la série jusqu'à un final complètement cohérent, sans solution de facilité. »
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wendytheowl · 6 years
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🎒📖 Avec ma sestra @kingdom_roxyas on lit ce manga, pour notre club de lecture ! ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ With my sestra @kingdom_roxyas we read this manga, for our book club ! 📖🎒 #nofilter #belgique #belgium #reading #reader #bookstagram #books #livre #mangas #mangalover #bookaddiction #booknerd #lecturedumoment #instamanga #syoichitanazono #japan #japon #akata #belgianblogger #bloggerbelge #blog #bookclub #potpourridunechouette #yomiandhedwige https://www.instagram.com/p/BoGo7slnT8B/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=15rcyoj5pzb1z
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navisseli · 6 years
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Aromantic (love) story
Tome 2
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Auteurice : Haruka Ono
Maison d’édition : Akata
Date de publication : 2018
Nombre de pages : 199
Genre : Manga - Seinen
Ce qu’en pense Seli : 
En général, les limites de caractères de Livraddict me suffisent quand j’ai quelque chose à dire sur un manga. En ce qui concerne ce manga là, ce n’est pas le cas. Je pensais avoir enfin trouvé une œuvre fraîche et amusante traitant d’aromantisme correctement, mais j’ai vraiment peur que le tome suivant fasse de cette saga une de mes plus grandes déceptions.
En résumé, nous suivons Kiryu, une mangaka spécialiste de harem manga (bien que ce ne soit pas du tout le genre qu’elle souhaite créer), âgée d’une trentaine d’années, qui se définit elle-même comme aromantique : elle n’éprouve pas de sentiments amoureux pour qui que ce soit et cela lui convient très bien. Seulement, deux hommes commencent peu à peu à lui tourner autour : un de ses jeunes assistants et le scénariste de l’anime adaptant son manga.
Le pitch m’a vraiment emballée : un triangle amoureux voué à l’échec, car la jeune femme n’éprouve pas d’amour. Le tome 1, à cet égard, est une réussite. Il assoit très clairement les positions de Futaba et ce qu’elle ressent : elle EST aromantique, c’est une certitude. Il est clairement évoqué que l’injonction à se marier est une pression sociale qui contraint majoritairement les femmes (surtout au Japon !) et que Futaba a une vie pleine et épanouie et qu’elle n’a pas besoin d’une caution phallique pour pallier un quelconque vide. De ce fait l’apparition des deux prétendants, dont l’un extrêmement sûr de lui et de son charme, me faisait doucement rire. Quelle ne serait-pas leur déception de voir que la femme qu’ils désiraient n’en choisirait jamais aucun !
De même, Kiryu étant autrice de harem manga sans rien connaître aux sentiments amoureux, elle fait montre d’une naïveté qu’on lui pardonne, mais permet aussi de déconstruire les topos de la romance en les analysant. En général, ces petits événements émaillent les récits de romance (l’homme sauve la femme d’un véhicule/vélo dans la rue, ou bien tombe malade et se fait chouchouter par sa belle, etc...), et servent de prétexte à Monsieur pour se confier ou démontrer son attachement, ce qui développe la relation amoureuse. Dans le premier tome, les résultats sont très mitigés puisque Kiryu réalise, même a posteriori, ce qui se passe. Et le tout avec beaucoup d’humour.
Jusque là, tout va bien. Puis je me suis lancée dans la lecture du tome 2. ATTENTION, ZONE SPOILERS.
Tout part plutôt bien, même si quelques signes avant-coureurs apparaissent. Le séducteur que Kiryu surnomme “stratège” parvient à la piéger et arrive avec son ton d’homme viril et moralisateur pour expliquer à la jeune femme que ben oui, elle a jamais été amoureuse, du coup elle sait pas ce que c’est, donc si ça se trouve elle a pas encore trouvé le bon. Ce discours est assez récurrent quand des gens nient l’existence de l’aromantisme, donc déjà ça m’a fait grincer des dents. Mais c’est dans la logique du personnage, un séducteur tel que lui niera forcément que des femmes puissent ne pas finir par lui tomber dans les bras. Donc j’ai continué.
Du coup Kiryu propose au stratège une relation amicale, ce qu’il accepte, même si j’avais déjà clairement de gros doutes qu’il en reste là. Dans le même temps, elle tente de bâtir une relation avec son assistant pour le détourner de ses sentiments amoureux envers elle et lui faire comprendre en douceur que ce n’est pas envisageable. Puis elle se mets à douter en repensant aux paroles du stratège... Moui... Cependant, je n’ai pas tant tiqué. Par expérience, je peux dire que même une fois son opinion faite et qu’on pense être sûr de soi, les doutes reviennent de temps en temps. En même temps, vivre dans une société qui mitraille aux femmes qu’elles ont besoin d’un pénis pour se sentir épanouies et où on essaie de caser les célibataires avec tous les mecs qu’elles croisent car une “vieille fille” devient acariâtre et aigrie (et adopte une ribambelle de chats pour tenter de combler le manque de pénis), ce n’est pas évident. Je dirai même que parfois, c’est si fatiguant que rentrer dans le moule peut devenir une vraie tentation. Donc Kiryu doute, pourquoi pas ? Ce n’est que passager après tout. 
Il y a même un passage intéressant parlant d’agressions sexuelles et de leurs définitions. Lors d’une soirée professionnelle, Kiryu prend impulsivement la liberté de resserrer la cravate défaite de son assistant... puis se rend compte qu’un geste d’une telle familiarité entre supérieur et employé, surtout si ledit employé est réservé et timide, est un comportement abusif qui a envahit l’espace vital du jeune homme. Elle n’a alors de cesse de s’excuser. C’est un message positif, car Kiryu se rend compte que si personne ne s’est formalisé de son geste, si les genres avaient été inversés, elle aurait elle-même pris cela comme une agression.
Le début de la parade masculine face à un rival m’a fait rire. C’est si excessif et caricatural que ça en devient presque hilarant ! On nous montre bien que l’héroïne est complètement dépassée et ne sait pas comment gérer deux prétendants qui se pavanent pour lui plaire. Elle ne sait pas quoi faire et en même temps voir deux mecs rivaliser pour ...  rien, c’est assez ironique et dans la lignée du premier tome. 
Là ça va, il n’y a encore rien de bien grave, c’est même plutôt positif. Puis arrive la révélation. 
Un peu avant la fin, Kiryu accompagne le stratège voir sa famille en se faisant passer pour sa petite amie. Ce dernier insiste, lui disant que ça serait intéressant pour expérimenter le statut de petite amie. Moui. Arrivés à l’hôpital, ils découvrent le papa du stratège mourant, et Kiryu découvre alors toute la souffrance d’un fils que son père trop exigeant et élitiste a rejeté, ce qui l’a rendu si solitaire, manipulateur et versatile. La jeune femme se demande alors ce qu’elle pourrait faire pour calmer sa peine et l’aider à aller mieux.
Non ! Non ! Et non !
Ce topos est nommé syndrome de l’infirmière. Oui, il a même un nom à lui, vous avez vu ? Ce syndrome consiste en une femme qui s’attache à un homme (et jamais l’inverse) qui a des problèmes (santé, psychologiques ou autres) et s’occupe de lui car elle se persuade qu’elle peut le faire aller mieux. Et dans la fiction, ça marche, parce que ce syndrome est aussi une réalité pour de nombreux couples qui ne s’en sortent pas si bien. Ce cliché de romance pourrie puise dans la fosse septique du sexisme avec l’idée que la femme a un rôle apaisant, qu’elle prend par nature soin des autres. Et ce cliché, on le retrouve par cohortes de mille dans les romances jeunes adultes ou jeunesse : 50 shades, After, etc... même Fruits Basket ! Madame en prend plein la poire mais pardonne parce qu’après tout, son promis a des problèmes, le pauvre, c’est pas vraiment sa faute. Lle temps de remplir plusieurs tomes avant le happy end : ça y est ça va mieux, je peux vivre une histoire saine maintenant... Voir Kiryu tomber là-dedans me fait extrêmement peur pour la suite.
Je me suis alors rendue compte qu’en tentant de déconstruire un autre topos, celui de soigner son prétendant malade, Kiryu sautait également à pieds joints dans le syndrome de l’infirmière, sauf que là c’est peut-être pire. Je me suis rendue compte que tout ce qu’elle entreprends pour son assistant (le soigner, remettre son nœud de cravate, devenir un modèle digne de son admiration), se rapproche dangereusement d’une attitude maternelle. Ouille... J’espère très sincèrement que je me trompe, car c’est un autre topos de la romance : l’amoureuse qui sert de “petite maman” à son chéri...
Et le meilleur pour la fin... Plus on avance, plus on a l’impression que Kiryu se range du côté du stratège : elle ignore tout de l’amour, donc si ça se trouve... Et en super bonus, quand elle compatit à son malheur, il l’embrasse de force. Et ça se finit là-dessus... Ce mec est insupportable et dans toute histoire réaliste et logique, elle l’aurait envoyé balader depuis belle lurette. Depuis le début, le stratège n’a de cesse d’envahir son espace vital, et elle ne réagit que trop mollement et avec pitié... alors même qu’on la prévient qu’elle a affaire à un séducteur hors-pair qui n’hésite pas à mentir ou à jouer avec la réalité pour parvenir à ses fins... 
Voilà le problème, Kiryu apparaît bien trop faible dans ce tome ! Alors qu’au début, ses convictions sont fortes, elle est juste déstabilisée par les comportement de des deux hommes à son égard...
J’ai vraiment très peur que ce manga empreinte une pente glissante l’amenant à cracher sur la communauté aro en présentant une héroïne qui se pensait aro mais qui en fait une fois un peu chahutée se rend compte qu’elle ne l’est pas. C’est une communauté qui a besoin de visibilité dans la fiction, c’est d’ailleurs la première œuvre que je connais qui en traite ! Dans toutes les autres, les personnages seuls sont soient des hommes de type Dom Juan ou des asociaux pervers fantasmant sur des waifus, soient des femmes célibataires en manque d’hommes dont le but est de mettre le grappin sur la dose minimale acceptable de phallus. Donc je serre les fesses en attendant le tome 3... En espérant que la mangaka sait ce qu’elle fait, nous démontre que tous ces clichés pourris n’étaient qu’une épreuve, et que Kiryu se rendra compte qu’il ne s’agit que de fumisteries de la part du stratège destinés à la piéger... Dans le doute, je ne préfère pas enfoncer ce manga, mais si il s’avère que mes craintes se réalisent, je serai sans pitié.
J’ai vraiment, vraiment peur...
Ma note : 12/20
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anm-blog · 2 months
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