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#tarot des fétiches
loeilafaim · 1 year
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Ce qui s'est passé à la Cave Poésie, dimanche
de Toulouse, ce week-end, c’est un tirage de tarot poétique par Madame Sarah, alias Sarah Freynet, metteuse en scène d’En Compagnie des barbares. Tarot des fétiches, dessiné par Karine Marco, écrit par Sarah Freynet et Ana Tod. Sarah Feynet qui a aussi mis en scène cri & co de Christophe Macquet… Ce qui s’est aussi passé, ce sont les retrouvailles avec l’auteur de cri & co et de Dâh, dans la…
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nordiamus · 11 months
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Les Focus Magiques
Il y a de nombreux différents types de focus magique. Leur utilité est d’aider le magus à canaliser et à concentrer sa magie – parfois pour effectuer des actes de magie pointus nécessitant une certaine finesse, d’autres fois au contraire pour amplifier un effet. Ils peuvent être faits d’un seul composant, ou d’une combinaison de plusieurs. Les composants les plus communs sont : les bois infusés de magie, les ingrédients provenant de faune ou de flore magique et les cristaux magiques…
Le focus le plus couramment utilisé à travers le monde, et ce, depuis le Moyen Âge, est la baguette magique. Polyvalente, elle permet tout aussi bien d’avoir un peu plus de finesse quand nécessaire, qu’un peu plus de puissance quand c’est utile.
Utilisé depuis des temps immémoriaux, le bâton de magie était un outil de puissance brute, particulièrement favorisé par les mages de guerre ou les ritualistes.
Les anneaux magiques sont l’apanage des magus en quête de finesse. Les maîtres des Sortilèges et autres adeptes des Illusions ne se séparent jamais du leur. En revanche, ils ne sont clairement pas indiqués pour les sorts nécessitant plus de puissance brute.
Chaque focus peut être initialement assez basique, puis plus tard amélioré grâce aux services d’un Caduceus Meister, ou remplacé par un autre plus pertinent.
Il existe d’autres types de focus, qui ne sont pas nécessairement personnalisés pour un unique magus. Les barrières, par exemple, nécessitent un focus pour rester active même sans présence d'un être magique à proximité. Les runes sont également être utilisées comme focus magique quand elles ont activées. Les fétiches Voodoo, Tarot Tziganes et autres Grimoires peuvent également être utilisés comme focus magiques.
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ilovestilettos · 2 years
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{𝗟𝗲 𝗴𝗿𝗮𝗻𝗱 𝗡º 𝗱𝗲 𝗖𝗵𝗮𝗻𝗲𝗹} Ou le joli cadeau de fin d'année de la maison Chanel. La maison Chanel est mécène de quelques lieux emblématiques parisiens: l'opéra via les ballets, le Grand Palais où la maison organise ses défilés, le musée Galliera, et a installé régulièrement ses jolis événements dans d'autres beaux lieux de Paris: les Tuileries, le Palais de Tokyo il y a quelques années. A chaque fois ce sont des événements culturels autour des parfums de la maison et de leurs univers. Tout est toujours parfaitement organisé et exécuté, l'expérience de visite est toujours un délice patiné de luxe à la française. Ce grand numéro, construit comme le chapiteau d'un cirque idéalisé, rempli de boules à facettes, lions sculptés, cartes de tarot aux numéros fétiches de Gabrielle est une belle réussite, une bulle heureuse et parfumée dans un vendredi rempli de pluie et de vent. #legrandnumerodechanel #chanel #exhibition #cirque #parfum #perfume #ipreview via @preview.app (à Révélations Grand Palais) https://www.instagram.com/p/Cm1xvRWs4GD/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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frenchwitchdiary · 5 years
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Sorcellerie & minimalisme
Suite à une discussion sur le mode de vie minimaliste avec une amie qui en est adepte, je me suis demandé si ce style de vie était compatible avec une vie de sorcière.
Le minimalisme consiste à vivre avec peu de biens, dans le but d’être plus libre mentalement par la suite. Très souvent, on y retrouve des liens étroits avec une conscience écologique, le fameux credo "consommer moins mais consommer mieux", de façon plus consciente et durable. Le minimalisme connaît son plein essort en occident ces dernières années, entraînant ses adeptes à déconstruire l'utilité/la nécessité présumée des biens que l'on possède, et à dépouiller nos vies du superflu (du matériel comme du spirituel).
Confrontation visuelle de deux univers
Forcément, j'ai pu constater que l'esthétique du mode de vie de la sorcière 2.0, celle connectée sur les réseaux sociaux, avait l'air aux antipodes du lifestyle minimaliste. Par exemple en tapant "witchy aesthetic" sur insta, tumblr, pinterest et tant d'autres, on tombe sur une foule de photos chargées et bien travaillées mettant en scène des tonnes d'ingrédients et d'outils ici et là, pléthore de jeux de tarot et cristaux en tout genre, etc etc. Ces clichés (parfois même à visée purement esthétique) s'inscrivent dans la continuité de l'imagerie populaire qu'on attache aux sorcier-e-s : cabinets d'alchimiste encombrés, moult fioles ou bocaux pour renfermer des dizaines d'herbes et de remèdes différents, grimoire épais aux pages noircies d'informations dans tous les sens, collections d’artefacts en tout genre, des étagères remplies de vieux grimoires poussiéreux qu'on ne sort même plus...
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On imaginerait presque que la sorcière "idéale" aurait chez elle une pièce entièrement dédiée à son travail magique, semblable à une boutique ésotérique remplie de mille et un gadgets rien que pour sa pratique personnelle. Dans l'inconscient collectif, la sorcière tend plus au maximalisme donc.
Peut-on dire que la pratique magique est incompatible avec le mode de vie minimaliste ? 🤔
Et en quoi ça consisterait du coup, une sorcière minimaliste ?
On retient du postulat philosophique du mouvement minimaliste que l'on est dépendant des choses que l'on possède. Ainsi, moins on en aura, plus libre on sera. Il faut donc s'assurer de ne garder que ce qui est nécessaire à notre quotidien, et à notre pratique. Ais-je besoin de ces 10 paires de chaussures ? Ais-je besoin de ces 10 encens différents ? Pourquoi je garde toutes ces *insérez ici objets random que vous n'utilisez pas* juste "au cas où" ? Et pourquoi j'en fais de même pour ces outils, herbes, cristaux ?
Qu'est-ce qui fait que la sorcellerie soit associée avec l'accumulation plutôt qu'au dépouillement (à l'instar du bouddhisme ou d'autres spitirualités) ?
Je fais partie de ces gens qui accumulent beaucoup de choses, "au cas où ça servirait un jour" (j'ai conscience que ce n'est qu'une fable que je me raconte pour me trouver une excuse en rajoutant toujours plus d'objets et de babioles chez moi). J'ai ce que j'appelle "le syndrome de l'écureuil", trier et jeter des affaires est pour moi un dilemme cornélien. Et pourtant, je suis une personne maximaliste qui aspire à devenir un jour minimaliste. Et si Marie Kondo nous incite à commencer d'abord par vider sa garde-robe (ce que j'ai fait, mais je me suis stoppé après ça, my bad), pourquoi pas enchaîner en épurant sa pratique ?
La sorcellerie est ce que l'on en fait.
Pas besoin donc de collectionner moult artefacts pour être légitime, c'est avant tout une spiritualité et une pratique personnelle avant d'être cette esthétique fournie qu'on voit sur les réseaux sociaux.
Ci dessous, des exemples* à suivre si vous voulez être une sorcière minimaliste (ou si vous êtes fauché-e et que ça vous arrange du coup haha) :
* (liste non-exaustive, n'hésitez pas à rajouter vos idées ou à me dire quelle serait votre vision de la sorcière minimaliste)
Activités 🔮
La méditation est un merveilleux exercice à faire qui ne requiert rien d'autre que votre esprit et votre corps ! De même pour : le voyage astral, le rêve lucide, la danse rituelle et le chant, les prières à vos divinités si vous en avez, les exercices d'auto-hypnose, de visualisation, transe, le magnétisme...
Pour la divination : essayez de réduire vos outils de divination. Adoptez la méthode de Marie Kondo : ne gardez que ceux qui vous rendent profondément heureux-se.1 pendule, 1 jeu de tarot (ok pour les tarots/oracles j'avoue c'est trèèèès dur), 1 bol noir ou miroir pour le scrying... tout dépend de ce que vous pratiquez.
Si vous savez que vous avez un faible pour tel objet (par exemple, vous en avez 15 exemplaires différents et vous savez que ce serait trop dur de vous en défaire, questionnez vous sur l'attachement que vous leur portez, et en attendant, gardez-les en compensant sur tout le reste).
Outils 🙌
Essayez de réduire au maximum vos outils.
Questionnez-vous : ais-je vraiment besoin de *insérer ici l'objet de vos désirs*, ou bien c'est l'idée inconsciente de sa soit-disante nécessité véhiculée par tous ce que j'ai vu/lu sur le sujet qui me fait me dire que j'en ai besoin pour me sentir validée dans ma pratique ?
Le minimalisme extrême : aucun outil (c'est tout à fait possible ! La magie vient de vous et de votre intention, et vos mains, votre voix et votre tête sont déjà de très bons outils. Par ex : utilisez votre doigt pour concentrer votre énergie, tracer un cercle, en remplacement d'une baguette ou d'un athamé, etc..)
Une alternative : si vous pratiquez en extérieur, utilisez des objets de votre environnement : quelques rochers qui vous appellent, une branche, des mandalas de feuilles/cailloux/écorces, de l'eau d'une rivière, des glands, des plumes... Et une fois votre rituel fini, tout reste à la Terre. Vous n'avez fait qu'"emprunter" vos outils, ce qui fait que vous ne vous encombrez pas chez vous (ou même si vous ne voulez pas transporter tout votre matériel dehors).
Sinon, réduisez le nombre de vos possessions matérielles, en vous posant la question suivante : Si vous ne deviez ne garder qu'un (ou deux allez) outil fétiche sur votre autel, quel serait-il ?
Ingrédients🍵
Quelles sont les herbes/épices que vous utilisez le plus ? => pourquoi ne pas garder que celles-ci ? Plutôt que d'en accumuler toujours plus "au cas où, pour tel rituel que je ne ferais jamais".
Idem pour les cristaux, l'encens... Idéalement, pas plus de 5 par catégorie devrait amplement suffire. Il suffit de résister à la tentation d'accumuler toujours plus de choses pour répondre à des besoins spécifiques, se concentrer sur l'essentiel, ne gardez que des basiques qui peuvent être multi-usages.
Les bougies : quelles couleurs utilisez vous le plus dans votre pratique ? Les blanches ont une fonction universelle. Pourquoi ne pas avoir quelques blanches, et d'autres seulement pour les rares occasions ? N'achetez rien que vous ne pensez pas consommer rapidement (ne rachetez pas de bougies s'il en reste chez vous, cela ne sert à rien de les accumuler). J'ai fait l'erreur d'acheter des bougies de couleurs au cas où je ferais des rituels bien spécifiques en rapport = résultat, elles attendent toujours.
Du papier et un stylo => on peut faire tant avec, et pourtant ça ne prend aucune place !
Son corps comme ingrédient : cheveux, ongles, fluides corporels... (Même si je comprend totalement que cela puisse rebuter certain-e-s praticant-e-s)
Autel🕯
A quoi peut bien ressembler un autel minimaliste ?
Il ne contiendrait que le strict minimum pour la pratique d'un rituel. Epuré, réduit à son essentiel. Quelques ingrédients basiques dans une boîte fermée pour ne pas éparpiller la marchandise partout et rester focus sur son objectif, une effigie ou simplement une photo comme support pour celleux qui vénèrent une entité en particulier, une bougie ?
Quelques idées (qui me donnent bien envie de minimaliser le mien) :
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(gauche : witch-of-the-dragon.tumblr.com
droite : kazoothief.tumblr.com)
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(sur Instagram)
2 bonnes raisons de préférer un autel minimaliste :
- c'est bien plus facile d'entretien (ménage, purification, rangement..)
- ça passe inaperçu pour celleux qui sont encore dans le placard à balais et doivent recevoir des gens dans leur espace
Consommer moins, mais mieux
La sorcière occidentale du 21ème siècle vit à l'ère de l'ultra-consommation, ça n'est pas étonnant que bon nombre d'entre nous sommes dans cette même logique d'accumulation, ayant grandi-e-s dans cet environnement. Et pourtant, je n'ai jamais croisé ou entendu de sorcière se foutant complètement du sort de la planète. On retrouve une sensibilité accrue envers la nature, les animaux, et donc des considérations écologiques rentrent en jeu au bout d'un moment. Ce que le minimalisme peut apporter à la sorcellerie moderne, c'est ce credo de moins et mieux consommer, moins acheter, moins retirer de ressources à la planète pour son propre besoin.
Mieux consommer implique de changer parfois ses habitudes : créer ses propres baumes/remèdes ou en acheter dans une boutique de sa région, sécher ses plantes ou acheter des herbes locales, créer ses propres bougies, se procurer des cristaux de source éthique fiable ou bien refuser d'en acheter, etc.. sont autant d'actes militants qui s'inscrivent dans une démarche écologique. Le minimalisme est aussi, en soi, un outil pour mieux respecter la planète, en plus de se vider l'esprit de ses chaînes matérielles.
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Si vous êtes une sorcière et que vous pratiquez le minimalisme comme art de vie, au quotidien comme dans votre pratique, faites moi signe et partagez donc vos autels pour inspirer les autres personnes sur le witchblr !
A contrario, si comme moi vous avez tendance à accumuler plutôt qu'à épurer, quel est votre rapport à cette tendance du minimalisme, surtout appliqué à la sorcellerie ? Pensez-vous vous y mettre un jour ? (un non est tout à fait recevable je vous rassure haha)
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teumbeleur · 3 years
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En 2014, tu écris "Hocus Pocus! L’US Army s’en retourne en terre ennemie
Abracadabra! Botter le cul des méchants barbus"
2022, l'US Army se frotte les mains, prête à déjouer les magiciens! Oudini! Du doux nom de Vladimir. Toutes les sorcières ont réunis leur pentacle, incantations à la pleine lune, potion magique, rituels sataniques.
On porte la Khamsa, main de Fatma, le sel derrière l'épaule, le marc de café, on sort de chez soi par le pied droit, les poupées vaudoues, les épingles, les poulets morts, les tubercules tordues, les tarots, les pendules.
Sur le noms de tous les petits fétiches de bois, des esprits animistes, des fantômes dans nos maisons, des grands noms monothéistes, de Marie, des Panthéons grecs et romains, des lointains dieux égyptiens et ceux oubliés, Thor, Ganesh, et le reste de la clique.
Je frappe à vos portes, depuis quand sommes-nous victimes de vos sociétés?
Allez, avec vos oracles, pondez-moi un miracle!
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tekintarot · 3 years
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Quels éléments permettraient de résoudre cette disparition ? Pour cette dernière partie, j'ai choisi d'utiliser mon tirage fétiche, celui que j'utilise pour toutes mes enquêtes. Ce tirage est on ne peut plus clair, il n'y a plus d'espoir malheureusement, Estelle est décédée pour moi. Elle aurait peut-être été attachée quelque part, ligotée, avant que son corps ne soit jeté dans la nature. Ce qui est sûr c'est qu'un mystère plane autour de cette affaire 🤔 Elle aurait bien été piégée, son innocence d'enfant transparaît avec la carte de la joie. Elle avait besoin d'aide mais personne n'était là malheureusement. Je pense qu'elle a tenté de fuir, en vain. Le piège s'est refermé sur elle. Je ne peux pas vous en dire plus, j'ai tenté de tout résumer au travers de ces 5 parties d'enquête. Je ne sais pas si ces informations peuvent être utiles. En tout cas, elles ne concernent que moi et n'ont en aucun cas de valeur juridique. #Tekin_Tarot #BirElçi #Tarot #TarotReading #TarotCommunity #TekinMèneLenquête #LesEnquêtesDeTekin #FaitsDivers #FaitDivers #Enquête #Crimes #Crime #Disparition #Disparitions #Auxerre #France #Podcast #Spotify #Apple #WordPress #Anchor #Arte #Deezer #Streaming #EstelleMouzin #MichelFourniret #SeineEtMarne
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valerierocheron · 4 years
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Dans ma valise pour l’île d’Yeu, il y a des crèmes solaires mais aussi de quoi bosser car mon agenda se remplit déjà pour la reprise du 15 juillet ... Trois Tarots de Marseille pour mes Astro Referentiel et la Gormation Tarot Le Quantum Tarot Le Hush Tarot pour les Live et les vidéos You Tube L’oracle Feminitude pour les soins Karmiques et énergétiques L’oracle de Marie Mère Universelle pour ses messages apaisants et si justes L’oracle de l’Eveil et l’oracle du Verseau pour changer du Tarot L’oracle de la gratitude, parce que on en a besoin.., je le partagerai sur Instagram. Et puis mon agenda, mon grand cahier d’Astro-Refetentiel, mon stylo fétiche et sa boîte de cartouches ... Mes bouquins indispensables d’Astrologie... Et mon Mac, bien sûr ! Demain je vous montre le côté plage!#été #tarot #astrologie #vacances #valisedété #iledyeu #valerierocherontarologue https://www.instagram.com/p/CCWycu1CrZD/?igshid=bme35ih1e9cf
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wildoute · 8 years
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" Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice versa. Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom,Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! -- obsédante sonate teintée d'ivresse. Ce rêve se mit -- peste ! -- à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne secrète -- verbe nul à l'instar de cinq occis --, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, oeil offensé, tire ! L'écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été. Fièvres. Adam, rauque ; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée ; l'épeire gelée rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native. Litige. Regagner (et ne m'...). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale ! Timide, il nia ce sursaut. Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla : Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté...) ni tobacco. Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ? Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson ! Et nier téocalli ? Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net. Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu ; ce sacré bedeau (quel bât ce Jésus !). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef. L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh... rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ? Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep : macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ? Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut. Il à prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés : Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Pétard ! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire... Le Phenix, ève de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana : l'Oubli, fétiche en argile. Foudre. Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée, Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale ; Volcan. Roc : tarot célé du Père. Livres. Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei... Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël : crèche(l'an ici taverne gelée dès bol...) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon. Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crâneur ! ** * Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées... S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal(obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dèdale (M... !) ramifié ? Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti : Espiègle (béjaune) Till : un as rusé. Il perdra. Va bene. Lis,  servile  repu  d'électorat,  cornac,  Lovelace.  De  visu, oser ? Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène risée. Le trace en roc, ilote cornéen. O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane ! Eh, cité, fil bu ! ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel- base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira...), stérile, dodu. Espaces (été biné ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli. Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville...) tu déconnes. Été : bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez. N'obéir. Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l'un te sert- il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ? Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra ! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri : Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé. Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle(étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As. Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à reve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne. Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège. Ipéca... : lapsus. Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rossérecit, ça freine, benoit, net. Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se(nom d'Ali- Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte... Nos masses, elles dorment ? Etc... Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine. Valser. Refuter. Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec : Regret éternel. L'opiniâtre. L'annulable. Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé,notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon ! On à écopé,ha, le maximum Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé ! Cain ! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit. Il évita, nerf à la bataille trompé. Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve : if étété, éborgnas- tu l'astre sédatif ? Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise ; l'âge : ni sel-liard (sic) ni master- (sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole !) Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu(Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t- il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart. " Georges Perec, Au Moulin d'Andé, 1969
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the-entangler · 7 years
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Le Grand Palindrome, Georges Perec
9691 ,EDNA' D NILUOM UA CEREP SEGROEG
Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice-versa. Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Être las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal. Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale : le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! -- obsédante sonate teintée d'ivresse. Ce rêve se mit -- peste ! -- à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne secrète verbe nul à l'instar de cinq occis--, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il offensé, tire ! L'écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été. Fièvres. Adam, rauque; il écrit : Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, génial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l'épeire gelée rode : Hep, mortel ?) lia ta balafre native. Litige. Regagner (et ne m'…). Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale! Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla : Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois : si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter : gercé, repu, denté…) ni tobacco. Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ? Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson ! Et nier téocalli ? Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net. Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-gît. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat : ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef. L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh… rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ? Élucider. Ion éclaté : Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep : macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arrêter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ? Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut.
Il a prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés : Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu : O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Petard! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire.. Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana : l'Oubli, fétiche en argile. Foudre. Prix : Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée, Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale; Volcan. Roc : tarot célé du Père. Livres. Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei… Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël : crèche (l'an ici taverne gelée dès bol…) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon. Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts : angiome. T'es si crâneur !
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Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées… S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dédale (M.. !) ramifié ? Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti : Espiègle (béjaune) Till : un as rusé. Il perdra. Va bene. Lis, servile repu d'électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ? Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder : à marin nabab, murène risée. Le trace en roc, ilote cornéen. O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu ! ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je : devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira…), stérile, dodu. Espaces (été biné ? gnaule ?) verts. Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé : canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli. Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville…) tu déconnes. Été : bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez. N'obéir. Pali, tu es ici : lis abécédaires, lis portulan : l'un te sert-il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ? Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri : Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé. Lu, je diverge de ma flamme titubante : une telle (étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As. Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à rêve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne. Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège. Ipéca… : lapsus. Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital. : palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rosse-récit, ça freine, benoit, net. Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d'Ali-Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte…
Nos masses, elles dorment ? Etc… Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine. Valser. Refuter. Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec : Regret éternel. L'opiniâtre. L'annulable. Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde : celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon! On à écopé, ha, le maximum !
Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit. Il évita, nerf à la bataille trompé. Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum : rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve : if étété, éborgnas-tu l'astre sédatif ? Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'âge : ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole!)
Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t-il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts : l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé : Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart.
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