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#traduction littérale
coursdefrancais · 9 months
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Les Erreurs Courantes à Éviter en Apprenant le Français.
Les Erreurs Courantes à Éviter en Apprenant le Français: Guide Complet pour un Apprentissage Efficace.
Apprendre une nouvelle langue peut être une aventure passionnante, mais il est courant de commettre des erreurs au cours du processus. Cet article se penchera sur les erreurs fréquentes à éviter lors de l'apprentissage du français. Que vous soyez débutant ou que vous cherchiez à perfectionner vos compétences, suivez ce guide pour maximiser votre apprentissage et éviter les pièges courants.
Chapitre 1 : Ignorer la Prononciation La prononciation est cruciale en français. Découvrez l'importance de maîtriser les sons spécifiques du français dès le début et évitez de développer des habitudes de prononciation incorrectes.
Chapitre 2 : Négliger la Grammaire de Base La grammaire est la colonne vertébrale de toute langue. Évitez de négliger les règles de base de la grammaire française et comprenez comment elles influent sur la compréhension et la production linguistique.
Chapitre 3 : Éviter la Pratique Orale La pratique orale est essentielle pour maîtriser une langue. Évitez de vous concentrer uniquement sur la lecture et l'écriture. Engagez-vous dans des conversations régulières pour améliorer votre expression orale.
Chapitre 4 : Traduire de manière Littérale Évitez de traduire de manière littérale d'une langue à l'autre. Comprenez les nuances de chaque langue et évitez les erreurs de traduction qui peuvent résulter d'une approche trop littérale.
Chapitre 5 : Ignorer la Culture Française La langue et la culture sont étroitement liées. Évitez de négliger la compréhension de la culture française, car cela peut influencer votre utilisation appropriée de la langue.
Chapitre 6 : Se Limiter à un Style de Français Le français a divers accents et variations régionales. Évitez de vous limiter à un seul style de français. Exposez-vous à différentes variations pour comprendre et apprécier la richesse de la langue.
Chapitre 7 : Sursolliciter les Applications d'Apprentissage Les applications peuvent être utiles, mais évitez de les considérer comme la seule source d'apprentissage. Équilibrez les ressources en incluant la lecture, la conversation, et d'autres méthodes pour un apprentissage complet.
Chapitre 8 : Se Décourager Facilement L'apprentissage d'une langue peut être difficile, et tout le monde commet des erreurs. Évitez de vous décourager face aux défis. Adoptez une approche positive, apprenez de vos erreurs, et persévérez dans votre parcours linguistique.
Conclusion : Éviter ces erreurs courantes est essentiel pour un apprentissage efficace du français. En reconnaissant ces pièges et en adoptant une approche proactive, vous pouvez améliorer rapidement vos compétences linguistiques. Apprenez de vos erreurs, soyez patient et continuez à vous engager dans des activités variées pour maximiser votre apprentissage du français. Avec une approche consciente et délibérée, vous pourrez surmonter ces défis et atteindre vos objectifs linguistiques avec succès.
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kilfeur · 8 months
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Ce combat avec Adam montre la différence de pouvoir entre Alastor, Charlie, Lucifer et Alastor. Lors de la chanson entre Lucifer et Alastor il parle de ses possessions et de son pouvoir. Mais quand l'hôtel est en danger ainsi que sa fille, il montre vraiment de quoi il est capable. Donc ouais Lucifer aurait pu tuer Alastor si il avait posé une menace bien plus présente à l'hôtel. Toutefois bien qu'il y ait un marché entre Charlie et Alastor, je penche plus sur le fait qu'elle devrait le sauver à un certain point contre les anges voir même Lilith.
D'ailleurs la partie chanté d'Alastor dans la chanson final. Il y a des différences encore une fois dans la vo et vf. Dans le passage où justement où on voit son ombre puis son visage. Parlant du "Great Alastor Altruist died for his friend. Sorry to disappoint that is not( where it's end" (Le grand Alastor altruiste meure pour ses amis. Désolé de décevoir mais ce n'est pas comme ça que ça se termine) en anglais. Mais en Français ça dit "Alastor reviendra soyez bien préparés, il vous éblouira". (Alastor will be back, be well prepared, he will dazzle you) Là il ne s'agit pas d'amis mais avant tout de lui même.
Quand il se retourne en anglais il dit "The constraints of my deal will surely you have a back door". (Les restrictions de mon marché a sûrement une porte de sortie.) En français, il dit "Par mes choix, me voilà un peu plus vulnérable". Ce n'est les restrictions dont il parle mais les choix en français pourront faire allusion à Lilith, le fait qu'il reste à l'hôtel. Une dernière pour la route, en anglais "Once I figure out, how to unclip my wings, guess who will be pulling the strings. (Quand j'aurai compris comment enlever mes ailes, devinez qui va tirer les ficelles). Closer to the angels, but this time those wings are a hindrance to his freedom. En français "Lorsque j'aurai trouvé le moyen de me libérer, devinez qui va régner" ("When I find a way to free myself, guess who's going to rule".) Ce qui est j'avoue plus direct comparé à la vo mais j'imagine qu'ils voulaient plus se caler au rythme de la chanson qu'un traduction littérale.
This fight with Adam shows the difference in power between Alastor, Charlie, Lucifer and Alastor. In the song between Lucifer and Alastor, he talks about his possessions and his power. But when the hotel and his daughter are in danger, he really shows what he's capable of. So yeah, Lucifer could have killed Alastor if he'd posed a much more present threat to the hotel. However although there's a deal between Charlie and Alastor, I'm leaning more towards her saving him at some point from the angels or even Lilith.
Moreover, Alastor's singing part in the final song. Once again, there are differences between the english version and the french version. In the passage where we see his shadow and then his face. Speaking of "Great Alastor Altruist dying for his friend. (Le grand altruiste Alastor meure pour ses amis. Désolé de décevoir mais ce n'est pas comme ça que ça se termine.) in english. But in French it says "Alastor reviendra soyez bien préparés, il vous éblouira." (Alastor will be back, be well prepared, he will dazzle you) Here it's not about friends, but about himself.
The constraints of my deal will surely have a back door".(Les restrictions de mon marché a sûrement une porte de sortie.) In French, he says "Par mes choix, me voilà un peu plus vulnérable". It's not the restrictions he's talking about, but the choices in French could allude to Lilith, the fact that he's staying at the hotel. One last for the road, in English "Once I figure out, how to unclip my wings, guess who will be pulling the strings."(Quand j'aurai compris comment enlever mes ailes, devinez qui va tirer les ficelles). Closer to the angels, but this time those wings are a hindrance to his freedom. In French, "Lorsque j'aurai trouvé le moyen de me libérer, devinez qui va régner" ("When I find a way to free myself, guess who's going to rule").
Which is admittedly more direct than the english version, but I imagine they were more intent on keeping to the rhythm of the song than a literal translation.
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sack-thing · 21 days
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Oui j'ai fait une traduction littérale du titre, le terme est réellement utilisé au début dans la VF pour nommer le journal de la caravane, et pour moi ça permet de nommer l'histoire au lieu de juste mettre "FFCC".
So I don't know if it'll be very useful to people here, but I posted the French first two chapters of my FFCC script there. If you know some French speaking buddies who could be interested, I guess you can let them know. XD
I'll say it again but French is actually my mother tongue and the story was first in this language. I just never posted it online before (and now I need to edit it to match the English version).
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lilias42 · 1 month
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20, 10 et 13 pour le "violence ask game"!
Salut ! Merci pour les questions ! Bon bah, de nouveau, on va partir sur du FE3H ! On a encore des choses à se dire avec ce jeu !
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10 - La pire partie du fanon ?
Alors... pas où commencer... je dirais que la pire partie du fanon, c'est de penser que CF est une bonne fin et une route de héros alors que c'est clair et nette que c'est une route des méchants. C'est évident que les développeurs puis la traduction américaine (et donc la traduction française parce que, qui est l'idiot qui a pensé que c'était une bonne idée de faire une traduction de traduction et pas de prendre le texte original ?!) font tout pour cacher le plus possible que c'est une route des méchants mais, il reste des indices par-ci par-là (en plus du contexte ajouté par toooouuut le reste du jeu + le fait qu'on envahisse 2 nations neutres et qu'on finisse un génocide par pur racisme tout en étant aidé par un peuple de taupe maléfique fabriquant des armes à partir de restes humains) alors, ça me semble assez normal de l'écrire comme une route de méchants.
Mais nopes ! Une grosse minorité très (trop) bruyante est persuadée que c'est une route de héros, avec des héros très gentils et des méchants (les gens qui défendent leurs maisons d'une invasion) sont très méchants alors qu'on ai aidé par un peuple de taupe qui est méchant et fait des expérimentations humaines mais, on les aide à finir l'extermination de leurs ennemis qui sont des méchants colonisateurs (soit un peuple de dragons restant tranquillement à Zanado à se faire dorer au Soleil ou partageant leurs technologies pour aider les autres sans rien demander aux autres, à part qu'on les laisse prendre des bains de soleil tranquille) MAIS, ne vous en faites pas braves gens, on les poignardera dans le dos après la guerre et on les exterminera car ils sont méchants, même si on les a aidé à atteindre leur objectif ultime de brûler Fodlan... franchement, à part que l'amour (factice vu qu'El n'existe pas) d'un tas de pixel rend aveugle et qu'ils sont d'accord avec le fait de tuer tout le monde pour régler les problèmes, je comprends pas... c'est même une des raisons pour lesquelles j'ai commencé à écrire des fanfics que je postais sur Tumblr : je voulais écrire ma propre route CF (paix à son âme de cette fic, nous ne t'oublierons jamais) mais avec ma propre vision du canon et en assumant que c'est la route des méchants (et vu qu'on est chez moi, avec une El grosse gamine car j'aime les méchants immatures, c'est comme confier le bouton de l'arme atomique à un enfant de 5 ans et attendre de voir ce qu'il va faire).
Pour aller avec le point précédent, il y aussi la transformation des agarthans comme de pauvres petites victimes par cette partie du fandom car, Sainte Delagarde doit être aussi immaculée que les plumes de la blanche colombe (et ses cheveux après les expériences agarthannes) et donc, elle ne peut pas s'allier au mal absolu. Encore, qu'on montre les agarthans muets, le peuple sur lequel règne Thalès et les petites mains comme des victimes, pourquoi pas, ils n'ont rien demandé ou n'ont fait que suivre sinon, c'est la mort (même si c'est un énorme débat moral de savoir si oui ou non ceux qui ont "juste" obéis à des ordres horribles sont responsables ou non, je vais pas trancher ici), je veux bien et je le fais moi-même MAIS, avec des agarthans originaux qui n'ont jamais rien fait de mal à l'écran et volontairement. Mais, pas Thalès qui est littéralement le chef qui a décidé de tout, Solon qui tue volontairement Kronya pour le bien de leur plan et est responsable de l'épidémie rendant les gens complètement fou à Remire, ou Kronya qui prend plaisir à tuer tout le monde et a volé l'identité de Monica pendant des mois. C'est eux qui ont décidé de tellement bombarder une région à coup d'armes atomiques que ça a créé Ailell ma parole ! Evidemment que leurs actes doivent avoir des conséquences et que ce ne sont pas que des pauvres petites victimes !
Est-ce qu'ils avaient leur raison aussi ? Peut-être mais je m'en cogne. Ils ont transformé une région entière en enfer de lave, ont créé un monstre, ont génocidé une espèce entière et ont utilisé leur sang et leurs os pour créer des armes surpuissantes pour installé leur monstre comme maitre de Fodlan afin de tout faire brûler parce qu'ils n'étaient pas content qu'on leur tape sur les doigts pour avoir ravagé Fodlan, je vais pas les plaindre, même si ça se sent que leur traitement de faveur vient de leur association avec El.
13 - La pire blorbofication ?
La manière dont Delagarde est vu comme une pauvre pitchoune toute triste, faut la prendre sur tes genoux pour lui caresser la tête et la consoler comme un gros bébé ? Oui, c'est de loin le pire cas de blorbofication que j'ai jamais vu ! Et il est dans le jeu lui-même ! Les développeurs ont blorbocifier leur propre personnage ! (mais bon, c'est leur chouchoute après tout)
Sinon, à part Delagarde dont j'ai déjà pas mal parlé, je dirais que les pires blorbofications que j'ai vu dans FE3H, c'est pour les pères pourris / persos masculins pourris alors que les persos féminins n'ont pas le droit à cette indulgence.
Prenons Rufus, même avant que Nopes en fasse un pauvre miaou miaou parce que "les emblèmes sont le maaaalll !!!". Qu'on le prenne en pitié, d'accord, je veux bien comprendre qu'on le trouve pitoyable car il a perdu son frère de manière horrible donc, logique qu'il soit dans un sale état... mais d'un autre côté, il est quand même régent, c'est lui qui tient la barque et c'est lui qui a laissé le royaume pourrir sur place et de ce qu'on en sait, il n'a rien fait pour empêcher le massacre des duscuriens. Et dans tous les cas, frère mort ou pas, il est aussi un coureur de jupons de niveau olympique, avec toutes les potentiels conséquences que ce type de comportement implique (genre, grossesse accidentelle et possible bâtards bien planqués dans la nature et vivent dans la honte de leur statut de bâtards).
Dans tous les cas, il a laissé son pays à l'abandon, son neveu tout seul dans son coin avec sa maladie mentale, laissé les duscuriens se faire massacrer et a préféré se noyer dans l'alcool ou le foutre. S'il ne voulait pas de son rôle de régent et n'était pas intéressé par le pouvoir (point que je trouve bien plus intéressant et moins classique que "frère A envie le pouvoir de frère B" en n'ayant quelqu'un qui ne veut pas du pouvoir et est très content d'échapper à ses responsabilités), il aurait surement pu confier les rênes du pouvoir à Rodrigue ou quelqu'un d'autre, ce serait surement possible (surtout pour d'aussi grande famille et même le jeu aurait pu faire son ouin-ouin en disant "il a donné le pouvoir à quelqu'un à emblème car, tout le monde ne pense qu'à ça !!!"). Même s'il ne voulait pas le pouvoir, il est fils de roi, frère de roi, oncle de roi alors, ses privilèges de naissance s'accompagnent de devoirs et il se doit de servir le Royaume, pas ses propres intérêts (encore une fois, sans vouloir faire ma rouge de service, selon moi, le dirigeant doit servir ses sujets avant lui-même, pas le contraire). Rodrigue aussi a vécu la même perte, a même dû la subir sans pouvoir rien faire et en devant obéir au roi mais, il arrive à tenir malgré tout et à continuer à être un être humain décent et à s'en faire pour son peuple, sa famille et même la famille des autres avec Dimitri.
Alors, je ne comprend pas le côté "pauvre miaou-miaou Rufus, il est kro triste, sombre et torturé TT_TT" qu'on retrouve à gauche à droite. Je sais pas, on a une horde de stans prêts à tout pour nous enfoncer leur Bible et leur Sainte Parole hurlant que soit Rhéa est trop intervenu dans les affaires humaines si ça les arrange, soit qu'elle n'a pas assez fait pour encadrer les humains qui faisaient n'importe quoi quand ça les arrange plus mais, pour Rufus, c'est le calme plat et pauvre miaou miaou alors qu'il a vraiment la responsabilité des faerghiens et les laissent dans la panade jusqu'au coup... vraiment, je comprends pas.
Ces remarques peuvent également s'appliquer à Ionius en dix milles fois pires et avec la même vénération de la part des fidèles de sa fille alors que des personnages de pères biiiiien meilleurs se reçoivent des tomates pourries (voir mes réponses précédentes à ce jeu de questions) et des femmes (quand elles ont la chance de pouvoir exister dans le cadre) qui se reçoivent aussi les condamnations du monde entier pour avoir fait bien moins pire (Tiana mise à part mais, elle est décrite comme étant plus masculine que féminine et a l'image de la "maman cool et badass" vu que Claude en parle en bien et qu'elle a "vaincu" Nader en combat singulier [car évidemment, c'était un combat "juste, à la régulière et sans aucune pression" entre la reine de son pays et un général qui ne risque pas du tout sa place s'il gagne et humilie donc la reine, bien sûr])
20 - une partie du canon que vous avez trouvée fastidieuse ou ennuyeuse ?
Hum... encore une fois, c'est surement prévisible mais, je dirais que c'est toute la surcouche de "au mon Dieu, pauvre El ! C'est trop injuste de la combattre !!! 😭😭😭" et tout le parasitage de l'intrigue et de l'univers que cela implique. ça va aussi avec le fait que le jeu use et abuse de la technique des narrateurs non fiables alors, c'est très facile pour les gens de hurler que toutes les versions se valent (enfin la leur plus que les autres), alors qu'on a des preuves qui démontre par A + B que les choses se sont déroulés d'une telle manière et pas d'une autre.
L'univers de 3H est ultra intéressant, il aurait pu faire un monde et un lore très fourni et intéressant entre les nabatéens, les agarthans, les origines de Sothis, les rapports entre les différentes factions internes et pays à l'extérieur de Fodlan, l'Eglise... mais, vu que tout doit se concentrer sur Delagarde, ses petits problèmes de petite princesse pourrie gâtée qui fait un caprice parce que son pays ne règne plus sur le continent et que ça fait bobo à son égo biberonné à la propagande nationaliste de son papounet, et que le monde entier se plie sous elle afin de soutenir son discours même quand des éléments objectifs le démonte entièrement, le tout en devant aussi en faire une waifu toute gentille et fragile qui a tellement besoin d'aide pour conquérir le monde, afin que le joueur veuille en faire sa poupée vivante à câliner tout en devenant le chevalier blanc de sa demoiselle en détresse (car honnêtement, c'est ce qu'elle est dans CF, une demoiselle a sauvé de ses propres décisions pour que son chevalier servant qui vaincs tous ses ennemis et la "délivre" d'un "méchant" dragon, on pourrait presque le rapprocher d'une version corrompu du mythe de Saint George qui vainc un dragon / mal mais, où c'est le démon qui a forme humaine et la foi et le bien qui ont une forme draconique [et la comparaison avec une histoire chrétienne va encore mieux vu la manière dogmatique dont ses stans répandent la bonne parole de leur idole, on dirait vraiment des prêcheurs d'une religion ou d'une secte genre témoin de Jéhovah mais évidemment, ils sont anti-religion et ultra athés et indépendant d'esprit, ne vous en faites pas, c'est juste qu'ils n'aiment pas celle qui n'est pas la leur]) et avoir une sensation / fantasme de puissance car, il arrive à conquérir le monde alors que le texte lui dit qu'il est l'out-sider (là où la réalité des faits internes à Fodlan est qu'il arrive, Delagarde se réveille après avoir passé 5 ans à se lamenter en griffonnant son portrait et en se gavant de bonbons, et balaye le monde entier avec l'armée la plus puissante du continent. Clairement, il n'aurait pas fallu d'ellipse pour CF, ça rend Delagarde encore plus incompétente et pathétique qu'elle ne l'ait déjà dans cette route).
(et vous voyez les gens qui hurlent à "MARY SUE !!!" dès qu'il voie Ray dans Star Wars [dans les deux films de la postlogie... quel 3e film ?], ça c'est une Mary Sue : l'univers se tord autour d'elle pour la servir et n'existe plus pour lui-même comme une entité indépendante où le personnage évolue et s'adapte à lui)
Honnêtement et c'est très triste à dire, si l'antagoniste avait été un homme, on n'aurait eu bien moins de problème : le jeu aurait assumé que c'est un méchant, il n'aurait pas tout fait pour nous faire regretter de le combattre ou l'aurait fait d'une manière plus raisonnable / subtile avec de bien meilleur raison que juste "on est triste parce que c'est Delagarde et osef de toooouuuut ce qu'elle a fait comme assassiné des gens ou qu'on la connait à peine. Tu dois être triste de la combattre parce que ça doit être ta waifu... comment ça on a des femmes / des hommes gays / des aroaces / des gens qui n'aiment pas El car c'est une sale pourriture de conquérante impérialiste dans le public ?", et l'univers aurait sans doute pu se déployer sans devoir prendre en compte la donné "Delagarde" à chaque instant et à chaque élément, ce qui aurait moins donné cet aspect "univers en carton pate qui n'existe que pour l'histoire". Voir CF n'existerait tout simplement pas et on aurait pu garder le budget pour améliorer le reste du jeu vu que bon, il en aurait bien eu besoin pour s'améliorer techniquement, ou pour faire d'autres cartes, ou pour avoir plus de cinématique (mort de Rodrigue / scène sous la pluie / aveux de Rhéa...) ou pour donner une vraie histoire indépendante à VW.
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chaotic-history · 1 month
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The Nouvelle Biographie Générale's article on Villette, 1866
Because my sleep-deprived brain decided last night that translating Villette things was clearly my top priority. Footnotes like this (1) are original; the ones like this ¹ are added by me.
VILLETTE (Charles, marquis DE), born December 4, 1736, in Paris, where he died on July 9, 1793. His father, treasurer extraordinary of war, left him a 150,000 livre pension; his mother was popular for her wit and her beauty: he therefore had an easy path in the world. After having gone on a handful of campaigns, he returned to Paris (1763) with the rank of quartermaster general of the cavalry [maréchal général des logis de la cavalerie]. He was imprisoned, for what reason we don’t know¹, in the Strasbourg citadel; as soon as he had left at the end of six months, he went to Ferney to seek out Voltaire, who had been a friend of his mother. ‘I currently have at home with me to cheer me up’, wrote Voltaire, ‘a young M. de Villette, who knows all the verses that have ever been written, and who writes them himself, who sings, who does impressions of other people quite amusingly, who tells stories, who is a pantomime, who would delight even the inhabitants of this sad Geneva’². With the support of the philosophe, whom he didn’t hesitate to call his father, Villette threw himself into the literary world, wrote many verses, competed for prizes from the Académie Française which he didn’t win, and above all sang in every tone praises of Voltaire, who reciprocated doubly by calling him the French Tibullus. Displaying with effrontery his taste for unnatural vices, as was attested to by his contemporaries, it was thought that he would not marry, until he married a person equally distinguished by her virtues and by her amiable qualities in the Ferney chapel in 1777, and he thus became, according to a rueful joke of the patriarch of Ferney, a doctor in utroque³. He had with her a son, whom he had baptised in 1792 under the name of Voltaire-Villette. This marriage did not prevent him from returning to his vicious habits, nor from engaging in scandalous intrigues with fashionable women, among whom were Mlles Arnould et Raucourt. At the time of the revolution, Villette drafted the cahiers du bailliage for Sentis, in which he spoke warmly of the new principles, and he collaborated on the Chronique de Paris. Named deputy of Oise for the National Convention (1792), he protested strongly against the September massacres, and voted, in the trial of Louis XVI, for his imprisonment [rather than his execution]. He succumbed a few months later to a languishing illness. He owned the hôtel where Voltaire lived in Paris, on the quai which today bears his name; he acquired the château de Ferney and preserved the heart of his protector (1) in an urn bearing this inscription:
His spirit is everywhere and his heart is here.
Of a very slim literary talent, Villette was truly what Mme du Deffand called him: ‘a comic character’⁴. The wits of the time did not spare him; people laughed especially at his belief that he could share in Voltaire’s fame, and this epigram ran for a long time throughout Paris:
Little Villette, it is in vain
That you aspire to glory;
You will never be anything but a dwarf
Who plays a giant on the comic stage.
However, he was kind, devoted to his friends, and during the revolution he showed real courage in standing firm in his beliefs against the prejudices of the nobility and against revolutionary excesses. Palissot assures us that Villette’s best works should be attributed to Gugeland, his secretary. Be that as it may, these are the works which he had printed: Éloge de Henri IV; Paris, 1770, in-4°; Éloges Historiques de Charles V et de Henri IV; Amsterdam (Paris), 1772, in-4°; La Patroclée, ou Commencement du Seizième Chant de l’Iliade, Traduction Littérale en Vers; Paris, 1778, in-8°: Palissot attributes this to Voltaire; various pieces in the Almanach des Muses, reprinted in Œuvres de Boufflers et de Villette; London (Paris), 1782, in-18; Œuvres du Marquis de Villette; London and Paris, 1784, in-12, and 1786, in-16; Edinburgh and Paris, 1788, in-8°: in general, his Lettres contain interesting anecdotes. Between 1784 and 1792, Villette presented eight operas to the Académie Royale de Musique, which seem to have been neither put on nor succesful.
(1) This relic, preserved by his son, was given in 1864 to the government, which had it placed in one of the rooms of the Bibliothèque Impériale [now the Bibliothèque Nationale de France].
¹Like pretended father, like son, it was for causing a stir by planning to duel a lieutenant-colonel whom he had publicly insulted, according to Grimm’s correspondence.
²Voltaire to the comte d’Argental, February 27, 1765
³In utroque jure, meaning a doctor of both civil and ecclesiastical law, ie., if Villette gets married he will have sex with women as well as with men. Voltaire uses the term in this way in a letter to Villette from June 7, 1765.
⁴Mme du Deffand to Horace Walpole, February 12, 1775
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eth-alisanru · 6 months
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Gaulish Translation 1 :
Source : Arknights https://www.facebook.com/photo/?fbid=137187401178598&set=pcb.137188081178530 Auteur/Author :@Lalvice_沙離dr在銭鎖双狼 https://passport.weibo.com/visitor/visitor?entry=miniblog&a=enter&url=https%3A%2F%2Fweibo.com%2Fu%2F5207773548&domain=.weibo.com&sudaref=https%3A%2F%2Fwww.bing.com%2F&ua=php-sso_sdk_client-0.6.36&_rand=1675412986.2487 It's not an "litteral" translation because some words aren't simply existing in reconstructions or are attested, so I tried to fill the gaps by modifying a little bit the dialogs. ----------------------------- Ce n'est pas une traduction "littérale" car certains mots n'existent simplement pas dans les reconstructions ou attestés, alors j'ai essayé de combler le manque en modifiant un peu les dialogues Translation (French-English) : Silverash : Il y a ici un "complément de cause", alors quel mot je dois mettre Exusiai peut-tu répondre ? There is here an "adverbial phrase of "reason", so which word should I put ? Exusiai, can you answer ? Exusiai : OUI, c'est...c'est/YES, it's...it's Mostima M.Silverash a demandé quelle était ta nourriture préré Sir (Lord) Silverash asked what is your favorite food Exusiai: Oh ! (ma) nourriture préférée/Oh ! Favorite food ! J'aime les tartes au pommes ! OUI ! I like apple pies, YES ! Silverash : Sors de (cette) salle ! Get out of this room
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ascle · 5 months
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Les anglicismes!
Aujourd’hui nous abordons un sujet très sensible, les anglicismes. Sensible historiquement, parce que depuis la conquête anglaise, le Canada, bien qu’il se targue d’être bilingue, n’a eu de cesse de vouloir assimiler son côté francophone. Sensible géographiquement, avec la proximité et l’omniprésence de la culture américaine qui lessive le cerveau. Sensible diplomatiquement, parce que la guerre franco-québécoise sur « qui c’est qui en dit plus que l’autre » horripile un côté comme l’autre.
Ceci étant dit, démystifions l’anglais au Québec! (Liste non exhaustive)
Les traductions
Afin de protéger sa langue, le Québécois utilisera dans son langage familier (ou pas) une traduction littérale d’un mot anglais. Ainsi:
Week-end devient fin de semaine
Good morning devient bon matin
Shopping devient magasinage
Shopping center devient centre d’achat
Toothpaste devient pâte à dents
Chips devient croustilles
Crackers devient craquelins
On dit « prendre une marche », venant de « take a walk » pour une promenade à pied.
Le traversier se prendra au lieu du ferry.
Vous chausserez vos patins à roues alignées et non pas vos rollers.
Même la signalisation routière s’adapte et le « stop » 🛑 devient « arrêt »
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Les p’tits nouveaux
Les nouvelles technologies se développent à la vitesse de la lumière. La terminologie anglaise est donc souvent adoptée par les différentes langues. Au Québec, un point d’honneur est fait à franciser un mot.
Au lieu de:
E-mail , podcast (podcasting), tweet, spoiled (une série ou un film), binge-watching, selfie, spam, phishing ou hashtag
Utilisez:
Courriel, balado (baladodiffusion), gazouillis, divulgâcher, visionnement (ou écoute) en rafale egoportrait, pourriel, hameçonnage ou mot-clic
L’emprunt morphologique
Une autre tactique québécoise est d’utiliser un mot anglais et de lui ajouter quelques lettres afin de le franciser.
C’est le cas de:
Fitter (to fit): rendre possible
Exemple: Je suis très occupée, mais j’vais essayer de faire fitter ça dans mon horaire.
Feeler (to feel): se sentir
Exemple: La pièce de théâtre a été annulée, une des actrices s’est évanouie! A feelait pas pentoute.
Focuser (to focus): se concentrer
Exemple: Hey j’ai l’impression de parler dans l’vide. Focus!
Choker (to choke): se désister, manquer de courage.
Exemple: On devait être 5, mais finalement Celine nous a choké.
Exemple: Je voulais la tutoyer, mais j’ai choké.
Truster (to trust): faire confiance.
Exemple: Je ne la trustais pas fak j’espionnais son Tumblr sporadiquement.
Ah pis d’la marde!
Finalement, pourquoi se compliquer la vie? On utilise aussi directement les mots anglais. Il sera donc fréquent d’entendre:
Anyway: de toute façon
Fun: amusant
Gang: groupe d’amis (prononcé « gagne », plus souvent positif que négatif)
Party: fête (prononcé « parté »)
Chum: ami ou petit ami
Joke: (féminin) blague, plaisanterie
Job: travail
Gaz: essence
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lepartidelamort · 6 months
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Yahvé, le dieu terroriste
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« It’s time for Jews to be feared ! » « Il est temps pour les juifs d’être craints », a déclaré le Rabbi Shmuley récemment. Les juifs n’ayant pas réussi à venir à bout de l’antisémitisme en essayant de se faire aimer ou admirer, doivent maintenant se faire craindre. C’est le nouveau mot d’ordre.
Le problème est que, si les juifs veulent être craints, alors ils doivent aussi accepter d’être détestés. La « crainte des juifs » peut se traduire, littéralement, par « judéophobie » (du grec phobos, crainte, peur). Pour se faire craindre, il faut avoir le pouvoir de nuire, et il faut le montrer. Bref, si les juifs veulent se faire craindre pour lutter contre l’antisémitisme, alors l’antisémitisme a de beaux jours devant lui.
Tout cela n’est pas très logique. Mais c’est très biblique. À ma connaissance, la Bible hébraïque ne recommande pas aux juifs de se faire aimer des non-juifs. Non, au contraire, elle leur apprend à se faire craindre. Le dieu d’Israël dit à son peuple, en Deutéronome 2:25 :
« À partir d’aujourd’hui, je répandrai la terreur et la crainte de toi parmi les peuples qui sont sous tous les cieux : quiconque entendra le bruit de ton approche sera saisi de trouble et frémira d’angoisse. »
Si Yahvé veut répandre la terreur parmi les non-juifs, n’est-il pas un dieu terroriste ? N’est-il pas le dieu des terroristes ? Les terroristes ont toujours été à l’honneur en Israël. En 1974, dans une interview télévisée, le futur Premier ministre Menahem Begin s’est vanté d’être le père fondateur du terrorisme mondial. Dans ses mémoires, il se félicite du massacre de Deir Yassin le 9 avril 1948, parce qu’ainsi, dit-il, plus d’un demi-million d’Arabes furent « pris de panique et s’enfuirent aux cris de “Deir Yassin” ». Qu’on ne me dise pas que Begin n’était pas un fidèle serviteur de son dieu.
Netanyahou est aussi un bon yahviste. En 2015, devant le Congrès américain, il demandait à l’Amérique de bombarder l’Iran au nom de la Bible hébraïque. Il citait le livre d’Esther, qui justement est important pour comprendre comment les juifs veulent se faire craindre. Je résume l’histoire. Le roi perse Assuérus a émis un décret de solution finale au sujet des juifs de son royaume, parce que « le peuple juif se trouve sur tous les points en conflit avec l’humanité entière, qu’il commet les pires méfaits jusqu’à menacer la stabilité de notre royaume ». Mais grâce aux charmes d’Esther, juive secrète qui s’est glissée dans le lit d’Assuérus, les juifs vont retourner la situation et obtenir du roi que le conseiller qui lui a inspiré ce décret soit pendu avec ces dix fils, et qu’un nouveau décret royal soit promulgué, qui donne aux juifs « permission d’exterminer, égorger et détruire, avec leurs femmes et leurs enfants, tous ceux qui voudraient les attaquer, et aussi de piller leurs biens » (8,11). C’est ainsi que les juifs massacrèrent soixante-quinze mille personnes. Dans tout le pays, conclut le livre d’Esther, « ce ne fut pour les Juifs, qu’allégresse, liesse, banquets et fêtes. Parmi la population du pays bien des gens se firent Juifs, car la crainte des Juifs s’appesantit sur eux » (8,17).
Cette histoire est totalement fictive, mais elle est très importante pour les juifs, car chaque année, à Pourim, ils célèbrent la pendaison d’Haman avec ses douze fils, et le massacre de 75 000 personnes, femmes et enfants compris.
Selon la conclusion de cette histoire, la crainte des juifs produit de nouveaux juifs, des gentils qui se font juifs par peur des juifs. C’est bien ce que dit le texte : « beaucoup de gens se firent Juifs parce que la peur des Juifs leur tomba dessus » (ou « les saisit », selon une autre traduction). Comme je l’ai dit, la crainte des juifs a plus de chance de produire des antisémites que des juifs nouveaux. Néanmoins, on trouverait facilement des exemples de gens qui se font juifs par peur des juifs : tout homme politique non-juif qui s’est un jour mis une kippa sur la tête et a juré une fidélité éternelle à Israël, s’est fait juif par peur des juifs.
Il y a dans le livre de Josué une autre histoire qui va dans le même sens. Au début du chapitre 2, Josué, qui reçoit ses ordres directement de Yahvé dans le Tabernacle, envoie deux espions dans la cité de Jéricho. Ayant été repérés, ils se cachent chez une prostituée du nom de Rahab. Celle-ci les aide à s’échapper en échange de la vie sauve pour elle et sa famille quand Israël attaquera la ville, parce que, dit-elle, « Je sais que Yahvé vous a donné ce pays, que vous faites notre terreur, et que tous les habitants du pays ont été pris de panique à votre approche ». Par conséquent, « Yahvé, votre dieu, est Dieu. »
Les éditeurs dominicains de la Bible de Jérusalem ont inclus en bas de cette histoire la note suivante : « Cette profession de foi au Dieu d’Israël a fait de Rahab, aux yeux de plus d’un Père de l’Église, une figure de l’Église venue de la Gentilité, sauvée par sa foi. » Que la putain de Jéricho soit un symbole de l’Église parce que, sous l’effet de la terreur d’Israël, elle se met à croire que le dieu d’Israël est Dieu et aide Israël à commettre le génocide de Jéricho (« hommes et femmes, jeunes et vieux, jusqu’aux taureaux, aux moutons et aux ânes », Josué 6:21), voilà une idée qui laisse perplexe.
Mais ce n’est pas, au fond, une mauvaise métaphore pour la complicité du monde chrétien dans le génocide israélien des Gazaouis. La peur d’Israël est, chez les chrétiens d’aujourd’hui, plus forte que la pitié pour les Gazaouis. Ils préfèrent cent fois s’en prendre à la Russie qu’à Israël. Car la Russie semble plutôt raisonnable, tandis qu’on ne sait pas de quoi Israël est capable.
Israël est le seul pays qui menace ouvertement de faire péter la planète. Ils appellent ça l’Option Samson. L’Option Samson, c’est la combinaison de la capacité nucléaire d’Israël et de sa réputation d’État paranoïaque, sociopathique et imprévisible. Tous les États savent qu’Israël possède une centaine de têtes nucléaires (80 selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm). Et tous les États savent qu’Israël est, comme prévenait déjà Moshe Dayan en 1967, « un chien fou, trop dangereux pour être importuné ». Semer la désolation nucléaire sur les ennemis d’Israël est très biblique :
« Et voici la plaie dont Yahvé frappera tous les peuples qui auront combattu contre Jérusalem : il fera pourrir leur chair alors qu’ils se tiendront debout, leurs yeux pourriront dans leurs orbites, et leur langue pourrira dans leur bouche. » (Zacharie 14,12)
Martin van Creveld, professeur d’histoire militaire à l’université de Jérusalem, expliquait au journal britannique The Guardian en 2003 que les révoltes palestiniennes ne trouveront qu’une seule solution : le « transfert » de tous les Palestiniens hors de Palestine. Sur le risque d’une opposition de la communauté internationale à un tel projet, il ajoutait : « Nous possédons plusieurs centaines de têtes et missiles nucléaires et nous pouvons les lancer dans toutes les directions. […] Nous avons la capacité d’entraîner le monde dans notre chute. Et je peux vous assurer que cela arrivera avant qu’Israël ne tombe. » Voilà résumé l’essence de l’Option Samson.
L’audace et l’impunité d’Israël aujourd’hui sont incompréhensibles si l’on ne prend pas en compte l’Option Samson. Mais l’Option Samson, comme le pouvoir juif en général, est tabou : tout le monde doit la connaître, mais personne n’a le droit d’en parler. Ce silence est le test ultime de la peur d’Israël. Dans un récent post, Seymour Hersh écrit : « Personne à Washington n’est autorisé à parler de l’arsenal nucléaire israélien. Ou comment cela affecte la région. Ou si cela sert les intérêts américains, alors même que le Moyen-Orient est au bord d’une guerre régionale. »
Hersh ne le dit pas, mais tout le monde l’a compris : c’est grâce à l’assassinat de Kennedy qu’Israël a pu se doter de l’Option Samson. Jefferson Morley, un investigateur sur l’assassinat de Kennedy, fait remarquer, en commentaire du post de Hersh, qu’il existe aussi un « bâillon israélien » (the Israeli gag) dans la recherche sur Kennedy.
« Vous pouvez constater les effets de la règle du bâillon israélien dans le témoignage longtemps classifié de James Angleton, chef du contre-espionnage de la CIA, devant les enquêteurs du Sénat en juin 1975. Les expurgations rendent visible ce que les gouvernements américain et israélien cherchent à dissimuler en 2024 : comment Israël a obtenu des armes nucléaires sous la surveillance d’Angleton. »
Dans l’extrait ci-dessous du rapport déclassifié d’une audition devant le Sénat en juin 1975, Angleton confirme qu’il tenait the Israeli account, le compte israélien (on disait aussi the Israeli desk, le bureau israélien), mais le mot Israeli est censuré.
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Comme chacun sait, Angleton est le suspect numéro un à l’intérieur de la CIA pour l’assassinat de Kennedy. Or, dans sa biographie d’Angleton, Morley a démontré son étroite collusion avec le Mossad, incluant sa complicité dans la contrebande de matériaux et de technologie nucléaires vers Israël. Ce qui veut dire que la piste de la CIA rejoint directement la piste du Mossad (ce que Morley évite de dire, en tant que membre éminent de l’école respectable : « C’est la CIA ! »).
Je dois dire que suis très déçu par le neveu du président Kennedy, Robert Kennedy Junior, qui semble n’avoir aucune idée du lourd soupçon qui pèse sur Israël dans les assassinats de son oncle et de son père, ou bien fait semblant de ne pas le savoir, ou bien ne veut pas le savoir.
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Et puisque j’ai commencé cet article en parlant de Rabbi Shmuley, je dois préciser que Rabbi Shmuley est un des amis et conseillers de Robert Kennedy Junior. Lors d’un meeting le 25 juillet 2023, il a présenté Robert Kennedy en mentionnant son père : « Le 5 juin 1968, à 00 h 15,… Robert Kennedy Sr., l’un des plus grands Américains qui ont jamais vécu, a été abattu par un terroriste palestinien, Sirhan Sirhan, et assassiné en raison de son soutien à Israël. Il a été abattu parce qu’il voulait partager le sort du peuple juif. » Bobby Jr. a écouté sans broncher, sans le moindre signe de désapprobation, alors qu’il sait très bien que son père n’a pas été tué par Sirhan, et certainement pas pour son soutien à Israël. Robert Kennedy Junior est resté figé et muet dans son fauteuil, même quand une dame courageuse dans l’assistance à traité Shmuley de menteur.
C’est un moment tristement révélateur. En humiliant publiquement Robert Kennedy Junior, Shmuley fait un exemple. Pour se faire craindre, les juifs doivent montrer leur pouvoir en faisant des exemples.
C’est ce qu’il font à Gaza, à une autre échelle. Cela explique, selon Andrew Anglin, qu’ils laissent sortir tant d’images du martyre de Gaza : c’est une crucifixion, une agonie offerte en spectacle aux yeux de tous, pour l’exemple.
Israël veut régner par la terreur. C’est dans la nature d’Israël parce que c’est dans la nature du dieu d’Israël. Le dieu d’Israël est le dieu terroriste, et le monde entier est aujourd’hui saisi de terreur. Yahvé règne !
Laurent Guyénot
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Psychanalyse, enfance et sexualité …ou sexuation?
(Partie III)
«Si les hommes savaient tirer la leçon de l’observation directe des enfants, il n’aurait pas été utile d’écrire ces trois essais. […] Mais pour ce qui concerne l’“extension” du concept de sexualité nécessitée pour l’analyse des enfants et de ce qu’on appelle des pervers, qu’il nous soit permis de rappeler à tous ceux qui, de leur hauteur, jettent un regard dédaigneux sur la psychanalyse, combien la sexualité élargie de la psychanalyse se rapproche de l’Eros du divin Platon.» Sigmund Freud
35 - Mais de quoi parle donc Freud dans ses Trois essais sur la théorie sexuelle (Drei Abhandlungen zur Sexualtheorie) lorsqu’il évoque la "sexualité infantile" (infantile Sexualtheorien), la satisfaction (Befriedigung), le plaisir (Lust), la jouissance (Genuss)? Gardons-nous d’entendre les mots de Freud autrement que comme des termes qui renvoient à des positions purement psychiques, faute de quoi il est impossible d’entrer dans la forme de la pensée freudienne. Tout terme chez Freud renvoie à une position psychique, dans un contexte singulier d’élaboration psychique, en tant que c’est par l’élaboration psychique que l’enfant se sera efforcé de surmonter sa séparation d’avec le corps maternel en imaginant son propre corps dont la construction est co-extensive de l’autonomie de sa pensée.
36 - Freud note cependant que si la vie sexuelle de l’adulte ne se déduit pas forcément de celle de l’enfant qu’il a été, c’est que d’avoir été définitivement séparé du corps maternel (l’objet sexuel originel perdu à jamais) l’aura fait traverser des errances (Abirrungen) causées par une multiplicité de découpages et de déplacements de l’attrait imputé à l’objet sexuel primordial qui reste unique et irremplaçable, la pulsion dite sexuelle ne visant pas dès lors à créer un objet, mais à retrouver, dans les objets existants, sur les différentes scènes de la réalité, des traces de l’objet originaire.
37 - S’il appert que Freud fait remonter la sexualité à la prime enfance, ses précises investigations sur la sexualité infantile pour la période antérieure à la sortie de l’Œdipe et à la puberté, l’amènent à la nécessité d’inventer nombre de concepts nouveaux, scandaleusement négligés, déformés et trahis par les traductions: parmi lesquels la Geschlechtstrieb (que je traduis donc par «pulsion d’espèce» et la Verlötung (soudure), deux termes qui apparaissent dans le même paragraphe, en conclusion de la première section du premier des Trois Essais: «Il nous apparaît que nous nous représentions le lien (die Verknüpfung) entre la pulsion sexuelle (Sexualtrieb) et l’objet sexuel sous une forme trop étroite. L’expérience des cas considérés comme anormaux nous apprend qu’il existe dans ces cas une soudure (Verlötung) entre pulsion sexuelle et objet sexuel, que nous risquons de ne pas voir en raison de l’uniformité de la conformation normale, dans laquelle la pulsion semble porter en elle l’objet. Nous sommes ainsi mis en demeure de relâcher [ou assouplir: zu lockern] dans nos pensées les liens entre pulsion et objet. Il est vraisemblable que la pulsion sexuelle [traduction fausse: il s’agit ici de la pulsion d’espèce (Geschlechtstrieb)] est d’abord indépendante de son objet et que ce ne sont pas davantage les attraits de ce dernier qui déterminent son apparition.» 
38 - Pour Freud, il n’y a donc pas d’objet adéquat à la pulsion : il repère dans les cas dits "anormaux" une soudure artificielle entre la pulsion et l’objet, mais en vérité c’est la pulsion qui littéralement investit les objets conformément aux tendances du sujet en cours d’émergence. Chaque sujet invente et produit sa propre réalité comme source de plaisir par la médiation de ses fantasmes qui trouvent support dans des objets. La pulsion sexuelle (Sexualtrieb) sera dès lors apparue sous les auspices d’une recherche désormais active et répétée de plaisir [alors que pour le nourrisson, le plaisir ne se prenait que de manière passive, placé sous le signe de la satisfaction (Befriedigung) ou cessation du déplaisir par l’action extérieure du soin maternel].
Quant à la jouissance (Genuss) — qui est à distinguer de son acception lacanienne tirant les conséquences de la lecture de Hegel par Kojève et de la notion de dépense développée par Bataille — elle n’apparaît que corrélativement à la pulsion d’emprise (Bemächtigungstrieb) par laquelle se manifestent toutes les formes de violence à l’égard de l’Autre, que l’enfant sera conduit à sublimer par la pulsion d’élaboration psychique (Bewältigungstrieb) se doublant d’une pulsion de savoir (Wisstrieb) qui l’ouvre au travail de conception psychique en lui permettant d’expérimenter une forme de maîtrise (Bewältigung) sur ce qui lui échappait jusque là et le faisait se sentir impuissant jusqu’à la détresse…
39 - Par ses possibilités d’élaboration psychique, l’enfant peut non seulement compenser l’absence de la mère, mais aussi bien s’absenter de la mère, se retrouver seul, séparé du corps maternel, sans pour autant éprouver cet état de détresse absolue ou de perte d’appui que Freud nomme Hilflosigkeit. Dans Au-delà du principe de plaisir, il raconte ainsi le passage du Fort/Da au miroir: «Un jour où la mère avait été absente pendant de longues heures, elle fut saluée à son retour par le message «Bébé O-O-o-o», qui parut d’abord inintelligible. Mais on ne tarda pas à s’apercevoir que l’enfant avait trouvé pendant sa longue solitude un moyen de se faire disparaître lui-même. Il avait découvert son image dans un miroir qui n’atteignait pas tout à fait le sol et s’était ensuite accroupi de sorte que son image dans le miroir était “partie”.»
De ces jeux de substitution, d’occultation et d’escamotage, Freud puis Lacan tireront patiemment les plus précieux enseignements sur la structure: à savoir la façon dont s’élabore la question de l’identité sur le fond de séparations premières, l’identité imaginaire  et aussi l’identité de jouissance ou de symptôme, en bref l’identité moïque. Car ce sont les conditions de ces séparations primitives qui font l’étoffe d’un sujet et partant feront aussi la cause de son moi, l’ombilic à partir duquel, le sujet humain pourra se figurer lui-même (stade du miroir chez Lacan).
40 - Il est désormais clair que le "sexuel" dont Freud parle dans la "sexualité infantile" est un sexuel qui ne concerne pas encore la sexualité, mais qui est à entendre au sens d’une quête d’identité, en guise de réponses, jamais satisfaisantes à la première question que se pose l’enfant sur son origine : «D’où viennent les enfants ?» (Woher die Kinder kommen ?), «Qu’étais-je avant d’être né?»…
La quête d’identité met en évidence l’importance primordiale et outrageusement négligée de la Geschlechtstrieb par laquelle l’enfant peut déjà s’identifier par l’image du corps à l’espèce humaine, en deçà (ou par delà) la division sexuelle, antérieurement à l’apparition des autres objets, la "pulsion d’espèce" donc, qui est indépendante de tout objet, et dont pour Freud «les cas considérés comme anormaux nous apprennent qu’il existe dans ces cas une soudure (Verlötung) entre pulsion sexuelle et objet sexuel».
C’est donc seulement parce que pour l’enfant se séparant du corps maternel il est impossible de rendre compte d’un lien (die Verknüpfung) entre la pulsion sexuelle (Sexualtrieb) et un objet sexuel sous une forme déterminée que Freud emploie l’expression "polymorphiquement pervers" pour signifier la jouissance non fixée de l’enfant, et comme le souligne avec à propos Jacques Sédat, lecteur attentif de Freud: «Il n’y a pas d’articulation fixe, permanente ou nécessaire, entre la pulsion, c’est-à-dire un sujet, et l’objet investi comme autre sujet sur la scène de la réalité. Autrement dit, la disposition polymorphiquement perverse de la sexualité infantile est pour Freud le contraire de la perversion au sens où nous l’entendons aujourd’hui. Cette disposition polymorphiquement perverse constate l’inadéquation initiale, originaire, entre la pulsion et les objets disponibles sur la scène de la réalité, que la pulsion va pourtant investir.»
41 - «[…] entre la pulsion, c’est-à-dire un sujet, et l’objet investi comme autre sujet sur la scène de la réalité»: la formulation est ici plus que pertinente pour ce qui définit en propre le Discours Analytique dont Lacan attribue la paternité à Freud: la pulsion est du côté du sujet, comme le souligne Freud, car pour lui la pulsion (Trieb) n'est pas à confondre avec l'instinct (Instinkt): «les pulsions sont des êtres de mythe, grandioses par leur indétermination», la notion de mythe impliquant structure. Alors que l’instinct est un savoir inné qui met en rapport l’animal et son environnement, l’Umwelt de l’homme est toujours déjà médié par le langage, raison pour laquelle le sujet humain déploie ses pulsions (orale, anale, génitale, scopique et invoquante) comme autant de montages langagiers…
Les pulsions dont la source est le corps n’en réfèrent pas moins à la structure, et leur poussée constante ne relève pas de la physiologie, leur objet étant indifférent, leur but la satisfaction…
Pour les trumains, l’Unbewusste (un savoir qui ne se dit pas, un dire qui ne se sait pas) s’est substitué à l’instinct animal. Le langage venu à la place du "rapport sexuel" absent (non rapportable à la structure), une trace de l’instinct perdu reste perceptible dans la reproduction de l’espèce...
42 - Les quatre pulsions mises à jour par Freud à partir de ce moment inaugural de la sexuation en tant qu’arrachement de l’enfant au corps maternel, et tentative de compenser la déchirure qui en résulte par la construction d’un corps propre susceptible d’assumer la séparation, pour résumer, s’articulent donc ainsi:
-la pulsion d’espèce (Geschlechtstrieb) qui n’est ni sexuelle ni sexuée, ni fixée sur un objet extérieur, mais vise l’image du corps de l’Autre en tant que reconnaissance identitaire permettant à l’enfant de se situer dès l’origine comme "sujet pensant" toujours déjà séparé de son être et devant se constituer un corps propre à partir de l’image de l’autre [que Lacan notera i(a)]…
Par les nécessités de l’existence (départ inopiné de la mère, inaccessibilité du corps maternel, sentiment anxiogène d’impuissance…) la Geschlechtstrieb se trouve, destinée à rencontrer
-la pulsion d’emprise (Bemächtigungstrieb) qui pousse l’enfant non pas à investir un objet, mais à arraisonner un objet pour tenter d’établir un lien plus ou moins fixe avec cet objet, le maîtriser assez pour supprimer l’aspecr aléatoire qui caractérise les objets extérieurs, quitte à maltraiter l’objet en lui imposant violemment sa volonté, afin qu’il soit toujours maintenu à disposition, rendu conforme à la visée de la pulsion asexuelle, qui anime son objet…
La Bemächtigungstrieb est celle qui correspond au "Fort", premier moment du Fort/Da (cf. 31) qui en tant que volonté de maîtrise exercée sur l’Autre. Ceux qu’on appelle des "casseurs", par exemple, en restent à ce niveau là de la pulsion d’emprise, cherchant à entrer dans le secret des choses (ou des autres) en les brisant... se double de
-la pulsion d’élaboration psychique (Bewältigungstrieb) qui apparaît comme la seconde étape du Fort/Da, le "Da" en tant qu’il permet la sublimation de la pulsion d’emprise à laquelle la Bewältigungstrieb est directement corrélée, car promettant une maîtrise (Bewältigung) plus complète de l’objet comme de soi-même, en permettant à l’enfant de s’extraire de l’agressivité physique pure en rétablissant l’objet malmené par la pulsion d’emprise, en le faisant revenir, et dans cette restauration de l’objet s’opère non seulement l’élaboration de l’absence de la mère, qu’on n’a plus besoin de détruire, mais surtout un travail psychique sur soi-même, une maîtrise (Bewältigung) psychique de soi qui se substitue à la pulsion d’emprise, maîtrise qui, à ce moment-là, dépasse la destruction et la contrainte de répétition. C’est ce que Freud appelle la pulsion d’élaboration psychique par la possibilité d’articuler la maîtrise psychique de l’objet (jusqu’à là physique, portée jusqu’à la maltraitance…) par une élaboration psychique (représentation) â partir de laquelle l’enfant parvient non seulement à symboliser l’absence de la mère, mais apprend à se séparer lui-même du corps maternel par la médiation de
– la pulsion de savoir (Wisstrieb) qui génère en partie la sublimation de la pulsion d’agression par l’assomption pour le sujet dans ce passage du physique au psychique d’une forme radicale d’altérité fondée sur la perception qu’il y a toujours de l’inconnu chez l’autre et même de l’inconnaissable, que l’altérité de l’autre fait qu’il échappe toujours, au moins partiellement à toute emprise, que le sujet ne peut jamais être sûr des pensées de l’Autre qui lui restent opaques (la cure analytique apprendra au sujet à renoncer à vouloir savoir a priori ce que pense l’autre pour apprendre à l’écouter: puisque les corps sont séparés, les pensées doivent être séparées tout aussi bien).
43 - Rappelons ici que si Freud fait remonter l’activité sexuelle à la prime enfance, c’est qu’il en situe l’origine dans la sexuation opérée avec le corps maternel, ce qui fait de la mère l’objet libidinal primordial toujours déjà perdu pour l’enfant des deux sexes, appelé à structurer cette séparation constitutive par la traversée de plusieurs stades pulsionnels ainsi que du complexe d’Œdipe qui consiste à intégrer la fonction paternelle comme métaphore dans le développement de l’enfant (ce qui le conduira logiquement à choisir son objet dans l’autre sexe…)
Freud note toutefois que «l’activité sexuelle de l’enfant ne se développe pas du même pas que ses autres fonctions; elle entre au contraire, après une brève période de floraison de la deuxième à la cinquième année dans ce qu’on appelle période de latence» durant laquelle, l’activité pulsionnelle donnant lieu à la production d’excitation sexuelle ne serait nullement suspendue mais persisterait et livrerait une provision d’énergie qui serait utilisée en grande partie à des fins autres que sexuelles, à savoir d’une part à la fourniture des composantes sexuelles des sentiments sociaux, d’autre part (moyennant refoulement et formation réactionnelle) à l’édification des barrières sexuelles ultérieures.
Puis Freud ajoute que: «le fait de l’amorce en deux temps du développement sexuel chez
l’homme, soit l’interruption de ce développement par la période de latence, nous a paru mériter une attention particulière, semblant contenir l’une des conditions de l’aptitude de l’homme à développer une culture supérieure, mais aussi de son inclination à la névrose», non sans prendre le soin d’avertir: «Nous avons en outre constaté par des expériences que les influences externes de la séduction peuvent provoquer des brèches prématurées dans la période de latence, voire aller jusqu’à l’abolir, et qu’en l’occurrence la pulsion sexuelle de l’enfant s’avère être de fait de type pervers polymorphe ; également, que toute activité sexuelle prématurée de ce genre porte atteinte à l’éducabilité de l’enfant.»
44 - Insistons en citant une nouvelle fois Freud dans le texte: «Es ist lehrreich, dass das Kind unter dem Einfluss der Verführung polymorph pervers werden, zu allen möglichen Überschreitungen verleitet werden kann. Dies zeigt, dass es die Eignung dazu in seiner Anlage mitbringt.» (Il est instructif que l’enfant puisse devenir, sous l’influence d’une séduction, un pervers polymorphe, et puisse être entraîné ainsi à toutes les
transgressions possibles. Cela montre qu’il apporte cette aptitude avec lui dans sa disposition.)
Ce que Freud vise avec le mot "aptitude" n’est rien d’autre que la jouissance non fixée de l’enfant du fait que les objets ne font leur apparition qu’après la pulsion et lui sont par conséquent toujours inadéquats, la pulsion n’investissant un objet extérieur qu’à partir de l’apparition de la pulsion d’emprise (cf. supra) toujours couplée à une pulsion d’élaboration psychique qui amène le sujet à pouvoir étendre sa maîtrise mais aussi devenir lui-même, par les lois du langage, objet de jouissance (puissance) d’un autre…
Dans la perspective freudienne, la jouissance ne concerne que la pulsion de l’adulte exercée sur l’enfant ou un adulte.
Lorsqu’il s’agit des enfants, le sexuel dont parle Freud est donc bien cette compensation mise en place au plan psychique pour permettre au petit sujet d’assumer sa sexuation, c’est à dire sa séparation d’avec l’objet libidinal primordial qu’est le corps maternel, en se soutenant de son activité pulsionnelle qui est de l’ordre du fantasme et doit rester au strict plan du fantasme.
Pour le dire avec Lacan: «Faire l’amour, comme le nom l’indique, c’est de la poésie. Mais il y a un monde entre la poésie et l’acte. L’acte d’amour, c’est la perversion polymorphe du mâle. Ceci chez l’être parlant, il n’y a rien de plus assuré, de plus cohérent, de plus strict quant au discours freudien.»
45 - Si Freud insiste sur la déliaison fondamentale entre pulsion et objet, ce qui met l’enfant dans la disposition (mal interprétée) d’avoir été dite, par lui, polymorphiquement perverse — à savoir a priori non-fixée sur une jouissance spécifique — il ne manque pas de signaler qu’une séduction précoce et le non-respect de la période de latence chez l’enfant peut provoquer des brèches dans sa construction psychique, jusqu’à l’endommager gravement, rendre l’enfant inéducable, susceptible de développer des troubles sévères de la personnalité, pouvant aller jusqu’aux aptitudes à la prostitution et à toutes les perversions répertoriées par les adultes dont il sera devenu objet. Ce que Freud dénomme chez l’enfant du «polymorphiquement pervers» est le contraire absolu de la perversion telle qu’elle se donne dans le langage courant, où l’acception "pervers" désigne un comportement invasif envers un objet sexuel, pouvant aller jusqu’à l’extrême brutalité et l’asservissement aux sévices qui lui sont infligés…
NB: Dans la perspective psychanalytique, nonobstant le fait que psychose paranoïaque et perversion sont de structure différente, elles visent toutes deux à la maîtrise de l’Autre et gardent un lien étroit avec la sexualité:
-du côté de la paranoïa, on vise à maîtriser l’Autte par le contrôle de ses pensées, en cherchant à les diriger… Nous sommes ici dans le registre de la seconde des théories sexuelles infantiles, la théorie dite cloacale (cf. 19, 20, 21) qui correspond à un état maniaque où il y a deux corps mais un seul appareil psychique, de façon à ce que l’autre ne puisse échapper au sujet parce que ses pensées ne lui sont pas étrangères. Pour Freud, la paranoïa se soutient essentiellement d’une homosexualité refoulée, le persécuteur étant toujours du même sexe…
-dans la perversion (prise dans sa stricte acception psychanalytique, la perversion de structure n’étant pas à confondre avec la perversité, ni les traits pervers…) le pervers se fait l’instrument, et donc l’objet de la jouissance de l’Autre afin de pouvoir s’instaurer en maître et éducateur de sa victime-partenaire, dans la mesure où se sentant exclu de la jouissance, il a pris le parti de dénier l’inadéquation fondamentale de la pulsion à l’objet qui est toujours substituable à un autre… Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion…
46 - Pour conclure provisoirement: la sexuation (génératrice de la douleur d’ex-sister) force le sujet à passer par une série de compensations fantasmatiques, dont la mise en branle de l’appareil psychique déterminera, en fonction du contexte d’éducation, les motions sexuelles qui l’animeront selon le Lustprinzip (principe de plaisir), dans une dialectique jouissance/séparation, où la jouissance consiste à se fondre dans quelque chose de plus vaste que soi, et la séparation à jouer la limitation de cette jouissance par l’assomption de son destin en tant qu’il définit la singularité du sujet porté par la tension du désir. Il y a donc ici deux pôles et ce qui gît dans l’intervalle, ce qui fait pour le sujet la distance qu’il peut maintenir entre les deux limites pour y respirer pendant le temps qu’il lui reste à vivre, et c’est cela que Lacan appellera le désir.
Le sujet (symbolico-réel) ne peut se construire que dans la séparation d’avec l’objet, mais le moi (imaginaire) souhaite selon Freud: « être en indivis (non séparé) avec l’objet externe».
L’éthique de la psychanalyse se conditionne donc depuis son origine d’une assomption des difficultés de la séparation (Abschiedsschwierigkeiten) et nous sommes en tant que sujet toujours confrontés à l’alternative : séparation ou soumission.
Voilà l’une des façons d’aborder le problème actuel du «Malaise dans la civilisation»…
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Il est tellement simple de se rendre compte que l'idéologie du genre n'est qu'un ramassis de conneries propagé par des jeunes passant leur vie sur internet lorsque l'on vient d'un pays non anglophone. Il suffit juste de prêter attention au language que les activistes du genre utilisent pour en parler.
Non seulement certains termes n'ont pas de traduction, comme "genderfluid" ou "genderqueer', mais ils utilisent également le mot "queer", une insulte qui signifie littéralement "bizarre" et "contre nature", au lieu de sa traduction. Pourquoi ne clamez-vous pas directement que vous êtes des "anormaux" au lieu d'écrire "queer" sur vos pancartes ?
Mon exemple préféré est celui des pronoms dans la bio. Je ne parle pas des personnes comme moi qui ont leur bio en anglais car elles ne traînent que sur le côté anglais d'une plate-forme, mais bien de celles qui sont actives uniquement du côté francophone, de Twitter ou Instagram par exemple, ont tous leurs posts en français, leur bio également, excepté pour le petit "she/her" ou "he/him". Pourquoi ne pas écrire "elle" ou "il/lui" ? Parce que ça semble plus ridicule, parce que vous n'y pensez même pas tant vous réutilisez simplement la propagande de l'internet américain ?
Même pour nous insulter, ils parlent anglais. C'est "fuck terfs", jamais "allez vous faire foutre, terfs!". Remarquez, même "terf" est un acronyme anglais sans équivalent français... ils n'utilisent même pas le terme "féministe radicale". Au mieux, j'ai vu "radfem" - un terme anglais.
D'ailleurs, cette idéologie est tellement centrée autour des États-Unis et régurgitée toute faite dans les autres pays en provenance de ce dernier, que même les mots utilisés pour la combattre sont anglais - pardonnez-moi si je me trompe, mais il n'existe pas d'équivalent français de "gender critical", si ?
De toute façon, quand je les vois parler de Stonewall, de Rivera, de Marsha, de queer, je sais tout de suite ce qu'il en est.
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bruleeparlalune · 6 months
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #5
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Traduction faite durant le mois :
Une partie de la vieille ville de Prehevil, celle de la place de la croix. Ça comprend les discussions de groupe.
L'atelier
Le hall des Nouveaux Dieux
Une partie des passés des personnages. Comprenant aussi l'intro dans le train. J'ai fini : - Levi - Marina - Daan - Abella - O'saa (version abrégée) À l'heure où j'écris ce poste, j'étais en plein dans la traduction de la version longue de l'histoire d'Osaa.
Petit sneak peak juste en dessous !
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Vielle Ville - Place de la Croix
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Parti pris sur ce coup là, mais j'ai du mal à trouver une bonne traduction pour l'expression "rose-tinted glasses". Il y en a bien une en français ("voir à travers des lunettes roses", ou même "voir la vie en rose"), mais dans le contexte, je trouve que ça sonne mal. Du coup, j'ai préféré partir sur la traduction de l'expression, directement.
2. Atelier et Hall des Nouveaux Dieux
Pas grand chose à dire sur ces parties là. L'Atelier comporte tous les événements qui s'y passe, Mais le Hall des Nouvaux Dieux a bien été le texte le plus dur et long à traduire ! Oh là là !
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3. Passés des personnages
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L'expression "drinking in the gutter" pourrait dire littéralement "bourré au point d'en dormir à la rue (devenir sdf), dans le caniveau", aka un vendredi matin normal pour un étudiant en médecine. Je ne suis pas arrivé à trouver une expression ou phrase en français pour dire exactement la même chose, je suis parti alors sur "se noyer dans son alcoolisme", qui, j'espère, porte la même idée.
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Le mot "churchyard" signifie "cimetière", mais peut aussi dire "parvis", pour un terrain adjacent à une église. IMO, je serai parti sur la deuxième signification, "cure", qui veut aussi dire presbytère. À savoir pourquoi le mot presbytère n'a pas été utilisé là, surtout qu'il existe à la fois en anglais et en finnois...
Il y avait aussi des traductions des compétences, mais j'en parlerai mieux lorsque je serrai à ce moment là de la trad (l'Hexen a sa propore "maps", avec pratiquement tous les noms des skills dedans).
Sur ce, prochain post au prochain mois 👋 ! ++
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docnederlands · 1 year
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Dat kon je op je klompen aanvoelen !
🔹 Betekenis : Je kon verwachten dat dit zou gebeuren
🔹 Variant : Dat kon je met je klompen aanvoelen!
🔹 Zinverwante uitdrukkingen : Dat was te verwachten! / Je kon het wel zien aankomen! / Dat had ik (hadden we …) wel verwacht ! / Dat had men kunnen weten !
🔹 Literal translation : You could sense that on your clogs. / traduction littérale : Tu pouvais le sentir sur tes sabots. / wörtliche Übersetzung : Das konntest du an deinen Holzschuhen spüren. / traduzione letterale : Potevi sentirlo sui tuoi zoccoli.
🔹 Engels ; English : That was to be expected! / That was predictable! / It was bound to happen! / I knew (We knew) that would happen! / I saw (We saw) that coming! / I should (We should) have known (better)!
🔹 Frans ; français : Il fallait s'y attendre! / Je devais m'y attendre! (Nous devions nous y attendre!) / C'était prévisible! / C'était à prévoir! / Ça devait (bien) arriver (un jour / un jour ou l'autre)! / On aurait dû le savoir!
🔹 Duits ; Deutsch : Das war (ja) zu erwarten! / Das konnte man (ja) erwarten! / Das hatte man (ja) erwartet! / Damit musste man ja rechnen! / Das war (ja) vorauszusehen! / Das war (ja) vorhersehbar! / Das war (ja) voraussehbar! / Das musste (ja) so kommen! / Das musste ja passieren! / Das hätte ich (hätten wir) wissen müssen! / Das hätte ich (hätten wir) wissen sollen!
🔹 Italiaans ; italiano : C'era da aspettarselo! / Dovevo aspettarmelo ! (Dovevamo aspettarcelo !) / Era prevedibile ! / Doveva succedere (, un giorno o l'altro)! / Doveva accadere (, un giorno o l'altro) ! / Avrei dovuto saperlo! (Avremmo dovuto saperlo!)
06-06-2023
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dosartistas · 1 year
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(vía Le Livre des Mille et une Nuits - Book Graphics)
Le Livre des Mille et une Nuits. Traduction littérale et complète du texte arabe par Dr. J.C. Madrus. Illustrations de Léon Carré. L’édition d’Art H. Piazza, Paris, 1932.
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jazhmock · 1 year
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Voici 4 aspirations apportant de nouveaux défis pour nos petits Sims ! Ce post reprend en grande partie celui de MissBee sur ModTheSims, je le traduis et l'illustre avec mes propres captures d'écran pour expliquer le fonctionnement des aspirations.
4 aspirations pour enfants par MissBee
MAJ la plus récente : 01.04.2023 | Version actuelle : v3.0 Compatibilité : Au travail + Heure de gloire + Être parents
Découvrez 4 nouvelles aspirations aux traits de récompense inédits s'ils parviennent à les compléter ! Ce set contient : Parfait petit ange, Petit(e) Einstein, Déliquant(e) et Enfant star. Chacune d'entre elle utilise des interactions de différents packs pour vous apporter de nouveaux objectifs à accomplir avec vos Sims. Terminer ces aspirations les récompensera d'un trait personnalisé qui leur apportera des bonus d'amélioration dans certaines carrières et compétences, parmi d'autres avantages.
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Présentation rapide des aspirations :
Parfait petit ange : requiert Être parents
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Petit(e) Einstein : requiert Au travail
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Déliquant(e) :
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Une fois chaque aspiration terminée, les Sims peuvent obtenir de temps en temps un moodlet spécifique. Pour celle-ci il s'agit de "Schadenfreude", un terme allemand que j'ai choisi de ne pas traduire et qui signifie littéralement "joie [du] dommage", c'est-à-dire se réjouir du malheur de quelqu'un d'autre.
Enfant star : requiert Heure de gloire
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Notes des dernières MAJ :
Ces aspirations devraient être totalement compatibles depuis la mise à jour des nourrissons ! Elles ont été testées mais il est toujours possible de passer à côté d'une erreur, n'hésitez pas à le reporter si vous remarquez quelque chose.
- 16.03.2023 : mise à jour des objectifs de chaque aspiration (voir la description ci-dessous pour les infos exactes)
Installation :
- Le mod : ModTheSims (section "files" → MisBee - ChildAspirationsSet.zip) - Les traductions : SFS
⚠️ Si le point d'interrogation au début du fichier de la traduction a disparu, pensez à le rajouter pour qu'elle soit bien détectée ⚠️
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rarougrougrou · 1 year
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ahh jsuis trop heureux de rencontrer un autre aylonit!! c un mot très bien je pense - le sens littéral est "petit bélier," que tu connais probablement, mais je trouve que c une excellent description d'être transmasc
Omg je croyais littéralement être le seul francophone à connaître ce terme!! A chaque fois que j'en parle à quelqu'un je dois expliquer
De base j'ai découvert le terme pour trouver le titre de la fic que j'écris, et en trouvant la signification générale et à quoi ca a fait référence (je connaissais pas la traduction littérale tho, tu m'apprends quelque chose haha), et du coup j'avais énormément relate au terme (en plus du fait que c'est le titre parfait pour ma fic du coup)
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Et on dirait bien que je vais avoir internet cette semaine !
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Me voici donc arrivée dans la communauté de Cotokocha, pas très loin de Puyo et de la jungle. Le village donne sur la rivière où tous les enfants apprennent à nager dès le plus jeune âge.
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La journée a commencé de façon un peu étrange puisqu'on mon hôte était en ville quand je suis arrivée, ce sont donc 5 enfants entre 2 et 12 ans qui se sont occupés de moi ! ("Mais à quoi ça sert un bonnet pour avoir chaud à la tête ?")
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J'ai également pu faire la rencontre des animaux de compagnie du coin ... En plus des chiens et chats habituels (qui évitent aux poules de se faire manger la nuit), il y a ... Deux singes, et deux perroquets tombés du nid qui ne volent pas!
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Les pauvres singes sont attachés en journée (trop de risque qu'ils partent avec un touriste ...), mais libérés le soir. Et quand ils se sentent trop malheureux (et le font entendre !), on leur sert de la chicha (prononcer TchiTcha), une boisson fermentée maison ... Singe bourré, singe qui dort ! (Oui, bon, je donne des cours d'anglais ici, pas d'éthique !)
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Le village est très mignon, bien que très rudimentaire évidemment. Les maisons sont pour la plupart à un étage : au RDC, sol en terre battue, et au dessus les chambres. La cuisine a l'air de pouvoir être un peu n'importe où ! Toilettes communs pour le village ... Et pour l'instant, je n'ai pas vu de papier toilette, pas sûre de vouloir poser la question ...
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Aujourd'hui, on a tous eu beaucoup de chance : un couple âgé des Etats Unis a fait une visite surprise à la famille locale. Ils sont venus une fois il y a 3 ans, et sont devenus les parrains de deux petites filles ici.
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Malheureusement, le père de famille (le seul qui parlait anglais) est décédé tragiquement entre temps : ils ont alors permis à la famille de retomber sur leurs pieds et de ne pas littéralement mourir de faim en leur offrant 2000$. Leur retour inattendu dans le village a donc fait grand bruit ! Seul souci ... Personne ne parle anglais. Heureusement qu'une Touille en vadrouille est justement venue s'incruster pile aujourd'hui 🥰
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Du coup, j'ai pu faire la traductrice toute la soirée (beaucoup d'émotions des deux côtés, pas toujours facile!), et profiter de retrouvailles particulièrement émouvantes. On a même eu droit à une cérémonie dansée (à laquelle votre chère et tendre a été intégrée, on a la classe ou on ne l'a pas !), et nos deux américains se sont vu offrir deux couronnes magnifiques à base de plumes, juste splendides... Étonnamment, certaines réactions ne nécessitaient pas ma traduction :)
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Bref, une première journée assez poignante et qui ne s'est pas du tout passée comme prévu... Et finalement à mon grand bonheur 😁
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(et oui, j'ai apparemment un certain talent à la sarbacane, j'ai touché les deux fois la cible 😎)
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