#tweed champ
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fuzzkaizer · 8 months ago
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Garnet - Randy Bachman’s Herzog Model G12-H, 1972
Tube Preamp Amp Distortion Unit & Amplifier Head
"... tube overdrive effect, serial number 7616, ... This is the first version, which is the predecessor the slightly later H-Zog. Both The Herzog and it’s successor have a single 12AX7 and a 6V6. This small head is an amazing sounding preamp, but will also function as a 3w amplifier. Randy Bachman was blowing up Tweed Champs by using them as a preamp, so Garnet effectively reconfigured a Tweed Champ schematic with line out, for proper use as a preamp ...
Developed by Thomas “Gar” Gillies, founder of the Garnet Amplifier Company, the Herzog was built in collaboration with The Guess Who and Bachman-Turner Overdrive guitarist, Randy Bachman. A former violin player, Bachman loved the effect of a sustained hum sound, and often tried to mimic it on his guitar by plugging a small amp into a bigger amp, and cranking the volume. After repairing countless blown amps for Bachman, Gillies built him the tube pre-amp seen here. The creamy overdrive and sustained guitar tone produced by the Garnet Herzog went on to become the signature “Winnipeg sound” heard on tracks such as “American Woman” and “No Time”"
cred: reverb.com/GEARLORD
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deebeeus · 11 months ago
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A tweed in black tolex.
1964 Fender 5F1 Champ. The last, and possibly most famous (thanks to being used on songs like "Layla") of the Fender tweed amps, but covered in black Tolex in 1964 only to bridge the cosmetics gap until the redesigned Black Panel AA764 Champ came out.
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tomtoneefx · 5 months ago
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A História dos Amplificadores Fender - Moldando o Som da Guitarra
Novo Episódio de Momento de Efeito
Os amplificadores Fender desempenharam um papel decisivo na formação dos sons da música moderna, particularmente no mundo do rock 'n' roll, e foram as ferramentas preferidas de músicos lendários.
#fender #k&F #woodies #TVFront #Widepanel #narrowpanel #Tweed #bassman #blackface #brownface #blonde #silverface #cbs #tonemaster #twin #Reverb #leofender #amplificador #amp #guitarra #Baixo #superreverb #twinreverb #bandmaster #champ #princeton #vibrolux #deluxe #Tremolux #proamp #vibroverb #showman #montreux #stagelead #studiolead #Superchamp #Theconcert #redknob #bluesjunior hotrod #deville #cybertwin #tomtone #cortes #stompbox
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strawberryr · 1 year ago
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Quel costume de mariage en 2024?
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Lorsqu'on arrive à la collection des magnifiques tissus européens, on est immédiatement frappé par la diversité et le savoir-faire remarquable que chaque pièce de tissu véhicule. Des collines luxuriantes d'Italie aux métiers ancestraux de la France, ces textiles portent en eux les signes révélateurs d'une tradition séculaire et d'une ingéniosité avant-gardiste. Imaginez passer vos doigts le long d'un rouleau de soie d'Italie : elle s'étale doucement, brillant délicatement pour évoquer une élégance intemporelle. Ce n'est pas seulement du tissu, mais des générations d'artisans perfectionnant leur métier dans la quête de la beauté et du luxe. Des ateliers parsemant l'Angleterre, le tweed se déploie avec chaque fil minutieusement tissé pour créer une tapisserie de chaleur et de résilience. La tradition se mêle à la modernité ; les motifs ancestraux acquièrent une nouvelle vie à travers des designs contemporains, séduisant tant les sensibilités classiques que les goûts modernes. En explorant les marchés textiles de l'Espagne, on est envahi par les teintes vibrantes du coton andalou, une assemblée vivante imprégnée de l'esprit du sud de l'Espagne. Nés des champs baignés de soleil et des mains expertes des tisserands de cette région, ces tissus apportent une chaleur et une authenticité qui ne peuvent être reproduites. On ne peut qu'être enchanté par la dentelle complexe de la Belgique, où chaque motif témoigne du temps, de l'effort et de l'art délicat. C'est une danse de fils captant la lumière et l'ombre dans un affichage envoûtant de maîtrise textile. Chaque tissu, que ce soient les robustes lainages d'Écosse ou les linons éthérés d'Irlande, éveille une émotion différente, et on ne peut qu'admirer la riche tapisserie du patrimoine textile à travers l'Europe. Ce ne sont pas seulement des matériaux, mais des incarnations vivantes de culture, d'histoire et d'une quête incessante d'excellence. Ces tissus sont renommés dans le monde de la haute couture et du design intérieur pour leur pouvoir transformateur de faire d'un vêtement ou d'une pièce une déclaration de sophistication et de goût. Ils inspirent les designers et artisans du monde entier pour veiller à ce que la tradition de l'artisanat textile européen demeure vivante dans un monde qui valorise de plus en plus la qualité, l'authenticité et la beauté du fait main.
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mmguitarbar · 3 years ago
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Wow, friends, it has been a minute! We’ve been Guitar Bar-ing as fast as we can around here, with so much fun gear slipping by without even the smallest nod on the Socials. We’re fortunate to be absolutely stacked with choice morsels at present, and here’s a pile of recent lower wattage Tweeds that have been serviced and tidied up to be their best selves. Champs, Princetons, Deluxes, and even a stray Harvard in the mix. #Fender #FenderTweed #VintageFender #TweedAmps (at Mike & Mike's Guitar Bar) https://www.instagram.com/p/CdKJjb1rfLe/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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areus-in-a-little-cave · 3 years ago
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Pour tous les retardataires dans les guerres des miaulements, je peux donner un peu de contexte. désolé d'avoir tapé en français c'est juste beaucoup à expliquer donc c'est plus facile dans ma première langue tu sais
en gros : Écoutez, je ne voulais pas être un sang-mêlé.
Si vous lisez ceci parce que vous pensez en être un, mon conseil est le suivant : fermez ce livre tout de suite. Croyez tout ce que votre mère ou votre père vous a dit au sujet de votre naissance et essayez de mener une vie normale.
Être un sang-mêlé est dangereux. C'est effrayant. La plupart du temps, cela vous fait tuer de manière douloureuse et désagréable. Si vous êtes un enfant normal, lisez ceci parce que vous pensez que c'est de la fiction, super. Continuer à lire. Je t'envie de pouvoir croire que rien de tout cela ne s'est jamais produit. Mais si vous vous reconnaissez dans ces pages – si vous sentez quelque chose remuer à l'intérieur – arrêtez immédiatement de lire. Vous pourriez être l'un d'entre nous. Et une fois que vous savez cela, ce n'est qu'une question de temps avant qu'ils ne le sentent aussi, et ils viendront vous chercher.
Ne dites pas que je ne vous ai pas prévenu.
Je m'appelle Percy Jackson.
J'ai douze ans. Jusqu'à il y a quelques mois, j'étais pensionnaire à Yancy Academy, une école privée pour enfants en difficulté dans le nord de l'État de New York.
Suis-je un enfant à problèmes ?
Ouais. Vous pourriez dire ça.
Je pourrais commencer à n'importe quel moment de ma courte vie misérable pour le prouver, mais les choses ont vraiment commencé à mal tourner en mai dernier, lorsque notre classe de sixième a fait une excursion à Manhattan - vingt-huit enfants souffrant de troubles mentaux et deux enseignants sur un jaune bus scolaire, en direction du Metropolitan Museum of Art pour voir des objets grecs et romains anciens.
Je sais – ça ressemble à de la torture. La plupart des sorties sur le terrain de Yancy l'étaient.
Mais M. Brunner, notre professeur de latin, dirigeait ce voyage, alors j'avais de l'espoir.
M. Brunner était ce type d'âge moyen dans un fauteuil roulant motorisé. Il avait les cheveux clairsemés, une barbe hirsute et une veste en tweed effiloché, qui sentait toujours le café. Vous ne penseriez pas qu'il serait cool, mais il racontait des histoires et des blagues et nous laissait jouer à des jeux en classe. Il avait aussi cette impressionnante collection d'armures et d'armes romaines, il était donc le seul professeur dont la classe ne m'endormit pas.
J'espérais que le voyage se passerait bien. Au moins, j'espérais que pour une fois je n'aurais pas d'ennuis. Garçon, j'avais tort. Tu vois, de mauvaises choses m'arrivent lors de sorties sur le terrain. Comme dans mon école de cinquième année, lorsque nous sommes allés sur le champ de bataille de Saratoga, j'ai eu cet accident avec un canon de la guerre d'indépendance. Je ne visais pas le bus scolaire, mais bien sûr j'ai quand même été expulsé. Et avant cela, dans mon école de quatrième année, lorsque nous avons fait une visite des coulisses de la piscine à requins de Marine World, j'ai en quelque sorte appuyé sur le mauvais levier sur le podium et notre classe a pris une baignade imprévue. Et le temps d'avant. . . Eh bien, vous avez l'idée.
Ce voyage, j'étais déterminé à être bon.
Pendant tout le trajet dans la ville, j'ai supporté Nancy Bobofit, la kleptomane aux taches de rousseur, frappant mon meilleur ami, Grover, à l'arrière de la tête avec des morceaux de sandwich au beurre de cacahuète et au ketchup.
Grover était une cible facile. Il était maigre. Il a pleuré quand il était frustré. Il a dû être retenu plusieurs années, car il était le seul élève de sixième à avoir de l'acné et le début d'une barbe vaporeuse sur le menton. En plus de tout cela, il était paralysé. Il avait une note l'excusant de l'éducation physique pour le reste de sa vie parce qu'il avait une sorte de maladie musculaire dans les jambes. Il marchait bizarrement, comme si chaque pas lui faisait mal, mais ne vous y trompez pas. Vous auriez dû le voir courir quand c'était le jour de l'enchilada à la cafétéria.
Quoi qu'il en soit, Nancy Bobofit lançait des liasses de sandwich qui collaient dans ses cheveux bruns bouclés, et elle savait que je ne pouvais rien lui faire parce que j'étais déjà en probation. Le directeur m'avait menacé de mort par suspension scolaire si quelque chose de mauvais, d'embarrassant ou même de légèrement divertissant se produisait pendant ce voyage.
"Je vais la tuer", marmonnai-je.
Grover a essayé de me calmer. 'C'est bon. J'aime le beurre de cacahuète. Il a esquivé un autre morceau du déjeuner de Nancy.
"C'est ça." J'ai commencé à me lever, mais Grover m'a ramené à mon siège.
"Tu es déjà en probation", m'a-t-il rappelé. "Vous savez qui sera blâmé si quelque chose arrive." En y repensant, j'aurais aimé avoir décoré Nancy Bobofit sur-le-champ. La suspension à l'école n'aurait été rien comparé au gâchis dans lequel j'étais sur le point de me mettre.
M. Brunner a dirigé la visite du musée. Il est monté à l'avant dans son fauteuil roulant, nous guidant à travers les grandes galeries d'échos, devant des statues de marbre et des vitrines pleines de très vieilles poteries noires et oranges.
Cela m'a époustouflé que ce truc ait survécu pendant deux mille, trois mille ans.
Il nous a réunis autour d'une colonne de pierre de quatre mètres de haut surmontée d'un grand sphinx et a commencé à nous raconter comment c'était une pierre tombale, une stèle, pour une fille d'environ notre âge. Il nous a parlé des sculptures sur les côtés. J'essayais d'écouter ce qu'il avait à dire, parce que c'était plutôt intéressant, mais tout le monde autour de moi parlait, et chaque fois que je leur disais de se taire, l'autre professeur chaperon, Mme Dodds, me regardait d'un mauvais œil. .
Mme Dodds était cette petite prof de maths de Géorgie qui portait toujours un cuir noir veste, même si elle avait cinquante ans. Elle avait l'air assez méchante pour conduire une Harley directement dans votre casier. Elle était venue à Yancy au milieu de l'année, quand notre dernier professeur de maths a fait une dépression nerveuse.
Dès son premier jour, Mme Dodds a adoré Nancy Bobofit et a pensé que j'étais une progéniture du diable. Elle pointait son doigt tordu vers moi et disait: «Maintenant, chérie», vraiment gentil, et je savais que j'allais avoir une retenue après l'école pendant un mois.
Une fois, après qu'elle m'ait fait effacer les réponses de vieux cahiers de mathématiques jusqu'à minuit, j'ai dit à Grover que je ne pensais pas que Mme Dodds était humaine. Il m'a regardé très sérieusement et a dit: "Tu as tout à fait raison."
M. Brunner n'arrêtait pas de parler de l'art funéraire grec.
Finalement, Nancy Bobofit a ricané quelque chose à propos du mec nu sur la stèle, et je me suis retournée et j'ai dit: "Voulez-vous la fermer?"
C'est sorti plus fort que je ne le pensais. Tout le groupe éclata de rire. M. Brunner a arrêté son récit.
« Monsieur Jackson, dit-il, avez-vous un commentaire ?
Mon visage était totalement rouge. J'ai dit: "Non, monsieur."
M. Brunner a pointé l'une des images sur la stèle.
« Peut-être que vous nous direz ce que représente cette image ? »
J'ai regardé la sculpture et j'ai ressenti une bouffée de soulagement parce que je l'ai vraiment reconnue. "C'est Cronos qui mange ses enfants, n'est-ce pas?"
"Oui", a déclaré M. Brunner, manifestement pas satisfait. ‘Et il a fait ça parce que. . .'
'Hé bien . . .’ Je me suis creusé la tête pour me souvenir. ‘Kronos était le dieu roi, et –’
'Dieu? demanda M. Brunner.
"Titan", me suis-je corrigé. 'Et . . . il ne faisait pas confiance à ses enfants, qui étaient des dieux. Donc, euh, Kronos les a mangés, non ? Mais sa femme a caché le bébé Zeus et a donné à Kronos une pierre à manger à la place. Et plus tard, quand Zeus a grandi, il a trompé son père, Kronos, pour qu'il vomisse ses frères et sœurs -'
'Eeew ! dit une des filles derrière moi.
‘– et donc il y a eu ce grand combat entre les dieux et les Titans’, continuai-je, ‘et les dieux ont gagné.’
Quelques ricanements du groupe.
Derrière moi, Nancy Bobofit a marmonné à un ami : « Comme si on allait utiliser ça dans la vraie vie. Comme il va dire sur nos demandes d'emploi, "Veuillez expliquer pourquoi Kronos a mangé ses enfants".
« Et pourquoi, monsieur Jackson, dit Brunner, pour paraphraser l'excellente question de Miss Bobofit, est-ce que cela a de l'importance dans la vraie vie ? '
« Cassé », marmonna Grover.
"Tais-toi", a sifflé Nancy, son visage encore plus rouge vif que ses cheveux.
Au moins, Nancy a aussi eu des ennuis. M. Brunner était le seul à l'avoir jamais surprise en train de dire quelque chose de mal. Il avait des oreilles radar.
Je réfléchis à sa question et haussai les épaules. « Je ne sais pas, monsieur. »
"Je vois." M. Brunner parut déçu. « Eh bien, demi-crédit, M. Jackson. Zeus a en effet nourri Kronos d'un mélange de moutarde et de vin, ce qui lui a fait dégorger ses cinq autres enfants, qui, bien sûr, étant des dieux immortels, avaient vécu et grandi sans être digérés dans l'estomac du Titan. Les dieux ont vaincu leur père, l'ont découpé en morceaux avec sa propre faux et ont dispersé ses restes dans le Tartare, la partie la plus sombre des Enfers. Sur cette note joyeuse, c'est l'heure du déjeuner. Mme Dodds, voudriez-vous nous ramener dehors ? »
La classe s'est endormie, les filles se tenant le ventre, les gars se bousculant et agissant comme des idiots.
Grover et moi étions sur le point de nous suivre quand M. Brunner a dit : « M. Jackson ».
Je savais que ça allait arriver.
J'ai dit à Grover de continuer. Puis je me tournai vers M. Brunner. 'Monsieur?'
M. Brunner avait ce regard qui ne vous laissait pas partir - des yeux bruns intenses qui auraient pu avoir mille ans et avaient tout vu.
"Vous devez apprendre la réponse à ma question", m'a dit M. Brunner.
‘A propos des Titans ? '
‘A propos de la vraie vie. Et comment vos études s'y appliquent.
'Oh.'
«Ce que vous apprenez de moi, dit-il, est d'une importance vitale. J'attends de vous que vous le traitiez comme tel. Je n'accepterai que le meilleur de vous, Percy Jackson.
Je voulais me mettre en colère, ce mec m'a tellement poussé.
Je veux dire, bien sûr, c'était plutôt cool les jours de tournoi, quand il s'habillait avec une armure romaine et criait: "Quoi ho!" ’ et nous a mis au défi, la pointe de l’épée contre la craie, de courir au tableau et de nommer chaque personne grecque et romaine qui ait jamais vécu, et leur mère, et quel dieu ils adoraient. Mais M. Brunner s'attendait à ce que je sois aussi bon que tout le monde, malgré le fait que je souffrais de dyslexie et de trouble déficitaire de l'attention et que je n'avais jamais dépassé un C- de ma vie.
Non – il ne s'attendait pas à ce que je sois aussi bon; il s'attendait à ce que j'aille mieux. Et je ne pouvais tout simplement pas apprendre tous ces noms et ces faits, et encore moins les épeler correctement.
J'ai marmonné quelque chose au sujet d'essayer plus fort, tandis que M. Brunner a jeté un long regard triste sur la stèle, comme s'il avait été aux funérailles de cette fille.
Il m'a dit d'aller dehors et de manger mon déjeuner.
La classe s'est rassemblée sur les marches du musée, où nous pouvions observer la circulation piétonnière le long de la Cinquième Avenue.
Au-dessus de ma tête, une énorme tempête se préparait, avec des nuages ​​plus noirs que je n'en avais jamais vus au-dessus de la ville. J'ai pensé que c'était peut-être le réchauffement climatique ou quelque chose comme ça, parce que le temps dans tout l'État de New York était bizarre depuis Noël. Nous avions eu des tempêtes de neige massives, des inondations, des incendies de forêt dus à la foudre.
Je n'aurais pas été surpris si c'était un ouragan qui soufflait.
Personne d'autre ne semblait le remarquer. Certains des gars lançaient des pigeons avec des craquelins Lunchables. Nancy Bobofit essayait de voler quelque chose dans le sac d'une dame et, bien sûr, Mme Dodds ne voyait rien.
Grover et moi nous sommes assis au bord de la fontaine, loin des autres. Nous pensions que peut-être que si nous faisions cela, tout le monde ne saurait pas que nous appartenons à cette école - l'école pour les monstres perdants qui ne pourraient pas réussir ailleurs.
'Retenue? demanda Grover.
"Non," dis-je. « Pas de Brunner. J'aimerais juste qu'il me licencie parfois. Je veux dire – je ne suis pas un génie.
Grover n'a rien dit pendant un moment. Puis, quand j'ai pensé qu'il allait me faire un commentaire philosophique profond pour que je me sente mieux, il a dit: "Puis-je avoir ta pomme?"
Je n'avais pas beaucoup d'appétit, alors je l'ai laissé prendre.
J'ai regardé le flot de taxis descendre la Cinquième Avenue et j'ai pensé à l'appartement de ma mère, à quelques pas de là où nous étions assis. Je ne l'avais pas vue depuis Noël. Je voulais tellement sauter dans un taxi et rentrer chez moi. Elle me prendrait dans ses bras et serait contente de me voir, mais elle serait aussi déçue. Elle me renverrait tout de suite à Yancy, me rappellerait que je devais faire plus d'efforts, même si c'était ma sixième école en six ans et que j'allais probablement me faire virer à nouveau. Je ne supporterais pas ce regard triste qu'elle me lançait.
M. Brunner a garé son fauteuil roulant au pied de la rampe pour handicapés. Il a mangé du céleri en lisant un roman de poche. Un parapluie rouge décollé du dossier de sa chaise, la faisant ressembler à une table de café motorisée.
J'étais sur le point de déballer mon sandwich quand Nancy Bobofit est apparue devant moi avec ses horribles amis - je suppose qu'elle en avait marre de voler les touristes - et a jeté son déjeuner à moitié mangé sur les genoux de Grover.
"Oups." Elle m'a souri avec ses dents tordues. Ses taches de rousseur étaient orange, comme si quelqu'un avait peint son visage avec du liquide Cheetos.
J'ai essayé de rester cool. Le conseiller scolaire m'avait dit un million de fois : « Compte jusqu'à dix, contrôle ton humeur. » Mais j'étais tellement en colère que mon esprit est devenu vide. Une vague rugit à mes oreilles.
Je ne me souviens pas l'avoir touchée, mais la prochaine chose que j'ai su, Nancy était assise sur ses fesses dans la fontaine, criant: "Percy m'a poussé!"
Mme Dodds s'est matérialisée à côté de nous.
Certains des enfants chuchotaient: "Avez-vous vu -"
'- l'eau -'
‘– comme si ça l’avait attrapée –’
Je ne savais pas de quoi ils parlaient. Tout ce que je savais, c'est que j'avais de nouveau des ennuis.
Dès que Mme Dodds a été sûre que la pauvre petite Nancy allait bien, en promettant de lui acheter une nouvelle chemise à la boutique de cadeaux du musée, etc., etc., Mme Dodds s'est retournée contre moi. Il y avait un feu triomphal dans ses yeux, comme si j'avais fait quelque chose qu'elle attendait depuis tout le semestre. ‘Maintenant, chérie –’
« Je sais », ai-je grommelé. "Un mois à effacer des manuels."
Ce n'était pas la bonne chose à dire.
« Venez avec moi », a déclaré Mme Dodds.
'Attendre! glapit Grover. 'C'était moi. Je l'ai poussée.
Je le fixai, abasourdi. Je ne pouvais pas croire qu'il essayait de me couvrir. Mme Dodds a effrayé Grover à mort.
Elle le dévisagea si fort que son menton de moustache trembla.
« Je ne pense pas, monsieur Underwood, dit-elle.
'Mais -'
‘Vous – allez – rester – ici.’
Grover me regarda désespérément.
"Ça va, mec", lui ai-je dit. 'Merci d'avoir essayé.'
"Chérie", m'a aboyé Mme Dodds. 'À présent.'
Nancy Bobofit sourit.
Je lui ai donné mon regard de luxe Je te tuerai plus tard. Je me tournai alors pour faire face à Mme Dodds, mais elle n'était pas là. Elle se tenait à l'entrée du musée, tout en haut des marches, me faisant signe d'impatience d'entrer.
Comment est-elle arrivée si vite ?
J'ai souvent des moments comme ça, quand mon cerveau s'endort ou quelque chose comme ça, et la prochaine chose que je sais, c'est que j'ai raté quelque chose, comme si une pièce de puzzle tombait de l'univers et me laissait regarder l'espace vide derrière. Le conseiller scolaire m'a dit que cela faisait partie du TDAH, mon cerveau
mal interpréter les choses.
Je n'étais pas si sûr.
Je suis allé chercher Mme Dodds.
À mi-hauteur des marches, j'ai jeté un coup d'œil à Grover. Il avait l'air pâle, coupant les yeux entre moi et M. Brunner, comme s'il voulait que M. Brunner remarque ce qui se passait, mais M. Brunner était absorbé par son roman.
J'ai regardé en arrière. Mme Dodds avait de nouveau disparu. Elle était maintenant à l'intérieur du bâtiment, au bout du hall d'entrée.
D'accord, j'ai pensé. Elle va me faire acheter une nouvelle chemise pour Nancy à la boutique de cadeaux. Mais apparemment ce n'était pas le plan. Je la suivis plus profondément dans le musée. Quand je l'ai finalement rattrapée, nous étions de retour dans la section grecque et romaine.
A part nous, la galerie était vide.
Mme Dodds se tenait les bras croisés devant une grande frise en marbre des dieux grecs. Elle faisait ce bruit bizarre dans sa gorge, comme un grognement.
Même sans le bruit, j'aurais été nerveux. C'est bizarre d'être seul avec un professeur, surtout Mme Dodds. Quelque chose dans la façon dont elle regardait la frise, comme si elle voulait la pulvériser. . .
"Tu nous as posé des problèmes, chérie", a-t-elle dit.
J'ai fait la chose sûre. J'ai dit: "Oui, madame."
Elle a tiré sur les menottes de sa veste en cuir. ‘Pensez-vous vraiment que vous vous en tireriez ?’
Le regard dans ses yeux était au-delà de la folie. C'était mal. C'est une enseignante, pensai-je nerveusement. Ce n'est pas comme si elle allait me faire du mal.
J'ai dit: "Je vais - je vais essayer plus fort, madame."
Le tonnerre a secoué le bâtiment.
"Nous ne sommes pas des imbéciles, Percy Jackson," a déclaré Mme Dodds. «Ce n'était qu'une question de temps avant que nous vous découvrions. Avouez, et vous souffrirez moins.
Je ne savais pas de quoi elle parlait. Tout ce à quoi je pouvais penser, c'était que les professeurs avaient dû trouver la réserve illégale de bonbons que je vendais dans mon dortoir. Ou peut-être qu'ils s'étaient rendu compte que j'avais obtenu mon essai sur Tom Sawyer sur Internet sans jamais lire le livre et qu'ils allaient me retirer ma note. Ou pire, ils allaient me faire lire le livre.
“Hé bien?” demanda-t-elle.
"Madame, je ne le fais pas. . .”
"Votre temps est écoulé", siffla-t-elle. Puis la chose la plus étrange s'est produite. Ses yeux ont commencé à briller comme des charbons de barbecue. Ses doigts s'étirèrent, se transformant en serres. Sa veste se fondit en grandes ailes de cuir. Elle n'était pas humaine. C'était une sorcière ratatinée avec des ailes et des griffes de chauve-souris et une bouche pleine de crocs jaunes, et elle était sur le point de me couper en lanières.
Ensuite, les choses sont devenues encore plus étranges.
M. Brunner, qui était sorti devant le musée une minute auparavant, fit rouler sa chaise dans l'embrasure de la galerie, tenant un stylo à la main.
"Quoi, Percy!” cria-t-il en lançant le stylo en l'air.
Mme Dodds s'est jetée sur moi.
Avec un cri, j'ai esquivé et j'ai senti des serres fendre l'air près de mon oreille. J'ai arraché le stylo à bille en l'air, mais quand il a touché ma main, ce n'était plus un stylo. C'était une épée - l'épée de bronze de M. Brunner, qu'il utilisait toujours le jour du tournoi.
Mme Dodds s'est tournée vers moi avec un regard meurtrier dans les yeux.
Mes genoux étaient en gelée. Mes mains tremblaient tellement que j'ai failli laisser tomber l'épée.
Elle a grogné: “Meurs, chérie!”
Et elle a volé droit sur moi.
Une terreur absolue a traversé mon corps. J'ai fait la seule chose qui m'est venue naturellement : j'ai brandi l'épée.
La lame de métal frappa son épaule et traversa son corps comme si elle était faite d'eau. Chut!
Mme Dodds était un château de sable dans un ventilateur électrique. Elle a explosé en poudre jaune, vaporisée sur place, ne laissant rien d'autre qu'une odeur de soufre et un cri agonisant et un frisson de mal dans l'air, comme si ces deux yeux rouges brillants me regardaient toujours.
J'étais seul.
Il y avait un stylo à bille dans ma main.
M. Brunner n'était pas là. Personne n'était là sauf moi.
Mes mains tremblaient encore. Mon déjeuner a dû être contaminé par des champignons magiques ou quelque chose comme ça.
Avais-je tout imaginé ?
Je suis retourné dehors.
Il s'était mis à pleuvoir.
Grover était assis près de la fontaine, une carte du musée tendue au-dessus de sa tête. Nancy Bobofit se tenait toujours là, trempée de sa baignade dans la fontaine, grommelant à ses vilaines copines. Quand elle m'a vu, elle a dit: "J'espère que Mme Kerr t'a fouetté les fesses."
J'ai dit: "Qui?"
“Notre professeur. Duh!”
J'ai cligné des yeux. Nous n'avions pas de professeur nommé Mme Kerr. J'ai demandé à Nancy de quoi elle parlait.
Elle a juste roulé des yeux et s'est détournée.
J'ai demandé à Grover où était Mme Dodds.
Il a dit: "Qui?"
Mais il a d'abord fait une pause et il ne voulait pas me regarder, alors j'ai pensé qu'il se moquait de moi.
"Pas drôle, mec", lui ai-je dit. “C'est sérieux.”
Le tonnerre gronda au-dessus de nos têtes.
J'ai vu M. Brunner assis sous son parapluie rouge, lisant son livre, comme s'il n'avait jamais bougé.
Je suis allé vers lui.
Il leva les yeux, un peu distrait. ‘Ah, ce serait mon stylo. Veuillez apporter votre propre ustensile d'écriture à l'avenir, M. Jackson.
Je l'ai remis. Je n'avais même pas réalisé que je le tenais encore.
"Monsieur, dis-je, où est Mme Dodds?”
Il m'a regardé fixement. “Qui?”
“L’autre chaperon. Mme Dodds. Le professeur de pré-algèbre.”
Il fronça les sourcils et s'assit en avant, l'air légèrement inquiet.
“Percy, il n'y a pas de Mme Dodds dans ce voyage. Autant que je sache, il n'y a jamais eu de Mme Dodds à ​​la Yancy Académie. Est-ce que tu te sens bien?”
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nctnews · 3 years ago
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To do list
Watch the 'Buffering (Glitch Mode)' MV
Watch the 'Buffering (Glitch Mode)' music video on Youtube.
Stream 'Glitch Mode'
Stream 'Glitch Mode' on different music sites.
(Apple Music, Spotify, Deezer Stream 'Glitch Mode' on different music sites.)
Shazam 'Glitch Mode'
Shazam 'Glitch Mode' while streaming.
Starplay App
Vote NCT DREAM - 'My First and Last' for The boy- beauty radiating male idol song.
(Ends: April 5th at 5:00PM KST)
Whosfan App
Vote JENO for 'Who will be celebrated at Times Square on their birthday? [3rd Week of Aprill'
(Ends: April 4th at 11:00AM KST)
Vote JENO in the April Lotte Cinema Photo Ticket Event pt. 2.
(Ends: April 6th at 11:00AM KST)
Idol Pick App
Vote NCT DREAM - 'Glitch Mode' for The Best Music of March.
(Ends: April 4th at 12:00AM KST)
Vote Mark for 'Who do you think looks the best in a tweed jacket?'
(Ends: April 4th at 12:00AM KST)
Idol Champ App
Vote NCT DREAM in the Weekly Ranking [Group].
(Ends: April 3rd at 11:59PM KST)
Vote Jungwoo for The Big Issue Korea Magazine model idol.
(Ends: April 4th at 5:00PM KST)
Vote Jaehyun for Idol who looks good with glasses.
(Ends: April 6th at 5:00PM KST)
Vote Jisung in the Best Position: Main Dancer.
(Ends: April 8th at 5:00PM KST)
Vote Mark for 'Who's the best leader idol with charisma?'
(Ends: April 11th at 5:00PM KST)
Vote Mark for Idol you want to ask out on April Fool's Day.
(Ends: April 12th at 5:00PM KST)
Vote NCT DREAM in the MV Promotion.
(Ends: April 7th at 12:00PM KST)
Vote NCT DREAM - 'Teddy Bear' for the Best b-side song.
(Ends: April 15th at 5:00PM KST)
M Countdown Pre-Voting
Vote NCT DREAM - 'Buffering (Glitch Mode)' in the M Countdown Global Pre-Voting
(Ends: April 4th at 9:00AM KST)
Show Champion Pre-Voting
Vote NCT DREAM - 'Buffering (Glitch Mode)' in the Champion Song of this Week [1st Week of April].
(Ends: April 4th at 2:00PM KST)
Thekking App
Vote NCT, NCT 127, NCT DREAM, WayV, and SuperM in the K-Pop Idol - Group Ranking.
Vote NCT MEMBERS in the K-Pop Idol - Individual Ranking.
(Ends: April 26th at 12:00AM KST)
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btsinwonderland · 4 years ago
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A Drop of Poison - Ch. 7: Missing
A Loki fanfiction!
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It was your third time getting denied access to the infirmary. You stood there and created such a ruckus that Volstagg, the head of the infirmary, came out of the room to address you.
“What is all this bangin’ about?” he said, rubbing his thick orange beard and looking at you questionably.
The blonde-haired boy at the front desk scowled in your direction. “She was told last night that we are currently not allowing visitors, but she won’t listen.”
You threw him back a venomous gaze and took a deep breath, ready to present your case. “My friend Valkyrie was injured at yesterday’s game and I have to see her! She fell nearly thirty feet and nobody has told me a single thing about her condition. She could be dead for all I know and -“
“She’s over here. For the love of Merlin, please stop talkin’,” he said, leading you into the infirmary.
You smiled at the blonde boy and followed Volstagg through the door, into the infirmary. There were many more beds than you remembered seeing before. It seemed the room itself had elongated to make room for how many injured students there were. They bunked the beds to four levels and house-elves apparated between patients to provide care to those still healing.
There was one boy with a crooked looking arm that frightened you. He was sleeping on the third bunk of his bed group. Another girl had bandages around her eyes and was sitting up, scratching her pet rat between its ears. You gulped at the damage that was done, realizing that you had gotten off lucky.
Volstagg led you to a bed with the curtain drawn around it. It surprised you that Valkyrie got her own little section of the room.
“Thor brought her here in a mad fuss. She broke both her legs but should be fine in the mornin’,” Volstagg said. “You stay here as long as you need to, not a second more, understand?” He looked at you pointedly.
You smiled at him. “Thank you, sir.”
He grumbled away and left you alone. Valkyrie laid there with her eyes closed, and a bit of sweat on her brow. You walked over and drew up a chair beside her and took her hand. Using the back of your robe sleeve, you patted her forehead to get the sweat off.
“Hmmm, Professor?” she said.
You laughed. “Unfortunately, it’s just me,” you said.
Valkyrie smiled, eyes still closed. “I suppose you’re an alright consolation.”
“Are you okay?” you said, petting her hand.
Valkyrie opened her eyes and looked at you. The dark brown irises were rich, though the whites of her eyes had reddened from fatigue. “Oh stop it, I’m not on my deathbed, Freya. Volstagg gave me a mending brew, said I should be all better by the morning! Tastes like piss though.”
You laughed too loud, and it earned you a shush from a nearby house-elf applying ointment to a gash on a student’s arm. “Professor Odinson was quick to get you, though,” you said with a mischievous smile.
Valkyrie smiled. “I can still remember the feeling of being in his arms. Though the amount of pain I was in did block out most of it and made it slightly less romantic than I would have hoped…”
Footsteps approached, and you saw Professor Odinson stop at the foot of Valkyrie’s bed. “Freya! Volstagg couldn’t keep you out, eh?”
“Hell no!” Valkyrie said, shooting you a winning smile. Despite being bedridden, she was extraordinarily beautiful. You smiled back at her.
Professor Odinson reached over and adjusted the blankets by Valkyrie’s feet. She tried to sit up, but he gently stopped her by the shoulder and eased her down. “Take it easy, champ. We can’t have our captain injured again,” he said with a smirk.
Valkyrie looked at him with a devilish grin. “I do carry the team,” she said with a wink.
He laughed, and his gaze lingered over her lips for a fraction of a moment; you saw. You flushed when Professor Odinson looked at you and he cleared his throat. “Well, I won’t keep you two from catching up on your...girl talk or whatever it is you do.” He took out something from his pocket; it was a box of mini cauldron cakes which he shoved into Valkyrie’s hands. “Share these…” he said, leaving. “Heal quickly now Valkyrie, I won’t go easy on you when you return!”
“I wouldn't want you to, sir!” she said with a smile.
You grabbed a cauldron cake and took a bite, watching Valkyrie stare at Professor Odinson as he left. “Oh Professor, I’d love for you to go hard on me,” you said, in your best pleading voice.
Valkyrie snorted. “Shut it and don’t eat all my cakes.”
You both giggled and snacked on the cakes. Eventually, your thoughts drifted to a certain professor you were trying to avoid thinking about, but even amidst a beautiful flurry of chocolate and strawberry jam in your mouth, he still lingered.
After several more minutes of chatting, and another cauldron cake, you left Valkyrie to rest. The entire infirmary seemed to sigh with a sense of relief when you departed and you looked back at them with a scowl. You weren’t that loud...
It was still early in the morning, only ten o’clock, so you grabbed some breakfast before heading to your first Defence Against the Dark Arts class. You met Pom and Mo at the door, and the three of you took your seats.
A middle-aged man in a tweed jacket and a greying beard walked into the room, closing the door with a wave of his wand. “Welcome, students. I apologize for my tardiness this semester. I trust you have all been very well behaved and completed all your readings.”
He walked to the front of the class, through the aisle next to you, and you caught the musky scent of longrass and pipe smoke from him. “My six-month expedition in the Amazon was well worth it, though that is a story for another day. For now, we shall start on one of the spells in your readings. A shielding spell.”
You had not seen Professor Baldur since last year. He had been your Defence Against the Dark Arts teacher for half your time at Hogwarts. His demeanour was a cross between strict and friendly, wholly depending on what side of his temperament you landed on.
Professor Baldur opened up his briefcase and took out a brown paper bag. He reached inside and pulled out a red apple. “Now, Darwish, throw this at my head,” he said, passing the apple to Mo.
Mo looked at you and Pom before looking back at the professor. “A-are you sure, sir?” Some students whispered and giggled in the background.
Professor Baldur stepped back, giving Mo enough distance to hurl it and said, “yes, yes, come on now, throw! And someone be sure to catch it, I don’t want my lunch bruised!”
Mo wound up and flung the apple at Professor Baldur. Surely, the fruit would have landed squarely on his forehead had he not flicked his wand in a flash and yelled, “protego!”
The apple bounced off of a blueish glow around the professor and clipped another student in the shoulder, only to be caught by his neighbour. The class murmured excitedly at the opportunity to learn such a powerful spell.
Mo leaned over and whispered, “would have been useful to learn this one before those damned crows nearly pecked my eyes out.”
You nodded back in response.
“Questions?” Professor Baldur asked.
Pom raised her hand. “Does this spell work on more powerful things, like other spells? Can it cover more people?”
The professor took a bite of his apple and nodded with his eyes closed. “Yes, yes, it all depends on the user. Protego can be as powerful as a great wall, protecting an entire community! Or it can be as flimsy as a cardboard box.” He walked over to your desk and leaned over you, Pom, and Mo. “However, protego cannot deflect the unforgivable curses. For those you must block, dodge, or interrupt.”
Just then, someone rapped on the door at the back of the classroom and it opened to Professor Sif. “Everyone head to the Great Hall for an emergency announcement. Classes are dismissed for the day.”
You looked at Pom and Mo, who shrugged. You did not expect this to be a celebratory dismissal, and it caused an anxious lump to form in your chest. The three of you followed the rest of the students to the Great Hall and sat at your table. Pom stood at the Ravenclaw table and glanced around as if she were waiting for someone but eventually sat down.
Once the last of the students and teachers trickled in, the doors shut and the murmurs quieted. You looked at the head table and looked for Professor Laufeyson; he sat beside Professor Odinson with a grim expression on his face. Something looked off, more than usual; he seemed pale and tired.
Headmistress Frigga rose, and there was no trace of a smile on her face today. “It has been a strange semester thus far. From our dear Professor Hubert Rattowl’s passing and the unfortunate incident of yesterday’s Quidditch game. I am sorry to pull you from class today. But it is with a heavy heart I must announce that one of your classmates has gone missing.” There was a rush of whispers across the hall which Professor Sif shushed loudly, as the Headmistress continued. “The teachers and I are up in arms to look for the missing student. And as such, we have deemed it necessary to lock down Hogwarts for the month of October and possibly the rest of the semester. This means no going outside of castle grounds, no trips to Hogsmeade, and there is a new curfew of seven o’clock, post meridiem.”
There were several groans at this announcement. The Headmistress looked down at the students and clasped the edges of the podium. “Any students caught breaking these rules will be expelled and sent home immediately.”
“It’s the Dark One!” someone shouted. Then whispers erupted from every table, talking about his return and some even threw Professor Laufeyson’s name into the fire.
“Silence!” Headmistress Frigga yelled. “I will not tolerate gossip in my school!” She gave a gentler look after silencing the room with her commanding tone. “I know you are scared, as am I. However, we will not get through this if we cannot work together. Now is a time for Hogwarts to be unified and diligent. Take care of your fellow classmates and teachers. We must be both kind and cautious.”
Then, some of the other teachers took turns providing a list of their new schedules, particularly for the students engaged in night classes or other extra-curricular activities. You looked down at the table, thinking about what was going on. First the attack and now a student had actually gone missing. You looked back at Professor Laufeyson, but he was no longer at the table or in the Great Hall.
Professor Hogun walked past you towards the Ravenclaw table. He paused over Pom and put a hand on her shoulder. He then escorted her out of the Great Hall.
“What’s that about?” Mo said.
“I don’t know,” you replied, though the lump in your chest only tightened.
“I can’t believe we can’t go to Hogsmeade! I was looking forward to our annual butterbeer bash,” he said, crossing his arms.
You gave him a look, to which he only smiled and said, “the best way for coping with this distress is to have a nice butterbeer don’t you think?”
“Mo, I don’t think anything is going to calm my distress,” you said with a laugh. The dread in your stomach remained.
As you exited the Great Hall, you noticed Pom at the end of the corridor, with a few students around her. Her face was completely red, and she was sobbing. One of her friends hugged her and Pom buried her face in their arms and cried. You walked over to the crowd and tapped someone on the shoulder.
“What’s wrong? Is Pom alright?” You said.
The student frowned and shook his head. “The missing student...is Pom’s brother, Ken.”
Before you could even process the news, you saw Professor Laufeyson come down the hall. When the student you spoke to caught sight of him, he yelled aloud and lunged at the professor. A girl with braids held the boy back. “It’s your fault! It’s your fault he’s missing!” He nearly spat his words at Professor Laufeyson.
Professor Laufeyson looked grim, but maintained an impartial expression. “I don’t know what you mean. I am sorry to hear about our missing student. I hope they find him.”
“You’re the Dark One’s son! You’re causing all this to happen!” The boy said.
The other students gasped, and for a moment you saw rage on Professor Laufeyson’s face. Then Professor Hogun broke up the crowd and took the insolent student by the arm. “You do not speak to your Professor in that tone, Warren! Minus twenty points for Ravenclaw and detention!” He guided the boy down the hall before throwing Professor Laufeyson a disapproving glance, as if he agreed with the student anyway.
As the crowd dispersed, Professor Laufeyson left, and you hesitated for a moment before you followed him. You followed him down the corridor, past the library, until the hordes of panicked students thinned out to the point you were alone. “Wait! Sir!”
He stopped, arms crossed. “What?” he said, turning to face you. His face was a mask.
“Are you alright?”
He actually chuckled. “Why wouldn’t I be?” he said, shrugging. You walked up closer to him. He gave you an incredulous look, but you could sense something beyond it. Irritation. “It’s nothing I have not heard before. And I must grant that boy a touch of respect since he was brave enough to tell me what everyone else was thinking.”
You looked at him then, afraid to say what you wanted to say.
“And you wonder the same thing,” he said. A glimmer of disappointment in his eyes. “Just like the rest of them.”
That was not fair. “I’ve been trying to help you!”
He laughed again. “What makes you think I need your help?” He turned away to leave and you could not bear the frustration.
Your anger bubbled to the surface. “I saw you die!”
For a moment, his eyes widened, but he maintained his composure. “What?”
You breathed in and exhaled slowly. “I have a...gift, or at least that’s what Heimdall says. I have visions.”
He watched you curiously as you continued.
“I have these dreams, and for a long time, all I dreamed of was that blue cube - the Tesseract you called it - in the lake. It’s in some sort of cavern. I don’t know where. But then, before you arrived in school, I saw you, in my vision. In the cavern, with these strange creatures surrounding you.”
Professor Laufeyson looked at you with a sort of satisfaction, despite hearing of his death. “So that’s how you knew about the Tesseract,” he said, cocking his head to the side.
Your anger flared up again. “Hold on, did you act upset so I would feel bad for you and tell you everything?”
He raised his hands up. “Don’t take it so badly, at least I didn’t use any magic this time!”
You grit your teeth. This man was insufferable. “You just lie, all the time then?”
He walked towards you and put a finger under your chin as he leaned in to whisper in your ear. “People lie all the time, love, I just own it.”
You ignored the reaction your body had to his touch and stepped back. “Why do you want that cube? Does it have anything to do with the missing student?”
“You can thank my father for the missing student. I wouldn’t be surprised if there are more disappearances. Times are changing! As for what I want, you should already know that, seer. I can’t do your job for you.” He turned and walked away.
You were so frustrated you could shake him. “But you’ll die if you search for the Tesseract!”
He shrugged. “What difference does that make? Nobody cares.”
“I don’t want you to die.”
He stopped walking for a moment and turned his head slightly. “Then you’d be the first.” He said and left you standing there, alone in the corridor.
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retrofret · 4 years ago
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Just arrived a 1957 Fender Champ Lap Steel in its original tweed hard shell case! # 9785 on our website. (please click on the link in our profile for additional information). (at Retrofret Vintage Guitars) https://www.instagram.com/p/CQysVgtDRuC/?utm_medium=tumblr
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rivingtonguitars · 8 years ago
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#1962 #fender #champ #fenderchamp #tweed #vintageamp #tubeamps #2am www.rivingtonguitars.com
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benedictsvestcollection · 5 years ago
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Ever Ever After- A Whiskey x reader Modern Cinderella Fic
Rating: T for now!
Warnings: Ummmm.... Some swearing. Whiskey being a sweetheart. 
Word count: 1.7k 
A/N: Basically I love Cinderella and Whiskey so here we are. Secret Agent Whiskey is investigating your stepmom’s company and there’s a spark there. This will be a multi chapter fic so more to come!
Chapter 1
Whiskey looked up from his large, oak desk in his Manhattan high rise office. “Well hello Ginger, to what do I owe the pleasure of an in person visit?” He grinned at her. 
“Champ sent me to help on this next mission. Wanted you to have an extra pair of hands.” She smiled back at him and sat in one of the empty chairs across from his desk. 
“He didn’t say anythin’ about a mission to me.” He frowned at this news, not that he minded Ginger briefing him. He was simply surprised. 
“Yes well, he thought it would save time if I just debriefed you myself when I got here.” She explained as she pulled out a tablet and pulled up what she needed. 
Whiskey nodded at her. “Fair enough.” He gestured for her to go ahead. 
“This is Miranda Cox. She’s the CEO of UrbanEdge. An environmental company that specializes in making environmentally friendly clothing, houseware, you name it… They make it.”
“I’ve heard of it. A lot of controversy surrounding their company in the news lately.” He mused with a nod of his head as he waited for Ginger to continue. 
“Yes. Shareholders recently accused her company of not being as environmentally friendly. But that’s not the worst of their problems it seems. Once the shareholders brought that up, we suspected Ms. Cox of insider trading that was linked to everything from oil spills and forest fires. That her and her company only seemed to benefit from.” 
Whiskey snorted at that. “Of course. The rich get richer at the expense of others.” 
She shook her head at that. “Yup. Anyhow, the company used to belong to her husband but when he died, control went to her. Despite the biological daughter who couldn’t afford to contest the company passing over her in court.” 
“How is that relevant?” He asked her, curious. 
“Our sources say that she treats the step daughter like shit. She’s basically a personal assistant-slave to her evil step mom and her step sisters. Champ thinks she might be a possible asset for you once you get in the company.” 
“Good to know.” He nodded. “What’s my in here?” 
“Potential hands-on investor in the company. Despite the money she has, her company is bleeding money and will need an investor. You can bargain for more of a say to get an inside track and information we need.” 
“Other than gatherin’ information, is there another goal here?” He asked her. 
“As of now, no. Unless we feel she might be a dangerous threat. We’re just going to gather information and bring it to Champ. And he’ll deal with contacting the necessary authorities. I’ll be here to help you sift through any tech or emails. And if you need another person undercover.” She explained. 
“Perfect. I have a feelin’ I’ll need another face on this mission at some point.” He admitted. 
“We’re keeping you as you on this mission. The premise being that Statesman Reserve is environmentally friendly and wants to expand its partners.” Ginger told him. “And you, CEO and the face of the company… Wants to invest in UrbanEdge.” 
Jack loved when Ginger worked on missions with him, she was efficient and always thought ahead. “I take it, you already called and made an appointment for me?” He smirked at her. 
Ginger smirked back. “Tomorrow morning. Miranda was very interested in meeting you and potentially investing with her company. You’ll get a full company tour and meet with the shareholders as well so they can pitch to you.”
“Perfect. Guess I’ll need a suit for this. And an assistant. Wanna go?” He asked her. “You can hack into their systems easier if you’re in the building.”
“Sure thing, partner.” She told him with a grin. 
~~~~~~~~~~
“Ugh.” You moaned as soon as you shut the door to your loft apartment. Compared to your stepmom and sisters who lived on Fifth Avenue, your apartment was a shithole. But it was your home and you loved it. 
Today had been a long day. Your stepmother had you prepping all day for a potential investor coming in the next day. And you had put together a powerpoint presentation, made copies of all the numbers from finance and put all of those in folders. And that was just for work. You then spent the day helping your stepmother deciding what to wear to impress this CEO, followed by your sisters who were simply hoping to ‘land a husband’ and meet him. They didn’t know jackshit about the company, or care about like you always had. 
You missed your father dearly and wished the company had passed to you. You strongly suspected your stepmother was doing some shady shit with his beloved company. But you had no proof unfortunately. So, you were stuck watching her destroy the company and your spirit at the same time.
Kicking off your heels and setting your purse down, you now had just enough time to shower, eat a quick meal and crash for bed. Tomorrow was yet another long day of pretty much doing all the work and your stepmother taking all the credit. Not to mention her and your step sisters talking shit about you, directly to your face. It was exhausting. 
You awoke early the next morning. You had to get to the office early to prep for Jack Daniels, CEO of Statemsan Distillery to arrive and his tour. You arrived at the office in a high waisted gray tweed skirt, a blue sweater and black suede Mary Jane pumps. Once there, you made sure the breakfast spread was being set up. Bagels, croissants, fruits, coffee and juice. Your stepmother was certainly making a big deal out of this CEO’s arrival. 
After making sure the cars were on the way to pick up your stepmother and stepsisters, you finally sat at your desk to respond to some emails until everyone started to arrive at the office. With the exception of the one person she doesn’t read emails from, Miranda didn’t allow you to read emails from her investor for whatever reason. But you just shrugged that off. 
You were so absorbed in your emails you didn’t hear the elevator doors open to announce your step mother and sisters arrival. 
“You weren’t downstairs to meet us, so now your sisters are soaking wet.” Miranda announced and you looked up from your laptop on your desk. Blinking at your step sisters who looked bone dry. 
“I… Don’t understand.” You sighed out. 
“My makeup to meet Jack Daniels is ruined!” Madison screeched out. “He’s New York’s most eligible bachelor.” She told you, as if you were an idiot who didn’t know anything about the man. “And I’m going to marry him.” She added confidently. 
“You both look fine. I was busy getting work done for today.” You told them calmly as you rose to take all their coats and hang them up. 
“See that it doesn’t happen again.” Miranda warned you as you hung up their coats and sighed. 
“Yes ma’am.” You told her quietly as your desk phone rang. “Yes?” You spoke into it. “Thank you. Send them up.” She hung up and looked at them “They’re here.” 
Your step sisters squealed. “Oh my god, I can’t believe I’m about to meet my future husband!” 
“Girls. This is a business meeting first and foremost.” Your stepmother warned them. “Husband hunting is for after hours.” She winked at them and then looked at you. “Not for you. Jack Daniels is not for your eyes.” 
You internally rolled your eyes. “Yes ma’am.” 
“Like Jack Daniels would want to date her. She’s an assistant.” Madison sneered at you.
Soon, the elevator doors opened and revealed the CEO of Statesman and who, you could only assume was his assistant. “Ladies, it’s an absolute pleasure to meet you.” He drawled out as he stepped into the office and took his time greeting each one of them charmingly. 
“Oh, Mr. Daniels. I’m absolutely thrilled that you are interested in investing with our company.” Your stepmother told him. “These are my daughters, Madison and Jade.” She gestured to your stepsisters. 
Jack nodded to both of them and then turned to you. “And who, may I ask, is this charming creature?” He asked, studying you intently with a soft smile on his lips. 
“Her?” Madison asked with a laugh. “She’s unimportant.” 
“That’s no one. Just my stepdaughter.” Your stepmother waved at you dismissively. “Go get everyone coffee and be useful for once.” She told you. Completely missing the looks Jack and his assistant shared as you blushed and walked away silently. 
“I’ll help you.” Jack’s assistant chimed up as she hustled to your side. “I’m Ginger.” She told you with a smile. 
You introduced yourself and smiled back at her. “Thank you.” 
“So… Working for your stepmother. That seems… Interesting.” Ginger told her as they prepped all the coffees. 
You snorted. “If by interesting, you mean hell… Then sure.” You told her. 
“She does seem like a bitch.” She smirked at you. 
You smiled at her and chuckled. “That’s putting it nicely.” 
“Your boss seems to at least not treat you like shit in front of other people.” 
“Jack? Oh, he’s the best boss. Kind and treats the whole company with respect.” Ginger nodded. 
You blushed at the way you remembered Jack complimenting you. “He seems very sweet.” 
Ginger didn’t miss the way you blushed, but chose not to say anything. 
You brought out the coffee and nearly collided with none other than Jack Daniels himself. “Oh my god! I’m so sorry!” You told him, frantically looking around for your stepmother or sisters so they didn’t yell at you. “I-I was distracted. Did I get any coffee on you?” 
“Hey darlin’... It’s alright.” He soothed you, large hands coming to your arms to steady you. “I got you. And no, not a drop of coffee on me.” He reassured you.
You shivered at his hands on your arm, despite the sweater. “I-Thank you.” You stammered at him. 
“I’m not gonna get you in trouble with your family. I promise. You deserve better than that.” He murmured in your ear before promptly going to Ginger where she held his coffee and then entered the conference room for the presentation. 
Leaving you to contemplate what he meant by that as you quietly brought in the coffees and sat down. Very much aware of Jack Daniels’ gaze almost always drifting to you when there was a lull in conversation.
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spacebeach23 · 4 years ago
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1956 FENDER CHAMP
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deebeeus · 3 years ago
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1964 transitional 5F1 #Fender #Champ. #Tweed in black #Tolex. . #macro #guitarmacro #macrophotography #macromonday #guitar #guitars #amp #amps #amplifiers #vintageguitars #vintageamps #fenderamp #vintagefender #tubeamp #tone #guitargear #guitarsdaily #guitarsofinstagram #geartalk #guitarsdaily #fendersofinstagram #guitarphotography #ampphotography (at Peterborough, Ontario) https://www.instagram.com/p/CYjI-ZSLp7K/?utm_medium=tumblr
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gilesian · 4 years ago
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SENSES AND OTHER ODDLY SPECIFIC HEADCANONS TAGGED BY: @pryceism TAGGING: @johnconstantfine @enduringtiime @liminalchaos @magaprima
1. WHAT DOES YOUR MUSE SMELL LIKE:
Aftershave, soap & apples. Mostly he just smells clean except when he’s stressed and binge drinking.
2. WHAT DOES YOUR MUSE’S HANDS FEEL LIKE:  
Cold. Broad hands with gentle touches despite the slight callouses on his palms (which he sometimes pick on) and fingertips. Plenty of tiny, old cuts on his right thumb from whittling stakes but the most prominent scars are on his left hand courtesy of y’all’s fave Scourge of Europe. Takes care of his nails like a champ.  
3. WHAT DOES YOUR MUSE USUALLY EAT IN A DAY:  
Considering he knows how to cook I’d say he’s aware on some level that he needs food to survive. He doesn’t eat breakfast that often, opting for light snacks or fruits that he can bring with him on his way to school (and most importantly eat one-handed). Often skips a proper lunch for, again, snacks and desserts or fruits. Probably has a thermos of tea to go through the day. I think his biggest meal is dinner which he either cooks himself or orders in.
4. DOES YOUR MUSE HAVE A GOOD SINGING VOICE:
Yes. Yes, he sings like an angel and he should’ve been the front man of a proper band.
5. DOES YOUR MUSE HAVE ANY BAD HABITS OR NERVOUS TICKS:
Boy are there. He stammers when he’s being a Watcher, cleans his glasses when he doesn’t want to see Crimes being committed. Switches subjects mid-sentence but I suppose that’s less bad habits/nervous ticks and more towards limited attention span.   
6: WHAT DOES YOUR MUSE USUALLY LOOK LIKE / WEAR:
The tweeds, which have been mentioned to me to be his Watcher drag. I can’t complain to much about the waistcoats though I would probably give him more flattering colours like navy and grey. And less the clashing of patterns. Stripes and polkadots are not meant to be together, Rupert. Then of course the natural state of Rupert Giles that consisted of the earring, earth-tone knitwear, blue denims, and boots. The occasional leather coat doesn’t hurt either. He had an excessive number of jackets in S7 and I wonder whether that had something to do with characterization or the wardrobe people were just ‘ok Tony bring your own costume’.
7. IS YOUR MUSE AFFECTIONATE? HOW MUCH? HOW SO:
When he has the chance to? God, yes. He isn’t very physically affectionate but that doesn’t mean that he’s in any way averse to it. It’s like he forgot he has the option to, you know, touch people. I suppose working with younger people has made him very conscious of that but he also snogged Jenny in the middle of school day in the library so what have you. And points at Band Candy, he didn’t stop touching/being affectionate with Joyce throughout the ep. I feel like the Giles we saw in general censors himself heavily. For the platonic sort of affection, well, he’d fight your fights for you. He cares deeply. Deep enough that even Eyghon made a point to mention that he cries at every funeral. I’ll quit faffing about and just say that Giles has a lot of love to give. Please let him.  
8. WHAT POSITION DOES YOUR MUSE SLEEP IN:
Plants his face on the pillows like a log. If he’s with someone he’ll definitely sleep touching them in some ways, whether it’s spooning, being spooned, or just his arm pillowing the other person.
9: COULD YOU HEAR YOUR MUSE IN THE HALLWAY FROM ANOTHER ROOM:
No. He’s one of those people you don’t even notice is in the room until he makes a noise. He doesn’t mean to, he’s just... quiet. 
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johnslamson · 4 years ago
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La grande mesure des autres
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John Slamson
Lors d’une balade entre les monceaux avachis du bouclard infernal de l’ami Ammar, entre deux portants croulant sous la drouille, enguirlandés de cravates plus ou moins improbables, cheminant entre des sacs crevés d’où dégueulent des futals à la coupe rare, plongé dans les relents poétiques de vieux tissus et de cuir craquelé, le promeneur se laisse envahir par un intérêt nostalgique. Il chine — parce qu’il le faut bien — mais en fait, il se fait fouilleur-archiviste. À fureter si farouchement, il devient animal fouisseur, encuriosé des particularités de chaque étiquette cachée, de chaque bouton nacré, de chaque doublure de cravate. Car ces vêtements qui ont vécu quelques heures de haut vol sont les rescapés de la grande épopée du style. Le promeneur y découvre des merveilles, mais, avant tout, de l’imprévu. Et au fil de son tâtonnement, il entrevoit de troublantes vérités.
La demi-mesure et la grande mesure possèdent un défaut secret, irrémédiablement constitutif de leur qualité première, à savoir la possibilité de choisir chaque détail de son vêtement. Car à choisir ce qui nous plaît, on s’enferme dans ses propres manies.
Et veste après veste, on sélectionnera le cran qui nous paraît être fait pour nous ; on préfèrera, inéluctablement, ce qu’on pense être notre épaule d’élection. Chemise après chemise, on penchera, après d’interminables réflexions, pour les mêmes sempiternelles finitions qui nous parlent de perfection. Costume après costume, on exigera la largeur de pantalon que l’on avait rêvée. Certes, on s’offrira parfois, dans les affres de l’erreur redoutée, un petit écart vaguement soupçonné d’auto-hérésie, mais, au fond, à quelques nuances près, on ne variera plus de son idéal.
Or, la seconde main nous offre un point de vue singulier sur le choix vestimentaire. Car contrairement au prêt-à-porter neuf, réduit au consensus du moment, la seconde main implique une dimension « vintage », c’est-à-dire historique, même si c’est à la petite échelle de la décennie. On y trouve donc des choses qui n’existent plus, des anglaises d’un autres temps et de singulières largeurs, des revers inventifs et des crans courageux.
Que l’on cherche un simple tweed, une veste en velours, un pantalon gris, un blazer d’été, quand on a le bonheur de tomber sur sa taille, on se trouve face à la tentation d’un vêtement qui n’a pas les caractéristiques que l’on affectionne ou que l’on imagine : on tombe sur un croisé alors qu’on cherchait un deux-boutons, sur une épaule naturelle alors qu’on préfère davantage de structure, sur une pièce formidable dans une couleur que l’on n’aurait jamais osée.
Soudain s’offre à nous le choix de ce qu’on n’aurait pas choisi.
Le prêt-à-porter qui ne se porte plus s’augmente soudain du charme nostalgique de la singularité qu’il ne nous reste plus qu’à assumer dans un doux décalage serein et lucide.
Les marques disparues ressuscitent : Old England, Arnys, John Preston, Blizzand… Même les marques contemporaines trouvent une profondeur à se voir rappeler leurs créations d’il y a quelques temps.
La grande mesure réalisée pour d’autres que soi-même ouvre le champ des possibles, offre la tentation d’un style à adopter, à adapter, à admettre. Les tailleurs de naguère revivent soudain entre nos mains : grandes maisons parisiennes ou sans grades de province, leurs techniques et leur style, d’il y a vingt ans ou cinquante ans, retrouvent la fraîcheur d’un contexte inédit.
Comme une bouteille que l’on aura soigneusement oubliée dans sa cave nous parle nécessairement de sa naissance lorsqu’on ose — à peine — l’ouvrir pour la reverser dans le présent, le vêtement venu du fonds des placards d’autrui se charge du mystère des modes passées, de sa traversée du temps et de son témoignage stylistique.
Et l’amateur de vêtements qui croyait venir triturer quelques chiffons pour se saper se retrouve investi d’une responsabilité sartoriale : prolonger le cycle de l’histoire, le régénérer et s’imprégner de ce qui a été créé dans un autre temps. On est ainsi amené à scruter, à comparer, à comprendre : à devenir soi-même porteur d’histoire et de transmission.
Tout ça dans une fripe… faudrait être fou pour passer à côté !
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areus-in-a-little-cave · 3 years ago
Note
sorry
Écoutez, je ne voulais pas être un sang-mêlé.
Si vous lisez ceci parce que vous pensez en être un, mon conseil est le suivant : fermez ce livre tout de suite. Croyez tout ce que votre mère ou votre père vous a dit au sujet de votre naissance et essayez de mener une vie normale.
Être un sang-mêlé est dangereux. C'est effrayant. La plupart du temps, cela vous fait tuer de manière douloureuse et désagréable. Si vous êtes un enfant normal, lisez ceci parce que vous pensez que c'est de la fiction, super. Continuer à lire. Je t'envie de pouvoir croire que rien de tout cela ne s'est jamais produit. Mais si vous vous reconnaissez dans ces pages – si vous sentez quelque chose remuer à l'intérieur – arrêtez immédiatement de lire. Vous pourriez être l'un d'entre nous. Et une fois que vous savez cela, ce n'est qu'une question de temps avant qu'ils ne le sentent aussi, et ils viendront vous chercher.
Ne dites pas que je ne vous ai pas prévenu.
Je m'appelle Percy Jackson.
J'ai douze ans. Jusqu'à il y a quelques mois, j'étais pensionnaire à Yancy Academy, une école privée pour enfants en difficulté dans le nord de l'État de New York.
Suis-je un enfant à problèmes ?
Ouais. Vous pourriez dire ça.
Je pourrais commencer à n'importe quel moment de ma courte vie misérable pour le prouver, mais les choses ont vraiment commencé à mal tourner en mai dernier, lorsque notre classe de sixième a fait une excursion à Manhattan - vingt-huit enfants souffrant de troubles mentaux et deux enseignants sur un jaune bus scolaire, en direction du Metropolitan Museum of Art pour voir des objets grecs et romains anciens.
Je sais – ça ressemble à de la torture. La plupart des sorties sur le terrain de Yancy l'étaient.
Mais M. Brunner, notre professeur de latin, dirigeait ce voyage, alors j'avais de l'espoir.
M. Brunner était ce type d'âge moyen dans un fauteuil roulant motorisé. Il avait les cheveux clairsemés, une barbe hirsute et une veste en tweed effiloché, qui sentait toujours le café. Vous ne penseriez pas qu'il serait cool, mais il racontait des histoires et des blagues et nous laissait jouer à des jeux en classe. Il avait aussi cette impressionnante collection d'armures et d'armes romaines, il était donc le seul professeur dont la classe ne m'endormit pas.
J'espérais que le voyage se passerait bien. Au moins, j'espérais que pour une fois je n'aurais pas d'ennuis. Garçon, j'avais tort. Tu vois, de mauvaises choses m'arrivent lors de sorties sur le terrain. Comme dans mon école de cinquième année, lorsque nous sommes allés sur le champ de bataille de Saratoga, j'ai eu cet accident avec un canon de la guerre d'indépendance. Je ne visais pas le bus scolaire, mais bien sûr j'ai quand même été expulsé. Et avant cela, dans mon école de quatrième année, lorsque nous avons fait une visite des coulisses de la piscine à requins de Marine World, j'ai en quelque sorte appuyé sur le mauvais levier sur le podium et notre classe a pris une baignade imprévue. Et le temps d'avant… Eh bien, vous avez l'idée.
Ce voyage, j'étais déterminé à être bon.
Pendant tout le trajet dans la ville, j'ai supporté Nancy Bobofit, la kleptomane aux taches de rousseur, frappant mon meilleur ami, Grover, à l'arrière de la tête avec des morceaux de sandwich au beurre de cacahuète et au ketchup.
Grover était une cible facile. Il était maigre. Il a pleuré quand il était frustré. Il a dû être retenu plusieurs années, car il était le seul élève de sixième à avoir de l'acné et le début d'une barbe vaporeuse sur le menton. En plus de tout cela, il était paralysé. Il avait une note l'excusant de l'éducation physique pour le reste de sa vie parce qu'il avait une sorte de maladie musculaire dans les jambes. Il marchait bizarrement, comme si chaque pas lui faisait mal, mais ne vous y trompez pas. Vous auriez dû le voir courir quand c'était le jour de l'enchilada à la cafétéria.
Quoi qu'il en soit, Nancy Bobofit lançait des liasses de sandwich qui collaient dans ses cheveux bruns bouclés, et elle savait que je ne pouvais rien lui faire parce que j'étais déjà en probation. Le directeur m'avait menacé de mort par suspension scolaire si quelque chose de mauvais, d'embarrassant ou même de légèrement divertissant se produisait pendant ce voyage.
“Je vais la tuer”, marmonnai-je.
Grover a essayé de me calmer. ‘C'est bon. J'aime le beurre de cacahuète. Il a esquivé un autre morceau du déjeuner de Nancy.
“C'est ça.” J'ai commencé à me lever, mais Grover m'a ramené à mon siège.
“Tu es déjà en probation”, m'a-t-il rappelé. “Vous savez qui sera blâmé si quelque chose arrive.” En y repensant, j'aurais aimé avoir décoré Nancy Bobofit sur-le-champ. La suspension à l'école n'aurait été rien comparé au gâchis dans lequel j'étais sur le point de me mettre.
M. Brunner a dirigé la visite du musée. Il est monté à l'avant dans son fauteuil roulant, nous guidant à travers les grandes galeries d'échos, devant des statues de marbre et des vitrines pleines de très vieilles poteries noires et oranges.
Cela m'a époustouflé que ce truc ait survécu pendant deux mille, trois mille ans.
Il nous a réunis autour d'une colonne de pierre de quatre mètres de haut surmontée d'un grand sphinx et a commencé à nous raconter comment c'était une pierre tombale, une stèle, pour une fille d'environ notre âge. Il nous a parlé des sculptures sur les côtés. J'essayais d'écouter ce qu'il avait à dire, parce que c'était plutôt intéressant, mais tout le monde autour de moi parlait, et chaque fois que je leur disais de se taire, l'autre professeur chaperon, Mme Dodds, me regardait d'un mauvais œil. .
Mme Dodds était cette petite prof de maths de Géorgie qui portait toujours un cuir noir veste, même si elle avait cinquante ans. Elle avait l'air assez méchante pour conduire une Harley directement dans votre casier. Elle était venue à Yancy au milieu de l'année, quand notre dernier professeur de maths a fait une dépression nerveuse.
Dès son premier jour, Mme Dodds a adoré Nancy Bobofit et a pensé que j'étais une progéniture du diable. Elle pointait son doigt tordu vers moi et disait: «Maintenant, chérie», vraiment gentil, et je savais que j'allais avoir une retenue après l'école pendant un mois.
Une fois, après qu'elle m'ait fait effacer les réponses de vieux cahiers de mathématiques jusqu'à minuit, j'ai dit à Grover que je ne pensais pas que Mme Dodds était humaine. Il m'a regardé très sérieusement et a dit: “Tu as tout à fait raison.”
M. Brunner n'arrêtait pas de parler de l'art funéraire grec.
Finalement, Nancy Bobofit a ricané quelque chose à propos du mec nu sur la stèle, et je me suis retournée et j'ai dit: “Voulez-vous la fermer?”
C'est sorti plus fort que je ne le pensais. Tout le groupe éclata de rire. M. Brunner a arrêté son récit.
« Monsieur Jackson, dit-il, avez-vous un commentaire ?
Mon visage était totalement rouge. J'ai dit: “Non, monsieur.”
M. Brunner a pointé l'une des images sur la stèle.
« Peut-être que vous nous direz ce que représente cette image ? »
J'ai regardé la sculpture et j'ai ressenti une bouffée de soulagement parce que je l'ai vraiment reconnue. “C'est Cronos qui mange ses enfants, n'est-ce pas?”
“Oui”, a déclaré M. Brunner, manifestement pas satisfait. ‘Et il a fait ça parce que…’
'Hé bien …’ Je me suis creusé la tête pour me souvenir. ‘Kronos était le dieu roi, et –’
'Dieu? demanda M. Brunner.
“Titan”, me suis-je corrigé. 'Et … il ne faisait pas confiance à ses enfants, qui étaient des dieux. Donc, euh, Kronos les a mangés, non ? Mais sa femme a caché le bébé Zeus et a donné à Kronos une pierre à manger à la place. Et plus tard, quand Zeus a grandi, il a trompé son père, Kronos, pour qu'il vomisse ses frères et sœurs -’
'Eeew ! dit une des filles derrière moi.
‘– et donc il y a eu ce grand combat entre les dieux et les Titans’, continuai-je, ‘et les dieux ont gagné.’
Quelques ricanements du groupe.
Derrière moi, Nancy Bobofit a marmonné à un ami : « Comme si on allait utiliser ça dans la vraie vie. Comme il va dire sur nos demandes d'emploi, “Veuillez expliquer pourquoi Kronos a mangé ses enfants”.
« Et pourquoi, monsieur Jackson, dit Brunner, pour paraphraser l'excellente question de Miss Bobofit, est-ce que cela a de l'importance dans la vraie vie ? ’
« Cassé », marmonna Grover.
“Tais-toi”, a sifflé Nancy, son visage encore plus rouge vif que ses cheveux.
Au moins, Nancy a aussi eu des ennuis. M. Brunner était le seul à l'avoir jamais surprise en train de dire quelque chose de mal. Il avait des oreilles radar.
Je réfléchis à sa question et haussai les épaules. « Je ne sais pas, monsieur. »
“Je vois.” M. Brunner parut déçu. « Eh bien, demi-crédit, M. Jackson. Zeus a en effet nourri Kronos d'un mélange de moutarde et de vin, ce qui lui a fait dégorger ses cinq autres enfants, qui, bien sûr, étant des dieux immortels, avaient vécu et grandi sans être digérés dans l'estomac du Titan. Les dieux ont vaincu leur père, l'ont découpé en morceaux avec sa propre faux et ont dispersé ses restes dans le Tartare, la partie la plus sombre des Enfers. Sur cette note joyeuse, c'est l'heure du déjeuner. Mme Dodds, voudriez-vous nous ramener dehors ? »
La classe s'est endormie, les filles se tenant le ventre, les gars se bousculant et agissant comme des idiots.
Grover et moi étions sur le point de nous suivre quand M. Brunner a dit : « M. Jackson ».
Je savais que ça allait arriver.
J'ai dit à Grover de continuer. Puis je me tournai vers M. Brunner. 'Monsieur?’
M. Brunner avait ce regard qui ne vous laissait pas partir - des yeux bruns intenses qui auraient pu avoir mille ans et avaient tout vu.
“Vous devez apprendre la réponse à ma question”, m'a dit M. Brunner.
‘A propos des Titans ? ’
‘A propos de la vraie vie. Et comment vos études s'y appliquent.
'Oh.’
«Ce que vous apprenez de moi, dit-il, est d'une importance vitale. J'attends de vous que vous le traitiez comme tel. Je n'accepterai que le meilleur de vous, Percy Jackson.
Je voulais me mettre en colère, ce mec m'a tellement poussé.
Je veux dire, bien sûr, c'était plutôt cool les jours de tournoi, quand il s'habillait avec une armure romaine et criait: “Quoi ho!” ’ et nous a mis au défi, la pointe de l’épée contre la craie, de courir au tableau et de nommer chaque personne grecque et romaine qui ait jamais vécu, et leur mère, et quel dieu ils adoraient. Mais M. Brunner s'attendait à ce que je sois aussi bon que tout le monde, malgré le fait que je souffrais de dyslexie et de trouble déficitaire de l'attention et que je n'avais jamais dépassé un C- de ma vie.
Non – il ne s'attendait pas à ce que je sois aussi bon; il s'attendait à ce que j'aille mieux. Et je ne pouvais tout simplement pas apprendre tous ces noms et ces faits, et encore moins les épeler correctement.
J'ai marmonné quelque chose au sujet d'essayer plus fort, tandis que M. Brunner a jeté un long regard triste sur la stèle, comme s'il avait été aux funérailles de cette fille.
Il m'a dit d'aller dehors et de manger mon déjeuner.
La classe s'est rassemblée sur les marches du musée, où nous pouvions observer la circulation piétonnière le long de la Cinquième Avenue.
Au-dessus de ma tête, une énorme tempête se préparait, avec des nuages ​​plus noirs que je n'en avais jamais vus au-dessus de la ville. J'ai pensé que c'était peut-être le réchauffement climatique ou quelque chose comme ça, parce que le temps dans tout l'État de New York était bizarre depuis Noël. Nous avions eu des tempêtes de neige massives, des inondations, des incendies de forêt dus à la foudre.
Je n'aurais pas été surpris si c'était un ouragan qui soufflait.
Personne d'autre ne semblait le remarquer. Certains des gars lançaient des pigeons avec des craquelins Lunchables. Nancy Bobofit essayait de voler quelque chose dans le sac d'une dame et, bien sûr, Mme Dodds ne voyait rien.
Grover et moi nous sommes assis au bord de la fontaine, loin des autres. Nous pensions que peut-être que si nous faisions cela, tout le monde ne saurait pas que nous appartenons à cette école - l'école pour les monstres perdants qui ne pourraient pas réussir ailleurs.
'Retenue? demanda Grover.
“Non,” dis-je. « Pas de Brunner. J'aimerais juste qu'il me licencie parfois. Je veux dire – je ne suis pas un génie.
Grover n'a rien dit pendant un moment. Puis, quand j'ai pensé qu'il allait me faire un commentaire philosophique profond pour que je me sente mieux, il a dit: “Puis-je avoir ta pomme?”
Je n'avais pas beaucoup d'appétit, alors je l'ai laissé prendre.
J'ai regardé le flot de taxis descendre la Cinquième Avenue et j'ai pensé à l'appartement de ma mère, à quelques pas de là où nous étions assis. Je ne l'avais pas vue depuis Noël. Je voulais tellement sauter dans un taxi et rentrer chez moi. Elle me prendrait dans ses bras et serait contente de me voir, mais elle serait aussi déçue. Elle me renverrait tout de suite à Yancy, me rappellerait que je devais faire plus d'efforts, même si c'était ma sixième école en six ans et que j'allais probablement me faire virer à nouveau. Je ne supporterais pas ce regard triste qu'elle me lançait.
M. Brunner a garé son fauteuil roulant au pied de la rampe pour handicapés. Il a mangé du céleri en lisant un roman de poche. Un parapluie rouge décollé du dossier de sa chaise, la faisant ressembler à une table de café motorisée.
J'étais sur le point de déballer mon sandwich quand Nancy Bobofit est apparue devant moi avec ses horribles amis - je suppose qu'elle en avait marre de voler les touristes - et a jeté son déjeuner à moitié mangé sur les genoux de Grover.
“Oups.” Elle m'a souri avec ses dents tordues. Ses taches de rousseur étaient orange, comme si quelqu'un avait peint son visage avec du liquide Cheetos.
J'ai essayé de rester cool. Le conseiller scolaire m'avait dit un million de fois : « Compte jusqu'à dix, contrôle ton humeur. » Mais j'étais tellement en colère que mon esprit est devenu vide. Une vague rugit à mes oreilles.
Je ne me souviens pas l'avoir touchée, mais la prochaine chose que j'ai su, Nancy était assise sur ses fesses dans la fontaine, criant: “Percy m'a poussé!”
Mme Dodds s'est matérialisée à côté de nous.
Certains des enfants chuchotaient: “Avez-vous vu -”
’- l'eau -’
‘– comme si ça l’avait attrapée –’
Je ne savais pas de quoi ils parlaient. Tout ce que je savais, c'est que j'avais de nouveau des ennuis.
Dès que Mme Dodds a été sûre que la pauvre petite Nancy allait bien, en promettant de lui acheter une nouvelle chemise à la boutique de cadeaux du musée, etc., etc., Mme Dodds s'est retournée contre moi. Il y avait un feu triomphal dans ses yeux, comme si j'avais fait quelque chose qu'elle attendait depuis tout le semestre. ‘Maintenant, chérie –’
« Je sais », ai-je grommelé. “Un mois à effacer des manuels.”
Ce n'était pas la bonne chose à dire.
« Venez avec moi », a déclaré Mme Dodds.
'Attendre! glapit Grover. 'C'était moi. Je l'ai poussée.
Je le fixai, abasourdi. Je ne pouvais pas croire qu'il essayait de me couvrir. Mme Dodds a effrayé Grover à mort.
Elle le dévisagea si fort que son menton de moustache trembla.
« Je ne pense pas, monsieur Underwood, dit-elle.
'Mais -’
‘Vous – allez – rester – ici.’
Grover me regarda désespérément.
“Ça va, mec”, lui ai-je dit. 'Merci d'avoir essayé.’
“Chérie”, m'a aboyé Mme Dodds. 'À présent.’
Nancy Bobofit sourit.
Je lui ai donné mon regard de luxe Je te tuerai plus tard. Je me tournai alors pour faire face à Mme Dodds, mais elle n'était pas là. Elle se tenait à l'entrée du musée, tout en haut des marches, me faisant signe d'impatience d'entrer.
Comment est-elle arrivée si vite ?
J'ai souvent des moments comme ça, quand mon cerveau s'endort ou quelque chose comme ça, et la prochaine chose que je sais, c'est que j'ai raté quelque chose, comme si une pièce de puzzle tombait de l'univers et me laissait regarder l'espace vide derrière. Le conseiller scolaire m'a dit que cela faisait partie du TDAH, mon cerveau
mal interpréter les choses.
Je n'étais pas si sûr.
Je suis allé chercher Mme Dodds.
À mi-hauteur des marches, j'ai jeté un coup d'œil à Grover. Il avait l'air pâle, coupant les yeux entre moi et M. Brunner, comme s'il voulait que M. Brunner remarque ce qui se passait, mais M. Brunner était absorbé par son roman.
J'ai regardé en arrière. Mme Dodds avait de nouveau disparu. Elle était maintenant à l'intérieur du bâtiment, au bout du hall d'entrée.
D'accord, j'ai pensé. Elle va me faire acheter une nouvelle chemise pour Nancy à la boutique de cadeaux. Mais apparemment ce n'était pas le plan. Je la suivis plus profondément dans le musée. Quand je l'ai finalement rattrapée, nous étions de retour dans la section grecque et romaine.
A part nous, la galerie était vide.
Mme Dodds se tenait les bras croisés devant une grande frise en marbre des dieux grecs. Elle faisait ce bruit bizarre dans sa gorge, comme un grognement.
Même sans le bruit, j'aurais été nerveux. C'est bizarre d'être seul avec un professeur, surtout Mme Dodds. Quelque chose dans la façon dont elle regardait la frise, comme si elle voulait la pulvériser…
“Tu nous as posé des problèmes, chérie”, a-t-elle dit.
J'ai fait la chose sûre. J'ai dit: “Oui, madame.”
Elle a tiré sur les menottes de sa veste en cuir. ‘Pensez-vous vraiment que vous vous en tireriez ?’
Le regard dans ses yeux était au-delà de la folie. C'était mal. C'est une enseignante, pensai-je nerveusement. Ce n'est pas comme si elle allait me faire du mal.
J'ai dit: “Je vais - je vais essayer plus fort, madame.”
Le tonnerre a secoué le bâtiment.
“Nous ne sommes pas des imbéciles, Percy Jackson,” a déclaré Mme Dodds. «Ce n'était qu'une question de temps avant que nous vous découvrions. Avouez, et vous souffrirez moins.
Je ne savais pas de quoi elle parlait. Tout ce à quoi je pouvais penser, c'était que les professeurs avaient dû trouver la réserve illégale de bonbons que je vendais dans mon dortoir. Ou peut-être qu'ils s'étaient rendu compte que j'avais obtenu mon essai sur Tom Sawyer sur Internet sans jamais lire le livre et qu'ils allaient me retirer ma note. Ou pire, ils allaient me faire lire le livre.
“Hé bien?” demanda-t-elle.
“Madame, je ne le fais pas…”
"Votre temps est écoulé”, siffla-t-elle. Puis la chose la plus étrange s'est produite. Ses yeux ont commencé à briller comme des charbons de barbecue. Ses doigts s'étirèrent, se transformant en serres. Sa veste se fondit en grandes ailes de cuir. Elle n'était pas humaine. C'était une sorcière ratatinée avec des ailes et des griffes de chauve-souris et une bouche pleine de crocs jaunes, et elle était sur le point de me couper en lanières.
Ensuite, les choses sont devenues encore plus étranges.
M. Brunner, qui était sorti devant le musée une minute auparavant, fit rouler sa chaise dans l'embrasure de la galerie, tenant un stylo à la main.
“Quoi, Percy!” cria-t-il en lançant le stylo en l'air.
Mme Dodds s'est jetée sur moi.
Avec un cri, j'ai esquivé et j'ai senti des serres fendre l'air près de mon oreille. J'ai arraché le stylo à bille en l'air, mais quand il a touché ma main, ce n'était plus un stylo. C'était une épée - l'épée de bronze de M. Brunner, qu'il utilisait toujours le jour du tournoi.
Mme Dodds s'est tournée vers moi avec un regard meurtrier dans les yeux.
Mes genoux étaient en gelée. Mes mains tremblaient tellement que j'ai failli laisser tomber l'épée.
Elle a grogné: “Meurs, chérie!”
Et elle a volé droit sur moi.
Une terreur absolue a traversé mon corps. J'ai fait la seule chose qui m'est venue naturellement : j'ai brandi l'épée.
La lame de métal frappa son épaule et traversa son corps comme si elle était faite d'eau. Chut!
Mme Dodds était un château de sable dans un ventilateur électrique. Elle a explosé en poudre jaune, vaporisée sur place, ne laissant rien d'autre qu'une odeur de soufre et un cri agonisant et un frisson de mal dans l'air, comme si ces deux yeux rouges brillants me regardaient toujours.
J'étais seul.
Il y avait un stylo à bille dans ma main.
M. Brunner n'était pas là. Personne n'était là sauf moi.
Mes mains tremblaient encore. Mon déjeuner a dû être contaminé par des champignons magiques ou quelque chose comme ça.
Avais-je tout imaginé ?
Je suis retourné dehors.
Il s'était mis à pleuvoir.
Grover était assis près de la fontaine, une carte du musée tendue au-dessus de sa tête. Nancy Bobofit se tenait toujours là, trempée de sa baignade dans la fontaine, grommelant à ses vilaines copines. Quand elle m'a vu, elle a dit: "J'espère que Mme Kerr t'a fouetté les fesses.”
J'ai dit: “Qui?”
“Notre professeur. Duh!”
J'ai cligné des yeux. Nous n'avions pas de professeur nommé Mme Kerr. J'ai demandé à Nancy de quoi elle parlait.
Elle a juste roulé des yeux et s'est détournée.
J'ai demandé à Grover où était Mme Dodds.
Il a dit: “Qui?”
Mais il a d'abord fait une pause et il ne voulait pas me regarder, alors j'ai pensé qu'il se moquait de moi.
“Pas drôle, mec”, lui ai-je dit. “C'est sérieux.”
Le tonnerre gronda au-dessus de nos têtes.
J'ai vu M. Brunner assis sous son parapluie rouge, lisant son livre, comme s'il n'avait jamais bougé.
Je suis allé vers lui.
Il leva les yeux, un peu distrait. ‘Ah, ce serait mon stylo. Veuillez apporter votre propre ustensile d'écriture à l'avenir, M. Jackson.
Je l'ai remis. Je n'avais même pas réalisé que je le tenais encore.
“Monsieur, dis-je, où est Mme Dodds?”
Il m'a regardé fixement. “Qui?”
“L’autre chaperon. Mme Dodds. Le professeur de pré-algèbre.”
Il fronça les sourcils et s'assit en avant, l'air légèrement inquiet.
“Percy, il n'y a pas de Mme Dodds dans ce voyage. Autant que je sache, il n'y a jamais eu de Mme Dodds à ​​la Yancy Académie. Est-ce que tu te sens bien?”
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