Tumgik
#vous imaginez qui vous voulez
luma-az · 1 year
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Tes taches de rousseur
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 26 août 
Thème : dix-sept/tout au milieu des étoiles
. .
« Cinq… six…
— Qu’est-ce que tu comptes comme ça ?
— Tes taches de rousseurs. Sept, huit, neuf…
— Mais pourquoi tu fais ça !
— Ça fait trop longtemps que je me posais la question, je veux savoir combien tu as de taches de rousseurs !
— Quoi, partout ?
— Non, pas partout ! Je vais y passer la nuit sinon !
— …
— Déjà, sur ton visage.
— C’est bizarre.
— Dix, onze, douze… Qu’est-ce qui est bizarre ?
— Que tu me regardes comme ça. Aussi… intensément. C’est bizarre.
— Mais… Bizarre bien ou bizarre t’aimes pas ?
— Je sais pas.
— Je peux arrêter si tu veux.
— Mmh. Peut-être.
— Bon. J’arrête alors.
— …
— …
—...
— …
— Tu me regardes encore bizarrement ! Tu comptes dans ta tête !
— Moi ? Non… c’est pas mon genre !
— J’en suis sûr ! Et puis pourquoi tu  veux compter mes taches de rousseurs d’abord ? C’est pour te moquer de moi ?
— Mais non ! Pourquoi je me moquerai de toi pour tes taches de rousseur ?
— Parce que tout le monde se moque de moi avec ça. Depuis que je suis tout petit.
— Parce que tout le monde est un imbécile. Elles sont trop belles, tes taches de rousseur.
— N’importe quoi.
— Mais si ! On dirait des étoiles ! Des constellations !
— N’im-por-te-quoi.
— Mais si, je te dis ! On voit ça, c’est comme de regarder le ciel, et puis d’un coup…
—... quoi d’un coup ?
— D’un coup on voit, tout au milieu des étoiles, tes yeux qui…
— Qui… qui quoi ?
— Qui… qui rien.
— …
— J’avais juste envie de regarder, c’est tout.
— …
— Et il y en a dix-sept.
— Dix-sept ? C’est tout ?
— Oui, moi aussi je pensais qu’il y en aurait plus… Mais si tu veux, je peux recompter.
— Ok. Si c’est toi, je veux bien. »
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lepartidelamort · 5 months
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La nouvelle porte-parole de l’Ukraine est une mulâtresse numérique
 Rencontrez Victoria Shi – une représentante numérique du MAE d’Ukraine, créée à l’aide de l’IA pour fournir des mises à jour opportunes sur les affaires consulaires !
Pour la première fois dans l’histoire, le MAE d’Ukraine a présenté un personnage numérique qui commentera officiellement pour les médias.
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Qu’est-ce que le juif Zelensky sous-entend par là ?
TF1 :
C’est une déclaration pour le moins surprenante que vient d’effectuer le ministère ukrainien des Affaires étrangères. Il a en effet annoncé ce mercredi qu’une porte-parole générée par l’intelligence artificielle (IA) serait désormais chargée de commenter les affaires consulaires. Elle se chargera de lire des textes qui resteront au préalable rédigés par des humains. « Pour la première fois de l’Histoire, le ministère ukrainien des Affaires étrangères a créé une personnalité numérique utilisant des technologies d’intelligence artificielle pour commenter officiellement les informations consulaires destinées aux médias », a déclaré l’institution.
L’avatar qui a vu le jour a été dénommé Victoria Shi, un prénom qui évoque la « victoire » de son pays dans la guerre contre l’invasion russe et un nom de famille qui veut tout simplement dire « IA » en ukrainien. « Je suis une personne numérique. Cela signifie que le texte que vous entendez n’a pas été lu par une vraie personne. Cela a été créé par l’intelligence artificielle », a déclaré dans sa première vidéo la nouvelle porte-parole, sous les traits d’une jeune femme métisse.
La belle victoire de la démocratie métisse de marché, c’est en effet tout l’enjeu de la guerre de BlackRock au monde slave.
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Si vous voulez une image de l’avenir, imaginez une métisse négroïde piétinant un visage humain – pour toujours.
Les juifs ont été un peu espiègles, ils n’en ont pas informé les droitardés qui font la promotion de l’état factice ukrainien depuis 2022.
Remarquez, ils sont tellement attardés qu’ils auraient quand même soutenu cette guerre à la Russie.
L’apparence de Victoria Shi ne sera pas totalement étrangère aux citoyens ukrainiens, puisqu’elle est inspirée de celle d’une chanteuse et influenceuse ukrainienne. Celle-ci se nomme Rosalie Nombre : née à Donetsk, elle a participé à l’édition ukrainienne de l’émission de téléréalité « The Bachelor ».
Voilà qui est rassurant.
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Je l’ai déjà dit, mais il vaut mieux le redire : la seule façon pour l’Ukraine de conserver un semblant de ses caractéristiques ethniques est une victoire de la Russie. Rien d’autre.
L’alternative, c’est l’application du traitement démocratique à l’Ukraine dépeuplée, similaire à celui infligé à toutes les nations qui se trouvent déjà sous la botte judéo-américaine : l’immigration de remplacement et la démocratie multiraciale à perpétuité.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, avant la victoire des juifs en 1945, toutes les capitales du monde occidental étaient blanches.
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Ces juifs préparent le terrain en mettant en scène le « nouveau visage » de l’Ukraine démocratisée et, étonnamment, elle a les traits d’une mulâtresse random de New York, Londres ou Paris.
Cela rend d’autant plus cruelle, et franchement grotesque, la mort pour l’Ukraine zelenskiste de tous ces hooligans depuis 2022. Surtout sous les ordres d’un juif, ce qui n’a visiblement jamais troublé leurs consciences.
Hélas, les hooligans ne sont pas connus pour avoir de solides connaissances historiques, politiques ou théoriques.
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Si l’Ukraine gagnait, ce qui aujourd’hui est heureusement devenu impossible, la « reconstruction » du pays par la finance juive impliquerait l’importation à grande échelle de toutes les races de boue possibles et imaginables.
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Les cadavres des derniers hommes ukrainiens n’auraient pas fini de pourrir en terre, que des bandes de chieurs de rue importées d’Inde ou du Pakistan seraient établies partout tandis que des gangs de nigérians superviseraient la traite de leurs filles survivantes dans les bordels du pays, bordels sur lesquels les juifs prélèveraient leurs parts, bien entendu.
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Mykola était un brave goy
Il est à espérer que les Russes attrapent vivant Zelensky, car ce juif doit répondre à de très nombreuses questions avant d’être humilié rituellement et châtié.
Démocratie Participative
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claudehenrion · 8 months
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Fin de partie… Que souhaiter ?
Les vœux, dit-on, peuvent être formulés jusque fin janvier, ce qui est peut-être ''pousser le bouchon un peu loin''. Cependant, avant de parler d'autres choses --et Dieu seul sait combien il y en a, des choses à dire, hélas plus souvent tristes que rigolotes--, je vous propose de nous arrêter quelques instants sur la partie ''vœux et souhaits en tout genre'' pour le millésime nouveau : pour une fois qu'un truc est gratuit, profitons-en avant que les harpagons psychopathes de Bercy ne taxent ça, comme tout le reste ! Et après mon coup de colère d'hier, un peu de légèreté ne peut pas faire de mal.
Tenu compte de l'état réel de la Planète ''Terre'' tel que nous le contemplons tristement, la première –et presque la seule-- chose qui vient à l'esprit entre les divers ''souhaits possibles'' est de formuler des vœux en faveur de la Paix, d'autant plus que ''elle le vaut bien'', et qu'elle fait un retour en force dans l'air du temps et dans le temps qu'il fait : paix par ci, paix par là, paix partout... tout le monde la décline, à défaut de la mettre en œuvre, et on a presque envie de s'écrier ''la paix, à la fin...'' ! C'est beau, je trouve, cette unanimité, c'est grand, c'est émouvant... Sauf que...
Sauf que la paix, ces derniers temps, elle est... comment dire ?... pas simple ! Disons qu'on est tous pour la paix (sauf les ''islamistes pathologiques'' –ces 2 mots synonymes désignant leur seule et même folie furieuse), mais qu'on ne sait pas trop comment s'y prendre. C'est pas de notre faute à nous (d'ailleurs, c'est plutôt de celle des autres), mais on n'y arrive pas. Et même... on ne sait plus comment s'y prendre pour en parler, y penser, l'appeler de nos vœux. Alors, la faire, a- fortiori... vous imaginez ! Ah ! La paix... d'accord, bien sûr, et comment ! Pourquoi ? Pas vous ? Bon, on est d'accord. Mais... comme tout est si compliqué, on en reparle demain, par exemple, ou après-demain si vous êtes déjà pris, demain... D'ailleurs, je ne me souviens plus si c'est à Gaza ou en Ukraine que les idiots-au-pouvoir exigent ''2 pays''... ce qui n'a pas la moindre chance de marcher, une fois le papier signé ! Qu'ils arrêtent, avec cette idée irréaliste, et... qu'ils nous fichent la paix !
Parce que, tout de même, la paix, c'est sûr, qu'on la veut. Bien sûr... pas à n'importe quel prix ! Le mieux, ce serait que ce soit les autres qui commencent, fassent les premiers pas et amorcent le processus : après tout, si l'état de paix a cessé, c'est de leur faute. Nous, on n'a fait que subir les conséquences de leurs errements, de leurs torts et de leurs fautes (Exemple : en Ukraine, c'est typique !). Et c'est là que surgit le première difficulté : les autres, ils disent exactement la même chose ! Il disent qu'ils sont à fond pour la paix, patin, couffin... mais ils veulent que ce soit les autres qui commencent, qui donnent l'exemple. Et c'est là que tout se gâche : leurs ''autres'' à eux, c'est nous !
Ces ''autres'' refusent d'admettre que chez nous –qui sommes tellement pour la paix--, c'est plus difficile, et que c'est plus compliqué, et tout, compte tenu de la situation. Et puis... il y en a qui aiment le conflit, la ''chikaya'', voire la bagarre... Vous savez... dans le genre ''l'Homme est un loup pour l'homme'' et tout ça, quoi... Mais attention ! Nous, on est pour la paix, hein ! Ne nous faites pas dire ce que nous ne pensons pas ! La preuve ? Rien qu'à l'idée qu'il pourrait y avoir la paix, on applaudit des deux mains (NDLR : phrase stupide s'il en est : qui applaudirait d'une seule main ?). Ce qui complique tout, c'est qu'elle change tout le temps de nom, celle-là ! Salam... Shalom... ou bienسلام et שָׁלוֹם... Peace... Paix... Paz... Pace... Frieden... 和平ou Heupíng, voire Mir ou Мир.. Comment voulez-vous qu'on ''fasse'' un truc qui ne fait rien pour nous faciliter le boulot ?
Pourtant, tous les ans, on est heureux que le Pape parle de la paix et la fasse applaudir ''urbi et orbi'' : il ne manquerait plus qu'il se mette à déconner ''façon Biden'' et raconte, du haut de son balcon, qu'il serait pour la guerre ! Qu'il divise les chrétiens et les monte les uns contre les autres, progressistes contre classiques, modernistes contre conservateurs, innovateurs contre dépositaires voire même, à la limite, a-sexués contre sexués et homos contre bi-... est une chose, mais qu'il l'érige en principe en serait une autre ! (NDLR – à propos de Jo Biden, je viens de découvrir qu'il dort 44 % de son temps ! Je pense donc avoir les qualités requises pour être Président des Etats-Unis : à 44 % du temps à siester, je suis dans la ''job description'' Mais je m'égare, comme le roi éponyme (Mégare) qui a perdu son cheveu d'or --Moi, de tous ceux que j'ai perdus, aucun n'était en or !).
En fait, la situation paraît assez simple, en fin de compte : plus on est pour la paix et plus d'autres sont aussi pour la paix, et plus la guerre continue, plus la haine continue, plus l'intolérance continue, et plus continuent le racisme, la violence, l'anti-sémitisme des cons, l'anti-homme blanc des wokistes et de ceux qui n'ont rien compris (ce sont les mêmes que ceux cités juste avant !), l'anti-catholicisme des mêmes et l'anti-christianisme des musulmans ''-issimes''... Peut être, en fin de compte, qu'on s'est simplement trompé de chemin, et qu'il suffirait de réclamer ''plus de guerre'' (au sens de ''davantage'') pour avoir, par esprit de contradiction, enfin la paix ?
Je n'ai pas la réponse, vous vous en doutez. Mais en attendant, la pauvre colombe blanche de la Paix (avec une majuscule, pour une fois), reçoit des volées de plomb. Qui a tiré ? Mais ''les autres'', voyons ! La preuve ? Nous, on est pour la paix... au point de provoquer sans cesse l'équilibre très relatif que lui confie notre trouille du nucléaire... ou au point d'offrir tous nos stocks stratégiques d'armes à un gugusse qui montre tous les signes d'un déséquilibre psychique majeur (et au moment précis où les menaces se multiplient, comme par hasard)... sans savoir si, sur le long terme, tout ce Saint Frusquin ne va pas se transformer en piège qui se refermera sur... nous...
La période actuelle risque à tout instant de devenir très intéressante à observer pour les masochistes, les imprévoyants et ''va-t'en-guerre'' (NB : avez-vous remarqué que l'antonyme de ce mot affreux, les ''va-t'en-paix'', n'existe pas, ni de paix ni de loin ? Et qui s'inquiète de cette ''case en moins'' dans notre dispositif ? Mais personne, vous le savez (et pour une fois, certainement pas ''les autres''!). Regardons la situation telle qu'elle est : quatre ou cinq ''zones de conflit'' immenses, incertaines, menaçantes : Formose, l'Ukraine, Gaza, et le détroit de Bab el-Mandeb, plus quelques autres zones, en train de ''se chauffer'' : l'ex-Yougoslavie et les kossovars, les ex-''Balkans'' et les azéris, l'ex AOF / AEF est ses colonels wagnérophiles, Erdoğan le fou-furieux, les deux Corées –ce mot désigne le conflit sino-américain sur le leadership militaire du monde--... et d'autres, dont les protagonistes, tout à leurs petites préparations, ne savent même pas vers quelles catastrophes ils se dirigent... avec nous, qui sommes pour la paix, mais serons entraînés avec ''eux z'autres''...
Car il n'y a pas un seul endroit, pas un seul moment, et pas une seule seconde où des gens sages et intelligents (une espèce en voie de disparition) brillent par des interventions ''dans le bon sens'' ! Ce qu'on trouve partout, c'est plein de gugusses incultes et nuls, et des cuistres ployant sous le poids de diplômes qui ne valent plus rien. Mais on cherche en vain des vieux sages cultivés, se souvenant de l'Histoire telle qu'elle s'est vraiment déroulée (ce qui n'a rien, mais RIEN à voir avec les récits officiels macroniens, bien entendu !) et de toutes les terribles leçons qu'elle distribue, des sages qui poseraient la question : ''Et après ?'' (et... seraient écoutés !).
On ferraille partout, au jour le jour, on fait n'importe quoi n'importe comment n'importe quand... en clamant –aurait déploré De Gaulle-- ''la paix, la paix, la paix... en sautant comme des cabris''... Mais la triste réalité est : ''Cherche grands Hommes, désespérément'' … et ce n'est pas après la dernière conférence de presse de ''qui nous savons'' qu'on va pouvoir se dire : ''Ah ! Ça n'est plus la peine de chercher : on en a trouvé un''. Où une telle absence de direction va-t-elle nous mener ? Sans doute là où personne de sain d'esprit ne voudrait aller... et vers quoi, pourtant, nous sommes en route : quelle paix en Ukraine ou à Gaza ? Si on emploie le mot ''paix'', c'est par antiphrase ! Pourtant... pour les 12 prochains mois, ''Que la Paix soit avec vous'' !
H-Cl.
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raphraconte · 1 year
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2023年08月28日 Monin: monarque des yaourts
Fut un temps, ma mère décida de ne plus acheter de yaourts au supermarché et de les faire soi-même. Démarche économique et écologique, on n'avait pas super bien accueilli ça il y a plusieurs années... Imaginez des enfants nourris à la marque avec des Danette, des riz au lait la laitière et des yaourts au fruit yoplait, tous remplacés par des yaourts aromatisés que ma mère apprenait à faire. Elle a passé un sacré moment à obtenir un riz au lait correct ! Mes sœurs n'étant pas fans de yaourts aux fruits, il ne restait que des yaourts à la vanille et peut-être à la fraise. Et même si ce n'était pas très varié, je les aimais bien.
Un jour, ma mère a essayé de faire des yaourts à boire pour le goûter, mais comme à cette époque on n'achetait plus vraiment de gâteaux non plus, il n'y a que moi qui les buvait. Le truc, c'est que ma mère ne pensait pas toujours à les faire, et qu'elle faisait toujours en majorité des yaourts à la vanille dans l'espoir que mes sœurs en prendraient. Que nenni ! Du coup, j'ai pris la décision d'apprendre et de faire les yaourts à boire moi-même, en utilisant davantage de parfums.
Depuis j'en fais chaque semaine, et je vous partage aujourd'hui la méthodologie !
Tout d'abord, il n'y a que peu d'ingrédients requis. Pour 6 yaourts:
1 bouteille de 1L de lait
1 Yaourt nature (de 125g dans cet exemple)
Vous pouvez utiliser des produits végétaux, mais prenez garde car si vous faites un yaourt aromatisé comme moi en fonction de la boisson végétale que vous utiliserez elle pourra prendre le dessus sur le goût. C'est bien si vous voulez un yaourt plus léger !
Tout d'abord, on met le yaourt dans un saladier et on insère du lait jusqu'à ce qu'il recouvre partiellement le yaourt. Touillez une première fois avec un fouet jusqu'à avoir quelque chose de plutôt liquide. Rajoutez le reste de la bouteille et touillez à nouveau.
Une fois le yaourt préparé, il faut choisir les parfums. Et disons que moi et Monin on aime la variété !
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Cette photo n'a même pas l'entièreté des parfums que j'ai pu tester, on renouvèle les bouteilles une à deux fois par an maximum ! Elles sont plutôt chères, mais vous pouvez vous douter que c'est de grande qualité. Maintenant je juge les restaurants en fonction de leur stock de sirop Monin...
Une fois les parfums choisis, je les écris au feutre sur les récipients. Ma mère n'écrivait que la première lettre du parfum pour aller vite, mais je fais les choses un peu en extra...
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J'écris les parfums en japonais ! Pratique pour l'apprentissage...
Ensuite, on verse le sirop correspondant dans chaque yaourt à hauteur du fond du récipient, là où se trouve mon pouce sur la photo ci-dessus !
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À présent, Il faut bien entendu verser le yaourt dans les récipients !
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Les récipients ont une contenance maximum indiquée, mais je remplis presque à ras bord systématiquement (c'est pour ça qu'il y a pas mal de sirop !)
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Ensuite, je mets les yaourts dans une yaourtière multidélices Tefal et je lance le Programme 2 (qui correspond aux yaourts) pendant une durée de 6 heures. Les yaourts à boire vont subir une fermentation grâce au yaourt utilisé plus tôt. En les sortant de la machine, on remarque que le sirop est toujours au fond du récipient, il faut donc mélanger avant de mettre les yaourts au frigo !
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Au passage, voici les parfums qui ont été choisis pour cette semaine, en allant de gauche à droite:
ブラックベリー = Mûre
林檎 = Pomme
西瓜 = Pastèque
マンゴ = Mangue
バニラ = Vanille
チューンの香り = Fraise + Banane :3
Et voilà comment je fais mes yaourts chaque semaine ! Ce n'est pas grand chose, mais j'en ai besoin !
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 8
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Bonjour tout le monde !
Eh oui, je continue déjà la critique. Je doute d’être aussi productive à ce sujet dans les jours/semaines à venir, car le travail va probablement me happer et saper mon temps et mon énergie, mais je suis déjà contente d’avoir réussi à speedruner autant de chapitres sur une courte période ! Place à la critique du chapitre huit du tome 10 de Tara Duncan, donc !
Le chapitre précédent m’avait copieusement agacé, car un personnage que j’aimais bien, le vampyr Safir Dragosh, se comportait comme une girouette à meufs, tandis que Selenba, en plus de trahir Magister, agissait comme une ado. On en était restés sur un retournement de situation : des gardes s’en prenaient à Xandiar, Séné, Safir et Selenba pendant l’interrogatoire de cette dernière.
Le chapitre d’aujourd’hui se nomme « Le scripte, ou comment échapper à une mort certaine et décider illico de se reconvertir dans un autre métier ».
Je tiens à préciser qu’avant-hier, j’ai enchaîné deux critiques de chapitres. J’aurais pu continuer sur ma lancée et faire celui-là, mais quand j’ai lu son titre, j’ai levé les yeux au ciel et éteint mon ordi. J’ai simplement pas eu envie.
Je ne vois pas quel est l’intérêt de faire un focus sur un scripte. Non seulement ça ruine la tension, puisque qu’en lisant le titre, le lecteur sait déjà que les scriptes vont survivre à la scène… Mais en plus, franchement, pourquoi parler d’un scripte ? Madame S.A.M. n’a pas assez de personnages sous-développés sur lesquels se concentrer, il faut vraiment qu’elle prenne les premiers péquenots qui traînent en fond pour faire des POVs ? J’aurais préféré qu’on ait un point de vue Séné ou Xandiar, tiens, pour changer.
Bref, fait iech. Commençons le chapitre.
« La gerbe de feu et d’acier s’arrêta juste devant la poitrine des scriptes et du Diseur. Xandiar et Séné avaient étendu leurs boucliers.
Juste à temps. (naaaaan, vous voulez dire que les scriptes ont survécu ? Je m’y attendais pas, tiens)
Quelques secondes de plus, et c’était de la bouillie de Diseur et de scriptes qu’ils ramassaient. (Quelques secondes de plus, et toute preuve du témoignage de Selenba partait en fumée, ce qui aurait obligé les personnages à se concentrer sur les informations qu’ils ont reçu au cours de l’entretien au lieu de pouvoir les livrer à Tara sur un plateau doré. Vous imaginez à quel point ce serait plus intéressant si Selenba trahissait les personnages, et que ce soit à Xandiar ou Séné de restituer les infos apprises pendant l’interrogatoire ? S’ils essayaient d’eux-mêmes déduire, d’eux-mêmes agir ? Gr.)
L’un des deux scriptes regarda la gerbe qui s’était écrasée à un tout petit millimètre de son torse. Ses yeux se révulsèrent et il tomba comme une masse en arrière, évanoui.
Avant que qui que ce soit d’autre ait le temps de réagir, Selenba s’était élancée, mortelle flèche de cuir rouge. (J’y pense toujours (le renflement de la boule de cristal dans sa combinaison)) Elle traversa la vitre détruite ; les assassins levèrent leurs broyettes mais trop tard, bien trop lentement. Deux torsions brutales et ils s’affaissaient, la nuque brisée.
— Par les entrailles de Brenduc, femme ! hurla Xandiar en se redressant, qui a dit que je ne les voulais pas vivants ? »
… « femme » ?
Comment ça, « femme » ? Parle mieux, non ? Et puis merci pour la subtilité du personnage qui engueule la personne qui vient de leur sauver la vie. Non seulement c’est stupide de s’en prendre à quelqu’un qui ne fait qu’aider, mais en plus, rapporter Selenba à son genre plutôt qu’au fait qu’elle est une ennemie est juste du gros machisme.
Ce n’était même pas nécessaire qu’il l’interpelle, un simple « Il ne fallait pas les tuer ! » aurait suffi. Xandiar ne mérite pas d’être écrit comme ça.
« — Ooopps, fit Selenba en se relevant avec un curieux petit engin dans la main. Désolée de vous avoir… de nous avoir tous… sauvé la vie.
Elle appuya sur un bouton et l’engin cessa de clignoter.
— Qu’est… qu’est-ce que c’est ? grelotta le second scripte, complètement sous le choc. »
Dites, quitte à faire comme s’ils avaient de l’importance, vous voudriez pas leur donner des noms, aux scriptes ? Ou des caractéristiques physiques ? Un semblant de personnalité ? D’âme ?
J’avais pas recopié la partie du chapitre précédent, où ils apparaissaient, mais voici tout ce qu’on sait des scriptes présents dans la salle :
ils sont potentiellement gros, puisque c’est généralement le cas de la plupart des scriptes. Grâce à l’opulence de leur Guilde, nous précise la narration. En général, j'ai tendance à penser qu'on est gros pour des questions de métabolisme, mais bon
ils sont« Toujours vêtus d’une robe blanche frappée d’une plume bleue et d’un curieux bonnet à pompon tombant à pointes bleues », ce qui les rend « facilement reconnaissables. »
« Les deux étaient des humains qui étudiaient tout autant le langage parlé que le langage corporel de la vampyr. »
C’est des gens humains et éventuellement-c’est-pas-sûr mais ils sont gros. Okay. On en sait plus sur leurs vêtements que sur ceux qui sont dedans, c’est une bonne synthèse de la série toute entière.
Personnellement, vous m’excuserez, je ne suis pas giga investie dans ces personnages. On passe plus de temps à nous décrire l’apparence d’un prétendant de Tara qui ne reviendra probablement plus, plutôt que des scriptes qui ont failli mourir. Et dont le chapitre suit le point de vue, selon toute vraisemblance.
Je ne demande pas qu’ils aient une backstory ou tout un paragraphe qui leur soit consacré, hein ; mais les différencier autrement qu’en disant « le premier » et « le second » serait un minimum. Ne serait-ce que pour permettre au lecteur d’en avoir un tantinet quelque chose à foutre qu’ils aient manqué mourir.
Puis bon, je dirai rien des gardes qui viennent de se faire assaillir, la narration n'en parle pas…
Bref, le scripte demande ce qu’est l’appareil que Selenba vient d’éteindre.
« — Je n’en ai absolument aucune idée, répondit Selenba. Mais cela ressemble fichtrement à quelque chose qui était sur le point d’exploser… j’espère que j’ai appuyé sur le bon bouton…
Séné grimaça.
— Oui, vous avez eu de la chance, vampyr, si vous aviez appuyé sur l’autre, boum ! (Vous les prenez au sérieux, vous, les persos qui sortent des onomatopées à tout va ? […] C’est un prototype qui n’a absolument rien à faire ici. Un nouveau type de grenade que nos laboratoires sont en train de tester. S’ils l’avaient lancée contre nous, nous n’aurions rien pu faire, elle est manufacturée pour franchir les boucliers magiques, elle est très puissante, très létale
— Ah ! fit Selenba. Vous vous amusez bien à Omois, les gars ! [...]
— Magister doit vraiment vous en vouloir…
— C’est presque flatteur. Si je ne savais pas qu’il redoute juste que je ne sois précisément en train de faire ce que je suis en train de faire : révéler ses secrets »
Aaaah, mon erreur syntaxique de début de chapitre, je l’attendais ! :D
La phrase «  Si je ne savais pas qu’il redoute juste que je ne sois précisément en train de faire ce que je suis en train de faire » est laide. Essayez de la dire spontanément à voix haute, vous devriez constater que ce n’est pas du tout possible.
Conseil : Si vous écrivez des histoires, ça peut être tentant de donner un langage châtié à vos personnages, voire de leur faire dire des répliques classes. Cependant, n’oubliez pas que tous les dialogues que vous écrirez sous-entendent qu’un personnage les prononce à voix haute. Aucun problème à leur faire déblatérer des paragraphes, on est dans une fiction, après tout, on peut se permettre des différences avec la vie réelle ; mais certaines fois, des phrases peuvent être lourdes et pataudes à lire. Ma petite technique personnelle est de m’enregistrer en train de dire la réplique de mes personnages. Si ça ne passe pas, il est toujours possible de faire des ajustements en réécoutant l’enregistrement, en mettant des virgules au moment des pauses, etc.
Là, en l’occurrence, impossible de prononcer d’une traite ce que vient de dire Selenba, surtout d’une façon machinale.
« La vampyr fit sauter la petite boule de métal dans sa main puis la lança au scripte (« au » scripte ? Il y en a deux ! Certes, l’un d’eux est inconscient, mais vous voulez vraiment pas lui donner un trait qui le distingue ?) qui faillit la rater, la fit involontairement rebondir et la rattrapa in extremis, le visage blanc de peur.
— Je l’ai, je l’ai ! fit-il, terrorisé. Qu’est-ce que je fais maintenant ?
Il tenait la grenade devant lui, n’osant plus bouger. Xandiar tendit l’un de ses quatre bras pour la lui arracher sèchement. »
Hurgh. Décidément, Xandiar est vraiment écrit comme un sale type, dans ce chapitre.
« Xandiar se précipita avec Séné afin d’incanter des Reparus sur ses gardes abattus par les deux assassins. Hélas ! l’un d’entre eux était mort. Mais ils parvinrent à sauver les trois autres, en attendant les services médicaux qu’ils avaient appelés. »
C’est… très froid, comme façon de préciser que quelqu’un est mort. Xandiar est le chef des gardes, il ne devrait pas être touché par cette disparition, se sentir responsable ? Concerné ? Surtout que la mort en question aurait pu être évitée : ils ont perdu du temps à discuter après que Selenba ait tué les agresseurs… certes, il fallait traiter le problème de la grenade, mais ils n’ont pas franchement donné l’impression de se précipiter.
Mais bon, un de perdu, trois de retrouvés, apparemment.
« — Qu’est… qu’est-ce qui s’est passé ? fit le premier scripte qui s’était évanoui, en essayant de se redresser péniblement.
Son compagnon lui répondit en ne bougeant pas du mur où il s’était adossé, le plus loin possible de la vampyr, des trois gardes morts et de Xandiar et de sa grenade.
— Tu es tombé dans les miams. Et… »
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« J’ai remplacé un mot de cette expression terrienne par un terme Autremondien, du coup c’est bon, c’est une expression Autremondienne ! » : 1 (je commence gentiment le compteur ici, mais je suis persuadée qu’on en serait à 4 ou 5 en prenant les chapitres précédents en compte).
Ah oui, et le scripte s’est interrompu car Lisbeth vient de débarquer tout en finesse. C’est-à-dire qu’elle gueule comme un putois et plaque Selenba au mur avec sa magie.
« Le premier scripte se ré-évanouit aussi sec. Affronter une vampyr transformée en boulet de canon et une Impératrice en fureur étaient bien trop pour lui. Celui qui était contre le mur et avait failli se manger 200 kilos de vampyr dans la figure fila à quatre pattes sous la table que Xandiar avait remise d’aplomb, en se disant qu’il allait changer de métier et vite fait »
On en est à la troisième page, et ce que le titre annonçait a enfin eu lieu, ouaiiis. J’ai hâte qu’on suive les aventures de ce scripte, palpitantes et profondément intéressantes, qui justifieront un tel point de vue dans ce roman.
Aha.
Faudrait déjà que l’autrice lui donne un prénom.
Safir s’interpose et empêche Lisbeth de tuer Selenba. L’Impératrice remarque qu’il y a des corps par terre dans la pièce, et Xandiar lui explique ce qu’il s’est passé.
« Il avait la mine sombre. Que deux de ses gardes soient des traîtres lui était insupportable, même s’il savait très bien qu’avec autant de soldats sous ses ordres il était impossible d’éliminer toutes les brebis galeuses. Et qu’il existait toujours quelque chose, argent, avantages, positions, ou tout simplement chantage, capable de transformer les moins loyaux en espions ou en tueurs. Comme aujourd’hui. Mais le savoir n’enlevait pas l’amertume. Il venait de perdre deux assassins. Et deux amis. »
… wait.
1/ Des gardes ont été corrompus ? Je pensais qu’il s’agissait de faux gardes, envoyés directement par Magister, ayant profité de la sécurité défective du palais pour changer leur apparence et se faire passer pour d’autres personnes. Je ne pensais pas que c’était des traîtres aussi ?! Le palais d’Omois n’est pas seulement un gruyère, il est aussi à moitié pourri et rempli d’asticots ! À ce compte-là, c’est impressionnant que personne de l’entourage de Tara n’ait été tué, enlevé, ou piégé par des gardes, ou qu’une attaque de grande ampleur n’ait pas été orchestrée !
2/ Xandiar est le chef de la garde du palais d’Omois. L’une des villes les plus influentes, les plus importantes d’Autremonde. Qu’il ait des pensées fatalistes au sujet de sa propre responsabilité au lieu d’envisager de réformer la situation, de trouver des solutions, de pouvoir recruter des personnes plus fiables, c’est préoccupant. Qu’est-ce que c’est que cette histoire de « gardes moins loyaux » ? Comment vous pouvez vous permettre de recruter des gens qui sont moins que strictement fidèles pour défendre la vie de Lisbeth ? Pourquoi rien n’est mis en place pour contrer ces risques, puisqu’ils existent apparemment ? Xandiar pense vraiment qu’un « roooh, ça va, y a des pommes pourries dans tous les paniers » suffit à justifier ça ?
Y a comme un parallèle à faire avec certains systèmes policiers…
3/ T’as pas perdu deux amis, t’en as perdu trois. Tu sais, le mec qui est mort, tué par deux de tes gardes. Corrompus parce que ton système est tout pourri.
Mais bon, pour une raison ou une autre, perdre deux traîtres est plus grave que perdre un type ayant accompli loyalement son devoir jusqu’au bout.
Logique.
« L’Impératrice se mordit la lèvre. Elle aussi savait qu’elle ne pouvait demander l’impossible. (SI. SI, TU PEUX, TU DOIS DEMANDER L’IMPOSSIBLE. Il en va de ta sécurité, de la sécurité de ton peuple, de la sécurité d’Autremonde ! Merde, tu vas avoir l’air conne quand les démons vont débarquer et profiter de ta garde faillible pour dégommer ton entourage ! ) Elle se contenta de diligenter une enquête afin de découvrir ce qui avait poussé les deux thugs à la trahir. Et recommanda de ne pas inquiéter les familles. Pas du tout par compassion, mais parce qu’il lui semblait inutile de créer des rancœurs. Cependant, elle ordonna de les placer sous surveillance. Elle voulait bien être diplomate, cela ne signifiait pas qu’elle était irréfléchie. »
Oh si, ma cocotte, tu es irréfléchie. C’en est même plus marrant, là.
« L’Impératrice d’Omois se plaça devant la vampyr, la dominant de toute sa taille. Comme Selenba, Lisbeth était incroyablement belle (:)))))))))))))))))))))))) et, comme elle, l’Impératrice savait se montrer impitoyable et cruelle. Les deux adversaires étaient donc à égalité et la vampyr fit donc preuve d’une grande circonspection. Elle ne pouvait pas jouer avec Lisbeth comme elle l’avait fait avec Safir ou même Xandiar. »
Deux femmes s’affrontent ? Faisons-les flexer avec leur beauté. L’une est une descendante de Demiderus et l’autre une tueuse sanguinaire, mais leur plus grande qualité comparable est leur apparence physique. Bien sûr.
Lisbeth, folle de rage, l’interroge sur la raison réelle de l’empoisonnement.
« — Mon Sombre Sei… (Elle croisa le regard noir de Safir et rectifia :) Je veux dire Magister (Safir, frère, respecte-toi, tu fais pitié avec ta jalousie. Et pourquoi Selenba se reprend ? C’est tout sauf un personnage qui se laisse dicter par les états d’âme des autres) est un être extrêmement secret. Personne ne connaît ses plans en réalité. Il y a des choses si profondes, si complexes en lui, qu’il faudrait un sort d’Extirpus pour les faire sortir, et encore, je ne suis même pas sûre qu’on les comprendrait. Il joue sur les siècles, pas sur des années (faudrait déjà qu’il sache concevoir un plan sur le court terme. Genre huit à dix minutes, ce serait un bon début). J’ai même cru à un instant qu’il n’était pas humain tant il agissait comme un vampyr.
Elle ajouta avec un petit sourire narquois :
— Ou un dragon. Quoi qu’il en soit, il n’a jamais dit, en dépit de toutes mes questions, pourquoi il vous empoisonnait. »
Lisbeth s’en va, la discussion lui a apparemment donné une idée. Safir n’est pas content, mais franchement il mérite rien donc osef. Alors qu’il compte encore interroger Selenba, Tara débarque dans la pièce, et explique qu’elle sait ce qu’il s’est passé.
Il se trouve qu’elle a senti une douleur à l’abdomen en même temps que l’attaque avait lieu, et apparemment, ce serait similaire à ce que lui faisait ressentir Dark Tara ! Omg, quelle déclaration fracassante, faisons vite une coupure !
On reprend au même endroit.
Xandiar songe qu’il faudrait qu’il tue Tara si celle-ci se transforme à nouveau en son double maléfique. Mais Tara désamorce la tension en expliquant qu’elle ne fait que ressentir plus intensément la présence de magie démoniaque autour d’elle.
« Xandiar risqua prudemment, plein d’espoir :
— Cela signifie-t-il que mes gardes sont honnêtes ? Qu’ils ont été manipulés par de la magie démoniaque ? »
Hé ! Crois pas te dédouaner de ton devoir en blâmant la magie démoniaque pour toutes les trahisons ! De ce qu’avait l’air de signifier ton monologue intérieur, il semblerait que ce ne soit pas la première fois qu’un truc de ce genre arrive !
Tara répond que c’est possible, mais Selenba riposte par un autre argument… pas très sensé :
« — Je ne connais pas bien (en fait si, mais la vampyr n’avait pas l’intention de l’avouer) l’armement de vos soldats, mais je ne suis pas tout à fait sûre qu’une grenade anti-bouclier comme celle qu’ils allaient lancer fasse partie de l’équipement de base. Pas alors que chacun de ces petits bijoux vaudrait, si j’en crois ce que vient de dire Dame Senssass sur leurs caractéristiques, au moins dix mille crédits-muts d’or au marché noir (Dix mille crédits-muts d’or ? Pour un truc qui est en train d’être testé en laboratoire, et donc potentiellement pas au point ? Ça n’a pas de sens.)
Tara sifflota. C’était une rançon de roi. Avec dix crédits-muts d’or seulement, une famille pouvait vivre pendant plusieurs années sans s’inquiéter d’avoir à travailler (d’autant plus !). La vampyr avait raison. Il y avait préméditation. Xandiar ne dit rien, mais son dos s’affaissa légèrement. Il avait tellement voulu croire en l’innocence de ses thugs ! »
Euh…
1/ Encore une fois, un tel prix pour une grenade, d’autant plus une grenade pas encore au point, c’est assez abusé. C’est pas un tank, votre machin. J’ai aucune connaissance militaire, mais une fois utilisée, une grenade est normalement détruite par l’explosion qu’elle engendre : sinon, l’ennemi visé peut se réapproprier l’arme, et celui qui l’a envoyée se retrouve bien con. De ce fait, il est plus cohérent que le prix soit revu à la baisse. Soit le système économique d’Autremonde est pété, soit la technologie pouvant contrer la magie est encore une denrée rare, mais dans le deuxième cas, personne ne devrait seulement avoir connaissance de l’existence de ces grenades.
2/ Rien, dans le discours de Selenba, ne prouve réellement que les gardes sont coupables. Encore une fois, le palais d’Omois est aussi infiltrable qu’un carton de déménagement. Qui nous dit que Magister n’a pas trouvé le moyen de faire voler des grenades dans un laboratoire ou au marché noir, pour ensuite les déposer dans un coin du palais ? Il lui suffirait à partir de là d’utiliser la magie démoniaque pour manipuler les gardes, les faire récupérer les grenades et prendre position dans la salle d’interrogatoire.
L’acte était forcément prémédité, certes, on ne peut pas faire tout ça en une journée, mais de là à dire avec autant d’assurance que c’était un coup des gardes…
3/ Puis l’argument du coût est tout pété. C’est affirmer qu’un garde peut avoir dix mille crédit-mut d’or, soit mille ans de vie tranquille garantie pour lui et sa famille, à dépenser pour une simple trahison. Deux hypothèses :
a) Les gardes ont un salaire élevé et un service d’une durée obligatoire à remplir avant de se retirer. Ils peuvent se permettre d’acheter la grenade avec leur propre argent. Dans ce cas, contrairement à ce que s’imagine Xandiar, « l’argent » ne peut pas les corrompre. À aucun moment.
b) Les gardes ont un salaire ordinaire mais Magister a commandité l’assassinat en transmettant le montant à un garde chargé de se procurer les grenades, et… dénonce la supercherie et garde la thune pour toi, chaton. Mille ans de vie tranquille contre la trahison de mon empire et une grenade, le choix est vite fait, pour moi.
Même si ledit garde est soumis à un chantage, il trouvera une meilleure défense auprès de son Impératrice qu’auprès d’un gars dont il ne sait pas s’il tiendra parole.
Bref, l’affirmation de Selenba ne prouve rien.
D’ailleurs, la résolution est aussi claquée que son raisonnement. Tara demande à Xandiar où étaient les deux gardes qui les ont trahis avant d’être mobilisés en salle d’interrogatoire. Et c’est là que Xandiar réalise que oh là là, mais il s’en rappelle, ils étaient près des laboratoires du palais !!
Je déconne pas.
Le cerveau de Xandiar a momentanément été remplacé par un pot de moutarde.
Un appel au labo confirme qu’une grenade y a été volée, paye ta sécurité, et Tara rassure Xandiar une fois de plus à base de « tkt, tes gardes étaient sans doute manipulés par de la magie démoniaque, du coup ». Parce que la magie démoniaque laisse leurs souvenirs aux personnes manipulées.
Personne ne relève que Xandiar doute de ses gardes comme si la corruption était normale chez eux, et qu’il faut que l’Héritière impériale de dix-sept ans le rassure. C’est pathétique.
Lisbeth contacte Tara pour qu’elle vienne dans son bureau, à cause d’une urgence. Là-bas, Tara y retrouve également Sandor, qui revient d’une mission.
Lisbeth déclare qu’elle sait pourquoi Magister l’a empoisonnée. Elle fait apparaître un Incadenassus (un genre de gros coffre fort), qui vérifie son identité à coup de tout un tas de procédures de sécurité. C’est très intéressant mais c’est dommage que de telles méthodes ne soient pas étendues à tout le palais.
Tout ça évoque Cal à Tara, ce qui rappelle à cette dernière qu’elle est triste de ne plus lui parler.
Au lieu d’expliquer ce qu’elle vient de comprendre, Lisbeth sort du coffre ce qu’elle est venue y chercher, à savoir le traité signé avec les dragons. Après la guerre des Failles, je présume. Ça n'a rien à voir avec la discussion en cours. Ce qui m’intéresse, c’est de savoir ce que Lisbeth a découvert ; mais au lieu de ça, la discussion embraye sur un autre sujet :
« — Il y a beaucoup de clauses, les dragons sont des gens très procéduriers. Tu devrais voir ce que Charm nous a fait parvenir comme conditions pour que tu aies le droit d’épouser Chem !
Tara fut frappée par la remarque.
— Eeehhh ! fit-elle, soudain étonnée, mais Chem n’est-il pas marié avec Charm ? Comment se fait-il qu’il m’ait demandée en mariage ? (… c’est maintenant que tu te poses la question ? C’est maintenant que la question est introduite dans le bouquin ? Parle d’un timing.)
— Les dragons ne sont pas monogames, s’ils sont investis de missions à long terme. Chem étant en mission, il a le droit d’épouser le nombre de dragonnes ou d’humaines qu’il désire. Avec la bénédiction de sa première épouse. »
Je pense que ce moment est très bien placé pour expliquer une caractéristique du lore de mon univers, pas vous ? Non ? : 6
Et évidemment, Charm n’aime pas du tout l’idée que Chem épouse Tara, même si c’est pour la nécessité et que la relation qui le lie à Tara n’a jamais rien eu de romantique ! Merde, on parle d’une gamine de dix-sept ans et de son tuteur âgé de milliers d’années, évidemment qu’il va rien se passer entre eux ! Mais non, faut forcément que toutes les personnes en couple soient jalouses à l’extrême dès que leur partenaire ose seulement respirer dans la direction d’un autre membre du sexe opposé.
« Ils se regardèrent.
Personne ne prononça un mot pendant quelques secondes. Tous avaient en tête les crocs, vraiment très longs, de Charm. Et se les imaginaient très bien plantés dans le cou de Chem. (gardez vos fantasmes pour vous.)
— Il est très courageux, dit enfin Lisbeth. Parce que te demander en mariage alors que sa femme – et sa reine – n’est pas d’accord…
— Euh, fit Tara, moi non plus je ne suis pas d’accord ! Quelqu’un peut-il me dire pourquoi je dois épouser un léza… un dragon ? Bon sang, il n’est même pas de la même race que moi ! C’est complètement ridicule ! »
1/ C’est espéciste
2/ L’ex de Tara est un elfe, ça a aucun sens
3/ Techniquement, Chem peut prendre apparence humaine, c’est pas comme s’il était en permanence un dragon gigantesque ! D’ailleurs, la première fois qu’on le voit dans les bouquins, il est en humain !
4/ Puis franchement, pourquoi elle s’inquiète de ça ? C’est pas comme s’ils allaient se pécho !
Hurgh, la seule idée me dégoûte.
« — Mais justement, je viens enfin de comprendre la raison pour laquelle Magister tient tellement à s’emparer du trône d’Omois ! fit triomphalement Lisbeth. »
Coupure fracassante. Oui bon pardon, j’ai coupé le dialogue en plein milieu, du coup vous pouvez pas ressentir l’intensité drrramatique de cette réplique, mais franchement vous ratez rien. Lisbeth en a fait une similaire il y a quelques paragraphes, pour dire qu’elle avait compris pourquoi Magister l’avait empoisonnée. On n’a pas eu plus de réponses.
Après la coupure, Lisbeth explique qu’une clause du traité stipule que l’Imperator ou Impératrice d’Omois peut chasser les dragons d’Autremonde, les obligeant à s’isoler chez eux, au Dranvouglispenchir. Les dragons étant procéduriers et fidèles à leur parole, ils ne pourraient pas refuser, même si l’Imperator en question était Magister.
Si Tara n’en avait pas connaissance, c’est parce seule une version expurgée du traité a été rendue publique.
Ensuite, on a droit à une scène de tension qui marche plutôt bien : un objet tombe du coffre, et aussitôt, Lisbeth et Sandor sont paralysés de terreur. Il s’agit d’une espèce de sphère.
« — OK. Et c’est quoi ?
— La mort, répondit Sandor. La mort ultime, la mort de tout.
Tara avait un peu de mal à assimiler l’inoffensive petite boule de métal doré avec la mort ultime.
— C’est une sorte de bombe ? Puissante ?
— Non, ce n’est pas une bombe. C’est… c’est… comment expliquer cela ? C’est une négation. Elle nie la vie. Elle la refuse et, comme elle la refuse, de fait, la vie ne peut pas exister dans son champ d’action. Elle… disparaît. Tout ce qui est vivant disparaît. Les plantes, les animaux, les insectes, tout.
L’horreur suintait de sa voix. Tara n’avait pas souvent vu Sandor avoir peur. Là, ce n’était pas de la peur, c’était le refus de quelque chose de si monstrueux qu’il dépassait l’entendement humain.
D’accord. Cela confirmait ce que pensait Tara. Elle n’aimait pas, mais alors pas du tout. »
Oui, bon, du moins la scène marcherait si la narration était en mesure de suivre.
Virez ce ton détaché, et on est face à un artefact fascinant, quasi lovecraftien. La réaction qu’il tire à Sandor et Lisbeth est assez cool, on sent que les deux ont l’habitude de se soucier de cet objet. Le seul problème est la sécurité qui l’entoure : Lisbeth dit qu’elle a changé ses chaînes six ans auparavant, c’est clairement trop peu d’entretien pour un machin si dangereux.
D’autant que la portée de l’objet est de quinze années lumières, soit, à en croire Google, environ 150 billions de kilomètres. C’est huh. Beaucoup. Beaucoup trop pour ne pas être mis en plus grande sécurité, d’ailleurs.
Lisbeth enferme de nouveau l’artefact, et explique que l’inventeur qui l’a mis au point est mort. Seuls Lisbeth et Sandor, et désormais Tara, sont au courant de l’existence de cette chose.
« Tara frissonna. Elle préférait la bienheureuse insouciance à la cruelle connaissance. Surtout lorsque celle-ci pouvait tout détruire sur quinze années-lumière.
— Tu en as peur, moi aussi, dit-elle. Alors pardon de te poser la question, mais pourquoi est-ce que tu ne l’as pas détruite ? Parce que personne, jamais, ne voudra utiliser cette chose.
— Tara, si j’avais pu la détruire, crois-moi, je l’aurais fait depuis longtemps. Mais même si on lance la sphère dans le soleil, cela ne fera que libérer les NA. La seule solution serait de l’envoyer dans l’espace dans un endroit où nous saurions avec une certitude absolue qu’il n’y a absolument rien de vivant sur quinze années-lumière et que nous la lâchions là. Sauf que d’une part nous ignorons si un tel endroit existe ; d’autre part, et si cela ne s’arrêtait pas ? Si la circonférence de destruction était plus grande ? Si, en fait, ces particules tuaient sur des milliers d’années-lumière et non pas une dizaine ? Non, je ne peux pas courir le risque. »
J’aime bien cette scène. Et pour une fois, les personnages semblent avoir une raison logique de faire ce qu’ils font. Même la super-poubelle de Mourmur n’a pas l’air d’être une bonne solution, à mon sens, puisqu’on ne sait pas à quel coin de l'univers elle conduit.
Tara change complètement de sujet en décrétant qu’Archange ne devrait pas venir sur Autremonde, et que c’est trop risqué, mais Lisbeth l’envoie paître en disant qu’elle ne changera pas sa décision.
Pour une fois, nous avons droit à une coupure elliptique qui nous renvoie à un autre moment. En l’occurrence, Lisbeth veut parler à Safir et Selenba, et laisse Tara avec Sandor. Ce dernier décide de l’entraîner.
« Tara fit la grimace. Il racontait n’importe quoi. Tous les jours, en plus de son entraînement magique redoublé, elle combattait pendant deux à trois heures avec les gardes du palais, en s’interdisant absolument d’utiliser sa magie, même au prix de douloureuses corrections. Car le fait qu’elle soit l’Héritière ne l’empêchait pas de se manger régulièrement le sable de l’arène où elle combattait. Ils étaient sans pitié. Ils étaient conscients qu’ils étaient la dernière ligne de protection et que si cette ligne était brisée, Tara serait seule pour se défendre. Comme Cal, ils lui avaient donc appris tout ce qu’ils savaient, y compris des tas de coups particulièrement vicieux. »
Ce paragraphe manque sérieusement de panache, quand on se remémore tout le monologue interne à base de « oupsie doupsie j’ai des gardes corrompus dans mes troupes :/ » de Xandiar. Je vais pas m’en remettre.
Bref, ils commencent leur entraînement, entourés par des gardes venus regarder ce qu’ils font.
« Elle ne broncha pas, encaissant la douleur sans montrer qu’elle avait senti quoi que ce soit. Lors de l’assaut suivant, l’Imperator observa comment elle esquivait ses attaques. Tara avait un style… En fait, n’avait pas de style. Elle avait piqué des trucs à tout le monde (Tara c’est les musées britanniques). À lui, l’Imperator, mais que, maligne, elle n’utilisait pas contre lui, puisqu’il les connaissait. Probablement à Sylver, qui était, aux yeux de Sandor, l’un des plus incroyables combattants qu’il ait jamais vu en action. Au petit Voleur aussi, certaines des roulades qu’elle effectuait avec aisance étaient bien de son style. Mais il pouvait aussi voir l’influence de Robin, le demi-elfe, dans la fulgurante rapidité de ses réactions (Le co-Imperator d’Omois est capable d’identifier le style de combat de trois clampins de dix-sept ans. Je vous renvoie à mon agacement quant à l’écriture de personnes jeunes et cheatées). Elle n’utilisait pas la magie, pourtant elle était bien plus rapide et puissante qu’une jeune humaine normale. C’était très intéressant. Il se déconcentra et, avec une prescience inouïe, Tara le sentit. Elle attaqua, passa sous sa garde et, l’instant d’après, il se retrouvait par terre, à moitié assommé. Les gardes, ravis, hurlèrent leur joie. »
Ils s’entraînent ensuite au couteau, que Tara a aussi appris à mieux maîtriser, puis l’entraînement s’achève. Tara retourne à sa suite, avec l’intention de prendre une bonne douche, quand elle tombe sur Cal et Robin.
Aha, le triangle amoureux à la con est au complet, quelle joie.
Le chapitre se finit là ! J’ai eu plein de choses à dire et plusieurs incohérences à relever, c’était assez mouvementé, cette fois-ci.
Le prochain chapitre se concentrera de nouveau sur Tara. À dans quinze mois, donc !
(Je plaisante, mais je risque de mettre du temps, ne m’en veuillez pas ! Prenez soin de vous !)
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cedacho · 2 years
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Forspoken. Le jeu qui a trop dit "Fuck". *
Forspoken a été accueilli dans un marasme d’indifférence, de notes moyennes voire médiocres, le tout un peu saupoudré de mini shitstorm éphémère. Un développeur du jeu a bien voulu répondre à quelques questions de Jeux Incompris Magazine. Il parut évident à notre testeur qu’il y avait anguille sous roche autour de cette sortie et, surtout, la façon dont le jeu a été vendu. Laissons donc la parole au seul membre de l’équipe qui hésite encore entre démissionner ou se pendre.
Jeux incompris magazine : Bonjour M. le développeur de Forspoken. Comment allez-vous ?
M. le développeur de Forspoken : A votre avis ?
J.I.M : Je vois. Avant de mettre fin à vos jours, pouvez-vous nous pitcher votre jeu ? Mais le vrai pitch s’il vous plaît, pas le faux marketing basé sur le mystère et le non spoil à la con (vous savez, cette communication qui cherche à dire sans dévoiler, et qui fait plus de mal qu’autre chose à des jeux comme le vôtre…). Surtout au point où vous en êtes !
MLDDF : Forspoken est l’Origin Story d’une superhéroïne nommée Frey. Elle est une SDF New Yorkaise qui s’est construite toute seule. Donc son horizon personnel et ce qui la définit se résument à peu de choses. Un petit appartement abandonné (un « refuge »), quelques livres contant l’histoire de personnes propulsées dans un monde imaginaire, son chat à qui elle s’adresse sans arrêt. Et une aspiration à s’échapper de sa vie « de merde », comme elle le dira souvent.
Etant donné que dans les histoires de super-héros, ce sont les faiblesses du protagoniste qui vont définir les piliers de l’histoire et de son évolution, Frey est égoïste (ou plutôt disons absolument « non-altruiste »), incrédule, vulgaire ; et obsédée par le fait de juger au jour le jour l’endroit où elle se trouve afin de décider, comme une sans-abri, s’il vaut la peine de rester « ici ». Ce seront les fils conducteurs. Ses « thèmes » de superhéroïne, si vous voulez.
J.I.M : Il est très surprenant de vous entendre parler d’  « Origin Story » et de « Superhéroïne ». Comment cela se fait-il que pas un mot n’ait été dévoilé quant à cet aspect qui, lorsqu’on termine le jeu, est clairement la facette principale de Forspoken ?
MLDDF : Vous savez, ce projet a de nombreuses années. Nous commencions à avoir cette idée à l’époque où la Terre entière nous détestait déjà à cause du fait que les restes de l’annulation de Versus XIII nous soient tombés dessus. A cette époque, la mode était aux superhéros. Marvel cartonnait au cinéma, les jeux Batman montraient que des adaptations de superhéros pouvaient être bonnes. Et Square Enix était encore dans sa logique de conquérir l’Ouest, avec Crystal Dynamics et Eidos. Malheureusement, l’opération de damage control lunaire et foireuse qu’a été Final Fantasy XV est passée en priorité, malgré les envies de suicides au sein de notre équipe. Imaginez : vous vous retrouvez avec le cadavre du Final Fantasy le plus attendu depuis plus de 10 ans sur les bras, et le Monde entier vous déteste pour ça avant même que vous n’esquissiez le moindre geste. FFXV est finalement sorti, une partie de l’équipe a pratiqué l’immolation collective autour d'un portrait de Testuya-sensei, et on nous a mis une cible sur la tête. Hajime a quitté le bateau ; ce qu’il restait de l’équipe a pu se remettre sur le projet Athia.
J.I.M : L’éclaircie poignait à l’horizon, au bout du compte. Je veux dire, enfin vous pouviez repasser sur votre projet qui n’était pas une commande ni une suite de franchise. Qu’est-ce qui s’est passé ensuite ?
MLDDF : La suite vient d’un problème que nous avons chez Square Enix.
Deux écoles s'affrontent au sein de notre hiérarchie. Certains sont ouverts aux projets un peu borderlines et avec une vraie identité. Ce sont eux qui donnent le feu vert à des développements comme projet Athia, Diofield Chronicles ou, il y a des années de cela, des tentatives comme Last Remnant.
Et l’autre tendance dans la boîte, c’est l’équipe « pépouzes, only pépouzes » ; ceux-là souhaitent conquérir l’Ouest, vous savez, comme cette souris, Cortex, qui toutes les nuits fomente un nouveau plan nul pour conquérir le Monde. L’ennui c’est que ces mêmes personnes mesurent les tendances du net au jour le jour, comme un météorologue souhaite étudier le changement climatique mais n’a comme seule méthode que son doigt mouillé pour sentir le vent. Ils ont pris pour habitude de couper au dernier moment le budget et les délais de jeux risqués, et ordonnent au marketing de les faire disparaître des radars quelques semaines avant leurs sorties.
Comment tout cela s’est traduit pour nous ? Quand la mode des jeux services est arrivée, Square Enix a sauté dedans des deux pieds. Et comme en plus, la hype autour des superhéros était arrivée à son paroxysme, alors cela a donné Marvel’s Avengers, par Crystal Dynamics. Et tout cela n’est qu’une affaire qui se joue à deux ans près. Alors que Projet Athia était aux ¾ de son développement, Square Enix devenait la risée de la galaxie avec Marvel’s Avengers, et se voyait obligé de dire adieu à son catalogue de jeux occidentaux en revendant Crystal Dynamics et Eidos.
Dès lors, il n’était plus question de dire que notre jeu racontait l’Origin Story de, peut-être, la première vraie superhéroïne directement née en jeu vidéo. N'oublions pas qu'au même moment, le MCU avait du mal à redémarrer après avoir conclu son premier grand cycle ; et Arkham Knights, la suite des jeux Batman, démontrait que tout avait peut-être été dit à ce sujet… "Superhéros" passait de mot magique à mot interdit. Surtout chez nous, à cause de Marvel’s Avengers.
J.I.M : Et Sony dans tout ça ? Forspoken était un fer de lance pour sa politique d’exclusivité, non ?
MLDDF : Cela a constitué un autre boulet dans notre processus.
Vu que nos dirigeants vendraient leur père et leur mère à Sony à la moindre occasion (conquérir l’Occident ok, mais pactiser pour des exclusivités plus prometteuses que Last Remnant au concurrent américain, ils ne sont pas prêts en fait), le contrat d’exclusivité a été sécurisé alors que le jeu était encore à l’état de prototype. Or, notre approche de l’open world et le commentaire sur le jeu vidéo que constitue son écriture et certains choix risqués de game design ne sont arrivés qu’après. Le problème, c’est que les exclusivités AAA de Sony doivent toujours répondre à certains standards de ton, de qualité finale et de gamedesign formatés afin de maximiser les notes et les ventes.
Concilier tout cela avec les deux auteurs américains qui ont collaboré sur le jeu a entraîné une nouvelle vague de suicide dans l’équipe.
J.I.M : Et il y a Spider Man…
MLDDF : Exactement. Sony possède la licence du super héros le plus bankable de l’Histoire, qui n’a que faire des modes et des cycles de popularité auprès du public. Le jeu d’Insomniac a d’ailleurs réussi à faire démarrer une franchise pérenne, assez déconnectée, en fait, de ce qu’on pourrait appeler la « mode ». Alors quand notre prototype s’est transformé en un autre départ de franchise de super héros exclusif à Playstation… Les choses ont commencé à mal tourner. Il n’y avait pas de place pour notre jeu, tout simplement.
Et si vous voulez qu’on parle du dernier clou dans notre cercueil…
J.I.M : Je n’osais pas en parler. Vous pensez vraiment que…
MLDDF : Bien sûr.
J.I.M : J’avoue que là ce n’était vraiment pas de chance. Comme si l’univers ne voulait pas de vous. MLDDF : Je ne vous le fais pas dire. Le premier jeu Sonic potable en plus de quinze ans, et il vient empiéter sur nos plates bandes... Avec sa map désolée et minérale, et son personnage lâché là-dedans doté de ses super déplacements pour égrener des activités génériques. L’allumette alors que nous étions déjà morts trois fois, noyés dans une piscine d’essence, vous voyez ?
J.I.M : Et surtout avec une opération marketing fomentée de longue date. On parle quand-même de deux films et d'un merchandising digne de Star Wars.
MLDDF : Vous avez compris.
J.I.M : Arrêtons de tirer sur votre pauvre ambulance, et entrons dans le vif du sujet. Vous parliez de choix risqués et d’une approche borderline.
MLDDF : Tout d’abord, il faut partir de notre vision de départ. Dompter cette usine à gaz innommable qu’est le Luminous Engine nous a amenés aux conclusions suivantes. Le moteur est très performant pour quatre choses : rendre visuellement de grands espaces ponctués par des excroissances géologiques, détailler des vêtements au style fantasy mais avec un rendu très réaliste et très détaillé, modéliser des architectures abandonnées de très grande échelle ; et enfin vous mettre une race en pleine gueule pour les effets de pouvoirs basés sur des éléments tels que l’eau, le feu, etc… De là est né un prototype où l’on voyait des bribes d’un Monde désolé et déserté par toute vie, simplement peuplé de factions au style vestimentaire fantaisiste et parcouru par un personnage féminin dont les déplacements tiraient partie de l’échelle des espaces, ainsi que de la physique que ce moteur arrive plutôt bien à gérer.
Quand l’exclusivité a été sécurisé par Sony, Amy Hennig a été contactée pour travailler sur un scénario usant ces éléments à bon escient. Comme je l’ai dit précédemment, à cette époque la hype des superhéros battait son plein, tous médias confondus. L’idée est apparue évidente : nouvelle franchise, donc nouvelle superhéroïne. Premier épisode, donc Origin Story. De notre point de vue, tout cela coulait de source.
J.I.M : C'est bien beau tout ça, mais l’open world et les choix risqués de game design alors ?
MLDDF : Tout découle de ce que je viens d’expliquer. Frey est une superhéroïne qui, d’abord, doit trouver sa motivation et dompter ses pouvoirs. Amy Hennig, rompue à l’écriture de jeux vidéos depuis plus de trente ans, y a vu l’occasion de questionner les codes du AAA moderne organisé en open world.
Frey n’aime pas Athia, elle ne souhaite pas y rester parce qu’elle ne s’y sent pas chez elle. Alors pourquoi ne pas envisager une histoire d’une quinzaine d’heures aspirant le joueur vers la « vérité », et au bout de laquelle notre héroïne est devenue « super » ; puis, dans cette optique de personnage nouvellement doté de superpouvoirs à dompter, laisser les activités annexes disséminées sur la map pour « l’après » Origin Story ?
J.I.M : Vous parlez de cette conclusion qui arrive très tôt, où Frey se tient en haut de cette tour et dis face caméra « ça en fait du terrain à parcourir et à nettoyer...» ( cf « …des restes de dangers causés par la Brume (la menace du jeu) », NDLR) 
MLDDF : Exactement. Chaque superhéros a sa ville où maintenir la paix. D’où le titre du chapitre dédié au postgame d’ailleurs : « Maintien de la paix ».
Quand Frey arrive à Athia, c’est en citoyenne moyenne et impuissante (même si elle vient d’un autre Monde, mais nous y reviendrons plus tard) qu’elle découvre une terre en état de, et ce sont les mots de Frey, « vrai bordel ». En ce sens, il était important que tous les points d’intérêts et toutes ces « choses » à faire existent, grouillent de part et d’autre de son cheminement dès le début de l’aventure. C’est tout le travail qui l’attend une fois devenue superhéroïne.
Athia, c’est la New York de Spider Man, la Gotham de Batman. Eux aussi, avant de devenir ce qu’ils sont, arpentent en tant que citoyen ordinaire une terre où pullulent la criminalité et les problèmes à résoudre. Ils en sont d’abord témoins, puis y reviennent avec une nouvelle optique : celle du justicier.
J.I.M : L’optique de Frey, justement, parlons-en.
MLDDF : C’est là tout l’enjeu. Amy a estimé qu’en 2022, l’heure n’était plus aux héros ou héroïnes motivés dès la découverte de leur pouvoir — et même avant —, par un sens inné et gratuit de la justice. Les récents films Batman on suffisamment fait le tour de la question. Pendant que Batman se débat, adaptation après adaptation, avec ses dilemmes de justice indépendante et se voit condamné à prouver en vain qu’il n’est pas fasciste, nous avons décidé de faire de Frey une superhéroïne plus badass, terre-à-terre et ordinaire que ça : elle ne voit pas l’intérêt de défendre Athia tant qu’elle ne s’y sent chez elle. C’est profondément égoïste, et c’est ce qui rend le personnage beau à nos yeux.
L’un des premiers évènements du plot, est le fait qu’elle souhaite venger la mort d’une petite fille d’Athia qu’elle connaît à peine. C’est la raison pour laquelle elle décide d’aller tuer Tanta Sila. Or, une fois ceci accompli, elle n’en tire aucune satisfaction. Et décide de n’avoir plus pour objectif que le fait de repartir.
Nous voulions une superhéroïne montrant qu’il n’est pas nécessaire d’être altruiste pour faire le bien. On peut le faire pour des tas de raisons. En 2023, il n’est plus d’actualité de clamer « Faites le bien, parce que c’est bien », mais plutôt « faites le bien pour la raison qui est la vôtre, en accord avec ce que vous êtes. »  Frey, de par son histoire personnelle, a besoin de se trouver des attaches et se sentir chez elle en Athia pour décider d’y rester et de mettre à contribution son pouvoir. Elle en a parfaitement le droit !
J.I.M : Justement, cette notion de "superhéroïne qui n’a que faire des autres". Comment l’avez-vous traduit ? Athia n’est pas très peuplée, mais elle l’est quand-même.
MLDDF : On arrive sur l’un des choix les plus mal perçus. Frey est une New Yorkaise moderne qui arrive dans un Monde arriéré. En littérature, cela se serait traduit par un contraste entre le personnage principal et les autochtones au niveau du langage et des capacités de raisonnements . Dans un film de cinéma, il y aurait eu les costumes, le jeu d’acteur, le rythme des répliques.
Et dans un jeu vidéo, il nous a paru pertinent de marquer la différence moderne/arriéré par ce qui saute le plus aux yeux dans notre média : l’évolution technique et les stratégies de game design. En ce sens, quoi de plus normal que de faire se confronter Frey à des personnages que l’on croirait issus d’anciens JRPG, tant en termes d’animation, de modélisation, jusqu’à même la façon de mettre en scène les interactions et les dialogues avec ces derniers ?
J.I.M : Vous poussez un peu là. Vous voulez dire que le résultat est aussi uncanny et cringe… par un fait exprès ?
MLDDF : Rien n’est tout blanc ni tout noir dans un développement, vous savez. On nous a donne les moyens de rendre le personnage de Frey par Performance Capture ; puis des coupes dans le budget (parce que la hiérarchie ne croyait plus en la pertinence de notre projet) nous ont empêchés de le faire pour tous les autres personnages du jeu... Nous savions alors que sous-traiter les autres PNJ et les animer à la main allait entraîner un contraste difficile à justifier… Sauf par cette raison-là. Frey est une Alice de Jeu vidéo projetée dans un Pays des Merveilles arriéré de jeu vidéo. D’où ces PNJ et ces interactions d’un autre âge.
Ce qui vous met sur la piste est l’enchaînement très haché des situations quand Frey arrive à Cipal. Jusqu’à cette évasion d’une cellule de prison, passage obligé de n’importe quel JRPG grande époque. La séquence d’évasion est archaïque, ridicule et innocemment mise en scène. Comme le ferait une saga comme Tales.
Et n'oubliez pas le commentaire que fait Frey, lors du second passage à New York, sur la pauvreté graphique de Cipal. Ceci achève de vous signifier que vous avez entre les mains un jeu qui a conscience de "lui-même."
J.I.M : Il n’empêche  qu’il y a tous ces fondus au noir pour les transitions entre séquences. Ce qui fait vraiment peu dynamique et parfois presque bâclé. Ils rappelleraient des procédés de — par exemple — Persona 5. Ce n’est pas un mal. Mais il y a quand-mêmes des coupes brutales qui, même si elles n’impactent pas la compréhension du récit, donnent l’impression qu’il manque des séquences ou que cela a pu être assemblé, disons-là, à l’arrache…
MLDDF : Il y a là la confluence de deux choses qui n’auraient pas dû coexister. Il y a notre volonté de faire très vieux JRPG au niveau des transitions de plans et d’animations des dialogues une fois Frey arrivée en Athia. Au passage, vous remarquerez que lors des deux séquences où elle se trouve à New York, les transitions sont instantanées, propres, sans fondus et rythmées de manières satisfaisantes. Ce n’est pas du Naugthy Dog, mais le constraste est évident avec l’arrivée à Athia. Le problème, c’est que le récit a été amputé voire remanié à plein d’endroits par la volonté de l’éditeur : il fallait retirer tous les bouts qui suggéraient de manière trop explicite que Frey était une superhéroïne en devenir. Ce qui a multiplié les coupes et les fondus au noir. Voilà qui a foutu en l’air le parti pris initial, où ces transitions à l’ancienne sur une direction artistique de AAA réalistes étaient vraiment dosées et censées signifier quelque chose.
Heureusement, il reste la cape comme pièce majeure d’équipement pour démontrer de manière irréfutable que Frey a quelque chose à voir avec une superhéroïne… (NDLR : et la musique, qui est un thème de superhéroïne s’enrichissant au fil de l’histoire. Classique.)
Pour revenir à ce sentiment assez négligé, débraillé que peut transmettre le récit, ses coupes brouillonnes, le nom terre-à-terre des chapitres… Même à ce degré de développement tourmenté, nous estimions que cela fonctionnait encore. Dans ce type d’histoires, l’univers, l’aventure : il faut que cela ressemble à l’héroïne. Frey est simpliste, vulgaire, désordonnée. Vous voyez l’idée ? Les quatre provinces d’Athia, cette map, c’est Frey aussi : désespérément ordinaires en début d’aventure, puis délivrant leur vrai potentiel en postgame.
J.I.M : Revenons aux PNJ. L’ennui avec cette approche, ces quêtes secondaires inintéressantes et stéréotypées… c’est que ça n’incite pas le joueur à s’attacher aux PNJ, ni ne lui donne envie d’intéragir avec eux. C’en est même désagréable.
MLDDF : Certes. Vous n’avez pas envie d’accéder aux requêtes nulles de ces personnages non joueurs nuls. Vous êtes, à ce moment-là, en total accord avec votre personnage.
Frey n’est pas altruiste, elle ne voit pas de raisons d’aider les autres. Elle veut juste partir. Ces PNJ qu’elle ne veut pas aider, ces terres grouillantes d’un trop grand nombre de choses à « clean », au point où vous n’avez qu’envie de suivre la balise de l’histoire principale sans regarder ni à droite ni à gauche… Vous êtes en phase avec Frey. Puis elle s’accomplit au bout d’un cheminement de 15h. Et là, la perspective change.
J.I.M : Et ce gameplay alors. Critiqué lui aussi pour sa simplicité, l’absence de système de build et de combos convaincants. Et un gamedesign plus basé sur le surnombre de mobs plutôt que des rixes stratégiques.
MLDDF : Cela fait aussi partie des détails que nous avons voulu garder en cohérence avec le reste.
Dans Forspoken, vous n’êtes pas en train de perfectionner un personnage de JRPG. Vous incarnez une superhéroïne qui cherche à maîtriser sa puissance.
Nous avons donc designé le système de façon à transmettre l’idée selon laquelle Frey « éveille » son pouvoir au fur et à mesure. Un système de build n’aurait aucun sens ici. Frey découvre son pouvoir, et va devoir le dompter. Et quoi de mieux que des vagues d’ennemis pour mettre cela en valeur, plutôt que des combats puzzles ou un système d’expérience  et de build classique ?
Vous noterez en plus que nous avons implémenté un système d’amélioration des sorts, et cela passe par le fait que Frey s’améliore en lisant des livres dans les refuges. Dans notre scénario, il s’agit d’un vrai éveil personnel.
J.I.M : D’où ce postgame. La superhéroïne qui s’en va soigner ces terres de toutes les hordes d’ennemis qu’il reste à éradiquer, nettoyer ces ruines à explorer afin de faire reculer la « Brume ».
MLDDF : Et c’est aussi à partir de là que nous offrons un fantasme nourrit par beaucoup de gens… Enfin, nous semblait-il en tout cas. Jouer un superhéros surpuissant qui s’en va éradiquer le mal dans un monde ouvert. L’appropriation de l’espace ultime, si vous préférez, sans contrainte ni contrepartie.
Avec ce postgame, vous verrez que plus vous nettoierez des points d’intérêts, plus Frey sera puissante, plus ses déplacements gagneront en spectaculaire et en fluidité ; et donc, plus vous arrivez vite au point suivant pour défaire les hordes d’ennemis avec toujours plus d’efficacité et de satisfaction.
Au bout d’un moment, vous aurez le jeu Superman dont les gens rêvent, mais qui n’a jamais été réalisé pour des raisons évidentes : quel est l’intérêt d’incarner le héros ultime, indestructible et qui dispose déjà de toute sa puissance à sa naissance ? Avec Forpoken nous vous offrons cette possibilité, mais en fin de boucle et après l’Origin Story que constitue le scénario.
A cela, s'ajoute ce lore. Naïf, simpliste au premier abord. Il vous surprendra vraiment par son originalité, sa profondeur ; par les archives et les peintures que vous découvrirez dans cette phase d'exploration à postériori.
A partir du moment où Frey se sent chez elle en Athia, alors elle va s'intéresser à son Histoire. Tout comme vous, elle n'a montré que peu d'intérêt à tout cela au cours de la campagne. Beaucoup de ses commentaires vont dans ce sens. De lignes du type "Ce qui est arrivé à ces gens est triste, mais ça montre encore plus à quel point cet endroit craint. Vivement que je rentre à New York", on passera, à chaque découverte de drame du passé, aux répliques d'empathie classique de l'héroïne préoccupée par le Monde qu'elle souhaite défendre : son nouveau "chez soi".
Pour le reste, vous découvrirez rapidement à quel point notre map est travaillée pour vous offrir des séquences de gameplay et des parcours très étudiés qui se révèleront. C’est un deuxième jeu qui s’offre à vous, en réalité. Et nous avions besoin que vous « méprisiez » tout cela durant les premières heures, puis que le potentiel vous apparaisse dans un deuxième temps, exactement comme et quand nous le voulions.
Quand les gens ont découvert la première vraie vidéo montrant Frey se déplaçant telle Wonder Woman dans ces grands espaces, tous se sont posés la question du prétexte à cela. Qu’est-ce qui pourrait justifier et rendre satisfaisant de faire se déplacer de cette manière un personnage dans ce type de paysages "vides" ?
J.I.M : Une réponse que vous venez d'exposer, mais que la campagne de communication n'a jamais donnée…
MLDDF : Comme mon travail consistait à modéliser les chats dans le jeu, je n’ai jamais assisté aux réunions entre mes supérieurs et le marketing. Donc toutes les questions autour du chemin médiatique du jeu sont des suppositions de ma part. Mais une chose est sûre. A partir du moment où l’idée a été de cacher qu’il s’agissait d’un jeu de superhéroïne, c’était terminé. Ce jeu ne fonctionne pas si vous n'avez pas cette information.
A votre avis pourquoi le titre du jeu a-t-il été dévoilé si tardivement ? Si vous souhaitez faire monter la hype autour d’un jeu, vous devez marteler le net, faire que tous connaissent son nom, son logo, le visage de son héroïne.
Regardez Hogwart Legacy, à propos duquel tous les sites et youtubeurs font une news par jour depuis deux mois.
Maintenant, tentons quelque chose. Imaginez la campagne suivante pour notre jeu :
D’abord la vision de Frey virevoltant en Athia, et l’exécution de quelques pouvoirs.
Puis, dans un second temps de la campagne, vous dévoilez qu’il s’agit de l’Origin Story d’une nouvelle superhéroïne. Mais vraiment, vous prononcez ce mot-clé.
Dans un troisième temps, comme le font Rockstar ou autres machines de guerres, vous faites des showcase qui expliquent de façon intelligible et claire les enjeux de votre histoire : une superhéroïne dont les motivations sont modernes, badass. Qui ne souhaite pas rester en Athia, puis qui finit par s’y sentir chez elle. Vous dites que votre jeu aura une structure qui prend le game à contre-courant : une Origin Story comme scénario court, concis, qui va droit au but. Et ce, avant de vous lâcher le contenu d’open world qui s’offre à vous selon la perspective suivante : l’opportunité de jouer une superhéroïne qui va nettoyer sa Terre du Mal. Ce dans un dispositif de bac à sable surpuissant, sans compromis  : dompter vos pouvoirs et vous approprier ces terres par des déplacements jouissifs. Et, soyons fous, dans l’un des showcase, vous expliquez (avec une vidéo disons satyrique ou auto-parodique) en quoi votre jeu allie écriture US et japonaise par ce choc entre ce personnage moderne, motion capturé, et ces PNJ de JRPG à la technique archaïque et datée. Vous saupoudrez cette idée des nombreuses répliques qui font de Frey une héroïne unique et qui reste authentique en toutes circonstances : « Ce n’est pas aider ces gens que je veux, c’est partir d’ici » ; « Chez moi c’était pourri, mais ici ça l’est encore plus » ; « On aurait pas quelque chose d’intéressant à faire pour une fois ? » Vous faites comprendre que l'une des forces du jeu réside dans le commentaire qu'il s'adresse à lui-même ainsi qu'au média jeu vidéo.
Il y aurait eu matière à vendre un vrai projet à contre-courant, intrigant et qui donne envie aux gens de découvrir un départ de franchise questionnant frontalement les codes. Il y a un public pour ce jeu, j'en suis persuadé.
J.I.M : Vous le pensez vraiment ?
MLDDF : Square Enix pense que non, mais ce public existe.
Ils croient qu’il y a d’un côté le public de God of War, The Last of Us et Red Dead Redemption 2, et sur la rive opposée, le public de Persona 5 et de la trilogie Xenoblade. Et ils refusent de penser qu’il existe toute une frange qui aime autant aller tuer en masse sur fond d’écriture « mature » à l’américaine que suivre durant 100 heures un lycéen qui parle avec un chat caché dans son sac d’école (chat qui reluque et fait souvent des commentaires très limites sur le boule de la jolie fille du groupe).
Avec cette logique à la noix, un jeu comme le nôtre fait complètement perdre les pédales à notre service marketing et nos décisionnaires. Une direction artistique photoréaliste, une héroïne new yorkaise ; et à côté de ça, un récit basé sur le destin qui aspire vers un « tunnel » principal, le chat comme symbole du compagnon fidèle, etc… Risquer de parler à la fois à ces deux publics, (et notre jeu était une occasion extraordinairement intéressante de le faire) quitte à essuyer quelques plâtres pour un premier essai et s’améliorer pour la suite — après tout, quelle franchise a démarré par un premier opus irréprochable ? — : impossible pour nos décisionnaires.
J.I.M : Vous pensez vraiment que, pour toutes les raisons que vous énumérez depuis le début, l’idée a été de faire disparaître votre jeu ?
MLDDF : « Forspoken ». Tout est là. Répétez-le à voix haute. Vous voulez que votre jeu passe inaperçu et n’intéresse personne ? Vous lui collez ce titre qui n’évoque rien. Vous saisissez l’idée ?
J.I.M : Bon mettons. Mais une bonne campagne marketing n’aurait pas caché les soucis de finition ou les cache-misères dus aux désaccords quant au positionnement du jeu durant le développement. Vous êtes au moins d’accord avec ça ? Le jeu a des vraies carences, des modélisations vraiment parfois ridicules, une histoire d’une quinzaine d’heures, loin des standards AAA. Au fond, on pourrait se demander si le vendre au prix fort n’a pas été l’estocade ; et ce qui a pu générer en grande partie ce mépris traduit par les tests. MLDDF : Soyons clairs. Vendre un jeu vidéo à plus de 50 euros, c'est beaucoup trop cher de toutes façons Pour le reste, vous savez, tout cela n’est pas mesurable. Vous pouvez prendre le problème dans tous les sens... il n’y a pas de réponse.
Tant de joueurs n’ont jamais hésité à payer au prix fort la mise à jour annuelle d’un FIFA, par exemple. Des franchises comme Assassins Creed, une fois leur public trouvé, ont réussi à vendre une itération annuelle au prix maximal durant une décennie. Quand bien-même il s’agissait de maintenir un même squelette actualisé de quelques features, de nouvelles villes modélisées et d’une narration qui, je pense, n’a jamais laissé une marque impérissable aux joueurs.
Pour les soucis techniques, de caméra ou de finition… Rappelez vous du Hameau du Crépuscule dans Dark Souls ou du framerate de Witcher 3 à sa sortie.
Un jeu très reconnu comme The Last of Us se terminait en une quinzaine d’heures, sa suite une moyenne de vingt heures.
Death Stranding s’est fait très vite une réputation de jeu vide et inintéressant.
Mass Effect Andromeda a inondé le net par des mèmes à propos de ses modélisations faciales…
Où je souhaite en venir avec tous ces exemples disparates ? Il n’y a pas, en réalité, de facteur objectif de qualité (ni en terme technique, ni en termes de durée ou de contenu) sur lesquels s’alignent les joueurs quand ils décident s’ils vont mettre ou non le prix fort dans votre jeu. Regardez la saga Final Fantasy. Combien de joueurs ne vont pas sourciller à précommander l’épisode XVI pour 80 euros, quand les deux derniers épisodes solos du canon ont été plutôt des déceptions qu’autre chose ?
Tout cela est irrationnel. La seule question est : si votre éditeur décide ou non de mettre les moyens pour le martelage marketing. Les soucis techniques ou couacs de votre jeu qui vont être sortis de leur contexte pour faire le buzz : cela n’a que très peu d’importance en réalité. Encore une fois, regardez Death Stranding. Comme son gameplay constituait une expérience quasiment inmontrable en vidéo ou en live Twitch, alors le game du net s’est concentré sur ses défauts et ses moments d’écritures qualifiés de « gênants ».
Pareil pour les modélisations faciales de Mass Effect Andromeda.
Au bout du compte, cela n’a pas duré, et ces jeux ont trouvé leur public. Et parmi les joueurs qui ont aimé ces jeux, aucun ne remet en question le prix qu’il y a mis.
Tout simplement car ceci ne se mesure, je pense, qu’à la satisfaction et l’attachement que le jeu vous aura procuré une fois que vous en aurez terminé avec ce qu’il vous propose.
Si vous donnez les clés au public et à l’espace médiatique de ce que veut transmettre votre jeu, il trouvera preneur. Et un jeu qui résonne en phase avec votre sensibilité… Vous lui passez ses défauts.
Au contraire, vendez un jeu complètement à l’envers, le système, les gens sur Twitch et tous ceux qui fomentent déjà leur jugement alors qu’ils sont encore à la deuxième heure de découverte de votre jeu, ne parleront que de ses défauts.
J.I.M : Vous oubliez le paramètre des ventes. Si un jeu ne trouve pas assez de preneurs, c'est un échec non ?
MLDDF : Pour un investisseur comme Sony, assurément. Ceux-là considèrent que toutes leurs franchises ne peuvent exister que si elles sont des millions sellers qui parlent au plus grand nombre (et une moyenne metacritic au sommet). Même si le jeu se forge une bonne réputation et trouve malgré tout un public, ce n'est pas suffisant et la franchise est annulée. Les fans de Days Gone en savent quelque chose. Mais on parle là de proportions et de dérives du systèmes qui, de toutes façons, sont allées beaucoup trop loin pour qu'il soit possible d'en tirer la moindre conclusion.
J.I.M : Tiens comme vous parlez du Twitch game et du Youtube Game…
MLDDF : C’est ce qui ne nous a pas non plus aidé.
Maintenant quand vous concevez un jeu, vous devez absolument prendre en compte les agendas de toute le monde, joueurs comme testeurs et influenceurs.
Concernant les joueurs, vous devez les convaincre non seulement que votre jeu a sa place (en terme de temps à lui consacrer et aussi de budget) parmi les sorties qu’il a prévu de faire, mais aussi qu’il sera justifié de faire attendre un backlog toujours plus chargé.
A ce niveau-là, le rapport au consommateur n’a pas vraiment changé ; sinon, on va dire, en vertu de la frénésie et la surabondance de l’actualité avec des dizaines de jeux qui sortent tous les jours.
Pour les influenceurs, c’est une autre histoire. Pour eux, la problématique n’est pas de savoir si votre jeu est bon ou non ; mais de quelle façon il faudra en parler pour rentabiliser l’audience.
Un bon exemple fut Death Stranding. Imaginez que vous êtes un Twitcher avec une communauté de centaines de milliers de followers. Vous avez rendez-vous avec votre public pour streamer le dernier jeu de Kojima-San. Sauf que le gamplay du jeu s’avère ne pas être très « Twitch-génique », et vous savez que votre chaîne va connaître un déficit d’audience lors de vos prochains streams. Que faites-vous ? Alors vous jouez les indignés sur les défauts du jeu, vous poussez le moteur dans ses retranchements les plus absurdes et vous en sortez des vidéos best of parodiques ou de moment WTF.
En l’occurrence, notre jeu, en tant qu’exclusivité Playstation d’envergure, nécessitait d’être couvert. Il s’agissait bien d’un rendez-vous. Or, nos partis pris ne délivrant leurs sens et ne donnant satisfaction qu’après plusieurs heures jeu (et encore, ceci si vous êtes attentifs aux détails), il plombait les agendas d’influences.
J.I.M : Pourtant on ne peut pas dire qu’il y ait eu une vraie shitstorm non plus.
MLDDF : Ce qui est plutôt bon signe. Notre jeu n’est pas suffisamment mauvais pour alimenter le buzz et faire de l’audience. A partir de là, il valait mieux l’oublier. Et faire le jeu de l’éditeur et de Sony.
Forspoken n’est pas un jeu honteux, ni le type de badbuzz qui poursuivra ceux qui ont été impliqués (sauf nous, le développeur, assurément, et l’actrice qui a joué Frey).
C’est un jeu embarrassant de par son placement et son contexte. En ce sens, le marketing a fonctionné : le jeu est tombé dans l’oubli. Comme son titre qui n’évoque rien. Il démontre que, pour disparaître du net, il y a pire qu’être un mauvais jeu. Faites juste en sorte que personne ne sache CE QU’EST votre jeu. Et comme personne n’a le temps de pousser une expérience dont il ne sait rien afin de « vérifier » par lui-même, l'affaire est vite pliée.
Les gens ont ouvert la map, ont vu scintiller pléthore de points d'intérêts et un début de récit apparemment cousu de fil blanc, ont grincé des dents face à ce qu'ils ont pris pour des maladresses d'écriture, et puis voilà. C'était déjà au tour du jeu suivant.
Tenez, un détail qui ne trompe pas. Nous parlons d'open world depuis le début. Mais vous avez remarqué, non, que la map ouverte ne débute qu'à partir du pivot majeur que représente la fin du scénario ? En réalité, les quatre zones du jeu s'ouvrent les unes après les autres au fur et à mesure qu'avance le scénario. Vous êtes donc, avant toutes choses, dans une aventure se déroulant dans des grandes zones semi ouvertes à l'image d'anciens Zelda ou autre. Vous voyez ? Si même un point aussi fondamental n'a pas été décelé par la majorité des testeurs, qu'attendre quant aux autres facettes de Forspoken ?
J.I.M : Certains aspects g��nériques n’ont pas forcément aidé à la bonne perception de votre jeu. Un dernier mot là-dessus ?
MLDDF : Juste : faites-le un jour. Vous verrez que nous avons travaillé afin que beaucoup d’éléments aient l’air génériques afin de mieux questionner, justement, leur usage galvaudé et machinal dans ce type de jeu.
Regardez, pourquoi croyez-vous que nous ayons fait le choix de faire apparaître sur la map, non seulement les points d'intérêts et les coffres, mais aussi le contenu de chacun de ces coffres et la récompense de chaque tâche ? C'est un véritable indice concernant notre démarche. Durant la campagne, le joueur choisira le "détour" (le nom donné à la moindre activité secondaire dans Forspoken, NDLR) qu'il souhaite faire à un instant T de sa progression ; ce seront les moments ponctuels durant lesquels il choisira de passer outre la grosse balise permanente et non désactivable qui indique la prochaine étape de l'aventure.
En voici trois autres, des indices qui prouvent le recul que Forspoken prend sur son média.
D’abord, la première rencontre avec un mob, mise en scène (sans subtilité aucune) comme la première rencontre d’ennemi mortel la plus légendaire du jeu vidéo japonais.
Ensuite, vous tomberez, comme d’habitude, sur ce premier boss insurmontable qui sert de tutoriel pour les commandes. Ce qui a l’air d’être un départ de récit cousu de fil blanc, trouve une vraie explication plus tard dans le scénario. Ce dragon vient trouver Frey à ce moment pour une raison précise.
Enfin, il m’est impossible de ne pas mentionner la relation avec Krav, le bracelet. Il fallait que ces échanges soient verbeux, forcés. Beaucoup de jeux ont recours à cette feature pour prendre le joueur par la main. Dans Forspoken, ce n’est pas que cela. Frey a besoin de parler avec Krav et Krav a besoin de gagner la confiance de Frey. Pour des motifs que l’on découvre plus tard.
Encore une fois, Amy Hennig a travaillé sur des scénarios très efficaces comme celui d’Uncharted 2. Elle sait parfaitement comment fonctionne un jeu vidéo. Forspoken était l’occasion, pour elle, de donner une perspective différentes aux réflexes habituels de game design modernes.
Vous verrez que ce jeu, sa désinvolture, son côté cavalier, sans fioritures pour cacher son jeu, ni artifices pour se faire aimer à tout prix. Avec le temps, il finira par être apprécié.
J.I.M : "Désinvolte". C'est effectivement un mot qui représente bien Forspoken.
MLDDF : Et surtout, avec l'âge, il fera taire la principale critique à son égard : le fait qu'il soit un open world "générique."
Terminez ce jeu, et posez vous la question en toute honnêteté : de Forspoken (et même Sonic Frontières) ou de, au hasard, Spider Man par Insomniac. Dans quel cas vous retrouvez vous avec une approche fondamentalement générique ? Pour que mon propos n'ait l'air péjoratif envers personne, laissez-moi vous poser la question autrement. Et si une approche fraîche, risquée, en 2023 en terme de monde ouvert, était, justement ce que proposent à leur façon Sonic Frontiers et Forspoken (au vu du tronc commun constitué des Marvel Spiderman, Horizon ou Assassins Creed récents) ?
J.I.M : Un futur jeu culte incompris, donc ?
MLDDF : Je ne sais pas si ça ira jusque-là. Il se trouvera bien une ou deux personnes en qui le jeu résonnera.
Vous savez, le type de personnes qui détestent, en réalité, l’approche machinale des open worlds à contenu secondaire parasitant l’histoire plus qu’autre chose… Cette sensibilité sachant déceler tout de suite la plus-value de jeux à contre-courant comme ceux de Taro-sensei malgré leurs défauts « objectifs » (graphismes, technique, allers-retours incessants, et j'en passe) ; qui jubile à mesure de la découverte que tout a un sens en terme de détails et de volontés de gamedesign. Et — par rapport à Frey et aux instants où le récit peut choquer par sa naïveté et sa désinvolture, justement — , cerise sur le gâteau : si en plus ce joueur a besoin que le personnage soit authentique à chaque seconde, bien dans son caractère. Comme ces fans de Final Fantasy X ayant adoré un protagoniste comme Tidus, vous voyez, envers et contre la mauvaise réputation du personnage...
En bref, cet esprit libre pour qui l'expérience que lui procure un jeu à l'âme unique, imparfait mais sincère, a autant de valeur que les heures passées sur un chef d'oeuvre, vous voyez.
Les institutions et la "guilde des guides d'achats" ont beau faire, je suis persuadé que l'on trouve toujours de ces personnes sur qui ces injonctions à adorer ou à détester un jeu — souvent trop unanimes pour ne pas être suspectes — n'ont aucun impact.
Voilà le profil qui passera assurément un bon moment en jouant à Fropo... Korspofr... Forspoken, voilà, Forspoken (sérieusement, ce nom...)
J.I.M : En tout cas sur ces deux huluberlus potentiels, on trouve notre testeur. Et encore, il est expatrié en Espagne.
Quant à vous ? Et votre équipe ? Que va-t-il se passer maintenant ?
MLDDF : Déjà, cet après-midi il est prévu que nous enterrions nos morts dans la même fosse commune que les gens de Crystal Dynamics ayant bossé sur Marvel’s Avengers. Après quoi, nous tirerons au sort pour savoir qui aura le droit de se pendre ou qui avalera une pilule de cyanure.
J.I.M : Sur quoi préféreriez-vous tomber ?
MLDDF : Oh moi, comme mon travail sur les chats dans le jeu s’est avéré plutôt réussi, j’ai eu droit au flingue. C’est celui qui est posé là, sur le guéridon. Tiens, vu que vous êtes assis à côté, passez-le moi.
J.I.M : D’accord. Vous pouvez attendre qu’on parte, s’il vous plaît ?
*Tous les passages mentionnant le développement et les coulisses du jeu ne relèvent que de la fiction pour donner un certain ton au texte. En revanche, tous les éléments relevés concernant le jeu y sont vraiment et ne laissent que peu de doute quant à la façon de les interpréter.
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belphegor1982 · 2 years
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#5
OH FUCK I HAVE NEVER BEEN HAPPIER TO SEE THIS ASSHOLE’S FACE
THE FASCISTS DIDN’T WIN
84 notes - Posted April 24, 2022
#4
Bon. D’autres l’ont dit mieux que moi, mais bordel, allez voter Macron dimanche. Pas parce qu’il a fait du bon boulot (il n’y a qu’à voir la casse sociale que lui et ses petits copains ont fait depuis 5 ans), pas parce qu’il est sympathique (je les exècre, lui et son arrogance, il a le mépris inné de celui qui n’a jamais rien raté de sa vie par pur hasard), mais parce que quoi qu’il fasse, Le Pen sera pire.
D’abord, c’est l’extrême droite. (L’EXTRÊME DROITE. Depuis quand c’est un détail !?) Une idéologie fondée sur les intolérances de tout poil. Un parti fondé par d’anciens Waffen-SS, collabos, et tortionnaires pendant la guerre d’Algérie. Contrairement à celleux qui brament qu’on “a essayé la gauche et la droite, pourquoi pas quelque chose de nouveau”, c’est exactement Vichy remis au goût du jour, avec l’islamophobie en prime. Si elle gagne tous les fachos et les néo-nazis de France ne se sentiront plus pisser. On a vu ce que ça donnait quand Trump est passé en 2016, et encore, c’était de l’autre côté de l’Atlantique.
(Vous voulez vraiment que la première présidente de la république française soit d’extrême droite !?? SÉRIEUX.)
Donc oui, j’irai voter pour l’autre connard au second tour, parce que NON, ce n’est PAS “la peste ou le choléra”, c’est l’ultralibéralisme de droite ou l’extrême-droite.
Et quel que soit le nombre de Français qui votent “blanc”, dimanche à 20h on aura une tête à la télé, et ce sera soit l’un, soit l’autre. Pas de deuxième chance, pas de “elle a gagné mais il avait plus de voix”, non - ce sera la présidente élue au suffrage universel. Pendant cinq ans. Imaginez tout ce qu’elle pourra détruire pendant cinq ans. Tous celleux qu’elle pourra détruire pendant cinq ans. La honte de savoir que la France est un pays de fachos aux yeux du monde (et aux nôtres).
On sait que ces enfoirés vont aller voter, eux, et on sait qu’un certain nombre de déçus de Macron ou des Mélanchonnistes déçus peuvent voter pour Le Pen par dépit.
DONC, VOTEZ MACRON.
(même si putain, ça me fait mal.)
Les révolutionnaires du passé sont morts pour que la révolution puisse passer par les urnes.
N’écoutez pas les sondages, ils se plantent régulièrement.
ALLEZ. VOTER. MACRON. DIMANCHE.
85 notes - Posted April 22, 2022
#3
The 2022 (French) elections have had a wholly different vibe from the 2017 ones. Few to none big business scandals (McKinsey n’a pas pesé tant que ça, finalement) and no big surprise - just a slow inescapable crawl towards the same results, which feel even worse now that we’ve had five years of Macron methodically trying to dismantle public services and make the rich even richer (and the poor even poorer). Every single candidate (all 12 of them) has either said or done something that made me recoil and think “NOPENOPENOPE”. The only ones with a minimum of social conscience made less than 5%.
And now we’ll vote for this clown again, because there is no way in hell we let a fascist-adjacent come to power again.
(there are plenty of Le Pen voters who argue that we’ve “tried the right, and the left, now it’s time to try something else for the first time”. They’re wrong. The ideas she defends have governed France before: from 1940 to 1944.)
So, yeah. I’ll go vote in two weeks to keep Le Pen from being elected. But fuck am I tired.
99 notes - Posted April 10, 2022
#2
There is not nearly enough dogs wearing bandanas around their necks. Just more dogs wearing bandanas, please, that'd be grand
160 notes - Posted March 25, 2022
My #1 post of 2022
If I see ONE POST like last time about how “waaah the French are sexist ‘cause they didn’t want to elect a woman for president” I will lose my entire shit. SHUT UP. Her party was founded by LITERAL NAZIS. She's racist, homophobic, sexist, she wants to re-establish the death penalty and undo the 2013 marriage equality law, she’s all kinds of awful and you do not get to make idiotic comments without any context.
180 notes - Posted April 24, 2022
Get your Tumblr 2022 Year in Review →
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lemaupertus · 12 days
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pyjamapaschercom · 1 month
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Le guide ultime des vêtements Taylor Swift pour enfants
Appel à tous les mini-Swifties et à leurs parents soucieux de leur style ! Vous cherchez des façons d’habiller votre enfant avec des vêtements qui célèbrent son amour pour Taylor Swift ? Cherchez pas plus loin! Des pyjamas confortables aux ensembles de vêtements de sport, il existe une gamme de vêtements Taylor Swift disponibles pour les garçons, les filles et tous ceux qui souhaitent exprimer leur esprit Swiftie.
Taylor Swift garçons et filles T-shirt et shorts pyjamas de sport enfants Taylor Swift costumes
Nom du tissu: cotton blend
Main fabric composition: acetate fiber
Main fabric component 2: acetate fiber
Pattern: cartoon, letters
Style: two-piece set
Longueur des manches: short sleeve
Process: sanding
Collar type: Encapuchonné
Sleeve type: flying sleeve
Popular elements: sports, suits, cartoons, letters, cute, prints, Europe and America
Color: light green, purple,yellow,burgundy
Size:120cm,130cm,140cm,150cm,160cm
Style Type: Temperament Commuting
Main fabric ingredient content: 95% and above
Adoptez le look toute la journée :
Ensembles t-shirts et shorts : Ces incontournables de l'été sont disponibles dans une variété de styles avec des graphismes, des paroles ou des pochettes d'album emblématiques de Taylor Swift. Des t-shirts classiques à col rond aux shorts confortables en passant par les modèles tie-dye tendance, il existe une combinaison adaptée à la personnalité de chaque mini-Swiftie.
Combinaisons de sport : laissez votre enfant libérer la rockstar qui sommeille en elle avec les combinaisons de sport Taylor Swift. Imaginez-les régner sur le terrain de jeu ou sur le terrain dans un survêtement arborant le design de leur époque préférée. Recherchez des tissus respirants et des coupes confortables pour un maximum de plaisir et de mouvement.
Fais de beaux rêves dans le monde de Taylor :
Pyjamas : L'heure du coucher ne doit pas être ennuyeuse pour les Swifties ! Les ensembles de pyjama confortables sur les thèmes de Taylor Swift sont le moyen idéal pour terminer la journée. Recherchez des sets inspirés d'albums spécifiques ou des sets contenant des paroles et des graphismes qui célèbrent leur amour pour la musique de Taylor.
Costumes pour le fan ultime :
Déguisement amusant : vous voulez aller encore plus loin avec leur amour Swiftie ? Recherchez des costumes inspirés de Taylor Swift ! Ils peuvent venir dans des styles spécifiques comme une robe scintillante rappelant le clip vidéo "Shake It Off", ou une tenue fantaisiste inspirée de l'époque du "folklore".
Confort et inclusivité :
La meilleure partie des vêtements Taylor Swift ? C'est conçu pour tout le monde ! Voici pourquoi c'est un excellent choix :
Large gamme de tailles : recherchez des vêtements de taille généralement comprise entre 100 (environ 4 à 5 ans) et 170 (environ une taille 14 à 16 pour les adolescents). Cela garantit qu'il y a quelque chose pour les enfants de tous âges et de toutes tailles.
Options non sexistes : De nombreuses lignes de vêtements Taylor Swift proposent des modèles qui ne se limitent pas aux garçons ou aux filles. Recherchez des t-shirts, des shorts ou des pantalons de survêtement graphiques que tout enfant peut porter en toute confiance.
Trouver la tenue Swiftie parfaite :
Il existe quelques endroits clés pour trouver des vêtements Taylor Swift pour enfants :
Boutique officielle : la boutique officielle de Taylor Swift peut proposer une sélection de produits sous licence, notamment des ensembles de t-shirts et de shorts, des pyjamas et même des costumes.
Détaillants : les grands détaillants de vêtements peuvent proposer des lignes de vêtements Taylor Swift, en particulier à l'occasion des sorties d'albums ou des tournées.
Marchés en ligne : des sites Web comme Etsy offrent un trésor de vêtements Taylor Swift fabriqués par des fans, avec des designs et des personnalisations uniques que vous ne trouverez nulle part ailleurs.
La sécurité d'abord:
Lorsque vous magasinez en ligne, veillez à choisir des détaillants réputés et à vérifier les certifications garantissant des matériaux sûrs et de haute qualité, en particulier pour les vêtements pour enfants.
Exprimez-vous avec le style Swiftie :
Avec une gamme d'options de vêtements Taylor Swift disponibles, votre enfant peut montrer son amour pour son artiste préféré tout en restant cool, confortable et en exprimant son style unique. Alors préparez-vous à créer d'adorables moments Swiftie avec ces trouvailles amusantes et tendance !
Taylor Swift, l'auteur-compositeur-interprète emblématique, a non seulement captivé le public avec sa musique, Ensemble pyjama Taylor Swift,mais a également inspiré les tendances de la mode avec son style caractéristique. Désormais, les fans peuvent imiter son élégance sans effort même pendant leur sommeil avec l'ensemble de pyjama Taylor Swift. Alliant confort et design chic, cet ensemble de pyjama permet aux fans de canaliser leur Swiftie intérieure tout en se prélassant à la maison ou en s'endormant. Voyons pourquoi l'ensemble de pyjama Taylor Swift est un ajout incontournable à la garde-robe de tout fan.a
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christophe76460 · 1 month
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Prouvez donc, par vos actes, que votre désir est sincère et que vous voulez réellement changer (de vie).
Ne vous imaginez pas qu’il vous suffit de répéter : « Nous sommes les descendants d’Abraham ».
En effet, regardez ces pierres, je vous déclare que Dieu pourrait en faire des enfants d’Abraham.
Attention ! (le temps est court). La hache est sur le point d’attaquer la racine des arbres : tout arbre qui ne porte pas de bons fruits va être coupé et jeté au feu.
Les gens lui demandèrent alors : que faut-il donc faire ?
Et lui de répondre : si quelqu’un a deux chemises, qu’il en donne une à celui qui n’en a pas. Si quelqu’un a de quoi manger, qu’il partage avec celui qui n’a rien. Luc 3: 8-11 POV
À partir de ce moment, Jésus se mit à prêcher en public. Le message qu’il proclamait peut se résumer ainsi : Changez, car le règne des cieux est tout proche. Matthieu 4: 17 PDV
Écris au messager de l’Église de Laodicée : voici ce que dit celui qui s’appelle Amen, celui qui a rendu fidèlement témoignage à la vérité, qui est auteur et origine de la création de Dieu : Je connais ta vie : tu n’es ni froid ni bouillant. Comme je voudrais que tu sois l’un ou l’autre !
Mais puisque tu es tiède, c’est-à-dire ni froid ni bouillant, je vais te vomir de ma bouche.
Tu prétends : « Je suis riche ! J’ai fait des affaires ! J’ai amassé des trésors ! Je suis arrivé ! J’ai tout ce qu’il me faut », mais tu ne te rends pas compte à quel point tu es misérable et pitoyable : s’il y a quelqu’un qui est pauvre, aveugle et nu, c’est bien toi ! Apocalypse 3: 14-17 POV
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azertyy6 · 2 months
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Pourquoi Vous Devriez Essayer une Couette Lestée
Salut tout le monde !
Aujourd'hui, je veux vous parler de quelque chose qui a littéralement transformé mes nuits de sommeil : la couette lestée. Si vous avez des problèmes pour vous endormir ou si vous vous réveillez souvent en plein milieu de la nuit, cela pourrait bien être la solution que vous cherchez.
Qu'est-ce qu'une Couette Lestée ?
Une couette lestée est une couverture conçue pour exercer une pression douce et uniforme sur votre corps, comme un câlin géant. Cette pression, appelée pression tactile profonde (DPT), aide à détendre votre système nerveux et à favoriser un sommeil profond et réparateur.
Les Bienfaits des Couettes Lestées
Amélioration du Sommeil : Dites adieu aux nuits blanches ! La DPT favorise un sommeil plus profond, ce qui signifie que vous vous réveillerez en vous sentant reposé et revitalisé.
Réduction du Stress et de l'Anxiété : En diminuant les niveaux de cortisol (l'hormone du stress) et en augmentant la sérotonine et la mélatonine, ces couettes créent un effet apaisant.
Confort et Sécurité : Imaginez vous endormir sous un câlin réconfortant chaque nuit. C'est ce que ressentir une couette lestée.
Idéales pour les Troubles Sensoriels : Elles sont également bénéfiques pour les personnes souffrant de troubles sensoriels, comme l'autisme, en aidant à stabiliser et calmer le système sensoriel.
Comment Choisir la Bonne Couette Lestée ?
Le Poids : Optez pour une couette qui pèse environ 10% de votre poids corporel. Par exemple, si vous pesez 70 kg, une couette de 7 kg serait idéale.
La Taille : Assurez-vous qu'elle couvre entièrement votre corps sans être trop grande.
Le Matériau : Choisissez un matériau qui convient à vos préférences, que ce soit du coton doux, du bambou respirant ou des fibres synthétiques confortables.
Mon Expérience avec Couverture Lestée
J'ai acheté la mienne chez Couverture Lestée et je ne pourrais pas être plus satisfait. Leur gamme est incroyable, avec des options pour tous les goûts et tous les besoins. La qualité est top et le service client est super réactif et utile. Si vous envisagez d'essayer une couette lestée, je vous recommande vivement de jeter un coup d'œil à leur site.
Conclusion
Les couettes lestées ne sont pas juste une tendance. Elles sont une solution efficace pour améliorer la qualité de votre sommeil et réduire le stress. Si vous avez des problèmes de sommeil ou si vous voulez juste vous sentir plus détendu, je vous encourage à essayer une couette lestée. Vous ne le regretterez pas !
N'hésitez pas à partager vos expériences avec les couettes lestées dans les commentaires. Bonne nuit et faites de beaux rêves ! 🌙💤
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eddylunique · 2 months
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Une pomme sous l’arbre
Pour une fois ce ne seront pas des vers, je les laisse manger la pomme agrippée à l’arbre, petits vers acrobates et funambules qui vivent dans leur jus. Je vais raconter une histoire, cette histoire n’a pas de fin ni de début, juste un titre. Si cette histoire ne commence pas alors il y a une pomme sous l’arbre. Elle est là. On sait sûrement d’où elle provient, on sait donc quel type d’arbre. On sait aussi que cette pomme ne saurait rester là longtemps, sûrement. Car une pomme sous un arbre est souvent vite mangée, enterrée, enlevée ou envolée, on sait donc qu’elle est mûre et jeune. Elle vient de tomber aussi.
Mais cette histoire n’a pas de début donc ce que je vous raconte est peut être faux. Après tout, peut être un humain l’a posé là volontairement ou bien un animal l’a laissé sous cet arbre. Qui a dit que l’arbre était un pommier, c’est ma première phrase qui vous a fait croire ça ? Mais ça n’a peut-être rien à voir. Et cette pomme, qui vous dit que c’est la belle pomme rouge ou verte que l’on connaît tous, qui vous dit que ce n’est pas une pomme de pin ? Et si c’est une pomme de pin, l’arbre serait un pin ? Toujours pas, du moins on ne le sait pas tant que je ne vous dis pas.
Encore une fois cette histoire n’a pas de début donc on n’y comprend rien, c’est normal. Je veux vous perdre pour que vous lisiez et que vous vous demandiez « Mais où va-t-on comme ça ? » et cela avec une très grande honnêteté en plus. Après tout, si à force vous retenez qu’il n’y a pas de début, alors vous n’aurez pas oublié qu’elle n’a pas de fin. Après tout, tant que vous n’avez pas toutes les informations, il ne reste que votre imaginaire pour créer une fin. Mais si cette histoire existe, elle n’a pas de sens et c’est bien tout son sens que de ne pas en avoir.
Donc voilà. Imaginez ce que vous voulez maintenant, ce n’est qu’un court écrit, cette pomme sera elle encore là longtemps ? Et si la pomme c’était vous devant votre écran à attendre une suite à ce que j’écris. Vous seriez crédule et d’ailleurs pas besoin de mettre un point
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savoir-entreprendre · 2 months
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1. Partagez-le avec votre meilleur ami digne de confiance Si vous en avez assez de votre habitude de mentir et que vous voulez vous en débarrasser, la première chose que vous devez faire est de prendre un de vos amis très fiables avec qui vous pouvez partager ce côté sombre de la vôtre, en partageant avec un ami aussi proche. vous ne serez pas beaucoup blessé car il est naturel que votre fierté soit brisée. Mais faisons-le afin de se débarrasser de cette mauvaise habitude dont vous devez payer le prix. Dites-lui que vous êtes dans une situation difficile à cause de l'habitude de mentir et que vous souhaitez son aide à cet égard. 2. Mentir vous fait prendre dans une toile enchevêtrée Le mensonge transforme vraiment une vie simple en une vie emmêlée, un mensonge en entraîne un autre et puis ça s'enchaîne, c'est pourquoi vous avez perdu votre tranquillité d'esprit et pensez finalement à vous débarrasser de cette habitude, le mensonge ruine tout ce qu'il vole la tranquillité de ta vie. Considérez et réfléchissez à tous les aspects désagréables que le mensonge vous a offerts, en faisant cela, il vous sera plus facile d'avoir un pied solide sur ce terrain pour abandonner cette habitude. 3. Pensez aux raisons qui vous poussent à mentir Faites la liste de toutes les causes possibles qui vous obligent à mentir, consultez ces raisons avec votre ami fiable, demandez-lui de vous dire que devez-vous faire ? Quel pourrait être le moyen le plus simple de dire la vérité et d'éviter de mentir. Peut-être y a-t-il des méfaits que vous ferez, travaillez là-dessus, traitez d'abord ces méfaits et arrêtez de les faire. Au moment où vous réduirez l'ampleur de ces mauvaises actions, vous gagnerez en confiance pour dire la vérité. 4. Déterminez-vous à commencer à dire la vérité Après avoir réparé vos voies, vous serez en mesure de vous déterminer à dire la vérité. Les dépendances ne s'abandonnent pas brusquement, c'est un processus, quel que soit un méfait de votre part qui vous force à mentir, vous pouvez penser à une voie médiane pour vous en débarrasser car finalement vous voulez être une meilleure personne, vous méritez une vie meilleure, imaginez un bonne vie, rêvez pour cela et wok pour cela. 5. Comparez votre fardeau de dire une lessive avec le courage de dire la vérité Lorsque vous menez une vie sous le fardeau des mensonges, la vie devient très étouffée, qu'est-ce qui vaut mieux un courage de dire la vérité ou une vie pleine d'étouffement ? Vous connaissez la réponse, prenez une décision délibérée. 6. Dire la vérité vous permettra de réussir dans tous les mensonges Toutes ces habitudes de mensonges, de mensonges et de mensonges vous éloignent tellement du chemin de la paix et de l'essence du succès qu'en disant la vérité, vous gagnez le respect, l'honneur et vous vous permettez de réussir dans tous les domaines de la vie. https://savoirentreprendre.net/?p=3818&feed_id=10120
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claudehenrion · 9 months
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Enfin, voici l'Homme nouveau !
A en croire le très célèbre MIT Media Lab (qui est de loin l'organisme qui a le plus prédit et aussi ''participé à créer'' l'essor des technologies de l'information au cours des 30 dernières années), la cause du ''gap'' catastrophique qui est perceptible entre les gens et les technologies est à chercher dans le cerveau des enfants –des nôtres, certes, mais plus généralement de tous les enfants du monde : l’éducation que nous leur donnons ne correspondrait plus à aucun des savoirs dont l'humanité va avoir besoin pour affronter les décennies qui viennent.
La théorie qui sous-tend les conclusions proposées par ces chercheurs, progressistes à souhait, part d'un ''constat'' ( ? ) : nos enfants seraient condamnés à ingurgiter une mémorisation maximale de connaissances qui, pour la plupart, datent ''de l'ère industrielle''. Et l'éducation qui en découle aurait donc une ''très faible bande passante'' (ce qui est synonyme, au MIT, de faible productivité), ce qui la rend totalement inefficace face à internet et son omniscience et face aux capacités de l’Intelligence artificielle.... (NDLR- ce qui sous-entend que nous n'avons plus le choix : il faut nous soumettre ou nous… soumettre !). Dit autrement : le seul avenir de l'Homme, ce ne serait plus la femme –comme le croyait Aragon-- mais c'est l'homo œconomicus qui doit produire, avoir un bon rendement, et relever sans cesse ce défi insane : ne plus être un Homme, mais un ''cyborg'', une sorte d'espèce de ''cyber-machin-truc'' !
L’avenir, pour eux ? Le ''hacking (= piratage) du cerveau humain'', qui doit impérativement apprendre à fonctionner comme l'interface d'un ordinateur (ce sur quoi travaille Neuralink, une des sociétés de Elon Musk) ou être capable d'identifier les zones à viser pour acquérir telle ou telle connaissance (dixit MIT Media Lab). Musk explique : "You want to fly a helicopter? No problem... you just upload it instantly", (= vous voulez piloter un hélicoptère ? Il suffira de ''charger l'appli''). Et Negroponte (un gourou de l'interface ''homme-machine'') prédit que, pour "apprendre l'anglais ou connaître tout Shakespeare", il nous suffira d’avaler une pilule… Ça, c'est ce que risque d'être le futur de nos descendants : un esclavage camouflé sous des caricatures de faux bonheurs frelatés, normés, standardisés, les mêmes pour tous... Et pendant ce temps, des manœuvres dilatoires attirent notre attention sur des sujets sans aucun lien avec cet objectif secret, pour empêcher nos réactions hostiles et nous forcer à croire que de tels sujets nous passionnent (les lamentables ''lois sociétales'' chères à la Gauche en sont le plus parfait exemple, dans son imperfection !).
Vous imaginez de quel poids peuvent ne pas peser, devant ces perspectives grandioses --pour des technolâtres pathologiques-- la bataille de Gaza-City, la contre-offensive ukrainienne --cette ''Arlésienne'' des temps modernes, toujours promise, jamais aperçue nulle part...-- ou toute autre des fausses batailles sur les changements sexe des enfants, la mort des vieux, la vaccination sans vrais vaccins, les fausses lois sur l'immigration qui ne vont rien (je prends le pari !) changer ''pour de vrai'', ou toutes autres ''mises en corner'' qui nous sont imposées en permanence par des guignols qui refusent de voir que ceux qui tirent leurs ficelles les font gigoter dans le vide... Un ancien proverbe disait ''Quand le sage montre la lune, l'idiot regarde le doigt''. C'est le moyen le plus simple qu'ont trouvé nos malfaisants pour annihiler notre jugeote... et notre intelligence.
Plus vite, disent ces anti-prophètes de vrai malheur, l'humanité ne comptera plus que 1, 5 milliards d'habitants (contre 8 actuellement), et plus vite les survivants pourront enfin accéder au vrai bonheur –tel que eux veulent nous l'imposer, dans leur folie de progressistes ... La véritable ''Education'', vue par eux, consisterait donc à préparer les enfants à cet échec irrémédiable et définitif de notre Humanité, et à leur faire croire que la mort de cette humanité ne pourrait se trouver que dans une victoire sur le passé détesté... Pour revenir sur l'infâme Aragon (pour une fois que j'écris ce nom honni, autant que ça serve !), ce ne serait plus la femme qui serait l'avenir de l'homme... mais Chat GPT et ses plus jeunes frères à venir ! Ne riez pas : toute l'action de nos ''élites'' en place et de nos médias inconsistants ne tend qu'à cette forme de ''suicide assisté'', ce rêve de nos technocrates assassins...
Car, question ''progressisme'', un grand pas en avant (sic ?) vient d'être franchi le 7 octobre et depuis, où toutes les fameuses ''lois de la guerre'' et la non moins célèbre ''Convention de Genève'' ont été oubliées, bafouées, foulées aux pieds. Peu de temps avant sa mort, l'ancien secrétaire d'État américain Henry Kissinger avait d'ailleurs expliqué très sérieusement, comme s'il n'avait aucune responsabilité dans ce désastre, que l'Europe avait commis une grave erreur en encourageant une immigration massive qui rejette en bloc ses normes, ses valeurs et sa ''base constitutionnelle et historique''. Il avait du mal à croire que à Berlin, en 2023, moins de 80 ans après l'Holocauste, des gens ''de passage'' hurlent "Mort aux Juifs" en toute impunité dans les rues, pendant que, contre toutes les évidences, la Presse continue à psalmodier son absurde refrain sur ''tous les gazaouis ne sont pas pour le Hamas'', comme si, en 2006, une vraie majorité de Gazaouis n'avait pas voté pour ce monstre, dont l'objectif affiché était –et  demeure– la destruction d'Israël et l'éradication des Juifs (articles 7 et 32 de sa charte constitutive).
Et pendant ce temps, la France se donne en spectacle, dans une crise de nerfs de l'Exécutif et de l'Assemblée, autour du seul sujet qui les préoccupe : ''Le temps qui passe, la météo qu'il fait, ce qui se dit ou se pense, et le prix du litre de sans plomb... sont-ils de nature à ''profiter au RN'' (pour mémoire : le Rassemblement national) ? L'intérêt du pays ? La volonté des français ? Le peuple ? Le mouvement du monde ? L'immigration devenue mortelle qui se moque de nos frontières devenues, elles, des passoires ? Les épouvantables ''leaders'' archi-nuls que nous nous sommes donnés (qui pourra m'expliquer pourquoi ce mauvais choix généralisé ?) s'en contre-foutent.. Ils sont dans la posture, dans le rôle, dans le faux-semblant, dans le ''paraître''... et dans des soucis qui étaient à la mode au siècle dernier... ce qui risque fort de faire de celui-ci... notre dernier siècle... A l'heure où je m'apprête à poster cet éditorial, personne ne peut dire si cette crise de nerfs puérile va se révéler être une dépression, une débâcle, ou une faillite, pour les français.... Quelle honte pour ce qui fut la France !
Plus généralement, il semblerait que les ''grands du monde'', ces iso-criminels qui hantent et polluent les couloirs de Davos, aient en tête'' un monde sans humains'', où quelques cerveaux sélectionnés et copieusement trafiqués serviraient d'esclaves à des machines hyper performantes mais évidemment exemptes de tout sentiment, de tout affect, de toute sensibilité… Ah ! Que voilà un beau programme ! Il faut vite reformater nos enfants (s'il en reste) pour rendre leurs petits cœurs rigoureusement conformes aux nouvelles normes du monde de demain, Musk et Negropnte en seront tellement heureux ! Quant à nous, ce serait vraiment stupide de laisser passer une si belle chance, dont on mesure les ''progrès'' à longueur de journée, dans nos villes, dans nos campagnes... et à l'Assemblée nationale !
H-Cl.
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vivre-sans-dettes · 3 months
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Comment créer un budget réaliste en 5 étapes
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Vous vous êtes déjà demandé pourquoi certaines personnes ne stressent jamais à la fin du mois ? Voici un secret : elles ont un budget réaliste. Vous voulez connaître le truc ? Suivez ces 5 étapes simples pour transformer vos finances. Prêt à changer votre vie ? Allons-y !
Créer un budget réaliste en 5 étapes
1. Évaluez vos revenus et dépenses 📊 Pour commencer, notez précisément combien d'argent vous gagnez et dépensez chaque mois. C'est comme prendre une photo de votre situation financière actuelle. Identifiez vos revenus Notez tous vos revenus mensuels. Cela inclut votre salaire, les revenus supplémentaires, et tout autre type de revenus réguliers. Recensez vos dépenses Listez toutes vos dépenses mensuelles. Divisez-les en deux catégories : - Dépenses fixes : loyers, factures, assurances. - Dépenses variables : courses, divertissements, loisirs. Astuce amicale Savez-vous que suivre vos dépenses peut être aussi simple que prendre une photo ? Utilisez des applications de gestion de finances personnelles pour transformer cette corvée en un jeu. Voici quelques applications populaires que vous pouvez essayer : - Mint : Suivez vos dépenses, créez des budgets et obtenez des conseils financiers personnalisés. - YNAB (You Need a Budget) : Cette application vous aide à donner un rôle à chaque euro que vous gagnez, rendant la gestion de vos finances plus proactive. - Bankin' : Une application française qui simplifie la gestion de vos comptes bancaires et vous aide à économiser facilement. - Linxo : Une autre application française qui regroupe tous vos comptes bancaires en un seul endroit pour une vue d'ensemble de vos finances. Choisissez celle qui vous convient le mieux et commencez à suivre vos finances de manière amusante et efficace ! Lire aussi : Qu’est-ce qu’un Budget Personnel ? 2. Fixez des objectifs financiers clairs 🎯 Des études montrent que les personnes qui définissent des objectifs financiers clairs sont deux fois plus susceptibles de réussir à économiser et à rembourser leurs dettes. Définissez vos priorités Demandez-vous ce que vous voulez accomplir financièrement. Cela peut être de rembourser une dette, épargner pour un achat important, ou constituer un fonds d'urgence.
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Établissez des objectifs SMART Vos objectifs doivent être Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes, et Temporels. Par exemple, au lieu de dire "Je veux économiser de l'argent", dites "Je veux économiser 500 € en six mois." Persuasion passionnée Imaginez la joie de voir votre épargne grandir ou la satisfaction de rembourser une dette. Fixez des objectifs précis et ressentez cette satisfaction à chaque étape franchie. 3. Créez votre plan budgétaire 📅 Prenez vos chiffres et transformez-les en un plan concret. Pensez à votre budget comme une feuille de route vers la liberté financière. Allouez vos ressources Divisez vos revenus en fonction de vos dépenses et de vos objectifs. Un modèle populaire est la règle 50/30/20 : - 50 % pour les besoins essentiels (loyer, nourriture). - 30 % pour les désirs (divertissements, sorties). - 20 % pour les économies et le remboursement des dettes. Lire aussi : La règle des 50/30/20 : comment équilibrer votre budget ! Ajustez vos dépenses Si vos dépenses dépassent vos revenus, il est temps de faire des ajustements. Regardez où vous pouvez réduire vos dépenses variables pour atteindre vos objectifs financiers. Enthousiasme contagieux Voir votre budget prendre forme est extrêmement satisfaisant. Chaque ajustement vous rapproche de vos objectifs financiers ! 4. Suivez et ajustez votre budget régulièrement 🔄 Un budget est vivant, comme un jardin. Vous devez le surveiller, l'ajuster, et parfois arracher quelques mauvaises herbes pour qu'il prospère. Surveillez vos dépenses Suivez vos dépenses régulièrement pour vous assurer que vous respectez votre budget. Cela peut être fait quotidiennement ou hebdomadairement, selon votre préférence.
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Ajustez si nécessaire Les imprévus arrivent. Si vous dépassez votre budget dans une catégorie, compensez-le en ajustant d'autres dépenses. L'important est de rester flexible tout en gardant vos objectifs en vue. Conseil persuasif Pensez à votre budget comme à un partenaire de vie. Plus vous y consacrez du temps et des soins, plus il vous aidera à atteindre vos rêves. 5. Restez motivé et célébrez vos progrès 🎉 Chaque étape franchie est un petit triomphe. Célébrez vos succès comme des victoires personnelles. Racontez une histoire de réussite pour inspirer vos lecteurs. Récompensez-vous Fixez des récompenses pour les objectifs atteints. Cela peut être quelque chose de simple comme une sortie ou un petit cadeau. Visualisez vos progrès Gardez une trace de vos progrès. Utilisez des graphiques ou des tableaux pour visualiser vos économies croissantes et vos dettes en diminution. Amical et enthousiaste Transformez chaque petit succès en une fête. Pourquoi ne pas organiser un dîner spécial chaque fois que vous atteignez un objectif financier ?
Gérer les imprévus financiers 🚨
Même avec le meilleur budget, des imprévus financiers peuvent survenir. Plutôt que de laisser ces situations vous décourager, voyez-les comme des opportunités d'ajuster et d'affiner votre plan financier. Créez un fonds d'urgence Allouez une partie de votre revenu mensuel à un fonds d'urgence. Cela vous aidera à couvrir les dépenses imprévues sans perturber votre budget principal. Reconsidérez vos priorités Si un imprévu survient, prenez un moment pour réévaluer vos priorités financières. Peut-être que certains objectifs peuvent être temporairement ajustés pour faire face à la nouvelle situation. Astuce pratique Utilisez des applications comme GoodBudget ou PocketGuard pour suivre votre fonds d'urgence et ajuster vos dépenses en conséquence.
Conclusion
Créer un budget réaliste en 5 étapes est non seulement faisable, mais c'est aussi la clé pour une vie sans stress financier. Pensez à Julie, une de nos lectrices, qui a suivi ces étapes et a réussi à économiser 1000 € en six mois.  En suivant ces conseils, vous pouvez, vous aussi, prendre le contrôle de vos finances et atteindre la liberté financière.
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N'oubliez pas de célébrer vos succès et d'adapter votre budget en cas d'imprévus. Partagez vos histoires et conseils dans les commentaires ci-dessous ! Ensemble, nous pouvons tous améliorer nos habitudes financières et inspirer d'autres à faire de même. 💬💡 Read the full article
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regimepure · 3 months
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Découvrez la recette de courgettes qui va révolutionner votre cuisine!
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Dans le monde de la gastronomie, une simple courgette peut se transformer en un plat délicieux et raffiné. Imaginez des courgettes fraîches, coupées en fines tranches, sautées dans une poêle avec de l'ail parfumé et des herbes fraîches. Ajoutez-y un soupçon de fromage fondant et vous obtenez un plat irrésistible qui séduira même les palais les plus exigeants.
Mais ce n'est pas tout. La recette de courgettes dont nous allons parler aujourd'hui va bien au-delà de la simple poêlée. C'est une fusion ingénieuse de saveurs, une symphonie de textures qui éveillera vos papilles et ravira vos sens.
Les courgettes ne sont pas seulement délicieuses, elles sont aussi incroyablement bonnes pour la santé. Riches en fibres, en vitamines et en minéraux essentiels, elles sont un aliment de choix pour ceux qui cherchent à maintenir une alimentation équilibrée tout en se régalant.
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Recette Courgette
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