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#Château-de-Soleils
panicinthestudio · 1 year
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How an abuse scandal devastated the Buddhist faith community, July 1, 2023
In August 2017, the Dalai Lama’s Buddhist faith community was left reeling by allegations of abuse. It was claimed that the world-famous Lama Sogyal Rinpoche had sexually abused students over many years. 
According to the allegations, the Lama Sogyal Rinpoche had been sexually and physically abusing his students for decades. But how could Tibetan Buddhist authorities allow such things to happen? This documentary brings to light crimes long concealed by silence - rapes, psychological manipulation and the embezzlement of funds. Although it enjoys an excellent reputation in the West, Tibetan Buddhism has been rocked by a number of serious scandals. Through the story of Ricardo, abused from childhood and now on a personal quest for justice, this documentary gives a voice to the many victims. 
The filmmakers explore the reasons why these scandals were not properly investigated and how the alleged perpetrators, protected by stoic silence, were able to evade justice. Their research takes them to Buddhist centers in France, Belgium, Britain and Spain. And to the northern Indian city of Dharamshala, headquarters of the Tibetan government in exile, which still remains stubbornly silent over these known cases of abuse. Casting all the clichés aside, this investigation takes a deeper look at Buddhist milieus that sometimes manage to dazzle people with their exotic spirituality. The documentary lifts the veil of silence and shows what goes on behind the scenes in some Buddhist faith communities.
Deutsche Welle
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lerefugedeluza · 1 year
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philoursmars · 1 year
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Il y a maintenant une quinzaine de jours, j'ai retrouvé mes amis Julien et Katie dans le Sud.  Ici, une belle balade à Tarascon, en Provence, avec son château médiéval.
sans contexte, la pièce la plus étonnante du château, celle dite "du prisonnier catalan" , où furent gravés vers 1480 des ex-voto, des graffitis montrant toutes sortes de navires. Ici, on voit un château, le Soleil et la Lune agrémentés de jeux d'échecs et de trictrac, un autel ou un calvaire ?, des poissons (ou des dauphins ?) sautant sous une caravelle...
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nobrashfestivity · 1 month
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Henri Rousseau A Corner of the Park at Bellevue, Autumn Sunset (Un Coin du Château de Bellevue en Automne au Soleil Couchant) 1901 Oil on canvas 61.6 x 50.8 cm (24 1/4 x 20 inches) ; Frame: 80 x 69.9 x 6.4 cm (31 1/2 x 27 1/2 x 2 1/2 inches)
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ekman · 2 months
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De l’olympisme en intraveineuse. Du shoot de winner médaillé or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffé par ses élites, se délecte. Bientôt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillé BCE, mais qui s’en fout ? La tant redoutée “troïka bruxelloise” viendra déféquer dans les bottes de la garde républicaine, nakamuratée à mort et bien incapable de défendre la porte du château. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu à l’épargne, aux retraites, à la santé. On se responsabilisera enfin sous le regard sévère (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, d’Ourzoula et de tous les copains habillé en bleu atlantique. Chiche que l’on nous demandera d’apprendre l’ukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tâter du muscle au soleil, photographié sur le yacht d’un énième oligarque (?), tout sourire, déjà bronzé, sans Jean-Bri. Ça va nous faire un combo cocaïne-vaseline au coucher du soleil, à n’en pas douter. Les feux de l’amour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la République.
La France coule, le sourire béat, les poumons pleins d’air pur, dans le bonheur d’une capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de caméras réputées intelligentes, gavée de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga à chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bénévoles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos à micro-ondes des quartiers encore épargnés par les grillages et les blocs de béton.
La France se noie parce qu’elle a bu la tasse dans une Seine plombée par les étrons, les rats crevés et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors d’un passé couillu et bien révolu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre à Salvadorina Allende et à une ministre clitoridienne de jouir d’un bain pourri, infect, dégueulatoire. Tristes connes, pauvres athlètes.
Que se passera-t-il après tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombées de la table, parties sous le tapis ou déjà bouffées par les rongeurs darwinisés par la règle du profit et du silence. Même les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mètres haies tant l’horizon est bouché – illisible, imprévisible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aînée d’une Église wokisée, pute consentante de satrapes ricaneurs et lâches, cumshotée dans tous ses orifices, veinifiée à la pfizzerine, noyée dans la Cène, raccourcie à la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misères proprement médiévales ? 2025, année des funérailles, ou premier chapitre d’un nouveau récit ? Les deux, qui sait, mon Général ?
J.-M. M.
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p--a--s--s--i--o--n · 9 months
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Le cratère d'une couronne d'air pur Sur ta chevelure folle Mille bouffées d'écume entre les lèvres du soleil Ou l'aile battante de ton sang Donne ta force ta chaleur L'été massif brutal amer De tes paumes et de ta bouche Donne ta fatigue limpide Donne ta douceur ta confiance Dans l'étendue de tes yeux Il y a tantôt un château charmant Ouvert comme un papillon à tous les vents Tantôt une masure terrible Une dernière caresse Destinée à nous séparer Tantôt le vin tantôt une rivière Close comme un essaim d'abeilles Viens là docile viens oublier Pour que tout recommence.
~ Paul Eluard
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alexar60 · 1 year
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Après la fin du monde
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Lorsqu’elle se réveilla, elle ne se souvint pas s’être endormie dans un sarcophage de verre. Sa longue chevelure, ses ongles longs ainsi que son pubis touffu montraient qu’elle était ici depuis pas mal de temps. Toutefois, elle ne ressentit pas le besoin de manger.
Au milieu de cette immense salle éclairée artificiellement, elle se sentait comme la Belle au bois-dormant mais sans prince-charmant ni château. Elle respira à pleins poumons une atmosphère absolument seine.  Elle se leva et traversa avec maladresse la pièce contemplant les milliers de sarcophages, tombes ou lits ? Elle se sentait vivante.
Elle observa les autres passagers, hommes et femmes inconnus encore endormis. Elle ne savait pas combien ils étaient, tellement les couchettes étaient nombreuses. Elle remarqua quelques enfants. Leurs visages aux traits doux indiquaient qu’ils étaient heureux de dormir. En fait, chaque passager ne montrait aucun signe de stress. Ils dormaient juste…peut-être rêvaient-ils ?
Sa première réflexion fut sur son prénom, elle s’en souvenait. Elle quitta la salle en passant par deux portes qui s’écartèrent devant elle. Un long couloir aux murs blancs et lisses, se présenta. Dès lors, elle marcha ressentant une certaine chaleur imprégner la plante de ses pieds. Elle atteignit une seconde salle. Seules quelques tables et chaises blanches décoraient l’endroit. Elle s’assit et chercha à retrouver ses esprits. Elle ne se sentait pas vaseuse pour autant. Cependant, la perte de mémoire n’aidait en rien à trouver ses repères.
Après une courte pause, elle sortit par une autre porte automatique pourtant difficile à voir, à cause de sa blancheur. Elle marcha dans un nouveau corridor éclairé par des lampes invisibles. Elle atteignit enfin une nouvelle salle, occupée…cette fois-ci.
Certains faisaient du sport en courant sur des tapis roulants, d’autres se contentaient d’activité cérébrale et jouaient aux échecs ou lisaient tranquillement. Personne ne se soucia de la présence d’une nouvelle entièrement nue, en dehors d’un homme aux cheveux poivres et sels. Il posa une tablette sur la table, se leva et approcha de la jeune femme.
C’est déjà la relève ? interrogea-t-il.
Elle salua les sourires de bienvenue. Sa nudité ne dérangeait personne. Tout le monde continuait leur occupation. Néanmoins, une jeune femme aux cheveux courts l’invita à la rejoindre dans une sorte de vestibule où elle trouverait des vêtements adéquats.
La chambre blanche cachait en ses murs de nombreux placards et tiroirs rangeant une multitude de fringues. La fille aux cheveux courts proposa de l’aider. Elle accepta mais demanda avant quelques explications. Dès lors, sa future collègue se lança dans une tirade qui raviva sa mémoire.
Et la terre a finalement disparu ?
Oui, mais on peut encore la voir.
Elle observa le mur à tiroir qui se transforma en hublot ; procédé lié aux caméras filmant l’extérieur du vaisseau-station. Ses yeux obnubilés admirèrent les profondeurs de l’univers. Des milliers d’étoiles brillaient dans un noir absolu, comme des poussières sur une toile noire. Elle approcha, caressa du bout des doigts la fenêtre. L’autre fille indiqua un petit point à faible luminosité.
C’est notre soleil. Et bientôt, il va grossir comme celle-ci. Dit-elle en montrant un gros point brillant. Puis, il va s’éteindre et il ne sera plus visible d’ici une centaine d’année.
Et nous ? Où allons-nous ? demanda la réveillée.
La femme aux cheveux courts se pinça les lèvres tout en haussant les épaules. Elle poussa la vision du hublot pour ouvrir un tiroir et sortit une tenue identique à la sienne. Puis, elle l’invita à utiliser une douche dans la salle d’entretien.
Créer un nouveau monde, répondit-elle.
Alex@r60 – août 2023 – 30 jours pour écrire.
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carraways-son · 4 days
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Jeudi à dimanche matin (rattrapage)
Séjour de rêve dans la jolie maison en bois de mes amis J et A, dont les baies vitrées sont grandes ouvertes sur le Parc naturel régional du Luberon, sur les villages perchées que dore le soleil couchant, sur le ciel toujours changeant animé par le mistral et où on voit se lever la lune. Heures très douces en bonne compagnie, dans un paysage boisé où les oliviers se mêlent aux champs de lavande, aux vignobles, aux chênes et cerisiers. Et de belles balades, enrichies de visites variées : distillerie de lavande des Agnels à Apt, village de Soignon, superbe domaine vinicole du château de Mille, où sont en outre présentées expositions et créations artistiques, comme cette aérienne "graVitéO" de Michèle Trotta, pont Julien, antique ouvrage romain enjambant une rivière sèche. Grâce à nos amis, nous avons aussi pu rencontrer le photographe-plasticien Alfons Alt dans son atelier de Bonnieux qui offre une vue panoramique sur le mont Ventoux. Il nous a montré ses gammes de pigments et a feuilleté pour nous les magnifiques ouvrages photographiques consacrés à son ami Bartabas et au cirque Zingaro. Bref, une petite poignée de jours inoubliables à travers le plus aimable des pays. Il y a bien sûr les people, artistes, écrivains et hommes d'affaires dont les Porsche, Ferrari et autres Aston Martin, se montrent près des lieux à la mode, mais disparaissent vite derrière les murs de pierres de propriétés disséminées et discrètement noyées dans la nature.
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ltalaynareor · 21 days
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Diagnostic
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Le soleil se couchait sur Jérusalem, teintant le ciel de couleurs chaudes et dorées. Dans le château, la vie suivait son cours normal, mais pour le prince Baudouin de Jérusalem, rien n'était normal. Depuis que le diagnostic était tombé, sa vie avait basculé. Sa chambre avait été déplacée à l'opposé de celle d'Alix de Tripoli, sa meilleure amie et son béguin depuis de nombreuses années.
Malgré les interdictions des médecins et des conseillers du château, Baudouin ne pouvait plus supporter d'être si loin d'Alix. Alors, ce soir-là, il prit une décision radicale. Il demanda à son fidèle écuyer de l'aider à sortir de sa chambre et à rejoindre celle d'Alix.
Alix était assise à sa fenêtre, regardant tristement le ciel. Quand elle entendit frapper à sa porte, elle pensa d'abord à une plaisanterie de ses amies, mais quand elle ouvrit la porte et vit Baudouin, elle sut que ce n'était pas le cas.
"Baudouin, que fais-tu ici ?" murmura-t-elle, les larmes aux yeux.
"Alix, je ne pouvais plus rester loin de toi. Je t'aime, Alix, et la distance entre nous me déchire le cœur. Peu importe ce que les autres pensent, je veux être avec toi", déclara Baudouin d'une voix tremblante.
Alix fut bouleversée par ces paroles, mais en même temps, elle fut remplie d'une immense joie. Elle ne savait pas quoi dire, mais elle savait qu'elle voulait être avec Baudouin, malgré les risques.
Les deux adolescents passèrent des heures ensemble, partageant des rires et des confidences. Ils savaient que leur temps était compté, mais pour une fois, ils étaient heureux.
Le lendemain matin, lorsque Baudouin fut ramené dans sa chambre, il savait qu'il avait pris la bonne décision. Malgré la maladie, il continuerait à voir Alix.
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spiritgamer26 · 23 days
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[CP] Castlevania s'amène dans Dead by Daylight
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Castlevania
Le soleil s’est couché à l’horizon derrière le château. Des yeux écarlates transpercent les ténèbres. Dracula est arrivé dans Dead by Daylight pour étancher sa soif d’une chasse à nulle autre pareille. Dead by Daylight : Castlevania est disponible maintenant et ajoute un nouveau tueur, le Seigneur des ténèbres, ainsi qu’un nouveau survivant, Trevor Belmont, au royaume de l’Entité.https://youtu.be/U0D4kUAjeHE
Vénération de la nuit
À l’occasion de sa deuxième collaboration avec KONAMI, Dead by Daylight ajoute une des franchises les plus célèbres du jeu vidéo à une gamme d’icônes de l’horreur déjà légendaire. Peu de titres peuvent se vanter d’une longévité comparable à celle de Castlevania, dont les jeux s’étalant sur près de 40 ans font fréquemment vibrer leur public de manière très personnelle. Les membres de l’équipe de Dead by Daylight, qui font partie de ce même public, ont veillé à ce que leur passion pour Dracula et le clan Belmont se ressente jusque dans le moindre pixel de ce tout nouveau chapitre. Nous avons collaboré de près avec l’équipe de Dead by Daylight, et ce fut un véritable plaisir de constater tout l’amour pour la franchise et le soin du détail qui régnaient. Nous sommes nous-mêmes d’immenses fans de Dead by Daylight, et nous étions ravis de cette collaboration dès le départ, surtout en sachant combien nos jeux et notre univers comptent pour l’équipe de Behaviour l'équipe Castlevania de KONAMI
La variété est l’épice de la mort dans Castlevania
L’équipe créative a canalisé cette passion et s’est concentrée sur l’une des capacités les plus singulières du Seigneur des ténèbres, une faculté que l’on n’avait encore jamais vue dans Dead by Daylight : la métamorphose.Le pouvoir de Dracula lui offre trois formes qu’il peut alterner instantanément, et chacune se spécialise dans une facette spécifique de la chasse, créant ainsi trois tueurs en un seul.- Forme vampirique : avec la forme de base de Dracula, les joueurs peuvent déchaîner une attaque nommée Feu de l’enfer, qui lance une succession de flammes en avant. Cette attaque peut traverser les obstacles, y compris les palettes et les fenêtres.  - Forme de loup : la forme de loup se joue en vue à la troisième personne et se spécialise dans la traque des survivants. Les joueurs bénéficient d’une meilleure vision des marques d’éraflures et des flaques de sang, et tout survivant qui court génère des orbes odorants visibles qui peuvent être ramassés pour accélérer la cadence du loup et l’orienter dans la bonne direction. Une fois que la proie est à portée, les joueurs peuvent déclencher une Attaque par bond.  - Forme de chauve-souris : la forme de chauve-souris se joue en vue à la troisième personne et offre une vitesse de déplacement de base plus rapide, ce qui en fait un atout de mobilité majeur. Dépourvue de rayon de terreur et dotée de la faculté de se téléporter vers tout emplacement de saut à proximité, la forme de chauve-souris offre à Dracula la furtivité de la nuit elle-même. Bien que les joueurs ne puissent voir les survivants sous cette forme, les marques d’éraflures demeurent visibles et les bruits de pas sont beaucoup plus faciles à entendre.Imposant, majestueux et impitoyable, le Seigneur des ténèbres affiche sa morgue pour l’humanité jusque dans ses élégants atours. Son Mori en est le point d’orgue, qui le voit trancher nonchalamment la gorge de sa victime d’un geste de ses ongles effilés comme des rasoirs, avant d’en recueillir le sang dans une coupe qu’il vide d’un trait tandis que sa proie expire à ses pieds.
Tueur de vampires
Trevor Belmont connaît bien le surnaturel et sa bataille éternelle contre le Seigneur des ténèbres fait rage dans le Brouillard. Il y sera forcé d’affronter son ennemi juré dans des Épreuves sans fin, en comptant sur les caractéristiques qui font de lui le Belmont par excellence pour aider son équipe à survivre. Trevor Belmont amène trois nouvelles compétences dans Dead by Daylight. Yeux de Belmont : lorsqu’un générateur est achevé, l’aura du tueur est brièvement révélée. Chaque fois que l’aura du tueur est révélée, la durée de sa visibilité est prolongée.  Exultation : lorsque le joueur étourdit un tueur avec une palette tout en tenant un objet, cet objet passe au rang de rareté suivant (dans la mesure du possible).  Moment de gloire : Moment de gloire s’active après avoir fouillé un certain nombre de coffres. Lorsque le joueur se retrouve blessé, il subit l’effet de statut Brisé et restaurera un état de santé au bout d’un moment.
Ténèbres élégantes
Avec presque quatre décennies de jeux sous sa cape, la franchise Castlevania ne manque pas de styles et de personnages emblématiques. La collection Castlevania permet aux joueurs de plonger plus avant dans l’univers légendaire de cette série foisonnante et d’incarner des personnages clés des lignées des Belmont et de Dracula, et bien d’autres.Disponibles aujourd’hui, des objets cosmétiques pour Trevor Belmont comprennent des tenues Très rares de Leon et de Simon Belmont, ainsi qu’une tenue Légendaire pour Alucard de Symphony of the Night, qui propose aux joueurs une expérience totalement inédite. Sont également présentes des tenues pour le Seigneur des ténèbres, tirées des jeux classiques Vampire's Kiss et Castlevania Chronicles. 
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jogallice · 24 days
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Aujourd’hui, mardi 27/08/24, une journée sans Journée qui va ravir celles et ceux qui ne les aiment pas, qu’elles soient locales, territoriales, nationales, européennes, internationales ou mondiales 😆 Bonne journée sans Journée 😎
Ligue 2 : à l’issue de la deuxième journée, le FC Annecy pointe à la dixième place (3 points). Neuf clubs ont gagné (3 points) et neuf clubs ont perdu (0 point). Aucun match nul donc. 27 points pour les dix-huit clubs engagés, zéro pour Annecy qui a perdu son match contre Martigues ⚽
Deux marchés le mardi à Annecy : marché de la vieille ville (rue Sainte Claire) de 7h à 13h et marché de la place des Romains de 7h à 19h (marché alimentaire le matin et produits divers toute la journée) ℹ️ Carré des Producteurs de 16h30 à 19h30 à Saint-Jorioz (Grand Annecy) 🧺
Troisième jour du festival le plus tendre de l’été : Au Bonheur des Mômes 🐮 32e édition 🎫 Pass semaine 23 €, Pass journée 6 €, gratuit -4 ans et personnes en situation de handicap, spectacles payants et sur réservation de 4 à 15 € 📆 Du 25 au jeudi 29 août 2024📍Le Grand-Bornand, Aravis ⛰️
Olympic Breakshow (danse) : lors d'ateliers, compose la musique des JO en utilisant la MAO et crée une chorégraphie breakdance avec Antonin Hirtz de la cie Terre de Break ℹ️ Dans le cadre d'Un été culturel 🎫 Gratuit (spécial adolescents) 📆 Du 26 au vendredi 30/08/24 de 10h à 12h📍L’Auditorium Seynod 🎼
Concert Luni Duo (classique et poésie) ℹ️ Dans le cadre du 6e Toujours Festival (du 20 au samedi 31/08/24) 🎫 13 € (tarif unique) 📆 Ce mardi 27/08/24 à 18h30📍Jardins du Château de Menthon (Menthon-Saint-Bernard, Grand Annecy) 🎶
Diego & Joanes (Théâtre de la Toupine en partenariat avec le festival Au bonheur des Mômes) ℹ️ Dans le cadre de la 2e édition de Plages en scène (dernière journée) 📆 Ce mardi 27/08/24 (ouverture à 18h30, spectacle à 20h30, buvette et restauration sur place)📍Espace du Plant (Veyrier-du-Lac, Grand Annecy) 🎭
Kermesse avec le collectif la Cabale (théâtre) ℹ️ Dans le cadre du 6e Toujours Festival (du 20 au samedi 31/08/24) 🎫 26,40 € & 17,60 € 📆 Ce mardi 27/08/24 à 21h📍Esplanade du Château de Menthon, Menthon-Saint-Bernard, Grand Annecy 📽️
Le retour progressif à des conditions plus estivales devrait favoriser la formation d'ozone et entraîner une hausse des concentrations pour ce polluant 📈 Les indices de qualité de l'air devraient cependant rester moyens à dégradés compte tenu des seuils 💨 Ils seront bons pour les particules fines 👌
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est moyen (niveau 2). Ambroisies, graminées, plantain et urticacées : niveau 1. Platane et saule : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 24/08/24 au vendredi 30/08/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : aérez le matin tôt ou tard le soir car les pollens sont moins présents 😷
Trois dictons du jour pour le prix de trois : « À la sainte Monique, ne te plains pas si le soleil pique. » 🌞 « Beau temps quand à midi ciel vilain, minuit ciel serein. » 🌃 « Temps dérangé par tempête et foudre, restera dérangé neuf jours. » 🌩
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un très bel été à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🏖️
Bon deuxième jour de la semaine à tous et à toutes ☘️
Bonne fête aux Monique et demain aux Augustin 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le 27/08/24 📸
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philoursmars · 1 year
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Je reviens ENCORE une fois à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ).  On est en 2017 et comme ce blog est né en 2017, j’arriverai donc au bout de cette présentation.
Marseille, au printemps. Le Mont Rose : d’un côté le phare du Planier, de l’autre l’archipel du Frioul avec le Château d’If, et du troisième côté, les immeubles de la Rouvière au coucher du soleil.
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anabasisx · 24 days
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Promenades d’été
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Joseph Mallord William Turner. The Blue Rigi: Lake of Lucerne - Sunrise, 1842. 
Hier c’était l’anniversaire de la naissance de Judith Gautier. 
En feuilletant ses critiques d’art pendant les dernières années, je suis tombé sur ses Promenades d’été en Suisse qui ont paru chez La Liberté et Le Parlement. J’aime particulièrement les fragments II et III du 24 août 1869 (d’où le partage). Il s’agit d’une description fort jolie (et assez fantaisiste) de Lucerne plus une super anecdote sur la fête fédérale de tir à Zoug avec le cher Villiers de l’Isle Adam.
II. Lucerne
Vous est-il jamais arrivé de regarder le soleil en face et de vouloir ensuite lire votre journal ? Une flamme s’interpose entre vos yeux et le papier, les caractères se mettent à gambader et les lignes s’embrouillent si adroitement qu’il vous est impossible de savoir lequel, de M. Rochefort ou de M. Devinck, n’a pas été élu.
Nous avons éprouvé quelque chose d’analogue dès notre arrivée sur les bords du lac des Quatre-Cantons. Une préoccupation unique s’est emparée de nous et s’est continuellement dressée entre nos yeux et le paysage; de sorte qu’après avoir passé quinze jours à Lucerne, nous ne connaissons pas plus cette villa que nous ne connaissons Pékin.
Lorsque nous considérons la chaîne du Righi, c’est l’inaccessible et brillant mont Salvat que nous croyons voir. Si nos regards se tournent vers le rocheux Pilate, son faite étrangement découpé nous semble le château où sont conduits les héros morts en combattant la divine Walhalla taillée par les géants; et le vieux pont de Lucerne, avec ses peintures bariolées, nous paraît être l’arc en ciel, courbé d’un mont à l’autre, sur lequel marcha le dieu Votan pour atteindre sa nouvelle demeure. Si, étendu dans une mince gondole, nous regardons glisser sur l’eau claire du lac un cygne qui rôde amicalement autour de nous, il nous est impossible de ne pas voir sur ses ailes de neige un cordon d’or qui tire une nacelle, et dans la nacelle apparaît sous sa cuirasse étincelante, Lohengrin, chevalier du Saint-Graal, champion de l’innocence. Lorsque, dans les brumes du lointain, se montrent la proue et le mât d’un steamer, nous rêvons aussitôt d’Iseult conduite par Tristan vers les rivages de Cornouailles; et dès que l’incendie du couchant flamboie sur les montagnes, nous nous souvenons du fleuve de feu répandu, pour protéger son sommeil, autour de Brünnhilde, la Walkyrie superbe, pour longtemps endormie dans son armure.
Donc nous avons une idée très inexacte des choses que nous avons vues et nous ne pourrions en parler sans de graves dangers d’erreur, frappé d’éblouissement comme nous le sommes. Cependant, si on nous demandait notre avis sur Lucerne, nous affirmerions que cette ville n’a pas son égale au monde !
Les lignes qui précèdent sont peut-être une énigme ? Mais nous savons le lecteur trop intelligent pour craindre un instant qu’il n’en devine pas le mot.
III. Trente mille carabines
Zug ! Nous crûmes d’abord que c’était une exclamation, un juron familier aux Suisses; car ce mot était dans toutes les bouches lucernoises; il revenait à tout propos ; on le redisait sans cesse : bourgeois, gens du peuple, hommes, femmes, enfants. Il nous sembla que les chiens aboyaient Zug !
— Les Suisses sont bien mal élevés, disions-nous ; ils ne peuvent parler sans jurer. 
Mais, au déjeuner de la table d’hôte, nous surprimes des fragments de conversation en français qui jetèrent quelques doutes dans notre esprit sur la signification de « Zug ». 
Un dîneur disait à un dîneur : 
— Ce matin, j’appelle mon domestique. Pas de domestique ! Il est à Zug.
Ou bien: 
— Je reviens de Zug.
— Allez-vous à Zug ?
— À quelle heure part-on pour Zug ?
Nous fîmes venir le maître-d’hôtel, désirant à tout prix sortir de l'incertitude.
— Monsieur, qu’est ce que c’est que Zug ? 
Il paraît que nous venions de dire une chose énorme, car le maître-d’hôtel lança un gros rire.
— Zug, c’est Zug, dit-il, et ce n’est pas loin d’ici.
Il s’agissait donc d’un pays.
— Et qu’est ce qu’on fait à Zug ?
— Oh ! Alors, s’écria le Suisse avec stupéfaction. Vous ne savez pas que le tir fédéral est ouvert ? Il y a un prix de cent mille francs. Toute la Suisse est là. C’est superbe !
Il regarda l’heure à sa montre. 
— Courrez ! S’écria-t-il, courrez vite ! Vous n’avez que le temps ! Le train va partir ! Sans savoir ce que nous faisions, mais entraînés par l’enthousiasme du maître-d’hôtel, nous saisîmes notre chapeau, notre manteau, notre parapluie, et nous nous mîmes, nos chers compagnons de voyage et nous, à courir de toutes nos jambes versa la gare.
— Trois billets !…
Avant que nous eussions ajouté « pour Zug », nous étions servis. Où pouvait-on aller, sinon à Zug ? Nous eûmes à peine le temps de nous précipiter dans un wagon dont les portes se refermèrent aussitôt, et le train s'ébranla au milieu des sifflements, des coupes de cloches et des cris de toutes sortes.
Zug est un joli bourg qui s’accole aux montagnes. Son église, avec son haut cloche entourée de maisons qui se groupent gracieusement, a l’air d’une poule au milieu de ses poussins. 
Ce jour-là, toutes les fenêtres étaient pavoisées. La vieille porte de la ville, au cadran énorme, disparaissait sous les bannières multicolores de tous les cantons; à chaque saillie de ses murs, à chaque angle de son toit, à chaque clocheton s’accrochait un grand drapeau que la brise très faible soulevait lentement. Les guirlandes de fleurs et de feuillages, qui circulaient en festonnant, contrariait la courbe de l’ogive percée dans la vieille bâtisse, et la rue que cette porte termine ressemblait à une rue chinoise avec ses maisons inégales et sa perspective sans fin de banderoles brillantes.
Mais il fallait prendre une autre route pour gagner la plaine où le tir fédéral était établi. Un vacarme effroyable et continu nous guide de ce côté.
Dans une immense prairie s’élevaient des baraques foraines, et une foule joyeuse, mais grave, se pressait derrière le long hangar, sous lequel les tireurs luttaient d1adresser. Cette foule bigarrée offrait des spécimens tous les cantons de la Suisse, ici on voyait des Bernoises avec leur long corsage de velours noir, leur courgette plissée, retenue pas des chaînes d’argent, leur jupe ample et à demi cachée par un tablier soie couleur gorge de pigeon, et leurs grandes épingles historiées, piquées dans leurs cheveux. Là, se mêlaient les naturels du Valais, riche en goitres ; les Genevois, qui ont donné lieu au proverbe : boire comme un Suisse ; les montagnards d’Unterwald, qui ressemblent tous à Guillaume-Tell ; les Fribourgeois, vêtus de culottes courtes, de vestes brunes, coiffés de grands chapeaux et s’appuyant sur des bâtons noueux. Il y avait même quelques tyroliennes venues de loin, par curiosité, et qui égayaient les yeux par leurs jupes de couleurs vives, leurs étroits tabliers tricolores, leurs chapeaux pointus, en feutre noir, agrémentés de laons d’or et posés corpuettement sur le front.
Nous parvînmes à nous introduire sous le hangar où s’accomplissait  le grand concours fédéral. Là, l’espace était divisé en petits compartiments semblables aux box d’une écurie. Dans chacun de ces box, un homme, la carabine épaulée, visait dans une cible très lointaine un point noir, à peine visible, pendant que derrière lui, d’autres hommes très affairés, chargeaient sans relâche les armes.
Nous demeurâmes immobiles, assourdis par le fracas des milliers de détonations et par le bruit sifflant de la fuite des balles qui cinglent l’air.
Un Suisse, avec la familiarité qui est de rigueur dans un pays libre, nous adressa la parole, au milieu du vacarme; nous adressa la parole, au milieu du vacarme ; nous ne pouvons saisir un mot de ce qu’il disait. D’ailleurs il parlait allemand. Nous murmurâmes n’importe quoi pour nous débarrasser du bavard, mais il nous poussa dans un box et nous mit une carabine entre les mains.
Avant que nous fussions revenu de notre surprise, le coup partir tout seul, et, en même temps, nous recevions un fort coup de poing sur l’épaule. 
Nous laissâmes tomber l’arme en nous retournant, furieux, vers le Suisse qui, nous semblait-il, poussait la familiarité un peu trop loin. Le brave homme avait les mains dans les poches, et notre colère tomba devant sa mine béate. Comme nous nous frottons l’épaule, il nous expliqua, par une pantomime expressive, que c’était le recul de l’arme qui nous avait frappés. 
— Très bien ! Mais pourquoi ne pas nous avoir prévenu que vos carabines donnent des coups de poing.
Nous cédâmes la place à l’un de nos compagnons de route, à notre ami Villiers de l’Isle Adam. Plus heureux que nous, qui avions peut-être atteint une innocence hirondelle, Villiers de l’Isle Adam envoya la balle au cœur même de la cible, et celle-ci, mue par un ressort, le salua. Les Suisses qui nous entouraient éclatèrent en applaudissements; on entraîna le vainqueur, et des êtres sortis on ne sait d’où, armés de formidables trombones, se mirent sur deux files et l’escortèrent avec un tintamarre triomphal.
Nous le suivions sans gloire, l’air déconfit et secrètement jaloux.
On s'arrêta devant un kiosque entouré de vitrines sous lesquelles brillaient les merveilles destinées aux plus habiles tireurs, et l’on pria Villiers de l’Isle Adam de choisir. Il hésita longtemps entre un portrait de Garibaldi, une paire de lunettes d’or, un couvert d’argent, une collection de pièces de cent sous à l’effigie de Louis-Philippe, rangée en forme d’étoile dans un écrin, et une médaille commémorative de sa gloire. Il finit par prendre la médaille, que l’on accrocha à son chapeau au milieu d’un flot de rubans. Ainsi affublé, il essaya de se dérober aux démonstrations mais les trombones l’entourèrent de nouveau, et on se remit en marche. Notre ami mourait de rire au milieu de la solennité imperturbable de son cortège. On le conduisit vers un autre hangar consacré à Bacchus. Là, un commissaire de la fête monta gravement sur une table, éleva une coupe vers le ciel, cria trois fois : “ Hurrah!” et Villiers de l’Isle Adam fut obligé de vider la coupe pleine de vin suisse, de ce vin auprès duquel le vinaigre est du miel !
Mais, enfin, nous parvînmes à nous enfuir et à dérober nos traces. Saisissant au vol le train qui repartait, nous retournâmes vers Lucerne, ravis du Grand Tir fédéral suisse.
Judith Mendès
Trouvez l'originel sur La Liberté du 24 août 1869 sur retronews.
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inemi · 1 year
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Je vais te construire un château
qui se trouve dans les nuages
Je vais te construire un château
qui se trouve dans les nuages
Nous restons allongés à rêver dans l'herbe
Et peut voir le ciel
Hmm et des nuages ​​blancs nous dépassent
Et le temps s'arrête
Le soleil se couche à l'horizon
Et nous sommes encore éveillés depuis longtemps
Aucun de nous ne sait où aller ce soir
Je vais te construire un château
qui se trouve dans les nuages
je suis ton pilote
Qui te vole dans le ciel
je fais tout pour toi
Tout y est
Mais je n'ai qu'une seule serrure
qui se trouve dans les nuages
tu me regardes
Et tu dis: "Je ne te crois pas"
Hmm, il n'y a pas de serrure là-haut
qui se trouve dans les nuages
Aucun de nous n'a besoin d'un lit à baldaquin
Qui garde notre bonheur
Mais s'il te plait dis moi encore ce soir
Je vais te construire un château
qui se trouve dans les nuages
je suis ton pilote
Qui te vole dans le ciel
je fais tout pour toi
Tout y est
Mais je n'ai qu'une seule serrure
qui se trouve dans les nuages
Je te construirai un château (je te construirai un château)
C'est dans les nuages ​​(c'est dans les nuages)
Je suis ton pilote (Pilote)
Qui te vole dans le ciel (vole dans le ciel)
je fais tout pour toi
Tout ce qu'il y a (tout ce qu'il y a)
Mais je n'ai qu'une seule serrure
qui se trouve dans les nuages
Oh, je n'ai qu'une seule serrure
qui se trouve dans les nuages❤❤
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acrazybayernfan · 11 months
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Mick/Charles please? I miss them 🥲
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (🤦🏻‍♀️)
Au château du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blés, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’héritier et l’autre le prédestiné, l’un est le fils du baron et l’autre son protégé. Ils grandirent tous les deux ensembles la tête emplie des mêmes rêves, des rêves de petits de garçons, des rêves de victoires, des rêves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux château et d’aller faire leurs armes auprès d’un ami du baron. 
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir. 
Charles s’avéra à même de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire émerveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait été jaloux de cet étranger dont le talent semblait éclipser le sien mais Mick avait le cœur trop généreux pour cela et cette âme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. Après son père et Sebastian, Charles était la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration. 
Charles fut le premier à être fait chevalier et debout dans l’église où avait lieu la cérémonie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allé centrale éclairée par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumière. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique étalon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son écu : un cheval noir cabré sur fond de grenat. 
On se réjouit des heureux évènements de cet journée durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revêtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osé s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prêt à s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme résonner dans l’escalier de la tour où ils logeaient, il se précipita hors de sa chambre juste à temps pour saisir son ami dans ses bras au moment où il arrivait devant sa porte. Charles lâcha un petit amusé en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissât Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il éloigna le corps encore frêle de son ami. Leurs regards se croisèrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la première bêtise qui lui passa par la tête afin de réconforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se détacha délicatement de Mick et poursuivit sa route. 
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter à cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel étalon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. Après quoi il se tourna vers Charles et accrochant à sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hérité de sa mère il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodée sur ce mouchoir vous protège et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles était parti, parti à la quête d’aventure, parti à la quête de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il était devenu la grande espérance, il partit en attendant que quelques années plus tard Mick en face de même, pousser lui par le désir de conserver la gloire qui entourait le nom de son père. 
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onceupontimebrl · 10 months
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Ça va vraiment pas au boulot en ce moment,
Ça me bouffe le soir quand je rentre
Le temps que l'angoisse s'échappe.
Je me réveil en pleine nuit,
Le souffle coupé et la tête pleine de remords.
J'ai l'impression qu'à tout moment, ça va me tomber dessus ,
Que je suis sous un château de carte qui pourrait s'effondrer.
Et je sais pas trop comment j'en suis arrivée là,
Ça a commencé par des à peu près,
Des trucs que je savais pas faire, comment j'aurais pu savoir faire.
L'impression d'avoir été jettée dans le grand bain,
Et que tout le monde fait semblant,
De ne pas voir que je coule.
Sauf lui, qui me tire par le pied pour me couler encore plus vite.
Son nom s'affiche sur mon téléphone,
Je sens déjà l'angoisse qui s'installe.
Heureusement qu'il y'a tout le reste, les copains, la coloc, le soleil qui pointe entre les nuages du coeur de l'automne.
C'est les rires qui réparent, et les etreintes qui sauvent.
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