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#Dominique Fernandez
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A pretty book I found on eBay.
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demifiendrsa · 1 year
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New official character posters for Transformers: Rise of the Beasts
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zonetrente-trois · 3 months
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darrellmore · 2 months
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Dominique Paynter / David Fernandez
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fromthedust · 2 years
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DIVA - 1981 - after the novel by Delacorta
Director: Jean-Jacques Beineix
Music: Vladimir Cosma
Cast:
Cynthia Hawkins as Wilhelmenia Wiggins Fernandez Frédéric Andréi as Jules Richard Bohringer as Serge Gorodish Thuy An Luu as Alba Jacques Fabbri as Commissaire Jean Saporta Chantal Deruaz as Nadia Kalanski Anny Romand as Paula Roland Bertin as Simon Weinstadt Gérard Darmon as L' Antillais Dominique Pinon as Le curé Patrick Floersheim as Zatopek
Two tapes, two Parisian mob killers, one corrupt policeman, an opera fan, a teenage thief, a cool philosopher . . .  and a chase scene to rival that in the French Connection. And can you guess what Le curé (Dominique Pinon) listens to all the time?
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Delacorta novels in the series
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Please read this before ask the blog
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Hi! My name was max heaven you call me max and this is my ask blog for @ask-paddlepop-and-friends and @t0t4lly-n0t-z4hw4 only
About the Blog :
You ask about beastars world building especially because i lives in there
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I and my friends had access to this it hard because it was from real world shit
This ask blog created because i'm want to be asked by @t0t4lly-n0t-z4hw4
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lesterplatt · 8 months
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Rest Duvet - Hot Sleeper from STLL STUDIOS on Vimeo.
Client: Rest Duvet Product Film (4 series) Producer: Chloe Singer Production Manager: Yuliia Alexander Director/DP/Editor: Lester Platt 1st AC: Joe Marks Gaffer: Spencer Greene Grip: Tanner Tolland Grip: Jake Stockstill Location Manager: Dominique Fernandez
Shot on Amira and RED Komodo with Zeiss Prime Otus.
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lamilanomagazine · 2 years
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Lecce, al Barocco Festival arriva il “Sogno di Burney"
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Lecce, al Barocco Festival arriva il “Sogno di Burney". A Lecce torna il "Barocco Festival Leonardo Leo" con la XXV edizione, sabato 1 ottobre alle ore 21 con il musical "Sogno di Barney", da un'idea di Raffaella Ambrosino e con l’ensemble strumentale “Maria Malibran” al Teatro Paisiello. Il lungo viaggio che Charles Burney intraprese nel 1770, alla volta dell’Italia e di Napoli, rivive attraverso le inquietudini teatrali di un capocomico chiamato a mettere in scena le atmosfere di quell’impresa. Biglietti disponibili nel luogo del concerto. Sulla scena sfilano personaggi come Padre Martini, Mozart, Cimarosa, la figura mesta di Farinelli e il suo duello con il Senesino, Porporino, il castrato raccontato da Dominique Fernandez nel suo romanzo di culto, “Porporino ovvero i misteri di Napoli”. Un mondo che riappare nell’immaginario del pubblico animando suoni, visioni e memorie raccontati dallo storiografo musicale, e dando forma al sogno artistico di chi consacra la propria vita all’arte. In nome di quel piacere estetico che un altro grande poeta e drammaturgo del Settecento, Pier Jacopo Martello, identificava nel «segreto importantissimo di separar l’anima da ogni umana cura per quello spazio almeno di tempo in cui le note possono trattenerla». È la fata Mab, shakespeariana fata delle nuvole, a condurre Burney a Napoli e nella sua grande musica, mentre il capocomico riflette sullo sforzo degli artisti, sulla loro incessante rincorsa alla bellezza, sul fervore creativo che genera arte e diventa magia già durante la composizione. Charles Burney era un compositore e organista inglese di quarantaquattro anni, addottorato a Oxford, seriamente intenzionato a scrivere una grandiosa storia della musica, “A general history of music”, il cui primo volume sarebbe uscito sei anni più tardi. Per svolgere le sue ricerche, Burney visitò anche l’Italia, dove ebbe modo, oltre che di consultare antichi libri e manoscritti, di verificare di persona “The present state of music”, ovvero la condizione dell’arte musicale. Il diario di viaggio fu pubblicato nei primi anni Settanta del Settecento ed ebbe grande successo perché, a differenza delle numerose pubblicazioni appartenenti allo stesso genere letterario, si soffermava in modo specifico su esecuzioni musicali e colloqui con illustri musicisti, oltre che sulle più comuni descrizioni di monumenti, antichità e pitture. Laddove altri viaggiatori accennavano solo di sfuggita a suggestive serate all’opera, dichiarando però la loro incompetenza in fatto di musica, Burney ha lasciato le descrizioni musicali di un addetto ai lavori, offrendo testimonianze storiche affidabili e di grande valore.... Read the full article
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monsieurlux · 4 years
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“I loathe searching for causes for homosexuality: it would be admitting it isn't normal, that we should explain it. Or, let's also explain, because it is not less odd, why Romeo is attracted to Juliet, instead of neglecting her for the no less charming Mercutio.”
— Dominique Fernandez, preface for Le livre blanc et autres textes by Jean Cocteau (1999)
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lordbouyachak · 3 years
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La Société du Mystère, Dominique Fernandez
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mavie100moi · 4 years
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"La seule dignité de l’homme est de se laisser couler au fond de son désespoir, sans attendre du ciel appui ni soulagement. Qu’il regarde sans trembler les conséquences de sa chute !" - Dominique Fernandez, La Société du Mystère, p. 505, éditions Grasset, 2017
Jacopo Pontormo, dessin préparatoire pour la fresque du chœur de San Lorenzo à Florence à laquelle l’artiste travailla de 1554 à 1557. Terminée par Bronzino, elle fut finalement détruite lors de travaux de réfection entamés en 1738. (Uffizi)
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demifiendrsa · 1 year
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New official poster for Transformers: Rise of the Beasts
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yourdailyqueer · 5 years
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Dominique Fernandez
Gender: Male
Sexuality: Gay 
DOB: 25 August 1929  
Ethnicity: French, Mexican
Occupation: Writer
Note: Much of his writing explores homosexual experience and creativity
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jbgravereaux · 5 years
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PORTRAIT André Markowicz, 38 ans, retraduit tout Dostoïevski pour rendre à l'écrivain sa véhémence. N'en déplaise aux puristes. Version originelle Par Frédérique DESCHAMPS — 15 janvier 1999
Il le fréquente assidûment depuis près de dix ans et pourtant, il n'a jamais rêvé de le rencontrer. «De toute façon, Dostoïevski ne m'aurait jamais adressé la parole. Je suis juif», dit André Markowicz. Le bonhomme Dostoïevski ne l'intéresse pas: bon père, orthodoxe pratiquant, réactionnaire et antisémite. «Je préfère l'homme intérieur, celui des livres. Celui qui n'est pas à une contradiction près», assène le petit homme volubile à la coiffure de moujik.
En 1990, Hubert Nyssen, le fondateur des éditions Actes Sud, revient d'un rendez-vous chez Nina Berberova avec Markowicz qui lui a servi d'interprète. Sur le quai de métro, Markowicz se lance: il faut retraduire tout Dostoïevski. Nyssen ne comprend pas. Il trouve les traductions existantes très belles: «C'est justement là le problème, m'a dit André. Dostoïevski détestait l'élégance, en particulier celle des Français. Il écrivait avec véhémence, sans se soucier de la syntaxe ni des répétitions. Les premières traductions ont tout fait pour policer ce style.» Nyssen poursuit: «Vous avez vu ce pouvoir de séduction incroyable que Markowicz peut avoir sur les gens. Quand il vous parle, vous êtes forcément convaincu.»
Sa mère tente de le faire renoncer à ce projet, qu'elle considère comme une folie. Née en Sibérie d'une mère exilée par Staline pour espionnage et d'un père géorgien, elle a rencontré à Moscou, dans les années 50, un jeune communiste français d'origine polonaise à qui elle a servi d'interprète trois jours durant et qu'elle a épousé après un an d'échanges épistolaires, sans l'avoir revu. En France, devenue professeur de littérature russe, elle tombe un jour sur une traduction de l'Idiot, qu'elle ouvre sur le passage où Lebedev est en proie au délire en voyant Natassia Filippovna jeter l'argent au feu. Le texte français n'a plus rien à voir avec celui qu'elle connaît. A la bibliothèque, elle emprunte trois autres traductions de l'Idiot. Chacune, à sa façon, s'éloigne du texte original, mais toutes s'acharnent à rendre cohérents les délires de Lebedev. En racontant cette découverte en famille, c'est sans doute elle, de son propre aveu, qui a refilé le «microbe» à André.
C'est ainsi que Markowicz en prend pour dix ans: le temps qu'il s'est donné pour traduire l'intégrale des romans. «Je trouve les premières traductions mauvaises. Mais je sais que j'ai tort, car c'est grâce à elles que Proust ou Gide ont découvert Dostoïevski. Et puis, elles me donnent un avantage: je n'ai plus à faire la preuve que Dostoïevski est un grand écrivain. C'est désormais un fait acquis.»
En 1991, le Joueur paraît dans la collection de poche Babel. L'entreprise ne passe pas inaperçue. En 1993, le Nouvel observateur consacre trois pages à «L'affaire Markowicz». Il y a désormais deux camps: celui des pro et celui des anti-Markowicz. «En restituant cette écriture dans sa véhémence emberlificotée, aux limites du galimatias, André Markowicz rend-il vraiment service à Dostoïevski?», s'interrogeait récemment l'écrivain et critique littéraire Dominique Fernandez. «J'ai abandonné sa traduction de l'Idiot au bout de cent pages. J'avais l'impression de me retrouver face à une de ces versions latines que nous faisions au lycée», ajoute-t-il.
A Rennes, où il s'est installé il y a dix ans, Markowicz vit dans un grenier aménagé en studio, au-dessus de l'appartement de sa compagne, Françoise Morvan. Un lit étroit laisse tout juste la place à une chaise et à un bureau, un peu comme ces cellules de moines où Dostoïevski aimait à se retirer. Sur l'étagère, la somme du travail déjà accompli, une vingtaine de volumes, que contemplent deux barbus en noir et blanc, format carte postale: Dostoïevski à droite, Tchekhov à gauche. «Certains me considèrent comme un vaniteux. A leurs yeux, je n'ai aucune légitimité, simplement parce que je ne suis pas un universitaire», dit André Markowicz.
Cette éloquence de possédé n'a pas toujours été dans sa nature. Quand il arrive en France à l'âge de 4 ans, André ne parle pas un mot de français. Pendant trois mois, il se confine dans un mutisme total. En 1985, il rencontre Françoise. «A l'époque, André parlait comme un charretier. Il essayait de ressembler au chanteur Renaud. D'emblée, il m'a tutoyée; alors, j'ai imposé le vouvoiement entre nous», raconte-t-elle. Aujourd'hui, à près de 40 ans, l'homme ne revendique aucune patrie, sauf celle du langage: «Pour moi, la Russie reste avant tout un pays imaginaire.» Il a acheté un appartement à Saint-Pétersbourg, mais, là-bas, il arrive parfois qu'on lui dise qu'il «parle bien» le russe. Ses premières traductions, il les fait toujours relire par sa mère, pour éviter tout contresens. Puis à Françoise, qui contrôle la langue d'arrivée.
Lui qui ne se sent ni vraiment russe, ni vraiment français, a fini par se trouver un pays: «Mon territoire, c'est la traduction.» Un territoire qui ne cesse d'étendre ses frontières. Avec Françoise, il traduit Tchekhov. Il s'attaque aussi à Gogol, à Lermontov, à Pouchkine, à Shakespeare. Il rêve de traduire Boulgakov, Virgile, le Cantique des cantiques" Et Ovide, «pour la retraite». Cet appétit dévorant ne manque pas d'énerver un peu plus ses détracteurs. «Souvent, on me demande: "Pourquoi traduisez-vous Shakespeare? Je trouve la question raciste. "Pourquoi, c'est l'affaire de Dieu. "Comment, je veux bien répondre.»
Entre 11 heures et midi, Markowicz s'accorde une pause et s'installe dans un café de la place Sainte-Anne, toujours le même. Il boit des petits cafés très sucrés et transcrit des vers de Shakespeare sur un bloc quadrillé. Parfois, il demande que l'on baisse un peu la radio: pour mieux entendre la poésie. «On peut me reprocher de ne pas maîtriser parfaitement l'anglais, mais la musique de la langue de Shakespeare, je l'entends.» Et il enchaîne en chantonnant un décasyllabe imaginaire dont il tapote le rythme sur la table.
A son grand dam pourtant, Markowicz chante faux. Il y a trois ans, il s'est quand même risqué dans un stage de chants bretons: «La seule folie de ma vie.» Les chants bretons, il en connaît maintenant une bonne centaine et, quand il prend le train, il s'installe dans le sas entre deux wagons et se les chante à haute voix.
«J'ai rarement vu quelqu'un qui s'intéresse autant à la mise en bouche d'un texte», dit Hubert Nyssen. Rien d'étonnant, alors, à ce qu'il soit devenu «la coqueluche des metteurs en scène»: Vitez, Lavaudant, Besson, Brunschweig, Vassiliev, Langhoff. Avec certains, il travaille sur le texte. Avec d'autres, il assiste aussi aux répétitions. «Le théâtre m'apporte un naturel. Un texte peut paraître bizarre quand il est écrit, mais il prend tout son sens quand il est dit par un comédien.» Quand il travaille avec Françon sur la mise en scène de la Cerisaie, Markowicz n'hésite pas à remanier complètement sa première traduction. Mais peu importe, car rien ne doit jamais être définitif. Chaque traduction est avant tout le reflet d'une époque. Une seule chose est immuable: «Quand j'aime, je traduis».                                                                                                                                                                                                                André Markowicz, 38 ans, retraduit tout Dostoïevski pour rendre à l ...
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queerographies · 2 years
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[Nella mano dell'angelo][Dominique Fernandez]
Una vita segnata dal destino, con una conclusione drammatica attesa e quasi voluta come se si trattasse di un martirio.
Protagonista di questo romanzo è Pier Paolo Pasolini, che racconta la propria vita in prima persona, dalla giovinezza a Bologna e nel Friuli fino agli anni romani, attraverso gli incontri che caratterizzarono la sua tormentata esistenza. Attorno a lui, una società fatta di luci e ombre, specchio esteriore di un animo inquieto, eretico e coraggioso, sempre in bilico tra la mondanità e le…
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anamon-book · 6 years
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ガニュメデスの誘拐-同性愛文化の悲惨と栄光 ドミニック・フェルナンデス、岩崎力・訳 ブロンズ新社
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