Tumgik
#Kyrielle Sonnet
authormarialberg · 11 months
Text
Decorating for the Halloween Party
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
story-haven · 5 years
Text
Valkyrie
Hold your head up high, young princess.
Spear up! Armor your heart of glass.
Hide your fear. Do not let them see.
Remember, you’re a Valkyrie.
 Father’s love, you will never have.
His pride like air. Never to last.
Keep smiling. Try your best to deceive.
Remember, you’re a Valkyrie.
 Still, things may change come the morrow.
Break your chains - be free of sorrow.
Free to be who you want to be.
Remember, you’re a Valkyrie.
Hold your head up high, young princess.
Remember, you’re a Valkyrie.
ikol
2 notes · View notes
frayedcobweb · 5 years
Text
Poetblr Moment
Inspiration has hit thanks to New Zealand National Poetry Day (which was actually Aug 23rd). I was working that day, but right in the last fading moments of the evening I wrote this poem :) It is a Kyrielle Sonnet, a lovely poetry form I really enjoy, and the subject is ‘Kindness’.
Kyrielle Sonnet for Kindness.
As soft as a breath and strong as stone It reaches the sky and warms to the bone Blooms like a flower and sprouts like a tree Kindness, the door, the lock, the key.
Taking no effort, no fanfare, no fuss From the very first moment it ever was thus It costs but an instant, and yet it’s for free Kindness, the door, the lock, the key.
In the dark of the night and the heat of the day In the glow of the smiles that light our way It bridges the gap between you and me Kindness, the door, the lock, the key.
As soft as a breath and strong as stone Kindness, the door, the lock, the key.
By Becky Ellen-Johnson - August 2019.
7 notes · View notes
linezandrhymez · 7 years
Text
AU
I wish you were always by my side
There would be nothing left to hide
In your arms, I’d be content
With no more sins to repent
_______
The view is grand from here
No longer blocked by tears
Picturesque and heaven sent
With no more sins to repent
_________
I fold into your arms
Knowing I’m safe from harm
Is this what the Poets meant?
With no more sins to repent
____________
I wish you were here by my side
With no more sins to repent
____________________________
#poem, #poetry, #au, #here, #side, #content, #sins, #repent, #tears, #safe, #hard, #Poets, #Kyrielle, #Sonnet
4 notes · View notes
suevincent · 6 years
Photo
Tumblr media
Imagination~ Lady Lee #writephoto Fate took a turn for the worse The lady and flowers in verse Are we to believe what was showed?
0 notes
getcareless · 7 years
Text
One More Day
I’ll murder men by the hundreds. To me, it isn’t a bad thing. I’ll cut up necks and post up heads. Just one more day and I’ll be King. Yeah, I’ll be loaded with riches. Gold and diamonds is what they’ll bring. I’ll eat gourmet food off bitches. Just one more day and I’ll be King. Stop and go whenever I say. I’ll make commands by whistling. Ev'rything will be done my way. Just one more day and I’ll be King.
JP
1 note · View note
justbrian01 · 6 years
Text
The Woeful Womb
Midnight hours lost minds in distress, on weak knees, men kneel to confess. Black clouds outside rumble and boom as time ticks, shadows flood the room. (more…)
View On WordPress
0 notes
editions-nous · 5 years
Text
Tridents, de Jacques Roubaud, par Jacques Demarcq
Tumblr media
L’écriture au trident
Il est rare qu’un poète invente une forme fixe, aux règles suffisamment claires pour être transgressées. L’Oulipo n’a pas cherché à créer des formes poétiques ou romanesques ; il a expérimenté des techniques de (ré)écriture, ce qui est d’un autre ordre. Les œuvres limites que sont Cent mille milliards de poèmes de Queneau ou La Disparition de Pérec sont d’ailleurs restées sans suite notable. Pour qu’une forme s’impose en tant que telle, il faut que le laboratoire débouche sur une production. Le sonnet est un bon exemple : initié vers 1235 par des rimeurs de la cour de Frédéric II en Sicile, il ne s’est répandu qu’après avoir été repris par Dante dans Vita Nova, puis Pétrarque dans le Canzoniere, tous deux magnifiant la forme en lui attachant un sujet idéalisé : Béatrice, puis Laure. On connaît la suite : la Pléiade, Shakespeare, etc. Jacques Roubaud a de la chance : curieux de tout, il a beaucoup lu et traduit. Il a des savoirs, de l’imagination, des doutes, de la profondeur, de l’humour, de la persévérance dans ses projets et de l’expérience comme expérimentateur. En 2000, « sortie de millénaire », à 69 ans, il imagine « le premier trident », qui s’autodéfinit : « vers un : cinq syllabes / vers deux : trois / vers trois : cinq syllabes » (p. 7, n°1 ; les références suivantes à l’identique). Tout de suite, s’impose un thème : le temps qui érode le corps et l’esprit. Poème 2, « eau » est le titre en gras, et les vers : « sable sable sa / ble sous / sable sape sable ». Le vers 2 est bientôt défini « le pivot / sur lequel tournera le trident » (22, 66), qui peut se lire à l’envers : « sable sape sable / ble sous / sable sable sa » en un bégaiement inachevé qui est celui de la mémoire. Les mots se cherchent parfois jusque dans la contemplation qu’ils rendent dynamique : « peurpillent, parpillent / s’éparpillent / s’ébarbillent nuages » (74, 265). Les e muets, certes : « mais je compte comme / si j’étais / sous Hugo encore (112, 420). Autre définition, celle du sujet qu’inspire la forme : « l’instant parenthèse / qui s’entr’ouvre / déployant le mètre (11, 18). Illustration : « ce poème // aurai-je eu le temps / de le dire / avant de le taire ? » (64, 226). Le trident est dérivé de la tradition poétique japonaise qui a déjà beaucoup inspiré Roubaud ; du tanka plus précisément, composé d’un hokku de 5 + 7 + 5 syllabes, parfois détaché en haïku, et d’un distique de 7 + 7 : « par condensation / un trident / confine un tanka » (85, 312) ; « renverse un tanka / et de trente / et un livre treize » (179, 686). C’est l’occasion de méditer à nouveau sur des classiques : Bashô, qui a joué de son nom signifiant « bananier » et continue d’étonner : « feuilles trempées d’encre / fruit étrange / pour un bananier » (256, 989) ; ou un célèbre haïku de Ryokan, qui dit à peu près « le rossignol, son chant m’a sorti d’un rêve, le riz du matin », et griffe plus vif traduit en trident : « ougouissou no / grains, issues / hérissant harasse » (111, 415) ; ou Sanekata Shû : « je ne connais pas / ton chant, ô / toi, coucou, passons » (168, 643). Roubaud aussi est attentif aux zozios, observant leur disparition : « la fenêtre ouverte / dix fois moins / d’oiseaux qu’autrefois » (236, 908), ou se souvenant de Queneau : « zairs, zeaux, zondes, zherbes / et zétés, / zautomnes, zOiseaux » (513, 2035) – ce bref zézaiement, la probable amorce d’une kyrielle en z parue récemment dans la revue Po&sie. La forme restreinte, que Mallarmé nommait action, n’est pas un carcan. Paradoxalement, « la difficulté / du bref : c’est / si dur de l’emplir » (320, 1246). La restriction coupe court aux complaisances du discours : « qui sait trop bien dire / ne sait plus / comment ne plus dire » (169, 647) ; « poésie // s’opposer au monde / bavard d’un / arrêt de volée » (48, 163). Le Japon est également présent par des notes de voyages, où la trivialité peut croiser la tradition : « vieil ainu gelé / ice cream cone ! / rêve fuji-forme » (237, 912 ; les Ainu, un peuple du nord du Japon). S’y rencontre aussi l’inscape de Hopkins, cette singularité de chaque chose-être que saisit l’instress poétique : « la Fumée-Fuji / à la fois / inscape et instress » (248, 957). Nombre de poèmes se réfèrent à la littérature anglaise, comme ce vers final de Milton dans sa pastoraleLycidas : « to morrow to fresh / woods and past / ures new. voilà. dit. » (57, 198), où la coupe du vers pointe le passé, « past », dans le lendemain verdoyant annoncé. Une série « Shaking Zuk » taquine Zukofsky, dont Roubaud traduit en 2003 un poème fait de notes numérotées (inTraduire, journal, Nous, 2018) et lit la traduction de 80 Flowers par Abigail Lang (80 Fleurs, Nous, 2018). Zuk est confronté à Lewis Carroll : « ‘no smiling mouth with / out a face’ / except in Cheshire » (353, 1377), ou à Edgar Poe : « corbeau ‘exquisite’ / beau-noirceur / braillant‘nevermore’ » (355, 1384). Reviennent en mémoire des poèmes brefs de William Carlos Williams : ses bruants fouillant les feuilles sèches (46, 156) ou sa brouette rouge (138, 522). Le trident apprécie moins certains poèmes trop longs : « Olson, pompous ass / projecting / Maximal ennui » (416, 1631). Aux lectures, se mêlent là aussi des souvenirs de séjours en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Un troisième domaine non-étranger à Roubaud est la langue du « trobar// chante, rossinhol / chante, toi / qu’on ne ‘trouve’ plus » (60, 212). Les souvenirs retrouvés du sud de la France, où il a passé son enfance, sont parmi les plus nombreux avec les choses vues à Paris. Une fois vérifiée, la forme fixe peut bouger. Le nombre des syllabes n’est pas plus rigide que pour le haïku, le tanka, voire le sonnet pétrarquien. Le titre donne en général le contexte ou la référence du poème, mais il peut s’ajouter au poème qu’il commence : « ce dont on se souvient // dépendra des modes / de narra / tion dont on dispose » (581, 2298). Il peut être plus long que le texte, comme les 22 (ou 24) syllabes de « “Et dieu créa la femme” Athènes, juillet 1959, cinéma en plein air » préparant « oh ! – frémissement / de la toile / et des spectateurs » (593, 2341). Il existe des tridents doubles, triples, en miroir, avec coda, et même un centuple, « L’Approximatum » (pp. 643-660). Forme dérivée, le pentacle rejoint le tanka, ajoutant deux vers de 6 et 5 syllabes, ou 4 et 5, au tercet. Exemple, extrait d’une série « en train» : « de st raphaël / à paris / seul arrêt Les Arcs- / Draguignan. Le bar dans / la voiture 4 » (38, 121). Au compte des syllabes peut se substituer celui des lettres, générant des mantras rivalisant de vitesse avec Ungaretti : « CIEL D / OUB / LÉ D’OR » (114, 426) ; ou jouant d’une anagramme : « AMÈRE / MER / RAMÉE » (528, 2093). Assoupli ou pas, le trident peut frôler, égratigner, embrocher tous les sujets : citer Tino Rossi (242, 934) au même titre que Mallarmé (963, 232), vibrer d’une enseigne de bar (666, 20-22) ou d’une « lllibellullle » (540, 2136), se moquer d’Apollinaire, « entre sublime an / cien et mir / liton patriote » (429, 1721) comme du slam où « le besoin de rime / a produit / sa caricature » (841, 663). Le trident n’est qu’un instantané sans autre prétention que de retenir l’instant, face au tempus fugit : « je me veux restanque / retenant / les terrains passés » (124, 466 ; restanque : le muret d’une terrasse cultivée dans le Midi), car « composer un poème / n’est rien d’autre / que du jardinage » (259, 1002 ; trident : une bêche à trois pointes). En 2014, atteint d’ostéoporose, Roubaud se venge par le rire de ses souffrances : « dos en porcelaine // pas besoin d’un é / léphant, juste / un pied qui trébuche » (679, 31) ; « je m’éveille // moins de 5 secondes / après je / sais que j’ai eu tort » (683, 49). Approchant de la fin d’un troisième mille et, craint-il, d’« une vie », il avoue, « j’aurais voulu que / les tridents / m’autobiographisent » (900, 992). Autobiographie peut-être pas, mais assurément l’autoportrait du poète en action, délibérément restreinte par sa forme, d’écrire. Il en ressort une esthétique nourrie d’incertitude, de questionnements qui invitent à poursuivre : « composer un po / ème c’est / s’avouer perplexe » (484, 1926). Les tridents sont des cailloux de pensée semés par qui sait qu’il n’y a pas de retour : « être vivant je / suis, ici, / encore, mais / [coda] en ‘fin de droits’ » (560, 2213). Qu’espérer alors sinon qu’un ou plusieurs autres trouvent ces tridents sur leur chemin ? Inventer une forme, c’est l’offrir, dès le début : « don du poème // vous voulez écrire / un poème / en voilà un » (48, 161). Parvenu au 1 800e trident : « beaucoup, dirait-on / mais Issa : / 20 000 haïkus » (458, 1800). À la fin, le doute subsiste : « je ne sais pas si / cette forme / après moi vivra » (802, 511). Il est trop tôt pour répondre à cela. Mais le livre, 1 000 pages, quelque 4 000 poèmes, résiste à une vingtaine d’heures de lectures. Ce ne sont pas de beaux fragments de pensée gravés dans le marbre. Ce sont des poèmes, en équilibre instable sur le papier, des choses-mots qui éveillent la curiosité par leur vitesse, leur vacillement, leur mobilité. Si le lecteur, leur partenaire, remue avec eux, il ouvrira des milliers de boîtes à surprises d’où jailliront une plage de sable, un nuage, des tankas, un bananier, un rossignol, un coucou, une fenêtre, des cônes glacés, des pâtures, un chat du Cheshire, des bruants, une brouette, un cul pompeux, B. B, le TGV, le ciel et la mer, des bars tokyoïtes, une libellule, des restanques, un éléphant et j’en passe, il reste quantité de tridents à saisir et lancer. Jacques Demarcq
Source : Poezibao
https://poezibao.typepad.com/poezibao/2019/12/note-de-lecture-tridents-de-jacques-roubaud-par-jacques-demarcq.html
2 notes · View notes
petitegoose · 6 years
Text
Kyrielle Sonnet
She is a gifted liar put her hands into the fire, cause she loves to feel the burning, and her mom finds it quite concerning.
She has an abundance of dreams in her head in many of which she ends up dead, but she says she is still learning, and her mom finds it quite concerning.
Don't worry I lie every day and you can never really tell whether to believe what I say, I walk the street and I can see that heads are turning, and her mom finds it quite concerning.
She is a gifted liar and her mom finds it quite concerning.
0 notes
ciffee · 6 years
Text
So alone and horrified
Where does all that time go? Please tell.
Did time keep going when i fell?
Why didn't it wait for me? Pride?
I was so alone. Horrified.
Don't let the mask fall. Don't shatter.
Let them see a lie. No matter.
Hide those emotions. All in stride.
I was so alone. Horrified.
They don't understand. They never will.
Scream inside just not outside. Kill?
Kill... The only way out. Suicide?
I was so alone. Horrified.
Where does all that time go? Please tell.
I was so alone. Horrified.
b l u e c I f f e e
0 notes
authormarialberg · 4 years
Text
October 1: #OctPoWriMo #Writober and #NanoPrep Here we go!
October 1: #OctPoWriMo #Writober and #NanoPrep Here we go!
Tumblr media Tumblr media
It’s a foggy, creepy morning. Perfect for photographing spiderwebs and getting into the October spirit. Happy first day of October and that means it’s time for some poetry and creepy, scary flash fiction!
OctPoWriMo
Poetry prompt Today’s OctPoWriMo prompt and the theme for this year is “Shine your light.”
Forms Acrostic or Kyrielle Sonnet
An acrostic, a poem in which the first…
View On WordPress
0 notes
genre-urbanarts · 7 years
Text
Happy Birthday Greetings TerriLynn (Kyrielle Sonnet)
Happy Birthday Greetings TerriLynn (Kyrielle Sonnet)
  Happy birthday dear TerriLynn
This is your time to take a spin
Get out, celebrate, spend some dough
Pop the cork and let bubbles flow
(more…)
View On WordPress
0 notes
linezandrhymez · 7 years
Text
Time (Kyrielle Sonnet)
Laying bound in Endless gold Tales of fortune and glory told Not our time to pleasure sate While others live, we sit and wait
With patience that all the world can see, Our time, Our hearts are not yet free Not yet early, but much too late While others live, we sit and wait
Across the water, across the land Someday soon we’ll make us stand Until that time we rail at fate While others lives, we sit and wait
Laying bound in endless gold While others live, we sit and wait
#poem, #poetry, #Time, #Bound, #fortune, #glory, #pleasure, #sate, #hearts, #water, #land, #rail, #fate,
Time (Kyrielle Sonnet)
5 notes · View notes
candacegk · 9 years
Text
Alone Still
I picked a blossom from the tree and put it in my hair for thee but you were blind and did not care I was alone still, standing there You did not see my tears that day or hear me whisper, “please, just stay” I bowed my head as if in prayer I was alone still, standing there Only the robin in her nest Replied to my ardent request She seemed to understand despair I was alone still, standing there…
View On WordPress
0 notes
estherthewordartist · 9 years
Text
OctPoWriMo 4 - Embrace the Darkness
Welcome to the time of year when Spirits wander in broad daylight, We all embrace the darkness, and Magic thrills us all day and night.
The sun is losing all his hold; He no longer has any right To prevail o’er all as of old. Magic thrills us all day and night.
We glory in macabre and grim, In spooky and weird we delight. Cobwebs, spiders—ghoulish is “in.” Magic thrills us all day and night.
Welcome to the time of year when Magic thrills us all day and night.
©2015 Esther Spurrill Jones
1 note · View note