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#Le Dieu Saturne
thereselyssia · 2 months
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‼️‼️‼️‼️Gachis de poissons...‼️‼️‼️!!! transport car Pununu à des taxes sur le transport.. ‼️‼️‼️!! !pas de partage de recettes... !! ‼️‼️‼️!peu d info sur le gachis ... méconnaissance des poissons consommables... qq pêcheurs ont des recettes... très peu les connaissance... très peu osé acheté du poisson qu il ne connaissent pas sans recette... sans date limite de conservation car ca se dégrade vite au frigo ... quitoque les mets sous vide ça se conserve plus longtemps... ça ne sent pas mauvais dans le frigo ... beaucoup les achètent congelé en bâtonnets... les prix sont 3 fois plus élevés que la viande..‼️‼️‼️‼️. car les gens ne veulent pas des poissons qu ils ne connaissent pas ... beaucoup de poissons ne sont pas identifié comme comestibles..‼️‼️‼️❓️❓️❓️. Pour les animaux, ils prennent aussi les mêmes poissons consommés par l'homme..❓️❓️❓️❓️.IL Y A PLUS DE 99% DE POISSONS MER ET OCEAN COMESTIBLES PAR L HOMME... ‼️‼️‼️Et 100% par les animaux ‼️‼️‼️ SAUF LE POISSON QU IL PREPARE AU JAPON ET QUI EST TOXIQUE SAUF PRÉPARER COMME AU JAPON ... TOXIQUE POUR L HOMME 8 ESPECES DE POISSONS MER ET OCEAN .. ❓️❓️❓️❓️TOXIQUE POUR LES ANIMAUX 1 ESPECE ... INFO DE SATURNE.. DIEU DE LA NATURE ... PRES A COMMUNIQUER LES ESPÈCES TOXIQUES Top Chef Michel Sarran Michel Sarran Restaurant Hélène Darroze Elise Lucet
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claudehenrion · 4 months
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Démocratie / religion : un couple inséparable ?
Pendant ces dernières vacances, j'ai eu la chance de lire un livre récent de Hartmut Rosa, ''Pourquoi la démocratie a besoin de la religion''. Ce bouquin m'a transporté au septième ciel (Petit rappel, pour sourire : les astrologues babyloniens avaient découvert que six étoiles semblaient hors de l'organisation de la ''voûte céleste'' (alors dite ''fixe'') : Soleil, Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne avaient donc été associées, chacune, à un ''ciel'' spécifique. Cette image a été reprise par Ptolémée, et jusqu'à Copernic... Puis les sexologues ont détourné ce ''septième ciel'' vers d'autres cieux…).
Hartmut Rosa est un des sociologues majeurs de la modernité. Largement inconnu en France (il n'est pas assez ''de Gauche'' pour l'être, puisqu'il a formulé de grandes réserves sur la modernité –qu'il critique, ce qui est un péché mortel contre la doxa, ceci expliquant cela !), c'est un disciple de Habermas dont Il partage la vision d'un capitalisme prédateur. Mais s'il poursuit des rêves de justice et d'émancipation, il refuse la mode qui voit la solution à tous les problèmes dans la seule critique du catholicisme, qui était si ''prégnant'', il y a 250 ans, que les Lumières en avaient fait l'ennemi à abattre (''Ecrelinf'', écrasons l'infâme, écrivait Voltaire...). Au moment où il ne représente plus aujourd'hui que 2 % de la population française, les fils des prétendues ''Lumières'', définitivement éteintes, ne voient même pas l'anachronisme de toutes leurs prises de position ! Mon Dieu (si j'ose dire ça en leur présence) ! Sont-ils périmés !
Les lecteurs réguliers de ce Blog ont tout de suite compris pourquoi ce livre m'a tellement séduit : depuis notre n°1, le 15 novembre 2013, je n'ai jamais caché ma croyance profonde que le retour aux fondamentaux chrétiens –sources profondes de la civilisation dite occidentale, fille d'Athènes, de Rome et de Jérusalem-- pouvait encore sauver le monde de sa chute vertigineuse actuelle.. idée dans laquelle je persiste, même si je me sens souvent bien seul et en opposition avec ''ce qui est à la mode et que les pouvoirs officiels font croire vrai'', càd. avec cette doxa-du-jour qui égare tant de braves gens, contaminés par cette pathologie tellement plus mortifère que les ''fake-pandémies'' (genre covid) dont nous gavent les médias ''main stream'' (ce terme désignant les destinataires des subventions de l'Etat, donc les suppôts de la mensongère ''vérité officielle''). Vous imaginez mon bonheur devant cet ''essai'' stimulant, à contre-courant de toute la pensée officielle (donc dépassée, par définition : le temps que leur fatras conceptuel atteigne leur lobe droit... l'info est obsolète !).
Le ''script'' est d'une simplicité... biblique : face à une accélération sociale toujours plus agressive pour les individus comme pour les groupes humains, Hartmut Rosa affirme que la religion offre une sorte d'antidote à ce mouvement de destruction de l'individu qui est une tendance lourde de notre monde en marche vers sa fin programmée --et apparemment voulue par certains. Pour lui, la religion –et plus particulièrement son rameau chrétien (nous y reviendrons)-- favorise une manière ''d'être au monde'' qui rejette les excès de contrôle, de domination et de normes inutiles, pour ''se tenir comme un cœur qui écoute...'' comme le dit la prière de Salomon...
Son point de départ est la constatation du mécontentement (en voie de généralisation) qu'engendre notre mauvaise habitude de ne plus voir, juger et évaluer le monde qu'en termes et en fonction de critères économiques (en France, nous en vivons un exemple permanent : nous sommes condamnés à survivre dans un monde où le discours de Macron et de Le Maire sont les références prépondérantes. Quel désastre !). Rosa explique :''Le sentiment que ''ça ne peut pas continuer comme ça'' est devenu culturellement dominant... et il ne débouche sur rien que la violence et le chaos...''.
(NB : on le vit ''H 24'', avec l'appel à l'aide de nos paysans qui demandent respect, considération, écoute, fin des idées absurdes (donc de l'emprise néfaste des malfaisants de Bruxelles) et restitution de leur dignité volée... et à qui on répond : 50 millions d'Euros ici, 30 millions là et 20 ailleurs... en leur vantant les beautés de l'Europe et de la Norme.. comme ne peuvent s'empêcher de le faire Macron et Attal, jetant ainsi de l'huile sur le feu, en plein drame civilisationnel... ).
Devant ce grand doute collectif, H. Rosa parie que ''la religion peut aider à retrouver ce dont nous avons vraiment besoin'' et veut quitter les modalités de l'agression-seule-solution-possible, en retrouvant un iso ''pari de Pascal'' : ''Qu'est-ce que j'y gagne, moi ?'' Et ''Qu'est-ce que cela me coûte / me rapporte'' ?... ce qui invite et incite à la redécouverte d'une attitude résolument ''autre'', tournée vers le bien-être inhérent à se laisser parcourir par un autre souffle. Dans cet essai audacieux, le sociologue nous invite à envisager volontairement que la voie que nous avons choisie et privilégiée n'est sûrement pas la seule, et sans doute loin d'être la meilleure. Lui, offre, en un mouvement contraire, la ''face lumineuse'' de la religion –en espérant la guérir de ses pathologies, qu'il estime plus facilement guérissables que … tout ce qui ne va pas dans le bon sens dans le système actuel.
En tout état de cause, son analyse ouvre la porte à de nouvelles possibilités de dialogue entre croyants et non-croyants... et rien que l'espoir de ce seul authentique progrès justifierait qu'on donne sa chance à ce ''on ne l'a plus essayé depuis des siècles... On dit Chiche ? Il y a, depuis peu, tant de pays qui s'ouvrent enfin à un retour de l'intelligence dans les systèmes politiques que si on ouvrait cette porte hermétiquement interdite par des idéologies dont pas une seule n'a réussi, jamais, même un peu... ça n'irait sans doute pas plus mal, et peut-être même mieux. Après tout, tout va si mal qu'on n'a pas grand chose à perdre ! Il suffit de voir à quelle vitesse le rouge et le rose disparaissent de notre ciel –et ''c'est pas trop tôt !''-- pour avoir envie de se remettre à croire à nos lendemains...  Merci, Monsieur Rosa !
H-Cl.
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swedesinstockholm · 1 year
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18 juin
je lui ai écrit, tant pis, j’en pouvais plus. j’ai voulu sortir me promener pour me changer les idées mais ça s’est révélé encore pire que de rester allongée sur le lit à regarder les arbres dehors. je rayonnais de l’énergie négative à des kilomètres à la ronde et j’avais envie de faire des doigts d’honneur à tout le monde. je suis en train de considérer l’éventualité qu’il me réponde pas et je sais pas comment réparer mon coeur, j’ai peur qu’il soit plus réparable, il a été cassé trop de fois, ça fait de trop petits morceaux maintenant. en arrivant devant le palais de justice je me suis dit et si je protégeais ce qu’il en restait et que je tombe plus amoureuse de personne? je sais pas pourquoi ça me semblait une idée envisageable sur le coup parce qu’évidemment que j’en serais totalement incapable, mon coeur est un tas de miettes mais ça l’empêche pas de carburer à plein régime, c’est une usine à aimer impossible à arrêter. j’essayais de me sentir réconfortée par les immenses colonnes au dessus de moi mais bof, j’avais surtout envie de monter sur la rambarde en pierre pour sauter tout en bas des marolles et arrêter la souffrance. j’écoutais kae tempest, prête à me faire écraser par une voiture en traversant la route/me faire agresser par un des types drogués qui trainaient derrière le palais de justice. j’ai acheté des perles moches à 1,40 euros pour me faire un chapelet-souvenir à accrocher à ma banane pour me rappeler, je sais pas, que je suis quelqu’un de fantastique et que j’arrête de me dévaloriser quand je rencontre des gens? mais ça me sert à quoi d’être fantastique si personne veut partager ma fantasticité avec moi?
sur la place où je mange des frites avec m. d’habitude je suis rentrée dans une église en espérant y grappiller un peu de réconfort et je suis tombée sur une messe en polonais. je crois que c’était du polonais. les gens se signaient tous en rentrant, puis la plupart se mettaient à genoux par terre, se signaient une deuxième fois, et allaient rejoindre les bancs. j’étais fascinée qu’autant de gens aussi divers, aussi variés en âge, aussi variés en tout, croient tous en ce même dieu, et qu’ils se plient tous à la même règle: se signer, se mettre à genoux par terre, se taire. je me suis appuyée contre le mur du fond et je suis restée une bonne demie heure à regarder les gens entrer, les touristes se faire recaler, le prêtre parler en polonais, j’imagine, une femme qui chantait, je restais parce qu’au moins impossible de checker mon téléphone, trop irrespectueux. quand la femme chantait je fermais les yeux et j’essayais de me laisser prendre au truc, mais ça marchait qu’à moitié. alors j’ai essayé de ressentir l’amour inconditionnel de jésus sensé me réconforter du non amour de mes semblables, mais bof ça marchait pas non plus. alors j’ai changé au dieu de whitehead, l’amour de l’univers qui devrait nous relier tous, puis au dieu du changement d’octavia butler, mais ça marchait pas du tout, qu’est-ce que j’en ai à faire de l’univers qui m’aime si r. qui fait partie de l’univers ne m’aime pas? god is change encore ça va parce qu’en gros ça dit this too shall pass, mais en attendant c’est la merde.
je viens d’entendre des rires et un bouchon de champagne sauter quelque part, j’arrive pas à croire qu’il y a des gens dehors qui mènent une vie légère et joyeuse, entourés de leurs amis. comme tous ces gens insupportables assis en terrasse que j’ai croisés sur mon chemin en remontant de la place flagey hier soir. en plus je venais de passer une soirée légère et joyeuse moi aussi, mais on m’a accordé cinq heures chrono en main, puis c’était le retour au drame. j’ai essayé de monter sur la lune comme cléo dans mon scénario, pour voir les choses avec du recul, mais même sur la lune j’entends chanter les anneaux de saturne qui m’attirent avec eux dans la mélancolie. elle est inéluctable.
19 juin
j’arrive pas à pleurer, ça m’énerve. j’en ai envie mais rien ne sort. j’ai l’impression que ça m’aiderait à évacuer ce gros bloc que j’ai dans le ventre qui alourdit le moindre de mes mouvements, tout est lourd, même quand je parle ça s’entend. je sais pas quoi faire, ça ressemble à la dépression mais une dépression que je connais pas, une dépression aigüe, avec une cause précise. c’est des émotions très primaires, c’est pur, c’est pas murky comme la dépression latente. j’espère qu’elle sera passagère et s’arrêtera jeudi matin, quand j’arriverai à berlin. ce voyage tombe comme une grâce des dieux. je me suis levée à 7h44 pour faire une machine, la vaisselle et mes bagages parce que je deviens folle à rester allongée sur ce lit mais je dois attendre la fin de la machine puis la fin du séchoir pour partir et ça me semble insurmontable. peut être que je devrais passer chez schleiper pour acheter un nouveau journal avant de partir. j’avais décidé d’arrêter un peu parce que j’avais l’impression que mon écriture compulsive avait participé au montage en épingle de cette histoire, que si j’avais pas autant écrit dessus, ça aurait pris moins de place et je serais tombée de moins haut. mais en même temps tout est là, dans ma tête, que je l’écrive ou non, et si je l’écrivais pas j’ai l’impression que je deviendrais encore plus folle. 
non mais quand même, c’est incroyable la cruauté de la vie, je viens de penser à un moment de notre promenade où je lui ai parlé de mon journal et ç’a activé une douleur dans mon ventre alors j’ai vite essayé de la refouler et de l’oublier, pour une fois que je passais une bonne soirée, pas seule, avec un garçon gentil, doux et drôle et qu’on avait plein de choses à se dire, je dois l’effacer de ma mémoire à jamais sous peine de mourir de chagrin. unbelievable. il va y en avoir beaucoup des unbelievable encore cette année ou ça va se calmer? mais peut être que c’est ça la vie? par rapport à la non vie dans le trou je veux dire. je sais pas. je sens la douleur dans tout mon corps. c’est même pas une douleur, c’est plutôt une substance fantomatique qui me traverse et qui me donne envie de m’évaporer, de m’écrouler sur moi-même comme une étoile en fin de vie et de disparaître, mélangé à une légère envie de vomir. ce matin en me réveillant je pensais à marissa de newport beach quand elle jette la chaise longue dans la piscine en hurlant de rage. j’avais envie de faire pareil. je me sentais comme le singe qui souffre tellement de sa solitude affective qu’il devient violent et qu’il déchire des pneus de camion dans le livre d’éric chevillard que je lisais au wc tout à l’heure. ça m’a fait penser à violette leduc qui s’en prenait aux meubles de son appartement. j’ai considéré l’idée de jeter mon téléphone par la fenêtre hier soir mais comment je fais pour partir à berlin sans mon téléphone? pendant que j’étais allongée sur le lit à regarder le plafond en essayant de pleurer j’ai commencé à composer un nouveau couplet pour ma deuxième chanson dédiée à rebeka w. je pensais qu’il voulait me draguer mais il voulait juste faire le tour du quartier. j’ai envie de la poster sur ig et qu’on en rigole et que j’arrive à me remettre de mon envie de me blottir dans ses bras et de l’embrasser avec fougue le plus vite possible.
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whencyclopedfr · 6 months
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Saturne
Saturne (Saturnus) est un dieu romain dont l'histoire est similaire à celle de Cronos dans la mythologie grecque. Souvent représenté dans l'art brandissant une faux, il était considéré comme un dieu agricole, particulièrement associé aux semences de maïs. Le festival des Saturnales, qui porte son nom, était l'un des événements les plus importants et les plus animés du calendrier romain. Le dieu avait également un grand temple qui lui était dédié dans le Forum romain de Rome.
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quentinyhk · 6 months
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Chair humaine
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Je ne sais s'il est vraiment très intéressant de lire ou d'aller voir une pièce de Théâtre traitant de cannibalisme comme le fait l’œuvre intitulée "L'Ordinaire" (1981), rédigée par le dramaturge Michel Vinaver et inspirée d'un fait réel (des individus ayant survécu à un accident d'avion dans les Andes se seraient nourris des corps des autres passagers, tués dans le crash). J'ai cependant lu avec passion, à la fin de mon adolescence, une nouvelle de Stephen King traitant d'un sujet similaire. Dans ce court récit, sobrement baptisé "Le Goût de vivre" (1985), un naufragé piégé sur une île austère et minuscule se repaît d'oiseaux marins, de leurs œufs, puis finit par s'alimenter en dévorant son propre corps, se mutilant petit à petit, morceau par morceau. La consommation de chair humaine ou, plus largement, le cannibalisme, est un thème universel évoqué dans la Mythologie grecque avec l'histoire du dieu Saturne mangeant ses propres enfants par peur qu'ils ne le supplantent, représentée dans un célébrissime tableau de Francisco de Goya appelé "Saturno devorando a un hijo" (1823).
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L'idée d'un crime anthropophage doublé d'infanticide se retrouve dans des représentations du châtiment du comte Ugolin, lequel, condamné à mourir de faim après avoir été emmuré dans une tour, subit une forme subtile et cruelle du supplice de Tantale, ayant été incarcéré en compagnie de ses descendants, ses enfants et ses petits-enfants qu'il finit tout bonnement par manger, tel un ogre. Si je ne me trompe, c'est bien l'âme d'Ugolin qui, dans "La Divine Comédie" (1314) de Dante Alighieri, est très brièvement décrite comme étant un corps humain emprisonné dans de la glace, sous le battement des ailes d'un démon titanesque soufflant un vent épouvantablement froid, la cervelle dévorée encore et encore par un autre grand criminel ; un épisode magnifiquement illustré par le tableau de Gustave Doré "Dante et Virgile dans le Neuvième Cercle de l'Enfer" (1961).
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La petite morale atroce que je tire de ces œuvres admirables et admirées est la suivante : l'amour entre les êtres humains, tel que l'on peut le concevoir à l'aube de sa vie - un sentiment pur et idéal - n'existe pas. Car il n'est aucun parent qui, dans la détresse, ne puisse résister à la tentation de tuer ses propres enfants pour survivre, pour prolonger de son existence, fût-ce pour quelques jours seulement. De cette idée découlent toutes sortes de sinistres conclusions, au caractère désespérant puissamment renforcé par l'idée biblique selon laquelle les générations passées transmettraient à leur descendance l'expiation de leurs fautes et de leurs péchés. Ce qui amène à se poser toutes sortes de questions amères et vénéneuses : "Pour quelle raison hideuse mon père m'a-t-il donné la vie ?" "Pour quel motif abject ma mère n'a-t-elle mis un terme à sa grossesse lorsque j'étais en son ventre ?". Interrogations qui ne surviennent bien sûr que si la naissance du sujet qui se les pose a été souhaitée, et donc préméditée. Le véritable acte d'amour consisterait donc à ne surtout pas donner la vie, à ne pas transmettre à des enfants innocents un fardeau séculaire incluant tous les meurtres, les vols, les mensonges et autres de nos parents et de nos ancêtres. (Et à qui rétorquerait que la Bible commande malgré tout à l'Humanité de croître et de multiplier, l'on pourrait répondre pieusement et sans malice qu'il s'agit de croître tant en foi qu'en espérance, et de multiplier les fidèles non pas en se reproduisant vilement, mais en répandant simplement la bonne parole.)
Ci-dessous, en guise d'illustration à ces gentilles divagations susceptibles d'instruire certaines personnes encore un petit peu naïves : une planche de l'album de Bande-Dessinée "Opikanoba" (1992) où, dans une scène de cauchemar, une mère alcoolique s'empresse d'accoucher pour dévorer son nouveau-né en l'émasculant à grands coups de dents voraces. L'Homme est un loup pour l'Homme. Chacun pour soi, mais Dieu pour tous.
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christophe76460 · 9 months
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J’ai reçu du Seigneur ce qu’aussi je vous ai enseigné : … toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez la coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’il vienne. 1 Corinthiens 11. 23, 26
Mieux vaut une bonne renommée que le bon parfum, et le jour de la mort que le jour de la naissance. Ecclésiaste 7. 1
Comment se souvenir du Seigneur Jésus ?
De nombreux croyants, qui aiment le Seigneur Jésus et qui apprécient réellement sa venue dans ce monde, se souviennent de sa naissance le 25 décembre. Nous savons qu’il s’agit d’une date choisie arbitrairement il y a de nombreux siècles, personne ne connaissant la date réelle de la naissance de Jésus. La Bible ne nous la révèle pas. Ce qui est intéressant, c’est qu’il n’est jamais mentionné que l’un de ses disciples, ou des personnes converties, aient célébré une fois sa naissance. On a commencé à célébrer la fête de Noël seulement quand celle-ci a remplacé la fête romaine de Saturne.
Pourquoi la naissance de Jésus était-elle nécessaire ? Lui, Dieu le Fils, a condescendu à être fait “un peu moindre que les anges à cause de la souffrance de la mort” (Hébreux 2. 9). “Dieu est Esprit” (Jean 4. 24) et les anges sont des esprits (Hébreux 1. 14). Aussi, afin de pouvoir mourir pour nous, Jésus devait avoir un corps, dont l’âme et l’esprit pourraient être séparés dans la mort.
Dans son grand amour, Jésus est venu dans ce monde et il est mort pour nous. La nuit où il a été livré et condamné à mort, il a pris d’abord du pain et l’a donné à ses disciples, puis du vin, en leur demandant de les prendre en souvenir de lui. Des années plus tard, depuis le ciel, il a fait la même requête par le moyen de l’apôtre Paul (1 Corinthiens 11. 23-26). C’est ainsi qu’il désire ardemment que ceux qui ont été rachetés par son sang se souviennent de lui ! C’est ce que les chrétiens faisaient, le premier jour de la semaine, lorsque le christianisme a commencé à se répandre (Actes 20. 7). En nous souvenant de lui de cette manière, nous proclamons sa mort et nous l’adorons ; nous le faisons “jusqu’à ce qu’il vienne” nous prendre auprès de lui pour toujours.
Donnez-vous de la joie au cœur de votre Seigneur et Sauveur en répondant à sa demande de vous souvenir de lui, comme il l’a désiré et institué ? Si vous ne le faites pas, pour quelle raison vous en abstenez-vous ?
E.P. Vedder
➡ Lundi 25 décembre 2023
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lunicornelove · 9 months
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cfred-ecards · 10 months
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Bonne fête Saturnin !
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mariepascaleremy · 2 years
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21 mars 2023 - Nouvelle Lune (NL) en Bélier
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C'est la première des 2 NL du Bélier, la seconde étant une éclipse solaire sur le dernier degré du Bélier, les 19 et 20 avril. Le Bélier est le 1er signe du zodiaque et le signe des nouveaux départs. L'accent mis sur le "nouveau" est tout à fait approprié. Cette NL est alignée avec l'Équinoxe et initie un nouveau tour sur la Roue du Zodiaque. Saturne est entré dans le signe des Poissons le 7 mars et Pluton entrera temporairement dans le Verseau le 23 mars. Nous sommes au milieu d'un énorme changement et le guerrier Bélier ouvre la voie. Cette NL fait T carré avec Mars ; la conjonction Soleil/Lune est alignée avec Mercure et Neptune, qui font également un T carré avec Mars. Nous nous trouvons au portail d'un nouveau monde, et Pluton, l'archétype astrologique le plus intense de tous, éclipse cette transition. Pluton est le Dieu de la mort et de la renaissance. Du 23 mars au 11 juin, Pluton sera en Verseau avant de retourner en Capricorne pour le reste de l'année. Cette brève entrée du symbole archétypal du cycle mort/renaissance dans le Verseau, le signe du collectif, donnera un aperçu de l'énorme processus de transformation à venir.
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talkandchalkidiomas · 2 years
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Origine des jours de la semaine en anglais
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Origine des jours de la semaine anglais En anglais, les jours de la semaine sont inspirés par les corps célestes et les personnages mythologiques de l’histoire. Ils sont le fruit d’un étonnant méli-mélo de cultures et de traditions et nous offrent un fascinant aperçu de la manière que la langue anglaise fut constituée. Origine des jours de la semaine anglais Monday – Moon’s day (jour de la lune) Monday vient de l’ancien anglais Mōnandæg, et comme en français, signifie « jour de la lune » et vient du latin « dies Lunae ». Tuesday – Tiu’s day (jour de Tiu) Tuesday vient de l’ancien anglais Tīwesdæg qui signifie « Tyr’s day » ou « le jour de Tyr » en français. Tyr aussi appelé Tiw, tew ou encore Tiu était le Dieu nordique de la guerre. Ça vient également du latin « dies Martis » qui signifie « Dieu de Mars » qui était le Dieu de la guerre chez les romains. Wednesday – Woden’s day (jour de Woden) Wednesday vient de l’ancien anglais Wōdnesdæg qui signifie « Dieu de Woden » (ou Dieu de Odin) et qui était le plus grand des dieux dans la mythologie nordique. C’est un Dieu très important chez les anglo-saxon en Angleterre. Il vient du latin « dies Mercurii » qui signifie « jour de Mercure ». Thursday – Thor’s day (joue de Thor) Thursday vient de l’ancien anglais thunresdæg qui signifie « jour de Thunor » ou « jour de Thor » et qui était le Dieu germanique et scandinave du tonnerre. Il vient du latin « dies Iovis » qui signifie « jour de Jupiter ». Friday – Freya’s day (jour de Freya) Friday vient de l’ancien anglais Frigedæg qui signifie » jour de frige » et qui etait la déesse germanique de la beauté. Elle a un lien avec la déesse Freya. Il vient du latin « dies Veneris » qui signifie « jour de Vénus ». Saturday – Saturn’s day (jour de Saturne) Saturday est originaire du Dieu romain « Saturn » . Il vient du latin « dies saturni » qui signifie « jour de Saturne » . Sunday – Sun’s day (jour du Soleil) Vient de l’ancien anglais Sunnandæg qui signifie « jour du soleil ». C’est une traduction du latin « dies solis » qui signifie « jour du soleil» Source: toluna Talk&Chalk Brasil - Talk&Chalk France Read the full article
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Le Dieu Saturne (Jean-Charles Fitoussi, 2004)
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frenchwitchdiary · 2 years
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La Monade Hiéroglyphique de John Dee
Vous avez sûrement déjà du croiser ce symbole, mais savez-vous ce qu’il signifie ?
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Le “Latin MS 82″ de la Bibliothèque John Rylands à Manchester, dont sont issues ces photos (credit photos : Stephen Gordon), est un document  regorgeant de miscellanées alchimiques datant du début du 17ème siècle. Il s’agit d’un corpus alchimique comprenant des extraits de nombreux traités connus et reconnus, incluant entre autres Raymond Lull, Heinrich Khunrath et Paracelse.
L’une des pages les plus marquantes de ce corpus contient la représentation de la fameuse Monade Hiéroglyphique de John Dee, illustre occultiste et scientifique britannique. La Monade ne peut être réduite à une explication simpliste, mais peut généralement être comprise comme une écriture occulte visant à expliquer toutes choses en ce monde. Lue de haut en bas, elle représente les symboles de l’astrologie : croissant (Lune), cercle avec un point central (Soleil), croix (les 4 Éléments), deux demi-cercles (signe du Bélier ; accès gnostique vers Dieu selon Peter French), ainsi qu’un amalgame des 7 principaux symboles des planètes (représentés à gauche et à droite de la Monade sur la première image) : Mercure, Saturne, Jupiter, Lune, Vénus, Mars, Soleil - dans l’ordre présenté dans le livre. On trouve aussi les chiffres 1 (le point), 2 (la droite), 3 (la croix : deux lignes perpendiculaires se croisant en un point), 4 (les quatre segments de la croix), qui sont les nombres de la Décade (Tetraktys) de Pythagore.
La Monade est à elle seule l’expression d’un procédé alchimique : les noces mystiques du soleil et de la lune (or et argent, masculin et féminin, forces positives et négatives, projectives et réceptrices), les 4 éléments émergeant du cinquième (représentés par la croix), le tout activé par l’élément Feu (symbole du Bélier à la base ; le feu sous le creuset de l’alchimiste). En somme, la Monade est un symbole de la perfection physique et métaphysique.
Selon Pierre Béhar, la Monade Hiéroglyphique trouve son sens dans la kabbale chrétienne et dans La philosophie occulte de Cornelius Agrippa (1533), lequel cherchait les symboles géométriques des anges : le Père de la Trinité chrétienne est figuré par le point, le Fils ou le Verbe par la croix, le Saint-Esprit ou l’Âme du monde par la totalité de la figure : c’est donc un signe magique par lequel le mage peut invoquer la divinité elle-même et s'approprier les pouvoirs divins. Dee reprend cette figure sur la page de titre de ses Propoedeumata aphoristica en 1558 et en 1568.
Dans son écrit The Meaning of the Monas Hieroglyphica with regards to Geometry, Jim Egan propose une théorie alternative. Il clame que la Monas Hieroglyphica n’est pas du tout un traité alchimique, mais plutôt un livre à propos des nombres “cachés” dans le langage alchimique. “Dee découvrit une interconnection entre les deux branches des mathématiques : l’arithmétique et la géométrie. Il trouva que certains rythmes naturels du domaine des nombres étaient aussi trouvables dans le domaine des formes. Il était si stupéfait par sa découverte qu’il voulut la partager au monde, mais il craignait que ce pouvoir tombe entre de mauvaises mains, donc il masqua ses découvertes derrière un parler alchimique.”  La sténographie de Johannes Trithemius peut être pensée comme un prototype de cette technique de présentation de la matière d’un point de vue ésotérique, un texte dont Dee était très certainement familier. Robert Hooke suggéra même que Dee usa de la sténographie de Trithemius pour dissimuler ses entretiens avec la Reine Elizaberth I.
(Pour lire le document source de Egan en entier : par ici )
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Portrait de John Dee, XVIe siècle, artiste inconnu.
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whencyclopedfr · 1 year
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Temple de Saturne de Rome
Le temple de Saturne, datant du IVe siècle de notre ère, est situé dans l'angle nord-ouest du Forum romain de Rome et compte huit colonnes majestueuses encore debout. Construit en l'honneur de Saturne, il était le point central de cet ancien culte et se trouvait sur le site du temple original dédié vers 497 avant notre ère, qui avait lui-même remplacé le premier sanctuaire du dieu, l'Ara Saturni. En outre, sous la République, le temple abritait également le trésor public (aerarium), une fonction qu'il conserva, bien que de manière plus limitée, à l'époque impériale.
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christophe76460 · 9 months
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On l’appellera du nom d’Emmanuel, qui se traduit : Dieu avec nous.
Matthieu 1. 23
Quand Dieu a visité la planète bleue
En septembre 1977, la NASA a lancé l’engin spatial Voyager ayant pour mission d’explorer notre système solaire et l’espace interstellaire. En février 1990, après avoir traversé la distance stupéfiante de 6 milliards de kilomètres, l’engin envoie des photos à la terre. Les scientifiques remarquent alors un petit point bleu pâle accroché dans un rayon de soleil passant à travers les anneaux de Saturne. C’était la planète Terre, tout juste de la grandeur d’un point ! Cette image, maintenant célèbre, a été ensuite connue comme le Point bleu pâle.
Dans notre vaste univers, nous ne sommes qu’un atome suspendu à un rayon de soleil !
Pensons à toutes les générations qui ont passé et disparu, aux royaumes et aux empires qui se sont élevés puis sont tombés, aux naissances et aux morts, aux joies et aux peines, aux guerres et aux famines, aux souffrances et aux horribles atrocités qui ont été commises – tout ce qui est arrivé sur la planète bleue… Cependant, nous n’avons pas été abandonnés à nos propres idées, nous avons été visités. Pourquoi cela ? – Parce que la créature perdue qui habite la planète bleue a été créée à l’image de son Créateur (Genèse 1. 27). Les anges déchus n’ont pas été ainsi visités ou rachetés.
Nous ne savons pas exactement quand Christ est né. Mais puisque le monde situe sa naissance à cette date du 25 décembre, c’est une bonne occasion pour nous de parler du fait glorieux de l’incarnation. L’incarnation (Dieu fait homme) est la vérité la plus merveilleuse que vous trouverez dans la Bible – mais, bien entendu, sans la mort et la résurrection de Christ, cela n’aurait eu aucune efficacité pour nous. En Jésus, Dieu a été “manifesté en chair” (1 Timothée 3. 16). Emmanuel (Dieu avec nous) est venu, Christ “qui est sur toutes choses Dieu béni éternellement” (Romains 9. 5).
Un frère a dit une fois : J’aurais honte de m’appeler un homme s’il n’y avait pas eu l’Incarnation. – Il voulait dire que si nous considérons le bilan honteux de notre vie de pécheur, l’histoire abominable de l’humanité, ce serait alors une honte et une confusion d’appartenir à une telle lignée. Mais Jésus est venu, Jésus – Jéhovah Sauveur. Il est venu pour nous sauver de nos péchés (Matthieu 1. 21), transformant ainsi à jamais la destinée de l’humanité et de la planète bleue.
B. Reynolds
➡ Dimanche 24 décembre 2023
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ilseraexquis · 4 years
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Comme une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau Comme un manège de lune avec ses chevaux d'étoiles Comme un anneau de Saturne, un ballon de carnaval Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur Comme un écheveau de laine entre les mains d'un enfant Ou les mots d'une rengaine pris dans les harpes du vent Comme un tourbillon de neige, comme un vol de goélands Sur des forêts de Norvège, sur des moutons d'océan Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur Ce jour-là, près de la source, Dieu sait ce que tu m'as dit Mais l'été finit sa course, l'oiseau tomba de son nid Et voilà que sur le sable nos pas s'effacent déjà Et je suis seul à la table qui résonne sous mes doigts Comme un tambourin qui pleure sous les gouttes de la pluie Comme les chansons qui meurent aussitôt qu'on les oublie Et les feuilles de l'automne rencontrent des ciels moins bleus Et ton absence leur donne la couleur de tes cheveux Une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau Aux vents des quatre saisons, tu fais tourner de ton nom Tous les moulins de mon cœur
Michel Legrand (Paroliers : Alan Bergman / Marilyn Bergman / Michel Legrand), "Les moulins de mon coeur", 1976
Mardi 21 avril 2020, 9 h 07
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cfred-ecards · 10 months
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