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#Nous Disques
nousdisques · 1 year
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As we commemorate the 10-year anniversary of the inaugural release of Nous Disques, it is with a heavy heart that I share the news of our final release. Over the course of a decade, I have been fortunate enough to collaborate with incredibly gifted musicians and form enduring friendships. The support I have received throughout this journey has surpassed all my expectations. Although all good things must come to an end, I am immensely grateful for the incredible experiences we have had with the label over the past 10 years. I want to express my sincere appreciation to each and every person who has played a part in our journey. This closing chapter serves as a reminder that life is transient, and we must cherish the moments we have. I am filled with profound gratitude for the opportunities and achievements Nous Disques has witnessed. It is my earnest desire to extend my heartfelt thanks to everyone involved and  especially to : Simeon Nomidis, Kasia Sobocinska, Jo & Black Athena, Corinne Lutonadio, Miltiades, Jose Rico, Rushhour, Ilias Pitsios, Dimitris Varvantakis, Piotr,  Polyxene and bill Kouligas.
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jamie-007 · 8 months
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«Beaucoup sont décédés, ceux et celles qui sont toujours là sont appelé(e)s «les personnes âgées».
Nous sommes né(e)s dans les années 40-50-60.
Nous avons grandi dans les années 50-60-70.
Nous avons étudié dans les années 60-70-80.
Nous étions ensemble dans les années 70-80-90.
Nous nous sommes mariés, ou pas, et avons découvert le monde dans les années 70-80-90.
On s'aventure dans les années 80-90.
On se stabilise dans les années 2000.
Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010.
Et nous allons fermement jusqu'en 2020 et au-delà.
Il s'avère que nous avons traversé HUIT décennies différentes...
DEUX siècles différents...
DEUX millénaires différents...
Nous sommes passés du téléphone avec un opérateur pour les appels longue distance, des cabines téléphoniques, aux appels vidéo partout dans le monde.
Nous sommes passés des diapositives à YouTube, des disques vinyles à la musique en ligne, des lettres manuscrites aux e-mails et Whats App.
Des matchs en direct à la radio, à la télévision en noir et blanc, à la télévision couleur, puis à la télévision HD 3D.
Nous sommes allés au magasin de vidéos et maintenant nous regardons Netflix.
Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes et maintenant nous avons des gigaoctets et des mégaoctets sur nos smartphones.
Nous avons porté des shorts tout au long de notre enfance, puis des pantalons longs , des pats d'eph ou des mini-jupes, des Oxfords, des Clarks, des foulards palestiniens, des combinaisons, et des jeans bleus.
Nous avons évité la paralysie infantile, la méningite, la poliomyélite, la tuberculose, la grippe porcine et maintenant le COVID-19.
Nous avons fait du patin à roulettes, du roller, du skate, du tricycle, du vélo, du cyclomoteur, de l'essence ou du diesel et maintenant nous conduisons des hybrides ou des électriques.
Nous avons joué aux petits
chevaux et aux dames, aux osselets et aux billes, au 1000 bornes et au monopoly, maintenant il y a candy crush sur nos smartphones
Et nous lisions...beaucoup
Et la religion de nos camarades d'école n'était pas un sujet...
Nous buvions l'eau du robinet et la limonade dans des bouteilles en verre, et les légumes dans notre assiette étaient toujours frais, aujourd'hui on se fait livrer les repas
Oui, nous avons traversé beaucoup de choses, mais quelle belle vie nous avons eu !
Ils pourraient nous décrire comme des «exannuels» ; des gens qui sont nés dans ce monde des années 50, qui ont eu une enfance analogique et une vie adulte numérique.
Il faudrait y ajouter la révolution Biologique à laquelle nous avons assisté. En 1960, la Biologie était très descriptive. On a assisté à l'avènement de la Biologie Moléculaire : les molécules de la Vie ont été decouvertes: ADN, ARN etc. Quand on voit tout ce qui en a découlé : thérapie génique, empreintes genetiques, et autres les progrès sont considérables.
Nous avons en quelque sorte «tout vu» !
Notre génération a littéralement vécu et témoigné plus que toute autre dans toutes les dimensions de la vie.
C'est notre génération qui s'est littéralement adaptée au «CHANGEMENT».
Un grand bravo à tous les membres d'une génération très spéciale, qui sera UNIQUE..»
Photo Woodstock 1969
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chic-a-gigot · 3 days
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L'Art et la mode, no. 38, vol. 14, 23 septembre 1893, Paris. Diane "Fin de Siècle". Bibliothèque nationale de France
Elle est devenue bien coquette, la chaste Diane, et bien dernier bateau, depuis le temps où, farouchement prude, elle changeait en cerf, et sans lui donner le temps de s’expliquer, le malheureux Actéon dont tout le crime, en somme, était de l’admirer sans en avoir, au préalable, obtenu la per mission…
She has become very coquettish, the chaste Diana, and very last boat, since the time when, fiercely prudish, she changed into a stag, and without giving him time to explain himself, the unfortunate Actaeon whose whole crime, in short, was to admire her without having first obtained permission…
Mais, sous le crâne ajustement qui, grâce aux couturiers à la mode, réalise un piquant compromis entre le costume masculin et les vêtements féminins, on retrouve aisément, sous la coupe des étoffes, cette pureté de lignes idéales, un peu graciles en leur adorable juvénilité, qui révèlent la sœur d’Apollon.
But, under the adjusted skull which, thanks to fashionable couturiers, achieves a piquant compromise between the masculine costume and feminine clothing, we easily find, under the cut of the fabrics, this purity of ideal lines, a little graceful in their adorable youthfulness, which reveal the sister of Apollo.
Et c’est vraiment la déesse encore qui surgit, radieusement belle au milieu des campagnes, par les beaux jours d’été, nimbée d'un chapeau aux ailes déployées, rappelant celui de Mercure, le cou caressé par un léger collier de plumes multicolores, la taille merveilleusement dessinee par un corsage moulé, et les jambes élégantes et sveltes émergeant de la jupe courte, à la façon des Hiohlanders.
And it is truly the goddess again who emerges, radiantly beautiful in the middle of the countryside, on beautiful summer days, surrounded by a hat with outstretched wings, reminiscent of that of Mercury, her neck caressed by a light necklace of multicoloured feathers, her waist marvellously outlined by a fitted bodice, and her elegant and slender legs emerging from the short skirt, in the manner of the Hiohlanders.
La voilà, faisant halte dans quelque rustique demeure, et s’approchant du haut foyer ou flambent des sarments pétillants, pour se sécher sans doute, après quelque ondée qui a suspendu sa course vagabonde à travers les bois et les plaines. A quoi songe-t-elle, en ce répit? Durant cette heure morose, si Actéon se présentait à ses yeux, il serait peut-être admis à causer quelques instants avec la jeune déité. Déesse ou femme s’ennuyant sont aussitôt d’humeur plus conciliante, et il s’agit de passer juste à ce moment-là.
There she is, stopping in some rustic dwelling, and approaching the high hearth where sparkling vine shoots are ablaze, to dry herself no doubt, after some shower which has suspended her wandering course through the woods and plains. What is she thinking of, in this respite? During this gloomy hour, if Actaeon were to present himself to her eyes, he would perhaps be admitted to chat for a few moments with the young deity. A goddess or woman who is bored is immediately in a more conciliatory mood, and it is a matter of passing by just at that moment.
Maintenant, le jour s'achève. Le soleil abaisse rapidement à l’horizon son disque glorieux, et la fière chasseresse profile dans cette superbe auréole de pourpre sa divine silhouette. Elle feint de vouloir encore diriger son arme sur un gibier quelconque, mais c’est uniquement pour nous donner le change, car à l’horizon, sur l’immense cercle de l’astre, une ombre d’homme se dessine nettement. Et bien qu’on ne puisse deviner s’il approche ou s’il s’éloigne, on comprend que c’est encore et toujours Actéon, toujours fidèle, toujours épris, qui guette la déesse. Mais le temps des colères est passé, et Actéon cette fois ne sera pas puni, au contraire!
Now the day is ending. The sun is rapidly lowering its glorious disk to the horizon, and the proud huntress outlines her divine silhouette in this superb purple halo. She pretends to want to aim her weapon again at some game, but it is only to deceive us, because on the horizon, on the immense circle of the star, a man's shadow is clearly outlined. And although we cannot guess whether he is approaching or moving away, we understand that it is still and always Actaeon, always faithful, always in love, who is watching the goddess. But the time of anger is over, and this time Actaeon will not be punished, on the contrary!
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kilfeur · 9 months
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Je me sens un peu seule à aimer Roseille. Je veux dire ouais elle a ses propres torts mais c'est ce qui la rend justement intéressante ! Au début je la trouvais particulièrement rude envers nous donc elle était pas appréciable. Mais à force d'apprendre à la connaître, je me rendais compte qu'elle se soucie des gens et pas seulement de sa propre personne. Par exemple avant de se rendre au festival, elle a quand même chercher partout pour nous trouver un masque en plus. Ce qui montre qu'elle peut avoir un côté doux quand elle découvre le pot aux roses en ce qui concerne la légende du monstre. Elle est furieuse du comportement des Adoramis, ce qui m'avait étonné car j'aurai pensé qu'elle serait dans le déni. Mais au final non, ce qui prouve qu'elle a un certain sens de la justice ! Surtout que le fait qu'elle nous aide concernant Ogerpon montrant une fois de plus qu'elle se soucie des autres.
A la fin de la première partie du dlc, elle se rend compte que ses a priori étaient infondés. Comprenant qu'elle devait pas juger les gens avant de les connaître. Elle a apprit de ses erreurs et évolue de manière positive contrairement à son petit frère qui évolue de manière négative. Dans le disque Indigo, elle a toujours un sacré caractère mais je la trouvais plus adoucie malgré tout ! On voit qu'elle est inquiète concernant son frère mais n'arrive pas à lui parler car ce dernier l'envoie balader. Et elle n'arrive même pas à comprendre son changement radicale ! C'est d'ailleurs pour ça que j'avais bien aimé l'expédition dans la zone zéro car ils commencent de nouveau à se parler. Ce qui fait plaisir à cette dernière ! Lors de la confrontation avec Terapagos. Elle insiste à ce que Kassis nous vienne nous aider jusqu'à ce qu'on lui convaincs de nous aider à son tour. Et puis le fait qu'elle dise les quatre vérités à Bria était très plaisant à voir !
I feel a bit lonely loving Carmine. I mean, yeah, she's got her faults, but that's what makes her so interesting! At first I thought she was particularly rude to us, so I didn't like her. But as I got to know her, I realized that she cares about people and not just herself. For example, before going to the festival, she searched everywhere to find an extra mask for us. Which shows that she can have a soft side when she finds out the truth about the oger legend. She's furious about the loyal three behavior, which surprised me because I thought she'd be in denial. But in the end she wasn't, which proves that she has some sense of justice! And the fact that she helps us with Ogerpon shows once again that she cares about others.
At the end of the first part of the dlc, she realizes that her preconceptions were unfounded. She realizes that she shouldn't judge people before she gets to know them. She has learned from her mistakes and is evolving in a positive way, unlike her little brother, who is evolving in a negative way. In the Indigo disc, she's still got quite a temper, but I thought she'd softened a bit! You can see that she's worried about her brother, but she can't talk to him because he just dismisses her. And she can't even understand his radical change! That's why I liked the Zero Area expedition, because they're starting to talk to each other again, which pleases her. During the confrontation with Terapagos. She insisted that Kassis come and help us, until we convinced him to help us too. And it was a pleasure to see her tell Briar the truth about her actions!
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ekman · 6 days
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Nœud de serpents. Agrégat de menteurs professionnels, de falsificateurs. Obsession de l’opinion virtuelle, vendue à la masse comme étant son opinion : trouver un gentil reptile parmi les serpents à sornettes, les pythons avaleurs d’impôts, les boas hypnotiseurs et autres constrictors broyeurs d’espérance. Pauvre masse, masse de pauvres. Trouvons-leur un petit orvet, quelque chose de lisse, sans crochets, avec une jolie pupille ronde, qui ne fait peur à personne et se laisse prendre sans rechigner. Un petit serpent docile qui ne nous mord pas, qui accepte de nous écouter, qui ne fait rien, mais toujours avec le sourire. La métaphore reptilienne s’achève par le long processus digestif de l’anaconda bruxellois qui par ses sucs puissants et ses ondulations internes, finit de tout décomposer ; services, justice, économie... tout y passera.
Les picsous américains, immondes volatiles aux appétits infinis, vendront à des légions de nouveaux esclaves des prestations jamais servies, ultra-tarifées par la magie d’une fausse concurrence, rhabillées à coups d’écrans publicitaires où s’égayent dans un bonheur collectif et électrique des familles toujours plus métissées.
Une réaction ? Mais vous rêvez ! Comme l’ont toujours voulu Goscinny et Uderzo, on s’invectivera, on s’engueulera, même on se baffera, mais tout se terminera par un banquet – avec du sanglier recomposé guatémaltèque et des navets OGM kenyans, mais dûment estampillé “cocorico-républicain” par les médiocrates et autres médiacrottes d’astreinte.
Papa Schwab pourra se féliciter d’avoir gagné sa partie. Il fêtera ça avec Bill et le fils de George. Les Obama les rejoindront sur l’île de rêve des vieux Clinton. Tout le monde en couches et fauteuils à roulettes, prêts à se faire dupliquer leurs vices sur un disque dur synonyme d’éternité. Attali a déjà fait “son transfert”, conscient que ses injections de sang fœtal ne le sauveraient pas. Son intelligence, qui demeure très artificielle, s’appelle “Jack”. On peut d’ailleurs l’interroger. Ou se foutre de sa gueule : “Hey, Jack ! Dis-nous quelle était la couleur du cheval blanc de Mitterrand ?”.
J.-M. M.
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ousontlesfemmes · 6 months
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MYLÈNE FARMER ET LA CULTURE DE LA DIFFÉRENCE
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‘’La force est féminine’’ écrivait et chantait-elle dans sa chanson Méfie-toi, datant de 1999 et issue de son cinquième album, Innamoramento. Elle avait bien raison, et n’a eu cesse de le prouver. Bientôt quarante ans après sa première chanson (Maman a tort - 1984) qui posait déjà toutes les bases de son univers si particulier, elle est l’artiste de tous les records : record du nombre de disque de diamants pour une chanteuse (elle est d’ailleurs la seule artiste à en avoir obtenu un pendant quatre décennies), unique artiste féminine à avoir classé un album au top de ventes sur cinq décennies différentes, seule artiste française à avoir rempli deux fois le Stade de France, … La liste est longue, bien trop pour la faire ici. 
Quand on demande à Mylène, dans les rares interviews qu’elle accorde, les raisons, la recette de son succès, bien souvent, elle répond qu’elle ne saurait pas l’expliquer. On entend très régulièrement que ce qui marche, avec elle, ce serait la culture qu’elle fait du mystère. Généralement, ce sont des gens qui n’y connaissent pas grand-chose. 
La seule chose qu’elle a pu cultiver, au fil de sa carrière, c’est la différence. Différence dans sa manière de créer ses spectacles, différence dans sa manière d’aborder les clips musicaux, différence dans sa musique, mais surtout, différence dans les thématiques qu’elle aborde, et qui reviennent de manière récurrente dans ses textes.
S’inspirant régulièrement d’autres formes d’art, comme le cinéma, allant de Stanley Kubrick à Ridley Scott, travaillant avec des cinéastes de renom, comme Luc Besson, Abel Ferrara, ou Pascal Laugier, la littérature, surtout, puisant aussi bien dans les écrits du Marquis de Sade que dans ceux de Zweig, Baudelaire, Allan Poe, Pierre Reverdy, Arthur Rimbaud, Guillaume Apollinaire, la peinture et la sculpture, évoquant Egon Schiele, Paul Gauguin ou bien encore Auguste Rodin, elle laisse une place de choix aux femmes dans l’univers audiovisuel qu’elle choisit de nous présenter. 
Ainsi, elle fait référence à Sylvia Plath, Virginia Woolf, Emily Dickinson, Etty Hillesum, Marie de Hennezel,  Greta Garbo, et tire son pseudonyme d’une actrice des années 1930, Frances Farmer. 
Cette longue aventure commence en 1984 : sa première chanson, Maman a tort, est un succès, mais il a failli être de courte durée, puisque son deuxième titre, On est tous des imbéciles, qui livre une critique plutôt acerbe du show-business, est un échec. Puis arrive Libertine en 1986, une chanson sulfureuse, pour la promo de laquelle Mylène se teint en rousse, couleur iconique aujourd’hui dont elle ne se départira plus, et pour laquelle, avec son compositeur et ami, Laurent Boutonnat, elle décide de réaliser un clip digne d’un court-métrage, dans lequel Mylène elle-même n’hésite pas à se montrer nue : le premier d’une longue série. Il dure 10 minutes, pour un budget étonnamment bas de 76 000€, et surtout, fait scandale à sa sortie. Encore une fois, le premier d’une longue série. Mais peu importe : le succès est immense, et la carrière de Mylène décolle vraiment. 
Car s’il y a bien une chose pour laquelle Mylène affirme sa différence, allant même jusqu’à la provocation quelques fois, c’est pour les thématiques qu’elle aborde de manière régulière dans ses chansons. Que ce soit la peur de vieillir et de mourir, la solitude, la perte d’être chers, du suicide, de l’amour et de ses chagrins, de l’emprise, ou bien de la sexualité, elle brise allègrement un à un tous ces tabous, ces choses que beaucoup de gens peuvent connaître, mais sans jamais oser trop les verbaliser. Autour de cela se crée une véritable communauté de fans, qui se sentent différents, eux aussi, et qui ont enfin trouvé quelqu’un pour dire tout haut ce qu’ils pensent tout bas.
Pour ces fans, Mylène est une artiste à part dans les coeurs, quelqu’un qui se dévoile si intimement dans ses chansons qu’on a la sensation de la connaître personnellement, qu’elle n’est pas qu’une célébrité éloignée, mais quelqu’un de proche, quelqu’un qui est là pour tenir la main dans les moments de solitude en faisant se sentir compris, quelqu’un en qui on peut se reconnaître, et qui peut nous aider à grandir, qui que l’on soit. 
Et puisque sur ce site, on a à coeur de mettre en avant les femmes, et les personnalités queers ou en faveur des queers, voici une petite sélection de ses chansons queers et féministes : 
La première : Maman a tort - 1984
Mylene Farmer - Maman A Tort (1984) HD 720
Dans cette chanson aux allures de comptine saphique, Mylène chante l’amour d’une petite fille hospitalisée pour son infirmière. Si ce titre ne figure pas parmi les plus connus à ce jour, il a été un véritable succès à sa sortie, et posait déjà toutes les bases de l'univers de Mylène : une chanson aux allures presque innocentes, des paroles qui le sont nettement moins, et une bonne dose de provocation avec Mylène qui fixe la caméra en disant qu'elle "aime l'infirmière, Maman".
La duologie : Libertine & Pourvu qu'elles soient douces - 1986 & 1988
Mylène Farmer - Libertine
Mylène Farmer - Pourvu Qu'Elles Soient Douces
Si ces deux chansons ne sont pas ouvertement queers ou féministes, la première parle d'une prostituée, que Mylène revendique fièrement être, et la deuxième parle de sodomie : des pratiques quasiment jamais évoquées dans des chansons à cette époque, encore moins chantées par une femme, et encore moins destinées à un grand public. Les clips, inspirés notamment de Barry Lyndon de Stanley Kubrick, montrent Mylène tour à tour nue et revêtant des habits masculins de l'époque, arborant un look androgyne et se battant, pour une durée totale de 27 minutes en cumulant les deux. Du jamais vu en France, surtout qu’à l’époque, les clips étaient faits pour passer à la télévision !
L'iconique : Sans Contrefaçon - 1987
Mylène Farmer - Sans Contrefaçon Une chanson en particulier attire à Mylène les faveurs de la communauté LGBT+. Sans Contrefaçon sort en 1987, et parle de transexualité : quelque chose d’assez inédit, pour l’époque, et qui dérange, encore une fois. Mais peu importe. Mylène aime la communauté LGBT+, le dit et le répète à plusieurs reprises, n’hésitant pas à poser “en garçon” pour la couverture du magazine Têtu en 2008, et répondant quand on l’interroge sur la question des mariages homosexuels et des adoptions d’enfants par des couples homosexuels “C’est un sujet de société que certains voudraient traiter sous l’angle moral… Pour moi cela pose la question de l’égalité des droits. Au 21è siècle, il serait temps de traiter le sujet !”, et refaisant la une pour les 25 ans du même magazine, maintenant ses propos.
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“J’ai le sentiment d’être privilégiée. Le public gay est un public sensible, pointu et avant-gardiste. Nous nous suivons depuis de nombreuses années, c’est important pour moi. Je pense aussi que je partage avec le public gay, comme avec d’autres publics d’ailleurs, le sentiment d’être « différent », sensation qui provoque des difficultés de vivre dans ce monde.”
Le pied de nez : Fuck them all - 2005
Mylène Farmer - Fuck them all (Clip Officiel)
Rarement la plume de Mylène aura été aussi acérée. Dans Fuck them all, elle rappelle avec verve les siècles de domination de l’homme sur la femme, quitte à passer pour de la provocation gratuite aux yeux de certains. Mais ce qui rend cette chanson encore plus crue reste le contexte de la sortie de ce single. Alors vainqueure aux “Victoires des Victoires de la Musique” dans la catégorie “Meilleure artiste féminine des vingt dernières années”, qui récompensent, pour la 20ème édition, des lauréats d’éditions précédentes, Mylène ne se présente pas pour venir chercher son prix. En effet, elle boude cette cérémonie depuis sa victoire dans la catégorie “Meilleure artiste féminine” en 1988, récompense pour laquelle elle ne remerciera d’ailleurs que son public, alors que le prix est décerné par des professionnels. Elle dira : "J'ai passé des heures en coulisses pour les répétitions de cette soirée télévisée. Tout le gratin du show-business était là et ces gens m'ont écoeurée. Ils se détestent tous. J'étais triste d'avoir été récompensée et reconnue par ces gens-là. Ce sont les Victoires de l'hypocrisie ! J'ai failli m'enfuir, mais je suis restée pour faire plaisir aux gens qui regardaient l'émission. Ils n'auraient pas compris..".  Mylène ne se présentera plus aux remises de prix décernés par des professionnels, et demandera même à ce qu’ils arrêtent de la nommer, et ne se déplacera que pour les remises de prix décernés par le public. Après sa victoire en 2005, elle aurait envoyé un message à Nagui (qui lui avait, en outre, déjà tenu des propos insultants), alors hôte de la cérémonie des Victoires le message suivant: "Merci. N'oubliez pas que mon dernier single s'appelle Fuck them all."
La méconnue : Elle a dit - 2012
Mylène Farmer Elle A Dit Live 2013
Parue dans l'album Monkey Me en 2012, Elle a dit a fait beaucoup moins de bruit que les quatre chansons citées précédemment. Et pourtant ! Vraisemblablement inspirée de la bande dessinée Le bleu est une couleur chaude de Jul' Maroh, qui raconte l'histoire d'amour entre Clémentine et Emma, Elle a dit parle d'une fille hospitalisée qui va mourir ayant du mal à comprendre qu'elle aime une autre fille. "Pour le plus petit mot qui a guéri, sauver une âme, c'est si fragile."
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Et si cet article vous a donné envie d’en découvrir plus, voici une liste avec les chansons que vous connaissez peut-être par album, et les chansons qui gagneraient à être plus connues
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Sources :
♦ mylene.net
♦ innamoramento.net♦ Diverses interviews, notamment celle de Têtu le 20 août 2008
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icariebzh · 7 months
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Chacun possède de curieuses rassurantes que les mystères de la vie lui dictent en filigrane. Parfois, ils sont présupposés, dictés par je ne sais quelle obligation supérieure inscrite dans des livres d'une foi, deux fois, cent fois et lois  divine/devine. Ben ma foi... Et  puis quelquefois, les gestes sont ancrés dans l'histoire de racines familiales, à valeur d'exemple, sans qu'on y prenne toujours garde . Ainsi, dans le champ des possibles de mon pré construit, il est une manière de faire au petit matin et soir aussi, je peux bien  l'avouer, consistant à tapoter avec légèreté et insistance tout de même, le baromètre accroché au mur, pour apprendre un peu de ce que la journée pourrait  réserver météorologiquement  parlant- mais en silence- je vous prie; Cette conduite addictive comme l'on dit en fac de psycho je la tiens de mon paternel qui lui même la briguait de son... Enfin bref... chaque journée passée au bercail avant que mes  jeunes ailes m'emportent vers d'autres univers et printemps compris, j'ai pu constater - du coin de l'oeil- que mon géniteur l'air  sérieux et pénétré, pendant quelques  graves secondes entrait en communion -en tout bien tout honneur- avec son instrument de mesure préféré. Je n'avais pas besoin de prendre la place une fois celle-ci libérée, il me suffisait de regarder sa tête pour comprendre quel sort nous était réservé par les dieux du ciel et tout leur barda. Cela fait longtemps maintenant que papa a grillé sa dernière disque bleu filtre; mais lorsqu'à mon tour -quotidiennement- je titille la pression atmosphérique sur la machine léguée par principe , c'est comme si son index dédoublait le mien; et ce doigt coutumier me rassure,  quelles qu'en soient les conséquences du tableau de bord de père.
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olympic-paris · 1 month
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saga: soumission & Domination 241
Piercings et livraison...
Je profite du cours de krav maga suivant pour les prévenir du jour où ils se feront tous percer.
Pas un manquant le jour dit. Pour plus de pratique nous étions les derniers clients. Quand le tatoueur nous a tous vu dans sa boutique/atelier/salle d'opération, là il y a vraiment cru. Il lui restait des doutes sur mon sérieux.
Il a proposé une insensibilisation en nous prévenant que cela pouvait entrainer un saignement plus important. Le refus de Jona a entrainé celui des autres. Il les a tous fait mettre torse nu et a examiné leur tétons. A part celui de Maxou qu'il a trouvé un peu petit, tous les autres, bien développés lui ont paru facile à percer.
Comme on me l'avait dit, coté hygiène tout était parfait. Matériel stérilisé et /ou à usage unique sous blister, désinfection large de la zone d'intervention et gants jetables.
Jona est le premier à s'y coller. Sur le fauteuil, de l'autre bout de la pièce, je le vois serrer les dents alors que l'aiguille perce son téton droit idem quand le tatoueur enfile l'anneau en inox. Passage de l'ensemble à la Bétadine puis pansement protecteur.
Les autres serrent tout pareil les dents, pas question de laisser échapper un gémissement. Je les engueule gentiment et PH ajoute que ce n'est pas déchoir que de se laisser un peu aller. Maxou est le dernier à passer. Le tatoueur prend son temps pour bien le préparer et choisit une aiguille un peu plus fine.
Alors qu'ils se rhabillent, Jona me demande pourquoi, étant donné que je suis leur patron, je ne porterais pas moi-même la même chose qu'eux. Il ajoute que je pourrai avoir un anneau avec deux têtes de tigre puisque personne n'avait choisi ce motif.
Tous de renchérir, ils aimeraient beaucoup me savoir comme eux. Quand PH ajoute sa voix, je me rends et passe à mon tour sur la chaise. 10mn plus tard et j'arborais le même anneau en inox qu'eux tous. Moi aussi j'ai serré les dents. La douleur est brève et le sang peu abondant. PH ayant décliné leurs demandes, nous sommes tous rentrés chacun chez soi, avec les recommandations du tatoueur pour une bonne cicatrisation. Je l'assure que je veillerais personnellement à ce que ses recommandations soient suivies.
Le soir même je laissais un message à mon orfèvre pour ajouter un onzième disque à la commande.
Il faudra bien quinze jours pour que nos anneaux coulissent facilement au travers de nos tétons cicatrisés. La semaine suivante j'allais chercher les disques. Bien qu'ils soient en or, ils sont très légers et ne risquent pas de tirer nos tétons vers le sol. Les disques sont fournis avec une " épingle " qui, une fois passée dans le piercing, le maintiendra en place.
Pas un de mes Escorts n'a pu attendre le cours suivant et ils ont déboulés au Blockhaus les uns après les autres. J'ai vérifié que les trous étaient tous bien cicatrisés avant de placer moi-même les disques. Je suis très content du résultat. Les disques ne sont pas énormes mais justes assez grands. Les découpes des têtes sont bien réalisées et l'ensemble est très joli sur nos pecs bronzé. Du coup, à me voir pareillement équipé, PH se demande s'il ne va pas nous imiter.
Hors nos cours de Krav maga et, pour certains, le sport co, ces nouveaux bijoux ne quittent pas nos poitrines. Le retour que j'ai de mes clients est très favorable. Ils aiment ce point commun à tous mes employés et lui trouve un petit coté " tribal " amusant.
Quand Ric apprend la chose, il me supplie de l'autoriser à en porter un lui aussi, bien qu'il ne fasse partie, qu'à temps partiel, de mon " écurie ". J'en parle à André, son père, bien qu'il soit majeur. Ce dernier me donne aussitôt son accord. Nous sommes devenus très proche, depuis le jour où j'avais découvert que sa femme martyrisait son fils, puis comme conseiller fiscal et banquier de ma société. Il sait que je ne proposerais jamais rien dangereux, même dans les plans " hards " que j'organise pour Ric, tout est maitrisé. Il me propose même de régler l'achat du bijou. Ric me demande alors de mettre une tête de bison. Ça lui correspond bien : épaules larges et hanches étroites !
Ma sculpture nous est livrée après cet épisode. Je prends mon vendredi pour assister à la pose. Alban est arrivé en fin de matiné. Il apprécie le court trajet, gare - blockhaus, dans la 300SLS. L'aspect extérieur de la " maison " le surprend un peu, surtout les successions de meurtrières. Je lui fais la visite guidée en laissant les commodités du rez de chaussé de coté. Le premier dédié au taf, le second au sport. Là, il trouve l'idée de séparer la salle de muscu de la piscine par les sanitaires très intelligente. Nous parcourons rapidement le troisième dévolu à la nuit pour débouler au dernier étage. Là, il est bluffé par l'aménagement des 200m². La cuisine sous la piscine de la terrasse le surprend, surtout l'éclairage que le filtre de l'eau diffuse dans la pièce par le coté vitré. Il capte de suite l'oeuvre de Moitié et applaudit aux versions " en chairs " projetées à ses cotés. Et, comme les diaporamas défilent, je vois son pantalon se déformer sous la pression interne, en proportion du degré " sexe " croissant des poses.
Ammed, qui vient nous servir le café, est déshabillé du regard (ce n'est pas trop difficile vu qu'il ne porte qu'un simple boxer en cuir comme d'habitude).
Après le café, je l'emmène sur la terrasse où un socle en béton à été coulé pour recevoir sa sculpture. Il admire la verrière et s'inquiète de son ouverture. Une petite démonstration le rassure. Alban s'inquiète de son oeuvre et téléphone au transporteur pour savoir où en est le camion. Je le rassure aussi et lui dit que tout est prévu pour 15h, le camion de livraison et la grue télescopique. PH nous rejoint pour déjeuner. Le camion et la grue arrivent quasiment en même temps. Alban discute avec le grutyier alors que nous le faisons monter, avec son collègue, sur la terrasse. Ils rassurent Alban et lui dit que c'est un travail facile. Une heure plus tard la sculpture occupait le centre de notre jardin suspendu et le toit était refermé.je suis trop content du résultat. Alban a profité qu'il y avait un rayon de soleil pour choisir l'orientation idéale. Quand PH revient de ses cours de l'après midi, il peut admirer à son tour l'oeuvre d'Alban en place. Je prends quelques photos et les envoie à Marc. Réponse par retour pour nous féliciter de notre choix.
Pour nous remettre de toutes ses émotions, je propose un passage dans la piscine du second (il y fait beaucoup plus chaud !). Je prête un maillot à Alban qu'il a du mal à enfiler vu la gaule qu'il a.
Il admire au passage le bijou accroché à mon téton. En deux mots je lui explique que le sien en a été l'inspiration. Il trouve l'idée des découpes du disque intéressantes et bien réalisées. Du coup son propre disque inox en étoile fait un peu cheap.
Nous barbotons dans l'eau chaude et ça dégénère ! Les maillots volent sur les rebords et tous els trois nous nous frottons, roulons des pelles... bref, nous nous mettons en condition. Une fois bien excités, je propose la salle de muscu pour continuer nos " attouchements ". Le tatami central accueil nos ébats. PH rappelle que c'est son tour de gouter à la bite d'Alban dans son cul. Je le prépare à grand renfort de coups de langue et de salive. Mon amour s'ouvre bien, impatient de tester les 21cm x 6 de notre artiste.
Alban se kpote et profite que je fasse sniffer du poppers à mon H pour l'enfiler d'une traite. PH se cabre sous l'assaut mais apprécie son coté impératif. Je les laisse trouver leur rythme puis entre a mon tour dans la danse. Ma bite kpotée, je me place derrière Alban et je profite qu'il soit bien au fond de PH pour l'enculer à mon tour. Je suis entré assez facilement même si je sens bien la compression de son anneau et les parois de son boyau. Je pose mes mains sur ses épauler et vérifie par un bon coup de rein que mes 20cm y sont bien tous rentrés. Alban souffle un peu sous ma prise un peu brutale mais m'assure qu'il a bien apprécié. PH et moi laissons Alban trouver la bionne distance entre nos deux corps afin qu'il puisse profiter au maximum de la rondelle de PH et de ma queue. Son anneau est bien musclé et il me masse sans discontinuer ma hampe. Chaque va et vient m''approche un peu plus de l'orgasme. Pendant un bon moment ne sortent de nos bouches que des gémissements de plaisir. Je me retiens et sors de lui au dernier moment pour juter sur son dos. Il fait de même sur PH. J'ai juste le temps de prendre son gland en bouche et mon amour me gave de son bon jus que nous partageons ensuite par une bonne et longue pelle. Comme nous sommes étalés à reprendre nos esprits, Ammed arrive avec de quoi nous essuyer. Puis direction les douches et retour à la piscine. Nous discutons tout en barbotant. Alban nous dit que nous sommes les premiers clients d'une de ses grosses oeuvres. Je lui dis qu'il doit être prêt à en sortir d'autres car je pense que certains de nos amis seront intéressés après avoir vu la notre. Il me dit que le patron de Kev avait déjà passé commande d'une sculpture de grande dimension pour le hall de sa société et avait acquis une plus petite à la galerie de Bo-gosse.
Nous discutons aussi du WE à venir. Il me rappelle la promesse d'une touze provinciale. Je lui dis de garder le provincial pour lui et le prévient que mon homme a moi rentre ce soir de voyage et que demain il verra ce que la province peut offrir.
Je laisse Alban avec PH le temps d'aller chercher Marc à l'aéroport. S'il a enlevé la cravate, il est encore en costume trois pièces. Je le vois sortir des couloirs, Dieu qu'il est beau ! Je me fous de l'entourage et lui saute au cou. Nous nous roulons une pelle d'affamés. C'est à peine si j'entends un " veinard " d'un type passant à coté de nous. Quand nous arrivons à nous décoller, je fais un 380° et remarque que, si certains me font un clin d'oeil, d'autres expriment silencieusement leur désapprobation. Alors que nous partons, le bras de Marc sur mon épaule et un des miens sur ses reins, nous nous faisons interpeller par une charmante petite vielle aux cheveux blancs qui pose sa main du mon bras et nous félicite d'être aussi heureux. Elle est si gentille que je lui fais une bise.
A notre arrivé au blockhaus, PH saute dans les bras de Marc et, aussi content que moi tout à l'heure, lui roule une pelle. J'attends qu'il ait fini pour présenter Alban. Mais tout d'abord Marc veut se changer. Je l'accompagne à notre chambre. Dès qu'il est nu, je me jette sur sa queue et me l'enfile dans la gorge. Trop bonne ! Je me fais traiter d'obsédé mais la raideur qui se développe sur ma langue me démontre que je ne suis pas le seul. Comme si j'étais en manque, je défais les boutons de mon jeans et le baisse sous mes fesses. Marc crache sur ses doigts et m'en care deux dans le cul. Un peu brutal mais trop bon. Il me tourne rapidement et m'enfile ses 22cm. Putain que j'aime cette queue et le mec qui la porte ! A 4 pattes je me fais saillir et j'aime trop ça. Je ferme les yeux et me concentre sur mon anus. Je joue de mon anneau pour sentir la moindre aspérité de sa hampe et le renflement de la couronne de son gland. Marc apprécie la pression en continu qui s'exerce sur sa bite et me le fait savoir en me traitant de salope. Ça me motive encore plus et c'est moi qui prends en compte le limage. Je le plaque sur le lit et vient le chevaucher. Je maitrise le rythme et la profondeur. J'alterne de grands limages sur toute la longueur de sa queue avec un emprisonnement spécifique de son gland que je masse avec ma rondelle. Mon regard rivé dans le sien, je fais monter la pression et quand je sens les premières giclées dans mon ventre, je jute à mon tour.
Un rapide passage sous la douche et nous rejoignons les autres. Remarque de PH comme quoi mettre 3/4 d'heure pour juste se changer c'était un peu long. Avec un grand sourire, je lui dis que quand j'avais vu mon Marc nu, je n'avais pu résister à me faire enculer par sa grosse bite. PH rit surtout de la tête que fait Alban à ma sortie.
Ensemble nous montons sur la terrasse pour faire admirer l'oeuvre. Marc est ravi de notre choix et félicite l'artiste. Il lui demande s'il l'a réalisée d'après modèles. Alban confirme tout en ajoutant qu'il avait extrapolé car ils n'étaient pas aussi musclés. Je vois Marc cogiter puis il lui demande s'il pouvait sculpter une cariatide dont on ferait un tirage de plusieurs exemplaires pour intégrer au blockhaus. Nous redescendons au salon pour en discuter. Marc nous demande ce que nous pensons d'avoir deux grands mecs, nus, qui, placés de part de d'autre de la cuisine, sembleraient soutenir la piscine. Nous cherchons sur internet des sources d'inspiration. En fait il nous faudrait un mélange d'Atlas soutenant le monde et des cariatides d'Erechthéion. Alban est enthousiasmé par l'idée. Il nous demande un papier et un crayon et croque en quelques traits les idées qui lui passent par la tête et par les nôtres aussi.
Nous lui demandons de garder ce style académique soviétique du type de l'ouvrier surplombant le pavillon soviétique de l'expo universelle de 1937 mais sans la salopette.
Il prend aussitôt les mesures et s'inquiète quand même un peu car il n'a encore jamais réalisé d'oeuvre aussi grande. Un mec de 2m80, ça va donner dans la pièce. Du coup il nous propose plutôt de réaliser la cariatide sur socle tout en la gardant dans les 2m.
Marc lui dit que nous lui faisons confiance. Nous passons la soirée à discuter " arts ". Alban trouve très intéressant les versions du tableau de Moitié réalisées par nos amis et leurs développements hard. PH propose que nous fassions de même avec sa sculpture et de nous photographier en couple dans la même position. L'idée nous séduit tous. Alban demande un exemplaire des photos pour son dossier personnel.
Nous laissons Alban dormir seul. PH et moi sommes trop content de retrouver notre Marc pour le partager dès le premier soir.
Jardinier
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Art collector bought 2 sculptures to put in his park
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visitors to Art park
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theatre improvisation
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ozkar-krapo · 1 month
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Classe de Fernand ERNULT / Classe de Jacques BAUD
"ICEM n°3 : La Vie / Comment nous sommes nés"
(7"EP. Les Disques ICEM-CEL. 1970) [FR]
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melodyalexpatrick · 10 months
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etiennedaho · 1 year
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LETTRE A JANE B.
Ma Jane
Grace à ton talent, ton élégante beauté libre, ton humour piquant, macabre et britannique, tu as accompagné nos adolescences moroses. Nous voulions être toi, ou Serge, ou Françoise, ou Jacques. Des lumières dans la nuit. La vie a fait que nous nous sommes rencontrés, aimés et que je suis vite devenu un « ami de la famille ».
J’ai aimé ta voix unique, haut perchée et si singulière, ton écriture libre, poétique et culottée, tes engagements. Toujours honnête. Toujours légère. Toujours trop modeste et généreuse, attribuant tes réussites aux autres. Toujours.
Peut-être que certaines personnes, qui préfèreraient te ranger définitivement dans un rôle de muse charmante, réaliseront enfin que tu es une artiste complète à la curiosité en alerte. Qui aurait pu réaliser ton film « Boxes » ou écrire ta pièce « Oh Pardon tu dormais »? Incarner Johnny Jane dans le film « Je t’aime moi non plus » ou « La fausse suivante » dirigée par Chéreau?
Il y a trois ans, Jean-Louis Piérot, toi et moi, avons constitué une armée à 3, pour réaliser ton dernier album qui a été un moment de grâce. Bluffés que nous étions par tes textes, nous avons accompagné ce chapitre de ta vie sur disque et sur scène. Défiant toutes les lois de la médecine, guerrière devant l’éternel, tu as surmonté tes souffrances, sans une plainte et avec le sourire, pour remporter chaque soir de triomphales victoires, devant un public ému aux larmes. Une leçon. Il y a quelques jours tu me disais vouloir remonter sur scène et repartir sur les routes. Refaire cet Olympia que tu avais du reporter. Confiante en l’avenir.
Tu vas retrouver tes parents, Kate, Serge, tes amis et tes chiens. Et tu vas terriblement nous manquer. Amour. Ton Daho
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alioversus · 6 months
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Between The Lines
Innocent But Guilty | Lotophagus Records | 2024
1. Tu parles d’une structure souterraine, c’est cheminées fumantes à tout bout de champ… C’est mécanique ou naturel, tu penses ? Aucune trace de vie extraterrestre. Et ces espèces de papillons ou de mites ? De là à envisager des créatures douées d’intelligence… Quelque chose suinte le long de la pierre, non ? Murmures soudains… Elle se fige, elle se retourne et elle voit les rouages — tandis que les pipes expulsent par petits jets un liquide visqueux et bouillant. Rapide coup d’œil sur le manomètre. La configuration demeure stable. Mais les murmures se poursuivent, implacables. Dans la cavité suivante, ils découvrent un tourne-disque relié à une grande génératrice dégueulant de câbles. Ça craint… Et au fur et à mesure qu’ils avancent, se répète la même courte séquence. À chaque itération, les parois semblent se mouvoir légèrement. Bientôt place à leur seul grondement… Une porte s’ouvre en contrebas, près d’une flaque… De pétrole ? Ou de métal en fusion ?
2. Derrière, une salle aux murs parfaitement rectilignes se déploie comme une cathédrale. Ils entrent prudemment. C’est très haut de plafond. La surface s’irise chaque fois qu’ils la regardent. Sanctuaire ? Il semblerait bien. Au centre de ce cube, un autre cube beaucoup plus petit, à dimension humaine… Magnétisme puissance deux, dit-elle. Elle s’en approche un peu. Une lumière trouble semble filtrer par le renfoncement léger des arêtes. Radioactivité ? Négligeable. Le silence s’est fait dans la salle précédente, sans même qu’ils s’en rendent compte. 
3. Puis la sirène retentit, mais ce n’est pas une alerte. Une brume rosâtre pénètre de chaque côté de la salle, elle recouvre bientôt toute la surface, s’élève jusqu’à leur taille… Ils s’apprêtent à rebrousser chemin quand soudain, sept danseuses émergent des vapeurs, paumes jointes sous le menton, la tête balançant gracieusement. J’ouvre les yeux à cet instant. Il est encore tôt le matin, il fait déjà très chaud. Je sors du lit, ouvre les rideaux. Je regarde couler le Gange, derrière l’improbable imbrication de maisons à demi croulantes.
4. Ça circule déjà dans les ruelles, ça bouchonne, ça bouge, ça se contredit, tranquillement. Au bord du fleuve, devant le temple minable, le vieux doit être encore là, à méditer, et à attendre mon argent. 
5. Ils me font bien rire avec la technologie occidentale. Le vieux sait autrement capter le signal. J’étais ivre et je voulais le photographier avec mon téléphone portable. Il a souri, j’ai cru qu’il posait. Puis j’ai vu des triangles tout autour de sa bouche édentée, des pétales de lotus formant comme une ronde autour de sa joie. J’ai renoncé à mon projet. Je lui ai donné cent roupies quand même. 
6. Les autres touristes ne se lassent pas de jouer leur rôle, de s’émerveiller, de s’agglutiner, de se faire arnaquer. Notamment là, quand on fait brûler un corps, quand on chante, quand on se réjouit si étrangement. J’ai déjà vu ça mille fois. Ça ne m’empêche pas de trouver ça fascinant, et de me faire harceler par des mendiants. Tiens, ces filles ressemblent aux danseuses de mon rêve. Pourquoi ne pas les suivre puisqu’elles me le demandent ?
7. Elles m’ont mené jusqu’à un bâtiment aux murs lézardés. Un cadavre de chien gisait devant la porte. Elles l’ont enjambé. J’aurais mieux fait de changer d'avis, j’aurais mieux fait de repartir. Maintenant je me trouve face à cette grand-mère, toute recroquevillée dans le silence et dans son sari. Grand esprit, grand esprit ! Qu’est-ce que c’est que ces conneries ? On me fait asseoir devant la vieille. Elle m’observe avec ses yeux blanchis. Elle ne marmonne même pas. Je veux m'en aller. C’est bon, j’ai compris, prenez toutes mes roupies… Mais je reste comme englué, je n’arrive pas à détourner mon regard. J’ai l’impression d’être visité. J’ai l’impression de me déporter — à l’intérieur de la vieillarde. 
8. Soudain, c’est la fête. Ils s’agitent et se dandinent autour de nous, joueurs de sitar, mères se déhanchant en portant leur bébé, chanteurs à moustache, enfants espiègles, fakirs et vaches (vraiment ?) et une grand mec à turban avec des lunettes de soleil et un goitre de bourgeois. C’est charmant, et pourtant je sens qu’ils se moquent tous de moi. 
9. Ils reprennent conscience par terre, dans leurs scaphandres. Quelque chose vibre en-dessous d’eux. Elle bascule sur son séant. Configuration ? Modérément instable. C’était quoi, ça ? Aucune idée. Tout s’est dissipé. Ils décident de rentrer à la base, puis ils remarquent, posé sur le cube, une sorte de bol en étain. Il contient une crème mousseuse d’une couleur verdâtre. Elle prélève un échantillon. Elle observe la bulle qui remonte le long du flacon. Qu'est-ce que c'est que cette substance ? Un champignon ? Les autres froncent les sourcils avec appréhension. Vous me mettrez en quarantaine, dit-elle, le temps que j'aie fait toutes les analyses. Si ce n'est pas innocent, j'en assumerai les pleines conséquences. Ils restent indécis et méfiants. Elle s'impatiente. Cessez de me rendre coupable de ma mission ! 
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pauline-lewis · 4 months
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La première fois que j'ai entendu une chanson d'Amen Dunes, j'étais assise à mon bureau, le casque sur les oreilles. J'écoutais, indifférente, une playlist de recommandations en random. La musique peut me donner, occasionnellement, l'impression très intense de tomber amoureuse. C'est ce qui s'est passé la première fois que Sixteen a voyagé de mon oreille droite à mon oreille gauche. Cette chanson a coulé dans mes veines jusqu'à mon cœur, un aller simple sans retour possible. Et justement, le disque sur lequel se trouvait cette chanson s'appelait — ça ne s'invente pas — Love.
J'ai immédiatement tout aimé de ce disque — sa pochette bleue, chacun de ses titres (qui ruissellent les uns dans les autres sans effort), son ambiance cotonneuse et la voix sublime et bizarre (car dans mon cœur, ces deux notions se tiennent la main) de Damon McMahon. J'ai aimé sa façon de chanter les mots de la langue anglaise comme s'il les ré-inventait au fur et à mesure, comme s'il les coulait dans un nouveau moule plus étrange. Il me faisait entendre une nouvelle poésie, celle d'un monde que je n'avais pas encore découvert. J'ai adoré tout autant Freedom, en 2018, disque qui m'a permis de le voir sur scène, de fermer les yeux en écoutant sa voix, de basculer la tête en arrière et d'être enveloppée dans le son. Il y avait cette chanson qui parlait d'un surfeur et qui me faisait penser à ce moment, l'été, quand on s'immerge d'un coup dans l'océan glacé.       Rien ne m'apporte autant de joies que les amours qui durent. Death Jokes, sorti il y a quelques jours, prolonge cette passion-là. La même voix mystérieuse, qui s'entrechoque contre les parois de mon cœur, la même alchimie mystérieuse qui fait que cette musique me rencontre et me trouve. Ce nouveau disque est peut-être, à mes yeux, encore plus ample et beau que le précédent, plus profond. C'est un disque pour maintenant, pour un monde douloureux et difficile. Je repars à la découverte de cette langue si particulière avec les larmes au coin des yeux. Larmes de joie de le retrouver, larmes de tristesse puisque sa musique est avant tout là pour nous déchiqueter le cœur en petits morceaux.
Somewhere, in the middle of it all.
Amen Dunes, Death Jokes (Sub Pop)
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kilfeur · 9 months
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Mon avis sur le disque Indigo (My opinion about Indigo Disk)
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Alors il y a beaucoup de choses sur ce dlc. Déjà j'ai aimé le fait que la difficulté soit de retour ! Ça a toujours l'une des plaintes concernant la saga Pokémon, c'est que c'était devenu trop simple les combats. Là on a des combats duo avec des dresseurs qui utilisent les objets. Je vous jure quand j'ai dû affronter le conseil 4, j'ai galéré en particulier avec Irido. Il me restait que deux pokémons encore actif, les autres étaient tous k.o. Donc c'était assez plaisant et perturbant de retrouver de la difficulté.
Le conseil 4 est assez sympa, ma préféré c'est Nérisse vu son lien avec Roseille et qu'elle semble s'inquiéter pour Roseille mais aussi Kassis. Irido est assez attachant bien qu'au final il nous utilisait un peu pour vaincre Kassis car ce dernier mettait une mauvaise ambiance à cause de son attitude. Quand à Roseille, elle est toujours fidèle à elle même, mais je la trouve moins agressive que dans la première partie. Là on voit que les erreurs ont été apprises dans la première partie et qu'elle nous apprécie. Certains se demanderont pourquoi Roseille n'essaie pas de parler à son frère ? Et vous vous rappelez quand on a voulu s'inscrire ? Roseille a essayé de lui parler mais Kassis lui a répondu de fermer sa gueule ! Donc ouais, il était pas enclin à écouter sa soeur même si Roseille essayait. Et il semblait écouter personne d'autre ! Le seul qui semble vouloir nous écouter c'est nous ! Car on est la cause de son obsession !
Quand à Kassis, parlons en de ce gosse ! Déjà le fait qu'il a changé du tout au tout, s'entraînant d'arrache pied pour nous vaincre. Car oui devenir plus fort et nous vaincre, c'est devenue une obsession. Et de l'autre je peux comprendre que certains s'inquiètent pour lui. Et c'était le cas pour moi aussi au début puis quand j'ai appris que son comportement toxique causait des problèmes aux autres. Je me suis dit qu'il fallait que je lui botte le cul ! Son attitude et ses agissements causent des problèmes à lui même mais aussi aux autres. Depuis qu'il est devenu le maître de la ligue, il faisait n'importe quoi. L'ambiance n'était pas bonne comme pouvait le dire certains membres du conseil 4 voir même certains npc !
Donc ouais Kassis n'est pas qu'une victime dans cette histoire ! Bien qu'au final, il arrive pas à nous vaincre lors de l'affrontement final ! Il ne comprend pas pourquoi ! Tout cet entraînement acharné ! Tout ça pour rien ? Sans compter qu'Irido qui remue le couteau dans la plaie. Après je pense qu'il a agit ainsi à cause de ce qui s'est passé au club. Il lui en a probablement voulu et c'est pour ça qu'il lui a parlé ainsi. Je dis pas que ça l'excuse pour autant mais de l'autre. Je peux comprendre d'ailleurs même lui il se rend compte qu'il aurait pas dû faire ça à ce moment là ! Et qu'il s'est juste laisser porter par les évènements !
Sans compter que lors de l'expédition à la zone zéro, on retrouve l'ancien Kassis qu'on connaît par des dialogues. Surtout que lorsqu'il essaie d'arracher le cristal de Terrapagos, ça lui permet de vider son sac sur ce qu'il ressent. Et je pense que ça lui a fait du bien ! On a beau l'avoir vaincu, il veut nous affronter avec Terapagos mais une fois la cristallisation de ce dernier. Il se rend compte qu'il a merdé et n'ose pas nous aider alors qu'on est seule à affronter Terapagos ! C'est quand on lui demande de l'aide que cette fois ci, il vient nous prêter main forte pour affronter et capturer Terapagos. Bien que j'étais en colère contre Bria, elle a été irresponsable avec son expérience ! Je vous jure, y a des baffes qui se perdent ! Une fois de retour à l'institut, Kassis se rend compte qu'il a merdé mais qu'il compte se racheter et souhaite qu'on redevienne amis ! Donc ouais on est de nouveau pote avec Kassis, tant mieux car je l'aime beaucoup ce gosse !
Donc au final, j'ai pas mal aimé ce dlc, je pensais pas autant m'amuser mais faut dire qu'avec les références à la Gen5, je suis un peu biaisé
So there are a lot of things about this dlc. First of all, I like the fact that the difficulty is back! One of the complaints about the Pokémon saga has always been that battles have become too simple. Now we've got duo battles with trainers using items. I swear, when I had to face Council 4, I had a hard time, especially with Drayton. I only had two pokémons still active, the others were all knocked out. So it was quite pleasant and disturbing to find difficulty again.
Council 4 is quite nice, but my favorite is Amarys given her bond with Carmine and the fact that she seems to care about Carmine but also about Kieran. Drayton is quite endearing, although in the end he used us a little to defeat Kieran, who was creating a bad atmosphere because of his attitude in the club. As for Carmine, she's still true to herself, but I find her less aggressive than in the first part. Now we can see that she's learned from her mistakes in the first part and appreciates us.
Some may wonder why Carmine doesn't try to talk to her brother? Remember when we wanted to sign up to fight the Council 4 ? Carmine tried to talk to him, but Kieran told her to shut up! So yeah, he wasn't inclined to listen to his sister even if she tried. And he didn't seem to listen to anyone else! The only one who seems to want to listen to us is us! Because we're the cause of his obsession!
As for Kieran, let's talk about that kid! First of all, he's changed completely, training hard to beat us. Yes, getting stronger and beating us has become an obsession. And on the other, I can understand why some people worry about him. And so was I in the beginning, then when I learned that his toxic behavior was causing problems for others. I told myself I had to kick his ass! His attitude and actions are causing problems for himself and others. Ever since he became master of the league, he'd do anything. The atmosphere wasn't good, as some members of council 4 and even some npc members could tell!
So yeah, Kassis isn't just a victim in this story! Although, in the end, he doesn't manage to defeat us in the final confrontation! He doesn't understand why! All that hard training! All for nothing? Not to mention Drayton stirring the pot. After that, I think he acted the way he did because of what happened at the club. He was probably angry with him and that's why he spoke to him like that. I'm not saying that excuses it, but I can understand that even he realizes that he shouldn't have done that at the time! And that he just let himself be carried away by events!
Not to mention the fact that the expedition to Area Zero reunites us with the old Kieran, whom we know from dialogue. Especially when he's trying to get the Terrapagos crystal, it gives him a chance to vent his feelings. And I think that did him good! Even though we've beaten him again, he wants to confront us with Terapagos, but only once it's crystallized. He realizes he's screwed up and doesn't dare help us, even though we're the only ones facing Terapagos! It's when we ask him for help that this time he comes to our aid to confront and capture Terapagos. As angry as I was with Bria, she was irresponsible with her experience! I swear, there are some slaps that get lost! Back at the institute, Kieran realizes that he screwed up, but that he wants to make up for it and wants to be friends again! So yeah, we're buddies with Kieran again, and that's good, because I really like that kid!
So in the end, I really enjoyed this dlc, I didn't think I'd have so much fun, but I must say that with the Gen5 references, I'm a bit biased.
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papillondusoir · 5 months
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brigitte fontaine pipeau
… L'amour, l'amour, l'amour Toujours le vieux discours Soit divin, soit humain, Idem le baratin Jusque dans les vécés J'en peux plus par pitié Faudrait changer de disque Entreprises à haut risques Les curés en chaleur Les idoles en pleurs Les mémés les plus louches N'ont que ça à la bouche Oh de grâce arrêtez de vous badigeonner De cette pub idiote J'en ai plein la culotte L'amour c'est du pipeau C'est bon pour les gogos L'amour c'est du pipeau C'est bon pour les gogos Bardes dégoulinants Scribouillards pleurnichant Délicats militaires Epargnez nous vos glaires Venus ô statue creuse Mets-la donc en veilleuse Va t'faire voir chez les grecs, Les anthropopithèques L'amour c'est du pipeau C'est bon pour les gogos L'amour c'est du pipeau C'est bon pour les gogos L'amour, l'amour, l'amour Toujours le vieux discours Soit divin soit humain Idem le baratin Venus ô statue creuse Mets-la donc en veilleuse Va t'faire voir chez les grecs, Les anthropopithèquesSource : MusixmatchParoliers : Brigitte Fontaine / Areski Belkacem
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llzrabin · 10 months
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The Kills, jeu dévoué
La série de photographies intitulée Dogs Chasing My Car in the Desert, réalisée entre 1996 et 1998 par l'artiste américain John Divola, capture l'instant pendant lequel des chiens poursuivent sa voiture lancée à pleine vitesse sur une route désertique de la Californie du Sud. Toute la puissance existentielle de cette série tient précisément dans la fugacité du moment saisi, celui où le chien atteint la fenêtre du conducteur pour capter son regard, dans l'espoir vain de rattraper la voiture. À propos de ces photographies, John Divola déclare : « Contempler un chien poursuivant une voiture invite à de nombreuses métaphores et juxtapositions : la culture et la nature, le domestique et le sauvage, l'amour et la haine, la joie et la peur, l'héroïsme et l'idiotie. Ici, nous avons deux vecteurs et deux vitesses, celle d'un chien et celle d'une voiture et, étant donné qu'un appareil photo ne capturera jamais la réalité et qu'un chien n'attrapera jamais une voiture, c'est la preuve d'une dévotion à une entreprise sans espoir. »
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John Divola, D05F23 de la série Dogs Chasing My Car in the Desert, 1996-1998.
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John Divola, D10F15 de la série Dogs Chasing My Car in the Desert, 1996-1998.
The Kills ont toujours fonctionné en double et en antagonisme. Alison Mosshart et Jamie Hince sont les deux faces d'une même pièce. C'est la tension entre l'isolement et le désir qui est leur moteur de création. La juxtaposition des opposés – domestique et sauvage, héroïsme et idiotie, joie et peur – est manifeste jusque sur la pochette de God Games, où matador et taureau s'affrontent.
À l'écoute de ce disque, le temps passe à une vitesse folle. C'est le temps d'un regard à 130 km/h derrière soi pour y apercevoir un animal à bout de souffle. Non pas parce que ses chansons sont courtes, mais parce qu'il n'y a rien d'aussi immédiatement obsédant que dans Keep On Your Mean Side, No Wow, Midnight Boom, ou même Blood Pressures et Ash & Ice (qui s'essoufflait déjà parfois). Bien sûr, les premiers morceaux des Kills visaient plus juste par leur proximité avec l'ethos DIY, un beat rustique sur une boîte à rythmes bâtarde, un riff à la manière d'un bluesman aveugle, des paroles crachées avec droiture et l'urgence punk dans la voix. Écouter Keep On Your Mean Side, c'est comme lire un fanzine trouvé à prix libre dans une cave où joue un concert de garage rock en 1997 : Xerox ou 4-pistes, même combat.
L'album God Games, lui, fait plutôt l'effet de séquences de films contemplatifs, se voulant artistiques et en marge des tendances, mais avec un très bon budget alloué au montage. Ce qu'il y gagne en production, il le perd en expressivité personnelle et en saleté sincère. Dans un paradoxe un peu fâcheux, les premiers singles révélés cet été, New York, LA Hex et 103, distillaient jusqu'au gimmick toute la substance de leur univers garage et indie rock, sans produire cet effet accrocheur des anciens tubes. Il y a ici de bonnes idées et quelques fulgurances mais, à rebours du récit promotionnel vendu par le label et le groupe lui-même dans les nombreuses interviews récemment données à la presse, qui promet un changement de son, une liberté absolue et une approche expérimentale de la composition, il est intéressant de constater que les meilleurs morceaux de l'album – j'entends par là, les plus réussis soniquement, ceux dans lesquels on entend l'aisance technique, la facilité de l'habitude – sont ceux qui sonnent comme leurs précédents morceaux.
En cela, la deuxième partie de l'album, de Wasterpiece à Better Days, se réécoute avec plaisir, rappelant les beaux jours de Ash & Ice. Et les chœurs gospel de LA Hex sont une réminiscence des chœurs de Satellite. Mais les synthés, les orgues et le mellotron, ce clavier polyphonique vintage, étaient aussi déjà en usage dans Blood Pressures. Quant aux paroles d'amour-haine, poèmes haletants où tendresse et violence se confondent, histoires d'amours et d'errances qui puent l'essence, elles ont toujours été la pulsation de leur son. Difficile de comprendre en toute bonne foi où se situe le potentiel infini de possibilités musicales dans le processus d'écriture de ce nouvel album, dont le duo parlent pourtant régulièrement. Et la ligne entre référence et paresse de se troubler progressivement. L'adage des Kills, incandescents, qui est de ne jamais regarder en arrière, sonne faux.
Il est des groupes qui mettent des années à trouver leur son, ou bien des artistes dont la signature est justement l'identité caméléon, toujours en mouvement. The Kills, quant à eux, ont trouvé leur signature sonore dès leur rencontre en 2001, scellée par le pacte de ne plus jamais se quitter et de se consumer ensemble par la musique.
Je n'ose pas parler de confort, pourtant il y a toujours eu un peu de cela dans leur musique. C'est d'ailleurs bien ce qui a contribué à créer la formule magique du duo : le confort musical de ce « vieux couple marié » (ce sont les mots de Jamie Hince), c'est la complicité évidente, totale et fusionnelle dès les débuts, alors qu'Alison et Jamie se connaissaient à peine.
Alors, maintenant, quoi ?
Dans la langue anglaise, le proverbe 'to be like a dog that caught the car' désigne quelqu'un ayant atteint son but et ne sachant pas quoi faire de cette victoire. C'est une course vide de sens : le chien n'est pas censé rattraper la voiture. Cette « dévotion à une entreprise sans espoir » dont parle John Divola, c'est peut-être ce qui constitue le moteur créatif des musicien.ne.s, ce point de fuite imaginaire destiné à aider un groupe à construire son œuvre en perspective. Pour mieux s'en affranchir ensuite.
Il me semble que la musique des Kills en 2003 contenait infiniment plus de matière expérimentale et de liberté de création que celle de 2023 engluée dans sa narration de fausse naïveté magique. Comme s'il n'y avait plus rien à raconter au monde. Que faire quand on a déjà atteint la voiture vingt ans plus tôt ? Admettre de ne pas avoir su se renouveler n'est pas gage d'agonie, ce n'est même pas une faute. The Kills peuvent bien poursuivre leurs aventures de rock crade-classe, d'élégance musclée et arty bien à eux (d'aucuns parlent de posture, je ne suis pas de ceux-là, je crois leurs origines punk sincères), leur avenir y est faste. Il n'est pas besoin de maquiller ses intentions, ses faiblesses ou sa constance derrière une légende marketée quand la musique leur colle autant à l'âme.
Originally written for Dans Ta Face B, November 2023.
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