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#Sculpteurs de la Forme
newestcool · 1 year
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Balenciaga Couture Archive of Azzedine Alaïa ''Sculpteurs de la Forme'' at Galerie Azzedine Alaïa, Paris Photographer Stéphanie Aït Ouarab   Newest Cool on Instagram
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fashionbooksmilano · 8 months
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Cartier Royal
Haute Joaillerie et Objets Précieux
François Chaille
Flammarion, Paris 2014, 260 pages, 29x34 cm, ISBN 978-2081341951
euro 95,00
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Il est des pierres si belles, vibrantes et lumineuses qu'on se demande s'il ne s'agit pas d'un objet céleste tombé sur Terre par miracle... Dans la collection de pierres et de joyaux que Cartier présente à la XXVIIe Biennale de Paris, en septembre 2014, nombreuses sont les gemmes donnant cette impression, comme ce fabuleux diamant d'un poids de 30,21 carats, de taille brillant et de forme poire. Exceptionnels diamants, saphirs, rubis, émeraudes, forment ici une prodigieuse constellation digne des pierres de légende que Cartier, le "joaillier des rois", a serties tout au long de son Histoirepour les grands de ce monde : monarques des plus grandes dynasties, industriels ou financiers, artistes célèbres, stars internationales... Gemmes de qualité rarissime, perles à l'orient magique, pierres fines très précieuses composent une collection de joyaux uniques où s'inventent de nouveaux mondes, où s'incarnent des rêves de sculpteurs, où se dessinent d'envoûtantes vibrations.
25/08/23
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On commence ici à partir de la forêt des captifs chapitre 2 !
- Apparemment les formes de dance sur terre intéressent particulièrement les professeurs de l'académie. Ça me fait penser aux Gil'Sayan qui voulaient découvrir la politique de notre monde...c'est sympa la danse mais j'ai l'impression qu'ils ont des lacunes plus grave dans d'autres domaines.
- "Bjorn, dont la vie était rythmée par d’éternelles quêtes romantiques" hein quoi 🥲 (réaction originelle en m'imaginant Bjorn en serial dragueur). Apparemment il drague la mère d'Ewilan à l'ancienne (chevalier servant).
- Intéressant passage : le sculpteur de branche, qui laisse apercevoir d'autres pouvoir accessibles aux Alaviriens qui n'ont apparemment rien à voir avec l'art du dessin. Ça aura quelque résonance avec d'autres événements plus tard...(perso : il s'agit peut-être d'une évolution différentes des pouvoirs des dessinateurs ou d'une autre des sept familles ; ou un pouvoir juste propre à ce monde).
- Bon avec l'ouverture glauque de ce tome et maintenant le meurtre d'un pauvre type bourré qui va finir dans le ventre de son tueur qu'on aille pas me dire que Bottero est pas un peu dark parfois.
- Maniel a de l'humour
- Ah mince j'avais oublié qu'ils sont quand même recherchés par la police 😬
- D'ailleurs je le remarque maintenant mais Camille est bien et bel Ewilan dans la narration maintenant qu'elle s'est installée de manière permanente chez ses parents dans leur appartement de luxe à Al-Jeit.
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havaforever · 5 months
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ANTONY GORMLEY - Au Musée Rodin
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« Critical Mass », méditation sur la Chute, est la première exposition dédiée à Antony Gormley dans un musée national français. Ses sculptures, véritable « fabrique de l’étrange », dialoguent avec celles d’Auguste Rodin, dans et hors les murs de l’hôtel de Biron.
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C’est une des installations les plus emblématiques du sculpteur Antony Gormley (né à Londres en 1950) qui donne son nom à l’exposition présentée au musée Rodin à Paris juqu’au 3 mars 2024. Composée d’une soixantaine de corps moulés disposés au sol, suspendus ou en lévitation, Critical Mass (1995) constitue en effet le cœur du parcours conçu comme un véritable dialogue entre l’artiste britannique et l’auteur de la célèbre Porte de l’Enfer. Gormley investit non seulement la salle d’expositions temporaires, mais aussi les collections permanentes, la galerie des marbres, le cabinet d’arts graphiques et le jardin.
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Une enfilade de personnages accueille le visiteur dans la cour du musée Rodin : douze formes corporelles d’abord accroupies, puis recroquevillées au sol qui se redressent progressivement pour atteindre la station debout, figés, les bras serrés le long du corps. Ces personnages, ces hommes « unidimensionnels » comme dirait le philosophe Herbert Marcuse, écrasés par la société industrielle, forment une ligne qui part de la cour pavée de l’hôtel de Biron en direction de l’imposante Porte de l’enfer (1880-1917).
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Cette méditation sur la Chute se poursuit dans la salle d’exposition temporaire abritée dans la chapelle du musée. La salle principale est occupée par un empilement de corps. Certains sont allongés face contre terre ou sur le côté, ou face à un mur. D’autres plus loin, accrochés par des filins, pendent au-dessus du sol par les pieds, menaçant de s’écraser face contre terre. Cette œuvre est « la chose la plus sombre que j’aie jamais faite, […] Un anti monument aux victimes du XXe siècle », souligne l’artiste.
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Original, spectaculaire, ironique, parfois cynique mais surtout troublant. Un moment for d'interrogation, et de remise en question.
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ashley2art · 4 months
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Catalogue d'exposition 2023
Par Ashley Mwalumba Lombaya
Louise Bourgeois, Maman, 1990
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Louise Bourgeois, Maman , 1990 Du haut de ses 10m , elle rapelle la forme d'une araignée. Maman est une oeuvre emblématique de ls placticienne Louise Bourgeois. Son thorax ainsi que son abdomen sont fait dans la majorité des versions en bronze. La sculpture fait hommage a la mère et comprend un sac contenant 26 oeufs en marbre rapellant l'aspect maternelle de l'oeuvre. Elle se distingue des tendances abstraites mises en œuvre par de nomrbeux sculpteurs contemporains : elle choisit de représenter un animal en respectant ses principaux traits anatomiques (huit pattes, aspect général ...).
2. Cecily Brown , The Girl who had everything, 1998
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Cecily Brown, The Girl who had everything, 1998
Brown est parfaitement consciente de la tradition de l’histoire de l’art qui la précède ; en effet, son travail existe comme une collusion esthétique entre les disciplines des maîtres anciens et de l'expressionnisme abstrait. Cette oeuvre se distingue par sa confusion stimulante et ludique des frontières traditionnellement perçues entre l'abstraction et la figuration
3. Jenny Saville, Propped, 1992
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Jenny Saville, Propped, 1992
Inspiré par les écrits de féministes féminines, le travail de la peintre britannique contemporaine Jenny Saville remet depuis longtemps en question le plaisir visuel masculin et hétérosexuel qui, selon Mulvey, doit être démantelé. Dans son oeuvre Propped de 1992, représente son corps nu sur un tabouret phallique. Ses mains agrippent avec force ses cuisses et ses bras rapprochent ses seins. Elle embrasse les imperfections du corps, attirant l'attention sur les imperfections qui sont magnifiées par l'échelle de 7 pieds sur 6 pieds du tableau.
4. Tracey Emin, My Bed, 1998
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Tracey Emin, My Bed, 1998
Tracey Emin a conçu l'installation intitulée My Bed (1998) après une longue période d'alité suite à une mauvaise rupture. Cette oeuvre est spéciale parce à cause de son contenu explicite .Les mouchoirs froissés, des vêtements tachés par les règles, des cigarettes, des bouteilles de vodka vides, un test de grossesse, du lubrifiant et des préservatifs entouraient son lit.
5. Jeff Koon, Balloon Dogs, 1994
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Jeff Koon, Balloon Dogs, 1994
Balloon Dogs est une sculpture monumentale de l'artiste américain Jeff Koons représentant un chien sculpté à partir d'un ballon. Il existe différentes versions de cette sculpture en acier inoxydable. Réalisées entre 1994 et 2000, elles présentent chacune une couleur différente.
6. Antony Gormley, Angel of the North, 1998
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Anthony Gormley, Angel of the North, 1998
L' Ange du Nord est une sculpture contemporaine d' Antony Gormley , située à Gateshead , Tyne and Wear , en Angleterre. Achevée en 1998, elle est considérée comme la plus grande sculpture d' ange au monde et est vue par environ 33 millions de personnes chaque année en raison de sa proximité avec les routes A1 et A167 et la ligne principale de la côte Est . [1] [2] La conception de l'Ange, comme beaucoup d'œuvres de Gormley, est basée sur le propre corps de Gormley. Le matériau en acier patinable COR-TEN donne à la sculpture sa couleur rouillée et oxydée distinctive. Il mesure 20 mètres (66 pieds) de haut et a une envergure de 54 mètres (177 pieds), plus grande que celle d'un Boeing 757 . 
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kxowledge · 2 years
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A côté de l'intelligence il y a la perception immédiate, par chacun de nous, de sa propre activité et des conditions où elle s'exerce. Appelez-la comme vous voudrez ; c'est le sentiment que nous avons d'être créateurs de nos intentions, de nos décisions, de nos actes, et par là de nos habitudes, de notre caractère, de nous-mêmes. Artisans de notre vie, artistes même quand nous le voulons, nous travaillons continuellement à pétrir, avec la matière qui nous est fournie par le passé et le présent, par l'hérédité et les circonstances, une figure unique, neuve, originale, imprévisible comme la forme donnée par le sculpteur à la terre glaise.
Henri Bergson, La Pensée et le Mouvant (1934), p. 102  dans l'édition des Presses Universitaires de France
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sabaneevaldml · 11 months
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La sculpture monumentale en Union soviétique a connu une évolution fascinante de 1959 à 1979. Pendant cette période, les artistes ont été influencés par diverses tendances artistiques et politiques. C'est ce qui a façonné l'art de la sculpture monumentale. Nous allons explorer les influences et les tendances qui ont marqué l'évolution de la sculpture monumentale en URSS de 1959 à 1979. L'évolution des influences artistiques Dans les années 1950, l'art soviétique était dominé par le réalisme socialiste. C'est une forme d'art qui glorifiait le travail et la vie en Union soviétique. Cependant, dans les années 1960, les artistes ont commencé à explorer de nouvelles tendances artistiques. Telles que l'abstraction et le pop art, qui ont influencé la sculpture monumentale. L'abstraction a été introduite en Union soviétique dans les années 1960. Principalement par des artistes tels que Vladimir Nemukhin et Oskar Rabin. Leur influence s'est étendue à la sculpture monumentale, qui a commencé à être caractérisée par des formes géométriques et des motifs abstraits. Les sculptures abstraites étaient souvent réalisées en métal, pierre ou béton, et intégrées à l'architecture des bâtiments publics. Le pop art a également eu un impact sur la sculpture monumentale en URSS de 1959 à 1979. Le mouvement était influencé par la culture populaire et la publicité, et ses artistes ont utilisé des matériaux tels que le plastique, le verre et le néon. Les sculptures pop étaient souvent colorées et avaient des formes audacieuses qui ont inspiré les sculpteurs soviétiques à créer des œuvres plus expressives et dynamiques. L'évolution des influences politiques La sculpture monumentale en URSS de 1959 à 1979 a également été influencée par la politique soviétique de l'époque. Les sculptures ont souvent été utilisées pour promouvoir l'idéologie communiste et glorifier les héros soviétiques. La sculpture monumentale a été utilisée pour commémorer les événements clés de l'histoire soviétique, tels que la Grande Guerre patriotique (la guerre contre l'Allemagne nazie de 1941 à 1945), les réalisations de l'industrie soviétique et l'exploration spatiale. Les sculpteurs ont créé des œuvres qui ont évoqué un sentiment de fierté nationale et ont célébré les réalisations collectives de la société soviétique. L'évolution des tendances de la sculpture monumentale Au cours de cette période, la sculpture monumentale a connu des tendances marquantes. Les sculptures abstraites sont devenues de plus en plus populaires. Notamment dans les espaces publics tels que les parcs et les places. Les sculptures abstraites étaient souvent de grande taille. Cela permettait aux artistes de créer des formes et des motifs audacieux qui attiraient l'attention. L'évolution de la sculpture figurative se montre aussi par le fait qu'elle est également devenue plus expressive pendant cette période. Les sculptures de héros soviétiques, auparavant statiques et conformes au réalisme socialiste, ont commencé à être plus dynamiques et expressives. Et les sculptures de personnages tels que Lénine, Staline et autres héros de l'Union soviétique ont commencé à être représentées dans des positions plus dramatiques et dans des scènes qui représentaient leur rôle dans l'histoire soviétique. Les sculptures cinétiques ont également connu une popularité croissante. Ces sculptures étaient souvent motorisées et pouvaient se déplacer ou changer de forme. Cette tendance a été influencée par l'art cinétique en Europe et en Amérique. Mais aussi, elle a été adaptée pour refléter l'idéologie communiste en URSS. Enfin, les sculpteurs ont commencé à utiliser des matériaux plus modernes. Tels que le plastique, le métal et le béton armé pour créer des sculptures monumentales. Ces matériaux étaient moins coûteux que le bronze ou le marbre. Et ils permettaient aux artistes de créer des œuvres de plus grande taille et plus audacieuses. Conclusion L'évolution de la sculpture monumentale en URSS de 1959 à 1979 a été marquée par des influences artistiques et politiques complexes.
Les sculpteurs ont exploré de nouvelles tendances artistiques.  Telles que l'abstraction et le pop art. Le tout en utilisant la sculpture monumentale pour promouvoir l'idéologie communiste et glorifier les héros soviétiques. Les sculptures abstraites, figuratives, cinétiques et les nouveaux matériaux ont tous contribué à créer une sculpture monumentale dynamique et expressive qui reflétait l'esprit de l'Union soviétique à cette époque.
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focusmonumentum · 2 years
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Le Crazy Horse
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Voici sans conteste le plus célèbre cabaret de Paris ! Antre du glamour et du burlesque, ses spectacles charment et enchantent depuis plus de 70 ans.
En 1951, Alain Bernardin achète les caves d'un immeuble haussmannien, au n°12 de la très chic avenue George V, afin d'ouvrir un saloon d'inspiration "western". Deux ans plus tard, un premier spectacle de strip-tease à l'américaine y est donné. Présentant des nus partiels, les recettes sont alors reversées à la Fondation Abbé Pierre. Chaque soir, le cabaret permet également à des artistes plus traditionnels de s'y représenter, tels que des magiciens, des ventriloques, mais aussi des chanteurs, au rang desquels un certain Charles Aznavour. Le fondateur, également directeur artistique, donne un nom de scène à chaque danseuse, tradition perdurant aujourd'hui. Certaines devinrent célèbres, comme Lova Moor (qui épousa le maître des lieux), Polly Underground (dont le bar du Crazy Horse porte désormais le nom), ou encore Miss Candida et son fameux bain, inspirant Dita Von Teese quelques cinquante ans plus tard... Dans les années 60, les danseuses commencent à être habillées de lumière, dans une scénographie originale reconnue dans le monde entier. La fréquentation se développe avec l'essor du tourisme, puis explose à partir de 1968, suite au premier numéro de nu intégral. De nombreux artistes participent au prestige de ce que les initiés commencent à nommer tout simplement le "Crazy": Dalí crée son canapé en forme de bouche carmine, le sculpteur César réalise son "Sein" en bronze, d'après le moulage d'un sein d’une des danseuses...
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Le succès ne se démentira jamais, attirant au fil des décennies de nombreuses personnalités, d'Elvis Presley à Giscard d'Estaing, dont certaines participeront même parfois au spectacle, comme David Lynch, créant le numéro "Fetish", Christian Louboutin, chaussant depuis 2012 les "Crazy-girls", ou Chantal Thomass, recréant la lingerie des danseuses en 2016... Des "guest-stars" de renom s'y produisent aussi parfois: Pamela Anderson et Arielle Dombasle se donnent en spectacle sur scène, tout comme la comédienne Clotilde Coureau, la mannequin Noémie Lenoir, la chanteuse transgenre Conchita Wurst, ou encore, à plusieurs reprises, une certaine Dita Von Teese... La boucle est bouclée !
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Après 18 mois de fermeture liée au Covid, au cours de laquelle le cabaret a été rénové et réaménagé de fond en comble, le "Crazy" rouvre ses portes, avec nouvelle enseigne à la bouche devenue iconique, hall feutré à la moquette rose, escaliers avec moulages de seins sur les murs, antichambre aux rayures rappellant le saloon d'origine, toilettes pop (avec urinoirs en forme de bouche chez les messieurs), cabine téléphonique mystérieuse... Et bien sûr la salle de spectacle, avec alcôves privatisables et fauteuils pour couples du meilleur aloi, surtout avec un guéridon recevant un seau à champagne griffé "Crazy Horse"!
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Le nouveau spectacle, "Totally Crazy!", alterne les numéros des danseuses (et d'un danseur, tout de même !), avec interludes chantés par l'artiste belge Georges Bangable, en un show ininterrompu d'une heure trente, dans la plus pure tradition du cabaret. On y découvre de véritables morceaux de bravoure, comme ce fameux "But I'm a good girl", créé ici-même par la danseuse et chanteuse Madeleine Harper, ayant inspiré le personnage incarné par Christina Aguilera dans le film Burlesque, sorti en 2010. Au Crazy Horse, le corps féminin trouve son plus bel écrin, les cambrures et les poitrines (critères de sélection des danseuses), sont magnifiquement mis en valeur par des jeux de lumière du plus bel effet, les chorégraphies très inventives époustouflent, les perruques à la frange (représentatives de l'image de marque) virevoltent par-dessus les faux-cils et les lèvres rouge sang, les talons-aiguilles claquent sur la scène au rythme d'une musique toujours de bon goût, les meilleurs génériques de James Bond semblent y prendre vie... 
Au "Crazy", l'érotisme n'est jamais vulgaire, car Erato y a rencontré Terpsichore et Thalie. 
Crédits : ALM’s 
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originaltikishow · 2 years
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EXPOSITION DUOSHOW
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Retrouvez EvvHill et Manatiiscult, les férus des cultures tribales et des îles du Pacifique au vernissage de leur exposition collective "Inspiration papoue".
Découvrez leurs deux univers liés aux folklores ancestraux de la Papouasie Nouvelle Guinée et ses alentours. Une région peu connue sur les pas des explorateurs et qui souffre toujours des marques indélébiles du XXème siècle.
L'exposition se veut une exploration personnelle et spirituelle autour des forces cosmiques de la mère nature que ses peuples respectent au plus au point.
Manatiiscult, sculpteur sur bois s'est imprégné de ce mystère et retranscrit sa pensée dans ses sculptures. Un travail de naturaliste avec l'existant, le travail de dessin et faire sa propre interprétation.
Evvhill qui s'était déjà inspirée des papous, s'est consacrée cette fois à figurer la complexité des messages de cette culture avec sa sensibilité et avec ce qu'elle pouvait retransmettre : le mix de couleurs, matières, formes sont au rendez-vous. Bonne exploration!
Vernissage et fête, le samedi 11 juin de 14h à 22h "Mets ta chemise à fleurs, viens siroter des cocktails, écouter de la musique et visiter l'expo pour l'occaz avec l'Original Tiki Show party !! Ouverture les dimanches 12 et 26 juin de 14h à 18h et le samedi 25 juin de 14h à 18h.Le mercredi 22 juin de 14h à 19h.
Le lieu : La ferme des artisans, 169 cours Emile Zola, 69100 Villeurbanne Gratte Ciel. ( 5 min) Metro Gratte ciel. Un village de conteneurs d'artisans et de végétalisation urbaine au cœur de Villeurbanne. Merci d'accueillir cette expo !
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yes-bernie-stuff · 9 days
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◀ 18 AVRIL ▶ La Bonne Semence
Nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Car ceux qu’il a préconnus, il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de son Fils. Romains 8 : 28, 29
Les outils par lesquels Dieu nous forme
Lorsqu’un morceau de marbre est extrait de la carrière, il est encore impropre à tout usage. Le sculpteur devra travailler longtemps en utilisant des outils multiples pour en tirer une statue agréable à regarder. Ainsi en est-il du croyant. A partir du moment où Jésus devient son Sauveur, il est semblable à ce bloc informe. Dieu va s’occuper de lui, et par le moyen de divers instruments, le façonner selon son désir. Il se sert de sa Parole pour l’instruire, mais il utilise aussi les circonstances de la vie et en particulier des épreuves : la maladie, un accident, un échec scolaire, professionnel ou sentimental... Tout est à sa disposition pour cela. Les outils de Dieu font souvent mal, mais n’oublions jamais que c’est sa main qui les manie pour notre bénédiction finale. Ainsi nous savons que rien n’arrive par hasard, que Dieu contrôle tout. Sa toute-puissance est au service du bien de ses enfants. Quelle tranquillité cela devrait nous donner quand l’épreuve nous assaille ! Et quel est le but que Dieu poursuit ? De même que le sculpteur a devant lui un modèle qu’il s’efforce de reproduire dans la pierre, Dieu a son modèle : son Fils, l’homme parfait. Il veut reproduire en nous ses caractères, nous rendre, comme lui, patients, humbles, sincères, charitables... et il prend son temps pour produire ce résultat dans votre vie et dans la mienne. - Lire plus ici :
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newestcool · 1 year
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Balenciaga Couture Archive of Azzedine Alaïa ''Sculpteurs de la Forme'' at Galerie Azzedine Alaïa, Paris Photographer Stéphanie Aït Ouarab Source
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eskwander · 2 months
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Personne ne pense spontanément à un art plastique de la destruction. Pourtant, celle-ci aussi configure. Une gueule cassée est encore un visage, un moignon est une forme, une psyché traumatisée reste une psyché. La destruction a ses ciseaux de sculpteur. ~ Catherine Malabou, Ontologie de l'accident.
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undercaine · 6 months
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27 – Cristal
Dans des cavernes malléables,
Au-delà des labyrinthes voilés,
Il y a des cristaux inconnus,
Que je tiens secrets, même aux druides,
Quand vient la nuit parfumée,
Je m’y rends, à pas de souris,
Armés des outils du sculpteur,
Et d’inspiration, offerte par Eros,
Chaque jour, sans faillir,
Je taille ces infimes pierres,
Brutes, qu’elles viennent de la terre,
Je leur donne forme,
Dans la sueur d’un sang fiévreux,
Et même dans la maladie,
Comme dans la fatigue,
Je continue et continue,
Pour la métamorphose,
Celle qui donne un sens,
Un rêve,
Un bleu immortel,
Mais un bleu chaud cependant,
Le bleu qui me rappelle tes yeux,
Alors quand je taille,
Je paie mon tribut au dieu des artistes,
Avec pour monnaie,
Toutes mes pensées,
T’étant dévouées,
Alors que je rends ce dieu riche,
J’appose le cristal sur l’or blanc,
Et peut-être que dans cette bague,
J’y ai mis mon âme,
Le récipient de mon être,
Et, alors que je me demande,
Si, au détour des étoiles,
Tu rends ce dieu également riche,
Avec quelques pensées pour moi,
Peut-être, un jour,
J’oserai te la donner,
Et par la même occasion,
Dans une aura parfumée de pivoines,
Te convaincre,
Que nous nous connaissons,
Depuis quelques millénaires déjà.
Alors,
Dans ces innombrables nuits infinies,
Où la lune est belle,
Regardons-nous les mêmes étoiles ?
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corydon8 · 6 months
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PAOLO UCCELLO
PEINTRE
Il se nommait vraiment Paolo di Dono ; mais les Florentins l’appelèrent Uccelli, ou Paul les Oiseaux, à cause du grand nombre d’oiseaux figurés et de bêtes peintes qui remplissaient sa maison : car il était trop pauvre pour nourrir des animaux ou pour se procurer ceux qu’il ne connaissait point. On dit même qu’à Padoue il exécuta une fresque des quatre éléments, et qu’il donna pour attribut à l’air l’image du caméléon. Mais il n’en avait jamais vu, de sorte qu’il représenta un chameau ventru qui a la gueule bée. (Or le caméléon, explique Vasari, est semblable à un petit lézard sec, au lieu que le chameau est une grande bête dégingandée.) Car Uccello ne se souciait point de la réalité des choses, mais de leur multiplicité et de l’infini des lignes ; de sorte qu’il fit des champs bleus, et des cités rouges, et des cavaliers vêtus d’armures noires sur des chevaux d’ébène dont la bouche est enflammée, et des lances dirigées comme des rayons de lumière vers tous les points du ciel. Et il avait coutume de dessiner des mazocchi, qui sont des cercles de bois recouvert de drap que l’on place sur la tête, de façon que les plis de l’étoffe rejetée entourent tout le visage. Uccello en figura de pointus, d’autres carrés, d’autres à facettes, disposés en pyramides et en cônes, suivant toutes les apparences de la perspective, si bien qu’il trouvait un monde de combinaisons dans les replis du mazocchio. Et le sculpteur Donatello lui disait : « Ah ! Paolo, tu laisses la substance pour l’ombre ! »
Mais l’Oiseau continuait son œuvre patiente, et il assemblait les cercles, et il divisait les angles, et il examinait toutes les créatures sous tous leurs aspects, et il allait demander l’interprétation des problèmes d’Euclide à son ami le mathématicien Giovanni Manetti ; puis il s’enfermait et couvrait ses parchemins et ses bois de points et de courbes. Il s’employa perpétuellement à l’étude de l’architecture, en quoi il se fit aider par Filippo Brunelleschi ; mais ce n’était point dans l’intention de construire. Il se bornait à remarquer les directions des lignes, depuis les fondations jusqu’aux corniches, et la convergence des droites à leurs intersections, et la manière dont les voûtes tournaient à leurs clefs, et le raccourci en éventail des poutres de plafond qui semblaient s’unir à l’extrémité des longues salles. Il représentait aussi toutes les bêtes et leurs mouvements, et les gestes des hommes, afin de les réduire en lignes simples.
Ensuite, semblable à l’alchimiste qui se penchait sur les mélanges de métaux et d’organes et qui épiait leur fusion à son fourneau pour trouver l’or, Uccello versait toutes les formes dans le creuset des formes. Il les réunissait, et les combinait, et les fondait, afin d’obtenir leur transmutation dans la forme simple, d’où dépendent toutes les autres. Voilà pourquoi Paolo Uccello vécut comme un alchimiste au fond de sa petite maison. Il crut qu’il pourrait muer toutes les lignes en un seul aspect idéal. Il voulut concevoir l’univers créé ainsi qu’il se reflétait dans l’œil de Dieu, qui voit jaillir toutes les figures hors d’un centre complexe. Autour de lui vivaient Ghiberti, della Robbia, Brunelleschi, Donatello, chacun orgueilleux et maître de son art, raillant le pauvre Uccello, et sa folie de la perspective, plaignant sa maison pleine d’araignées, vide de provisions ; mais Uccello était plus orgueilleux encore. À chaque nouvelle combinaison de lignes, il espérait avoir découvert le mode de créer. Ce n’était pas l’imitation où il mettait son but, mais la puissance de développer souverainement toutes choses, et l’étrange série de chaperons à plis lui semblait plus révélatrice que les magnifiques figures de marbre du grand Donatello.
Ainsi vivait l’Oiseau, et sa tête pensive était enveloppée dans sa cape ; et il ne s’apercevait ni de ce qu’il mangeait ni de ce qu’il buvait, mais il était entièrement pareil à un ermite. En sorte que dans une prairie, près d’un cercle de vieilles pierres enfoncées parmi l’herbe, il aperçut un jour une jeune fille qui riait, la tête ceinte d’une guirlande. Elle portait une longue robe délicate soutenue aux reins par un ruban pâle, et ses mouvements étaient souples comme les tiges qu’elle courbait. Son nom était Selvaggia, et elle sourit à Uccello. Il nota la flexion de son sourire. Et quand elle le regarda, il vit toutes les petites lignes de ses cils, et les cercles de ses prunelles, et la courbe de ses paupières, et les enlacements subtils de ses cheveux, et il fit décrire dans sa pensée à la guirlande qui ceignait son front une multitude de positions. Mais Selvaggia ne sut rien de cela, parce qu’elle avait seulement treize ans. Elle prit Uccello par la main et elle l’aima. C’était la fille d’un teinturier de Florence, et sa mère était morte. Une autre femme était venue dans la maison, et elle avait battu Selvaggia. Uccello la ramena chez lui.
Selvaggia demeurait accroupie tout le jour devant la muraille sur laquelle Uccello traçait les formes universelles. Jamais elle ne comprit pourquoi il préférait considérer des lignes droites et des lignes arquées à regarder la tendre figure qui se levait vers lui. Le soir, quand Brunelleschi ou Manetti venaient étudier avec Uccello, elle s’endormait, après minuit, au pied des droites entrecroisées, dans le cercle d’ombre qui s’étendait sous la lampe. Le matin, elle s’éveillait, avant Uccello, et se réjouissait parce qu’elle était entourée d’oiseaux peints et de bêtes de couleur. Uccello dessina ses lèvres, et ses yeux, et ses cheveux, et ses mains, et fixa toutes les attitudes de son corps ; mais il ne fit point son portrait, ainsi que faisaient les autres peintres qui aimaient une femme. Car l’Oiseau ne connaissait pas la joie de se limiter à l’individu ; il ne demeurait point en un seul endroit : il voulait planer, dans son vol, au-dessus de tous les endroits. Et les formes des attitudes de Selvaggia furent jetées au creuset des formes, avec tous les mouvements des bêtes, et les lignes des plantes et des pierres, et les rais de la lumière, et les ondulations des vapeurs terrestres et des vagues de la mer. Et sans se souvenir de Selvaggia, Uccello paraissait demeurer éternellement penché sur le creuset des formes.
Cependant il n’y avait point à manger dans la maison d’Uccello. Selvaggia n’osait le dire à Donatello ni aux autres. Elle se tut et mourut. Uccello représenta le roidissement de son corps, et l’union de ses petites mains maigres, et la ligne de ses pauvres yeux fermés. Il ne sut pas qu’elle était morte, de même qu’il n’avait pas su si elle était vivante. Mais il jeta ces nouvelles formes parmi toutes celles qu’il avait rassemblées.
L’Oiseau devint vieux, et personne ne comprenait plus ses tableaux. On n’y voyait qu’une confusion de courbes. On ne reconnaissait plus ni la terre, ni les plantes, ni les animaux, ni les hommes. Depuis de longues années, il travaillait à son œuvre suprême, qu’il cachait à tous les yeux. Elle devait embrasser toutes ses recherches, et elle en était l’image dans sa conception. C’était saint Thomas incrédule, tentant la plaie du Christ. Uccello termina son tableau à quatre-vingts ans. Il fit venir Donatello, et le découvrit pieusement devant lui. Et Donatello s’écria : « Ô Paolo, recouvre ton tableau ! » L’Oiseau interrogea le grand sculpteur : mais il ne voulut dire autre chose. De sorte qu’Uccello connut qu’il avait accompli le miracle. Mais Donatello n’avait vu qu’un fouillis de lignes.
Et quelques années plus tard, on trouva Paolo Uccello mort d’épuisement sur son grabat. Son visage était rayonnant de rides. Ses yeux étaient fixés sur le mystère révélé. Il tenait dans sa main strictement refermée un petit rond de parchemin couvert d’entrelacements qui allaient du centre à la circonférence et qui retournaient de la circonférence au centre.
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sabaneevaldml · 8 days
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Les sculptures en métal étaient une forme d'expression artistique populaire en URSS. Les artistes soviétiques ont utilisé des métaux tels que l'acier, le fer et le bronze pour créer des œuvres monumentales et durables. Dans cet article, nous explorerons les techniques et les défis auxquels les sculpteurs en métal étaient confrontés en travaillant avec ce matériau résistant, tout en créant des œuvres d'art expressives et novatrices. Choix du Métal Les sculpteurs soviétiques choisissaient des métaux adaptés à leurs projets en fonction de leur résistance, de leur durabilité et de leur flexibilité. L'acier et le fer étaient souvent privilégiés pour les sculptures monumentales en raison de leur robustesse, tandis que le bronze était utilisé pour des sculptures plus détaillées et raffinées. Chaque type de métal offrait des possibilités créatives uniques aux artistes. Les Sculptures en Métal : La Forge et la Soudure La forge et la soudure étaient des techniques clés utilisées par les sculpteurs en métal soviétiques. La forge permettait de façonner le métal à chaud, donnant forme et texture à la sculpture. La soudure était utilisée pour assembler les différentes parties de la sculpture et garantir sa solidité. Les artistes devaient maîtriser l'utilisation de la chaleur et des outils de forge pour créer des formes précises. Le Martelage et le Façonnage Le martelage était une technique courante utilisée pour donner texture et relief aux sculptures en métal. Les sculpteurs utilisaient des marteaux et des outils spécifiques pour créer des motifs et des formes sur la surface du métal. Le façonnage était également important pour donner vie aux idées des artistes, en pliant, tordant ou courbant le métal pour obtenir les formes désirées. Les Finitions et les Patines Une fois la sculpture en métal réalisée, les artistes soviétiques accordaient une attention particulière aux finitions et aux patines. Ils utilisaient des techniques de polissage pour rendre la surface du métal lisse et brillante. Les patines, obtenues par l'application de produits chimiques spéciaux, ajoutaient des nuances de couleur et de texture à la sculpture, lui conférant une apparence unique et expressive. Les Sculptures en Métal : Les Défis Techniques Travailler avec le métal présentait des défis techniques pour les sculpteurs soviétiques. Le métal est un matériau résistant et exigeant, nécessitant des compétences spécifiques pour le manipuler efficacement. Les artistes devaient maîtriser les techniques de coupe, de pliage, de soudure et de façonnage du métal pour créer des sculptures précises et esthétiquement équilibrées. La taille des sculptures monumentales était également un défi logistique. L'Expression Artistique Malgré les défis techniques, les sculptures en métal soviétiques ont permis aux artistes d'exprimer leur créativité et de transmettre des messages puissants. Les formes audacieuses, les lignes épurées et les textures dynamiques du métal ont permis aux artistes de créer des œuvres d'art expressives et contemporaines. Les sculptures en métal représentaient souvent des symboles de la force, du progrès et de l'innovation. Les sculptures en métal étaient un moyen important d'expression artistique en URSS. Les artistes soviétiques ont su relever les défis techniques de travail avec le métal pour créer des œuvres d'art durables et significatives. Aujourd'hui, les sculptures en métal de l'époque soviétique continuent d'être admirées pour leur esthétique puissante et leur contribution à l'héritage artistique de cette période.
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pdj-france · 9 months
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Star Trek: Strange New Worlds n'a pas utilisé CGI durant la réalisation de sa version du Gorn Par Kevin C. Neece | Publié il y a 54 secondes Les Gorn vus dans Star Trek: Strange New Worlds ne sont pas CGI, mais des marionnettes élaborées et, sous forme adulte, un costume géant partiellement animatronique. Oui, des outils d'effets numériques sont utilisés, mais pas pour bâtir et animer les créatures. Au contraire, ils sont utilisés pour peindre les marionnettistes sur le plateau. Regardez Wil Wheaton prendre The Ready Room dans les coulisses de la finale de la saison 2 "Hegemony" pour montrer comment les bestioles les plus effrayantes de Trek prennent vie. Si vous avez regardé The Ready Room pendant la saison 1 de Star Trek: Strange New Worlds, vous connaissiez déjà les marionnettes utilisées pour donner vie au nouveau-né et au jeune Gorn. Mais lorsqu'un Gorn adulte est apparu dans une combinaison EV durant la finale de la saison 2, vous avez peut-être pensé qu'il était généré par ordinateur. Au lieu de cela, les pros formés par Stan Winston chez Legacy Effects ont construit une combinaison massive et très détaillée qui fait honte à la tenue en caoutchouc qui constituait le Gorn original dans l'épisode "Arena" de Star Trek en 1967. Le costume qui amène le Gorn dans l'ère actuelle de Star Trek commence avec le cascadeur Warren Scherer, qui a déjà travaillé sur Star Trek : Discovery, The Last of Us, X-Men : Apocalypse, et bien plus. À 6″7,5′ de hauteur, il a la force et le cadre nécessaires pour porter le costume géant – d'après certaines estimations pesant jusqu'à 100 livres – qui a été conçu et construit spécifiquement pour s'adapter à son corps. Des "astuces" structurelles sont utilisées pour cacher l'anatomie humaine de Scherer et faire paraître le Gorn davantage grand et plus étranger. Cela comprend une plate-forme de tête élaborée, dont les éléments (comme les mouvements de la mâchoire et des lèvres et les yeux aux détails complexes) sont contrôlés à distance par des marionnettistes hors caméra. Ceci est couvert par un casque de combinaison Gorn EV construit sur mesure, un équipement jamais vu auparavant dans Star Trek. Ajoutez un cou élaboré qui permet à l'interprète de voir et l'appareil est prêt à s'adapter sur la tête de Scherer. Le personnage qui en résulte est davantage grand et imposant que l'interprète à l'intérieur, ce qui fait de ce Gorn le plus intimidant à ce jour. (C'est sur une plate-forme dans la photo ci-dessous, mais c'est quand même gros.) J. Alan Scott, copropriétaire/fondateur de Legacy Effects, et Wil Wheaton.) Ensuite, car c'est Star Trek, bien sûr toute la scène se déroule en apesanteur. Donc Scherer, dans ce costume Gorn lourd et très détaillé, doit être connecté à des fils et suspendu à une plate-forme en haut de l'ensemble. Réinventer le Gorn pour Star Trek: Strange New Worlds a nécessité le travail de dizaines d'artistes, designers, sculpteurs, peintres, gréeurs, marionnettistes, ingénieurs et artisans, et les résultats sont terrifiants. Nous ne penserons plus jamais à un "gars en costume de lézard" de la même manière. Les Gorn ne sont qu'un exemple du soin et du talent artistique qui ont permis de faire de Star Trek: Strange New Worlds l'une des séries Star Trek les plus étonnantes, fraîches et innovantes de tous les temps. En qualité de "grand méchant" des deux dernières saisons, les créatures reptiliennes ont fait des ravages sanglants sur l'équipage de l'Enterprise et nous avons hâte de voir ce qui nous attend pour la saison 3. Vous pouvez diffuser les saisons 1 et 2 de Star Trek: Strange New Worlds dès désormais sur Paramount +.
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