[Entrevue] Un nouveau souffle pour Clodine Desrochers depuis Sortez-moi d’ici
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Harry Potter, environ 35 minutes après avoir commencé ses révisions : *gigote*
Draco Malfoy, environ 0,2 seconde après que Harry ait commencé à gigoter : Arrête de bouger dans tous les sens et concentre-toi.
Harry Potter, à présent totalement outré : Je ne bouge pas !
Draco Malfoy, un crétin qui n’a toujours pas levé les yeux de ses notes : Si, tu bouges.
Harry Potter, un autre crétin qui aimerait être dehors au soleil : Non, je ne bouge pas.
Draco Malfoy, qui entend déjà la conversation dérivée en stichomythie : Peu importe. Révise.
Harry Potter, accablé par le mur de pierres froides qu’est son petit-ami : Mais c’est ennuyant. Regarde comme il fait beau dehors !
Draco Malfoy, insensible aux rayons du soleil : On aura tout le temps d’en profiter après les examens.
Harry Potter, un type plutôt têtu : Tu ne veux pas plutôt aller réviser dehors ?
Draco Malfoy, un autre type plutôt têtu : Non. On aura trop chaud, on va être dérangé par les cris de barbares des premières années, des bêtes vont nous grimper dessus, on sera mal installés.
Harry Potter, faisait preuve d’une très grande habileté à l’écoute sélective : Allez, ça va être génial ! J’en ai ras le chaudron d’être enfermé dans cette bibliothèque plus froide et morose qu’un jour d’hiver sans neige.
Madame Pince, une bibliothécaire qui prend son travail très au sérieux, merci beaucoup : Taisez-vous ou sortez ! La bibliothèque n’est pas un café, combien de fois devrais-je vous le répéter ?!
Harry Potter et Draco Malfoy, deux étudiants qui savent quand la fermer : Désolés, Madame Pince.
Harry Potter, qui a une lueur dans le regard que Draco Malfoy n’a jamais beaucoup aimé : On sort dehors ?
Draco Malfoy, sur ses gardes et toujours aussi têtu, rappelons-le : Non. Maintenant, ferme-la.
Harry Potter, un type suicidaire : MAIS JE M’ENNUIE ET J’AI PAS ENVIE D’ÊTRE ICI !!
Draco Malfoy, qui a envie de tuer l’enfoiré devant lui : MOINS FORT !!
Madame Pince, un membre du personnel de Poudlard absolument abasourdie par ce niveau de décibels totalement indécent dans ce lieu de paix et de culture : SI VOUS N’AVEZ PAS ENVIE D’ÊTRE ICI, VOUS SORTEZ, MONSIEUR POTTER ! IL EN VA DE MÊME POUR VOUS, MONSIEUR MALFOY ! SORTEZ IMMÉDIATEMENT D’ICI !!
Harry Potter, un quart d’heure plus tard, confortablement allongé dans l’herbe, bien au chaud sous les rayons du soleil : *sourit paisiblement*
Draco Malfoy, adossé à un tronc d’arbre, cherchant une position confortable qui soit à la fois à l’ombre et loin des fourmis : Ne pas le tuer. Ne pas le tuer. Ne pas le tuer…
Harry Potter, inconscient de la faucheuse adossée à l’arbre : Qu’est-ce que tu marmonnes encore, amour ?
Draco Malfoy, un poil énervé : Sale petite merde égoïste, j’espère que tu vas cramer au soleil.
Harry Potter, heureusement très doué pour l’écoute sélective : Je t’aime aussi.
Draco Malfoy, trente minutes plus tard : *est couché dans l’herbe à côté de Harry et a totalement abandonné ses révisions au profit d’une sieste au soleil*
Harry Potter, un petit malin ayant accompli sa mission : Je me demande si Pansy a eu le même succès que moi pour sortir Mione des révisions…
Loin d’ici, dans le dortoir féminin des Serpentard : Pansy, attends, je dois encore réviser l’arithmomancie et…
Pansy Parkinson, une adolescente pas si innocente que ça avec beaucoup d’hormones et beaucoup d’imagination : Mhhh, je sais, je sais…
Hermione Granger, qui commence à trouver la bouche de Pansy plus intéressante que ses notes de cours : Alors pourquoi continues-tu de m’embrasser ?
Pansy Parkinson, une femme douée avec sa bouche : Tu n’aimes pas ça ?
Hermione Granger, qui sent les paumes fraîches de sa petite-amie passer sous sa chemise : Si si si, si…
Toujours Hermione Granger, qui sait qu’elle est foutue et qui compte bien profiter de son audacieuse petite-amie : *repose délicatement son cours par terre pour ne pas l’abîmer et jette un sort de silence*
Daphné Greengrass, qui allait récupérer ses propres cours : *fait demi-tour en poussant un grand soupir*
Blaise Zabini, qui avait besoin d’une partenaire pour jouer aux cartes et qui remercie donc silencieusement le destin : Hey Daph’, tu joues ?
Daphné Greengrass, qui adore tricher aux cartes : Avec plaisir.
Théodore Nott, qui voit le sourire démoniaque de Daphné Greengrass : *prie pour l’âme de Blaise Zabini*
Blaise Zabini, totalement inconscient du mauvais sourire de sa partenaire de cartes : *mélange son paquet*
Et c’est ainsi que Draco Malfoy, en rentrant dans sa salle commune avec un coup de soleil, trouva une Daphné Greengrass particulièrement heureuse, un Théodore Nott mi-apeuré, mi-amusé et un Blaise Zabini fixant l’âtre vide, roulé en boule sur le tapis vert juste devant la cheminée. Il ne posa aucune question et alla chercher de la potion après-solaire.
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nous sommes mardi c’est ma rentrée sortez-moi d’ici
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Production Coordinator
Film Support + ITV
Jun 2022. Liberia, Costa Rica.
Reality TV. Sortez-moi d’ici! Season 1
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Étrange Professeur Aristotélis
Étrange en effet, il utilise des chauves souris téléguidées par ondes radios pour écouter ce qui ce dit
Enfin plus de peur que de mal!
Une grosse frayeur quand même pour le Capitaine Haddock, qui ne réussi a fuir un tigre qu’il rencontre dans la jungle que pour tomber dans l’étreinte d’un anaconda, et que vous arrivez a libérer difficilement d’ailleurs
Mais comment en sommes nous arrivés la?
Vous vous rendiez en Inde Professeur, pour une réunion annuelle de la Société des Inventeurs Hindous qui vous avait convié
Ah oui! C’est exact
“Le temps viendra ou l’humanité toute entière tremblera devant mon génie!”
Aristotélis!
Il avait découvert le secret de l’énergie infinie Professeur, des tas de formules compliquées jonchaient son bureau dans tous les sens, et inventé un casque muni de deux solides antennes, qui lui permettait de contrôler des machines par la pensée
Tout a fait, nous avons eut le loisir de l’observer avec des jumelles quand nous sommes arrivés a la bouche du volcan, ou il avait installé sa base en bordure du lac
“Mais qu’est ce qu’il entrain de fabriquer cet énergumène? Vous avez vu, il met un casque
Passez moi les jumelles Capitaine! Professeur, les machines se sont mises en marche toutes seules!
Incroyable... Il les contrôle par l’intermédiaire de ce casque”
Et ses facultés télépathiques sont tout a fait surprenantes également
C’est le Capitaine Haddock auquel il s’adresse en premier Professeur
“Vous êtes donc le célèbre Capitaine?
Qui êtes vous? Sortez de votre cachette!
Je suis Aristotélis, le plus grand savant de tous les temps! Passés, présents et a venir!”
Puis ensuite c’est au tour de Tintin
“Vous feriez mieux de vous dépêcher Cher Tintin, la nuit va bientôt tomber...
Aristotélis?
J’ai banni la civilisation dont le progrès n’est qu’illusoire!”
Dans la grotte aux araignées également
“Ah voila elles vont bientôt sortir...
Qu’est ce qui va bientôt sortir?
Arachnea Phosphoresca, c’est un joli nom n’est ce pas?
C’est un piège nous devons sortir d’ici!
Enfin débarrassé de vous!”
Comment découvrons nous sa présence?
Un soir le Capitaine Haddock réussi a frapper une chauve souris en plein vol, et vous constatez stupéfaits qu’elle est mécanique
“Tiens prend ça! Maudite bestiole!
Professeur venez voir!
Sapristi! Cette chauve souris est mécanique!
Nous ne sommes pas seuls sur cette île...”
Parfait vous avez bien avancé sur cet album des Nouvelles Aventures de Tintin!
Modestement Professeur, nous avons déjà établi un mode de développement collégial ou l’avis de tous est pris en considération, y compris celui du collège de lecteurs de tous ages, pour aboutir aux meilleures versions possible, mais oui vous avez raison, il faut avoir des choses a proposer
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Notre Voyage à Disneyland
Joan: Je voulais faire un voyage avec mes amis, mais comme nous le faisons tous par vote, nous avons fait un vote.
Majo: Nous irons en Italie
Paula: NO, nous irons a Disneyland.
Joan: Je suis d’accord avec Pau, nous irons à Disneyland. C’était les dernières vacances d’été, alors on a décidé de faire un défi. Nous ferons un défi, la personne qui a le plus de photos avec des princesses gagnera 100 $. Et c’était l’objectif du voyage.
Majo: Le premier jour, c’était génial, Paula a eu trois photos, Joan et moi n’en avons eu que deux. Le deuxième jour, nous étions près du château de la Belle et de la Bête quand nous avons vu que quelque chose s’était passé, apparemment un incendie, mais nous avons décidé de nous approcher pour vérifier. En voyant ça, je n’ai pu que dire :
Majo: Sortons d’ici, maintenant !
(J’ai commencé à marcher vite)
Majo: Un haut-parleur a sonné, nous arrêtant tous :
Joan (voix de présentateur):"Ce n’est qu’un feu, il est interdit de courir et de pousser, sortez du parc en bon ordre"
Majo: Mais c’était le début, ils nous ont déconcentrés, le son n’était qu’une stratégie et le massacre a commencé, nous ne savions pas quoi faire. Je souhaite que nous soyons bien.
Paula: Une foule a commencé à s’armer. Nous devons penser clairement, nous devons d’abord nous taire.
Majo: Courons par là.
Paula: Non, par ici
(Nous courons)
Majo: Je comprends maintenant que c’était une mauvaise idée d’aller par-là, mais à ce moment-là, je pensais que c’était une bonne idée.
Joan: Nous avons réussi à entrer dans un stage de retour où nous avons pu trouver des couvertures et de la nourriture, tout allait bien jusqu’à ce que la rage majo dit.
Majo: Je leur ai dit d’aller en Italie, mais non
Joan: Alors Paula se leva et commença à lui crier dessus avec colère
Majo: Je te l’ai dit, mais comme tu es toujours têtue et que Joan ne fait que la soutenir.
Joan: Il ne s’est pas écoulé plus de 30 minutes quand un coup de feu nous a interrompus.
Paula: Nous voyons tout à coup que c’est la souris représentant Disney, mais cette souris était différente, ce n’était pas un costume, c’était une chose qui ressemblait à une souris géante avec un aspect humanoïde, nous ne comprenions pas à quel moment notre voyage est devenu un enfer
Majo: De la peur, nous ne pouvions que rester immobiles et écouter ce que l’humanoïde nous disait.
Joan (voix de présentateur): "Nous venons d’un autre endroit, nous nous sommes situés dans des lieux spécifiques et déjà étudiés de la terre, où nous savons qu’il y a toujours des humains, beaucoup d’entre eux susceptibles devant nous"
Paula: Nous avons vu qu’ils prenaient chacun d’eux et les vidangeaient pour leur enlever le plus important pour eux, le sang.
Majo: Ce serait notre fin.
Tous: CONTINUER...
(grupo de Joan)
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L’ÉVEIL DU PRINTEMPS: SCENE 2 PART 4
THE FRENCH
CHANSON: « UNE PUTAIN DE VIE »
MORITZ: Je fais toujours le rêve étrange
Que derrière le mur [épais]
Je puisse parler à un ange
En latin ou en français
— Sortez-moi d’ici! J’en peux plus
Je voudrais me réveiller
— Approche-toi, petit, me dit elle,
La sortie, [c’est ce côté] !
Elle dit, donne-moi ta main
Et ta peine si tu le veux
Dis-moi tout ce qui te dérange
Et te rend tout malheureux
Et comme un fantôme [j’en évade]
J’en [postpose vos] destins
L‘amour rend aveugle, mon gamin
Mais je n’ai pas trouvé mieux
C’est une putain d’une vie
(Put ! Juste une put !)
À l’enfer sur terre
(Juste une put, oui !)
C’est une putain d’une vie
Tout ce [_____ pare]
GEORG: Je passe mes nuits à [___] les murmures
Sans jamais trouver repos
Quand je pense aux [douces mélodies]
De ma prof au piano
Et ses seins qui m’envisage
[_________]
[Et ___mon enfant sage]
[__ partager_______]
GARÇONS: C’est une putain d’une vie
(Put ! Just une put !)
À l’enfer sur terre
(À l’enfer sur terre!)
C’est une putain d’une vie
C’est quoi, cette galère ?
Qu’est-ce qu’ils ont tous [____ nous] ?
On s’en fout
ERNST: Moi, je m’attends les douches communes
HÄNSCHEN: Bobby Maler est trop beau
J’arracherais bien son costume.
ERNST: Je [veux même si n’y-t-il était] de l’eau.
OTTO: Et cette Marianna Wheeler
Elle ne me rappelle jamais
HÄNSCHEN: C’est comme si [j’ouvrais les vannes], mec
[Tu as un moyen d’] y échapper
MELCHIOR: C’est une putain de vie !
GARÇONS: C’est une putain de vie !
MELCHIOR: Et ils sont partout
GARÇONS: Sont partout
MELCHIOR: C’est une putain de vie
[En____] on s’en foule
GARÇONS: C’est une putain de vie
MELCHIOR: Regardez ! Regardez !
GARÇONS: On peux pas sortir
MELCHIOR: J’en appelle à ce ...
GARÇONS: C’est une putain de vie
MORITZ: Moi, j’ai jamais [vu vire]
MELCHIOR: … que je saurai
GARÇONS: C’est une putain de vie, vie, vie
MELCHIOR: … que je saurai
GARÇONS: Quelle est la sortie ?
C’est une putain de vie
MELCHIOR: [Sans perdre l’esprit]
GARÇONS: Putain, ça y est !
Oh, c’est parfait !
Oh quelle putain d’vie !
FIN DE LA CHANSON
BACK TO ENGLISH
SONG: “BITCH OF LIFE”
MORITZ: I always have this weird dream
That behind the [thick] walls
I could talk to an angel
In Latin or in French
“Get me out of here, I can’t take any more,
I would like to wake up”
“Come here, little one,” she says to me
“The exit [is this way]”
She says “Give me your hand
And your pain, if you want
Tell me everything that upsets you
And that makes you so unhappy”
“And like a ghost, I [escape]
I [put aside your] fates
Love makes you blind, kid
But I haven’t found anything better”
BOYS: It’s a bitch of a life
(Bitch! Just a bitch!)
In Hell on Earth
(Just a bitch, yes!)
It’s a bitch of a life
All that [_____ puts on/adorns]
GEORG: I spend my nights [___] murmurs
Without ever finding rest
When I think of the [sweet melodies]
Of my teacher at the piano
And her breasts that face me
[_________]
[And _____ my wise child]
[__ share ____]
BOYS: It’s a bitch of a life
(Bitch! Just a bitch!)
In Hell on Earth
(Hell on Earth)
It’s a bitch of a life
What is this torture?
What do they all have [_____ us]?
We don’t care
ERNST: I expect the communal showers
HÄNSCHEN: Bobby Maler is too handsome
I would tear his suit right off
ERNST: I [’d want it even if there weren’t] water
OTTO: And that Marianna Wheeler
She never calls me back
HÄNSCHEN: It’s like [I'm blowing off steam], man
[You’ve got a way to] escape there
MELCHIOR: It’s a bitch of a life!
BOYS: It’s a bitch of a life!
MELCHIOR: And they are everywhere
BOYS: Are everywhere
MELCHIOR: It’s a bitch of a life
[In_______] we make an effort
BOYS: It’s a bitch of a life
MELCHIOR: Watch! Watch!
BOYS: We can’t get out
MELCHIOR: I’m calling on...
BOYS: It’s a bitch of a life
MORITZ: I’ve never [seen a path]
MELCHIOR: What I will know
BOYS: It’s a bitch of a life, life, life
MELCHIOR: What I will know
BOYS: Where’s the exit?
It’s a bitch of a life
MELCHIOR: [Without losing your mind]
BOYS: Fuck, that’s it
Oh, that’s perfect
Oh, what a bitch of a life.
END OF SONG
NOTES:
this song was exceptionally difficult to hear with all the stage noise and mumbling, so there are significant gaps in what I can parse out. i hope if anyone else speaks french they will offer their thoughts on those blank spots!
“putain de...” structured profanity in french is a vast catch all for many different types of cursing we would use in english: “bitch of a ...” / “fucking ...” / “bloody ...” etc. now personally, i do think “fucking life” is more correct, but the syntax of the sentences it is used in works better in english with “bitch of a life.” the “fuck, that’s it” at the end is the same word i previously translated as bitch, but it is not followed by the “de...” construction, and so is more easily translated directly as the interjection “fuck!”
moritz’ dialogue with the angel is put into quotation marks based on my best guess of what she says versus what he narrates. the delivery does not make it clear in inflection exactly what part is the angel, so some of the lines are questionable in speaker, such as “But I haven’t found anything better,” which could easily be spoken by the angel or by moritz.
“what is this torture?” galère literally means either chore/pain/hell as in “this homework is a real pain/is giving me hell” (also the galley of a ship though that’s clearly not the right option here) but the grammatical flow was strange when i tried to use those phrasings directly, so i substituted torture as a plausible american english equivalent expression.
ernst’s lines make very little sense, and i must be missing something here. really butchered whatever was supposed to be here, sorry for it. i think maybe the intent of that very awkward second line is something like “I even like it when without the water” implying that the shower is not about the cleaning up for him, but something else, namely his peers’ bodies in the showers.
“blowing off steam.” c’est comme si j’ouvrais les vannes is literally closer to “it’s like i’ve opened up the sluice gate” but that is nearly meaningless in english, so an equivalent expression of blowing off steam seemed like a good option to be just a touch suggestive (as the french reads to me like hänschen talking about the release of masturbation). it is also very much worth noting that this hänschen’s lines do not imply, like the original english can, that hänschen is at all sexually successful. he gives no advice on how to “screw them all,” just advises that masturbation is a source of escapism.
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Evasion
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« Comment a-t-il osé ? Ce sale petit rat d’égout, si jamais je le revois je lui brise la nuque, je lui tords le cou, je le…
— Je vous en prie, mon cher. S’énerver ne nous servira à rien. Passez plutôt votre énergie à trouver un moyen de le rattraper.
— Le rattraper ? Encore faudrait-il savoir où il est passé ! À cette heure-ci, il pourrait bien avoir déjà sauté dans un bateau à destination de l’autre bout du monde ! Ce lâche, ce scélérat, ce…
— Peut-être pas. Peut-être qu’il se terre quelque part, chez un ami ou un parent, en espérant que la honte vous empêche de dire à tout le monde ce qu’il a fait, et que la lâcheté ne retienne votre bras au moment de le corriger.
— Moi, lâche ? Si je lui mettais la main dessus, vous verriez, ma chère, que l’âge ne m’a pas privé de toutes mes forces, et que je sais encore tenir une canne assez fermement pour corriger ce va-nu-pieds ambitieux !
— Et il sera beau le jour de ses noces ! Allons, mon ami, l’heure n’est pas à la colère, je vous le répète, mais à l’action. S’il est encore en ville, il faut le retrouver et le mettre face à ses responsabilités. Il épousera Charlotte, que ça lui plaise ou non !
—Et pourquoi voudrais-je que ce malandrin épouse ma précieuse fille, alors qu’il a osé se glisser dans son lit !
— Tout d’abord, votre précieuse fille n’est pas innocente dans l’affaire. Ensuite, leur aventure stupide pourrait très bien avoir des conséquences. Il lui faut un mari, et au moins celui-ci semble lui plaire.
— D’ailleurs, où est Charlotte ? En train de pleurer dans sa chambre parce que ce malotru l’a abandonnée ? N’est-ce pas votre devoir d’aller la consoler ?
— Mon devoir de mère est de régler cette affaire. Elle est assez grande pour sécher ses larmes de petite sotte toute seule. Pressez-vous et sortez, écumez toute la ville s’il le faut, mais trouvez-le !
— Quoi, vous voulez que j’avoue au grand jour ? Et couvrir de honte ma propre fille et mon nom ?
— Vous n’avez pas besoin d’avouer pour qu’on s’imagine pourquoi vous cherchez partout votre associé disparu, les mauvaises langues s’en chargeront. Vous êtes dans votre droit. Courez, vous dis-je !
— Très bien, très bien, je cours, je… Tiens, est-ce vous qui avez mis cette enveloppe dans la poche de ma veste ? Oh, non, mon dieu, c’est l’écriture de Charlotte, qu’est-ce que…
— Comment ça, l’écriture de Charlotte ? Pourquoi diable vous écrirait-elle alors qu’elle est dans la maison ? Si c’est par honte de son geste, elle a tout intérêt à s’être appliquée et à montrer tout son repentir, mais je ne crois pas qu’une seule feuille y suffirait…
— Suffit ! Charlotte est partie !
— Partie ? Comment ça partie ? Partie avec son amant ?
— Elle dit que non ! Elle dit qu’elle veut partir à l’aventure ! Elle dit que… C’est insensé !
— Donnez-moi ça ! Oh mon dieu… Oh mon dieu… Mais qu’est-ce qui est passé par la tête de cette enfant ! Seule sur les routes, qui sait quelles horreurs l’attendent ! Vite, il faut la rattraper !
— Mais où peut-elle être ? Elle a pu partir dans n’importe quelle direction ! Elle n’en dit rien dans sa lettre ! Seulement qu’elle veut aller « loin d’ici » !
— Alors au port. Allons-y immédiatement !
— Vous m’accompagnez ? Ce n’est pas un endroit très convenable pour…
— Essayez seulement de m’en empêcher ! »
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Chapitre 23 : À la recherche d’un géniteur.
Commençons tout d’abord par une petite explication : je ne publierai plus les billets sous forme de “semaine”, mais de “chapitre”. La raison est toute simple : j’ai ENCORE atteint le nombre d’images maximales dans un post alors que je n’avais pas terminé la semaine ! Et plutôt que de devoir encore couper en deux, je me suis dit que finalement, jouer semaine par semaine, ce n’était pas forcément le plus important. Aussi, à partir de maintenant (à part peut-être à l’université), je publierai des chapitres qui seront aussi longs que le nombre d’images que je puisse poster. Ça pourra donc être des laps de temps plus courts, ou plus longs, selon ce qui se passe.
La semaine précédente fut exceptionnellement longue et pleine d'évènements. L’arrivée de Brice, le demi petit frère de Becky en est un parfait exemple. Mais les nombreuses conquêtes de cette dernière ne sont pas non plus à négliger, même si malgré nos efforts, elle n’a toujours pas atteint son objectif de 30 relations amoureuses simultanées. Y arrivera t-on dans ce chapitre ? Le petit Brice vieillira t-il et si oui, sera t-il toujours aussi moche ? C’est ce que nous allons voir.
Tout commence avec cet écran de chargement qui nous montre BECKY en train de s’occuper du petit. Le jeu essaierai t-il de me faire passer un message ? Becky serait-elle prête pour avoir son propre bébé ?
...
Non. Certainement pas.
Puisque ce Servo est censé vivre éternellement pour s’occuper des Bucket, autant qu’il apprenne de nouvelles compétences. Et avec la vie trépidante de Becky, celle-ci n’était peut-être pas une mauvaise idée.
De la potion de vie !
“Wahouuu, ça me fait un de ces effets ! J’en ai même une ére...”
Euhhh oui. Neuf jours au total.
“Allez, dis “papa” !”
“Nope. Je préfère continuer à t’ignorer en me concentrant sur cette tête de lapin décapitée.”
Attardons-nous sur la personnalité de bébé Brice. Encore un crevard avec un sens de l’humour quasi inexistant. Parfait, on a une vraie famille de pourris !
“J’ai appris à conseiller les couples, Madame. Peut-être que mes nouvelles compétences pourraient vous venir en aide.”
“En aide à moi ?”
“Non, rien à foutre.”
“Ouais, salut poupée. Je sais qu’on se voit pas tellement, mais j’ai mille et un trucs sur le feu. Mais dis-moi comment tu vas, quand même. Ouais ouais. Bientôt. Promis, je me libère dès que je peux tout spécialement pour toi.”
Pas facile de justifier auprès de toutes ses amoureuses le manque de temps passé ensemble, mais Becky commence à avoir l’habitude et afin de garder de bonnes relations avec elles toutes, elle les appelle UNE. PAR. UNE. Qu’on ne me dise pas que ça ne demande aucun effort !
Pendant ce temps, Florinda a failli manquer le boulot, trop occupée sur sa guitare. Mais la voilà ENFIN prête à commencer le travail !
“PAAAA PAAAA”
“Jamais de la vie, papy.”
Voilà aussi pourquoi on te garde en vie, mon p’tit Bucky. On t’aime bien mais on aime encore plus l’argent, cela va sans dire.
Wooohooo ! Florinda commence bien et monte un échelon dès le premier jour !
Elle ramène une collègue de boulot qui BIEN ÉVIDEMMENT craque immédiatement pour Becky. On va donc sauter sur l’occasion !
“Alors comme ça, tu bosses dans le journalisme ?”
Becky active son mode “blabla de prédation”.
“Regardez-moi, je vais tellement la pécho.”
Pendant ce temps-là.
"J’aime mettre ma tête dans la poubelle.”
L’expérience, mes ami·e·s.
Becky a toute l’expérience qu’il faut pour que ça aille aussi vite.
“Je ne sais pas qui est cet homme.”
Un collègue de Junior, Florinda. Peut-être devrais-tu lui dire bonjour au lieu de l’ignorer comme si il était malpropre.
Becky souhaite se lier d’amitié avec Violaine. Direction donc le centre LGBT dans l’espoir de la croiser !
Et à peine arrivée...
... cette végésim vit son premier baiser avec Becky !
Je déteste quand je perds le contrôle cinq secondes. C’est super dangereux, ces interactions romantiques. Ça pourrait créer des jalousies qui feraient tout tomber à l’eau !
C’est déjà un entichement de pris. Et on arrête de les compter parce-qu’on a bien compris que c’était des amours dont on avait besoin.
“Salut Becky, tu te souviens de moi ?”
Non. Mais puisque tu es demandeuse d’interactions, on va essayer de devenir ton amie.
Et pendant ce temps, Sarah retrouve l’amour dans les bras d’une autre !
“Hey ! Je t’ai vue embrasser cette fille tout à l’heure. Est-ce que ça voudrait dire que t’es prête à me pardonner ?”
“Non.”
“Et arrête de me harceler sinon je te refais payer plein pot ton mobilier !”
Becky passe vite à autre chose.
“Alors Comtesse, on me cherchait ?”
Voilà une bonne opportunité de maximiser leur relation amicale !
Et au centre LGBT, tous les p’tits vieux s’en prennent à ce même pauvre mec chauve.
Puis au petit matin.
“IL EST SEPT HEURE TRENTE, JE VEUX DORMIR.”
Oui oui, Becky, d’accord, ta nuit passée dehors t’a épuisée. Retour à la maison, donc.
“Hey, mec, j’adore ta maison ! J’y viens souvent !”
“Mais je ne vous connais pas Monsieur, sortez d’ici !”
Enfin, Brice et Bucky deviennent meilleurs amis.
Il faut dire qu’à part Bucky, personne ne s’occupe vraiment de ce gamin et même ses relations avec Junior sont plutôt basses. Il serait peut-être bien que le reste de sa famille apprenne à le connaître !
Un génie de la musique qui mâchouille ses instruments, donc.
Pour y avoir réfléchi un petit peu, je crois que le manque de relations avec Junior, Florinda, ou Becky, vient surtout du fait qu’avec tous ces bouquets de Gueule-de-loup, Brice voit tous ses besoins remonter pendant qu’il dort. En plus, avec ce lit, il peut en sortir tout seul quand il a fini de dormir, et s’y remettre lui-même quand vient l’heure de se recoucher. Alors à part un petit caca de temps en temps... il est complètement autonome !
*prend une voix nasillarde* “Bonjour, je suis Brice et je suis un génie de la musique !”
Son numéro de ventriloque terminé, Bucky repose le nounours devant la baignoire. Comme ça, tous les Sims qui voudront prendre un bain ne pourront pas accéder à cette dernière. Parfait.
Florinda, elle, ressent la musique. Ouh yeah.
Alors quand je dis qu’il faut investir en panneaux solaire, c’est pas des conneries, hein !
De son côté, Bucky passe plusieurs heures dans l’electrosphère. Charlotte le faisait aussi. Ça doit être un truc de vieux.
Bon, maintenant que Becky a dormi, revenons-en à ses relations.
Il y a cette Caroline qui ferait une bonne cible. On l’appelle donc.
Bonne nouvelle !
26 amours. Becky s’y prend bien et très vite, on peut appeler la cible suivante.
Ça sera Violette.
Et alors qu’on attend sa venue...
... Florinda revient avec une promotion !
Et étonnamment, c’est des compétences en cuisine dont elle a besoin ! C’est donc parti pour quelques heures de lecture de livres de cuisine...
“Salut les filles !”
Et encore une de gagnée avec ce 27ème amour.
Suivante !
Mais personne ne travaille ou quoi ? Toutes ces Simettes sont toujours disponibles à toute heure du jour !
“Au fait, félicitations pour toutes tes conquêtes, ma chérie.”
“Merci papa.”
“Vois-tu, je te déclare ma flamme alors que mon père est à côté, c’est pas rien !”
Etttt 28 amours !
Suivante !
Ah, la Comtesse !
Pendant ce temps, ce collègue de Junior traîne toujours dans les parages.
“T’as été à l’université ? Trop cool !”
Mais vas-tu partir de cette maison, à la fin ?
“C’est pas pour te vexer, mais t’es un mec, et je ne parle pas aux mecs !”
“J’adore ta robe !”
*prend une voix dramatique* “Moi aussi.”
Mais cette fois-ci, les avancent de Becky font chou blanc.
*sourire crispé*
“Écoute, tu ne veux peut-être pas de moi, mais toi...”
“... et moi, un Rendez-Vous, t’en dis quoi ?”
Ah bah bizarrement, ça, ça marche !
“Nichons.”
“J’ai cueilli cette rose pour toi. Elle me rappelait ton caractère piquant.”
“Pour moi ? Rien que pour moi ?”
Ah bah il fallait ça ! Remarquez, une Comtesse probablement plusieurs fois centenaire doit aimer les vieilles méthodes...
Et voilà que grâce à une rose, tout est débloqué !
Les deux femmes tombent amoureuses et on est donc à 29 amours !
Allez, attendons que le jour se lève et SUIVANTE !
“Je ne veux pas voir ce bouquet.”
M’enfin... va pas te prendre les pieds dans les escaliers non plus, hein.
En voilà une avec qui ça ne devrait pas être trop compliqué... on l’appelle !
Les amantes de Becky, toujours disponibles...
La première avance est repoussée mais Becky a toujours une rose dans son sac... Mouahahahah.
Et encore une fois, ça marche ! Becky n’est pas encore amoureuse mais on va vite y arriver si tout se passe bien.
Mettre la main devant la bouche quand on crache ses poumons ? Jamais ! Et après on s’étonne qu’ils tombent tous malades les uns après les autres.
Un petit rapprochement et...
... tadam !
Mais...
Mais..
MAIS !
Je croyais qu’on était à 30 amoureuses ? Pourquoi son désir ne se satisfait pas ?
J’ai mal compté ou bien ?
Bah oui, j’ai raté un truc. Je compte 29 amoureuses. QUI AVONS NOUS PERDU EN ROUTE ? QUI ?!
Arf... C’est pas grave, on y est presque.
Pendant ce temps, Florinda nous prouve une fois de plus qu’elle affectionne traîner en nuisette puisqu’elle ne se change pas même pour faire griller des hamburgers.
Bucky, lui, s’envole en sniffant des bulles.
Bon, puisque notre petite monstresse a envie de faire une nouvelle rencontre, elle va retourner au centre LGBT voir si y’a pas une Madame qui traîne avec qui elle n’aurait pas déjà tissé des liens !
“Hey salut ! Je cherche à faire des nouvelles rencontres et toi et moi on ne se connaît pas encore !”
Un peu de blabla plus tard :
“Si tu fais partie d’un Uglacy, il va te falloir un donneur de sperme pour faire un bébé biologique. Et ici, y’a plein de gays qui ne pourront pas en faire non plus avec leurs partenaires, et certains sont assez moches pour ce que tu veux en faire, genre le type derrière avec ses fringues peace and love.”
Hé, en voilà en idée !
C’est vrai qu’on ne peut pas trop le qualifier de beau...
... vraiment, non, il est pas moche à l’excès mais ça pourrait le faire !
“Salut, je suis Becky, je fais partie d’un Uglacy. Je cherche un donneur de sperme pour faire un bébé toute seule. Intéressé ?”
“Hmmmm laisse-moi y réfléchir trois secondes...”
“Ouais, pourquoi pas !”
Bon, on regarde quand même autour, voir si on ne trouve pas encore plus moche. Celui-là, par exemple, je ne le trouve pas vilain mais il a sans équivoque des traits intéressants qui pourraient donner quelque chose. Sinon...
... je crois qu’on tient là un vainqueur ! Une mâchoire affreuse, des yeux qui tombent, une lèvre supérieure trop fine... Allons le voir !
“Salut...”
“Désolé, meuf, je ne peux pas te parler, j’ai une fièvre pas possible, je rentre chez moi !”
Bon, tant pis.
Et ENFIN voilà la jeune femme au look tellement 2005 avec qui Becky souhaite nouer une amitié depuis plusieurs jours ! Manque de pot, elle aussi quittera la conversation très vite pour sortir du terrain... On a néanmoins, je l’espère, suffisamment amélioré leur relation pour l’inviter à la maison.
“Tu crois que ta fille finira par se poser avec quelqu’un et faire des enfants ? Je veux dire, c’est ton héritière, ça devrait être un peu inquiétant qu’elle n’ait pas encore commencé à chercher...”
“À vrai dire, je n’en sais rien...”
“Mais depuis que Brice est né, je ne m’en fais plus ! Il pourra très bien prendre sa place !”
Et puis j’ai réinstallé mon mod de durée de vie x2 alors elle a le temps. Largement le temps.
En parlant de Brice, Florinda s’en occupe enfin un peu...
... et le lance dans les airs jusqu’à lui encastrer la tête dans le plafond.
Becky, elle, a envie de s’envoyer en l’air. Elle va donc appeler Comtesse puisqu’à 1h34 du matin il risque d’y avoir peu d’autres Simettes disponibles...
C’est très rapidement une affaire réglée et Comtesse repart avant le lever du jour.
Pendant ce temps, Junior travaille sa maîtrise de la colère grâce à un livre, sur le lit conjugal. Parce-que pourquoi le faire au salon, je vous le demande.
“Allez petit frère, fais ton popo.”
Et grâce à sa sœur, bébé Brice a appris à faire sur le pot !
Cet enfant n’en est qu’à la moitié de sa durée de vie et sait déjà faire tout ce qu’il pouvait apprendre : marcher, parler, faire sur le pot, chanter une comptine...
Il gagne ainsi deux points d’aspiration bonus à dépenser, mais on n’en utilise qu’un, on garde l’autre pour le moment où les autres colonnes seront débloquées.
Becky doit patienter jusqu’à ce qu’une de ses relations amicales atteigne un point suffisant pour flirter sans trop risquer de râteau. Elle en profite donc pour apprendre à connaître son frère, enfin !
Et finalement, les deux deviennent amis !
Becky constate que sa relation avec cette brunette pourrait être propice à des sentiments amoureux, alors, elle l’invite à venir !
Tout le monde est toujours disponible pour Becky, on dirait.
“Elle me fait tourner la tête !”
“Je peux te faire tourner autre chose si tu veux...”
Et voilà qui est fait ! TRENTE relations amoureuses simultanées et un désir à 30000 points réalisé !
Becky est la reine du monde !
Elle obtient désormais des désirs plus simples à satisfaire, comme faire des galipettes au lit, dans le jacuzzi, avec Marie...
... et elle ne s’en prive pas !
Avoir un bain à remous au bord de la plage, je comprends que ça donne envie !
Et hop ! Nouveau désir réalisé !
“Dis-moi ma chérie... Tu sais que si tu vis avec nous, c’est pour être l’héritière de cet Uglacy... alors je me demandais si tu avais un jour ou l’autre, l’intention de me faire un petit-fils, ou une petite-fille...”
“C’est marrant que tu me poses la question maintenant, parce-que justement, je commence à y réfléchir et...”
“... j’ai probablement trouvé le donneur de sperme idéal ! Il faut encore que je lui en parle, mais si il accepte, tu seras ravi ! Tu verrais la tête qu’il a, un géniteur parfait pour notre famille !”
“Fantastique ! J’ai hâte de le rencontrer ! Dès que le projet est en marche, surtout, tiens-moi au courant !”
“Becky, j’ai deux-trois choses à te dire. Ça ne va pas du tout !”
“Tu réalises bien qu’il y a un jeune enfant dans cette maison, non ? Alors tes parties de jambes en l’air un peu partout, il faut que ça cesse !”
“Ouais, ouais...”
“Cause toujours... Je suis chez moi, je fais ce que je veux !”
“Cher journal, Je déteste tellement Florinda que j’envisage sérieusement le meurtre. Peut-être qu’un empoisonnement serait efficace...”
Direction le centre LGBT pour essayer de rencontrer cet homme qu’on imagine faire un bon géniteur !
Voyons voir qui se trouve sur place...
Non. Pour avoir ce Sim dans tous mes quartiers depuis plusieurs années, je peux affirmer qu’il ferait un mauvais géniteur. Ses enfants sont toujours trop mignons !
Non plus. Il est plutôt beau gosse ; ça ne colle pas.
Pas assez moche.
Pas très beau, mais on a vu pire, et on cherche pire.
Boarf, finalement, quand on y regarde bien, à part son nez de profil, le reste n’est pas si affreux.
Non. Plutôt choupi, alors non.
Y’a un début intéressant avec cette arcade sourcilière gigantesque, mais ça reste trop peu.
Il tire un peu la gueule, mais ça ne suffit pas à me convaincre.
Non. Trop banal.
Il y a quelque chose d’intéressant avec ces oreilles décollées, mais ça n’est toujours pas assez.
Ah ? Pourquoi pas...
Son profil est convainquant ! LÀ on a du moche !
Malheureusement pour nous, il ne fait que passer et Becky n’a pas eu le temps d’aller le saluer...
Son coup de soleil mis à part, encore un physique trop banal.
Toujours trop banal.
C’est pas encore ce qu’il y a de mieux mais cette mâchoire super creusée et cette lèvre supérieure quasi invisible me plaisent bien... En attendant de voir passer celui qu’on a en tête (et qui n’est toujours pas là après plusieurs heures d’attente), essayons de faire sa connaissance...
Mais à peine l’avons nous salué que...
... celui qu’on cherche est là !
“Salut ! Ça te dirait pas d’être donneur de sperme ?”
“Quoi ? Mais ça va pas ?! Pour me retrouver avec un bébé sur les bras un jour ou l’autre ?!”
“J’ai trop de problème à gérer pour ça. On vient à peine de me libérer du labo où ils faisaient leurs expériences sur moi, je suis trop encore foldingue pour avoir un enfant à charge !”
“Mais non ! Tu serais anonymisé. Je pourrais même te retirer de l’arbre généalogique. Personne d’autre que toi, moi, la narratrice, et ses lecteurs seraient au courant ! Et à vrai dire, c’est pour moi. Je suis l’héritière d’un Uglacy, enfin... si mon petit frère ne me détrône pas à l’adolescence, et pour ça, j’ai besoin de gènes comme les TIENS !”
“Pas de responsabilités parentales alors ?”
“Mmmh, c’est vrai que j’ai les gènes parfaits pour un Uglacy !”
“Si tu jures de me retirer de l’arbre généalogique, j’accepte ! Je pourrais transmettre mes superbes gènes sans avoir à chambouler ma vie. C’est tout bénef’ !”
“Allez, un p’tit câlin pour conclure notre accord.”
Voilà qui est décidé ! Hector le géniteur disparait donc de longues minutes aux toilettes et puis en revient avec un petit flacon plein d’une substance magique... que Becky va immédiatement utiliser !
En espérant que la fécondation fonctionne, Becky s’est décidée à revendre les meubles des chambres de son frère et sa sœur, et ainsi faire de la place pour son futur bébé. Et puis peut-être pour un autre qui viendra ensuite. Juste au cas où.
La voilà donc en train de méditer face à la mer quant à sa place dans la famille. Elle croise les doigts pour avoir un enfant qui sera suffisamment moche pour détrôner Brice, mais s’inquiète aussi du changement de vie radical que cela va provoquer.
Et puisque la famille avait de l’argent à dépenser... on a ENFIN planté des arbres partout ! La propriété commence ainsi à avoir un air luxueux, ce qui n’est pas pour me déplaire !
Ai-je vraiment besoin de légender ceci ?
“FLORINDAAAA !! POURQUOI A T-ON UN HOMME DE MÉNAGE MAINTENANT ??!”
Faut croire que Junior ne suffisait plus !
Même si en fait, ça date déjà des derniers jours de Charlotte... Seulement, Becky ne l’avait pas encore remarqué, à n’être quasi jamais là !
Je vous laisse légender ça comme vous voulez.
Et voici l’un des côtés obscurs de la vie de retraité : déboucher les toilettes que personne ne touche puisque tout le monde est soit au travail, soit ailleurs !
En parlant d’ailleurs, c’est sur la plage que Becky se trouve. Elle profite d’avoir encore un ventre plat pour prendre le soleil.
Quant à Florinda, elle gravit encore les échelons ! Presque à la moitié de son objectif !
Elle continue donc de travailler sa cuisine devant SimChef.
“Papa... vous avez vendu les toiles de maman et toi qu’il y avait dans ta chambre ?”
“Oui ma chérie... on a fait de la place pour mettre nos photos à nous. Florinda et moi n’en avons pas encore !”
“Mais papa... c’était maman...”
“Nous avons gardé le photomaton de ton père et Charlotte à côté du lit, tu sais !”
“Mais c’était maman...”
Il va falloir t’y faire Becky... avec toutes ces baies vitrées, il y a peu de murs disponibles pour entasser tous les portraits qu’on fait !
Pendant ce temps-là, dehors...
“Mouahahhahah, je suis vilain !”
“Mouahahah, je suis VRAIMENT un vrai grand vilain !”
“Je vais voler ce journal et....”
“... partir avec !”
Et ainsi se clôt ce chapitre.
Comment vieillira Brice ? Becky est-elle enceinte ? Si oui, comment la vie de ce bébé chamboulera t-elle la famille ? Et si ce bébé naît, sera t-il plus moche que Brice ? Brice et le nouveau bébé seront-ils en compétition pour l’héritage ? Becky va t-elle enfin calmer sa libido et se ranger pour s’occuper d’un bébé ? Je ne sais pas encore, mais la suite nous le dira.
En attendant, portez-vous bien !
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Sortez d’ici
Napoleon was telling the exiles what a crook Bourrienne was, along with Talleyrand....
Dans ce temps, Talleyrand était avec Bourrienne de moitié, mais il trouvait que Bourrienne allait bien vite et lui disait qu’il se perdrait :
— Oh non ! disait Bourrienne, c’est impossible. J’ai couché dans la tente de l’Empereur en Egypte.
Talleyrand me demanda ensuite ce que cela voulait dire ! Je répondis que j’avais une tente composée de plusieurs pièces, que les officiers d’état-major couchaient dans une partie. Pour peu que Bourrienne eût été joli garçon, Talleyrand en eût conclu qu’il y avait eu des liaisons plus intimes.
Bourrienne, un jour, fondant presque en larmes, me demanda de lui prêter un million.
— Et pourquoi? dis-je.
— Je veux tout vous dire.
Et il me conta l’embarras où étaient ses affaires.
— Comment! Vous étiez de moitié avec ces fripons qui me volent et vous étiez mon secrétaire! Sortez d’ici.
Je ne l’ai plus revu. Je fis bien, mais j’eusse dû lui dresser le derrière et l’emprisonner. J’avais des moyens de l’attaquer. Il me connaissait bien. Il ne fallait pas faire de moi un ennemi. Il croyait que je ne pourrais pas me passer de lui, que nul autre ne pouvait écrire sous ma dictée. Il se trompait. Je demandai au prince Joseph s’il pouvait me donner quelqu’un. Il m’envoya Méneval qui, au bout de huit jours, le remplaça parfaitement.
* * * * * *
At the time, Talleyrand was in with Bourrienne for half, but he thought Bourrienne was going very fast and told him that he would be lost:
— Oh no ! said Bourrienne, it's impossible. I slept in the Emperor's tent in Egypt.
Talleyrand then asked me what that meant ! I replied that I had a tent made up of several rooms, that the staff officers slept in one part. If Bourrienne had been a homosexual, Talleyrand would have concluded that there had been more intimate relationships.
Bourrienne, one day, almost bursting into tears, asked me to lend him a million.
— Why?? I said.
— I want to tell you everything.
And he told me of his business debts.
— What ! You were in for half with these rascals who steal from me and you were my secretary ! Get out of here.
I never saw him again. I did well, but I should have kicked his ass and imprisoned him. I had ways to attack him. He knew me well. You shouldn't make me an enemy. He believed that I could not do without him, that no one else could write under my dictation. He was wrong. I asked Prince Joseph if he could give me someone. He sent me Méneval who, after eight days, replaced him perfectly.
https://www.napoleon-histoire.com/sainte-helene-bertrand-janvier-1818/
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En peine d’action.
Je jette les draps pour sortir hors du lit. Le craquement résonne encore derrière mes paupières peinant à rester ouvertes. L’image d’un éclair de lumière s’éclipse en alternance avec l’obscurité relative de ma chambre. Le sol tremble. Le son d’une alarme tourne en fond de mes pensées. Ces mêmes alarmes qu’on entend une fois par mois, pour l’exercice. Je me retiens de tomber du bord du matelas qui est à même le sol avec la main. Raté. La gueule contre le plancher, je parcours du regard les environs avec difficulté. Tout m’apparaît flou. Je distingue pourtant quelque chose à quelques centimètres de mon visage. Cette masse contraste avec le reste du plancher et semble se prolonger contre moi. J'essaie d’ouvrir les yeux plus grand, je les plisse. J’esquisse un sourire. Je me sens stupide. J’ai du mal à garder les yeux ouverts, je n’ai aucune idée de ce qu’il se passe dehors, et moi, mon problème, c’est de reconnaître ma main ? Ma main ! C’est ridicule. Je ferme les yeux. J’inspire.
Elle ne bouge pas. Je dois être épuisé. Je suis certainement épuisé. Le plancher est si froid contre ma peau. Ou bien c’est moi qui brûle ? Pourquoi personne ne vient m’aider à me relever ? A l’aide ! L’absence de réponse résonne dans le vide de la pièce. Je suis seul et pourtant j’ai l’impression que quelqu’un m’enfonce ses pouces dans les yeux. J’inspire à nouveau. Mais mes poumons ne sont pas prêts. Une. Deux. Trois secousses. Tout l’air que j’avais capturé s’envole. Expulsé hors de moi contre ma volonté. Sortez moi d’ici ! Sortez moi d’ici ! A l’aide ! ...
Et éteignez cette fichue alarme ! Impossible de sombrer inconscient tant son volume la rend désormais insoutenable. Impossible de me boucher les oreilles, mon corps est toujours vautré sur le plancher, immobile. Impossible d’agir. Je suis captif. Prisonnier dans cette cellule de chair et d’os. Et j’ai comme boulet enchaîné à mon pied, l’impossibilité de me souvenir du jour d’hier. Oh, je préférerais mourir qu'être témoin une seconde de plus de cet insupportable spectacle.
Un flash. Le sol tremble à nouveau. Un second flash. Le tremblement s’intensifie. Un troisième flash. Cette fois c’est toute la chambre qui s’illumine. Le verre de la fenêtre cède instantanément sous l’onde de choc. Une vague de chaleur s’engouffre au travers. Elle emporte avec elle les débris de bois et de verre qui n’avaient pas encore lâché. Par chance, je suppose, le gros de la déflagration passe au dessus de mon corps inerte.
Quelqu’un crie. La voix paraît paniquée. Louis ?! Elle cherche Louis. Louis, réponds moi ?! J’aimerais parler. Lui dire que je suis tout seul ici. Qu’il n’y a pas de Louis. Puis la pensée s’envole et s’embrase. Je dois réellement être fiévreux. Peut être même que je délire. Je délire et il n’y a personne. Ni Louis. Ni personne qui le cherche. Ni flash. Ni tremblement. Ni fenêtre qui vole aux éclats. Juste peut être ce qu’il me reste de raison. Je ferme les yeux. J’inspire.
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Voici qui seraient les 10 candidats de la 2e saison de Sortez-moi d'ici!
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27. Crise de sens
Pourquoi quatre pointes ?
Pardon ?
Sur une fourchette. Pourquoi est-ce qu’on a choisi de mettre quatre pointes sur les fourchettes ? Pourquoi pas cinq ? Ou trois ?
Eh bien…
Est-ce que c’est un choix empiriquement éprouvé ? Comme le fait que l’homme est désormais deux bras, deux jambes, deux yeux, deux oreilles, une bouche… L’évolution les a définis comme les critères les plus adaptés à notre survie. Ce serait pareil pour les fourchettes ? Depuis leurs créations, à travers les âges, les hommes auraient essayé tout type de fourchettes, avec des nombres changeants de pointes, et un consensus empirique aurait été entendu sur quatre ?
On peut effectivement considérer qu’il s’agit du fruit de l’expérience humaine. Mais pourquoi cette interrogation ?
Ce n’est pas que les fourchettes ! Pourquoi est-ce que l’on passe un tiers de sa précieuse vie à dormir ? Pourquoi est-ce qu’on mange des animaux ? Pourquoi nous déplaçons-nous dans des boîtes de ferraille polluantes ? Pourquoi est-ce que nous nous persistons dans certains comportements alors que nous savons qu’ils sont nuisibles ? Le jeune homme s’arrête durant quelques secondes pour tenter de remettre ses idées en ordre. Vous savez, ce phénomène, quand vous répétez trop de fois le même mot d’affilée et qu’il en perd tout son sens ? Ben, moi, c’est ce qui se passe avec la vie. J’ai passé beaucoup trop de temps à y penser et désormais, elle n’a plus aucun sens pour mon système cognitif. Je… C’est comme ce film, vous savez, Donnie Darko ? Vous l’avez vu ? C’est comme si tout était semblable, en apparence, mais plus rien n’a de sens. Et je me dis… Peut-être que l’on est dans un univers tangent. Eh oui… Ça expliquerait bien des choses. Peut-être que notre réalité a été court-circuitée, et qu’il faille rétablir l’ordre en revenant dans l’univers primaire. Peut-être suis-je le réceptacle ? Et alors, vous seriez la morte manipulée ! Mais dans ce cas, ça veut dire que vous mourrez à un moment. Je me demande comment ? C’est peut-être moi qui vous tue, en fin de compte.
Est-ce une menace ?
Quoi ?... Non. Bien sûr que non. Ce que je veux dire…
Vous sentez-vous déconnecté de la réalité, Matthieu ?
Non... Ce n’est pas ce que je voulais dire. Le film n’était qu’une illustration, il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre. Vous me demandez ce que je ressens…
Oui.
Je ne suis pas fou, ok ? N’essayez pas de me faire dire ce que je n’ai pas dit. Je ne me sens pas déconnecté de la réalité, je ne comprends simplement pas la réalité dans laquelle je suis.
Beaucoup de personnes passent leur existence à chercher un sens à la vie.
Je ne cherche pas un sens à la vie, je sais pertinemment qu’il n’y en a pas. Tu parles d’une perte de temps. La vie, en tant que concept, est vide de sens. Elle est aléatoire. Ce sont les plus petites choses qui devraient avoir du sens.
Comme les fourchettes ?
Exactement. Les fourchettes, les lits, les chaussures, la musique électro, les tatouages, les allergies au gluten, les prix des taxis, les figurines pop!. Et plus généralement, nos modes d’hyperconsommation, notre haine de ce qui est différent, notre langage, notre indifférence face à la fin programmée de notre planète. Ah, et les pizzas à l’ananas. Tout ça n’a aucun sens.
Est-ce que tout cela doit avoir du sens, pour vous ?
Ce sont nos actions, nos décisions. Celles des êtres humains. Et ça n'aurait pas de sens ? Vous essayez de me dire que tout ce que nous faisons, n’a aucun sens ?
Ce n’est pas ce que je dis. Ni ce que je crois, d’ailleurs. Il y a de nombreuses explications possibles, de nombreuses raisons, de nombreux points de vue à prendre en compte. On ne peut pas retirer les dimensions culturelles, économiques et politiques, en autres, dans les exemples que vous citez. Je crois surtout que rien ne peut prendre sens sans son contexte.
Le contexte… C’est une illusion. Un piège. Comme tout le reste. Si on creuse un peu… On se rendrait compte qu’un contexte n’a de sens qu’avec son propre contexte.
Un silence s’installe entre les deux personnes. La dame d’âge mûr, assise sur une chaise, finit de prendre des notes et se donne quelques secondes pour décider dans quel sens relancer la conversation.
Est-ce que vous lisez ? Vous pouvez lire, ici, d’ailleurs ? S’il faut, je peux demander à c…
Je n’aime pas lire, coupe-t-il. Il se balade depuis tout à l’heure dans la pièce et s’appuie désormais avec la tête contre l’un de ses murs capitonnés.
C’est un outil intéressant pour apprendre des choses, développer son esprit, et finalement, essayer de donner plus de sens aux choses. N’est-ce pas ce que vous souhaitez ?
Ah oui ? Parce qu’une personne a écrit des trucs qui sont publiés, ça les rend forcément vrais ? Et utiles ? Qui a décrété que tel ou tel auteur détenait plus la vérité des choses que vous et moi ?
C’est à vous d’en décider. C’est là que réside tout l’intérêt. Mais il faut d’abord connaître ce qu’ils ont à dire.
Je m’en fous de ce qu’ils ont à dire. Et je m’en fous de ce que vous avez à dire. Rien n’a de sens. Si vous n’êtes pas là pour remédier à ça, vous feriez aussi bien de partir.
Matthieu…
Non, vraiment, je pense qu’on en a fini. Prenez votre carnet de notes, votre tailleur hors de prix et vos airs supérieurs, et sortez d’ici. Rejoignez ce monde dénué de sens, pendant que vous me maintenez enfermé ici parce que j’ose poser les bonnes questions ! Vous êtes tous contre moi… Personne ne veut me dire la vérité…
Matthieu, s’il vous plaît. Je pense qu’il fa…
Aller ! Dégage ! Je veux plus te voir ! Et dis-leur ne plus envoyer personne !
Se sentant menacée par la gestuelle du jeune homme qui s’est avancé vers elle, la psychologue décide de suivre son injonction et se lève de sa chaise. Elle toque à la porte pour que le garde présent de l’autre côté lui ouvre. “On se revoit bientôt, Matthieu, reposez-vous”, ajoute-t-elle avant de quitter la salle, sa chaise à la main. “Ne comptez pas trop là-dessus. Tous des menteurs. Tous.”, se répète-t-il à lui-même en donnant de légers coups de pied dans la matière ferme qui recouvre le mur du fond.
Vous allez bien ? Demande le garde à la psychologue, qui semble un peu chamboulée par cette fin de session inattendue.
Oui, oui, merci. Ça va aller. Ne relâchez pas la surveillance et prévenez quelqu’un si son état de colère empire d’ici ce soir, ordonne la psychologue avant de s’engouffrer dans le couloir devant elle.
Madame ? Si ce n’est pas trop indiscret… J’ai entendu dire qu’il a assassiné toute sa famille, après avoir découvert qu’il a été adopté… C’est... Vrai ?
Je ne sais pas d’où viennent ces rumeurs, mais cela ne vous regarde pas. Je vous prierai de rester à votre place. Elle se tourne à nouveau et s’apprête à reprendre son chemin, avant d’ajouter une dernière chose. Sa sœur est à l'hôpital, elle devrait s’en sortir.
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'Celebrity Survivor' Wannabe 'Beyond the Edge' Strands Colton Underwood in the Woods, hérésie et drogue
‘Celebrity Survivor’ Wannabe ‘Beyond the Edge’ Strands Colton Underwood in the Woods, hérésie et drogue
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En 2003, CBS a perdu un procès contre British ABC et ITV concernant la version américaine de la série à succès ITV. Je suis une célébrité… Sortez-moi d’ici. Selon un rapport de la BBC de…
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06 décembre 2021 - À la croisée des chemins
Je suis à la croisée des chemins, tombée dans le ravin de ma propre route.
Sortez moi d’ici, mettez la bonne personne sur ma voie. Faites que la bonne porte s’ouvre, guidée moi vers le bon chemin.
Le temps n’existe pas, il ne sera jamais trop tard mais le plus tôt serait le mieux.
Sortez moi de cette prison mentale ou je me suis égarée. Sortez moi de ces pensées désorganisées.
Il y a deux personnes en moi, deux espaces temps: le passé et le futur se bousculent chacun voulant prendre les rennes de ma vie.
Je vis partout sauf au présent.
L’un me crie de ne pas prendre de risque, de rester dans l’impassibilité, mais cela me plonge dans la torpeur et l’insatisfaction, encrée dans une vie qui ne me correspond plus.
L’autre me pousse à rêver à croire en l’impossible, à accepter ma vraie nature. Ma nature créatrice. Mon mental et mon âme sont en conflit quand je voudrais qu’ils travaillent main dans la main pour m’emmener vers la réalisation de ma mission.
Faites que ces conflits internes cessent afin que je puisse trancher d’un coup d’épée la bonne idée à suivre. Faites la germer dans ma conscience.
Je souhaite sortir de cette vie faite de choix qui ne m’appartiennent pas.
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