Tumgik
#Troy Maerten
eorzean-wayfinder · 5 months
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New graphics, who 'dis? - Goblin edition
Last installment with all my Goblin kids, they are the nest batch in my altaholic addiction and overall the new graphics are I think going to treat them well. I've also found after talking to several friends that the 'crystal' default setting in the creator isn't kind to ANYONE.
New on the left, old on the right.
L'devah Fhey - looks the same, if only a bit older.
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Troy Maerten - I LOVE IT. He actually looks more like the half elezen that he's supposed to be.
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Duq Tribeless - All my dark skinned kids are looking SO MUCH BETTER.
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Edelweiss Journey - She looks good, the same. Won't really need any changes.
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Clematis Journey - Edel's sibling. I've never gotten him to look the way I want him to, until now. He might need some tweaking just to see what the options look like but otherwise yaaay.
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Blu Dalmasca - I think the crystal lighting just isn't nice to him here. I'll have to see if he needs any changes under different lighting.
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Garaav Nioremont - Overall I like it. some small changes might be needed but it will take getting him into the actual game to see.
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Blilly Lee Black - He's one I could never get to look right, but also the only character not a complete OC. Difficult with someone based on a character from another game, but I think he might actually finally look the way I want him to be with the new graphics. Also even as accurate as this hair is.... I think it needs to change, all I can think of when I see it is fucking Asahi...
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valonfd · 4 years
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Jour 14: Vendredi 21 août - 111km
Mendionde à l’horizon. Ça devient réel. Je décolle vers 6h du camping. Je traverse Navarrenx sans trouver de boulangerie ouverte. Ce matin ce sera sans café ni viennoiseries. J’ai encore une trentaine de bornes avant Larribar-Sorhapuru qui signe le début de la dernière section tracée par Sam. Je me farcis quelques bonnes bosses et je sais que la journée va être ponctuée de montées jouant avec des pourcentages supérieurs à la quinzaine. Je retrouve Sven et nous parlons des forêts maléfiques. Je plaignais hier soir ceux qui auraient à se les fader au matin. Sven me raconte qu’il a fait la première hier au soir et qu’il était tellement harassé à la sortie qu’il s’est endormi dans un talus au bord de la route juste un peu plus loin. Il me dit en anglais : « les chemins avec des ronces je comprends, pas de problème, les pentes énormes où l’on pousse, ok, mais ça, c’était quoi ? Ce n’est pas du vélo !». Je décolle et m’échappe, les ailes me poussent. Je veux profiter à plein de cette journée, je sais que je vais en baver, mais je veux en baver avec plaisir. La fin de la trace est annoncée goudronnée et même si les pentes seront dures, je sais que c’est un exercice qui ne me pose pas beaucoup de problème.
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Larribar me voilà ! Il n’y a rien ici mais c’est le pied d’une montée remarquable. La suite va être une succession de poussage/roulage dans les caillasses sur de jolis chemins découvrant des paysages de carte postale. Je croise quelques marcheurs, de jeunes randonneuses s’amusent à me faire la Ola quand je passe à côté d’elles. Je fais régulièrement des pauses pour profiter. Ma chérie m’envoie des messages d’encouragements pour cette dernière journée. Ce soir je passerai une dernière nuit en mode bivouac à Mendionde, puis après une journée qui sera sans doute galère dans les transports, j’aurai l’immense bonheur de retrouver ma petite famille qui m’attend à Montauban chez la belle-sœur. Elo ne voulait pas m’attendre à l’arrivée, d’abord parce qu’elle se tapait déjà pas mal de route pendant toutes ces vacances et aussi parce qu’elle appréhendait clairement de me voir arriver en mode zombie. Les images qu’on avait vu de certains finishers des éditions passées l’avait impressionnée et je suis déjà revenu bien amaigri de bons nombres de virées à vélo. Je me toise de bas en haut, je n’ai pas l’impression d’avoir maigri, je suis assez sec, mais pas plus que d’habitude (en même temps il n’y avait pas grand-chose à faire fondre à la base) et je trouve même que j’ai un peu pris du muscle à certains endroits (bon, ne regardez pas la dernière photo sinon vous aller pouffer). Avec tout ce que j’ai mangé les derniers jours, ce serait la moindre des choses et je ne me suis sans doute pas poussé aussi loin dans mes retranchements que certains participants qui finissent la divide en une dizaine de jours.
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J’entame la descente après le sommet de cette énorme montée qui amène à La Chapelle de Sayarza. Une bonne partie se passe en forêt et c’est très agréable. Les parties techniques ou pentues ne sont pas trop nombreuses et ça me va bien. J’arrive plus loin à Ostabat où je vais enfin pouvoir faire une pause-café dans un restaurant qui fait aussi épicerie du village. Je prends quelques provisions même si je suis en fin de parcours - réflexe. Discussion charmante avec un couple qui est en voyage de noces et je repars.
Je continue cette dernière trace avec un grand sourire aux lèvres. Il fait beau, les maisons sont devenues typiquement basques : murs blancs, toits et volets rouges. Le paysage est doux mais pas assez boisé à mon goût. Je préfère la moyenne montagne chevelue comme par chez moi ou dans les Vosges. Ça y est, je réalise, toutes les vingt minutes je me dis : “Mais qu’est-ce que j’ai fait ? C’est complètement dingue ! J’ai traversé la France ! Une course effrénée de plus de 2000km par les chemins !”. Je cherche des souvenirs du parcours, mais à ce stade, les deux dernières semaines forment dans ma tête une boule compacte de papiers froissés, comme si je ne pouvais  dissocier les moments que j’y ai vécu. C’est comme si je n’avais vécu qu’un instant intense et quasi homogène. Je n’arrive pas à sortir une émotion ou une image particulière. C’est la French et j’en suis à la fin, le temps des souvenirs viendra, maintenant c’est juste cette French que je termine et qui se dévoile à moi sous la forme d’un trophée : une boule de papiers froissés - weird.
Je passe Saint Jean-Pied-de-Port qui est bondé de monde. Pas envie de m’arrêter. Je poursuis et les chemins laissent de plus en plus place aux petites routes de montagne. Je fais une pause saucisson fromage à Iroulégy sans trop m’attarder. Il me reste moins de 40 bornes. Au lieu de m’exciter et de rouler à toute allure, je profite. Je suis bien content car je vais arriver en début d’après-midi alors que la veille je pensais que j’arriverais le soir. Rien ne presse. A vingt kils de l’arrivée je prends un malin plaisir à faire durer ma fin de divide en m’arrêtant dans une auberge pour prendre café, eau gazeuse, gâteau et glace. J’échange des sms avec Stef qui me dit : “T’es le seul mec au monde de la divide à bouffer une glace 20km avant l’arrivée Ahaha”. Ouais mais elle est très bonne et en plus je l’ai attendue. J’ai commandé deux boules et j’ai bien cru que les restaurateurs étaient aller traire les vaches pour obtenir le lait dont il avait besoin pour faire les glaces vu le temps qu'ils ont mis à me les apporter. Stef me prévient : montée typiquement pyrénéenne (c’est-à-dire parsemée de raidards qui font mal aux pattes) avant un long faux plat qui sert à rien et qui mène à Mendionde.
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La montée tient ses promesses, costaud, mais je l’ai déjà dit mille fois, la route ça ne me fait pas peur. Au sommet la voiture media me croise à grands coup de Klaxons. Louis et Clément font demi-tour et me rattrapent un peu plus loin. Ils me demandent si j’ai cinq minutes pour faire la star. Séance photo en bikini puis drônage dans la descente, ça sent le podium crédit lyonnais tout ça !
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Je ne peux plus retirer le sourire de mes lèvres, j’y suis, je termine. Je roule assez fort pour ces derniers kilomètres et je me dis que j’arrive plutôt en bonne forme au final. Pause obligatoire devant le panneau Mendionde et hommage aux Picard Brothers.
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J’arrive au restaurant du finish sous les applaudissements, je vois Karim, Loïc et d’autres dividers. Je me retourne et là - surprise ! Ma chérie est finalement venue me rejoindre ! aux anges.
Je ne suis pas submergé d’émotions comme j’aurai pu le croire, je suis juste extrêmement bien. On échange des checks du coude avec les dividers et les organisateurs. Sam me remet le précieux t-shirt de finisher et m’annonce mon temps de voyage : 13 jours 8 heures et 45 minutes. Je m’enquille une Badoit, une pinte de bière, un Patxaran et une autre pinte en l’espace de deux-trois heures, soit plus que ce que j’ai bu depuis un bon mois sans doute.
Dino arrive un peu plus tard, puis Thomas et Jérôme, les trois mousquetaires, Sven, Nicolas et Nick, les deux derniers auront le droit à une belle saucée. Je fais la connaissance de Stefan Maertens, Patrick Lamarre et sa compagne. La soirée est amicale et bavarde. J’aurai finalement le droit à l’hôtel ce soir et pas de retour compliqué à organiser en train le lendemain. Mais surtout j’ai eu le droit à la plus belle surprise à l’arrivée qu’on pouvait me faire. On met mes vêtements de la divide en quarantaine dans une boite, j’enfile mon t-shirt de finisher.
… Voilà, c’est fini …
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unarbreenflandres · 4 years
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Le camembert DEQUIDT
J’avais découvert, il y a quelques années, des étiquettes de camembert portant le nom DEQUIDT, en vente sur Internet. Et puis, au fil des rencontres sur Facebook, quelques années plus tard,  j’ai noué des liens avec Michelle DEQUIDT, la belle-fille des fabricants de ces camemberts. C’était l’occasion rêvée de mieux connaître cette branche de la famille.
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Un peu de généalogie
Quelle est cette branche DEQUIDT qui s’est installée en Normandie ?
Louis DEQUIDT, un cousin germain de mon arrière-arrière-grand-père Alexis DEQUIDT dont j’avais recherché les 2700 descendants il y a environ vingt ans, s’est marié en 1835 avec une jeune-fille d’Hazebrouck, Sophie MAERTEN et a repris une ferme à Hazebrouck.
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Le plus jeune de ses huit enfants, Léon DEQUIDT, n’avait que quatre ans et demi lorsque sa maman est décédée. Il a épousé, le 7 avril 1875 à Caëstre, une homonyme de sa mère, Clotilde MAERTEN qui était en fait son arrière-petite cousine, soit une parente au quatrième degré, en droit canon. Et le couple s’est installé sur la ferme Egernest à Hazebrouck qui est encore occupée à ce jour par un membre de la famille. Elle est située sur le territoire d’Hazebrouck mais à la limite de la commune de Borre. De 1876 à 1894, Léon et Clotilde ont eu huit enfants dont un petit garçon qui mourra à l’âge de treize ans, en 1899.
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source: cadastre de 1902 https://archivesdepartementales.lenord.fr/?id=viewer&doc=accounts%2Fmnesys_ad59%2Fdatas%2Fir%2FCadastre_napoleonien%2Fcadastre_napoleonien%2Exml&page_ref=9683&lot_num=1&img_num=1&index_in_visu=
Lorsque la Première Guerre Mondiale s’est déclarée, tous les enfants étaient mariés et avaient quitté la ferme d’Hazebrouck sauf le dernier, Jérôme DEQUIDT qui avait vingt ans et demi en août 1914. Sa fiche matricule étant vierge du fait des destructions des archives du bureau de recrutement de Dunkerque, je n’ai pas pu savoir dans quels régiments il a combattu. Une photo transmise par son petit-fils Régis nous indique qu’il était au 84° régiment d’infanterie. L’aîné des fils, Louis DEQUIDT, avait été fait prisonnier par les Allemands le 10 octobre 1914 à Lille et il était interné au camp de Merseburg. En ce qui concerne les autres fils de Léon et Clotilde, Henri DEQUIDT avait été réformé pour faiblesse générale car il souffrait de bronchite. Quant à Martin DEQUIDT, il a combattu durant la Première Guerre Mondiale car il a été gazé mais j’ignore ses états de services du fait de la destruction de sa fiche matricule.
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source: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62951803/f2.image.r=egernest?rk=21459;2
D’après le bulletin des réfugiés du département du Nord en date du 20 novembre 1915, des uhlans ont été aperçus, vers 6 heures du matin, sur le chemin de terre qui va de l’Egernest au cabaret des Trois Tilleuls. Des chasseurs français ont tiré sur eux. Après avoir patrouillé durant toute la matinée, les uhlans ont envahi le cabaret, obligeant les aubergistes qui s’étaient réfugiés dans la cave à rester auprès d’eux. Durant quatre heures, jusqu’à ce que la nuit tombe, des échanges de tirs ont eu lieu entre les chasseurs et les Allemands. Les uhlans sont finalement repartis en direction de Caëstre. Ayant eu un cheval tué, ils en ont pris un autre dans l’écurie de Léon DEQUIDT. Celui-ci entra dans une vive colère à cause de la disparition de son cheval ce qui lui occasionna une crise cardiaque qui a conduit à sa mort, le 21 avril 1916, alors qu’il avait 67 ans.
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La tombe de Léon Dequidt et de Clotilde Maerten au cimetière d’Hazebrouck
Son décès a été déclaré à la mairie par Angèle VANGRAESCHEPE, sa belle-fille qui était l’épouse de Martin DEQUIDT et par Jérôme DEQUIDT, son plus jeune fils. Angèle était domiciliée à Woirel, dans la Somme et elle avait un enfant à charge, le petit Maurice dont on reparlera plus loin. Etait-elle venue chez ses beaux-parents pour les soulager dans le travail de la ferme ou s’occuper de son beau-père malade? Elle aura un deuxième enfant, Marie-Clotilde, née à Woirel en décembre 1917. On peut donc penser que cette petite fille a été conçue lors d’une permission de Martin. Jérôme bénéficiait-il également d’une permission au moment du décès de son père ?
  Martin DEQUIDT, le voyageur
Lorsqu’il s’est marié avec Angèle VANGRAESCHEPE, le 14 septembre 1910, Martin DEQUIDT n’a peut-être pas eu d’autre choix que de s’éloigner de sa famille pour reprendre une ferme dans la Somme, tant les fermes dans le Nord étaient difficiles à trouver et la ferme de ses parents étant réservée au plus jeune fils comme il est de tradition dans les Flandres. Martin et Angèle avaient fait un contrat de mariage devant Maître LENNE, notaire à Saint-Omer, le 1° septembre 1910.
Woirel est située à une petite vingtaine de kilomètres à vol d’oiseau, au sud d’Abbeville mais tout de même à plus de cent kilomètres d’Hazebrouck. De 1913 à 1921, Angèle y a mis au monde cinq enfants dont des jumelles en 1921.
La ferme de Woirel étant sans doute trop petite pour pouvoir faire vivre confortablement une grande famille, dans les années 1922 ou 1923, toute la famille a pris la direction de Vaux sur Risle, dans l’Eure, où naîtra leur dernier enfant, Jean DEQUIDT, le 29 décembre 1924. Ils se trouvaient maintenant à environ 270 km à vol d’oiseau d’Hazebrouck. Il va sans dire qu’ils se sont vraiment coupés de ses racines.
Lors de leur arrivée à Vaux sur Risle, l’aîné des enfants, Maurice DEQUIDT avait environ dix ans.
  Le camembert DEQUIDT
Maurice DEQUIDT s’est marié le 2 juin 1937, aux Bottereaux, dans l’Eure, avec Suzanne GALLIC qui, elle, était née dans l’Oise.
Les parents GALLIC avaient également beaucoup bougé. Originaires des Côtes d’Armor, ils ont repris une laiterie à Saint Ouen sur Iton, dans l’Orne : « la laiterie de la Croix Rouge ». Puis en 1911 ou 1912, ils ont ouvert une laiterie-fromagerie à Ressons sur Matz, dans l’Oise. Malheureusement, la guerre a anéanti leur projet. La zone a été envahie par les Allemands dès 1914 puis la bataille du Matz, en 1918, a entraîné d’importantes destructions de bâtiments. Après la Première Guerre Mondiale, ils ont créé une petite fromagerie familiale aux Bottereaux, au lieu-dit la Cocantinière.
Forte du savoir-faire de ses parents et des connaissances acquises à l’école d’agriculture, c’est tout naturellement que Suzanne GALLIC a développé une activité de fromagerie dans la ferme de la Cornablière qu’elle exploitait avec son mari, Maurice DEQUIDT.
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Cette activité s’est développée au point que Suzanne et Maurice ont créé, vers 1950, une fromagerie à Neaufles sur Risle, juste à côté des Bottereaux qui s’est tout d’abord appelée la “fromagerie de Ratier”, Ratier étant un lieu-dit de la commune. Elle est ensuite devenue  la « fromagerie de la Risle », du nom de la rivière proche. La fromagerie était identifiable grâce à son code AA27 ou 27AA. Au plus fort de la production, mille camemberts étaient fabriqués chaque jour ainsi que du beurre et de la crème. Les produits étaient vendus dans les épiceries ou sur les marchés locaux et également consommés dans les restaurants de la région. Une partie était portée aux Halles de Paris une fois par semaine.
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L’étiquette du garçon était très appréciée des consommateurs qui trouvaient d’ailleurs qu’il avait une grande ressemblance avec Roger, un des fils de Maurice et Suzanne.
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Mais il y avait aussi la fillette.
Sachant qu’il faut deux litres de lait pour faire un camembert, il pouvait rentrer deux mille litres de lait, chaque jour, dans la fromagerie soit cent bidons de vingt litres. En amont de la fabrication du camembert, il y avait donc toute une logistique de collecte de lait frais dans les fermes environnantes et ce, chaque jour.
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Lorsque le lait arrivait à la fromagerie, on le faisait cailler en y mettant de la présure. Cette opération se faisait en deux ou trois heures. Puis le caillé était introduit dans des moules à l’aide d’une louche. Il fallait prendre soin de manipuler les morceaux de caillé sans les casser. Les fromages frais étaient ensuite retournés. Puis au bout de douze heures, ils étaient démoulés et salés. Ils étaient ensuite placés sur des grilles pour être bien aérés et permettre le développement de la flore microbienne. Enfin, ils étaient emballés et mis en boîte.  
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Les étiquettes des boîtes de camembert ont varié au fil des années, faisant toujours apparaître en bonne place le nom DEQUIDT.
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Les cinq enfants de Maurice et Suzanne ont également prêté main forte à leurs parents plus ou moins longtemps et lorsque ceux-ci se sont approchés de la date fatidique des soixante-cinq ans, en 1977, ils ont cédé leur entreprise à deux de leurs fils, Roger et Gérard DEQUIDT.
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En 1980, la fabrication a été abandonnée car les installations n’étaient plus aux normes et l’investissement demandé était trop important. Mais les deux frères ont poursuivi le commerce de gros et de demi-gros pour la restauration collective, ce qu’on appelle maintenant la RHF (restauration hors foyer). Ils ont transformé les bâtiments de la fromagerie, selon les normes européennes, en entrepôts frigorifiques. Leur négoce a été vendu à la Coopérative d’Isigny en 1995.
Le camembert DEQUIDT a donc eu son heure de gloire entre les années 1950 et 1980.
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Un carré normand est venu compléter la famille des fromages normands fabriqués par la fromagerie de la Risle.
Je remercie mes cousins Michelle et Roger DEQUIDT de m’avoir aimablement informée sur l’activité fromagère de leurs beaux-parents et parents respectifs (Suzanne et Maurice DEQUIDT) ainsi que mon cousin Régis en ce qui concerne son grand-père Jérôme DEQUIDT et son arrière-grand-père Martin DEQUIDT.
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patern29 · 5 years
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Le CNTL, Champion de France des Clubs
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Le Cercle Nautique et Touristique du Lacydon – CNTL est champion de France des Clubs IRC-UNCL.
Le Cercle Nautique et Touristique du Lacydon , le CNTL, décroche pour la première fois l’un des prix les plus convoités remis par l'UNCL : celui de 1er Club de France pour l’année 2019. Un titre national qui a été confirmé ce week-end à l'occasion de la remise des prix des Championnats IRC UNCL Méditerranée, et qui sera officiellement remis lors de la Nuit de la course au large, le 14 décembre, en marge du Nautic à Paris. Equipage et double « Ce titre vient récompenser un bel effort du pôle voile et de ses régatiers, et conforte la position majeure du CNTL sur l’échiquier national » analyse le président Michel Graveleau, « C’est un bel échelon qui a été gravi, avec la détermination de porter haut les couleurs du club à Marseille et en dehors, de développer la course en double, et grâce à une volonté d’ouverture à l'international également. Un beau résultat dans la perspective des JO sur le plan d'eau de la Métropole Aix-Marseille Provence. » Décerné par l'Union Nationale pour la Course au Large, ce trophée qui existe depuis 2012 intègre les trois meilleurs bateaux de chaque club. Le titre 2019 -particulièrement disputé puisque remporté d'un seul point - revient aux performances individuelles d'Absolutely II, le farr 36 d'Yves Ginoux, littéralement intouchable cette année en IRC3, d'Alkaïd 3, le JPK 1010 de Christophe Heurtauld, lui aussi champion d'Europe en IRC4 à Sanremo pour ce qui est du classement équipage, et à Solenn, le JPK 1080 de Ludovic Gérard, auteur d'une très belle saison en IRC Double, notamment dans la grande course de la Rolex Giraglia dont l'organisation est placée, comme à l'accoutumée, sous la direction du Yacht Club Italiano. Carton plein pour le CNTL « C’est une très belle récompense et une grande fierté pour nos équipages de ramener ce prix au Club » explique Marc Sanjuan, le responsable du pôle voile et vice-président. « Rien ne pourrait se faire sans l'action du Club qui assure tout au long de l'année la mise à disposition de places réservées aux coureurs, le vote d'aides financières, l'organisation de régates et son corollaire, la fourniture et la gestion des équipes de bénévoles compétents et efficaces, que je tiens à remercier à cette occasion, car ce titre leur revient aussi. Il faut rappeler que une grande partie du financements vient directement du club."   Trois des épreuves entrant dans le palmarès du trophée des clubs sont effectivement organisées par le CNTL, au premier titre desquelles la Massilia Cup pour ce qui est des courses en équipages, mais aussi la Duo Max et la Duo Sail, deux des épreuves du programme du championnat en double. Au-delà du titre, de nombreux autres équipages du club performent régulièrement en IRC, comme c'est le cas par exemple de Laurent Camrpubi à bord du TP52 Alizee en IRC0 – qui termine second de la saison au classement individuel - de Bruno Maerten avec le Figaro 2 Shamrock V , quatrième de la grande course de la Rolex Giraglia en IRC B, ou encore de Luc Baradat sur le Delher36 Overdose Charly, troisième à la course de ralliement entre Sanremo et Saint-Tropez. CNTL Michel Graveleau, président du CNTL Marc Sanjuan, responsable du pôle voile, vice-président Samuel Cartier, événements voile Francis Habert, responsable de la commission communication Read the full article
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eorzean-wayfinder · 3 years
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FFXIVWrite2021 - Prompt 15 - Thunderous
The boom of thunder echoed through the small room, waking Troy from his deep sleep. One of his many loves continued to sleep peacefully next to him. He smirked and shook his head in wonder that she could continue to rest through the noise. Being a sailor first and foremost, he was sensitive to any kind of noises that could mean danger to his ship. 
He carefully extracted himself from the bed, leaving the room to walk out and see what the storm looked like. It was in port, so he didn’t think there would be too much damage, but nature always had its own ideas. 
The wind howled around the small house, being just in his smalls he could feel every draft the house had and frowned. He’d have to send someone to fix it all once he was out to sea again. Looking out the window he could see the rain just begin to start heavily through the area and the port. A flash of lightning blinded Troy for a moment and he started counting in his head until the following crescendo of thunder, shook the glass in the window panes. 
There was a sudden scramble behind him and Troy suddenly had a small child clinging to his legs. “Daaaaad, the sky is fighting. Make them stop!” he cried and buried his face against Troy’s thigh. 
Troy chuckled, and put a calming hand on his head. “Sorry T.J. Sometimes you just have to let them fight it out. But come on,” he said gently, pushing him towards his small room. “I’ll tell you the story about the pirate who loved the goddess of the sea.” 
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eorzean-wayfinder · 4 years
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After years of procrastination I FINALLY have all of my character profiles 100% COMPLETE!
BALMUNG
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Mik’hal Zarasten | Lynea Angura | Isobel Lancer | Gale Bishop | Kuroji Takatori | T’ikala Bhudi | Gabriel Maerten | Ylaine Charlemond
MATEUS
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T’kalen Tia | Nicoletta De’Avernay | Hotaru Yumitori | Hiroaki Miyamoto | L’ahja Vanih | Subaru Shimada | Caine Faulcon
GOBLIN
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L’devah Fhey | Troy Maerten
I have also updated my basic RP INFO page. Please feel free to reach out to me for any questions about my characters, my ask box is always open!
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eorzean-wayfinder · 4 years
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FFXIVWrite2020 - Prompt 29 - Paternal
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He hid them away so that no one else found them. It wasn’t that he didn’t trust the crew, but Troy didn’t want the questions that would come with someone else finding the four small chests that he kept hidden in his quarters. 
Four chests, each with an initial on them. One for each of his children. J for Jemmi or his full name, Jeremiah. T for T.J., Troy Junior ( he constantly apologized to that son for his mother sticking him with a junior). D for Dio, a blessedly short name. Dio’s mother had wanted to call him Dioablo, but thankfully Troy had been there for the birth of that son and put the nix on it quickly. And then finally A, for his little princess Anastasia who would be turning a year old the next moon. 
He locked the door and set down his share of the recent spoils the ship took from the recent legal and less legal ventures. Overall it was a good haul, netting them more than they thought they would get and had the crew talking about another leave at the end of the current Moon. It would have suited Tory just fine, he could actually be there for his little girls first name day which would be a change over his other children. 
It wasn’t to say that Troy loved one of his kids more than any of the others, he just hadn’t had a girl before and it brought out a strange protectiveness in him the first time he held her. Not that he wouldn’t fight tooth and nail for any of his kids there was just something… different. 
He opened up each of the chests, revealing them all to contain a strange assortment of letters, jewels, gold, small roughly made toys, shiny rocks, and child drawings. From the moment his eldest, T.J., was born, Troy started saving what he could, anything valuable for them, anything they gave him growing up, birthday letters that he never sent that apologized for not being there, and other various things that reminded him of his children.
Anastasia’s was the least filled, but he always made sure to add an extra piece of jewelry when he found one. He wondered idly and hoped that she would become a beauty like her mother, or maybe she’d take after his mother. That is if she didn’t go an entirely different route and end up like him. Troy shuddered at the thought. Not that he didn’t know and respect a great many incredible women pirates he just wanted more for his little girl.  
Troy shook his head and went back to counting, dividing his share equally between himself and his four children and then taking what they got and dividing it in half. Part to go into the chests to be saved and the other part to go to their mothers to help take care of them now. With the exception of Anastasia’s portion. That and a baby sized pearl necklace would be going with him to her first Nameday celebration.
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eorzean-wayfinder · 4 years
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FFXIVWrite2020-Prompt12-Tooth and Nail
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“Can’t you stay just a little longer Troy?” Heather asked, she caressed his cheek with one hand, the other running along his bare back. He kissed a long her neck, making a soft distressed grunt in his throat before sitting up and throwing off the blanket that covered them both. 
“Come on Heather,” he sighed heavily and ran a hand through his short black hair. “You know very well that I have a ship to run. How else am I going to be able to keep sending you and Jemmy money?” he sighed and moved around the room picking up his various pieces of strewn clothing. 
“I know,” She mused sitting up with her knees to her chest and keeping the blanket tucked up under her arms. “You could marry me? Give Jemmy an actual father to be there for him? I know he’d like that, he misses you when you’re gone.” 
He kept his back to her, wordlessly pulling on his pants and then his shirt. It wasn’t something he could do, just like he couldn’t do it for any of his other lovers or other children in other ports that the ship regularly docked in. It wasn’t that he didn’t love any of them or loved some more than others but ultimately he knew that he belonged to the Sea and she would fight tooth and nail to keep him there.  
Still he knew what she wanted to hear. He couldn’t say it, but Troy could deflect like no other. “Heather my love. You know how it is. I cannot stay and we would only grow to hate and resent each other if we did. I know this, you know this. You are the first one to tell me this when we met.” 
She sighed in defeat and flopped back onto the bed. He could see her watching him as he finished dressing and pulled on his boots. Troy smiled back at her, trying to be reassuring. “You know if you need anything you just have to call the link shell and I’ll be here for both of you.” 
He finished tying his boots and moved over to her, pressing a kiss on her forehead. “I love you and I will let you know when we are heading to port again.” he kissed her again on the lips, putting more feeling into it before he left the room. He smiled brightly seeing his son playing with his wooden ships on the floor. 
“Morning Papa!” he smiled and climbed up to run over and grab onto Troy’s leg. “Time to go on the ship?” 
Troy chuckled and picked the boy up, balancing him on his hip as he moved to collect his pack. “Not yet little mate. Once you’re older and until then you have to take care of your mama for me.” 
“But I am older!” Jemmy protested, his black hair flopping down into the bright blue eyes that he got from his mother. While the color was different Troy could see the same spirit he had in his son, a spirit that belonged on the water on a ship. 
“How many fingers?” Troy grinned, trying not to laugh, knowing fully well that his son would not appreciate it. He stared him down with amusement until the boy held up five fingers. 
“That’s right and how many did I tell you you had to be until you could sail away with me?” he waited as the boy pouted and held up his other hand with another five fingers. “That’s right.” he kissed Jemmy’s forehead and set him back down on the floor, before kneeling in front of him and hugging him tightly. He heard the door to the bedroom open behind them and let go so that Jemmy could run to his mother. 
He smiled warmly at them as he stood and nodded. “I love you two. Keep each other safe.” Troy headed out the door, only turning back to wave at them when he heard Jemmy yell ‘goodbye’. They wanted him to belong there and belong to them, a part of him always would. 
But he belonged to the Sea and he would fight tooth and nail to keep it that way.
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eorzean-wayfinder · 5 years
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Do all your OCs have jobs? How do your OCs compare in personality?
Well this was quite the set of asks.  And since there are so many characters the only way that I could was in a spreadsheet. >.> that or have an ask that was several pages long.
For the similar personalities I highlighted them the same color.
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eorzean-wayfinder · 4 years
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FFXIVWrite2020 - Writing Master List
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I made it all the way this year!! It was a goal that I set myself and I some how managed it over horrible family news and general personal depression and illness.  So, YAY!
Prompt #1 - Crux - Caine Faulcon Prompt #2 - Sway - Subaru Shimada Prompt #3 - Muster - T’ikala Bhudi Prompt #4 - Clinch - Mik’hal Zarasten Prompt #5 - Matter of Fact - Isobel Lancer Prompt #6 - Free Day / No Prompt Prompt #7 - Nonagenarian - Kuroji Takatori Prompt #8 - Clamor - Gale Bishop Prompt #9 - Lush - Nicoletta De’Avernay Prompt #10 - Avail - Gabriel Maerten Prompt #11 - Ultracrepidarian - Hotaru Yumitori Prompt #12 - Tooth and Nail - Troy Maerten Prompt #13 - Free Day - Extra Credit - T’kalen Tia (NSFW) Prompt #14 - Part - Zachariah Nelhah Prompt #15 - Ache - Ylaine Charlemond Prompt #16 - Lucubration - Hiroaki Miyamoto Prompt #17 - Fade - Duq Tribeless Prompt #18 - Panglossian - L’devah Fhey Prompt #19 - Where the Heart Is - Kuroji Takatori Prompt #20 - Free Day / No Prompt Prompt #21 - Foible - L’ahja Vanih Prompt #22 - Argy-bargy - Lynea Angura Prompt #23 - Shuffle - Isobel Lancer Prompt #24 - Beam - T’kalen Tia Prompt #25- Wish - Gale Bishop Prompt #26 - When Pigs Fly - Isobel Lancer Prompt #27 - Free Day / No Prompt Prompt #28 - Irenic - Caine Faulcon Prompt #29 - Paternal - Troy Maerten prompt #30 - Splinter - Mik’hal Zarasten
@sea-wolf-coast-to-coast​
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