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#Verre de maître
rosseneskesen14 · 4 months
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Authentic Tiffany Lamp
Les lampes Tiffany authentiques sont des œuvres d'art intemporelles qui allient à la fois la beauté et la fonctionnalité.
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wilkersonraun05 · 4 months
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Applique Da Parete Tiffany
Les appliques murales Tiffany sont des pièces décoratives uniques qui apportent une touche d'élégance et de raffinement à n'importe quelle pièce.
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hulldickson27 · 4 months
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Lampe Tiffany California
La lampe Tiffany California, un véritable chef-d'œuvre de l'artisanat et du design, éclaire avec élégance et raffinement nos intérieurs depuis plus d'un siècle. Lampe Tiffany la trinité sur mer et sa qualité exceptionnelle en font un véritable objet de collection et de décoration. La lampe Tiffany California tire son nom de son créateur, Louis Comfort Tiffany, célèbre artiste et designer américain du début du XXe siècle. Son esthétique unique, caractérisée par l'utilisation de verre coloré et de motifs inspirés de la nature, a marqué l'histoire du design et continue d'inspirer de nombreux amateurs et passionnés. Que vous recherchiez une pièce maîtresse pour votre salon, une lampe de chevet ou un cadeau d'exception, la lampe Tiffany California saura combler vos attentes et apporter une touche d'élégance intemporelle à votre intérieur. Ses abat-jours en verre coloré, minutieusement assemblés à la main, diffusent une lumière chaleureuse et tamisée, créant une atmosphère douce et apais
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childerspost16 · 4 months
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lampes style tiffany
Les lampes style Tiffany, véritables œuvres d'art lumineuses, sont devenues des éléments incontournables de la décoration d'intérieur. Leur design unique et leur éclairage chaleureux en font des pièces de choix pour ajouter une touche d'élégance et de raffinement à n'importe quel espace. Que vous recherchiez une lampe de table, un plafonnier ou une suspension, les lampes style Tiffany offrent une multitude de possibilités pour sublimer votre intérieur. Des Lampe Tiffany libellule bleue aux vitraux colorés, plongez dans l'univers enchanteur de ces luminaires d'exception. Découvrez dans cet article tout ce que vous devez savoir sur les lampes style Tiffany, de leur histoire fascinante à leur fabrication artisanale, en passant par les différents modèles et styles disponibles sur le marché. Plongez dans l'univers des lampes style Tiffany et laissez-vous séduire par leur charme intemporel.
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fraserhatch10 · 4 months
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Lampe Tiffany Art Déco
La lampe Tiffany Art Déco : un mariage subtil entre l'élégance et l'audace. Lampe Tiffany montmartre années 1920 et 1930 ont été marquées par l'émergence d'un mouvement artistique novateur : l'Art Déco. Caractérisé par son esthétique géométrique, ses lignes épurées et son utilisation audacieuse de matériaux précieux, l'Art Déco a laissé une empreinte indéniable dans le domaine de la décoration d'intérieur. Parmi les pièces emblématiques de cette période, la lampe Tiffany Art Déco se distingue par son raffinement et sa singularité. Créée par le célèbre artiste verrier Louis Comfort Tiffany, la lampe Tiffany Art Déco incarne à la perfection les principes de l'Art Déco. Son abat-jour, composé de morceaux de verre colorés assemblés avec minutie, offre un jeu de lumière subtil et envoûtant. Les motifs géométriques, souvent inspirés de la nature ou de l'architecture, confèrent à chaque lampe une
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francepittoresque · 3 months
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EXPOSITION | Léonard de Vinci, les inventions d'un génie ➽ https://bit.ly/Exposition-Vinci-Inventions-Genie La plus grande exposition itinérante sur Léonard de Vinci arrive à Rueil-Malmaison. L’Atelier Grognard devient l’écrin de fer et de verre de 90 maquettes à voir ou à manipuler, conçues à partir des carnets d’inventions du maître florentin
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homomenhommes · 3 months
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Le Trou normand
La tradition dite du trou normand est simple : au beau milieu d’un long repas, le maître de maison vous sert un petit verre d’eau-de-vie accompagné ou non d’un sorbet à la pomme délicatement imprégné de cette même eau-de-vie.
Le calvados est de nos jours de plus en plus souvent servi accompagné d'un sorbet à la pomme, lors des repas festifs.
Le degré d'alcool élevé de l'eau de vie, dite aussi « gnôle », permettait de digérer, si elle était bue juste après avoir mangé un plateau de fruits de mer.
Au tout début, il y eut la pomme, puis grâce à ce fruit défendu est apparu le cidre. Après une longue macération accompagnée d’une petite dose de hasard, l’eau-de-vie est née.
C’est dans son château du Mesnil du Val que le sire Gilles de Gouberville démarre la première distillation. Personne ne se serait douté qu’une telle invention deviendrait un procédé de dégustation très prisé des bons-vivants, mais aussi une polémique pour certains spécialistes de la gastronomie.
L’eau-de-vie ne redonne pas une nouvelle jeunesse, comme son nom pourrait nous le laisser entendre, mais permet, après son absorption, de donner une suite à un repas copieux sans avoir de sensations de trop-plein, de lourdeur ou de ballonnement.
L’eau-de-vie, et plus particulièrement le Calvados ( eau-de-vie de Normandie), stimule l’estomac en créant une sensation de vide que l’expression populaire a dénommé « trou normand ».
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75zit · 1 year
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… Mon maître rebeux avait décidé que nous allions sortir dans un bar gay, c’est un bar qui organise des soirées à thème. Ce soir là c’était soirée kiffeurs. Bien sûr c’est lui qui avait choisi les vêtements que j’allais porter. Son choix s’était arrêté sur un ensemble survet en cuir vegan, avec un jock strap, des cho7 blanches Lacoste que je portais par dessus l’élastique du bas du pantalon, qui était remonté au dessus de mes chevilles, et ma paire de TN noires. Sous la veste du survet il avait décidé que je ne mettrai rien d’autres qu’un harnais, qu’il voulait que tout le monde voit en ne remontant pas le zip jusqu’en haut.
Quand nous sommes arrivés au bar, l’endroit était gavé de monde, tous sappés dans le thème de la soirée. Je passais devant pour créer un passage à mon maître qui était collé juste derrière moi. Si je suis son soumis à dispo en privé, quand on sort, il me traite face aux gens comme son copain ou un pote en fonction des circonstances.
On est arrivé au bar pour commander un verre et ensuite on s’est frayé un chemin parmi la foule.
Il salua quelques connaissances et trouva un groupe de potes qui étaient installés à un table.
On s’est installés avec eux mais comme il n’y avait qu’une seule place de libre, mon maître s’asseya et me dit de m’asseoir sur lui.
Je kiffes quand il me considère comme son copain et qu’on a des attitudes de couple.
La soirée se passait, on discutais avec ses potes lorsqu’il me dit à l’oreille : « j’ai envie de toi salope, j’ai mon zob bien raide qui se frotte contre ton boule, j’ai envie de te pénétrer maintenant ».
Bien sûr ses paroles m’ont chauffé direct surtout que d’être à califourchon sur lui me donnait envie aussi de me faire ken.
Le pantalon de survet qu’il avait choisi a, en plus de la matière qui est kiffante, une autre particularité bien hot : il a un double zip devant et derrière.
Lui avait choisi de mettre un débardeur blanc qui marque bien sa musculature, une veste de survet adidas chile62 et un bermuda en jean un peu destroy avec des AM90 aux pieds.
Il me dit : « soulève toi un petit peu que je bouge ma queue qui est coincée ». Bien sûr c’est ce que je fît et me réinstalla sur lui quelques secondes après.
Il m’avais tiré par les hanches vers lui de façon à être maintenant assis juste au dessus de son zob que je sentais en effet raide et bien dur.
Tout en continuant à parlait avec le groupe, je sentais qu’il commençait à baisser la fermeture éclair arrière de mon survet mais ne pouvait pas le faire en entier. Là j’ai compris : il voulait que je m’assois sur sa queue bien raide, devant tout le monde, sans que personne ne s’en rende compte et continuer à faire semblant de rien. Le bar était tellement full que personne ne s’en serait aperçu. Je décidais alors de l’aider dans son entreprise, me souleva à peine et discrètement passa ma main sous la table de façon à attraper la tirette du zip et l’ouvrit entièrement.
Je me suis calais à nouveau contre mon maître et doucement tira sur les côtés de mon pantalon de façon à ce que l’ouverture de la fente arrière s’écarte bien. Je pouvais maintenant sentir sa tige bien raide contre la raie de mon boule. J’en avait le vertige et des bouffées de chaleur. Il me dit à nouveau à l’oreille « soulevé toi encore un peu discrètement, fais en sorte que que personne ne remarque rien, je vais te foutre ma grosse queue de rebeux dans ton cul de salope et tu vas t’empaler dessus ». Putain j’avais vu juste, il voulait m’enculer devant tout le monde. Waouh j’en pouvais plus d’excitation. Je me suis donc soulevé discrètement comme si je cherchais quelque chose dans la poche de mon pantalon. Lorsque je sentis son gland contre mon trou bien ouvert, je me suis délicatement assis : fuck mon maître était entrain de me bzer devant tout le monde au milieu d’un bar sans que personne ne s’en aperçoive.
Je kiffais ma race, je sentais des petits coups sec dans ma chatte pendant que nous continuions à discuter. Nous avons continué comme ça pendant un bon moment, tantôt c’est moi qui bougeait mon boule, tantôt lui m’attrapait par les hanches ou passer sa main dans mon dos, sous la veste pour attraper le harnais et tirais à fond pour me niker bien profond. J’étais en extase d’avoir la teub de mon maître dans le boule tout en ayant l’air de rien devant ses amis. Et le plus excitant encore c’était quand de temps en temps il me susurrait des choses à l’oreille comme « Tu la kiff sale tapette la queue de ton maître et te faire bzer devant tout le monde » ou « je vais te féconder sale chienne comme une pute au milieu du bar »… putain c’est clair que je kiffais ça….
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... My Arab master had decided that we would go out to a gay bar, it's a bar that organises theme parties. That evening it was a kiffeurs evening. Of course it was he who chose the clothes I was going to wear. His choice had been decided on a vegan leather overcoat set, with a jock strap, Lacoste white soxs that I wore over the elastic at the bottom of the pants, which was raised above my ankles, and my pair of black TN. Under the overcoat jacket he had decided that I would put on nothing but a harness, that he wanted everyone to see by not raising the zip to the top.
When we arrived at the bar, the place was full of people, all covered in the theme of the evening. I was passing by to create a passage to my master who was stuck just behind me. If I am his submissive available in private, when we go out, he treats me in front of people like his boyfriend or a friend depending on the circumstances.
We arrived at the bar to order a drink and then we made our way among the crowds.
He greeted some acquaintances and found a group of friends who were sitting at a table.
We settled with them but as there was only one free seat, my master sat down and told me to sit on him.
I like it when he considers me his boyfriend and we have couple attitudes.
The evening was passing, we were talking with his friends when he said in my ear: "I want you bitch, I have my very stiff cock rubbing against your ass, I want to penetrate you now".
Of course his words warmed me up directly especially since riding on him also made me want to make myself fucked.
The overcoat pants he had chosen have, in addition to the material that is cheeky, another very hot feature: it has a double zip on the front and back.
He had chosen to put on a white tank top that marks his musculature well, an adidas chile62 overcoat jacket and a slightly destroyed denim bermuda shorts with AM90s on their feet.
He says to me: "lift yourself up a little while I move my cock that is stuck". Of course, that's what I did and resett down on him a few seconds later.
He had pulled me by the hips towards him so that I was now sitting just above his zob that I felt indeed stiff and very hard.
While continuing to talk with the group, I felt that it was starting to lower the back zipper of my survet but could not do it in its entirety. There I understood: he wanted me to sit on his hard dick, in front of everyone, without anyone realising it and continuing to pretend nothing. The bar was so full that no one would have noticed. I decided to help him in his business, barely lifted me up and discreetly passed my hand under the table so as to grab the zipper and opened it completely.
I fell against my master again and gently pulled on the sides of my pants so that the opening of the back slot moved away well. I could now feel his hard cock against the ray of my ass. I was dizzy and hot flashes. He says to me again in the ear "lift yourself up a little more discreetly, make sure that no one notices anything, I'm going to fuck you my big dick in your slutty ass and you'll stack yourself on it". Fuck I had just seen, he wanted to bugger me in front of everyone. Wow, I could do more excitement. So I got up discreetly as if I were looking for something in the pocket of my pants. When I felt his hard cock against my well-open hole, I gently sat down: fuck my master was bzering me in front of everyone in the middle of a bar without anyone noticing it.
It was fucking so good , I felt small dry blows in my pussy while we continued to talk. We continued like this for a long time, sometimes it was me who moved my ass, sometimes he grabbed me by the hips or passed his hand through my back, under the jacket to grab the harness and pulled hard to introduce me deep. I was ecstatic to have my master's dick in the hole while looking like nothing in front of his friends. And the most exciting thing was when from time to time he whispered things in my ear like "You like your master's dick and make you fucked in front of everyone" or "I'm going to fertilise you bitch like a whore in the middle of the bar"... damn it's clear that I liked that....
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ltalaynareor · 23 days
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Quelles sont les activités préférées d'Aro ?
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La musique a un effet apaisant sur le roi, surtout la musique classique. Il a un faible pour Mozart, qu'il a d'ailleurs rencontré, ce que tout le clan sait. D'ailleurs, les recrues apprennent vite qu'il ne faut jamais lancer leur maître sur certains sujets, dont Mozart ou Van Gogh.
Il trouve du plaisir aussi en composant des morceaux sur son piano.
Il aime particulièrement lire surtout les œuvres classiques, bien qu'ils soient aussi un grand fan des romans actuels, mais jamais il ne l'avouera à qui que ce soit. Cependant, Sulpicia est bien placée pour savoir que la moitié de la bibliothèque de son mari est remplie de livres qui ont moins de 5 ans.
Il aime rencontrer de nouvelles personnes sans nécessairement utiliser son don. Il aime comprendre l'humanité et regrette souvent les temps anciens où il pouvait s'éterniser avec un artiste et partager un verre de "vin".
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abridurif · 26 days
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À travers la ville et une fois de plus l’arrivée. Par un midi clair. Décharger tout de suite ! Caisses en bois, manuscrit, machine à écrire. C’est le plus lourd. Décharger et monter l’escalier. Il a fallu trois quatre allers-retours. Livres. Des livres pour les quelques jours à venir, des livres de la bibliothèque. La couverture et l’oreiller. Une revue. De l’époque de la Jordanstrasse encore. Un vieux numéro de Pflasterstrand. En tant que sous-main quand j’écris à la main. Pour l’heure, le vieux réveil électrique fatigué de Sibylle avec fil et prise. La couverture et l’oreiller, tu n’en auras pas besoin. Pour finir le sac de voyage et mon manteau. Westend, un beau bâtiment. Se dresse comme une maison de maître solitaire. Solitaire sur trois côtés du moins, un immeuble d’angle. Respirer à fond ! Suis déjà venu ici. Jardinets. Partout des oiseaux, des haies, de grands arbres. Spacieuse et claire la journée. Avec les affaires tout de suite sous les toits. Et puis à trois dans l’appartement du deuxième étage. Dans la cuisine qui vient d’être refaite. Mettre la table. Assiettes, verres, couvert. Moi en invité. Peter Kurzeck, En invité, traduit par Cécile Wajsbrot, L’extrême contemporain, 2023
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claudehenrion · 11 months
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La fin des grands empires et des civilisations
  “Nous autres, civilisations, savons que nous  sommes mortelles”, écrivait Paul Valéry au lendemain de la Grande Guerre… Perse, égyptien, inca, aztèque, maya, grec, romain, moghol ou, plus tard, européens puis américain… les   empires se sont effondrés un à un, avec les civilisations qui les avaient portés, le plus souvent non dans la guerre, mais parce qu'ils ont “pourri” de l'intérieur. Et il semble qu'il y ait comme un plafond de verre : très peu d'Empires ont dépassé  les 250 ans de notre “paradigme” européen. L’Histoire pourrait-elle nous convoquer devant son tribunal ?
La naissance et la fin des Empires a toujours exercé une forme de fascination, que montre le nombre de livres sur “The rise and fall of the XYZ Empire”, –Vie et mort de tel Empire. Depuis la nuit des temps, certains peuples ont imposé leur domination, pour une cause identifiable : le fer, l'or, la foi ou l'esprit –mais jamais le hasard. Plus tard, ils ont tous disparu (“Tout empire        périra”, dit un adage jamais démenti), pour des raisons multiples : crises de croissance, allongement sans fin des lignes de contrôle, non-assimilation des populations conquises, épuisement de “la source” (généralement : une ville, un roi guerrier), paupérisation économique, affaissement du modèle, faiblesse militaire ou apparition et renforcement de rivaux intérieurs et extérieurs. L’ambition ou le rêve d’être universel et éternel finit toujours par se heurter à la résistance de plus  fort que soi, et le temps-qui-passe multiplie les opportunités de voir se dresser des “challengers’‘ qui rêvent de contester ce qui est, au nom de leur propre ’'être” ou du refus de leur “avoir été” soumis ou vaincus.
“La fin des empires” (Editions Perrin), sous  la direction des historiens Patrice Gueniffey et Thierry Lentz,  raconte, explique et analyse la naissance, le déclin et la chute  des plus grands empires, depuis le génie militaire  d'Alexandre le Grand… jusqu'au soi-disant soft power économico-politique de Washington (le plus brutal et le plus impitoyable n'étant pas forcément celui qu'on croit !), en passant par le modèle romain dit “classique” et son héritier byzantin, par les empires des steppes (Attila, Gengis-Khan, Tamerlan), l'Empire ottoman, les  empires amérindiens et le binôme latino-continental espagnol, précédant le XX ème siècle des idéologies (1914-1991) qui a vu tour à tour s'effondrer l'empire des Habsbourg, le IIIe Reich, le Japon militariste, puis, après la guerre froide, le communisme soviétique, héritier inhumain et épouvantable de l'impérialisme séculaire de la dynastie des Romanov.
Brisés dans leur histoire par les deux guerres mondiales, par la faillite des totalitarismes et par le déclin de l'Europe qui avait peu ou prou dominé le monde depuis le XVIe siècle, les empires ont pu sembler condamnés avec “La Fin de l'histoire” (F. Fukuyama –1992). Mais si les empires  existants disparaissent, tout se passe, en fin de compte, comme s'il existait une cause cachée, de nature humaine, que mon maître André Siegfried désignait par “L'Ame des peuples” (une anecdote “perso” : dans les années ‘55, j'empruntais les “cartes” de mes amis pour aller suivre ses  cours à Sciences Po, avant de le retrouver, plus tard et plus officiellement, au Collège de France où j’ai eu la chance de mieux le connaître)
Car l'impérialisme, même mort, semble renaître sans cesse de ses cendres : les avatars de la Chine, l'éternel retour de la Russie, les rêves “ottomaniaques” d'Erdoğan, le poids sans cesse renouvelé des Etats-Unis, et même “l'Umma” arabo-musulmane, ce rêve de la “renaissance” d'un califat fantasmé… tout, dans l'Histoire, exprime la nostalgie de temps “heureux”, même inventés, comme le rêve islamiste (cf. “La gestion de la Barbarie”–2004). A l'opposé de ce programme ravageur, “La fin des empires” est essentiel pour connaître hier,      comprendre aujourd'hui, et prévoir demain. C’est, plus qu'un livre d'histoire, une étude sur l'Histoire, car… quels points communs peut-on trouver, intuitivement, entre la Grèce antique, les empires mongol puis moghol, le IIIe Reich allemand, les empires coloniaux français ou portugais et l’empire aztèque, par  exemple ?
Et pourtant, il ne se peut pas qu'il n'y en ait pas : depuis 5000 ans, des organisations politiques ont rassemblé des peuples, des langues et des religions sous la férule d’un empereur “en armes” prétendant peu ou prou à une vocation ou à un destin universels. Résultat : un “Empire” ne se définit pas par son      étendue (l’empire napoléonien “fait’'8,6 millions km² en 1811, et l’empire des steppes fondé par Gengis Khan, 33 millions km² à son apogée, du Pacifique à la Turquie actuelle)… ni par la durée (mille ans pour l’Empire byzantin, sept ans pour le IIIe Reich)… ni par une religion (il existait 30 000 dieux, vernaculaires ou importés, dans la Rome Impériale… d'où sans doute la célèbre expression : ’'Ils sont fous, ces romains’’ !)… et encore moins par le mode de gouvernement qui va d'une large autonomie aux peuples soumis (Athènes, Rome) à une centralisation paranoïde (la Sublime Porte, la Grande Russie, ou la tentation de  l'ogre  dit ‘’européen’’ actuel).
Les raisons de la création d'un Empire sont peu nombreuses et bien connues : il faut et il suffit d'un homme qui en rêve, d'un dieu qui le soutient, et de quelques critères de nature militaire : les armes de cuivre des hittites ne pouvaient que se rompre devant les épées de fer des égyptiens, les flèches des Incas  devant les tromblons des Conquistadores, la flotte vénitienne devant le ’'feu grégeois” et l'Europe de 1800 devant l'idée de  Napoléon de faire se déplacer les unités de la Grande Armée plus vite que tous ses ennemis, “d'Espagne en Autriche” (cf le célèbre monologue de Flambeau). Mais aussi notre belle infanterie devant la ruée des Panzers de Gudérian, en mai 40, et notre armée conçue pour l'Europe devant les mille ruses des “Bộ đội” fanatisés  de Ho Chi Minh… L'idée motrice, finalement, serait une tentative d'arrêter l'histoire (en la figeant dans une structure dont la taille assurerait une forme d'éternité) même si cette tentation a toujours été vouée à l’échec… ce qui n'empêche pas la vraie fascination qu'elle continue d'exercer.
En revanche, les causes de leur effondrement sont multiples : l’ambition  d’universalité se heurte aux résistances… le temps qui multiplie les opportunités … l'administration de territoires immenses… les mécanismes de succession (cas de l’empire carolingien et de l’empire mongol, qui éclatent en autant de royaumes que d’héritiers)… la désagrégation interne (pour l’empire soviétique)… la faiblesse ou la folie (Hitler et Staline, ces frères ennemis)… le coût du maintien d'un un appareil militaire suffisant (la principale menace pour les États-Unis)… les intrigues pernicieuses de la Cour ou du Harem (la Sublime Porte)… et le recours aux troupes mercenaires (Rome, et dynastie Qing, en      Chine)… l'inconscience des menaces et la trahison (Byzance)… l’inutilité de la super-structure du Saint Empire romain germanique…. Les causes sont nombreuses : presque autant que les Empires !
Que nous réserve la suite ? En fin de compte, se pencher sur la fin des empires, c’est s’interroger sur leur retour, favorisé par le déclin de l'Europe : la chute de l’Union  Soviétique semble avoir été le dernier épisode de la notion      classique d'Empire… (en pire… si j'ose !), même si l'évolution de la construction bruxelloise nous fait régresser vers l’époque médiévale du Saint Empire romain germanique –qui avait réussi à coiffer des duchés et des cités dans un ensemble à peine moins inconsistant que l’actuelle Union Européenne, en      tentant –c'est patent dans le second cas–  de contrer l'Etat-Nation, en le décrétant, contre toute évidence, populiste, réactionnaire, démagogue ou europhobe, voire “illibéral” – ce qui ne veut rien dire. Mais rien ne les arrête : ils se croient à l’abri et osent tout et n'importe quoi
Ce concept d'Etat-Nation, qui a “fait” l'Europe, est né au XIII ème siècle en France quand Philippe Auguste a décrété : “Le Roi est Empereur en son royaume”, illustration d'une volonté de renforcer l'institution royale et d'assurer sa suprématie sur toute autre puissance. L’État-Nation  connaît ses débuts réels à la Renaissance et devient la forme normale d’organisation politique dans la seconde moitié du XIXe siècle. Paradoxalement, c’est en Europe et par l'Europe-institution qu’il semble se déliter maintenant, dans un  pas de deux entre les “modèles” d'Empire et d'Etat-Nation.. Que nous réserve la suite ? L’avenir semble hésiter entre  des empires économiques (USA), théocratiques (l'islam) ou iso-messianiques (Chine), la pérennité d’États-Nations, l’Europe-institution déjà ratée, d’autres formats à créer…
H-Cl.
PS. : Dans mes recherches pour cet éditorial, je suis tombé sur la liste des dix  plus grands empires de l'Histoire, ce qui pourrait intéresser certains d’entre vous, Amis lecteurs. ‘‘Sic transit gloria mundi‘’ : voilà comment disparaît la gloire  du monde… Cette liste, recopiée ‘’in texto’’, raconte une autre vision de l’Histoire du monde : une nette domination des pays ‘’du Croissant d’or’’ jusque vers l’an mil de notre ère, puis l’Asie jusqu’au XIIIè siècle… et l’Europe  ensuite (l’Empire Américain qui en est le pseudopode n’est pas mentionné dans cette étude : il est trop flou dans ses limites mais nous savons qui est le chef, aujourd’hui). Et demain ? Qui ? Où ?
          1 - Empire britannique (35 500 000 km2 en 1920)           2 - Empire Mongol  (33 200 000 km2 en 1279)           3 - Empire russe (22 800 000 km2 en 1895)           4 - Empire espagnol (22 000 000 km2 en 1810)           5 - Dynastie Qing (14 700 000 km2 en 1790)           6 - Empire colonial français (13 500 000 km2 en 1939)           7 - Califat abbasside (11 100 000 km2 en 750)           8 - Califat omeyyade (11 000 000 km2 en 720)           9 - Dynastie Yuan (11 000 000 km2 en 1310)           10- Empire colonial portugais (10 400 000 km2 en 1820)
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jimbojim997 · 9 months
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Today I Learned: French Words & Expressions
estocade (f) – death blow
Le matador donne l’estocade au taureau à l’issue de la corrida.
faquin (m) – (old-fashioned, pejorative) knave
Le faquin ne voulait pas habiller son maître.
outrecuidance (f) – (formal) impertinence, egotism, arrogance
Une telle outrecuidance me dépasse ! Tu ne te soucies de rien.
sichuanais – Sichuan, Szechuan
noblaillon·ne – (pejorative) minor nobleperson
ripailler – (colloquial) to feast
Au retour de la chasse, les chasseurs ripaillent.
mener [qch] à bien – to complete [sth] successfully, see [sth] through
L’architecte mena à bien sa construction dans les délais prévus.
Votre Altesse – Your Highness
Votre Altesse, dit le baron pâlissant, comment oser vous offrir une si triste collation ?
cithare (f) – zither
La cithare est un instrument de musique à cordes pincées.
pétiller – to fizz, sparkle
Le champagne pétille dans les verres.
houleux (h aspiré)– rough, stormy (of the sea)
Les bateaux ne sortent pas, la mer est trop houleuse.
joug (m) /ʒu/ – yoke
À l’époque, l’Espagne était sous le joug romain.
flagorneur – flattering, toadying, sycophantic
Sans vouloir être flagorneur, nous avons besoin de vous.
entrain (m) – enthusiasm, spirit, drive
Ils décorent la pièce avec entrain.
dégainer – to unsheathe, pull out, draw
Le cow-boy dégaina son arme pour prouver qu’il ne plaisantait pas.
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tournevole · 1 year
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À ceux qui viendront après nous
Vraiment, je vis en de sombre temps ! Un langage sans malice est signe De sottise, un front lisse D’insensibilité. Celui qui rit N’a pas encore reçu la terrible nouvelle.
Que sont donc ces temps, où Parler des arbres est presque un crime Puisque c’est faire silence sur tant de forfaits ! Celui qui là-bas traverse tranquillement la rue N’est-il donc plus accessible à ses amis Qui sont dans la détresse ?
C’est vrai : je gagne encore de quoi vivre. Mais croyez-moi : c’est pur hasard. Manger à ma faim, Rien de ce que je fais ne m’en donne le droit. Par hasard je suis épargné. (Que ma chance me quitte et je suis perdu.)
On me dit : mange, toi, et bois ! Sois heureux d’avoir ce que tu as ! Mais comment puis-je manger et boire, alors Que j’enlève ce que je mange à l’affamé, Que mon verre d’eau manque à celui qui meurt de soif ? Et pourtant je mange et je bois.
J’aimerais aussi être un sage. Dans les livres anciens il est dit ce qu’est la sagesse : Se tenir à l’écart des querelles du monde Et sans crainte passer son peu de temps sur terre. Aller son chemin sans violence Rendre le bien pour le mal Ne pas satisfaire ses désirs mais les oublier Est aussi tenu pour sage. Tout cela m’est impossible : Vraiment, je vis en de sombre temps !
II
Je vins dans les villes au temps du désordre Quand la famine y régnait. Je vins parmi les hommes au temps de l’émeute Et je m’insurgeai avec eux. Ainsi se passa le temps Qui me fut donné sur terre.
Mon pain, je le mangeais entre les batailles, Pour dormir je m’étendais parmi les assassins. L’amour, je m’y adonnais sans plus d’égards Et devant la nature j’étais sans indulgence. Ainsi se passa le temps Qui me fut donné sur terre.
De mon temps, les rues menaient au marécage. Le langage me dénonçait au bourreau. Je n’avais que peu de pouvoir. Mais celui des maîtres Etait sans moi plus assuré, du moins je l’espérais. Ainsi se passa le temps Qui me fut donné sur terre.
Les forces étaient limitées. Le but Restait dans le lointain. Nettement visible, bien que pour moi Presque hors d’atteinte. Ainsi se passa le temps Qui me fut donné sur terre.
III
Vous, qui émergerez du flot Où nous avons sombré Pensez Quand vous parlez de nos faiblesses Au sombre temps aussi Dont vous êtes saufs.
Nous allions, changeant de pays plus souvent que de souliers, A travers les guerres de classes, désespérés Là où il n’y avait qu’injustice et pas de révolte.
Nous le savons : La haine contre la bassesse, elle aussi Tord les traits. La colère contre l’injustice Rend rauque la voix. Hélas, nous Qui voulions préparer le terrain à l’amitié Nous ne pouvions être nous-mêmes amicaux.
Mais vous, quand le temps sera venu Où l’homme aide l’homme, Pensez à nous Avec indulgence.
Bertold Brecht, À ceux qui viendront après nous, poème d’exil (1943)
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astridfox1909 · 1 year
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James & Suzy
Déjà quinze minutes qu’elle attendait et toujours rien à l’horizon. Elle avait la sensation de perdre son temps et elle détestait ça. Et cerise sur le gâteau, il tombait des cordes. Ne voyant toujours rien venir elle décida, à contrecœur, de rentrer chez elle. Au diable sa soirée, elle réessayera demain. C’est alors que contre toute attente, elle entendit une voiture la klaxonner, elle se retourna et vit une voiture arriver à sa hauteur. Le conducteur était un jeune homme blond avec une casquette noire, à ses côtés se trouvait une jeune fille rousse en chemise à carreaux. Il lui demanda ce qu’elle faisait ici, elle lui répondit qu’elle rentrait chez elle parce que son nouveau chéri, qui devait l’emmener en soirée, lui avait fait faux bond. Ayant subi le même sort avec ses amis, il lui proposa de venir passer la soirée avec eux. Après quelques instants de réflexion elle accepta la proposition et monta avec eux. Sur le trajet elle apprit que les deux jeunes se connaissaient depuis le lycée et étudiaient à la même fac d’histoire. De son côté, elle était secrétaire dans une agence de communication. Rendue à l’appartement du jeune homme, qui s’appelait James, elle les aida à préparer l’apéritif. Alors qu’ils préparaient, il lui revint en mémoire qu’elle avait pris deux bouteilles de vin avant de sortir de chez elle tout à l’heure. Ils accueillirent la nouvelle avec joie et les ajoutèrent à leur stock. Une fois installés et pour lui souhaiter la bienvenue, Suzy l’invita à servir la première tournée. Elle déboucha donc sa bouteille de Bordeaux et en servit une lampée à ses hôtes, en les remerciant de l’avoir accueillie si chaleureusement et de l’aider à oublier son début de soirée raté. Ils lui offrirent un sourire chaleureux en réponse et trinquèrent avec entrain pour ouvrir le bal. Bientôt on entendit s’envoler joie et candeur, rires et bonheur, la jeune femme s’émouvant petit à petit du jeune couple de colocataires, s’attendrissant de leur complicité et s’amusant de leurs pitreries. Bientôt, la fatigue vint toquer à la porte et l’équipée se trouva très vite prise de somnolences, ils délaissèrent alors leurs verres, espérant que cela les aiderait à atténuer la torpeur, mais rien n’y fit, James finissant même par s’endormir sur le canapé. Soucieuse, Suzy demanda à son invitée le degré des bouteilles, mais ne trouva rien d’inhabituel, le vin étant d’un degré tout à fait classique. C’est alors qu’elle remarqua un détail inhabituel. Alors qu’elle bâillait à s’en décrocher la mâchoire et avait de plus en plus de mal à garder les yeux ouverts, sa consœur semblait être parfaitement réveillée. Essayant tant bien que mal d’élever la voix, elle lui demanda ce qu’il y avait vraiment dans ses bouteilles et pourquoi elle ne subissait aucun effet, le silence fut sa seule et unique réponse. Puis elle la vit regarder sa montre et se lever pour aller fermer la porte, éteindre les lumières et débrancher le téléphone. Désemparée elle se rassit et fondit en larmes. C’est alors qu’elle l’entendit s’approcher d’elle et lui dire d’une voix douce qu’elle n’avait pas à s’inquiéter. Pour les remercier d’avoir égayé sa soirée elle allait prendre soin d’eux et ferait en sorte qu’ils ne sentent rien. Puis elle l’aida à s’allonger sur le canapé avant d’aller dans la cuisine préparer son matériel. Bientôt Morphée devint le maître des lieux et la jeune femme se mit au travail en fredonnant gaiement.
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tigrevert · 11 months
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Istanbul interstice
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Toujours baiser dans les interstices transpirantes du patriarcat.
Vivre et baiser à #istanbul
Erreur de grammaire : interstice est un mot masculin. Très petit espace vide (entre les parties d'un corps ou entre différents corps).
Où on y glisse un doigt, une lèvre, l'apix de la langue, une goutte de bave, au mieux, mon sperme.
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Coq à l'âne.
Tout quitter pour aller vivre à la Rochelle et devenir ostréiculteur et maître bondage.
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Des huîtres en collier à chien
Des puppys en cagette
Des maîtres en tabliers jaunes marins
Du cognac dilué à chaque verre.
Reconversion professionnelle
Évidemment l'homme turc sera toujours là.
Tout quitter et devenir hippopotame.
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ninoprp · 2 years
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Tumblr media Tumblr media Tumblr media
1988, Paris.
Naomi Campbell s'avance sur le podium dans un tailleur composé d'une jupe de crêpe de soie et d'une veste brodée de tournesols, hommage du couturier Yves Saint Laurent à la créativité de Vincent van Gogh.
De cette collection printemps-été 1988 où le créateur français célèbre les grands maîtres, il dira : « Mon propos n'a pas été de me mesurer aux maîtres, tout au plus de les approcher et de tirer des leçons de leur génie. » De quoi inspirer Yves Saint Laurent qui déclinera notamment ce motif floral ainsi que celui des iris.
600 heures de travail
Pour sa collection printemps-été 1988, cette magnifique veste à fond organza jaune entièrement brodée de perles de verre, de paillettes, de rocailles et de ruban, doublée de satin de soie jaune, d’une incroyable finesse, est le fruit d’un savoir-faire exceptionnel de l’une des plus grandes maisons de broderie : la maison Lesage. Pas moins de 600 heures de travail furent nécessaires à la réalisation des multiples nuances et détails des fleurs de cette veste qui en font une grande prouesse de la haute couture. Elle compte par conséquent parmi les pièces de créateurs les plus exceptionnelles et les plus chères du monde.
Van Gogh, à l’instar plus tard d’Yves Saint Laurent, a été influencé par l’art du Japon, alors très en vogue depuis l’Exposition Universelle de 1867. C’est en s’inspirant des nuances vives et mordorées des estampes japonaises et des couleurs du Sud de la France que van Gogh avait conçu sa série des Tournesols.
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