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#XVe siècle
ladisparition · 2 years
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Le secret de l'histoire naturelle contenant les merveilles et choses mémorables du monde, XVe siècle. Bibliothèque nationale de France, Département des Manuscrits, Français 22971 (Gaignières 92).
Le manuscrit pourrait — ou pas — être post-contact. À voir ; il ne semble traiter que de l'"ancien monde". Les questions : d'où nous vient cette images d'hommes rustres, brutaux et poilus, vêtus de peaux et armés de gourdins ? Les grecs ont leurs barbaroï, les celtes en particulier, nus et hurlants... l'idée d'un avant–après simplifie à outrance, mais comment passe-t-on de "sauvages qui ne partagent pas notre sophistication" à "peuple primitif moins avancé" ? De "moins bien que nous maintenant" à "d'un autre temps que nous, d'un temps passé" ? Ou bien ces deux énoncés s'articulent simultanément l'un dans l'autre ? Bref de quel puits Darwin tire-t-il son eau ? Ce puits, il est profond comment ?
*edit* first found the image on the v cool medieval_psychedelia insta
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coovieilledentelle · 12 days
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A la claire fontaine m'en allant promener J'ai trouvé l'eau si belle Que je m'y suis baignée
Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai
Sous les feuilles de chêne Je me suis fait sécher Sur la plus haute branche Le rossignol chantait Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai
Extrait de : À la claire fontaine" est une chanson française traditionnelle qui vient d'un poème anonyme écrit entre les xve et xviiie siècles
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Georges Merle (1851-1886) "Une sorcière au xve siècle" ("A Fifteenth-century Sorceress") (1883) Oil on canvas Located in the Birmingham Museum of Art, Birmingham, Alabama, United States The commanding figure depicted in the middle of performing a spell is likely a subject from literature, although the source has yet to be identified. The mysterious symbolism, including a voodoo doll, pentacle, Egyptian imagery, and more, can be clarified when the origin of the story is known. Until then, the secrets of "The Sorceress" remain fascinating and perplexing.
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chic-a-gigot · 1 year
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Le Petit écho de la mode, no. 4, vol. 19, 24 janvier 1897, Paris. 6. Travestissements. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
1. Fée du houx. Robe en gaze vert tendre semée de haies de houx. Guirlandes de houx posées au corsage et sur la jupe. Touffe de houx dans les cheveux. Baguette dorée avec piquets de houx.
2. Costume de dame anglaise au XVIe siècle. Robe de dessous en satin bleu pâle quadrillé de galons d’or avec cabochons de turquoise au milieu des carrés. Manteau en soie ou velours vieux rouge orné de galon d’or. Manches en satin blanc. Bande de fourrure dans le bas de la jupe. Coiffure en satin blanc avec pierres de couleur autour du fond et une grosse pierre turquoise ou brillant sur le front.
3. Costume de dame italienne, fin du XVe siècle. Jupe en satin rose broché. Corselet velours grenat, manches et robe de dessus en velours mousse bordés galon or. Draperies du corsage et crevés en satin blanc ou rose. Collier perles fines. Petite couronne or et perles au-dessus du chignon.
4. Costume de Pierrette. En satin jaune avec boutons bleu ciel.
5. Costume de clownesse. Robe en satin rose recouverte de gaze verte. Manches gaze verte et rose alternées. Papillons de paillettes brodés sur le corsage et sur la jupe. Gants et bas noirs. Papillons sur les souliers en satin rose. Papillon voltigeant au-dessus de la tête au moyen d’un fil de laiton léger.
6. Costume de Suissesse, fin du XVe siècle. Corsage velours noir à chemisette satin jaune. Jupe soie bleu paon avec bande satin jaune bordée galon argent. Chapeau feutre gris avec plumes bleues et jaunes. Las noirs, souliers cuir bleu.
1. Holly Fairy. Soft green gauze dress strewn with holly hedges. Garlands of holly placed on the bodice and on the skirt. Tuft of holly in the hair. Gold wand with holly stakes.
2. Costume of an English lady in the 16th century. Underdress in pale blue satin squared with gold stripes with turquoise cabochons in the middle of the squares. Old red silk or velvet coat adorned with gold braid. White satin sleeves. Strip of fur at the bottom of the skirt. White satin headdress with colored stones around the bottom and a large turquoise or sparkly stone on the forehead.
3. Italian lady's costume, late 15th century. Brocaded pink satin skirt. Garnet velvet bodice, sleeves and top dress in foam velvet edged with gold braid. Draperies of the bodice and crevés in white or pink satin. Fine pearl necklace. Small gold crown and pearls above the bun.
4. Pierrette's costume. In yellow satin with sky blue buttons.
5. Clown costume. Pink satin dress covered with green gauze. Alternating green and pink gauze sleeves. Sequin butterflies embroidered on the bodice and on the skirt. Black gloves and stockings. Butterflies on pink satin shoes. Butterfly fluttering above the head by means of a light brass wire.
6. Swiss costume, late 15th century. Black velvet bodice with yellow satin blouse. Peacock blue silk skirt with yellow satin band bordered with silver braid. Gray felt hat with blue and yellow feathers. Black wearers, blue leather shoes.
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adarkrainbow · 1 year
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Some interesting facts taken from Jean-Marc Moriceau’s “Histoire du méchant loup, 3000 attaques sur l’homme en France, XVe-XXe siècles” (History of the bad wolf, 3000 attacks on men in France, 15th to 20th century)
1) Gustave Doré depicting the Wolf from “Little Red Riding Hood” as larger than the little girl might be more historically accurate than we think. According to the records, the average size of French people born between 1666 and 1694 was 1 meter 62 ( 5,3 feet). Meanwhile, the size of the wolves killed during this same period were said to be between 1 meter long (3,2 feet) and 2 meters 27 (7,4 feet). 
2) Moriceau remembers that the threat of the wolf was something very real even at Perrault’s time. 1693 and 1694 were a duo of years that marked a true “wolf crisis” in France: each of these years, the number of people killed by wolves was of 50 people per a million of humans. Given there were 20 millions inhabitants of France at the time, it meant roughly a thousand deaths per year due to the wolves. 
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reflet-de-la-lune · 10 months
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Dante quittant l'enfer
Italie, XVe siècle
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francepittoresque · 28 days
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COUTUME | Quand la langue française régnait en Angleterre ➽ https://bit.ly/Francais-Angleterre Il fut un temps où la langue française s’imposait jusqu’en Angleterre, les nobles anglais envoyant leurs enfants en France, afin qu’ils y perdissent, dit Gervais de Tilbury, la barbarie de la langue de leur pays ; et jusqu’au XVe siècle, elle régnait sans partage dans les tribunaux de celle qu’on appellera plus tard la « perfide Albion »
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ikimono-clips · 8 months
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"Arbre de Jessé", église St Ouen, XVe siècle, Les Iffs, Ille-et-Vilaine, Bretagne.
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detournementsmineurs · 6 months
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“Saint-Eloi Libérant un Possédé des Démons" (XVe siècle) présenté à la conférence “Les Maisons Hantées dans l'Art” par Marine Chaleroux - Historienne d'Art - de l'association Des Mots et Des Arts, octobre 2023.
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fashionbooksmilano · 5 months
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Louvre Haute Couture
La mode dans les collections de peintures du Louvre
Sabine de La Rochefoucauld
Gourcuff Gradenigo, Montreuil 2023, 140 pages,Broché, 20,4x25cm, ISBN 9782353403905
euro 26,00
email if you want to buy [email protected]
Qu'ils soient de personnages célèbres ou d'inconnus, le Louvre conserve une inestimable collection de portraits qui sont autant de témoignages de l'histoire du vêtement, de ses usages et de l'évolution du goût. C'est à une visite de cette galerie d'histoire de la mode que Sabine de La Rochefoucauld nous convie ici. Historienne de l'art, elle connait très bien la collection de peintures du musée du Louvre sur laquelle elle travaille depuis plusieurs années. Ainsi, elle décrypte pour nous la mise de deux personnages représentés sur une tapisserie du début du xve siècle qui illustre une scène d'amour courtois. Plus loin, c'est un portrait de Marguerite d'York, troisième femme de Charles le Téméraire, qui attire son attention. Vêtue d'une robe noire bordée d'hermine ornée de pièces d'orfèvrerie, coiffée d'un hennin, la duchesse de Bourgogne arbore avec élégance la mode de son temps. Sur son autoportrait daté de 1493, Albrecht Dürer apporte une attention particulière à son apparence car il ne doit ressembler à aucun autre. Ainsi s'explique le port de ce surprenant béret rouge doté de lanières souples, cette chemise échancrée galonnée de rouge et d'or ornée de lanières couverte d'un manteau bleu froncé au col et aux épaules. Dans le pastel qu'en a laissé Maurice Quentin de La Tour de la marquise de Pompadour, celle-ci, somptueusement vêtue de ce qu'on désignera dès lors robe à la française tient son rôle de belle et talentueuse icône de la mode. Ainsi, en une soixantaine de portraits du xve au xixe siècle, servi par un texte à la fois distrayant et érudit cet ouvrage nous invite grâce à cette promenade dans les collections de peintures du musée du Louvre à redécouvrir la mode avec ses matières, ses usages et ses accessoires.
23/11/23
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yes-bernie-stuff · 3 months
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Science Et Foi 12/02/2024
Il a créé la terre par sa puissance, il a fondé le monde par sa sagesse, il a étendu les cieux par son intelligence. Jérémie 10.12
Le présupposé de la foi est de croire que Dieu existe ! Or, dès la fin du XVe siècle, forts de nouvelles découvertes scientifiques, des hommes ont remis en cause l’existence de Dieu. Il y a encore cent ans, les savants croyaient l’Univers immuable. Mais, à la surprise générale, ils découvrirent en 1929 son phénomène d’expansion… qui implique un commencement ! On sait qu’il y a eu un début au temps, à l’espace et à la matière¹, c’est-à-dire une cause première extérieure qui leur est transcendante. Un principe qui s’accorde avec le récit biblique de la Genèse…
Maintenant, le sceptique argumente que le hasard a présidé ce commencement. Or, la science démontre que notre monde a nécessité un arrangement inouï de variables dans sa création et son maintien. Soit une probabilité incluant une combinaison de valeurs précises² d’une trentaine de constantes physiques indépendantes ! C’est la notion d’ajustement fin de l’Univers bien connue par les cosmologues.
Si certains l’appellent un « heureux hasard », d’autres y voient l’indice probant d’un dessein intelligent ! D’où l’existence d’un Dieu ayant créé un Univers viable et stable dont dépend la vie sur terre. Les faits scientifiques ne s’opposent pas à la foi.
Dominique Moreau
¹ liés selon la relativité générale d’Einstein ² au-delà de la quinzième décimale
__________________ Lecture proposée : Lettre aux Hébreux, chapitre 11, versets 1 à 6.
Foi et endurance La foi des témoins de l’ancienne alliance.
1 La foi est une façon de posséder[a] ce qu’on espère, c’est un moyen d’être sûr des réalités qu’on ne voit pas. 2 C’est parce qu’ils ont eu cette foi que les hommes des temps passés ont été approuvés par Dieu.
3 Par la foi, nous comprenons que l’univers a été harmonieusement organisé par la parole de Dieu, et qu’ainsi le monde visible tire son origine de l’invisible.
4 Par la foi, Abel a offert à Dieu un sacrifice meilleur que celui de Caïn. Grâce à elle, il a été reconnu comme juste par Dieu qui a témoigné lui-même qu’il approuvait ses dons, et grâce à elle Abel parle encore, bien que mort.
5 Par la foi, Hénok a été enlevé auprès de Dieu pour échapper à la mort et on ne le trouva plus, parce que Dieu l’avait enlevé. En effet, avant de nous parler de son enlèvement, l’Ecriture lui rend ce témoignage : il était agréable à Dieu[b]. 6 Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable. Car celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui se tournent vers lui.
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empiredesimparte · 2 years
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The military entry of the heir to the kingdom of Scots, the Duke of Rothsey, at Versailles
Duke Oliver de Rothsey chose the Empire of Francesim to complete his military education. It was with honour that he was personally received by HIM Emperor at Versailles, accompanied by HIH Imperial Prince Louis. The military ceremony was framed by the Cent-Gardes and it was not by chance!
Firstly, because the Cent-Gardes Squadron is His Majesty's elite cavalry corps and the Duke of Rothsey specialises in military cavalry. On the other hand, the Cent-Gardes have their origins in the Scottish Guard of the Kings of Francesim. Since the 15th century, the kings of Francesim had this elite military corps of Scottish origin as their personal guard, a tradition that lasted until the French Revolution and the Restoration. Emperor Napoléon IV, on his enthronement, re-established the Cent-Gardes as his personal protectors.
Made up exclusively of experienced, tall horsemen, the Cent-gardes squadron, heir to the Scottish Guard, escorted the Emperor on horseback during his public appearances, and today guards him and his family in the imperial palaces and during their travels. Their tall stature and brilliant blue and red uniforms give them great prestige.
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In the marble courtyard of Versailles, the heir Oliver of the Scots meets the Emperor Napoléon IV. His Royal Highness and His Imperial Highness are both dressed in the prestigious cuirassier armour of the Cent-gardes. The Emperor is dressed as a general of the Cent-gardes.
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The Duke of Rothsey is expected to stay in Francesim for several months for his military and scientific training, where he will accompany the Children of Francesim to the Polytechnic School as a prestigious foreign student. His presence will be an opportunity for the French imperial family and the Scottish royal family to consider several projects, agreements and political alliances.
Collaboration with @officalroyalsofpierreland
TRADUCTION FR
Le duc Oliver de Rothsey a choisi l'empire de Francesim pour parfaire son éducation militaire. C'est avec honneur qu'il fut reçu personnellement par l'Empereur à Versailles, accompagné du prince impérial Louis. La cérémonie militaire était encadrée par les Cent-Gardes. Et ce n'est pas par hasard !
En effet, d'une part parce que l'escadron des Cent-Gardes est le corps de cavalerie d'élite de Sa Majesté. Or le duc de Rothsey est spécialisé dans la cavalerie militaire. D'autre part, les Cent-Gardes tirent leurs origines de la Garde écossaise des rois de Francesim. Les rois de Francesim, depuis le XVe siècle, avaient pour garde personnelle ce corps militaire d'élite originaire d'Ecosse, dont la tradition a perduré jusqu'à la Révolution française puis la Restauration. L'Empereur Napoléon IV à son intronisation rétablit les Cent-Gardes comme ses protecteurs personnels.
Constitué exclusivement de cavaliers expérimentés de grande taille, l'escadron des cent-gardes héritier de la garde royale écossaise escorte à cheval l'Empereur dans ses apparitions publiques, et assure aujourd'hui la garde et celle de sa famille dans les palais impériaux et au cours de leurs déplacements. Leur haute stature et leur brillant uniforme bleu et rouge leur confèrent un très grand prestige.
L'héritier Oliver des Scots rencontre l'Empereur Napoléon IV. Son Altesse Royale et Son Altesse Impériale sont toutes deux vêtues des prestigieuses armures de cuirassiers des Cent-Gardes. L'Empereur quant à lui est habillé de l'uniforme de général des Cent-Gardes.
Le duc de Rothsey devrait rester plusieurs mois en Francesim pour sa formation militaire et scientifique, où il accompagnera les Enfants de Francesim à l'école Polytechnique en tant qu'étudiant étranger prestigieux. Sa présence sera l'occasion pour la famille impériale française et la famille royale écossaise d'envisager plusieurs projets, accords et alliances politiques.
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bizarreauhavre · 1 year
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Memento Mori, XVe siècle.
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Les églises médiévales étaient souvent envahies par des rats et des souris, ainsi que par des oiseaux dans les hauteurs. Pour limiter les intrus, les chats étaient bien utiles. Pendant de nombreuses années aux XIVe et XVe siècles, la cathédrale d'Exeter en Angleterre a employé un chat, parfois deux, et ceux-ci figurent sur les relevés de paie de l’évêché, encore conservés aujourd’hui. La construction d'une cathédrale à Exeter a commencé au début du XIIe siècle, mais n'a été achevée que près de 300 ans plus tard, vers 1400. C’est à cette époque que la porte des chats a été prévue. Endommagée par les bombardements lors de la dernière guerre, la cathédrale a été réparée et reste encore aujourd’hui un joyau de l’art gothique.
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Le covidioclimatiste ose tout, et c’est à ça qu’on le reconnaît…
(Depuis 1820, on utilise le nom de Barbe Bleue pour parler d’un certain Gilles de Rais, châtelain ayant vécu au XVe siècle, rapport au traitement qu’il réservait aux enfants...)
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Two songs by Pauline Viardot (1821-1910): 'Aimez-moi ma mignonne' (from Six chansons du XVe siècle, published 1886) sung by Françoise Masset accompanied by Françoise Tillard
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